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Full text of "Bibliothèque universelle des voyages effectués par mer ou par terre dans les diverses parties du monde depuis les premières découvertes jusqu'à nos jours [microforme] : contenant la description des moeurs, coutumes, gouvernemens, cultes, sciences et arts, industrie et commerce, productions naturelles et autres"

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TEST  TARGET  (MT-3) 


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Photographie 

Sdences 
Corporation 


23  WEST  MAIN  STREET 

WEBSTER,  N. Y    14580 

(716)  872-4503 


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CIHM/ICMH 

Microfiche 

Séries. 


CIHM/ICMH 
Collection  de 
microfiches. 


Canadian  Institute  for  Historical  Microreproductions  /  Institut  canadien  de  microreproductiona  historiques 


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©1984 


Technical  and  Bibliographie  Notes/Notes  techniques  et  bibliographiques 


The  Institute  has  attempted  to  obtain  the  best 
original  copy  available  for  filming.  Features  of  this 
copy  which  may  be  bibliographically  unique, 
which  may  alter  any  of  the  images  in  the 
reproduction,  or  which  may  significantly  change 
the  usual  method  of  filming,  are  checked  below. 


L'Institut  a  microfilmé  le  meilleur  exemplaire 
qu'il  lui  a  été  possible  de  se  procurer.  Les  détails 
de  cet  exemplaire  qui  sont  peut-être  uniques  du 
point  de  vue  bibliographique,  qui  peuvent  modifier 
une  image  reproduite,  ou  qui  peuvent  exiger  une 
modification  dans  la  méthode  normale  de  filmage 
sont  indiqués  ci-dessous. 


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Coloured  covers/ 
Couverture  de  couleur 


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Coloured  pages/ 
Pages  de  couleur 


I      I    Covers  damaged/ 


Couverture  endommagée 


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Pages  damaged/ 
Pages  endommagées 


D 


Covers  restored  and/or  laminated/ 
Couverture  restaurée  et/ou  pelliculée 


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Pages  restored  and/or  laminated/ 
Pages  restaurées  et/ou  pelliculées 


I      I    Cover  title  missing/ 


Le  titre  de  couverture  manque 


Pages  discoloured,  stained  or  foxed/ 
Pages  décolorées,  tachetées  ou  piquées 


j      I    Coloured  maps/ 


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LU    Plan 


Cartes  géographiques  en  couleur 


Coloured  ink  (i.e.  other  than  blue  or  black)/ 
Encre  de  couleur  (i.e.  autre  que  bleue  ou  noire) 


Coloured  plates  and/or  illustrations/ 


ches  et/ou  illustrations  en  couleur 


D 
& 
D 


Pages  detached/ 
Pages  détachées 

Showthrough/ 
Transparence 


Quality  of  print  varies/ 
Qualité  inégale  de  l'impression 


□    Bound  with  other  matériel/ 
Relié  avec  d'autres  documents 


D 


Includes  supplementary  matériel/ 
Comprend  du  matériel  supplémentaire 


D 


D 


Tight  binding  may  cause  shadows  or  distortion 
along  interior  margin/ 

La  reliure  serrée  peut  causer  de  l'ombre  ou  de  la 
distortion  le  long  de  la  marge  intérieure 

Blank  leaves  added  during  restoration  may 
appear  within  the  text.  Whenever  possible,  thèse 
hâve  been  omitted  from  filming/ 
Il  se  peut  que  certaines  pages  blanches  ajoutées 
lors  d'une  restauration  apparaissent  dans  le  texte, 
mais,  lorsque  cela  était  possible,  ces  pages  n'ont 
pas  été  filmées. 


D 


Only  édition  available/ 
Seule  édition  disponible 

Pages  wholly  or  partially  obscured  by  errata 
slips,  tissues,  etc.,  hâve  been  refilmed  to 
ensure  the  best  possible  image/ 
Les  pages  totalement  ou  partiellement 
obscurcies  par  un  feuillet  d'errata,  une  pelure, 
etc.,  ont  été  filmées  à  nouveau  de  façon  à 
obtenir  la  meilleure  image  possible. 


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Commentaires  supplémentaires: 

Les 

pages 

froissées  peuvent 

causer  de  ta  distortion 

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The  copy  filmed  hera  has  baan  raproducad  thanks 
to  tha  ganarosity  of  : 

University  of  British  Columbia  Library 


The  images  appearing  hère  are  the  beat  quality 
possible  considering  the  condition  and  legibility 
of  the  original  copy  and  in  keeping  with  the 
filming  contract  spécifications. 


L'exemplaire  filmé  fut  reproduit  grâce  à  la 
générosité  de: 

University  of  British  Columbia  Library 


Les  images  suivantes  ont  été  reproduites  avec  le 
plus  grand  soin,  compte  tenu  de  la  condition  et 
de  la  netteté  de  l'exemplaire  filmé,  et  en 
conformité  avec  les  conditions  du  contrat  de 
filmage. 


Original  copies  in  printed  paper  covers  are  filmed 
beginning  with  the  front  cûver  and  ending  on 
the  lest  page  with  a  printed  or  illustrated  impres- 
sion, or  the  back  cover  when  appropriate.  Ail 
other  original  copies  are  filmed  beginning  on  the 
first  page  with  a  printed  or  illustrated  impres- 
sion, and  ending  on  the  last  page  with  a  printed 
or  illustrated  impression. 


Les  exemplaires  originaux  dont  la  couverture  en 
papier  est  imprimée  sont  filmés  en  commençant 
par  le  premier  plat  et  en  terminant  soit  par  la 
dernière  page  qui  comporte  une  empreinte 
d'impression  ou  d'illustration,  soit  par  le  second 
plat,  selon  le  cas.  Tous  les  autres  exemplaires 
originaux  sont  filmés  en  comnençant  par  la 
première  page  qui  comporte  une  empreinte 
d'impression  ou  d'illustration  et  en  terminant  par 
la  dernière  page  qui  comporte  une  telle 
empreinte. 


The  last  recorded  frame  on  each  microfiche 
tthall  contain  the  symbol  —^-  (meaning  "CON- 
TINUED  "),  or  the  symbol  V  (meaning  "END  "), 
whichever  applies. 


Un  des  symboles  suivants  apparaîtra  sur  la 
dernière  image  de  chaque  microfiche,  selon  !e 
cas:  le  symbole  —^-  signifie  "A  SUIVRE",  le 
symbole  V  signifie  "FIN". 


Maps,  plates,  charts,  etc.,  may  be  filmed  at 
différent  réduction  ratios.  Thosci  too  large  to  be 
entirely  included  in  one  exposure  are  filmed 
beginning  in  the  upper  left  hand  corner,  left  to 
right  and  top  to  bottom,  as  many  frames  as 
required.  The  following  diagrams  illustrate  the 
method: 


Les  cartes,  planches,  tableaux,  etc.,  peuvent  être 
filmés  à  des  taux  de  réduction  différents. 
Lorsque  le  document  est  trop  grand  pour  être 
reproduit  en  un  seul  cliché,  il  est  filmé  à  partir 
de  l'angle  supérieur  gauche,  de  gauche  à  droite, 
et  de  haut  en  bas,  en  prenant  le  nombre 
d'images  nécessaire.  Les  diagrammes  suivants 
illustrent  la  méthode. 


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BIBLIOTHÈQUE 


UNIVERSELLE 


DES  VOYAGES. 


TOME  XLVI. 


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On  souscrit  lions  Us  Départemens  chez  les  Libraires  ci-après  : 

Jêl'  ' 

IjYON .  •/  A.  Baron,  libraire,  rue  de  Clermont,  n*>  5. 

ROUEN François,  libraire,  Granid'Rue,  d*'  33. 

CAEN Manoort,  libraire. 

MARSEILLE.  .  .  .  CUmoI^.  Ubimire,  '    ^. 

MOI!rrPELL|EB.  .  Patras,  libraire.  '^       < 

NANCY. .  A'.  .  .  Georges  Grimblot,  libraire. 

AGEN. .' Bbrtmi<i>>  Ubr9\re. 

LUNÉVILLE..  .  .  Creusât,  libraire,  Grand'Rue,  n"  23. 

BËZIERS. .....  Paoeot,  libraire.  • 

TOULOVSE.  .      .  D4GALLi,«R,  libraire,  rue  de  laP^moiQ. 

ORLEANS ÇU^Nmt,  Ultri^ire, 

CHARTRES.  .  .  .  Carnier  fils,  imprimeur-libraire. 

DIJON G'AULARD ,  libraire. 

ABBEVILLE. ...  Gatois-Ghare,  libraire. 

i^  AVIGNON Fructos,  libraire.. 

!|  SEDAN Aoç.  PifiiiROT,  libraire ,  Grand'Rue,  n"  18. 

NARBONNE.  .  .  .  Delsol,  libraire! 

STRASBOURG..  Laoier,  libf  aire,  rue  Mercière,  n»  10. 

LILLE Uionner-Bauwens,  imprimeur-libraire. 

TOULON liloNGB  et  ViLLAMOS ,  libraires,  rue  delà  Misé» 

ricorde,  n'  6.      ' 

CLERMONT-F"».  .  A.  Vçysset,  libraire,  rue  de  la  Vieille ,  n"  1 4 

BESANÇON,   .  .  .  BiNTOT,  libraire. 

GRENOBLE.    .  .  .  Prud'homme,  libraire. 


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rAKIS.  — IMPRIMKKTB  ET  FONUERIP.   IIK  RKiNUUX  ET  c",  IDI  DBS  FIItKCS-IUUIUIlOIR-S.-MICIIEL  ,  t. 


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BIBLIOTHÈQUE 


U??1VER8ELLE 


DES  VOYAGES 

1;FFECT0É8  par  Mlfc  ou  PAR  TERRE 

DANS  LES  DIVERSES  PARTIES  DU  NONÉe.'^ 

DSM7I8 

LES  PREMIÈRES  DÉCOUVERTES 

jusqu'à  nos  jours; 

C0N1ENANT  LA  DESCRIPTION  DBS  MOEURS,  GOimiHBSt 
«OIIVBRNBKENS ,  COLTBS,  SCIENCES  ET  jSm,  INDUSTRIE  ET  OOMMERCI:, 
PRODUCTIONS  NATUREuif  ET  AUTRES. 

Rcpus  on  fttabuits 
PAR  M.  ALBERT-MONTÉMONT, 

AUTlUk  OU  VOrAOC  DkM  1,11  CIBQ  P&lTIKl'oV  UONDI,  DES  LHTTRIt  iOI  L'aITAUNOM  I H  , 
'  DU  VOVAQI  lux  ALPïa  ,  ETC.  .    STC. 


•■.•MICHEL,   ». 


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PARIS. 


ARMAND-AIJBREE,  EDITEUR. 

RUE   DE   VAUOIRARD,    N°17. 


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VOYAGES 


EN  EUROPE. 


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VOYAGES  ANCIENS  ET  MODERNES,    i 


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GÉNÉRALITÉS  PRÉLIMINAIRES. 


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I/Europe  n*a,  comme  Tont  remarqué  ailleurs 
Malte-Brun  et  plusieurs  autres  géographes,  ni  les 
imposantes  dimensions  de  TAsie  et  de  l'Amérique, 
ni  la  masse  compacte  de  l'Afrique.  Le  caractère  par- 
ticulier qui  la  distingue  de  ces  trois  autres  grandes 
divisions  continentales  du  globe,  consiste  dans  les 
golfes  immenses  ou  mers  intérieures  qui  découpent 
son  littoral  en  tout  sens,  qui,  s  avançant  considéra- 
blement dans  l'intérieur  des  terres,  eu  égard  à  leur 
étendue,  facilitent  les  communications  et  sont  aussi 
favorables  aux  progrès  de  la  civilisation  qu'ait 
développement  de  l'industrie  et  du  commerce. 

Sorte  de  dépendance  du  vaste  continent  asiati- 
que, l'Europe ,  qui  n'en  semble  être  pour  ainsi  dire 
qu'une  péninsule,  n'offrirait  pas,  dans  presque  sa 
totalité,  un  bassin  assez  large  au  Nil ,  qui  cache  sa 

source  vers  les  monts  de  la  Lune;  au  Kiang,  ce 
XLVI.  1 


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1  VOYAGES  EN  EUROPE, 

fleuve  qui  arrose  de  Touest  à  Testrempirc  chinois; 
à  rAmazone,  qui  descend  du  Pérou  et  coule  entre 
les  deux  vastes  Etats  de  la  Colombie  et  du  Brésil. 
Les  montagnes  de  TEurope  les  plus  gigantesques 
n'égalent  ni  en  élévation  ni  en  étendue  les  longues 
et  hautes  Cordilières  de  TAmérique,  ou  l'énorme 
plateau  des  monts  Himalaya  thibétains;  toutes  nos 
landes,   nos  dunes  réunies  n'augmenteraient  pas 
sensiblement  les  déserts  sablonneux  de  la  Libye,  ou 
le  Sahara  de  l'Afrique,  ou  le  Gobi  de  l'Asie;  et  nos 
archipels  européens,  d'ailleurs  si  rians,  ne  seraient 
remarquables  ni  en  beauté  ni  en  étendue  parmi  les 
labyrinthes  maritimes  de  l'Océanic.  Les  productions 
des  trois  règnes  de  l'Europe,  comparées  k  celles  des 
autres  parties  du  monde,  offrent  en  général  peu 
d'originalité,  d'éclat  ou  de  grandeur.  L'Europe  n'a 
que  très  peu  de  mines  d'or,  et  ne  peut  nommer 
qu'une  vingtaine  d'espèces  de  quadrupèdes  qui 
lui  appartiennent  exclusivement;  encore,  ainsi  que 
l'observe  Malte-Brun,  sont-ce  de  petits  animaux  de 
peu  d'apparence,  tels  que  des  rats  et  des  chauves- 
souris.  Notre  industrie  a  perfectionné  quelques  es- 
pèces, comme  le  cheval ,  le  bœuf,  le  mouton  et  le 
chien;  mais  nos  meilleures  productions  naturelles 
semblent  avoir  été  importées  des  autres  parties  du 
monde.  Le  ver  à  soie  nous  est  arrivé  de  l'Inde  ;  la 
laine  fine,  de  la  Mauritanie;  le  pécher,  de  la  Perse; 
l'oranger,  de  la  Chine;  la  patate,  le  maïs  et  le  la- 


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GÉNÉRALITÉS.  3 

bac,  de  rAmériquc;  et,  en  dernier  lieu,  le  fin  tissu 
à  chàle,  du  Cachemire,  par  l'introduction  en  nos 
climats  méridionaux  des  chèvres  du  Thibet.  Ainsi 
nous  ne  sommes  riches  que  d'emprunts  faits  h  des 
contrées  en  dehors  de  l'Europe. 

Mais  grâce  à  la  puissance  d  une  civilisation  pro- 
gressivement persévérante,  cette  région  Âpre  et 
sauvage ,  que  la  nature  n'avait  dotée  que  de  bois  et 
de  fers,  s'est  ornée,  enrichie  avec  le  cours  des  siècles 
sous  les  efforts  industrieux  de  ses  habitans.  On  n'y 
reconnaît  plus  les  produits  indigènes,  la  culture  a 
changé  les  végétaux  et  les  climats;  aux  rivages  où 
le  castor  élevait  paisiblement  ses  huttes,  brillent 
des  cités  populeuses  et  pullulent  des  milliers  de  ci- 
toyens; dans  les  contrées  que  foulèrent  seules  et  si 
long-temps  les  bétes  fauves,  se  sont  établis  des  em- 
pires florissans,  et  l'indigence  a  disparu  devant 
une  fertilité  laborieuse.  L'Europe  est  devenue 
pour  ainsi  dire  le  centre  intellectuel  de  l'espèce  hu- 
maine et  la  législatrice  du  monde  entier  ;  elle  est 
présente  sur  tous  les  points  de  l'univers;  un  conti- 
nent lointain,  celui  de  la  Nouvelle- Hollande,  se 
trouve  peuplé  de  colonies  européennes;  presque 
tout  le  littoral  nord,  ouest,  sud  et  est  de  l'Afrique 
est  couvert  d'établissemens  européens;  plus  d'un 
tiers  de  l'Asie  est  soumis  à  la  domination  euro- 
péenne, et  le  vaste  empire  chinois  est  cerné  tant  au 
nord  qu'au  midi  par  l'industrie  ou  les  armes  de 


♦  VOYAGES  EN  EUROPE. 

l'Europe.  L'immense  Océan  est  devenu  le  domaine 
exclusif  des  Européens  ou  de  colons  de  l'Europe, 
et  pendant  que  les  peuples  les  plus  policés  des  au- 
tres parties  du  globe  osent  à  peine  s'éloigner  de 
leurs  rivages,  excepté  peut-être  les  États-Unis  dont 
les  navires  marchands  commencent  à  sillonner  la 
mer  du  Sud,  nos  intrépides  navigateurs  suivent 
d'un  p6le  à  l'autre  les  routes  que  leur  traça  le  génie 
de  la  science  géographique.  Non  content  de  se  sou- 
mettre la  nature  et  d'enchaîner  la  foudre,  les  Eu- 
ropéens ont  su  par  l'astronomie  conquérir  l'univers 
céleste  et  voyager  au-dessus  des  nuages.  En  un  mot, 
la  science  est  le  patrimoine,  pour  ainsi  dire,  exclu- 
sif de  l'Europe,  et  l'Européen  parait  avoir  seul 
découvert  le  secret  d'en  étendre  et  d'en  faire  pros- 
pérer les  nombreux  rameaux. 
j!  L'Europe  est  comprise  entre  les  35*  et  7V  degrés 
de  latitude  nord,  et  entre  les  12"  degré  de  longi- 
tude ouest  et  68*  degré  de  longitude  est.  Si  on  vou- 
lait y  réunir  les  îles  qui  dépendent  géographi- 
quement  de  celte  partie  du  monde,  telles  que  la 
Nouvelle-Zemble,  l'archipel  du  Spitzberg,  etc.,  on 
aurait  pour  latitude  35  et  81  degrés  nord. 
;,.  L'Europe  est  bornée  au  nord  par  l'océan  Glacial 
arctique  et  la  baie  de  Kara,  subdivision  de  cet 
océan,  commune  également  à  l'Asie;  à  l'ouest,  par 
l'océan  Atlantique,  et  au-delà  du  cercle  polaire  par 
l'océan  Glacial  arctique;  au  sud,  par  le  détroit  de 


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GÉNÉRALITÉS.  Il 

Gibraltar,  la  mer  Méditerranée,  la  merde  TArchi- 
pel ,  le  détroit  des  Dardanelles,  la  mer  de  Marmara, 
le  détroit  de  Constantinople,  la  mer  Noire, ll^dé- 
troit  de  Gaffa  et  la  mer  d'Azov;  à  l'est,  par  }2  Meuve 
Kara,  la  chaîne  principale  des  monts  Ourals  et  le 
fleuve  Oural  jusqu'à  son  embouchure  dans  la  mer 
Caspienne  ;  ensuite  par  une  partie  occidentale  de 
cette  même  mer  Caspienne,  jusqu'à  l'extrémité 
orientale  de  la  chaîne  du  mont  Caucase.  Au  sud-est 
l'Europe  a  aussi  pour  limites  le  cours  du  Terek,  le 
Caucase  et  le  cours  du  Kouban ,  accidens  géogra- 
phiques qui  lui  sont  communs  avec  l'Asie.  Ainsi 
les  monts  Ourals  et  la  mer  Caspienne  senties  deux 
grandes  séparations  naturelles  entre  l'Europe  et 
l'Asie  à  l'est,  comme  la  mer  Noire,  le  Bosphore, 
l'Archipel  et  la  Méditerranée  sont  ses  confins  au 
sud,  où  elle  est  séparée  de  l'Afrique,  et  l'Atlanti- 
que à  l'ouest,  où  elle  est  séparée  de  l'Amérique; 
enfin  l'océan  Glacial  la  limite  au  nord.  *  I 

I^s  points  les  plus  extrêmes  de  l'Europe  sont  : 
au  nord,  le  cap  Nord,  situé  par  72  degrés  de  lati- 
tude nord  et  22  degrés  de  longitude  est,  à  l'extré- 
mité de  l'une  des  îles  dépendantes  de  la  Norwége, 
et  s'avançant  dans  l'océan  Glacial  arctique;  à  l'ouest, 
le  cap  Laroca,  situé  sur  la  côte  ouest  du  Portugal 
par  30  degrés  de  latitude  nord  et  12  degrés  de  lon- 
gitude ouest,  et  s'avançant  dans  l'océan  Atlantique 
septentrional;  au  sud,  le  cap  Matapan,  situé  dans 


-I 


«  VOYAGES  EN  EUROPE, 

la  Turquie  européenne,  et  s'avançant  dans  la  Mé- 
diterranée par  36  degrés  de  latitude  nord  et  20  de- 
grés de  longitude  est.  Quelques  géographes  ont 
rattaché  Tlslande  à  l'Europe;  mais  c'est  une  dépen- 
dance naturelle  du  Groenland,  qui  lui-même  se  lie 
à  l'Amérique  septentrionale.  Évidemment  l'Europe 
se  termine  au  nord-ouest  avec  les  îles  Féroër. 

Renfermée  dans  les  limites  que  Ton  vient  de  tra- 
cer, l'Europe  a  une  superficie  d'au  moins  cinq  cent 
mille  lieues  carrées ,  de  vingt-cinq  au  degré  équa- 
torial ,  et  une  population  de  plus  de  deux  cent  vingt 
millions  d'habitans.  L'accroissement  annuel  de  cette 
population  est  à  peu  près  d'un  million  d'âmes. 

La  glus  grande  longueur  de  l'Europe  est  de  douze 
cent  quinze  lieues,  du  cap  Saint-Vincent  aux  monts 
Ourals,  près  d'Ekaterinbourg.  De  Brest  à  Astrakan 
cette  longueur  est  de  huit  cent  soixante  lieues.  Sa 
plus  grande  largeur  est  de  huit  cent  soixante-dix 
lieues ,  du  cap  Matapan  en  Grèce  au  cap  Nord.  Sa 
largeur,  qui  vient  ensuite,  est,  du  cap  Colon na  en 
Galabre  au  cap  Wrath  en  Ecosse,  en  partie  sur  l'eau. 

L'Europe  comprend  au  nord  le  royaume  de  Nor- 
wége,  celui  de  Suède,  la  partie  de  l'empire  de  Rus- 
sie située  en  Europe,  les  îles  britanniques  ou  le 
royaume-uni  de  la  Grande-Bretagne;  au  centre,  le 
royaume  de  Pologne,  celui  de  Prusse,  l'Allemagne, 
le  royaume  de  Danemark,  celui  de  Hollande,  celui 
de  Belgique ,  la  France,  la  Confédération  suisse  et 


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centre,  le 
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ide,  celui 

suisse  et 


^1     GÉNÉRALITÉS,    o^  7 

l'empire  d'Autriche;  au  midi,  le  royaume  de  Portu- 
gal, celui  d'Espagne,  l'Italie  en  général,  et  la  Tur- 
quie d'Europe.  Varsovie  occupe  la  position  la  plus 
centrale  de  cette  partie  du  monde;  mais  le  bassin 
de  la  Bohème  est  le  point  central  physique ,  car  il 
termine  vers  le  nord  le  grand  système  de  pays  mon- 
tagneux qui  composent  la  Haute-Europe. 

Nous  avons  dit  que  les  mers  et  les  golfes  carac- 
térisaient surtout  la  péninsule  européenne  :  ces 
grandes  masses  d'eau  interposées  parmi  les  terres 
manquent  à  l'Asie,  à  l'Afrique,  à  la  Nouvelle-Hol- 
lande ,  et  même  à  la  majeure  partie  de  l'Amérique. 
Elles  exercent  une  grande  influence  sur  la  tempé- 
rature, qu'elles  rendent  humide  et  variable,  et  sur 
le  commerce  dont  elles  multiplient  les  communi- 
cations, comme  aussi  elles  influent  sensiblement 
sur  la  destinée  des  nations,  auxquelles,  conjointe- 
ment avec  les  chaînes  de  montagnes ,  elles  présen- 
tent des  remparts  naturels  contre  les  invasions 
étrangères. 

L'océan  Atlantique  qui  borne  l'Europe  à  l'ouest 
est  appelé  par  quelques  géographes  océan  Occi- 
dental.  11  s'appelle  mer  du  Nord  ou  d'Allemagne, 
entre  la  Norwége,  au  sud  du  cap  Slat,  le  Jutland, 
l'Allemagne,  les  Pays-Bas,  la  France,  la  Grande- 
Bretagne  et  les  îles  Shetland.  C'est,  comme  le  remar- 
que avec  raison  M.  Balbi,  une  des  méditerranées  à 
plusieurs  issues  les  plus  remarquables  de  l'Europe. 


«  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Les  empiétemens  de  cette  mer  sur  les  côtes  d'Aile^ 
magne  et  des  Pays-Bas  y  ont  formé  les  deux  golfes 
de  DoUart  et  Zuyderzée.  Un  bras  de  la  mer  du  Nord 
s'appelle  Skager-rak,  entre  le  Jutland  et  la  Nor- 
wégc  méridionale;  quelques  géographes  le  nom- 
ment mer  de  Danemark;  il  forme  sur  la  côte  de 
Norwége  un  enfoncement  considérable  appelé  gfo//<? 
de  Christiania.  Un  autre  bras  de  la  mer  du  Nord 
prend  la  dénomination  de  Cattegat,  entre  la  Suède 
méridionale  et  le  Jutland  septentrional  ;  deux  autres 
enfoncemens  de  la  mer  du  Nord,  beaucoup  plus 
petits ,  forment  les  golfes  de  Bukke  et  de  Bergen. 

L'océan  Atlantique  au  nord  du  cap  Stat  en  Nor- 
wége, prend  la  dénomination  de  merde  Scandina- 
viey  le  long  de  la  côte  de  cette  contrée.  A  l'ouest  du 
Pas-de-Calais  il  s'appelle  la  Manche,  entre  l'Angle- 
terre et  la  France;  il  s'appelle  mer  d'Irlande  ou 
même  canal  de  Saint- Georges,  entre  l'Ecosse  et 
l'Angleterre  d'un  côté  et  l'Irlande  de  l'autre  ;  il  se 
nomme  mer  de  Calédonie  au  nord-ouest  de  l'Ecosse; 
golfe  de  Gascogne  le  long  d'une  côte  sud-ouest  de 
la  France,  et  golfe  de  Biscaye  le  long  d'une  partie 
de  la  côte  septentrionale  de  l'Espagne.  ^    '  '-^'"^^ 

L'océan  Atlantique  pénétrant  dans  le  continent 
européen  y  forme  de  vastes  mers  méditerranées, 
l'une  au  nord ,  l'autre  au  midi.  La  méditerranée  du 
nord ,  plus  connue  sous  le  nom  de  mer  Baltique  ou 
simplement  Baltique  (mot  tiré  du  danois  ou  suer 


do 

noi 

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ôtes  d'Aile. 
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er  du  Nord 
et  la  Nor- 
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la  côte  de 
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n  du  Nord 
e  la  Suède 
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I  Bergen. 
it  en  Nor- 
Scandina- 
Fouest  du 
e  l'Angle- 
^lande  ou 
Ecosse  et 
itre  ;  il  se 
;  l'Ecosse; 
l-ouest  de 
ne  partie 

continent 
errances, 
ranée  du 
'ftique  ou 

i  OU  suer 


GÉNÉRALITÉS.  '  9 

dois  Beit,  qui  si^^iifie  ceinture),  et  désignée  sous  le 
nom  de  mer  O-  niale  par  les  nations  Scandinaves 
et  germaniques,  est  une  vaste  mer  intérieure  située 
entre  le  Danemark,  le  Mecklenbourg,  la  Poméra- 
r.ie,  la  Prusse,  les  provinces  Baltiques  de  la  Russie 
et  la  Suède.  Elle  offre  plusieurs  golfes,  dont  les 
principaux  sont  le  golfe  de  Bothnie,  entre  la  Fin- 
lande et  la  Suède;  le  golfe  de  Finlande,  entre  la  côte 
méridionale  de  la  Finlande  et  celle  des  gouverne- 
mens  de  Pétersbourg,  d'Ësthonie  et  de  Revel;  le 
golfe  de  Riga  ou  de  Livonie,  entre  la  Livonie  et  la 
Gourlande;  et  le  golfe  de  Dantzig  dans  la  Prusse 
occidentale.  Les  détroits  du  Sund  et  ceux  du  grand 
et  du  petit  Belt  sont  les  trois  issues  par  lesquelles 
la  Baltique  communique  avec  le  Cattegat,  qui  est 
une  branche  delà  mer  du  Nord.  -«         ..  l 

La  méditerranée  du  sud,  nommée  mer  Méditer^ 
ranëe  ou  simplement  la  Méditerranée,  est  comprise 
entre  l'Europe ,  l'Asie  et  l'Afrique  :  le  détroit  de 
Gibraltar  l'unit  à  l'océan  Atlantique.  Cette  mer  du 
côté  de  l'Europe  prend  le  nom  de  canal  des  Ba- 
léares, entre  la  côte  du  royaume  de  Valence  et  le 
groupe  des  îles  Baléares  ;  celui  de  golfe  de  Lyon, 
le  long  des  côtes  de  Provence  et  de  Languedoc; 
celui  de  golfe  de  Gênes,  depuis  la  côte  de  Nice 
jusqu'à  celle  du  duché  de  Lucques;  celui  de  mer  de 
Toscane,  entre  la  Corse,  la  Sardaigne  et  la  côte  op- 
posée de  l'Italie;  celui  de  mer  de  Sicile,  entre  l'île 


.'R 


19  VOYAGES  EN  EUROPE. 

de  ce  nom  et  le  royaume  de  Naples;  celui  de  mer 
Ionienne  entre  le  pied  de  Tltalie,  la  Sicile  et  la 
Grèce.  Un  bras  de  cette  mer  forme  le  golfe  de 
Tarente  vers  la  Galabre;  un  autre  le  golfe  de  Patras 
^evê  le  Péloponnèse,  et  le  golfe  de  Gorinthe  ou  de 
Lépante  au-delà  du  détroit  de  ce  dernier  nom.  Un 
bras  de  la  Méditerranée,  pénétrant  par  le  canal 
d'Otrante  entre  l'Italie  d*un  côté  et  TÉpire  ainsi 
que  l'Albanie  et  la  Dalmatie  de  Tautre ,  forme  le 
golfe  appelé  mer  /Adriatique.  Enfin  la  Méditerranée 
y^vê  le  détroit  des  Dardanelles  forme  ce  que  les 
anciens  Grecs  appelaient  mer  Principale  ou  Archi- 
pelagos,  et  ce  que  les  géographes  modernes  nom- 
ment Archipel.  Get  archipel,  au-delà  du  détroit  des 
Dardanelles ,  forme  lui-même  le  petit  golfe  à  plu- 
sieurs issues,  nommé  improprement  mer  de  Mar- 
mara, entre  la  côte  de  l'ancienne  Thrace  d'un  côté 
et  la  côte  opposée  de  l'Asie-Mineure  de  l'autre.  A 
S6n  tour,  la  merde  Marmara,  ou  la  Propontide, 
communique  par  le  détroit  de  Gonstantinople  ou 
le  Bosphore,  avec  ce  qu'on  appelle  la  mer  Noire, 
limite  méridionale  de  la  Russie  européenne.  La  mer 
Noire,  nourrie  par  les  plus  grands  fleuves  de  l'Eu- 
rope centrale,  reçoit  encore  par  le  détroit  de  Caffa 
ou  le  Bosphore  Gimmérien ,  les  eaux  limoneuses 
des  Palus-Méotides,  improprement  nommés  par 
\m  moàGVï\G^\2i mer dAzof  on  Azov.  ^ 

r/océan  Glacial  arctique ,  qui  ne  baigne  que  l'ex- 


iii  de  mer 
elle  et  la 
golfe  de 
de  Patras 
the  ou  de 
nom.  Un 
le  canal 
pire  ainsi 
forme  le 
itcrranée 
î  que  les 
►u  Archi- 
les  nom- 
^troii  des 
fe  à  plu- 
de  Mar- 
'un  côté 
autre.  A 
pontide* 
lople  ou 
jr  Noire, 
.La  mer 
de  l'Eu- 
Je  Caffa 
oneuses 
aés  par 

(ue  l 'ex- 


GÉNËRALITÉ».  11 

trémité  septentrionale  de  TEurope,  forme  plusieurs 
golfes  dont  le  plus  considérable  est  nommé  mer 
Blanche,  qui  est  renfermé  dans  le  gouvernement 
russe  d*Archangel ,  et  qui  est ,  comme  la  mer  de  la 
Nouvelle-Zemble,  exposée  à  de  violentes  tempêtes. 

Quant  à  la  mer  Caspienne,  qui  baigne  TEurope 
depuis  l'embouchure  de  la  Kuma  jusquà  celle 
du  Jaïk,  et  dont  le  niveau  est  inférieur  de  cent 
cinquante-cinq  pieds  à  celui  de  l'Océan,  elle  n'est,  à 
proprement  parler,  que  le  plus  grand  lac  du  globe, 
et  la  plus  grande  partie  de  ses  côtes  appartient  à 
l'Asie.  -'■'.'•   --.....-.>.-,—■-'•-—'■— 

Le  mouvement  généralise  la  Méditerranée  se 
dirige  de  l'est  à  l'ouest;  mais  la  réaction  des  eaux 
contre  les  côtes  donne  lieu  à  plusieurs  courans 
latéraux  opposés.  Les  détroits  donnent  aussi  nais'- 
sanceàdes  courans  locaux  très  variables,  comme 
le  phare  de  Messine  ou  la  Charybdis  des  anciens, 
etl'Ëuripe,  entre  le  continent  et  l'île  de  Nègrepont, 
Les  marées  dans  la  Méditerranée  ne  se  font  sentir 
que  très  légèrement;  on  a  cru  les  remarquer  dans 
le  golfe  Adriatique  et  dans  le  golfe  de  la  Grande- 
Syrte  qui  touche  à  l'Afrique.        '      -  j.     -  *-• 

Les  mers  que  nous  venons  d'indiquer  bordent  le 
continent  européen  sur  une  ligne  de  cinq  mille  cinq 
cents  lieues,  tandis  qu'il  ne  tient  au  continent  asia- 
tique que  par  une  ligne  de  huit  cent  quatre-vingts 
lieues.  Ces  mers  sont,  comme  l'observe  Malte-Brun, 


12  VOYAGES  EN  EUROPE, 

d'une  haute  importance  pour  l'Europe.  En  effet, 
au  nord  elles  nous  séparent  des  terres  glaciales  du 
pôle  boréal  ;  au  midi  elles  nous  garantissent  des 
chaleurs  de  l'Afrique;  partout  elles  ouvrent  un  ac- 
cès au  commerce  et  à  la  navigation  des  peuples. 

La  Méditerranée  a  une  surface  totale  de  cent 
trente-un  mille  neuf  cent  quatre-vingts  lieues  carr 
rées  de  vingt-cinq  au  degré;  celle  de  la  mer  Noire 
avec  la  mer  d'Azov  est  de  vingt-trois  mille  sept 
cent  cinquante  lieues;  celle  de  la  mer  Caspienne 
de  dix-huit  mille  six  cents  lieues;  celle  de  la  mer 
Blanche  de  cinq  mille  lieues  ;  celle  de  la  Baltique 
entière  dedix-sept  mille  six  cent  quatre-vingts  lieues, 
y  compris  le  golfe  de  Bothnie,  qui  a  séparément 
cinq  mille  cent  lieues  carrées,  et  le  golfe  de  Fin- 
lande, qui  a  deux  mille  trois  cents  lieues  carrées. 
La  mer  d'Allemagne  ou  mer  du  Nord ,  en  la  bor- 
nant par  le  cap  Stat  en  Norwége,  les  îles  Shetland 
et  le  promontoire  de  Lindesness,  a  trente -deux 
mille  lieues  carrées  ;  le  canal  d'Irlande  a  trois  mille 
quatre  cents  lieues  carrées;  et  la  Manche  trois  mille 
sept  cents  lieues  carrées.    î   *.      ,.        .'  j        ,.. 

La  Baltique  a  cent  soixante -dix  lieues  de  côles 
rocailleuses,  et  extrêmement  hautes  et  escarpées 
au  sud  et  au  sud-est  de  la  Suède;  cinq  cent  quatre- 
vingts  lieues  de  côtes  de  moyenne  élévation  au  nord 
de  la  Suède  et  d'une  partie  de  la  Russie,  et  trois 
cent  quatre-vingts  lieues  de  côtes,  la  plupart  basses 


En  effet, 
iciales  du 
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euples. 
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carrées. 
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ois  mille 
ois  mille 

ie  côles 
scarpées 
quatre- 
au  nord 
et  trois 
t  basses 


ê 


GÉNÉRALITÉS.  13 

et  sablonneuses  pour  le  reste  du  littoral  de  Russie, 
de  Prusse  et  d'Allemagne.  La  profondeur  de  cette 
mer  est  rarement  de  plus  de  cinquante  brasses,  et 
pendant  les  vents  du  nord  ses  eaux  s'adoucissent 
au  point  de  pouvoir  servir  aux  usages  domes' 
tiqueSt  '  -'a*'*"^    >.  ;    <  aln'iiî 

La  mer  d'Allemagne  ou  mer  du  Nord  est  divisée 
par  quelques  géographes  en  deux  parties;  l'une  por- 
tant le  nom  de  mer  d'Allemagne^  pour  la  partie  q  i 
s'étend  du  Pas-de-Calais  à  l'extrémité  du  Danemark, 
royaume  dans  le  voisinage  duquel  on  la  nomme 
aussi  mer  Cimbrique;  et  l'autre  portant  le  nom  de 
mer  du  Nord  pour  la  partie  supérieure  qui  s'étend 
jusqu  a  l'Islande.  Cette  mer  est  sujette  à  de  fortes  ma- 
rées ;  ses  eaux,  plus  douces  que  celles  de  l'Océan,  sont 
grasses  et  limoneuses;  elles  donnent  vers  le  soir 
une  lueur  que  les  marins  appellent  morillo;  elles 
se  couvrent  fréquemment  de  brouillards  épais, 
retombant  sur  le  rivage  en  une  rosée  amère  et 
saline  qui  nuit  à  la  végétation  des  arbres,  mais 
qui  donne  aux  plantes  une  verdure  plus  fraîche  et 
plus  belle. 

Les  amas  d'eau  douce  que  renferme  l'Europe 
sous  le  nom  de  lacs  n'égalent  pas  ceux  de  l'Améri- 
que septentrionale;  cependant  ils  ont  aussi  leur 
importance.  La  région  la  plus  remarquable  en  ce 
genre  est  celle  où  se  trouvent  les  sources  du  Volga 
au  sud ,  la  mer  Baltique  à  l'ouest,  et  la  mer  Blanche 


^- 


H  VOYAGES  EN  EUROPE, 

au  nord-ouest.  La  masse  d^eau  qu'elle  comprend,  si 
elle  était  réunie  en  une  seule,  égalerait  presque  le 
0olfe  de  Finlande.  Les  principaux  lacs  de  cette  ré- 
(];ion  sont  le  lac  Ladoga,  qui  a  huit  cent  cinquante 
lieues  carrées,  et  le  lac  Onega,  qui  a  quatre  cent 
trente  lieues;  vient  ensuite  le  lac  Saima,  en  Fin- 
lande, qui  a  deux  cent  dix  lieues.  Les  autres  lacs 
ont  des  dimensions  plus  petites.      ^         ^       ' 

La  Scandinavie  a  aussi  de  beaux  lacs,  tels  que 
le  lac  Wener,  qui  a  deux  cent  quatre-vingts  lieues 
carrées;  celui  de  Weter,  qui  a  cent  dix  lieues;  celui 
de  Mœlar  avec  une  superficie  de  cent  lieues.  Les 
divers  lacs  de  cette  région  occupent  environ  huit 
cents  lieues  carrées.  Us  sont,  à  un  ou  deux  près, 
tous  iplacés  sur  le  penchant  méridional  et  le  pen- 
chant oriental  de  la  chaîne  de  montagnes  qui  par- 
court la  Suède  et  la  Norwége.  Tous  ceux  de  la  Rus- 
sie septentrionale  sont  au  contraire  sur  les  versans 
orientaux  de  cet  empire.  Au  reste,  les  uns  et  les 
autres  s'écoulent  dans  la  Baltique,  et  Malte -Brun 
les  regarde  comme  les  sources  de  cette  mer  inté- 
rieure. 

Les  plaines  au  sud  de  la  mer  Baltique  présentent 
aussi  quelques  contrées  renfermant  de  petits  lacs. 
La  chaîne  des  Alpes  en  a  de  moins  grands  que  les 
monts  Scandinaves.  Ceux  des  versans  méridionaux 
sont  le  lac  Majeur,  qui  a  vingt  lieues  carrées;  le  lac 
Garda,  qui  a  vingt-quatre  lieues  carrées,  et  quelques 


m 


iprend,  si 
resque  lo 
cette  ré- 
linquante 
fitre  cent 
en  Fin- 
itres  lacs 

tels  que 
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les;  celui 
lies.   Les 
ron  huit 
ux  près, 
le  pen- 
qui  par- 
la Rus- 
versans 
is  et  les 
e-Brun 
ler  inté- 


GÉNÊRALITÉS.  15 

autres.  I^  pente  septentrionale  offre  le  lac  des 
Quatre-Cantons  dont  Tétendue  est  de  treize  lieues 
carrées;  le  lac  de  Neuchâtel  de  quinze  lieues  carrées; 
celui  de  Zurich  de  dix  lieues  carrées;  celui  de  Cons- 
tance, de  trente-huit  lieues  carrées  ;  et  une  foule  d'au- 
tres peu  étendus.  Tous  ces  lacs  réunis  peuvent  com- 
prendre une  surface  de  cent  quatre-vingts  lieues 
carrées.  1^  pente  occidentale  des  Alpes  ne  con- 
tient guère  que  le  lac  de  Genève,  avec  une  super- 
ficie de  quarante-quatre  lieues  carrées. 

Dans  toute  l'Europe  occidentale,  surtout  dans  le 
Portugal,  l'Espagne,  la  France  et  l'Angleterre ,  on 
trouve  extrénienient  peu  de  lacs.  En  Irlande  on  en 
voit  un  grand  nombre,  dont  quatre  ou  cinq  ont 
une  superfi^cie  égale  à  celle  du  lac  de  Zurich,    -nun 

Considérée  par  rapport  aux  aspérités  plus  ou  moins 
considérables  de  sa  surface,  l'Europe  semble  se  par- 
tager naturellement  en  deux  moitiés,  c'est-à-dire  en 
Haute  et  Basse-Europe,  Depuis  Londres  et  Paris  j us- 
qu'àMoscouetAstrakan,lesterresontpeud'élévation; 
de  Lisbonne  à  Constantinople  s'offre  une  suite  de 
terres  hautes,  avec  une  grande  variété  de  coupes 
et  de  pentes,  les  unes  exposées  aux  vents  froids  du 
nord,  les  autres  aux  vents  chauds  du  raidi;  presque 
partout  des  limites  naturelles  séparent  les  nations, 
comme  des  défilés,  des  baies  ou  des  rivières  à  fran- 
chir. Au  surplus,  écoutons  comment  M.  Bruguière, 
dans  un  ouvrage  couronné  par  la  Société  royale 


H  VOYAGES  EN  EUUOPE. 

de  Géographie  \  envisage  lorographie  ^  de  l'Eu- 
rope. ^■'\^^ 
ttSi  un  observateur,  placé  à  la  cinoe  du  Mont- 
Blanc  ^  pouvait  embrasser  de  ses  regards  l'Europe 
tout  entière,  il  verrait  que  le  sommet  sur  lequel 
il  se  trouve  est  le  point  le  plus  culminant  et  presque 
le  centre  d'une  longue  suite  de  montagnes,  qui  corn* 
menée  au  cap  Saint-Vincent  et  va  finir  à  l'est  et  au 
nord-est,  d'une  part  au  cap  Matapan,  de  l'autre, 
au  bord  de  la  mer  Noire,  et  encore  plus  au  nord 
près  des  frontières  de  l'Asie. 


^.ij(. 


Cl 


i'  «  Si  l'immensité  de  cette  vue  lui  permettait  de 
suivre  toute  la  courbe  que  décrit  la  principale  ligne, 
s'il  pouvait  en  reconnaître  les  directions,  et  distin- 
guer en  même  temps  ses  sinuosités,  ses  ramifica- 
tions et  ses  coupures ,  il  verrait  que  plusieurs  an- 
neaux détachés  de  la  grande  chaîne,  mais  qui 
paraissent  être  son  extrémité  occidentale,  traver- 
sent en  divers  sens  la  péninsule  hispanique;  qu'une 
barrière  formidable  s'élève  entre  la  France  et  l'Es- 
pagne, et  que  cet  énorme  rempart,  composé  de 
sommités  arides,  aiguës  et  souvent  inaccessibles,  se 


Bi-Mi:' 


I  Orographie  de  l'Europe.  Un  volume  in-quarto,  formant  le 
tome  III  du  Recueil  de  voyages  et  de  Mémoires  de  la  Société 
royale  de  Géographie. 

*  €e  mot ,  qui  signifie  représentation  de  montagnes,  vient  du  grer 
vros,  montagne,  et  de  grapho,  je  décris. 

3  Le  Mont-Blanc  est,  comme  chacun  sait,  la  plus  haute  cime 
del'Europe.  >••(>)-   '^'     -....i  i  ^-•v-v^.,. ,.  .-    .^j..,,,.     ^ 


iu  Mont- 
TEurope 
ur  lequel 
tt  presque 
qui  com- 
rest  et  au 
e  Fautre, 
<  au  nord 


Kt 


aettait  de 
aie  ligne, 
et  distin- 
ramifica- 
iieurs  an- 
mais  qui 
traver- 
;  qu'une 
le  et  TEs- 
nposé  de 
sibles,  se 

formant  le 
la  Société 

ent  du  grec 

haute  cime 


GÉNÉRALITÉS.  17 

prolonge  au  nord -ouest  de  ce  dernier  royaume, 
pousse  vers  le  sud  dus  contre-forts  qui  atteignent 
le  Duero,  et  va  se  terminer  au  nord  de  TOcéan  par 
les  caps  Ortégat  et  Finistère.  11  observerait  que  le 
tronc  principal,  prenant  ensuite  sa  direction  la  plus 
générale,  celle  du  sud-ouest  au  nord-est,  étend  ses 
branches  sur  une  partie  de  la  France,  et  couvre  le 
sol  volcanique  de  TAuvergne.  11  remarquerait  aussi 
que  les  montagnes  de  la  rive  occidentale  du  Rhône 
s'abaissent  considérablement  au-dessus  de  Lyon, 
deviennent  à  peine  visibles  dans  la  Bourgogne,  et 
se  lient,  près  des  sources  de  la  Saône,  à  une  rangée  de 
hauteurs  qui  courent  d'abord  dans  le  même  sens  que 
le  Rhin,  le  traversent  ensuite  au-dessus  de  Mayence, 
et  vont  se  perdre  en  Allemagne.  S'il  jetait  les  yeux 
sur  le  bassin  où  le  Doubs  décrit  tant  de  circuits,  il 
verrait  plusieurs  chaînons  que  leur  situation  paral- 
lèle au  centre  de  la  chaîne ,  leurs  pentes  adoucies 
vers  la  Franche-Comt4  et  leurs  escarpemens  op- 
posés au  lac  de  Geriève,  lui  feraient  aisément  re- 
connaître pour  une  dépendance  de  la  masse  colos- 
sale sur  laquelle  il  serait  placé.  Dans  la  partie  du 
système  la  plus  rapprochée  de  lui,  il  le  verrait  sé- 
parer la  France  de  l'Italie ,  couvrir  d'aspérités  la 
Suisse  et  le  Tyrol,  s'enfoncer  au  sud-est  jusque 
dans  l'Albanie,  et  former  ainsi  une  des  parois  de 
l'Adrii*tique;  tandis  que  l'autre  mur  de  ce  vaste 

bassin,  tel  qu'il  dut  exister  dans  les  temps  reculés, 
XLVI.  2 


18  VOYAGES  EN  EUROPE, 

serait  tracé  par  l'embranchement  très  remarquable 
qui  commence  aux  sources  de  la  Bormida  et  par- 
court ritalie  dans  toute  sa  longueur.  Au-delà  du 
golfe  de  Gènes,  et  dans  cette  même  direction,  notre 
observateur  découvrirait  deux  grandes  îles  dont  la 
charpenteestunechainedemontagnesquis'éloignent 
directement  au  sud,  et  que  la  mer  coupedroitendeux 
parties  inégales.  Si,  en  se  portant  de  ce  côté,  ses 
regards  étaient  attirés  par  le  premier  des  volcans 
de  l'Europe,  il  reconnaîtrait  une  continuation  de  la 
chaîne  italique  dans  les  deux  rangées  de  hauteurs 
qui  se  croisent  à  Nicosia ,  et  donnent  à  la  Sicile  une 
forme  triangulaire.  Sur  la  frontière  méridionale  de 
la  Servie,  et  presque  sous  le  parallèle  où  l'archipel 
illyrien  se  termine ,  la  chaîne  se  fourche  :  il  en  ver- 
rait une  branche  se  porter  vers  la  Grèce,  tandis  que 
l'autre  se  replie  à  l'est  et  au  sud-est,  jusqu'au  bord 
de  la  mer  Noire  et  de  la  Propontide.  Au  nord  de 
ce  dernier  rameau,  et  sous  le  méridien  du  golfe  de 
Salonique,  il  distinguerait  une  file  de  montagnes 
qui ,  se  dirigeant  d'abord  perpendiculairement  au 
coura  du  Danube,  est  coupée  par  ce  fleuve  aux  en- 
virons d'Orsova^  et  se  courbe  ensuite  de  manière  à 
envelopper  la  Transylvanie,  la  Hongrie,  la  Moravie 
et  la  Bohême.  A  l'ouest  de  ces  dernières  hauteurs 
il  apercevrait  encore  quelques  groujj<^;s  de  petites 
montagnes  disséminées  sur  l'Ai  .tj;iic  occiden- 
tale; mais  au-delà  de  ces  faibles  érainences  il  ne 


G£N£RALITf:S. 


t» 


marquablo 
Ida  et  par- 
lu-delà  du 
lion,  notre 
Iles  dont  la 
i  s'éloignent 
roitendeux 
e  côté,  ses 
les  volcans 
lation  de  la 
le  hauteur«i 
I  Sicile  II  1.x 
idionale  de 
1  Tarchipel 
:  il  en  ver- 
tandis  que 
qu'au  bord 
u  nord  de 
lu  golfe  de 
montagnes 
rcment  au 
ive  aux  en- 
manière  à 
la  Moravie 
s  hauteurs 
ie  petites 
occiden- 
nces  il  ne 


verrait  plus  que  de  vastes  plaines  qui  s'étendent 
jusnn'au  bord  de  la  Baltique  et  de  la  mer  du 
Nord.  Si  sa  vue  pénétrait  au-flelà  de  ces  mers,  il 
découvrirait  les  collines  de  l'An^'^H^^rc  qui  attei- 
gnent leur  plus  grande  élévation  dans  le  pays  de 
Galles,  celle  de  l'Ecosse  dont  la  structure  et  la  cous 
titution  géognostique '  sont  si  remarquabi  s;  et, 
dans  ni.  éloignement  plus  grand  encore,  il  cJistin- 
gu>  :  't  ]<**^  montagnes  delà  Scandinavie,  blanriiics 
par  des  neiges  perpétuelles,  qu'elles  doivent  bien 
moins  à  leur  hauteur  qu'à  leur  proximité  du  pôlt 
boréal. 

K  Si  l'observateur  que  nous  supposons  jouissait 
de  ce  spectacle  admirable  pendant  les  dernières 
chaleurs  de  l'été,  quand  la  neige  a  disparu  des  hautes 
sommités  où  elle  ne  reste  pas  toute  l'année,  l'éclat 
de  celles  qui  n'en  sont  jamais  dépouillées  lui  servi- 
rait à  reconnaître  les  points  les  plus  élevés.  Il  serait 
frappé  de  la  blancheur  que  plusieurs  sommets  con- 
servent constamment  sous  le  ciel  brûlant  de  Gre- 
nade. Il  apercevrait  la  neige  dans  la  Galice  et  dans  les 
Asturies;  l'immense  boulevard  qui  sépare  l'Espagne 
de  la  France  lui  en  montrerait  aussi.  Il  n'en  remar- 
querait pas  dans  l'intérieur  de  ce  dernier  royaume 
ni  sur  toute  l'étendue  de  l'Italie;  mais  la  partie  cen- 

'  Geos,  terre,  et  gnosis,  connaissance,  forment  le  mot  géogno- 
aie,  science  qui  explique  la  substance,  la  structure ,  la  situation 
des  grandes  niasses  de  la  terra. 


20  VOYAGES  EN  EUROPE, 

traie  de  la  chaîne  offrirait  à  ses  yeux,  depuis  la 
source  du  P6  jusqu'à  la  Dràve,  une  multitude  de 
montagnes  dentelées  ou  à  la  forme  pyramidale, 
dont  les  flancs  sont  recouverts  de  neige  depuis  le 
sommet  jusqu'à  treize  ou  quatorze  cents  toises  au- 
dessus  de  la  mer.  11  distinguerait  encore  le  faîte  de 
quelques  montagnes  de  l'Albanie,  près  des  sources 
de  l'Aoùs,  peut-être  aussi  quelques  cimes  du  Balkan; 
mais  en  avançant  au  nord,  il  n'en  verrait  plus  que 
de  la  Norwége,  si  ce  n'est  cependant  vers  la  limite 
septentrionale  de  la  Hongrie,  où  il  discernerait  à 
peine  la  pointe  d'un  seul  pic,  qui  arrive  tout  jus- 
tement à  la  hauteur  où  dans  ce  climat  la  neige  ne 
fond  plus. 

«  L'observateur,  auquel  nous  avons  accordé  la  fa- 
culté d'étendre  ses  regards  depuis  les  glaciers  de 
la  Savoie  jusqu'aux  confins  de  l'Europe,  s'aperce-^ 
vrait  que  les  montagnes  de  cette  belle  partie  de  la 
terre  ne  forment  pas  une  ligne  unique ,  qu'elles  ne 
se  rattachent  pas  à  une  seule  et  même  chaîne.  Il 
reconnaîtrait,  il  est  vrai,  que  plusieurs  coupures 
sont  accidentelles  et  n'établissent  pas  une  véritable 
solution  de  continuité.  11  ne  considérerait  point, 
par  exemple,  le  passage  que  le  Danube  s'est  frayé  à 
Orsava,  le  délilé  où  l'Ëlbe  coule  près  de  Schandau, 
et  la  séparation  que  le  Rhône  a  faite  au  fort  de  l'É- 
cluse, entre  les  Alpes  et  le  Jura,  comme  les  points 
de  départ  de  nouvelles  chaînes  de  montagnes;  mais 


,  depuis  la 
altitude  de 
yramidale, 
e  depuis  le 
s  toises  au- 
!  le  faîte  de 
des  sources 
duBalkan; 
lit  plus  que 
TS  la  limite 
cernerait  à 
^e  tout  jus- 
la  neige  ne 

cordé  la  fa- 
glaciers  de 
;,  s'aperce-: 
partie  de  la 
qu'elles  ne 
:  chaîne.  Il 
s  coupures 
le  véritable 
îrait  point, 
'est  frayé  à 
Schandau, 
fort  de  l'É- 
e  les  points 
Ignés;  mais 


•     GÉNÉRALITÉS.  Et 

quelle  que  puisse  avoir  été,  dans  une  haute  anti- 
quité, la.  liaison  des  collines  de  l'Angleterre  avec 
celles  de  la  Picardie,  ou  des  Apennins  avec  les  mon- 
tagnes de  la  Corse,  les  brajs  de  mer  spacieux  qui 
séparent  aujourd'hui  ces  contrées  ne  lui  permet- 
traient pas  plus  de  les  comprendre  dans  les  mêmes 
systèmes  des  montagnes,  qu'il  n'est  permis  de  con- 
fondre les  sommets  de  l'Espagne  avec  le  Mont- 
Atlas,  ou  les  ramiBcations  de  l'Hémus  avec  les 
cimes  neigeuses  de  l'Anatolie.  Nous  croyons,  par 
conséquent,  que  cet  observateur  reconnaîtrait  en 
Europe  sept  principaux  massifs  ou  systèmes  de 
montagnes,  dont  celui  du  centre,  beaucoup  plus 
considérable  que  tous  les  autres  ensemble,  ren- 
ferme une  grande  partie  des  hauteurs  de  la  France, 
celles  de  la  Suisse,  de  l'Italie,  de  la  Turquie,  de  la 
Hongrie  et  de  l'Allemagne.  On  peut  nommer  ce 
massif  alpique,  parce  que  les  Alpes  sont  le  nœud 
d'où,  dérivent  toutes  les  branches  qui  le  composent. 
Ce  système  aussi  peut  être  divisé  en  cinq  groupes, 
.et  chacun  de  ces  groupes  est  divisible  en  un  cer- 
tain uombre  de  chaînes  ou  de  chaînons  qui  sont 
jitousliés  entre  eux,  mais  que  l'on  désigne  par  des 
noms  pai;ticuliers.  Au  sud-ouest  du  massif  alpique, 
les  montagnes  de  la  péninsule  en  forment  un  autre, 
dont  le  centre  est  un  dos  très  vaste  et  fort  élevé 
qui  supporte  les  cimes  de  la  Guadarrama,  les  monts 
de  Tolède  et  ceux  de  la  Sierra -Morena.  L'ancien 


4/^  .'- 


ê 


22  VOYAGES  EN  EUROPE, 

nom  ^Hespérie,  que  sa  situation  reculée  vers  le 
couchant  fit  donner  à  TEspagne,  peut  être  appli- 
qué à  ce  massif.  La  Corse  et  la  Sardaigne,  dont  Fan- 
tique  liaison  n'est  pas  douteuse,  et  qui  sont  en 
quelque  sorte  encore  jointes  par  le  petit  archipel 
de  la  Madeleine,  forment  un  troisième  système 
qu'on  peut  appeler  Sardo-  Corse  ou  Cyrnos-Ichnu- 
sique,  mot  composé  des  noms  par  lesquels  ces  deux 
îles  furent   connues  chez  les  Grecs.  Les  anciens 
noms  Cimmériens  (les  montagnes  de  la  Grimée), 
sont  évidemment  un  prolongement  du  Caucase; 
mais  comme  toutes  nos  conventions  géographi- 
ques les  font  dépendre  de  la  partie  de  la  terre  que 
nous  habitons,  nous  en  formons  le  msimf  taurique. 
Au  nord  de  celui-ci,  et  au  centre  de  la  Russie  d'Eu- 
rope, un  plateau  vaste  et  peu  élevé  voit  naître  la 
Duna,  le  Volga  et  le  Borysthène.  Ce  plateau  et  les 
monticules  qui  lui  sont  attenans  au  sud -ouest, 
sous  le  nom  de  monts  fVolchouskit  et  au  nord-est, 
sous  celui  de  monts  Schémokouski,  sont  générale- 
ment appelés  monts  Valdaï.  Peut-être  conviendrait- 
il  de  ne  pas  mettre  ces  faibles  élévations  au  rang 
des  montagnes;  mais  comme  elles  ont  une  grande 
importance,  parce  qu'elles  établissent  la  ligne  de 
partage  entre  les  eaux  de  la  Baltique  et  de  la  mer 
Blanche  d'un  côté ,  et  celles  de  la  mer  Noire  et  de 
la  mer  Caspienne  de  l'autre ,  nous  les  considérons 
comme  le  centre  d'un  système  que  nous  nommons 


lulée  vers  le 
t  être  appli- 
le,  dontran- 
qui  sont  en 
etit  archipel 
me  système 
yrnos'lchnu- 
lels  ces  deux 
Les  anciens 
la  Crimée), 
lu  Caucase; 

géographi- 
la  terre  que 
ssif  taurique. 
Russie  d'Ëu- 
^oit  naître  la 
lateau  et  les 

sud -ouest, 
au  nord-est, 
Ht  générale- 
onviendrait- 
3ns  au  rang 

une  grande 

la  ligne  de 
Bt  de  la  mer 

Noire  et  de 
considérons 
us  nommonis 


*? 


GÉrfÉRALITÉS.  23 

sarmatique.  L'Ecosse,  l'Angleterre  et  l'Irlande  cons- 
tituent le  Oàci  britannique.  En  suivant  le  principe 
que  nous  avons  posé ,  il  faudrait  peut-être  classer 
à  part  cette  dernière  île,  car  le  canal  du  ?Iord  qui 
la  sépare  du  Cantire  a  une  largeur  assez  considé- 
rable,  et  si  elle  fut  autrefois  réunie  à  l'Ecosse, 
comme  les  observations  géologiques  permettent  de 
le  croire,  ce  ne  peut  être  que  dans  les  premiers 
temps  de  notre  globe  :  néanmoins,  comme  l'an- 
cienne Hibernie  a  peu  d'étendue,  nous  la  joignons 
ici  à  la  terre  voisine  dont  elle  dépend.  Le  septième 
et  dernier  massif  se  compose  des  Alpes  Scandi- 
naves, c'est-à-dire  de  cette  longue  chaîne  qui  oc- 
cupe le  nord-est  de  l'Europe,  où  elle  forme  main- 
tenant une  presqu'île,  après  avoir  été  probablement 
autrefois  le  noyau  d'une  île  très  grande.  Nous  dési- 
gnons ce  massif  sous  le  nom  de  système  scandina- 
vique.n  >  ^ 

Le  système  hespérique  se  compose  de  toutes  les 
montagnes  qui  couvrent  la  péninsule  et  de  celles 
qui  séparent  l'Espagne  de  la  France.  11  comprend 
trois  groupes  isolés,  que  l'on  peut  distinguer  en 
groupe  méridional ,  groupe  central  et  groupe  sep- 
tentrional. Le  premier  se  replie  fortement  sur  lui- 
même  et  décrit  une  sorte  de  S  depuis  les  pointes  de 
Roca  et  de  Tarifa  jusqu'aux  montagnes  de  Tolède, 
en  poussant  un  long  éperon  dont  le  cap  Saint-Vin- 
cent est  une  extrémité.  Le  second  est  formé  par  la 


U  VOYAGES  EN  EUROPE, 

chatne  ibérique,  qui  descend  obliquement  de  la 
•ource  de  TÈbre  aux  bords  de  la  Ségura,  et  puis  va 
se  terminer  au  cap  Roca.  Le  troisième  contient  la 
chaîne  pyrénaïque  dans  toute  sa  longueur,  depuis 
le  cap  Cervère  jusqu'à  l'embouchure  du  Duero:  il 
comprend  les  montagnes  de  loccident  de  TEurope, 
autrement  dites  les  Pyrénées^  et  forme  ainsi  la  fron- 
tière naturelle  de  la  France  et  de  l'Espagne ,  sur 
une  longueur  de  près  de  cent  lieues,  c'est-à-dire 
d'une  mer  à  l'autre.    *;.;        ;        , 

Le  système  alpique  a  dans  un  groupe  occidental 
les  Cévennes,  suite  de  montagnes  que  l'on  peut 
considérer  comme  étrangères  aux  Pyrénées,  bien 
qu'elles  n'en  soient  séparées  que  par  une  coupure, 
le  col  de  Narouze.  La  direction  de  ce  groupe  est 
d'abord  droit  au  nord-est  jusqu'au  mont  Pilât,  l'un 
des  sommets  les  plus  remarquables  du  Lyonnais; 
mais  à  partir  de  ce  point,  la  chaîne  se  dirige  au 
nord  jusqu'au  canal  du  Centre ,  qui  la  sépare  de  la 
Côted'Or.  La  longueur  de  cette  même  chaîne  est 
d'environ  cent  vingt  lieues,  dont  cinquante -sept 
depuis  le  commencement  des  montagnes  Noires 
jusqu'à  la  source  de  l'ÂUier,  et  soixante-trois  depuis 
cette  source  jusqu'à  l'extrémité  des  montagnes  du 
Charolais.  Le  faîte  des  Cévennes  sépare  les  bassins 
de  la  Garonne  et  de  la  Loire  de  ceux  du  Rhône  et 
de  la  Saône;  c'est-à-dire  qu'il  établit  dans  toute  sa 
longueur  la  ligne  de  partage  entre  les  eaux  qui  se 


ment  de  la 
,  et  puis  va 
contient  la 
mr,  depuis 
i  Duero:  il 
5  l'Europe, 
nsi  la  fron- 
pagne,  sur 
î'est-à-dire 

occidental 

l'on  peut 

lées,  bien 

coupure, 

Toupe  est 

Pilât,  l'un 

Lyonnais; 

dirige  au 

lare  de  la 

haine  est 

inte  -  sept 

s  Noires 

»is  depuis 

agnes  du 

s  bassins 

Bbône  et 

toute  sa 

IX  qui  se 


% 


J. 


Al 


GÉNÉRALITÉS.  Ï6 

rendent  dans  l'Océan  et  celles  qui  se  jettent  dans  la 
mer  Méditerranée.  Les  Cévennes  sont  par  là  tribu- 
taires de  ces  deux  mers  à  la  fois,  de  la  Médi- 
terranée par  le  versant  oriental,  et  de  l'Océan 
par  le  versant  occidental.  Les  Pyrénées  sont  aussi 
tributaires  de  ces  deux  mers,  mais  dans  un  sens 
tout  différent,  suivant  leurs  pentes  et  leurs  di- 
rections. '  '  '  '  *  ' 
Le  canal  du  Centre,  au  nord  duquel  se  terminent 
les  Cévennes ,  est  dominé  sur  sa  rive  septentrionale 
par  les  collines  de  la  Côte-d'Or,  à  la  suite  desquelles 
succède  le  plateau  de  Langres;  puis  viennent  les 
Vosges,  dont  la  chaîne  a  une  longueur  à  peu  près 
égale  à  celle  des  Cévennes ,  c'est-à-dire  cent  vingt 
lieues.  Ces  Vosges  ont  souvent  une  forme  arrondie, 
oe  qui  leur  a  valu  le  nom  de  ballons.  Les  montagnes 
de  la  Côte-d'Or  et  le  plateau  vde  Langres  sont  cou- 
ronnés de  bois,  tandis  que  leurs  coteaux  sont  enri- 
chis de  vignobles.  Les  Vosges  ont  de  très  belles 
forêts  de  sapins,  et  la  végétation  couvre  ses  plus 
hauts  sommets.  Les  Vosges,  ayant  quatre  pentes 
principales,  versent  leurs  eaux  dans  quatre  mers; 
celles  qui  coulent  au  sud -est,  à  l'est  et  au  nord, 
sont  conduites  dans  la  Méditerranée  par  la  Saône, 
ou  dans  la  mer  du  Nord  par  le  Rhin.  Les  rivières 
des  pentes  méridionales  et  occidentales  vont  se 
rendre  dans  l'Océan  et  dans  la  Manche.  Quoique  la 
neige   se   conserve    une  partie  de  l'année   dans 


a- 


•5: 


St  VOYAGES  EN  EUROPE, 

quelques  anfractuosités  des  Vosges ,  les  plus  hauts 
sommets  de  cette  chaîne  n  atteignent  pas  la  ligne 
des  neiges  perpétuelles ,  qui  serait  à  ce  climat  au- 
dessus  de  treize  cents  toises,  tandis  que  le  ballon 
des  Vosges  ne  dépasse  guère  sept  cents  toises. 

Quelques  élévations  de  terrain  dont  la  direction 
est  du  nord  au  sud,  depuis  Giromagny  jusqu'à 
Montbelliard,  établissent  la  liaison  des  Vosges  avec 
le  Jura.  La  partie  du  Jura  la  plus  voisine  des  Alpes 
est  aussi  la  plus  élevée;  il  s'abaisse  graduellement 
en  s'éloignant  de  cette  chaîne  colossale.  Vu  du  lac 
de  Genève,  le  Jura  se  présente  comme  une  longue 
muraille,  dont  la  hauteur  est  d'environ  cinq  cents 
toises.  Sur  cette  ligne,  d'ailleurs  peu  ondulée,  on 
aperçoit  quelques  éminences  qui  sont  les  plus  hautes 
sommités  de  la  chaîne;  ce  sont  entre  autres  le 
Reculet,  le  mont  Tendre,  le  Colombier  et  la  Dôle, 
tous  quatre  points  culminans.  Le  mont  Terrible 
qui  avait  donné  son  nom  à  un  ancien  département 
de  la  France,  est  moins  élevé,  et  il  parait  que  le 
mot  terrible  est  une  corruption  de  celui  de  terri, 
qu'on  dit  être  le  vrai  nom  de  cette  montagne. 

Le  Jura  se  rattache  par  divers  points  à  la  masse 
centrale  des  montagnes  européennes.  Son  extrémité 
méridionale  au-dessus  du  fort  de  rÉcluse,  ainsi  que 
le  remarque  M.  Bruguière  dans  son  Orographie, 
a  des  couches  absolument  semblables  à  celles  du 
mont  Vouache  :  ce  qui  démontre  que  le  petit  espace 


# 


plus  hauts 
AS  la  ligne 
climat  au- 
e  le  ballon 
toises. 
1  direction 
ny  jusqu'à 
osges  avec 
î  des  Alpes 
luellement 
Vu  du  lac 
me  longue 
cinq  cents 
idulée,  on 
plus  hautes 

autres  le 
etlaDôle, 
t  Terrible 
partement 
'ait  que  le 
li  de  terri, 
tagne. 
à  la  masse 

extrémité 
,  ainsi  que 
rographiè, 

celles  du 
Btit  espace 


^      GÉNÉRALITÉS.       >  27 

par  lequel  il  est  séparé  de  cette  partie  des  Alpes 
est  une  coupure  que  le  Rhône  a  foite.  La  réunion 
a  également  lieu  dans  le  canton  de  Zurich ,  à  l'aide 
du  Legherberg  et  des  montagnes  qui  coupent  le 
bassin  inférieur  de  la  Limât;  mais  cette  liaison  se 
manifeste  bien  mieux  encore  dans  le  pays  de  Vaud, 
où  la  petite  suite  de  hauteurs ,  connue  sous  le  nom 
de  Jorat,  se  détache  des  Alpes  calcaires,  du  Moles- 
son  et  du  Jamau«  court  à  l'ouest  et  au  nord-ouest, 
et  va  se  joindre  au  Jura  près  de  la  ville  de  Lassara. 
Cette  chaîne  forme,  au  nord-est ,  le  bassin  du  Lé- 
man, et  sépare  les  eaux  qui  se  rendent  dans  l'Océan 
de  celles  qui  courent  vers  la  Méditerranée;  caries 
pentes  du  nord  versent  leurs  eaux  dans  la  Broyé, 
qui  va  se  joindre  à  l'Aar  et  descend  avec  lui  dans 
le  Rhin,  tandis  que  les  eaux  du  versant  méridional 
tombent  dans  le  lac  de  Genève.     >v>    ?<.  ?,    »  -.i 

Le  groupe  central  de  l'Europe  est  celui  des  Alpes, 
mot  dérivé  du  celte  alb  ou  alp,  dont  le  sens  est 
montagne.  Ce  mot  a  été  souvent  employé  par  les  an- 
ciens pour  désigner  de  grandes  élévations.    '      -^' 

Les  Alpes  forment  cette  longue  suite  d'aspérités 
qui  commence  au  bord  de  la  Méditerranée,  entre 
la  Ligurie  et  le  Piémont,  sépare  le  bassin  du  Rhône 
de  quelques  affîucns  du  Pô,  et  s'étend  à  travers  la 
Suisse,  les  Grisons  et  le  Ty roi  jusqu'aux  sources  de 
la  Drave  et  de  la  Salzach.  Au  point  où  ces  dernières 
rivières  prennent  naissance,  la  chaîne  se  divise  en 


S 


il  VOYAGES  EN  EUROPE, 

deux  principales  li^fnes  de  montagnes.  Celle  du 
nord  couvre  le  pays  de  Salzbourg,  la  Styrie  et  1*  Au- 
triche, tandis  que  la  rangée  du  sud,  après  avoir 
séparé  la  Gàrinthie  du  pays  vénitien,  se  subdivise 
encore  près  des  frontières  de  Tillyrie  en  deux  bran- 
ches qui  renferment  le  bassin  de  la  Save.  La  plus 
septentrionale  des  deux  va  dans  TEsclavonie  jus- 
qu'auprès de  Brodi,  et  '*autre  semble  se  terminer 
au  fond  du  golfe  de  Quarnero  et  sur  les  bords  de 
la  Kulpa.  Les  montagnes  qui,  au-delà  de  cette  ri- 
vière, se  dirigent  au  sud-est  vers  la  Dalmatie,  ont 
été  appelées  par  quelques  géographes  allemands 
Alpes  dinariques.  EWes  font  aussi  partie  du  système 
alpique,  et  ne  sont  même  pas  totalement  séparées 
du  groupe  central ,  mais  elles  semblent  appartenir 
au  mont  Hémus. 

L'étendue  de  la  ligne  courbe  que  forme  cette 
longue  suite  de  montagnes  est  de  deux  cent  soixante 
lieiies  environ  depuis  Savona  jusqu'à  Fiume,  de 
deux  cent  quatre-vingts  depuis  le  même  point  jus- 
qu'à Presbourg,  et  de  trois  cent  vingt  lieues  jusqu'à 
Brodi.  Sa.  largeur  est  de  trente  à  quarante  lieues 
dans  la  Suisse  et  dans  les  Grisons,  sous  les  mé- 
ridiens du  Saint-Gothard  et  du  Septimer;  elle 
est  même  de  soixante  et  quelques  lieues  dans  le 
Tyrol. 

Toute  cette  chaîne  prend  différens  noms  qui 
furent  donnés  par  les  Romains,  et  que  les  modernes 


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GÉNÉRALITÉS.    '*  '  29 

ont  conservés;  savoir  :  Alpes  maritimes,  Alpes  cot- 
liennes,  grecques,  pennines,  helvétiques,  rhétien- 
nes,  nOà>iques,  carniques  et  juliennes. 

Les  Alpes  maritimes  commencent  à  la  vallée  de 
Savona,6  degrés  13  minutes  à  l'orient  de  Paris,  et 
se  développent  jusque  dans  le  voisinage  du  mont 
Viso.  Leur  longueur  est  de  quarante  lieues.  Moins 
élevées  que  celles  de  la  Savoie  et  de  la  Suisse,  elles 
augm'*n- -^nt  progressivement  de  hauteur,  à  mesure 
qu'elles  a/ancent  au  nord.  La  Sarsa  Morena,  mon- 
tagne située  près  de  la  source  de  la  Stura,  est  dé- 
pouillée de  neige  pendant  deux  ou  trois  mois  de 
l'année  ;  mais  les  hauteurs  qui  avoisinent  le  mont 
Viso  atteignent  la  ligne  des  neiges  perpétuelles.  La 
Bormida,  le  Tanaro,  le  Var  et  le  Verdon  sont  les 
principales  rivières  qui  sortent  de  cette  partie  de 
la  chaîne.        ;;,:!)  >n  '^h'yHtmïxiuihvj  ^jmoij  ^jr.-ïi  i^'y. 

Les  Alpes  cottiennes,  dont  le  nom  vient  de  Oot- 
tius,  petit  prince  qui  avait  sa  résidence  à  Suze,  au 
pied  de  ces  monts,  et  qu'Auguste,  maître  des  Gaules, 
maintint  dans  son  gouvernement,  partent  du  mont 
Viso  et  s'étendent  jusqu'au  mont  Genis.  Leur  lon- 
gueur est  de  vingt-cinq  lieues.  Les  rameaux  qui  s'en 
détachent  vers  l'est  ont  peu  d'étendue;  ceux  de 
l'ouest  couvrent  une  partie  de  la  Haute-Provence , 
et  du  Dauphiné,  sous  les  noms  de  Hautes  et  Basses- 
Alpes,  et  s'étendent  jusqu'au  Rhône.  Le  Pô,  la  Du- 
rance  et  la  Drômc  prennent  leurs  sources  dans  les 


>' 


M 


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^ 


30  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Alpes  cottiennes,  et  la  route  du  mont  Genèvre  eit 

une  de  leurs  merveilles.  -  '  "^  ' 

Les  Alpes  grecques,  ainsi  nommées  par  les  Ro- 
mains, parce  qu'ils  croyaient  qu'Hercule  les  avait 
traversées  en  revenant  d'Espagne  sont  comprises 
entre  le  mont  Cenis  et  le  col  du  Bonhomme. 
Une  grande  partie  des  montagnes  de  la  Savoie 
appartient  à  cette  section  dont  la  longueur  est 
d'une  vingtaine  de  lieues.  Le  petit  Saint -Ber- 
nard en  dépend,  de  même  que  le  mont  Cenis  sur  le 
col  duquel  passe  la  belle  route  de  ce  dernier  nom. 
L'Isère  est  la  plus  remarquable  des  rivières  qui 
sortent  des  Alpes  grecques.  ...... 

Les  Alpes  pennines,  mot  dérivé  du  celte*  penn, 
qui  signifie  tête,  se  développent  depuis  le  col  du 
Bonhomme  jusqu'au  mont  Rosa.  Elles  comprennent 
les  trois  points  culminans  de  la  chaîne,  savoir:  le 
mont  Bl^nc,  le  mont  Rosa  et  le  mont  Gervin.  Les 
plus  vastes  glaciers  de  l'Europe  entourent  les  bases 
de  ces  montagnes,  d'où  il  ne  sort  cependant  aucune 
rivière  considérable.  Cette  circonstance  tient  k  la 
proximité  des  deux  vallées  longitudinales  dans  les- 
quelles coulent  le  Rhône  et  le  Pô;  les  cours  d'eau 
que  produisent  les  glaciers  des  Alpes  pennines  se 
perdent  dans  ces  fleuves  avant  d'avoir  pu  acquérir 
de  grandes  dimensions.  La  distance  entre  le  col  du 
Bonhomme  et  le  mont  Rosa  est  d'environ  vingt 
lieues.       •:--ri-'\i'  '  ■  •"  •'.<•? -^t  :..•.< ^- -- 


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GÉNÉRALITÉS.  ffl 

Le  mont  Blanc,  situé  à  Touest  du  Grand  Saint- 
Bernard,  s'élance  comme  une  immense  pyramide 
au-dessus  d'un  vaste  assemblage  d'autres  pics  et  de 
glaciers.  On  évalue  sa  hauteur  à  deux  mille  quatre 
cent  soixante-cinq  toises.  Six  glaciers  le  séparent  des 
montagnes  voisines;  ses  flancs  en  offrent  encore 
deux  autres.  A  partir  de  sa  cime  jusqu'au  quart 
environ  de  sa  hauteur ,  une  couche  de  neiges  éter- 
nelles le  recouvre,  et  laisse  apercevoir  à  peine 
quelques  rochers,  si  ce  n'est  sur  la  face  qui  re- 
garde l'Italie  et  qui  semble  taillée  presque  à  pic. 
La  cime  du  mont  Blanc  ne  présente  point  un  pla- 
teau, mais  bien  une  espèce  de  dos  d'âne  ou  d'arête 
allongée  dans  la  direction  de  l'est  à  l'ouest,  tellement 
étroite  en  quelques  endroits  que  deux  personnes  ne 
pourraient  y  marcher  de  front,  jj  .  ,i  icjai*  uwi 
Les  Alpes  helvétiques,  nommées  lépontiennes , 
du  nom  des  Lepontii,  anciens  habitans  de  la  contrée 
où  naissent  le  Rhin,  le  Rhône  et  le  Tésin,  sont 
comprises  entre  le  mont  Rosa  et  le  Bernard ino, 
montagnes  situées  à  vingt  lieues  l'une  de  l'autre. 
A  l'est  du  Luckmanier,  partie  du  mont  Adule  qui 
conamunique  au  Saint-Gothard,  les  montagnes  qui 
entourent  le  val  Blegno  inclinent  au  sud  et  vont  se 
joindre  au  Bernardino.  La  branche  la  plus  élevée 
et  la  plus  remarquable  des  Alpes  helvétiques  ou 
de  la  Suisse  est  celle  qui,  en  courant  parallèlement 
au  faite,  forme  la  paroi  septentrionale  du  Valais, 


32  VOYAGES  EN  EUROPE. 

depuis  le  massif  du  Saint-Gothard  jusqu'au  lac  de 

Genève.  '   ^* 

Parmi  les  sommités  les  plus  remarquables  des 
Alpes  helvétiques  ou  lépontiennes,  il  faut  citer  le 
Saint-Gothard,  vers  lequel  le  Rhône  et  le  Rhin  ont 
leur  source;  et  le  Simplon,  sur  le  col  duquel  les 
Français  ont  ouvert,  en  1805,  une  route  qui  étonne 
l'imagination.        ""' "^ 

Les  Alpes  rhétiennes  ou  rhétiques  couvrent  une 
partie  de  Tancienne  Rhétie,  et  se  composent  de 
montagnes  des  Grisons  et  du  Tyrol.  Elles  commen- 
cent au  Bernardino  et  finissent  au  pic  des  Trois- 
Souverains.  Leui*  longueur  est  d'environ  soixante 
lieues.  Dans  ;a  partie  occidentale  est  la  branche  qui 
porte  le  nom  d!Àrlbe)rg  et  de  Forarlberg  ;  et  le  pro- 
longement de  ces  montagnes ,  qui  couvre  la  con- 
trée située  entre  le  Lech  et  le  lac  de  Constance ,  est 
ce  qu'on  appelle  les  u^lpes  d'Algau  ou  Alpes  alga- 
viennes.  Le  versant  septentrional  des  Alpes  rhé- 
tiennes donne  naissance  à  plusieurs  grandes  rivières  : 
l'Iller,  le  Lech,  l'isar  et  Tlnn,  toutes  tributaires  du 
Danube.  La  pente  sud  voit  naître  TAdda,  l'Oglio  et 
l'Adige.  '*=■''  '''  »'     '    '= 

Les  Alpes  noriques  tirent  leur  dénomination  de 
la  province  romaine  appelée  Noricwn.  Elles  se  di- 
rigent à  l'est  vers  la  Hongrie,  tandis  qu'une  de  leurs 
branches,  la  plus  remarquable  par  sa  hauteur, 
court  du  snd-ouest  au  nord-est  jusqu'à  Vienne.  Le 


GÉNÉRALITi^IS. 


83 


[u'au  lac  de        1  ^^'^^  ^^  ^^^'^  Wgne  de  montaf^nes  porte  dans  le  pays 

le  nom  de  Tauern,  qui  veut  dire  tour.  Deux  rangées 

{uables  des 
aut  citer  le 
le  Rhin  ont 

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le  de  leurs 
hauteur, 
tienne.  Le 


de  hauteurs  accoinpa{;ncnt  le  faite  norique,  une 
au  sud  et  Tautre  uu  nord.  La  première,  qui  sépare 
la  vallée  de  la  Muhr  de  celle  de  la  Drave,  fait  partie 
des  Alpes  de  Styric.  Toutes  les  eaux  qui  sortent 
des  Alpes  noriqucs  rentrent  dans  le  Danube.  La 
longueur  des  Alpes  noriques  est  d'environ  quatre- 
vingt-dix  lieues. 

Les  Alpes  carniques  couvrent  le  pays  des  anciens 
Carni,  peuple  qui  habitait  au  sud  du  Noricum. 
Cette  chaîne  n'est  interrompue  nulle  part  depuis 
le  lac  où  la  Brenta  prend  sa  source  jusqu  a  Tarvis. 
Les  Alpes  carniques  ont  aussi  une  longueur  d'en- 
viron quarante -cinq  lieues,  depuis  Perine,  à  Test 
de  Trente,  jusqu'au  col  de  Tarvis. 

Les  Alpes  juliennes,  qui  font  suite  ou  se  lient 
aux  Alpes  carniques,  tirent  leur  nom,  suivant  quel- 
ques-uns, de  l'ancienne  ville  de  Forum  Julii,  ou, 
suivant  d'autres,  d'un  passage  que  Jules-César  avait 
pratiqué  dans  ces  montagnes.  La  terre  se  partage 
en  deux  branches  dont  la  séparation  a  lieu  au  sud- 
est  de  Tarvis ,  et  ces  branches  bornent  au  nord  et 
au  sud-ouest  le  bassin  de  la  Save.  Près  du  célèbre 
lac  de  Kirknitz,  la  branche  du  sud-ouest  se  subdi- 
vise en  deux  rameaux,  dont  le  plus  occidental  se 
porte  vers  Fiume,  tandis  que  l'autre  se  dirige  à 

l'est  et  se  trouve  séparé  des  Alpes  dinariques  par 
XLVI.  3 


34 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


le  bassin  de  la  Kulpa.  La  Save  est  la  principale  ri- 
vière des  Alpes  juliennes.  Le  revers  sud  voit  naître 
le  Lisonzo,  qui  coule  vers  la  mer  Adriatique. 

Aux  Alpes  maritimes  que  nous  avons  d'abord 
nommées  succèdent  les  Apennins,  qui,  à  partir  du 
col  de  Tende,  en  font  un  véritable  prolongement 
vers  l'Italie,  et  dans  toute  sa  longueur  jusqu'au  dé- 
troit de  Messine,  leur  extrémité  la  plus  méridionale. 
Leurs  cimes  les  plus  hautes  se  trouvent  dans  la 
partie  septentrionale  du  royaume  de  Naples;  l'une 
d'elles,  le  mont  Corno,  atteint  quatorze  cent 
quatre-vingt-neuf  toises  au-dessus  du  niveau  de 
la  mer.  L'aspect  de  cette  chaîne  apennine  est 
triste;  on  n'y  rencontre  ni  glaciers  ni  prairies 
verdoyantes;  les  pics  sont  le  plus  souvent  nus  et 
décharnés. 

L'ensemble  du  système  des  Alpes  offre,  avons- 
nous  dit,  les  sommets  les  plus  élevés  de  l'Europe. 
Il  occupe  l'espace  compris  entre  le  2*  et  le  13**  degré 
de  longitude  est ,  et  celui  contenu  entre  le  37*  et  le 
5 r  degré  de  latitude  nord:  il  recèle  une  grande 
variété  de  minéraux.  A  la  hauteur  de  quinze  cents 
toises  commence  une  région  stérile,  couverte  de 
vastes  amas  de  neiges  et  de  glaces  éternelles,  dési- 
gnées sous  le  nom  général  de  glaciers.  Ces  glaciers 
se  retrouvent  dans  des  régions  plus  basses,  dans  le 
fond  de  certaines  vallées  où  la  glace  s'est  accumulée 
par  des  éboulemens  de  neige  nommés  avalanches. 


rincipale  ri- 
1  voit  naître 
tique. 

)ns  d'abord 
à  partir  du 
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jusqu'au  dé- 
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es,  dans  le 
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ivalanches. 


GÉNÉRALITÉS.         '  35 

qui  se  détachent  et  roulent  avec  un  horrible  fracas 
des  sommets  supérieurs. 

Les  plus  grandes  vallées  des  Alpes  courent  dans 
le  sens  de  la  chaîne  ou  à  peu  près  dans  la  même 
direction.  Les  vallées  transversales  sont  moins  lon- 
gues. La  plus  remarquable  de  ces  dernières  sert  de 
bassin  à  l'Adige.  La  plus  belle  des  vallées  longitu- 
dinales est  celle  de  la  Drave  viennent  ensuite  celle 
du  Rhin  et  celle  du  Rhône  ou  le  Valais.  Comme  le 
versant  oriental  et  méridional  des  Alpes  est  en  dé- 
clivité très  forte,  au  lieu  que  le  versant  occidental  et 
septentrional  est  en  pente  plus  douce,  il  en  résulte 
que,  du  côté  de  l'Italie,  par  exemple,  les  vallées  des 
Alpes  sont  plus  élevées  que  celles  de  France  et  d'Hel- 
vétie.  Toutes  ces  vallées  offrent,  durant  la  belle 
saison,  d'innombrables  troupeaux  de  vaches,  de 
bœufs,  de  moutons  et  de  chèvres;  au-dessus  des 
pâturages  et  vers  la  région  des  neiges  s'élèvent  le 
bouquetin  ou  chamois  et  le  lièvre  blanc,  ainsi  que 
la  marmotte  et  le  grand  aigle.  - 

On  ne  peut  franchir  les  Alpes  que  par  des  cols 
ou  défilés  presque  tous  fort  élevés.  Les  armées  ro- 
Iraaines  que  l'on  faisait  passer  de  l'Italie  dans  les 
Gaules  traversaient  ou  les  Alpes  maritimes  le  long 
de  la  mer,  ou  le  col  du  mont  Genèvre,  ou  celui  du 
mont  Cenis,  ouïe  Petit  et  le  Grand  Saint-Bernard, 
ou  le  Saint-Gothard ,  ou  le  Bremen  ou  le  col  de 
Tarvis.  Dans  les  premières  années  du  Xix*  siècle. 


30  VOYAGES  EN  EUROPE. 

les  armées  françaises  s'étant  emparées  de  tous  ces 

passages,  le  génie  de  Napoléon  y  fit  pratiquer  de 

magnifiques  routes  dont  les  plus  célèbres  sont  celles 

du  mont  Genis,  du  mont  Genèvre  et  du  Simplon, 

la  merveille  des  merveilles  en  ce  genre.  Voici  les 

hauteurs  de  quelques-unes  de  ces  dépressions  de 

faîte.  ■»,. 

Jlpes  maritimes. 

Hauteur 
au-drssus  de  la  mer. 

Col  de  Tende,  route  de  Nice  à  Turin 921  toises. 

Col  de  Genestres,  aboutissant  au  village  d'En- 

tragny ...  1174 

€oI  Longet,  entre  la  vallée  de  l'Ubaye  et  celle 

delaVraita 1618 

s 

Alpes  cottiennes.  <■ 

Col  du  mont  Viso 1665 

Col  de  Servière,  au  sud-est  du  mont  Genèvre. .  1 197 
ColdumontGenèvre,  au  nord-est  de Briançou.  1013 

'-.       .    .  '  Alpes  grecques. 

Col  du  mont  Genis 1059 

Col  du  Petit  Saint-Bernard 1125 

Col  de  la  Seigne  entre  le  Petit  Saint-Bernard  et 

le  Bonhomme 1263 

■  i-.'  Alpes  pennines. 

Col  du  Bonhomme,  entre  la  vallée  deTArveet 

celle  de  l'Isère 1255 

Col  Ferret,  au  nord-est  du  mont  Blanc- 1 195 

Col  du  Grand  Saint-Bernard 1246 

Col  du  mont  Cervin,  entre  le  Piémont  et  le 
.        Valais 1736       • 


Col 


le  tous  ces 
atiquer  de 
;  sont  celles 
1  Simplon, 
;.  Voici  les 
ressions  de 


Hauteur 
au-drssas  de  la  mer. 

921  toises. 


1174 


1618 


1665 
1197 
1013 


1059 
1125 

1263 


1255 
1195 
1246 

1736 


GENERALITES.  87 

Alpes  lépontiennes. 

Col  de  Montemoro,  entre  le  Piémont  et  le 

Valais 1398  toises. 

Coi  du  Simplon dito 1029 

Col  de  Griès dito 1223 

Col  du  Saint-Gothard,  entre  la  vallée  de  la 

Reuss  et  celle  du  Tésiu 1065 

Col  de  Luckmanîer,  entre  la  vallée  de  Levan- 
tine et  celle  de  Medds...  ^ 957    I      ■ 

Col  de  Gemmi,  entre  le  Valais  et  le  canton  de 

Berne 1158 

Col  du  Grimsel dito 1314 

iCol  de  la  Furca,  entre  le  Valais  et  la  vallée 

d'Urseren 1363 

à 

|t  Alpes  rhéliennes. 

Col  du  Bernardino ,  entre  la  vallée  du  Haut- 

.|         Rhin  et  celle  de  Misox 1097 

Col  du  Splugen,  entre  la  vallée  du  Haut-Rhin 

et  le  lac  de  Como 1065 

"Col  du  Brenner,  entre  la  vallée  de  l'Adige  et 

j  celle  de  l'inn 729 

Col  du  mont  Julien,  entre  les  Grisons  et  la 

Haute-Engadine 1 138 

^ol  de  la  Scaletta,  entre  l'Engadine  et  Davos.  1342 

i  ■    "    ' 

1  Alpes  noriques. 

Col  du  Tauern  de  Hadstadt 800 

ICol duSoemmering,  entre  l'Autriche  etla Styrie.     490 

§       -    ■  ■ 

I  Alpes  carniques.     . 

Col  de  Calamenta 1049 

€ol  Grande 830 

^ol  deKadin-KoFel,  entre  la  Carniole  et  la  val- 
lée du  Gail 1266 


^ 


M 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


Mpes  juliennes. 


Col  du  Predil ,  entre  Lisonzo  et  Tarvis 600  toises. 

ColduLeobel,  route  de  Laybach  à  Klagenfurlh.     672 


Après  les  Alpes,  auxquelles  nous  avons  cru  devoir 
donner  ici  un  peu  de  développement,  viennent  les 
montagnes  de  THémus,  qui  se  lient  à  la  chaîne  di- 
narique,  sous  le  44"  degré  de  latitude  nord.  Le  mont 
Hémus  proprement  dit  court  vers  l'est  jusqu'au 
rivage  du  Pont-Euxin.  Il  a  plusieurs  branches  qui 
s'étendent  vers  la  Grèce,  et  que,  par  cette  raison, 
nous  pouvons  désigner  sous  le  nom  de  montagnes 
helléniques. 

Les  Alpes  et  les  monts  Hémus  sont  séparés  par 
le  bassin  du  Danube  d'un  autre  système  de  mon- 
tagnes, que  l'on  appelle  les  monts  Carpathes  ou  Kra- 
packs.  Ce  système  est  avant-terrasse  des  Alpes,  et 
aficun  de  ces  sommets  mesurés,  n'atteint  neuf  mille 
pieds,  pendant  que  l'élévation  générale  est  de  quatre 
à  cinq  mille  pieds,  c'est-à-dire  égale  aux  passages 
des  chaînes  alpines,  mais  il  présente  une  grande 
largeur,  et  renferme  de  grands  plateaux  ou  bassins 
élevés  ou  fermés,  tels  que  la  Bohème  et  la  Transyl- 
vanie. C'est  la  chaîne  la  plus  riche  en  or,  en  argent 
et  en  sel  gemme;  ces  montagnes  n'ont  pas  de  gla- 
ciers ni  de  creux  profonds  comme  les  Alpes.  Les 
principales  parties  de  ce  système  sont  les  monts  de 


♦:;: 


.     600  toises. 

b.     672 


ns  CPU  devoir 
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3rd.  Le  mont 
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GÉNÉRALITÉS.  3» 

Transylvanie,  appelés  ainsi  du  nom  d'une  des  pro- 
vinces de  l'empire  d'Autriche,  et  connus  des  anciens 
sous  le  titre  d'Alpes  bastarnrjues.  Celte  chaîne  du 
côlé  de  l'est  forme  une  limite  entre  l'empire  d'Au- 
triche et  la  Turquie  d'Europe.  Peu  de  montagnes 
renferment  un  système  minéral  plus  varié.  Les 
monts  Carpalhes  proprement  dits  séparent  la  Hon- 
grie de  la  Pologne,  tandis  que  les  monts  Sudètes 
qui  en  dépendent  séparent  la  Silésie  de  la  Bohème, 
et  qu'une  branche  appelée  les  monts  métalliques  ^ 
court  entre  la  Bohême  et  la  Saxe. 

Le  système  des  Carpathes ,  compris  entre  le  S^^et 
le  30^  degré  de  longitude  est,  c'est-à-dire  à  partir 
du  ccurs  du  Rhin  jusqu'à  la  source  du  Niémen,  et 
le  44*  et  le  54^  degré  de  latitude  nord  depuis  le 
cours  du  Danube  jusqu'à  l'embouchure  de  l'Elbe, 
couvre  en  longueur  un  espace  d'environ  deux  cent 
soixante-dix  lieues;  la  largeur  des  terres  hautes 
varie  de  dix  à  quarante  lieues.  Séparé  dans  touta 
sa  longueur  du  système  des  Alpes  par  le  cours  en- 
tier du  Danube,  le  système  des  Carpathes  vient  s'y 
rattacher  vers  le  nord,  derrière  les  sources  de  ce 
fleuve  par  les  montagnes  de  la  forêt  Noire.  S'il  le 
dispute  à  celui  des  Alpes  par  l'étendue,  il  est  loin  de 
rivaliser  en  hauteur  avec  lui.  Les  sommets  les  plus 
élevés  sont  dans  les  Crapacks  et  ne  dépassent  point 
treize  cent  cinquante  toises.  Cette  élévation  décroît 
rapidement  à  m-e^ure  que  la  chaîne  s'avance  verj 


40  VOYAGES  EN  EUROPE, 

le  nord  ou  vers  le  sud.  Les  glaciers,  comme  nous 
l'avons  dit  tout  à  l'heure,  y  sont  inconnus,  et  les 
lacs  y  ressemblent  à  des  marais.  Ce  vaste  assem- 
blage peut  être  considéré  comme  l'avant-terrasse 
des  Alpes.  11  forme  '  ne  limite  remarquable  entre 
la  végétation  de  l'Europe  du  nord  et  celle  de  l'Eu- 
rope du  midi;  la  vigne  ne  parait  pas  pouvoir  la 
dépasser  au  nord  ;  la  culture  du  riz  et  du  maïs  cesf.& 
en  deçà  ;  le  seigle  est  au-delà  plus  répandu  que  le 
froment. 

Vers  les  limites  de  l'Asie  se  présentent  les  monts 
Ourals  ;  c'est  moins  une  chaîne  qu'un  plateau,  s'éle- 
vant  insensiblement  du  milieu  de  la  Russie,  dans  la 
direction  est  et  nord-est,  mais  qui,  étant  couronnée 
d'une  crête  peu  marquée ,  assise  sur  une  base  déjà 
élevée,  paraît  égaler  dans  son  niveau  absolu  les 
montagnes  de  Saxe.  Ce  système  n'arrive  frak  sept 
mille  pieds  au-dessus  du  niveau  de  la  mer.  Aucune 
des  suites  de  collines  et  de  rochers  qui  traversent 
la  Russie  ne  lie  distinctement  les  monts  Ourals  aux 
autres  systèmes  européens. 

Le  plateau  de  Waldaï,  d'où  descendent  le  Volga 
vers  la  mer  Caspienne ,  la  Duna  vers  la  mer  Balti- 
que, et  le  Dnieper  vers  la  mer  Noire,  n'est  qu'une 
plaine  haute,  couronnée  de  collines  de  douze  à  treize 
cents  pieds  au-dessus  du  niveau  de  la  mer.  Ce  pla- 
teau même,  ainsi  que  le  remarque  le  savant  Malte- 
Brun,  s'abaisse  du  côté  de  la  Pologne,  tellement 


omme  nous 
mus,  et  les 
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ant-terrasse 
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1er.  Ce  pla- 
vant  Malte- 
,  tellement 


GÉNÉRALITÉS.  41 

que  les  sources  de  la  Bérésina,  du  Niémen,  du 
Pripetz  se  trouvent  dans  une  p'aine  sans  pente 
sensible,  et  à  peine  élevée  de  deux  cents  pieds 
au-  dessus  des  mers  où  s'écoulent  les  eaux  de  ces 
rivières.  ^' 

Vers  le  nord-ouest  de  l'Europe  s'étend  la  chaîne 
des  Alpes  Scandinaves  ou  dofrines.  La  direction  de 
ces  montagnes  est  du  sud  au  nord,  et  la  chaîne 
principale  commence  à  l'extrémité  méridionale  de 
la  Norwége,  pour  aller  finir  au  cap  Nord,  qui  s'a- 
vance dans  l'océan  Glacial  arctique,  à  la  partie  du 
milieu  où  les  Dofrines  propres  olTrent  le  vrai  carac- 
tère d'une  chaîne.  La  Laponic  et  le  sud-ouest  de  la 
Norwége  sont  deux  plateaux  couronnés  de  chaînes 
isolées.  Les  se  ^imets  les  plus  élevés  de  cette  chaîne 
scandinavique  n'atteignent  que  sept  ou  huit  mille 
pieds.  Une  branche  inféric  ire  sous  le  nom  de  monts 
Sèves  entre  sur  le  territoire  de  Suède  et  s'y  termine 
en  collines.  Des  hauteurs  à  peine  sensibles  traver- 
sent la  Laponie  pour  s'unir  aux  collines  rocheuses 
de  la  Finlande. 

Dans  leiî  îles  Britanniques  se  trouvent  les  monts 
Grampians  ou  Calédoniens,  dont  l'élévation  ne  sur- 
passe pas  cinq  cents  pieds.  H  y  a  aussi  les  monts 
Cambriques  dans  le  pays  de  Galles. 

Indiquons  maintenant  les  points  culminans  des 
principales  montagnes  de  l'Europe,  d'après  M.  Bru- 
guière  et  M.  Balbi.  ,  r.         ' 


4 
J^ 


42  VOYAGES  EN  EUROPE. 

,  SY.STÈME  HESPÉRIQUE. 

Chain»  pceni-bettique  ou  Sierra-Nevada. 

Gerro  de  Mulhaceu 1823  toises. 

Pic  de  Veleta 1780 

■  Çluitne  marianique.      •  .,..  ,y  ,  . 

Sierra  Sagra.. 028  '  i  ,.,; 

Gumbre  d'Aracena 860 

La  Foya 638  ''^  - 

Chaîne  oreto-hernicicnne  ou  Sierra  de  Tolâde. 

Sierra  de  Guadalupe 800 

Sierra  de  Portalcgre 333 

Chaîne  carpeto-vettonique. 

Sierra  de  Gredo) 1650 

Penalara 1286 

Pierra  d'Estrella 1077 

Monta  Giutra 300 

Chatne  celtibirienne. 

Moncayo 1500, 

Sierra  d'Occa 850 

Pyrénées  gallibériques. 

Maladelta  ou  pie  Netliou 1787 

Pic  Posets 1764 

Mont  Perdu 1747 

Le  Ganigou 1430 

Pyrénées  cantabriques.  ' 

Sierra  d'Aralar 1100 

Pyrénées  asturiques. 

Pena  de  Peneranda 1720     ' 

Sierra  de  Penamarella 1480 


4a. 

■1823  toises. 
1780 


928 
860 
638 

ilâde. 

800 
333 


1650 

1286 

1077 

300 


150a 
850 


1787 
1764 
1747 
1430 


1100 


1720 
1480 


t    .'.   Vf 


v;  I 


GÉNÉRALITÉS.  U 

Pyriniea  gallatques. 
Pena  Trevinca ^500  toise». 

4    ■  SYSTÈME  GALLr»      .ANCIQLE. 

Cévennes.  . ."  %» 

V\G  montant.  •. 534 

La  Lozère : 764        , 

Mont  Metenc,  en  Vivarais 010 

Mont  Pilet «10 

Chaînes  des  Vosges. 

Ballon 734 

Mont  Tonnerre 348 

Mont  Afrique ,  près  Langres 293 

Montagnes  d'Auvergne.  s 

Puy  de  Sancy,  dans  les  monts  d'Or. 973 

Plomb  du  Cantal 953        .^ 

Puy-dç-Dôme 758       ^; 

SYSTÈME    ALPIQUE. 

Alpes  maritimes. 

Mont  Pelvo 1557 

Montagne  de  Lure 900 

'''       Mpes  cotliennes. 

Mont  Olan «163 

Mont  Pelvoux  de  Valouise 2102 

Mont  Viso.. 19C8 

Mont  Genèvre 1043 

Alpes  grecques. 

Mont  Iseran 2076 

Petit  Saint-Bernard 1500 


t 

4-1  VOYAGES  EN  EUROPE. 

jélpet  pennines. 

Mont  Blanc 2460  toises. 

Moût  Rosa 2371 

Mont  Cervin 2310 

Mont  Gombin 2209 

Le  Géant 2168 

Jlpes  lipontiennes.  •        ' 

Simplon 1805 

Saint-Gothard 1667 

j^lpes  rhétiennes. 

Orseler-Spitz 2010 

Monte  deirOro 1648 

Alpei  noriques. 

Oross-Glockner 1998 

*  jélpes  bernoises. 

lung-Frau 2146 

Jorat 639 

Le  Jura, 

Le  Reculet 880 

La  Dôle 860 

Alpes  cantiques, 

Marmolata 1663 

Le  Grand-Nabois 1600 

Alpes  juliennes.    ., 

Mont  Terglou 1699 

Monte  Maggiore 715 

Apennins. 

Monte  Gimone 1091  ; . . , . 

Monte  Cavallo  ou  Monte  Corno 1489 


Moi 
Moii 


2460  toises. 
237  J 
2310 
2209 
2168 


:l 


V 


GÉNÉRALITÉS.  45 

Mont  Amaro 1428  toises. 

Mont  Etna 1700 

SYSTÈME  SLAVO-HELLÉNIQUE. 

Monte  Dinars 1156 

Balkan 1400 

Mont  Parnasse 900 

Tamoros 1000 

Mont  Olympe 1000 

MontiEta 800 

Mont  Cithéron 650 

Mont  Ida 1200 

SYSTÈME    CARPATHIEN. 

Monts  Carpathes. 

Ruska  Poyana 1550 

Guiluripi 1500 

Pic  Lomnitz 1300 

Monts  Sudétes. 

Le  Kiesenkv.pe 825 

Le  Keilberg,  dans  FEIgebrige 661 

Monts  Kercjrniens. 

LeFeldberg 731 

Le  Hohenberg 625 

SYSTÈME  SCANDINAVIQUE. 

Monts  Thuliens. 

Le  Sognefield 1123 

Le  Gousta 1012 

Monts  Dofrines. 

Le  Skagstlos-Find 1313 

Le  Sneehatteu 1270 

Le  Sulitelma 951 


4fl  VOYAGES  EN  EUHOPE. 

SYSTÈME   BRITANNIQUE. 

Monté  Grampiant. 

Ben-Nevis 082  toinefi. 

Iffonts  Cheviots. 

Le  Lowlher 490 

Chaîne  centrale. 

Le  SnowdoD 556 

Chaînons  de  l'Irlande, 

Le  Karran-Tual 534 

Le  Snieb-Dorin 402 

Après  avoir  fait  connaître  les  principales  mon- 
tagnes de  l'Europe,  leurs  chaînes,  leurs  déBIés  et 
leurs  points  culminans,  nous  pouvons  indiquer  les 
principaux  fleuves  ou  principales  rivières  qui  en 
descendent,  en  rangeant  toutefois  ces  cours  d'eau 
d'après  les  mers  qui  les  reçoivent 

Malte-Brun  établit  neuf  bassins  ou  réservoirs  des 
fleuves;  savoir:  bassin  de  l'océan  Glacial,  bassin  de 
la  mer  Baltique,  bassin  de  la  mer  du  Nord,  bassin 
de  l'océan  Atlantique,  deux  bassins  de  la  Méditer- 
ranée, un  bassin  de  la  mer  Adriatique,  bassin  de 
la  mer  Noire  et  bassin  de  la  mer  Caspienne. 

Dans  le  bassin  de  l'océan  Glacial  se  rendent,  la 
Petzora,  qui  descend  des  monts  Ourals,  et  dont  le 
cours  est  de  c<ent  cinquante  lieues;  la  Metzen,  qui 
descend  de  k  pente  nord  du  plateau  d^  Russie  et 
dont  le  cot««*s  est  de  cent  lieues;  la  Dwina,  qui  des- 


082  toiflCA. 

490 

556 

534 
402 

aies  mon- 
défilés  et 
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■es  qui  en 
Durs  d*eau 

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Russie  et 

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■f- 


GÉNÉRALITÉS.  47 

ccnd  du  même  plateau,  et  dont  le  cours  est  de 
cent  soixante  lieues;  l'Onega,  qui  descend  du  m^me 
plateau  encore,  et  dont  le  cours  est  de  soixante-dix 
lieues;  la  Tana,  qui  vient  du  penchant  nord-est  des 
monts  Scandinaves,  et  dont  le  cours  est  de  cin- 
quante lieues. 

Le  bassin  de  la  mer  Baltique  reçoit  les  eaux  de 
quatre  versans;  1"  du  penchant  est  des  monts  Scan- 
dinaves  et  ouest  de  la  Finlai.  Je,  s'écoulent  dans  le 
golfe  Bothnique,  le  Tornéo  dont  le  cours  est  de 
quatre-vingts  lieues;  laLuisna,  au  cours  de  quatre- 
vingt-six  lieues;  laDala,  au  cours  de  quatre-vingt- 
dix-huit  lieues  ;  T  du  penchant  sud  de  la  Finlande 
descendent  vers  le  golfe  de  Finlande,  la  Neva,  qui 
passe  à  Saint-Pétersbourg,  et  la  Kymène,  écoule- 
ment des  eaux  de  la  Finlande;  3°  du  penchant  occi- 
dental du  plateau  central  de  la  Russie,  viennent  la 
Duna,  au  cours  décent  quarante  lieues,  et  le  Nié- 
men, au  cours  de  cent  cinquante  lieues;  4o  du  pen- 
chant nord  des  Carpathes  et  des  Sudètes,  descendent 
la  Vistule,  au  cours  de  cent  quatre-vingt-dix  lieues  ; 
le  Bug,  au  cours  ée  oent  lieues  ;  l'Oder,  au  cours 
de  cent  cinqua«Kc  lieues;  la  Wartha,  au  cours  de 
cent  dix  lieuo* 

Le  bassin  de  la  mer  du  Nord  reçoit  les  eaux  de 
quatre  ve«Rans  principaux:  1"  du  penchant  de  la 
Norwégr.  de  la  Suède  et  du  Danemark,  s'écoulent: 
la  Glovmma,  au  cours  de  quatre-vingt-dix  lieues; 


■II- 


48  VOYAGES  EN  EUROPE, 

la  Gotha,  y  compris  la  Clara  et  le  lac  Vener,  au 
cours  total  de  cent  vingt -cinq  lieues;  3"  du  pen- 
chant nord  des  Sudètes  et  des  monts  Hercyniens, 
c'est-à-dire  de  FAllemagne  septentrionale,  descen- 
dent :  TËlbe,  au  cours  de  cent  quatre-vingt-dix  lieues; 
la  Saale,  au  cours  de  soixante  lieues;  la  Sprée,  au 
cours  de  soixante-quinze  lieues;  leWéser,  au  cours 
de  cent  lieues  ;rEms,  au  cours  de  soixante-dix  lieues; 
3°  du  penchant  occidental  de  rAUemagne,  septen- 
trional de  la  Suisse,  et  oriental  et  septentrional  de 
la  France  et  de  la  Hollande,  descendent  :  le  Rhin,  au 
cours  de  deux  cent  vingt* cinq  lieues;  le  Mein,  au 
cours  de  cent  dix  lieues  ;  la  Moselle ,  au  cours  de 
cent  seize  lieues;  la  Meuse,  au  cours  de  cent  vingt 
lieues;  l'Escaut,  dont  le  cours  est  de  soixante-huit 
lieues  ;  4"  du  penchant  oriental  de  la  Grande-Bre- 
tagne, descendent  la  Tamise ,  au  cours  de  soixante 
lieues ,  et  le  Trent  ou  Humber ,  au  cours  de  soixante 
lieues. 

Le  bassin  de  Tocéan  Atlantique  reçoit  les  eaux 
de  six  versans  :  1**  du  penchant  occidental  de  la 
Grande-Bretagne,  la  Saverne  ou  Savern,  au  cours 
de  soixante  lieues;  2"  du  penchant  occidental  d'Ir- 
lande, le  Sharnon,  au  cours  de  soixante-dix  lieues; 
3**  du  penchant  nord-ouest  de  la  France ,  bassin  de 
la  Manche,  la  Somme,  au  cours  de  trente  lieues; 
la  Seine,  au  cours  de  cent  dix  lieues;  4°  du  pen- 
chant ouest  de  la  France,  la  Vilaine,  au  cours  de 


5  Venep,  au 
3"  du  pen- 
Hercyniens , 
aie,  descen- 
gt-dix  lieues; 
la  Sprée,  au 
>er,  au  cours 
te-dix  lieues; 
gne,  septen- 
tentrional  de 
;:le  Rhin,  au 
le  Mein,  au 
au  cours  de 
le  cent  vingt 
ioixante-huit 
Grande-Bre- 
I  de  soixante 
s  de  soixante 

oit  les  eaux 
dental  de  la 
m,  au  cours 
ndental  d'ir- 
te-dix  lieues; 
5e ,  bassin  de 
•ente  lieues; 
4°  du  pen- 
au  cours  de 


'  (;ÊNERALITÉS.  4» 

trente  lieues;  la  Loire,  au  cours  de  cent  quatre- 
vingts  lieues;  la  Garonne,  au  cours  décent  quinze 
lieues;  l'Adour,  au  cours  de  soixante  lieues;  5**  et 
6°  du  penchant  nord  et  ouest  de  l'Espagne ,  le 

iDouro,  au  cours  de  cent  vingt-cinq  lieues^  le  Tage, 
au  cours  de  cent  soixante  lieues;  la  Guadiana,  au 
cours  de  cent  quarante  lieues;  le  Guadalquivir,  au 
cours  de  cent  lieues.  ^  ^  T<,>,r*  »'itr' >'  •  ■  m'^  >■  li 
Le  premier  bassin  de  la  Méditerranée,  partie 
européenne,  reçoit,  1"  du  penchant  est  de  l'Espa- 
gne, rÈbre,  au  cours  de  cent  vingt-cinq  lieues; 
2"  du  penchant  sud  de  la  France,  le  Rhône,  au 
cours  de  cent  trente  lieues;  3"  du  penchant  occi- 
dental des  Apennins,  l'Arno,  au  cours  de  trente- 
cânq  lieues;  le  Tibre,  au  cours  de  soixante  lieues; 
te  Volturne,  au  cours  de  trente  lieues,  t'-  îU-j-^u'. 
Le  bassin  de  la  mer  Adriatique  reçoit  les  eaux  de 
quatre  penchans  :  1"  du  penchant  oriental  des 
Apennins,  l'Ofanto,  au  cours  de  trente  lieues;  2"  du' 
penchant  sud-est  des  Alpes,  le  Pô,  au  cours  de  ce^t 
▼ingt-cinq  lieues;  l'Adige,  au  cours  de  soixante- 
quinze  lieues;  TAdda,  au  cours  de  cinquante  lieues; 
3*  du  penchant  sud  de  la  Dalmatie,  la  Narenta,  au 
0ours  de  quarante  lieues  ;  4"  du  penchant  occiden«- 
tal  du  mont  Hémus,  le  Dria  septentrional,  au  cours  • 
de  soixante  lieues;  le  Vouioussa,  au  cours  de  qua- 
rante lieues.  ..  -       '  ii.dKui  )!  ,nrni. 

Le  deuxième  bassin  de  la  Méditerranée,  partie 
XLVI.  4 


SO  VOYAGES  EN  EUROPE, 

européenne;  reçoit  les  eaux  de  deux  versans :  1"  du 
penchant  sud  de  la  Sicile,  de  la  Galabre  et  de  la 
Mot'ée,  rAspropotamo,  au  cours  de  quarante  lieues; 
TAlphée  et  TEurotas,  au  cours  de  chacun  trente 
lieues;  2°  du  penchant  est  et  sud  de  la  Grèce,  le 
Yardar  ou  Axius,  au  cours  de  soixante-quinze  lieues; 
le  Maritza  ou  THèbre,  au  cours  de  quatre-vingt- 
dix  lieues;  leStrymon ,  au  cours  de  quarante  lieues; 
le  Pénée,  au  cours  de  trente  lieues. 

Le  bassin  de  la  mer  Noire,  partie  européenne, 
reçoit  les  eaux  de  trois  penchans  :  1**  du  penchant 
est  des  Alpes  et  sud  de  Sudéla  et  des  Carpathes, 
le  Danube ,  au  cours  de  cinq  cent  soixante-dix  lieues; 
la  Draye,  au  cours  de  cent  vingt  lieues;  la  Save,  au 
cours  de  cent  dix  lieues;  la  Theiss,  au  cours  de  cent 
soixante-cinq  lieues;  le  Maresch,  au  cours  de  cent 
dix  lieues;  le  Pruth ,  au  cours  de  cent  trente  lieues; 
du  penchant  naéridional  de  la  Russie  et  de  la 
Pologne  centrale,  le  Dniester,  au  cours  de  cent 
soixante  lieues;  le  Dnieper,  au  cours  de  trois  cent 
cinquante  lieues;  le  Sem,  au  cours  de  cent  soixante- 
dix  lieues;  leBog,  au  cours  de  cent  quarante  lieues; 
le  Pnepetz ,  au  cours  de  cent  lieues  ;  3"  du  pen- 
chant sud  de  ^a  Russie,  bassin  particulier  de  la  mer 
d'Azof,  le  Don,  au  cours  de  trois  cent  soixante 
lieues  ;  le  Doneth ,  au  cours  de  cent  quarante  lieues. 

Enfin,  le  bassin  de  la  mer  Caspienne,  partie  eu- 
ropéenne, reçoit  du  penchant  sud  de  la  Russie 


rsans:l'du 
»re  et  de  la 
rante  lieues; 
acun  trente 
a  Grèce,  le 
linze  lieues; 
uatre-vingt- 
'ante  lieues; 

iuropéenne, 
lu  penchant 

Carpathes, 
:e-dix  lieues; 

la  Save,  au 
ours  de  cent 
)urs  de  cent 
'ente  lieues; 
et  de  la 
jrs  de  cent 
e  trois  cent 
înt  soixante- 
*ante  lieues; 

3°  du  pen- 
er  de  la  mer 
;nt  soixante 
rante  lieues. 

,  partie  eu- 
e  la  Russie 


GÉNÉRALITÉS.  51 

centrale,  et  sud  ou  est  des  monts  Ourals,  le  Volga, 
au  cours  de  six  cent  quatre-vingts  lieues;  TOcca, 
au  cours  de  deux  cent  dix  lieues;  le  Wettuga,  au 
cours  de  cent  trente  lieues;  la  Lura,  au  cours  de 
cent  dix  lieues;  la  Cama,  au  cours  de  deux  cent 
soixante  lieues;  le  Wiatka,  au  cours  de  cent  cin- 
quante lieues;  la  Bielaia,  au  cours  de  cent  vingt 
lieues;  la  Saraara,  au  cours  de  cent  lieues;  et  TOu- 
ral  ou  le  Jaïk,  frontière  de  l'Europe  à  l'est,  au  cours 
de  trois  cent  quarante  lieues. 

Le  climat  de  l'Europe  offre  un  ensemble  très 
compliqué;  la  distribution  de  la  chaleur  solaire  en 
est  la  première  cause,  mais  elle  n'agit  pas  seule,  et 
l'on  doit  tenir  compte  de  l'influence  qu'exercent 
prirc.  s'  ment  à  l'est  le  plateau  de  l'Asie,  au  sud, 
le  di  africain  et  l'océan  Atlantique.  A  l'est,  l'Eu- 
rope tient  presque  dans  toute  sa  largeur  à  l'Asie 
septentrionale;  ce  voisinage  nouveau  devant  l'est, 
qui  à  travers  les  vastes  plaines  de  la  Russie  et  de  la 
Pologne  apporte  l'air  glacial  de  la  Sibérie.  Les  Alpes 
et  les  Apennins  mettent  l'Italie  à  couvert  de  ce 
froid,  comme  aussi  les  Carpathes  protègent  la  Bo- 
hème et  la  Hongrie,  et  Cliristiania  en  JXorwége 
doit  à  l'abri  des  monts  Scandinaves  un  climat  plus 
agréable  que  celui  de  Berlin  ou  de  Varsovie.  Le 
libre  cours  du  vent  d'est  dans  les  plaines  de  l'Eu 
rope  orientale,  rend  cette  partie  plus  froide  que  les 
régions  occidentales  sous  des  latitudes  correspon- 


62  VOYAGES  EN  EUROPE, 

dantes.  La  Grèce  elle-même,  quoique  protégée  par 
le  mont  Hémus,  y  trouve  aussi  cette  influence  des 
vents  de  la  Scythie,  alternant  avec  ceux  du  mont 
Taurus.  Quant  aux  déserts  brùlans  de  l'Afrique, 
c'est  par  les  vents  du  sud  et  du  sud-est  que  l'Eu- 
rope méridionale  en  est  échauffée;  elle  le  serait  bien 
davantage  si  les  exhalaisons  de  ia  Méditerranée  ne 
rafraîchissaient  à  leur  passage  ces  vents  qui  nous 
apportent  l'air  suffocant  du  Sahara.  Le  scirocco  ita- 
lien n'arrête  qu'au  pied  des  Alpes  sa  chaleur  mal- 
faisante, et  un  vent  analogue  appelé  solano  et  venant 
de  Maroc  brûle  les  côtes  de  l'Espagne;  le  rideau  peu 
prolongé  de  la  Sierra- Nevada  n'en  protège  que 
quelques  parties.  De  so»^  côté  le  mouvement  de 
l'océan  Atlantique  septentrional  empéciie  les  glaces 
polaires  d'approcher  les  côtes  occidentales  de  l'Eu- 
rope ,  et  rend  dès  lors  la  température  moins  froide 
en  hiver.  Cette  influence  de  l'atmosphère  océanique 
varie  au  surplus  de  caractère  selon  les  latitudes. 

Les  phénomènes  généraux  des  climats  européens 
dépendent  aussi  de  l'élévation  du  sol  et  de  son  ex- 
position par  rapport  au  soleil.  Dans  les  Dofrines, 
k  63  degrés  de  latitude,  la  ligne  des  neiges  perpé- 
tuelles est  à  trois  mille  pieds  au-dessus  du  niveau 
de  la  mer  du  côté  du  nord  et  du  ncrd-est ,  où  les 
rayons  solaires  n'arrivent  qu'obliquement,  tandis 
qu'au  sud  et  au  sud-est  où  l'action  de  ces  rayons 
est  plus  forte,  les  neiges  ne  se  conservent  qu'au 


rotégée  par 
flucnce  des 
&  du  mont 
!  l'Afrique, 
t  que  l'Eu- 
;  serait  bien 
terranée  ne 
ts  qui  nous 
icirocco  ita- 
laleur  mal- 
10  et  venant 
;  rideau  peu 
)roté{Te  que 
iivement  de 
le  les  glaces 
iles  de  l'Eu- 
aoins  froide 
e  océanique 
latitudes. 
s  européens 
t  d'à  son  ex- 
es  Dofrines, 
îiges  perpé- 
s  du  niveau 
l-est,  où  les 
lent,  tandis 
I  ces  rayons 
rvent  qu'au 


I  GÉNÉRALITÉS.  63 

niveau  de  sept  mille  pieds.  En  Laponie,  la  limite  est 
de  trois  mille  trois  cents  pieds.  Du  reste,  l'accrois- 
sement et  le  décrovssement  des  glaces  se  balancent 
d'année  en  année.  Aux  Pyrénées,  la  ligne  des  neiges 
â perpétuelles  commence  à  huii.  mille  quatre  cents 

•pieds;  elle  est  de  neuf  mille  pieds  au  mont  Etna. 

Les  principaux  phénomènes  climatologiques  ont 
été  de  la  part  des  physiciens  l'objet  de  travaux  cu- 
rieux; M.  de  Humboldt  a  essayé  de  les  réduire  à  des 
formules  par  sa  méthode  des  lignes  isothermes, 
qui  marquent  la  température  moyenne. 

Plusieurs  savans  qui  ont  étudié  l'humidité  de 

ÇÏ'atmosphère  croient  pouvoir  fixer  à  vingt -cinq 
pouces  la  masse  des  eaux  pluviales  qui  tombent 
ordinairement  sur  l'Europe,  au  nord  des  Alpes, 
tandis  que  la  quantité  des  pluies  annuelles  au  sud 
de  ces  montagnes  est  de  trente-cinq  pouces.  Il  est 
vrai  que  la  pluie  cristallisée  sous  forme  de  neige 
rétablit  l'équilibre,  et  que,  toute  chose  égale  d'ail- 
leurs, l'humidité  esta  peu  près  la  même  dans  l'at- 
mosphère européenne.  Chaque  année  il  pleut  en- 
viron cent  cinquante  jours  dans  le  nord  de  l'Europe 
et  quatre-vingt-dix  dans  le  sud.  Le  plus  grand 

.nombre  de  jours  pluvieux  dans  le  nord  fait  que  les 
petites  gra'ïiinées,  amies  d'une  pluie  douce  et  fré- 
quente ,  entretiennent  ces  jolies  pelouses  que  le  midi 
ne  connaît  pas.  Le  sol  généralement  escarpé  de 
f  Europe  méridionale  fait  encore  que  les  pluies  s'y 


5J  VOYAGES  EN  EUROPE, 

écoulent  plus  rapidement  que  dans  le  nord;  les 
terres  moins  fertiles  du  nord  conservent  du  moins 
leurs  couches  d'humus  végétal ,  çt  sont  partout  éga- 
lement arrosées.  Enfin  l'atmosphère  européenne  est 
généralement  plus  pure  que  celle  des  autres  parties 
du  monde. 

«végétaux  de  l'Europe  subissent  l'influence  de 
v^rois  climats  dominans  :  sur  les  côtes  occidentales 
prospèrent  à  de  hautes  latitudes  certaines  plantes 
qui  périraient  sous  la  même  latitude  dans  une  autre 
partie  du  monde.  L'orge  et  l'avoine  croissent  jus- 
qu'au 70"  parallèle  en  Norwége,  tandis  que  sur  les 
côtes  américaines ,  vis-à-vis ,  on  voit  s'arrêter  à  52 
degrés  de  latitude  toutes  les  cultures  de  céréales.  Par- 
tout ailleurs  qu'en  Europe  les  arbres  disparaissent 
vers  le  60*  degré.  L'influence  du  climat  asiatique 
fait  que  plusieurs  arbres  et  plantes  qui  ne  réussis- 
sent pas  au  centre  de  la  Russie,  prospèrent  sous  les 
mêmes  latitudes  en  Germanie  et  en  Scandinavie. 
Les  vents  secs  et  quelquefois  brùlans  qui  soufflent 
vers  les  limites  de  la  mer  Caspienne  empêchent 
les  forêts  européennes  de  s'étendre  au-delà  du  Don, 
du  Bas- Volga  et  de  l'Oufa.  La  végétation  méditer- 
ranéenne, par  suite  de  l'influence  du  climat  afri- 
cain, éclate  surtout  vers  les  côtes. 

Les  forêts  de  bouleau  montent  en  Norwége  sous 
le  cercle  polaire  à  près  de  quinze  cents  pieds  au- 
dessus  du  uiveau  de  la  mer;  le  sol  herbeux  touche 


nord;  les 
t  du  moins 
artout  éga- 
)péenne  est 
très  parties 

[îfluence  de 
occidentales 
nés  plantes 
s  une  autre 
oissent  jus- 
que sur  les 
prêter  à  52 
éréales.Par- 
iisparaissent 
at  asiatique 
ne  réussis- 
rent  sous  les 
Scandinavie, 
[ui  soufflent 
empêchent 
ielà  du  Don, 
on  méditer- 
climat  afri- 

orwége  sous 
its  pieds  au- 
beux  touche 


GÉNÉRALITÉS.  55 

presque  aux  neiges  éternelles,  et  le  bouleau  nain 
n'en  demeure  éloigné  qued'environ  neuf  cents  pieds. 
Dans  la  Norwége  méridionale  quelques  pins  crois- 
sent encore  à  trois  mille  pieds  au-dessus  du  niveau 
4  delà  mer,  et  plusieurs  sortes  de  pommes  mûrissent 
•  à  mille  pieds;  l'agriculture  ne  cesse  dans  les  vallées 
ouvertes  au  soleil  que  vers  dix -huit  cents  pieds. 
Elle  cesse  à  trois  mille  trois  cents  pieds  dans  les 
monts  Sudètes.  Les  forêts  des  monts  Carpathes  se 
terminent  à  quatre  mille  deux  cents  pieds;  le  pin 
seuletnent  y  croit  encore  à  cinq  mille  pieds.  Dans 
les  Alpes  les  forêts  parviennent  généralement  jus- 
qu'à cinq  mille  pieds;  le  sapin  croît  à  cinq  mille 
cinq  cents  pieds;  l'aune  vert  à  six  mille  cent  vingt 
pieds.  Aux  Pyrénées  les  grands  arbres  parviennent 
jusqu'au  niveau  de  six  mille  neuf  cents  à  sept  mille 
deux  cents  pieds;  le  pin  d'Ë)cossc  arrive  encore  à 
deux  cents  pieds  plus  haut.  La  culture  des  céréales 
cesse  à  trois  mille  trois  cents  pieds,  et  celle  de  la 
vigne  à  dix -sept  cents  pieds.  Enfin  les  céréales 
d'Europe  occupent  généralement  les  plaines  ou  les 
régions  moyennes;  mais  c'est  entre  le  50*  et  le  36* 
degré  de  latitude  qu'elles  prospèrent  le  plus.  Le 
maïs  vient  jusqu'au  50*  degré,  le  riz  à  47  degrés; 
la  pomme  de  terre,  que  nous  avons  reçue  d'Amé- 
rique •,  est  répandue  presque  partout.  La  vigne 
prospère  jusqu'au  45*  degré  dans  toutes  les  expost- 

'  Malte-BruD  porte  la  dale  de  son  importation  à  1623. 


50 


VOYAGES  EN  EUUOPK. 


tions;  mais  depuis  là  jusqu'au  50''  degré,  elle  fuit 
le  voisinag^e  de  la  mer  du  JNord,  et  va  dans  Tinté- 
rieur  chercher  des  climats  plus  constans. 

Une  ligne  longeant  les  Pyrénées,  les  Cévennes, 
les  Alpes  et  l'Hémus  sépare  les  pays  à  lait  et  à  beurre 
des  pays  à  huile.  Dans  les  premiers,  la  beauté  des 
pâturages  fait  que  les  bestiau::  abondent,  et  que  la 
viande  étant  meilleure  est  consommée  en  plus 
grande  quantité.  > 

Parmi  les  arbres  fruitiers ,  on  a  remarqué  qu;j  le 
cerisier  et  le  prunier  mûrissent  en  Norwége  et  en 
Finlande  jusque  vers  le  60*  degré  de  latitude,  tan- 
dis qu'en  Russie  ils  s'arrêtent  au  OO*"  degré.  Le  pom- 
mier mûrit  presque  sous  le  55^  degré;  plus  au  nord 
la  pomme  n'a  presque  plus  de  saveur.  La  figue 
mûrit  jusqu'au-delà  du  SO**  degré;  mais  son  véri- 
table climat  est  celui  des  extrémités  méridionales 
de  l'Europe.  La  véritable  patrie  de  l'olivier  parait 
être  sur  les  bords  de  la  Méditerranée  et  jusqu'à  l'é- 
lévation de  douze  cents  à  deux  mille  pieds.  Le  vrai 
climat  des  orangers  et  des  citronniers  ne  commence 
qu'à  43  degrés  et  demi,  aux  îles  d'Hières  et  en  Tos- 
cane. Le  palmier  et  l'aloès  ne  réussissent  ordinaire- 
ment qu'aux  environs  de  Lisbonne,  ou  en  Anda- 
lousie et  en  Sicile,  au-dessous  du  40*^  parallèle.  C'est 
aussi  la  limite  la  plus  septentrionale  de  la  canne  à 
sucre.  Le  lin  et  le  chanvre  appartiennent  à  la  pres- 
que totalité  de  l'Europe;  toutefois  le  lin  prospère 


é,  elle  fuit 
dans  l'inté* 

■'■■■' 

Cévennes, 
et  à  beurre 
beauté  des 
: ,  et  que  ]a 
e   en   plus 

l'qué  qui;  le 
wége  et  en 
itude,  tan- 
ré.  Le  pom- 
lus  au  nord 
r.  La  figue 
is  son  véri- 
lérldlonales 
ivier  paraît 
jusqu  a  1  é- 
eds.  Le  vrai 
conimenee 
s  et  en  Tos- 
t  ordinaire- 
11  en  Anda- 
rallèle.  C'est 
;  la  canne  à 
nt  à  la  pres- 
in  prospère 


"î3 


1     GÉNËRALITES.  Ô1 

davantage  dans  les  températures  froides.  Le  midi  de 
l'Europe  donne  du  coton  et  de  la  soie.  Divers  arbres 
du  midi  ont  pu,  à  l'aide  de  culture,  être  transplan- 
tés vers  le  nord,  comme  le  peuplier  et  le  platane. 
Le  règne  animal  de  l'Europe  est  encore  moins 
varié  que  le  règne  végétal.  L'ours  blanc  et  le  renard 
bleu  se  montrent  sur  les  rivages  de  la  mer  Glaciale. 
Le  renne  descend  en  Scandinavie  jusqu'au  61"  de- 
gré, et  en  Russie  quelques  degrés  plus  bas.  La  mar- 
motte fait  ses  migrations  en  ligne  droite  de  l'est  à 
l'ouest,  entre  le  55*'  elle  65°  degré  de  latitude  nord. 
L'élan  se  tient  généralement  plus  bas  que  le  cercle 
polaire;  il  se  montre  en  Lithuanie  et  même  en  Prusse. 
Les  steppes  ou  plaines  nues  qui  bornent  la  mer 
d'Azov  et  la  mer  Caspienne  onî,  quelques  animaux 
communs  avec  l'Asie,  comme  le  chameau,  le  chacal 
et  le  cheval  tartare.  Les  plaines  de  l'Ukraine  et  de 
la  Moldavie,  du  Danemark  et  de  la  Flandre  nour- 
rissent les  plus  belles  races  de  bœufs,  de  che- 
vaux, et  de  moutons.  Les  hauteurs  de  la  grande 
chaîne  montagneuse  qui  s'étend  depuis  les  Pyré- 
nées,, les  Cévennes  et  les  Alpes  jusqu'aux  Carpathes 
etal'Hémus,  sont  habitées  généralement  parle  bou- 
quetin, le  chamois  et  la  marmotte.  Les  régions  mé- 
ridionales ont  à  peu  près  les  mêmes  animaux  que 
les  régions  moyennes.  L'àne  du  raidi  de  l'Europe 
vient  de  l'Asie-Mineure  et  de  la  Syrie.  Le  chat  sau- 
vage et  le  lynx  ne  se  trouvent  plus  guère  que  dans 


-'w 


ii  VOYAaBS  EN  ËUUOPE. 

les  forêts  des  montagnes  centrales  d'Espagne  et  de 
la  Scandinavie.  Quelques  forêts  centrales  de  TRu- 
rope  cachent  encore  le  sanglier.  Les  ours  se  cachent 
dans  quelques  parties  des  Pyrénées,  des  Alpes  et 
des  monts  Scandinaves»  Le  cerf,  le  daim,  le  che- 
vreuil errent  dans  les  grandes  forêts  européennes, 
ainsi  que  Técureuil.  Du  détroit  de  Gibraltar  au  pro- 
montoire boréal  de  l'Oural ,  on  rencontre  de  nom- 
breuses espèces  de  rats ,  de  campagnols  et  de  mu- 
saraignes. Un  genre  propre  à  l'Europe  est  le  desmau 
(ou  rat  musqué  de  Laponie),  muni  d'une  trompe 
longue  et  mobile.  La  taupe  habite  surtout  le  midi 
de  l'Europe.  Le  blaireau,  la  martre,  la  fouine,  la 
genette,  le  putois  sont  encore  des  animaux  au- 
tochtones ou  aborigènes  des  forêts  européennes; 
dans  le  nord  ils  deviennent  compatriotes  du  glou- 
ton. La  zone  polaire  est  réservée  aux  rennes ,  et  les 
forêts  orientales  de  l'Europe  cachent  l'élan  que  l'on 
retrouve  au  Canada.  Les  insectes  sont  très  multi- 
pliés dans  les  diverses  parties  de  l'Europe. 

Suivant  Malte-Brun ,  il  existe  encore  en  Europe 
dix  familles  de  peuples  bien  distinctes,  mais  dont 
les  rameaux  semblent  plus  forts  et  plus  puissans 
que  les  souches  mêmes;  indiquons -en  seulement 
quelques-unes.  Les  Grecs,  dont  les  Pélasges  étaient 
une  très  ancienne  branche,  occupent  aujourd'hui 
principalement  la  Morée  et  les  îles  de  l'Archipel.  Les 
Albanais  sont  les  restes  des  anciens  Ulyriens,  mêlés 


pagne  et  de 
les  de  TEu- 
B  se  cachent 
Jes  Alpes  et 
lim ,  le  che- 
iropéennes, 
Itar  au  pro- 
tre  de  nom- 
Is  et  de  mu- 
it  le  desmau 
une  trompe 
tout  le  midi 
ai  fouine,  la 
ni  maux  au- 
iiropéennes; 
tes  du  glou- 
innes ,  et  les 
Lan  que  Ton 
très  multi- 
)pe. 

;  en  Europe 
,  mais  dont 
lus  puissans 
1  seulement 
isges  étaient 
aujourd'hui 
rchipel.  Les 
riens,  mêlés 


GÉNÉRALITÉS.  ûî) 

anciennement  avec  des  Grecs-Pélasges,  et  plus  tard 
avec  des  Grecs  modernes.  Les  Turcs  appartiennent 
à  la  même  race  que  les  Tartarcs  disséminés  dans  la 
Russie  méridionale ,  et  qui  est  venue  de  l'Asie.  Vers 
le  nord-est  de  F'^urope  se  trouvent  les  Slaves  et  les 
Finnois,  peuples  qui  ont  occupé  jadis  la  Scythie  et 
la  Sarmatic.  Les  peuples  slaves  comprennent  les 
Russes,  les  Polonais,  les  Bohèmes,  les  Slovaques 
de  Hongrie  et  autres.  Dans  l'ancienne  Dacie  sont  les 
Yalaques  dont  la  langue   se  rapproche  du  latin. 
Vers  les  raonti  Balkans  vivent  les  Bulgares,  tandis 
qu'au  nord  se  montrent  les  Finnois  et  les  Lapons, 
et  qu'à  l'orient  végètent  les  Samoïèdes,  du  côté 
des  monts  Ourals. 

A  l'ouest  des  Slavons  et  des  Finnois,  dans  le 
centre  et  le  nord  de  l'Europe ,  demeurent  propre- 
ment les  nations  de  la  famille  teutonique,  dont  les 
Allemands,  les  Scandinaves  et  les  Anglais  sont  tes 
trois  divisions  principales.  Les  Allemands  compren- 
nent tes  Autrichiens,  les  Prussiens,  les  Saxons  et 
quelqies  autres  branches;  les  Scandinaves  com- 
prennent les  Suédois,  les  Norwégiens  et  les  Danois; 
les  Anglais  comprennent  les  peuples  des  îles  Bri- 
tanniques. On  cite  encore  comme  souches  de  peu- 
vies  les  Celtes  qui  étaient  établis  le  long  des  Alpes, 
et  les  Basques  resserrés  au  pied  des  Pyrénées. 

En  général  les  peuples  des  climats  septentrio- 
naux de  l'Europe  se  distinguent  par  une  poitrine 


00 


VOYAGKS  EN  EUROPE. 


Jar^jfe  et  carrée,  un  teint  clair  et  animé,  de»  yeux 
bleus,  des  cheveux  blonds  de  diverses  nuances. 
Les  peuples  du  midi  ont  une  taille  plus  petite,  mais 
plus  de  grâce,  de  vivacité  et  de  souplesse,  la  coupe 
du  visa^re  plus  belle,  et  les  formes  ou  proportions 
du  corps  plus  élégantes.  C'est  en  Grèce,  par  exem- 
ple, que  les  artistes  vont  chercher  les  modèles  en 
ce  genre.     .  -i  . 

Trois  croyances  religieuses  se  partagent  l'Europe: 
le  christianisme,  l'islamisme  et  le  judaïsme.  La  pre- 
mière de  ces  croyances  se  divise  en  trois  églises, 
savoir  :  l'église  chrétienne  proprement  dite  ou  le  ca- 
tholicisme romain,  ou  simplement  l'église  romaine 
ou  latine;  puis  l'église  protestante  et  l'église  grecque. 

L'église  romaine  domine  surtout  chez  les  peu- 
ples du  midi  et  de  l'ouest,  où  se  parlent  les  langues 
d'origine  greco-latine ,  et  peut  compter  au  moins 
cent  dix  millions  de  croyans.  L'Espagne,  le  Portu- 
gal, l'Italie,  les  neuf  dixièmes  peut-être  de  la  France, 
les  quatre  cinquièmes  de  l'Irlande,  la  Belgique,  lu 
moitié  de  l'Allemagne  et  de  la  Suisse,  les  trois 
quarts  de  la  Hongrie  et  de  l'ancienne  Pologne, 
professent  le  culte  catliolique  romain  et  recon- 
naissent l'autorité  du  pape  ou  souverain  pontife. 

L'église  protestante  ou  évangélique  domine  chez 
leji  peuples  du  nord,  où  se  parlent  les  langues  d'o- 
rigine gothico  -  germanique  ;  le  nombre  de  ces 
fk)èles  est  d'environ  soixante  millions.  Cette  église 


«. 


Ls  de»  yeux 
es  nuances, 
pclitc,  muis 
e,  la  coupe 
proportions 
,  par  exem- 
modèles  en 

nt  l'Europe: 
me.  La  pré- 
vois églises, 
ite  ou  le  ca- 
iso  romaine 
ise  grecque, 
ez  les  peu- 
;  les  langues 
r  au  moins 
e,  lePortu- 
e  la  France, 
Belgique,  lu 
2,  les  trois 
le  Pologne, 
i  et  recon- 
)in  pontife, 
lomine  chez 
angues  d'o- 
3re  de  ces 
Cette  église 


•    GËNfiR  ALITÉS.  01 

est  divisée,  conformément  à  son  principe  de  libre 
examen,  par  quelques  nuances  de  doctrines,  entre 
lesquelles  se  distinguent,  V  le  luthéranisme,  do- 
minant dans  les  deux  Saxes,  le  Wurtemberg,  la 
Hesse  et  autres  provinces  d'Allemagne ,  comme 
aussi  dans  toute  la  Scandinavie,  dans  la  Prusse  et 
dans  les  provinces  baltiques  de  la  Russie;  2°  le  pres- 
bytérianisme ou  calvinisme,  ou  simplement  culte 
réformé,  répandu  en  Suisse^  dans  TAllemagne  oc- 
cidentale, en  Hollande  et  en  Ecosse;  3"  le  culte  an- 
glican ,  qui  règne  surtout  en  Angleterre.  On  truuve 
aussi  des  chrétiens évangéliques  en  France,  où  il  en 
existe  plus  de  trois  raillions,  en  Hongrie,  enTr.<n- 
sylvanie  et  dans  les  vallées  du  Piémont.        ' 

L'église  grecque  ou  orientale  s'étend  dans  la 
partie  de  l'Europe  orientale,  où  se  parlent  les  lan- 
gues d'origine  slavonne  ou  grecque;  on  lui  donne 
quarante-trois  millions  de  prosélytes.  Cette  église, 
qui  descend  directement  de  l'ancienne  église  de 
l'empire  d'orient,  règne  sur  les  Grecs,  sur  une  partie 
des  Albanais  et  des  Bulgares,  sur  les  Serviens,  les 
^sclavons,  les  Raitzes  hongrois,  les  Valaques,  les 
Moldaves,  et  dans  presque  la  majeure  partie  de  la 
Bussie  d'Europe. 

.  L'islamisme  se  borne  à  la  Turquie  d'Europe,  et 
compte  environ  cinq  millions  de  prosélytes  dan» 
cette  partie  européenne,  y  compris  lu  Bosnie. 

Quant  aux  juifs,  ils  sont  disséminés  dans  les  dif- 


ai  VOYAGES  EN  EUROPE, 

férens  États  de  TËurope,  et  sur  aucun  point  ils  ne 
forment  de  congrégation  assez  importante  pour 
que  Ton  puisse  ou  doive  en  rechercher  exactement 
le  nombre;  quelques  géographes  Tévaluent  à  trois 
millions  d'individus;  il  n'en  existe  pas  en  Norwége 
ni  en  Espagne  ;  mais  on  en  rencontre  beaucoup  en 
France,  en  Pologne,  en  Hollande  et  en  Allemagne. 
Les  gouvernemens  de  l'Europe  reposent  aujour- 
d'hui sur  deux  principes  dominans  :  la  monarchie 
absolue,  mais  gouvernée  d'après  des  lois  fixes, 
et  la  monarchie  constitutionnelle  limitée  par  des 
assemblées  représentatives.  Le  premier  principe 
domine  dans  l'est  et  le  sud  de  l'Europe;  le  second 
dans  l'ouest  et  le  nord.  Parmi  les  monarchies  ab- 
solues, mais  tempérées  par  des  lois,  il  faut  citer 
l'empire  d'Autriche,  le  royaume  de  Naples,  celui 
de  Prusse  et  l'empire  de  Russie.  Parmi  les  monar- 
chies constitutionnelles  se  rangent  la  France,  l'An- 
gleterre, la  Hollande,  la  Belgique,  l'Espagne,  le 
Portugal,  la  Suède  avec  la  Norwége.  Dans  l'Europe 
centrale  les  deux  classes  se  mêlent:  la  Sardaignc,  la 
Toscane,  Rome,  la  Hesse  et  le  Danemark  sont  des 
monarchies  absolues  paternelles,  tandis  que  la  Ba- 
vière, le  Wurtemberg,  Bade,  le  Hanovre  et  la  Saxe 
sont  des  États  constitutionnels.  Le  royaume  de  Hon- 
grie dépendant  de  l'Autriche  a  également  les  formes 
du  gouvernement  représentatif,  comme  l(^s  avait 
aussi  le  royaume  de  Pologne  avant  l'année  1831. 


>int  ils  ne 
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mée  1831 


^     GÉNÉRALITÉS.  03 

où  l'empereur  Nicolas  l'a  violemment  réuni  à  l'em- 
pire russe.  Enfin,  il  existe  encore  en  Europe  un 
grand  État  despotique,  celui  de  l'empire  ottoman; 
chacun  connaît  le  pouvoir  du  sultan,  il  est  sans 
limite.  A  ces  divers  gouvernemens  doivent  s'ajouter 
quelques  petits  États  républicains  ou  affectant  une 
forme  démocratique  :  tels  sont  le  gouvernement 
fédéral  des  cantons  suisses ,  les  quatre  villes  libres 
de  Cracovie,  Lubeck,  Hambourg  et  Francfort,  avec 
le  petit  État  de  San-Marino  en  Italie,  et  celui  d'An 
dore,  dans  les  Pyrénées. 

11  existe  quelques  limites  naturelles  et  protec- 
trices entre  ces  différens  Etats,  mais  les  traités  ont 
suppléé  à  ce  qui  manque  sous  ce  rapport  pour  as- 
surer un  état  de  paix  durable.  La  Russie  pèse  bien 
sur  la  Turquie,  l'Autriche,  la  Prusse  et  la  Suède; 
mais  il  y  a  un  contre-poids  établi  par  la  France  et 
l'Angleterre  pour  empêcher  le  colosse  russe  de 
s'agrandir  ou  d'opprimer  les  Etats  voisins.  La  Prusse 
est  la  contrée  la  plus  ouverte;  les  monts  Hémus  et 
les  Carpathes  couvrent  Constantinople  et  Vienne. 
Un  autre  contre-poids  existe  dans  les  Etats  Scandi- 
naves qui,  réunis,  pourraient  se  défendre  contre 
les  attaques  moscovites;  et  un  troisième  existe  dans 
la  Confédération  germanique,  laquelle  avec  l'Au- 
triche et  la  Prusse ,  forme  à  son  tour  une  masse 
formidable  de  nations  allemandes.  La  France  a  d'im- 
posantes limites  aux  Alpes  et  aux  Pyrénées,  bien 


m  VOYAGES  EN  EUROPE, 

qu'elle  ne  domine  la  frontière  d'aucun  de  ses  voisins . 
si  on  excepte  la  Belgique.  L'Espagne  et  le  Por- 
tugal, devenus  aujourd'hui  des  États  constitu- 
tionnels, peuvent  constituer  une  masse  compacte 
favorisée  par  la  nature ,  ayant  les  mers  et  les  mon- 
tagnes pour  la  défendre  contre  les  agressions  du 
dehors.        ,,., .  •„,  .,    ,:  .  , 

Nous  avons  dit  que  la  population  de  l'Europe  est 
de  deux  cent  vingt  millions  d'habitans  :  elle  est  sur- 
tout accumulée  dans  le  centre,  parce  que  là  se 
trouvent  les  pays  les  mieux  gouvernés  et  peut-être 
aussi  les  mieux  cultivés.  Cette  population  tend 
chaque  jour  à  s'accroître,  mais  cela  tient  aussi  à 
des  causes  étrangères  à  celles  que  nous  venons 
d'indiquer.  Les  Etats  étendus  qui  renferment  de 
grandes  provinces  d'une  fertilité  médiocre  ont  né- 
cessairement  le  désavantage  contre  les  petits  Etats 
fertiles.  Toute  chose  égale  d'ailleurs ,  l'Espagne  a  une 
population  moins  dense  que  le  Portugal  ;  la  Toscane, 
si  bien  administrée,  est  pourtant  moins  peuplée 
que  les  États  romains.  Un  grand  nombre  de  mon- 
tagnes resserrent  en  Helvétie  et  en  Norwége  l'éten- 
due  du  terrain  cultivable.  Certains  Etats,  comme 
la  Pologne,  sont  plus  exposés  aux  invasions  et  aux 
guerres;  d'autres,  comme  la  Turquie  d'Europe, 
ont  a  lutter  contre  des  fléaux  pestilentiels  qui  dé- 
ciment la  population.  Au  surplus ,  voici  une  échelle 
distributive  de  la  population  européenne  dans  les 


voisins, 
le  Por- 
constitu- 
om  pacte 
les  mon- 
ùons  du 

irôpe  est 
e  est  sur- 
[lie  là  se 
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peuplée 
de  raon- 
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,  comme 
ns  et  aux 
l'Europe , 
s  qui  dé- 
le  échelle 
ï  dans  les 


f     GENERALITES.        ,.  65 

divers  Élals  qu'elle  constitue;  celte  échelle  est  éta- 
blie par  mille  carré.        .'^  ,,  s^,  |^,  ,,       .^.,  >      H  hr, 

Suède  el  Norwége 82  habitans. 

Russie..... 181 

Danemark 616  î ' 

Prusse 792        (  ;  , 

Angleterre  propre 1,457 

Pays-Bas 1,829 

5     Saxe 1,252  ^    - 

■  ^     Bavière 968     ,'  ;  '    ,  '  , 

Wurtemberg 1,502 

Suisse 783 

France 1,063 

Hongrie 750 

Lombardie  et  Venise 1,171 

Royaume  sarde 1,122 

Lucques 1,122 

Toscane 836 

États  de  l'Église 1,043 

Naples  et  Sicile 747 

Espagne 64 1 

Portugal 446 

Iles  Ioniennes 1,770 

Turquie 324 

^  Les  cinq  puissances  principales  de  l'Europe,  la 
Russie,  la  France,  l'Angleterre,  l'Autriche  et  la 
Prusse,  possèdent  les  deux  tiers  de  la  population  de 
cette  partie  du  globe. 

La  population  de  l'Europe  s'accroît  en  masse  au 
paoins  d'un  million  par  année  moyenne,  de  sorte 
C[u'avant  l'année  1900  elle  pourra  être  d'environ 

XLVI.  5 


00  VOYAGES  EN  EUROPE. 

trois  cents  millions.  CettP  augmentation  est  plus 

rapide  dans  le  nord  que  dans  le  centre,  le  midi  et 

louest. 

La  Russie  avec  cinquante  -  huit  millions  d'habi- 
tans  gagne  annuellement  cinq  à  six  cent  mille  in- 
dividus, tiiadis  que  la  France  avec  trente^deux  mil- 
lions ne  paraît  acquérir  tout  au  plus  que  deux  cents 
mille  inJiviuus.  L'Autriche  avec  vingt-neuf  millions 
d'individus  gagne  autant  que  la  France.  L'Italie  et 
l'Espagne  sont  presque  stationnaires  ;  la  Turquie 
d'Europe  semble  même  rétrograder.  En  résultat,  il 
eât  probable  que  les  principaux  Etats  de  l'Europe 
auront  doublé  leur  population,  savoir  :  la  Prusse  en 
vingt-six  ans;  l'Angleterre  en  quarante-deux  ans; 
les  Pays-Bas  en  cinquante-six  ans  et  demi;  les  Deux- 
Siciles  en  soixante-trois  ans;  la  Russie  en  soixante- 
six  RRS  ;  l'Autriche  en  soixante-neuf  ans  ;  la  France 
en  cent  cinq  ans. 

Les  Etats  du  nord  de  l'Europe,  à  une  population 
égale,  ont  une  valeur  politique,  militaire  et  finan- 
cière, double,  triple  ou  même  quadruple  de  celle 
des  Etats  du  midi.  La  population  du  royaume  de 
Naples,  par  exemple,  tst  quatre  fois  celle  du  Da- 
nemark, ou  celle  de  la  Suisse;  son  territoire  a  deux 
fois  plus  d'étendue,  et  vaut  dix  à  douze  fois  le  ter- 
ritoire danois  ou  suisse,  en  valeur  agricole  :  mal- 
gré de  tels  avantages,  le  royaume  de  Naples  ne 
pourrait  lutter  contre  la  Suisse  et  le  Danemark. 


est  plus 
midi  et 

>  d'habi- 
[nille  in- 
eux  mil- 
!ux  cents 
millions 
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oie  :  mal- 
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anemark. 


^^    GÉNÉRALITÉS.  «7 

Les  peuples  du  midi,  en  général,  supportent  moins 
les  fatigues  de  la  guerre  que  ceux  du  nord. 

Nous  avons  nommé  les  principaux  Etats  de  l'Eu- 
rope :  comme  il  en  sera  plus  d'une  fois  question 
par  Irt  suite,  il  n'est  peut-être  pas  inutile  d^en  indi- 
quer la  position  géographique.  Dans  la  partie  occi- 
dentale, on  trouve  à  son  centre  l'empire  d'Autriche, 
la  France,  la  Prusse,  la  Belgique,  la  Hollande,  la 
Confédération  germanique  et  la  Suisse;  au  sud, 
l'Espagne  et  le  Portugal,  ainsi  que  les  Etats  de 
l'Italie;  et  au  nord  la  Grande-Bretagne,  la  Norwége 
et  le  Danemark.  La  partie  orientale  comprend  la 
Russie  et  la  Turquie  d'Europe ,  la  Grèce  et  les  îles 
Ioniennes.  i  r      .  t 

En  résumé,  l'Europe,  en  1836,  présente  trois 
empires  :  la  Russie,  l'Autriche  et  la  Turquie;  une 
monarchie  élective  ecclésiastiqae ,  Rome;  seize 
royaumes,  sept  grands-duchés,  Uii  électoral,  douze 
duchés,  dix-sept  principautés,  un  landgraviat,  une 
seigneurie  et  trente-une  petites  républiques.  L'em- 
pire ottoman  est  aujourd'hui  le  plus  ancien  empire 
de  l'Europe;  son  origine  rfiinonte  à  la  prise  de 
Constantinople  en  1453.  L'empii'e  russe  date  de 
1721 ,  et  l'empire  d'Autriche  de  1804.  La  monar- 
chie française  est  la  plus  ancienne  des  monarchies 
européennes;  elle  remonte  à  l'année  486.  L'Es- 
pagne, le  Danemark  et  l'Angleterre  viennent  im- 
médiatement après.  La  Toscane  est  le  plus  ancien 


68  VOYAGES  EN  EUROPE, 

des  graiids-ouchés,  et  *d  municipalité  de  Sau-Ma- 
rino,  la  plus  ancienne  des  républiques  modernes , 
en  même  temps  qu'un  des  plus  anciens  États  de 
l'Europe.  Quelques  cantons  de  la  Suisse  datent 
de  1308.  Lcii  principautés  de  Liohtenitein  c;!  dr 
Monaco  et  h.  seigneurie  de  Kniphaiti^on  %:;it  les  plus 
petits  de  tous  les  Etats  de  l'Europe.  '•   ■       ^    'i'> 

Telles  sont  les  généralités  préliminrâres  que  nous 
avons  cru  devoir  offrir  -mr  l'Europe,  afin  de  nous 
conformer  au  plan  que  nous  avons  adopté  pour 
notre  Collection  de  voyajjes.  Nous  allons  mvtjn- 
leuant  donner  un  aperçu  ou  un«  analyse  ||>i  js  ou 
(îioiïss  élendt^e  des  principaux  voyages  eifectués  en 
E'irope  jusqu'à  la  fin  du  XYllT  siècle  et  dans  le 
cwi-mencoment  du  XIX^    jm.     .-.  .'ii.iif.ti.  4  u>,i 


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SEIZIÈME  SIECLE. 


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in  de  nous 

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on  s    tn'ân- 

rse  |>i  js  01» 

tfectués  en 

et  dans  le 


i 


VOYAGES  ANTERIEURS  AU  XIX"  SIECLE. 


Nous  n'avons  point  le  projet  d'offrir  une  analyse 
complète  de  tous  les  voyages  anciens  et  nouveaux 
effectués  en  Europe,  le  cadre  restreint  que  nous 
nous  sommes  tracé  dans  notre  Collection  ne  le  per- 
mettrait pas  ;  nous  ne  remonterons  même  que  vers 
la  fin  du  XVI*  siècle,  et  traverserons  rapidement 
le  xvii"  pour  arriver  au  XYIlT  qui  réclame  plus 
d'espace. 

SEIZIÈME  SIÈCLE. 

Le  premier  voyageur  de  quelque  importance  qui 
se  présente  dans  la  seconde  moitié  du  XVl*«iècle  est 
le  célèbre  Michel  Montaigne,  né  en  1533  dans  le 
Périgord.  Ayant  appris  le  latin  avant  le  français,  il 
avait  achevé  ses  études  à  treize  ans.  Ennemi  de 
toute  contrainte,  il  choisit  une  profession  indé- 
pendante, celle  du  barreau,  et  il  fut  pourvu  en 
1554  d'une  charge  de  conseiller  au  parlement  de 
Bordeaux.  Il  sut  se  faire  estimer  de  Pibrac  et  de 
Paul  de  Foix,  ses  confrères,  et  du  chancelier  de 
L'Hôpital.  Un  autre  de  ses  confrères  fut  ce  La  Béotie, 
qui  devin!  son  ami  le  plus  intime,  et  dont  Montaigne 


î»  VOYAGES  EN  EUROPE, 

disait  encore  long-temps  après  lavoir  perdu,  car  il 
lui  avait  survécu  :  «  Nous  étions  dans  tout  de  moitié: 
il  me  semble  que  je  lui  dérobe  sa  part.  »  Gomme  il 
fallait  un  aliment  continuel  à  son  esprit,  il  se  mit 
en  1572  à  écrire  ses  Essais,  où  dès  Tun  des  pre- 
miers chapitres  il  annonce  avoir  atteint  sa  trente- 
neuvième  année.  La  première  édition  de  ce  livre, 
dont  lauteur  un  peu  sceptique  avait  pris  pour  de- 
vise: «Que  sais-je?»  parut  en  1580.  C'est  vers  ce 
temps  qu'il  se  mit  à  voyager  en  Italie  et  eu  Alle- 
magne. 

De  retour  au  château  de  Montaigne  en  Périgord , 
il  rédigea  sa  relation.  Elle  n'est  guère  qu'un  bulle- 
tin de  remarques  journalières  sur  sa  santé  par  les 
effets  des  eaux  minérales  dont  il  faisait  usage  ;  on 
y  trouve  cependant  des  observations  intéressantes 
surlesmonumens  des  pays  où  il  voyageait,  sur  leur 
histoire  naturelle,  sur  les  mœurs  et  le  caractère  de 
leurs  habitans.  L'imposant  spectacle  du  site  de  l'an- 
cienne Rome  réveille  un  moment  le  génie  de  Mon- 
taigne. «On  ne  voit  rien,  dit-il,  de  Rome  que  le 
ciel  sous  lequel  elle  avait  été  assise;  ceux  qui  pré- 
tendaient qu'on  y  voyait  du  moins  ies  ruines  de 
Home,  en  disaient  trop;  car  les  ruines  d'une  si  épou- 
vantable machine  rapporteraient  plus  d'horreur  et 
de  révérence  à  sa  mémoire;  ce  n'était  rien  que 
son  sépulcre.  Le  monde,  er  lemi  de  sa  domination, 
avait  premièrement  brisé  et  fracassé  toutr<5  les  pièces 


'1  deux 
riale 
Voi 


■â 


SEIZIÈME  SlJi:CLË. 


71 


u,  car  il 
3  moitié: 
omme  il 
il  se  mit 
des  pre- 
i  trente- 
ce  livre, 
pour  de- 
t  vers  ce 
en  Aile- 

*érij;ord , 
un  bulle- 
;é  par  les 
isage;  on 
pressantes 
,  sur  leur 
actère  de 
;e  de  l'an- 
I  de  Mon 
le  que  le 

qui  pré- 
ruines de 
le  si  épou- 
lorreur  et 
rien  que 
mination , 

les  pièces 


de  ce  corps  admirable;  et  parce  qu'encore  tout 
mort,  renversé  et  défiguré,  il  lui  faisait  horreur, 
il  en  avait  enseveli  les  ruines  même.  »  ^ 

Pendant  que  Montaigne  visitait  Rome,  le  ba- 
ron de  Busbeck  parcourait  la  France  et  poussait 
SCS  excursions  jusqu'à  Constantinople.  Sa  relation 
renferme  d'excellentes  observations  sur  la  Turquie, 
où  Ferdinand,  roi  de  Hongrie,  l'avait  envoyé  en 
qualité  d'ambassadeur;  et  sur  la  France,  où  Bus- 
beck résida  sous  les  règnes  de  Charles  IX  et  de 
Henri  lll,  comme  envoyé  extraordinaire  de  l'em- 
pereur Rodolphe.  Busbeck ,  profond  diplomate,  qui 
réussit  à  assurer  la  paix  à  la  Hongrie,  avait  des  vues 
et  des  lumières  supérieures  à  celles  de  son  siècle; 
cependant  il  lui  échappa  de  temps  à  autre  quelques 
traits  de  crédulité  sur  les  matières  physiques,  et  ces 
traits  sont  propres  à  laisser  penser  qu'il  s'entendait 
mieux  en  politique  qu'en  histoire  naturelle,  il 
acheta  dans  un  des  bazars  de  Constantinople  l'ou- 
vrage de  Pline  l'ancien  et  celui  de  Dioscoride,  tous 
deux  aujourd'hui  existans  à  la  Bibliothèque  impé- 
riale de  Vienne. 

Voilà  les  deux  principaux  voyageurs  en  Europe 
qui  appartiennent  au  XV i*'  siècle  ;  il  en  existe  un 
plus  grand  nombre  au  xvif. 


Vi 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


DIX-SEPTIÈMH  SIÈCLE. 

C'est  encore  dans  la  seconde  moitié  du  xvil' 
que  se  montrent  les  principaux  voyageurs  aux  dif- 
férentes contrées  de  l'Europe  :  tels  sont  Hegnard, 
Sclieffer  et  Ricault. 

Regnard,  l'un  de  nos  meilleurs  poètes  comiques, 
né  à  Paris  en  1047,  fils  d'un  marchand  qui  en 
mourant  lui  laissa  une  l'ortune  assez  considérable, 
se  livra  de  bonne  heure  à  son  goût  dominant  pour 
les  voyages.  Ayant  gagné  au  jeu  beaucoup  d'ar- 
gent pendant  celui  qu'il  fit  en  Italie  en  1C76  ou 
1677,  il  revint  en  France,  pour  en  repartir  l'année 
suivante  et  retourner  aux  mêmes  lieux  où  le  sort 
lui  avait  été  si  favorable.  Ce  fut  aîors  qu'il  rencontra 
cette  Elvire  dont  il  devint  épr's,  et  dont  il  a  tracé 
un  portrait  si  flatteur  dans  un  petit  roman  intitulé: 
la  Provençale.  Embarqué  avec  elle  pour  la  France, 
il  fut  pris  par  des  corsaires  algériens  et  conduit  à 
Constanlinople  avec  la  dame  de  ses  pensées.  Les 
deux  amans  souffrirent  une  dure  captivité;  mais  à 
la  fin,  Regnard,  qui  était  gourmand  de  profession, 
sut  gagner  les  bonnes  grâces  de  son  maître  en  pré- 
sidant à  sa  cuisine,  et  il  en  obtint  sa  liberté  et  celle 
de  la  dame  provençale,  au  moyen  d'une  somme  de 
12,000  livres  que  lui  avait  envoyée  sa  famille  à  l'ef- 
fet de  le  racheter. 

De  retour  en  France  avec  celle  qu'il  aimait,  il 


DIX-SEPTIÈME  SIÈCLE. 


73 


[lu    XVIl' 

aux  dif- 

\egnard, 

jmiques, 
1  qui  en 
idérable, 
ant  pour 
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1676  ou 
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il  a  tracé 
1  intitulé: 
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té  et  celle 
jomme  de 
lille  à  l'ef- 

aimait,  il 


i 


é 


était  sur  le  point  de  l'épouser,  lorsque  le  mari ,  qu  on 
croyait  mort,  reparut  tout  à  r  p,  et  le  força  de 
s'en  séparer  pour  jamais.  Déses()éré  d'une  perte  si 
cruelle  pour  son  cœur,  notre  voyageur  prit  la  réso- 
lution de  courir  le  monde.  Il  se  rendit  en  Flandre, 
en  Hollande,  en  Danemark,  en  Suède,  et  jusqu'en 
Laponie.  Arrivé  à  ïornéo,  il  s'embarqua  sur  la  ri- 
vière du  même  nom ,  la  remonta  de  sept  à  huit 
lieues,  parvint  près  d'une  haute  montagne,  du  som- 
met de  laquelle  il  découvrit  toute  la  Laponie  et  la 
mer  septentrionale;  il  y  grava  une  inscription  la- 
tine avec  la  date  du  22  août  1681.  Après  avoir  par- 
couru diverses  autres  contrées,  il  revint  à  Paris,  où 
las  d'errer  et  de  changer,  il  acheta  une  charge  de 
trésorier  de  France,  et  se  mit  enfin  à  composer  ses 
comédies.  Il  mourut  en  1 709. 

Les  observations  de  Regnard  sont  très  superfi- 
cielles en  ce  qui  concerne  Ja  Flandre,  la  Hollande 
et  l'Allemagne.  A  l'article  Copenhague,  on  trouve 
iin  fait  assez  piquant  à  l'occasion  de  la  tyrannie 
que  la  noblesse  danoise  exerçait  sur  ses  vassaux 
Les  bourgeois  et  les  paysans  étaient  avilis  à  un  tel 
point  par  les  nobles,  que  ceux-ci  pouvaient  im- 
|)unément  tuer  un  individu  de  ces  deux  classes,  en 
mettant  un  écu  sur  la  tombe  du  défunt.  Frédéric  II, 
îe  même  auquel  les  Etats  déférèrent  le  pouvoir 
absolu,  ne  voulut  pas  enlever  nommément  à  la  no- 
t>lesse  cet  odieux  privilège,  mais  il  statua  que  lors- 


74  VOYAGES  EN  EUROPE. 

(|u'un  bourgeois  ou  un  paysan  tuerait  un  noble,  cg 
meurtre  resterait  impuni,  à  la  char};  viailpinent 
par  le  meurtrier  de  mettre  deux  écus  sut  la  tombe 
du  noble  bomicidé  :  on  conçoit  que  ce  règlement 
(ît  cesser  les  violences  des  nobles. 

L'origine  que  donne  Regnard  à  la  ville  de  Dantzi(r 
est  vraiment  curieuse.  Ce  nom  est  dérivé  du  mot 
allemand  Dantzen,  qui  signifie  danse.  Des  paysans 
s'assemblaient  ordinairement  dans  le  lieu  où  main- 
tenant est  située  cette  ville.  Ayant  dessein  d'y  bâtir, 
ils  demandèrent  un  emplacement  à  l'évéquc,  sei- 
gneur du  territoire.  Ce  prélat  leur  accorda  autant 
de  terrain  qu'ils  en  pourraient  entourer  en  se  te- 
nant par  la  main,  et  formant  en  rond  une  espèce 
de  danse. 

Tout  ce  que  le  voyageur  rapporte  du  gouverne- 
ment de  la  Pologne  n'a  plus  guère  d'intérêt,  surtout 
depuis  le  dernier  partage;  mais  le  petit  nombre 
d'observations  qu'il  a  faites  sur  les  mœurs  des  Polo- 
nais et  sur  le  caractère  national  a  encore  quelque 
prix,  parce  que  les  mœurs  et  le  caractère  des  Polo- 
nais ont  éprouvé  des  modifications  depuis  Regnard. 
La  description  qu'il  fait  de  la  mine  de  sel  de  Wi- 
liska  dans  cette  contrée  et  de  plusieurs  raines  de 
fer  et  de  cuivre  en  Suède,  est  très  attachante  par 
la  vive  peinture  des  dangers  qu'on  court  dans  la 
visite  de  ces  mines.  Mais  de  tous  les  voyages  de  Re- 
gnard ,  le  plus  connu  est  celui  qu'il  entreprit  dans 


la  Ijapc 
roi  de 
lui  prc 
provlni 
■>  tion,  é 
n  d'autre 


loble,  cv 
•u'ruient 
la  tomb(; 
è(j;leiuent 

e  Dantzij; 
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s  paysans 
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U'y  bâtir, 
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en  se  te- 
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jouvernc- 
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it  nombre 
i  des  Polo- 
e  quelque 
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s  Regnard. 
jel  de  Wi- 
i  raines  de 
îhante  par 
irt  dans  la 
ges  de  Re- 
•eprit  dans 


DIX-SEPTIÈME  SIÈCLE. 


la  I^ponie  suédoise,  sur  l'invitation  que  lui  en  fît  le 
roi  de  Suède,  et  d  après  les  recommandations  que 
lui  procura  ce  prince  auprès  des  gouverneurs  des 
provinces  qu'il  fallait  traverser.  Néanmoins  sa  rela- 
tion, écrite  avec  beaucoup  d'agrément,  n"a  guère 
d'autre  mérite;  elle  est  pleine  d'exagérations  et  d'er- 
reurs, dont  Acerbi  a  relevé  quelques-unes  dans  son 
voyage  au  cap  Nord.  '••     '    ""    'ii''' 

Vers  le  même  temps  que  Regnard  visitait Tornéo, 
un  autre  voyageur,  l'Allemand  Scheffer,  parcourait 
la  Laponie  pour  en  tracer  ensuite  l'histoire  et  la 
description,  avec  les  mœurs  et  coutumes  de  ses  lia- 
bitans  et  les  choses  rares  du  pays.  Scheffer  est  le 
premier  écrivain  qui  ait  décrit  exactement  ces  loin- 
taines et  intéressantes  contrées,  sous  le  double  rap- 
port de  la  géographie  et  de  l'histoire  naturelle. 
L'origine  des  Lapons,  leur  religion,  leurs  usages, 
leurs  travaux,  leurs  arts  sont  traités  par  lui  dans  un 
grand  détail;  mais,  de  même  que  les  écrivains  qui 
travaillent  sur  un  sujet  neuf  sont  plus  disposés  à  se 
tromper,  il  a  commis  plusieurs  erreurs,  malgré  les 
secours  qu'il  s'était  procurés  soit  dans  les  auteurs 
lapons  et  suédois  qui  ont  écrit  sur  la  Laponie,  soit 
{dans  le  pays  même  par  les  entretiens  qu'il  avait  eus 
avec  les  naturels.  Ces  erreurs  ont  été  relevées  dans 
l'ouvrage  de  Hogstroem ,  qui  a  paru  en  suédois  un 
jdemi-siècle  plus  tard,  et  dans  lequel  l'auteur  sou- 
tient également  que  les  Lapons  ne  sont  pas  d'une 


7«  VOYAGES  EN  EUROPE, 

aussi  petite  taille  que  Tavait  dit  Regnard.  Au  reste, 
les  mœurs  des  Lapons  et  la  description  du  pays  ont 
été  l'objet  d'un  voyage  tout  récent,  celui  de  Gapell 
Brooke,  compris  dans  le  XLV"  volume  de  notre 
Collection,  et  auquel  nous  renvoyons  le  lecteur. 

Un  contemporain  de  Scheffer  et  de  Regnard  vi- 
sitait rOrient,  tandis  qu'ils  exploraient  le  Nord: 
c'était  le  voyageur  Ricault,  secrétaire  de  l'ambassade 
britannique  à  Gonstantinople.  Il  parut  de  lui  en  1 677 
deux  volumes  sur  l'empire  ottoman,  les  mœurs,  la 
politique,  la  religion  et  le  Grand-Seigneur.  Personne, 
a\ant  Ricault,  n'avait  donné  sur  la  religion  musul- 
mane des  notions  vsi  étendues.  On  remarqua  surtout 
les  détails  qui  concernent  les  différens  officiers  du 
sérail ,  la  marine  et  la  milice  des  Turcs.  Néanmoins 
la  plupart  de  ses  aperçus  manquent  de  philosophie 
et  de  lucidité.  On  ne  les  consulte  plus  que  comme 
des  souvenirs  historiques;  c'est  dans  les  voyages 
effectués  pendant  le  XVlll*  siècle  qu'il  fa'ut  puiser 
des  notions  plus  certaines  et  plus  nettes. 


de  170^ 
qu'il  a. 
bonne  i 
étendu* 
détails  4 
sa  relat 
qui  l'on 
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Saint-D 
se  rend 
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et  de  ri 
rens  v( 
rope,  -^ 


DIX-HUITIÈME  SIÉGLE. 

'  LABAT. 

(1705-1715.) 

Le  premier  voyageur  qui  commence  dans  l'ordre 
chronologique  la  série  des  nombreux  voyageurs  en 
Europe,  au  x\uf  siècle,  est  le  père  Labat,  lequel 


Le  j 
1674, 
île  sept 
le  rap[ 
devait 
que  su( 
compaj 


Au  reste, 
pays  ont 
de  Gapell 
de  notre 
Bcteur. 
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le Nord: 
rabassade 
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e  comme 
i  voyages 
lUt  puiser 


ns  l'ordre 
ageurs  en 
it,  lequel 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  77 

de  1705  à  1715  parcourut  l'Espagne  et  l'Italie.  Ce 
qu  il  a  écrit  sur  TEspagne  se  réduit  à  une  assez 
bonne  description  de  Madrid.  Il  s'est  davantage 
étendu  sur  l'Italie;  mais,  à  l'exception  de  quelques 
détails  curieux  concernant  le  gouvernement  papal, 
sa  relation  ne  peut  plus  être  consultée  après  celles 
qui  l'ont  suivie.  Labat,  comme  supérieur  des  mis- 
sions de  son  ordre,  avait  à  la  fin  du  XVIl^  siècle  (car  il 
était  né  en  1663,  et  il  mourut  en  1738)  visité  toute 
la  chaîne  des  Antilles,  depuis  la  Grenade  jusqu'à 
Saint-Domingue.  Revenu  par  l'Espagne  en  1705,  il 
se  rendit  à  Rome  pour  y  veiller  aux  intérêts  de  la 
mission  des  Antilles:  il  passa  dix  années  en  Italie, 
et  de  retour  à  Paris,  sa  ville  natale,  il  publia  diffé^ 
rens  voyages  en  Amérique,  en  Afrique  et  en  Eu- 
rope, au  nombre  de  plus  de  trente  volumes. 


tt    ..:■ 


ANDERSON.  —  TROIL. 


(1730.) 


il')j.'f  ,,K. 


(1772.) 


Le  jurisconsulte  Anderson,  né  à  Hambourg  en 
1674,  visitait  en  1730  l'Islande,  et  faisait  de  cette 
île  septentrionale  une  description  intéressante  sous 
le  rapport  de  l'histoire  naturelle.  Cette  même  île 
devait  être  revue  quarante  ans  plus  tard  par  l'évê- 
que  suédois  Troïl,  qui  eut  le  bonheur  d'avoir  pour 
compagnons  de  ses  excursions  deux  hommes  ce- 


78 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


lèbres  depuis  par  leur  voyage  autour  du  monde 
avec  le  capitaine  Cook;  c'étaient  Banks  et  Solander. 
Il  fut  en  outre  aidé  de  l'astronome  Lind.  Ce  fut  avec 
le  secours  de  ces  trois  savans,  et  aussi  de  ses  pro- 
pres observations  que  Troïl  rédigea  sa  relation ,  qui 
peut  se  résumer  à  ce  qui  suit,  i.oq  u;  ■  >,!»■>*  ' 
-  L'Islande,  dont  les  aborigènes  sont  à  peu  près 
ignorés,  fut  visitée  successivement  par  les  Norwé- 
giens,  les  Suédois  et  les  Danois,  qui  y  formèrent 
quelques  établissemens  et  y  tracèrent  une  sorte  de 
gouvernement  bizarrement  mélangé  d'aristocratie 
et  de  démocratie.  Dans  le  xiif  siècle  l'île  se  soumit 
aux  rois  de  Norwége ,  et  elle  passa  avec  ce  royaume 
sous  la  domination  des  rois  de  Danemark,  qui  y 
entretiennent  un  grand  bailli  avec  plusieurs  offi- 
ciers sous  lui  pour  l'administration  de  la  justice 
civile  et  criminelle,  la  police,  la  perception  des 
taxes,  etc.  Au  tableau  des  anciennes  mœurs  des 
Islandais,  qui  étaient  à  peu  près  celles  de  tous  les 
peuples  barbares,  Troïl  fait  succéder  celui  de  leurs 
mœurs  actuelles  et  de  leur  caractère  physique  et 
moral.  Leur  taille  est  moyenne  et  leur  vigueur 
médiocre  :  les  femmes  d'une  figure  agréable  sont 
rares;  ce  sexe  ne  supplée  point  par  les  agréraens 
de  la  parure  à  ceux  que  la  nature  lui  a  refusés: 
leur  vêtement,  leur  coiffure  sont  d'un  mauvais 
goût;  les  femmes  riches  ne  se  distinguent  des  autres 
que  par  la  finesse  du  drap  qui  entre  dans  leur  lia- 


1  monde 
)o1ander. 
!  fut  avec 
ses  pro- 
tion ,  qui 

pe;i  près 
s  Norwé- 
ormèrent 
!  sorte  de 
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royaume 
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la  justice 
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lœurs  des 
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li  de  leurs 
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a  refusv\s: 
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des  autres 
is  leur  lia- 


9, 

I 

I 

I 


DlX-HUlTlÈME  SIÈCLE.  70 

I 

billcment,  et  qui  est  communément  noir,  de  même 
que  celui  des  hommes. 

En  Islande ,  les  maisons  sont  bâties  grossièrement 
et  très  mal  éclairées;  la  fumée  s'en  échappe  comme 
chez  les  sauvages,  par  un  trou  pratiqué  dans  la  toi- 
ture. L'occupation  principale  des  Islandais  est  la 
pêche  ;  ce  sont  les  femmes  qui  font  sécher  le  pois- 
son. Dans  l'hiver  ou  dans  le  mauvais  temps,  les 
hommes  soignent  les  bestiaux,  fauchent  le  foin, 
filent  la  laine.  La  libéralité,  la  bonne  foi,  un  vif 
attachement  pour  la  patrie,  des  manières  aisées  et 
alTectueuses  caractérisent  particulièrement  les  Is- 
landais. On  ne  connaît  pas  chez  eux  le  vol.  Ils  sont 
peu  industrieux,  faciles  à  surprendre  et  mélanco- 
liques. Les  dés,  les  cartes,  les  dames,  les  échecs 
sont  leurs  jeux  favoris  ;  ils  sont  fort  habiles  dans 
ce  dernier  jeu.  "  ''''"'  "      '   '  '        "     '■  '^-  ■■''■ 

L'Islande  n'offre  presque  aucun  vestige  d'anti- 
quités :  l'imprimerie,  au  contraire,  y  remonte  jus- 
qu'à la  découverte  de  cet  art  ;  elle  y  fut  établie  dès 
l'an  1531.  La  poésie  av.àt  été  très  ancie?^r.eraent 
cultivée  en  Islande,  et  antérieurement  à  l'art  d'é- 
crire, qui  ne  s'introduisit  dans  l'île  qu'au  Xî"  siècle; 
les  vers  se  gravaient  sur  la  pierre  brute,  sur  les 
plafonds,  les  murs,  les  boucliers.  Les  sagas^  ou- 
vrages historiques  des  Islandais ,  qui  nous  ont  été 
conservés,  sont  plus  estimés  que  leurs  poésies; 
cependant  on  ne  peut  les  lire  sans  discernement, 


80 


VOVAGES  EN  EUROPE. 


à  cause  des  fables  qui  s'y  mêlent  à  l'histoire.  Les 
sagas  sont  presque  les  seules  sources  de  l'histoire 
du  Nord.  Les  Islandais  chantent  volontiers  les  par- 
ties de  ces  sagas,  qui  sont  en  vers.  Un  ancien  ou- 
vrage, qu'on  nomme  VEdda,  prouve  que  dans  tous 
les  temps  les  Islandais  ont  pris  en  grande  considé- 
ration la  poésie  et  ceux  qui  s'en  occupent. 

L*air  de  l'Islande  est  pur  et  sain ,  et  ses  habitans 
parviennent  rarement  à  un  âge  peu  avancé.  Troïl 
attribue  ce  peu  de  longévité  à  la  qualité  des  ali- 
roens  et  à  la  manière  (Je  vivre.  Le  pain  des  Islandais 
est  ou  du  biscuit  levé,  fabriqué  à  Copenhague,  ou 
une  espèce  de  gâteaux  faits  avec  de  la  farine  de 
seigle,  et  du  petit-lait  fermenté  :  à  cette  nourriture 
ils  ajoutent  de  la  farine  de  lichen  et  d'orge  sauvage; 
du  beurre  aigri;  du  petit-lait  cuit,  caillé,  fermenté; 
du  poisson;  des  viandes  salées  et  famées.  Ils  mangent 
le  poisson  frais  sans  sel,  et  le  préfèrent  lorsqu'il 
commence  à  sentir;  ils  y  donnent  aussi  les  mêmes 
préparations  qu'à  la  viande.  Ils  consomment  toutes 
soiites  de  légumes  peu  succulens ,  beaucoup  de 
poissons  à  coquilles  et  de  champignons. 

C<^  régime,  composé  de  mets  un  peu  plus  choisis 
seulement  chez  les  gens  aisés,  est,  suivant  Troïl,  le 
germe  de  plusieurs  maladies  qui  affligent  les  Islan- 
dais, telles  que  la  diarrhée,  la  jaunisse,  l'érysipèle, 
et  surtout  une  fâcheuse  espèce  de  scorbut  qui  leur 
est  particulière  :  Troïl  entre,  à  cet  égard  dans  de 


grands 

les  pij( 

grand 

même, 

tout  ce 

l'on    n 

très  mi 

de   nor 

frayant 

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en  178( 

XL 


oire.  Les 
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i  les  par- 
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lus  choisis 
tTroïl,  le 
t  les  Islan- 
'érysipèle, 
it  qui  leur 
d  dans  de 


I  DIX-HUITIÈME  SIÈCLK:  81 

grands  détails.  Ceux  que  sa  relation  nous  offre  ::•.'*• 
les  piiénomùncs  du  feu,  en  Islande,  sont  du  plus 
grand  Intérêt,  mais  il  faut  les  lire  dans  l'ouvrage 
même.  i\ous  dirons  seulement  que  cette  île  est  sur- 
tout célèbre  par  le  volcan  encore  en  activité  que 
l'on  nomme  VHécla,  par  des  sources  chaudes 
très  multi[)!iées,  par  une  immense  chaîne  de  laves, 
de  nombreuses  colonnes  de  l^'isaltes,  traces  ef- 
frayantes et  témoins  irréfragables  d'un  grand  nom- 
bre d'autres  volcans  éteints;  c'est  à  la  description 
de  ces  scèties  importantes  que  Troil  s'est  le  plus  par- 
ticulièi'ement  attaché. 

JOHN  MOORE. 

(t7G5.) 

Pen  \nt  que  Troil  visitait  l'Islande,  l'Anglais 
John  Moore  parcourait  la  France,  la  Suisse  et  l'Al- 
lemagne. Ses  observations  sur  la  France  sont  géné- 
ralement impartiales  et  judicieuses;  il  ne  dissimule 
pas  les  défauts  du  caractère  français,  mais  il  en 
fait  ressortir  également  les  bonnes  qualités.  A  l'oc- 
casion des  mesures  que  prenait  la  police  d'alors 
pour  découvrir  les  auteurs  de  plusieurs  pièces  de 
vers  satiriques  qui  se  répandaient  à  Paris,  lors  de 
l'inauguration  de  la  statue  de  Louis  XV,  Moore 
semble  avoir  prévu  vingt  ans  a  l'avance  la  pos- 
sibilité d'une  révolution  telle  qu'elle  s'esft  opérée 
en  1780. 

XLVI.  6 


VOYAGKS  EN  EUROPK. 


MAUPERTUIS. 

(1740.) 

Les  actes  de  l'Académie  des  sciences  font  men- 
tion du  voyage  de  Maupertuis  en  Laponie,  où  il 
fut  envoyé  dans  la  première  moitié  du  XYlil"  siècle 
pour  déterminer  vers  le  pôle  nord  la  figure  de  la 
terre.  Cette  entreprise  fut  exécutée  en  un  an  et  avec 
un  plein  succès.  La  Laponie  avait  déjà  subi  de  nom- 
breuses améliorations  depuis  Regnard,  l'agriculture 
avait  pénétré  dans  les  vallées  exposées  aux  vents 
du  sud  ;  quelques  Suédois  commençaient  à  y  faire 
des  exploitations.  Une  ville  nouvelle,  TTammers- 
fgst,  devait  y  être  élevée  trente  ans  plus  tard.  Capel! 
Brooke  en  parle  avec  détail  dans  son  voyage  que 
renferme  le  XLV  volume  de  notre  Collection.  Au 
reste,  c'est  moins  comme  voyageur  que  comme 
savant  que  Maupertuis  doit  être  ujiprécié. 

LADY  MONTAGUÊ. 

(1720-1760.) 

Dans  l'ordre  cÎTiroPiologique  de  cette  revue 
sommaire  de  voyages,  il  faut  nous  transporter 
en  Orient  pour  y  suivre  lady  Montagne  jusque 
dfins  l'intérieur  du  harem  du  Grand  -  Seigneur, 
où  elle  obt'.ùt  l'insigne  faveur  de  pénétrer.  Les 
liaisons  qu'elle  parvi.i  à  établir  avec  la  sultane 
Fatima  et  ses  fréquentes \isites  au  sérail  lui  per 


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DIX- HUITIÈME  SIÈCLE.  »3 

mirent  de  donner  des  mœurs  du  palais  du  Grand- 
Turc  une  idée  plus  juste  que  celle  qu'on  n'en  avait 
auparavant.  C'est  pendant  son  séjour  en  Turquie, 
vers  l'an  1720,  qu'elle  eut  la  première  connaissance 
de  l'inoculation  de  la  petite  vérole,  et  qu'elle  songea 
à  introduire  ce  procédé  en  Europe' ,  où  son  voyage, 
sous  forme  de  lettres,  ne  parut  qu'en  1763,  c'est-à- 
dire  un  an  après  ia  mort  de  cette  femme  célèbre. 

Quoiqu'il  y  ait  d'elle  des  lettres  écrites  des  lieux 
où  elle  s'est  arrêtée,  soit  pour  aller  en  Turquie,  où 
elle  acompagnait  son  mari,  nommé  ambassadeur 
près  de  la  cour  ottomane,  soit  à  son  retour,  et 
qu'elles  renferment  quelques  observations  assez 
curieuses  pour  ces  différens  pays  et  pour  les  ha- 
bitans,  elles  n'ont  ni  l'étendue  ni  l'intérêt  de  ses 
lettres  écrites  de  laTurquie  même  :  ce  sont  principa- 
lement celles-ci  dont  nous  offrirons  la  substance. 

A  Belgrade,  capitale  de  la  Servie,  lady  Montaguë 
fut  logée  chez  un  etfondi  (on  appelle  ainsi  les  doc- 
teurs de  la  loi),  fîlh  .un  pacha,  et  qui  avait  reçu 
l'éducation  la  plus  soignée.  Cet  effendi  possédait 
parfaitement  les  langues  persane  et  arabe  :  il  inter- 
préta à  lady  Montagne  plusieurs  pièces  de  poésie 

'  L'inoculation,  pratiquée  de  temps  immémorial  dans  la  Chine  , 
tut  aussi  essayée  en  Circassie  pour  y  conserver  la  beauté  des 
femmes  qui,  dans  un  pays  pauvre  ,  sont  encore  un  f^rand  objet 
de  commerce.  Ce  fut  sous  ia  protection  de  lady  Montaguë  que  le 
cliirur{Tien  anfflais  Maitlanf!,  qui  apprit  en  Turquie  la  méthode 
qu'on  y  employait  pour  inoculer,  l'introduisit  à  Londres  en  1722. 


MÊÊlWL 


M  VOYAGES  EN  EUROPE, 

dont  elle  trouva  les  vers  très  harmonieux  et  sus- 
ceptibles d'une  bonne  musique;  lamour  y  éJait 
peint  d'une  manière  vive  et  passionnée.  L'cffendi 
avait  une  bibliothèque  de  livres  orientaux  bien 
choisis,  et  ne  paraissait  pas  scrupuleux  sur  l'obser- 
vation des  préceptes  du  Koran,  puisqu'il  faisait 
habituellement  usage  de  vin.  Tout  ce  que  Dieu  a 
fait,  disait-il,  est  destiné  à  l'usage  de  l'homme.  La 
loi  qui  défend  le  vin  est  cependant  fort  sage;  mais, 
ajouta-t-il,  elle  n'a  été  faite  que  pour  le  peuple: 
l'intention  du  prophète  n'a  jamais  été  de  gêner  ceux 
qui  en  savent  user  avec  modération. 

\a  religion  dominante  des  effendis,  et  qu'ils 
tiennent  secrète,  est  le  pur  déisme  :  loin  de  l'ensei- 
gner au  peuple,  ils  l'amusent  avec  divers  dogmes, 
suivant  leur  intérêt  personnel;  aucun  d'eux  ne  s'a- 
vise d'afficher  l'incrédulité. 

En  quittant  Belgrade,  lady  Montagne  vit  avec  dou- 
leur que  les  janissaires  de  son  escorte  ne  payaient 
rien  aux  malheureux  habita ns,  ni  pour  le  louage 
des  chariots  de  son  bagage  et  pour  le  salaire  dos 
conducteurs,  ni  pour  le  dédommagement  des  che- 
vaux estropiés  ou  morts  de  fatigue.  Ils  ne  se  bor- 
naient pas  à  ces  injustices;  ils  enlevaient  chez  le 
paysan  tout  ce  qui  se  trouvait  à  leur  convenance. 
Lorsque  les  pachas  voyagent,  l'oppression,  dit-elle, 
est  encore  tout  autre.  Ils  ne  se  contentent  pas  de 
tout  piller,  ils  exigent  une  contribution  qu'ils  ap- 


's 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLK. 


85 


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pellent  urgent  de  dent,  pour  se  dédomm^i-^t^r  du 
tort  qu'il*  ont  l'ait  à  leurs  dents,  en  dévorant  la 
provision  des  malheureux  cultivateurs. 

Arrivée  à  Sophia,  capitale  de  la  Bulfjarie,  lady 
Montagne  se  rendit  aux  bains  chauds  de  cette  ville, 
renommée  pour  la  salubrité  de  l'air.  Elle  y  trouva 
deux  cents  femmes  nues.  La  décence  de  leur  lan- 
p,a(je  et  de  leurs  manières  éloignait  toute  idée  of- 
fensante pour  la  pudeur.  Les  unes  se  promenaient 
majestueusement,  comme  Eve  dans  le  paradis  ter- 
restre; d'autres  travaillaient  ou  prenaient  du  sor- 
bet. ()uelques-unes  se  faisaient  tresser  les  cheveux 
par  de  très  jolies  esclaves  tle  dix-sept  à  dix-huit  ans: 
une  partie  d'entre  elies  se  faisaient  remarquer  par 
l'élégance  des  formes;  toutes  avaient  la  peau  d'une 
blancheur  éblouissante,  et  de  beaux  cheveux  par- 
tagés en  tresses.  Ces  bains  sont  les  cafés  des  dames 
en  Turquie  :  elles  prennent  ce  divertissement  une 
fois  par  semaine,  et  y  restent  quatre  à  cinq  heures 
toutes  nues  sans  s'enrhumer,  quoiqu'clîos  passent 
brusquement  du  bain  chaud  dans  une  chambre 
fi'oide,  où  elles  reprennent  leurs  vètemens.  A  cette 
occasion  lady  Montagne  entre  dans  un  détail  très 
curieux  sur  la  parure  et  les  a'.ti'aits  des  dames 
turques. 

En  général  les  oi'nemens  sont  prodigués  pour  la 
coiffure  principalement  :  c'est  une  espèce  de  tur- 
ban dont  l'étoffe  varie  suivant  les  saisons;  mais  eu 


VOYAGES  EN  EUIIOI' 


tout  temps  on  le  porte  penché  8ur  la  tète,  et  on  v 


de  di 


attuche  iiii  |][land  cl  or,  soit  avec  une  rose  cie  Uia- 
mans,  soit  avec  un  riclic  nriouchoir  brodé;  il  est 
ordinairement  surmonté  d'un  panachi»  de  plumes 
de  héron,  quelquefois  aussi  d'un  fjros  bouquet  de 
différentes  pierreries,  où  les  perle»  j-acnt  les  bou- 
tons de  fleurs,  les  rubis  forment  des  roses,  les  to- 
pazes figurent  des  jonquilles.  Les  cheveux  pendent 
par-derrière  dans  toute  leur  longueur,  er  M'esses 
ornées  de  rubans  et  de  perles;  jamais  lad^  onta- 
guë  n'en  avait  vu  de  si  beaux  et  en  si  grande  quan- 
tité; elle  comptajusqu'à  cent  dix  tresses  à  une  dame 
turque,  sans  aucun  cheveu  postiche.  Les  beautés 
lui  parurent  beaucoup  plus  communes  en  Turq^iie 
qu'en  Angleterre;  il  est  rare,  dans  le  premier  de  ces 
pays,  de  trouver  une  femme  qui  ne  soit  pas  très 
belle. Toutes  ont  un  teint  éclatant  et  de  grands  yeux 
noirs;  comme  les  femmes  grecques,  elles  ont  le 
se«M'et  de  donner  de  la  grâce  à  leurs  sourcils  en 
meUant  autour  de  leurs  yeux  une  couleur  noire 
qui  les  rend  très  brillantes  à  la  lumière,  et  même  à 
une  certaine  distance  dans  le  jour. 

Lady  Montagne  fait  la  description  la  plus  riante 
des  campagnes  de  la  Romanie,  où  est  située  An- 
drinople.  Les  bords  des  rivières  sont  plantés  d'ar- 
bres fruitiers,  sous  lesquels  les  gens  de  distinction 
vont  prendre  le  frais  et  le  café  au  son  de  quelque 
instrument.  Les  jardiniers  même  se  plaisent  à  marier 


gués.  1 
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OIX-HrUTiKMK  SiftCLK. 


87 


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au  murniiire  des  eaux  le  son  de  leur  chalumeau, 
qui  dniis  sa  simplicité  a  quelque  chose  d'infini- 
ment jijjréable.  \.<\  chaleur  du  climat  ne  leur  permet 
pas  de  se  livrer  beaucoup  au  travail;  inais  la  ferti- 
lité des  terrains,  le  secoufs  des  arrosages  y  sup- 
pléent. 1-41  plupart  d'entre  eux  sont  de  la  nation 
jjrecque.  La  vente  de  leurs  légumes  et  de  leurs  fruits 
à  ta  ville  procure  de  laisance  à  la  plupart.  Leurs 
femmes  et  leurs  filles,  qui  toutes  ont  de  la  beauté 
ou  des  agrémens,  se  montrent  sans  »iles  dans 
leurs  petites  habitations  situées  au  'les  jar- 

dins, et  s'occupent  à  faire  de  la  ibre 

des  arbres.  On  retrouve  là  tous  les  ih  u  uui«^  ns  que 
nous  représentent  les  antiques  grecques  et  romaines. 
Les  bergers  y  tressent  encore  des  guirlandes  de  fleurs 
pour  leurs  béliers  favoris,  et,  comme  ceux  deThéo- 
crite,  ils  chantent  et  s'amusent  à  différons  jeux. 

La  poésie  est  un  des  amusemens  des  gens  distin- 
gués. Lady  Montagne  rapporte  la  traduction  qu'elle 
Ht  de  plusieurs  stances  de  vers  que  le  pacha  Ibra- 
him adressait  à  la  princesse  sa  femme,  fille  du  sul- 
tan ,  avant  d'avoir  été  admis  à  la  voir  :  malgré  la 
différence  des  idiomes,  on  démêle  dans  ce  petit 
poème  des  beautés  réelles. 

Lady  Montagne  fut  spectatrice  de  la  marche  des 
troupes  qui  défilèrent  devant  le  Grand-Seigneur 
pour  se  rendre  au  corps  d'armée  qui  devait  se 
transporter  dans  peu  sur  la  frontière.  En  tête  était 


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WEBSTER,  N.Y.  MS80 

(716)  872-4503 


88  VOYAGES  EN  EUROPE, 

un  effendi  richement  monté  sur  un  chameau  ma- 
gnifiquement enharnaché.  Il  lisait  à  haute  voix  le 
Koran  posé  sur  un  coussin  ;  il  était  entouré  d'une 
troupe  d'enfans  qui  chantaient  des  versets  du  Ko- 
ran. Venait  ensuite  un  groupe  où  Ton  avait  figuré 
toutes  les  opérations  du  labourage,  puis  les  boulan- 
gers et  les  différens  corps  de  métiers,  et  au  milieu 
d'eux  des  arcs  de  triomphe  portatifs,  où  les  difFé- 
rens  genres  de  commerce  étaient  magnifiquiement 
représentés  :  ils  étaient  suivis  par  des  musiciens  et 
des  danseurs.  La  marche  était  fermée  par  des  vo- 
lontaires nus  jusqu'à  la  ceinture.  Pour  exprimer 
leur  dévouement  au  Grand-Seigneur,  les  uns  avaient 
des  flèches  enfoncées  dans  les  bras  ou  dans  la  tête, 
d'où  le  sang  découlait  sur  leurs  bras  et  sur  leur 
visage;  d'autres  le  faisaient  rejaillir  sur  leurs  ca- 
marades en  se  perçant  le  bras  avec  un  couteau. 

Par  une  distinction  particulière,  lady  Montagne 
fut  introduite,  tant  à  Andrinople  qu'à  Constantir 
nople,  dans  trois  harems  de  dames  turques.  La  des- 
cription de  ces  harems,  où  des  Européennes  de  son 
rang  et  de  son  mérite  n'avaient  jamais  pénétré,  est 
nécessairement  d'un  grand  intérêt.  Le  premier  de 
ces  harems,  à  Andrinople,  était  celui  d'un  grand- 
vizir,  et  n'avait  aucune  magnificence.  La  richesse 
des  habits  et  le  grand  nombre  de  domestiques  an- 
nonçaient seuls  la  dignité  du  propriétaire.  La  sim- 
plicité de  l'ameublement  s'expliquait  par  la  dévotion 


DIX-HUlTlÈMË  SIÈCLE.  8» 

du  vizir  et  de  sa  femme  :  tous  deux  empToyaient 
leur  superflu  au  soulagement  des  pauvres.  La  femme, 
âgée  de  cinquante  ans,  et  à  laquelle  son  mari  gar- 
dait une  fidélité  scrupuleuse,  s'occupait  unique- 
ment à  prier  Dieu  et  son  prophète  :  elle  n'en  reçut 
pas  moins  ladyMontaguë  avec  une  politesse  franche 
et  naturelle  ;  elle  n'observa  pas  moins,  suivant  l'u- 
sage du  pays ,  de  faire  encenser  ses  cheveux  et  ses 
habits  par  des  esclaves,  et  d'en  faire  danser  devant 
elle  au  son  des  instrumens  quelques  autres.  Le  re- 
pas, qu'elle  fit  servir  plat  à  plat,  n'en  fut  pas  moins 
somptueux. 

A  Andrinople  encore,  lady  Montagne  trouva  plus 
d'amusement  dans  le  harera  du  kiaia,  ou  lieutenant 
du  grand-vizir.  Fatime,  sa  femme,  lui  parut  une 
beauté  telle  que  l'art  même  n'aurait  pu  l'imaginer, 
et  que  la  nature  seulement  a  pu  la  former.  Le  por- 
trait qu'elle  en  fait  exprime  vivement  l'enthou- 
siasme dont  elle  fut  saisie  en  la  voyant ,  et  qui ,  loin 
de  se  refroidir  dans  le  cours  de  sa  visite,  s'exalta 
encore  à  l'examen  détaillé  des  charmes  de  Fatime. 

Tout  ce  que  le  luxe  le  plus  recherché  peut  réu- 
nir en  araeublemens  et  en  parures  était  rassemblé 
autour  de  la  belle  Fatime;  les  danses  que  des  es- 
claves charmantes  exécutèrent  devant  lady  Mon- 
tagne étaient  légères  et  voluptueuses;  la  musique 
qu'on  lui  fit  entendre  lui  parut  extrêmement  tou^ 
chante  :  elle  ajoute,  à  cette  occasion  ,  qu'une  dame 


90  VOYAGES  EN  EUROPE. 

grecque,  qui   possédait  parFaitement  la  musique 

italienne,  préférait  la  musique  turque.  < 

Le  troisième  harem  où  lady  Montaguë  fut  intro- 
duite à  Gonstantinople,  était  celui  de  la  sultane, 
veuve  du  précédent  empereur.  Ce  qu'elle  y  trouva 
de  plus  remarquable,  ce  fut  la  profusion  de  pier- 
reries dont  cette  sultane  était  couverte ,  la  magni- 
ficence de  l'ameublement,  la  richesse  de  la  vais- 
selle. L'affabilité  de  ia  sultane  enhardit  lady  Mon- 
taguë  à  lui  faire  plusieurs  questions  sur  les  usages 
du  sérail  :  par  les  réponses  de  cette  princesse,  elle 
s'assura  qu'il  était  faux  que  le  sultan  jetât  un  mou- 
choir sur  celle  qu'il  honorait  de  son  choix,  et  que 
celle-''!  rampât  jusqu'au  pied  du  lit  avant  d'y  être 
introduite  ;  c'est  par  le  keisler-aga  (le  chef  des  eu- 
nuques) que  le  sultan  fait  annoncer  à  l'odalisque 
(femme  destinée  aux  plaisirs  du  Grand-Seigneur)  la 
préférence  qu'il  lui  donne;  il  se  fait  précéder  d'un 
présent.  Les  autres  odalisques  ont  eu  soin,  après 
avoir  complimenté  cette  favorite  du  jour,  de  la  con- 
duire au  bain,  de  la  parfumer  et  de  l'habiller  ma- 
gnifiquement. 

Lady  Montaguë  revit  à  Constant.. iople  la  belle 
Fatime:  elle  la  trouva  dans  vn  appartement  d'hiver 
dont  les  murs  étaient:  incrustés  en  nacre  de  perle, 
en  ivoire,  en  bois  d'olivier  :  ceux  de  la  chambre  où 
elle  la  reçut  l'étaient  en  porcelaine,  et  les  estrades 
garnies  de  riches  cCuissins  de  brocart. 


DlX-HUlTlÈMË  SIÈCLE.  Ul 

Au  milieu  de  ces  descriptions  voluptueuses  se 
trouvent  jetés  des  détails  intéressans  sur  des  points 
de  religion  et  sur  des  objets  de  législation  :  en  voici 
quelques  traits  détachés. 

C'est  une  erreur  accréditée  en  Europe  par  la 
Faute  des  anciens  voyageurs,  que  Mahomet  exclut 
les  femmes  de  toute  participation  à  la  béatitude 
éternelle  après  cette  vie.  Lady  Montaguë  s'assura, 
d'après  l'interprétation  des  docteurs  de  la  loi,  que 
Mahomet  a  promis  aux  femmes  un  paradis,  mais 
séparé  de  celui  des  hommes  :  les  vertus  qu'il  exige 
d'elles  pour  mériter  un  bonheur  éternel,  c'est  de 
travailler  de  tout  leur  pouvoir  à  la  propagation  de 
l'espèce  humaine.  En  conséquence  de  ce  précepte, 
les  filles  qui  meurent  vierges,  les  veuves  qui  ne  se 
remarient  pas,  sont  considérées  comme  en  état  de 
péché  mortel,  et  en  conséquence  exclues  du  pa- 
radis. 

Lady  Montaguë  s'assura  uissi  de  la  réalité  d'un 
usage  extrêmement  bizarre,  mais  fondé  sur  la  re- 
ligion et  sur  la  loi;  c'est  que,  lorsqu'un  mari  a 
répudié  solennellement  sa  femme,  il  ne  peut  la  re- 
prendre que  sous  la  condition  de  permettre  à  un 
autre  homme  de  passer  la  nuit  avec  elle.  Il  se  trouve, 
chose  bien  étrange,  des  maris  qui  aiment  mieux 
subir  cette  loi  que  d'être  privés  toujours  d'une 
femme  pour  laquelle  leur  passion  s'est  rallumée. 

L'adoption  est  en  usage  chez  les  Turcs;  mais  elle 


92  VOYAGES  EN  EUROPE, 

est  plus  usitée  encore  parmi  les  Grecs  et  les  Armé- 
niens. Gomme  on  n  a  pas  en  Turquie  la  facilité  de 
disposer  de  sa  fortune  en  faveur  d'un  parent  ou 
d'un  ami,  et  qu'elle  n'est  assurée  qu'aux  enfans, 
ceux  qui  prévoient  ne  point  en  avoir,  ont  grand 
soin ,  pour  ne  pas  laisser  tomber  leurs  biens  dans 
le  trésor  du  Grand-Seigneur,  de  choisir  un  enfant 
du  peuple,  et  de  le  conduire  avec  ses  parens  devant 
le  cadi,  où  ils  déclarent  qu'ils  l'instituent  leur  hé- 
ritier. Les  parens  alors  renoncent  à  tous  leurs 
droits  sur  lui,  et  en  passent  acte  devant  témoins. 
Celui  qui  a  adopté  l'enfant  ne  peut  plus  le  déshé- 
riter, îjady  Montagne  a  vu  néanmoins  des  mendians 
donner  des  preuves  de  l'amour  paternel,  en  refu- 
sant de  céder  leurs  enfans  à  des  gens  très  riches, 
quoiqu'ils  fussent  certains  que  communément  les 
parens  adoptifs  ont  une  grande  affection  pour  ceux 
qu'ils  ont  adoptés. 

Aux  lettres  de  lady  Montagne  nous  ferons  suc- 
céder le  voyage  d'un  Français  en  Grèce ,  celui  de 
M.  le  comte  de  Choiseul-Gouffier. 


-^ 


CHOISEUL-GOUFFIER. 

(1776.) 


Entraîné  de  bonne  heure  par  le  désir  de  visiter 
la  Grèce,  le  comte  de  Choiseul,  qui  prit  le  nom  de 
Gouffier  en  épousant  l'héritière  de  celte  maison. 


s  Armé-    ■ 

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en  fans,     X 

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,  en  refu- 

ès  riches,     ^ 

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,  celui  de 


de  visiiei 

le  nom  de 

te  maison. 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  93 

s'embarqua  en  1776  pour  la  terre  classique  des 
beaux-arts,  et  en  revint  avec  de  précieux  maté- 
riaux. A  son  retour  en  France,  et  après  avoir  été 
admis  en  1779  membre  de  l'Académie  des  inscrip- 
tions et  belles- lettres,  il  publia  son  Voyage  Pitto- 
resque en  Grèce.  Nommé  en  \  784  ambassadeur  de 
France  près  la  Porte  Ottomane,  il  emmena  avec 
lui  l'abbé  Delille,  dont  il  fut  toujours  le  protecteur 
et  l'ami.  Au  commencement  de  la  révolution  fran- 
çaise, il  allait  se  rendre  à  Londres  avec  la  même 
qualité  d'ambassadeur;  mais  apprenant  qu'il  était 
décrété  d'accusation  par  la  république,  il  resta  à 
Constantinople,  d'où  il  passa  en  Russie  pour  ne 
reparaître  en  France  qu'en  1802.  Voici  quelques- 
uns  des  aperçus  de  son  voyage  en  Grèce. 

L'île  de  Cérigo,  si  célèbre  autrefois  sous  le  nom 
de  Cythère,  n'est  plus  qu'un  rocher  qui  sert  de  re- 
traite aux  pirates. 

L'île  de  l'Argentière,  ainsi  nommée  de  ses  mines 
d'argent,  qui  sont  aujourd'hui  fermées,  est  une 
terre  stérile  qui  se  refuse  à  toute  autre  végétation 
que  celle  de  l'orge  :  on  y  trouve,  comme  à  Milo, 
une  terre  connue  chez  les  anciens  sous  le  nom  de 
terre  de  CimoHs.  Cette  terre  est  très  recherchée 
pour  le  blanchissage  du  linge.  Ses  habitans,  au 
nombre  de  deux  cents  .seulement,  sont  fort  miséra- 
bles. Le  vêtement  des  femmes  y  est  excessivement 
ridicule. 


94  VOYAGES  EN  ECHOPE. 

L'ile  de  Milo,  anciennement  Malos,  renommée 
dans  les  temps  anciens  pour  son  extrême  fertilité, 
est  aujourd'hui  très  malsaine  :  la  plus  grande  par- 
tie de  ceux  qui  riiabitent  sont  jaunes  et  bouffis, 
leur  ventre  est  énorme,  leurs  jambes  enflées.  La 
cause  de  cette  insalubrité  se  trouve  dans  l'abon- 
dance d'alun  et  de  soufre  qu'on  y  rencontre  à 
chaque  pas,  et  surtout  dans  les  exhalaisons  qu'aux 
entrées  du  port  envoient  plusieurs  crevasses.  Ces 
exhalaisons  pestilentielles  prennent  une  origine 
dans  l'éruption  d'un  volcan  nouveau  qui,  formant 
en  1707  une  îie  nouvelle,  ébranla  toutes  les  îles 
voisines.  On  trouve  dans  cette  île  une  vaste  caverne 
tapissée  d'alun,  qui  parait  devoir  sa  formation  à 
des  carrières. 

L'île  de  Siphante,  anciennement  Siphnos,  offrit 
à  la  curiosité  de  M.  de  Choiseul-Gouffier,  un  tom 
beau  de  marbre  blanc  chargé  de  riches  sculptures, 
et  bien  conservé,  quelques  autres  qui  l'étaient  beau- 
coup moins,  et  quelques  faibles  vestiges  consacrés 
au  dieu  Pan.  L'hospitalité  des  habitans  lui  rappela 
celle  des  anciens  Grecs.  Dans  cette  île,  le  ciel  est 
toujours  pur  et  serein ,  et  la  terre  y  est  très  féconde. 
On  ne  trouve  plus  k  Siphante  ces  mines  d'or  et 
d'argent  dont  la  dîme  enrichissait  les  prêtres  du 
temple  d'Apollon.  L'habillement  des  femmes  se 
rapproche  ici  du  costume  grec. 

Les  habitans  de  l'île  de  Nio,  autrefois  los,  ainsi 


I 


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-1 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  1)5 

nommée  de  ce  qu  elle  fut  peuplée  par  une  colonie 
d'ioniens,  parurent  à  M.  de  Choiseul  très  hospita- 
liers. L'île  de  Santorin  ,  autrefois  Théra,  et  l'île 
d'Aproinsi  sont  un  démembrement  de  l'ancienne 
lie  de  Caliste,  qui  avait  pris  ce  nom  de  sa  beauté. 
A  Santorin  les  femmes  sont  très  coquettes  et  tien- 
nentàêtre  bien  parées,  de  manière  à  ne  point  laisser 
soupçonner  leur  malaise  intérieur.  Tout  le  cMé  de 
l'ile  opposé  au  volcan  qui  y  fait  toujours  quelques 
explosions ,  est  fertile.  Les  terres  couvertes  de  pierres 
ponces  produisent  de  bons  vins,  de  l'orge,  du  co- 
ton, mais  peu  de  froment.  >  ;*  . ..  i.  *;v.  ^  •»>  v; 
L'île  de  Naxia,  autrefois  Naxos,  si  célèbre  par  le 
culte  dont  on  y  honorait  Bacchus,  et  par  la  célé- 
bration des  Bacchanales,  produit  du  froment,  des 
figues,  du  vin,  de  l'huile,  de  la  soie,  dans  de  déli- 
cieuses vallées  arrosées  de  mille  ruisseaux  et  om- 
bragées d'orangers  et  de  grenadiers.  Il  reste  encore 
une  porte  du  temple  de  Bacchus. 

L'île  de  Tina,  autrefois  Tinos,  aussi  fertile  que 
INaxia,  est  remarquable  encore  par  les  proportions 
élégantes  et  la  beauté  des  traits  de  ses  habitans. 
L'habillement  le  plus  voluptueux  couvre  leurs  fem- 
mes sans  les  cacher.  L'industrie  et  le  commerce  en- 
richissent cette  île  autant  que  font  ses  productions. 
Les  femmes  de  l'état  le  plus  aisé  ne  dédaignent  pas 
les  détails  intéressans  de  leur  ménage  :  elles-mêmes 
recueillent  la  feuille  des  mûriers  et  filent  la  soie. 


m 


90  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Les  travaux  peu  pénibles  qu'elles  partagent  avec 
leurs  servantes  permettent  à  celles-ci  de  conserver 
tous  leurs  a^^rémcns.  Tina  est  Tune  des  îles  les  plus 
fertiles  de  l'Archipel.  Les  magistrats  de  cette  île, 
quel  que  soit  leur  âge,  s  appellent  vieillards  :  c'est 
un  hommage  que  ces  heureux  insulaires  rendent  à 
la  vieillesse. 

De  tant  de  monumens  qui  rendent  File  de  Délos 
si  célèbre,  il  ne  reste  que  de  faibles  vestiges,  tristes 
témoignages  de  son  ancienne  splendeur.  Sur  les 
bords  de  la  mer  sont  quelques  colonnes,  quelques 
piliers  de  granit;  plus  loin,  les  ruines  d'un  portique 
que  Philippe,  roi  de  Macédoine,  y  avait  fait  élever. 
Onvoit  encore  quelques  débris  du  temple  d'Apollon. 
C'est  dans  l'île  de  Paros  que  Peiresc  découvrit  ces 
tables  si  utiles  à  la  chronologie,  et  qui  sont  si  con- 
nues sous  la  dénomination  de  marbres  d'Àrundely 
parce  que  le  comte  de  ce  nom  les  fit  transporter  de 
Smyrne  en  Angleterre.  M.  de  Ghoiseul  visita  les 
carrières  d'où  l'on  tira  ce  beau  marbre.  L'île  est 
couverte  de  riches  débris,  dont  quelques-uns  ont 
servi  à  la  construction  de  chaumières. 

L'île  d'Antiparos,  anciennement  l'île  d'OIiaros, 
est  célèbre  par  sa  grotte  fameuse,  et  dans  laquelle 
il  est  difficile  de  pénétrer.  On  descend  d'abord, 
suspendu  sur  une  corde ,  à  douze  toises  de  profon- 
deur :  là  se  trouve  l'endroit  plus  difficile,  et  le  seul 
un  peu  dangereux.  C'est  u  >  rocher  arrondi  surle- 


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UIX-HUITIÈME  SlÈi^LE.  07 

quel  Veau  coule  de  toutes  parts,  et  qui,  sur  la  droite, 
est  bordée  de  précipices  :  on  se  laisse  couler  à  pic 
environ  de  douze  à  quinze  pieds,  en  tenant  forte- 
ment un  câble.  Cet  endroit  franchi,  on  descend 
par  une  pente  fortraide,  mais  dans  un  passage  plus 
large,  avec  l'intention  de  se  jeter  toujours  sur  la 
gauche  pour  éviter  les  mêmes  précipices  :  la  pente 
devient  ensuite  moins  raide,  et  h  la  moitié  environ 
de  la  descente,  le  secours  d'un  câble  est  presque 
inutile.  Au  fond  de  la  grotte  on  trouve  un  gros 
rocher  qui  semble  fermer  le  passage;  on  le  tourne, 
et  l'on  entre  dans  la  salle  qui  termine  le  souterrain. 
C'est  là  qu'on  admire  les  stalactites  ou  cristallisa- 
lions  ramifiées,  qui  ont  la  forme  de  culs-de-lampe 
pyramidaux  avec  une  large  base  qui  les  attache 
au  rocher  en  contre -bas;  et  les  stalagmites  ou 
concrétions  protubérantes  en  forme  de  choux 
ou  de  touffes,  qui  se  trouvent  sur  la  base  du  sol 
ou  du  plancher  souterrain  en  contre-haut ,  à  l'op- 
posite  des  stalactites.  Les  unes  et  les  autres  sont 
formées  par  les  eaux  qui  tombent  de  la  voûte ,  et 
goutte  à  goutte  en  charriant  des  matières  pier- 
reuses. La  plus  belle  des  stalagmites  a  vingt-quatre 
pieds  de  hauteur,  sur  une  base  de  vingt  pieds  de 
diamètre. 

L'île  de  Scyros,  quoique  avantagée  d'un  bon  port , 
ne  fait  qu'un  petit  commerce  de  vin  et  de  fromage. 

Le  sol  offre  l'apparence  de  phisieurs  cratères,  et 
XLVI.  7 


fi  VOYAGKS  EN  KllROPK. 

parait  renfermer  des  mines  de  cuivre.  L*ile  de 
Lemnos,  si  célèbre  dans  l'antiquité,  soit 'par  un 
-volcan  que  Timagination  des  poètes  avait  converti 
en  forges  de  Vulcain ,  et  dont  il  subsiste  encore  des 
traces,  soit  par  son  labyrinthe  dont  il  ne  reste  plus 
de  vestiges,  n'était  pas  moins  fameuse  par  sa  terre 
sigillée,  qui,  dit -on,  guérit  Philoctète,  et  qui  a 
conservé  toute  sa  prétendue  vertu  dans  l'esprit 
crédule  des  Grecs. 

L'ile  de  Metelin,  connue  dans  l'antiquité  sous  le 
nom  A'tle  de  Lesbos,  a  pris  sa  nouvelle  dénomina- 
tion de  Mytilène,  la  principale  des  cinq  villes  qu'elle 
renfermait.  L'ilc  Scio  ou  Chios  possède  un  port 
très  vivant.  Une  chaîne  de  montagnes  arides  par- 
tage cette  île,  mais  les  vallées  arrosées  par  une  in- 
finité de  ruisseaux  sont  couvertes  d'orangers  et  de 
grenadiers.  Les  vignes  donnent  un  vin  qui  soutient 
encore  son  ancienne  réputation.  Une  production 
particulière  à  Chios  est  le  lentisque,  arbre  qui  pro- 
duit ce  fameux  mastic  ou  aromate  dont  les  femmes 
turques  et  grecques  font  un  si  grand  usage.  La  na- 
ture a  ici  versé  ses  dons  avec  profusion. 

L'île  de  Samos,  le  berceau  de  Pythagore,  con- 
serve encore  des  vestiges  de  son  ancienne  splen- 
deur; mais  sa  population  ne  répond  point  à  la 
fertilité  de  son  territoire.  L'île  de  Pathmos,  très 
stérile,  est  fameuse  par  son  couvent  des  moines  de 
Saint-Jean,  qui  subsiste  des  tribus  des  îles  voisines. 


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DIX-HUITIÊMB  81ÊCLE.  00 

L'Ile  de  Ces,  qui  partage  la  fertilité  des  autres  tles, 
a  un  platane  prodigieux,  auquel  les  habitans  ren- 
dent une  espèce  de  culte  :  les  branches  de  cet  arbrf.' 
qui  couvrent  la  place  sont  soutenues  par  de  su- 
perbes colonnes  de  marbre  et  de  granit,  qni  attes- 
tent l'ancienne  magnificence  du  temple  d'Esculape, 
si  révéré  dans  cette  ile. 

L'Ile  de  Rhodes,  fameuse  dans  l'antiquité  par 
son  commerce  maritime,  par  les  lois  qu'elle  établit 
pour  ce  commerce,  par  le  grand  nombre  d'artistes 
qu'elle  produisit,  par  son  colosse  et  son  temple  du 
1  soleil ,  dont  il  ne  reste  pas  de  vestiges ,  a  été  célèbre 
également  dans  le  moyen-àge  comme  le  chef-lieu 
de  l'ordre  de  Saint-Jean  de  Jérusalem,  et  par  la 
résistance  que  les  chevaliers  de  cet  ordre  opposè- 
rent à  toutes  les  forces  de  l'empire  ottoman.  M.  de 
Choiseul  visita  en  détail  cette  ile,  d'où  il  se  rendit 
à  Milet,  dont  les  ruines  n'offrent  que  des  arbres 
mutilés;  et  delà  à  Ephèse,  où  l'on  voit  encore  deux 
aqueducs,  mais  où  l'on  ne  trouve  plus  aucun  ves- 
tige du  temple  de  Diane. 

Puisque  nous  nous  trouvons  dans  le  voisinage 
de  la  Turquie,  notons  ici  en  passant  quelques-unes 
des  observations  curieuses  de  l'Anglais  Porter,  qui 
visita  ce  pays  à  peu  près  vers  le  même  temps  que 
M.  de  Choiseul. 


100 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


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(1768.) 


)   )' 


-  Porter  connaissait  bien  la  nation  turque;  il  avait 
été  ministre  plénipotentiaire  à  Constantinople,  et 
il  réunissait  à  l'avantage  de  pouvoir  presque  tout 
visiter,  le  talent  de  bien  observer  et  de  bien  dé- 
crire. Porter  a  esquissé  rapidement  le  caractère  des 
Turcs:  il  les  représente  en  général  comme  intelli- 
gens,  réfléchis  et  d'une  persévérance  infatigable  à 
suivre  les  objets  d'intérêt  et  de  fortune  ;  dans  cette 
poursuite  ils  sont  capables  de  tous  les  excès,  et  de 
sacrifier  au  besoin  tous  les  liens  de  l'amitié  et  du 
sang.  Hors  de  là ,  dans  le  cours  de  la  vie  commune, 
ils  sont  obligeans,  humains  et  capables  même  de 
reconnaissance;  mais  lorsqu'ils  étendent  jusqu'aux 
chrétiens  la  pratique  de  ces  vertus,  c'est  toujours 
en  vue  de  cet  avantage.    -    -^ 

La  passion  la  plus  active  chez  les  Turcs  est  celle 
de  la  vengeance.  Porter  en  cite  quelques  exemples 
effrayans.  En  examinant  la  religion  musulmane,  il 
observe  que,  malgré  la  simplicité  apparente  du 
principe  fondamental  de  cette  religion ,  qui  est  l'is- 
lamisme, ou  le  dogme  de  l'unité  d'un  Dieu,  il  n'est 
pas  néanmoins  de  religion  dans  le  monde  fondée 
sur  tant  de  révélations,  et  aussi  chargée  de  minu- 
tieuses pratiques.  Comme  ces  pratiques,  si  indiffé- 


t 


e;  il  avait 
nople,  et 
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actère  des 
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onde  fondée 
[ée  de  minu- 
is,  si  indiffé- 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  101 

rentes  à  l'ordre  moral  de  l'univers ,  sont  aux  yeux 
des  musulmans  le  seul  moyen  d'expiation  et  de 
salut,  ils  en  contractent  nécessairement  une  into- 
lérance capable  de  les  porter,  aux  derniers  excès 
contre  ceux  qu'ils  quali&ent  d'infidèles.  Le  seul 
préservatif  contre  cette  fureur  intolérante  envei*s 
les  chrétiens  et  les  juifs  qui  vivent  sous  leur  domi- 
nation, c'est  la  soif  de  l'or  dont  sont  communément 
dévorés  les  Turcs.  Ces  étrangers  sont  pour  eux  une 
mine  inépuisable,  où  ils  ne  cessent  de  fouiller  pour 
faire  face  aux  besoins  toujours  renaissans  du  gou- 
vernement, ou  pour  rassasier  leur  propre  cupidité. 
Cette  considération  si  peu  puissante,  ne  l'est  pourtant 
pas  encore  assez  pour  réprimer  Tanimosité  des 
Turcs ,  qui  s'exhale  sans  cesse  par  la  dénomination 
injurieuse  de  giovar  ou  infidèle  y  qu'ils  accoutument 
les  enfans  à  balbutier  dès  1  âge  le  plus  tendre  contre 
les  chrétiens  ou  juifs  qu'ils  rencontrent.       «  'xù-,-^ 

Le  prosélytisme  est  tel  en  Turquie  que  les  mu- 
sulmans ne  rejettent  pas  le  plus  vil,  le  plus  scélérat 
des  hommes  qui  s'offre  à  devenir  un  vrai  croyant, 
bien  qu'il  ignore  entièrement  en  quoi  consiste  cette 
croyance.  Porter  dit  cependant  que  quels  que  puis- 
sent être  parmi  les  Turcs  les  dissentimens  en  ma- 
tières religieuses,  on  n'entend  jamais  parler  chez 
eux  de  punitions  et  de  supplices  pour  cause  de 
culte. 

Les  muftis  et  les  mollahs  sont  les  dépositaires  de 


ÎOJ  ■     VOYAGES  EN  EUROPE, 

la  loi,  et  les  imansles  ministres  du  culte.  Ces  imans 
reçoivent  une  paye  sur  les  immenses  revenus  des 
mosquées,  employés  à  l'entretien  et  aux  embellis- 
semens  des  temples,  ainsi  qu'aux  frais  des  hospices 
et  des  écoles.  Les  imans  qui  font  la  prière,  sont  ce 
qu'on  appelle  en  Turquie  le  clergé  séculier.  Il  y  a 
ensuite  les  derviches  ou  moines,  partagés  en  quatre 
ordres,  et  qui  ont  à  leur  tète  les  scheiks,  souvent 
redoutables  au  gouvernement  par  leurs  prédications 
séditieuses.  Ce  ne  sont,  au  surplus,  ni  les  lois,  ni 
les  interprètes  qui  manquent  en  Turquie,  mais  c'est 
une  bonne  administration  de  la  justice.  Ces  lois 
et  leurs  commentaires  sont,  dans  des  mains  cor- 
rompues, un  glaive  redoutable  toujours  prêt  à  me- 
nacer la  vie  ou  la  fortune  des  citoyens ,  dont  la 
sûreté,  les  propriétés  ont  beaucoup  plus  à  souffrir 
de  ce  désordre  que  du  despotisme  même  du  prince: 
celui-ci  trouve  assez  souvent  dans  la  religion  et  ses 
interprètes  des  barrières  qu'il  ne  peut  pas  franchir. 
Plusieuifà  cours  de  justice  à  Constantinople  ju- 
gent' les  procès.  Les  cours  inférieures  sont  celles 
des  mollahs  de  Galata ,  et  celle  du  Stamboul  ef fendi 
ou  juge  de  police.  Les  cours  supérieures  sont  celles 
des  cadilesquiers  ou  grands  juges  d'Europe  et  d'Asie, 
et  le  divan  du  grand-vizir.  De  ces  juridictions  sont 
affranchis  les  descendans  de  Mahomet,  qui  sont 
très  multipliés  dans  l'empire,  et  qui  ont  pour  juge 
le  chef  de  leurs  tribus. 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  103 

C'est  en  Turquie  nr-  .and  avantage  pour  le  de- 
mandeur, d'avoir  le  d:  jii  de  choisir  un  juge,  parce 
qu'il  commence  à  s'assurer  de  ce  juge  avant  de 
faire  son  choix;  mais  assez  souvent  néanmoins,  le 
défenseur,  renchérissant  sur  les  offres  de  sa  partie 
adverse,  fait  tourner  la  chance;  ou  à  force  d'inci- 
dens  et  de  chicane,  s'il  est  le  plus  riche,  il  éloigne 
le  jugement,  lasse  son  adversaire,  et  l'oblige  de 
souscrire  à  un  accommodement  désavantageux. 
Avec  les  mêmes  ressources,  il  réussit  quelque- 
fois, s'il  ne  peut  pas  gagner  le  juge,  à  faire  ren- 
voyer l'affaire  à  un  autre  tribunal.     • 

Tous  les  juges  ont  un  naïb  ou  clam,  qui  dirige 
les  décisions  du  magistrat,  et  reçoit  les  proposi- 
tions des  plaideurs.  Ceux-ci  se  munissent  souvent 
de  part  et  d'autre  d'un  fetfa  du  mufti  :  c'est  une 
consultation  qu'on  obtient  de  lui  sous  des  noms 
interposés,  et  qui,  le  plus  communément,  est  ré- 
digée par  ses  commis.  Lorsque  ces  fetfas  sont  con- 
tradictoires, ce  qui  arrive  assez  fréquemment,  ils 
deviennent  inutiles  aux  parties.         .,..,.    .,      . 

L'usage  des  témoins,  qu'on  emploie  pour  tous  les 
genres  de  preuves,  est  une  source  d'abus  révoltans  : 
comme  on  en  trouve  toujours  pour  de  l'argent, 
parce  que  l'or  est  la  divinité  des  Turcs,  et  qu'on  a 
certaines  pratiques  pour  séduire  ceux  qui  ne  sont 
pas  corruptibles,  on  parvient  à  embrouiller  les 
questions  les  plus  claires,  et  à  autoriser  les  délais 


iéé  VOYAGES  EN  EUROPE, 

de  la  part  du  juge,  qui,  de  son  côté,  a  des -gens 
préposés  pour  traiter  secrètement  avec  les  parties. 
C'est  à  la  faveur  de  ces  abominables  reisources 
quon  voit  journellement  réunir  des  demandes 
contre  la  propriété,  ou  des  plaintes  en  dommages- 
intérêts,  et  qui  n'ont  pas  le  plus  léger  fondement. 

L'or  est  le  véhicule  des  dépositions,  comme  il  en 
est  la  récompense.  On  ne  connaît  pas  en  Turquie 
de  moyen  plus  légal  pour  contraindre  à  venir  dé- 
poser en  justice  :  la  loi  ne  permet  pas  les  assigna- 
tions, il  faut  que  les  témoins  se  présentent  à  leur 
gré.  Suivant  le  Koran ,  les  faux  témoins  devraient 
être  rigoureusement  punis;  l'on  en  voit  néanmoins 
peu  d'exemples,  si  ce  n'est  au  commencement  d'un 
règne,  où,  pour  signaler  l'avènement  du  nouveau 
sultan,  le  grand-vizir  fait  saisir  une  douzaine  de 
faux  témoins.  Toute  leur  punition  se  réduit  à  être 
promenés  dans  les  rues,  montés  sur  un  âne,  le 
visage  tourné  vers  la  queue  de  l'animal ,  avec  une 
inscription  qui  les  déclare  faux  témoins. 

  cette  corruption  répandue  dans  les  tribunaux, 
à  l'arbitraire  des  décisions  qui  en  émanent ,  si  l'on 
ajoute  le  droit  acquis  au  souverain  de  s'emparer  de 
toutes  les  terres  tenues  en  fief  lors  des  mutations 
des  détenteurs,  et  même  de  la  totalité  des  biens  de 
ses  officiers  après  leur  décès,  on  frémit  des  con- 
séquences funestes  qui  doivent  en  résulter  pour  le 
maintien  des  propriétés.  Heureusement  une  déci- 


'Ni 

•11-8": 


es -gens 
parties, 
^sources 
«mandes 
nmages- 
idement. 
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Turquie 
ï^enir  dé- 
i  assigna- 
nt à  leur 
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L  nouveau 
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luit  à  être 
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,  avec  une 

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mutations 
es  biens  de 
it  des  con- 
ter pour  le 
t  une  déci- 


DIX. HUITIÈME  SIÈCLE.  tOi 

sion  du  prophète  a  déclaré  sacrés  et  inviolables 
les  biens-fonds  et  les  maisons  qui  se  trouv^raient 
annexés  à  l'église.  En  conséquence  de  cette  décision, 
le  propriétaire  donne  tous  ses  biens  à  quelque  fon- 
dation religieuse,  sous  la  condition  expresse  que 
leurs  administrateurs  ne  pourront  en  prendre  pos- 
session qu'après  l'extinction  de  tous  les  hoirs 
mâles  du  donateur  :  de  cette  manière  il  transmet 
sans  contestation  à  ses  héritiers  la  propriété  utile 
de  sa  fortune,  sous  la  seule  charge  de  substitution. 

Malgré  l'esprit  fiscal  qui  règne  dans  les  tribu- 
naux, la  police  intérieure  et  les  mesures  qu'on 
prend  pour  la  sûreté  des  individus  sont  excellentes 
en  Turquie;  les  vols  sont  extrêmement  rares,  dans 
la  capitale  comme  sur  les  grands  chemins;  les  mai- 
sons ferment  à  peine ,  et  le  boutiquier  s'absente  en 
laissant  sa  boutique  sous  la  garde  de  la  bonne  foi 
publique.  Ces  vols  d'ailleurs  seraient  promptement 
suivis  du  châtiment  sévère  infligé  aux  coupables. 
Nous  citerons  pour  preuve  l'anecdote  suivante,  ex- 
traite d'un  voyage  tout  récent  à  Constantinople  ', 
celui  du  docteur  Brayer,  qui  y  a  fait  un  séjour  de 
neuf  ans,  voyage  que  nous  avons  analysé  dans  le 
Bulletin  de  la  Société  de  géographie,  cahier  du  mois 
de  juin  1836.  t 

«  Dans  une  de  ces  belles  journées  où  le  Grand- 

'  Neuf  années  à  Constantinople,   par  le  docteur  Brayer,  2  vol. 
iii-S";  Paris,  1836. 


100  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Seigneur  va  se  délasser  à  Kiahat-khana,  charmante 
promenade  où  la  foule  se  rend  aussi  pour  jouir  du 
plaisir  de  la  campagne  et  voir  le  souverain  et  son 
cortège,  il  se  trouve,  comme  ailleurs,  des  vendeurs 
ambulans  de  pain,  de  fromage  et  d autres  comes- 
tibles. Parmi  eux  était  un  enfant  grec  qui  vendait 
du  pain;  un  janissaire  passe  à  côté  de  lui,  prend  un 
pain  et  s'en  va  sans  payer.  L'enfant  se  récrie,  suit 
le  janissaire  et  réclame  ce  qui  lui  est  dû,  deux  paras. 
Le  Turc,  irrité  de  ce  qu'un  raïa  ose  exiger  le  paie- 
ment d'une  si  modique.'somme,  l'injurie,  et  voyant 
parmi  ses  petits  pains  une  quarantaine  de  paras, 
produit  de  la  vente  de  la  journée,  s'en  empare  et 
continue  son  chemin.  Le  garçon  intimidé  se  met  à 
pleurer.  Gomment  paiera-t-il  au  boulanger  son  pain 
pris  à  crédit?  Un  officier  passe  et  s'informe  du  sujet 
de  ses  pleurs;  celui-ci  raconte  l'aventure  et  montre 
du  doigt  le  coupable  encore  peu  éloigné.  L'officier 
va  droit  à  lui  et  lui  demande  comment  il  a  pu 
commettre  un  tel  crime.  Le  janissaire  pâlit,  balbu- 
tie, ne  nie  pas,  mais  rejette  sa  faute  sur  la  fatalité. 
Cependant  il  est  saisi ,  envoyé  à  sa  caserne  ;  on  re- 
cueille la  déposition  de  l'enfant.  Le  jour  suivant  il 
est  traduit  devant  son  chef.  «  Tu  es  accusé  d'avoir 
pris  un  pain  à  cet  enfant,  de  l'avoir  injurié  et  de 
lui  avoir  volé  quarante  paras;  est-ce  vrai?  —  La  fa- 
talité l'a  voulu  ainsi.  —  Est-ce  que  lu  ne  sais  pas  ce 
que  dit  le  Koran  en  pareil  cas?  »  Silence  du  coupable. 


rmante 
ouir  du 
1  et  son 
endeurs 
conaes- 
vendait 
rend  un 
rie,  suit 
IX  paras. 
'  le  paie- 
!t  voyant 
e  paras, 
npare  et 
se  met  à 
son  pain 
i  du  sujet 
it  montre 
L'officier 
t  il  a  pu 
it,balbu- 
a  fatalité, 
e;  on  re- 
suivant il 
se  d'avoir 
urié  et  de 
'  —  La  fa- 
sais  pas  ce 
1  coupable. 


I 


DIX-HUITIÈME  SifcCLE.  107 

u  Ne  connais-tu  pas  la  peine  infligée  aux  voleurs  par 
la  loi  ?  —  Vous  le  savez  mieux  que  moi.  —  Que 
veux-tu  que  je  fasse?  ce  n*est  pas  moi  qui  te  juge, 
c'est  le  Koran.  »  Puis,  sans  autres  formalités,  le  gé- 
néral en  chef  des  janissaires  écrit  sur  un  petit  carré 
de  papier,  dans  le  creux  de  sa  main,  la  sentence  de 
mort,  et  la  remet  à  deux  kavas  pour  qu'elle  soit 
exécutée.  •    î  '  <  «•.•(-.r^  ■      .■  i  >-.?.,-  -m'?i>-'j-ir-r»  _-t»M* 

0  Les  deux  bourreaux  et  le  coupable  au  milieu 
s'en  vont  à  pied  vers  le  lieu  du  supplice.  Le  délin- 
quant n'est  pas  lié  ;  seulement  s'il  est  connu  pour 
une  mauvaise  tête,  l'un  le  prend  par  le  collet  de  sa 
robe,  l'autre  par  le  châle  qui  lui  sert  de  ceinture. 
A  peine  fait-on  attention  dans  la  rue  à  ces  troi^  indi- 
vidus; il  faut  avoir  demeuré  quelque  temps  dans  le 
pays  pour  se  douter  de  ce  qui  se  passe.  Cependant 
quelques  curieux  les  suivent  à  peu  de  distance.  En 
s'avançant  vers  l'endroit  fatal,  les  bourreaux  et  le 
condamné  causent  ensemble.  «Que  veut  dire  ceci, 
mon  frère,  que  nous  devions  exécuter  un  ordre 
semblable?  —  Que  sais -je,  cela  est  arrivé;  mon 
frère,  la  fatalité  l'a  voulu  ainsi ,  que  puis-je  y  faire  ?  » 
Telle  est  la  substance  de  toute  la  conversation.      '» 

«  Enfin  on  arrive  au  lieu  de  l'exécution ,  ordinai- 
rement le  très  petit  carrefour  près  Bach-Capous- 
sou.  L'approche  de  la  mort  fait  pâlir  le  janissaire  ; 
mais  il  sait  que,  quand  un  coupable  a  fait  ses  ablu- 
tions, dit  ses  prières  et  subi  courageusement  le 


106  VOYAGRS  EN  EUROPE, 
supplice  qu'il  a  mérité,  son  crime  et  ses  péchés  lui 
sont  pardonnes,  et  qu'il  a  droit  à  la  félicité  promise 
aux  vrais  croyans  ;  il  se  résigne  donc.  Le  chef  des 
bourreaux  lui  dit  alors  de  se  mettre  à  genoux;  il 
s'y  met  ;  l'autre ,  muni  d'une  poignée  de  sable,  lui 
en  jette  à  la  figure  ;  instinctivement  le  condamné 
ferme  les  yeux  et  baisse  la  tête.  La  nuque  est  tenr 
due;  l'exécuteur  saisit  ce  mouvement  pour  lui  assé^ 
ner  un  coup  de  cimeterre.  La  tête  tombe;  puis  il 
place  le  cadavre  sur  le  dos  et  pose  la  tête  perpenr 
diculairement  entre  le  bras  droit  et  le  corps  du  sup^ 
pli(Mé.  Il  attache  ensuite  Xç^yafta  '  sur  sa  poitrine,  et 
le  laisse  ainsi  exposé  pendant  trois  jours  aux  regards 
dupublic.»     .;,.  ,  ,. ..  ., 

Pour  donner  une  idée  djes  mœurs  des  harems, 
M.  Brayer  raconte  quelques-unes  de  ses  visites  dans 
ces  lieux  si  rarement  visités  par  les  Européens^  et 
où  le  voyageur  Porter  n'avait  pu  pénétrer.  Nous 
rapporterons  encore  le  fragment  ci-après,  qui  sup- 
pléera au  silence  de  Porter  à  cet  égard,     r   «i  rrrv 

«Introduit  par  l'effendi  dans  l'appartement  où 
étaient  ses  femmes,  je  vis,  dit  M.  Brayer,  dans  un 
des  angles  du  sopha  une  femme  très  replète,  âgée 
de  cinquante  ans  environ.  Appuyée  sur  des  cous- 
sins, elle  était  couverte  d'un  chàle,  mais  pas  assez 
pour  que  je  ne  pusse  voir  son  visage  tout  entier.  Â 

'  Inscription  rie  forme  ordinairomcnl  ovale,  relatant  le  crinii' 
de  l'individu,  et  quelquefois  le  texte  de  la  loi  qui  l'a  condamni^' 


;;  puis  il 
perpeivr 
s  du  supi- 
itrine,  et 
IL  regards 

harems, 
sites  dans 
péens^  et 
rer.  Nous 
,  qui  sup- 

ement  où 
,  dans  un 
flète,  âgée 
des  cous- 
,  pas  assez 
it  entier.  A 

itant  le  cpinu 
ï  condamn»*' 


CIX-H.UITIÈME  SIÈCLK.  ^U» 

côté  d'elle  était  une  autre  femme  d'à  peu  près  vingt- 
cinq  ans,  qui  causait  avec  elle  et  lui  montrait,  avec 
beaucoup  de  douceur  et  de  respect,  différentes 
étoffes  et  autres  articles  d'habillement,  «le  la  pris 
pour  sa  fille.  '         *   ' 

«  L'effendi  s'étant  assis  près  de  la  dame  âgée,  et 
moi  à  côté  de  lui,  elle  m'entretint  de  sa  santé.  Elle 
se  plaignit  d'étouffemens,  de  vertiges,  d'une  diffi- 
culté de  respirer  et  de  marcher,  de  maux  de  tête 
et  d'un  mérac  extraordinaire.  Elle  voulait  que  je 
lui  donnasse  des  forces ,  et  me  demandait  si  je  n'a- 
vais pas  un  secret  pour  dissiper  tous  ces  maux. 

«Vu  les  préjugés  du  pays,  je  donnai  à  entendre 
qu'une  saignée  copieuse,  répétée  de  temps  en  temps, 
pourrait  dimmuer  la  plupart  de  ces  symptômes  fâ- 
cheux; que  la  diète,  la  limonade  pour  boisson,  un 
peu  d'exercice  lui  seraient  favorables.  Le  traitement 
proposé  déplut  :  c'était  un  secret  qui  guérit  tout  de 
suite  qu'elle  désirait;  je  n'en  avais  pas,  et  me  bor- 
nai à  prescrire  un  remède  insignifiant.  En  sortant 
de  la  maison,  je  trouvai  au  pied  de  l'escalier  l'apo- 
thicaire qui,  ayant  appris  qu'un  médecin  franc 
était  venu  chez  son  client,  venait  pour  prendre  la 
recette.  Il  m'informa  que  la  jeune  personne  que 
j'avais  prise  pour  la  fille  de  la  dame  âgée  était  la 
seconde  femme  de  l'effendi;  que  la  première,  se 
voyant  arriver  à  un  âge  où  elle  n'espérait  plus  avoir 
d'enfans,  avait  consenti  à  ce  qu'il  en  prît  une  se- 


110  VOYAGES  EN  EUROPE, 

conde;  que  celle-ci  rendait  à  Tautre  tous  les  soins 
qu'une  fille  aurait  eus  pour  sa  mère,  qu'elle  en  était 
chérie  de  même,  et  qu'elle  avait  donné  le  jour  à 
deux  enfens  qui  faisaient  la  joie  de  toute  la  famille. 

«J'ai  vu  dans  un  autre  harem  les  trois  épouses 
d'un  eFfendi.  Toutes  trois  étaient  dans  un  des  an- 
gles du  sopha,  travaillant  et  causant  ensemble  de 
la  manière  la  plus  amicale.  Je  les  pris  pour  les  trois 
sœurs.  Il  était  cependant  évident  qu'une  d'elles  était 
l'objet  de  l'attention  et  des  prévenances  des  deux 
autres.  Introduit  par  l'effendi,  je  crus  à  sa  manière 
de  parler  avec  elles  qu'il  en  était  le  père,  tant  ses 
paroles  étaient  empreintes  d'une  douce  gravité, 
sans  aucune  marque  de  prédilection  pour  aucune 
d'elles.  Ce  fut  encore  l'apothicaire  qui  m'instruisit 
qu'elles  étaient  ses  trois  femmes. 

«  Sans  doute,  dans  les  harems  populeux  des  riches 
musulmans  et  des  hauts  fonctionnaires,  il  doit  y 
avoir  quelquefois  des  jalousies,  des  haines  sourdes 
qui  fermentent,  des  moyens  odieux  et  criminels 
employés  pour  se  délivi'er  de  rivales  plus  favori- 
sées; mais,  vu  le  petit  nombre  de  ces  harems,  on 
peut  les  regarder  comme  des  exceptions.  11  est  rare, 
à  Constantinople  au  moins,  qu'un  musulman  ait 
plus  d'une  femme,  à  moins  de  stérilité  ou  de 
grandes  infirmités  dans  la  première  ou  la  seconde. 
Dans  ce  cas,  la  loi  lui  en  fait  presque  une  obligation. 
Père,  mère,   parens  et  amis,  en  le  voyant  marié 


penel 

heurj 

plus 

la  pr| 

une 

caded 

oevoi 


DIX-HLIITIÈME  Sli^XLK.  Itl 

depuis  deux  ou  trois  ans,  étonnés  que  sa  couche 
nuptiale  soit  stérile,  lui  font  observer  que  :  ttDieu 
commande,  et  la  mère  met  au  jour  deux  jumeaux  de 
différent  sexe,  et  qu'il  rend  stériles  celles  qu'il  veut :•» 
et  le  musulman  fait  par  esprit  de  religion  ce  qui 
quelquefois  contrarie  ses  affections.  Les  oulémas, 
les  employés  près  les  ministères,  tout  ce  qui  est  au 
service  des  (grands,  les  petits  rentiers,  les  hizmet- 
kiars  (serviteurs)  retraités,  les  artisans,  les  ouvriers, 
les  bateliers  si  nombreux,  les  portefaix,  n'ont  gé- 
néralement qu'une  femme,  et  ces  classes,  quant 
aux  musulmans,  composent  les  trois  quarts  de  la 
population  masculine  de  la  capitale. 

«  On  a  beaucoup  exagéré  les  querelles  et  les  ja- 
lousies qui  doivent  troubler  les  ménages  turcs, 
lorsque  le  chef  de  la  famille  use  de  la  permission 
d'avoir  plusieurs  femmes.  Le  musulman  pense 
comme  la  loi,  et  se  conforme  à  la  loi.  Il  se  croit 
supérieur  à  la  femme;  le  Koran  Ta  dit,  la  nature 
le  prouve  ;  il  est  bon ,  affectueux  envers  elle ,  mais 
sa  bonté  est  grave,  protectrice:  c'est  celle  d'un  su- 
périeur envers  un  être  faible ,  nécessaire  à  son  bon- 
heur. L'homme,  regardant  la  femme  comme  le 
plus  grand  des  biens  que  la  Divinité  lui  accorde, 
la  préfère  à  tout  autre  bien.  Au  lieu  d'exiger  d'elle 
une  dot,  c'est  lui  qui  lui  en  donne  une  ;  il  fait  des 
cadeaux  aux  parens  de  son  épouse ,  au  lieu  d'en  re- 
cevoir. Ses  devoirs  sont  tracés  par  la  nature  elle- 


fil  VOYAGES  KN  KUJIOPE. 

même  :  il  est  cliargé  de  rcxtérieur;  il  est  tenu  de 
nourrir,  d'Imbiller,  d'entretenir  sa  famille,  suivant 
son  ran(;  dans  la  société  et  suivant  ses  moyens.  S'il 
ne  le  peut,  lepouse  réclame  le  divorce  el  l'obtient; 
s'il  le  peut  et  ne  le  veut  pas,  elle  l'y  contraint  par 
la  loi  ;  s'il  la  maltraite,  il  est  sévèrement  puni,  lia 
femme  préside  à  l'intérieur;  elle  doit  d'abord  obéis- 
sance à  son  époux,  puis  elle  est  chargée  des  détails 
du  ménage,  de  la  préparation  des  alimens,  de  l'al- 
laitement et  du  soin  de  ses  enfans.  Si  la  médiocrité 
des  moyens  de  son  mari  lui  en  fait  une  nécessité, 
elle  emploie  ses  loisirs  à  filer  et  à  tisser  le  lin  qui 
lui  est  remis  pour  l'usage  de  la  famille. 

«Lors  donc  que  le  musulman  juge  à  propos  d'a- 
voir plusieurs  femmes,  puisque  la  loi  le  lui  permet, 
l'épouse  doit  s'y  résigner;  mais  cette  même  loi  pres- 
crit au  mari  de  les  aimer  toutes  également,  de  les 
traiter  de  la  même  manière,  de  ne  pas  faire  de  ca- 
deaux à  l'une  sans  en  faire  autant  aux  autres,  de 
n'en  embrasser  aucune  en  présence  des  autres.  Le 
Koran  règle  même  la  répartition  des  caresses  con- 
jugales; la  première  femme  conserve  ses  droits.  Si 
l'harmonie  du  harem  n'est  pas  troublée  par  la  pré- 
sence de  deux  ou  trois  femmes,  elles  vivent  en  com- 
mun, et  la  première  conserve  la  préérsîinence;  si 
e.:  es  ne  peuvent  s'accorder,  chacune  «l'ellf's  l'oit 
avoir  un  appartement  séparé,  une  table  à  part,  mais 
également  fournie.  Si ,  malgré  ces  précautions,  une 


(btient; 
lint  par 
uni.  l^a 
d  obéis- 
}  détails 
,  de  l'al- 
îdiocrité 
écessité , 
B  lin  qui 

Dpos  d'u- 
i  permet, 
5  loi  pres- 
nt,  de  les 
ire  de  ca- 
utres ,  de 
autres.  Le 
esses  con- 

droits.  Si 
)ar  la  pré- 
nten  com- 
ïinence;  si 
l'oll,..  .^oit 

part,  mais 
itions,  une 


DIX-HUlTlfeMB  81ÈCLK.  118 

d'elle»,  d*nn  cnr«ic(ùrc  violent  o^'casione  par  aei 
vocil'érntions  du  scandale  dans  le  voisinage,  le  mu- 
Kulman  se  hâte  de  la  répudier,  et  In  [)»i\  est  rétablie 
dans  sa  maison,  qui  doit  être  un  lieu  d    «Menée. 

«  Les  Francs,  habitués  à  ce  qui  se  passe  dans  leurs 
pays  respectifs,  ne  peuvent  croire  que,  malgré 
toutes  les  précautions  prises  par  les  maris,  il  n'y 
ait  pas  à  Conslantinople  d'intrigues,  de  séductions, 
d'enlèvtr:iciis,  ^omme  chez  eux.  Les  théAtres  n'ont 
pas  manqué  d'c-cploiter  les  harems,  au  grand  plaisir 
des  spectateurs,  charmés  de  voir  que,  sous  ce  rap- 
port au  moins,  les  musulmans  ne  valent  pas  mieux 
que  les  chrétiens.  Les  Francs  sont  dans  l'erreur;  il 
faut  avoir  demeuré  long-temps  dans  le  pays  pour 
en  être  convaincu ,  il  faut  avoir  eu  accès  dans  plu- 
sieurs maisons  turques,  non-seulement  au  sélamlik, 
où  l'on  ne  peut  juger  de  rien,  mais  dans  le  harem, 
pour  se  persuader  de  la  difficulté,  je  dirai  plus,  de 
l'impossibilité  de  ces  intrigues.  Le  châtiment,  d'ail- 
leurs, est  si  terrible  et  si  prompt,  que  le  Franc  le 
plus  intrépide  en  est  découragé. 

«11  s'est  trouvé,  dit -on,  des  étrangers  riches  et 
puissans  qui,  désireux  de  jouir  de  faveurs  si  diffi- 
ciles à  obtenir,  ont,  non  pas  cherché  à  captiver  l'af- 
fection d'une  musulmane,  mais  chargé  un  des  en- 
'''•meitcurs  de  Pér«  de  leur  en  amener  une.  Leurs 
vœux  ont  été  remplis;  ils  ont  passé  quelques  ins- 

tans,  une  nuit  peut-être,  avec  elle,  enveloppés  dans 
XLVI.  8 


\ 


114  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Tombre  du  plus  profond  mystère  et  sous  la  pro- 
messe d'un  secret  inviolable.  La  vanité  a,  dit -on 
encore,  proclamé  cette  bonne  fortune;  mais  on  a 
su  bientôt  aussi  que  ces  faveurs  chèrement  payées 
n'étaient  autres  que  celles  de  quelque  femme  raïa , 
mise  dans  la  confidence,  habillée  à  la  turque,  et 
qui  s'était  fait  passer  pour  musulmane,  chose  très 
facile  aux  yeux  d'un  Franc  nouvellement  débarqué. 
tt  11  faut  cependant  le  dire  :  il  y  a  des  Européens 
assez  ignorans  des  mœurs  du  pays,  et  assez  témé- 
raires pour  vouloir  choisir  eux-mêmes  l'objet  de 
leurs  désirs;  et,  à  force  d'or  ou  autrement,  ils  par- 
viennent à  s'introduire  dans  la  maison  d'un  musul- 
man en  son  absence:  mais  observés  par  les  voisins 
qui  veillent  à  l'honneur  du  harem  de  leur  frère 
comme  ils  voudraient  qu'on  veillât  à  celui  du  leur, 
ils  sont  presque  toujours  pris  en  flagrant  délit,  et 
condamnés  à  mort,  sans  que  la  légation  à  laquelle 
ils  appartiennent  puisse  intervenir.  Il  n'y  a  pas  en- 
core long-temps,  les  journaux  ont  fait  mention  de 
deux  Francs  surpris  dans  un  cas  semblable.  Les 
deux  femmes  furent  mises  dans  un  sac,  et  jetées 
dans  le  Bosphore;  des  deux  chrétiens,  l'un  ne  vou- 
lant pas  renier  sa  religion,  fut  pendu;  l'autre,  dans 
l'espérance  de  sauver  sa  vie ,  embrassa  la  religion 
musulmane;  mais  à  peine  eut-il  prononcé  sa  pro- 
fession de  foi,  qu'il  fut  conduit  au  supplice.  Quel- 
quefois cependant,  si  la  femme  est  libre,  et  si  le 


£      Si  li 
I  «ivile 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE. 


iti 


t' 


ne  raïa, 
que,  et 
ose  très 
îbarqué. 
iropéens 
ez  témé- 
objet  de 
t,  ilspar- 
m  TOUSul- 
es  voisins 
eur  frère 
li  du  leur, 
t  délit,  et 
à  laquelle 
^  a  pas  en- 
nention  de 
niable.  Les 
et  jetées 
un  ne  vou- 
autre,  dans 

la  religion 
ncé  sa  pro- 
plice.  Quel- 

re,  et  si  le 


séducteur  embrasse  l'islamisme,  il  arrive  que  ic 
mariage  a  lieu.       •  ^"  '        "•  *  *'     >  " '^^ 

«  La  police  de  Constantinople  est  cliargée  de  veil- 
ler non-seulement  à  la  tranquillité  et  à  la  sûreté  de 
cette  immense  capitale,  mais  encore  à  la  conserva- 
tion des  bonnes  mœurs.  Les  plus  sages  précautions 
sont  prises  pour  obvier    à  toute  tentative  de  scan- 
dale. Les  maisons  sont  construites  de  telle  sorte, 
que  nul  œil  indiscret  ne  puisse  voir  ce  qui  s'y  passe. 
Les  fenêtres  sur  la  rue  sont  à  petits  grillages.  Au- 
cun jour  d'une  maison  voisine  ne  domine  sur  les 
jardins  où  les  femmes  vont  se  promener.  Si  les  murs 
de  clôture  sont  trop  bas ,  on  y  supplée  par  des 
planches  posées  verticalement,  ce  qui  empêche  là 
circulation  de  l'air,  et  cause  de  fréquentes  mala- 
dies.  Les  raïa  ont  généralement  adopté  les  mêmes 
coutumes;  personne  d'entre  eux  ne  cherche  avoir 
le  harem  d'un  autre  pour  que  l'on  ne  cherche  point 
à  voir  le  sien.  Aussi  l'on  entend  très  rarement 
parler  d'intrigues  amoureuses,  d'adultères  ou  autres 
débordemens.  Les  mauvais  lieux  sont  relégués  à 
Galata  et  à  Péra  surtout,  miniature  des  capitales 
européennes.  Aucun  Franc  ne  peut  habiter  Cons- 
tantinople; un  raïa  étranger  non  marié  n'est  admis 
à  demeurer  que  dans  les  khan  ou  dans  la  famille 
à  laquelle  il  est  recommandé.  » 

Si  la  police  turque  est  bonne ,  l 'administration 
civile  ne  l'est  pas  moins,  et  c'est  mal  à  propos,  sui- 


ItO  VOYAGES  EN'  EUROPE, 

vant  Porter,  qu'on  a  cru  que  les  fréquens  change- 
mens  de  vizir  et  d'autres  ministres  accus'tient  la 
faiblesse  du  gouvernement  ottoman.  Un  usage  sa- 
lutaire maintient  l'uniformité ,  la  régularité  de  sa 
marche  :  c'est  le  soin  scrupuleux  avec  lequel,  au 
milieu  de  tant  de  mutations,  on  conserve  les  subal- 
ternes dans  leurs  emplois,  et  l'attention  soutenue 
qu'on  a  de  leur  procurer  de  l'avancement,  toutes 
les  fois  qu'il  survient  quelque  déplacement.  Par 
cette  double  mesure,  le  vizir  Azem,  le  kiaia,  son 
lieutenant,  le  reiss-effendi  et  tous  les  autres  mi- 
nistres, quelque  étrangers  qu'ils  puissent  être  aux 
connaissances  qu'exigent  les  places  auxquelles  ils 
sont  rapidement  élevés,  sont  promptement  instruits 
par  ces  subalternes  des  formes  et  des  ressorts  du 
gouvernement;  et  lorsqu'ils  sont  déposés,  la  marche 
des  affaires  n'en  souffre  pas.  ,      /    >>  ;;*r;i»* 

Chaque  département  renferme  un  nombre  con- 
sidérable d'employés  et  de  sous-employés  qui  tra- 
vaillent avec  une  persévérance  incroyable  pour 
s'élever  aux  postes  qu'ils  ambitionnent;  et  cette 
émulation  procure  nécessairement  aux  parties  l'ex- 
pédition la  plus  prompte.  Porter  affirme  qu'il  n'est 
pas  de  gouvernement  européen  qu'on  puisse  com- 
parer à  la  Porte,  pour  l'exactitude  avec  laquelle 
les  différens  postes  sont  remplis,  pour  la  précision 
avec  laquelle  toutes  les  affaires  s'y  traitent,  pour 
le  choix  que  dans  toutes  les  transactions  diplomati- 


I  hommi 
I  détour! 
I  dans  l( 


main  si 
voir  c( 

contenj 


DIX-HUITIÈMR  81ÈGLË.  117 

ques  on  a  soin  de  faire  des  termes  dont  la  signi- 
fication est  la  plus  l'uvurable  h  l'intérêt  de  la  nation. 
Pourvu  seulement  qu'on  puisse  indiquer  d'iiné 
manière  vague  l'époque  où  les  actes  de  la  plus  an- 
cienne date  ont  été  passés ,  on  est  sur  de  les  trouver 
à  la  Porte,  rangés  dans  le  plus  bel  ordre.  Du  reste, 
la  règle  constamment  suivie  dans  l'interprétation 
des  traités  faits  avec  les  princes  chrétiens,  c'est 
l'exemple  de  ce  qui  s'est  pratiqué  dans  les  temps 
passés,  et  que  les  Turcs  appellent  /e  canon. 

En  traitant  des  mœurs  des  Turcs,  Porter  observe 
que  l'affection  paternelle  a  la  plus  grande  énergie 
chez  eux  ;  qu'en  retour  de  cette  affection ,  les  enfans 
ont  pour  leurs  parens  une  soumission  sans  bornes, 
un  attacheraenV  inviolable  qui  emportent  même  en 
général  la  plus  grande  déférence  pour  les  supé- 
rieurs, et  la  plus  profonde  vénération  pous'  les 
vieillards.  L'habitude  de  ces  senti  mens  et  l'éloigne- 
raent  rigoureux  du  commerce  des  femmes  où  l'on 
tient  les  Turcs  dans  leur  jeunesse,  leur  inspirent  le 
plus  grand  respect  pour  ce  sexe,  et  les  maintien- 
nent dans  une  extrême  réserve  à  son  égard.  Un 
homme  qui  rencontre  une  femme  dans  les  rues 
détourne  la  tête  :  jamais  un  Turc  ne  se  permettra, 
dans  le  plus  violent  accès  de  colère,  de  porter  la 
main  sur  sa  femme.  Il  n'est  pas  rare  en  Turquie  de 
^  voir  ce  sexe  abuser  dé  son  ascendant,  et  par  une 
contenance  ferme,  des  regards  assurés,  en  imposer 


tiê  VOYAGES  EN  EUROPE, 

aux  hommes  les  plus  courageux  :  il  pousse  quel- 
quefois Farrogance  jusqu'à  harceler,  à  insulter 
même  sur  leur  tribunal  les  juges  qui,  pour  s*en 
débarrasser,  lui  donnent  souvent,  à  tort  ou  à  droit, 
gain  de  cause;  on  conçoit  qu'il  ne  s'agit  ici  que  des 
>.*  '  "       femmes  du  peuple.        <  -i 

Celles  d'un  rang  plus  élevé,  et  qui  sont  nées  en 
Turquie ,  ont  beaucoup  de  décence  et  de  retenue. 
Plusieurs  d'entre  elles  ayant  l'esprit  cultivé  par  la 
lecture  des  livres  turcs  et  arabes ,  se  forment  des 
principes  de  morale  et  de  vertu  qui  deviennent 
la  garantie  de  la  pureté  de  leurs  mœurs.  Quant  à 
celles  qu'on  achète ,  on  ne  doit  s'attendre  à  trouver 
chez  elles  que  des  talens  agréables,  tels  que  le 
chant  et  la  danse.  11  est  difficile,  suivant  Porter,  de 
confirmer  ou  de  nier  les  récits  que  les  voyageurs 
ont  faits  des  femmes  turques.  Toujours  couvertes, 
dans  les  mosquées,  d'un  voile  qui  ne  laisse  d'ou- 
verture qu'aux  yeux,  elles  sont  impénétrables  à  tous 
autres  regards  qu'à  ceux  de  leur  père  et  mère,  de 
leurs  frères  et  sœurs ,  et  de  leurs  maris.  11  est  facile 
au  reste  d'imaginer  que,  pour  peu  qu'elles  soient 
favorisées  des  dons  de  la  nature,  la  vie  réglée 
qu'elles  mènent,  le  soin  qu'elles  prennent  de  pré- 
server leur  visage  de  l'influence  de  i  air,  doivent 
leur  donner  un  teint  uni  et  animé.  Les  femmes 
grecques  ne  sont  pas  aussi  resserrées  dans  leurs 
maisons  que  les  dames  turques  ;  elles  ne  se  servent 


nées  en 
retenue, 
ré  par  la 
nent  des 
viennent 
Quant  à 
a  trouver 
Is  que  le 
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r,  doivent 
es  femmes 
dans  leurs 

se  servent 


ï 
l 

4 


DIX-HUITIÈMË  SIÈCLE.  tl9 

de  voiles  que  dans  les  rues  :  la  plupart  ont  de  beaux 
traits,  une  physionomie  attrayante;  mais  en  général 
leur  teint  a  quelque  chose  de  terne.  IjCS  unes  et  les 
autres  sont  fanées  de  bonne  heure  par  le  mariage 
prématuré  et  le  trop  fréquent  usage  du  bain  de 
clialeur  qui  relâche  lep  fibres  et  altère  les  formes. 

L'usage,  en  Turquie,  est  de  marier  des  garçons 
de  treize  ou  quatorze  ans  à  des  filles  qui  n'en  ont 
que  onze  à  douze,  ou  quelquefois  moins.  Cette  cou- 
tume a  lieu  dans  toutes  les  religions  et  toutes  les 
sectes  répandues  sur  la  surface  de  l'empire.  Les 
parties  s'unissent  sur  la  foi  de  leurs  parens;  elles 
n'ont  pas  la  liberté  de  se  voir  avant  la  nuit  conju- 
gale. Plus  d'une  fois  il  s'est  pratiqué,  parmi  les 
Grecs  et  les  Arméniens  surtout,  les  tromperies  les 
plus  graves  en  ce  genre;  on  a  uni  la  beauté  à  la 
laideur,  la  vigueur  aux  infirmités.  Sur  les  plaintes 
qu'on  porte  aux  entremetteurs,  ils  répondent  que 
c'est  le  désir  de  régénérer  les  races  qui  leur  a  fait 
commettre  cette  fraude,  beaucoup  plus  fâcheuse 
pour  les  chrétiens,  qui  n'ont  pas  les  ressources  du 
divorce.  Du  temps  de  Porter,  les  filles  grecques 
voulaient  connaître  ceux  qui  prétendaient  à  leur 
main,  et  se  laissaient  elles-mêmes  furtivement  en- 
trevoir :  il  leur  arrivait  aussi  de  disposer  de  leurs 
personnes  en  ne  consultant  que  leur  inclination. 

Pour  ne  point  mêler  son  sang  avec  aucune  fa- 
mille de  l'empire,  le  Grand-Seigneur  ne  contracte 


120  VOYAGES  EN  EUROPE, 

point  de  lien  conjugal.  Il  n'honore  de  sa  couche  que 
de  belles  esclaves  ou  odalisques.  La  première  qui 
lui  donne  un  HIs  jouit  de  toutes  les  prérogatives 
d'épouse  et  commande  dans  le  harem.  Les  autres 
Turcs  peuvent  avoir  jusqu'à  quatre  femmes.  Le 
mariage  se  contracte  devant  un  tribunal  de  justice. 
En  déclarant  que  telle  femme  est  son  épouse,  le 
mari  s'engage*,  dans  le  cas  où  il  la  répudierait,  à  se 
charger  des  enfans,  et  à  lui  payer  une  somme 
proportionnée  à  ses  facultés,  qui,  chez  le  bas  peu- 
ple, est  fort  modique.  Dans  cette  dernière  classe 
il  est  rare  qu'un  homme  ait  plus  d'une  femme  à  la 
fois;  mais  il  en  change  souvent.  La  femme  répudiée, 
dans  quelque  rang  que  ce  soit,  n'en  trouve  pas 
moins  un  autre  mari.  <  v       . 

»!  Les  femmes  publiques  sont  rares  en  Turquie: 
on  doit  attribuer  cette  cause  d'un  côté  à  la  faculté 
qu'ont  les  Turcs  de  se  satisfaire  jusqu'à  satiété  par 
des  unions  légitimes;  et  de  l'autre,  au  dégoût,  à 
l'aversion  même  que  toute  femme  effrontée  inspire 
à  un  musulman. 

A  ces  détails,  nous  en  ajouterons  quelques-uns  de 
ceux  que  fournit  sur  les  mêmes  contrées  un  autre 
voyageur,  M.  d'Ohsson. 


îhe  que 
ère  qui 
jgatives 
\  autres 
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DIX-HUITIÈME  S1ÉCI.Ë.  121 

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D'OHSSON.  V  .  V 

'        '  (1780.) 

Mouradgea  d'Ohsson  était  chargé  d'affaires  du 
roi  de  Suède  à  Gonstantinople;  né  dans  cette  capi- 
tale, il  avait  pu  s'initier  plus  facilement  aux  mœurs 
et  coutumes  de  la  nation  turque.  Aussi  donne-t-il 
un  tableau  fort  curieux  du  code  musulman,  il  offre 
également  des  détails  étendus  sur  l'agriculture, 
notamment  sur  le  jardinage  des  Orientaux.  11  parle 
des  manufactures  en  activité  dans  la  Turquie.  A 
l'époque  où  il  écrivait  on  n'y  connaissait  pas  alors 
les  fabriques  de  draps,  ni  l'art  de  construire  des 
voitures  de  voyage.  D'Ohsson  dit  que  les  Turcs  ne 
se  promènent  guère  que  dans  les  barques  sur  le 
canal  de  Gonstantinople  :  c'est  là  qu'ils  aiment  à 
déployer  le  luxe  oriental.  La  barque  du  Grand- 
Seigneur  est  richement  décorée.  Les  Turcs  ne 
voyagent  qu'à  cheval  :  de  là  leur  passion  pour  les 
chevaux.  Les  pachas  et  les  grands  en  entretiennent 
jusqu'à  trois  ou  quatre  cents  des  races  les  plus  re- 
cherchées. 

L'interdiction  des  images  [)araît  avoir  été  em- 
pruntée de  la  loi  mosaïque  par  Mahomet;  et  c'est 
en  abusant  de  la  doctrine  qu'il  a  fondée  contre 
ritlolàirie  que  les  Turcs  se  sont  permis  tant  de  des- 
tructions des  ouvrages  de  l'art.  Il  est  vrai  que  cette 


113  VOYAGES  EN  EUROPE, 

même  doctrine  a  été  la  cause  du  progrès  que  les 
Turcs  ont  fait  dans  la  peinture  et  la  sculpture  :  ils 
exécutent  en  bois,  en  plâtre,  en  pierre,  en  stuc  et 
en  marbre  des  ouvrages  qui  ne  manquent  ni  de 
précision  ni  de  goût;  ils  gravent  aussi  des  cachets 
d'argent  et  de  cornalines. 

La  musique  et  la  danse  sont  également  proscrites 
par  la  loi  mahométane  ;  mais  ces  défenses  n'ont  pas 
su  prévaloir  sur  le  goût  immodéré  que  les  musul- 
mans ont  pour  la  musique,  et  qui  leur  a  été  transmis 
par  les  anciens  Arabes.  Néanmoins,  nonobstant  ce 
goût  passionné,  ils  n'oseraient  jouer  d'un  instru- 
ment ou  chanter  un  air  noté  en  société,  et  ils  ne  se 
livrent  jamais  h  cet  amusement  que  dans  le  parti- 
culier. Les  Turcs  ne  connaissent  guère  d'autres 
instrumens  que  le  violon,  la  guitare,  le  cistre,  le 
luth,  la  flûte  et  le  tambour  de  basque;  ils  n'ont 
aucune  idée  de  l'orgue,  de  la  harpe,  du  piano,  du 
hautbois,  du  basson  et  de  la  clarinette.  Les  gens 
de  la  campagne  ont  la  musette,  la  cornemuse  et  le 
chalumeau.  Les  instrumens  militaires  sont  les  tim- 
bales, les  tambours,  les  cimbales  et  les  trompettes. 
Quant  à  la  danse ,  elle  est  abandonnée  à  des  femmes 
du  peuple.  Les  Turcs  s'étonnent  que  les  Européens 
puissent  mêler  les  deux  sexes  dans  les  bals. 

Les  jeux  sont  interdits  par  le  Koran  :  de  là  point 
de  spectacles,  de  fêtes  bruyantes  comme  en  Eu- 
rope; on  permet  l'exercice  de  l'arc  et  (es  courses 


oscrttes 
'ont  pas 

IDUSUl- 

ransmis 
«tant  ce 
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• 

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^e  en  Eu- 
;s  courses 


DIX-HUITIÉMB  SIÈCLE.  123 

à  cheval.  Les  gens  distingués  jouent  aux  échecs,  et  le 
commun  du  peuple  aux  dames.  Cette  proscription 
des  jeux  publics  est  cause  qu'il  règne  dans  les  rues 
de  Gonstantinople  un  calme  pour  ainsi  dire  complet, 
qui  n'est  interrompu  qu'à  l'époque  des  réjouis- 
sances publiques,  comme  aux  fétçs  de  Beyram,  le 
jour  de  la  circoncision  d'un  prince ,  ou  à  la  nou- 
velle d'une  victoire.  Les  femmes  d'un  rang  au-des- 
sus du  comD  ne  prennent  part  à  ces  réjouis- 
sances qu'à  travers  des  jalousies  ;  ou ,  si  on  leur 
permet  de  se  promener  dans  les  rues ,  c'est  dans 
des  voitures  garnies  de  treillis  bien  serrés,  où  elles 
ne  peuvent  pas  être  vues;  elles  se  dédommagent  de 
ces  privations  dans  les  harems  par  des  jeux  et  de 
petites  comédies,  où  elles  contrefont  les  chrétiens 
et  s'habillent  en  hommes. 

Comme  la  loi  déclare  immondes  plusieurs  ani- 
maux qui  pourraient  servir  d'alimens,  il  en  résulte 
une  grande  gêne  pour  les  musulmans  sur  l'article 
de  la  nourriture;  des  répugnances  particulières  y 
ajoutent  encore  des  entraves;  c'est  ainsi  qu'aucun 
coquillage,  et  presque  jamais  aucun  poisson  ne 
parait  sur  leur  table  :  le  gibier,  le  bœuf  même,  ne 
s'y  montrent  que  rarement;  le  porc  en  est  sévère- 
ment exclus.  En  viande  de  boucherie,  le  mouton, 
l'agneau,  presque  toujours  hachés,  sont  la  nour- 
riture ordinaire;  la  volaille  aussi  est  d'un  grand 
usage;  mais  on  consomme  beaucoup  de  légumes* 


J24  VOYAGES  EN  EUROPE. 

de  fruits,  de  compotes,  de  pAtisseries  sucrées,  et 

presque  toujours  hors  du  principal  repas.    ' 

La  boisson  dont  on  fait  usa^j^e  à  table  est  com- 
posée d'un  méian^çe  d  eau  et  de  divers  fruits  cuits 
au  sucre  ;  et  dans  les  maisons  opulentes,  on  y  ajoute 
des  eaux  de  rose^  de  cédrat,  de  fleur  d*orange,  où 
Ton  jette,  dans  l'été,  de  In  glace.  Hors  des  repas, 
on  consomme  beaucoup  de  schorbach  ;  c'est  cette 
liqueur  que  nous  connaissons  depuis  assez  peu  de 
temps  en  Europe,  sous  le  nom  de  sorbet. 

Le  vin,  comme  toutes  les  liqueurs  spiritueuses, 
est  défendu  ai*x  musulmans  d'une  manière  si  abso- 
lue qu'il  ne  peut  pas  même  être  employé  compte 
remède,  soit  intérieurement,  soit  extérieurement; 
mais  la  transgression  de  ce  précepte  est  très  com- 
mune, avec  les  précautions  convenables,  non-seu- 
lement chez  les  personnes  opulentes,  mais  chez  les 
derviches  même  :  il  n'est  observé  que  par  les  effen- 
dis  ou  gens  de  loi. 

Quant  à  l'opium,  on  parvient,  par  une  longue 
habitude,  à  en  prendre  trois  ou  quatre  fois  par 
jour  des  morceaux  de  la  grosseur  du  pouce.  Aux 
visions  agréables  et  fantastiques,  à  la  douce  quié- 
tude que  l'opium  procure,  succède  un  état  d'hébé- 
tement, qui  jette  à  la  longue  dans  une  langueur 
incurable.  .       Ç'  . 

Le  café,  pris  même  d'une  manière  immodérée, 
p'a  pas  des  effets  aussi  funestes.  L'usage  de  cette 


É|     dans 

7m     en  fan 

«     heure 

1         Lui 

9     Turqu 

B     café,f 

H     loi;  na 

B     toutes 

S     man  q 

S    II  est 

1    ^^ 'es  î 

1    UsT 

1    ^^"*  î 

1    tievan 

i    emplo 

M    films, 

Lueuses , 
si  abso- 
conm«e 
rement  ; 
rès  com- 
non-seu- 
,  chez  les 
es  effen- 

e  longue 
fois  par 
mce.  Aux 
uce  quié- 
bt  d'hébé- 
langueur 

imodérée, 
;  de  celte 


DlX-HUnikME  SIÈCLE.  125 

boisson,  dont  on  attribue  la  découverte  à  un  der- 
viche d'Arabie,  en  1258,  resta  concentré  dans  ce 
pays  pendant  plus  d'un  siècle,  ne  s'introduisit  que 
très  lentement  en  Egypte,  en  Syrie,  en  Perse  et  aux 
Indes,  et  ne  pénétra  à  Constantinople  que  sous 
Soliman.  Deux  grandes  boutiques  de  café  s'y  éla- 
blirent,  et  l'affluencc  y  Tut  prodigieuse:  on  y  pas- 
sait le  temps,  soit  à  des  jeux  tolérés  par  la  loi,  soit 
dans  des  entretiens  sur  les  sciences,  les  arts,  les 
belles-lettres,  sans  jamais  y  mêler  de  discussion  sur 
les  affaires  politiques.      ».    .     -  u  ,"".'!   .»      «n 

Li  passion  des  Turcs  pour  le  café  est  telle  que 
dans  tous  les  ordres  de  l'État,  hommes,  femmes, 
enfans  en  [>rennent  dans  tous  les  lieux  et  à  toute 

heure  du  jour.  '' 

L'usage  du  tabac  à  fumer  ne  s'est  introduit  en 
Turquie  qu'en  1605  :  il  a  donné  lieu,  comme  le 
café,  à  beaucoup  de  controverses  parmi  les  gens  de 
loi;  mais  aujourd'hui  l'usage  en  est  universel  dans 
tontes  les  classes,  et  il  n'est  presque  pas  de  musul- 
man qui  ne  fume  dix  et  même  vingt  pipes  par  jour. 
Il  est  du  bon  ton  d'offrir  des  pipes  aux  survenansy 
et  les  salons  des  grands  en  offrent  des  rangs  entiers. 
Les  Turcs  ne  quittent  pas  la  pipe ,  même  en  écri- 
vant; mais  les  inférieurs  s'abstiennent  de  fumer 
devant  leurs  supérieurs.  Le  tabac  à  priser  est  moins 
employé.  Les  Turcs  aiment  aussi  beaucoup  les  par- 
fums, et  ils  en  mêlent  à  leur  labac. 


136  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Aux  termes  du  code  religieux  des  Turcs,  les  pa- 
rures en  or  et  en  ar(;enl,  les  étot'fes  de  soie,  sont 
interdites  aux  hommes  avec  quelques  restrictions: 
les  femmes  seules  peuvent  en  porter.  I^e  chÂlc  joue 
un  (çrand  rôle,  il  sert  de  ceinture  aux  deux  sexes 
en  toutes  maisons;  il  supplée  aux  parapluies,  qui  ne 
sont  pas  connus  dans  le  Levant.  Outre  ce  cliàle,  les 
Turcs  ont  le  turban ,  et  pour  le  porter  ils  se  rasent 
la  tète  :  laisser  croître  ses  cheveux  serait  pour  un 
Turc  une  véritable  honte;  ce  serait  s  assimiler  aux 
femmes.  Tous  les  Orientaux  ont  pour  la  barbe  un 
respect  tout  particulier  :  c'est  souvent  par  leur 
barbe  qi/ils  jurent,  et  c'est  la  barbe  qui  est  le  prin- 
cipal objet  de  la  toilette.  '        '    ' 

Tout  ce  que  Mourad£;ea  d'Ohsson  rapporte  de  la 
magnificence  dans  les  harems  est  conforme  à  ce 
qu'en  a  dit  lady  Montaguë.  Mouradgea  donne  des 
notions  précises  sur  les  différentes  langues  qui  sont 
l'objet  de  l'enseignement  L'idiome  turc  primitif  est 
la  langue  du  peuple;  le  persan  est  la  langue  des 
savans  qui  s'occupent  de  poésie  ;  l'arabe  est  la  langue 
des  théologiens  et  des  gens  de  loi ,  le  Koran  et  tous 
les  ouvrages  de  jurisprudence  étant  écrits  en  celte 
langue.  L'idiome  turc,  enrichi  de  tout  ce  qu'il  a  pu 
emprunter  du  persan  et  de  l'arabe,  est  à  l'usage  de 
la  cour  et  de  tous  ceux  qui  ont  reçu  une  éducation 
un  peu  soignée.  Du  reste ,  ces  trois  langues  ont  le 
même  caractère,  le  même  alphabet,  et  on  peut 


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OIX.HUITIf:MR  SIÈCLE.  137 

apprendre  en  quatre  mois  ù  les  lire  et  ù  les  écrire. 
Un  autre  voyageur  anglais,  «lames  Dallaway,  a 
aussi  visité  Constantinople  vers  le  même  temps  quo 
d'Ohsson  ;  il  était  chapelain  et  médecin  de  l'ambas- 
sade anglaise  à  la  Porte.  11  a  traité  l'article  de  Cons- 
tantinople avec  assez  d'étendue;  mais  un  voyage 
plus  moderne,  celui  de  Walscli,  que  nous  avon» 
compris  dans  le  XLIV  volume  de  notre  Collection, 
présente  sur  la  capitale  de  l'empire  ottoman  une 
description  qui  nous  dispense  de  rapporter  celle  de 
Dallaway.  Le  même  ouvrage  nous  permet  de  négli- 
ger également  les  judicieuses  observations  du  baron 
de  Tott,  qui  avait  séjourné  plus  de  vingt  années  à 
Constantinople.  Nous  passerons  donc  à  d'autres 
voyages  et  en  d'autres  pays.  Le  premier  qui  se 
présente  à  notre  souvenir  est  celui  de  Townson  en 
Hongrie. 

TOWNSON. 

(1777.) 

Ce  voyageur  a  parcouru  les  principaux  lieux  de 
la  Hongrie,  et  recherché  l'origine  de  ses  habitans, 
qu'il  croit  descendre  des  Tartares  Kalmoucks,  du 
moins  environ  un  tiers  de  la  population,  qu'il  porte 
à  sept  millions  d'habitans.  Il  a  retracé  la  constitu- 
tion delà  Hongrie,  et  les  diverses  productions  ter- 
ritoriales qui,  malgré  beaucoup  de  désavantages. 


128  VOYAGES  EN  EUROPE. 

forment  une  richesse  agricole  et  manufacturière 

très  remarquable. 

La  nation  hongroise  a  retenu  deux  de  ses  anciens 
privilèges:  celui  de  faire  ses  lois,  et  celui  d'imposer 
ses  taxes.  Elle  nomme  en  outre  à  la  place  de  grand- 
palatin  ou  vice-roi,  sur  une  liste  de  quatre  candi- 
dats présentés  par  l'empereur  d'Autriche.  La  diète 
de  Hongrie  est  composée  de  deux  tables ,  autrement 
dites  chf^mbres.  Dans  la  chambre  haute  entrent  les 
aînés  de  la  haute  noblesse ,  les  évéques  et  les  ar- 
chevêques, les  gouverneurs  de  provinces  et  les 
gardiens  de  la  couronne.  Dans  la  seconde  chambre 
siègent  les  abbés  et  les  députés  des  chapitres,  ceux 
des  cinquante  comtés  du  royaume,  à  raison  de 
deux  par  chaque  comté,  et  les  députés  des  villes 
royales  libres  qui  ne  peuvent  envoyer  chacune 
qu'un  député. 

Bude  ou  Ofen  est  la  capitale  de  la  Hongrie.  On 
peut  la  considérer  comme  ne  formant  qu'une  seule 
ville  avec  celle  dePesth,  dont  elle  n'est  séparée  que 
par  le  Danube.  Un  pont  de  bateaux  favorise  la  com- 
munication des  deux  villes  qui,  prises  ensemble, 
ont  une  étendue  considérable,  mais  qui  néanmoins 
ne  renferment  que  trente-huit  mille  habitans.  Les 
plus  beaux  édifices  publics  et  particuliers  sont  à 
Pesth.  Le  palais  royal  est  vaste  et  majestueux.  L'hô- 
pital des  invalides,  destiné  à  en  contenir  quarante 
r^iille  en  cas  de  besoin ,  sert  aujourd'hui  de  casernes. 


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DIX-HUITIKME  SIÈCLE.  129 

où  la  sévérité  de  la  discipline  est  tempérée  par 
beaucoup  de  douceur  dans  le  commandement. 
Cet  hôpital  est  très  bien  tenu;  tous  les  autres  hô- 
pitaux de  la  ville  le  sont  fort  mal. 

L'université  jouit  d'un  revenu  de  500,000  livres. 
Outre  les  chaires  communes  à  toutes  les  autres  uni- 
versités, il  y  en  a  trois  pour  l'histoire  naturelle,  la 
botanique  et  l'économie.  La  collection  d'instrumens 
de  physique ,  et  les  modèles  de  machines  sont  d'un 
très  bon  choix.  Le  musée  d'histoire  naturelle  est  un 
des  plus  beaux  de  l'Europe  :  on  en  peut  dire  autant 
du  jardin  botanique,  qui  néanmoins  a  peu  de  serres 
chaudes.  Les  bibliothèques  publiques,  où  les  livres 
modernes  de  sciences  ne  sont  pas  nombreux,  sont 
peu  fréquentées ,  malgré  la  facilité  de  l'accueil  et 
celle  des  communications. 

La  salle  de  spectacle  de  Bude  est  fort  belle;  celle 
tlePesth  assez  mesquine.  Les  pièces  qu'on  y  joue  sont 
assez  généralement  écrites  en  allemand.  Les  diman- 
ches et  fêtes,  le  peuple  s'amuse,  comme  à  Vienne, 
de  combats  d'animaux.  L'hiver,  il  y  a  des  bals  dans 
la  nuit  du  dimanche  seulement.  L'été,  toutes  les 
classes  du  peuple  vont  se  divertir  dans  des  maisons 
et  des  jardins  agréablement  situés  aux  environs  de 
la  ville  :  il  s'y  établit  de  beaux  cafés  qui  sont  très  . 
fréquentés. 

Les  bains  chauds  de  Bude  sont  en  partie  l'ou- 
vrage des  Turcs,  lorsqu'ils  étaient  en  possession  de 

XLVI.  9 


130  VOYAGES  EN  EUROPE, 

cette  ville.  Les  individus  des  deux  sexes  dans  le 
bain  public  se  baignent  ensemble,  les  femmes 
avec  un  jupon,  les  hommes  avec  des  caleçons  :  cet 
usage  extraordinaire  n'entraîne  aucun  inconvé- 
nient. 

11  se  tient  plusieurs  foires  en  Hongrie,  et  il  s'y 
fait  beaucoup  d'affaires,  comme  dans  tous  les  pays 
où  l'industrie  et  le  commerce  ont  peu  d'activitf*; 
celle  de  Pestli  est  la  plus  considérable,  et  dure  dix 
jours.  Les  plus  grands  objets  de  cette  foire  sont 
l'achat  et  la  vente  des  chevaux  et  des  bêtes  à 
corne. 

Les  Allemands  portent  l'habit  européen,  les  Hon- 
grois l'habit  national,  qui,  pour  les  nobles,  est 
celui  des  hussards  avec  le  sabre. 

Le  voyageur  donne  sur  le  vin  de  ïokai  des  détails 
fort  intéressans,  et  dont  voici  à  peu  près  la  «ub- 
stance. 

Le  canton  de  Tokai,  dont  le  chef-lieu  est  une 
petite  ville  fort  misérable,  ne  produit  qw'une  por- 
tion de  l'excellent  vin  qui  porte  son  nom  :  il  a  eu 
la  chance  de  donner  ce  nom  à  un  district  mon- 
tueux  qui  s'étend  à  trente  milles  vers  le  nord,  sur 
ime  largeur  moins  considérable,  et  qui  embrasse 
dix -neuf  villes  et  villages,  dont  le  territoire  pro- 
duit des  vins  d'une  qualité  tout  aussi  supérieure 
que  celle  du  vin  que  l'on  recueille  dans  le  canton 
de  Tokai  proprement  dit. 


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DIX-  HUITIÈME  SIÈCLE.  I3t 

Les  vins  connus  sous  le  nom  de  Tokai  propre- 
ment dit,  sont  d'une  espèce  particulière,  dont  les 
différens  cantons  de  ce  district  ne  font  qu'une  très 
petite  quantité,  et  qui  sur  les  lieux  mêmes  se  ven- 
dent fort  cher  :  on  nomme  cette  espèce  de  vin 
ambruch  ;  on  le  fait  au  moyen  d'un  mélange  de  rai- 
sins à  moitié  secs,  qu'on  joint  à  des  raisins  ordi- 
naires. Le  voyageur  expose  dans  un  grand  détail 
le  procédé  de  la  plantation  de  la  vigne  et  de  la  cul- 
ture dans  le  district  de  Tokai. 

Comme  il  faut  que  les  raisins  soient  extrêmement 
mûrs,  on  diffère  la  vendange  aussi  long-temps  qu'il 
est  possible,  et  en  général  jusqu'à  la  lin  d'octobre. 
Si  le  temps  est  beau ,  on  diffère  encore,  afin  d'avoir 
une  plus  grande  quantité  de  raisins  desséchés,  chose 
indisponsablement  nécessaire  pour  faire  de  l'aus- 
bruch.  Dès  que  les  raisins  commencent  fi  mûrir, 
on  place  des  gardes  dans  les  vignes,  non-seulement 
pour  empêcher  le  vol  des  raisins,  mais  pourchasser 
les  oiseaux,  qui  en  sont  très  friands. 

Les  vendanges,  particulièrement  dans  le  district 
de  Tokai,  sont  la  saison  de  la  gaîté  et  des  plaisirs. 
Tous  les  nobles  qui  y  possèdoit  des  vignes,  quel- 
que éloignées  que  soient  leurs  propriétés,  y  vien- 
nent dans  cette  saison,  et  invitent  à  leurs  vendanges 
leurs  parens  et  leurs  amis;  mais  cette  affluence 
est  encore  augmentée  par  le  concours  des  mar- 
chands de  vin,  et  par  une  ou  deux  foires  qui  pré- 


132  VOYAGES  EN  EUROPE, 

cèdent  les  vendanges.  On  a  déjà  vu  que  n'est  aux 
raisins  à  demi  desséchés  que  le  vin  deTokai  doit 
sa  délicieuse  saveur;  mais  la  quantité  et  la  qualité 
diffèrent  d'une  année  à  l'autre.  Quelquefois  il  n'y 
en  a  pas  du  tout,  lorsque  les  gelées  du  matin  sont 
prématurées  et  précèdent  la  maturité  du  raisin; 
mais  ces  mêmes  gelées  sont  favorables  lorsqu'elles 
ne  viennent  pas  trop  tôt.  Quelquefois  aussi,  quand 
le  temps  est  pluvieux  et  couvert,  lorsqu'il  faudrait 
aux  raisins  qui  commencent  à  se  dessécher  un  soleil 
ardent  pour  en  purger  les  parties  aqueuses,  les 
raisins  n'acquièrent  point  de  qualité.  Ceux  qui  sont 
propres  à  se  dessécher  sont  toujours  en  petite 
quantité,  comparativement  aux  raisijns  ordinaires; 
et,  comme  on  l'a  déjà  dit,  il  y  a  des  années  où, 
par  la  rigueur  de  la  température ,  on  n'en  trouve 
pas. 

I^es  raisins  à  demi  desséchés  se  foulent  séparé- 
ment des  raisins  ordinaires.  Le  jus  qu'on  en  exprime 
a  la  consistance  et  l'apparence  du  miel  :  on  le  mêle 
avec  le  vin  commun,  dans  une  proportion  qui  varie 
suivant  les  spéculations  ou  la  fantaisie  des  pro- 
priétaires. Du  plus  ou  du  moins  de  ce  jus  précieux 
dépend  la  qualité  du  vin  de  Tokai. 

La  plus  grande  partie  des  vins  de  Tokai  est  en- 
levée par  les  nobles  de  tous  les  cantons  de  la  Hon- 
grie. Il  en  passe  beaucoup  dans  les  cours  de  l'Eu- 
rope, et  il  se  vend  fort  cher  :  c'est  du  vin  de  rois 


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DIX-HUITIÈME  SiÈCLK.  IJ.i 

et  ion  n'est  point  surpris  qu'Auguste,  roi  de  Po- 
logne, l'ait  préféré  au  nectar  des  dieux. 

Voyons  ce  qu'un  autre  voyageur,  l'Anglais  Coxe, 
dit  de  ce  royaume  à  l'époque  où  il  le  visila.  pour 
aller  ensuite  à  Moscou  et  de  là  en  Suède. 

COXE. 

(1778.) 

Le  voyage  de  Coxe  passe  pour  un  des  meilleurs 
qui  aient  été  faits  en  Pologne,  en  Russie,  en  Suède  et 
en  Danemark.  Les  observations  du  voyageur  sont 
remplies  de  justesse,  ainsi  que  le  lecteur  en  jugera 
par  les  extraits  qui  vont  être  mis  sous  ses  yeux. 

On  peut,  dit  Coxe,  diviser  les  habitans  de  la  Po- 
logne en  quatre  classes,  les  nobles,  les  ecclésiasti- 
ques ,  les  bourgeois  et  les  paysans. 

Par  les  lois  de  Pologne,Jun  noble  est  une  personne 
qui  possède  une  terre  libre,  ou  qui  peut  prouver 
qu'il  descend  de  parens  qui  en  ont  possédé  une , 
qu'il  n'est  attaché  à  aucune  profession ,  à  aucun 
commerce  ni  à  aucune  demeure  particulière.  Tous 
ces  nobles,  selon  la  lettre  de  la  loi,  sont  égaux  entre 
eux  par  la  naissance ,  de  manière  que  tous  les  hon- 
neurs et  les  titres  qu'ils  peuvent  acquérir  n'ajou- 
tent rien  à  leur  dignité  réelle,  et  ne  donnent  en 
particulier  aucun  drca  de  préséance.  Par  le  moyen 
de  leurs  représentans  dans  les  diètes,  ils  ont  une 


134  VOYAGES  EN  EUROPE, 

part  à  l'autorité  législative,  et  dans  quelques  occa- 
sions, comme  aux  élections  des  rois,  ils  s'assem- 
blaient en  personne,  chaque  gentilhomme  ayant  la 
capacité  d'être  élu  nonce  ou  sénateur;  ils  pouvaient 
même  se  présenter  chacun  pour  candidat  au  trône. 

D'après  la  loi  alors  existante,  aucun  gentilhomme 
polonais  ne  pouvait  être  arrêté  sans  avoir  été  au- 
paravant jugé  et  convaincu,  excepté  dans  les  cas 
de  haute  trahison ,  de  meurtre  ou  de  vol  sur  les 
grands  chemins  ;  et  méute  alors  il  fallait  qu'il  fût 
pris  sur  le  fait;  enfin  il  ne  pouvait  être  frappé  de 
la  peine  capitale  sans  l'autorisation  de  la  diète.  On 
voit  par  là  que  la  noblesse  polonaise  est  extrême- 
ment nombreuse.  Aussi  la  multitude  des  gentils- 
hommes polonais  a-t-clle  toujours  été  une  source 
de  malheurs  pour  le  pays.  • 

Les  ecclésiastiques  sont  tous  hommes  libres,  et 
ont  itiéme  des  cours  de  justice,  où  l'on  juge  cer- 
taines affaires  selon  le  droit  canon.  Le  nonce  du 
pape  en  a  une  aussi ,  qui  est  la  cour  suprême  ecclé- 
siastique du  royaume.  Dans  les  cas  de  divorce,  de 
dispenses  pour  des  mariages  et  d'autres  affaires  de 
ce  genre,  on  s'adresse  à  la  cour  de  Rome,  qui  tire 
par  ce  moyen  des  sommes  considérables  de  la  Po- 
logne. 

La*  troisième  classe  de  la  nation  polonaise  est 
com^iosée  des  bourgeois  ou  des  habitans  des  villes. 
Ils  élisent  leurs  bôurguemestres  et  leurs  conseillers 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE. 


s  occa- 
assem- 
yant  la 
iivaient 
I  trône, 
homme 
été  au- 
,  les  cas 

sur  les 
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appé  de 
iète.  On 
îxtrême- 

gentUs- 
e  source 

ibres,  et 
juge  cer- 
lonce  du 
me  ecclé- 
?^orce,  de 
ffaires  de 
,  qui  tire 
de  la  Po- 

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des  villes. 

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municipaux;  ils  font  des  règl 
liée  intérieure  ;  Ils  ont  leui 


186 
eur  po- 


emens  pou 

lunaux  pour  leurs 
aires  crmiineiles  qui  s  y  déciaent  sans  appel. 

'  La  quatrième  classe  est  celle  des  paysans ,  dont  la 

servitude  est  d'ancienne  date  et  a  toujours  été  assez 
rigoureuse.  I^  maxime  reçue  de  tous  temps  en 
Pologne,  qu'un  esclave  ne  peut  intenter  un  procès 
à  son  seigneur,  est  toujours  en  vigueur.  Il  y  a  des 
paysans  qui  appartiennent  à  la  couronne  et  d'autres 
à  des  particuliers.  Ceux  qui  appartiennent  à  des 
particuliers  sont  absolument  à  la  discrétion  de  leur 
maître, 

f  On  compte  aus.si  beaucoup  de  juifs  en  Pologne: 

ils  y  sont  entrés  du  tem,ps  de  Casimir-le-Grand,  et 
ils  jouissent  de  nombreux  privilèges. 

Coxe  fait  de  Cracovie  une  description  à  laquelle 
on  aurait  peu  à  changer  pour  la  mettre  en  harmo- 
nie avec  l'état  actuel  de  cette  ville  qui  a  été  ancien- 
nement la  capitale  de  la  Pologne.  Située  dans  une 
\astc  plaine  arrosée  par  la  Vistule,  qui  est  large  et 
peu  profonde,  Cracovie  avec  ses  faubourgs  oc- 
cupe un  terrain  très  étendu.  La  grande  place  qui 
est  au  milieu  de  la  ville  est  Ibrt  spacieuse ,  et  l'on 
y  voit  plusieurs  maisons  bien  bâties.  Il  y  a  plusieurs 
rues  larges  et  belles;  mais  la  ville  brille  surtout 
par  ses  églises.  Les  remparts  portent  encore  des 
traces  des  boulets  et  des  balles  dont  cette  ville  fut 
criblée    lorsque   Charles  XII    vir/   l'assiéger  et  la 


136  VOYAGES  EN  EUROPE, 

prendre  au  commencement  du  XYIII^  siècle.  Ces 
remparts  sont  de  hautes  murailles  de  briques,  sou- 
tenues de  tours  rondes  et  carrées,  d'une  construc- 
tion le  plus  souvent  très  bizarre,  selon  lancien 
style  des  fortifications. 

I/université  de  Cracovie  fut  fondée  et  dotée  par 
Casimir-le-Grand;  elle  était  anciennement  appelée 
la  mère  de  la  littérature  polonaise,  parce  qu'elle 
fournissait  des  professeurs  et  des  hommes  savans  à 
tous  les  autres  collèges  du  royaume. 

Au  midi  de  la  ville ,  près  de  la  Vistule,  s'élève  une 
petite  colline  ou  plutôt  un  rccher  sur  le  sommet 
duquel  est  bâti  le  palais;  il  est  environné  de  murs 
de  briques  et  ressemble  à  une  citadelle.  Les  salles 
en  sont  vastes  et  d'une  belle  proportion.  Ce  palais 
était  anciennement  la  résidence  des  rois  de  Pologne, 
et  lorsque  Varsovie  est  devenue  la  capitale  du 
royaume,  on  n'a  pas  moins  continué  de  faire  à  Cra- 
covie tout  le  couronnement  des  rois.  Des  fenêtres 
de  ce  palais  on  jouit  d'une  vue  fort  étendue. 

Le  pays  qui  environne  Cracovie  n'est  guère  qu'une 
grande  plaine  sablonneuse.  On  remarque  cepen- 
dant deux  collines ,  dont  l'une  est  appelée  par  tra- 
dition le  tombeau  de  Cracus,  duc  de  Pologne,  qui 
fonda,  dit-on,  Cracovie  l'an  700  de  Jésus -Christ. 
Ces  collines  artificielles  ont  servi  plusieurs  fois  à 
signaler  la  sépulture  des  personnages  célèbres  ou 
des  héros. 


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DlX-HUlTlÈME  SIfXLE. 


de 


137 


A  quelque  distance  de  Cracovîe  on  aperçoit 
forteresse  de  Landskroiie,  située  sur  un  roc,  et 
dont  soixante-seize  confédérés  Polonais  s'emparè- 
rent lorsqu'elle  était  g^ardée  par  quatre-vingt-sept 
soldats  russes,  exploit  qui  est  encore  cité  comme 
un  des  plus  illustres  dans  les  annales  polonaises.   . 

Le  passage  souterrain  par  lequel  les  soixante-seize 
confédérés  entrèrent  dans  la  place  était  un  égout 
ayant  une  petite  issue  du  côté  de  la  Vistule;  il  fallut 
se  traîner  sur  les  pieds  et  sur  les  mains  dans  un 
espace  assez  long,  pour  arriver  couvert  de  boue 
dans  rintéricur  du  palais  et  égorger  la  garde  russe  : 
on  eut  alors  un  exemple  de  ce  que  peuvent  la  per- 
sévérance et  i'audace. 

Les  Polonais  ont,  suivant  Coxe,  une  grande 
vivacité,  et  ils  gesticulent  beaucoup  en  parlai. î; 
leur  manière  de  saluer  est  d'incliner  la  tète  et  de 
se  frapper  la  poitrine  d'une  main  en  étendant  l'autre 
vers  la  terre;  mais  quand  un  homme  du  peuple 
rencontre  un  supérieur  il  baisse  la  tête  presque 
jusqu'à  terre  en  remuant  en  même  temps  la  main 
avec  laquelle  il  touche  le  bas  de  la  jambe  de  la  per- 
sonne à  qui  il  veut  marquer  son  respect.  Les  hom- 
mes de  toutes  les  conditions  portent  assez  généra- 
lement des  moustaches  et  se  rasent  la  tête,  à  la 
réserve  d'un  cercle  de  cheveux  qu'ils  laissent  sur 
le  sommet.  L'habillement  d'un  paysan  en  été  n'est 
autre  chose  qu'une  chemise  et  des  caleçons  de  mau- 


13»  VOYAGES  EN  EUHOPE. 

vaisc  toile;  il  n  a  ni  soulier  ni  ba»,  mais  un  chapeau 
rond  ou  un  bonnet.  Les  femmes  du  peuple  portent 
sur  leur  tête  une  espèce  de  voile  de  lin^je  blanc, 
son»  lequel  leurs  cheveux  sont  noués  et  pendent  en 
deux  tresses.  L'habillement  des  personnes  de  qua- 
lité des  deux  sexes  est  des  plus  élégans;  le  sabre 
est  une  partie  essentielle  de  celui  des  gentils- 
hommes. ^ 

Si  l'on  considère  les  traits,  le  regard,  les  cou- 
tumes et  tout  l'extérieur  des  Polonais,  on  trouvera 
qu'ils  ressemblent  plutôt  aux  peuples  asiatiques 
qu'aux  Européens.  Leurs  ancêtres  ont  été  indubi- 
tablement un  peuple  tartare. 

De  Cracovie,  et  après  avoir  visité  les  mines  de 
Wielitska  qui  en  sont  à  huit  milles,  dans  une 
chaîne  de  collines  qui  se  joint  aux  monts  Crapacks, 
notre  voyageur  se  rendit  à  Varsovie,  pour  faire 
une  description  détaillée  de  cette  capitale. 

La  situation  de  Varsovie  n'est  pas  désagréable. 
Cette  ville  est  bâtie  dans  une  plaine,  en  partie  sur 
la  pente  peu  sensible,  d'une  colline  qui  s'élève  sur 
les  bords  de  la  Vistule.  Ce  fleuve  a  dans  cet  endroit 
à  peu  près  la  largeur  de  la  Tamise  sous  le  pont  de 
Westminster;  mais  il  a  peu  de  profondeur  en  été. 
La  ville  et  ses  faubourgs  occupent  une  vaste  éten- 
due de  terrain.  Praga,  qui  est  le  faubourg  le  plus 
grand,  est  situé  à  la  droite  de  la  Vistule;  un  pont 
tiebati.  î'jx  le  réunit  au  reste  de  la  ville,  qui  compte 


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lent  en 
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i  compU 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  180 

environ  cent  mille  habitans.  Les  rues  sont  grandes, 
mais  mal  pavées;  les  églises  et  les  édiKces  publics 
sont  vastes  et  magnifiques;  les  hôtels  ou  palais  sont 
beaux  et  nombreux;  mais  les  maisons  dans  les  fau- 
bourgs sont  en  général  chétives  et  mal  bâties.  Le 
palais  est  située  sur  un  terrain  qui  s'élève  au-dessus 
de  la  Vistule,  et  Ton  y  jouit  d'une  très  belle  vue  sur 
cette  rivière  et  sur  les  environs. 

De  Varsovie,  Goxe  alla  à  Biclsk,  dans  le  palatinat 
dePodlachie,  où  s'assemblait  alors  la  diète  de  la  pro- 
vince. Il  se  rendit  ensuite  à  Bialistock,  ville  propre 
et  bien  bâtie,  ayant  des  rues  larges,  les  maisons 
enduites  de  plâtre,  et  séparées  les  unes  des  autres  à 
des  distances  égales.  11  passa  de  Bialistock  à  Grodno, 
ville  où  devait  être  signé  en  1793  le  deuxième  par- 
tage de  la  PoK'{yne,  ainsi  que  l'abdication  du  roi 
Stanislas- Auguste  en  1795.  Coxe  dut  traverser  d'a- 
bord quelques  misérables  faubourgs  habités  par 
des  juifs,  ensuite  passer  sur  un  bac  la  rivière  de 
rÇiémen,  qui  est  large,  claire  et  peu  profonde. 
Grodno  est  bâtie  sur  une  émincnce  ;  c'est  une  ville 
grande  et  régulière,  mais  offrant  un  mélange  bi- 
zarre de  belles  maisons  et  de  misérables  cabanes. 
Le  vieux  palais  où  logeaient  les  rois  durant  les  diètes 
est  situé  sur  une  colline  sablonneuse  et  escarpée  au 
bord  de  la  rivière  ;  il  en  reste  quelques  portions  de 
murailles;  un  palais  plus  moderne  a  été  construit 
dans  le  voisinage. 


HO  VO YACKS  EN  KLIUH'K. 

Ëii  travc^rsant  la  Lithuanie,  notre  voya}j;eur  l'ut 
frappé  de  la  multitude  de  juifs  qu  on  y  rencontre. 
Demandez-vous  un  interprète,  on  vous  amène  un 
juif.  Entrez-vous  dans  une  auber£;e,  Tliôte  est  un 
juif.  Voulez-vous  des  chevaux  de  poste,  c'est  un 
juif  qui  vous  les  procure,  et  un  juif  qui  les  mène. 
Avez-vous  quelque  chose  à  acheter,  un  juif  est  len- 
tremetteur.  C'est  peut-être  le  seul  pays  de  l'Europe 
où  les  juifs  cultivent  la  terre,  si  l'on  en  excepte  quel- 
qu'^s  parties  de  la  France.  Goxe  trouva  les  chemins 
très  négligés,  et  ce  ne  fut  pas  sans  peine  qu'à  tra- 
vers les  forêts  il  atteignit  la  ville  de  Minsk ,  assez 
grande  et  assez  bien  peuplée.  Elle  avait  alors  un 
couvent  de  jésuites.  Les  bàtimens  de  cette  ville  sont 
presque  tous  en  bois. 

Notre  voyageur  partit  de  Minsk  pour  Borisow,  et 
traversa  la  Bérésina,  qui  était  alors  la  limite  natu- 
relle entre  la  Russie  et  la  Vologne.  On  se  rappelle 
que  cette  rivière  est  depuis  devenue  fameuse  par 
le  passage  de  l'armée  française  à  la  retraite  de 
Moscou.  On  était  au  cœur  de  l'hiver  de  1812, 
Napoléon  avait  avec  lui  six  mille  hommes  de  sa 
garde,  que  suivait  le  reste  de  l'armée  ;  le  passage  fut 
extrêmement  périlleux,  et  il  y  périt  des  milliers  de 
soldats  français.  Eni^n  l'armée  parvint  à  l'effectuer, 
et  il  y  eut  ensiMU  inc  bataille  dirigée  en  personne 
par  le  maréchal  %ey,  el  dont  les  résultats  sauvèrent 
les  débris  «le  la  ifrande  armée,  qui  regaj^na  la  Po- 


gulièrf 
l^es  mil 
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constri 
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l)IX-IIi;iTlfcMF.  SI^ICLK. 


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logne et  alla  se  reformer  en  Saxe,  où  le  prinlrnips 
.suivant  elle  battit  «le  nouveau  les  Russes.  On  sait 
qu'alors  toute  rAllemaj^ne  se  tourna  contre  nous, 
et  (pi'il  fallut  céder  au  nombre. 

Des  bords  de  la  Bérésina,  notre  voyageur  se  ren^ 
(lit  à  Smolensk,  grande  et  belle  ville  située  aux 
rives  du  Dnieper,  sur  deux  collines  et  dans  la  vallée 
qui  est  entre  elles  deux.  Les  murailles  qui  l'envi- 
ronnent ont  trente  pieds  de  haut  et  quinze  de 
large.  Le  bas  en  est  de  pierres,  le  haut  est  de  bri- 
ques. Les  murs  suivent  les  contours  des  collines, 
et  ont  trois  milles  trois  quarts  de  circuit;  il  y  a  en 
dehors  un  fossé  profond ,  un  chemin  couvert,  un 
};laci.s,  et  des  redoutes  construites  à  la  moderne.  La 
cathédrale  est  bAtie  sur  une  éminenceau  milieu  de 
la  ville.  On  a  de  son  faite  la  vue  la  plus  pittoresque 
de  cette  cité,  qui  dans  son  enceinte  renferme  des 
jardins,  des  bosquets,  des  champs  et  des  prés.  La 
plupart  des  maisons  sont  de  bois  et  à  un  seul  étage. 
Une  large  et  longue  rue  p^^vée  coupe  la  ville  en 
ligne  droite;  les  autre*  rues  sont  la  plupart  irré- 
gulières et  couvertes  «»?  i^lanches  au  lieu  de  pavés. 
Les  murs  de  la  ville  s  élèvent  ou  s  abaissent  avec  le 
♦errain,  ets'étendont  jusqucs  auxbordsdu  Dnieper: 
leur  architecture  antique,  leurs  tours  bizarrement 
construites,  le^  aiguilles  des  clochers  élevés  au- 
dessus  des  arè»res,  qui  cachent  par  leur  multitude 
la  plupart  <4«s  maisons,  les  champs,  les  prés  qui  y 


142  VOYAGES  EN  EUROPE, 

sont  épars,  tous  ces  objets  forment  le  contraste  le 
plus  singulier.  Au-delà  du  Dnieper,  fleuve  qui  prend 
sa  source  dans  la  forêt  de  Wolkonsky,  près  de  la 
source  du  Volga,  à  cent  milles  de  Smolensk,  est 
une  espèce  de  faubourg  composé  de  cabanes  cparses, 
qui  tient  à  la  ville  par  un  pont  de  bois.  Smolensk, 
au  temps  de  Coxe,  renfermait  environ  quarante 
mille  habitans  ;  elle  n'a  plus  guère  aujourd'hui  (1 836) 
que  de  quinze  à  vingt  milles.  Elle  fut  en  partie 
incendiée  en  1812  à  l'approche  des  Français,  qui 
remportèrent  devant  cette  ville  une  grande  victoire 
sur  les  Russes,  victoire  qui  ouvrit  aux  vainqueurs 
le  chemin  de  Moscou. 

Coxe  partit  de  Smolensk  pour  Moscoq,  en  pas- 
sant par  Viasma,  ville  qui  se  présente  d'une  ma- 
nière imposante,  avec  ses  dômes  et  ses  clochers  au 
travers  des  arbres.  Elle  occupe  sans  régularité  un 
terrain  très  étendu  ;  ses  bàtimens  sont  la  plupart 
de  bois  ;  un  petit  nombre  en  briques  sont  dus  à  la 
munificence  de  l'impératrice  Catherine.  La  princi- 
pale rue,  semblable  aux  grandes  routes  de  Russie, 
est  couverte  en  partie  de  troncs  d'arbres  couchés 
en  travers,  et  en  partie  de  planches  comme  le  plan- 
cher d'une  chambre.  Elle  contient  plus  de  vingt 
églises,  nombre  étonnant  pour  une  ville  si  peu 
peuplée.  A  une  certaine  distance,  le  grand  nombre 
des  clochers  et  des  dômes  qui  dérobent  la  vue  des 
cabanes  voisines  pourraient  aisément  persuader  aux 


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DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  14.T 

voyageurs  qu'ils  vont  voir  une  grande  ville ,  là  où 
ils  ne  trouveront  bientôt  qu'un  amas  de  huttes  de 
bois. 

Près  de  Viasma,  Coxe  entra  dans  la  vaste  forêt 
de  Wolkonsky ,  laquelle  s'étend  de  là  sans  interrup- 
tion dans  un  espace  de  cent  cinquante  milles  ,  pres- 
que jusqu'aux  portes  de  Moscou.  C'est  dans  cette 
forêt  immense  que  sont  les  sources  des  principales 
rivières  de  la  Russie  européenne,  la  Duna,  le 
Dnieper,  le  Volga. 

L'aspect  de  Moscou  se  révéla  au  voyageur  à  six 
milles  de  dislance  par  les  pointes  des  plus  hauts 
clochers.  Deux  ou  trois  railles  plus  près,  en  mon- 
tant sur  une  éminence,  il  put  jouir  du  spectacle  de 
cette  capitale,  dont  les  innombrables  églises  avaient 
leurs  clochers  ou  leurs  dômes  blancs,  rouges,  verts, 
dorés  par  les  feux  du  soleil.  La  forêt  arrivait  jus- 
qu'à un  mille  des  remparts,  et  cet  intervalle  était 
couvert  par  des  prairies.  Il  traversa  la  Moskowa  sur 
«ne  sorte  de  radeau  ou  de  bac ,  et  put  alors  entrer 
dans  la  seconde  capitale  de  la  Russie. 

Moscou,  que  les  Russes  appellent  Moskowa  ou 
Moskua,  à  cause  de  la  rivière  de  ce  nom,  et  à  la- 
quelle se  joint  la  Neglina ,  est  moins  ancien  que  No- 
vogorod,  Kiov,  Wolodimir  et  Tver,  où  les  souve- 
rains de  la  Russie  ont  fait  leur  résidence  avant  que 
cette  ville  existât.  Le  terrain  occu|)é  aujourd'hui  par 
le  Kremlin  n'était  qu'un  bois  el  un  marais,  au  mi- 


144  VOYAGES  EiN  EUROPE, 

lieu  duquel  il  y  avait  une  petite  île  contenant  une 
seule  cabane  de  bois.  C'est  en  1304  que  le  grand 
duc  de  Wolodiinir  vint  s  établir  à  Moscou,  que  son 
fils  Ivan  agrandit.  Son  petit-fils  Demetrius,  en  1367, 
enferma  le  Kremlin  d'un  mur  de  briques,  ce  qui 
n'empêcha  pasTamerlan  de  s'en  emparer  en  1382. 
Napoléon  y  fit  son  entrée  le  14  septembre  1812,  à 
la  tête  de  sa  grande  armée  qui  venait  de  gagner  la 
g/ande  bataille  de  la  Moskowa.  Peu  de  jours  après 
l'arrivée  des  Français,  Moscou  fut  incendié  par  les 
ordres  du  gouverneur  russe  Rostopchin ,  qui  avait 
fait  préparer  secrètement  des  moyens  incendiaires. 
Peu  de  quartiers  échappèrent  aux  flammes.  Néan- 
moins, l'armée  française  s'y  maintint  plus  d'un 
mois.  Le  Kremlin  est  détruit  le  22  octobre,  et 
l'ordre  de  la  retraite  est  exécuté.  Moscou  fut  rebâti 
en  peu  d'annérs,  et  c'est  aujourd'hui  une  ville  toute 
moderne. 

C'est  pourquoi  nous  nous  dispenserons  de  rap- 
porter ici  la  description  que  notre  voyageur  a  faite 
de  cette  grande  ville.  Nous  dirons  seulement  avec 
lui  que  le  Kremlin  a  pris  son  nom  sous  la  domina- 
nation  des  Tartares,  du  mot  krem  ou  krim,  qui 
signifie  yb/'/<?rewe.  Il  est  situé  dans  le  centre  et  sur 
la  partie  la  plus  élevée  de  Moscou,  au  confluent  de 
la  Moskowa  et  de  la  Neglina  qui  en  baignent  les 
deux  côtés;  sa  forme  est  triangulaire,  et  sa  circon- 
férence est  de  deux  milles.  Les  hautes  murailles  de 


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irailles  de 


DiX-HUITiÈME  SIÈCLE.  I4h 

pierres  et  de  briques  dont  le  Kremlin  est  entoura 
ont  été  construites  en  1491,  sous  la  direction  d*un 
architecte  milanais.  Le  Kremlin  renfermé  l'ancien 
palais  des  tzars.  '  ''' 

De  Moscou  notre  voyageur  se  dirigea  vers  la  ville 
de  Tver,  dont  la  situation  est  magnifique,  sur  les 
bords  élevés  du  Volga.  Elle  date  de  l'an  1 182.  Elle 
se  divise  en  ville  vieille  et  en  ville  neuve.  ->     * 

Ses  rues  sont  larges  et  longues,  et  vont  aboutir  à 
une  place  octogone  qui  en  est  le  centre.  Les  mai- 
sons de  cette  place  et  celles  des  principales  rues 
isont  bâties  en  briques  et  enduites  d'un  stuc  blanc, 
ce  qui  leur  donne  une  très  belle  apparence.  Il  se 
fait  un  grand  commerce  à  Tver,  et  le  Volga  et  la 
Tvertza  sor  verts  de  bateaux.  Par  le  moyen  de 
la  Tvertza  on  a  établi  une  communication  entre  la 
Neva  et  le  Volga,  ou ,  en  d'autres  termes,  entre  la 
mer  Baltique  et  la  mer  Caspienne.  Tver  est  dans 
une  vaste  plaine  parsemée  de  petites  éminences , 
trop  peu  élevées  pour  mériter  le  nom  de  mon- 
tagnes. Le  pays  produit  en  abondance  du  blé,  du 
seigle,  de  l'orge,  de  l'avoine,  du  chanvre,  et  toutes 
sortes  de  végétaux.  On  trouve  dans  les  forêts  des 
chênes,  des  bouleaux,  des  aunes,  des  peupliers, 
des  frênes,  des  pins,  des  sapins,  des  genévriers,  etc. 
A  quelque  distance  on  rencontre  des  élans,  des 
ours,  des  loups,  des  renards,  des  chèvres  sau- 
vages, etc.  Le  Volga  est  très  poissonneux;  il  fournit 
XLVI.  10 


140  VOYAGES  EN  EUROPE, 

le  saumon,  le  sterlet,  la  tanche,  le  brochet,  la  per- 
che et  quelquefois  l'esturgeon. 

De  Tver  noire  voyageur  alla  saluer  Novogorod , 
surnonamée/a  Grande^  pour  ladistlnguer  des  autres 
ville  jui  portent  le  même  nom.  Elle  parait  dater 
du  milieu  du  v"  siècle;  elle  fut  quelqre  temps  si 
puissante  qu'on  disait  d'elle  en  proverbe  :  «  Qui  est- 
ce  qui  peut  résister  aux  dieux  et  à  la  grande  Novo- 
gorod? »  Aujourd'hui  elle  n'est  plus  que  le  chef-lieu 
d'un  gouvernement  du  même  nom.  Elle  est  située 
sur  les  deux  rives  du  Volkof,  rivière  belle,  pro- 
fonde et  rapide.  Coxe  en  quitta  les  bords  pour  se 
rendre  à  Saint-Pétersbourg. 

Il  a  décrit  avec  détail  la  nouvelle  capitale  des 
tzars,  bâtie  sur  les  rives  de  la  Neva,  près  du  golfe 
de  Finlande,  et  en  partie  dans  des  îles  qui  sont  à 
l'embouchure  de  ce  fleuve.  Ce  fut  en  1716  que 
Pierre-le-Grand  jeta  les  fondemens  de  la  ville  qui 
porte  son  nom.  Cette  ville  étant  bâtie  dans  un  ter- 
rain bas  et  marécageux,  est  sujette  à  des  inonda- 
tions qui  ont  failli  parfois  la  submerger  enticre- 
ipenl.  Ces  accidens  sont  occasionés  par  des  vents 
de  sud  et  de  sud-ouest  qui,  soufflant  directement 
du  golfe,  arrêtent  le  cours  de  la  Neva  et  en  font 
refluer  les  eaux.  On  communique  d'une  partie  de 
Pétersbourg  à  l'autre  par  un  pont  de  bateaux  sur 
lequel  on  traverse  la  Neva.  Mais  quand  elle  com- 
mence à  charrier  des  glaces,  on  le  lève,  parce  que 


la  per- 

rorod , 
autres 
t  dater 
mps  si 
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du  golfe 
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ville  qui 
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inonda- 
entière- 
des  vents 
rectement 
t  en  font 
partie  de 
iteaux  sur 
elle  coni- 
parce  que 


DIX-HUITIÈMË  SIÈCLE.  147 

les  grands  glaçons,  entraînés  du  lac  l^doga  par  un 
courant  rapide,  ne  manqueraient  pas  de  le  détruire. 
Alors  on  est  pendant  quelques  jours  privés  de  toute 
communication  jusqu'à  ce  que  la  riviè»'e  soit  prise 
au  point  de  pouvoir  porter  des  hommes  et  des 
voitures.  La  JNeva  est  d'ailleurs  trop  profonde  pour 
qu'il  soit  possible  d'y  bâtir  un  pont  de  pierre. 

Parmi  les  monumens  de  Pélersbourg,  on  cite  la 
statue  4questre  en  bronze  de  Pierre-le-Grand.  Elle 
est  de  fjrandeur  colossale,  et  c'est  l'ouvrage  de  Fal- 
conet,  célèbre  sculpteur  français.  Elle  fut  élevée 
aux  fixais  de  l'impératrice  Catherine  II,  en  1782. 
Elle  repose  sur  un  énorme  rocher  d'une  seule  pièce 
qui  a  été  amené  des  environs  de  Pétersbourg.  Au- 
cun monument  romain  n'offre  une  pareille  masse. 
Au  milieu  d'une  île  est  la  cathédrale  de  Saint-Pierre 
et  Saint- Paul,  qui  a  un  clocher  de  cuivre  doré,  et 
élevé  de  deux  cent  quarante  pieds  au-dessus  du 
sol.  Le  palais  d'hiver,  qui  est  la  demeure  ordinaire 
de  l'empereur,  est  un  bâtiment   immense,  mais 
d'une   architecture    lourde-  et    défectueuse;   une 
galerie  le  met  en  communication  avec  un  autre 
palais  fort  beau,  dit  t  Ermitage,  bâti  par  Cathe- 
rine II,  dont  il  était  le  séjour  favori.  Le  palais  de 
la  Tauride ,  remarquable  par  l'élégance  de  l'archi- 
tecture, par  ses  vastes  galeries,  par  son  jardin,  fut 
construit  tout  exprès  par  le  prince  Potemkin ,  à 
loccasion  d'une  fête  qu'il  donna  à  Catherine  II.  L'hô-^ 


148  VOYAGES  EN  EUROPE, 

tel  de  rAcadémie  des  beaux-arts,  la  Bourse,  THôtel- 
de-Ville,  sont  de  beaux  monumens.  Ce  qui  frappe 
surtout  à  Pétersbourg,  c'est  la  largeur,  Talignement 
et  la  propreté  des  rues;  c'est  l'élégance  et  la  régu- 
larité des  édifices;  c'est  la  beauté  des  quais  en 
granit  î  bordent  la  Neva.  Pétersbourg,  à  cinq 
centt«  iJtaes  nord-est  de  Paris ,  avec  une  circonfé- 
rence de  six  lieues  et  demie,  renferme  aujourd'hui 
(1836)  plus  de  trois  cent  mille  habitans.   ' 

L'autocrate  russe  a  dans  les  environs  de  sa  capi- 
tale de  vastes  palais ,  où  il  aime  à  passer  quelques 
jours  de  la  belle  saison  ;  les  principaux  palais  sont 
Sarsko-Zelo ,  Oranienbaum ,  Peterhof  et  Schlussel- 
bcurg.  Sarsko-Zelo  est  à  quinze  milles  environ  de 
Pétersbourg;  il  fut  bât;  par  Elisabeth  :  il  est  vaste 
et  pompeux.  Oranienbaum  est  situé  sur  les  bords 
de  la  mer,  à  vingt-cinq  milles  de  Pétesbourg;  il  a 
été  bâti  par  Menzicof ,  lorsqu'il  jouissait  d'un  degré 
de  pouvoir  et  de  grandeur  auquel  il  est  rare  qu'un 
sujet  parvienne.  Peterhof  est  à  sept  milles  d'Ora- 
nienbaum,  et  à  vingt  milles  de  la  capitale;  il  fut 
commencé  par  Pierre  l"  et  terminé  par  Fjlisabeth; 
il  est  bâti  sur  une  éminence  d'où  la  vue  est  su- 
perbe. On  découvre  de  là  Cronstadt,  Pétersbourg, 
le  golfe  et  la  côte  opposée  de  Carélie.  C'est  dans  ce 
palais  que  se  trouve  la  montagne  des  traîneaux. 
Schlusselbourg  est  à  quarante  milles  de  Péters- 
bourg ,  en  suivant  les  bords  sinueux  de  la  Neva. 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  14» 

Schlussel  en  allemand  signifie  clef,  et  Pierre-le- 
Grand  nomma  ainsi  ce  lieu,  parce  qu*il  le  regardait 
comme  étant  par  sa  situation  la  clef  de  ses  con- 
quêtes. 

Les  détails  que  le  voyageur  donne  sur  les  diffé- 
rentes classes  dont  la  nation  russe  est  composée 
ont  encore  aujourd'hui  à  peu  près  leur  application. 
Ces  classes  sont  au  nombre  de  quatre  :  celle  de  la 
grande  et  de  la  petite  noblesse  ;  le  clergé  ;  les  mar- 
chands, bourgeois  et  autres  personnes  libres;  les 
payuins.  Dans  les  trois  premières  classes  sont  pres- 
que tous  les  sujets  libres  de  l'empire,  et  dans  la 
deriière  tous  les  serfs  ou  esclaves. 

Aux  nobles  seuls  appartient  proprement  le  droit 
d'avdr  des  terres;  ils  servent  dans  l'armée  et  sont 
obli^s  de  fournir  des  recrues  proportionnellement 
à  l'étendue  de  leurs  possessions.  En  Russie,  comme 
dans  tous  les  gouvernemens  orientaux,  il  n'y  a 
presqie  d'autre  distinction  de  rang  entre  les  nobles 
que  ctlle  qui  dérive  des  emplois  et  des  grades  que 
leur  infère  le  souverain  :  qu'ils  soient  pnnces  > 
comte  ou  barons ,  c'est  une  distinction  qui  n'a  pas 
une  g'ande  valeur  sans  l'appui  de  quelque  emploi 
civil  <u  militaire.  Mais  les  nobles  ont  dans  leurs 
terresune  autorité  presque  illimitée,  et  disposent 
de  leu*s  serfs  sans  aucune  restriction. 

Le  Jergé  a  pour  chef  l'empereur,  qui  préside  le 
sacré  ynode,  lequel  a  pour  vice-président  un  ar- 


160  VOYAGES  EN  EUROPE, 

chevéque  métropolitain,  avec  un  certain  nombre 
de  conseillers  et  d'assesseurs.  Le  clerf^f^^  se  compose 
de  réfjuliers,  qui  sont  les  moines,  et  de  séculiers, 
qui  sont  les  prêtres  ou  curés.  La  plus  grande  partie 
des  richesses  de  Téglise  est  concentrée  dans  les 
monastères.  Tous  les  dignitaires  son^  tirés  de  Tordre 
des  moines  :  ce  sont  les  archevêques  et  évéqiies , 
les  archimandrites  ou  abbés,  et  les  igoumens  ou 
prieurs.  Les  curés  sont  désignés  par  le  titre  de 
papas  ou  popes,  mot  qui  signifie  père.  On  ne  per- 
met pas  aux  moines  de  se  marier,  tandis  que  cela 
est  ordonné  aux  prêtres  comme  un  prélimiiaire 
indispensable  de  leur  ordination.  Tous  les  ecclé- 
siastiques russes  portent  de  longues  barbes,  et  on 
les  distingue  des  laïques,  parce  qu'ils  laissent  croître 
leurs  cheveux  très  longs  et  les  portent  flottais  sur 
les  épaules;  ils  ont  un  bonnet  carré  et  une  bngue 
robe  noire.  l 

La  troisième  classe  est  intermédiaire  entrela  no- 
blesse et  les  paysans;  elle  se  compose  d'honmes 
libres  qui  s'occupent  des  arts,  des  sciences,  de  la 
navigation ,  du  commerce,  ou  exercent  des  nétiers. 
Les  marchands  sont  subdivisés  en  plusieurs  «lasses. 
Les  bourgeois  peuvent  devenir  marchand,  s'ils 
peuvent  avoir  un  capital  au-dessus  de  2, 500  Francs. 
Ils  jouissent  de  plusieurs  privilèges  que  n'mt  pas 
les  paysans;  mais  ils  sont  au-dessous  desmanhancis 
pn  ce  qu'ils  paient  la  capitation,  et  peuveit  être 


ï 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  lot 

enrôlés  pour  Tarmée  et  pour  la  flotte.  Viennent  en- 
suite,  après  les  bourgeois,  les  esclaves  affranchiis^t 
les  enfans  de  tous  les  sujets  libres  de  l'empire. 

La  quatrième  et  dernière  classe  est  celle  des 
paysans  ou  serfs,  qui  peuvent  se  diviser  en  paysans 
(le  la  couronne  et  paysans  appartenant  k  des  parti- 
culiers. I^s  premiers  habitent  dans  les  domaines 
de  \(*.  couronne,  et  ils  forment  environ  la  sixième 
partie  des  paysans  russes,  en  y  comprenant  ceux 
d«s  terres  de  1  église,  qui  appartiennent  aussi  à  la 
couronne.  Ils  relèvent  immédiatement  des  officiers 
irq[)ériaux  ou  des  baillis.  Les  paysans  qui  appar- 
tiement  à  des  particuliers  sont  la  propriété  des 
pojsesseurs  déterres,  comme  leur  charrue  et  leurs 
troipeaux  ;  et  la  valeur  d'une  terre  s'estime  comme 
en  Pologne,  non  par  le  nombre  d'arpens,  mais  par 
cel|i  des  paysans  qu'elle  contient. 

lie  Pétersbourg  Coxe  se  rendit  en  Suède  par  la 
Finànde,  et  arriva  promptement  à  Stockholm,  en 
tra^rsant  la  mer  Baltique.  Il  fait  de  la  capitale  sué- 
dois une  description  intéressante,  mais  que  nous 
«0  Reproduirons  pas,  puisque  nous  en  avons  déjà 
donié  une  dans  le  quarante-cinquième  volume  de 
note  collection ,  en  reproduisant  le  voyage  de  Ca- 
pellBrooke,  qui  est  d'une  date  bien  plus  récente, 
ayait  été  effectué  en  1820.  Nous  offrirons  seule- 
meil,  par  forme  de  complément,  les  détails  ci- 
aprè. 


152  V0YAGE3  EN  EUROPE. 

Stockholm,  cette  capitale  longue  et  de  forme  ir- 
régullèrei  occupe  deux  presqu'îles,  plusieurs  lies, 
qui  ne  sont  que  des  rochers  épars  dans  le  lac  Mœiar, 
dans  le  courant  par  lequel  ce  lac  se  décharge ,  et 
dans  une  baie  de  la  mer  Baltique.  On  y  découvre 
partout  des  points  de  vues  variés  et  charmans, 
formés  par  une  multitude  de  rochers  de  granit  qui 
s'élèvent  du  sein  de  l'eau ,  les  uns  nus  et  escarpéf , 
les  autres  couverts  de  maisons ,  d'autres  ornés  ce 
forêts,  {je  port  communique  avec  la  mer  Baltique  ; 
l'eau  en  est  claire  comme  du  cristal,  et  si  profonde 
que  les  plus  gros  vaisseaux  peuvent  aborder  jvs- 
ques  au  quai ,  qui  est  spacieux  et  bordé  de  grances 
maisons  et  de  vastes  magasins.  A  l'extrémité  iu 
port  plusieurs  rues  s'élèvent  l'une  sur  l'autre  en 
amphithéâtre,  et  le  sommet  de  la  colline  est  ou- 
ronné  par  le  Palais-Royal  qui  est  un  bâtinent 
magnifique.  Du  côté  de  la  mer,  à  deux  ou  tois 
milles  de  la  ville,  le  port  se  rétrécit,  et  n'est  jlus 
qu'un  détroit  qui,  se  courbant  entre  des  roclers, 
échappe  à  la  vue,  bornée  au  loin  par  des  collnes 
et  des  forêts.  La  plus  grande  partie  des  maions 
sont  de  pierres  ou  de  briques.  Le  palais ,  qui  es  au 
centre  de  la  ville  et  dans  le  lieu  le  plus  élevé,  est 
d'une  architecture  tout  à  la  fois  élégarte  et  m^ni- 
Hque. 

Coxe  ne  fit  pas  un  long  séjour  à  Stockholn  :  il 
visita  Upsal,  ville  célèbre  par  son  université  elpav 


i. 


DIX-HUITIÈMK  SIÈCLE.  153 

son  jardin  botanique,  où  professa  Linné  ou  Linnœus, 
né  le  24  mai  1707  à  Rœshult,  dans  la  province  sué- 
doise de  Smolande. 

D^Upsal  notre  voyageur  alla  visiter  quelques 
autres  villes  de  la  Suède,  et  s'embarqua  à  Helsing- 
bourg  afin  de  passer  en  Danemark,  en  traversant 
le  détroit  du  Sund  qui  sépare  la  Suède  de  ce 
royaume.  Il  débarqua  à  Elseneur,  ville  sur  la  côte 
danoise,  et  se  porta  directement  vers  Copenhague, 
capitale  du  Danempirk. 

Copenhague  est  située  sur  un  petit  promontoire 
de  la  côte  orientale  de  Tile  de  Sélande.  Le  sol  en 
est  tout  uni ,  bas  et  un  peu  marécageux.  Cette  capi- 
tale est  la  ville  la  mieux  bâtie  de  tout  le  nord  de 
r£urope.  Elle  est  environnée  du  côté  de  terre  de 
fortifications  régulières,  et  elle  a  quatre  à  cinq 
milles  de  tour.  Les  rues  sont  bien  pavées,  avec  un 
trottoir  de  chaque  côté.  La  plupart  des  maisons 
sont  bâties  en  briques  et  en  pierre  de  taille  qu'on 
apporte  d'Allemagne.  Le  palais  est  un  grand  et 
vaste  bâtiment  d'une  architecture  élégante.  Le 
mouvement  qu'on  observe  à  Copenhague  annonce 
une  ville  commerçante;  le  port  est  toujours  rempli 
de  vaisseaux  marchands.  Les  rues  sont  coupées  par 
plusieurs  larges  canaux,  au  moyen  desquels  on 
peut  décharger  les  marcliandises  devant  les  maga- 
sins qui  bordent  les  quais.  Une  partie  de  Copen- 
liajjue  se  trouve  dans  l'île  d'Aniac,  séparée  de  celle 


t- 


154  VOYAGES  EN  EUROPE. 

(le  Sélande  par  un  très  petit  bras  de  mer  qu'on 

passe  sur  deux  ponts.  •'  "  ' "   '  *    ' 

En  quittant  Copenhague,  notre  voyageur  passa 
le  (]frand  Belt ,  puis  le  petit  Belt ,  et  se  rendit  à  Kiel, 
d'où  il  retourna  en  Angleterre,  '' 


■  SI  •■  .        .-'    }     .'  '    .    I  ;  s.   lî 

»;/..:  ,         pALLAs. 


V. 


(1708-1773.) 


Le  voyage  dePalinsdans  les  diffc'Tcntes  provinces 
de  l'empire  de  Russie  a  une  réputation  justement 
acquise.  Pallas,  né  à  Berlin  en  1741,  s'était  fixé  à 
Leyde  pour  s'y  livrer  plus  facilement  à  l'étude  des 
sciences  naturelles.  Catherine  II  l'appela  à  Pélers- 
bourg,  et  l'adjoignit  aux  astronomes  qui,  avec 
Gmclin ,  devaient  aller  en  Sibérie  observer  le  pas- 
sage de  Vénus  sur  le  disque  du  soleil.  Pallas  dirigea 
lui-même  les  voyageurs;  et  après  avoir  parcouru 
les  parties  méridionales,  la  Sibérie  et  la  Tauride,  il 
revint  à  Pétersbourg  en  1773,  avec  une  santé  déla- 
brée par  les  fatigues.  11  retourna  dans  la  Tauride 
en  1795,  et  y  passa  encore  quinze  années  qui  furent 
employées  à  continuer  ses  grands  ouvrages.  Mais  las 
enfin  de  voyager,  et  las  surtout  de  la  Russie,  il  re- 
vint dans  sa  ville  natale,  où  il  termina  ses  jours  en 
1811.  Nous  nous  bornons  à  citer  son  voyage  sans 
en  présenter  l'analyse  ,  [lar'cc  qu'elle  formerait 
double  emploi  avec  d'autres  voyages  postérieurs , 


DIX-HLITIÈMIi  Slf.CLK.  155 

notamment  avec  celui  de  Lyall ,  qui  fi{];upe  dans  le 
XLIV*  volume  de  notre  Collection. 

Par  la  même  raison,  nous  nommerons  seulement, 
1°  l'Anglais  Swinton ,  qui  de  1788  à  1791  parcourut 
pour  ainsi  dire  les  mêmes  contrées  que  le  voyageur 
Coxe;  2"  miss  Wolstonecraft,  qui  visita,  vers  le 
même  temps,  le  Danemark,  laNorwége  et  la  Suède; 
3°  John  Carr,  dont  le  voyage,  au  commencement  du 
xix"  siècle,  eut  les  mêmes  contrées  pour  objet; 
4"  Erasme  Nyrup,  qui,  à  la  fin  du  xvill"  siècle  rt 
au  commencement  du  Xix",  explora  le  Danemark, 
et  en  décrivit  particulièrement  la  capitale;  5"  l'Alle- 
mand Kùttner,  qui  vit  de  1797  à  1799  le  Danemark, 
la  Suède  et  la  Norwége;  6"  l'Allemand  Storch,  qui 
h  la  fin  du  XVlll"  siècle  rctraçale  tableau  de  la  Russie 
européenne,  ouvrage  qui  pourrait  servir  de  mo- 
dèle aux  travaux  du  môme  genre  sur  d'autres  pays. 
Nous  offrirons  seulement  sur  la  Crimée  quelques 
traits  propres  à  compléter  ce  que  nous  avons  rap- 
porté dans  les  voyages  plus  récens  de  l-.yall ,  Kla- 
proth  et  Gamba. 

La  Crimée  ou  Tauride,  ancienne  Chersonèse  tau- 
rique,  presqu'île  de  la  Russie  d'Europe,  dau-;  le 
midi  du  gouvernement  de  la  Tauride,  sur  la  mer 
Noire,  a  un  climat  sujet  à  beaucoup  de  variations. 
Quelquefois  le  printemps  s'y  annonce  dans  les  pre- 
miers jours  de  février;  quelquefois  aussi  les  ri- 
i;ueurs  de  l'biver,  qui  a  commencé  vers   la    Ru 


156  VOYAGES  EN  EUROPR. 

d'octobre,  s'y  prolongent  jusqu'au  commencement 
d'avril  :  communément  c'est  au  mois  de  février 
que  le  froid  se  fait  sentir.  Suivant  Pallas,  il  est 
possible  que  la  dévastation  des  forêts  ait  contribué 
à  rendre  le  climat  plus  froid.  Les  étés  sont  aussi 
variables  que  les  hivers.  La  température  diffère 
qjelquefois  dans  le  même  jour  de  10  à  12  degrés. 
Ils  sont  souvent  très  secs  pendant  plusieurs  années 
consécutives,  au  point  qu'on  voit  les  sources  tarir 
et  les  ruisseaux  se  dessécher  dans  plusieurs  parties 
de  la  péninsule.  On  a  remédié  à  cet  inconvénient 
par  une  distribution  de  l'eau  des  rivières  dans  des 
canaux  pratiqués  avec  beaucoup  d'intelligence. 

La  saison  la  plus  agréable  et  la  plus  salutaire  est 
le  printemps,  qui  règne  d'ordinaire  depuis  le  com- 
mencement de  mars  jusqu'à  la  fin  de  mai.  Alors  la 
campagne,  entrecoupée  de  jardins,  offre  un  coup 
d'œil  enchanteur  par  le  contraste  d'une  verdure 
naissante  avec  les  nombreuses  touffes  de  roses 
rouges  et  blanches  et  la  couleur  éclatante  des 
fruits  de  toute  espèce.  Â  ces  beautés  de  la  nature, 
se  joint  le  spectacle  animé  de  nombreux  troupeaux 
qui  descendent  des  montagnes  ou  paissent  dans 
les  plaines.  Le  ciel  est  constamment  serein,  et  la 
beauté  des  nuits  égale  celle  des  jours. 

L'automne,  où  les  fruits  tombent  en  abondance, 
est  la  saison  la  plus  nuisible  à  la  santé.  Les  fièvres 
intermittentes  y  dégénèrent  souvei|t  en  maladies 


maïs , 


'W> 


DIX-HlilTIÊME  SIÈCLE.  157 

chroniques  et  mortelles.  On  y  éprouve  aussi,  dès 
le  mois  de  septembre,  des  froids,  des  gelées  asseK 
fréquentes  dans  les  nuits;  mais  ces  accidens  ne  nui- 
sent point  à  la  vigne,  car  le  beau  temps  succède 
bientôt  au  froid,  et  dure  quelquefois  jusqu'en 
décembre  et  même  jusqu'au  commencement  de 
janvier. 

Le  sol  de  la  Grimée,  généralement  marneux, 
présente  dans  les  plaines  tantôt  un  fond  d'argile 
sablonneux,  tantôt  des  terres  légères  et  desséchées: 
celles-ci  ne  se  trouvent  communément  que  dans  le 
voisinage  des  montagnes  ;  la  fertilité  des  autres  est 
remarquable  partout  où  il  y  a  assez  de  so'urces  et 
de  ruisseaux  pour  les  arroser.  La  vigne  et  le  fro- 
ment réussissent  même  parfaitement  avec  ce  se- 
cours, dans  les  terrains  pierreux.  Chose  singulière! 
la  quantité  prodigieuse  de  limaçons  dont  les  terres 
sont  parsemées ,  et  qui  est  si  funeste  dans  certains 
pays,  procure  à  ces  terres  une  sorte  d'engrais  mar- 
neux et  en  augmente  la  fertilité. 

Dans  les  temps  anciens,  on  exportait  de  la  pé- 
ninsule une  immense  quantité  de  grains;  sous  la 
domination  ottomane,  elle  était  réputée  le  grenier 
de  Gonstantinople.  Les  Tartares ,  avant  la  conquête , 
avaient  enfoui  des  provisions  de  blé  pour  plusieurs 
années.  Toutes  les  espèces  de  grains  réussissent 
dans  la  Crimée,  froment,  seigle,  orge,  avoine, 
maïs,  millet  et  pois. 


'^^ 


168  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Le  lin  et  le  tabac  y  prospèrent  :  la  plupart  des 
légumes  de  l'Europe  y  réussissent,  quelques-uns 
seulement  y  dégénèrent.  Les  arbres  fruitiers  à  pépin 
donnent  de  très  bons  fruits  dans  les  vergers;  ceux 
des  arbres  à  noyaux  sont  médiocres  :  l'olivier  et  le 
figuier  participent  à  cette  médiocrité ,  parce  que 
la  plupart  sont  sauvages.  Les  mûriers  de  toute 
espèce  s'élèvent  avec  succès  dans  toute  la  Cri- 
mée; le  noyer  y  acquiert  une  grosseur  prodi- 
gieuse.   ,„      ,;...  , .-.  -   .,..: ^  i  .,,  :...  .  ■  ,„, 

De  toutes  les  productions  de  cette  péninsule,  la 
vigne  est  la  production  sur  laquelle  Pallasa  donné 
plus  de  développemens.  Après  avoir  observé  qu'elle 
croît  en  abondance  et  presque  sauvage  dans  la 
partie  montueuse;  que  les  Grecs  sont  les  premiers 
qui  en  ont  introduit  la  culture  dans  la  Crimée,  où 
elle  a  été  perfectionnée  par  les  Génois  dans  la 
partie  qu'ils  en  ont  long-temps  occupée.  Il  décrit 
avec  beaucoup  de  détails  cette  culture,  dont  les 
procédés  varient  suivant  la  nature  du  sol  et  l'expo- 
sition. Il  donne  ensuite  une  longue  nomenclature 
de  (outes  les  espèces  de  vignes  cultivées.  Il  termine 
cet  article  par  l'énumératlon  des  obstacles  qui 
s'opposent  à  une  plus  grande  prospérité  de  la  cul- 
ture de  la  vigne  dans  la  Crimée  :  ces  obstacles  sont 
la  cherté  des  ouvriers,  résultante  du  petit  nombre 
d'habitans;  l'Ignorance  et  la  négligence  des  Tar- 
tares ,  cultivateurs  de  la  vigne  ;  la  rigueur  des  sal- 


dix-huitième;  siècle.  1&9 

sons,  mais  plus  que  tout  cela,  les  variations  de  la 
température;  les  attaques  d'une  petite  chenille  in- 
connue ailleurs,  et  qui  ronge  le  germe  du  raisin 
au  printemps;  enfin  l'irruption  que,  depuis  quel- 
ques années,  font  dans  les  vignobles  des  saute- 
relles à  ailes  rouges,  d'une  petite  espèce  connue 
en  Espagne  sous  le  nom  de  grillons  d'Italie. 

Les  animaux  domestiques  de  la  Crimée  sont  les 
bœufs,  les  moutons  à  grosse  queue,  peu  multipliés 
dans  les  parties  montueuses,  mais  fort  nombreux 
dans  les  plaines;  les  chèvres,  répandues  au  con- 
traire en  grand  nombre  sur  les  montagnes;  les 
chameaux,  dont  l'espèce  se  propage  très  rapide- 
ment lorsque  les  hivers  sont  doux ,  et  quelques 
buffles.  Dans  la  Grimée  on  remarque  une  race  de 
grands  chiens  lévriers,  la  plupart  à  oreilles  et  à 
queue  pendantes ,  très  recherchée  pour  la  chasse 
du  lièvre  :  beaucoup  de  riches  Tartares  en  entre- 
tiennent de  nombreuses  meutes. 

Leshabitans  de  la  Crimée,  dont  le  nombre  s'éle- 
vait autrefois  à  plus  d'un  demi-million ,  se  trouvent 
réduits,  d'après  un  dénombrement  récent,  mais 
qui  n'est  peut-être  pas  encore  bien  exact,  à  cent 
cinquante  mille  individus  des  deux  sexes  de  tout 
âge.  Ces  habitans,  tous  Tartares ,  se  divisent  en  trois 
classes. 

l^  première  est  celle  des  ISogais,  auxquels  il 
faut  ajouter  les  Tartares  du  Kouban.  Les  uns  et  les 


m  VOYAGES  EN  EUllOPE. 

autres  habitent  aujourd'hui  leurs  propres  Villages , 
où  ils  se  sont  fixés  et  fort  enrichis  par  ragriculturc 
et  l'éducation  des  bestiaux.  Les  traits  de  leur  visage 
et  la  conformation  de  leur  tète  prouvent  qu'ils  des- 
cendent immédiatement  des  Tartares-Mongols. 

La  seconde  cl  is<ie  est  composée  de  Tartares  qui 
habitent  les  pY^i^ne  ou  steppes  de  la  Grimée,  jus- 
qu'à la  partie  septentrionale  des  montagnes.  Moins 
mélangés  que  les  premiers ,  ils  ont  conservé  beau- 
coup de  ressemblance  avec  les  Mongols.  Quant  a 
ceux  qui  se  rapprochent  des  montagnes,  et  dont  le 
sang  paraît  s'être  mêlé  davantage  avec  celui  des 
Turcs,  ils  ne  ressemblent  que  très  imparfaitement 
aux  Mongols.  Comme  les  premiers,  ils  s'occupent 
de&  bestiaux,  ils  labourent  la  terre,  mais  ils  ne  se 
livrent  pas  à  la  culture  des  jardins. 

Pallas  range  dans  la  troisième  classe  les  Tartares 
qui  habitent  les  vallons  méridionaux  des  mon- 
tagnes :  cette  race,  très  mélangée,  lui  a  paru  pro- 
venir de  divers  restes  de  peuplades  repoussées  de 
la  Crimée  à  l'époque  des  conquêtes  des  armées 
mongoles.  Cette  classe  a  un  caractère  de  physio- 
tiomie  particulier,  la  barbe  plus  forte  et  les  cheveux 
plus  clairs  que  les  autres  Tartares,  qui  ne  les  re- 
gardent pas  comme  de  vrais  descendans  de  leur 
souche,  et  leur  donnent  le  nom  méprisable  de  tat, 
c'est-à-dire  renégdt.  Cette  rade  ^  qui  habite  des  val- 
lor.s  délicieux,  véritable  Eden  de  la  Crimée,  pro- 


duit d'h 
tateurs 
par  le  < 
nombrei 
paître. 

La  ph 

coup  de 

parmi  ei 

t'onnés , 

prendre 

et  des  jei 

cats.  Peu 

taire  des  1 

donne-t-il 

connu  ch 

tartares,  i 

tageuse, 

Transp 
pa»"»'3  de 
voyages 
de  ceux 
ibérique, 


Swinbï 
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XLVt.  I 


il  turc 
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Is. 

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îheveux 
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de  leur 
î  de  tat, 
des  val- 
ise, pro- 


DIX-rUlTlEME  SIÈCLE.  161 

duit  d*habiles  jardiniers.  Ce  sont  de  grands  dévas- 
tateurs des  forêts  dans  les  pays  de  montagnes,  tant 
par  le  dégât  qu'ils  font  eux-mêmes,  que  par  les 
nombreux  troupeaux  de  chèvres  qu'ils  y  font 
paître. 

La  physionomie  des  vrais  Tartares  tient  beau- 
coup de  celle  des  Turcs  et  des  Européens.  On  voit 
parmi  eux  des  hommes  robustes  et  bien  propor- 
t'onnés,  d'une  taille  svelte;  très  peu  tendent  à 
prendre  de  l'embonpoint.  La  plupart  des  enfans 
et  des  jeunes  gens  ont  des  traits  agréables  et  déli- 
cats. Peut-être  cet  agrément,  joint  à  la  vie  séden- 
taire des  femmes  qui  les  tient  éloignées  des  hommes, 
donne-t-il  lieu  à  ce  vice  réprouvé  par  la  nature,  si 
connu  chez  les  Persans  et  les  Turcs.  Les  femmes 
tartares,  quoique  la  plupart  d'une  taille  peu  avan- 
tageuse, ns  manquent  pas  néanmoins  d'agrémens. 

Transportons-nous  par  la  pensée  dans  une  autre 
pa^^'S  de  l'Europe,  et  faisons  connaître  d'autres 
voyages  dans  leur  ordre  chronologique  :  parlons 
de  ceux  qui  ont  été  effectués  dans  la  péninsule 
ibérique,  en  commençant  par  l'Anglais  Swinburne. 

SWINBURNE. 

(1775-1776.) 

Swinburne  ayant  épousé  une  femme  qui  parta- 
geait son  goût  pour  les  antiquités  et  pour  les  beaux- 
XLVI.  11 


162  VOVAilES  EN  ErîlOPE. 

arts  f  se  mit  à  voyager  avec  elle,  et  employa 
plusieurs  années  à  visiter  les  lieux  les  plus  remar- 
quables de  la  France,  de  l'Espagne,  de  Tltalie  et  de 
TÂllemague.  Plus  tard,  ayant  marié  sa  fil! «\  i\  alh 
s'établir  aux  Antilies  dans  l'île  de  la  Trinité,  ^W/  il 
mourut  en  Î803.  Nous  ne  donnernns  ici  oue  h 
substance  de  son  voyage  en  Espagne?,  traduit  par 
M.  de  Laborde.    ;    i  •:  .         i >   .  v 

Ce  voyage  de  Swinburne  en  Espagne  contient 
des  notions  étendues  sur  la  Catalogne  et  le  royaume 
de  Grenade.  Les  remarques  du  voyagei.r  engénérc 
sont  ium  judicieusj's  que  fines.  La  pureté  dt  l'air 
que  l'on  respire  à  Barcelone,  une  température  telle 
qu'on  y  îf'fenge  dfîs  petits  pois  toute  l'antiée,  excepté 
dans  Je  temps  de  la  canicule,  la  situation  de  cette 
ville  qui  lui  procure  de  toutes  parts  tes  points  de 
vue  les  plus  pittoresques,  en  rendent  le  séjour  très 
agréable.  Du  côté  du  nord  les  terres,  en  s  avançant 
sur  la  mer,  forment  une  superbe  baie.  La  vue 
s'étend,  du  côté  de  l'est,  sur  la  Méditerranée.  Les 
environs  sont  couverts  de  feuillage,  de  maisons  de 
campagne  et  de  jardins,  qui  présentent  la  plus 
riche  culture. 

La  forme  de  Barcelone  est  presque  circulaire. 
Les  murs  de  l'ancienne  ville  romaine  sont  encore 
visibles  en  plusieurs  endroits.  La  mer  s'est  beau- 
coup retirée  du  port.  Le  môle  de  ce  port,  bâti  en 
pierres  de  taille,  est  aussi  commode  qu'il  est  solide. 


DlX-HUITlÈMli:  SIÈCLE.  163 

Au-dessous  sont  de  vastes  magasins  et  un  large 
quai  qui  s'étend  depuis  les  portes  de  la  ville  jus- 
qu'au fanal.  Cts  belles  constructions  sont  dues  au 
dernier  capitaine  général  de  la  Catalogne,  qui, 
suns  ajouter  de  grands  frais  aux  dépenses  ordi- 
I  t''res  de  la  ville,  et  par  les  seules  ressources  de 
son  génie  et  d'une  économie  bien  entendue,  a  sin- 
gulièrement embelli  Barcelone,  par  l'alignement 
d^s  nouvelles  rues,  le  nettoyage  des  anciennes,  et 
la  construction  de  plusieurs  édifices  utiles.  En 
même  temps  qu'il  l'embellissait  par  l'encourage- 
ment qu'il  donnait  à  ses  manufactures  et  à  son 
commerce,  il  bâtit  sur  la  langue  de  terre  qui  s'a- 
vance dans  la  mer  et  forme  le  port,  une  ville  nou- 
velle qu'on  appelle  Barcelone,  où,  du  temps  de 
Swinburne,  on  comptait  déjà  deux  mille  maisons. 
Dans  la  belle  saison,  le  rempart  forme  une  très 
agréable  promenade  :  il  en  est  une  autre  où  les 
dames  se  montrent  pompeusement  dans  de  bril- 
lantes voitures. 

Les  principaux  édifices  sont  :  la  cathédrale,  d'une 
architecture  gothique  de  la  plus  grande  légèreté  ; 
la  Bourse,  édifice,  au  contraire,  fort  lourd,  et  le 
palais  du  capitaine  général,  qui  n'a  rien  de  recom- 
mandable  qu'une  superbe  salle  de  bal.  La  salle  de 
la  comédie  est  fort  belle  et  bien  éclairée. 

Une  police  sévère,  et  la  vigilance  des  alguazils 
qui,  bien  difféi'ens   ici  de  ce  qu'ils  sont  ailleurs, 


104  VOYAGES  EN  EUROPE, 

sont  des  gens  de  confiance,  de  probité  et  d'un  cou- 
rage reconnu,  suppléent,  pour  les  habitans  de  Bar- 
celone, aux  secours  qu'ils  pourraient  tirer  d'armes 
défensives  contre  les  attaques  des  brigands,  si  ces 
armes  n'étaient  pas  prohibées.  Celte  prohibition 
s'étendait  même  aux  couteaux  :  il  n'y  a  pas  bien 
long-temps,  dit  Swinburne,  qu'on  n'osait  en  porter 
sur  soi  d'aucune  espèce.  Dans  chaque  cabaret,  il  y 
en  avait  un  attaché  à  une  chaîne  pour  l'utilité 
commune.  Quoiqu'on  se  soit  un  peu  relâché  de  ces 
mesures  sévères,  on  peut  se  promènera  toute  heure 
de  la  nuit  dans  la  ville,  sans  avoir  le  moindre  ris- 
que à  courir,  pourvu  que  l'on  soit  muni  d'une  lu- 
mière afin  de  n'être  pas  exposé  à  être  arrêté  par 
les  patrouilles. 

Les  loyers  sont  fort  chers  à  Barcelone  ;  la  viande 
y  est  sans  saveur,  le  poisson  mollasse,  insipide, 
mais  les  légumes  excellens.  On  porte  communé- 
ment à  cent  cinquante  mille  âmes  la  population  de 
cette  ville,  sans  y  comprendre  même  les  dix  mille 
habitans  de  Barcelonette. 

Les  antiquités  romaines  de  Barcelone  sont  re- 
marquables, mais  assez  peu  prisées  dans  une  ville 
entièrement  adonnée  au  commerce.  Swinburne  v 
vit  avec  douleur  un  sarcophage  ?:ervant  d'abreu- 
voir. Il  n'est  aucun  pays,  e.vcepté  peut -être 
l'Italie,  qui  possède  autant  de  monumens  an- 
ciens que  l'Espagne.  Dans  chaque   province  l'on 


l'épugni 
dans  lei^ 
avec  uni 
de  cheA 
plupart 


r-< 


165 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE, 
trouve  des  restes  de  ponts,  d aqueducs,  de  tem- 
ples, de  théâtres,  de  cirques,  d'amphithéâtres  et 
d  autres  édifices  publics,  mais  plus  dégradés  par  les 
outrages  des  habitnns  que  par  l'injure  du  temps. 

Avant  de  quitter  Barcelone,  Swinburne  fait  quel- 
ques observations  sur  le  caractère  des  Catalans , 
leur  agriculture  et  leur  commerce.  I^  nature  du 
pays,  qui  presque  dans  to  iie  son  étendue  est  mon- 
tueux,  lui  paraît  avoir  une  grande  influence  sur  le 
caractère  physique  et  moral  des  habitans.  Avec  une 
peau  brune,  des  traits  prononcés,  une  taille 
moyenne  et  rarement  difforme,  ils  sont  robustes, 
actifs,  industrieux.  La  perle  de  leurs  immunités, 
la  honteuse  prohibition  du  port  d'armes,  les  taxes 
énormes  auxquelles  ils  avaient  été  condamnés,  rien 
de  tout  cela,  dit  Swinburne,  n'avait  pu  abattre 
leur  esprit  d'indépendance  et  de  liberté,  qui  se 
manifeste  aujourd'hui  avec  tant  d'énergie.     .-!;  (it> 

Quoique  les  Catalans  soient  robustes  et  infati- 
gables, ils  se  soumettent  difficilement  à  la  sévé- 
rité de  la  discipline  militaire,  à  moins  qu'ils  ne 
soient  placés  dans  leurs  propres  régimes  nationaux; 
mais  ils  sont  excellens  dans  la  cavalerie  légère.  Us 
répugnent  à  la  seule  pensée  d'être  domestiques 
dans  leur  propre  pays,  et  préfèrent  le  parcourir 
avec  une  balle  de  mercerie  sur  les  épaules.  Loin 
de  chez  eux  ils  deviennent  de  bons  serviteurs  :  la 
plupart  des  grandes   maisons  de  Madrid  ont  des 


1««  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Catalans  à  la  tête  de  leurs  affaires,  comme  aussi  la 
plupart  des  muletiers  et  des  conducteurs  de  ca- 
lèches en  Espagne  sont  des  Catalans,  tous  probes, 
exacts  et  tempérans. 

Le  peuple  de  la  Catalogne  est  moins  superstitieux 
que  dans  les  autres  parties  de  l'Espagne,  et  il  est 
aussi  industrieux  qu'infatigable.  Les  principaux 
objets  d'exportation  dans  cette  province  consistent 
en  vins,  eaux-de-vie,  sel  et  huile.  On  tire  beau- 
coup de  grains  de  la  Sicile,  parce  que  la  Catalogne 
ne  récolte  pas  assez  de  blé  pour  nourrir  ses  habi- 
tans  plus  de  cinq  mois.  ÏJk  Catalogne  fabrique  beau- 
coup de  drap  et  d'étoffes  de  laine  ou  de  toiles 
peintes.      ■''■»''»     "■'  ••    '  ^' -w.'i.fîov;  r.^i-y   <  <» 

Swinburne  décrit  la  province  de  Grenade,  en 
commençant  par  faire  un  rapprochement  de  l'an- 
cien royaume  de  ce  nom  et  de  sa  capitale,  avec  ce 
qu'ils  sont  dans  leur  état  actuel.  Voici  un  aperçu  de 
ce  qu'il  en  dit. 

Avant  la  conquête  de  Grenade  par  les  Arabes, 
l'agriculture  dans  ce  royaume  était  parvenue  au 
plus  haut  point  de  perfection.  Les  nombreuses 
ruines  qui  3ont  éparses  sur  les  montagnes  attestent 
que  ces  parties  froides  et  aujourd'hui  stériles,  qui 
occupent  les  deux  tiers  de  la  province,  étaient 
anciennement  couvertes  de  plantations  d'arbres 
fruitiers,  de  moissons  abondantes  et  de  belles  forêts. 
I^  plaine,  plantée  en  mûriers,  donnait  une  grando 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLR  167 

abondance  de  soie.  Les  mines  de  cl'^>  montagnes 
étaient  ouvertes,  et  l'on  en  tirait  beaucoup  d'or  et 
dargent.  Jamais  peuple  policé  n'entendit  mieux 
que  les  Maures  la  méthode  des  irrigations  pour 
fertiliser  les  campagnes. 

Dans  la  ville  de  Grenade  il  n'y  avait  pas  une 
maison  qui  n'eût  sa  conduite  d'eau,  et  toutes  les 
rues  étaient  arrosées  par  des  fontaines. 

La  population  répondait  à  la  richesse  du  pays. 
Chaque  Maure  avait  une  portion  de  terre  qui  lui 
était  assignée  et  qui  lui  suffisait  pour  son  habita- 
tion, sa  subsistance,  son  entretien,  et  pour  la  nour- 
riture même  de  son  cheval,  car  chaque  homme 
était  obligé  d'en  avoir  un.  Plus  d'une  fois  les  rois 
de  Grenade  ont  fait  passer  en  revue  jusqu'à  deux 
cent  mille  hommes,  et  la  soûle  ville  de  Grenade, 
peuplée  aujourd'hui  de  quatre-vingt  mille  àmeâ , 
pouvait  mettre  sur  pied  trente  mille  fantassins  et 
dix  mille  cavaliers.  On  recueillait  une  quantité  pro- 
digieuse de  fruits.  Les  fêtes,  les  danses,  les  chants 
annonçaient  de  toutes  parts  la  prospérité  des  ha- 
bitans;  l'éiéganre  et  la  richesse  dans  la  parure  des 
femmes  ajoutaient  à  leurs  charmes  naturels. 

Quant  à  la  magnificence  des  édifices,  on  peut  en 
juger  par  les  restes  de  l'ancien  palais  des  rois  de 
Grenade,  XAlhambra,  mot  arabe  qui  signifie  mai.fo/t 
rouge,  dénomination  qui  lui  avait  été  donnée  à 
cause  de  la  couleur  des  matériaux.  Cet  édifice,  sur 


Km  VOYAGES  KN  RUROPH. 

les  ruines  duquel  Charles^Quint  en  Ht  élever  un 
autre,  est  situé  sur  une  haute  montagne  qui  do- 
mine Grenade;  et  il  forme  par  son  étendue  une 
véritable  ville.  C'est  un  assemblage  immense  de 
colonhcs,  d  arcades,  de  galeries,  de  voûtes  la  plu- 
part de  marbre  ou  de  stuc,  chargé  d'orncmens 
de  la  plus  grande  délicatesse.  Les  plus  belles  mo- 
saïques, de  riches  dorures,  des  peintures  qui  ont 
conservé  toute  leur  fraîcheur,  décorent  une  mul- 
titude de  salles  destinées  à  divers  usages.  Une  pro- 
fusion d'eau  distribuée  avec  la  plus  grande  intelli- 
gence, des  plantations  d'orangers,  des  groupes  de 
fleurs,  des  points  de  vue  ménagés  avec  art,  achè- 
vent de  faire  de  ce  palais  un  séjour  enchanteur: 
c'est  à  peu  près  tout  ce  qui  reste  à  Grenade  de  son 
ancienne  magnificence.  »  /  ,^;'>ii  «rii  f  ■?!  ■(  ^o- 
Quelque  dégradation  qu'ait  éprouvée  cette  grande 
ville,  la  pureté  de  l'air,  la  douceur  de  la  tempéra- 
ture, l'abondance  de  l'eau  qui  dans  plusieurs  mai- 
sons passe  par  de  petits  canaux  jusque  dans  les 
chambres  à  coucher,  rendent  le  séjour  de  Grenade 
extrêmement  agréable.  Ses  environs  sont  rafraî- 
chis par  une  infinité  de  petits  ruisseaux,  et  sont 
parfumés  par  les  délicieuses  odeurs  que  ses  vents 
frais  y  apportent  de  tous  les  jardins  distribués  sur 
la  pente  des  montagnes  voisines.  Des  promenades 
formées  sur  les  bords  pittoresques  du  Xenil  ajoutent 
leurs  frais  ombrages  aux  charmes  naturels  du  pays. 


Le  v< 

judiciei 
aperçu 
vince  d| 
Castillej 


un 

do- 

unc 
c  de 

plu- 
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B  pro- 
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nteur  : 
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et  sont 
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nenades 
ajoutent 
du  pays. 


\v 


DIX-HUITIKME  SlfXLR.  IGtt 

Les  femmes  ont  la  carnation  plus  belle,  la  peau 
plus  fine,  les  joues  colorées  par  une  teinte  plus 
brillante  qu*en  aucun  endroit  de  TEspap^ne,  et  leur 
manière  de  s'babillcr  concourt  encore  à  les  rendre 
infiniment  piquantes.  .    ,,   •       .,.'■' 

De  Grenade  Swinburne  dirigea  sa  route  ven 
Antequcrro,  assez  grande  ville,  située  dans  une 
plaine  très  fertile,  cl  il  arriva,  par  un  pays  entière- 
ment dépouillé  de  bois,  h  Malagn,  dont  le  séjour,  à 
cause  de  sa  situation  au  pied  de  montagnes  nues  et 
raboteuses,  devient  presque  insupportable  par  Tex- 
cessive  chaleur  qu'on  y  éprouve.  La  rade  et  le  port 
de  cette  ville  sont  assez  sûrs,  et  la  cathédrale  est  un 
édifice  imposant.  Le  vin  ambré  de  Malaga  est  re- 
nommé dans  toute  TEurope. 

A  Swinburne  succède  un  autre  voyageur  dans 
les  mêmes  contrées  et  dans  plusieurs  autres  pro- 
vinces de  l'Espagne,  telles  que  Murcie,  la  Nouvelle- 
Castille  et  les  Asturies  :  c'est  le  voyageur  Peyron. 

'  ■      '    '    'q    •;!   }"  îf«-r:. 


^.t-;î^|.- 


1  :  .  '  ..  , 


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1 


PEYRON. 

(1780.) 


.-i.  ■> 


',  .  •  'l'.iv.y  i. 


Le  voyage  de  Peyron  annonce  un  observateur 
judicieux  et  éclairé;  nous  n'offrirons  qu'un  rapide 
aperçu  de  ce  qu'il  dit  de  Carthagène  dans  la  pro- 
vince de  Murcie,  et  de  Cuença  dans  la  Nouvelle- 
Castille.  •  '  '  '  ■  ^     '^^ 


•ij 


170  VOYAGES  EN  EUROPE. 

La  province  où  est  située  Garthagène  est  la  plus 
petite  des  provinces  espagnoles;  elle  jj-'ournit  une 
quantité  considérable  d'oranges,  de  citrons,  de 
cédrats,  de  figues  et  d'autres  fruits  à  toute  la  Cas- 
tille,  à  l'Angleterre  et  à  la  France.  On  y  fait  égale- 
ment beaucoup  de  soie.  Les  montagnes  y  sont  cou- 
vertes d'arbustes,  de  plantes  odoriférantes ,  de  bons 
pâturages  et  d'une  espèce  de  petits  joncs  qui  ser- 
vent à  fabriquer  des  ouvrages  utiles.  La  capitale, 
qui  porte  le  nom  de  la  province,  est  située  dans 
une  plaine  aussi  étendue  en  longueur  que  la  pro- 
vince même  ,  sur  une  lieue  et  demie  de  largeur  seu- 
lement. La  Segura,  qui  baigne  im  des  côtés  de  la 
ville,  a  un  beau  pont  et  de  superbes  quais.  La  ca- 
thédrale a  une  façade  riche  d'ornemens  et  une 
tour  très  élevée. 'M:; t.;     'sr  'rlyr^:  ;-:  --li-ui'sii. '/■•■ 

Garthagène  fut  pour  les  Romains  ce  que  le 
Pérou  et  le  Mexique  furent  pour  les  Espagnols. 
Dans  les  environs  il  existe  encore  des  mines  d'ar- 
gent et  de  piomb  très  abondantes.  La  campagne  de 
Garthagène  se  nommait  autrefois  Campo  Sparterîo, 
à  cause  de  ce  jonc  fin  et  creux  appelé  par  les  [an  ■ 
ciens  spartum,  qui  y  croît  en  abondance,  et  dont 
on  IVisait  des  cordes  et  des  câbles,  des  nasses  et 
des  vêtemens  pour  les  pauvres.  Dans  les  guerres 
des  Goths,  Garthagène  fut  entièrement  détruite. 
La  nouvelle  ville  est  défendue  par  une  montagne: 
le  port  est  si  profond  quo  les  navires  arrivent  jus- 


î 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  171 

qu'aux  quais.  Ce  lieu  est  abrité  par  des  coteaux 
contre  les  orages,  et  l'on  ne  connaît  point  de  port 
quilui  soit  comparable  pourla  régularité  et  lasûreté: 
c'est  ce  qui  faisait  dire  à  André  Doria,  fameux  doge 
de  Gênes,  qu'il  ne  connaissait  dans  le  monde  que  trois 
ports  qui  fussent  sûrs.  Juin,  Juillet  et  Garthagène. 
^'arsenal  de  cette  ville  est  immense  :  un  vaisseau 
de  ligne  est  facilement  équipé  et  armé  dans  trois 
jours.  Au  gré  du  constructeur,  la  mer  vient  remplir 
les  superbes  bassins  qui  servent  de  chantiers,  et  le 
vaisseau  une  fois  construit  va  de  hii-méme  s0 
rendre  dans  la  Méditerranée.  Chaque  navire  â 
dans  l'arsenal  son  magasin  particulier.  Une  source 
d'eau  vive  que  la  nature  a  ménagée  sur  le  bord 
de  la  mer  permet  aux  vaisseaux  de  faire  aignade. 

La  ville  de  Cuença  est  la  troisième  en  imp6r^ 
tance  dans  la  Nouvelle -Castille,  qui  compren<i 
Madrid  et  Tolède.  Sa  cathédrale  a  une  forme  go- 
thique imposante.  Cuença  est  le  chef-lieu  d'une 
province  et  compte  neuf  mille  habitans.  Elle  fait  un 
commerce  de  laine  considérable.  La  campagne  est 
très  favorable  aux  abeilles,  qui  donnent  un  mîel 
excellent.  '   '    *       ■=  "  ' 

Ni  Peyron  ni  Swinburne  n'ont  décrit  la  Galice, 
les  Asturies  et  la  Navarre  :  ce  soin  était  réservé  ru 
voyageur  Bourgoing,  qui  a  vu  aussi  d'autres  pro- 
vinces. '    .V    . 


■n 


172 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


••'4.» 


BOURGOING. 


i'VM^    '■>   r:(i'Ji{    J.Wi 


-i  I . 


(1788.) 


.  Après  avoir  franchi  la  Bidassoa,  rivière  qui  sé- 
pare la  France  de  l'Espagne ,  notre  voyageur  entre 
dans  la  Biscaye.  La  partie  de  cette  province  es- 
pagnole qui  touche  immédiatement  aux  Pyrénées 
semble  être  une  prolongation  de  ces  montagnes. 
Pendant  les  trente  lieues  que  l'on  parcourt  depuis 
la  Bidassoa  jusqu'à  Vlttoria,  qui  est  la  limite  de  la 
province,  on  aperçoit  à  chaque  instant  un  village 
ou  un  hameau.  Bilbao,  capitale  de  la  Biscaye,  peu- 
plée d'environ  quinze  mille  âmes,  entretient  un 
commerce  considérable  en  laines.  ";  >•  m 

De  Vittoria  l'auteur  s'avance  dans  la  Vieille-Cas- 
tille,  pays  nu  et  aride,  dont  la  principale  ville  est 
3urgos,  ville  industrieuse,  peuplée  d'environ  dix 
mille  âmes,  et  offrant  une  cathédrale  qui  passe 
pour  un  chef-d'œuvre  d'élégance  gothique.  Les 
environs  de  Burgos,  embellis  par  des  avenues  et 
des  promenades,  sont  fertilisés  par  le  cours  de 
l'Alarçon ,  rivière  qui  arrose  de  vastes  prairies.  La 
Vieille-Castille  compte  aussi  parmi  ses  villes  celle 
de  Ségovie,  qui  offre  une  belle  cathédrale  et  un 
château  appelé  l'Âlcazary  qui  fut  jadis  habité  par 
des  rois  Goths.  Celle  ville  offre  encore  un  aqueduc, 
ouvrage  des  Romains,  qui  réunit  deux  collines  sé- 
parées par  une  profonde  vallée. 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  173 

En  s'avançant  de  la  Vieillo-Castillc  vers  la  pro- 
vince de  Léon,  le  voyageur  rencontre  les  villes  de 
Medina-Rio-Seio  et  de  Medina-del-Campo.  La  pre- 
mière, jadis  célèbre  par  ses  fabriques,  est  réduite , 
d'une  populatiofi  de  trente  mille  âmes,  à  celle  de 
quatorze  cents  feux;  l'autre,  jadis  la  résidence  de 
plusieurs  monarques,  le  lliéâtre  d'un  grand  com- 
merce, et  alors  peuplée  de  cinquante  à  soixante 
mille  âmes,  ne  contient  à  présent  que  raille  feux. 
Ainsi,  dit  Bourgoing,  ce  que  le  ravage  des  siècles 
accumulés  et  des  guerres  a  opéré  sur  les  villes  de 
Persépolis,  de  Palmyre  et  de  quelques  autres  villes 
célèbres,  deux  siècles  d'incurie  et  de  mauvaise  ad- 
ministration l'ont  amené  pour  les  deux  villes  de 
Médina,  et  tant  d'autres  cités  de  l'Espagne.  On  peut 
en  dire  autant  de  Léon  ,  capitale  de  la  province  de 
ce  nom,  qui  n'a  guère  que  deux  à  trois  mille  âmes, 
mais  dont  les  environs  sont  embellis  par  de  belles 
plantations. 

La  ville  de  Salamanque,  qu'  n'occupe  que  le  se- 
cond rang  dans  la  province  de  Léon,  est  bien  sli 
périeure  à  sa  capitale  :  elle  doit  cette  supériorité  à 
la  réputation  de  son  ancienne  université,  et  beau- 
coup plus  encore  aux  quatre  grands  collèges  qu'elle 
renferme,  sur  sept  r^ui  portent  ce  nom  en  Es- 
pagne. Une  foule  d'édilices  de  toutes  les  époques 
et  de  tous  les  styles  l'ont  fait  surnommer  par  les 
Espagnols  lapetîteRome.  Elle  a  sur  leTormès  un  pont 


174  VOYAGES  EN  EUROPE, 

de  vingt-sept  arches,  dont  une  moitié  est  de  cons- 
truction romaineet  l'autre  du  temps  de  Philippe  IV. 

L'Aragon,  qui  confine  à  la  Vieille -Castille,  et 
qui  est  une  province  en  général  œontueuse  et  aride 
ou  mal  cultivée,  a  pour  capitale  Saffagosse,  laquelle 
n  a  conservé  de  son  ancienne  magnificence  que  ses 
deux  vastes  cathédrales.  L'Ëbre  la  partage  en  deux 
parties  réunies  par  un  pont  superbe ,  dont  une  des 
arches  a  cent  quatre-vingts  pieds  d'ouverture.  Son 
université  est  la  troisième  de  l'Espagne  pour  le 
nombre  de  ses  étudians.  La  population  de  Sara- 
gosse  dépasse  quarante  mille  âmes. 

JNous  avons  eu  déjà  occasion  de  citer  Cuença, 
ville  de  la  Nouvelle-Castille,  et  de  dire  que  Madrid 
et  Tolède  sont  les  deux  autres  principales  villes  de 
cette  province.  M.  Bourgoing  fournit  sur  ces  deux 
villes  quelques  détails  qui  trouvent  ici  leur  place. 

Tolède,  autrefois  la  capitale  du  royaume  de  Cas- 
tille, n'est  aujourd'hui  que  la  seconde  ville  de  la 
Nouvelle-Castille.  Ses  rues  désertes,  étroites  et  tor- 
tueuses, l'absence  presque  absolue  de  l'aisance  et 
de  l'industi'ie,  ne  répondent  guère  à  son  ancienne 
splendeur.  La  cathédrale  de  Tolède,  édifiée  sur  les 
ruines  d'une  mosquée,  est  l'un  des  monumens  sa- 
crés les  plus  précieux  qu'il  y  ait  eus  en  Europe.  L'Al- 
cazar,  palais  où  résidait  les  rois  maures,  et  qu'avait 
encore  embelli  Charles-Quint,  est  aussi  un  bel  édi- 
fice. Cette  ville  renterme  quinze  mille  habitans.  et 


se  tpouv 
du  Tage 

Après 
une  bell 
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çanarez, 
stérile,  e 
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L'Esc  i 
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magnifie 


DIX-HUITIÈMË  SIÈCLE  1T5 

se  trouve  sur  un  monticule  près  de  la  rive  gauche 

du  Tage.  ...       » 

Après  avoir  passé  le  Mançanarez,  on  urrive  par 
une  belle  route  plantée  d'arbres  à  Madrid,  la  capi- 
tale de  toute  l'Espagne,  sur  la  rive  gauche  du  Man- 
çanarez, au  milieu  d'une  plaine  sablonneuse  et 
stérile,  entourée  de  montagnes  et  presque  au  centre 
du  royaume.  Elle  n'était  autrefois  qu'un  bourg  ap- 
partenant aux  archevêques  de  Tolède.  Elle  a  de 
beaux  édifices  et  de  nombreuses  églises.  Le  Prado 
est  une  des  plus  belles  promenades  de  l'Europe. 
Parmi  les  quarante-deux  places  de  Madrid,  on  cite 
la  Plaza-Major,  la  Plaza-del-Sol.  Le  nouveau  palais 
du  roi  est  une  maj];nifique  résidence.  Madrid  compte 
environ  de  .  ».  cent  mille  habilans. 

Trois  résidences  royales  existent  dans  ses  envi- 
rons, savoir:  l'Fscurial,  Saint-Udefonse  et  Aran- 
juez. 

L'Escurial  est  situé  sur  le  versant  méridional  de 
!a  chaîne  escarpée  et  aride  des  monts  Guadarraraa. 
La  masse  du  bâtiment  est  imposante  sans  avoir  rien 
de  magnifique,  excepté  le  beau  portail  de  l'occident, 
(jui  ne  s'ouvre  pour  les  rois  d'Espagne  et  le:^  princes 
de  leur  maison  que  dans  dei.x  occasions  solennelles  : 
ia  première  fois,  lorsque  après  leur  naissance  ils  sont 
portés  à  l'Escurial,  et  la  seconde  lorsqu'on  va  y 
déposer  leurs  cendres.  On  admire  à  l'Escurial  le 
magnifique  monastère  que  fit  construire  Philippe  U, 


170  VOYAGES  EN  EUROPE. 

après  avoir  gagné   la   bataille  de  Saint  -  Quentin 

en  1557. 

Saint-Udefonse  est  situé  beaucoup  plus  loin  sur 
le  versant  septentrional  du  Guadarrama;  c'est  la 
plus  somptueuse  maison  de  plaisance  des  rois 
d'Espagne;  elle  est  environnée  de  montagnes  d'où 
descendent  de  nombreux  ruisseaux  limpides  qui 
répandent  partout  la  fraîcheur  et  la  vie.  Cette  ab<  n- 
dance  des  eaux  et  la  situation  pittoresque  de  Saint- 
Udefonse  en  rendent  le  séjour  délicieux  en  été. 

Aranjuez  est  situé  sur  le  Tage,  près  de  l'embou- 
chure deXarama,  dans  une  charmante  vallée^  où 
les  plaines  arides  de  la  Castille  ont  disparu,  où  l'on 
ne  marche  plus  qu'à  l'ombre  de  grands  arbres,  au 
bruit  de  cascades,  au  murmure  des  ruisseaux  :  îa 
végétation  la  plus  brillante  annonce  le  voisinage  du 
fleuve  qui  vivitit  et  féconde  ces  lieux.  Charles-Quint 
fit  bâtir  Aranjuez,  moins  pour  une  habitation 
royale  que  pour  une  jolie  maison  de  plaisance. 

De  Madrid ,  notre  voyageur  se  dirige  vers  la  pro- 
vince de  Valence ,  en  trar-e.rsant  une  chaîne  de  mon- 
tagnes. La  ville  de  Valonce,  grande  et  belle,  est 
située  sur  le  Guadalaviar,  au  milieu  d'une  cam- 
pagne î?ussi  'délicieuse  que  fertile.  C'est  aujourd'hui 
une  des  ville<<  les  plus  industrieuses  de  l'Espagne; 
elle  possède  un  grand  nombre  d'établissemens  pu- 
blics, et  son  université  est  très  fréquentée.  Elle 
compte  environ  soixante  mille  âmes.  Elle  a  dans 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  177 

son  voisinage  la  ville  de  Murviedro,  bâtie  prè»  de 
la  mer,  sur  les  ruines  de  Tancienne  Sagonte,  dé- 
truite par  les  Romains  après  la  plus  vigoureuse  ré- 
sistance. Quelques  inscriptions  puniques  et  quelques 
statues  mutilées  sont  les  seuls  vestiges  que  Ton 
retrouve  de  la  domination  carthaginoise  dans  cette 
partie  de  l'Espagne.  Celle  des  Romains  s'annonce 
par  quelques  restes  d'antiquités,  sur  l'emplacement 
de  la  nouvelle  Sagonte. 

Notre  voyageur  visita  aussi  Alicante,  la  ville  la 
plus  commerçante  de  l'Espagne  après  Cadix  et  Bar- 
celonne,  et  dont  le  territoire  produit,  outre  ses 
vins  renommés,  des  eaux-de-vie,  des  amandes,  de 
lanis,  du  safran,  de  la  sparterie,  du  sel,  et  une 
grande  quantité  de  l'espèce  de  soude  appelée 
baritla. 

En  quittant  Valence  pour  revenir  à  Madrid,  notre 
voyageur  traversa  la  pro^  *  -ce  de  la  Manche,  qui 
renl-erme  de  très  vastes  plaines ,  où  Cervantes  a  placé 
la  scène  des  exploits  et  des  amours  de  Don  Qui- 
chotte. Après  avoir  franchi  la  chaîne  de  la  Sierra- 
Morena,  M.  Bourgoing  entra  dans  l'Andalousie,  la 
plus  grande  province  de  l'Espagne,  la  plus  riche  en 
{ijrains,  en  mines,  en  bestiaux,  et  qui  produit  une 
race  d'excellens  chevaux.  Il  visita  d'abord  Cordoue, 
ville  ancienne  et  célèbre,  qri  vit  naître  Sénèque  et 
Lucain,  et  qui,  pendant  plusieurs  siècles,  fut  la  ré- 
sidence des  rois  maures.  De  Cordoue  il  passa  à  Sé- 

XLVI.  12 


178  VOYAGES  EN  EUROPE, 

ville,  grande  cité  assise  aux  bords  du  Guadalquivir, 
au  milieu  d'une  campagne  superbe.  Séville  est  une 
des  plus  anciennes  villes  de  TEurope;  on  aperçoit 
encore  dans  ses  environs  les  ruines  d'italica,  anti- 
que cité  romaine,  patrie  de  Silius  Italicus.  La  cathé- 
drale de  Séville  est  remarquable  par  sa  |][rande 
étendue,  par  son  orgue,  et  surtout  par  le  fameuse 
Giralda,  qui  est  la  tour  la  plus  élevée  de  toute  la 
péninsule.  Séville  compte  environ  quatre-vingt-dix 
mille  âmes. 

De  ♦  <îtte  ville,  notre  voyageur  fit  une  excursion 
à  Cadix,  l'ancienne  Gadcs  des  Phéniciens.  Elle  est 
bâtie  au  milieu  de  la  mer  sur  une  batte  de  sable, 
à  l'extrémité  d'une  péninsule  de  l'île  de  Léon,  dont 
l'isthme  étroit,  long  et  demi-circulaire,  forme  sa 
rade  immense.  Belle  dans  son  ensemble,  cette  ville 
ne  présente  guère  que  deux  ou  trois  bâtimens  re- 
marquables. La  nature  et  l'art  ont  fait  de  Cadix  une 
des  plus  fortes  villes  de  l'Europe;  elle  est  le  pre- 
mier établissement  de  la  marine  militaire  de  l'Es- 
pagne, et  elle  est  peuplée  d'environ  cinquante  mille 
habitans. 

De  Cadix,  le  voyageur  Bourgoing  retourna, 
comme  nous  l'avons  dit,  dans  la  métropole  de  l'Es- 
pagne, d'où  il  repassa  en  France.  Un  autre  voya- 
geur, l'Allemand  Fischer,  a  donné  une  suite  à  la 
relation  de  M.  Bourgoing. 


Ce  vo^ 
pagne,  q 
les  préce 
un  grand 
neuves  si 
mens  put 
aussi  des 
Espagnols 
pays  en  q 
toujours  i 
traits  relai 
La  mal 
linge.  Le 
mais  il  es 
tion ,  et  se 
De  cette 
suivant  la 
classe  con: 
tous  les  m 
tîplication 
que,  dans 
tiers  des  p 
.<isés,  les 
l'usage  do 


a 


tourna , 

de  l'Es- 

re  voya- 

uite  à  la 


DIX   HUITIÈME  SIÈCLE.  17i) 

FISCHER. 

(1797-1798.) 

Ce  voyageur  n'a  eu  pour  objet,  en  visitant  l'Es- 
pagne, que  de  recueillir  quelques  détails  oubliés  par 
les  précédens  explorateurs.  11  a  jeté  dans  son  récit 
un  grand  nombre  de  particularités  intéressantes  et 
neuves  sur  It;  clinnat,  la  population,  les  établisse- 
mens  publics,  la  littérature  et  les  arts;  on  y  trouve 
aussi  des  observations  sur  les  mœurs  et  usages  des 
Espagnols,  et  en  particulier  sur  la  Biscaye,  petit 
pays  en  quelque  sorte  républicain,  et  qui  voudrait 
toujours  se  régir  par  lui-même.  Voici  quelques 
traits  relatifs  aux  Espagnols  en  général. 

La  malpropreté  de  l'Espagnol  tient  au  défaut  de 
linge.  Le  pays,  à  la  vérité,  fournit  du  linge  t^rossier, 
mais  il  est  très  cher.  Le  beau  linge  l'est  à  propor- 
tion, et  se  compte  parmi  les  articles  de  grand  luxe. 
De  cette  pénurie  plus  ou  moins  grande  de  linge, 
suivant  la  différence  des  localités,  il  résuUe  que  la 
classe  commune  du  peuple  ne  change  de  linge  que 
tous  les  mois.  De  là  les  maladies  cutanées,  et  la  mul- 
tiplication excessive  de  la  vermine  :  elle  est  telle 
que,  dans  les  villages,  les  petites  villes  et  les  quar- 
tiers des  grandes  villes  habités  par  les  gens  les  moins 
nisés,  les  hommes  mariés  ou  les  voisins  sont  dans 
l'usage  de  s'er'  débarrasser  mutuellement  en  public. 


180  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Quand  ce  service  se  rend  réciproque naent  entre  Icn 
gens  mariés,  c'est  une  preuve  de  sûre  intimité.  Au 
surplus ,  il  y  a  dans  les  grandes  villes  des  pe,v  sonnes 
qui  se  chargent  spécialement  de  cette  besogne,  et 
qui  en  font  met!'".  Elles  vont  régulièrement  dans 
les  maisons  pour  rendre  ce  service  à  leurs  prati- 
ques; et  elles  en  reçoivent  d'autres  dans  leurs  ch 
mières  construites  de  nattes,  dans  les  places,  de\  i: 
les  maisons,  etc.  Le  climat,  l'usage  des  réseaux  et 
l'abondance  des  cheveux  concourent  à  multiplier 
une  génération  d'insectes  qui  ne  respectent  pas  les 
plus  belles  têtes.  Cette  malpropreté  s'amalgame 
avec  le  luxe  et  le  faste.  On  trouve  souvent  ces  in- 
sectes dans  les  palais  les  plus  magnifiques.  Tandis 
qu'on  en  respecte  l'extérieur,  personne,  jusqu'aux 
femmes  ;  ne  se  fait  scrupule  d'en  salir  le  vestibule 
et  l'esealittr  de  la  manière  la  plus  choquante.  A  ce 
genre  de  malpropreté,  il  faut  ajouter  celui  qui 
résulte  du  défaut  de  lieux  d'aisances. 

A  l'appui  de  ce  que  Fischer  dit  de  l'ignorance  to- 
tale des  arts  mécaniques,  de  l'industrie  domestique 
et  de  l'économie  publique,  il  observe  que,  même 
dans  les  plus  grandes  villes  où  l'on  serait  à  portée 
d'avoir  des  ouvrier;?  habiles,  on  cherche  en  vain 
dans  beaucoup  de  maisons  plusieurs  meubles 
d'usage;  et  que  dans  les  petites  villes,  les  bourgs 
et  les  villages,  on  manque  presque  entièrement 
J'une  Infinité  d'ustensiles  d'un  usage  commun  dans 


\*ii  moi 
les  prix 
(le  se  II 
léloigne 
De  ce 
(les  class 
idées,  re 
et  s'en  ti 
liifférenc 
(le  l'agrii 
tout  ce  « 
toute  idc 
certaines 
tains  alirr 
planter  c 
ignorées  l 
{juère  plu 
Notre  1 
talité  espi 
sentimeni 
néteté,  bl 
vite  ou  fij 
avantagei 
que  teml 
font  sorti 
ajoute  qJ 
de  eéréml 
de  morgj 


DlX-HUlTlÈME  SIÈCLE.  INI 

l<;s  moindres  endroits  de  rAlleiiiagne.  Outre  que 
les  prix  de  ces  objets  sont  trop  hauts,  les  occasions 
de  se  les  (irocurer  sont  très  i-ares,  à  cause  de 
réioignenient.  ' 

De  ces  circonstances,  il  suit  que  les  Espagnols 
(les  classes  communes  du  peuple,  bornés  dans  leurs 
idées,  restent  indifférens  sur  toutes  ces  jouissances, 
et  s'en  tiennent  au  plus  strict  nécessaire.  ^'  in- 
tiil'terence  s'étend  aux  ustensiles  les  plu?  i  ^ 

lie  l'agriculture  et  de  l'industrie.  L'hal 
tout  ce  qui  est  ancien  exclut  toute  cornbuiaison , 
toute  idée  d'amélioration.  Ainsi  la  fabrication  de 
certaines  étot'fcs  communes,  la  préparation  de  cer- 
tains alimens,  la  manière  d'élever  des  abeilles,  de 
planter  des  arbres,  étalent  pn^sque  entièrement 
ignorées  à  l'époque  du  voyage  de  Fischer,  et  ne  sont 
jjuère  plus  connues  de  nos  jours. 

Notre  voyageur  fait,  du  reste,  l'éloge  de  l'hospi- 
talité espagnole;  il  a  trouvé  chez  cette  nation  un 
sentiment  naturel  de  justice,  une  très  grande  hon- 
nêteté, beaucoup  de  générosité;  et  quant  à  la  gra- 
vité ou  fierté  castillane,  il  l'explique  d'une  manière 
avantageuse  pour  ce  peuple,  travaillé  depuis  quel- 
que temps  par  les  dissensions  intestines  qui  le 
font  sortir  de  son  caractère  ordinaire.  Fischer 
ajoute  qu'on  rencontre  chez  les  Espagnols  moins 
de  cérémonies  et  plus  de  véritable  politesse,  moins 
de  morgue  et  une  plus  grande  égalité  entre  les  di 


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WEBSTER,  N.  Y.  14580 

(716)  872-4503 


182  VOYAGES  EN  EUROPE, 

verses  conditions ,  moins  d'orgueil  chez  les  grands 
et  plus  de  mépris  pour  les  préjugés  de  la  naissance, 
que  chez  les  Allemands.  11  faut  excepter  peut-être  le 
préjugç  religieux,  car  les  Espagnols  sont  intolérans 
et  ne  souffrent  pas  d'autre  religion  que  celle  du 
pape.    ' 

Les  Espagnols,  en  général,  ont  le  teint  livide  et 
basané,  mais  ne  sont  point  laids.  Les  femmes  sont 
très  sensibles,  pour  ne  pas  dire  très  passionnées; 
elles  ont  la  taille  svelte,  la  démarche  majestueuse, 
la  voix  sonore,  l'œil  noir  et  brillant;  la  vivacité  de 
leurs  gestes  et  tout  le  jeu  de  leur  figure  annoncent 
la  trempe  de  leur  âme.  Leurs  charmes  se  dévelop- 
pent de  bonne  heure,  pour  se  faner  très  rapide- 
ment :  le  climat,  les  alimens  échauffans,  l'excès  des 
plaisirs,  tout  y  contribue.  Presque  toutes  les  Es- 
pagnoles ont  la  lèvre  supérieure  velue;  cette  parti- 
cularité explique  la  force  de  leur  tempérament. 
Mais  presque  toutes  ont  les  dents  gâtées  par  l'usage 
immodéré  des  sucreries.  Toutes  leurs  sensations 
sont  violentes;  avec  une  imagination  fougueuse  et 
des  désirs  brûlans,  elles  ignorent  les  charmes  et 
l'illusion  que  le  sexe  emprunte  de  la  délicatesse: 
ainsi,  les  expressions  les  plus  libres  et  les  regards 
les  plus  lascifs  n'ont  rien  qui  fasse  rougir  une  Es- 
pagnole. On  serait  cependant  trompé,  si,  sur  ces 
observations,  on  allait  fonder  le  succès  de  certaines 
vues;  l'Espagnole  s'explique  là  dessus  avec  une  li- 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  183 

berté  mâle.  Ses  lèvres,  ses  yeux,  n'ont  rien  de 
chaste,  mais  son  orgueil  lui  défend  d'aller  plus 
loin.  Les  entreprises  qu'un  homme  tenterait  vis- 
à-vis  délie  manqueraient  leur  but,  et  cest  elle 
qui  vaut  dominer;  elle  ne  veut  pas  être  choisie, 
c'est  elle /qui  veut  choisir  :  voilà  pourquoi  l'homme 
timide  et  froid  fait  plus  souvent  fortune  auprès 
d'elle,  que  l'amant  le  plus  entrept-enant  et  le  plus 
passionné.  Gomme  l'orgueil  la  préserve  de  toute 
bassesse,  l'énergie  de  son  caractère  la  tient  en 
garde  contre  l'esprit  de  légèreté  :  l'Espagnole  est 
donc  fidèle  et  constante  dans  les  engagemens  illi- 
cites. Rien  de  si  onéreux  que  la  gène  attachée  au 
titre  d'amant  d'une  femme  mariée;  c'est  une  série 
non  interrompue  d'attentions  et  de  soins  minu- 
tieux.      .  ,    ,  . 

Nous  ne  suivrons  point  le  voyageur  dans  les  dé- 
tails qu'il  donne  sur  le  Corteja ,  autrement  dit  le 
Sigisbé,  ou  amant  en  titre;  la  mode  espagnole  est 
à  peu  près  la  même  que  la  mode  italienne;  il  n'y 
a  entre  les  deux  nations  que  de  légères  nuances  à 
cet  égard.  Fischer  attribue  la  rareté  des  bons  mé- 
nages en  Espagne  aux  vices  de  l'éducation  des 
femmes,  qui  se  réduit  communément,  en  effet,  à 
quelques  pratiques  religieuses,  à  l'exercice  de  la 
danse,  aux  jeux  de  la  guitare,  à  la  broderie.  La 
danse  la  plus  voluptueuse  est  le  fandango  ;  il  y  a 
aussi  le  boléro.  La  première,  dit-il,  étourdit  les 


[li 


184  VOYAGES  EN  EUROPE, 

sens,  la  seconde  les  transporte;  le  fandango  peint 
la  jouissance,  et  le  boléro  la  tendresse  récom- 
pensée.   'iii';f"    ■'fi5':,t,>t,    *W  .  '     .   ■        -'.)    -     •  .,:-    ,L  :. 

Le  même  voyageur  visita  aussi  la  province  de 
Valence,  et  il  dépeint  dans  les  termes  suivans  le 
caractère  des  Valenciens. 

Le  Valencien  semble  réunir  tous  les  avantages 
des  habitans  du  nord  à  ceux  deshabitans  du  midi: 
il  a  les  forces  des  uns,  la  sensibilité  et  l'irritabilité 
des  autres.  Il  est  dur  comme  un  Norwégicn;  ar- 
dent ,  fougueux  comme  un  Provençal.  Il  en  est  de 
même  des  femmes.  A  la  beauté  de  leur  teint,  à  la 
couleur  de  leurs  cheveux,  à  leur  charmant  embon- 
point, on  les  prendrait  pour  des  femmes  du  nord; 
mais  leurs  grâces,  leur  sensibilité,  leur  éclat,  tout 
leur  ensemble  les  ramène  dans  le  midi. 

Le  climat  influe  également  sur  les  formes  mo- 
rales. Les  hommes  ont  une  gaité  franche,  cette 
vigueur  de  santé  et  cette  surabondance  de  vie  qui 
distinguent  les  pays  méridionaux;  les  femmes, 
cette  aménité  enchanteresse,  ce  tempr  ent  ar- 
dent, impétueux,  ce  caractère  enjoué,  qui  torment 
le  plus  doux  lien  de  la  société. 

Les  deux  sexes  se  distinguent  également  par  la 
propreté  et  l'élégante  coquetterie  de  leur  ajuste- 
ment. La  couleur  favorite  est  le  bleu.  Les  étoffes 
les  plus  communes  sont  les  indiennes  et  les  toiles; 
mais  dans  leur  grande  parure,  les  hommes  mettent 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  186 

un  gilet  de  velours  noir  ou  bleu;  les  femmes,  des 
corsets  de  cette  même  étoffe,  ou  verts,  ou  roses. 
Mais  ce  qui  rend  le  costume  des  Valenciennes  si 
attrayant,  ce  qui  l'approche  du  beau  idéal,  c'est 
cette  grâce,  cette  vivacité,  cette  tournure  méri- 
dionale qui  semble  si  naturelle  aux  plus  simples 
villageoises. 

Nous  ne  quitterons  point  la  péninsule  ibérique 
sans  faire  une  excursion  dans  le  royaume  de  Por- 
tugal, et  pour  cela,  en  observant  toujours  Tordre 
chronologique,  nous  nous  aiderons  du  voyage  de 
l'Anglais  Murphy,  qui  visita  ce  pays  vers  la  fin  du 
xvill'  siècle.  '  . 

MURPHY, 

■'       (1798.) 


Murphy  visita  le  Portugal  à  l'époque  où  la  prin- 
cesse du  Brésil,  montée  sur  le  trône,  venait  de  dis- 
gracier le  ministre  Pombal.  Le  voyageur  décrit 
l'état  physique  et  moral  du  pays,  les  mœurs,  lois 
et  usages  des  habitans,  et  les  progrès  des  sciences 
et  des  arts. 

L'air  du  Portugal  est  en  général  pur  et  tempéré; 
un  vent  rafraîchissant,  qui  rend  le  climat  très  sain , 
fait  supporter  les  grandes  chaleurs  de  l'été,  pen- 
dant lequel  il  est  très  rare  qu'il  pleuve,  surtout 
dans  la  partie  méridionale.  Les  hivers,  au  contraire, 


VOYAGES  EN  EUROPE, 
sont  très  pluvieux;  mais  quoique  le  froid  dans 
cette  saison  soit  quelquefois  assez  sensible,  on  ne 
connaît  l'usage  des  cheminées  que  dans  les  cui- 
sines. Le  plus  grand  fléau  du  Portugal,  ce  sont  les 
trembleraens  de  terre,  dont  le  foyer  paraît  être 
immédiatement  sous  le  sol  de  Lisbonne. 

Le  Portugal  a  de  beaux  fleuves,  dont  les  plus 
grands  viennent  de  TEspagne;  les  autres  prennent 
leurs  sources  dans  ses  propres  montagnes.  Le 
Minho  ne  fait  que  toucher  la  frontière  septentrio- 
nale, de  même  que  la  Guadiana  longe  la  limite 
orientale;  le  Douro  ou  Duero  sépare  plusieurs  pro- 
vinces ;  le  Mondego  traverse  les  grandes  plaines  de 
Coïmbre;  le  Tage  entre  dans  l'Océan  au-dessous 
de  Lisbonne. 

Six  provinces  forment  le  royaume  de  Portugal. 
Celle  A' Entre- Duero-e- Minho t  est  ainsi  nommée, 
parce  qu'elle  est  située  entre  les  deux  rivières  de  co 
nom.  Ses  habitans  sont  généralement  d'un  beau 
sang,  braves,  robustes  et  plus  endurcis  à  la  fatigue 
qu'aucun  autre  peuple  du  midi.  Us  cultivent  le  plus 
beau  lin  de  l'Europe.  La  province  de  Tras-os- 
Montes,  ainsi  nommée  parce  qu'elle  est  séparée  de 
la  précédente  par  des  montagnes,  est  le  pays  le  plus 
aride  et  le  plus  montueux  de  tout  le  Portugal.  La 
province  de  Beira  offre  de  belles  plaines,  dans  l'une 
desquelles  fut  planté  le  premier  oranger  venu  de 
la  Chine.  La  province  de  l'Estramadure  est  la  plus 


DIX -HUITIÈME  SIÈCLE.  187 

peuplée  et  la  plus  fertile  des  six;  elle  comprend 
Lisbonne.  La  province  d'Alentejo  a  de  bellâs  anti- 
quités; et  celle  des  Algarves,  qui  a  conservé  le  nom 
de  royaume,  bien  que  très  petite,  est  assez  fertile. 

Murphy  entre  dans  de  lon|];s  détails  sur  les  mœurs 
dépravées  des  couvens  d'hommes  et  de  femmes 
portugais,  sur  la  constitution  qui  existait  alors  pour 
le  gouvernement,  sur  les  lois  en  vigueur.  Le  temps 
y  a  du  apporter  de  notables  changemens,  surtout 
après  la  révolution  opérée  sous  Tempereur  don 
Pedro.  La  religion  catholique  est  encore  la  seule 
permise  en  Portugal;  mais  il  n'y  existe  plus  d'in- 
quisition. Suivant  le  voyageur,  le  peuple  portugais 
est  très  arriéré  en  tout ,  particulièrement  dans  les 
arts  industriels,  agricoles  et  manufacturiers.  Ce 
peuple  est  généralement  laid ,  petit  et  basané  ;  les 
Portugais  sont  vains,  présomptueux,  vindicatifs, 
railleurs,  jaloux  et  ignorans,  sauf  à  Lisbonne,  et 
sans  doute  à  Oporto  ;  lesgrands  du  royaume  passent 
pour  orgueilleux  et  insolens. 

Murphy  traite  assez  favorablement  les  femmes. 
Elles  ont,  dit- il,  une  belle  carnation,  les  dents 
blanches,  des  yeux  noirs  pleins  d'expression,  les 
cheveux  très  beaux  et  bien  fournis;  mais  elles 
ont  de  vilaines  jambes  et  le  pied  fort  large.  Leur 
démarche  est  lente  et  sans  grâce,  et  elles  s'habillent 
d'une  manière  peu  avantageuse.  Avec  beaucoup 
d'esprit ,  elles  ont  peut-être  plus  de  vivacité  encore 


188  VOYAGES  EN  EUROPE, 

que  les  hommes.  En  galanterie,  elles  l'emportent 
tiur  toutes  les  femmes  de  l'Europe.  Elles  ont  dans 
l'expression  cette  tendresse  séduisante  qui  appelle 
et  promet  le  plaisir.  Le  téte>à-téte  conduit  presque 
infailliblement  au  succès;  mais  on  n'obtient  pas 
toujours  aisément  ce  téte-à-téte,  à  cause  de  la  ja- 
lousie du  Portugais,  l^es  rendez-vous  se  donnent 
aux  églises;  c'est  pour  les  empêcher  le  plus  possible 
que  presque  toutes  les  maisons  opulentes  ont  une 
chapelle.  Les  dames  d'un  certain  rang  s'habillent  à 
la  française;  les  hommes  portent  le  manteau  et 
l'épée.  Le  Portugais,  avide  de  tout  ce  qui  peut 
rïatter  les  sens,  se  livre  avec  un  vif  emportement 
aux  plaisirs  de  l'amour,  qui  influent  sur  ses  mœurs, 
ses  habitudes  et  sa  santé.  La  licence  des  chansons 
et  celle  des  danses  répondent  à  la  corruption  des 
mœurs;  c'est  surtout  dans  la  danse  appelée  \difossa 
que  se  peint  celle  du  peuple  portugais. 

A  l'époque  où  Murphy  vit  le  Portugal,  ks  sciences 
y  étaient  négligées,  surtout  les  sciences  exactes  ; 
elles  le  sont  moins  aujourd'hui,  et  la  littérature  est 
assez  cultivée.       ;  .    .    > 

Un  autre  voyageur,  l'Allemand  Linck,  a  visité  et 
décrit  le  Portugal  vers  le  même  temps  que  Murphy. 
Il  y  était  entré  par  Eivas,  place  forte,  la  première 
ville  portugaise  en  venant  d'Espagne.  Il  passa  direc- 
tement à  Lisbonne,  dont  il  trouva  les  rues  infes- 
tées, le  jour,  de  chiens  affamés  qui  inquiétaient 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  189 

les  passans;  et  la  nuit,  de  bandits  qui  exerçaient 
leurs  brigandages  avec  d  autant  plus  d'impunité 
qu  alors  les  rues  n'étaient  pas  encore  éclairées.  11  vit 
que  le  Portugais  n'aime  point  la  promenade,  bien  qu'il 
y  en  ait  de  charmantes  sur  les  bords  du  Tage.  A 
Lisbonne,  le  luxe  consiste  surtout  dans  le  grand 
nombre  de  domestiques,  parmi  lesquels  on  re- 
marque beaucoup  de  nègres. 

L'Opéra  italien  parait  être  le  seul  qui  mérite 
quelque  attention.  Les  Portugais  se  plaisent  autant 
que  les  Espagnols  aux  combats  de  taureaux.  L'Aca- 
démie des  sciences  de  Lisbonne  se  distingue  par 
ses  mémoires  et  par  l'érudition  de  ses  membres. 
Lisbonne,  capitale  du  Portugal,  bâtie  en  amphi- 
théâtre sur  plusieurs  collines  le  long  de  la  rive 
droite  du  Tage,  avec  un  dos  plus  beaux  mouillages 
de  l'Europe,  compte  environ  deux  cent  soixante 
mille  habitans.  Oporto  ou  Porto,  seconde  ville  du 
Portugal,  bâtie  sur  deux  collines,  non  loin  de  l'em- 
bouchure du  Douro,  contient  soixante-dix  mille 
habitans.  Linck ,  dans  son  ouvrage ,  s'est  plus  parti- 
culièrement occupé  d'objets  scientifiques,  surtout 
de  géologie.  .j 

Transportons-nous  maintenant  dans  un  autre 
pays,  sans  sortir  du  XYlll^  siècle,  et  suivons  le 
voyageur  Pilati  dans  l'intérieur  de  la  Hollande. 


101) 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


,.\,'>,*,Ui-       PILATI. 


^l 


'  (1777-1779.) 


l/unit'brmité  que  présente  l'aspect  des  villes  et 
de  la  campagne,  en  Hollande,  est  une  singularité 
qu'on  ne  retrouve  nulle  part  ailleurs,  et  qui  ne 
manqua  point  de  frapper  le  voyageur  Pilati.  Les 
villes  ne  diffèrent  des  villages  que  par  la  grandeur; 
la  construction  des  habitations  est  à  peu  près  la 
même  partout.  La  passion  pour  les  fleurs  en  Hol- 
lande est  poussée  à  rextréme;  ce  sont  surtout  les 
jardiniers  de  Harlem  que  Ton  cite  pour  ce  genre 
de  culture. 

De  toutes  parts  la  face  du  pays  annonce  l'aisance 
des  habitans.  Les  villages,  très  multipliés  et  fort 
rapprochés  les  uns  des  autres,  sont  pour  la  plupart 
aussi  grands  et  infiniment  plus  propres  que  ne  le 
sont  dans  le  reste  de  FËurope  les  villes  du  second 
rang.  Les  maisons  des  paysans  sont  presque  toutes 
riantes  et  bien  entretenues.  De  tous  côtés  l'œil  se 
reposeavec  complaisance  sur  des  prairies  immenses, 
couvertes  de  troupeaux  de  vaches,  de  moutons  et 
de  chevaux. 

La  frugalité,  l'économie ,  l'adresse  à  saisir  les  oc- 
casions de  faire  un  gain  quelconque,  et  par-dessus 
tout  cela  le  bon  esprit  des  villageois  qui  les  porte  à 
ne  pas  sortir  de  leur  état,  sont  pour  eux  les  sources 


DIX-HUITIRME  SIÈCLE.  101 

do  cette  aisance  générale  qui  s  annonce  é(;alemcnt 
dans  l*habiilcracnt  des  deux  sexes.  •         * 

En  Hollande  on  voyajje  beaucoup  par  eau;  les 
Hollandais  n  aiment  pas  à  voyn{][er  à  pied  ni  en 
voiture.  Toute  la  Hollande  est  entrecoupée  de  ca- 
niiux  dont  les  uns  servent  a  transporter  les  homme» 
et  les  marchandises,  tandis  que  les  autres  conduis 
sent  les  fruits,  les  lé(];umes,  le  blé,  la  paille  et  le 
foin  des  campagnes  à  la  ville.  Les  barques  établies 
sur  les  canaux  et  sur  les  rivières  sont  très  multi- 
pliées :  elles  se  succèdent  sans  presque  aucune  in- 
terruption. 

Les  provinces  les  plus  exposées  à  la  fureur  de  la 
mer  sont  la  Frise,  la  Zélande,  la  Hollande  propre- 
ment dite,  et  Groningue.  Presque  tout  le  terrain  de 
ces  quatre  provinces  est  an-dessous  du  niveau  de 
la  mer,  des  lacs  même  et  des  rivières.  En  appro- 
chant des  côtes  on  se  figure  voir  la  cime  des  arbres 
et  la  pointe  des  clochers  sortir  du  fond  des  eaux. 
Cette  disposition  du  sol  a  obligé,  comme  on  lésait, 
d'élever  en  différens  temps  des  digues  prodigieuses , 

0 

dont  Tentretien,  suivant  Piiati ,  coûte  autant  à  TËtat 
que  celui  d'une  armée  de  quarante  mille  hommes. 
Ces  digues,  qu'un  étranges  prendrait  pour  des  col- 
lines, sont  si  larges,  surtout  dans  la  Zélande,  que 
deux  voitures  peuvent  y  marcher  de  front.  Comme 
elles  ne  suffiraient  pas  encore  pour  empêcher  les 
débordemens,  les  Hollandais  ont  imaginé  diverses 


102  VOYAGES  EN  EUROPE. 

espèces  de  moulins  ou  machines  pour  mettre  à  sec 

les  prairies  inondées  par  les  eaux. 

Les  inondations  et  les  gelées  de  Thiver  ont  en 
Hollande  leurs  avantafjes  et  leurs  inconvénient. 
D'un  côté,  elles  engraissent  les  campagnes  et  font 
mourir  les  insectes;  d'une  autre  part,  elles  ren- 
dent le  froid  plus  piquant.  De  temps  en  temps  il 
souffle  des  vents  du  sud  et  du  sud-ouest  qui  échauf- 
fent lairet  fondent  les  glaces,  même  dans  le  fort 
de  l'hiver;  mais  il  s'en  élève  des  vapeurs  qui  for- 
ment des  brouillards  épais  et  incommodes,  au  point 
d'empêcher  de  voir  et  de  respirer.  C'est  à  ces  venls 
et  à  d'autres  qui  soufflent  vers  la  fin  de  l'automne 
et  qui  donnent  lieu  sur  les  côtes  à  tant  de  nau- 
frages, qu'on  doit  attribuer  la  salubrité  de  l'air  en 
général,  tout  marécageux  que  soit  le  sol,  en  en 
qu'ils  le  dessèchent  un  peu ,  et  qu'ils  balaient  sur- 
tout les  vapeurs;  mais  en  même  temps  la  varia- 
bilité des  vents  devient  le  germe  de  beaucoup  de 
fluxions  et  de  rhumatismes ,  si  familiers  aux  habl- 
tans  de  la  Hollande  qu'ils  semblent  ne  s'en  inquié- 
ter guère. 

Pilati  eut  à  admirer  l'extrême  propreté  des  Hol- 
landais. Tous  les  sameclis,  on  lave  les  vitres,  le 
perron,  le  plancher  de  toutes  les  chambres,  les 
escaliers,  les  meubles  de  bois  et  de  métal,  comme 
on  lave  ailleurs  la  vaisselle  et  les  autres  ustensiles 
de  table.  Tous  les  coins  de  lappartement sont  rem- 


plis de 
dehors 
même, 
fréquei 
tenues  I 
a  soin  < 


U  SPC 

nt  en 
[licni*. 
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I  ren- 
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en  ce 
nt  siir- 
[  varia- 
oup  (le 
X  babi- 

inquié- 


ni.X>lllJITlÈME  SÙCLb.  lua 

plis  de  crachoirs,  les  nattes  sont  prodiguées  au 
dehors.  Les  rues  des  villes*  des  bourgs,  des  villages 
mônic,  si  Ton  en  excepte  quelques-unes  des  plus 
fréquentées,  telles  que  La  Haye  et  Auisterdani,  sont 
tenues  dans  un  état  de  propreté  extraordinaire  :  on 
a  soin  de  Tentretenir  dans  les  étables  rnéme,  en 
suspendant  au  pluncher  avec  des  cordelettes  la 
queue  des  vaches  pour  einpùchei'  qu'elle  ne  se  sa- 
lisHC.  Cette  propreté  est  portée  à  un  tel  point  au 
village  de  Broeck  dans  la  Nord-Hollande,  que  les 
rues  de  ce  village,  pavées  de  briques,  sont  non-seu- 
lement lavées  fréquemment,  mais  recouvertes  d'un 
sable  blanc  sur  lequel  on  trace  des  figures  de  toutes 
sortes  de  fleurs.  Ce  goût  de  propreté  a  pris  son 
origine  dans  l'air  épais  et  humide  du  climat,  dans 
la  nature  marécageuse  du  sol.  Cette  humidité  et 
l'épaisseur  de  l'air  ont  sans  doute  produit  le  tem- 
pérament flegmatique  des  Hollandais,  auquel  les 
gesticulations  en  parlant  sont  aussi  étrangères 
qu'elles  sont  familières  aux  Italiens.  Ils  ont  l'immo- 
bilité des  Orientaux  en  fumant  leur  pipe. 

Cependant  les  gelées  et  raî*)ect  de  la  glace  pro- 
duisent chez  eux  une  singulière  métamorphose.  Ces 
êtres  massifs,  pesans,  raides  et  presque  immobiles 
pendant  tout  le  reste  de  l'année,  deviennent  tout  à 
coup  dispos  et  agiles  dès  que  les  canaux  sont  pris. 
Les  hommes  de  toute  condition,  de  tout  âge,  cou- 
rent, dansent,  sautent  sur  ces  canaux  avec  des  pa- 

XLVI.  13 


194  VOYAGES  EN  EUROPE, 

tins.  C'est  de  cette  raanière  que  les  paysans  viennent 
à  la  ville  et  s'en  retournent  chez  eux;  c'est  en  se 
livrant  à  cet  exercice  que  les  élégans  et  les  dames 
même,  avant  l'heure  du  dîner,  cherchent  à  gajjner 
de  l'appétit.  Du  reste,  les  Hollandais  sont  tempé- 
rans  et  surtout  polis  et  hospitaliers. 

Pilati  déclare  qu'il  ne  connaît  point  de  pays  où 
l'âge  et  le  mariage  amènent  dans  le  sexe  tant  de 
variations  qu'en  Hollande.  Les  filles  conservent 
d'ordinaire  jusqu'à  dix-huit  ans  la  blancheur  de  leur 
teint  et  de  vives  couleurs.  Le  mariage  amène  une 
prompte  dégradation,  qui  n'est  pas  uniquemcnl: 
l'effet  du  climat,  mais  qui  tient  aussi  à  l'usage  de 
l'eau  chaude  et  à  celui  des  chaufferettes.  Dès  qu'une 
Hollandaise  est  mariée,  elle  renonce  à  tous  les  plai- 
sirs pour  se  donner  tout  entière  à  son  ménage  :  il 
serait  difficile  d'être  njeilleure  mère  de  famille. 

Les  assemblées  réglées  dans  les  grandes  villes 
n'ont  jamais  lieu  que  pour  les  hommes  :  ils  y  pas- 
sent le  temps  à  fumer,  à  boire  très  modérément, 
à  jouer  un  fort  petit  jeu,  à  lire  les  journaux  et  à 
parler  politique.  Les  visites  sont  fort  rares,  excepté 
parmi  les  parens.  "''•  ■  '       ^ 

Nous  ne  suivrons  pas  plus  loin  le  voyageur  Pilati 
dans  les  détails  qu'il  donne  sur  la  Hollande  et  sur 
les  Hollandais;  nous  allons  porter  nos  regards  vers 
une  autre  contrée,  dont  nous  n'avons  pas  encore 
eu  occasion  de  parler,   c'est-à-dire  vers  la  Sicile, 


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et  sur 

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Sicile , 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  195 

qui  fut  visitée  par  le  voyageur  Riedesel ,  en  l'an- 
née 1771. 


RIEDESEL.  ,,   ,1  ,,o,î  ;>!ïl 

■   ■;'  (1771.)  .  .•  'i  Kk  '(up  invy^i 

Ce  voyageur  est  le  premier  qui  nous  ait  fait  con- 
naître les  vastes  monumens  de  la  Grande-Grèce, 
et  en  particulier  de  la  Sicile.  En  décrivant  les  ruines 
des  villes,  des  ports,  des  aqueducs,  des  temples, 
des  théâtres,  des  arapliithéàtres  répandus  sur  tous 
les  points  de  la  Sicile,  Riedesel,  avec  le  secours  des 
notions  éparses  chez  quelques  auteurs  de  l'anti- 
quité, rappelle  sans  cesse  l'ancien  état  de  ces  mo-^ 
numens  du  goût  et  de  l'industrie  des  Siciliens,  dans 
les  temps  de  leur  antique  splendeur.  ■■.■.   -î  ?'Mà 

Syracuse,  qui  renfermait  dans  ses  murs  trois 
villes  importantes  bien  distinctes,  ne  présente 
presque  plus  de  vestiges  de  ces  édifices  dont  la 
magnificence  frappait  le  regard  de  tous  les  étran- 
gers. De  tant  de  temples  qui  décoraient  cette  grande 
cité ,  il  ne  reste  plus  que  quelques  colonnes  ;  de 
tant  de  théâtres  qu'elle  renfermait  dans  sa  vaste 
enceinte,  il  ne  subsiste  du  plus  grand,  taillé  dans 
le  roc,  que  la  partie  destinée  aux  spectateurs; 
la  scène  est  entièrement  détruite.  Tous  les  embel- 
iissemens  des  trois  ports,  les  aqueducs,  les  fon- 
taines ont  entièrement  disparu.  Ainsi,  par  une  fa- 


\  , 


m  VOYAGES  EN  EUROPE. 

talité  inexplicable,  la  plus  magnifique  des  villes  de 

l'ancienne  Sicile  est  la  plus  déchue.  '"  "'     ' 

Les  ruines  de  Sélinus  permettent  de  distinguer 
les  trois  temples  qu'on  y  avait  élevés.  C'est  à  Gir- 
genti  que  les  débris  de  l'ancienne  Agrigente  offrent 
les  monumens  les  mieux  conservés.  A  Tauremi- 
nium,  aujourd'hui  Tavormina,  il  existe  encore  un 
ancien  théâtre ,  avec  une  scène  dans  son  intégrité. 
Le  voyageur  a  donné  la  description  de  cet  édifice  et 
de  plusieurs  antiquités  de  la  Sicile  non  moins  im- 
portantes et  non  moins  curieuses.  Il  a  également 
fait  connaître  la  fertilité  extraordinaire  de  la  Sicile 
et  le  caractère  moral  et  physique  de  ses  habilans. 
La  fécondité  du  sexe  est,  dit-il,  analogue  à  celle 
des  terres,  outre  que  les  Siciliennes  sont  très  agréa- 
bles et  très  belles.  Les  physionomies  s'y  remarquent 
en  assez  grand  nombre,  surtout  le  long  des  côtes. 
A  la  différence  de  Naples ,  Riedesel  observe  que  la 
Sicile  en  général  offre  plus  de  beauté  chez  les 
femnies  que  chez  les  hommes.  Il  accorde  à  ceux-ci 
beaucoup  de  finesse,  de  pénétration  et  de  lalens; 
mais  un  penchant  irrésistible  pour  la  volupté  et 
une  extrême  vivacité  ne  permettent  pas  aux  Sici- 
liens de  donner  à  leurs  productions  un  certain 
dejf^ré  de  perfection. 

Les  observations  du  voyageur  sur  la  Grande- 
Grèce,  et  particulièrement  sur  la  Calabre,  laissent 
quelque  peu  à  désirer.  Dans  le  canton  où  était  située 


UIX- HUITIÈME  81ÈCLË.  11)7 

rancienneSybaris,  dont  i'  r  ^ste  plus  aucun  vestige, 
Riedesel  éprouva  les  effet»  de  cet  air  épais  et  doux 
qui  plongeait  ses  habitans  dans  la  mollesse,  et  ne 
leur  donnait  de  l'activité  que  pour  la  recherche  des 
plaisirs.  A  Tarente ,  il  remarqua  aussi  beaucoup  de 
penchant  pour  la  volupté,  une  rare  beauté  chez  les 
femmes,  et  une  grande  jalousie  chez  les  hommes. 
A  Gallipoli,  ville  bâtie  sur  un  rocher,  et  qui  est 
creusée  en  dessous,  il  observa  que  toutes  les  cavités 
sont  remplies  d'huile  que  la  chaleur  du  rocher  fait 
fermenter  et  dont  elle  opère  la  purification.  Cette 
huile  est  lobjet  d'un  commerce  important.  Lecce 
parut  à  Riedesel  la  plus  grande  et  la  plus  belle  ville 
du  royaume,  après  celle  de  Naples:  son  territoire 
est  d'une  fertilité  extrême;  mais  ses  habitans  sont 
très  stupides. 

Brindes,  si  célèbre  du  temps  des  Romains  par 
son  port,  où  l'on  s'embarquait  pour  la  Grèce,  n'a 
rien  conservé  de  son  antique  splendeur.  Ses  envi- 
rons sont  très  fertiles,  mais  en  été  l'air  de  ce  lieu 
est  réputé  le  plus  dangereux  de  toute  l'Italie.  Dans 
les  environs  de  Cannes,  où  Annibal  défit  les  Ro- 
mains, les  habitans  montrent  encore  à  l'étranger  le 
terrain  appelé  le  champ  du  c.irnage,  il  campo  del 
sangue.  A  Bovino,  situé  au  pied  de  l'Apennin,  en  se 
rapprochant  de  Naples,  notre  voyageur  éprouva, 
le  6  juin ,  un  froid  aussi  vif  qu'à  Rome  en  dé- 
cembre. 


198  VOYAGES  EN  EUROPE. 

.  La  Calabre  a  été  aussi ,  quinze  ans  après  Riedesel, 
visitée  parrAllemand  Barteis,  qui  a  donné  de  cette 
partie  du  royaume  de  Naples  une  description  très 
détaillée,  mais  qui  se  trouve  en  abrégé  dans  les 
géographies  postérieures. 

Franchissons  l'Adriatique,  et  allons  sur  le  rivage 
opposé  à  la  Calabre  chercher  encore  rancieniie 
Grèce,  eu  commençant  par  les  sept  îles  Ioniennes, 
que  Saint-Sauveur  a  vues  en  1781.      .  ,    -^     ,, 


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SAINT-SAUVEUR. 

(1781.)       ' 


Saint-Sauveur,  alors  consul  de  France  à  Corfou, 
a  donné  sur  les  îles  Ioniennes  un  voyage  historique, 
littéraire  et  pittoresque,  auquel  nous  n'emprunte- 
rons qu'un  petit  nombre  de  détails  géographiques. 

La  plus  considérable  des  sept  îles  est  Corfou, 
jadis  connue  sous  le  nom  de  Ccrcfre,  et  célèbre 
surtout  par  la  description  qu'Homère  en  a  faite 
dans  son  Odyssée,  où  il  lui  donne  le  nom  d'//t;  des 
Phéaciens.  Elle  a  soixante  lieues  environ  d'étendue, 
avec  une  population  de  soixante  mille  âmes  seule- 
ment. Le  climat  de  cette  île  est  doux  et  extrême- 
ment variable  :  elle  est  sujette  aux  tremblemens  de 
terre,  mais  les  secousses  sont  modérées  et  causent 
rarement  du  dommage.  La  mine  de  charbon  de 
terre  qu'on  y  a  récemment  découverte,  une  mine 


DIX-HUITIÈMB  SIÈCLE.  IDO 

de  soufre  anciennement  connue,  sembleraient  in- 
diquer que  le  foyer  de  ces  commotions  est  dans 
l'ile  raûmc;  mais  on  a  remarqué  que  ces  secousses 
étaient  presque  toutes  de  relation,  ayant  leur  direc- 
tion du  nord-ouest  au  sud*ouest.  -^  it^ 

Saint-Sauveur  reconnaît  avec  d'autres  voyageurs 
l'insuffisance  des  productions  de  l'île  pour  les  be- 
soins de  ses  habitans  :  ils  ne  récoltent  du  blé  et  du 
vin  que  pour  trois  ou  quatre  mois.  C'est  avec  le 
produit  de  leurs  builes,  dont  ils  fabriquent  année 
commune  deux  cent  cinquante  mille  jarres,  avec 
celui  de  leurs  salines,  dont  le  rapport  est  aussi  de 
quelque  importance,  avec  la  dépouille  enfin  du 
gros  et  du  menu  bétail,  dont  ils  font  des  exporta- 
tions pour  environ  une  somme  de  50,000  livres, 
que  les  Corfiotes  se  procurent  chez  leurs  voisins 
tout  ce  qui  leur  manque.         :      r 

L'article  des  huiles  serait  susceptible  d'un  ac- 
croissement considérable,  si  les  opérations  de  la 
nature  étaient  secondées  par  l'activité  de  l'industrie. 
Indépendamment  de  la  pénurie  de  grains  et  de  vins, 
Corfou  est  dépourvue  de  bois,  de  prairies;  et  l'art 
du  jardinage  y  est  très  borné.  Le  gibier  de  terre  y 
est  fort  rare,  le  gibier  d'eau  et  les  poissons  sont 
plus  communs.  ... 

Le  caractère  que  le  voyageur  a  reconnu  aux  Cor- 
fiotes n'est»  rien  moins  que  flatteur,  et  paraît  un 
peu  chargé.  Il  les  dépeint  comme  superstitieux  par 


\  > 


200  VOYAGES  EN  EUROPE, 

religion,  ignorans  par  orgueil,  indigens  par  indo- 
lence, ennemis  du  travail  par  indigence,  cruels  par 
inclination,  perfides  et  faux  par  faiblesse  :  il  ajoute, 
à  la  vérité,  que  ce  peuple  redeviendra  ce  qu'il  était 
autrefois,  lorsqu'un  gouvernement  sage  et  éclairé 
le  guidera;  ce  qui  pourrait  avoir  lieu  sous  la  do- 
mination britannique.  Une  éducation  dépravée, 
plutôt  la  nullité  de  toute  éducation  sont  les  causes 
auxquelles  le  voyageur  attribue  en  grande  partie 
les  mauvaises  qualités  des  Corfiotes. 

Les  femmes,  étroitement  resserrées  autrefois, 
étaient  parvenues  h  jouir  d'une  grande  portion  de 
liberté.  Le  luxe,  les  plaisirs  de  la  table  s'étaient  in- 
sensiblement introduitsâ  Corfou.  Cette  observation 
s'applique  particulièrement  à  l'unique  ville  que 
contienne  cette  île,  et  qui  en  porte  le  nom.  Les  for- 
tifications en  sont  très  considérables,  et  exigent 
une  forte  garnison.  Les  couvens  y  sont  très  nom- 
breux, et  elle  manque  d'hôpitaux.  Les  processions 
y  sont  très  multipliées.  La  superstition  exerce  d'au- 
tant plus  son  empire  sur  les  Corfiotes,  que  le  clergé 
est  de  la  plus  profonde  ignorance  :  il  s'occupe  beau- 
coup de  misérables  peintures,  dont  l'objet  est 
d'entretenir  l'aveugle  dévotion  du  peuple.  Les  plus 
superstitieuses  pratiques  se  remarquent  dans  les 
cérémonies  des  mariages  et  des  funérailles. 

Les  îles  de  Paxo,  de  Bucintro,  de  Parga,  de 
Provosa,  de  Venizza,  de   Sainte-Maure,  n'offrent 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  201 

lien  do  plus  remarquable.  Celle  de  Provosa  seule- 
ment serait  susceptible  d'un  commerce  considé- 
rable avec  les  provinces  turques. 

L'île  de  Thiaqui ,  connue  dans  l'antiquité  sous  le 
nom  à' Ithaque  ou  de  Dulfchium,  attire  surtout 
lattention  pour  avoir  été  le  théâtre  des  événemens 
décrits  avec  tant  de  charmes  dans  XOdyssëe.  De 
toutes  parts  elle  est  couverte  de  rochers  dont  les 
intervalles,  soigneusement  cultivés,  donnent  en 
i;rains  d'une  mauvaise  qualité  une  quantité  plus 
que  suffisante  pour  la  consommation  des  habitans. 
Le  surplus  fournit  un  article  d'exportation  assez 
borné  pour  les  îles  de  Géphalonie  et  de  Zante.  On 
exporte  aussi  à  Thiaqui  cinq  à  six  milliers  pesans 
de  raisins  de  Corinthe,  et  un  peu  d'huile  d'olive. 
Les  vins  qu'on  récolte  suffisent  aux  besoins  des  ha- 
bitans :  le  jardinage  se  réduit  à  une  petite  quantité 
de  légumes  et  de  fruits. 

Le  gibier  est  rare,  la  pèche  abondante.  La  vo- 
laille réussit  singulièrement;  on  élève  des  dindes 
d'une  grosseur  remarquable.  Les  tremblemens  de 
terre,  à  Thiaqui,  n'ont  pas  de  suites  plus  fâcheuses 
qu'à  Géphalonie  et  à  Zante ,  dont  elle  est  voisine. 
La  population  se  borne  à  sept  mille  âmes  répandues 
dans  quatre  à  cinq  villages. 

Avec  la  même  étendue  que  l'île  de  Corfou ,  celle 
de  Céphalonie  ne  lui  est  pas  comparable.  Elle  est 
très  montueuseet  assez  stérile;  la  récolte  des  grains 


202  VOYAGES  EN  EUROPE, 

n'y  fournit  que  quatre  ou  cinq  mois  de  substance 
aux  habitans.  Six  à  sept  millions  pesant  de  raisins 
de  Gorinthe,  des  huiles  en  assez  (grande abondance, 
procurent,  par  l'exportation .  de  quoi  suppléer 
aux  productions  de  première  nécessité.  L'ilc  trouve 
aussi  une  ressource  dans  une  certaine  quantité  de 
coton  et  de  soie  d'une  très  bonne  qualité.  Les  vins 
de  liqueur  et  de  table  se  consomment  dans  le  pays, 
il  n'en  passe  chez  l'étranger  qu'une  très  petite 
quantité.  .  w.  ,:.'>-.• ...       m, 

,  On  fait  à  Céphalonie  des  liqueurs  de  diverses 
espèces  fort  estimées;  mais  la  plus  gi'ande  partie 
de  ces  liqueurs,  sous  l'administration  vénitienne, 
était  employée  en  présens,  et  ne  formait  pas  une 
branche  d'exportation  proprement  dite. 

A  Céphalonie,  comme  à  Corfou,  l'art  du  jardi- 
nage est  encore  dans  l'enfance.  Il  faut  excepter  de 
cette  assertion  la  culture  d'une  certaine  espèce  de 
melons  d'hiver,  d'une  qualité  supérieure  à  celle  dec 
melons  de  Malte  :  la  forme  en  est  très  différente  ; 
ceux-ci,  parfaitement  ronds,  sont  d'un  vert  tirant 
sur  le  bronze:  ceux  de  Céphalonie  sont  d'une  forme 
ovale  et  d'un  très  beau  jaune,  la  chair  en  est  blan- 
che. On  les  conserve  long-temps,  en  les  tenant 
suspendus. 

Le  voyageur  indique  la  manière  de  les  cultiver; 
elle  suppose  une  industrie  qui  s'applique  à  tous  les 
fruits  et  à  tous  les  genres  de  légumes.  Le  Céplia- 


DlX-IIUlTlÈMË  SIÈCLE.  203 

loiiute  y  réussirait  d'autant  mieux,  qu'eu  général 
il  est  très  persévérant  dans  ses  projets. 

A  ce   caractère,  il  joint  beaucoup  de  finesse  et 

un  penchant  décidé  pour  l'intrigue.  On  a  toujours 

reconnu  chez  lui  une  grande  habitude  pour  les 

sciences  en  tout  genre.  Il  a  couru,  en  divers  temps, 

la  carrière  des  lettres  avec  distinction,  plus  d'une 

fois  même  il  a  fourni  à  l'étranger   des  hommes 

d'état  et  des  militaires  distingués;  plus  hospitalier 

que  les  autres  insulaires,  il  est  très  vindicatif.      ^ 

L'ile  de  Zante,  qui  n'est  séparée  de  Céphalonie 

que  par  un  canal  peu  considérable,    n'a  qu'une 

étendue  de  quatre  lieues  de  largeur  sur  six  à  sept 

de  longueur.  Dans  un  espace  si  borné,  elle  donne 

des  produits  considérables,  surtout  en  raisins  de 

Oorinthe  et  en  huiles.  Le  premier  de  ces  produits 

s'élève  jusqu'à  neuf  à  dix  millions  pesant. 

Le  voyageur  expose  la  méthode  de  cultiver  la 
vigne  qui  produit  ce  raisin  précieux ,  dont  les  grains 
sans  pépin  n'ont  que  la  grosseur  de  ceux  de  gro- 
seille. C'est  un  peu  avant  sa  maturité  qu'il  est 
agréable  à  manger,  parce  que  sa  très  grande  dou- 
ceur est  corrigée  par  un  peu  d'acidité;  on  le  donne 
dans  cet  état  aux  malades.  11  se  fait  de  ce  raisin, 
dans  l'île  de  Zante,  plusieurs  espèces  devins,  soit 
d'ordinaire,  soit  de  liqueur.  La  plus  grande  partie 
se  consomme  dans  le  pays,  le  reste  est  enlevé  par 
l'étranger  :  il  se  conserve  long-temps,  et  on  le  ré- 


2U'I  VOYAGES  EN  EUROPE, 

pute  très  stomachique.  Là  plus  grande  partie  du 
raisin  se  sèche,  et  en  cet  état  il  n'est  pas  plus  gros 
que  des  grains  de  poivre.  11  forme  un  objet  d'ex- 
portation très  considérable. 

On  ne  cultive  pas  plus  de  grains  à  Zante  que 
dans  les  autres  iles;  mais  le  produit  de  ces  raisins 
et  de  ces  huiles  lui  procure  abondamment  tout  ce 
q'/i  lui  manque  et  dans  ce  genre  et  dans  plusieurs 
autres.  Cette  ile,  outre  des  cavernes  d'où  il  s'exhale 
en  grande  abondance  une  graisse  d'une  odeur  fé- 
tide, renferme  deux  sources  de  goudron,  des  eaux 
minérales,  des  salines  plus  que  suffisantes  pour  la 
consommation  des  habitans. 

Elle  est  dépourvue  de  bois,  et,  ce  qui  en  est  la 
suite  ordinaire,  on  n'y  trouve  point  de  rivières. 
Les  sources  d'eau  douce  sont  très  communes,  mais 
toutes  placées  entre  des  rochers,  et  trop  éloignées 
pour  qu'on  puisse  les  employer  à  l'arrosement. 
L'art  du  jardinage  est  beaucoup  plus  avancé  à  Zantc 
que  dans  les  autres  îles  :  on  y  est  désolé  par  des  in- 
sectes, qui  y  sont  très  multipliés;  le  voyageur  en 
cite  deux  comme  très  venimeux,  et  dont  la  piqûre 
est  réputée  mortelle  si  l'on  n'y  apporte  pas  un 
prompt  remède.  L'un  est  une  chenille  dont  la  mar- 
che est  très  rapide,  qu'on  appelle  galera;  l'autre 
une  araignée  de  l'espèce  des  maçonnes ,  et  de  la 
grosseur  d'une  noix.  Entre  les  lézards,  il  en  est  un 
dont  la  blessure,  dit-on,  donne  la  mort;  celle  que 


niX-HUlTlÈMK  SIÈCLE.  20.'> 

fait  le  scorpion  n'est  point  morlelle,  mais  elle  pro- 
cure une  fièvre  violente,  et  on  la  {jiiérit  avec  une 
herbe  du  pays.  L'ile  est  très  riche  en  plantes  sa- 
lubres. 

La  ville  de  Zante,  située  au  centre  de  Hle  cl 
défendue  par  une  forteresse,  est  peuplée  d'environ 
douze  mille  âmes,  parmi  lesquelles  on  compte  den\ 
mille  Juifs.  I^  population  totale  de  File  s'élève  à 
quarante-cinq  ou  cinquante  mille  habitans. 

L'ile  de  Céri^^o,  si  célèbre  dans  l'antiquité  sous  le 
nom  de  Cythère,  où  l'on  rendait  un  culte  particu- 
lier à  Vénus,  a  huit  lieues  de  longueur  sur  cinq  h 
six  de  larfjeur.  Avec  la  même  étendue  que  celle  dn 
Zante,  elle  ne  lui  est  comparable  sous  aucun  rap- 
port. Couverte  de  rochers  en  grande  partie,  elle 
a  des  produits  très  bornés,  et  ses  habitons  sont 
peu  aisés.  Leurs  récoltes  en  blé  et  autres  grains 
excèdent  néanmoins  les  besoins  de  la  consomma- 
tion; le  surplus  s'exporte  dr.ns  les  îles  de  Zante  et 
de  Céphalonie.  On  recueille  aussi  à  Cérigo  assez 
d'huile  pour  les  besoins  du  pays ,  un  peu  de  lin  et 
de  coton;  et  à  l'exception  des  vins  d'ordinaire,  que 
les  habitans  sont  obligés  de  tirer  de  la  Morée  et  de 
Candie,  les  Cérigotes ,  pour  les  denrées  de  pre- 
mière nécessité,  sont  moins  dépendans  de  leurs 
voisins  que  les  autres  insulaires.  Parmi  les  lé- 
gumes et  les  fruits  qu'on  recueille  dans  l'ile,  on 
distingue  une  espèce  d'.ognons  très   petits,  mais 


206  VOYAGES  KN  F.UROPK. 

d'un  iifoiU  exquis,  et  des  olives  éfjaiement  fort 
petites  et  très  reclierchécs.  On  fuit  à  Cérigo  deux 
sortes  de  vins  de  liqueur  qui  sont  en  grande  répu- 
tation. 

Pour  terminer  la  liste  des  voyages  effectués  pen- 
dant le  XVill"  siècle  nous  irons,  avec  M.  Pouqueville, 
jeter  un  dernier  re^^ard  sur  quel(|ues  points  de 
cette  Grèce  antique  si  souvent  explorée,  et  qui 
offre  toujours  quelque  chose  à  glaner  sous  le 
double  rapport  de  ses  sites  pittoresques  et  de  ses 
merveilleux  souvenirs.  '»  '  '  •  ^\^»v\'  >  iib  ff 
'  |.>:,i«'    • -f.'   i^'-r'/ii"!     !■..(''  wl  (,''«■  î.      nui.  f  ù'.'i\ 


M.  Pouqueville,  envoyé  depuis  en  qualité  de 
consul  général  de  France  aux  mêmes  lieux  qu'il  avait 
d'abord  parcourus,  a  eu  pour  but  principal  dans 
son  premier  voyage,  de  faire  connaître  la  Morée, 
jadis  célèbre  sous  le  nom  de  Péloponèse;  l'auteur 
ne  laisse  rien  à  désirer  pour  la  parfaite  connais- 
sance de  cette  péninsule.  Nous  lui  devons  aussi 
aie  description  très  exacte  de  l'Albanie,  autrefois 
l'Enire.      "»'.'i-'ii»    •-     .•.•■i,«     viun.  i  ,.'ï  uni    ■  ir 

M.  Pouqueville  avait  quitté  la  France  en  quai» té 
de  métidcin,  faisant  partie  de  la  comraisr'.in  <1{.'- 
sciences  et  des  arts  destinée  à  passer  en  Orient.  A 
peine  .arrivé  en  Egypte,  sa  santé  affaiblie  l'obligea 


DlX-IUlITltMK  Slf:CLE.  2U7 

(le  revenir  en  Italie.  Dans  la  traverst'e  il  tut  pris  par 
lin  corsaire  .  conduit  on  i\lor(';e.  On  le  tl<  harcpin 
h  ^Hvarin,  ou  ses  connaissances  nu'diciu.'R  Nii  pro- 
curèrent aii|irès  (lu  hey  1rs  moyens  dV'Xj)loit  '■  In 
pays  et  <le  se  procurer  des  notions  sur  1rs  liabi- 
liuif.  iNons  présenterons  le  sommaire  de  ses  re- 
inaniues. 

Le  port  c'o  .Ni»varin  est  le  plus  spacieux  de  toute 
la  Mon'e  .  il  u  puis  de  trois  lieues  de  prolonj][e- 
ment  8<ii'  '  i  "ôte,  et  a  bien  une  lieue  de  protbndeur. 
Il  v'-\.  fermé  au  midi  par  deux  éciieils,  et  par  l'île  de 
Sjihakterie  On  y  trouve  trois  passes,  dont  l'une 
est  la  plus  fréquentée,  parce  que  les  (;ros  vaisseaux 
peuvent  y  entrer.  Une  autre  n'admet  que  de  petites 
barques.  La  troisième  est  très  difficile  et  protéjjée 
piu'  un  fort.  Ce  vaste  et  supiîrbe  port  pourrait  con- 
lenir  les  armées  navales  les  plus  nombreuses.  C'est 
dans  son  enceinte  qu'en  1827  l'escidrc  turque  fut 
dévorée  par  les  boulets  que  lui  lancèrent  les  vais- 
seaux de  l'amiral  de  Ri{^;ny  et  de  l'amiral  anglais 
Codrington,  chargés  tous  deux  de  proléger  les 
Grecs  renaissant  de  leurs  cendres,  et  soutenus  éga- 
lement par  les  vaisseaux  russes  de  l'amiral  Hciden. 

Le  Péloponèse,  qui  au  temps  du  Bas- Empire 
perdit  ce  riom  pour  [>n«ndpe  celui  de  Morée  ,  com- 
jMtind  l'Argolide,  la  Corinthie,  la  Laconie,  la  Mes- 
sénie,  l'Élide,  l'Achaie  et  l'Arcadie.  Parmi  les  golfes 
de  la  Morée  est  celui  de  ïiépante,  si  fameux  par  la 


208  VOYAGES  EN  EUROPE, 

bataille  de  ce  nom.  Trlpolitza,  principale  ville  de  lu 
Morée,  est  formée  des  débris  des  anciennes  villes 
de  Mégalopolis,  de  Tigée ,  de  Mantinée  et  de  Pallan- 
tium,  sans  être  située  précisément  sur  l'emplace- 
ment d'aucune  de  ces  villes.  Tripolitza  est  abreuvée 
par  quatre  fontaines  bien  entretenues. 

La  narration  de  M.  Pouqueville  conduit  le  lec- 
teur à  Patras,  l'ancienne  Aroë,  célèbre  dans  l'an- 
tiquité par  ses  édifices,  tels  qu'un  Opéra  (Odéon)  et 
plusieurs  temples.  De  Patras  on  passe  à  Corinthe, 
qui  n'offre  plus  aucun  vestige  de  son  antique  spien 
deur.  Pour  monter  au  cliàieau  bàîi  sur  l'emplace- 
ment de  l'ancienne  citadelle  d'Acro-Corinthe  ,  il 
faut  employer  environ  une  heure.  Tlièbes,  aujour- 
d'hui Tliiva,  montre  encore  quelques  ruines,  ainsi 
qu'Argos  et  la  fameuse  Olympie.  Mistra  est  bâtie 
sur  les  ruines  de  l'ancienne  Sparte,  et  offre  de 
toutes  parts  des  vestiges  précieux  d'antiquité. 

M.  Pouqueville  dépeint  les   Laconiens,  aujour 
d'hui  les  Maïnotes,   comme  des  guerriers  accou 
tumés  dès  leur  enfance  au  maniement  des  armes 
endurcis  aux  fatigues,  familiarisés  avec  les  dangers 
et  toujours  prêts  à  s'aller  mesurer  avec  les  Turcs 
Leur  courage,  qui  dégénère  souvent  en  témérité 
prend  surtout  sa  force  d'une  connaissance  parfaite 
de  leurs  défilés  et  de  l'amour  du  pillage,  ou  si  l'on 
veut  de  la  liberté  sans  frein.  Les  femmes  des  Mai- 
notes,  non  moins  courageuses  que  les  jeunes  coin- 


battani 
sont  le 
des  Hll 

NOU! 

voyage 

plus  d' 

taie;  n< 

l'AIbani 

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jusqu'à 

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qu'il  est 

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clavone , 

Les 
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montagn 
gemens 
'es  lieux 
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XLV 


, 


angers. 
Turcs. 

mérité, 
parfaite 
u  si  l'on 
es  Maï- 
les  com- 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  20î) 

battans,  partagent  souvent  leurs  dangers.  Elles 
sont  le  noodèle  des  mères  après  avoir  été  l'exemple 
des  filles. 

Nous  ne  suivrons  point  M.  Pouqueville  dans  son 
voyage  à  Constantinople,  puisque  nous  avons  eu 
plus  d'une  fois  l'occasion  de  parler  de  cette  capi- 
tale; nous  nous  reporterons  de   préférence  vers 
l'Albanie,  le  pays  couvert  de  montagnes,  et  dont  les 
habitans  déploient  un  courage  porté  quelquefois 
jusqu'à  la  férocité.  Les  femmes  qui  donnent  le  jour 
à  ces  hommes  extraordinaires,  partagent  en  grande 
partie  la  vigueur  de  leur  organisation.  Les  bonnes 
qualités  de  ces  femmes  n'ont  cependant  pas  pré- 
servé les  Albanais  d'un  goût  infâme  désavoué  par 
la  loi  première  des  hommes. 

L'Albanais  s'abandonne  à  ce  genre  de  dissolution 
sans  paraître  soupçonner  l'énormité  d'un  tel  vice, 
et  c'est  peut-être  à  cause  de  cette  passion  brutale 
qu'il  est  si  peu  jaloux  de  la  conduite  des  femmes. 
Ce  peuple  conserve  avec  obstination  la  langue  es- 
clavone ,  et  aime  peu  à  parler  le  grec. 

Les  Albanais  doivent  incontestablement,  en 
grande  partie,  leur  caractère  très  belliqueux  et  fé- 
roce, à  la  nature  de  leur  pays  élevé  et  hérissé  de 
montagnes.  La  température  y  est  sujette  à  des  chan- 
gemens  brusques  et  fréquens ,  qui  varient  suivant 
les  lieux  et  l'aspect  des  vallons.  Le  ciel  de  l'Al- 
banie est  pur,  et  les  grandes  sécheresses  y  sont 
XLVI.  H 


210  VOYAGES  EN  EUROPE, 

aussi  rares  que  les  pluies  dévastatrices.  Ce  pays 
éprouve  des  hivers  extrêmement  rigoureux,  qui 
couvrent  la  terre  de  neige,  et  font  geler  les  rivières 
et  les  lacs.  Mais  la  rigueur  de  cette  saison  n'excède 
guère  deux  mois.  La  température  de  l'été,  qui  de- 
vrait être  insupportable  dans  les  gorges,  est  tem- 
pérée parles  brises  qui  sortent  des  montagnes  et  du 
fond  des  bois ,  et  qui  arrivent  chargées  des  odeurs 
aromatiques  des  coteaux. 

Pour  compléter  ces  renseignemens  sur  la  Morée 
et  lieux  voisins,  nous  emprunterons  quelques  dé- 
tails aux  Excursions  en  Grèce  de  M.  Lacour,  ac- 
complies durant  l'occupation  de  la  Morée  par  l'ar- 
mée française  en  1832  et  1833. 

Le  Maïnote,  vagabond  et  impétueux  comme  la 
nuée  qui  roule  le  tonnerre  et  crève  au-dessus  de 
sa  caverneuse  retraite,  ou  comme  le  torrent  qui  se 
gonfle,  écume  et  se  précipite  à  ses  pieds,  se  lève 
avec  les  premiers  rayons  du  jour;  et  déjà,  dit 
M.  Lacour,  ses  regards  affreux,  qui  \oudraient 
percer  les  épais  brouillards  du  matin,  cherchent  à 
distinguer  les  champs  qu'il  a  vus  la  veille  couverts 
des  plus  belles  moissons...  et  son  cœur  bondit  de 
colère!...  Il  découvre  au  loin  de  gras  pâturages  et 
de  nombreux  troupeaux,  et,  par  un  mouvement 
involontaire,  il  porte  violemment  la  main  sur  ses 
armes...  Il  ne  remarque  point  la  distance  qui  le 
sépare  de  leurs  gardiens...  Son  œil  rapide  qui  ie$ 


atteint, 
à  l'insti 
Ente; 
santé;  < 
aussi  ei 
cable,  à 
pond; 

«  VoiL 
c'est  dai 
lui  éten( 
réseaux 
«  Attac 
vils  et  pi 
leurs  fen 
leur  blé, 
«Et,  î 
devant  t( 
la  beauté 
mes,  l'a  < 
l'autel... 
pénétrab 
avait  dan 
elle  te  sa 
gneur  et 
«En  fat 
vincible 
donné  la 
'iien...  pa 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  211 

atteint,  s'il  était  cha*"  de  la  foudre,  les  en  aurait 
à  l'instant  frappés 

Entend- il  des  cris  de  joie?  Sa  lèvre  est  frémis- 
sante; des  vœux  et  des  saintes  prières?...  Et  lui 
aussi  en  a  adressé,  mais  à  une  divinité  impla- 
cable, à  la  vengeance!  Et  le  génie  infernal  lui  ré- 
pond: 

«Voilà  ta  proie,  voilà  ton  bien...  Gomme  1  aigle, 
c'est  dans  les  nues  que  ton  front  s'élève;  comme 
lui  étends  tes  ailes,  et  qu'elles  te  servent  de  vastes 
réseaux  pour  envelopper  plus  sûrement  ta  victime. 

«Attaque,  disperse,  tue  ces  hommes  encore  plus 
vils  et  plus  faibles  que  les  rouets  et  les  fuseaux  de 
leurs  femmes...  Leur  or,  leurs  coursiers,  leur  vin, 
leur  blé,  tout  t'appartient...  tout!... 

«Et,  fier  d'un  plus  grand  trésor,  fais  marcher 
devant  toi  cette  jeune  Messénienne  dont  on  vante 
la  beauté...  Sa  mère,  orgueilleuse  de  tant  de  char- 
mes, l'a  couronnée  de  fleurs  et  doit  la  conduire  à 
l'autel...  Elle  est  à  toi;  qu'elle  oublie  dans  ton  im- 
pénétrable demeure  le  trouble,  l'amour  qu'elle 
avait  dans  le  cœur,  et  qu'au  retour  de  la  lumière 
elle  te  salue,  en  souriant,  du  doux  nom  de  sei- 
gneur et  d'époux  ! 

«Enfant  du  Taygète,  le  sang,  le  pur  sang  de  l'in- 
vincible Spartiate  coule  dans  tes  veines;  je  t'ai 
donné  la  force  et  l'audace,  voilà  ta  proie,  voilà  ton 
bien...  pars  !...  » 


/ 

1.^ 


212  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Cette  sombre  allégorie  semble  être  facilement 
appliquée  par  les  mœurs,  les  habitudes  et  les  fré- 
quentes excursions  des  Maïnotes.  Pour  long-temps 
encore  ils  vivront  dans  l'état  sauvage  et  barbare 
des  premiers  humains;  car  ils  sont  dévorés  de  cette 
cupidité  audacieuse  et  féroce  qui  enseigne  la  ra- 
pine, la  violence  et  le  meurtre;  et  jamais  peut-être 
les  bienfaits  de  la  civilisation  ne  viendront  les 
adoucir  et  les  désarmer. 

Il  est  juste  de  faire  remarquer  que  leur  pen- 
chant au  brigandage  et  à  la  piraterie  résulte  de  la 
sécheresse  et  de  la  pauvreté  de  leur  territoire ,  du 
peu  de  ressources  que  leur  offre  la  culture.  Privés 
de  toutes  les  ressources  qu'apporte  la  constance 
des  efforts  et  de  l'industrie,  il  y  a  souvent  pour 
eux  nécessité  absolue  de  recourir  à  des  moyens 
coupables  pour  se  procurer  les  douceurs  et  les  cora- 
modités  de  la  vie. 

11  est  juste  également  de  dire  que,  lorsque  l'é- 
tranger aborde  loyalement  et  sans  crainte  le  Mai- 
note,  en  réclamant  l'hospitalité  et  sa  protection, 
rarement  il  a  à  se  repentir  de  son  abandon  ;  mais 
si  une  semblable  démarche  est  faite  pour  quelques 
voyageurs  réunis  en  armes,  ses  politesses  sont 
promptement  accompagnées  de  précautions  hos- 
tiles qui  révè'ent  bientôt  sa  méfiance,  son  avarice 
et  ses  inquiétudes.  Il  sert  de  guide,  il  protège  dans 
les  limites  de  son  Pyrgo;  mais  au-delà,  à  moins  de 


sacrifice 
très  on« 
Idiome. 
Les  n 
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parles  I 
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protègent 
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pendant 


DIX-HUITIÈME  SIÈCLE.  2i:{ 

sacrifices  pécuniaires  qu'il  ne  manque  pas  de  rendre 
très  onéreux,  il  vous  souhaite  le  bonjour  dans  son 
idiorae. 

Les  rapines,  l'assassinat,  le  mensonge  et  le  vol, 
quon  érigeait  en  vertus  à  Sparte,  sont  autorisés 
parles  Maïnotes,  pourvu  que  les  désordres  aient 
lieu  en  dehors  des  lieux  qu'ils  habitent.  Les  habi- 
lans  de  cette  contrée  ont  toujours  pour  maxime, 
dit  M.  Pouqueville,  l'adage  du  Spartiate  Lysandre, 
{\\xil  faut  tromper  les  enfans  par  les  jeux,  et  les 
hommes  par  des  sermens.  On  doit ,  comme  l'observe 
avec  raison  M.  Lacour,  plaindre  un  peuple  qui, 
grand  et  terrible  dans  ses  luttes  pour  la  liberté, 
est  condamné,  peut-être  pour  des  siècles  encore»  à 
être  la  terreur  de  ses  voisins. 

M.  Lacour  dit  de  Nauplie,  capitale  de  la  Grèce 
moderne,  que  cette  ville  ne  présente  aucun  intérêt, 
ni  comme  antiquité,  nipoar  ses  édifices  modernes. 
Elle  n'a  du  la  gloire  de  devenir  la  métropole  de  la 
Grèce  qu'aux  deux  forteresses  redoutables  qui  la 
protègent  et  à  l'étendue  de  son  port,  qui  a  pour- 
tant beaucoup  perdu  de  son  antique  célébrité.  Les 
rues  de  Nauplie  sont  étroites,  mal  entretenues,  et 
deviennent  des  cloaques  lorsqu'il  pleut.  Il  y  a  ce- 
pendant quelques  maisons  construites  à  l'euro- 
péenne. 

Comparée  aux  villes  tristes,  noires  et  délabrées 
du  Péloponèse,  Spezzia  parait  up   prodige.  Son 


214  VOYAGES  EN  EUROPE, 

port  est  bon  ;  les  maisons  sont  remarquables  et  of- 
frent un  coup  d'œil  agréable.  Les  Spezziotes  font 
un  grand  commerce.  Leur  marine  est  dans  un  état 
respectable.  '  .     .    -..i  ».s. 

•  Hydra,  vue  de  îa  mer,  est  une  ville  encore  plus 
imposante  que  celle  de  Spezzia  ;  elle  a  beaucoup  de 
ressemblance  avec  Alger,  sous  le  rapport  de  son 
élévation  pyramidale.  Cependant  il  ne  faut  pas 
sortir  de  la  ville,  car  tout  est  rochers ,  saillies,  ra- 
vins et  obstaeks;  on  marche  sur  un  sot  de  fer, 
tandis  qu'Alger  est  sur  le  sol  le  plus  riant  et  le  plus 
fertile  de  l'Afrique. 

Ce  qu'on  doit  le  plus  admirer  dans  cette  ville,, 
c'est  le  sentiment  qui  lui  donna  naissance.  On  ad- 
mire l'énergie  d'un  peuple  qui ,  choisissant  une  lo- 
calité inculte,  d'un  accès  difficile  et  d'une  nature 
sauvage,  osa  appeler  la  misère  au  secours  de  la  li- 
berté; on  assiste,  en  entrant  dans  ces  mur»,  à  la 
renaissance  de  la  Grèce.  Des  rocs  stériles,  pas  une 
source  pour  désaltérer  un  être  vivant,  pas  un 
champ,  pas  un  arbre;  tout  cela  n*a  point  empêché 
Hydra  de  devenir  par  la  liberté  une  ville  riche  et 
florissante,  peuplée  aiijourd'hui  de  seize  mille  ha- 
bitans,  et  qui  pourrait  en  recevoir  cinquante  mille. 
Elle  a  de  belles  églises  dont  l'une  possède  un  lustre 
d'or  massif. 

Rien  ne  répond  mieux  à  l'idée  que  l'on  voudrait 
donne"  d'Athènes ,  que  le  passage  de  Cicéron  cité 


t  of- 

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respectable. 

Hydra,  vue  <!e  !»  rrifi',  est  ui?*'  ^JUe  rricof»»  y»?u« 
imptxsante  que  cellf  <If'  Spez^ils»  ;  e)lp  a  hcaoroup  ^t;- 
ressemblaiiec  avec  Aljîet*,  sous  L*  rapport  de  stv» 
tl*Vc»fitm   pyi-ni/n  ^p^udafit   il   nrf' tant  p.i 

Ur  ^orlfOns,  saillit'H,  r. 

ifi  ■      ■  )»f»  so!    «îrt   f-Vi 

..  1   .■     4^.H<  raui  cl  lu  pin- 

Ce  t^wm  -iju  s*»  |i#m  »r/l&ïinT  dans  cette  viilr 
c'e*t  îe  ^cninnent  qni  lui  donna  )»Hi«*sanc<\  (>ri  :m- 
mire  rnnoqjio  d'un  {)OUple  qui,  choisissant  viw  l. 
CalJté  incnho,  d'un  acc«>s  diPHcilc  ot  d'unt;  natii'^ 
s?nivageV  osa  ap{>»^ler  la  fnist'ff  ««  secours  de  U  U 
hitvté:  on  assiste»  en  entruiit  dans,  ces  tiiiir*,  ii  '; 
renaissance  di*.  l«  (irèn<».  Dm  roon  «tériles,  pasu<  • 
««ifi'fC!»*  f**»r^  '•l^'''^l*éN  ■  .  :  -,  .  vivant,  pas  *•■ 
rli^M  ,  ^  -  louî  cela  ïia  point  cmpé»}, 

fî^iwi  <H^  -V^-^>#iVfiôi?  fe  id>ert«î  «i^     ville  riche  .» 
florisMTjte,  |>4*U|jl*«  ati|ott«Hrhui  de  seiaty?  mille  1* 
bitans,  et  qui  pourrait  nn  r-^j^îcvoir  cinquoin"  tnil! 
Elle  a  de  belles  églises  dont  1  une  possède  un  iusî»^ 
d'or  massii'.  v 

Hien  ne  r*'pond  mieux  à. l'idée  que  i'onvo<idri 
donner  d'Athènes,  que  le  paKsagc  de  Cic'-ron  «:<; 


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\ov.  on    Kiii-opc,  Poiiiiuei)ille,P.  31^. 


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par  M.  r 

dans  cet 
sans  se  r 
et  sans  r 
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(le  préci 

L'Illisî 
à  peu  de 
qui  fut  c 
Ce  torrer 
Callirrhc 


I)I\-H(;ITIÈMK  SifCCLE.  21A 

par  M.  Pouqueviile.  «  Quelque  part  qu'on  marche 
dans  cette  ville  célèbre,  on  ne  peut  y  faire  un  pas 
sans  se  rappeler  le  souvenir  de  ses  (jranUs  hommes, 
et  sans  rencontrer  des  monumcns  de  Thistoire.  Les 
jardins  de  l'Académie  sont  pleins  de  la  suavité  de 
Platon.  La  Tribune  aux  harang^ues  et  le  Pnyx  rap- 
pellent les  plus  célèbres  orateurs  do  la  Grèce.  On 
croit  en  parcourant  les  bords  de  la  mer,  entendre 
la  voix  de  Démosthène  qui  apprenait  à  vaincre  le 
bruit  tumultueux  des  assemblées,  en  surmontant 
celui  des  Hots.  » 

L'étendue  d'Athènes,  d'après  les  traditions  con- 
servées, n'offre  pas  la  quatrième  partie  de  ce  qu'elle 
était  anciennement.  L'Acropole,  comme  citadelle 
et  comme  sanctuaire,  a  de  tout  temps  renfermé  et 
protégé  tout  ce  qu'Athènes  savante ,  riche,  religieuse 
<'t  guerrière  possédait  de  plus  précieux;  et  comme 
modèle  d'architecture,  elle  a  conservé  presque  en- 
tièrement debout  le  Parthénon,  majestueux  édifice 
encore  plein  de  la  divinité  à  laquelle  il  fut  con- 
sacré. La  lanterne  de  Démosthènes  est  aussi  un  mo- 
nument remarquable;  il  est  en  marbre  et  enrichi 
(le  précieux  ornemens.      ■     '  '     '    '    :     ' 

L'illissus  ou  Uyssus  coule,  quand  il  reçoit  de  l'eau, 
à  peu  de  distance  du  temple  de  Jupiter  Olympien, 
qui  fut  construit  dans  la  partie  orientale  d'Athènes. 
Ce  torrent  est  à  sec  huit  mois  de  l'année.  La  fontaine 
Callirrhoé  ne  verse  plus  qu'un  petit  filet  d'eau. 


*     I 


210  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Entrons  maintenant  dans  le  Xix"  siècle ,  dont  les 
trente-cinq  premières  années  ont  produit  un  si 
(rrand  nombre  de  voyages.  I^es  XLIV*  et  XLV 
volumes  de  notre  liibliothèqae  universelle  ont  déjà 
fait  connaître  quelques-uns  de  ces  voyages;  l'es- 
pace nous  manquerait  pour  en  rapporter  ici  d'au- 
tres avec  une  certaine  étendue;  nous  ne  pouvons 
plus  offrir  qu'une  analyse. 


i.'\i>  i 


DIX-NEUVlÉME  SIÈCLE. 


Parmi  les  voyageurs  qui  ont  exploré  diverses 
contrées  de  l'Europe,  au  commencement  du  xix' 
siècle,  on  peut  citer  d'abord  Acerbi,  pour  ses 
explorations  en  Danemark ,  mais  que  nous  ne  de- 
vons point  examiner,  puisque  déjà  nous  avons  eu 
occasion  de  parler  de  ce  pays.  Viennent  ensuite 
Boisjolin,  qui  visita  l'ile  de  Malte,  vers  l'an  1800; 
Echasseriaux ,  qui  parcourut  le  Valais,  en  1806; 
Mangourit,  qui  vit  le  Hanovre  et  Vienne  en  Au- 
triche en  1805;  Saint-Constant,  qui  vit  Londres  en 
1804;  Hooker,  qui  décrivit  l'Islande  en  1809  ;  M.  de 
Laborde,  qui  en  1808  commença  la  publication  de 
son  Foyage  Pittoresque  en  Espagne  ;  et  M.  Marcel 
de  Serres,  qui  en  1809  et  1810,  accomplit  son 
voyage  dans  l'empire  d'Autriche.  La  relation  de 
M.  de  Labordo  ferait  double  emploi  avec  les  dé- 
tails que  nous  avons  précédemment  donnés  siii  !a 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  117 

péninsule  ibérique;  nous  nous  occuperons  donc  de 

.    préférence,  avec  M.  Marcel ,  do  rAutriche,  pays  sur 

lequel  notre  collection  n  a  jusqu'ici  offert  que  quel- 

ques  traits  épars  et  fu{^itlfs. 


I  f 


MARCEL  DE  SERRES. 
(1809-1810.) 

Le  Voyage  en  Autriche  de  M.  Marcel  de  Serres, 
dont  la  publication  fut  long-temps  retardée  par 
leffet  des  circonstances  politiques ,  se  compose  de 
quatre  volumes  in-8".  Nous  n'extrairons  de  cet  ou- 
vrage que  ce  qui  a  rapport  aux  considérations  gé- 
nérales sur  le  pays  et  sur  les  habitans. 

L'Autriche  est,  par  sa  position  géographique  ^ 
dans  les  conditions  les  plus  Favorables  pour  l'ac- 
croissement de  sa  population  et  le  progrès  de  l'a- 
griculture. Sa  superficie  dépasse  trente-cinq  mille 
cinq  cents  lieues  carrées,  dont  la  Hongrie  occupe 
presque  la  moitié ,  la  Gallicie  un  neuvième ,  la 
Bohème  un  dixième,  et  la  Transylvanie  un  onzième. 
Les  autres  provinces  sont  plus  faibles.  La  popula- 
tion de  tout  l'empire  autrichien  dépassait  en  1809 
vingt  millions  d'habitans,  et  elle  approche  aujour- 
d'hui de  trente  millions. 

L'Autriche  est,  après  la  Russie,  une  des  contrées 
de  l'Europe  où  se  trouve  le  plus  de  peuples  dif- 


-*■* 


218  VOYAGES  EN  EIIIIOPE. 

férens.  La  plupart  de  ces  peuples  ou  de  ces  races 
ont  encore  conservé  leur  langage,  leurs  mceurs, 
leurs  habitudes  et  presque  toutes  leurs  coutumes; 
ils  ne  forment  point  un  tout  bien  uni,  parce  que 
leur  agglomération  n'est  pas  encore  très  ancienne. 
On  peut  ranger  ces  peuples  en  huit  classes  prin- 
cipales. 

La  première  classe,  qui  n'est  point  la  plus  nom- 
breuse, ainsi  qu'on  pourrait  le  croire,  se  compose 
d'Allemands.  L'Autriche  proprement  dite  est  la 
seule  province  entièrement  peuplée  d'Allemands; 
cette  nation  est  aussi  très  répandue  dans  la  Styrie 
et  la  Carinthie.  En  Bohème  il  y  a  peu  de  vrais 
Allemands  ;  on  ne  les  trouve  guère  en  masse  que 
dans  les  cantons  des  cercles  qui  avoisinent  la  Saxe, 
la  Silésie  et  la  Bavière.  En  Moravie,  ils  occupent 
les  conlins  de  l'Autriche  et  de  la  Silésie,  ainsi  que 
les  districts  de  Zuaïm  et  de  Briinn.  La  Transyl- 
vanie nourrit  aussi  beaucoup  d'Allemands,  quoi- 
que leur  nombre  soit  bien  inférieur  à  celui  des 
indigènes.  En  Gallicie  on  ne  trouve  guère  d'Alle- 
mands que  dans  quelques  villages. 

La  plus  nombreuse  de  toutes  les  races  qui  ha- 
bitent l'Autriche  est  l'esclavone,  peu  connue  au- 
jourd'hui sous  ce  nom,  à  causede l'immense  étendue 
qu'elle  habite  et  de  la  diversité  du  langage- qu'elle 
parle.  On  doit  regarder  comme  provenant  de  cette 
souche  primitive,  les  Tscheks,  les  Slowaques,  les 


fr' 


DIX-NEUVIEME  SIECLE.  il» 

llaunaques ,  les  Polonais ,  les  Windes ,  les  Croates 
et  les  Rasciens.  Il  est  encore  d'autres  peuples  qui 
tirent  leur  origine  de  la  nation  esclavone,  tels  que 
les  Lusatiéns,  les  Carnioliens,  les  Wippaques,  les 
Tschistsches,  les  Kraschauzes,  les  Morlaques,  les 
Bosniques,  les  Dalraates,  les  Istriens  et  les  Russes: 
mais  ces  derniers  peuples  n'appartenant  pas  à  l'Au- 
triche, il  n'y  a  pas  lieu  de  les  examiner  ici.  Les 
Slowaques  habitent  principalement  la  Moravie.  Les 
Hannaques  y  sont  aussi  en  assez  grand  nombre. 
Les  Polonais  peuplent  la  Gallicie.  Les  Croates,  ori- 
jjinaires  de  la  Bosnie,  habitent  su!*tout  la  Croatie 
et  plusieurs  comtés  de  la  Hongrie. 

Quant  aux  Hongrois,  ils  sont,  après  les  Slaves 
et  les  Allemands,  la  race  la  plus  répandue  dans  la 
monarchie  autrichienne.  Ils  conservent  encore 
beaucoup  de  traces  de  leurs  anciennes  mœurs.  En 
général  ils  sont  peu  instruits  et  peu  portés  au  com- 
merce. Les  Allemands,  au  contraire,  ainsi  que  les 
Esclavons,  aiment  tous  les  genres  de  spéculation , 
comme  le  commerce  de  détail.  La  Hongrie  compte 
aussi  les  Czingares ,  race  encore  nomade  ou  plutôt 
vagabonde,  répandue  également  dans  la  Bukowine, 
la  Gallicie  et  la  Transylvanie.  Il  paraît  que  c'est  à 
tort  qu'on  leur  a  donné  le  nom  de  Bohémiens  et 
d'Egyptiens,  parce  qu'on  a  faussement  supposé 
qails  étaient  les  descendans  des  anciens  vagabonds 
d'Egypte  chassés  au  commencement  du  XVl"  siècle 


220  VOYAGES  EN  EUROPE. 

par  le  sultan  Sélim,   lorsqu'il  eut  conquis  cette 

province. 

Les  Juifs  sont  répandus  en  (j^rand  nombre  dans 
les  diverses  provinces  de  l'empire  autrichien  ,  à 
l'exception  cependant  de  la  Slyrie»  de  la  Carinthie 
et  de  la  Haute-Autriche  :  c'est  en  Bohême ,  en  Mo- 
ravie, en  Hongrie  et  en  Gallicie  qu'on  en  voit  le 
plus.  On  trouve  aussi  en  Moravie  une  petite  co- 
lonie française  que  l'empereur  François  l"  y  avait 
fait  venir  de  la  Lorraine. 

Les  Arméniens  font  également  partie  de  la  popu- 
lation de  l'Autriche;  il  en  existe  plus  de  onze  cents 
familles  dans  la  Transylvanie. 

La  réunion  de  tant  de  peuples  divers  dans 
une  même  monarchie  amène  nécessairement  une 
grande  diversité  dans  le  langage,  les  habitudes  ei 
la  manière  de  se  vêtir.  Rien  n'est  plus  varié  que 
les  costumes  de  ces  différentes  nations,  et  peut-être 
n'est-il  point  de  pays ,  à  l'exception  de  la  Russie ,  où 
l'on  trouve  plus  d'idiomes  différens.  On  y  parle  les 
dialectes  autrichien ,  souabe  et  saxon  de  l'alle- 
mand, ainsi  que  plusieurs  autres  moins  importans; 
l'illyrien,  qui  est  un  mélange  du  slave  avec  le  grec 
et  le  turc,  autant  de  dialectes  slaves  qu'il  y  a  de 
races  de  cette  nation;  le  hongrois,  un  latin  cor- 
rompu, qui  est  fort  usité  parmi  les  nobles  et  les 
bourgeois  de  la  Hongrie;  enfin  une  multitude  de 
patois,  la  plupart  dérivés  de  l'italien. 


Coi 
l'Autr 
élevés 
des  pi; 
la  pen 
à  la  h 
sont  d 
de  feri 
néral  i 
Autricl 
la  Boh( 
excessil 
de  peu 
La  n 
côtés  pa 
atteigne 
cet  emf 
le  ceint 
barrière 
l'Autric 
sphère 
fleuves 
le  Danu 
sur  le  te 
au-desso 
pour  alli 
après  av 
son  cour 


DlX-NEUVIÉME  SIÈCLE.  22t 

Oomme  dans  la  plupart  des  conlrées  de  rEuropc. 
l'Autriche  ne  présente  point  de  plateaux  un  peu 
élevés  et  d'une  certaine  étendue;  on  n'y  voit  que 
des  plaines  assez  basses ,  ou  de  grandes  chaînes  dont 
la  pente  est  presque  toujours  escarpée.  C'est  donc 
à  la  hauteur  et  aux  irrégularités  du  terrain  que 
sont  dues  les  variations  de  la  température  et  le  peu 
de  fertilité  du  sol  dont  le  défrichement  est  en  gé- 
néral très  pénible.  Ainsi  les  vallées  de  la  Haute- 
Autriche,  de  la  Styrie,  de  la  Carinthie,  et  même  di' 
la  Bohême,  éprouvent  alternativement  des  froids 
excessifs  et  des  chaleurs  extrêmes,  mais  à  la  vérité 
de  peu  de  durée. 

La  monarchie  autrichienne  est  hérissée  de  tous 
côtés  par  des  montagnes  nombreuses  dont  plusieurs 
atteignent  une  élévation  considérable.  Cependant 
cet  empire  n'offre  qu'une  seule  grande  chauie  qui 
le  ceint  entièrement  vers  le  nord,  et  y  forme  une 
barrière  insurmontable.  Ces  monts  nombreux  dont 
l'Autriche  est  couverte  attirent  les  eaux  de  l'atmo- 
sphère et  donnent  naissance  à  des  rivières  et  à  des 
fleuves  considéraulcs.  Le  roi  des  fleuves  de  l'Europe, 
le  Danube,  qui  prend  sa  source  dans  la  Forêt-Noire, 
sur  le  territoire  du  royaume  deWurtemberg,  entre 
au-dessous  de  Passau,  sur  le  territoire  de  l'Autriche, 
pour  aller  ensuite  déboucher  dans  la  mer  Noire, 
après  avoir  reçu  quatre-vingt-seize  rivières,  dans 
son  cours,  que  nous  avons  fixé  à  cinq  cent  soixante- 


222  VOYAGES  EN  EUROPE, 

dix  lieues.  Le  second  des  fleuves  de  l'Autriche  est 
l'Elbe,  qui  descend  les  monta^jnes  des  Géans,  entre 
la  Silésie  et  la  Bohéoie,  et  qui  va  déboucher  près 
de  Hambourg,  dans  la  mer  du  Nord.  Il  y  a  aussi  la 
Vistule  et  le  Dniester  ou  Borysthène  qui  descen- 
dent des  monts  Carpathes. 

Jetons  maintenant  un  coup  d'œil  rapide  sur  cha- 
cune des  provinces  autrichiennes  et  sur  leurs  ha- 
bitans.         ;,        i 

Parmi  les  provinces  septentrionales,  la  Hongrie 
est  une  vaste  plaine  sablonneuse,  dont  le  sol  est 
tantôt  d'une  extrême  fertilité,  et  tantôt  de  la  sté- 
rilité la  plus  absolue,  suivant  la  nature  desalluvions 
qui  l'ont  recouverte.  Formée  en  grande  partie ,  dit 
M.  Marcel  de  Serres,  par  des  terrains  de  transport, 
cette  contrée  est  presque  entièrement  composée 
des  sables  et  des  limons  que  le  Danube  et  la  Theiss 
y  ont  apportés:  ce  n'est  que  vers  l'est  et  le  nord 
qu'on  voit  le  niveau  du  terrain  changer  et  le  sol 
s'élever  d'une  manière  bien  sensible.  Ce  que  la 
Hongrie  a  de  plus  particulier  ce  sont  les  vastes  eaux 
salées  qui  recouvrent  une  partie  de  son  territoire. 
La  Hongrie  présente  quelque  ressemblance  avec 
l'Egypte,  en  ce  qu'elle  a,  comme  cette  fameuse 
contrée,  des  plaines  sablonneuses  très  basses  et 
très  étendues,  et  un  fleuve  immense  qui  parcourt 
la  plus  grande  partie  de  sor;  territoire. 

Aucun  peuple  en  Europe  n'a  de  physionomie  plus 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  22;î 

caractérisée  que  le  Floiigrois,  et  ne  tient  autant  ù 
ses  usages  et  à  ses  privilèges.  Bien  qu'une  partie  de 
ce  peuple  soit  encore  retenue  sous  le  joug  féodal , 
il  est  toujours  prêt  à  se  révolter  chaque  fois  qu'on 
essaie  d'ébranler  ses  institutions.  C'est  à  ce  même 
régime  qu'on  doit  attribuer  sa  soumission  et  son 
penchant  à  flatter  les  nobles  et  les  grands  seigneurs. 
Le  Hongrois,  naturellement  fier,  aime  la  guerre  et 
les  aventures  chevaleresques  ;  il  ombrage  ses  lèvres 
par  de  longues  et  noires  moustaches,  qui  donnent 
à  sa  figure  un  air  plus  belliqueux.  En  général,  d'une 
taille  svelte  et  élevée,  il  est  plus  vif  que  spirituel;  il 
a  le  teint  basané  et  les  yeux  d'un  noir  foncé.  Il  parle 
une  langue  particulière  qui  se  rapproche  assez  du 
finois.   Obligé  souvent  de  passer  les  jours  et  les 
nuits  en  plein  air,  sur  un  sol  tantôt   humide  et 
tantôt  couvert  de  bruyères  arides ,  il  se  garantit  du 
froid  et  de  l'humidité  en  se  revêtant  d'une  pelisse 
de  peau  de  mouton ,  sous  laquelle  il  porte  une  che- 
mise et  un  pantalon  d'un  tissu  grossier. 

Ce  que  nous  venons  de  dire  ne  doit  s'entendre 
que  du  peuple;  car,  ainsi  que  partout  ailleurs,  les 
riches  et  les  nobles  se  procurent  toutes  les  aisances 
que  la  fortune  peut  donner.  Le  noble  hongrois  se 
distingue  de  la  classe  du  peupîe  par  le  sabre,  qu'il 
porte  sans  cesse  avec  lui;  il  ne  le  quitte  pas  même 
lorsqu'il  conduit  la  char*  îie  et  qu'il  cultive  de  ses 
niains  le  patrimoine  de  ses  pères.  On  le  voit  éga- 


224  VOYAGES  EN  EUROPE. 

lemcnt  presque  toujours  en  bottes  et  en  pantalon  : 

par  un  goût  aussi  bizarre  que  singulier,  il  en  porte 

souvent  plusieurs ,  afin  d'arrondir  ses  formes  et  de 

donner  à  ses  contours  que'  |ue  chose  de  moins 

prononcé. 

En  Hongrie  on  distingue  aussi  les  Gzingares, 
que  déjà  nous  avons  eu  occasion  de  citer;  peuple 
nomade  et  sauvage,  conservant  depuis  long-temps 
sa  physionomie  et  ses  habitudes;  peuple  fier,  quoi- 
que pauvre,  ne  voulant  jamais  contructer  d'alliance 
avec  aucune  autre  race,  quels  que  soient  les  avan- 
tages qu'ils  pourraient  en  tirer;  peuple  enfin  pré- 
sentant l'image  de  la  saleté  la  plus  dégoûtante,  et 
une  couleur  basanée  de  la  peau  qui  rend  cette  sa- 
leté encore  plus  hideuse.  Généralement  maigres  et 
agiles,  les  Czingares  se  montrent  adroits  dans  tons 
les  exercices  qui  exigent  de  la  force  et  de  la  sou- 
plesse. Leur  physionomie  est  sauvage;  leurs  sour- 
cils arqués,  du  noir  le  plus  foncé,  donnent  à  leurs 
traits  une  rudesse  toute  particulière.  Ils  portent 
leurs  cheveux  très  épais;  et  comme  ils  ont  l'habi- 
tude de  les  dresser  au-dessus  de  leur  front,  leur 
aspect  a  quelque  chose  de  repoussant. 

Si  de  la  Hongrie  on  tourne  ses  regards  à  Test, 
vers  la  Transylvanie,  on  voit  le  sol  s'élever  d'une 
manière  sensible  et  les  montagnes  se  rapprocher 
de  plus  en  plus;  la  Marosh  baigne  une  portion  de 
ce  territoire;  la  partie  élevée  se  couvre  de  forêts, 


DIX-NEUVÏÈME  SIÈCLE.  225 

et  l'ensemble  du  pays  prend  un  aspect  de  plus  en 
plus  imposant.  Les  peuples  qui  habilent  cette  con- 
trée se  ressentent  autant  de  la  nature  sauvage  du 
pays  que  de  leur  origine  :  on  croit  qu'ils  descen- 
dent des  Wallaques.  Voisins  de  la  Turquie,  leurs 
mœurs  se  rapprochent  déjà  beaucoup  de  celles  des 
Turcs.  IViéfians,  vindicatifs  et  paresseux,  ils  n'ont 
de  l'antipathie  que  pour  les  autres  peuples;  ils  igno- 
rent les  arts  les  plus  simples,  et  sont  peu  portés  à 
la  culture  des  terres;  on  peut  les  regarder  comme 
une  des  nations  de  l'Europe  dont  la  civilisation  a 
été  la  plus  retardée.  Sans  activité,  sans  industrie, 
ils  passent  nonchalamment  leur  vie  à  garder  leurs 
troupeaux.  On  les  vo»*  plongés  dans  tous  les  vices 
qu'engendre    l'oisiveté,   contraste    frappant  avec 
l'activité  des  Saxons,   auxquels   \r   commerce  et 
l'industrie  procurent  l'aisance  nécessaire  au  bon- 
heur. 

Versle  même  côté  orientalde  l'Autriche  on  trouve 
la  Buivowine,  dont  le  sol  est  entrecoupé  de  monta- 
gnes assez  étenduci'.  et  d'une  assez  grande  élévation. 
Ces  montagnes,  qui  sont  des  ramifica'ions  des  Car- 
pathes,  forment  les  frontières  naturelles  de  la  Tran- 
sylvanie, sauf  quelques  plaines,  d'ailleurs  fertilisées 
par  des  eaux  abondantes.  Les  habitans  de  cette 
contrée  nous  rappellent  les  mœurs  des  anciens  pa- 
triarches, soit  par  la  sobriété,  soit  par  leur  manière 

de  vivre.  Uniquement  occupés  du  Si.'n  de  leurs 
XLVI.  iS 


226  VOYAGES  EN  EUROPE, 

bestiaux,  ils  mènent  une  vie  purement  nomade,  et 
n'ont  point  en  général  d'habitations  fixes;  sembla- 
bles aux  Tartares,  avec  lesquels  ils  ont  quelque 
analo{;ie,  ils  transportent  leur  demeure  ambulante 
dans  d'autres  contrées  lorsqu'ils  ont  épuisé  les  nk- 
turages  du  canton  où  ils  vivaient.  Il  leur  arrive 
souvent  de  quitter  l'Autriche  pour  passer  dans  la 
Moldavie,  car  tous  les  pays  sont  indiFférens  à  un 
peuple  pasteur;  sa  patrie  se  trouve  partout  où  la 
nature  lui  présente  les  moyens  de  fournir  sans 
peine  aux  légers  besoins  de  son  existence. 

La  Galîicie,  autre  province  orientale  de  l'Autriche, 
nest  guère  qu'une  immense  plaine  sablonneuse, 
située  au  nord  et  au  pied  des  monts  Garpalhes,  qui 
séparent  la  Galîicie  de  la  Hongrie  et  de  la  Transyl- 
vanie. Des  collines  peu  élevées  et  quelquefois  d'une 
assez  grande  fertilité  y  varient  le  sol  à  l'inBni;  mais 
ce  sol  ne  s'améliore  véritablement  que  près  des 
bords  de  la  Vistule;  les  récoltes  sont  très  abon- 
dantes. Les  habitans  de  la  Galîicie  sont  générale- 
ment bergers  ou  agriculteurs.  Vifs  et  spirituels, 
comme  les  Polonais,  avec  lesquels  ils  ne  formaient 
autrefois  qu'un  même  corps  de  nation ,  ils  sont  une 
des  branches  la  plus  intéressante  de  cette  nation 
slave  si  répandue  en  Europe.  Une  tète  large,  des 
pommettes  très  écartées,  un  nez  retroussé,  des 
lèvres  épaisses,  et  un  corps  robuste  et  fort  les  ca- 
ractérisent. On  trouve  aussi  parmi  eux  les  Gorales^ 


peuple 
lonais. 
Parn 
la  Silés 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  227 

peuple  qui  rappelle  les  Sai mates,  ancêtres  des  Po- 
lonais. 

Parmi  les  provinces  du  nord  de  i  Autriche  figure 
la  Silésie,  séparée  par  dcii  chaînes  élevées  de  la 
Hongrie  et  de  la  Moravie.  Cette  province,  entre- 
coupée de  montagnes,  est  sillonnée  par  des  rivières 
qui  en  fécondent  le  territoire.  Les  habitans  n'of- 
frent rien  de  particulier. 

La  Bohême  est  couverte  d'un  grand  nombre  de 
monts  élevés  qui  hérissent  presque  entièrement  son 
vaste  territoire  ;  c'est  surtout  vers  le  nord  et  à  l'ouest 
que  l'élévation  du  sol  devient  considérable;  presque 
tout  le  royaume  est  borné  dans  cette  direction  par 
les  monts  Sudètes.  Les  habitans  de  la  Bohême  sont 
industrieux  et  ont  beaucoup  de  fabriques;  ils  ex 
ploitcnt  les  mines  et  les  forêts;  mais  peu  encou- 
ragés par  le  gouvernement  et  appesantis  sous  le 
joug  impérial ,  ils  sont  quelque  peu  apathiques  et 
entretiennent  beaucoup  de  mendians  et  de  vaga- 
bonds. 

Parmi  les  provinces  du  centre  de  l'Autriche ,  la 
Moravie  est  une  des  plus  industrieuses  et  des 
plus  fertiles.  Le  terrain  s'y  élève  par  degrés  à 
partir  des  confins  de  la  Basse-Autriche,  et  des 
montagnes  assez  hauter^  en  couvrent  la  partie  la 
plus  septentrionale.  Ces  montagnes  sont  des  ra- 
mifications de  la  chaîne  des  Sudètes  ou  de  celle 
*les  Carpathes.  La  température  change  avec  cette 


:228  VOYAGES  EN  EUROPE, 

élévation  du  sol,  et  la  vigne,  dont  la  verdure  tapisse 
les  rians  coteaux  de  la  Moravie  méridionale,  ne 
prospère  plus  sur  les  collines  élevées  des  cercles 
situés  vers  le  nord.  Ainsi  le  sud  de  cette  province 
est  favorable  à  presque  tous  les  genres  de  culture, 
et  son  sol  varié  offre  Timagc  de  lu  fécondité  de 
celui  de  la  Basse-Autriche.  Cette  bonté  du  sol  con- 
tribue à  raccroissement  de  la  population.  Les  Mo- 
raves  sont  en  général  courageux  et  vifs.  Plus  rusés 
que  les  habitans  de  l'Autriche  proprement  dite,  ils 
ont  également  plus  d'activité.  A  la  vérité,  on  ne 
retrouve  plus  chez  eux  celte  simplicité  de  mœurs 
et  cette  bonhomie  qui  caractérisent  l'Autrichien. 

Si  de  la  Moravie  on  vient  dans  l'Autriche  propre, 
on  trouve  la  vallée  du  Danube,  considérée  comme 
le  jardin  de  l'Allemagne;  elle  réunit  le  sol  le  plus 
fertile  à  l'aspect  le  plus  pittoresque.  Cependant 
quoique  la  haute  et  Basse-Autriche  offrent  un  ta- 
bleau si  riant,  le  peuple  y  est  grave,  sérieux;  et  la 
prodigalité  des  dons  du  sol  le  rend  en  quelque  sorte 
indolent  et  paresseux  :  une  lenteur  extrême  carac- 
térise ses  moindres  actions.  Ces  légers  défauts  sont 
compensés  par  une  grande  loyauté,  une  sincérité 
sans  bornes  et  une  probité  à  toute  épreuve.  Les 
habitans  de  Vienne  conservent  en  partie  ce  carac- 
tère, atténué  seulement  par  les  vices  inséparables 
des  réusions  nombreuses. 

En  ^'éloignant  de  la  Basse-Autriche ,  et  portant 


DIX-NEUVIEME  SIÈCLK.  JW 

ses  regards  vers  le  sud,  on  voit,  dit  M.  Marcel  de 
Serres,  la  nature  prendre  un  caractère  plus  grand 
et  plus  pittoresque.  Des  torrens  impétueux  rem- 
placent les  rivières  au  cours  paisible;  au  lieu  de 
rians  coteaux  et  de  gras  pâturages,  on  ne  voit  plus 
que  des  rochers  souvent  dépouillés  de  verdure  et 
des  forêts  épaisses,  retraite  ordinaire  des  animaux 
farouches.  La  nature  devient  de  plus  en  plus  sauvage 
jusqu'aux  montagnes  du  nord  de  la  Styrie  et  de  la 
Carinthie  ;  des  plaines  de  neiges  couvrent  toutes 
les  hauteurs,  Tif  et  le  sapin  sont  les  seuls  arbres 
qui  élèvent  leurs  troncs  monotones  sur  ces  cimes 
battues  par  les  tempêtes.  Les  habilans  de  ces  con- 
trées, sans  cesse  obligés  de  lutter  contre  un  climat 
rigoureux,  sont  t.'mples,  hospitaliers  et  religieux, 
lis  veulent  être  traités  avec  confiance;  avec  eux 
on  ne  doit  jamais  laisser  rien  percer  dans  son  air 
qui  sente  la  supériorité.  Satisfaits  de  leur  sort  et 
bornés  dans  leurs  désirs ,  par  la  douceur  on  obtient 
tout  d'eux  ;  mais  la  violence  les  révolte,  la  méfiance 
les  indigne  et  paralyse  leurs  bonnes  et  généreuses 
intentions.  Ils  ne  veulent  passer  ni  pour  meilleurs 
ni  pour  plus  mauvais  qu'ils  ne  sont  réellement. 
Leur  langue  est  mâle  et  rude,  et  l'écho  qui  la  répète 
sert  souvent  de  signe  de  ralliement  au  voyageur 
é{»aré  ou  à  l'infortuné  que  la  pente  rapide  des  mon- 
tagnes n'expose  que  trop  à  des  chutes  dangereuses. 
Si  de  la  Styrie  on  avance  plus  au  raidi  vers  l'A- 


230  VOYAGttS  EN  EtHOPE. 

driatique,  le  pays  change  d'aspect  de  luéme  que  lu 
physlononiie  des  peuples,  l^  terre  est  plus  fleurie, 
les  montagnes  ne  vous  entourent  plus;  au  lieu  d'une 
langue  rude  et  dure,  lair  retentit  des  sons  mélo- 
dieux d'un  idiome  plus  doux;  l'hospitalité  des  mon- 
tagnes est  remplacée  par  l'activité  avide  du  com- 
merçant. Ainsi,  l'habitant  de  la  Basse-Styrie  et  de 
la  Carniole ,  comparé  à  celui  de  la  Haute-Styrie  et 
de  la  Carinthie,  présente  autant  de  différence  qu'il 
y  e  1  a  entre  une  plaine  riante  et  les  vallons  toujours 
rétrécis  des  montagnes. 

A  ces  considérations  sur  les  provinces  et  les 
peuples  de  l'empire  autrichien ,  ajoutons  quelques 
mots  sur  les  Allemands  en  général.  Us  ont,  surtout 
en  Autriche,  une  sincérité  et  une  fidélité  à  toute 
épreuve.  Ils  doivent  autant  ces  bonnes  qualités  à 
leurs  institutions  qu'à  la  b3nté  de  leur  cœur.  Leur 
caractère  paisible,  leurs  longs  hivers  où  les  fa- 
milles se  rassemblent  dans  des  pièces  d'une  chaleur 
insupportable,  tout  les  porte  à  des  idées  d'ordre  et 
d'union  dont  ils  ne°se  départent  jamais.  Us  aiment 
le  travail,  ils  ont  un  penchant  naturel  à  réfléchir 
sur  tout,  et  ils  conservent  des  sentimens  très  reli- 
gieux. La  lenteur  qu'ils  mettent  dans  toutes  leurs 
actions  et  rimporta#ice  qu'ils  y  attachent,  contri- 
buent à  perpétuer  ,armi  eux  ces  idées  d'honi:'''teté 
et  d'hospitalité  quils  n'oublient  jamais  soit  envers 
leurs  compatriote»-,  soit  à  l'égard  de  l'étranger  :  la 


DlX-NËUVlÉMË  SIÈCLE.  Ml 

bière  qu'ils  boivent  auprès  de  leurs  poêles  énorn[)es, 
en  fumant  leurs  pipes,  contribue  pour  beaucoup 
à  diminuer  leur  activité  et  à  les  rendre  lourds.  Les 
Allemands  sont  très  révérentieux,  et  tiennent  beau- 
coup aux  titres  de  noblesse.  Ils  aiment  aussi  la  mu- 
sique, et  sont  eux-mêmes  bons  musiciens.  Ils  se 
distinguent  dans  les  arts  mécaniques,  dans  les 
sciences,  et  surtout  dans  les  ouvra^js  d'érudition. 
En  résumé,  les  Allemands  sont  (généralement  sé- 
rieux et  g;raves  :  leur  gaité ,  lorsqu'ils  en  ont,  ce  qui 
du  reste  n'est  pas  commun ,  tient  plutôt  au  carac- 
tère qu'à  la  tournure  de  leur  esprit  :  ils  sont  gais 
comme  ils  sont  honnêtes,  pour  la  satisfaction  de 
leur  propre  conscience,  et  souvent  aussi ,  comme 
le  remarque  M.  Marcel,  dont  nous  empruntons  les 
paroles,  par  une  suite  de  la  paix  de  l'àme,  partage 
des  êtres  bons  et  simples.  Les  saillies  leur  sont 
presque  inconnues,  soit  que  leur  esprit  s'y  refuse, 
soit  que  leur  langue  s'y  prête  ]j>l'u.  En  France,  les 
bons  mots  sont,  pour  ainsi  due,  une  chose  vulgaire; 
en  Allemagne,  on  n'aninw  i^tuuais  la  conversation: 
aussi  y  est-elle  bien  moitis  agréable  qu'en  France; 
n'y  roulant  jamais  S4»r  des  matières  aussi  variées. 
Les  Allemands  disserteiit  plus  qu'ils  ne  causent.  Ils 
portent  dans  la  conversation  la  science  qui  est  bonne 
dans  les  livres,  «rtant  aussi  t3ut  le  contraire  de  ces 
Français  qui  Biettent  souvent  dans  leurs  livres  ce 
qui  convient  au  plus  à  la  conversation.  C'est  à  ce 


231  VOYAGES  EN  EUROPE. 

déFaut  de  tact  qu'il  faut  attribuer  la  monotonie  qui 
disparait  dans  la  familiarité  de  leur  intérieur.  Lors- 
qu'on est  assez  heureux  pour  être  admis  dans  l'in- 
timité des  familles,  on  y  trouve  un  charme  que 
l'étranger  ne  peut  jamais  éprouver,  parce  qu'il  ne 
voit  les  Allemands  que  dans  des  circonstances  où 
leur  timidité  naturelle  et  leur  respect  pour  les  usages 
paralysent  la  plus  grande  partie  de  leurs  moyens. 
En  les  voyant  dans  l'intimité,  on  peut  apprécier 
toute  la  bonté  de  leur  cœur  ainsi  que  l'étendue  de 
leur  instruction.  Dans  le  monde  les  Allemands  pa- 
raîtront ennuyeux,  parce  que  leur  esprit  a  besoin 
d'être  tout-à-Faità  son  aise  pour  prendre  son  essor, 
et  qu'ils  manquent  généralement  de  ces  grâces  et 
de  ce  vernis  de  politesse  qui  nous  trompent  sou- 
vent en  France  sur  le  mérite  des  individus. 

Quant  aux  femmes,  elles  ont  en  Allemagne  peut- 
être  plus  d'esprit  que  les  hommes;  leur  lact  et  leur 
délicatesse  les  met,  comme  partout  ailleurs,  bientôt 
d'accord  avec  les  mœurs  de  l'étranger.  Générale- 
ment elles  ont  plus  d'imagination  que  de  véritable 
passion,  et  plus  d'abandon  que  de  sentiment.  Beau- 
coup plus  libres  qu'en  France  jusqu'au  moment  où 
elles  se  marient,  elles  se  livrent  aussi  plus  facile- 
ment aux  impressions  qu'elles  éprouvent.  L'amour 
leur  paraît  une  vertu;  en  France  il  n'est  jamais 
qu'une  faiblesse.  A  la  vérité,  elles  n'excusent  qu'une 
seule  passion;  toutes  celles  qui  suivent  un  premier 


DIX-NEUVIÈMK  SIÈCLE.  233 

sentiment  ne  sont  pour  elles  qu'un  caprice  coupable 
ou  le  fruit  d'une  imagination  pervertie.  Cette  ma- 
nière d'envisager  l'amour  rend  les  femmes  alle- 
mandes capables  de  bien  des  sacrifices  pour  l'objet 
qui  a  su  les  charmer,  et  elles  s'abandonnent  rarement 
au  désespoir.  Elles  ne  peuvent  dans  la  simplicité  de 
leur  cœur  croire  qu'un  homme  d'honneur  puisse 
feindre  des  sentimens  qu'il  n'éprouve  pas,  et  qu'il 
se  fasse  un  jeu  de  la  plus  noble  de  nos  affections. 

Dans  leur  intérieur,  et  une  fois  mariées,  les 
femmes  allemandes  deviennent  d'excellentes  mères 
de  famille.  Elles  gagnent  aisément  le  cœur  de  leur 
époux  par  la  manière  dont  elles  remplissent  leurs 
devoirs,  surtout  les  Autrichiennes,  qui  ont  peut- 
être  moins  d'imagination  et  plus  de  mœurs  que  les 
Allemandes  en  général.  Dans  la  société  les  Alle- 
mandes sont  aussi  fort  agréables,  quoique  moins 
spirituelles  que  les  Françaises. 

Sous  le  rapport  des  religions,  l'empire  d'Autriche 
en  compte  un  assez  grand  nombre,  et  cette  diver- 
sité de  sectes  influe  nécessairement  sur  l'esprit 
comme  sur  les  mœurs  des  habitans.  On  peut  faire 
à  cet  égard  une  observation  générale.  Les  peuples 
qui  habitent  le  sud  de  l'Allemagne  ont  une  imagi- 
nation plus  calme  et  moins  prompte  à  s'exalter  que 
les  peuples  du  nord  de  celte  contrée.  Aussi  voit-on 
que  l'esprit  de  cette  secte  y  est  beaucoup  plus  rare, 
et  par  conséquent  les  disputes  religieuses  moins 


234  VOYAGES  EN  EUROPE, 

communes.  La  seule  province  de  TAutriche  où  ron 
ait  vu  des  guerres  de  religion  est  en  Bohême.  Voi- 
sine de  la  Saxe ,  du  nord  de  la  Baviè  "e  et  de  la 
Prusse,  cette  province  semble  avoir  reçu  l'impul- 
sion des  habitans  de  ces  divers  royaumes;  comme 
ces  peuples,  les  habitans  de  la  Bohême  se  sont  laissé 
entraîner  dans  des  disputes  interminables  sur  des 
matières  de  controverse,  qui  ont  donné  lieu  à  des 
guerres  d'autant  plus  terribles  qu'elles  avaient 
armé  des  citoyens  contre  des  citoyens.  Telles  ont 
été  les  fameuses  disputes  excitées  par  Jean  Huss  et 
Jérôme  de  Prague ,  qu'on  peut  considérer  comme 
les  précurseurs  de  la  réformation ,  de  cette  liberté 
de  penser  qui  plus  tard  a  fait  tant  de  progrès  dans 
le  nord  de  l'Allemagne. 

Les  autres  provinces  ont  évité  les  malheurs  de  la 
Bohême ,  soit  par  une  suite  du  caractère  des  habi- 
tans, soit  à  cause  de  la  protection  modérée  que  les 
princes  d'Autriche  ont  donnée  à  la  religion  qu'ils 
voulaient  rendre  dominante.  De  cette  manière,  les 
princes  de  cet  empire  ont  évité  les  malheurs  causés 
par  le  fanatisme,  malheurs  d'autant  plus  déplo- 
rables qu'ils  ont  porté  un  grand  nombre  d'hommes 
à  regarder  la  religion  comme  une  superstition  mas- 
quée. Mais  des  exemples  aussi  illustres  que  réeens 
ont  prouvé  aux  hommes  les  plus  aveuglés,  que  la 
religion  était  aussi  nécessaire  à  la  prospérité  des  em- 
pires qu'au  bonheur  de  l'homme  isolé.  En  effet,  ainsi 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  235 

que  Fa  fort  bien  exprimé  un  des  grands  orateurs 
du  siècle,  la  religion  peut  seule  raffermir  la  gran- 
deur naissante,  et  consoler  la  grandeur  qui  n'est 
pas. 

Il  serait  intéressant  de  connaître  la  différence 
qui  existe  entre  l'Allemagne  protestante  et  TAlle- 
magne  catholique;  on  peut  dire  seulement  que 
toutes  les  branches  de  l'industrie  ont  fait  générale- 
ment plus  de  progrès  dans  le  nord  de  l'Allemagne 
que  dans  la  partie  qui  est  restée  catholique.  L'agri- 
culture est  plus  avancée  dans  le  sud  que  dans  le 
nord.  Il  est  vrai  que  la  nature  du  sol  y  entre  pour 
beaucoup.  Les  habitans  du  nord  de  l'Allemagne,  vi- 
vant sous  -an  t  »  rigoureux  et  sur  un  sol  peu  pro- 
ductif, ont  d  L  ■;'  .igénier  pour  découvrir  les  moyens 
de  s'assurer  une  subsistance  que  leur  refusait  une 
terre  ingrate.  C'est  en  effet  du  nord  de  l'Allemagne 
que  sont  sorties  toutes  les  découvertes  qui  prou- 
vent l'esprit  inventif  des  Allemands:  Kepler  et  Leib- 
nitz  virent  le  jour  dans  le  nord  de  l'Allemagne.  Les 
littérateurs  et  les  savans  du  nord  surpassent  en- 
core aujourd'hui  en  réputation  ceux  du  midi. 

La  religion  catholique  romaine  est  à  la  fois  en 
Autriche  la  religion  du  souverain  et  de  l'État.  La 
plus  grande  partie  des  habitans  de  l'Autriche  pro- 
fessent cette  religion.  C'est  probablement  le  grand 
nombre  de  catholiques  qui  a  porté  pendant  long- 
temps les  empereurs  à  ne  tolérer  que  cette  croyance. 


236  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Cependant  Joseph  II,  voulant  laisser  les  opinions 
religieuses  entièrement  libres,  rendit  un  édit  de 
tolérance  pour  toutes  les  religions.  Depuis  lors,  les 
différentes  sectes  chrétiennes,  le  judaïsme  et  même 
le  mi)    )métisrae,  y  sont,  tolérés. 

L'archevêque  de  Vienne  est  le  chef  du  clergé  civil 
catholique  de  l'Autriche,  tout  comme  celui  de  Saint- 
Polten  se  trouve  à  la  tête  du  clergé  militaire.  Ce 
dernier  a  seul  le  droit  de  présenter  à  la  nomination 
de  l'empereur  les  sujets  propres  à  remplir  les  places 
ecclésiastiques  et  militaires,  comme  celles  des  au- 
môniers des  régimens  et  des  villes  fortes.  Les  ar- 
chevêques (erzbischof)  et  les  évêques  (bischof) 
des  différens  sièges  de  l'empire  sont  tous  présidens 
du  chapitre  métropolitain.  Lorsqu'un  évêque  ou 
archevêque  vient  de  mourir,  le  chapitre  a  le  droit 
ilt;  proposer  à  la  nomination  de  l'empereur  un  de 
ses  membres  pour  remplacer  celui  qui  n'est  plus. 
L'empereur  approuve  ou  annule  cette  nomination, 
sans  qu'il  soit  nécessaire  que  le  pape  intervienne 
en  aucune  manière. 

La  population  autrichienne  compte  à  peu  près 
les  deux  tiers  de  catholiques.  Les  protestans  sont 
très  répandus  vers  les  frontières  de  la  Saxe.  Il  y  a 
beaucoup  d'habitans  qui  suivent  le  rite  grec  dans 
la  Hongrie,  laGallicie,  la  Croatie  et  la  Transylvanie. 
Le  nombre  des  luthériens  est  généralement  moins 
considérable  que  celui  des  réformés.  En  Bohème, 


DLX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  237 

les  calvinistes  surpassent  de  beaucoup  le  nombre 
des  luthériens.  £n  Moravie,  il  existe  ce  qu'on  ap- 
pelle les  Frères  Moraves,  dont  le  premier  établisse- 
men    date  de  l'année  1457. 

Les  établissemens  des  Frères  Moraves  sont  en 
quelque  sorte  les  couvens  des  protestansv  Leur  culte 
est  un  mélange  de  protestantisme  et  de  luthéria- 
nisme.  Leurs  associations,  très  libérales,  ne  sont 
gênée  '  par  aucune  espèce  de  vœu  ;  tout  y  est  volon- 
taire, cl  tout  cependant  est  en  commun.  Les  hom- 
mes et  les  femmes  n'y  sont  pas  plus  séparés  que 
dans  nos  villes ,  et  le  mariage  n'y  est  nullement  in- 
terdit. Cette  association,  dit  M.  Marcel  de  Serres, 
présente  cela  de  particulier,  que  le  travail  de  cha- 
que individu  qui  la  compose  ne  lui  appartient  point, 
mais  bien  à  la  communauté.  La  communauté  pro- 
fite de  l'industrie  et  des  talens  de  chacun  de  ses 
membres,  en  leur  donnant  un  traitement  propor- 
tionné à  leur  degré  de  mérite.  Long-temps  ils  ont 
mangé  en  commun;  mais  cette  coutume  s'est  perdue 
en  grande  partie,  à  mesure  qu'ils  se  sont  étendus. 
Aujourd'hui,  on  voit  dans  ditierens  Etats  de  l'Alle- 
magne, principalement  en  Moravie,  en  Saxe  et  en 
Prusse,  des  villriges  entiers  peuplés  uniquement 
par  des  Frères  Moraves.  Tous  ces  villages  se  distin- 
guent par  une  grande  propreté,  ainsi  que  par  l'ordre 
et  l'union  qui  régnent  entre  tous  les  habitans.  Us 
sont  en  général  si  paisibles,  et  tout  s'y  passe  avec 


238  VOYAGES  EN  EUROPE, 

tant  de  silence,  que  Ton  serait  tenté  de  les  croire 
déserts  et  abandonnés.  Ces  communautés  sont  diri- 
gées par  des  tieillards.  ' 

Les  deux  sexes  vivent  séparés  jusqu'au  moment 
du  mariage.  Avant  cette  époque,  les  hommes  et  les 
femmes  ht  ent  en  commun ,  chacun  de  leur  côté. 
Dansce&'  ^.andes  réunions,  on  a  cherché  à  établir 
une  égalité  parfaite;  jusqu'à  présent  on  y  a  réussi. 
Quant  aux  dogmes  des  hernhutes,  ils  se  rappro- 
chent beaucoup  de  ceux  de  la  confession  d'Augs- 
bourg  et  de  la  doctrine  de  Luther.  On  peut  dire 
que  la  société  entière  est  ecclésiastique  :  tout  s'y 
fait  du  moins  au  nom  de  la  religion ,  et  uniquement 
pour  elle.  Une  autorité  invincible  semble  régir  cette 
église  qui  n'a  point  de  prêtre.  Le  vieillard  le  plus 
respectable  de  la  communauté  exerce  les  fonctions 
du  sacerdoce;  et  lorsqu'il  juge  qu'un  homme  mérite 
mieux  que  lui  d'en  remplir  les  devoirs ,  il  le  prie 
au  nom  de  ses  frères  de  leur  parler  de  Dieu.  Lors- 
qu'on se  trouve  pour  la  première  fois  au  milieu  des 
Frères  Moraves,  on  se  croirait  transporté  aux  pre- 
miers temps  de  l'Eglise  chrétienne  ;  leurs  mœurs 
sont  si  pures  et  leur  genre  de  vie  si  austère,  qu'on 
les  prendrait  tous  pour  autant  de  pieux  solitaires. 
Une  douceur  sans  égale  et  une  bonté  inaltérable 
les  caractérisent,  et,  ce  qui  n'est  pas  moins  extraor- 
dinaire, tous  à  peu  près  au  même  degré. 

On  voit  encore  en  Autriche  un  assez  grand  nombre 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  230 

de  sectes  différentes  :  ainsi  en  Transylvanie  il  existe 
plus  de  quarante-cinq  mille  unitaires  ou  sociniens. 
Ces  unitaires  y  jouissent  des  mêmes  prérojjativcs 
que  les  catholiques  ou  que  les  protestans.  La  plu- 
part sont  Hon£[rois  ou  Szeklers. 

Quant  aux  juifs,  ils  ne  sont  pas  en  Autriche  aussi 
nombreux  qu'on  pourrait  le  croire;  il  ne  s'y  en 
trouve  guère  plus  de  trois  cent  mille,  qui  sont 
principalement  répandus  en  Hongrie  et  en  Gallicie. 

L'instruction  publique  est  assez  avancée  en  Au- 
triche. Les  établissemens  destinés  à  l'éducation,  in- 
dépendamment des  écoles  primaires,  sont  connus 
sous  le  nom  de  Gymnases  et  de  Lycées.  Les  gym- 
nases existent  dans  la  plupart  des  villes  et  ressem- 
blent beaucoup  à  nos  collèges.  Les  lycées  tiennent 
à  la  fois  à  l'éducation  et  à  l'institution  spéciale;  on 
n'en  voit  que  dans  les  villes  où  il  n'y  a  point  d'uni- 
versité. Les  universités  sont  des  établissemens  spé- 
ciaux pour  les  hautes  études.  Celle  de  Prague  est 
très  ancienne.  Les  élèves  de  ces  universités  jouis- 
sent d'une  grande  liberté  dans  le  choix  de  leurs 
études  et  dans  les  actes  de  leur  vie. 

Nous  ne  suivrons  pas  plus  loin  M.  Marcel  de 
Serres  dans  ses  excellentes  descriptions  de  l'empire 
d'Autriche  ;  il  a  suffi  à  notre  plan  d'avoir  fait  con- 
naître les  principaux  traits  de  son  ouvrage,  notam- 
ment ceux  qui  avaient  rapport  aux  mœurs  et  cou- 
tumes des  habitans.  Nous  allons  maintenant,  et  sans 


V 


240  VOYAGES  EN  EUROPE, 

quitter  pour  ainsi  dire  le  vaste  territoire  de  lempe- 
rcur  germanique  >  faire  une  excursion  vers  les 
limites  orientales,  au-delà  de  la  Croatie  et  de  la 
Dalmatie;  nous  débarquerons  aux  bouches  du 
Cattaro,  pour  de  là  pénétrer  avec  le  colonel  Vialla 
dans  le  pays  des  MonLCnégrinSi 


V  VIALLA. 

(1810.) 

Lorsque  les  Français ,  poussés  par  le  génie  con- 
quérant de  Napoléon ,  s'avancèrent  jusqu'aux  portes 
de  Castel-Nuovo  en  Illyrie,  et  de  là  aux  bouches  du 
Cattaro,  on  entendit  parler  pour  la  première  fois 
du  peuple  Monténégrin,  qui,  vers  la  tin  de  1806, 
était  descendu  en  masse  de  ses  montagnes,  à  la  voix 
révérée  de  Wladika,  ou  prince-évéque  du  pays,  et 
que  l'empereur  de  Russie  avait  attaché  à  sa  cause. 
A  l'approche  des  colonnes  françaises  vers  Castel- 
Nuovo,  dix  mille  Monténégrins,  joints  aux  troupes 
qui  débarquèrent  sur  la  rive  de  laSaturina  (torrent 
qui  séparait  alors  l'Etat  de  Raguse  des  possessions 
turques),  tombèrent  inopinément  sur  notre  armée 
et  la  forcèrent  à  la  retraite  jusqu'à  Raguse,  où  elle 
se  rallia  et  repoussa  l'ennemi.  Les  Monténégrins 
dispersés  regagnèrent  leurs  montagnes,  et  les  Russes 
se  rembarquèrent  précipitamment.  C'est  alors  que 
le  colonel  Vialla  se  mit  en  route  avec  un  soldat 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  241 

pour  pénêlrcr  au  milieu  de  ces  nionta{Tnards,  qui 
l'accueillirent  avec  empressement  comme  un  en- 
voyé du  grand  Napoléon. 

La  partie  du  territoire  occupée  par  les  Monté- 
négrins est  cette  haute  chaîne  de  montagnes  qui 
s'élendent  depuis  la  vallée  de  Garba,  le  long  de 
l'Herzegowine,  jusqu'aux  confins  du  district  de 
Castel-Nuovo  du  nord  au  sud ,  et  sur  toute  la  pro- 
vince de  Cattaro  de  l'est  à  l'ouest.  Le  Monténégro 
tire  son  nom  de  sa  situation  et  de  son  aspect  même. 
Ses  masses  énormes,  autrefois  couvertes  de  sapins, 
paraissent  noires  de  tous  les  côtés  et  sous  tous  les 
points;  cetteteinte,  d'autant  plus  sensible  qu'il  était 
tombé  une  assez  grande  quantité  de  neige,  au- 
dessus  de  laquelle  s'élevait  leur  cime,  a  dii  détermi- 
ner sa  dénomination  chez  un  peuple  guidé  par  la 
seule  nature;  on  l'appelait  en  langue  illyrienne 
Czernogoreou  Czernogora,  mont  noir  ou  montagne 
noire:  on  devrait  dire  Monte-Nero,  mais  comme 
les  Vénitiens  en  s'emparant  du  pays  traduisirent  le 
nom  illyrien  dans  leur  dialecte,  on  a  dit  Monté- 
négro. 

Ce  pays  est  situé  entre  le  36®  et  le  37®  degré  de 
longitude ,  et  les  42"  et  43®  degrés  de  latitude.  Il  est 
borné  à  l'est  par  le  cadalik  d'Ântivari  et  la  Zanîe 
supérieure;  au  midi,  par  les  bouches  du  Cattaro, 
depuis  le  Pastrowichio  jusqu'à  la  province  de  l'Her- 
zegowine; à  l'ouest,  par  l'Herzegowine,  comprise 

XLV!.  16 


242  VOYAGES  EN  EUROPE, 

au  viziriat  Bosniatc,  et  par  les  montagnes  supé- 
rieures de  l'Albanie  propre  :  il  est  par  conséquent 
environné  de  trois  côtés  par  le  territoire  turc,  et 
du  quatrième  par  TAIbanie  cx-véniiienne. 

Quelques  rivières»  prennent  leurs  sources  dans 
cette  contrée,  partout  entrecoupée  de  montagnes, 
et  d'une  situation  à  peu  près  semblable  à  celle  des 
Alpes,  mais  en  général  d'un  style  plus  sévère.  Le 
climat  est  bien  plus  doux  que  celui  de  la  Suisse,  et 
peut  se  comparer  à  celui  de  la  Macédoine.  Le  Mon- 
ténégro est  le  seul  pays  de  l'Europe  où  l'on  ne  voit 
aucune  ville,  ni  même  aucun  assemblage  d'habi- 
tations qu'on  puisse  y  comparer.  Les  abords  de  ce 
pays  sont  partout  difHciles  et  périlleux;  aucun  che- 
min tracé  n'y  conduit.  11  faut  gravir  plusieurs  gra- 
dins en  amphithéâtre  en  allant  de  cavités  en  cavités 
et  en  se  cramponnant  aux  rocher^.  Une  fois  sur  la 
hauteur,  on  a  un  plateau  assez  étendu  de  terres  à 
bruyères  où  paissent  de  nombreux  troupeaux.  Le 
pic  majestueux  du  Montecœlo  se  perd  dans  les 
nuages  et  se  montre  couvert  d'une  neige  éternelle. 

Les  maisons  djs  Monténégrins  sont  isolées  et 
construites  grossièrement  de  branchages  et  de  terre. 
Elles  sont  couvertes  d'écorces  d'arbres,  lesquelles 
ont  de  vingt-cinq  à  trente  pieds  de  long,  et  quatre 
à  cinq  pouces  de  large.  On  pose  les  écorces  dans 
leur  longueur,  sur  le  cintre,  d'où  elles  s'inclinent 
des  deux  côf.és  sur  les  murs;  et,  placées  l'une  à  côté 


de  l'auti 
des  tuil 
De  très 
à  des  ba 
»ure ,  afi 
sons  n'o! 
loyer  est 
en  comn 
Gnégui 
verneur, 
considéra 
ordre  offi 
Pt  grande 
monts ,  et 
iefiet  le 
proche.  L 
mer  qu'ur 
unes  des  ; 
dins;  néan 
lables,  où 
pays.  C'est 
Les  mai 
•^'age,  sont 
"ière,  en  ti 
'Je  soin;  e 
flisposées 
"^ont  îgnon 
^'•«itecture, 


DIX-iNEliVlfeMK  8I^:CLK.  243 

(Je  luutre  un  recouvrement  Hlternatil'',  à  la  manière 
des  tuiles,  elles  abritent  parfaitement  la  maison. 
De  très  grosses  pierres  sont  fixées  de  chaque  côté 
ù  des  barres  de  tra\er'-e  qui  contiennent  cette  toi- 
ture, afin  d*ëviter  les  secousses  des  vents.  Ces  mai- 
sons n'ont,  pour  la  plupart,  qu'une  pièce,  dont  le 
loyer  est  nu  milieu  :  les  bétes  et  les  gens  y  habitent 
en  commun.  '• 

Gnégussi,  lieu  de  la  résidence  habituelle  du  gou- 
verneur, présente  le  plus  bel  aspect;  un  terrain 
considérable  au  centre  de  montagnes  du  troisième 
ordre  offre  un  vaste  plan  circulaire;  de  nombreuses 
ot  grandes  habitations  l'environnent  au  pied  des 
monts,  et,  s'y  élevant  en  amphithéâtre,  produisent 
i'efiet  le  plus  agréable.  Cet  effet  disparaît  à  l'ap- 
proche. Les  maisons,  qui  de  loin  semblent  ne  foi*- 
mer  qu'un  cordon  continu,  sont  très  éloignées  les 
unes  des  autres,  et  la  plupart  environnées  de  jar- 
dins; néanmoins  c'est  un  bourg  des  plus  considé- 
rables, où  se  tiennent  de  fréquens  marchés  pour  le 
pays.  C'est  le  siège  de  l'autorité  temporelle. 

Les  maisons,  qui  y  sont  presque  toutes  à  un  seul 
étage,  sont  aussi  toutes  construites  de  la  même  ma- 
nière, en  très  grosses  pierres,  taillées  sans  beaucoup 
(le  soin;  elles  sont  couvertes  de  dalles  brutes  et 
disposées  sans  régularité.  Tout  prouve  que  les  arts 
sont  ignorés  ou  tombés  en  désuétude.  Point  d'ar- 
c'iiilecture,  point  de  règles,  point  d'ordre  dans  la 


244  VOYAGES  EN  ELUOPE. 

construction  de  ces  maisons.  Chacun  y  est  son 
propre  architecte,  et  lorsqu'il  s*agit  d^unc  construc- 
tion de  quelque  importance,  on  a  recours  ù  des 
maçons  étrangers.  Les  couvens,  les  presbytères, 
sont  bien  bâtis;  la  maison  du  gouverneur  et  celles 
de  quelques  notables  sont  de  ce  nombre  ;  aussi  of- 
Frent-elles  un  singulier  contraste  avec  tout  le  reste. 
Nulle  part  ailleurs  que  dans  les  temples,  on  ne 
rencontre  les  traces  de  la  sculpture;  aucun  genre 
de  décor,  ni  à  Tintérieur,  ni  à  l'extérieur  d'aucune 
habitation  particulière;  les  meubles  mêmes  qu'on 
voit  dans  quelques  endroits  sont  très  grossièrement 
travaillés;  et  ceux  qui  réunissent  à  l'utilité  quelques 
formes  agréables  y  sont  apportés  de  La  Fouille,  de 
Trieste,  et  plus  souvent  de  Venise,  par  la  province 
de  Cattaro. 

L'intérieur  dés  maisons  est  couvert  de  nattes  et 
de  tapis  de  lisières.  Le  feu  se  fait  au  milieu  d'une 
pièce  spacieuse;  des  pierres  ou  des  escabelles  de 
gros  bois  sont  placées  autour;  on  s'y  assied  en  rond. 
C'est  là  aussi  que  se  préparent  les  alimens.  Deux 
planches  suspendues  à  des  tringles  de  bois  servent 
h  placer  le  laitage  et  les  viandes.  Les  habits  sont 
accrochés  à  des  chevilles  dans  un  angle.  Quelques 
coffres  portatifs  renferment  ce  que  l'on  a  de  plus 
précieux. 

Les  Monténégrins  ont  pour  chef  civil  le  gouver- 
neur, qui  a  au-dessus  de  lui  le  wladika  ou  prince- 


DIX.NRIJVIKME  SIÈCLE.  215 

évoque.  Celui-ci  prononce  en  dernier  ressort  sur 
les  affaires  (graves.  Cependant  les  homicides  sont 
ordinairement  vengés  par  la  famille  de  la  victime 
sur  celle  de  Taj^rcsseur,  si  on  ne  peut  pas  le  saisir 
lui-même.  •  - 

Leg  habitans  du  Monténégro,'  considérés  en  gé- 
néral, sont  un  assemblage  d'hommes  de  la  plus 
haute  stature  et  des  plus  heureuses  formes,  dans 
les  proportions  de  la  belle  nature.  Aux  traits  du 
visage  les  plus  réguliers  ils  joignent  un  regard  as- 
suré, haut,  superbe  même,  qui,  imprimant  à  leur 
physionomie  un  extérieur  sévère,  semble  au  pre- 
mier coup  d'œil  justiBer  l'opinion  d'une  dureté  de 
cœur  qu'ont  accréditée  les  journaux  sur  de  fausses 
relations;  cette  dureté  n'est  qu'apparente;  ils  ont 
le  port  noble,  la  démarche  libre,  mais  fière,  théâ- 
trale, et  presque  audacieuse.       '• 

Tous  portent  la  moustache;  elle  est  d'obligation , 
et  le  plus  grand  outrage  qu'on  puisse  leur  faire  est 
de  la  toucher  ou  d'en  parler  avec  dédain.  Us  tien- 
nent habituellement  leurs  cheveux  rasés  sur  le 
front  jusqu'à  la  moitié  de  la  tête,  dans  la  directinn 
d'une  oreille  à  l'autre.  «L'homme,  disent-ils,  doit 
montrer  son  front  à  découvert,  s'il  n'a  point  à 
rougir;  et  s'il  a  à  rougir,  il  doit  encore  montrer 
son  front  à  découvert,  pour  se  corriger  par  l'ai- 
guillon de  la  honte.  » 

La  plupart  portent  la  barbe  longue ,  ou  du  moins 


I 


2lfi  VOYAGES  EN  EUROPE. 

se  rasent  fort  rarement.  Jamais  ils  ne  coupent  leurs 

ongles.     .:,.,,.;  ,..  r -ir*,.'.;  ..-.v  <    -,,,.   . ,.  ,    rvA^^-:- 

Ils  sont  remarquables  surtout  par  la  beauté  de 
leurs  jambes.  Aussi  sont- ils  agiles,  propres  à  la 
chasse,  et  en  général  à  tous  les  exercices  du  corps. 
Ils  saluent  de  la  niain  comme  s'ils  avaient  les  ha- 
bitudes du  monde  poli.  Ce  peuple  compte  environ 
cinquante-trois  mille  habitans. 

Les  Monténégrins  sont  tous  d'une  grande  adresse 
dans  le  maniement  de  leurs  armes  :  ils  tirent 
avec  la  plus  grande  justesse  et  à  une  grande  portée. 
On  les  forme  de  bonne  heure  à  l'exercice  de  la 
cible.      I  !  * 

Leurs  habits  sont  d'une  étoffe  très  grossière  d'un 
gris  blanc  ou  d'une  couleur  bleue.  La  casaque  est  à 
manches  larges  et  s'agrafe  sur  la  poitrine.  La  che- 
mise est  sans  collet.  Les  pantalons  peuvent  être 
serrés  ou  flottans  et  amples.  On  porte  pour  souliers 
des  chaussons  de  peau  de  chèvre  d'une  seule  pièce, 
qui  prennent  la  forme  du  pied.  Des  pistolets  sont 
passés  dans  la  ceinture.  Le  fusil  est  en  bandoulière. 
Les  hommes  portent  ordinairement  une  espèce  de 
havre-sac  renfermant  quelques  vivres.  Jamais  aucun 
Monténégrin  ne  fait  un  pas  sans  être  muni  de  toutes 
ses  armes,  et  il  a  toujours  à  la  bouche  une  pipe  à 
long  tube. 

Les  Monténégrines  ont  de  belles  formes,  les  yeux 
grands,  pleins  d'expression,  de  belles  dents,  une 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  247 

physionomie  avenante ,  un  teint  un  peu  basané , 
parce  quelles  sont  assujetties  aux  travaux  des 
champs;  celles  qui  ne  quittent  point  la  maison  sont 
très  fraîches  et  très  blanches.  Toutes  ont  la  poitrine 
large,  et  l'ont  fort  belle.  Leur  abord  est  aisé,  leur 
parler  agréable  et  insinuant;  elles  sont  d'un  naturel 
très  souple,  comme  aussi  d'une  force  extraordi- 
naire. 

Leur  habillement  consiste  en  une  longue  et  large 
tunique  sans  manches,  sur  une  chemise  encore 
plus  longue  à  manches  très  larges  et  brodées  à  la 
grecque.  La  chaussure  est  la  même  que  celle  des 
hommes.  Les  filles  ont  pour  ornement  une  grande 
quantité  de  monnaies  ou  de  médailles,  et  portent 
une  barelte  de  diverses  couleurs. 

La  cérémonie  du  baptême  est  accompagnée  d'une 
multiplicité  d'aspersions  abondantes;  le  pope  à  cet 
égard  ne  fait  point  grâce  d'une  seule  goutte,  et  c'est 
pour  le  nouveau -né  une  véritable  immersion.  En 
plaçant  les  enfans  dans  le  berceau  on  y  met  en 
même  temps  les  attributs  de  leur  sexe.  Pour  les 
garçons  ce  sont  le  fusil,  les  pistolets  et  le  ganzard. 

Les  Monténégrines  pendant  leur  grossesse  n'ob- 
servent aucun  régime  et  n'interrompent  aucune- 
ment leurs  travaux  ni  leurs  voyages.  Elles  se  char- 
gent des  mêmes  fardeaux,  et  accouchent  au  milieu 
des  champs  ou  dans  les  bois,  seules  sans  autre  se- 
cours qu'elles-mêmes,  sans  pousser  le  plus  léger 


248  VOYAGES  EN  EUROPE, 

soupir  ni  faire  entendre  la  moindre  plainte.  Après 
s'être  un  peu  remises,  elles  prennent  l'enfant  dans 
leur  tablier,  le  portent  au  premier  ruisseau  ou  à  la 
plus  proche  fontaine,  le  lavent  et  l'enveloppent 
dans  des  haillons,  pour  le  laisser  à  lui-même  au 
bout  de  quatre  mois  d'allaitement. 

Les  Monténégrins  ont  des  chiens  de  garde  d'une 
grosseur  extraordinaire,  et  qui  font  un  horrible 
vacarme  à  l'aspect  d'un  étranger.  Us  ont  la  forme 
et  la  férocité  du  loup.  Malheur  à  l'homme  qui  les 
aurait  provoqués  :  c'en  serait  fait  de  lui! 

Les  filles  des  Monténégrins  veillent  sur  leur  con- 
duite avec  un  grand  soin  ;  car  si  l'une  d'elles  devient 
enceinte  c'est  une  calamité  non-seulement  pour  la 
famille,  mais  pour  tout  le  pays.  Selon  le  voyageur 
Vialla,  dont  nous  empruntons  le  récit,  on  fait  des 
prières  dans  les  églises,  on  s'en  entretient  partout 
comme  d'une  affaire  d'Etat.  La  malheureuse  victime 
de  sa  faiblesse  ou  de  son  amour  est  impitoyablement 
maltraitée,  souvent  même  exposée  à  la  mort.  Chassée 
de  la  maison  paternelle,  personne  n'oserait  ouver- 
tement lui  offrir  un  asile;  elle  est  obligée  d'aller  se 
cacher  dans  quelque  antre,  où  «Ile  finit  par  mourir 
de  faim,  ou  périt  dévorée  par  les  bêtes  leroccs. 
Quelquefoi  elle  s'expatrie;  il  en  est  aussi  qui,  pour 
ne  pas  survivre  à  leur  honte ,  se  sont  précipitées  des 
plus  hauts  rochers. 

Une  très  belle  fille  de  ce  pays,  connue  sous  le 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  249 

nom  de  Nika,  allait  fréquemment  à  Cattaro,  oà  elle 
avait  contracté  des  liaisons  avec  un  sergent  fran- 
çais; elle  devint  enceinte;  long-temps  elle  cacha 
son  état,  mais  une  sœur  l'ayant  découvert  en  in- 
forma sa  mère;  ces  deux  femmes,  subjuguées  par 
l'opinion,  entraînent  cette  infortunée  dans  les  bois, 
l'attachent  à  un  arbre,  l'éventrent  et  lui  arrachent 
l'enfant  palpitant! 

Heureusement,  dit  M.  Vialla,  ces  scènes  horribles 
sont  très  rares  au  Monténégro,  où  il  y  a  beau- 
coup de  retenue  parmi  les  femmes.  On  y  connaît 
encore  la  timide  retenue  de  l'innocence;  les  bonnes 
mœurs  n'y  sont  pas  en  dérision  ;  aussi  l'opinion  pu- 
blique en  est-elle  la  règle  et  le  prix.  D'ailleurs,  les 
Monténégrines  sont  naturellement  douces  et  d'une 
ingénuité  touchante;  elles  sont  sensibles  et  aiment 
avec  constance;  mais  aussi  sont-elles  très  jalouses 
et  capables  de  se  porter  à  tous  les  excès  pour  ven- 
ger l'humiliation  d'un  abandon  coupable.  En  voici 
un  exemple:  une  jeune  Mor*"  ^grine,  d'une  bonne 
famille,  devint  éprise  d'un  jeune  compatriote;  elle 
céda  au  sentiment  qui  l'entraînait.  L'amant,  après 
avoir  tout  obtenu,  s'éloigna.  L'infortunée,  qui 
voit  approcher  le  terme  de  sa  honte,  le  cherche; 
elle  emploie  tout  pour  déterminer  le  séducteur  à 
l'épouser.  Elle  pleure,  caresse,  menace,  et  toujours 
en  vain.  Enfin,  indignée,  elle  lui  dit  :  «M'épouses- 
tu  ,  oui  ou  non  ?  —  Nous  verrons.  —  Explique-toi  sur 


i 


IBO  VOYAGES  EN  EUROPE, 

l'heure.  —  Eh  bien  !  je  te  le  promets.  —  Quand  ?  — - 
Dans  un  mois.  —  C'est  trop  tard;  tu  sais  mon  état, 
huit  jours  te  suffisent.»  Le  jeune  homme,  croyant 
se  débarrasser  seulement  de  l'importunité  de  sa 
victime,  lui  dit  :  c  Eh  bien  !  dans  huit  jours.  »  Maria 
lui  présente  aussitôt  l'image  de  la  Vierge  :  «Jure, 
dit-elle,  jure -If  ptr"  la  Madone.  »  L'aspect  de  cette 
image  révérée,  par  laquelle  les  Monténégrins  ne 
jurent  pas  vainement,  découvre  l'arrière-pensée  de 
l'infidèle;  il  hésite  :  «  Eh  bien  ?  dit  l'amante  inquiète. 
—  Mais  il  faut...  il  faut...  —  Il  faut  jurer.  —  Je  ne 
puis.  —  Jures-tu?  —  Non.  »  A  ce  mot,  la  jeune  fille 
se  précipite  sur  lui  ;  elle  lui  arrache  son  poi- 
gnard ,  l'en  frappe  au  cœur ,  et  se  perce  elle-même 
le  s^'tn. 

Nous  venons  de  faire  connaître  la  rigidité  de 
raœurs  des  filles  Monténégrines;  indiquons  quelques 
traits  relatifs  à  leur  hyménée. 

Lorsqu'une  jeune  fille  est  recherchée  en  mariage, 
le  père  du  garçon  ou  quelqu'un  des  plus  proches 
parens  se  rend  dans  la  maison  avec  laquelle  il  veut 
foriper  alliance.  On  lui  présente  les  filles,  ci  il 
choisit  celle  qui  lui  plaît,  sans  s'inquiéter  si  elle 
sera  du  goût  de  celui  qui  doit  l'épouser.  Rarement 
il  éprouve  un  refus,  car  en  ce  pays  on  ne  fait  nulle 
attention  à  l'état  ni  à  la  situation  ni  à  la  fortune  de 
l'époux,  et  il  arrive  souvent  qu'un  Monténégrin  ac- 
cord 3  sa  fille  à  son  fermier,  même  à  sou  serviteur. 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  351 

Le  mariage  convenu,  le  futur  est  amené  chez  la 
fiancée;  dès  qu'ils  se  sont  vus  et  qu'ils  ont  témoigné 
le  moindre  désir  réciproque  de  s'unir,  le  mariage 
est  conclu  sans  qu'il  y  ait  besoin  de  contrat,  car  les 
Monténégrins  n'ont  pas  de  notaires,  leur  parole 
suffit,  d'autant  plus  que  la  femme  n  apporte  jamais 
en  dot  qu'un  simple  trousseau.  Le  prêtre  bénit 
l'union,  après  avoir  confessé  la  jeune  fille.  11  y  a 
un  banquet  et  des  réjouissances  qui  durent  quel- 
quefois plusieurs  jouvs,  pendant  lesquelles  l'époux 
ne  peut  approcher  de  sa  femme  que  furtivement; 
on  exige  même  qu'ils  dorment  tous  deux  séparé- 
ment jusqu'à  la  fin  de  la  noce. 

Chez  ce  peuple  une  femme  u'ose  appeler  en 
public  son  mari  par  son  nom ,  la  première  année  du 
mariage;  elle  en  charge  une  autre  personne,  mais 
toujours  sans  le  nommer,  se  servant  de  l'expres- 
sion :  appelle  celui-là.  Elle  s'en  fait  un  scrupule 
^lors  même  qu'elle  est  seule  avec  lui.  De  son  côté 
le  mari  observe  la  même  réserve  à  l'égard  de  sa 
femme. 

Si  une  demande  de  mariage  a  été  rejetée ,  il  ar- 
rive quelquefois  que  le  jeune  homme  refusé  se 
rend  furtivement  avec  quelques  amis  à  la  maison 
de  la  fille,  l'enlève  bon  gré,  malgré,  et  la  conduit 
devant  le  prêtre,  qui  moyennant  un  léger  salaire 
les  unit,  nonobstant  toute  réclamation.  Si  cepen- 
dant un  anneau  nuptial  avait  été  donné  auparavant , 


h1 


252  VOYAGES  EN  ErROPE. 

il  faudrait  le  restituer,  avant  de  pouvoir  contractet 

un  nouvel  engagement.  r    ,.  <• 

Il  existe  encore  parmi  les  Monténégrins  des  al- 
liances ii^.times  ou  fraternités  darmes,  qui  sont 
inviolables.  Ces  alliances  se  font  avec  un  csntuin 
appareil  devant  le  prêtre,  qui  bénit  les  arru  ;;î  p«j. 
sées  en  croix  sur  le  seuil  de  la  porte  Chacnn  des 
deux  amis  y  porte  la  uiain  dcoile,  tandis  que  la 
gauche  touche  le  cœur,  et  dans  cette  attitude  ot)  se 
donne  le  baiser  d'alliance ,  en  jurant  de  vivre  et  de 
mourir  l'un  pour  l'autre.  Après  ce  serment,  les  îleux 
amis  1  ;v;)t  i'^'change  réciproque  de  leurs  armes,  et 
à  la  mor[  de  Tiiin  d\;ux  elles  appartiennent  au  sur- 
vivant. Vn  î  1  pacte  est  rarement  violé ,  il  résiste  à 
toutes  ks  épreuves.  Les  offenses  faites  h  l'un  sont 
communes  à  l'autre. 

Les  Monténégrins  ont  un  grand  respect  pour  les 
moris.  Les  parens  du  défunt  lui  parlent  à  Toreilie, 
pleurent  etlui  donnent  des  commissions  pour  l'autre 
monde,  en  lui  attachant  au  cou  un  morceau  de 
gâteau ,  et  en  lui  mettant  dans  la  main  une  pièce  de 
monnaie,  à  la  manière  des  anciens  Grecs.  Le  corps 
descendu  dans  la  terre,  on  donne  un  grand  repas 
mêlé  de  chants  bachiques  et  de  prières.  Les  hommes 
laissent  croître  leur  barbe  en  signe  de  deuil  ;  les 
femmes  se  couvrent  la  tête  d'un  mouchoir  bleu  ou 
noir  pendant  la  première  année  du  décès,  si  c'est 
un  mari  ou  un  de  leurs  enfans ,  chaque  jour  do  fête 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  253 

elles  vont  pleurer  et  déposer  des  fleurs  sur  sa 
tombe,  en  demandant  à  haute  voix  au  défunt  des 
nouvelles  de  i'autre  monde. 

Nulle  part  là  croyance  aux  revenans,  aux -sor- 
ciers, aux  malins  esprits,  n*est  plus  invétérée  qu'au 
b'ontenegro. Les  fantômes,  les  rêves,  les  prestiges, 
poursuivent  sans  ce^se  leur  imagination;  mais  rien 
n'égale  la  terreur  que  leur  inspirent  les  cadavres 
\^es  individus  frappés  d'excommunication,  et  jetés 
au  hasard  sans  sépulture.  Le  sol  qui  les  a  reçus  est 
une  terre  maudite  à  jamais;  ils  s'en  éloignent  à  une 
grande  distance;  et  si  le  lieu  se  présente  à  leur  sou- 
venir ,  ils  se  croient  poursuivis  par  des  revenans. 
Enfin  ces  hommes ,  qui  affrontent  tous  les  périls , 
ne  révent  que  sorciers  et  esprits  malins;  tous  leurs 
discours  peignent  la  terreur  dont  ils  sont  atteints. 

D'autres  croient  voir  les  ombres  de  leurs  aïeux 
planer  dans  les  nuages  et  sur  leur  tête;  ils  leur 
adressent  la  parole  dans  le  silence  et  les  ténèbres; 
ils  croient  entendre  leur  voix;  ils  conversent  avec 
les  ombres,  leur  donnent  des  commissions  pour 
d'autres  morts;  et,  dans  le  délire  de  leur  imagina- 
tion ,  ils  se  figurent  être  eux-mêmes  en  communi- 
cation ouverte  avec  l'autre  monde. 

En  résumé,  les  Monténégrins  sont  hardis  et  in- 
trépides dans  les  combats  ;  rusés,  irascibles ,  ils  sont 
terribles  dans  leurs  ressentimens.  Ignorans  et  vains, 
ils  sont  superstitieux  dans  leur  religion;  avides  de 


254  VOYAGES  En  EUROPK. 

nouvelles,  ils  sont  d'une  crédulité  stupide.  Ils  sont 
intéressés  dans  les  affaires ,  mais  très  exacts  dans 
leurs  relations  commerciales;  bons  et  hospitaliers 
envers  les  étrangers  qui  réclament  loyalement 
lasile ;  fidèles  à  leur  parole,  constans  en  amitiés; 
pleins  de  piété  envers  leurs  pères  et  mères;  très 
attachés  à  leur  patrie,  et  surtout  jaloux  à  Texcès  de 
leur  indépendance.  Ce  qu'il  y  a  de  plus  honorable- 
ment remarquable  chez  ce  peuple,  c'est  la  pro- 
fonde vénération  qu'il  a  pour  la  vieillesse.  Lorsque 
les  jeunes  gens  aperçoivent  un  vieillard,  ils  pres- 
sent leurs  pas,  s'approchent  respectueusement  de 
lui,  le  baisent  sur  la  poitrine  et  s'inclinent  hum- 
blement. Celui-ci  porte  la  main  étendue  sur  leur 
tête ,  et  les  baise  au  front. 

Chez  les  Monténégrins  la  vengeance  se  trapsmct 
de  père  en  fils,  et  ne  s'éteint  qu'après  une  longue 
série  d'attentats  réciproques,  et  en  la  rachetant 
quelquefois  avec  des  sommes  plus  ou  moins  consi- 
dérables. Alors  une  réconciliation  publique  a  lieu; 
il  y  a  messe  solennelle,  les  deux  familles  y  assisf  ent  ; 
le  kmeti  ou  tribunal  spécial,  composé  de  vingt- 
quatre  vieillards ,  dont  douze  au  choix  de  chaque 
famille,  se  réunit;  le  prêtre  fait  jurer  la  paix  :  le 
coupable  ou  les  coupables  sont  à  genoux;  l'agres- 
seur porte  suspendue  au  coa  l'arme  meurtrière  qui 
fut  l'instrument  dti  dernier  assassinat;  les  dcu.: 
ennemis  se  tendent  réciproquement  les  bras,   se 


DlX-NEUVIÈMË  SIÈCLE.  255 

serrent  Tun  contre  Tautre;  les  assistans  applau' 
dissent,  et  la  réconciliation  est  définitivement  ac- 
complie. 

Traversons  l'Adriatique  et  la  péninsule  italique 
pour  nous  rendre  à  Tile  de  Sardaigne,  et  en  dire 
quelques  mots ,  à  l'aide  du  voyage  de  M.  M imaut. 


MIMVUT. 

(1820.) 

L'île  de  Sardaigne  est  située  dans  la  Méditer- 
ranée, entre  les  5**  et  8"  degrés  de  longitude  est,  et 
les  38"  et  42*"  de  latitude  nord.  Sa  longueur  du  sud 
au  nord  est  d'environ  cent  quatre-vingt-cinq  lieues 
marines,  de  25  au  degré,  et  sa  largeur  moyenne  de 
quatre-vingt-deux  lieues.  Sa  circonférev  'îe  est  d'en- 
viron cinq  cents  lieues  marines.  Elle  a  .'Espagne  à 
l'ouest,  la  France  au  nord-ouest.  Gènes  au  nord, 
la  Toscane  et  Rome  au  nord-est ,  Naples  à  l'est ,  la 
Sicile  et  Malte  au  sud-est,  Tunis  au  sud,  et  Alger 
au  sud-ouest. 

La  mer  qui  sépare  la  Sardaigne  des  côtes  de  la 
Toscane  s'appelle  la  mer  Tyrrhénienne ,  et  celle 
qui  en  baigne  la  partie  occidentale,  la  mer  Sarde. 
On  donne  le  nom  de  Bouches- Bonîfacio  au  détroit 
de  huit  milles  de  large  qui  sépare  cette  île  de  l'île 
de  Corse. 

L'île  de  Sardaigne  est  divisée  en  deux  parties  à 


25(i  V;OYAGES  EN  EUROPE, 

peu  près  égales;  Vune  au  midi  en  face  de  l'Afrique, 
l'autre  au, nord,  8«''parée  de  la  Corse  par  le  détroit 
de  Bonifacio.  La  partie  septentrionale  est  beaucoup 
plus  élevée  que  la  partie  méridionale.  Le  sol  est 
coupé  par  plusieurs  chaînes  de  montagnes,  séparées 
entre  elles  par  des  vallées.  Le  mont  Genargantu  est 
regardé  comme  le  point  culminant  de  toute  Tile; 
mais  ces  diverses  hauteurs  ne  passeraient  ailleurs 
que  pour  des  monticules  ou  des  collines,  ce  qui 
donne  à  la  Sardaigne  un  aspect  moins  sauvage  que 
celui  de  la  Corse,  et  la  fait  paraître  de  loin,  en  .mer, 
comme  une  surface  plane. 

A  très  peu  d'exceptions  près,  le  sol  de  la  Sar- 
daigne est  suffisamment  arrosé,  et  compte  un  assez 
grand  nombre  de  rivières  et  de  ruisseaux  d'eau 
vive.  11  n'est  guère  de  monticule  ou  de  coteau  de 
l'île  qui  n'offre  une  source  d'eau  limpide  et  fraîclie. 
La  plaine  qui  environne  Cagliari,  capitale  de  l'île, 
est  moins  bien  partagée,  à  cause  de  sa  situation 
basse  au  bord  de  la  mer  et  de  la  présence  des 
eaux  saumâtres.  On  compte  sept  rivières  princi- 
,  pales,  dont  le  Tirso  ou  fleuve  d'Oristano  est  le 
plus  considérable. 

La  Sardaigne  jouit  généralement  d'un  climat 
tempéré,  et  la  partie  septentrionale  rappelle  même 
assez  habituellement  celui  des  plus  belles  contrées 
de  l'Italie.  11  est  malheureusement  altéré  et  déna- 
turé par  des  vices  de  localité  ou  par  la  constitution 


DIX-NEUVIÈME  Sl.ÉCLF  267 

physique  du  pays.  Nulle  part  on  ne  voit  des  varia- 
tions de  température  aussi  fréquentes  et  aussi  com- 
plètes. Ces  brusques  transitions  occasionnent  de 
nombreuses  maladies,  dont  la  plus  fréquente  est 
ceWc  quon  nomme  Viritempérie.      j,  ;,      , 

La  Sardaigne  a  néanmoins  beaucoup  de  cente- 
naires ,  ce  qui  prouve  que  la  qualité  de  Tair  et  des 
eaux  n*est  pas  la  seule  cause  qui  ait  arrêté  le  pro- 
grès de  la  population.  Elle  comptait  un  million 
deux  cent  mille  habitans  sous  la  domination  ro- 
maine ,  et  elle  était  tombée  au  tiers  de  ce  nombre 
sous  la  domination  espagnole.  Elle  n'avait  qu'en- 
viron trois  cent  vingt-sept  mille  âmes  en  1720^ 
époque  où  la  maison  de  Savoie  en  prit  possession  ; 
et  aujourd'hui  elle  en  a  environ  quatre  cent  vingt 
raille. 

Cngliari ,  capitale  de  la  Sardaigne ,  est  située  k 
l'extrémité  de  la  partie  méridionale  de  cette  île,  au 
fond  d'un  golfe  qui  porte  son  nom.  L'aspect  de 
cette  ville,  en  venant  de  la  mer  et  à  l'entrée  du 
golfe,  est  imposant;  mais  vue  de  près,  elle  est  gé- 
néralement laide.  Elle  s'élève  en  amphithéâtre  de- 
puis le  port  jusqu'au  sommet  d'une  haute  colline, 
où  se  trouve  placé  un  fort.  La  rade  et  le  port  sont 
mis  au  nombre  des  plus  spacieux  et  des  plus  sûrs 
qui  soient  en  Europe.  Cagliari  a  quelques  beaux 
édifices  et  un  grand  nombre  de  monumens  histo- 
riques. Cette  ville  est  le  principal  lieu  d'iraporta- 
XLVl.  17 


258  VOYAGES  KN  ECHOPE. 

lion  et  d'exporlation  du  commerce  de  la  Sardaig..L>, 

et  ses  liabitans,  dont  le  nombre  dépasse  vin(];t  mille, 

sont  plus  policés  que  ceux  des  autres  parties  de 

l'île. 

Cette  lie  produit  beaucoup  de  grains,  de  vins  et 
de  fruits.  Elle  nourrit  de  beaux  chevaux  et  mou- 
tons, et  fabrique  du  tabac.  Elle  a  quelques  mines 
d'argent  et  de  fer;  mais  sa  véritable  richesse  miné- 
ralogique  est  le  plomb.  Elle  possède  un  grand 
nombre  d'espèces  et  de  variétés  de  marbres.  Au- 
cune des  îles  de  la  Méditerranée  n'est  aussi  riche 
en  quadrupèdes,  et  elle  n'a  pas  une  seule  bétc  fé- 
roce. Outre  les  chevaux  et  les  moulons  que  nou8 
venons  de  citer,  elle  a  des  ânes,  des  bœufs,  des 
vaches,  des  chèvres,  des  cerfs,  des  daims,  des 
sangliers,  et  paraît  posséder  exclusivement  laboc- 
camèle,  espèce  de  martre  intermédiaire  entre  la 
belette  et  l'hermine,  qui  aime  beaucoup  le  miel; 
d'où  lui  est  venu  son  nom  de  boccamèle  ou  bouche 
à  miel.  Nul  animal  ne  s'apprivoise  plus  facilement; 
la  boccamèle  est  de  la  maison  dès  qu'elle  y  entre  ; 
on  la  régale  de  lait  et  de  sucreries.  Elle  a  un  cri  de 
colère  et  de  joie,  et  par  une  espèce  de  gémisse- 
ment, elle  avertit  qu'elle  veut  sortir,  bien  diffé- 
rente de  la  belette,  qui  est  toujours  silencieuse  et 
qui  ne  donne  jamais  de  voix  qu'on  ne  la  frappe. 
Les  enfans  en  élèvent,  et  des  femmes  en  portent 
comme  des  bichons.  La  Sardaigne  est  également 


DlX-NËllVIfilMESlfcCLfc:.  25» 

riche  en  perdrix ,  en  cailles  et  en  grives  ;  mais  c  est 
surtout  par  ses  céréales  qu'elle  est  renommée;  clic 
était  un  des  greniers  de  la  capitale  du  monde. 

Les  Sardes  ont  prouvé  de  laptitudc  pour  les 
sciences,  les  lettres  et  les  arts  ;  mais  ils  sont  (géné- 
ralement insoucians,  paresseux  et  légers; ils  aiment 
le  luxe  et  les  fêtes;  ils  sont  doux,  pacifiques  et 
hospitaliers.  Leur  indifférence  pour  le  travail  est 
un  effet  naturel  de  la  chaleurs  du  climat  et  de  la 
fertilité  du  sol.  Dans  la  vie  ordinaire  ils  sont  d'une 
rare  sobriété.  Ils  sont  extrêmement  difficiles  sur  la 
qualité  du  pain ,  qu'ils  veulent  excellent  et  d'une 
blancheur  éclatante.  La  jalousie  est  une  des  causes 
(les  nombreux  assassinats  qui  se  commettent  dans 
cette  île;  le  moindre  attentat  k  l'honneur  des  femmes 
et  des  filles  est  à  l'instant  vengé,  surtout  dans  les 
villages  et  dans  l'intérieur  des  montagnes  :  c'est 
là  que  les  femmes  se  cachent  encore  quand  vien- 
nent des  étrangers;  elles  ne  se  mettent  point  à 
table  avec  eux.  Les  montagnards  sardes  portent  la 
pelisse. 

De  l'île  de  Sardaigne  repassons  sur  le  continent , 
et  donnons  un  rapide  aperçu  de  l'Italie,  tel  que 
nous  l'avons  retracé  nous-méme  en  1821. 


2G0  VOYAGES  EN  EUROPE. 

ALBERT-MONTÉMONT. 

(1821.) 

Dans  notre  Voyage  aux  Alpes  et  en  Italie  *,  nous 
nous  sommes  appliqué  à  faire  surtout  connaître  les 
principales  villes  de  Tltalie  supérieure  et  les  prin- 
cipales routes  des  Alpes.  Aucun  pays  n  a  été,  peut- 
être,  plus  souvent  visité  et  décrit;  chaque  année 
une  multitude  de  touristes  anglais  le  parcourent 
dans  toutes  les  directions.  L'Italie,  paradis  des  sens, 
est  encore  aujourd'hui  la  terre  classique  des  beaux- 
arts,  et  la  France  y  envoie  ses  jeunes  peintres  étu- 
dier les  modèles  antiques.  Notre  Bibliothèque  uni- 
verselle ne  pourrait  contenir,  même  en  abrégé,  les 
diverses  relations  publiées  sur  cette  contrée  tou- 
jours nouvelle,  sur  cette  patrie  enchaiîîcresse  de 
Virgile  et  du  Tasse,  de  Pétrarque  et  de  Monti.  Les 
Lettres  sur  l'Italie  par  Dupaty  sont  justement  cé- 
lèbres; il  en  est  de  même  de  la  Corinne  de  madame 
de  Staël,  et  d'une  infinité  d'autres  ouvrages  qui 
sont  dans  toutes  les  mains;  il  suffit  de  les  citer. 
Plus  récemment  un  amateur  de  la  peinture  et  des 
arts,  M.  Valéry,  a  décrit  les  richesses  en  ce  genre; 
et  M.  Simon,  voyageur  consciencieux,  a  aussi  re- 
tracé ses  impressions  en  Italie,  après  avoir  vu  l'Hel- 
vétie  et  l'Angleterre.  M.  le  marquis  de  Forestaa  donné, 

'  Trois  voluin(>8  in-18,  troisième  édition.  Paris,  1827. 


en  182< 

la  Sicii 

en  Sieii 

M.  Ben 

maritim 

Del'ï 

jues  aui 

une  des 

allons  s( 

précité, 

indiquer 

cette  ter 

sonnet  p 

L'Italie 

Alpes,  ai 

à  l'est  la 

deux  mei 

lope,  ell 

nord-oue 

et  46  de 

l'ouest  à 

degrés  Ifl 

longueur, 


'  f^iaggio  i 

1834,3  vol. 

'  Six  volu 


DIX-NEUTIÈME  SIÈCLE.  261 

en  1825,  des  lettres,  qu'il  avait  écrites  en  1805  sur 
la  Sicile,  et  M.  Nervo  les  a  complétées  par  un  Tour 
en  Sicile,  accompli  en  1833.  Un  autre  voyageur, 
M.  Bertolotti,  a  exploré  en  1834  toute  la  Ligurie 
maritime  *. 

De  l'ensemble  de  ces  divers  voyages  et  de  quel- 
ques autres  qui  nous  échappent,  on  pourrait  tirer 
une  description  assez  complète  sur  l'Italie.  Nous 
allons  seulement,  d'après  notre  Voyage  aux  Alpes 
précité,  et  notre  Voyage  aux  cinq  parties  du  Monde  ', 
indiquer  quelques  traits  physiques  et  moraux  de 
cette  terre,  si  bien  dépeinte  par  Filicaja  dans  un 
sonnet  plein  de  sensibilité  ^. 

L'Italie  a  pour  limites  au  nord  et  à  l'ouest  les 
Alpes,  au  sud-ouest  et  au  sud  la  Méditerranée,  et 
à  l'est  la  mer  Adriatique;  circonscrite  ainsi  entre 
deux  mers  et  les  plus  hautes  montagnes  de  l'Eu- 
rope, elle  s'étend  obliquement,  avec  la  Sicile,  du 
nord-ouest  au  sud-est ,  entre  36  degrés  40  minutes 
et  46  degrés  40  minutes  de  latitude  nord ,  et  de 
l'ouest  à  l'est,  entre  3  degrés  20  minutes  et  16 
degrés  18  minutes  de  longitude  est.  Sa  plus  f^rande 
longueur,  des  Alpes  carniques  à  l'extrémité  sud- 


'  fïaggio  nella  Liguria  matittima,  di  Davide  Bertolotti.  Torino, 
1834,3vol.in-8*». 
'  Six  volumes  in-18.  Paris,  1823. 

^  Italia  !  italia  !  o  tu  cui  feo  la  sorte 

Dono  infelic»'  di  hollezza ,  etf. 


262  VOYAGES  EN  EUROPE, 

est  de  la  Sicile,  est  de  trois  cents  lieues;  sa  plus 
grande  largeur,  eu  égard  à  la  Savoie  qui  dépend 
du  Piémont,  est  de  cent  quarante  lieues  jusqu'à 
Venise  ;  sa  moyenne  largeur,  de  Rome  à  Ancône,  ou 
de  la  mer  Tyrrhénienne  à  la  mer  Adriatique,  varie 
de  trente  à  cinquante  lieues.  Sa  superficie  totale 
est  de  quinze  mille  lieues  carrée»,  et  sa  population 
d'environ  vingt  raillions  d'habitans,  qui  se  répartit 
de  la  manière  suivante  : 

Italie  supérieure  ou  septentrionale. 

Royaume  iombard-vénitiea 4,080,000  habitans. 

Royaume  sarde 4,145,000 

Duché  de  Parme 400,000 

Modène 380,000 

Massa 100,000 

Lucques 172,000 

Toscane 1,500,000 

République  de  Saiat-lVIarin 5,000 

États  romains  ou  de  l'Église 2,360,000 

Italie  inférieure  ou  mérdionale. 

Royaume  des  Deux-Siciles 6,800,000 

19,942,000 
Malte  (pour  mémoire) 90,000 

Total 20,032,000 

L'Italie ,  dont  le  climat  varie  considérablement 
du  nord  au  midi,  mais  est  en  général  très  douxt 
présente  des  aspects  extrêmement  divers.  Il  est 
inutile  de  parler  de  ses  monumens  anciens  et  nin 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  263 

dcrnes,  et  de  la  fécondité  de  son  territoire;  tout 
cela  est  trop  connu.  ;  ,, 

La  chaîne  des  Apennins  se  développe  comme  un 
long  ruban  sur  Tltalie,  depuis  le  col  de  Tende  où 
elle  commence,  jusqu'en  Calabre  où  elle  finit. 
Le  lac  Majeur,  le  lac  de  Côme  et  celui  de  Garda, 
sont  les  trois  plus  belles  nappes  d'eau  d'Italie.  Ses 
principaux  fleuves  sont  le  Pô  ou  l'Éridan ,  le  Tésin , 
l'Adige ,  l'Arno ,  le  Tibre  et  le  Voltiirne.  Elle  compte 
plusieurs  volcans,  tels  que  le  Vésuve  et  Stromboli 
près  de  Naples,  et  l'Etna  ou  Mont-Gibel  en  Sicile. 

Les  Italiens,  courbés  depuis  des  siècles  sous  le 
joug  d'une  obéissance  passive  et  monacale,  ont 
contracté  des  habitudes  superstitieuses;  mais  leur 
inteHij^ience  n'est  qu'assoupie,  et  elle  se  réveille 
souvent.  Dans  la  classe  éclairée  on  rencontre  l'ur- 
banité et  les  manières  françaises.  On  peint  les  Ita- 
liens comme  vindicatifs  et  fourbes,  mais  la  loyauté 
n'est  pas  plus  rare  chez  eux  qu'ailleurs,  et  souyent 
leur  dissimulation  est  une  néi^essité  imposée  par  ^i 
nature  de  leurs  gouvernemens.  Les  Italieunes  ont 
de  la  grâce  et  delà  beauté,  une  allure  aisée,  mais 
les  mœurs  un  peu  relâchées,  aoit  à  cause  du  climat, 
soit  à  cause  de  la  teneur  despotique  des  lois  du 
pays.  Les  Italiens  sont  passionnés  pour  la  musique, 
et  leur  langue  mélodieuse  s'y  prête  admirable 
mont. 

9 

Tous  les  Etats  italiens  sont  des  monarchies  ab 


264  VOYAGES  EN  EUROPE, 

solues;  mais  il  en  est  de  très  modérées,  comme 
en  Toscane ,  où  les  sciences  et  les  arts  sont  dans 
une  situation  très  florissante.  11  n'existe  aucun  lien 
commun  entre  ces  divers  gouvernemens.  Le  culte 
catholique  est  le  seul  toléré  en  Italie. 

Jetons  un  rapide  coup  d'œil  sur  ces  Etats  et  sur 
leur  capitale,  en  commençant  par  le  midi. 

Le  royaume  de  Naples  ou  des  Deux-Siciles,  jadis 
appelé  la  Grande-Grèce,  doué  du  plus  beau  ciel, 
serait  le  plus  agréable  de  l'Europe,  sans  le  voisinage 
quelquefois  dangereux  du  Vésuve  et  de  l'Etna;  les 
montagnes  qui  le  couvrent  y  tempèrent  la  chaleur 
et  alimentent  de  nombreuses  rivières.  La  Sicile 
propre  est  le  grenier  de  l'Italie,  comme  elle  l'était 
déjà  du  temps  des  Romains,  qui  la  nommaient 
Trinacria ,  à  cause  des  trois  caps  qui  la  cerminent. 
Palerme  en  est  la  capitale,  dans  une  plaine  fertile 
et  riante,  sur  un  golfe  auquel  elle  a  donné  son 
nom.  Nous  avons  eu  déjà  occasion  de  parler  de  la 
Sicile,  nous  pouvons  donc  nous  borner  ici  à  la 
nommer  en  passant. 

Naples ,  i'ancienne  Parthénope ,  capitale  du 
royaume  des  Deux-Siciles,  est  une  belle  et  grande 
ville ,  peuplée  d'environ  trois  cent  cinquante  mille 
habitans;  elif  est  située  sur  le  bord  de  la  Médi- 
terranée. Sa  magnifique  rue  de  Tolède,  ses  trois 
cents  églises,  ses  trois  châteaux  forts,  notamment 
eelui  de  Saint-Ëlme  sur  une  colline  dominant  la 


DIX-NEUVIÈME  SIÈGL'^.  266 

cité ,  son  port  de  cent  milles  de  circuit,  son 
théâtre  Saint-Charles,  voilà  des  merveilles  que  tout 
le  monde  connaît.  ' 

Les  Etats  Romains  ou  de  l'Eglise  or  ^  pour  capi- 
tale Rome,  assise  sur  les  deux  rives  du  Tibre,  et 
prolongée  avec  une  muraille,  sur  sept  '^oUines  prin- 
cipales, qui  lui  donnent  un  circuit  de  cinq  lieues. 

L'église  Saint-Pierre  avec  son  immense  coupole, 
chef-d'œuvre  de  Michel -Ange,  est  le  plus  bel  édi- 
fice de  l'univers.  Le  Vatican  a  de  magnifiques  pein- 
tures et  une  précieuse  bibliothèque. 

Le  Capitole  est  toujours  debout.  Rome,  qui  a 
compté  jadis  prts  de  quatre  millions  d'habitans,  ne 
contient  plui  guère  aujourd'hui  que  cent  soixante 
raille  âmes. 

Après  les  Etats  Romains  se  présente  la  Toscane 
ou  l'Etrurie,  pays  fertile  en  fruits,  vins,  blé  et 
mûriers,  possédant  des  carrières  de  marbres,  des 
raines  de  fer,  et  un  gouvernement  snge ,  qui  réside 
à  Florence,  sa  capitale,  assise  dans  une  plaine  fé- 
condée par  TArno,  qui  débouche  dans  la  Méditer- 
ranée. Florence,  peuplée  de  quatre-vingts  milleâmes, 
a  toujours  son  Académie  délia  Crusca,  et  sa  fa- 
meuse galerie  de  peinture. 

Après  la  Toscane  viennent  les  Etats  sardes ,  com- 
posés du  Piémont ,  de  l'ile  de  Sardaigne,  de  la  Li- 
ffurie,  de  Nice  et  de  la  Savoie.  Us  ont  pour  limites 
au  nord  la  Suisse  vers  Genève,  à  l'est  la  Lom- 


2GG  VOYAGES  EN  EUROPE, 

bardie,  au  sud  le  golfe  de  Gènes,  et  à  Touest  la 
France.  Le  Piémont,  qui  prend  son  nom  de  sa  po- 
sition au  pied  des  Alpes,  renferme  d'excellens  pâ- 
turages et  récolte  au-delà  de  ses  besoins  ;  il  est  ar- 
rosé par  le  Pô,  qui  descend  du  Mont-Viso  et  va 
déboucher  au-dessous  de  Ferrare  dans  TAdriatique. 
Sa  capitale  est  Turin ,  la  plus  régulière  de  toutes 
les  villes  de  Tltalie  ;  elle  est  bâtie  sur  la  rive  gauche 
du  Pô,  a  ses  rues  tirées  au  cordeau,  un  palais  clé- 
gant,  un  superbe  théâtre,  de  vastes  places,  des 
boulevards,  une  citadelle,  et  cent  dix  mille  habi- 
tans.  On  remarque  dans  ses  environs  le  chAîeau 
de  la  Superga,  le  Saint-Denis  des  rois  de  Piémont. 

Le  pont  sur  le  Pô  est  une  des  plus  belles  cons- 
tructions du  règne  de  Napoléon. 

Dans  la  Ligurie,  dont  le  territoire  longe  la  Mé- 
diterranée, noiTS  trouvons  la  seconde  ville  du 
royaume  sarde,  la  superbe  Gênes,  pairie  de  Chris- 
tophe Colomb,  ci-devant  capitale  d'une  république, 
qui  avait,  comme  Venise,  un  doge  pour  chef;  elle 
est  bâtie  en  amphithéâtre  au  fond  d'un  golfe  qui 
offre  un  port  excellent  :  c'est  la  ville  aux  palais  de 
marbre,  la  rue  Neuve  en  <;st  bordée.  Masséna  sou- 
tint à  Gênes  un  siège  mémorable.  Ses  toits  en  ter- 
rasses sont  cou  ertb  de  fleurs.  Elle  réunit  environ 
quatre-vingt  mille  habitans. 

Le  royaume  lombard-vénitien  se  compose  de  la 
Lombardie  et  de  l'iinoienne  république  de  Venise. 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  2ft7 

Il  est  borné  au  nord  par  les  Alpes  qui  le  séparent 
de  la  Suisse,  h  Test  parle  Frioul,  au  sud  par  les 
États  romains  et  les  duchés  de  Modène  et  de  Parme 
dont  le  Pô  le  sépare,  et  à  Touest  par  le  Tésin  et  le 
lac  Majeur  qui  le  séparent  du  royaume  sarde. 

Milan,  capitale  du  royaume  lombard -vénitien, 
est  située  dans  une  riche  plaine,  sur  TOlona,  entre 
le  Tésin  et  rAdda,qui  communiquent  avec  la  ville 
par  des  canaux.  Nous  avons  donné  de  cette  ville 
une  description  très  détaillée  dans  notre  Voyage 
aux  Alpes  et  en  Italie.  Le  dôme  de  Milan ,  d'une 
construction  magnifique,  est  tout  en  marbre;  le 
théâtre  de  la  Scala  est  le  plus  grand  de  l'Italie;  la 
bibliothèque  Ambrosienne  contient  plus  de  cent 
mille  volumes.  Milan  est  le  Paris  dn  l'Italie,  par  ses 
cafés,  ses  hôtels,  se*'  restaurateurs,  ses  journaux, 
ses  cabinets  littéraires,  son  Champ  de  Mars,  ses 
fiacres,  ses  boulevards,  ^es  bals,  ses  théâtres,  et 
l'aménité  de  ses  hab'tans,  qui  sont  au  nombre 
de  cent  cinquante  mille  :  le  long  séjour  des  Fran- 
çais y  a  produit  toutes  ces  métamorphoses. 

Venise,  dont  notre  Voyage  aux  Alpes  contient 
aussi  une  description  très  détaillée,  a  pour  mu- 
railles les  flots,  étant  située  à  l'extrémité  septen- 
trionale de  la  mer  Adriatique ,  sur  cent  trente-huit 
petites  îles  qui  communiqjent  entre  elles  par  plus 
de  cinq  cents  ponts ,  et  qui  forment  plus  de  quatre 
cents  canaux  de  différente  larjjenr,  dans  lesquels 


208  VOYAGES  EN  EUROPE, 

naviguent  environ  dix  mille  gondoles,  espèce  de 
bateau  remplaçant  les  voitures,  et  qui,  par  leur 
couleur  noire  comme  l'eau  fétide  sur  laquelle  on 
les  dirige,  ne  ressemblent  pas  mal  à  des  corbillards 
filottans  sur  des  fleuves  d'encre. 

Venise  a  environ  vingt-cinq  mille  maisons,  toutes 
bâtis  sur  pilotis,  parce  que  le  terrain  n'est  pas 
ferme;  sa  population  est  d'environ  cent  cinquante 
mille  habitans,  distribués  sur  deux  lieues  et  demie 
de  circuit.  La  ville  est  partagée  en  deux  parties 
égales  p"r  le  grand  canal  de  la  Zecca,  qui  a  cent 
pieds  de  Margeur,  et  traverse  la  ville  de  l'est  à  l'ouest 
en  formant  de  nombreuses  sinuosités.  La  place 
Saint-Marc ,  qui  a  trois  cents  pieds  de  long  sur  cent 
de  large,  est  ornée  de  superbes  édifices,  parmi 
lesquels  on  remarque  la  basilique  et  l'ancien  pa- 
lais du  doge. 

L'arsenal  est  un  immense  édifice  du  lU"  siècle, 
placé  sur  une  île  ayant  cinq  milles  de  tour.  La  bi- 
bliothèque de  Venise  renferme  plus  de  trois  cent 
mille  volumes.  Enfin  le  pont  de  Rialto,  jeté  sur  le 
grand  canal  de  la  Zecca  au  centre  de  la  ville,  est 
un  très  bel  ouvrage  en  marbre,  d'une  seule  arche 
très  élevée ,  afin  que  les  bàtimens  à  voiles  puissent 
passer  dessous.  11  a  plus  de  cent  pieds  de  longueur, 
et  est  orné  d'un  double  rang  de  boutiques.  C'est 
près  de  ce  pont  que  furent  jetés  les  premiers  fon- 
demens  de  Venise. 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  269 

Les  Italiens,  en  général,  pour  résumer  notre 
opinion  à  leur  égard ,  cultivent  les  lettres  plutôt 
par  passion  que  par  métier;  ils  suivent  leurs  études 
dans  le  silence  de  leur  cabinet,  et  c'est  là  qu'il  faut 
les  chercher  pour  les  bien  connaître.  Malgré  les 
entraves  mises  à  la  presse  par  leurs  gouvernemens, 
ils  publient  un  grand  nombre  d'ouvrages  et  de 
journaux  o^..  recueils  périodiques.  Les  préjugés  ne 
pèsent  plus  guère  que  sur  les  feratncs ,  mais  il  faut 
convenir  qu'elles  en  subissent  cruellement  le  joug. 
Depuis  le  berceau  jusqu'à  'a  tombe,  elles  sont  pla- 
cées dans  une  sorte  d'ilotisme,  par  l'ascendant  que 
les  prêtres  ont  conservé  sur  elles,  et  par  le  régime 
absurde  des  lois  ou  les  honteux  usages  observés  à 
leur  égard  jusqu'à  l'instant  du  mariage,  et  même 
après.  ,  ,     •  . 

Ainsi  que  nous  l'avons  dit  dans  notre  y'oy^^'^  nux 
Alpes  et  en  Italie ,  tant  qu'elle  n'a  point  trouvé  de 
mari,  une  iille  doit  habiter  la  maison  de  son  père, 
de  son  frère  aîné .  ou  de  celui  de  ses  parens  qui  est 
devenu  le  chef  de  la  famiUe.  Elle  est  là  tïomme  une 
pupille  incommode;  elle  doit  vivre,  agir  et  parler 
sous  la  direction  de  la  maîtresse  du  logis  et  sous  la 
surveillance  des  domestiques,  ou  bien  se  retirer 
dans  un  couvent.  Elle  ne  reçoit  pas  de  dot,  à 
moins  d'un  acte  spécial  de  son  père,  ou  bien  d'être 
unique  héritière ,  ce  qui  est  rare  dans  un  pays  où 
les  propriétés  foncières  sont  toujours  laissées  à  la 


270  VOYAGES  EN  KUUOPE. 

branche  masculine.  La  portion  assi(;néc  à  une  de- 
moiselle est  a..)rs  gérée  par  des  curateurs  qui  l'ex- 
ploitent suivant  leurs  propres  intérêts.  D*mi  autre 
côtéf  les  moines  emploient  tous  les  moyens  pour 
faire  prononcer  ''^s  vœux  à  une  fille,  et  dès  qu'ils 
y  ont  réussi ,  la  jeune  personne  devient  esclave  de 
son  serment,  qu'elle  ne  saurait  plus  rétracter 
les  parens  portent  quelque  intérêt  à  une  jolie  p^.- 
pille  sans  fortiAie,  ils  la  donnent,  ou  plutôt  la 
vendent  à  un  Iionime  usé,  à  un  vieillard,  à  con- 
dition qu'il  la  fera  son  héritière.  Dans  cette  situa- 
tion, elle  attend  le  jour  où  il  mourra,  pour  disposer 
des  biens  qu'il  a  promis  de  lui  laisser.  Si  elle  se 
refusait  à  un  pareil  accommodement,  elle  serait 
maltraitée,  et  enfermée  tout  de  suite  au  fond  d'un 
cloître,  d'où  elle  ne  pourrait  plus  sortir;  et,  Dieu 
merci,  ks  cloîtres  d'hommes  et  de  femmes  ne  man- 
nueist  paf  e:i  Italie! 

,  Épouse,  la  jeune  Italienne  ne  peut  jamais  s'oc- 
cuper du  ménage ,  ni  améliorer  le  bien-être  de  son 
mari;  cela  serait  de  mauvais  ton.  Le  gouvernement 
de  Napoléon  avait  essayé  de  détruire  ce  préjugé; 
mais  les  Français  furent  à  peine  rentrés  dans  leurs 
anciennes  limites ,  qu  il  reprit  tout  son  empire. 

La  femme  italienne  a  cessé  d'être  ce  qu'elle  avait 
été  un  moment,  la  maîtresse  de  ses  domestiques,  et 
s'est  rassise  à  table,  comme  un  hôte  invité,  pen- 
dant que  !e  confesseur  s  est  réinstallé  dans  la  mai- 


DIX-lNKl]Vlfi:MK  SIÈCLE.  tit 

son  conjugale  pour  remeltre  les  péchés  qu'il  lui 
plaîl,  et  pour  exercer  librement  son  avarice,  sa 
sensualité  et  sa  domination,  qui  sont  en  Italie,  bien 
plus  qu  ailleurs,  trois  passions  dominantes. 

La  femme  ainsi  établie,  ou  restée  fille,  a-t-clle 
acquis  quelques  talens  brillans,  et  devient-elle, 
sous  ce  rapport,  un  peu  marquante?  Par  jt  on 
se  moquera  d'elle  ;  l'arme  <lu  ridicule  irp.  ^r^er 
jusque  dans  le  plus  humble  réduit  ^  et  e! 
{jardée  comme  un  monstre  qu'il  faui  vitci  à 
l'égal  du  démon.  Voilà  pourquoi  les  femmes  cé- 
lèbres sont  rares  en  Italie. 

Il  n'y  a  que  les  intrigues  amoureuses  qui  puis- 
sent en  Italie  dédommager  une  femme  de  l'espèce 
d'interdit  lancé  contre  elle.  A  peine  mariée,  comme 
son  époux  court  les  maîtresses  et  en  entretient  publi- 
quement, l'Italienne  se  dispose  à  devenir  infidèle; 
entourée  d'adorateurs  nombreux,  qui  passent  leur 
vie  à  visiter  le  plus  de  dames  qu'ils  peuvent,  le 
matin  dans  leurs  appartemens  et  le  soir  dans  leurs 
loges  au  spectacle ,  elle  jette  les  yeux  sur  un  des 
postulans,  et  choisit  d'ordinaire  le  plus  traitable, 
celui  qu'elle  avait  le  plus  long-temps  rebuté;  l'in- 
trigue devient  un  besoin  pour  elle,  et  ses  passions 
un  autre  besoin  de  son  existence.  Le  cavalier  ser- 
vant est  aussitôt  un  hôte  d'habitude  dans  la  maison 
de  sa  maîtresse,  il  lui  sert  à  la  fois  de  trésorier  et 
d'intendant;  lorsqu'elle  est  au  piano,  c'est  lui  qui  a 


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(716)  872-4503 


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272  VOYAGES  EN  EUROPE, 

l'heureux  privilège  de  tourner  le  feuillet;  il  Tac-' 
compagne  au  bain,  à  la  promenade,  aux  assem- 
blées, dans  ses  visites;  en  un  mot,  il  ne  la  quitte 
jamais ,  si  ce  n*est  de  temps  en  temps  pour  pro- 
mener le  petit  chien  de  la  belle.  Le  mari  ne  fait 
nulle  attention  à  de  pareilles  assiduités;  l'adultère 
en  Italie  est  toléré  comme  un  mal  nécessaire,  et 
qu'il  n'est  point  possible  de  corriger.  Ainsi,  point 
ou  peu  de  tendresse,  ni  conjugale  ni  maternelle: 
une  femme  voit  son  mari  sans  cesse  occupé  d'af- 
faires amoureuses;  elle  l'imite,  et  ses  occupations 
ne  lui  laissent  point  assez  de  temps  pour  ses  devoirs 
de  mère;  c'est  une  nourrice,  une  bonne,  ou  quel- 
que autre  domestique  qui  les  remplit.  Voilà  l'usage, 
voilà  la  mode  parmi  le  beau  monde;  nulle  Italienne 
n'oserait  s'en  écarter,  de  peur  des  quolibets  de  l'un 
ou  de  l'autre  sexe ,  et  tous  les  directeurs  des  con- 
sciences féminines  les  façonnent  d'ailleurs  à  cette 
règle,  au  maintien  de  laquelle  le  célibat  du  sacer- 
doce lui-même  est  plus  qu'intéressé.  ,  ,j  ;  j, 
,n;  jRepassons  les  Alpes  sans  nous  y  arrêter,  parce 
que  nous  en  avons  parlé  dans  les  généralités  mises 
en  tête  de  ce  volume,  et  traversant  la  France  allons 
faire,  avec  M.  Pichot,  une  promenade  en  Angleterre^ 
contrée  dont  nous  n'avons  rien  dit  encore. 


DIX-NEllYlÈMË  SIÈCLE. 


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<  ..   ^'.ir\\i 

Le  Voyage  de  M.  Pichot  en  Angleterre  et  en 
Ecosse  ^  est  plutôt  littéraire  que  géographique;  mai» 
il  renferme  quelques  détails  de  mœurs  qui  peuvent 
trouver  ici  leur  place  avec  ceux  que  nous  pouvons 
y  réunir  en  les  puisant  dans  d'autres  ouvrages, 
comme,  par  exemple,  le  Voyage  axfx  montagne 
d'Ecosse,  par  M.  Charles  Nodier  ^.       ,  .  :-» 

Dans  notre  Voyage  aux  cinq  parties  du  Monde , 
Dous  avons  essayé  de  caractériser  les  trois  peuples 
de  la  Grande-Bretagne;  savoir,  les  Anglais,  les 
Écossais  et  les  Irlandais;  nous  rapporterons  ici  ce 
que  nous  disions  d'eux  en  1828;  nous  y  joindrons 
ensuite  ce  que  l'ouvrage  de  M.  Pichot  nous  four- 
nira pour  compléter  le  tableau  et  remplir  notre 
objet. 

S'il  fallait,  disions-nous  alors  d'après  une  revue 
anglaise ,  et  d'après  nos  observations  faites  sur  les 
lieux,  rapidement  il  est  vrai;  s'il  fallait  juger  leca^ 
ractère  des  peuples  des  trois  royaumes  unis  de  la 
Grande-Bretagne  suivant  leurs  actions,  on  pourrait 
dire  que  l'Anglais  est  guidé  par  l'habitude,  l'Écos- 
sais par  la  réflexion ,  et  l'Irlandais  par  l'impulsion. 


'  Trois  volumes  in-8».  Paris,  1825. 
»  Un  volume  in-8*.  Paris,  1823. 
XLVI. 


•f» 


IS 


274  VOYAGES  EN  EUROPE. 

UAnglais  est  froid ,  repoussant  dans  ses  manières  « 
se  lie  lentement  et  difficilement  d'amitié;  il  est  poli, 
mais  non  cordial;  sa  figure,  plutôt  que  son  cœur, 
vous  accueille  chez  lui  ;  il  ne  cherche  point  la  corde 
qui  vibre  à  votre  oreille;  il  n'a  en  vue  qu'une 
chose,  c'est  le  moment  où  il  congédiera  son  hôte. 
11  aime  à  se  vanter  de  son  pays,  en  même  temps 
qu'il  murmure  contre  les  lois  qui  le  régissent. 
Écoutez  ses  plaintes  :  il  est  réduit  à  la  mendicité,  il 
va  mourir  de  faim;  mais  regardez  sa  demeure, 
c'est  un  palais,  et,  pour  lui,  il  étoufte  dans  son 
embonpoint.  S'il  remplit  tous  ses  devoirs  envers  sa 
famille,  s'il  esî,  doux  et  poli  envers  ses  domesti- 
ques, c'est  moins  par  affection  que  parce  qu'ils 
sont  ses  domestiques  et  sa  famille. 

En  toutes  choses  perce  chez  lui  l'égoïsme,  le 
moi  éternel  ;  et  si  l'Anglais  parvient  à  guider  sa 
barque,  il  s'inquiète  fort  peu  que  le  reste  du  monde 
surnage  ou  s'enfonce  dans  les  flots.  Mais  s'il  ne  sait 
pas  aimer  avec  ardeur,  sa  haine  n'a  pas  d'amertome. 
11  paraît  franc  et  loyal  dans  ses  actions  et  b  a- 
roles;  aussi  peut-il  être  souvent  dupe.  L'empire  de 
l'habitude  se  remarque  chez  lui  jusque  dans  ses 
plaisirs  :  il  fréquente  le  même  café,  s'assied  à  la 
même  place,  boit  la  même  sorte  de  liqueur,  lit  les 
mêmes  journaux;  semblable  à  cet  homme  qui,  la 
première  fois  qu'on  lui  présenta  une  asperge,  la 
mordit  par  le  mauvais  bout,  et  voulut  depuis  faire 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  275 

toujours  de  même ,  si  FAnglais  avait  eu  le  malheur 
de  tomber  dans  une  pareille  méprise,  il  voudrait 
constamment  y  persister.  C'est,  en  un  mot,  un  être 
d'habitude  et  de  formes,  soumis  passivement  aux 
lois  établies,  plein  de  sincérité,  d'honnêteté  et  de 
raison,  mais  opiniâtre  dans  ses  opinions,  et  remar- 
quable surtout  par  son  tempérament  flegmatique. 

L'Écossais,  loin  de  se  tenir  à  l'écart,  de  vivre  in- 
dépendant des  autres,  et  de  trouver  son  plus  grand 
bonheur  à  se  concentrer  en  lui-même,  comme  le 
pratique  l'Anglais,  se  porte  en  avant,  et  sa  passion 
pour  les  autres  décide  de  son  amour  ou  de  sa 
haine.  La  recommandation  la  plus  légère  lui  suffit 
pour  ouvrir  sa  maison  à  un  étranger;  son  accueil 
est  cordial  ;  mais  il  va  disputer  avec  son  hôte,  l'en- 
tretenir de  sa  personne  et  de  ses  affaires  dans  les 
plus  grands  détails,  l'accabler  à  son  tour  de  ques- 
tions, et,  à  force  de  politesses  et  d'attentions,  faire 
excuser  une  curiosité  souvent  impertinente.  D'abord 
enthousiaste,  il  soumet  ensuite  votre  caractère  et 
votre  fortune  à  l'analyse,  dès  que  vous  l'avez 
quitté;  s'il  y  remarque  un  côté  défavorable,  il  le 
note  avec  soin  :  tant  que  ia  fortune  vous  sourit, 
vous  ne  trouverez  nulle  part  un  homme  plus  dis- 
posé à  vous  être  utile,  qui  vous  serve  plus  effica- 
cement. Êtes-vous  dans  le  malheur,  il  prend  aussi- 
tôt congé  de  vous  et  vous  laisse  sans  cérémonie.  Si 
on  n'a  pas  à  lui  reprocher  l'apathie  commune  aux 


276  VOYAGES  EN  EUIIOPE. 

Anglais,  on  n'a  pas  également  à  louer  en  lui  la  sincérité 
de  celle-ci  ;  il  est  plus  profond  mais  moins  tenace. 
'  L'Écossais  des  montagnes ,  ou  Highlander,  avec 
son  manteau  de  serge  rayée ,  sa  claymore ,  ses  bro- 
dequins, ses  jupons  et  sa  toque,  a  une  allure  plus 
vive  que  l'habitant  des  plaines,  ou  Lowlander;  l'un 
et  l'autre  ont  été  dépeints  dans  les  romans  de  Wal- 
ter  Scott  *,  qui  se  trouvent  dans  toutes  les  mains, 
depuis  le  dernier  artisan  jusqu'au  monarque.  Il  est 
dès  lors  bien  inutile  que  nous  reproduisions  ici  des 
portraits  universellement  connus. 

On  a  VU  des  Anglais  être  pris  pour  des  Ecossais, 
et  des  Écossais  pour  des  Anglais  :  jamais  un  Irlan- 
dais ne  donnera  lieu  à  cette  méprise,  et  il  ne  res- 
semble qu'à  lui  -même.  Si  le  hnsard  vous  le  fait 
rencontrer,  il  est  à  l'instant  votre  ami;  il  n'est  pas 
d'admiration  qu'il  n'éprouve  pour  votre  personne, 
et  il  vous  loue  en  face  jusqu'à  l'hyperbole.  Mais 
qu'une  autre  idée,  quelle  qu'elle  soit,  effleure  son 
esprit,  il  devient  aussitôt  votre  ennemi.  Il  parta- 
gera avec  vous  sa  dernière  pomme  de  terre;  mais, 
dit  l'écrivain  morose  qui  nous  sert  d'autorité,  avant 
que  vous  l'ayez  mangée,  peut-être  aura-t-il  déjà 
enfoncé  dans  votre  gorge  le  couteau  qui  avait  servi 
à  la  couper:  ceci,  toutefois,  nous  semble  exagéré. 


•  Notre  traductiOrTi  en  30  volumes  in-S"  a  eu,  en  1836,  les  hon- 
neurs du  stéréotypage  chez  MM.Firmin  Didot ,  les  premiers  typu 
graphes  d«  France.   "••'"     '  •         '<     •<        ''•■•  i 


îérité 
lace. 
,  avec 
i  bro- 

2  plus 

';  l'un 
iWal- 
nains , 
.  Il  est 
ici  des 

iossais, 
i  Irlan- 
ne  res- 
,  le  l^it 
'est  pas 
[•sonne, 
e.  Mais 
Lire  son 
parta- 
;  mais, 
,  avant 
il  déjà 
ail  servi 
îxagéré. 

1,  les  hoM- 


^t'^.Â^f 


Mi»r     nK     et.»  il 


Voy.  tin  Kw/'ope.  J%--itt/.J*-^.»^â 


ArtfÇtiiî»,  on  n'jipasf»f{iilcmeiif  à  ïmwr  i.n  lu»  la  sluccrii^ 
ili: ctrlle-ci ;  il  est  plus  (hoIoikI  triui-^  uioifij;  tenace. 

li'Kcossais  d(rs  rnon(H}>;nps,  on  H  j^imilcr,  avec 
son  inrmtrau  de  ser^^c  riiyt'e.  sa  ri^^yntmre,  *r.s  bro- 
dequins, sps  jupons  et  sa  to<}ne' ,  a  une  allure  pluj. 
vive  qiio  I  habitant  dos  plaines  .  ou  Lo^vlandev  ;  îun 
et  l'aulPf  ont  été  dépeints  dans  les  romans  de  VVM- 
ter  ScoU  *,  qui  se  trouvent  dans  toutes  les  tuains, 
depr/îs  I*»  dernier  artisan  jusqu'au  monarfjue.  Il  ej-t 
dès  îor»  bien  inufi!*^  que  nous  reproduisions  iei  dss 
j>onrai{*  »jnfv«T'W*lt«inient  eonnu*. 

1  pour  des  Ecof^sais, 
•\iS  ;  jiunais  un  Irlaïi 
é^  '■'.  '4  \\e\\h  cetl*!  HU'prise,  et  il  ner^s- 

seujbb.  ipi'a  lui-même. 'Si  le  basard  vous  le  iVtit 
reneoutrer,  il  est  à  l'inslAut  votre  ami;  il  n'est  }.,;% 
d'adcniration  qu'il  uVprouve  pour  votre  personiio. 
et  ?'  vous  loue  eu  face  jusqu'à  rbyperbole.  jMa^ 
qu'uuf  autr«  idtk%  tiitelle  ((u'elle  soit,  effleure  son 
esprit.  H  ïlKr*'«»4«l  «^*i«jtèt  votre  er\nen>i.  Il  parta- 
gera ï?vt  #r*nière  pomme  <le  teri-e;  ninis, 
dit  J'écri'  '  :*<uis  st^rt  d'autorité,  ava!.: 
que  votis  \  peut-être  aura-î-il  dé>i 
enfon(;é  <lansvoti';>  5  j^*  le  couteau  qui  avait  se*  u 
à  la  couper:  ceci.  tt»t*îaf%«s,  nous  sernble  cxa^»  r^ 

-m^.  :■:-''■  ■•"-■.      _"•-.  { 

'  ?iotr<'  tr.iflui'lion  en  'iO  vt»!ΫiJiiî»  40*8"  a  ru,  en  IS'ifi,  ie?,  lio 

giaph«8  d«  Franc». 


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.on  Kiinope.  PwÂot.Paii.t^ô 


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•••.«' 


DIX-NEUVIÈME  8IÊCLE.  277 

;  Avez-vôu8  envie  d'employer  Tirlandais,  ajoute 
le  même  auteur ,  il  possède  toutes  les  coiiiiaissances, 
|)eut  tout  faire;  son  âme,  sa  vie,  son  bien ,  tout  est 
à  votre  disposition.  Si  vous  le  mettez  à  Tépreuve, 
il  fera  à  peine  la  moitié  de  ce  qu'il  vous  a  promis. 
Néanmoins  il  met  tant  de  naïveté  dans  toutes  ses 
actions,  que,  malg^ré  Texpérience,  on  se  laisse 
tromper  de  nouveau.  Son  amitié  n'est  pas  franche 
comme  celle  des  Écossais  :  c'est  l'égoïsme  de  la 
passion ,  le  besoin  d'une  bienveillance  immédiate , 
sans  aucun  retour  sur  le  passé,  sans  calcul  pour 
l'avenir;  il  est  victime,  il  est  esclave  de  son  en- 
traînement, etc'est  à  cela  qu'il  sacrifie  amitié,  hon- 
neur, patrie,  succès  dans  le  monde,  tout  enfin. 
Quand  il  vous  jure  un  attachement  éternel,  vous 
ne  devez  pas  douter  de  sa  sincérité,  mais  il  change 
malgré  lui  dé  sentiment.  Gai,  brillant,  agréable  ^ 
dans  ses  manières,  il  semblerait  partout  devoir 
réussir;  mais  moins  solide  que  l'Anglais,  moins 
prudent  que  l'Écossais,  et  portant  ses  vues  à  des 
hauteurs  qu'il  ne  peut  atteindre,  il  fait  des  chutes 
continuelles.  D'ailleurs  l'ambition  ne  l'occupe  pas 
long-temps,  d'autres  passions  hii  succèfh^nt  promp- 
tement.  Au  surplus,  pour  bien  juger  un  Irlandais, 
on  prétend  qu'il  faut  le  surprendre  à  jeun. 

En  somme,  l'Anglais  marche  droit  vers  le  but; 
l'Écossais  fait  çà  et  là  quelques  détours;  l'Irlandais 
vole  de  côté  et  d'autre,  se  renverse  avec  fracas,  et 


278  VOAYGES  EN  EUROPE, 

souvent  termine  sa  course  au  point  où  il  l'a  eoin- 
mcncée.  L'Anglais  est  persévérant,  mais  tardif; 
l'Écossais,  plus  varié,  a  plus  d'intensité  d'esprit, 
quoique  moins  opiniâtre  sur  un  même  sujet;  l'Ir- 
landais, c'est  la  légèreté  du  vent,  mais  c'en  est  aussi 
le  vide.  Un  Anglais  en  pouvoir  est  hautain,  froid, 
réservé;  un  Ecossais,  intrigant,  mais  dans  le  seul 
but  d'obliger  les  siens;  l'irlandais  oubliera  ses  in- 
térêts pour  sa  vanité,  et  quicoaquc  saura  le  flatter 
en  fera  sa  dupe.  En  Ecosse,  un  homme  est  banni 
pour  avoir  commis  un  grand  crime  ;  en  Angleterre, 
pour  un  crime  plus  léger;  en  Irlande,  pour  la 
moindre  faute;  d'où  il  suit  qu'à  Botani-Bay  un  Ir- 
landais peut  devenir  excellent  homme,  et  un  Anglais 
homme  passable,  tandis  que  l'Ecossais  restera  scé- 
lérat. 

Ajoutons  cependant,  disions -nous  déjà  en  1828 
dans  notre  Voyage  aux  cinq  parties  du  Monde  précité, 
et  ce  qui  est  bien  plus  vrai,  aujourd'hui  1836,  que 
depuis  la  paix  de  1814,  les  individus  des  classes  infé- 
rieures dans  les  trois  royaumes,  surtout  en  Angle- 
terre, ont  plus  de  douceur,  de  politesse  et  d'amour 
pour  le  travail,  sont  moins  sujets  à  l'ivrognerie, 
s'instruisent  davantage,  et  lisent  avec  empressement 
les  ouvrages  qu'on  multiplie  et  que  l'on  met  à  leur 
portée. 

Pour  compléter  ce  portrait  sur  les  trois  peuples 
de  la  Grande-Bretagne ,  nous  emprunterons  à  notre 


DIX-NEUVIÉMB  SIÈCLE.  27» 

Voyaf^e  à  Londres  *  le  coramcncement  du  premier 
chapitre,  où  nous  avons  essayé  de  caractériser  som- 
mairement les  peuples  anglais  et  français. 

«Le  voya^veur  qui,  pour  la  première  fois,  passe 
des  rivages  de  France  aux  riva(][es  britanniques,  re- 
çoit des  impressions  si  différentes  d'une  contrée  k 
1  autre,  qu'il  lui  est  d'abord  assez  difficile  de  bien 
s'en  rendre  compte.  Un  liquide  intervalle  d'environ 
fiept  lieues,  qu'un  bateau  à  vapeur  franchit  en  moins 
de  trois  heures,  suffit  pour  tout  changer  à  ses  re- 
gards et  leur  offrir  une  plage  tout  autre  par  ses 
aspects  que  celle  qu'il  vient  de  quitter.  11  n'y  a 
qu'un  moment  de  vastes  plaines  et  de  vertes  col- 
lines à  demi  cultivées,  des  villages  et  des  villes  où 
H)  vie  se  déploie,  mais  où  l'opulence  n'est  pas  le 
caractère,  frappaient  ses  yeux  :  maintenant  il  aper- 
çoit des  dunes  blanchies  par  l'Océan ,  des  coteaux 
en  parfaite  culture,  des  champs,  des  enclos  ou 
vergers  enveloppés  de  haies  vives  et  éclatans  d'une 
verdure  délicieuse;  partout  des  habitations  propres 
et  agréables,  des  villages  peuplés  avec  une  éton- 
nante surabondance,  et  annonçant  malgré  cela  une 
aisance  générale.  Tout  à  l'heure  son  oreille  était 
flattée  de  l'harmonie  d'un  langage  clair,  élégant  et 
sonore;  actuellement  elle  ne  saisit  plus  que  les  sons 
durs  ou  monotones  d'un  idiome  surchargé  de  con- 

'  Voyage  à  Londres,  en  1834.  Un  volume  in-8**.  Pari»,  Prévost 
Grocius  etDelaunay,  Palais-Royal,  1836,  seconde  édition. 


280  VOYAGES  EN  EUROPE, 

sonnes  et  de  monosyllabes.  Enfin,  naguère  encore, 
il  voyait  folâtrer  un  peuple  vif,  aimable,  léger, 
brillant,  poli  et  quelque  peu  moqueur;  au  lieu  qua 
présent  le  voici  chez  une  nation  grave  et  pensante, 
active  dans  son  silence,  froide,  égoïste,  vous  regar- 
dant à  peine,  et  tout  entière  à  son  objet,  l'amour 
du  gain. »      ..■  i       w  ,     -.       .     ., 

Rapportons  également  le  tableau  que  dans  le 
même  ouvrage  nous  avons  présenté  de  Tensemble 
de  Londres;  car,  après  avoir  caractérisé  une  grande 
nation,  il  n'est  peut-être  pas  sans  intérêt  pour  nos 
lecteurs  d'avoir  une  idée  de  sa  capitale. 

«  Londres  se  révèle  d'abord  par  de  larges  avenues 
garnies  de  trottoirs  et  bordées  de  commodes  habi- 
tations composant  des  villages  qui  s'y  agglomèrent 
successivement  et  en  reculent  les  limites;  il  se  ré- 
vèle ensuite  par  un  immense  dôme  de  fumée  qui 
plane  éternellement  sur  les  toits  en  briques,  d'un 
rouge  sombre,  de  ses  maisons  basses  et  à  petites 
fenêtres,  déjà  au  nombre  de  près  de  deux  cent  mille; 
puis  encore  par  les  clochers  d'innombrables  églises, 
dont  la  plus  grande,  celle  de  Saint-Paul,  est  elle- 
même  dérobée  par  ce  vaste  brouillard  ou  amas  fu- 
mant, qui  presque  toute  Tannée  intercepte  les 
rayons  du  soleil.  Plus  on  avance,  plus  le  spectacle 
devient  animé,  imposant,  gigantesque.  Ce  n'est  pas 
loutefois  que  la  vue  de  ces  bâtimens,  composés  de 
deux  ou  trois  étages,  noircis  par  la  fumée  de  cliar- 


icore, 

léger, 

u  qu'à 

isante, 

regar- 

araour 

lans  le 
semble 
grande 
)ur  nos 

avenues 
es  habi- 
«nèrent 
il  se  ré- 
mée  qui 
s,  d'un 
petites 
nt  mille; 
églises, 
est  elle- 
imas  fu- 
ptc  les 
pectacle 
n'est  pas 
posés  de 
de  clîar- 


e 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  281 

bon  et  d'une  construction  triste  et  uniforme,  attire 
votre  attention;  elle  en  serait  bientôt  rassasiée; 
mais  vos  yeux  sont  cbarmés  par  l'élégance  de 
ces  grillages  en  fer  qui  garantissent  les  quatre 
marches  de  la  porte  extérieure  et  les  fenêtres  du 
rez-de-chaussée  de  chaque  maison  et  longent  les 
trottoirs  en  dalles  ou  en  bitume,  comme  ceux  du 
boulevart  des  Italiens,  près  Tortoni,  trottoirs  de 
deux  mètres  de  large,  au  bord  desquels,  de  cinq  en 
six  mètres  et  demi  de  hauteur,  sont  les  réverbères, 
dont  le  gaz  éclaire  les  rues  pendant  la  nuit  et  y  jette 
une  lumière  presque  aussi  vive  que  celle  du  jour. 
Vous  jouissez  de  cette  admirable  propreté  et  de 
ce  luxe  général  qui  distinguent  l'extérieur  comme 
l'intérieur  des  habitations;  vous  aimez  cette  activité 
prodigieuse  de  piétons  s'avançant  entre  deux  flots 
croisés,  celui  de  droite  qui  occupe  le  côté  des  mai- 
sons, et  celui  de  gauche  qui  suit  le  trottoir  du  bord 
et  de  la  rue,  où  les  voitures  se  croisent  elles-mêmes 
en  s'évitant  avec  la  même  vélocité,  la  même  adresse 
qu'autrefois  les  chars  des  jeux  olympiques.  Vous 
ne  remarquez,  il  est  vrai,  nulle  gaîté  sur  le  front 
"des  passans;  ils  semblent  tous  absorbés  dans  leurs 
idées  de  négoce;  ils  ne  causent  point,  ou  du  moins 
causent  peu,  et  marchent  comme  un  seul  homme 
qui  cheminerait  dans  un  désert.  Il  n'est  pas  jusqu'au 
porteur  d'affiches  qui,  la  planche  derrière  le  dos, 
ou  pour  mieux  dire  sur  les  épaules,  ne  garde  le 


282  VOYAGES  EN  EUROPE, 

même  silence,  interrompu  seulement  parles  accla^ 
mations  burlesques  de  quelques  charlatans  toujours 
à  l'affût  de  Finstant  favorable  pour  détourner  ou 
tromper  la  vigilance  du  piéton  provincial ,.  et  lui 
voler  son  mouchoir  ou  sa  bourse.  De  loin  à  loin 
quelques  beaux  édifices  vous  apparaissent,  comme 
afin  de  rompre  le  monotone  aspect  de  ces  avenues 
de  vingt  à  trente  mètres  de  large  et  de  plusieurs 
lieues  de  longueur  qui  portent  le  nom  de  rues,  au 
nombre  d'environ  douze  mille,  et  dont  par  inter- 
valles les  deux  rangs  parallèles  de  maisons  se  re- 
culent et  dessinent  environ  soixante -dix  places 
appelées  squares^  à  cause  de  leur  forme  assez  or- 
dinairement carrée  ;  en  passant  de  la  rive  droite  à 
la  rive  gauche  de  la  Tamise,  pour  arriver  au  centre 
de  la  capitale,  une  forêt  de  mâts  qui  vous  déro- 
bent le  fleuve,  depuis  les  grands  bassins  ou  docks 
jusqu'au  premier  pont  de  Londres,  en  remontant 
i<j  uours  de  l'eau,  vous  donne  enfin  une  juste  idée 
de  cette  incomparable  métropole. 

«Londres,  sans  être  insalubre,  n'a  point  un  beau 
ciel  comme  Paris.  S'il  a  des  rues  plus  belles  et  mieux 
alignées,  les  maisons  qui  les  forment  sont  basses 
avec  de  petites  fenêtres  et  des  toitures  dépourvues 
d'élégance,  sur  lesquelles  planent  une  atmosphère 
triste  et  lourde.  Londres  n'a  point  de  palais  comme 
la  Bourse  et  le  Louvre,  ni  de  boulevarts  comme  les 
boulevarts  de  Paris.  Londres  a  pour  lui  son  im^ 


DIX-NEIIVIÈMK  ^lÈCLE.  283 

mensité  géométrique;  sa  pop  .Aion  de  un  million 
cinq  cent  mille  habitans,  sa  richesse  colossale,  sa 
force  industrielle,  tandis  que  la  métropole  fran- 
çaise a  ses  beaux  édifices,  ses  théâtres,  ses  boule- 
varts,  son  amour  des  arts  et  sa  puissance  intellec- 
tuelle et  morale,  avec  une  population  d'un  million 
d'habitans.  Enfin,  Londres,  par  ses  grillages  en  fer 
devant  ses  maisons,  par  ses  palissades  et  ses  autres 
moyens  de  défense,  et  qui  trahissent  le  désir  d'une 
possession  individuelle  et  exclusive;  par  le  charla- 
tanisme de  ses  affiches  et  la  barbarie  grotesque  de 
ses  enseignes,  révèle  un  peuple  mécanique ,  machi- 
nal, égoïste  et  adonné  par -dessus  tout  au  lucre, 
tandis  que  Paris  montre  une  sociabilité  facile,  un 
esprit  de  communauté  qui  l'emporte  sur  les  intérêts 
individuels,  un  peuple  communicatif ,  aimant  à  se 
réunir,  non  pour  s'enivrer,  mais  pour  danser  :  le 
Londonien  ou  le  Cockney,  comme  on  l'appelle, 
exerce  le  plus  son  estomac,  le  Parisien,  son  esprit 
et  ses  jambes;  le  Londonien  est  buveur,  taciturne 
et  lourd,  et  le  Parisien  sobre,  expansif,  babillard 
et  léger.  » 

Transportons-nous  maintenant  avec  M.  Pichot 
dans  la  capitale  de  l'Ecosse  et  rapportons  briève- 
ment ce  qu'il  en  dit. 

«  A  tout  lecteur  de  Walter  Scott ,  la  colline  d'Ar- 
thur's-Seat  (le  trône  d'Arthur),  qui  domine  Edimr 


fms^ 


284  VOYAGES  EN  EUROPE, 

bourg,  est  une  éminence  presque  aussi  familière 
que  Montmartre  aux  Parisiens.  Ce  rocher,  de  huit 
cent  trente  pieds  au-dessus  de  la  mer,  offre  une 
vue  magnifique  de  TAthènes  du  nord ,  panorama  le 
plus  extraordinaire  que  puisse  fournir  aucune  ville 
d'Europe.  A  l'est ,  la  vaste  étendue  des  flots  se  con- 
fond avec  l'azur  du  ciel,  et  plus  au  nord,  se  rétrécit 
progressivement  jusqu'à  l'embouchure  du  Forth. 
entre  les  rivages  du  Lothian  et  du  comté  de  Fife. 
L'œil  se  repose  agréablement  sur  les  îles  dont  le 
golfe  est  parsemé;  et  quand  le  soleil  mêle  les  riches 
nuances  de  ses  rayons  à  leur  verdure,  on  peut  les 
comparer  avec  le  poète  à  des  émeraudes  enchâssés 
dans  de  l'or  :  emeralds  chassed  in  gold.  C'est  Inch- 
Keith  avec  son  fanal  élevé,  c'est  l'ile  de  May, 
consacrée  jadis  à  saint  Adrien,  et  de  laquelle  un 
autre  phare  protège  aussi  les  pilotes;  c'est  Inch- 
Colm,  fameuse  par  un  ancien  couvent,  fondé  sous 
les  auspices  de  saint  Colomba;  c'est  Inch-Garvie, 
jadis  fortifiée;  au  sud,  sont  les  montagnes  de  BraicI 
et  de  Pentland.  A  l'occident  est  l'élégante  éminence 
de  Corstorphine,  et  au-dessous  les  cscarpemens  de 
Saliibury's-Craings,  semblables  à  une  couronne 
murale.  Toutes  ces  hauteurs  et  celles  d'Arthur  s-Seat 
forment  l'amphithéâtre  au  milieu  duquel  s'élève 
Edimbourg  avec  son  château  assis  sur  une  roche 
centrale  de  trois  cent  cinquante  pieds,  et  une  der- 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  285 

nière  colline  à  l'est  appelée  Calton-Hill,  que  sur- 
montent l'Observatoire  et  la  tourelle  monumentale 
érigée  »\  Nelson-.»      •.    •  ..  •  .. 

De  la  cime  d'Arthur's-Seat  on  voit,  à  gauche,  se 
déployer  la  masse  des  bàtimens  noirs  de  la  vieille 
ville,  qui,  commençant  au  château  gothique  d'Ho- 
lyrood,  est  couronnée  de  l'espèce  de  tiare  que 
forme  le  clocher  de  Saint-Gilles ,  et  terminée  par  la 
citadelle;  adroite,  est  la  Villeneuve,  toute  régulière 
et  d'une  éclatante  blancheur  :  Tune,  fille  austère  et 
sombre  du  moyen  âge,  l'autre,  fille  élégante  de  la 
civilisation.  La  ville  neuve  a  ses  rues  tirées  au  cor- 
deau, ses  squares,  la  coupole  de  son  église  de 
Saint-Georges,  sa  colonne  Trajane  élevée  à  lord 
Melville,  la  brillante  terrasse  de  Prince's-Street, 
les  portiques  du  pont  du  Nord,  sa  magnifique  rue 
qui  descend  jusqu'au  port  de  Leidi;  tout  cela  est 
digne  de  l'Athènes  du  nord;  les  sombres  maisons 
de  la  ville  vieille  n'ont  de  loin  rien  d'exagéré  dans 
leur  hauteur,  bien  que  quelques-unes  forment  jus- 
qu'à douze  étages.  On  dirait  que  les  architectes  de 
cette  étrange  cité ,  ayant  devant  les  yeux  les  monu- 
raens  éternels  du  trànr.  d'Arthur,  et  du  rempart  que 
figurent  les  Salisbury's-Craings,  ont  prétendu  riva- 
liser avec  ces  édifices  de  la  nature. 

Au  pied  de  Salisbury's-Craings,  Edimbourg  com- 
mence par  le  château  d'Holyrood.  De  la  cour  de  ce 
palais  une  longue  rue  mon  le  jusqu'au  château;  cette 


280  VOYAGES  EN  EUROPE, 

rue  (High-Strect)  que  les  habitans  d*£dîmbour(r 
proclament  la  plus  belle  du  monde,  parcourt  un 
espace  de  cinq  mille  cinq  cent  soixante-dix  pieds, 
et  dont  la  plus  grande  largeur  est  de  quatre-vingt- 
dix  :  c'est  là  qu'elle  s'appelle  High-Street  (rue 
haute).  Jusque-là,  depuis  Holyrood,  son  nom  est 
Canongate.  Au  milieu  de  Canongate  s'élevait  jadis 
deux  croix,  dont  l'une,  Girth-Cross,  servait  à  mar- 
quer la  limite  du  sanctuaire  d'Holyrood.  —  Ce 
sanctuaire  jouit  encore  de  ses  privilèges  :  les  débi- 
teurs y  trouvent  un  asile  inviolable;  ils  y  vivent 
soumis  à  la  seule  juridiction  du  gouverneur  héré- 
ditaire du  château.  S'ils  contractent  des  dettes  nou- 
velles sur  les  lieux,  ils  sont  poursuivis  par  leurs 
nouveaux  créanciers,  qui  peuvent  obtenir  prise  de 
corps  contre  eux  ;  mais  vis-à-vis  des  créanciers  de 
l'extérieur,  ils  sont  en  sécurité  parfaite  dans  tout  le 
faubourg  et  ce  qu'on  appelle  le  Parc  du  Roi,  qui 
comprend  dans  son  enceinte  Arthur's-Seat  et  Sa- 
lisbury-Craings.    •  ;.  v  -■.;,'  r;  .-,;     ;  :;  . 

La  partie  la  plus  élevée  de  la  Canongate  se  com- 
pose de  maisons  fort  anciennes  et  surtout  fort  mal 
bâties  dans  leur  régularité  bizarre;  mais  quelques- 
unes  montrent  encore  des  armoiries  qui  attestent 
que  c'était  dans  ces  hôtels  qu'habitaient  jadis  les 
fiers  barons  écossais.  Parmi  ces  vieilles  habitations 
on  rencontre  aussi  la  maison  du  fameux  John  Knox, 
apôtre  de  la  réforme  en  Ecosse,  qui  fit  entendre 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  2«7 

un  langage  si  dur  aux  voûtes  féodales  d^Holyrood , 
en  présence  de  Marie-Stuart. 

Edimbourg,  quoique  plus  particulièrement  ville 
de  noblesse  et  de  procureurs,  est  aussi  très  com- 
merçante. Le  port  de  Leith  en  fait  partie,  et  l'on  y 
trouve  une  population  nouvelle,  active,  nombreuse 
et  bruyante.  Edimbourg  est  encore  plus  glorieuse 
d'être  une  seconde  Athènes  par  ses  philosophes,  ses 
orateurs,  ses  critiques  et  ses  poètes.  Il  se  publie 
dans  cette  ville  deux  Revues  S  dont  les  articles  sont 
lus  et  recherchés  avec  empressement  dans  le  monde 
littéraire.  '  '-      ^ 

Les  dîners  et  les  soirées  réunissent  souvent  le» 
coteries,  et  indépendamment  de  celles  des  libraires 
ou  marchands,  il  existe  celles  des  du  Deffant  calé- 
doniennes, où  Ton  discute  sur  les  graves  questions 
d»  jour.  De  père  en  fils  les  Ecossais  sont  réputés, 
depuis  long-temps,  les  argumentateurs  les  plus 
opiniâtres;  en  religion,  en  sciences,  en  politique, 
il  y  a  toujours  eu  deux  partis.  Les  dames  d'Edim- 
bourg ont  la  démarche  plus  gracieuse  en  général 
que  les  dames  de  Londres;  leur  taille  est  aussi  plus 
élancée  et  plus  forte  à  la  fois;  elles  ont  en  outre  un 
pied  plus  grand,  et  l'on  pourrait  conseiller  aux 
jeunes  personnes  d'Edimbourg  l'adoption  des 
minces  pantoufles  de  nos  Parisiennes.  Du  reste,  la 
plupart  joignent  aux  grâces  de  leur  corps  quel- 

'  Èdimburgh  review;  Blackwood  magazine. 


288  VOYAGES  EN  EUROPE, 

ques  talens  agréables,  surtout  celui  du  la  musique. 
L'espace  nous  manque  pour  explorer  avec  M.  Pi- 
chot  toutes  les  curiosités  de  la  capitale  de  TEcosse, 
et  pour  décrire  avec  le  voyageur  le  manoir  de 
Walter  Scott,  situé  dans  le  voisinage  d'Edimbourg. 
Ces  détails  sont  d'ailleurs  presque  généralement 
connus.  Nous  terminerons  notre  revue  en  nous 
transportant  une  dernière  fois  dans  la  Scandinavie 
pour  parler  du  voyage  de  M.  Daumont  en  Suède, 
et  de  celui  de  M.  Twinlng  en  Norwége. 


DAUMONT. 

(1830.) 

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M.  Daumont  prit  la  voie  de  mer  pour  se  rendre 
en  Suède.  Il  s'embarqua  au  Havre  le  24  mai  1830, 
et  six  jours  après ,  il  était  en  vue  de  la  Norwége.  Il 
entra  dans  le  Skager-Rack,  bras  de  mer  resserré 
entre  lo  Danemark  et  la  Norwége,  et  qui  précède 
le  Catégat  et  le  Sund.  La  navigation  est  assez  dan- 
gereuse dans  ces  petites  mers  intérieures  et  étroites, 
parsemées  d'écueils,  de  bancs  de  sable,  que  les  tem- 
pêtes bouleversent  et  déplacent  à  chaque  instant. 
La  vue  maritime  du  Sund  est  une  des  plus  belles 
de  l'Europe  ,  après  Constantinople  et  Naples. 
M.  Daumont  débarqua  à  Elseneur,  ville  danoise  de 
douze  mille  habitans,  puis  il  franchit  le  détroit 
pour  toucher  à  Helsingborg,  ville  suédoise  sur  la 


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M.Pi- 
Icosse , 
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il'Okh  ittivn»  .ij^ri'iiblrs,  surtout  cMfiiii  (!<.■  t;i  ii>iiit<|i)«- 
JAjspaci;  nous  m.Hiquc  |>onr  explorer  »\rv  M.  V\ 
fhof  l«Mitcs  les  (MU'U)î.if«is  dv.  la  capitale  (h  CE^oss»' 
et  p^nir  décrire  avec   le  voyaj^eur  le   manoir  ûr. 
Waiter  St:ott,  situé  dans  le  voisinrtjje  d'Ediuibourj^. 
Ces  dt'^taiis  ^sont  d'ailleurs  presque  j;énéraleniei»t 
connus.  Nous  terminerons   notre   rf'.wie  en  nous 
transp'^rtafit  une  dernière  Fois  dans  la  Scandinavie' 
pour  prifler  du  voyage  de  M.  Oaumout  en  Suède, 
et  de  celui  de  M.»Tv/ii),N!»^]  en  Norwége.  ' 


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M.  l,)awvnont  prit  la  voie  àc  mer  pour  se  ï'endre 
eii  Suode.  U  s'embarqua  au  ilàvre  le  24  mai  1830, 
et  six  jours  après,  il  était  en  vue  de  la  Norwége.  Il 
entra  dans  le  Skajjer-Rack,  bras  de  mer  resserré 
entre  \p.  Danemark  et  ta  Norvv^jje»  cl  iiui  précède 
le  Ctttéjçat  et  la  Sund.  Im  navi^jalton  est  assez  dau- 
f;f.reusedan*^f;i^K  twirte*  mers  intérieures  et  étroites, 
parsi^mées  d  t^tm  iU,  de  bancs  tic  sable,  que  lesîern 
pètes  bonlevers*'.nt  rt  dt>p{i»cent  h  cbaque  insraril. 
La  vue  maritime  du  Sund  est:  une  des  pîus  hel'e^ 
de  rKurope  ,  après  Constautinoplc  et  iNapU^. 
M.  Djumicfit  débarquu  à  Elseueur,  ville  danoise  U»' 
douze  mille  babitans,  puis  il  (Vaucbit  le  détroif 
pour  touebor  à  ilelsiufjborg,  ville  suédoise  sur  I' 


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DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  SM) 

côte  opposée,  est  peuplée  d'environ  deuf  mille  ^ 
huit  cents  habitnns.  De  ce  point  notre  voyageur 
s  achemina  vers  .ockho1m.ll  remarqua  dansle  trajet 
que  bs  routes  de  la  Suède  sont  partout  u  rnsées 
de  distance  en  distance  par  des  barrière  ,  afin  qu*" 
les  bestiaux  ne  puissent  s'égarer.  Il  avait  dû  se 
munir  de  papier-monnaie,  ou  billets  de  banque,  la 
seule  monnaie  nationale  de  la  Suède.  H  passa  à 
Jœnkœping,  viKi>  hà  ie  à  l'extrémité  du  lac  Wetter, 
lequel  a  tr^.nte  lie.u  4  de  long  sur  sept  à  huit  de 
large.  Oettc  ville,  parfaitement  bien  bÀtie,  a  des 
rues  il'uu  aspect  très  gai,  régulièrement  percées  et 
bordées  de  jolies  maisons  en  bois  peintes  exté- 
rieurement. Sa  population  est  de  trois  mille  cinq 
cents  hnbitans. 

M.  î)aumoT)t  eut  pour  la  première  fois  dans  cette 
ville  occasion  de  remarquer  la  petitesse  des  lits 
suédois  :  ce  ne  sont  autre  chose  que  des  espèces  de 
couchettes  ou  de  canapés  fort  étroits,  et  par  con- 
séquent très  incommodes;  il  est  impossible  que 
deux  personnes  puissent  y  coucher  :  j'imagine,  dit 
le  voyageur,  que  le  sanctuaire  matrimonial  a  des 
lits  d'une  autre  dimension.^^-»  "«  'muf;i'»  ,'»;jnfi  t 

M.  Daumont  gagna  ensuite  Linkœping,  fort  jolie 
petite  ville  d'environ  quatre  mille  âmes,  chef-lieu 
de  la  provinc*^  d'Ostrogouliie,  et  il  remarqua  dans 
sa  rouie  d'Helsingborg  à  Stockholm,  trajet  de  près 

de  deux  cents  lieues,  que  presque  tout  le  monde  en 

XLVi.  ly 


200  VOYAGES  EN  EUROPE. 

Suède  voyage  en  voiture;  il  n'y  a  pas,  dit-il,  un 
habitant,  à  moins  qu'il  ne  soit  tout-à-fait  misérable, 
qui  ne  possède  un  chariot  et  un  cheval.  Loisqu'on 
arrive  dans  un  village,  si  Ton  se  trouve  obligé  d'en- 
voyer un  commissionnaire  à  la  plus  petite  distance, 
il  attelle  aussitôt  son  cheval  à  sa  voiture;  jamais  il 
ne  part  à  pied.  Au  surplus,  ces  voitures  sont  lé- 
gères ,  bien  construites ,  propres  et  agréables  à  la 
vue.  Des  relais  de  poste  sont  établis  à  quatre  ou  six 
lieues  de  distance  sur  toutes  leç  routes.  Il  y  a  dans 
chaque  relais  un  maître  de  poste  ou  gestgifvare , 
qui  tient  toujours  des  chevaux  prêts.  A  chaque  re- 
lais on  présente  un  registre  où  il  faut  inscrire  ses 
noms  et  qualités,  et  l'heure  du  départ;  en  cas  de 
plainte  on  en  fait  mention.  Les  chevaux  sont  pleins 
de  feu,  petits,  mais  de  formes  élégantes.  Rien 
n'égale  la  célérité  avec  laquelle  on  voyage  ;  les  voi- 
tures filent  comme  l'éclair,  et  on  relaie  en  une  mi- 
nute. Les  coursiers  partent  au  moindre  signe  et  au 
galop,  sans  avoir  jamais  besoin  du  coup  de  fouet. 
La  manière  de  les  exciter  diffère  de  la  nôtre ,  le 
postillon  frappe  fortement  ses  lèvres  l'une  contre 
l'autre,  comme  un  fumeur  qui  aspire  sa  pipe,  et 
pour  les  arrêter  on  crie  prrr,prrr;  c'est,  comme  on 
voit,  un  dialecte  à  part. 

La  Suède,  dit  M.  Daumonl,  porte  tous  les  ca- 
ractères d'une  grandeur  et  d'une  majesté  qui  lui 
sont  propres;  il  y  a  de  la  poésie  dans  ses  sites  d'une 


DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  291 

admirable  variété;  le  talent  de  l'artiste  serait  im- 
puissant pour  peindre  avec  fidélité  les  teintes  tour 
à  tour  douces  et  sauvages ,  agrestes  et  sublimes  de 
cette  contrée.  Il  atteignit  Norkœping,  ville  de  douze 
mille  âmes  sur  la  Motala,  qui  se  jette  dans  la  Bal- 
tique deux  milles  plus  loin.  Notre  voyageur  observe 
ici  que  les  villes  de  la  Suède  ont  rarement  des  mo- 
numens  durables;  il  ne  faut  point  s'attendre  à  y 
rencontrer  ces  chefs-d'œuvre  des  arts  qui  décorent 
souvent  nos  grandes  villes  ;  les  maisons,  d'une  con- 
struction légère  et  ordinairement  en  bois,  ont  par- 
tout le  même  aspect,  un  peu  monotone,  mais  d'une 
charmante  recherche  d'élégance  et  de  propreté. 

Norkœping  est  la  première  ville  manufacturière 
du  royaume;  un  bateau  à  vapeur  est  établi  entre 
cette  cité  et  Stockholm;  M.  Daumont  en  usa,  il  se 
trouva  bientôt  dans  la  capitale  de  la  Suède,  dont 
l'aspect  imposant  excita  en  lui  une  juste  admiration. 
11  en  donne  une  description  détaillée,  que  nous  ne 
reproduirons  point,  parce  que  déjà  il  a  été  ques- 
tion de  cette  ville  dans  le  voyage  de  Coxe  et  dans 
celui  de  Capell  Brooke.  Nous  ne  reproduirons  ici 
que  quelques  traits  de  mœurs,  et  pour  cela  nous 
irons  tout  d'abord  dans  la  province  de  la  Dalécarlic;, 
c'est-à-dire  au  cœur  de  la  Suède,  avec  le  voyageur, 
qui  lui-même  s'est  aidé  du  voyage  de  Forsell ,  publié 
en  1830. 

Le  Dalécarlien  réunit  la  franchise,  la  probité  à 


292  VOYAGES  EN  EUROPE, 

rintclligence,  à  la  gravité  qui  distingue  Thomme 
indépendant;  il  est  en  général  fortement  constitué. 
Son  front  est  éievé,  son  regard  ouvert,  et  sa  dé- 
marche ferme  et  assurée  ;  ses  réponses  spirituelles 
contrastent  avec  son  air  rude.  Content  de  ses  pro- 
pres droits,  il  n'envie  jamais  les  privilèges  d'autrui; 
il  supporte  plutôt  Tinsulte  la  plus  vive  que  là  froide 
moquerie.  Le  paysan  est  ordinairement  le  maître 
de  la  terre  qu'il  cultive,  et  quelque  faible  que  soit 
cette  propriété,  elle  suffit  pour  lui  donner  ce  ca- 
ractère fier  et  indépendant  qui  distingue  toutes  ses 
actions.  A  sa  mort,  son  bien  se  partage  entre  ses 
enfans  màles;  il  en  résulte  souvent  des  lots  si  faibles, 
que  le  nouveau  propriétaire ,  ne  pouvant  tirer  son 
existence  de  l'agriculture,  est  obligé  d'y  ajouter 
quelque  autre  branche  d'industrie  ;  mais  tel  est  son 
attachement  pour  le  sol  natal,  qu'il  n'en  vendrait 
point  la  moindre  partie.  Le  Dalécarlien  tutoie  tout 
le  monde,  et  cependant  il  n'y  a  pas  en  Suède  de 
contrée  où  les  autorités  soient  plus  respectées.  Lors- 
que le  gouverneur  de  la  province  ou  le  juge  de 
l'arrondissement  est  attendu  dans  quelque  village 
pour  y  exercer  ses  fonctions ,  et  que  la  nuit  le  sur- 
prend en  chemin,  les  habitans  s'empressent  de 
venir  au-devant  de  lui  avec  des  torches  de  sapin 
pour  éclairer  la  route.  Cette  marque  d'empresse- 
ment respectueux  est  offerte  sans  servilité  et  volon- 
tairement. 


DlX-NEUVlÊME  SIÈCLE.  203 

Le  Dalécarlien  montre  beaucoup  de  présence 
d'esprit  dans  les  circonsf<>'^ces  graves  et  imprérues: 
habitué  à  lutter  contre  un  climat  dur  et  un  sol 
ingrat,  il  apprend  de  bonne  heure  à  bien  combiner 
les  ressources  de  son  activité.  11  fabrique  lui-même 
les  ustensiles  de  son  ménage  et  ceux  de  l'agriculture 
non -seulement  pour  son  usage,  mais  pour  les 
vendre,  afin  de  suppléer  par  cette  ressource  à  Tin- 
suffisance  des  produits  qu'il  recueille  d'un  sol  in- 
grat et  stérile. 

Le  Dalécarlien  est  extrêmement  frugal  :  le  pain 
et  le  gruau  forment  la  base  de  sa  nourriture;  trois 
ou  quatre  sardines  et  quelques  pommes  de  terre 
sont  pour  lui  un  repas  somptueux.  L*eau-de-vie  et 
le  beurre  ne  se  trouvent  guère  que  dans  les  maisons 
riches.  En  Dalécarlie,  comme  dans  tout  le  nord  de 
la  Suède,  on  mange  un  pain  façonné  en  grandes 
galettes  très  minces  passées  au  four;  ce  pain  est 
fait  d'avoine  ou  d'orge ,  et  quelquefois  de  farine  de 
pois;  mais  les  liabitans  de  ces  communes  pauvres 
sont  souvent  obligés  d'y  mêler  une  partie  de  farine 
d'écorce  d'arbre  ou  de  l'écorce  moulue. 

Le  Dalécarlien  observe  encore  l'ancienne  hospi- 
talité du  Nord;  il  partage  de  bon  cœur  ses  minces 
provisions  avec  l'étranger;  mais  il  faut  bien  se 
garder  de  lui  demander  son  nom  avant  qu'il  ait 
pris  son  repas,  ce  serait  manquer  à  la  civilité  ;  on 
prétend  que  cet  usage  s'est  conservé  du  temps  ori 


w, 


294 


VOYAGES  EN  EUROPE. 


les  lois  de  riiospitalité  prescrivaient  de  proté|rer  tout 
individu  qu'on  recevrait  sous  son  toit,  et,  dans  la 
crainte  de  reconnaître  dans  Tétranger  une  per- 
sonne appartenant  à  une  famille  ennemie,  on  pré- 
férait ne  pas  lui  demander  son  nom. 

La  couleur  dominante  des  habits  est  le  blanc  ou 
le  noir,  et  dans  les  grandes  occasions,  le  bleu.  Il  y 
a  dans  certains  cantons  des  costumes  de  femmes 
qui  sont  d'une  grâce  et  d'une  élégance  extrêmes, 
à  cause  de  leur  coupe  et  des  ornemens  de  toute  es- 
pèce qui  y  sont  prodigués.  Les  femmes  attachent 
souvent  un  couteau  à  leur  ceinture;  à  la  mort  de 
leur  parens  elles  prennent  le  tablier  jaune,  et  il  est 
fort  extraordinaire  de  reti'ouver  ce  signe  de  deuil 
des  Chinois  transporté  dans  la  Dalécarlle.  La  coif- 
fure des  femmes  est  un  bonnet  plat  et  blanc  qui 
ne  couvre  que  la  partie  supérieure  de  la  tète;  il  a 
quelque  ressemblance  avec  celui  des  Hollandaises. 
Les  jeunes  filles  portent  des  bonnets  ouverts  pai- 
derrière,  et  elles  laissent  flotter  les  belles  tresses  de 
leurs  cheveux  blonds;  mais  cette  parure  cesse  dès 
qu'elles  se  marient. 

En  Suède,  la  police  et  la  douane  ont  quelques 
traits  de  ressemblance,  elles  sont  aussi  rigides  l'une 
que  l'autre;  la  première  exige  des  passe-ports,  et  la 
seconde  visite  avec  minutie  les  effets  des  voya- 
geurs. Du  reste,  la  police  a  peu  à  faire  pour  les 
délits  qui  troublent  la  société,  et  les  crimes  qui  y 


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Je*  4  •  hospitalité  pre8crivait?nt<l»r  pruttH^er  toiii 

imi^^Miu  iju  on  rt?cevpait  .*iOiis  son  toit,  ^-î,  finTia  la 
maiu    do   recounaîfro  naos   rf!^fi*anf»tr  une  per- 
>ionmi  appartenant  à  une  l'amil'iî  cnneiuic,  oî»  pré- 
férait ne  p;ïs  Itji  dennuder  Ron  nom. 

La  couleur  doniirjame  des  habits  est  ]c  blanr  ou 
}<3  noir,  et  <lans  les  grandes  océaniens ,  le  hieu.  Il  \ 
*».  dans  (certains  eantous  des  costiunes  de  t'onmies 
qui  sont  d'une  fjràc(ï  <?t  d'une  élr{janee  «îxU'<^rncs. 
à  cause  de  leur  coujje  vl  de*  i^rnemensde  toute  cs- 
j»;,**  ,.ii'  i.  a,  ,»i    ,.<Ww^}i  ««^^  i^jj  femme»  attaohoiu 

î?s*u  #  i»#*ïi1^«i*<' ;  à  la  mort  de 

Itrtir  i L4.fi lij,  i'tt».*  jM*:iHi4't«s  ti  UibtîtT  jaune,  et  il  est 
fiirt  extraordinaire  de  retrouver  ce  «signe  <!e  «leuil 
des  Chinois  transjmrté  dans  la  Daléearlie.  La  coît- 
fure  des  femmes  est  un  bonnet  plat  et  binne  qui 
ne  eouvre  que  la  partie  supérieure  de  la  t<He;  il  a 
quek|ue  ressejiibianee  aven  celui  des  Hj->liui)daise.-i. 
I*es  jeunes  jj^U^-^  fw.>ttent  d«*»  bonnets  ouverts  pat 
d«;r<4èi^,  ri  téfm  liii«»*enl  ÔOtter  les  belles  tresses  fît 
leitt*  <Ért0>v>' '^  -'Iivn4«;m«b  cette  parure  cesse  dès 
qu'dffes  se  tuai  ^«f.  - 

En  Suède,  la  p*>Uce  et  ta  douane  ont  qtï^lqu;"' 
traits  de  resseiiïblanee.  elles  sont  aussi  rijpdes  V\i\u- 
tpic  l'autre;  fa  pt  ernièrt^  ^^hV*  <'^^s  passe- portîS.  et  la 
jieeonde  visite  aven  minutl»^  les  elFets  dc"?  n"»y' 
geurs.  Du  reste,  la  poiiee  a  peu  à  faire  poj^-  !<  ^ 
délits  qui  troublent  la  sociélc,  et  les  crimes  q»:;:  y 


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DIX-NEUVIÈME  SIÈCLE.  205 

portent  Teffroi  :  tout  cela  est  presque  inconnu  en 
Suède,  et  Ton  peut  parcourir  le  pays  de  jour  et  de 
nuit  dans  la  plus  parfaite  sécurité. 

La  vie  isolée  que  mènent  beaucoup  de  Suédois 
les  rend  méditatifs  et  observateurs.  On  accuse  les 
Suédois ,  en  général ,  d'être  envieux  et  rancuneux  ; 
mais  cela  tient  au  prix  qu'ils  attachent  à  leur  petite 
propriété.  Les  Suédois  sont  très  polis  et  très  préve- 
nans;  toutefois ,  il"  r  nt  Fépine  dorsale  moins  flexible 
que  celle  des  Danois ,  des  Allemands  et  des  Italiens; 
leurs  manières  décèlent  un  peuple  lier  de  ses  sou- 
venirs  et  indiquent  des  hommes  pénétrés  du  senti- 
ment de  leur  dignité.  Le  peuple  est  essentiellement 
bon  et  doux,  sans  manquer  d'énergie. 

Les  femmes  de  la  Suède  sont  renommées  pour 
leurs  attraits  et  les  grâces  de  leur  personne;  rien 
n'égale,  en  effet,  l'élégance  naturelle  de  leur  tour- 
nure, l'éclat  de  leur  teint ,  la  beauté  de  leur  cheve- 
lure et  l'expression  de  leur  physionomie  si  douce 
et  si  animée  tout  à  la  fois;  ce  sont  des  modèles 
d'une  admirable  harmonie  dé  formes  gracieuses  et 
sveltes;  leur  démarche  est  remplie  d'aisance,  et  leur 
taille  ravissante;  il  y  a  dans  leur  maintien  de  l'a- 
bandon et  souvent  de  la  dignité  :  en  un  mot,  il  est 
fort  peu  de  pays,  suivant  M.  Daumont,  où  les 
femmes  soient  aussi  favorisées  de  la  nature,  et  l'on 
dirait,  ajoute-t-il,  qu'elle  s'est  plu  à  répandre  ses 
dons  avec  encore  plus  de   profusion   sur   celles 


2U6  VOYAGKS  EN  EUROPE, 

(l'une  condition  inférieure.  Du  reste,  les  daines  se 
mettent  avec  beaucoup  de  goût,  et  à  Stockholm 
elles  suivent  les  modes  parisiennes.  i  .  m  -<  ^ 
Terininons  cette  analyse  nécessairement  incom- 
plète, par  quelques  traits  empruntés  au  Voyage  de 
M.  Twining.  -  ' 


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TWINING. 
(1834.) 


M.  Twining  annonce  dans  son  Voyage  en  Nor- 
wége  et  en  Suède ^  publié  en  1836,  qu'il  a  eu  pour 
objet  de  compléter,  en  ce  qui  concerne  la  Norwége, 
le  beau  travail  de  M.  Daumont,  dans  lequel  il  est 
moins  question  de  cette  contrée  que  de  la  Suède 
propre.  ''  ■ 

M.  Twining  se  rend  d'abord  à  Copenhague,  puis 
à  Gothembourg,  et  franchit  le  Sund  pour  débar- 
quera Christiania,  la  seconde  capitale  de  laNowvége. 
il  fait  une  description  très  détaillée  de  cette  ville, 
peuplée  de  vingt -un  mille  habitans,  et  dont  le 
port  est  spacieux.  11  dit  que  la  manière  de  voyager 
en  Norwége  est  à  peu  près  la  même  qu'en  Suède. 

En  parlant  des  mœurs  norwégiennes,  M.Tvi'ining 
dit  qu'elles  sont  encore  aujourd'hui  ce  qu'elles 
étaient  autrefois.  Une  coutume  assez  générale  est 
de  porter  un  couteau-poignard  attaché  à  une  cein- 
ture en  cuir.  Les  femmes  n'ont  ordinairement  pour 
toute  coiffure  qu'une  longue   et  belle  chevelure. 


DIX-NËUVIBMK  SIÈCLE.  207 

tantôt  réunie  en  deux  tresses  tombant  par  derrière, 
tantôt  entièrement  défaite  et  recouvrant  les  épaules 
de  ses  boucles  épaisses.  ;>,.     ;  ;;,.  ' 

De  Christiania,  M.  Twining  passe  k  Bergen,  autre 
ville  norwégienne  située  sur  le  golfe  du  même 
nom,  avec  des  rues  étroites,  mais  régulières  et 
scntrecoupant  h  angles  droits.  Les  maisons  en  bois 
sont  petites,  mais  d'un  fort  joli  aspect;  elles  sont 
toutes  peintes  en  blanc  et  entretenues  avec  une 
grande  propreté;  des  ornemens  sont  prodigués 
avec  goût  aux  portes,  qui  sont  élevées  de  quelques 
gradins  au-dessus  de  la  rue,  à  la  manière  hollan- 
daise. Auprès  de  chacune  d'elles  est  un  tonneau 
rempli  d'eau ,  dans  le  but  de  prévenir  les  incendies 
ou  d'en  diminuer  les  dangers.  L'aspect  des  environs 
de  Bergen  est  pittoresque,  mais  il  annonce  leur 
peu  de  fertilité.  Cette  ville  réunit  vingt-deux  mille 
habitans. 

Après  avoir  visité  Christiansund,  notre  voyageur 
arrive  à  Drontheim,  capitale  de  la  Norwége,  etqui, 
avec  une  population  de  dix  mille  âmes,  occupe  au 
fond  d'un  golfe  l'embouchure  d'une  large  vallée 
arrosée  par  le  Niedelf,  rivière  peu  considérable, 
laquelle  fait  presque  le  tour  de  la  ville  avant  de  se 
jeter  dans  la  mer.  Les  maisons  couvrent  la  plus 
grande  partie  de  la  péninsule  formée  par  cette  ri- 
vière; le  reste  offre  des  prairies  parsemées  d'arbres 
et  d'habitations.  La  rue  principale  est  formée  de 


208  VOYAGES  EN  EUROPE, 

maisons  fort  belles,  quoiqu'cn  bois.  On  y  remarque 
surtout  le  palais  du  gouvernement,  regardé  comme 
le  plus  bel  édltice  qui  ait  été  construit  en  Europe 
avec  de  semblables  matériaux.  Drontheîm  fait  venir 
une  grande  partie  de  ses  blés  de  l'étranger.  A  la  fin 
d'août  cette  ville  commence  à  faire  usage  des  chan- 
delles dans  rintérieur  des  maisons.  Durant  les 
jours  les  plus  longs  de  Tété  le  soleil  ne  reste  que 
quatre  heures  sous  l'horizon;  en  hiver  il  ne  se 
montre  qu'environ  deux  heures,  en  partie  à  cause 
des  montagnes  voisines.  Sous  plusieurs  rapports 
Drontheim  a  de  la  ressemblance  avec  Christiania. 
M.  Twining  s'est  beaucoup  occupé  des  sites  et 
des  costumes  d^^  la  Norwége;  son  ouvrage  contient 
un  grand  nombre  de  vues  et  de  portraits.  Il  re- 
vient de  Norwége  en  Suède,  dont  h  son  tour  il 
décrit  la  capitale;  mais  il  ne  lui  restait  que  bien 
peu  de  chose  à  en  dire  après  M.  Daumont  :  aussi 
passerons-nous  sous  silence  les  détails  qu'il  pré- 
sente à  cet  égard.      -  r 


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FIN   DU   QUARANTE-SIXIEME   ET    DERNIER    VOLUME. 


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TABLE 


MATIÈRES  CONTENUES  DANS  CE  TOLUME. 


VOYAGES  EN  EUROPE.  ^  Foyages  anciens  et  modernes.        I 

Généralités  préliminaires.  /ù. 

Seizième  siècle. — Montaigne.  (1554.)  Italie.                      >  W 
Dix-septième  siècle.  —  Rbonakd.  (1676.)  Laponie.                *         72 

Dix-huitième  siècle.  —  Labat.  (1706-1715.)  Espagne.  ?• 

ÂNDER80N.  (1730.)  —  TnoiL.  (1772.)  Islande.  19 

John  Moore.  (1766.)  France.  tt 

Maupertuis.  (1740.)  Laponie.  t2 

Lady  MoNTAOUE.  (1720-1760.)  Turquie.  il> 

Ghoiseul-Gooffier.  (1776.)  Grâce.  M 

Porter.  (1768.)  Turquie.  tflft 

D'OHssoN.CaSO,).»».  121 

TowNsoN.(1777.)  W»,  127 

GoxB.  (1778.)  Russie.  133 

Pai-las.  (1768-1773.)/*.  IM 

SwiNBURNE.  (1776-1776.)  Espagne.  161 

Peyron.  (1780.)  Ib.  169 

BOURGOINO.  (1788.)/*.  172 

Fischer.  (1797-1798.)  7A.  f76 

MoRPHY.  (1798.)  Portugal.  166 

PiLATi.  (1777-1779.)  Hollande.  190 

RiEDSEL.  (1771.)  Grèce.  196 

Saint-Sadvedr.  (1 781 .)  Ib.  198 

PouQDEVitLE.  (1 798- 1 801 .)  /*.  206 
Dix  neuvième  siècle. — Marcel  de  Serres.  (  1 809-1 8 1 0.)  Autriche.  21 7 

ViALLA.  (1810.)  Monténégro.  240 

MiMAUT.  (1820.)Sardaigne.  266 

Albërt-Mointémont.  (1821.)  Italie.  260 

PicnoT.  (1824.)  Angleterre  et  Ecosse.  273 

Dacmont.  (1830.)  Suéde.  266 

TwiNiNo.  (1834.)  Norwégc.  206 

FIN    OR    I.A    TABLf. 


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TABLE  GÉNÉRALE 

ANALYTIQUE  ET  RAISONNÉE 

DES  MATIÈBES  CONTEWUÏS  DANS  LBS  «0ARAI»TB-SIX  TOIDMES 

DE  LA  BIBLIOTHÈQUE  UNIVERSELLE 

DES  VOYAGES. 


Nom.  Cette  table  a  été  rédigée  par  M.  LoDi»  DEMist4TRiE. 


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Aba***  (liabitaus  de  TAbazie,  pro- 
vince de  la  Russie  d'Asie).  Leur  pays , 
t.  XLV,  p.  438, 439.  —  Leurs  mœurs, 
leur  costume,  438, 441.  —  Belles  fem- 
mes ;  vente  d'enfans ,  439.  —  Vente  du 
père  par  le  fils;  éducation  des  cnfans 
des  princes;  piraterie;  respect  pour  les 
croix ,  440.  —  Restes  de  la  religion 
chrétienne,  441,  445.  — Ignorance, 
441.  -  Caractère,  442.  —  Traits  gêné, 
raux  de  mœurs  et  d'usages ,  444  à  451. 
Voyez  Caucase. 

Abbassabad  (village  du  Khorassan  , 
Perse  ).  Origine  singulière,  t.  XXXV, 
p.  167- — Fort,  caravenserail,  168.  — 
Habitans  mécontens  de  leur  sort,  169. 

Abtrmale  (une  des  Iles  Gallapagos), 
découverte  par  Cowley,  1. 1,  p.  3-55.  — ■ 
Ses  animaux,  XVI,  59. 

Ahyssinie  (  grand  pays  de  l'Afrique 
orientale).  Voyage  de  Bruce,  d'Ar- 
kééko  à  Gondar,  t.  XXIII,  p.  193-  — 
Arbres  et  plantes  du  pays,  197,  203 
à  213,  216,  252,  374,  402.  —  Carac- 
tère, costume  des  Sliilios,  198.  —  Ani- 
maux, 206,  209,  218,  241,  254, 260, 

337,  467 Mont  Taranta,   village 

Halai,  naturels, 207  à  209.  —  Dixan, 
211. —  Péages  donnés  à  ferme,  219.— 
Fleurs,  222,  237.—  Ruines  d'Axum, 
233.  —  Tableau  géographique  des 
provinces,  322.  —  Le  Begend.  %  326, 
328.  —  Les  Gafats,  331.  —  Usages 
du  p.iys  semblables  à  ceux  de  In  Perse, 
335  et  suivantes.—  Couronne  élective 
dans  la  famille,  335,  3Î1,  368.  — 
Sacre,  couronne ,  occupations  du  roi, 
336, 362.  —  Conseils,  338, 347.  —  Mi- 
nistres divers,  298, 338, 350, 362, 463. 
—  Attributs  et  privilèges  de  la  royau- 
té, 338,  348,  351,  362,  463.  - 

Adoration  du  roi ,  342.  —  Origine  du 
nom  de  Prêtre  Jean,  347.  —  Orne- 


men»  royaux,  348.  "-  Prince»  dif- 
formes se  peuvent  être  rois,  349 

Pains  d'Abyssinie,  351 .—  Récompen- 
ses, 353.  —  Supplices,  355.  —  Mariage 
du  roi ,  368-  —  État  des  héritiers  du 
trône ,  368.  —  Armée,  étendards,  370- 

—  Extérieur  et  intérieur  des  églises  , 
375  et  suivantes.  —  Moines ,  377.  — 
Division  du  temps  ,  80.  —  Provinre 
de  Shoa  ,  392.  —  Première  église  ca- 
tholique ,  394.  —  Fertilité  du  Bafi- 
Baha ,  395.  —  Marchés  sous  les  arbres, 
399.  —  Charmes,  403.  —  Rivière 
d'Assar,  404.  —  Montagnes  de  la 
Lune ,  416-  — '  Sacala  :  miel ,  églises , 
420. 422.  —  Sources  du  Nil,  424,  428- 

—  Animaux  de  charge,  467.  Voyez 
Agowt,  Damot,  Dembia,  Gojam,  Gondar, 
capitale,  Gaanjock,  Goutio,  Hazortat, 
Kuarae,  Latta,  JUaitsha,  Ras-el-Feel , 
Sirf,  Taeazzi,  Tigré,  Woggota. 

Abysiinient.  Costume  de  chefs , 
t.  XXIII ,  p.  175,  179.  —  Ont  le  porc 
en  horreur,  242.  -*-  Appellent  les  Eu- 
ropéens les  Francs,  293.  —  Usage» 
semblables  à  ceux  des  Persans,  335- 

—  Usages  singuliers,  345-  —  Repas, 
357,  36]- —  Mœurs  et  usages  sembla- 
bles à  ceux  d'Egypte ,  358,  367,  380- 

—  Mariage  et  ses  suites ,  367.  —  Cir- 
concision ,  378.  —  Blessures  à  la  mort 
d'un  parent  379.  —  Vénération  pour 
le  Nil,  406,  424,  428,  451.-  Vête- 
meus,  465. —  Religion,  travaux  ,  or- 
nemens  des  Kemmouts ,  471,  472. 

Aeapuloo (y'M.e  du  Mexique).  Voyez 
Passim,  t.  II,  p.  206  à  227,  et  XLI, 
p.  412. 

Acba  (  ville  Felatah  de  l'Yarriba , 
Guinée),  t.  XXX,  p.  115.  —  Jolies 
femmes;  caractère,  118. 

^cA<vi(i  (  royaimie  de  la  Guinér). 
Voyage   dans    le    pays ,  t.  XXVIil , 


•a 


304 


TABLF^  GÉNÉRALE 


p.  380  et  snivautec.  —  Sacrifices  hn- 
tnains,  386. —  Dounqna ,  388.—  Fon- 
taine d'Éloquence,  394.— Riches  cos- 
tumes, 399.  —  Sacrifices  de  montons 
ont  remplacé  les  sacrifices  humains, 
401 .  »-  Description  d'un  sacrifice  hu- 
main, 402.  —  Privilèges  du  roi,  4U6, 
425,  429.  —  Mœurs ,  usages  »  407, 
425,  430.  Tradition  sur  la  création, 
408.  •—  Suicides;  femmes  dn  roi,  409, 
429.  —  Tactique  militaire  ;  chants  po* 
pulaires;  grandes  fourmis,  410.  — 
Gouvernement,  424-  —  Ordre  de  suC' 
cession,  425.  —  Religion,  épreuves, 
fêtes ,  426-  —  Occasions  des  sacrifices 
humains;  jugemens,  428.  —  Mariages; 
population  ;  commerce ,  430.  —  Musi- 
que, 432-  Voyez  CounuusUt  capit. 

Aclmim  (  viÛe  de  la  Haute-Egypte  ). 
Habitans;  canal;  courent,  t.  XXIII, 
p.  86. 

Aehrtf/on  J7i/inij(y{  ville  dn  Mazan* 
4éran ,  Perse).  Ruines  du  beau  palais, 
t.  XXXV,  p.  3139.  Ancienne  opulence, 
340.  —  Belles  ruines,  XXXVII,  319. 

Açorti  (lies  de  l'océan  Atlantique). 
Origine  de  leur  nom,  retrouvées  et 
reconnues  par  les  Portugais,  qui  y 
trouvent  une  statue  montrant  l'Amé- 
rique ,  t.  I ,  p.  24.  —  Ont  été  décou- 
vertes par  les  Flamands,  IX,  157.  — • 
Résidence  du  gouverneur,  ISO.— Fré- 
quence destremblemens  de  terre,  cli- 
mat saluhre,  161. —  Détails  sur  la  dé- 
couverte; volcaos,  XX,  436  etsniv.  — 
Apparition  et  disparition  de  l'Ile  Sa- 
brina,  XLt ,  1 71  et  XLII ,  389.  —  Pro- 
bibition  de  l'esclavage,  XLII,  384.  — 
Origine  probable  des  Iles,  385.  Voyez 
Corto,  fqjral,  Floret,  Saint  -  George, 
Graeioia,  Saitta- Maria,  Saint  -  Mieh*l, 
Pieo,  Tercere. 

Acouan  (une  des  Iles  Aléou tiennes). 
Aspect,  t.  XIX,  p.  282. 

AoAirsoN.  Son  Voyage  en  Sénégam- 
bie,t.XXlI,p.60. 

AdHatdt  (lie.  Terre  de  Graham, 
océan  Antarctique).  Aspect  imposant , 
t.XXI,  p.  462. 

Adèle  (Ile,  Polynésie).  Nommée  par 
M   dOIrville.t  XVill,  p.  306. 

Adeh  (  ville  de  l'Yémen,  Arabie), 
t.  XXXI,  p.  239. 

Ad-lergty  (ville  du  Woggora,  Abys- 
sinie).  Cimpagne,  rivière,  hyènes, 
t.  XXIII,  p.  259,26a 


Aâig*  (rivière  d'Italie),  t.  XLV 
p.  398.  '—  Ses  sources,  404f. 

A'ijimir  ou  A^mere  (ville  du  Rajpnu- 
tana,  Hindoustan).  Aspect:  forteresse 
remarquable,  t.  XXXVI,  p.  325  — 
Tombeau  fameux,  326.  —  Célèbre 
temple  des  environs ,  327,  328. 

Adowa  (  capitale  dn  Tigré ,  Abyssi- 
uie).  Ses  montagnes,  t.  XXIII,  p.  223. 

—  Situation,  225  —  Églises,  226.  — 
Manufactures,  227,  230.  —  Sol;  ré- 
colte; bétail,  227,  229. 

Adriatique  (golfe).  Navigation  dans 
ses  eaux,  t.  XLIV,p.  329.  — Ile  Lis- 
sa ,  330.  —  Ile  Grossa,  331.  —  Golfes 
dangereux ,  331,  is32.—  Ile  Pola,  333. 

—  Rovigo ,  333  —  Côtes  d'Istrie , 
334  —  Trieste,  335.  —  Venise, 
336;  XLVI,267. 

Affagay  (ville  du  Bournou.  Sou- 
dan), t.  XXVII,  p.  139,  262. 

Afghans  (peuples  du  Caboul).  Leur 
inimitié  avec  les  Seiks ,  t.  XXXVII , 
p.  56.  —  Esprit  d'égalité  ,64,  68.  — 
Tribu  de  Momunds,  74  >  76.  —Tribu 
de  Khyberis,  77.  —  Esprit  de  tolé- 
rance religieuse,  81.  —  Traitement 
des  chevaux  ,  82.  —  Tribu  de  Ghiliis , 
83.  "^  Caractère  ,85,  94.  —  Langue, 
94.  —  Origine  juive  ,  histoire  ,  1(16. 

—  Tribu  remarquable  deKaffirs,  109. 

—  Montagnards  huzaras,  116,  118. 
Afrique,  Détails  géographiques,  for- 
me ,  étendue,  t.  XXK  pi.—.  Points 
extrêmes,  limites  2. — Déserts,  2, 7. — 
Circumnavigations  par  les  Phéniciens 
et  les  Carthaginois,  4. —  Absence  de 
mer  particulière ,  caps,  5.  —Fleuves, 
grands  lacs,  lies,  6.  —  Montagnes, 
7.  —  Découvertes  des  Portugais,  8.  — 
Découvertes  des  Anglais,  18  à  22  et 
38 à 45-— Découvertes  des  Français, 
22.  —  Source  de  l'esclavage ,  XXV , 
303. 

Aghadèt  (  vallée  des  Tibboiis  dans 
le  Bilma  -  Sahara  ).  Arbres ,  animaux 
féroces ,  t.  XXVII ,  p.  83 ,  442. 

Agowi  (peuple  de  l'Abyssinie), 
t.  XXIII,  p.  330.  —  Leurs  denrées  de 
commerce ,  399 ,  457 ,  459.  —  Leur 
miel,  401  .—  Leurs  sacrifices  au  Nil, 
433,  451. —  Etaler t  autrefois  puis- 
sans,  456.  —  Clir.at,  température  du 
pays,  457.  —  Tributs,  458,459.  - 
Vêlemen.f,  458. 

Agra  (  province  de  l'Hindoustan). 


DES  MATIERES. 


305 


Voyage  ilans  le  pays ,  t.  XXXI ,  p.  70, 
XXXVl,  290.  —  Ville  kaiute de  Binda- 
brund,  290.  —  Muttra  ,  révérée  des 
Hindous  ;  respect  pour  les  animaux , 
beaux  édifices,  291.  —  Campagne, 
290 ,  -.^.  -  Villages ,  292.,  203 ,  'JSI. 
-~  Ruinés  ,  293  ,  290.  —  Futthe- 
poiir,  29tf.' —  Qpnstructiott  des  ponts, 
298.  Voy.  BamtaroH. 

Agra  (capitale  de  la  province).  Au- 
trefois très  opulente, maisons,  hazur, 
tombciux ,  t.  XXXI ,  p.  70 

Agrigente  (  ville  de  la  Sicile  )  , 
t.  XLVI ,  p.  196. 

Aiglt  (  lie  de  V).  CAtes  d«  la  Non-* 
velle-Galle  du  sud,  découverte  par 
Cook,  t.  VI,  p.  347. 

Attu  (groupe  des  lies  Radack,Pory- 
nésie),  découvertes-  par  Kotzebn*, 
t.XVII,p.  206. 

Airiele  (lie:  groupe Kawen,  tle«Ra'- 
(lack,  Polynésie).  Découverte  par  Kot- 
zebne,  t.  XVII,  p.  191.  —  Visite  a  la 
reine.  Pantomimes,  192. 

Akootan  (  lie  des  Aléoutiennes  ).  Ses 
hantes  montagnes ,  t.  XI ,  p.  44. 

Alabama  (un  des  Etats-Unis).  ïleçoit' 
les  Indiens  Creeks,  t.XXXlX,  p.  343. 

—  Jeux  des  Indiens ,  348.  —  Mont- 
gqmery,  356.  —  Mobile  :  sa  baie,  358t 
voyez  Crtekt. 

Al'-inie  (province  de  la  Turquie 
d'Asie).  Voyage  dans  le  pays,  mœurs 
et  usages,  climat,  t  XLVI,  p.  ^9. 

Albany[y'A\e  du  New- York  ,^tats- 
,  Unis).  5iège  du  gouvernement  ;  pros- 
périté, canal  Erié,  t.  XXXIX,  p.  36. 

—  Législature ,  séances  de  l'assem- 
blée  législative ,  sociétés ,  126..  — 
Séance  du  Sénat,  127.  —  Rage  élec- 
torale, 1S8  et  suiT.  —  Catial  Erié , 
XL1,267. 

Albatros  (on  mouton  duQip).  Des- 
cription de  cet  oiseau ,  de  ses  mœurs, 
t.  XV .  p.  332  ;  XXI ,  éSS  et  suir. 

Ai.BKRT-MoirTKiioirT.    Description 
de  l'Italie  et  de  ses  principales  villes; 
mœurs    et    coutumes   des   habitans. 
.  Italiennes ,  leurs  conditions  ou  des- 
tinée, t.   XLVI,  p.  260  à 272. 

AlbiHoty  de  la  Sénégambie,  t.  XXV, 
p.  321.  —  Elépbans  et  singes  albi- 
nos, XXXIV,  160,  174,  281.  — 
Singes  blancs  de  Célèbes,  XLIII, 
Ikxiij. 

>f{i(M  (Nouvelle-.  Amérique  septen- 

XLVI. 


trionale) ,  découverte  par  Drakc,  t.  I, 
p.  181.— Aspect  du  pays,  caps  divers, 
X ,  337.  —  Exploration  de  la  cAte ,  ses 
aspects.  XIV,  141,  145,  147,  161, 
170,  181 ,  201 ,  ri27.  -  Pointe  des 
rochers ,  149.  — -  Pointe  et  baie  Saint- 
Georges,  151.  —  Cap  Oxford,  153. 

—  Figure,  formes,  véteniens,  piro- 
gues ,  armes ,  outils  des  naturels ,  154 , 
155,  184,  201,  207,218  et  «uiv., 
231 ,  2J3.  —Le  cap  Blanc,  158  :  eap 
PerpeMa,  159;  cap  Oxford,  160.— 
Pointe  Grau  ville,  tle  delaDestructiuu, 
164.— Montagne  remarquable,  167.— 
Exploration  dir  détroit  deFuca,  169  et 
suiv.'i— Poiute  New-Dungeness ,  l)tf), 
184. -Mont  Baker,  180— Remarqfibs  ' 
sur  la  cûte,  181.  —Description  du 
%|ivre  delà  Découverte,  de  ses  ha- 
bitans et   du  pays  adjacent,  189  et 
!>uiv.,  21 1  et  suiv.  —  Port  de  Town- 
shend,  198.  —  Pointe  Marrovp|  anse 
des  Chênes,  199.—  Pointe  du  Mau- 
vais-Temps, 200.  —  Pointe  des  Noi- 
setiers)  absence  d'habitans,  203.— 
Canal  de  Hood,  210.  — Sol,  212, 
216.  •—  Productions  minéralogiques, 
212.  —  Productions  végétales,  213. 

—  Quadrupède»,  214,  235.  —  Oi- 
seaux, 215.  —  Poissons,  reptiles, 
216.  —  Règlemens  publics ,  économie 
domestique,  220.  —  Conjecture  sur 
l'apparence  de  dépopulation,  221.  — 
Manière  de  disposer  les  movts ,  obser- 
vations ,  conjectures  à  ce  sujet,  222  à 
226.  —  Fables  débitées  sur  la  barbarie 
des  insulaires,  237.  — Voy.  port  de  la 
Déeounrtê  ,  port  Grajr,  rivière  OtUm- 
bitt,  port  de  la  TrùuU. 

Alboqdsrquk    (  Alphonse  ).    Son 
prvmier  voyage  dans  l'Inde ,  t.  I , 

5.  81.  —  Bat  le  zamorin  de  Calicut, 
4  et  suiv.  —  Son  nouveau  voyage, 
93.  — Mis  aux  fers  par  Almeyde,  il 
reprend  bientôt  sa  dignité  de  vice- 
roi,  102.— S'empare  de  Calicut,  103; 
de  Goa ,  104.— Ses  lientenans  décou- 
vrent les  Molucques,  105.  —  Il  meurt. 
Décadence  de  la  puissance  des  Portu- 
gais dans  l'Inde ,  106. 

Al-Djezjrr«h  ou  Mitopotamit  (  pro- 
vince de  la  Turquie  d'Asie).  Voyag.t 
dans  le  payl^;  t.  XXXII,  p.  462  et  suiv. 
—  Bir ,  465.  —  Orfah  :  danses  ,  mos- 
qxi'cu  et  leurs  oiseaux',  intérieurs  de 
maisons,  bazars,  466  à  468.  —  Mous- 

20 


300 


if   TABLE  GÉNÉRALE 


•el  :  cafés,  bains,  figure  des  naturels, 
vostumes  et  ornemens ,  480  à  482 

Alt»>»j»  (  province  de  Portugal  ) , 
t.  XL VI ,  p.  187. 

AUoutitHiui  (tles.  Mer  de  Beh- 
ring). Navigation  dans  leur»  eaux, 
t.  XI,  p.  39  et  suiT.;  XIX,  280.  - 
Ile  de  Coagalga,  282.  Voy.  AkùotM, 
Ootialla ,  OoHolathka  ,  CcKemnk. 

AUp  (ville de  Syrie,  Turquie  d'A« 
ftie).  Portefaix,  t.  XXXII,  p.  41.  — 
Mosquée,  cafés,  400.  '' 

AtkXAirnRK.  Souvenirs  divers  de 
ce  prince  dans  l'Asie  -  Supérieure , 
t.  XXXVII ,  P.  36 ,  135 ,  168,  343 , 
344 ,  378, 383,  412 ,  415, 419,  455. 

AUsaitdr*  if"  (arcliipel  de  la  Poly- 
nésie), découvert  par  Belliughausep. 
Sauvages  babitans,  t.  XXI ,  p.  441  .iV 

Aleaaitdr*  1"  (  île  de  l'océan  Gla- 
cial antarctique),  découverte  par  Bel- 
linglmusen ,  t.  XXI ,  p.  446. 

AUsmdnt  (ville  d'Egypte).  Aspect 
déduisant,  intérieur,  t.  XXII,  p.  217, 
•128.  —Ruines,  218, 4i29.  — Commerce, 
fortifications ,  220. —  Importante  sou6 
les."  Htulémces;  (ia  situation,  427.  — 
Citernes ,  climat ,  429.  —  Aspect  «,. 
\.  XXIII,  p.  55.  —  SesTpurts.  Sa  fou- 
dation  ,  56.  — '  Campagne  stérile,  57. 
—  Antiquités,  58.  — Fortifications, 
60.  —  Belle  rue,  population,  61. 

Altxandrina  (lac  de  la  Nouvelle- 
Hollande),  découvert  et  nommé  par 
Stnrt,  t.  XLIII,  p.  334,  366.— 
Communication  du  lac  avec  la  mer , 
335,  336,  340,  373.  —  Oiseaux  de 
ses  bords,  3)5.  —  Se  comblera  avec  le 
temps,  345  —Ne  communique  point 
avec  le  golfe  Saint- Vincent ,  368  — 
Massacre  du  capitaine  Barcker  par  les 
naturels,  374  à  378. 

Alger.  Son  aspect,  ses  fortifications, 
t.  XXII,  p.  181 ,  210.  —  Intérieur, 
campagne,  182,  210.  — Arts,  bains 
chauds,  188.  —  Jardins,  196.  —  Ci- 
metières, 212. 

Atgéri*  (col.  franc,  de  l'Af.  sept.  ). 
ProducHons,  t.  XXII,  p.  183,  189, 
196,  203,  209.  —  Oran ,  182.  — 
Arzew,  l83.  —Ancienne  magnificence 
de  Sherbell ,  184.  —  Rt^cs  antiques 
de  Constantine,  185.  —  salubrité  du 
clima.t,  culture,  195.  —  Fertilité  du 
soL  197.  —  Mines ,  197.  —  Animaux, 
196,  200.  —  Manufactures  ,  203.  — 


Denrées ,  203.  —  Rivières,  provinces, 

209.  — Habitans  divers,  213 Boue, 

XXIII ,  26.  —  Voy.  Arob*$ .  KoèiU. . 
Mauret. 

AigMttu,  Mœurs ,  parure  Hes 
femmes,  religion,  t.  XXII,  p.  187. 

—  Education ,  arts ,  188.  — vCostiime 
211.  — MaHages,2l2. 

Algi  (  ville  du  Kiama ,  Soudan  ) , 
brûlée  p;  le  moyen  de  pigeon.s, 
t.  XXVllI,  p.  152. 

AU-Allahii  (  secte  de  Persans  ). 
Croyance  ,  coutumes ,  t.  XXXV , 
p.  123.  et  suiv. 

«    AlicoHt*,  ville  d'Espagne,  t.  XLVI. 
p.  177 

,  Alie  (/a  Nyi»ph*)y  (le  de  l'Austra- 
lie ,  découverte  par  Bougaiuville , 
!ï  IV ,  322. 

Aligki,  ville  des  Tibbous  du  Bilma . 
Sahara,  t.  XX  VII,  v  71. 

AlloMbad  (province  de  l'Hiadon- 
staii).  Voyage  dans  le  pays,  t.  XXXVI, 
p.  129.  —  Nombre  des  mahométans  , 
133.  -_  Ville  de  Seidpour,  139.  — 
Avenues,  140.  —  Chunar,  156  (ii 
158.  ^  Mirzapour,  159.  —  Campa- 
gne, 167,  176.  —  Paysans  armés, 
168.  —  Champ  de  tombes,  169.  — 
Caravanserais ,  171.  — Villages,  174. 

—  Cawiipour,   174.  Voy.    Binarit , 
Fmttehpour ,  Gliazeipour, 

Allahahad  (  capitale  de  la  province}. 
Favorable  situation ,  t.  XXXVI,  p.  1C3. 

—  Tribunal,  164.  —  Fête  de  Ra- 
mayuna,  165.  < 

Allard,  général  français  au  service 
de  Rnnjeet-Siug,  sa  voiture  à  Lahore, 
y  accueille  Burnes,  t.  XXXVII,  p.  14, 
26.  —  Son  jardin,  433. 

Allemands.  Caractère  des  hom.nes  et 
des  femmes,  t.  XLVI, p.  230  et  suiv. 

Almetdi.  Son  voyage  et  ses  exploits 
aux  Indes,  1. 1,  p.  91  et  suiv.  —  Son 
fils  d4co;ivre  l'ile  de  Ceylan,  92.  — 
S'empare  de  Daboul,  10O. 

Almcrah  (capitale  du  Kemaoun,  Hin- 
doustan).  Climat  insalubre,  t.  XXXVI, 
p.  211.  —  Route,  rue,  maisons  des 
indigènes,  233.  — Propreté  de  la  ville, 
aspect  de  l'Himalaya,  p.  234. 

Alor*  (ville  et  antique  royaume  du 
Siudhy.  Hind.  ).  Ses  ruines,  son  his- 
toire ,  t.  XXXVII,  p.  376  et  suiv. 

.<^/«uarn  Mlcs  Saint-,  Australie),  nom- 
mées par  d'Entrecasteaux,  t,  XV,  p.  89. 


DES  MATIERES. 


307 


•roTiDces, 

—  Bone, 
Kébilti  , 

rare  «Ioh 
,  p.  187. 
Costume , 

Soudan ) , 
pigeons , 

Persans  ). 
XXXV, 

,  t.  XLVI. 

le  l'A\jstra- 
iigainville  , 

s  du  Bilma . 

I  l'Hindou  - 
,f.XXX\I, 
ihométans , 
ir,  139.  - 
lar,  156 1» 

—  Campa- 
ans  arméi), 
tes,  169.  — 
liages,  174. 

Bifnaièi , 

province^. 
LVI,p.l63. 

He  de  Ra- 

• 

lis  au  service 
■eàLahore, 
LVII,p.l4, 

ishom.'neset 

230  et  suiv. 

nés  exploits 

suiv.  —  Son 

|lan,  92.— 

saonn,  Hin- 

^,  t.  XXXVI, 

laisoDS  des 

de  la  tille, 

m. 

jroyaume  du 
les ,  son  bis* 
jet  suiv. 
ltraUe>,  nom- 
ft.XV,p.89. 


Alpni.  Dophrlnes  on  Scandinavei^ , 
t.  XLV,  p,  7,  93.  —  BaTOroises,  359, 
"îgil.  —  Tyroliennes,  362  à  402.  — 
Costume  de  paysans ,  383.  —  Le 
mont  Brenner,  385. —  Aspect  du  pays, 
385  et  suiv.— .Villages,  388,391  et 
aaiv.  —  L«, grand  Glochncr,  391, 392. 

—  Célèbre  pasiîage  de  l'Ortler-Spitz , 
402.-  Le  Mont-Blanc,  XLVI,  16,31, 
44.  —  Massif  nlpique  et  ses  groupes , 
21,  24,27.—  Origine  et  signiiication 
du  nom ,  27.  —  Alpes  Dinariques ,  28. 

—  Maritimes ,  29,  38,  43.  —  Cottien- 
ues  ,59, 38,  43.  -  Grecques ,  30, 30, 
43.  -  -  Penniues,  3>),36,  44.  —  Helvc- 
fiques  ou  lépontiennes,  31,  37,  44.  — 
Rliétiennes,  32,  37,  44.  —  Noriqucs, 
32, 37, 44.— Carniques ,  33, 37,44.  - 
Juliennes,  33,  38,  44.—  Région  des 
glaciers,  des  avalancbes  ,  34.  —  Val- 
lées, 35.  — •  Défilés,  35.-—  Hauteur 
des  faites,  36.  —  Alpes  Bastarniques, 
39. —  Dopbrines  ou  Scaod^iaves,  44. 

—  Hauteur  des  principaux  points,  43. 

—  Hauteur  des  principaux  points  des 
Alpes  Bernoises,  44. 

Al  que  mi  {^^^-ji  dépendant  de  l'Yar- 
riba,  Guinée].  Belle  campagne,  t.  XXX, 
p.  42.  —  Larro  :  félicbe  du  lieu  ;  co 
tume  du  chef,  figure  des  naturels; 
progrès  du  pays,  43  à  46.  —  Jenna  , 
47  à  58.  — '  Environs,  cootume  du 
cbef ,  47.  — •  Barbares  usages  à  la  mort 
des  chefs ,  49  54  et  suiv Dépopula- 
tion ,  50.  —  Industrie ,  nourriture  dies 
naturels ,  usages  divers ,  52.  —  Fem- 
mes dévouées  à  la  mort,  54  et  suiv;  — 
Tambonfs  arlistement  ciselés,  58. 

Aliten  (  île  de  la  Norvège  ).  Rési- 
dence épiscopale,  t.  XLV,  p.  128. — 
C(s  sept  famonses  i>iou<^agnes ,  130. 

AlUn  (  goite ,  dislriflt ,  rivière ,  ville 
du  Finmark,  Norwége),  t.  XLV,  p.  2()2 
à 265.  —  Animaux,  270.  —  Fête  à  la 
réaparition  du  soleil,  274.  —  Z<a  ïi* 
vière,  298. 

Altorm  ou  Alloun-Koupry  (  ville  du 
Kourdistan,  Tur.  d'Asie),  t.  XXXII, 
p.  484. 

Antakota  (tribu  cafre).  Dialecte, 
t.  XXIX,  p.  118, 126.—  Contrée  125, 
263. 

Amapcndat  (tribu cafre)  ,  t.  XXIX, 
p.  128. 

Arxarapoura  ou  ^namapoura  (capitale 
duBirjnan),  t.  XXXIV,  p.  454.  45*— 
Fondation ,  situation ,  palais ,  maisons 


sur  pilotis ,  fort ,  population,  pouvoir 
de  l'emperenr,  474;  ses  gardes,  sou 
costume,  476. — Feux  d'ar;  "res.  477. 
Amargura  (ile  de  l'arcbipei  des  Amis, 
Polynésie),  découverte  par  Maurelle, 
sa  stérilité,  t.  XIII,  p.  138,237. 

AmatK^foa  (tle  de!rai*tb-oel  des  Amis, 
Polynésie),  t.  VIII,  p.320'  et  suiv. 

Ainat/mba  ou  Tambookitt  (  tribu  ca- 
fre).^ Race.  Dialecte,  t.  XXIX,  p.  117, 
118.—  Sou  territoire.  Me  forme  pas  un 
peuple,  126. 

Amazizi  (rivière  et  tribu  du  sud  de 
l'Afrique),  t.  XXIX,  p,  139. 

Amazonei  (fleuve  des)  ou  Marognon 
(  Amérique  méridionale  ),  Origine  de  ■ 
son  nom,  t.  XXXVIIl,  p.  62.  —  Se» 
affliien»,  63.  —  Son  cours ,  64,  68. 
.^  Rapidité  du  cc.irant,  profondeur, 
64.  —  Phénomène  du  Prororoca,  pois- 
sons, 6  j.  —  Crooodiles ,  66.  —  Magni- 
fique aspect,  XLII,  11.  —  Radeaux, 
12  —  Descente  du  fleure,  31  à  74.  — 
Canots,  34, 63.  —  Mosquites,  37.  — 
Coufiuens,  40,  61,  67,  69.  —  Les 
Urubus(vautours),  54. —  Les  Amazo- 
nes ,  56. — Alligators,  énormes  serpens, 
58.  — Villes,  60,6r,66, 67, 68.— VU- 
lages,  63,  69k  — .  Plantations,  66.  — 
Le  Delta ,  68.  —  Détails  sur  sa  source 
et  son  premier  nom,  77.  —  Cours, 
largeur  de  l'cmboncburt; ,  396. 

Amboint,  (ile  d.s  Moluques,  Ma- 
laisie  ).  Comptoirs  de  son  ressort 
t.  IV,  p.  379.  —  Armée ,  380.  —  Cul- 
tnre  exclusive  du  girofle,  384.  — 
Malignité  du  climat,  tremblemens  de 
terre ,  387.  —  Description  générale  : 
l'ile  a  peu  «"'attrait,  XV,  72.  — ;  Carac- 
tère ^es  naturels,  72,  73.  —  Politi- 
que de  la  compagnie  hollandaise  , 
73,  74. —  Mœurs  des  naturels,  73. 

—  Épices,  74.  —Décadence  de  la 
compagnie ,  75. —  Population,  Chi- 
nois seuls  étrangers  aiimis,  leurs  obli- 
gations, leur  commerce,  77,  78. — 
Religions ,  78.  —  Exportation  des 
clous  de  girofle,  introduction  de  la 
muscade,  tremblemens  de  terre,  81. 

—  Habitations ,  nourriture  du  peuple, 
cacao,  café,  gisement» de  l'Ile,  82.  ^    ' 
Religion ,  Xtlll,  xxiij. 

Amhrjrm  (Ile  des  Nouvelles-Hébri- 
des, Australie),  découverte  pai-  Cook  ,  ^, 
t.  VIII,  p.  329.  —  Naturels  ,  330  et  * 
suiv.  — ,  Son  volcan  ,  '^48.  —  Sa  cir- 
conférence ,  424. 


308 


^ STABLE  GÉNÉRALE 


Amérlq**.  ÉUit  en  relation  «Tec  la 
ScandinaTie,  quatre  (ièoles  avant  celoi 
de  Colomb,  1. 1 ,  p.  10.  —  Généralités 
snr  le  pays  ,  XXXYIII,  1.  *—  Limite 
boréale, 3.  —  Superficie,  4.  —  Mon- 
tagne!,  6.  —  Rivières,  golfes,  6.  — 
Mers  intéricnr<i ,  détroits,  8.  —  Caps , 
9.  —  Presque  (les,  10.  —  Lacs  ,11.  — 
Savanes,  llanos,  12  —  Déserts,  13- 
»-  Climat,  14.  '—  Tremblement  de 
terre,  volcans,  15  —Productions, 
16.  -~  Animaux,  17.  —  Mulâtres; 
ignre,  formes  des  indigènes,  18.  — 
Variété  de  couleur,  origine,  19.  — 
I^angnes ,  20.  —  Tableau  statistique 
des  Américains  sous  le  rapport  de 
leur  idiome ,  22.  —  Religions ,  23.  — 
Gouvernemens ,  25.  —  Constitutions, 
28.  —Comparaison  de  ses  plaines  aviÉ 
les  steppes,  déserts,  etc.372,ctsuiv.  — 
Population ,  388 ,  390.  —  Rapport  de 
la  superficie  des  différens  États  et  de 
leur  population ,  393.  —  Projets  de 
section  de  l'isthme,  409.  —  Influences 
do  l'esprit  démocratique,  XXXIX, 
204. -::. Traces  du  déluge,  206. 

AmMqut  mMdional*.  LIanos,  pam- 
pas (plaine»),  t.  XXXVIII .  p.  12 ,  69, 
408.  —  Gouvernemens,  25.  —  Cou- 
fins,  6\.  —  Superficie,  62.  —  Mon- 
tagnes, 52,  406.  —  Climat,.  55.  — 
Productions,  57.  — Animaux ,  59.  — 
Fleuves ,  61.  —  Habitans ,  religions , 
population ,  70.  —  Voyage  chez  les 
Indiens  k  l'ouest  des  Guianes ,  XLl , 
173.  (Voy.  Guiane  anglaise)  —  Ses, 
Pampas  et  leurs  habitans,  voy.  c* 
n»m.  —  Manière  de  tuer  les  bestiaux, 
401,  et,suiv. 

Aménqut  russe.  Exploration  ée  la 
c6te ,  par  Cook ,  noms  donnés  à  dif- 
férens lieux,  détails  sur  les  naturels, 
t.  X,  p.  426  à  452.  —  Reconnaissance 
de  l'entrée  du  Prince -Guillaume. 
(Voy.  et  aoM.)  — Mœurs  et  usages  des 
naturels,  439  à  452;  et  XI ,  1  à  18.  — 
Suite  de  l'exploraUon  de  la  côte,  18. 

—  Rivière  ou  entrée  de  Cook,  23. 
(Voy.  e«  nom.)  —  Exploration  de  !a 
côte  ouest ,  noms  donnés  à  plusieurs 
lieux,  47  et  suivit  —  Baie  de  Bristol,  48 
etsuiv. — Remarquable  cap  du  Prince^ 
de-Galles,  53.    -Entrée  de  Norton,  96. 

—  Naturels  ressemblant  aux  Esqui- 
maux et  aux  Groënlandais,  124.  — 
Marées,  125  — Arbres,  sol  des  mon- 
tagnes, nombre  d'indigènes  de  la  côte 


sud,  XIII ,  304.  —  Navigation  le  long 
de  la  côte  ,  335  et  tiuiv.  345  et  sniv.  ; 
XVII,  81  à  105:  XIX,  251  à  284, 
430  et  sui^r.  ~-  Description  du  port  et 
des  naturels  de  Clarence,  449,  451. 

—  Voy.  Chamitto  ,  EUon  ,  Etquimaux 
d*  l'outst  ,  eap  du  Prince -4»'  Gallei , 
Grantley,'Hope  ,  Kotzeiue  ,  A/ulgrgft, 
Norton  ,  Portlock ,  r^giont  arctiques  , 
Sl-Elie,  Sarittekeff,  Sitka,  Tr  fiutiky. 

Amérique'  septentrionale.  Savanes, 
t. XXXVIII,  p.  12.  — •  Gouvernemeu», 
25,  51.  —  Gisement,  29.  —  Bornes, 
superficie,  29,30.  —  Golfes,  31 .  —  Dé- 
troits, 33.  —  Système  devoiontagnes, 
34.  —  Hauteur  des  principales ,  35. 

—  Bassins,  fleuves  et  leurs  cours ,  36 
et  sbiv.  —  Climat,  productions  ,  48. 

—  Animaux,  49.  —  Religions,  lan* 
gués ,  50.  — *  Variabilité  du  climat , 
XXXIX,  24.  —  Diverses  influences  de 
l'espKt  démocratique  ,  204  et  suiv. — 
Traces  du  dé'ige,  206.  — .Tentative» 
faites  pour  trouver  un  pnssage  au 
nord.  État  de  nos  connaissances  à  cet 
égard,  XL,  xj,  xxvj,  xxxj.  —  Voyages 
de  Franklin  sur  les  côtes  de  la  mer 
Polaire ,  477, 489.  —  Rivière  de  Cui- 
vre, 481,  487. 

Amhara.  (  Prov.  de  l'Abyssinie  ), 
Étendue,  sol,  habitans,  t.  XXIII, 
p.  328. 

Amhkrst.  Son  ambassade  à  Péking, 
t„  XXXIII ,  p.  351.  —  Différends  sur 
le  cérémonial ,  352,  355,  362 ,  365, 
367,  371.  —  L'Empereur  fait  con- 
gédier l'ambassade ,  376.  —  Séjourne 
a  Nanking,  396.  '—  A  Canton,  422. 

Amidl^Amid  ou  montagnes  de  la  Lune 
(Abyssinie) ,  t.  XXIII ,  p.  415,  416. 

Amirauté  (tlei  de  /').  Partie  de  l'ar- 
chipel de  la  Nouvelle-Bretage  ^  dé- 
couvertes par  Carteret,  toro.  III, 
p.  1^1, 162.  — ■  Pirogue  de  cinquante 
pied^et  d'un  seul  arbre,  160.  — 
Description  des  habitans  et  de  leurs 
armes ,  161.  —  Voy.  Négros ,  Vtn- 
dola. 

Amis  (des  des)  ou  Tonga-Tabou  (sr- 
»:hipel  de  la  Polynésie  ).  Pourquoi 
ainsi  nommé  par  Cook,  détails  sur  sa 
découverte ,  t.  VIII,  p.  73,  325.  — 
Comparaison  des  Iles  et  des  habitaDs 
avec  ceux  de  l'archipel  de  la  Société 
et  ceux  de  Taïti,  75  et  suiv. — Produc- 
tions ,  habitations,  animaux,  domes- 
tiques ,    poissons,   filets,    piroguesi, 


DES  MATIÈRES. 


300 


outils ,  83  et  »mt,  — >  Naturels  ,  leurs 
vétemeas  ,  ornemens  ,  ainiisemens  , 
iostrument  de  musique,  manière  de 
Diiluer,  caractère,  S6  et  suit.  —  Cou* 
tûmes  singulières  :  mutilation  du  petit 
doigt ,  90.  —  Gouvernement ,  9*.  — 
Aisance  acquise  par  le  travail ,  94.  — 
Keligion ,  langue ,  95.  —  Population , 
dialecte,  moral,  etc.,  des  liabitans,  327. 

—  Cook.  reço  it  à  bord  le  roi  de  ces  lies , 
IX,  340.  — Disposition  des  insulaires 
au  Tol,  342.  -^  Leur  opinion  superti- 
tieuse  sur  l'Ile  Toofoa ,  348.  —  Res- 
pect pour  les  chefs,  381  ,  389.  — 
Plante  et  liqueur  kava ,  445.  —  (^uis- 
Min  des  po^s,  448,  450.  —Punition 
de  l'infidélité  dos  femmes,  X,  32.  — 
Articles  les  pluspropreaaux  échanges 
arec  les  naturels,  39.  —  Nombre  et 
nom  des  fies,  41 ,  42.  ~  Voyages  de 
long  cours  des  naturels,  50.  —  Leurs 
formes,  teint,  maladies,  physionMfnie, 
53  et  suiv.  —  Douceur  de  raœurf\  58. 

—  Ptachant  au  vol ,  59.  —  Cheve- 
lure ,  61 .  — •  Tatouage ,  circoncision , 
vétemens,  ornemeos,  62,63.  -  -Pro- 
preté, 64, 65.  — 'Occupatiop  j  des  fem> 
mes ,  étoffes  ,  66.  —  Occupations  des 
hommes ,  agriculture  très  cultivée , 
67  et  suiv,  —  Constructions  des  mai- 
sons, 70.  —  Meubles,  71 .  — Outils,  72. 
—•  Instrumens  de  musique,  armes,  74. 

—  Nourriture  ,  cuisine  ,  repas  ,  réu- 
nions, 76  et  suiv. — Mariages,  poly- 
gaopie  permise  anx  chefs ,  79.—  Céré- 
monies funèbres,  blessures  en  signe  de 
deuil ,  80  et  suiv.  — -  Croyances  reli- 
gieuses ,  Être  suprême ,  immortalité 
de  l'âme,  83.  —  Gouvernement  res- 
semblant à  celui  de  la  féodalité,  85) 
86,  93.  —  Hommages  rendus  au  roi, 
87  et  suiv. .—  Bon  ordre  des  assem- 
blées, 88. —Quelques  privilèges  du 
roi,  89.  et  suiv.  —  Officier  de  police , 
92.  —  Remarques  sur  la  langi^  95 , 
224.  —  Sacrifices  humains,  130.  —  La 
connaissance  des  Européens  a-t-elle  été 
heureuse  pour  les  insulaires  ?  208.  — 
Mœurs  semblables  à  celles  des  insulai- 
res des  lies  Sandwich  et  de  la  Société, 
331.—  Gomment  la  même  nation  s'est 
répandue  sur  toute  la  mer  Pacifique , 
333.  —  Sol  des  Iles,  XIII ,  148.  — 
Les  naturels  se  coupent  les  deux 
phalanges  du  petit  doigt,  149.  — 
Conjectures  sur  le  gouvernement  et 
l'ordre  de  succession  au  trAne ,  XV, 


173,178.  —  PoUov,  disposiUona  des 
indigènes  an  vol ,  177.  —  Privilèges 
des  chefs,  mutilations  en  signe  d« 
deul,  voyages  de  long  cours,  179. — 
Natiirels  peu  belliqueux,  181.  — 
Voy,  lUt  Jlnamacki  Amargura ,  Ammt- 
tafoa,  Boteavik  ^cot,  K*péraite«  ; 
F*ej«  ,  Hamom  ,  Hapnè* ,  groupe,  JST*- 
tuvjr,  Uon^  K»o,  JLa*a^«too,  Ktpptl, 
Middtlbourg^  Oghai»,  Tomga  .  Taîoti^ 
Tooj  6,  Traftrm,  Fatao. 

Amman  (ville  de  Syrie,  Turgnie  d'A*  , 
sie)  Ses  ruines ,  t.  XXXII,  p.  416, 4t7. 

ji/mof  (ville  duMaiandéran,  Perse). 
Antiquités  intéressantes;  popolation, 
t.  XXXV,  p.  359. 

Amr*tiir  ou  UmrUtir  (ville  du  Pen- 
jab,  Hindoustan).  Grand  canaU  céré- 
monies du  culte  /eik,  t.  XXXVII, 
fti  453.  —  Costume  et  caractère  des 
Acalis,  454.  —  Sel  pour  les  vaches 
sacrées ,  455. 

.<^mroaA  (  ville  du  Rohilcnnd,  Hin- 
doustan). Mosquées,  jardins,  cannes  k 
sucre,  t.  XXXVI,  p.  255. 

Amsterdam  (Ile,  mer  des  Indes),  t.XV, 

p.  14. 

Amsterdam  (  Ile  de  l'archipel  des 
Amis).  "Vo^,  TongO'Tahou. 

Amsterdam  (  Nouvelle-,  ville  de  la 
Guiane  Hollandaise  ),  t.  XLI ,  p.  229- 

Aitaekoriies  (  Ile ,  Australie),  décou- 
verte par  Bougainville,  t.  IV,  p  319. 

An-Am.  Voy.  Cochinchine. 

Anamapoura.  Voy.  Amarapoum. 

Anambas  (  archipel  de  la  mer  de  la 
Chine), reotnnn  par  Bougainville  fils, 
t  XVIII,  p.  408. 

Anamocka  ou  Rotterdam  (Ile  de 
l'archipel  des  Amis,  Polynésie),  dé- 
couverte par  Tasman,  1. 1,  p'.  348.  — 
Beauté  du  pays;  hospitalité,  costumes, 
maisons  des  natnrels,  t.  VlII,  p.  316, 
318,  324.  —  Sol;  étang  intérieur, 
323.  —  Productions,  325.  —  Habitans 
lépreux,  326.  —  Natnrels,  pirogues  , 
disposition  an  vol,  IX,  337  et  suiv. 
-TT*  Aspect,  sol,  productions,  344.  — • 
Aspect  des  tlos du  Nord, 347-  —  Denils 
sanglans,  XIII,  p.  321. —  Prostitution, 
426. 

Anay  (ville  des.  Tibbons,  Sahara  ), 
t.  XXVII,  p,  68. 

Anehidites  (Iles ,  cAte  de  l'Hindous- 
tan ,  ouest).  Signification  <^a  nom ,  1. 1, 
p.  59.. 

Andalousi»  (  province  d'Espagne  ). 


310 


TABI^  GÉNÉRALE 


* 


• 


Voyage  dnui  l'iAtcricur,  f.  XLVI , 
|).  177  et  suiv.  —  Curdoue,  patrio  de 
Sénèque  et  de  Lucain ,  177.  —  Sérille, 
Cadix,  178. 

Andanam  (des du  golfe  du  Bengale) 


reDtit,  394-  —  Aoutea;  {ilateanx ,  897. 
— Régions  des  mines  diverses ,  397  et 
siiiv.  —  Plaines  du  bas ,  398.  —  Le» 
«racM,  401,402. 

Amdréussi   fait    la  reconnaissanrc 


Structure,  sol,  t.  XXX4y,  p.  2.  —  Ile    de   l'ancien  lit  do   Mil,  tome  XXII, 


Narcondam ,  4- 

A»<itrtoii[\\e,  merde Bebring), nom- 
mée par  Cook,  t.  XI,  p.  60. 

AMUERsoir.  Ses  voyages  en  Europe, 

XLVI,  p.  77.  r 

Atdti  ou  CorJiliire,  ou  Cordilière  dt» 
Aitde$  (  munlagaes  de  l'Amérique  mé-^ 
ridiouale).  Origine  du  nom.  —  Maxi- 
ma  des  lignes  dt  faite,  t.  XXXVIII, 
p. 5. — Volcans,  neiges  éternelles,  val- 


lées ,  03.  —  Hauteur  des  priucipaux 
sommets ,  54.  —  productions ,  régions 
de.s  plantes ,  57,  —  Régions  des  ani- 
maux, 59. —  Itelation  de  la  découverte 
del»  mer  du  Sud,  du  haut  des  monts, 
par  Vasco  Nugnez,  248.  —  Soi^ccs 
pour  les  deux  vcrsans,  XLI,  281   — 
Voyage  dans  les  montagnes  (au  Pérou), 
342.  —  Sol ,  343,  350.  —  Productions, 
343, 353.  —Ravines,  344;  381 .  —Pos- 
tes, 314  —  Eaux  tliermates,  345— 
Gorges ,  346 ,  356 ,  358.  —  Animaux , 
316,355,  — Rocher8,347, 356,365  — 
Belles  vues ,  347.  —  Filons  de  cuivre , 
319.  —  Torrens,  355,  360.  —  Por- 
phyre, 356.  —  Huttes  pour  les  voya- 
geurs ,  361,  363,  365,  367.  —  Oura- 
gans, 362.  — La  Cambre  (chaîne  su- 
périeure), 365, 387.  —  Ville  nouvelle, 
368.  —  Passaj^e  de  la  chaîne,  XLII, 
4  à  34.  —  Villages,  6,  IflJ  18,  31.  — 
Ancienne  danse  indienne ,  6.  —  Pas- 
ses remarquables,  7,  13,  17,  21,  23, 
29.  —  Vallées,  8.  —  Productions,  8, 
13.  —  Sommets  des  monts ,  9,  13.  — 
Seconde  Cordillère  ;  sources  ;  magni- 
fique aspect  du  Maragnon,   11.  •— 
•Ours ,  16.  —  Plumes  de  condors  ;  sin- 
guliers chiens  de  bergers,  19.  —  La 
JUoiitagna  (  district  des  bois  ),  20.  — 
Prudence  et  agilité  des  mules,  21 .  — 
Abeilles   et   cire  noires,  22.  —  La 
Fentana,  23.  —  Rivières ,  23,  24.— 
Clôtures,  24.  —  Sarbacanei  des  In- 
diens à  lancer  la  flèche,  2£  —  Cas- 
cade, torrent  for^dablc,  30.  —  In- 
diens  peints,   32,  —  Considérations 
géuéraîes ,  74-  —  Les  trois  branches 
des  Andes. dans  la  Colombie.  Leur  di- 
vision sous  le  rapp  .  •*  de  la  tempéra- 
turc,.  Aspect ,  climiit ,  393.  —  Saisons , 


P,  452, 

Anirinopte  (ville  de  la  Roumélie, 
Turquie  d'Europe),  t.  XLIV,  p.  257. 

—  Belle  campagne,  XLVI,  86.  — 
Jardinier!»  bergers  vivant  comme  ceux 
de  l'antiquité.  Marche  des  troupes  de- 
vant le  grand  seigneur,  87.  —  Ha- 
rems, 88. 

Angola  (ville du  Boumou,  Soudan), 
courd'uue  princesse,  t  X^II,  p  239 

Angt'Kioof  (  vallée  de  la  colonie 
du  can  de  Bonne-Esipérance),  t,  XXIV, 
p.  104  et  suiv. 

Angtaii,  Leur  caractère  comparé 
à  celui  Ides  Écossais  et  des  Irlan- 
dais^ t,  XLVI,  p.  273  à  280.  —  Leur 
Égolmo,  274,280,283. 

Aiigltleirt.  Impression  que  ptodiiit 
ce  pays,  comparé  à  celle  qu'éprouve  le 
voyageur  en  Franoe,  i.  XLVI,  p,  2711 

—  Londres,  280  à  283. 
Angornou  (ville  du  Bournou ,  Sou- 
dan), t.  XXVII,  p.  122.— Population, 
commerce,  127.— Denrées;  habilaus, 
128.  —  Belles  négresses,  177. 

Anliinga,  Oiseau  à  cou  de  serpent, 
t.  XXIV  ,  p  275. 

Aunatom  (  Ile  ^cs  Nouvelles-Hébri- 
des, Australie),  Découverte  par  Cook. 
Naturels  anthropophages,  produc- 
tions, etc.,  t.  VIII,  p.  377  et  suiv. — 
Son  aspect,  XVIU,  303.  • 

AnsQif  Ses  iuiques  expéditions  con- 
tre les  Espagnols  du  Pérou  et  des 
Philippines,' t,  II,  p.  74  à  354. — Après 
avoir  essuyé  plusieurs  tempêtes,  ar- 
rive à  llle  Juan-Fernandez,  132.  — 
S'empare  de  divers  vaisseaux  espa- 
gnolK^  156,  170,  173.—  Pille  et 
brûle  Paita  dans  le  Pérou,  179  — 
Est  obligé  d'abandonner  successive- 
ment presque  tout  le  butin,  221, 
236  —  Risque  d'être  abandonné  à 
Tinian ,  259,  272,  —  Relâche  à  Ma- 
lao,en  Chine,  291. —  Obtient  fort 
difficilement  l'autorisation  du  vice- 
roi  de  Canton  de  se  ravitailler ,  pour- 
quoi? 296,  308.  —  Combat  et  prend 
un  galion  espagnol,  312.—  Rela- 
tion de  l'audience  q><'il  obtient  du  vi- 
ce-roi dte'CantoD,  339. 


# 


DRS  MATIÈRES. 


A»ttq»trro  (ville  d'Eit».).  t.  XLVI, 
|>.  109. 

AnUgoû  (Ile  d«  petites  Antilles). 
Miiisuns ,  rues  de  la  capitale ,  t.  XLI , 
|>.  275. 

Antilltt  (  archipel  de  l'Amérique 
se|itentrionaIe  ).  Siognlière  pro|frié- 
té  d'ua  poison,  t.  XXXVIII,  p.  \9l. 

—  Population  des  lies ,  3Û0,  409, 
410.  —  Singulier  caractère  des  babi- 
taas,  XLII,  461. 

AnillUi  (  grandes  ).  DikwiiTertes 
par  Colomb,  t.  XXXVIII,  p.  100, 
238- Voy.  Cuba,  Haui,la  Jamttqut , 
Porto-Rieo ,  Tortui. 

AnUH*i  (petites).  Dérouvertes  par 
Colomb,  t.  XXXVIII,  p.  164.  239, 
241.  Voy.  Antigoa,  la  Barbadt ,  la 
Dçmimfuf ,  la  Guadtloupt,  Saintt- 
Lucie ,  la  Martinique  ,  les  Saintet, 

AiiUoeh*  (ville  de  Syrie,  Turquie 
d'Asie^,  t.  XXIII,  p.  45.— Mai»uns, 
rues,  bazars,  mosquées,  grotte  de  la 
Fécondité,  gouvernement,  divertisse- 
ments,  XXXII ,  458. 

Antiparoi(\\e  de  l'Arcbipel).  Grotte 
fameuse ,  t.  XLVI ,  p.  96. 

AoTouaou.  Jeune  Ta'ttien,  emmené 
par  Bougainville  ,'  s'ir.sa  demande, 
t,  IV  ,  p,  231  —  Son  séjour  à  Paris, 

250.  —  Meurt  à  Madagascar     231 , 

251 ,  402.— Est  le  sujet  d'une  i;  «sodé 
des  Jardiné  do  Delille,  251.  —  Avait 
des  notions  d'astronomie ,  258. 

Aoudh  on  Oud*  (province  de  l'Hia- 
doustan).  Voyage  dans  le  pays,  tom. 
XXXVl,  p  176  à  205.  —  Villages, 
177, 197,  200,  201.  205.  -  Cam- 
I>agae,  179,  199, 200,  202.  —  Gaze- 
tier,  180.  —  Audience  ■'u  Tîawad , 
sa  couronne, ses  oeuvres  scientifiques, 
187  et  suiv.  —  Usage  singulier,  191. 

—  Anarchie  de  l'Eut ,  193.  202.  — 
Fort  Meiagunge ,  197.  —  Belgaram  , 
198.  —  Fertilité  du  sol,  199.-:  C^""- 
ricrs,  poste,  201.  — Vieille  forteresse 
de  Suwmunuggur,  203.  Voy.  Lucknow 
capitale, 

Apéi  (Ile  des  Nouvelles-Hébrides), 
Australie,  t.  VIII,  p.  339,  424. 

Apsnniiu  (  montagnes  d'Itulic  )  , 
t.  XLVI.  p.  31.  — Hauteur  des  prin- 
ripaiix  points,  44. 

A/)i,u<»,  Voy.  Paoom. 

Arabes,  Extension  de  leurs  ét^iblis- 
st  mens  sur  la  mer  Rouge  ;  avaient , 
ai  ix"  sièrle,  nn  radi  à  Canton  ,  1. 1 , 


3H 

r  ■♦' 

p.  0.  —  Aiment  les  ebnveui  long.* , 
parfumcat  leurs  habits  ;  oostnuio , 
figure  de  femmes  ,  XXIII ,  148.  — 
Leur  race ,  XXXI ,  19.  —  Effets  du 
lamitl ,  précautions,  326.— Noblesse , 
éducation  ,  327.  —  Réunions  ,  carac- 
tère  ,  329.  —  De  la  virginité ,  331 .  — 
Propreté ,  offire  des  barbiers ,  hospi- 
talité, saints,  appartemcns ,  332,333. 
—Taille,  repas,  visites,  maisons,  ra- 
reté des  maladies ,  334.  —  Usages  , 
jeua  dans  les  cafés,  XXXII,  26.  — 
Méprisent  les  Turcs,  43.  —  Leurs  pè- 
lerinages à  La  Mecque.  Voy.  La  lu«e- 
(fue.  —  Pèlerinages  des  anciens  ido- 
Aires,  22(i.  —  Délicatesse  de  l'odorat, 
234.  —  Superstition  des  matelots, 
365.  —  Coutumes  de  quelques  tri- 
bus, 379.  —  Voyage  pnnni  les  tribus, 
à  l'est  de  la  Syrie,  385.  —  Fipure, 
formes,  XXXV,  15.  —  Peuvent  rem- 
placer l'eau  par  le  sable  pour  leurs 
ablutions,  XXXVII,  247. 

Arabn-B^douint.  Leurs  huttes  dans 
l'Arabie,  t.  XXXII,  p.  13.  —  Leurs 

iirovisions  de  voyage,  36.  — -  Elèvent 
es  enfans  des  chérifs,  173,  175.  — 
Condition  des  enfans  du  chef  ré- 
gnant, 175,  176.  —  Délicatesse  de 
l'odorat ,  234.  —  Leur  costume  ;  for-^ 
ment  une  race  à  part,  314.  — Mé- 
prisent les  artisans,  319.  —  Leur  race 
s'est  conservée  dans  le  Ncdjed,  383. 
— ■  Voyage  parmi  les  tribus  de  l'est 
de  la  Palestine,  385.  —  Campemens; 
390,  419  et  suiv.  —  Vols ,  393.  — 
Récits  de  veillées,  409,  411,  426.  — 
Tentes ,  419.  —  Souhaits  à  la  per- 
sonne qui  éternue ,  423. 

Arabti  d»  la  Barbarir.  Ignorance, 
t.  XXII ,  p.  201.  —  Musique ,  202.  — 
Divertissemens ,  mari.-iges ,  204.  — 
Leur»  formes ,  XXVII .  21 .  —  Ca- 
ractère, 22,  26.  — :  Vêtemens,  pas- 
sion pour  lesvécits,  23, — Hospitalité, 
24 .  27.  —  Lâcheté  punie ,  25. 

Arabtt  tït  l'Egypte.  Description  des 
quatre  classes,  t.  XXII,  p.  245. 

Arabes  du  Maroc.  Leur  vie  nomade, 
t.  XXII ,  91, 162.—  Costume ,  figure , 
tributs^  192  à  94.  —  Sont  opprimés  ; 
leur  agriculture,  95.  —  Chiens  de 
garde  ^. 

Arabes  viathahUts.  Ne  vénèrent 
point  Mahomet ,  XXXII ,  291. 

Arabie,  Etat  du  sol,  climat,  t,  XXXI, 
p.  325.  —  Vents  cl  leur»  effets ,  328. 


4"- 


312 


TABLE  GÉNÉRALE 


V 


— Habitaot  Julh ,  327. — Bel  arbutta  « 
kou  utilité  pour  le*  femme* ,  343.  — 
HUtorjqua    dei     voyages     effectué! 
daat  le  |iays,  XXXII ,  l  et  luir.  Voy. 
Oman, 
Arabii  D^ierti,  Voy.  N*Jlj*J, 
ArûhU  H«un»it.  Voy.  Y^tun. 
Arabie  P4lr^*.  Voy.  //*<(/«. 
Araè(y'\\\t  de  la  Hongrie,  empire 
d'Autriciie),  t.XLIV.p.  119. 

Aragon  (  proTiuoe  d'Etpagr.e  ). 
Caropagne ,  Saragotae  ,  t.  \LS  I , 
p.  174. 

Aranjuf  (  rétidenoe  royale.  Eapa- 
gne),  t.  XL VI,  p.  176. 

Ararat  (muot  d'Arménie),  t.  XXXI. 
p.  205. 

Arafuait0t  (tribu  du  Cbili).  Natu- 
rel* sont  hardi» ,  agi(e«,  féroce»;  leur 
uspect  ;  (lart  de*  femme*  dan»  le*  com- 
bat*, t.  XVIII,  p.  132  etiuir.  —N'ont 
pas  de  villtis,  sont  polygames,  t.  XX, 
p.  82. 

Arbogit .  (ville  de  In  Westmanie , 
Suède) ,  t.  XLV,  p.  15,29. 

Arc  {tl«  (/«  /').  Archipel  Dangereux, 
Polyné*ie.  Nommée  et  décrite  par 
Cook,  t.  V,  p.  89  et  *uiT.  —  Avait  été 
découverte  par  Bougainville ,  XIX , 
''1 77. —•  Laideur  de»  naturel»,  189.  — 
Etaient  cannibales,  191.  —  Polyga- 
mie, état  de.',  femme*,  192.  —  Con- 
version au  christianisme,  195.  —  In- 
dustrie, population,  196. 

Arehipil  (mer  entre  la  Turq.|d*Eur. , 
la  /rèce  et  la  Turquie  d'Asie).  Beauté 
du  climat  et  de  la  mer ,  t.  XLIV , 
P.  282,  289.  —  Mytilène,  282.  — 
Istrate ,  Ipsara ,  Chio ,  284.  |—  Smy  rue, 
285.  —  Baie  de  Dourlaoh ,  288.  — 
Iles  diverses ,  289.  —  Aspect  des 
montagnes  de  Morce ,  290.  —  L'Ar- 
gentiire,  XLVI ,  93.  —  Cythère ,  93, 
205.  —  Siphante ,  Milo ,  Nio ,  94.  — 
Caliste  et  ses  deux  démembremen», 
Santorin  et  Aproinsi,  Naxia,  Tina  , 
95.  —  Délos,  ^aros,  marbres  d'A- 
tundel ,  fameuse  grotte  d'Autiparos , 
98.  —  Scyros,  97.  —  Lemnos  ,  Les- 
bos ,  Chios ,  Samos  ,  Pathmoa  ,  Gos  , 
98. —  Rhodes,  99.  - 

Aretiqutt  (régions,  ou  rvlfimiti  ci> 
pûle  septentrional  ).  Navigatutui  ». 
nord  du  détroit  de  Behring,  «^mm» 
d'Asie  et  d'Amérique,  découv«M», 
noms  donnés  à  divers  lieux,  t.  £1 . 
p.  64  et  suiv.  —  Découverte  du   4iif|' 


Glacé,  00.  —  Champs  de  glace,  ff7 . 

—  Uetcriptiou  de»  chevaux  marin» , 
08  et  suiv.  —  Canards ,  70.  —  Ur- 
cou  verte  du  cap  Li»burn  ,71.  —  Mc- 
marques  sur  la  formation  de  la  glarr, 
72.  —  Découverte  du  cap  Nord ,  7' . 

—  Aarrière»  de  glace»,  3tt7  et  »uiv. 

—  Décourerte  du  détroit  de  Kolxe- 
bue,  103  Voy.  e*Hom.  —  Voyuge  ^u 
nord  du  détroit  de   Behring,  XIX, 
236  et  »ui;.—  Glaciers,  240.  —  Ex- 
ploration de  la  c6te  américaine,  251 
et  suiv.  — Dérouverte  du  cap  Thomp- 
son ,  252.  —  Hope,  255.  -r-  Beaufort, 
257.  —  Franklin,  259.  — Découverte 
du  cap  Barrow  et  de  la  baie  Elsou  , 
278.  —  Découverte  du  fleuve  Mai- 
kensie ,  XXXVIII ,  38.  —  Saisous  «t 
leur*  phénomènes  dans  ces  réglons, 
XL ,  ij  et  suiv.  —  Hutte*  de  glace , 
iv,  V.  —  Étendue  de  la  glac*,  vj.  — 
Températures,   vj.   —  Animaux  «t 
végétaux,  vij   et  sniv.  —  Méduse» , 
viij.  —  Cétacés ,  x,  250, 265.  — Our>, 
X,  253.  —  Historique  des  tentatives 
faites  pour  traverser  l'océan  Glacifl 
arctique  ,  xj.  —  Tentatives  faites  pnr 
terre  pour  trouver  le  passage  au  nurd 
de  l'Amérique ,  xxvj.  —  Etat  de  nos 
connaissances  à  ce  suje*,  xxxi.  — 
f^ojragci  dm  eapila'n*  Roii,  voy.  c«  nom, 
XL ,  1,  —  MonUgnes  de  glaces ,  2, 
256.  — Aspert  des  .glaciers ,  2.  — 
rseige  vue  au  microscope,  26.  — 
2*  Voy  g*  ,  28.  —  Découverte  de  U 
Bootliia,  'J6.  Voy.  tt  nom.  —  Animaux 
divers,  47,  59,  61,  122,  134,  18(i, 
199.  281 ,  312,  327,  337.  —  Danger 
des  tempêtes  d'hiver,  54  et  suiv.  — 
Evaporation  de  la  neige  par  le  vent , 
58.  —  Aurores  boréales,  62,  74, 170, 
305.  —Oiseaux,  140, 143, 144, 180, 
236,  265,  329,  331,  358,  417.  - 
Voyage  pour  déterminer  la  position 
du'pâi^  Magnétique,  183.  — Sa  po- 
sition, 187, 190, 247.  —  Avalanches, 
236.  —  Premier   foyagt   Je  Parry, 
244.  Voy.  et  nom.  —  Baleines  noires, 
250,    273.  —  Lits  des  ravines,  2ô9. 
—  Découvertes  de  baies  et  de  caps, 
262  et  suiv.  —  Baleines  blanches, 
263.  —  Découverte  de  l'Ile  Melville , 
2;S2.  Voy.  ce   nom.  —   Divers   effets 

du  froid,  301,  305,  313,  316.  — 

Kffetî  des  exhalaisons  de  la  ti-rrc, 
322.  —  2«  royage,  373.  —  Exi>lora. 
;iun  (le  la  côte  est  de  la  presque  Hc 


DES  MATIÊUES. 


313 


t  »uW.  — 

ir  le  tent , 

74, 170, 

44,180, 

117.  - 

positiou 

-  Sa  po- 

aUnchtfs, 

Parry, 

es  noires. 

Des,  2Ô9. 

de  cap», 

blanches, 

Melville , 

ars   eflett 

3!6.  — 

lil     tlTIf, 

Explora- 
Cïipic  lie 


>I«l*ille ,  391  et  tulf.  —  Trombe  de 
«fige,  406.  —a»  y»r*K*.  440.  — 
4*  yv/'gt  |>our  atteiudre  le  pAlc  nord, 
461.  —  Arci-cn-ciel,  470.  —  Vojrmet 
de  Franklin  auK  cdtet  de  la  mer  Pu- 
l«ire,  475.  —  Voj.  £$guimau»,  Grvtn- 
lami  ,  't'ithultkx. 

Arctiqutt  (hautes  terres).  Nomnéet 
par  Rom.  Aipect ,  prodiictiont,  t.  XL, 
p.  17.  ^  Coitume  des  habitant ,  18. 
—  Figure,  formct.  lU.  —  Absence 
de  religion ,  20.  -^  Sorciers ,  21 .  — 
Habitutions  ,  larape ,  22.  —  Alimeus , 
vbatsea,  animoiiK  ,  23.  —  Saleté  des 
naturels  ,  mariages ,  24.  —  Oonver- 
uement ,  25. 

Ard*l>il  (  Tille  do  rAaerbvlidjao , 
Perse).  Sa  yaste  plaine,  t.  XX XY, 
p.  37if.  —  Population,  mur  d'en- 
ceinte ,  maisons,  874.  —  Tombeaux 
remarquables ,  sfî.  —  Climat ,  376. 
ArgtHtièr*  (Ile  de  l'Archipel) ,  tome 
XLVI,  p.  03. 

Argointit*$.  Bat  réel  de  leur  expé- 
dition ,  1. 1 ,  p.  3. 

Argot  (Tille  de  la  Grjice),  t.  XLIV, 
p.  291,  2^,205;  XLVI,  206. 

AriJ0  (  tle  ,  océan  Antarctique  ). 
DécouTerte  par  Marioa ,  tom.  IV  , 
p.  404. 

ArimoH  (Iles  de  l'AostraUe).  Déoon- 
TertM  par  Lemaire  et  Schonten.  Pro- 
ductions, Indiens,  etc.,  t.  I,  p.  324; 
n,  67,  68.  —  Appelées  Iles  Brûlantes 
par  Dampier,  67. 
Arkangtl  fNoaTeU),  \oy.Silka. 
Arkétko  (  port  de  l'^kbyssinie  ) , 
t.  XXIII,  p.  172. 

Arménit  (province  d'Asie,  commune 
à  la  Russie  et  à  la  Turquie).  Voyage 
dans  l'intérieur,  I  XXXI,  p.  202  et 
SUIT.  —  Ville  et  proTince  d'Ériven  , 
202^  204.  —  Mont  Ararat,  lOâ.  — 
Voyage  dans  l'intérieur,  XXXII ,  470 
et  suiv.  —  Mardin,  472.  — Desoiptioa 
des  Ujarbekr,  475  et  suit.  —  Djesan- 
reh,  4/3. 

Arréoyt,  Sociétés  secrètes  de  «Jit- 
sieurs  Iles  de  la  Polynésie;  Ie«ir  b^pt 
immoral,  t.  V,  p.  270  et  sui».^  V1U, 
263, 272,  274  et  suiv.j  XII  1,5^^  317. 
—  Abolies  par  les  missMMiaaires , 
XVII,  279. 

Arrbyzaoa.  DéToucDi<*«>:  de  cet  au- 
mânier  pour  l'équipage  (fo  son  v»s- 
seau,  1. 1,  p.  157  et  suir. 
AHMidu  (  Iles  de  l'Australie  ),  f<  »r- 


menl  l'arehipel  Saloraon  ,  déoouTert 
par  Mindana,  sont  retrouTée»  pai  %vx' 
Tille,  r.  III,  p.  420.450,494. 

Aarriux.  Son  Toyage  eu  Asie , 
t.  XXXI,  p.  61. 

Aivil  (Tille  du  Konrdistaa ,  Turquie 
d'A»ie  ).  Aneltinu  Arhilltt,  Rues  , 
t.  XXXII, p.  483.  —Population;  chA- 
teau ,  481. 

Arg*m  (Tille  d'Algérie),  Ruines  ro- 
maines, t.  XXII,  p.  183. 

Anobitpo  (  Iles  do  la  Malaisie  ), 
t.  XIX,  p.  435. 

Aiamagantary  (  TÎlle  dn  Gaston , 
Afrique),  t.  XXVIII,  p.  371. 

AtraLiR.  Sa  k..tsion  en  Tartarie , 
t.  XXXI,  p.  30. 

Atetntion  (Ile  au  nord-est  de  Sainte- 
Hélène),  déoouTorte  par  Gallego.  Sa 
descriptlcn,  t.  IX,  p.  151  et  suiT.  — 
Affreux  aspect  ;  étendue;  sol,  152.  — 
XII,  40. —XVIII,  113,  213.  — Car- 
nison  anglaise  s  améliorations  ;  climat, 
186. 

.^«A«nNSMia  (  Tille  des  Tibhous  du 
Bilma.  Sahara),  t.  XXVII,  p.  70. 

Ali*.  Est  le  berceau  de  la  cÎTilisa- 
rion,  t.  XXXI,  p.  1.  —  Étendue, 
bornes,  2.  —  Plateaux ,  monts ,  8.  — 
ClimaU ,  7. —  Hauteur  des  principaux 
aommets,  8.  —  Bassin  des  fleuTot  et 
des  riTières ,  9.  —  Lac» ,  13.  —  Végé- 
tation ;  botanique ,  14.  —  Mines  ;  ani- 
maux, 17.  —  Races  d'hommes ,  19.  — 
Leur  infériorité  aux  races  européen- 
nes; leur  caractère  distinctif ,  23.  — 
Polygamie;  relisions;  gouTerneroens; 
population,\,  2».  -  Langues,  26.  — 
Uistori  ^u>.  des  rc*  '<ons  avec  l'Europe, 
35.  — ~  Uirerses  opioioits  des  Asiati- 
que ««r  l'Europe,  XXXVII,  131  et 
»wx  -  Littérature  do  l'Asie  centrale, 
3W.  —  Une  caraTano  eu  Orient ,  246. 
—  IVifférenccs  dans  l'ortograpbe  des 
noms  propres,  256.  — ('orrespondance 
épistolaire  des  Asiatiques,  380. 

Athimounein  (  Tille  de  la  Hante- 
Égypte).  Belles  ruines ,  tora.  XXIII, 
p.  «S. 

AsM^  (ville  de  la  Syrie,  Turquie 
d'V»ie).AHpect,t.  XXXII,  p.  400.— 
Costume,  401.  —  Intérieur  d'une 
naisun,  402.— Situation;  population, 
404.  —  Château ,  404,  410.  —  Église, 
oruemens,  cérémooies,405  ,  406.  — 
Maisons  ,  407.  —  Crédulité  des  habi- 
tant ,  408.  —  Récits  de  Toilléos,  409, 


ê 


314 


TABLE  GÉNÉRALE 


411.  —Figure  des  habitans,  411.  — 
Leur  vie,  412. 

Aiiar,  (  rivière  d'Abyssinie,  affluent 
du  Nil).  Lit.  Magnifique  cascade.  Fer- 
tilité desea  bords,  t.  XXIll,  p.  403 
et  suiv. 

AuomptioH  (Une  des  lies  des  Lar- 
rons). Son  étendue,  son  aspect  horri- 
ble, t.  X(I,  P..264.  —Effets  d'un  an- 
cien volcan ,  266.  —  L'aspect  n'est  pas 
tii  horrible.  Cratère  du  volcan ,  XIX , 
385. 

Atiwàption  (  tie  de  la  mer  des 
Antilles),  découverte  par  Colomb, 
t.  XXXVIII,  p.  177. 

Assomption  (capitale  du  Paraguay), 
fondée  par  Mendoza,  t.  XXXVIII, 
p.  352. 

Assulah  (  ville  de  l'Yarriba ,  Gui- 
née), t.  XXVIII,  p.  127. 

^**r<iJfl(i(prov.  de  la  Perse).  Beauté 
du  pays,  t.  XXXV,  p.  310,  322,  325. 

—  Tour  remarquable,  325  et  siiiv,— 
Faisans,  ^g.  —  Maladies ,  334.  — 
Costume  de  femmes,  338.—  Usage 
de  l'ail ,  338.  —  Coupole  de  Gount- 
buz-Kaous,  XXXVII,  313.  —  Climat; 
productions  ;  belle  chaussée,  316. 

Astrabad  (capitale  de  la  province). 
Fondation;  éteddue,  t.  XXXV,  p.  335. 

—  Agréable  aspect;  maisons;  rues; 
bazars,  336,  337.  —  Fréquence  de  la 
peste,  XXXVII,  314.  —  Ancienne 
opulence;  belle  chaussée;  commerce, 
315. 

Astrolabe  ou  Dekai  (baie  de  la  Nou- 
velle-Guinée), nommée  par  d'Urville. 
Villages,  figure,  armes,  etc.,  des  na- 
turels; productions  et  beauté  du  pays, 
t.  XX,  p.  386  et  suiv. 

Atbara  (ville  et  province  de  la  Nu- 
bie), paraît  être  la  fameuse  ile  de 
Meroë.  Ruines  antiques,  t.  XXIII, 
p.  446;  XXV,  452. 

Atepa  (ville  de  l'Yarriba,  Guinée  ), 
t.  XXVIII,  p.  133. 

Atjia  (ville  de  la  Haute-Egypte). 
Ses  environs,  t.  XXIII,  p.  77. 

Athènes  (ville  de  la  Grèce).  Le  Par- 
tiiénon,  t.  XLIV,  p.  306.  —  L«»  Pirce, 
307.  —  Environs;  intérieur;  ruines 
diverses,  308,  et  suiv.  XLVI,  214.  — 
L'Acropole,;  la  lanterne  de  Démos- 
thène  ;  l'Illii^su!.  215. 

Atlas  (mont  de  1'.  Afrique).  Neiges 
t'onstautes.  Animaux  féroces,  t.  XXII, 
p.  124,  — Origine  du  nom;  quelques 


hauteurs,  160.  < — Tie,  caractère,  fi- 
gure des  Chelluks,  163, 174,  178. 

Atooi  ou  Aiouai  (  Ile  de  l'archipel 
Sandwich,  Polynésie).  Découverte 
et  décrite  par  Cook.  Entrevues  avec 
les  naturels ,  t.  X ,  p.  265  et  suiv,  — 
Description  des  naturels ,  268.  —  As- 
pect de  l'Ile,  269.  — Etonnement  dvii 
insulaires  sur  le  vaisseau,  270.  —  Ai- 
guade,  275.  —  Cimetière ,  pyramide, 
276  et  suiv.  —  Tombeaux  des  chefs, 
idoles,  278.  — -  Sacrifices  humains, 
280.  —  Plantations,  281.  —  Villa- 
ge, 282.  —  Vétemens,  283.  — BeauK 
oiseaux ,  285.  —  Cannibalisme ,  287. 

—  Etendue  ,  mouillage ,  297.  —  As- 
pect, sol,  298, 300.  —  Climat, 300. 

—  Productions  végétales,  301.  —  Oi- 
seaux, 302.  —  Poissons,  animaux 
domestiques,  pers<mne  des  naturels, 
303.  —  Sont  bons  nageurs  ;  leur  bou 
caractère,  305.  —Population ,  306.  — 
Vétemens  et  orueroens,  307  et  suiv. — 
Tatouage,  310.— Habitations ,  31 1. — 
Ustensiles;  nourriture,  312.-^Cuisine, 
313.— «Amusemens  variés,  314.— Mv 
nufactures,  étoffes,  nattes,  316.-^  Us- 
tensiles, outils,  318,  319.  —  Connais- 
sance du  fer;  d'où  leur  peut-elle  être 
venue?  320  et  suiv.  —  Pirogues,  324. 

—  Agriculture  avancée,  325.  —  Détail^) 
sur  un  des  chefs,  327.  —  Gouverne- 
ment, 328. —  Armes,  329. — Mœurs  et 
langue  semblables  à  celles  des  iusulai- 
rcs  des  lies  de  la  Société  et  des  Amis, 
331  et  sniv.  —  Sol,  productions, 
XI, 246.  —  Sol,  vUlage,  XIII,  292. 

—  Champs  cultivés,  productions,  XIV, 
131  et  suiv.  —  Ouvrage  remarquabln 
d'irrigation ,  133.  —Montagnes  cou- 
vertes du  bois  de  sandal,  139. 

Auckland  (  groupe  de  l'AustraUe). 
Bel  aspect,  beauté  de  sa 'nature,  t,^XX, 
p.  158.  —  Découvert  par  Auckland, 
164. 

Auckland  (  ile  du  groupe  d'Auc- 
kland). Sol,  aspect  pittoresque,  forêt, 
t.  XX,  p.  164.  —  Fertilité ,  végétaux, 
auimaux,  166.  — Coquillage,  169. — 
Climat,  170. 

Aaiijelah  (  ville  du  Biirca ,  Tripoli). 
Est  mal  bâtie,  villes  de  son  territoire, 
t.  XXV  ,  p.  425. 

Augsbourg  (  ville  de  la  Bavière  ), 
Bel  aspect,  t.  XLV,  p.  342.  —  Sa  des- 
cription ,  343 ,  34 i.  —  Ses  environs, 
345. 

-     I 


t 


DES  MATIÈRES. 


X1& 


A^r  (groii|ie  de  l'archipel  Radack, 
Pulynésie).  Dccourert  par  Kotzebue, 
t.  XVII,  p.  197,  205.—  Naturels, 
196.  —  lie  Stonbal ,  201.  —  Femmes 
prenaut  part  à  la  guerre ,  203.  — 
Eteadde  et  population  du  groupe , 
205. 

•  AuRiBEAU  (  d'  ).  Prend  le  comman- 
dement de  l'expédition  à  la  mort  de 
d'Entrecasteaux,  t.  XV ,  p.  283,  287. 

Aurore  (  ile  des  Nouvelles  -  Hébri- 
des, Australie) ,  découverte  par  Bou- 
gainville ,  t.  IV,  p.  267.  ■—  Son  gise- 
ment, sa  surface  ,  t.  YIII ,  p.  423. 

Aurore  (  iles  près  des  Maluuiues  ). 
Leur  existence  est  problématique, 
t.  XX, p.  33;  XXI,  238,  240. 

Aurorei  Australie  ,  t.  Vil ,  p.  227  , 

228;  t.  XXI,  p.  459. 

Aurores  BorMu,  Yoj.  t.  XL,  p.  62, 
74,170,  305.— Au  cap  Nord,  et 
dans  les  environs,  XLV,  223,  261, 

284,291,292. 

AaitraUsns  (indigèacB  de  la  Nou- 
velle-Hollande). Leur  misère  ,  t.  I , 
p.  391. — âe  peignent  le  corps,  vont 
entièrement  nus,  VI ,  210, 212  ,  388 

—  Armes ,  manière  de  s'en  servir , 
215,  398,  à  401.  —  Formes,  figure  , 
387.  —  Ornemens  divers ,  388,  389. 

—  Tatouage  ,  389.  —  Nonclialance , 
390.  — r  Vie  nomade  ,  cabiines ,  391 , 
392.  —  Mobilier,  393.— Ustensiles  de 
pèche;  nourriture,  cuisine,  394,395. 

—  Comment  ils  se  procurent  le  feu  ; 
observations  comparatives  à  ce  su- 
jet, 396  et  suiv.  —  Grossières  piro- 
gues, leur  construction ,  401  et  suiv. 

—  Caractère,  langue,  405.*—  Mi- 
sérables huttes,  XIV,  19,  23,  47.  — 
Réservoirs  de  poissons ,  27.  —  Vie 
errante,  46.  — •  Nourriture ,  48.  — 
Incendies  qu'ils  allument,  49.  —  Idée 
de  la  Tie  future.  Taille ,  figure.  Mi- 
sérables huttes,  tatouages,  niutila- 
tions,  XVIII,  222.— Habitations, 
mariages ,  état  des  femmes ,  couches, 
224. —  Armes;  vêtement  unique,  XXI, 
332, 333.— Figures,  formes,  t.  XLIII, 
p.  xxi,  101 ,257,  298.  —  Misérable 
état.xxij,  101,  259.  — Mariages, 
condition  de  la  femme  ,  xxxj.  —  Le 
roi   Boungarre,  9,  89.  —  Race  ^78. 

—  Cannibalisme,  79,  94,  362?* — 
Divers  dégrés  de  civilisation  ,  82.  — 
Etat  dégradé  de  ceux  du  Sidney ,  83 
à  86.  —  Meurtre   habituel  d'uu  ju- 


meau ,  84.  —  Costumes,  84.  —  Ca- 
ractère, 85,  101,  251.  —  Naturels  « 
du  HawLesbury,  86.  —  Du  New- 
castle ,  87.  —  Intelligence ,  88  et 
suiv.,  101.  —  Adresse;  guerres,  91 
et  suiv.  —  Vengeance,  93.  —  Amour 
des  enfans,95, 98.—  Idées  religieuses, 
supertitions ,  97,  244,  259. —  Nourri- 
ture, 98. — Saleté,  maladies,  100, 
251 ,  271 ,  326,  328.  —Vie  nomade, 
101.  —  Absence  de  hiéruicliie  so- 
ciale, 103.  —  Entrevues  avec  eux, 
187,  191,193  et  suiv.,  212,228,    • 

249,  256,  270.  —  T.>mbeau,  sculptu- 
res, 188.  —  Pèches,  191,  209,  323. 

—  Corps  peints,  192,  251,  313'.  — 
Incendies  qu'ils  allument,  211  ,  212, 

250,  261 ,  262.  —  Huttes,  239,  248. 

—  Village  248.  —  Filets ,  248.  - 
Armes,  256,271,  299.  —  Eue  des  - 
naturel  de  l'intérieur ,  257  ,  299  et 
suiv.  —  Naturels  du  Darling,  257. 
Voy,  ee  nom. —  Des  bords  do  la  Mo- 
rumbidje,  voy.  ce  nom,  —  Chasse  à 
l'opossum,  290.  —  Naturels  des  bords 
de  la  Murray.  Voy.  ce  nom. 

Autriche  (empire  d').  Voyage  dans 
l'intérieur,  t.  XLIV,  p.  91.  —  Fron- 
tière turque ,  91, 92.  —  Paysans  par- 
lant latin ,  104.  —  Le  banuat  de  Té- 
mcswar,  115.  — Voyage  de  Marcel  de 
Strres.  Heureuse  situation  de  l'Autri- 
che, XLVI,  217.— Races  diverses  d'ha- 
bitans ,  218  et  suiv.  —  Coup  d'œil  sur 
chaque  province  et  sur  ses  babitans , 
222  et  suiv.  —  La  Bukowine  et  ses  ba- 
bitans, 225.  —  La  Gallicie,  226.  — 
La  Silésie ,  227.  —  La  Bohême ,  227 ,« 
234.  —  La  Moravie,  227,  237.  —  La 
Styrie,  la  Cariuthie  ,  229.  —  Observa- 
tions sur  les  Allemands  en  général, 
230  et  suiv.  —  Religions,  233  et  suiv. 
—  Archevêques,  évêques,  leur  élec- 
tion ,  236.  —  Sectes  diverses ,  238  et 
suiv.  —  Juifs.  Bon  état  de  l'instruction 
piiblique ,  239.  Voy.  Hongrie ,  Lom- 
bard-Fénitien,  Trantjrlvanie,  Tyrol. 

Autriche  (prov.  de  l'empire  d'Autr.). 
Différence  physique  entre  les  Au- 
trichiens et  les  Iluligrois,  t.  XLIV, 
p.  129.  —  Voyage  dans  la  province, 
routes,  loi.  —  Beauté  et  fertilité  de 
la  vallée  du  Danube.  Caractère  du 
peuple ,  XLVI,  228.  —  Religion ,  235. 

Autruislie.  Description  de  cet  oiseau, 
t.  XXVI,  p.  415. 

A'ja  ou  Kava  uu  Y'aiia,  liqueur  forte 


■t 


,5  '     r 


31G 


TABLE  GÉNÉRALE 


«les  Polynésiens;  sa  dégo&tante  con- 
4.  fection  ;  ses  effets,  t.  VIII,  p.  31;  IX, 
393, 445,  X,  230;  XI,  257;  XIII,  289; 
XV(,  218.  —  Chants  avant  de  la  pren- 
dre, XI,  296. 

ji»«  (proTÎnce  et  ancienne  capitale 
du  Birman  ,  Indo-Chine).  Description 
tsoroparatiTe  de  la  forme  physique  des 
habitans,  t.  XXXIV,  p.  240 à  246.  — 
Sa  décadence ,  474. 

Avril.  Sa  mission  on  Chine,  t.  XXXI, 
p.  61. 

Awttka  (  baie  du  Kamtschatka  ).  Sa 
description  et  celle  du  pays  adja- 
cent, t.  XI,  p.  308.  391.  —  Ville 
de  Petropawlouski,  309.  Vny.  et  nom, 
—  Pèche  des  saumons,  424,  426. 

Axum  (ancienne  capitale  de  l'A- 
byssinie).  Description  de  ses  mines, 


t.  XXIII ,  p.  233  et  suiv.  —  NoAelle 
Tille,  236. 

Aymon  (  le  père  et  les  quatre  fils  ). 

Mondrains  du  détroit  de  Magellan, 

nommés  par  BougaiDville,t.IV,  p.  136. 

Azamore  (ville  du  Maro^.),  t.XXXII, 
pag.  146. 

Aztrbaidjan.  (province  de  la  Perse). 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XXXI ^ 
p.  205  et  suiv.  —  Le  mont  Ararat, 
205.  —  Voyage  dans  l'intérieur  ; 
XXXV,  372  et  suiv.  —  Ardebil  et  sa 
vaste  plaine,  373  à  376.  —  Lieux  di- 
vers, 376.  —  Caravenserai ,  378.  ■ — 
Lac  Ouronmia,  380  et  suiv.  — Source 
du  Tigre.  Evéque  catholique ,  383. — 
Sauvages  descendans  des  anciens 
chrétiens,  384  et  suiv.  Voy.  Tauris, 
cap. 


Bab-el-Mandtb  (  détroit  à  l'entrée 
de  la  mer  Rouge).  Signification  de 
son  nom,  1. 1 ,  p.  110.  —  Aspect  des 
deux  côtes,  XXIIL  152. 

Babylone.  Ses  ruines  dans  l'Irak- 
Araby,  Turquie  d'Asie,  t.  XXXII, 
p.  493.  —  Antiquités  babyloniennes  à 
Bagdad,  495.  « 

Baccalan  (lie  delà  mer  Rouge )r, 
t.  XXXIII, p.  155. 

Bachnpins  (  tribu  de  Betchouanas. 
Afrique),  t.  XXVI,  p.  400,470.— 
Vétemens,  armes,  405.  — Hérédité  du 
pouvoir,  471.  — Combats,  473. — Ca- 
ractère, mœurs,  474,  478,  483. — 
Commerce,  législation,  474.  —  Pu- 
nition des  crimes;   superstition,  476. 

—  Déla.isemens,  481 .  —  Occupations 
des  hommes  et  des  femmes,  481,  485. 

—  Formes  ;  costume  ,  484  ,  489.  — 
Mariages,  486.  —  Coquetterie  ,  488. 

—  Maladies;  médecins,  491.  Agricul- 
ture, 492.  —  Langue,  494.  Voy.  Li- 
lakou,  capitale. 

BaJigiy  (ville  de  la  côte  des  Escla- 
ves ,  Guinée).  Épreuve  ^des  bonnes 
intentions  des  voyageurs,  t.  XXVIII, 
p.  282.  —Environs,  XXX,  7.  —  Visite 
au  roi,  8.  —  Costume  d'un  prêtre,  12. 

—  Interprète,  15.  — Roy.iNité  partagée 
entre  quatre  chefs,  16.  —  Leur  cos- 
tume, 21 .  —  Fêtes  et  cérémonies  de  la 
fin  du  Rhamadan.  Costumes ,  24.  — 
Mallans  du  Haonssa,  26.  —  Sol;  pro- 


ductions; roiusons;  caractère;  reli- 
gion, 30.  — Superstition,  4^. 

Baebaegie  (  ville  du  Kano-Haoussa, 
Soudan  ).  Situation  ,  habitation  du 
gouverneur,  t.  XXVIII,  p.  210.  — 
Maison  des  femmes,  construction  des 
maisons,  212.  —  Arbres,  oiseaux, 
population,  214. 

Baffin.  Ses  recherches  du  pas- 
sage au  nord  de  l'Amérique ,  t.  XL , 
p.  xxiij.  —  Ses  découvertes ,  xxiv- 
xxix. 

Bajyin  (mer  de  l'Amérique  septen- 
trionale ),  découverte  par  Baffin.  Ses 
côtes;  ses  phoques;  ses  communica- 
tions, fL  XXVIII,  31. 

Bagdad  (ville  de  l'Irak- Araby,  Tur- 
quie d'Asie).  Aspect,  tom.  XXXII, 
pag.  487.  —  Escorte  du  pacha  ;  res- 
pect qu'il  inspire  ;  situation  de  la  vil'.e; 
murs;  intérieur,  488.  —  Rues;  palais; 
Mosquées;  dômes;  minarets:  bazars, 
490.  —  Maisons;  population  ;  âoes 
Ll'.ncs;  ruines  du  palais  de  Nemrod; 
mosquée  vénérée;  tombeau  de  la 
femme  d'Aaarouu-Al-Rascbild ,  492. 
—  Antiquités  babyloniennes,  495.  — 
Aspect  de  la  ville  à  minuit.  Etat  de  la 
littérature.  Fréquence  de^  crimes , 
496,  —  Intérieurs  de  maisons  vus  du 
han  d'une  tour,  497.  —  Tatouage  des 
femmes,  498. 

Bngtchiterat  (ville  du  gouvernemeut 
de  la  Tauride,  Russie  d'Europe  ).  Pa- 


V 


w 


DES  MATIÈRES.' 


317 


,  383.- 
anciens 
Tauris , 


du    pas- 
e,  t.  XL, 

xzir- 


I«is  des  anciens  khans  de  Crimée, 
t.  XLI V,  ,p.  4Q&.  —  Description  de  la 
ùIIh,  410.      , 

Bah-Baha  (pays  d'Abyssinie  } ,  sa 
fertilité,  t.  XXIII,  p.  395. 

Baïkal  (lac  de  la  Sibérie  ) ,  honoré 
des  naturels.  Sou  étendue,  t.  XXXI , 
pas.  279.- 

Bajiebo  (ville  de  l'Yarriba,  Guinée). 
Commerce,  Huttes.  Saleté.  Gouverne- 
ment,  t  XXX, p.  305.  — Canots,  306. 

Balab/a  (ile  de  la  Nouvelle-Calédo- 
nie, Australie),  découverte  et  décrite 
avec  ses  habitanspar  Cook,  t.  YIII, 
p.  427  et  suiv.,  440  et  suiv,  Voy.  JVou- 
vtlle-Calédonie,  —  Naturels  sont  doux 
et  paisibles,  IX,  3,  4,20. — Ne  méritent 
pas  cet  éloge.  Sont  anthropophages, 
XV,  194. 198.  —  Natureismangent  la 
terre,  se  fout  la  guerre,  201. 

BalaUava  (ville  du  gouvernement  de 
la  Tauride,  Russie  d'Europe),  t.  XLIY, 
p.  415. 

Balanduco  (ville  du  Timani ,  Séné- 
gamhie).  Huile  de  palmier,  t.  XXVIII, 
p.  21. 

Balajra  (pays  de  la  Sénégaiâbie). 
Bornes.  Industrie.  Yét<>:vf>Ttt ,  XXIX, 
386. 

Balbee  (ville  de  Syrie  ■.  ir  '«  d'A- 
sie) Son  temple  du  st'^'i,  .  XXIII, 
p.  48.  •—  La  ville  moderne ,  XXXII , 
454. 

B&LBOD  (Vasco  Nuguez  de),  premier 
Européen  qui  ait  vu  la  mer  du  Sud 
(1513) ,  en  prend  possession  pour  le 
roi  d'Espagne,  1. 1,  p.  141  f  note. 

Baldivia  (ville  du  Chili).  Fondation. 
Hahitans ,  t.  XX,  p.  81 . 

Baleines  y  leurs  jeux,   t.  IX,  p.  78. 

—  Pèche  de  la  haleine  à  Nootka,  XIll, 
372.  — Baleines  des  régions  arctiques, 
XL,  ix.  —  Habitudes  et  pêche  de  l'es- 
pèce finner,  XLV,  178  à  180. 

Bal/rouch  (  ville  du  Mazandéran , 
Perse  ).  Aspect  agréable.  Commerce. 
Population,  t.  XXXV,  p.  354.—  Der- 
viche, 355.  '--  Anecdote  sur  un  voya- 
geur européen ,  357. 

Balkan  (chaîne  de  monts,  Turquie 
d'Eur.  ),  Sites  pittoresques,  t.  XLIV, 
p.  49.  —  Animaux,  49.  —  Villages, 
50,  51,  57.  —  Contruction  des  caba- 
nes, 50.  —  Crète  des  monts,  54  à  59. 

—  Passe  magnifique,  55.  —  Ponts,  56. 

—  Danse  déjeunes  filles,  .58. — Beauté 
des  forêts,  251.  —  Bohémiens  ,  252. 


•—  VersaVit  dn  côté  de  la  Ronmélir, 
255. 

Balhk  (  ville  du  Caboul ,  soumise  au 
roi  de  Bonkharie).  Ancienne  opu- 
ijlence,  t.  XXXVII,  p.  153.  —  Rnines. 
Antiquité,  154.  —  Florissante  sous 
Alexandre.  Histoire,  155.  —  Trône  de 
Cyrn».  Environs,  156.  —  Fruits.  Cli- 
mat, 157. —  Médailles  antiques,  1^. 

Baltimore  (ville  du  Maryland,  États- 
Unis).  Société,  t.  XXXIX,  227.  —  Sa 
décadence, 229.  —Climat,  230.  -Brl 
aspect.  Monumens,  427. —  Costumes, 
439. 

Bambara  (  royaume,  partie  en  Séuc- 
gambie,  partie  dans  le  Soudan).  Sa 
guerre  avec  le  Kaarta,  t.  XXV,  p.  128. 
Voyage  dans  le  pays ,  21 1  à  275.  — 
W'assibou.  Culture  du  blé,  214.  — 
Mourdja  :  commerce  de  sel,  21 7.-^Am- 
maux  féroces,  222, 236, 364.—  Arbres, 
231 .—  Crocodiles,  237.— Somini,263. 
— Saphis  ou  amulettes,  264.  —Com- 
merce de  sel,  265.  —  Bammakou, 
267.  —  Kouma ,  269.  —  Atroce  trai- 
tement du  roi  prisonnier,  381 .  —  Cos- 
tume du  roi,  382.  —  Atroce  coutume, 
583.  —  Voyage  dans  le  pays.  Kayaye. 
Naturels.  Costumes.  Danses.  Musique. 
Autres  divertissemens,  XXVIII,  301  à 
308.  Voy.  Djtnnf^  Koulikorro^  Santan- 
ding,  Scgo,  capitale. 

Bambouck  (royaume  de  Sénégambie). 
Mœurs  des  hahitans.  Mariages.  Fête 
de  la  Circoncision,  t.  XXII,  p.  76,  77. 
£<iMiour (contrée  delà  Sénégambie). 
Voyage  dans  le  pays.  Satadou.  Schron- 
do,  XXV,  344. 

Bamejran{v'Me  du  Caboul),  Précipices 
des  environs,  t.  XXX Vil,  p.  120.  — 
Cavernes.  Cité  souterraine,  121.— 
'Antiquité  de  la  ville,  122.  —  Idoles 
colossales.  Traditions,  123. 
Bammakou  (  ville  du  Bambara ,  Séné- 
gambie). Commerce  de  sel,  t,  XXV, 
p.  267,  295. 

Bamuchart  (  tribn  de  Betchonanas  , 
Afrique),  t,  XXVI,  471. 

Bananes,  leur  usage  dans  la  Ma- 
laisie,  t.  VII,  p.  67.  —  Disposition  de 
leur  fruit,  XV,  383,  note  ».  —  Manière 
de  les  faire  mûrir,  XVI,  217. 

Banaron  (ville  de  l'Agra  ,  Hindous- 
tan).  Marque  des  purifiés  dans  le 
Gange ,  t.  XXXI ,  p.  75.  —  École. 
Cérémonie^  devautl'idole,76.  —  Tom- 
beaux remarquables,  78. 


V 


*.: 


318 


m» 


TABLE  GÉNÉRALE 


Baïuitrilê  (rille  da  Dentilla ,  Séné- 
ganibie),  t.  XXV,  p.  343. 

Banea  (tle  de  la  Malaisie),  t.  XLIII , 

p.  Tiij. 

Banda  (Ile  Molnqnes,  Malaisie).  Ar-tP 
mée  de  son  ressort  ou  gouvernement, 
t.  IV,  p.  380.  —  Postes  ou  comptoirs 
qui  dépenùent  de  l'ile.  Bois  de  saudal, 
381.  —  Muscade  cultivée  exclusive- 
ment, 384.— P'ants  de  girofliers  ar- 
rachés par  CI  ■.  des  HoUanduis.  385  ; 
XV,  77. 

Baukok  (nouvelle  capitale  du  Siam). 
Aspect  animé,  bazars  flottaus  ,  tom. 
XXXIV,  p.122,226,228.-- Habita- 
tiops  ,  125 ,  129 ,  226.  —  Costume 
d'enfans,  125.  —  Secte  de  maurs, 
130.  —  Audience  d'un  ministre,  bas- 
sesse des  serviteurs,.  134  ,  197.  — 
Audience  d'unV»n<^e,  136,  207,210. 

—  Voy.  Finlayton,  Intérieur  du  ]ia- 
lais  du  roi,  147  à  171. — Soldats.  150. 

—  Musique,  151.  —  Salle  du  trône  , 
richesse,  avilissement  des  courtis.iD.s, 
152  et  sui/.  —  Le  trône,  \55,  156. 

—  Éléphans  blancs ,  160 ,  281.  — 
Singes  blancs,  164,  281.  — Temples, 
165  à  170,  234.  —  Dagoba  (monu- 
ment sépulcral) ,  166,  236.  —  Pein- 
tures, bibliothèque,  170.—*  Énormes 
canons,  171.  —  Ambassade  cochin- 
chinoise  et  française,  mieux  accueil- 
lie que  celle  des  Anglais ,  190 ,  219. 

—  Procession  de  barques  royales , 
193.  —  Musique ,  202.  —  Translation 
du  gouvernement  de  Siam  ,  224.  — 
Palais  du  roi,  225.  —  Habitans ,  sont 
presque  tous  Chinois  i,  227,  '228.  — 
Métiers,  228  et  suiv.  —  Palais  ,  tem- 
ples, 231.  —  Innombrables  sta- 
tues de  Bouddha ,  234.  —  Habitans, 
238. 

Bakks.  Naturaliste ,  compagnon  de 
voyage  de  Cook ,  t.  V,  p.  3.  —  Sa 
malheureuse  expédition  dans  la  terre 
de  Feu ,  52.  — Singulières  cérémonies 
de  Taïliennes  qui  le  visitent ,  155.  — 
Est  chargé  d'une  fonction  dans  une 
cérémonie  funèbre  à  Taïti ,  183.  — 
Remonte  le  cours  de  la  rivière,  219. — 
Assiste  à  l'opération  du  tatouage,  245. 

—  Trouve  dans  plusieurs  îles  de  l'O- 
céanie  un  coffre  semblable  à  l'arche 
d'alliance,  et  nommée  Maison  de  Dieu, 
330, 336. — Son  incursion  à  la  rivière 
Kudéavour,  de  la  Nouvelle  Hollande , 
Vr,  303  et  suiv. 


Banlts  (ile  do  la  Noayelle-Zélandet, 
t.  VI,  f..  120. 

Bantwarà  (ville  du  MalwL.^  ,>Hind.). 
Abominable  coutume  des  Rajponts , 
t  XXXV!  ,  p.  356.  —  Immense  en- 
ceinte ,  visite  au  rajah ,  357. 

Baobab.  Ailire  prodigieusement 
gros  ,  t.  XXII,  p.  62. 

Bapitr,  Description  de  cet  arbre  et 
de  son  fruit,  t.  XVI,  p.  456. 

Barbaeena  (ville  du  Brésil).  Situa 
tion,  maisons,  aspect,  [^"oductions 
du  sol,  habitans ,  t.  XLII ,  p.  300. 

Barbue  (Iles  de  la  Polynésie).  Pro- 
bablement découvertes  par  Saavedra, 
t.  I,p.  163. 

Barca  (province  du  Tripoli).  Voyage 
dans  l'intérieur,  villes  de  l'Audjelali, 
t.  XXV,  p.  425  et  suiv. 

Barcelone  (Nneva ,  ville  du  Vene- 
zuela ,  Amérique  méridionale).  Popu- 
lation, climat,  t.  XXXVIII,  p.  385. 

Barcelonne  (ville  d'Espagne).  Purefô 
de  l'air,  environs,  baie ,  anciens  murs, 
t.  XLVI,p.  162.  —  Embellissemens 
récei^ts  ,  nouvelle  Barcelonne  ,  édi- 
fices ,  police,  163.  —  Prohibition  des 
armes,  cherté  des  loyers,  popula- 
tion ,  antiquités  romaines ,  264. 

Baré  ,  orpheline ,  botaniste ,  fait  le 
voyage  autour  du  monde  avec  Bou- 
gainville  ,  t.  IV  ,  p.  278. 

Bareilly{\\\\e  du  Bohilcund,  Hind.). 
Ruines  ,  beaux  environs ,  caractère 
des  Rohillas  ,  t.  XXXI ,  p.  210. 

Barnaoul  (  ville  de  la  Sibérie  ), 
t.  XXXVI ,  p.  293. 

Baroda  (ville  et  État  du  Guzerate, 
Hindoustan  ).  iCsrorte  de  cavaliers , 
t.  XXXVI ,  p.  369.  —  Bues ,  371 .  — 
Maisons,  palais ,  église  chrétienne, 
372.  —États,  puissance  du  rajah, 
372,  391.— Salle  d'audif  nce,  cour  du 
rajah,  373.  —  Musique,  danses,  376. 

Barolongs  (tribu  i\'a  Betchonanas). 
Race  cafre ,  t.  XXVI)  ,  p.  471. 

Baroche  ou  Broaeh  (ville  de  Guze- 
rate ,  Hind.  )  Charlatans  indiens  , 
t.  XXXI,  p.  B6.  —  Environs.  Ruines. 
Bateaux ,  XXXVI  ,  393.  —  Com- 
merce. Climat  insalubre ,  394.  —  Hô- 
pitaux pour  les  animaux,  395. 

Barra  (royaume  de  la  Sénégambie). 
Voyage  dans  le  pays.  DjcUifri,  t.  XXV, 
p.  23. 

Barra-Cunda  (ville  du  "N^oulli,  Séné- 
gal) ,  t.  XXVII  F,  p.  314. 


# 


DES  MATIERES. 


31» 


Barrah  (ville  du  Kanem.  Soudan) , 
t.  XXVII,  p.  104. 

Barrtah  (yille  dn  GnKerate,  Bind.), 
Costume  des  soldats.  Position  de  la 
ville,  t.  XXXVI,  p.  365.  —  Ëtat  dé-'* 
plorable ,  366. 

Barriugtoma,  Description  de  ce  bel 
arbre.  Effet  remarquable  de  son  fruit 
sur  les  poissons,  t.  Vil ,  p.  428. 

iSairow^tlede  l'archipel  Dangereux, 
Polynésie).  Découverte  par  Beechey , 
t.  XIX ,  p.  164, 166.  —  Étendue.  Ar- 
bres.  Huttes ,  165. 

Barroir  (poinf  s  derAmérique  russe), 
nommée  par  B'jecliey,  t.  XIX,  p.  278. 

Batchjr  ou  Daihee  (lies  de  l'archipel 
des  Philippines.)  Nommées  par  Uam- 
pier.  Liqneni  fermentée  des  habitans, 
t.  III, p.  423.-  -Naturels  distinguent  les 
métaux  par  .'i dorât,  424.  —  Drs- 
cription  des  Ues ,  425.  —  Leur  gise- 
ment exact,  XII,  270.  —  Origine  de 
leur  nom ,  XIX ,  387. 

Basil  Uaj  t.  Son  voyage  dans  l'A- 
mérique septentrionale  ,  t.  XXXIX , 
p.  1. — Son  voyage  au  Chili,  au  Pérou 
et  au  Mexique ,  XLI ,  374. 

B<rM(détroit  de,  Nouvelle-Hollande 
et  terre  de  Van-Oiémen).  Découvert 
par  Bass ,  t.  XVIII,  p.  321. 

Battes  (archipel  des  Iles).  Voy.  Ar- 
ehipel  Dangereux. 

Batterg  -  Blanet  (  enfans  d'Euro- 
péens et  d'Hottentottes  ).  Mœurs. 
Figure ,  t.  XXIV,  p.  190  et  suiv. 

Batavia  (capitale  de  l'île  de  Java). 
Fondée  par  les  Hollandais  dans  la 
province  de  Bantam  ,  t.  I,  p.  119. 
—  Insalubrité  dn  climat.  Belles  rues. 
Leurs  canaux.  Population.  Beauté 
de  ses  environs,  III,  58  et  suiv. — 
Escorte  dn  -  gouverneur.  Carrosses, 
des  habitans,  218  —  Beauté  des  en- 
trons, IV,  368,  370.  —  Théâtres, 
369.  —  Intérieur  de  la  ville ,  371.  — 
Gouvernement  ,373.  —  Fonctions  du 
sabandar,  375.  — '  Insalubrité  du  cli- 
mat, VII  ,  45,  54.  —  Rues  ,  maisons, 
édifices  publics,  54.  —  Forts  déta- 
chés, 57.  —  Havre ,  59.  —  Environs 
de  1p  ville,  60.  —  Fertilité  remar- 
quable-du  sol;  description  détaillée 
desproduc(.tn-ùs,63  et  suiv.  -r- Abon- 
dance de  fruits  aux  marchés,  75. 
Descriptions  des  principales  fleurs, 
76  et  suiv.  —  Animaux  des  environs , 
82.  — *  Habitans  ,  85  et  suiv.  —  Ex- 


travagante et  sanguinaire  coutume 
des  Isalams ,  92.  —  Leurs  singulières 
superstitions,  93  et  suiv.  —  Chinois 
habitant  Batavia.  Leurs  occopations  , 
'100.  —  Leurs  cimetière*,  101.  — 
Esclaves ,  leurs  punition* ,  103.  — 
Gouvernement ,'  106.  —  Monnaies  , 
108. —Environs,  XM".  liv,  Ixij. 

Batta»  (habitans  de  l'Ile  de  Suma- 
tra). Littérature.  Anthropophagie.  Arti- 
cles de  leurs  lots  condamnant  à  être 
mangé  vif,  t  XLIII ,  p.  xij. —  Abomi- 
nables repas,  xiij.  —  Caractère,  xUv, 
--Repas,  xlv. 

Batture  de  Diane  (Ile ,  Aust.).  Décou- 
verte par  Bougainville,  t.  IV,  p.  281. 

Baudir.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  XVIII,  p.  3. 

Bauman (lies delà  Polynésie), décou- 
vertes p.ir  Roggewin,  t.  II,  p.  62, 64.  — 
Mœurs,  teint ,  vétemens  des  naturels, 
63.  —  Ne  doivent  pas  être  confondues 
avecles  lies  desNavigateurs,  XIII, 115. 

Baur  (Ile  du  groupe  de  la  Révolu- 
tion), découverte  par  Marchand,  t.  XV, 
Étendue,  p.  443.  —  446- 

Bavarois.  Fêtes  d'enfans,  t.  XLV, 
p.  340.  —  Respect  pour  la  chambre 
matrimoniale,  342.  —  Costume  de 
paysannes ,  344.  —  Costumes ,  346.  — 
Religion ,  356. 

Bavière  (État  de  la  Confédération 
germanique).  Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XLV,p  338à361.  — Lindau,338. 

—  Campagne,  338.  341,  342,  345, 
359.  —  Wangen ,  359.  —  Leutkirch, 
340. —  Routes,  Memmingen ,  Miudcl- 
heim,  341.  —  Loi  singulière  sur  les 
voyageurs,  342.  —  Villages,  342, 
358, 361-  —  Augsbourg  ,  342  et  suiv. 

—  Munich,  345  et  suiv.  —  Prix  du 
travail  et  de  la  nourriture,  356  — 
Plaines,  l'Iser,  358.  —  Beau  lac  Ko- 
chelsce  et  autres,  359,  360.  —  Alpes, 
359,  360.  —  Mittenwald ,  361 . 

Bayadères.  Éducation ,  vie,  costume, 
réputation  dans  r'iindoustan,  t.  XXXI, 
p.  347  et  XXXVI,  438. 

Bay-Jah  (  ville  du  royaume  de  Tu- 
nis). Commerce,  t.  XXII,  p.  194. 

Beari  (ville  du  Zeg-Zeg ,  Soudan). 
Tente  remarquable  du  chef,  t.  XXVIII, 
p.  270. 

£eau/>r^ (Iles  delà  Nouvelle-Calédo- 
nie, Australie),  découvertes  par  d'Eu- 
trccasteaux,  t.  XV,  p.  190. 

Bedi-Gima  (pays  du  Haoussn,  Son- 


# 


*sf 


%. 


320 


TABLE  GÉNÉRALE 


duo).  Habitani, prodnotioni,  «grioal- 
^  ture,  t.  XXVII,  p.  338-. 
*^       Btd*r  (  Tille  du  Hadjas ,  Arabie  ). 
Maiiona,!^  XXXII,  p.  343 —  Tliéàtre 
d'une  battttle  de  Mahomet,  344.  ->> 
Race  deaJipbitaDa,  345- 

3*dihdr0e\  ville  du  Haoussa ,  Sou-' 
dan).  Demeure  du  gouTerneur,  in- 
térieur des  huttes, attribut  de  dignité; 
belles  femmes,. t.  XXVlI,  p.  330,*— 
Amulettes,  332. 

£/ii(M  (tribu  dv  H  >ussa,  Soudan). 
Arbréii  du  pays,  t.  VU,  p.  334.  — 
Religion,  langne,  wioUtique,  mets 
favori,  341. 

^KECHET.  Sou  Toyage  autour  du 
monde,  pour  aller  à  la  rencontre  du 
capitaine  Parry,  t.  XIX,  p.  1.  —  Re- 
cueil des  détails  tr^s  intéressans  sur 
la  révolte  de  l'équipage  du  capitaine 
Bligh,  23  et  suiv. —  Fait  connaître 
l'état  de  l'établissement  à  l'Ile  Pitcairn , 
de  l'équipage  révolté ,  58.  et  isuiv. 
— •  (rund  possession  du  groupe  Gam- 
biei  et  en  nomme  les  lies,  122.  —  Ses 
entrevues  avec  les  naturels,  101, 105, 
113. —  À. -se  le  roi,  129  et  suiv. — 
Nomme  les  iles  Wolfe,  150.  —  Dé- 
couvre les  lies  Barrow,  166.  —  Cock- 
bnrn,  170.  —  Byam-Hartin,  où  il 
découvre  une  petite  colonie  chré- 
tienne, 171  et  suiv.  —  Les  Iles  Mel- 
ville  et  Croker,  197.  —  Ses  entrevues 
avec  la  rein«  et  le  roi  de  Taïti,  207, 
212, 225.  —  Nomme  les  caps  Thomp- 
son, 252.  —  Hope,  255.—  Beanfort, 
257.  -  FranUin,259.— Barrow,  278. 
—  La  baie  Elson ,  279.  —  Son  voyage 
par  terre  à  Monterey,  325.  —  Ses  en- 
trevues arec  le  roi  d«  Sandwich,  362 
et  suiv.  —  Examens  et  interrogatoires 
qu'il  subit  à  Loo  choo,  397, 400, 410, 
416.  —  Promenades  dans  l'intérieur 
de  rtle ,  401, 405.  '—  Nomme  les  grou- 
pes Parry,  433.  — Burdet,  435.  — 
Découvre  les  ports  Clarence  etGrant- 
ley,  451.—  Naufk-age  de  soa  gr&nd 
canot,  452,  457. 

Btere-Kathi/ery  (ville  des  Tibbous 
du  Gnnda,  Soodan;^  t  XXVII ,  p.  85, 
440. 

Begemder  (province  de  l'Abyssinie). 
Étendue,  sol,  t.  XXIII,  p.  326.— 
Cavalerie ,  bétail,  mines,  328. 

Btgharmii  (  tribu  du  Soudan  ),  dé- 
faite par  le  Sbeikde  Kouka,  détails  sur 
la  bataille,  t.  ;LXVII,  p.  268  et  suiv. 


BapoM-SiniHOD.  Eut,  figure,  ca- 
ractère do  cette  princesse  binduut!, 
t.  XXXVI,  p.  262  et  suiv.       , 

£«Aar(  province  de  l'Hindoustan). 
Voyage  dans  le  pays,'  t.  XXXVI, 
p.  103  à  129.  —  Village  de  Pir-Poin- 
tie,  103. —  Cavernes,  104. —  Campa- 
gne, 105,115,119,121.— Boglipour, 
107,  114. — Aspect  animé,  boutiques, 
forgerons  renommés  de  Mongbyr,  116 
à  118. — Bijoux  de  femmes,  119.— 
Villes  musulmanes  ;  punaises  volantes, 
scorpions, beau  pont,  études  detliéo- 
logie  de  Futwa,  120.  —  Dinapour, 
121.— Cbuprah,125.à  127.  — Buxar, 
127,  128.  Voy. /»«<««,  cap. 

Behring,  Découvre  les  Iles  Schuma- 
gin ,  t.  XI ,  p.  5.  —  Nomme  le  cap 
Serdze-Kamen,  80. —  L'Ile  Saiut- 
Laureut,  83, 85.  — •  A  très  bien  relevé 
la  côte  d'Asie ,  de  la  mer  de  Beliring, 
86. 

Behring  (  lie  de  la  mer  de  Behring). 
Tombeau  de  Behring.  Son  aspect  hor- 
rible, t.  XVII,  p.  64. 

B*hriug  (baie  de  l'Amérique  Rus^), 
nommée  par  Cook,t.  X,p.  431.^ 
£.st^ce  une  baie  ou  une  rivière?  XII, 
157,  n. 

Beira  (province  de  Portugal).  Pre- 
raiev  oranger  ^^pporté  de  la  Chine, 
t.  XL VI,  p.  186. 

Btlelter  (ile  du  groupe  Gambier,  Po- 
lynésie). Village ,  singulière  entrevue 
de  deux  femmes  avec  Beechey,  t,  XIX, 
p.  125. 

BéUeiOt,  du  Niger), t.  XXXj^.  312. 
—  Costume  du  roi  de  l'Ean-Noire  et 
de  sa  cour,  315  et  suiv. 

Btlgaram  (ville  de  l'Aoudh,  B:>i- 
doustan).Ruines  de  la  caserne,  msisons 
musulmanes,  environs,  t.  XXXVI, 
p.  198 

B*lgi«  Aiutralt,  nom  donné  par 
Boggewin  aux  lies  Malosines,  t.  II, 
p.  44. 

Belgnd*  (capitale  de  la  Servie,Ta^ 
quia  d  Europe).  Étang  factice,  t.XLIV, 
p.  10.  —  Ruines  d'anciens  rénervoirs, 
11.  —  Aspect,  164.  —  Les  F/ffendis , 
leur  reUgion,  XLVI,  83,  84. 

Btllt  (Ile,  mer  de  Chine),  nom- 
mée par  Laplace.  Étendue,  habitan;), 
t.  XVm,p.450. 

Belle-Nation  (  ile  de  la  Polynésie), 
découverte  par  Qairos,  1. 1,  p.  262. 

BELi.iirG8HÀiiSBir.  Son  voyage  an- 


^.  J:- 


DES  MATIÈRES. 


321 


tonr  da  monde,  t.  XXI,  p.  431.  — 
Déooorre  l'Ile  do  Marqnia  de  Tra- 
vene ,  432.  —-  L'arvhipel  d' Alexan- 
dre l",  441.  — ■  Les  (les  de  Pierre  I*', 
d'Alexandre  I*',  446. 

/?W««eA««  (tribu  da  Sindby,Hindoni«> 
tan).  Costume  et  cortège  d'un  chef, 
t.  XXXVir,  p.  369.  —  Éducation, 
373. 

£/«<ir4i(\illedel'Allnhabad,  Hind). 
Son  caractère  oriental,  t.  XXXV (, 
|).  141. <—  Maisons,  mes,  temples, 
142.  —  Maisons  des  Hindous;  ani- 
maux sacrés,  143. —•  Mouvement  de 
la  ville,  144,  146.  —  Sa  réputation 
de  sainteté,  l4â.  —  Industrie,  popu» 
Jation  ,146.  —  Maison  d'nn  riche  ha- 
bitant, 147,  148.  —  Célèbre  vi-hra- 
gesar,  149.  —  Observatoire,  150.— 
Ueanx  quais.  Sectairet)  jains,  151,  323. 
—  Leur  sanctuaire,  152.— Mosquée  ; 
environs  delà  ville,  153.  — Sutteisuu 
sacrifices  des  veuve;  suicides,  154. — 
Collège  hindou ,  1 55. 

Bendtr-Albatii  (  ville  du  Kerman , 
Perse),  Aspect ,  environs ,  pyramides, 
tombeaux,  t.  XXXV,  p.  13. 

fi<ajpa/<.  (province  de  l'Hindoustan). 
Canaux,  branches  du  Crangct  XXXVI, 
p.  2,  45,  57,  64,  67,  70,  88,  92.  - 
Villages,  9,  11,  15,  26,  47,  62,  66^ 
81,  91.  —  (Caractère  des  domestique», 
23.  — Salpêtre,  26.  —  Pagode»,  27, 
49.  —  Établissement  danois  ,  32.  — 
Poltronnerie  des  Bengalais,  42.—  Cha- 
loupes, 43.  —  Chinsura ,  45.  —  Ani- 
maux ,  52,  55,  84,  442.  —  Mendians 
cbantenrs ,  55  —  Huile  de  moutarde , 
56.  —  Absence  de  rocs,  57.  —  Cam- 
pagne, 60,  61,  68,  94,  98,  443 — 
Taureaux  sacrés,  60.  —  Loutres  appri- 
voisées ,  65.  —  Singulier  esquit ,  69.— 
District  de  Chittagong,  74.  —  inon- 
dations, 80, 97. —  Lac ,  87. —  Bergers, 
89. —  Moisson  du  millet ,  90.  —  Manu- 
facture de  soie  de  Surdah,  91 .  —  Bog- 
waogola,  93,  443.—  Hautes  fourmiliè- 
res, 96.  —  Antique  splendeur;  vastes 
raines  dip  Gonr,  98.  — Rajmahal,  99, 
104.  — ■  Montagnes  et  leurs  habitons, 
loi  et  sniv.  —  Superstition  des  indi- 
gènes ,  443.  Voy.  Calcutta.  Cliander- 
nagor,  CommercoUjr.  Daofa.  Puharreis, 
Sibnitbashi,  Yanaoït. 

Bengassi  (ville  du  Kaarta,  Nigritie), 
t.  XXV,  p.  357. 

XLVI. 


BiiTiousu.  Son  Voyage  an  Kam» 
t4chatka.  t.  XXXI, p. 857. 

B«Houm  (ville  du  Ludamar,  Sénégam- 
bie).  Captivité  de  Mungo  Park  an  camp 
voisin ,  t.  XXV,  p.  140  et  •niT.— Tri- 
but annuel  aux  Maures ,  165. 

Btrèert  on  Kmbatlet  (peuples  noma- 
des da  nord  de  l'Afrique).  Lear  ori- 
gine, leur  vie,  t.  XXII,  p.  163,  178, 
213  —  Langue,  164,  213.— Leur 
indépendance,  213- 

Berge»  (  ville  de  la  Norwége  )  , 
t.  XLVI,  p.  297. 

Bergh  (groupe  de  l'archipel  des  Ca- 
rolines).  Découvert  par  Morrell,  t.  XX , 
p.  207,  21^.  —  N'est  autre  que  le 
groupe  Uogolen,  212,  note.  Voy.  e« 
aan  pour  la  tuite, 

BergoHt  (peuple  voisin  du  Darfour, 
Soudan).  Lear  manière  redoutable  de 
combattre,  t.  XXV,  p.  414. 

Betg-Rieier  (colonie  du  cap  de 
Bonne-Espérance).  Embouchure.  Ro- 
seaux. Hippopotames,  t.  XXIV,  p.  458. 

BaairiER ,  compagnon  de  voyage  de 
Taveruier  dansl'Hindoustan,t.  XXXI, 
p.  75.  —  Devient  médecin  du  Grand- 
Mogol ,  75 ,  85.  —  Suit  le  prince  à 
Cachemire,  85. 

Betborough{\\9  de  la  mer  de  Behring), 
nommée  par  Cook ,  t.  XI,  90.  —  Pru- 
duc'ions ,  90, 94.  —  Hubitans,  91 ,  93. 
— •  Habitations  de  la  c6te,  93. 

Betehoucmat  ou  Biehuaaai  (  peuples 
de  la  race  cafrc  ).  Voyage  dans  leur 
pays ,  t.  XXVI ,  p.  396  et  sniv.  -«• 
Campagne,  401 .— Autruche  ;  415. 

—  Tribus  diverses ,  470.  —  Voyage 
dans  leur  pays,  t.  XXiX ,  p.  37  et 
suiv.  —  Leur  amour  du  tabac ,  5i.— 
Lenrs  formes;  ils  se  graissent  le  corps, 
53.  —  Barbare  conduite  contre  les 
vaincus ,  110,  115.  >—  Dialectu,  118. 

—  Assujettissemeut  des  femmes,  120. 

—  Caractèr»»^,  121.  —  Leurs  progrès. 
Gouvernement,  122.  —  Habitudes. 
335.  —  Travrrx  des  femmes.  Indus- 
trie, 336. — hepas  du  roi,  337 

Superstitions ,  353.  —  Mœurs  et  cou- 
tumes des  Machaons  ,  358.  —  Indus- 
trie ,  bétail  des  Marontzis,  359.— 
Tribus  diverses,  470,  471.  Voy.  Ba- 
ehajiiiu,  Coranas,  Gricqua,  Mantchlapit. 

Bejrla  (jolie  ville  du  Sennaar,  Nu- 
bie), t.  XXIII,  p.  474. 

Ùeyrout  (  ville  de   Syrie ,  Turquie 

21 


'% 


-  I 


322 


TABLE  GÉNÉRALE 


d'Aiie).  Situation.  Forme.  Mosquées. 
Parures,  t.  XXXII.  p.  448, 450 

Bhali  (caste  religieuse  de  l'Hin- 
doustan),  t.  XXXYI,  p.  531  et  suiv. 

Bhtils  (  tribu  de  1  Hindoustan  ). 
Leur  vie.  Leurs  armes,  t.  XXXVI, 
p.  338<  —  Leur  pays  envahi  par  les 
Rajpouts.  Leur  caractère,  p.  347.  — 
Huttes.  Formes  physiques ,  353.  — 
VUlages,  354,  360,  364.  —  Se  louent 
pour  eacorter  des  convois,  362.— 
Leur  état  dans  leGuzerate,  381. 

Bhtilwara  (ville  du  Rajpoutana, 
Hindoustan).  Environs.  Richesse  du 
commerce ,  t.  XXXVI ,  p.  334. 

Bhirdjoun-Kain  (villas  et  district  du 
Khorassan,  Perse  ).  Population.  Pro- 
ductions. Manufactures  ,  t.  XXXV  , 
p.  412. 

Bialittoek  (  ville  du  Grodno,  Rus- 
sie d'Europe),  t.  XL VI,  p.  139. 

Bieltt  (ville  du  Grodno,  Russie 
d'Europe),  t.  XLVI,  p.  139. 

Biehe  de  mtr.  Description  de  ce 
mollusque  ,  et  de  l'apprêt  nécessaire 
pour  le  Tendre ,  t.  XX ,  p.  230  ; 
notes ,  p.  259  et  suiv. ,  326. 

Biohuaiuu.  Voy-.  Btlclutuanas. 

Bidattoa  (rivière  entre  la  France 
et  l'Espagne),  t.  XLVI ,  p.  172. 

Biddomaht  (  tribu  des  environs  du 
lac  Tchad,  Soudan  ).  Longs  cheveux 
des  homme».  Ornemens.  Figure , 
t.  XXVII,  p.  320  et  suiv. 

Bitfji*  (vUle  delà  côte  des  Esclaves , 
Gainée).  Musique,  t.  XXX,  p.  37.  — 
Demeure  et  costume  du  chef,  39,  40. 

Bigar  {groupe  de  l'archipel  Radack, 
Polynésie).  Nombre  d'iles.  Croyance 
superstitieuse^  t.  XVll ,  p.  213> 

Bilbao  (ville  d'Espagne),  t.  XLVI, 
p.  172. 

,  Bilma  (cap  des  TiUtous  de  ce  nom. 
Sahara),  t.  XXVII >  p.  75,  443.  — 
Costume  de  femmes.  Danses,  76.  — 
Environs,  78.  Voy.  Tibbout. 

Bindmbund  {y'Me  de  l'Agra,  Hin- 
doustan). Réputation  de  sainteté.  Edi- 
£ces.  ReUgions,  t.  XXXVI,  p.  290. 

Biugeh  (  ville  de  la  Cochinchine. 
Indo-ChineN.  Fortifications,  t.  XXXIV, 
p.  337. 

Bir  (ville  del'Al-Djezyreh.  Turquie 
d'Asie,t.  XXXlI,p.  465. 

Bir-an^ar  (riWe  delà  Hante-Egypte), 
t.  XXllI,  p.  103. 

Bir-el-malha(hoh  du  désert  de  Lybie. 


Sahara  ).  Le  natron,  t.  XXV,  p.  895. 
Birman  (empire  de  l'Indochine). 
Ava ,  t.  XXXIV,  p.  240, 474.— Fleuvi-. 
Montagnes,  449  et  suiv.  —  Code  lé- 
gal, 453.  —  Puissance  déchue.  Po- 
pulation, 454.  —  Armée,  455.  — 
Monnaie,  457.  —  Maisons.  Piigodcs, 

458.  —  Ameublement  des   maisuns,. 

459.  —Villes  divcr.se8,  469, 472, 476. 

—  Productions ,  469  et  suiv. — Mines, 
471.  — -Prome  :  ruines  de  fortifica- 
tions. Denrées,  471,  472.  —  Puits  do 
J^'aphta.  Ectraction  dv  l'huile,  472.  — 
Pouvoir  de  l'empereur,  475.  ' —  Sa 
cour.  Son  costume,  476. — Feux  d'ar- 
tifice, A77. y oj.Amarapoura,  capitale, 
Pérou,  province. 

Birmans.  Leurs  formes  physiques, 
t.  XXXIV,  p.  240,  242  et  suiv.  — 
Langue.  Code  légal.  Race,  453.  — 
Service  militaire.  Caractère,  455.  — 
Poésie,  musique,  456.  —  Physio- 
nomie. Funérailles,  457.  —  Saleté. 
Costume,  459,  460.  —  Occupatioas 
des  femmes,  4(30.  —  Mariages.  Poly- 
gamie, 461.  —  Religion,  461,  478,- 
Costume  de  fonctionnaires,  463,  476. 

—  Usages  de  politesse,  464.  —  Robes 
des  femmes,  467.  —  Leur  conditioa. 
Prostitution.  Epreuves  judiciaires , 
468.  —  Ne  mangent  que  les  animaux 
morts  de  maladie,  47o.  —  Divertisse- 
ment du  dernier  jour  de  l'année,  478. 

Birnie  (ancienne  capitale  du  Buur- 
non,  Soudan).  Ses  ruines,  t.  XXYll, 
p.  185. 

Biscaye  (  province  d'Espagne  ]. 
Campagne,  BUbao,  Vittoria,  t.  XLVI, 
p.  172. 

Bisehur  (  Etat  de  l'Hindonstan  ) . 
Voyage  dans  le  pays,  t.  XXXV,  p.  470 
et  suiv.  —  Serau  :  annimaux  des  mon- 
tagnes; corûes  sacrées;  pierres  levées; 
sculptures,  4!77,  478.  Voy.  Bampore, 
capitale. 

Biscoi.  Découvre  la  terre  d'En- 
derby ,  t.  XXI,  p.  460.  —  L'île  Adé- 
laïde, 462. 

Bissaeott  (archipel  de  la  Sénégam- 
bie ).  Découvert  par  Ça-da-Mosto, 
t.  XXII ,  p.  18.  —  Figure  dés  natu- 
rels, XXVIII,  441. 

Bjornoë  ( lie  d».  Finmarck,  Norwc- 
ge),t.XLV,p.210. 

BUme  (mont  des  Alpes) ,  t.  XLVI , 
p.  16.  —  Hauteur,  31,  44. —  Glaciers. 
Cime,  31.  .  , 


DES  MATl-ÈRËS. 


323 


Blioh.  Bat  de  «on  rojtm  dans  la 
mer  du  Sud,  t.  XKI,  p.  309.  —  Dé- 
coarre  les  Iles  Bonnty,  518.  —  Se- 
jonrne  à  T'aïti,  314  et  soir. -«Est 
abandonné  dans  la  chaloupe  par  son 
équipage  révolté,  322.  —  Est  attaqué 
par  les  Indiens  de  Tofo ,  325.  —  Dé» 
couvre  les  lies  de  la  Direction  ,  de  la 
Restauration ,  flu  Dimanche  ,  des 
Frères ,  du  Mercredi ,  329.  —  Arrive 
à  Timor,  après  une  étonnante  naviga- 
tion, 332. — >Les  révoltés  sont  arrêtés 
à  Taïti,  par  Edwards,  420.  —  Détails 
intéressans  sur  la  révolte  de  son  équi- 
page et  ses  suites,  XIX,  23  et  suiv. 

Boeqaa  (  fameux  marché  de  l'Yar> 
riba,  Guinée^,  t.  XXX  ,  n.  387 ,  391  • 

Bodot  (  port  du  Nordland  ,  Nor- 
vège) ,  t.  XLV,  p.  154.  —  Oolfe  de 
Salten,  155.  — ~  Poissons  rouges, 
)56.  _*  Monts  voisins ,  gibier,  trem- 
blemens  de  terre ,  157. 
Botro,  Burrou  ou  Bourou  (Ile  de*  Mo- 
luqiies).  Bel  aspect  de  la  côte,  t.  IV, 
p.  o31.  —  Gou.  irnement  des  Hollan- 
dais, 335,  340.  —Beauté  du  pats, 
abonde  en  cerfs ,  son  étendue ,  336. 
—  Détails  sur  les  naturels  ,  337.  — 
Productions;  gros  serpens,  crocodiloSi 
558.  —Le  sultan,  353.  —  Sol,  lia- 
bitans  descendans  des  Maures,  XV, 
295.— Bourg  de  Cajeli,  296,  299, 
300.  — •  Jalousie  des  chefs  entretenue 
par  les  Hollandais ,  297. 

BogUpour  (ville  du  Behar,  Hindons- 


tan). 


Ecole ,  t. 


XXXVI,  p.  107.-^ 


Agréable  situation ,  sei-pens ,  monta- 
gnes des  environs  ,114. 

Boghorcdosk  (  ville  du  gouverne- 
ment de  Moskou,  Russie  d'Europe  ), 
t.  XLIV,  p.  461. 

Boguiangola  (ville  du  Bengale,  Hin- 
doustan).  Jolies  habitation»,  activité , 
t.  XXXVI,  p.  93.  —  Beaux  environs, 
443. 

Bohém»  (province  de  l'empire  d'Au- 
triche) ,  t.  XLVI ,  p.  227,  234 ,  236. 

Bohémiens  (peuple  nomade  d'Eu- 
rope ).  Costume  d'une  jeune  fille  , 
t.  XLIV,  p.  97.  —  Origine,  noms 
divers,  traits,  religion  de  ce  peuple, 
99.  —  Caractère ,  chefs ,  100.  —  In- 
dustrie, aptitude  pour  la  musique, 
langue,  101.  —  Leur  condition  çn 
Transylvanie,  102.  — •  Horde»  des  Bal- 
kans de  Turquie,  252. Voy.  Ctingarti. 

Bohoii  (  ancienne  capitale  de  ï'Yar- 


riba,  Guinée).  Situation,  triple  en- 
ceiate,  t.  XXX,  p.  85.  —  Aspect, 
et>  virons ,  marché ,  86. 

BolaMt  (Ile  de  l'archipel  de  la  Socié- 
té). Cook  en  prend  possession ,  t.  V, 
p.  323, 336, —Bon  mouilUge,  X,202. 
''-Son  étendue,  histoire  de.  la  con- 
quête d'Uliétéa  et  d'Otaha,  203  et 
suiv.  —  Renommée  de  ses  guerrier», 
206. 

Bolehtrtiik  (ville  dttKamtscbatka), 
Sa  description  «  t.  XI ,  p.  341.  -—  Ani- 
maux ,  maisons ,  342.  —  Danses  rus- 
ses et  kamtschadales ,  345. 

BologM  (ville  des  Etats  du  saint- 
siége),t.  XL|V,p.  339. 

Bombai  (  Ile  et  ville  de  la  côte  de 
Oman  ,  Hindonstan  ).  Commerce  , 
descripUon  de  l'Ile,  t.  XXXVI,  p.  403. 

—  Animaux  ,  pavillons  d'été ,  404. 

—  Ville  indigène,  habitans  parsis, 
405.  —  Églises ,  407.  —  Iles  voisines, 

407.  — '  f Célèbre  caverne  cruciforme , 
de  l'Ile  A^EUphanla;  trinité  hindoue, 

408.  —  Ile  de  Sahetté ,  chaussée  de 
jonction,  410  et  suiv.  —  Temples, 
cavernes  bouddhistes  ,415. 

BoihAir (^ile  du  golfe  du  Mexique). 
Comment  les  Indiens  se  procurent  le 
feu,  t.  I,  p.  S95. 

Bonatitta  (  ile  du  cap  Vert  ).  Bel 
aspect  ;  description  de  la  ville ,  t.  XX , 

E.  110.  —  Productions,  113.  —  Ha- 
itans  ;  mauvais  traitemens  des  escla- 
ves ;  sol ,  productions ,  XXI ,  206  et 
suiv.  —  Ville  de  Nova-Cidade ,  207. 
Boiutûu  (  royaume  de  la  Sénégnm- 
bie).  Coifture  des  femmes,  t.  XXV, 
p.  39. -^Voyage  dans  le  pays,  64  à 
77.  -^  Tallika,  64.  —  Kourkarani; 
religion,  67.  —  Vétemens',  69.  — 
Soobrodouka,  pêche  et  préparation 
du  pobson ,  70  —  Blé,  71 .  —  Fatte- 
conda,  ancienne  capitale,  73,   76. 

—  Sol,  commerce,  habitans,  79.  — 
Ville  de  Sabi ,  XXVIII,  321.  —  Bon- 
libani,  nouvelle  capitale,  328.  "^ 
Etendue ,  gouvernement ,  religion  , 
écoles,  races,  figure  des  naturels,  338. 

—  Ornemeus  des  femmes,  costumes 
des  homme»,  340. — Equipement  mili- 
taire ,  préparatifs  de  guerre ,  542.  — 
Productions ,  animaux ,  440.  Voy, 
Foulah*. 

Bone  (  ville  de  l'Algérie  ).  Ruines } 
situation  ,  commerce  ;  t.  XXIII  , 
p.   26. 


«> 


S24 


TABLE  GÉNÉRALE 


Boni  (  Ue  de  PapoM  ,  Malaisie  ). 
A*pect,  uturalt.  t.  XYIII ,  p.  77. 

Bo»/»  (llei  de  1*  Blalaitie),  t.  XIX. 
p.  4M.  , 

Bomn*'Etp^niiu4i]^eo\oni9  da  cap  de). 
DvconTeric  '  du  e«p  par  Dias,  t.  I, 
p.  28  (  et  XXK ,  12.)  -  Salubrité  du 
climat,  II.  351,  III ,  63,  VII,  125. 

—  Naturels ,  128.  —  Aipect  du  cap , 
XX,  120.  —  Baie  Saldanha,  XXIV, 
16. —  Baie  Uout,  44.  •—  Eaux  miné- 
rabei,  59.  —  Animaux ,  61 ,  89,  92, 
107.  —  Baie  de  Saint-Blaiie ,  71.  — 
Campagne,  82 ,  86 . 1 19, 244.  —  Baie 
Formose,  88  ,  90.  —  Rivière  Kouga, 
113.  —  Buffle-ririer,  227.  —  I)e«cea- 
dam  des  réfugiés  français ,  239.  — 
Mode  de  concessions  de  terrain , 
241 .  —  Trois  classes  de  colons ,  leurs 
mœnrs,  246,  255.  —  Leurkabille- 
meut,  25U.  —  Nourriture  ,  253.  — 
Vie,  254.  —  Saluts,  256.  —  Educa- 
tion ,  257.  -  La  tête  du  liqn  ,  268. 

—  Le  Swartiand,  274.  —  Embou- 
chure, roseaux,  hippopotames  du 
Brrg-Hivier ,  458.  — •  Bornes  de  la 
colonie,  XXVI,  15.  —  Sol  ;  manière 
de  voyager,  16.  —  Villages ,  fermes, 
16,64,  116,118.142.  — Habitans, 
détails  historiques,  18.  —  Cominerce 
et  prix  des  esclaves,  21.  —  Adminis- 
tration de  la  justice  ,  monnaie; 
denrées,  24.  —  Productions ,  climat . 
aspect  du  ciel,  26. — Saisons,  28.  — 
Dunes,  39.  —  Eaux  thermales  ,  48 , 

'  68.  —  Premiers  missionnaires ,  54. 

—  Vallée  Bosjeveld  ,  65.  —  Hospi- 
talité, 67.  —  Eglise  de  TuUagh,  70. 

—  Paarl,  78  — Chariots,  81.  — 
Tremblemcns  de  terre ,  87 ,  99.  — 
Autruches,  121.  — ■  Voyage  dans  le 

Eays,  XXIX ,  2  et  suiv.  —  Le  Suevr- 
ergea,  7,  Il ,  13.  —  Cochera  afri- 
cains f  10.  —  Chasse  au  lieu  ,  1?  — > 
Nievreld,  98.  —  Incursions  contre  les 
Boicliimans,  origine  de  l'animosité 
eontre  eux ,  147.  —  Baie  de  Sainte« 
Hélène ,  228.  —  Relation  d'nu  séjour 
de  quatre  ans  dans  la  colonie ,  230  et 
suiv.  '—  Plaines  ,  237.  —  Intérieur 
d'une  ferme  où  se  fait  le  vin ,  243.— 
Chasse  au  tigre ,  245.  —  Déprédation 
des  tribus  de  la  frontière,  256.  — ■ 
Plantes,  fleurs,  259.  —  Corps  de 
Huttentots  gardiens  des  frontières ,. 
273.  —  Rivalités  entretenues  par  les 
fermiers,  276.  —  Oiseau  curieux. 


S13.  >»  Chaas*  a«s  élépbana ,  315  et 
aniv.  —  Sauterelles;  UÎtenage  ;  effets 
de  la  guerre  conlre  les  Cafres  ,  326. 
—Portrait  d'une  famille  huUandaiM-, 
327.  —  Sa  ferme  ,  329.  —  Insiiiu> 
tiens  moraves  ,  83?.  —  Détails  liistu- 
riques  ;  gouverneineiit,  provinces , 
3w.  —  Taxes  des  c-tions ,  370.  Voy. 
Faho  ,  Fmiueh-Htrt,  Grat^fl  -  R^r- 
n*l ,  GUiudtHiiul ,  (iraham  ,  Gmot- 
Bttg ,  HolltLHdt  holUntot» ,  Abu/- 
Miq»4U,  Marro,  I*  Cap,  capi^'.  le,  Roggt. 
m«ld  Karro,  Suiiit-G*org*i ,  SltUtm- 
iûieh ,  Tablt. 

Bonni-Eipéranet  (tribus  au  norj 
du  cap  de  ).  Voy.  Boêchimam  ,  Bel- 
chouanat  y  Camininquoit,  Glitittiguoit, 
Hotleniott  f  HoutouaiMt ,  Kabobiquat , 
Aptai ,  Koraquoit ,  IVa-naquoil. 

Boitne-Obieniation  (lies  de  la  Poly- 
nésie ).  Déc«>uvertes  par  Douglas , 
t.  XIII,  p.  377. 

BomtutiH  (ville  et  baie  de  l'Ile  dos 
Célèbes),t.  111, p.  212. 

Bonrouloir  (  Iles  de  l'archipel  da  la 
Louisiade).  Habitans,  leurs  arme», 
leurs  pirogues ,  t.  XV,  p.  258. 

Boothia  (péninsule  des  régions  arc- 
tiques). Découverte  par  Ross ,  t.  XL , 
p.  46-  —  Saie.Fear\vell.  Rivière  Lang, 
ibid.  —  Plantes ,  47,  52 ,159 —  Ani- 
maux, 47,  59.  61, 122,  134,  180, 
199.  —  Villages, huttes,  47,  50,  5», 
87,  162,  172.  —   -e  port  Lang  ,  49. 

—  Intérieur  des  terres ,  49,  60,  103, 
111,  117,  135,  144,  171  à  181.  >- 
Le  ptirt  Klisabeth,  51.  —  Le  purt 
Éclipse ,  56'  —  Lièvres  blancs ,  61  .— 
Entrevues  avec  les  Esquimaux  ,  81 , 
87,03, 103, 154,  162, 172,  196.  - 
Lacs,  montagnes,  128.  132,  136. 
139,  142,  152,  177,  178. —  Baie 
Speooe,  138.  —  RivièM  Amitioke. 
139.  —  Oiseaux ,  140 ,  143 ,  144.  — 
L'isthme  ,142.  —  Vue  de  la  mer  à 
l'ouest,  146.  —  Cap  Isabella,  147.  — 
Iles  de  Bererley,  Matty,  149.  —  Cap 
Abemethes,  Sabine,  Young,  150.— 
Difficultés  des  voyages  en  «té,  151. 

—  Baie  Parry,  152.  —  Baie  Richard- 
son.  Golfe  B<M»thia^,  cap  Félix ,   155. 

—  Cap  Victory,  1 54— Baie  du  Shcriff, 
168.  —  Rivière  Sanmarez ,  Hansti'iiis, 
177,  179.  —  Pâle  Magnétique  ,  187, 
19Û ,  247.  —  Mœurs.  Usages ,  etc. , 
des  habitans.  Voy.  Eiquimaux  d*  l'en. 

Bon*  (secte  de  l'Hindouatan).  Leur 


DES  MATIÈRES. 


326 


rtligioa.  Leur  mauTNite  ré|iatiitioD , 
t.XXXVI,p.B03. 

Btritôm  (  Tille  du  Min*k,  Ruitti« 
d'Europe),  t.  XLVI ,  p.  140. 

Bofn/o  (ile  de  lit  Malaitie).  D^con- 
terte  \>*r  les  Portugais ,  t.  I ,  p.  107. 

—  Production»  direrses ,  XV,  383. 
_  Montà^oes ,  XLIII ,  TJ ,  lix.  >~Hi- 
Tièrr»,  «ij  ,  lix.  —  Lac,  viij ,  lis,  — 
Miae«  précieuses ,  viij ,  lis.  -J  Pro- 
ductions ,  ix ,  lis ,  Isij ,  IxiiJ.  •»  Qiia- 
dru|)èdes  ,  ix ,  x  ,  Ixiij  et  suir.  —  Ha- 
bitans  Malais  ,  sij,  xr,  Ixj.  —  IIabi< 
tans  Dayaks ,  xiij  ,  xxij,  Isj.  —  Patrie 
dos  Papouns ,  xviij.  —  Religion ,  xxij, 
lxTiij.-~GouTernen>ent,xxviij,  Ixij.— 
Industrie.  Commerce,  sxix.— Anthro- 
pophagie, XXX.  —  État  des  femmea, 
ixxj,  —  Langue,  xxxij.  —  Étendue, 
babiians,  Ivig.  —  Climat ,  lix  ,  Ixij. 
-•  Huîtres  perlières ,  lis.  —  Golfes , 
Ix.  —  Figure  ,  mœurs  ,  habitations 
d(s  différentes  tribus ,  Ix  et  suiv.  — 
Sultans  indigènes,  Ixij  ,  Ixix.  —  Cam- 
pagne,  Ixij.  —  Le  bois  de  fer,  Ixij. 

—  Chiens  engraissés  pour  les  repas, 
lerpens,  IxiT.—  Habitudes  des  singes, 
IxT  et  suir.  — •  Leur  chasse,  Ixti,  •— 
L'orang-ortang,  Ixtï.  —  Giseanz, 
IxTij.  —  Culte  des  crocodiles.  Mé> 
tempsychose,  Ixriij. 

Bonna  (ville  du  gouTernement  de 
Tchernigor.  Russie  d  Europe),  t.  XLIV, 
p.  372. 

Boteaut»  (lie  de  Tarchipel  des  Amis). 
Découverte  p.ir  Wallis,  t.  II(,  p.  381. 
— "N'est  autre  que  l'Ile  des  Cocos  de 
Lemaire ,  VIIT,  73.  —  Habitans ,  225. 

—  Nom  indigène  de  l'Ile  ,  X  ,  44. 
Boschimaiu  (tribu  pillarde  ..n  nord 

dn  cap  de  Donne-Espérance).  Vie. 
Armes.  Art  de  fondre  le  cuivre.  Cos- 
tumes des  chefs.  Mariages ,  t.  VII  , 
p.  130  à  132.  —  Est  fiirmée  des  va- 
pibonds  des  tribus  voisines ,  XXIV, 
449.  —  Éducation  de  leurs  bœufs, 
XXVI,  134.  —  Voyage  dans  leur 
P'ys ,  16J5  à  396.  —  Taille.  Couleur  , 
168.  —  Ornemens  ^,232.  —  Ar- 
bres ,  174  ,  178.  —  Kraals  (villages), 
178,  180,  184,  272,  303,  313  et 
suiv.,  371,  411  •  —  Missionnaires,  181, 
197.  —  Productions  ,  185.  —  Qua- 
drupèdes ,  188,  245 ,  334,  368.  — 
Pièges  aux  animaux ,  224 ,  237.  — 
Oiseau ,  228.  —  Costnmes ,  230,  233, 


517.  —  Lao  salé,  255.  —  Ukteosilc», 
23U,  323.  —  Hippopotame,  245.  — 
Sol.  Pays ,  254  —  Poisson  ,  257.  •— 
Fourmilières,  267.  —  Musique,  275, 
276.  312,  520.  —  Repaies  divirs, 
281.  —  Huttes,  516,  326.  —  Ma- 
I  iagos ,  320.  —  Toilette  des  femmes  , 
T"*!  —  Ablutions,  324.  —  Habileté 
au  tir,  325.  —  Danse.s,  325,  827  et 
suir.  —  Sale  habitude,  330.—  Chaste 
du  rhinocéros,  330  —Armes,  372. 

—  F.xcursion  dans  leur  pays ,  XXIX , 
144.  —  Guerres  contre  les  cohtn». 
Origine  de  l'animosité  contre  eux , 
147.  —  Numération  ,  158.  —  Nourri- 
ture.  Superstition,    163,  276,366. 

—  Signiiication  du  nom  de  Bosrlii- 
mans ,  275.  —  Mœurs  et  usages ,  365. 

—  Voy.  Garitp,  rivière. 
Botjtntd  (vallée  du  cap  de  Bonne- 
Espérance)  ,  t.  XXVI ,  p.  65. 

Betphor*  d*  Thrae»  (détroit  entre 
la  mer  de  Marmara  et  la  mer  Noire). 
Ses  rives  de  Turquie ,  t.  XLIV,  p.  20. 
•—  Départ  périodiqu*-s  de  railles ,  21 . 

—  Amu  damn^ti  (oiseaux) ,  73.  — 
Respect  des  Turcs  pour  ces  oiseaux , 
24.  —  Chaloupes ,  271.  —  Magnifi- 
cence des  rives ,  372. 

Boira  (ville  de  Syrie,  Turquie 
d'Asie).  Ruinei,  t.  XXXIl ,  p.  427. 

Bouu.  Nationalisé  ches  les  Arkao- 
us,  t.  VII,  p.  11,  note. 

Boitam  (ville  du  Khorassan,  Perse). 
Fortifications.  Population.  Mosquées, 
t.  XXXV,  p.  152— Tombeau  du  fon- 
dateur de  la  ville,  153. 

Botton  (capitale  duMassnchnssetts, 
États-Unis).  A.npect,  t.  XXXIX,  p  145. 

—  Unitairianisme ,  146.  —  Édifice», 

149,  159.  —  Commerce  de  glace, 

150.  —  Collège  Harward,  loi.  — 
Climat,  152.  —  Gratid  hôpital,  153. 

—  Chantier,  159.  -—Marins,  160. — 
Écoles  ,  166.  —  Bon  naturel  des  ha- 
bitans, 172. 

Botanique  (lie  de  la  Nouvelle-Calé- 
donie .  Australie  ).  Découverte  par 
Cook ,  t.  IX ,  p.  14.  —  Ses  Grands 
pins  ,  15. 

Botany-Bsy  (baie  de  la  Nouvelle* 
Galles  méridionale  ,  Nouvelle  -  Hol- 
lande). Lieu  de  déportation  de  I'Ak- 
gleterre  ;  pourquoi  ainsi  nommé  par 
Cook.  Sa  description.  Sa  population 
enl833,  t.  VI,p.  229. 


320 


TAULE  GÉNÉRALE 


,  BtIkiiN  (proviDce  do  NordUad  tné- 
doU).  Voyage  daoa  l'intérieur ,  t.  XLV, 
p.  820. 

Botol-T«b0to-Xtmm  (Ile  de  lit  Matai- 
tie).  Son  étendue,  lou  hel  atpect,  vil- 
lagef,  foréta,  t.  XII,  p.  321  ;  XIX,  392. 

BotMiH  (Tille  du  Tjrrol).  Oétaili  di- 
rer» ,  t.  XLV,  p.  366.  —  Environa , 
593.  -»  ARrrmen»  de  la  ville ,  304, — 
Édi6cei,395.  —  Promenades.  Ruinât 
de  Sigmuiidk-Cron,  39ti. 

Btue  (Ile  du.  Polyni^iie),  Décou- 
verte par  Kotcebue,  t.  XVII ,  p.  136, 
144.  —Tatouage,  vétenient,  oruo- 
mens,  138,  141.  —  Productions, 
143,  144. 

Bouddha  (culte  de).  Prières  diverses, 
t.  XXXIII,  p.  19,  343.  —  Péchés 
mortels ,  45.  — •  Coffres  des  oriiiions , 
139.  —  Eau  bénite,  144,  note.  — 
Sépultures,  151.  —  lie  grand  prêtre, 
232.  —  Figure  du  Bouddlia  de  Siam 
et  de  Ceylan,  XXXIV,  118,  233.  — 
Temple  de  Packnam  ,  117.  —  Tem- 
ples de  Baukok ,  165  à  170,  232.  — 
Différence  du  Daguba  de  Ceylan  et 
de  Siam ,  166.  —  Peintures  obscènes 
des    temples    de   Bankok     ne   sont 

Itoint  dans  ceux  de  Cevian ,  233.  — 
nnombrablet  statues  de  Bouddha  à 
Bankok ,  234.  —  Leur  arrangement, 
leur  pose  peut  servir  de  modèle ,  Ibid. 
—  Commandemens  de  Bouddha  (texte 
siamois  et  traduction),  272.  —  Si- 
gnification du  mot  Bouddha.  Su- 
prême sectateur,  462.  —  Description 
des  temples  •  cavernes  bouddhistes 
de  l'Ile  Salsette ,  XXXVI,  413  ettuiv. 
— /rf.  deCarley,421. 

BouoAiirviLLE.  Part  de  Brest  pour 
remettre  aux  Espagnols  la  posses- 
sion des  Malouines,  t.  IV,  p.  1.  — 
Effectue  cette  remise,  donne  quel- 
ques détails  .sur  l'histoire  de  ces  Iles 
et  sur  l'établissement  qu'il  y  avait 
fondé ,  38  et  suiv,  —  Décrit  les  mis- 
sions du  Paraguay  et  l'expulsion  des 
jésuites ,  dont  il  fut  témoin ,  106  et 
aniv.  —  A  nne  entrevue  avec  les  Pa- 
tagons,  138.  —  Nomme  la  baie  Dn- 
clus  ,  151.  —  Celles  du  beau  bassin 
de  la  Cormorandière,  l'Ile  des  Deux- 
Sesurs,  la  baie  de  la  Cascade,  164  et 
suiv.  —  Décrit  les  habitans  de  la  côte 
de  la  Terre  de  Feu ,  qu'il  nomme  Pé- 
cherais ,  163 ,  172.  —  Nomme  les  caps 


Fendu ,  de  l'ttoile  et  de  la  Boudeone , 
191.  —  Découvre  les  Iles  de*  quatre 
Facardins,  desl^anciers,  de  La  Uar- 
pe,  et  plusieurs  antres,  auxquelles  il 
donne  le  nom  générique  d  archipel 
Dangereux,  200  et  suiv.  —  Mouille 
k  Tuiti,  211.  —  Sa  récepticiq  nur  les 
habitans ,  213.  —  Y  sème  differentei 
graines ,  222.  '—  Emmène  un  Indien 
nommft  Autourou  ,  231.  —Découvre 
l'Ile  d'Oumaitia  ,  258.  —  Nomme  l'ar- 
chipel ae  Bourbon  ,  250.  —  Celui  des 
Maviffateurs,  les  Iles  de  l'Enfaut-Per- 
du  ,  de  la  Pentecôte,  de  l'Aurore ,  de 
l'Étoile,  des  Lépreux,  267  et  suiv,— 
Découvre  l'archipel  des  grandes  Cy- 
cladcs ,  277.  —  Petite  découverte 
d'un  autre  genre ,  278.  •—  Découvre 
l'Ile  do  la  Bature  de  Diane,  281 ,  —  Le 
golfe  de  la  Louisiade  ,  290.  —  L'Ile 
Choiseul ,  298.  —  L'Ile  Bouka,  300. 
—  ReUclie  à  la  NouvelIcBrctagoe. 
Décrit  et  nomme  le  port  Pra»lin,301 
et  suiv.  —  Découvre  l'Ile  des  Anaclio- 
rètes,  319. — L'arcMpel  de  l'Échiquier, 
l'Ile  des  Deux-Cyclopes  ,  etc. ,  320,- • 
Nomme  le  passage  des  Français,  327. 
•-»  Sa  navigation  dans  les  Moluqiii-s, 
343  et  suiv.  —  Séjourne  à  Batavia , 
365.  —  Rencontre  le  vaisseau  de  Car- 
terot ,  399.  —  Cook  achète  une  de 
•es  ancres  à  Taïti ,  X  ,  20t.  —  Ré- 
sumé de  ses  voyages,  XVllI,  20t. 

BouoAiifviLLE  fils.  Son  voyage  au- 
tour  du  monde  ^  t.  XVIII ,  p.  394.— 
Sa  brillante  réception  en  CocLin- 
chine ,  406,  —  Reconnaît  les  groupes 
Anambas ,  408.  — •  Érige  un  monu- 
ment à  La  Pcrouse,  à  la  Nouvelle- 
Hollande,  315. 

BougainviU*  (Ile  de  l'archipel  Salo- 
mon).  Aspect  de  la  côte  occidentale , 
t.  XV,  p.  44.  —  Sol  montueus, 
XVIll ,  142. 

Bouguis  (nation  de  l'Ile  Célébra). 
Commerce.  Littérature  ,  t.  XLIII , 
p.  xiij. 

BouJnourJ  (  ville  du  Khorassan. 
Perse) ,  t.  XXXVII ,  p.  304. 

Bouka  (  Ile  de  l'archipel  Salomon). 
Découverte  par  Bougainville.  Produc- 
tion ,  côtes.  Description  desh.ibitaa!«, 
de  leurs  pirogues ,  t.  IV,  p.  300  ;  XV, 
45  et  suiv.;  XVIII,  143;  XX,  370. 

Bottkfiara  (  capitale  de  la  Buukh.i- 
rie).  Sa  renommée.  Est  suruoinmée  U 


DES  MATIÈRES. 


327 


SnitH,  i.  XXXVII,  p.  171,  177, 'iOS. 

—  Eavironi,  175,  2(i0  — Le  R^gUliia 
ou  graud  bniiRr.  Etraugert,  Cottumi!». 
Denrée» ,  180  à  186.  —  Uuge  du  thé, 
(le  la  glace,  185.  —  Musquée*.  Po- 
lice,  180.  —  CuUéget,  187,  203, 
205.  —  Baiar  ani  e^cluvet,  187.  — 
Punition  des  infracteurs  des  lois 
inuAulmanei,  188.  —  Etat  des  babi- 
tans  iiinduus,  189.  —  Bains  à  l'orien- 
tale, 192.  —  Protection  accordée  au 
commerce,  195.  —  Coiitunie,  escorte, 
deroirs  du  roi,  196.  —  Origine  et  biit- 
toire  de  la 'ville,  200,  204.  —  Climat, 
200.  —Edifices.  Canut,  201.  —  Popu- 
lation. Maisons.  Grande  moiqueo , 
202.  —  Collège  remarquable.  Ddmes 
émaillés  ,  203.  —  Détails  sur  les  col- 
lèges, 205.  —  Rigueur  du  inuhumé- 
tisme,  206.  —  Littérature  de  l'Asie 
centrale,  209. 

Boukliariê  (royaume  de  la  Tatarie 
iadépendante  ).  Habitans  épousent 
les  femmes  do  leurs  prisonniers ,' 
t.  XXXVn,  p.  130.  —  Voyage  dans 
l'intérieur.  Balkli,  153  et  suiv.— Ma- 
nière de  voyager,  160.  —  Exactitude 
des  descriptions  de  Quinte -Curce, 
161.— Le  désert  des  Turcomans,  162. 
Huttes,  161. — Rivière  Osns;  manière 
de  la  traverser,  164.— Campagne,  164, 
223.  —Villages.  Puits,  165, 167, 168, 
172.  —  Marche  d'une  caravane.  Es- 
prit d'égalité,  166.  —  Climat,  167.— 
Amazones  La  Kays.  168.  Oasit ,  169 , 
172.  ■—  Lieu  de  naissance  de  Timour, 
171.  -Marchés,  172.— Caractère  des 
ludigènes,  173.  -~  Tombeau  fameux, 
210,  21 2.  —  Ancienne  capitale  de  Ti- 
mour, 211.  —  Ruines  de  Kbojuoban. 
Momies  antiques,  213.— Description 
du  pays  de  Bukhara  à  l'Oxns,  223.  ~ 
Énormes  melons,  224.— État  des  Tur- 
comans, 225,  227.  —  Esclavage,  229. 
—Ruines  antiques,  231.— Commerce 
de  peaux  de  moutons,  233.  —  Bazars 
des  Boukhariens à  Macarief ,en  Russie, 
XLIV,  468.  Voy.  Balkh,  Bykund,  Kar- 
lan,  Xhurstjr,  Samareand,  Utbtki, 

BoulibaiU  (  capitale  du  Bondou,  Sé- 
négambie).  Population.  Fortifications. 
Mosquée,  Maisons,  t.  XXVUl,  p.  328., 

—  Manière  périlleuse  de  naviguer, 
334. 

Boundagia  (  ville  du  Kouranko, 
Afrique),  t.  XXVIIl ,  p.  56. 


BtnHtjr  (tiei  de  la  PoNnittoy,  décou- 
vertes par  Bligh,  t.  Xlli,  p.  518. 

Bourbon  (  archipel,  Polynésie  ),  dé- 
couvert par  Bougaioville,  t.  IV,  p.  259. 

Bourbon  (  Ile  de  la  mer  des  Indes) , 
t.  XVIir,  p.  425  et  sulv. 

Bourgat  (  ville  de  la  Roumélie,  Tur- 
quie d^Europe  ).  Routes  ,  t.  XLIV, 
!>.  38.  — Signification  du  nom.  Aspect, 
E9.  —  Belles  poteries.  Le  haratch 
(capitation),  M.—  Aspect.  Édifices, 
458. 

Boi7iiooiiTo.  Son  voyage  en  Espt* 
gne.t.  XLVI,  p.  172. 

Bourf(ou  (  grande  contrée  du  Son- 
dan).  Incursion  des  liabitans  dan* 
l'Yarriba  ,t.  XXVIII.p.  133.— Voyage 
dans  le  pays,  152  à  188-  •  Huttes, 
153.— Fameux  poison,  167.  —  Triba 
des  Cambrics,  184.  —Gouverneurs, 
188.  —  Étendne.  Rivières  ,  180.  — 
Voyage  dans  le  pays,  XXX,  123  et 
sniv.  ^  Marclie  d  une  caravane,  123. 
-Animaux,  126,  140,  163.  —  Féti- 
ches, 127,—  Parallèle  entre  les  natu- 
rels et  ceux  de  l'Yarriba  ,  143.  — 
Habitans  felatahs,  145, 152.  —  Leurs 
pillages,  158,  160,  162  -Zalcn,  162. 

—  Manière  de  conserver  le  blé,  218. 

—  Vie  des  chefs.  Polygamie,  231.  — 
Liste  des  différens  Etats,  247,  248, 
251.  —  Traitement  des  esclaves,  278. 

—  Maladies.  Médecine,  288.  Voy. 
jilgi,  Boutia,  Buojr,  Coubfy,  Et-ff^ato, 
Ftlatnh,  Kakafungl,  Kiama  ,  Niki  ^ 
Wai»a  ,  fFonjtryu^,  Yaourt, 

Boumou  (contrée  dn  Soudan).  Voya- 
ge dans  le  pays,  Uurwha ,  t.  XXVII , 
p.  109,  141.  -  Brcc,  131.—  Yeddie, 
136. — Deegoa,138.  — RninesdeDag- 
waraba.  139.  — Birnie,  ancienne  capi- 
tale,185  — Ruines  de  Oambarou,  186. 
— Éléph.ins  drossés,  188. —  Animaux, 

192, 207,  208,  216, 232 Kabshari, 

194.  —  Corps  armé  do  Kanembons , 
19o,  200.— Caravane  d'esclaves,  204. 

—  Chasse  au  buffle,  220.  —  Angàla, 
239.  —  Willighi,  246.  —  Kussery. 
Huttes  remarquables,  249.— Showy: 
jeux  des  filles,  danses  des  hommes, 
285.  —  Rochers  remarquables ,  286. 

—  Girafes,  301.  —  Dcltago,  31'9.  — 
Objets  du  commerce.  Deboriplion  do 
deux  beaux  arbres,  334.  —  Climat. 
Saisons.  Population.  Productions,  Ani- 
maux, 456.— Belles  négresses,  448.>-r 


328 


TABLE  GÉNÉRALE 


Décret  sur  le  commerce  des  esclaves, 
XXX,  257.  Voy.  jHgonou,  Kaium^ 
Kouka,  capitale,  Y«ou,  rivière. 

Bourneuvitns  (habitaos  da  Boar- 
nou  ).  Cour ,  audience  du  sultan  , 
t.  XXVIl,  p.  124, 192.  —  Suite  des 
chefs,  139,192.— Chansons  guerrières, 
140.—  Mariage»,  214.  — Observancij 
du  rhamadan,  277,279.  —  Pinition  de 
ceux  qui  l'enfreignent,  281.  •— •  Célé- 
bration de  la  fête  de  l'Aid-Keir,  307. 

—  Costumes,  343.  —  Polygamie,  437. 
Bourott,  Voy.  Qoiro. 

Boushire  (  ville  de  l'Oman.  Arabie). 
Eaux  thermales.  Habillement  des 
homme),  t.  XXXV,  p.  10. — Costume 
et  ornemeus  de  femmes,  11. 

Boushire  (  ville  du  Dechtistan,  Fer  • 
se),  t,  XXXV,  16. 

Boussa  (  ville  et  province  du  Son- 
dan).  Murailles,  t.  XXVIII,  p.  176. 

—  Ile.  Maisons,  181.  —  Langue.  Reli- 
gion.  Nourriture,  Armes,  182.—  N'est 
point  situé  duns  une  île,  XXX,  163.— 
Caractère.  Costume  da  roi  et  de  la 
reine.  166, 167, 169.  -  Le  Niger,  166.- 
Murs  de  ceinture,  173. — Productions. 
Troupeau.  Étang  salé.  Animaux.  Gou- 
vernement, 174.  —  Est  distinct  du 
Bourgou,  247.  —  Célébration  d'une 
grande  fête  musulmane  ;  danses,  mu- 
sique, etc.,  259  à  268.  —  Costumes, 
262.  —  Superstitions  sur  une  éclipse 
de  lune,  269.  —  Chashe  aux  éléphans, 
273.  —  Traitement  des  esclaves,  278. 

—  Maladies.  Médecine,  288. 
Bouijole.  Connue  à  Mozambique, 

avant  l'arrivée  de  Gama,  t   I,  p.  36. 

Boutait  (  province  de  l'empire  Chi- 
nois ).  V(«yage  dans  le  pays,  t.  XXXI, 
p.  420. — Buxadeouar,  422. — Suisons, 
sol,  425. — Animiiux,  426,  428  et  siiiv, 

—  Confection  du  beurre,  42ô.  —  Ha- 
bitans  tarfares,450. — Pout.  Manière 
de  traverser  les  précipices,  431.  — 
Frontière  du  Thibet,  432.— Comparai- 
son du  Boutan  avec  le  Thibet,  440. 

—  Lieux  de  dévotions.   Idoles,  442. 

—  Vie  des  prêtres,  444.  447  et  suiv. 
— Temples  sur  les  bords  des  chemins, 
44 î.  —  Collège  des  prêtres,  447.  — 
Leur  influence,  448.  — Leurs  f /roprié- 
tés,  449.  Voy.  Tattitudon,  capitale. 

Boutait  (  indigènes  du  ,  ou  D^- 
tiai  ).  Figure.  Formes ,  t.  XXXI , 
V  426, 428  et  suiv.  —  Armes,  426  — 


Superstitions ,  432.  —  Religion,  441 , 
44o  et  suiv.  —  Opinion  sur  le  sys- 
tème de  l'univers.  Idoles,  442.  — 
Pratiques  de  dévotion ,  444 ,  447 
et  suiv,  — Etat  des  personnes,  450. 
—Religion.  Mariages,  XXXV,  473.- 
Denil,  474.  — Funérailles,  475. — Su- 
perstition. Querelles,  476.  —  Polyga- 
mie. Polyandrie,  Costume ,  477.  — 
Religion.  Origine,  XXXVI,  235.— Fi- 
gure. Costume,  236. 

Boutoun  (ile  de  la  Malaisie).  Aspect 
de  la  .;âte  ooest,  t.  XV,  p.  302,  304. 

—  Denrées.  306,  310.  -*  Ville  de 
Bouton,  307, 310.  —  Du  souverain  de 
l'Ile  et  de  la  garnison  hollandaise, 
308.— Faiblesse  de  la  marine,  311. 

BovADiLLA.  Reçoit  les  provisions 
de  gouvcraeur-général  des  parties  dé- 
couvertes de  l'Auiérique,  t.  XXXVIII, 
p.  182, — Fait  mettre  aux  fers  Colomb 
et  ses  frères,  187.  —  Les  condamn«  à 
mort,  et  les  renvoie  en  Espagne,  190. 

—  Sa  conduite  blâmée  à  la  cour,  192. 
—Son  odieuse  conduite  en  Amérique, 
195. — Est  remplacé  par  Ovando,  199. 

—  Son  naufrage.  Sa  mort,  203. 
BouvsT.  Couk  cherche  vainement 

la  terre  australe ,  qu'il  dit  avoir  vue , 
t.  VII,  p.  215;  IX,  118 

Bouvet  (  Ile  de  l'océan  Atlantique  ). 
Découverte  par  Bouvet.  Son  gisement. 
Son  origine  volcanique,  t.  XX,  p,  35. 

BowoiCH.  Son  voyagea  Coumassie, 
capitale  des  Achanti  (  Afrique  occi- 
dentale),.t.  XXVllI,  p.  418. 

Bradât  (  ville  de  la  Turquie  d'Eu- 
rope ),  t.  XLI\ ,  p,  25. 

Brahmines  ou  Bramet  (  caste  de 
l'Hindoustau).  Elèvent  les  bayadères, 
t.  XXXI,  p,  348,  et  XXXVI ,  438,  — 
Mariages  disproportionnés  ,  XXXI , 
350.  —  Mœurs  dissolues  ,  351.  —  Or- 
gueil. Habitations,  461 .  —  Ornement 
distinctif  de  leur  famille,  XXXVI,  48. 

—  Trait  de  mœu rs,  1 62.  —  Soins  qu'ils 
prennent  des  animaux ,  395.  —  Leur 
paressp.  Leur  ignorance,  468. 

Brampour  (  capitale  du  Kandeich , 
Hindonstap.  ),  Etoffes'  renommées, 
t.   XXXI,  p.  64. 

Brand  (vallée  du  cap  de  Bonne- 
Espérance  ).  Ses  Eaax  thermales , 
t.  XXVI,  p.  68. 

Braniska  (  ville  de  la  Transylvanie, 
empire  d'Autriche),  t,  XLIV,  p,  113. 


DES  MATIÈRES. 


320 


t  avoir  vue , 


Bnui  (vlUe  du  Galabar,  Gninée).  Su- 
perititions,  t.  XXX,  p.  460,  474.  — 
Est  forinée  de  deux  villes,  469.  —  Ali- 
mensdes  habi'aos.  Eurirouii,  470-  - 
Maisons.  Cciunierce  de  sel  Rançou- 
nement  des  voyageurs  par  le  roi,  472, 

Brara  (  ile  du  Cap-Vert  ).  Produc- 
tion». Fertilité,  t.  XX,  p.  117. 

Bre0  (  ville  du  Bournou ,  Soudan  ), 
t.  XXVII,  p.  131. 

Bregenx  (  ville  du  Tyrol  ),  t.  XLV, 
p.  406. 

/7r«i</<n  (  ville  du  Sonderfields,Nor- 
wége  ).  Une  ferme  et  ses  curieux  habi- 
tan»,  t.  XLV,  p.  69  et  suiv. 

BrÂil  (  empire  de  l'Amér.  mérid.  ), 
Découvert  par  l'Espagnol  Pinçon , 
t.  XVHI,  p.  53.  —  Animaux,  54.  — 
Gouvernement,  56.  —  Découverte  de 
Pinçon  :  prise  de  possession  de  Cabrai, 
XXXVIll,  244, 339.— Premières  colo- 
nies, 340.—  Fondations  des  premières 
bourgades,  341 .  —  Établissement  des 
Français  ,  342.  —  Détails  historiques, 
343.— Superlicie;  population, 389.— 
Beaux  oiseaux ,  XLI ,  220.  — '  Villages, 
222.  — •  Description  des  Pampas ,  2iB0. 
Voy.  et  nom.  —  Éfat  des  prêtres,  301 
à  303.  —  Manière  de  tuer  les  bestiaux, 
401  à  40)..—  Villages  ou  petites  villes, 
XLII,  53,  55,  61,  69,  215,  249,  258, 

280,  282,  289,  301.  303,  306^  310, 
521.  —  Oiseaux  divers,  54.  59,  240, 
244i  331  et  suiv.  —  Les  Brancot ,  56, 
74,  76.  —  Qu.idrupèdes  divers,  58, 
240,  244.  —  Alligators ,  58.  —  Serpen» 
et  autres  reptiles,  58,  286,  321,  347. 
—•Lacs,  59,  61.  —  Sentarem,  67.  — 
Tigres  privés,  70.  Considérations  gé- 
nérales, 74.  —  Limites;  étendue,  111. 

—  Productions,  112,  211,  229,  231 , 
246,  306, 331 .—  l'-squisse,  liictorique, 
112,  132.  -—  Découverte  du  pays; 
reste  de  la  colonie  portugaise,  112.  — 
La  famille  royale  s'y  réfugie,  116.  — ■ 
Améliorations  dues  à  don  Jean,  118 
et  suiv.  —  Introduction  de  la  vaccine, 
121..— Le  pays  érigé  en  royaume, 
124.  —Érigé  en  empire,  131.  Voyez 
Don  Pedro.  —  Bizarres  pacotilles  en- 
voyées par  les  Européens ,  178  et  .suiv. 

—  Fruits  indigènes,  211,  331.  — 
Voyage  dans  l'iutérieur,  213  à  325. 

—  Multitude  de  crabe»  ,  213.  —  As- 
pect» du  pays,  214,243,  254,  262, 

281,  318,  32^.  —  Les  quatre  espèce» 


d'auburges,  214.  —  Insectes,  217, 
254, 257, 330.  —  Ferme»;  plentation». 
219,  233,  251.  281,  298,  311  à  316. 

—  UAtelleries ,  224.  —  Convois  de 
muletiers ,  227,  322-  —  Montagnes , 
229,  234,  239, 252,  284.  —  Forêts  et 
leurs  animaux,  229  et  suiv.,  240,  332. 

—  Rivières,  235,  241,  248  269,  281, 
298.  —  Le  vampire ,  238.  —  Rats  et 
chauves-souris,  238,  244.  —  Savon 
du  pays,  241. — Magnifiques  bambous, 
246. —  (>oix.sur  les  bords  des  che- 
mins, 247.  —  Petite  vérole,  249. — 
Les  Qimpos,  253.  Voy,  ee  nom.— 
Mines ,  269,  285.  —  Rivière  aurifère, 
stérilité  de  ses  bords ,  269. — Cochers, 
271.  —  Kx^mple  des  déplorables  ré- 
sultats  de  l'esclavage,  274.  —  Les 
vendas,  282,  285,  288.  —  Le  serpent 
corail ,  286.  —  Topaze» ,  290.  —  Ca- 
vernes de  Villa-Rica ,  295.  —  Dan.ses 
de  village ,  304.  — -  hnoniie  bomhax, 
306.  —  Célèbre  route  d'Estrella ,  323. 

—  Progrès,  327.  —  Climat,  329.  — 
Araignées  extraordinaires,  330.  — 
Palmier  à  chou  ,  331.  —  Oiseaux  re- 
marquables ,  331  et  suiv.  les  Aganot, 
334.  — Les  Senxallas,  346.  Voy.  Bar- 
baeena,  Egat^  Ftrnamhoue ,  Fernando^ 
NojoiJia,  ùurupa^Sainte-H^line,  Pantj 
Parahiiaj  Rio-Janeiro,  capitale  ;  Saint f- 
Catherine ,  lie,  Santo-^oao^  Saiitojoté, 
Saint-Sahador,  Falença. 

BritilitHi.  Religion,  t.  XVIII,  p.  56. 

—  Funérailles  des  riches,  des  enfan» 
et  des  nègres,  XLII,  101,  205  et  suiv. 

—  Usage  à  l'occasion  des  repas,  104. 

—  Costume  de  postillon  ,  133.  —  Peu 
de  soin  pour  les  restes  de»  proche»,  161, 
206.  —  Maladies  les-plus  fréquentes , 
162.  —  Remèdes  bizarres,  166.  — 
Superstitions,  168.  —  Manières  des 
divers  rangs,  186  et  suiv.  —  Coutume 
des  vœux  ,  l89.  —  Singulière  confu- 
sion d'état»  ;  les  barbiers  ,  190.  —  Vé- 
nalité des  juges,  200.  —  Alimens, 
210,  214.  —  Dîner  brésilien ,  215.  — 
VAve  Maria,  237.  —  Costume  de 
dame,  243.  —  Goitres ,  249.  —  Ablu- 
tions de  punch,  261.  —  Bizarres  no- 
tions des  Brcsilieus  de  l'intérieur  sur 
la  chronologie  et  la  géographie,  264. 

—  Répugnance  pour  le  mouton ,  273. 

—  Fécondité  des  femme»;  mariages 
disproportionnés  d'âge  ;  naissances 
extraordinaires ,  276-  —  Caractère  gé- 


330 


TABLE  GÉNÉRALE 


néral,  32S  et  shIt.  —  Caractère  des 
jeunes  personnes,  350. 

Br^iil  (  Indiens  du  ).  Longévité  ; 
culte;  canot»;  vétemens  singuliers; 
tatouage  ;  se  brûlent  tout  le  poil  d«i 
corps:  Pain  de  moelle  d'arbre,  t.  I, 
p.  227  et  suir.  —  Danses  et jornemens , 
XLII,  47.  —  Combat  contre  les  tigres, 
50.  —  Les  Brançoi,  56.  —  Cannibalis- 
me ,  57.  —  Effroi  à  la  vue  d'un  téles- 
cope, 62.  —  Villages,  63,  324.  -r.  Fé- 
roce tribu  des  Bote  Cudot;  essais  de 
civilisation  ,  120.  •—  Indiens  civilisés 
de  Yalenca ,  240. 

Br/sil  (nègres  du).  Travaux  aux- 
quels ils  sont  employés,  leur  état, 
leur  traitement,  t.  XVII,  p.  35;  XLII, 
97  à  103.  —  Régiment  nègre,  99, 103. 

—  Nègres  marchands,  100.  »-  Prê- 
tres nègres,  102.  —  Les  quatre  con- 
ditions du  nègre  au  Brésil,  103.  — 
Leur  sort  amélioré  par  don  Jean,  122. 
— Nègres  affranchis,  184. —Commerce 
de  nègres  mutins,  203.  — '  Enterre- 
mens,  207  —  Marchés,  242,  334.  — 
Usage  du  poison;  vengeances,  274. 
— >  Vénération  pour  les  cavernes ,  296. 

—  Passion  des  liqueurs  fartes,  314. 
— •  Achat  et  vente  de^i  cargaisoa».  Les 
Ciganos,  334.  —  Instrumens  de  musi- 
que, 336-  —  Amour  de  la  danse,  338. 
— Gouvernement  patriarcal ,  princes , 
339.  340.  —  Désir  de  recevoir  le 
baptême,  341.  —  Fuites  fréquentes, 
chatimens ,  342.  —  Violente  horreur 
de  leur  condition  ;  infanticides  causés 
par  amour  pour  l'enfant,  343.  — 
Grand  nombre  de  noirs  et  de  mulâtres 
libres,  345.  — •  Liberté  donnée  aux 
femmes  le  mercredi  saint,  353.  — 
Leur  logement,  leur  traitement  dans 
un  navire  négrier,  376  à  382.  — 
Comme  ils  se  battent  pour  une  goutte 
d'eau,  379. 

Bretagne  (  royaume  uni  de  la 
Grande-).  Comparaison  du  caractère 
des  trois  peuples  du  royaume,  t.  XLVI, 
p.  273  à  280.  —  Londres,  280.  — 
Edimbourg,  283. 

Bretagne  (Nouvelle-).  Contrées  de 
l'Amérique  Septentriooak',  Observa- 
tions générales  sur  la  vie,  les  mœurs, 
les  formes  physiques ,  le  gouverne- 
mont,  les  unions,  etc.,  des  Indiens  de 
la  côte  ouest,  t.  XIII,  p.  179  et  suiv. 
Voy.  Canada,  NoweHe-Albion ,   Nou- 


rttU  '  ConomUlUif  NoM*»Uê  -  Géorgie, 
Nowtfle-Hwtorr» ,  Labrador,  Nouveau- 
JVor/olk. 

Bretagne  (  Nouvelle-,  Archipel  de 
rAustralie),  Voy.  Iles  de  l'Amirauté^ 
Nouvelle  '  Bretagne  propre,  Dampier, 
Nottvtlle  -  Hanovre,  Nouvelle  •  Irlande, 
Man,  La  Mire  et  les  Filles,  Portail, 
Saniwioh,  fillaumez,  folcan,  York, 

Bretagne  propre  (Nouvelle-.  La  plus 
grande  ile  de  l'archipel  de  la  Nou- 
velle-Bretagne). Découverte  par  Dam- 
pier,  t.  I  ^  p.  453.  —  Habitais  jau- 
nâtres. Pays  très  fertile,  II,  66.  — 
Découverte  et  description  du  détroit 
qui  la  sépare  de  la  Nouvelle-Irlande , 
III  ,149  et  suiv.  —  Description  du 
port  Piaslin.  Nommé  par  Bougaiuville. 
Quadrupèdes  ,  sol ,  insectes ,  co- 
quilles del'ile,  IV,  301  et  suiv. — 
Description  de  quelques  habitans  , 
315.  —  Fait  partie  du  groupe  Salo- 
mon ,  découvert  par  Mindana  ,  VII , 
144.  —  Aspect  agréable  de  la  côte 
sud,  XV,  272.  —  Productions  ,  XX  , 
372 ,  377. 

Brindes  (ville  du  royaume  de  Na- 
ples),  t.  XLVI,p.  197. 

Brisaxt  (pointe  de  l'Amérique  sep- 
tentrionale, ouest).  Nommé  par  Mea- 
res.  Gigantesque  maison  du  chef  d'un 
village  ,  t.  XIII ,  p.  347.  —  Repas  du 
chef,  349... 

Bristol  (baie,  mer  de  Behring). 
Nommée  par  Cook  ,  t.  XI ,  p.  46.  — 
Son  étendue,  48. 

Britannia  (  Ile  du  groupe  Loyalty), 
t.  XVIU,p,  305. 

Brixen  (ville  du  Tyrol),  t.  XLV, 
p.  366 ,  387. 

Broaeh.  Voy.  Barotch. 

Bronu*  (  Iles  de  la  Polynésie),  tome 
XVII,  p.  465. 

Broughtoh.  Séparé  de  Vancouver 
par  un  ouragan ,  t.  XIV,  p.  68.  — 
Découvre  l'ile  Knight ,  70.  —  Les  lies 
des  Deux-Sœurs ,  de  Chatam  ,  71 .  — 
Est  rejoint  par  Vancouver  à  ïaïti , 
85,  —  Découvre  l'archipel  Broughtou, 
310.  —  Reconnaît  la  rivière  Co- 
lombie, 368. 

Broughton  (archipel,  côte  ouest  de 
la  Nouvelle-Bretagne,  Amérique  sep- 
tentrionale). Découvert  par  Brough- 
ton Nommé  par  Vancouver,  t.  Xlll , 
p.  310. 


DES  MATIÈRES. 


331 


Browitb.  Sun  voyage  au  Darfour , 
Afrique  centrale  ,  t.  XXY,  p.  392. 

BnucK.  Son  voyage  aux  sources  du 
Nil ,  en  Nubie  et  en  Abyssinie.  Notice 
biographique.  Préliminaires  au  .voya- 
ge ,  t.  XXIII ,  p.  1  à  52.  —  Son  Sé- 
jour à  Alger,  18.  —  Explore  la  Bar- 
barie, 27  —  Décrit  quelques  ruiner  , 
29,  31,  39.  —  Visite  la  Cyrenaïque, 
40.  —  Palmyre.  Balbec ,  48.  —  L'E- 
gypte ,  55.  —  Remonte  le  Nil,  67.  — 
Son  excursion  dans  la  mer  Rouge,  114 
à  170.  — Y  donne  son  nom  à  une  île, 
124.  —  Ses  aventures  à  Masuali  en 
Abyssinie,  175,  193.  —  Sa  route 
d'Arkéeko  à  Dixan  ,  l93.  —  De  Dixan 
à  Adova,  213.  —  A  Siré,  225.  —  A 
Addergey,  244.  —  A  Gondar,  264.— 
Arrive  à  Gondar  déguisé  en  Maure  , 
299.  —  Obtient  audience  d'un  roi , 
309.  —  Est  nommé  commandant  de 
la  cavalerie  noire,  311.  —  Obtient 
audience  du  ras ,  313.  —  Il  a  une 
violente  querelle ,  317  et  suir.  —  Dé- 
crit les  mœurs  d' Abyssinie,  335.  — 
Est  nommé  gouverneur  d'une  pro- 
vince, 382.  —  Ses  tentatives  pour 
découvrir  les  sources  du  Nil ,  391.  — 
Y  arrive,  423.  —Est  bien  accueilli  par 
les  Agows,  448.  •■—  Revient  à  Gon- 
dar, 462.  —  Son  départ ,  470.  —  Ar- 
rife  à  Sennaar,  480. 

Bruce  (î}e,  mer  Bouge).  Nommée 
par  Bruce,  t.  XXIII,  p.  124. 

Brûlantes  (iles).  Voy.  Artmon, 

BucKiNGHAM.  Sou  Toyago  parmi 
les  tribus  situées  à  l'est  de  la  Pales- 
tine ,  t.  XXXII ,  p.  385.  — •  Décrit 
Damas ,  432.  —  Visite  lady  Stanhope 
à  Mar-Elias ,  443 ,  444  et  suiv.  — 
Son  voyage  en  Mésopotamie  ,  462-  — 
Visite  Arbelles  ,  483.  —Bagdad ,  487. 
—  Babylone ,  494. 

Bueklani  (Ile  du  groupe  Burdet). 
Nommée  par  Beechey,  t,  XIX,  p.  434. 

Bude  (ville  de  la  Hongrie,  empire 
d'Autriche)  ,  t.  XLIV,  p.  127, 128.— 
Sa  communication  avec  Pestb,  136.— < 
Dames ,  137.  —  Forteresse.  Beau 
quai,  1 39.  —  Aspect,  140.  —  Sa  com  • 
munication  avec  Pesth.  I^.difices  , 
XLIV  ,  128.  —  Université.  Établisse- 
mens  divers.  Théâtre ,  amusemeus. 
Bains  chauds,  129. 

Buéno$-Ayret  (capitale  de  la  Plata). 
Sa  fondation, t.  IV,  p.  18- '—Maisons , 
édifices ,  population  ,  19.  —  Théâtre 


d'acteurs  français  ,  !21.  <»  Bnvirons 
abondant  en  chevaux  et  en  bœufs  , 
23.  —  Mendians  à  cheval,  25.  — 
Fondée  par  Mendoza.  Signification 
de  son  nom,  XX,  69;  XXXVIII, 
349,  —  Disette.  Ëpisode  de  Maldo- 
nata  et  de  la  lionne ,  349  et  suiv.  — . 
Description  de  la  ville ,  352.  —  Cli- 
mat. Humidité ,  XLI ,  286.  —  Sup- 
pression des  couvens ,  301 .  — ~  Désa- 
grémens  de  la  ville,  304.  —  Mai- 
sons, meubles.  Société,  305.  —  Iso- 
lement des  dames  ,  306.  —  Marchés  , 
le  Guacho  (approvisionneur)  306,  307. 

—  Abattoir,  paies  à  bestiaux.  Mata- 
dores ,  308.  —  Principal  cimetière , 
funérailles,  309  à  314.  —  Postillons, 
relais,  319. 

Bu/falo  (ville  du  New-York,  États- 
Unis),  t.  XXXIX,  p.  74.  —  Beauté 
des  environs ,  t.  XLI ,  268. 

Buffle ,  description  de  cet  animal , 
t.  XXIV,  p.  89;  XXVI,  386.  —  Sa 
chasse  par  les  Shouas,  dans  le  Sou- 
dan, t.  XXVII,  p.  220. 

Buffle-Rifière  (rivière  de  la  colo- 
nie du  cap  de  Boane-Espérance  )  t. 
XXIV,  p.  227. 

Bukharest  (capitale  de  la  Valachie. 
Turquie  d'Europe),  t.  XLIV,  p.  75.  — 
Aspect  des  rues,  firillans  équipages. 
Boyards,  76,  79.  —  Situation.  Popu- 
lation, 77.  —  Costumes.  Églises, 
Khans,  78.  —  Maisons.  Dissolution 
des  mœurs,  79.  —  Métropolitain,  90. 

Bukkur  (île,  forteresse  du  Khyr- 
pour,  Hindoustan),  t.  XXXVII,  p.  367. 

—  Costume  et  cortège  d'un  chef  be- 
louche,  269. —  Situation,  374.  — 
Cheveux  de  Mahomet,  376. 

Bukomiie  (province  de  l'empire 
d'Autriche  ),  t.  XLVI,  p.  225  et  suiv. 

Bulgarie  (province  de  la  Turquie 
d'Europe).  Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XLIV,  p.  45 à  67.  —Villages,  45, 
48,  50,  60, 65, 67,  219.  -  Monts  Bal- 
kan.  Voy.  ee  nom.  Construction  des  ca- 
banes de  village ,  50.  -rrVarna.  Chonm. 
las,  62, 63.  — Rasgrad,  66.-  Ternova. 
Ancien  État  des  Bulgares.  Selymnia. 
Industrie.  Bon  caractère.  Costume  dtis 
Bulgares,  67. ~- Costumes,  ornemens^ 
travail  des  femmes,  68.  —  Ignorance 
générale,  69.  —  Ville  de  Routchouk, 
70,229.  —  Vidin,  207  — Costume, 
Salle  d'audience  d'Hussein  pacha,  211 
à  214. —  Intérieur  d'un  oaffiué ,  etc. , 


332 


TABLE  GÉNÉRALE 


220  —  Klutns,  22a,  224.  —  Le  Nar- 
gillé  (pipe}«  222.  —  Isolemeot  et  re- 
traite deu  femmes,  222.  Nicopoli,225. 
.-.Sistow  ,  228.  —  Jeunes  filles ,  246. 
—  Bohémien»,  248.  —  Sopliia.  B<>ins 
uliaods  des  femmes ,  XLVI,  85- 

ficbn'iCK ,  son  voyage  aa  Mexique, 
t.  XLI,  p.  1.  —  Décdurre  à  Mexico 
une  antique  statue,  135.— -Achète  une 
mine  «l' Argent  à  Themescaltepec,  1661 
i?u//uJMr/iur  (Tille  du  Delhi,  Hinde  )• 
tan),  t.  XXXyi,  p.  285. 

Bultmm  (  État   de  l'Hindonstf^.  i  i , 
t.  XXXV,  p.  467.— Costume  du   -<tia 
468. 

£umi«^  (ville  du  Rajpontana,  Hin^ 
doustan),  t.  XXXVI,  p.  330. 

Bunaita  (ville  du  Rajpoutana,  Hin- 
donstan).Situation.  Environs.  Costume 
du  Rajah,  t.  XXXV 1,  333. 

Buojr  (province  du  Bourgou.  Gui- 
née ).  Singulier  tribut.  Chevaux, 
t.  XXX,  v.  251. 

BURCBKI.L.  Son  voyage  dans  l'inté- 
rienr  de  l'Afrique  méridionale,  t.XXVI, 
p.  1 .  —  Itinéraire  jusqu'aux  frontières 
de  la  colonie  du  Cap,  80  à  163.  — 
Préparatifs  pour  l'excurkion ,  80.  Iti-, 
néraire  à  travers  la  contrée  des  Bo- 
cliismans,  163.  —  Arrivée  ches  les 
missionnaires,  l97.  —  Excursion  an 
Ky-Gariep,et  retour  à  la  mission, 
221.  —  Obstacle  à  la  continua. tion  du 
▼oyge,  282,  289  —  Itinti-aire  de  la 
mission  à  C-raaf-Reynet,  300.— Chasse 
du  rhinocéros ,  334  et  suiv.  —  Rési- 
dence à  Graaf.Reyuet,  345.—  Retour 
.à  la  mission  ,  556.  —  Rencontre  de 
bêtes  féroces,  368.  — Itinéraire  de  la 
mission  à  Litakou ,  581 .  —  Voyage 
chez  les  Biciiuanas ,  396.  —  Arrive  à 
Litakou ,  420.  —  Est  un  objet  de  cu- 
riosité. 426, 48,  435, 458. 

BuRCXHARDT.  Notice  biographique, 
t.  XXXII,  p.  3.- —  Son  voyage  eu  Ar.n- 
bie,  5.  —  Se  fait  passer  pour  musul- 
man pour  visiter  la  Mecque,  58,61 .  — - 
Prend  le  costume  nécessaire  an  pèle- 
/  rin,  69 et  suiv.  —Arrive à  la  Mecque, 
76.  —  Visite  la  mosquée ,  77  à  85.  — ■ 
Décrit  la  Mecque ,  85.  —  Sa  vie  dans 
cette  ville,  98.  —  Décrit  la  mosquée  et 
la  Kaaba,  102.  —  Fait  le  pèlerinage 
d'Arafat,  204  à  231 .  —  Décrit  Médine, 
363.  —Visite  le  tombeau  de  Mahomet 
à  Médine,  263,  277,  283.  —  Ses  re- 
marques sur  la  ducction  des  monta- 


tagnea  de  la  vallé   du  loardain ,  266. 

Buritt  (groupe  de  la  Polynésie^. 
Nommé  par  Beechey  fies  Buckland. 
Hapleton,  t.  XXIX,  p.  434,  435. 

Burgoi  (viUe  d'Espagne),  t.  XLVI. 
p.  172. 

BvHMis.  Son  voyage  à  Bokhara, 
t.  XXXVII,  p.  1.  —Est  bien  accueilli 
à  Labore  par  Runjeet-Sing  et  M.  AI- 
lard,  10,  14, 17,  24,  26.  —  Prend  le 
costume  des  Afghans,  29.  —  Est  reçu 
amicalement  à  Pichaouer,  57  à  72.  — 
Visite  le  chef  de  Caboul,  88.  —  Sa 
détention  ,  139  à  148.  —  Recueille 
des  médailles  antiques,  158, 213, 420, 

—  Arrive  à  Bokhara,  qu'il  décrit,  1/,^. 

—  Audience  du  vizir,  177,  194,  216. 

—  Entretiens  avec  des  princes  per- 
sans, 287,  500.  —  Est  présenté  au 
shah  de  Perse,  329.  —  Est  charge 
d'explorer  l'Indns.  Son  voyage,  339. 

—  Est  présenté  à  l'émir  du  sud,  558. 

—  Revient  à  Lahore,  432,  — •  Eut  pré- 
senté à  Runjet-Sing,  431,  44'<.  —  Ca- 
deaux qu'il  en  recuit ,  451 ,  i58. 

Burron,  Voy.  Boèro, 

Burwha  (ville  du  Bournou.  Soudan). 
Fortifications.  Huttes,  tom.  XXVIl, 
p.  109. 

Biàtari'Bay  on  baie  d^'Oa(aivf«](baie 
de  la  Nouvelle- Galles  méridionale, 
Nouvelle-Hollande).Ses  fourmis  vertfss. 
Description  du  pays,  t.  VI,  p.  245  247. 

Buxadiouar  (ville  du  Boutan).  For- 
tifications. Maisons.  Origina  du  nom , 
t.  XXXI,  p.  422  tt  suiv, 

Buxar  (ville  du  Béliar,  Hindoustan). 
Mosquées.  Basars,  t.  XXXVI,  p  127. 
Citadelle.  École.  Costumes,  \m, 

Bj-am-MarUn  (  lie  de  l'archipet  Dan- 
gereux ).  Découverte  par  Beechey, 
t.  XIX,  p.  171.  —  Petite  colonie  chré- 
tienne de  'l'aïti  n  •ufragpo  à  cette  île, 
172  et  suiv.  —  Son  histoire,  179. 

Bykuni  (ville  de  la  Boukliarie,  Asie). 
Antiquité.  Ruines.  Histoire,  t.  XXXVIl, 
p.  231. 

Byroit  (le  Commodore),  but  de  son 
voyage  autour  du  monde,  t.  II,  p.  555. 

—  Parcourt  et  décrit  dans  toute  son 
étendue  le  détroit  de  Magellan,  dont 
le  premier  il  a  dressé  uac  carte  exacte, 
p.  397  à  409,  427  à  455.  —  Découvre 
les  iles  de  Désappointement,  III,  9, 15. 

—  Les  îles  du  Roi-Georges,  15.  —Du 
Prince-de-Galles  ,28.  —  On  Danger, 
30.  L'Ile  Byron  ,  54  —  Mouille  à  Ba- 


tavia, . 

XVIII, 

B/r» 


D^%  MATIÈRES. 


883 


uria ,  50.  —  Rétniué  dt  tes  royagea,     Tcrte  pir  Byroa ,  t  III,  p.  34.  —  Det« 
XVIII,  aOO.  cripdon  des  habiUn*,  36 ;  XVI,  443. 

Bjrr»»  (ll«  de  U  Polynésie).  Décou-    »  CanoU,  it. 


Cabot.  Découvre  îe.  tles  Saint-Ga- 
briel daos  le  Rio  de  la  Plaia,  et  aomrae 
le  fleure,  t.  IV,  p  (7  ;  XXXVIII,  345, 
347-.  —  DécouTrt  l'Me  de  Terre-Neuve, 
XL,  xj. 

Caboul  nu  Afghanittem  (royaume 
d'Asie  ).  Voyage  dans  le  pays , 
t.  XXXVII ,  p.  55  à  126.  —  Cam- 
pagne ,  58  ,  73,  78 ,  80,  93.  —  Vil- 
lages, 58,  73 ,  80,  81 ,  83,  84 ,  113. 
-  Rivières,  73,  82,  115.  —  Com- 
bats de  cailles ,  68.  —  Radeaux  à 
outres  gonflées,  73.  —  Hautes  mon- 
fagnes,  76 ,  79,  116 ,  117  et  suiv.  — 
Le  Simoun,  78-  —  Uescription  de 
Djelalabad,  78  à  79.  —  Greiiades 
sans  pepiu.  Vignes,  80  —r  Autres 
productions  ,  81 ,  101 ,  102  ,  115.  -< 
Anciens  relais  des  empereurs  Mogols, 
83.  —  Prunes  renommées,  102.  •— 
Fête  de  l'Aid,  105-  —  Histoire,  107. 

—  Anciens  kabitans,  109.  —  Com- 
merçans  hindous  ,  110.  —  Ancienne 
capitale.  Jolie  vallée  de  Sirchusma, 
1 15.  —  Bameyan ,  120.  —  Cavernes , 
cité  souterraine,  121.  —  Idoles  co- 
lossales. Traditions,  123.  — Balkb  , 
153  à  158.  — ^  Costume,  cour  des  ex- 
rois  du  pays,  460.  —  Voy.  Ajghattt, 
Chisni,  UindourKouth,  Pts/iaivur. 

Cal-  (capitale  du  royaume). « apect. 
t.  XÀXVII,  p.  76,  86.  —  Visites  au 
chef,  89.  —  Beaux  environs ,  93 ,  102, 
106.— Ricbes bazars,  95. — Denrées, 
95, 96.—  Libraires.  Derviches.  Rues, 
96.— Maisons.  Origine  de  la  ville,  97. 

—  Beaux  jardins,  99.  —Climat,  100. 

—  Vins ,  rhubarbe  ,  mûres ,  et  autres 
fruits  renommés,  101.  —  Citadelle. 
Influence  des  Persans ,  103.  —  Fêtes, 
104.  —  Marchands  hindous,  110. 

Cabra  (port  de  Tembouctou ,  dans 
le  Soudar  Afrique).  Cases.  Maisons, 
t.  XXJX  ,  p.  397.  —  Population.  Mar- 
ché. Port,  398. 

Cabrai,.  Son  voyage  dans  l'Inde, 
t>  1 ,  p.  63.  — -  Découvre  le  Brésil,  64. 

—  Etablit  un  comptoir  à  Calicot ,  67. 

—  Fait  alliance  avec  k  roi  de  Co- 


cbin ,  70.  —  Sa  découverte  du  Brésil 
XXXVIII,  339.  —  Voy.  Pinson. 

Caehalot.  Quelques  détails  sur  ce 
poisson ,  t.  XXIV,  p.  20. 

Cachemire  (un  des  Etats  des  Seiks, 
et  ville  capitale  de  cet  état.  Hindous- 
tan).  Fable  sur  l'é:at  primitif  du  sol. 
Campagne.  Gibier.  Eaux,  t.  XXXI, 
p.  100. — Fertilité.  Productions.  Mai* 
sous,  102. — Lac.  Jardin  ùu  roi,  104. 

—  Caractère  des  habituns.  Indus- 
trie. Châles ,  106  —  Figurr  des  habi* 
tans,  108.  —  Tremblemens  de  terre, 
XXXVII,  15. 

Cachena  ou  Kashna  (  province  de 
l'Haoussa,  Soudan),  t.  XXVII,  p.  396, 
427-  —  Pains  de  îiulta,  430. 

Caehena  («^Rpitale  du  Cachena).  Rési- 
dence du  gi'uverneur.  Fruits.  Mar- 
chés. Industrie ,  t.  XXVII ,  p.  427. 

Ça'  DA-Mosio,  donne  les  premiers 
renseignemcns  sur  Tembouctou  , 
t.  XXIÏ ,  p.  12  ,  17.  —  Découvre  les 
îles  du  cap  Vert ,  12.  —  Découvre  la 
Gambie  et  Tarchipel  des  Bilsagots, 
18. 

Cadix  (ville  d'Espagne).  Sa  fonda- 
tion ,  1. 1 ,  p.  3.  —  Es',  située  sur  une 
lie.  Sa  descriptiûi: ,  t.  XX,  p.  445  i 
XLVI,  178. 

Ce^jrttie  (contrée  du  sud  de  l'Afri- 
que). Fertilité  du  sol.  Beauté  de  la 
campagne ,  t.  XXIV,  p.  204.  —  Triba 
d'origine  européenne ,  XXIX ,  128w 

—  Emplacement  des  kraais,  265.  — • 
Montagnes.  Rivières  ,  279.  —  Cam- 
pagne. Animaux,  280,  286  —  Mis- 
sionnaires ,  282 ,  295.  —  Bœufs  dres- 
sés, 296.  —  Fruits  empoisonnés ,  300. 

—  Intérieur  d'une  hutte,  303.  — 
Voy.  Hinta,  K«Xy  fFeileyvUlt. 

Ca/ret,  Leur  haute  taille,  t.  XXIV^ 
p.  195— Armes,  196,  208.  — Mœurs, 
197,  2<X),  211.  —  Conservent  le  lait 
dans  dt  s  paniers,  197.  — Vétemeus.  Or- 
nemens  ,  199.  — <  Occupations  journa- 
lières. Cabanes ,  202.  —>  Idées  re- 
ligieuses. Circoncision  ,  206.  —  Gou- 
vernement,   207,    2(^.  —  Polyga- 


334 


TABLE  GÉNÉRALE 


mie,    210.    — .Musit|ne,    210.     -    yille ,  420.  —  CbarlaUnt.  OanMnrii. 


Succeisions  ,  210.  —  FonérailKn  , 
211.  —  Vêtement,  XXVI,  160. 
— <•  Remarques  générales  sur  lea  tri- 
bus cafres.  XXIX,  116  et  sniy.«— Ori- 
gine et  signification  du  nom,  116, 263. 
—Pays  qu'il»  occupent,  117.  ■—  Leur 
état  moral,  123.—  ^>oat  plus  humains 
queles  fietchouanas,  124.— Leur  N'iiir- 
riture,  133. — Caractère,  261.— Occu- 
pations des  f em-iueset  des  liorame.<),6!ii3. 
— Arts.  Aspect  d'un  naturel  Religiou, 
264. — Danses,  Ornemcns  ùës  femmei^. 
Distinction  des  chefs.  Belles  figures , 
266 ,  277,  284.  —  Leur  inimitié  pour 
les  Uottentuts  entretenue  par  les  eu- 
ropéens, 276. — Poét  se  religieuse,  VS5. 

—  ."tuperstitions,  286  et  suir>— Circon- 
cUion.Funérailles,  289.  —  Caractèrp , 
292.— Valeur  des  femmes,  308, 310.— 
Usagp  du  cheval ,  3C3.  >—  V'>y,  Anut' 
ko'.tj  Amapondas,  Amalymba,  q«(- 
(?4o«aK(i«,  Maalatit ,  Zoolas. 

Cagkla.i  (cii^tiaic  de  l'Ile  dc  Sar- 
daigne).  Ses  \t>virnnr. ,  t.  XLVI , 
p.  256.  —  Son  a.iper-î ,  va  a  Je,  etc., 
257. 

C'AiT.tiAtJD.  Son  vcvc^.  àiixCosit;, 
t.  XXV,  p.  438.  -•  A  Senn.ar, 
444.  —  A  Clieudij  451.  —  A  Meroê, 
552. 

Caillié.  Détailà  préliminaires  sur 
le  voyageur,  t.  XXIX,  p.  371.  —  Il 
arrive  an  Niger,  387.  —  Décrit  Jenné, 
391 .  —  A)  rive  à  Tembouctou ,  398-  — 
Receuille  de.s  renscignemens  sur  la 
mort  de  LaiD,<; ,  406  —  Traverse  le 
Sahara ,  409  à  425.  —  Précautions 
de  voyage ,  417.  —  Ouragan,  419.  — 
Effets  du  mirage,  421.  —  Reçoit  Je 
f^rand  prix  de  la  Société  de  geogra- 
|.Iiie,  429  —  Observations  sur  son 
voyage,  430. 

Caire  (capitale  de  l'Egypte).  Etat  du 
peuple ,  t.  XXII ,  p.  263.  —  Des  arts, 
271.  —  Commerce,  271 ,  420, 423. 

—  Commerce  des  Francs,  283.  — 
Ancien  nom ,  285.  -*  Situation ,  286, 

415.  —    Intérieur.  Maisons ,    286 , 

416 ,  418.  —  Population ,  288 ,  419. 

—  Maladies  :  perte  de  la  vue.  Ses 
causes,  290-  — •  Petite  vérole  et  autres 
maux,  294.  — •  Bains  chauds  ,  297.— 
Peste,  300  —  Adresse  de  quelques 
artistes,  374.  —  Cimetières , 417.  •>■ 
Mosquées,  418.  —  Historique  de  la 


Courtisanes  ,    421.    — •    Portefaix 
XXXII,  41.— Usure.  316. 

Calabar  (royaume  de  la  Guiuée  su- 
périeure ).  Voyage  dans  le  î:ny.>  , 
t.  XXX  ,  p.  460 ,  et  suiv.  —  Descrip- 
ti.in  de  Brass,  de  ses  habitaus,  lie^t.» 
environs ,  460 ,  469 ,  470 ,  472- 

Ctthlozo  (ville  du  Vénézué*:*  Âme* 
rique  méridionale).  Poissons  «riectn- 
que»,t.  XXXVIlI,p.376. 

Calabré  (province  «lu  royauix-o  île 
Maples).  Voynge  d.*t>ï  l'intt  jcut  , 
t  XLVI ,  p.  \m  et  suiv. 

Calidonia  (Nouvelle-),  archipe!  'c 
l'Australie).  Ta  >;rande  ile  droouverte 
i>w  Cook,  t.  Mil , p,  427  et  IX,  19,  — 
BWabéa",  VIJI,  -127,  441.  — Pays  s!é- 
rile ,  427, 450.-  Cab;iu -s ,  428 ,  455, 
417*  —  Habit.iPJ  ne  c<)nn!*)iS(-nt  ])a» 
de  quadrupèdes ,  429  ,  441  ■  —  Leurs 
orneinens ,  430  431 ,  433, 4.  i5.  —  In- 
ter '.«lir  de  l'Ile  ,  436.  --  L><!»<îriptioii 
des  linbitans,  445.  —  Armes,  riutiU, 
maisons  ,  ustensiles  ,  446  et  suiv.  — 
Mourriture  des  naturels ,  449.  •—  Pof 
pulation,  450.  —  Productious,  451. 

—  Tombeaux ,  pirogues ,  452.  — 
Outils  de  pêche ,  454-  —  Côte  sep- 
tentrionale ,  IX ,  3 ,  20.  —  Douceur 
des  habitans,  4.  — Gouverucuient,  6. 

—  Ile  des  Pins,  12.  —  Dé. vjuverte 
de  rtle  de  la  Botanique ,  14.  —  Aspect 
de  la  côte  occidentale,  XV,  36.  —Ses 
récifs,  39.  —  Ile  Beaupré,  déouu- 
verte  pir  d'Entrecasteaux ,  190.  — 
Naturels  ne  méritent  ]}as  les  éloges  de 
la  relation  de  Cook.  Sont  anthropo- 
phages, 194,  198.  —  Détails  de  (N^tte 
horrible  cérémonie,  299.  —  Naturels 
mangent  la  terre.  Letirs  guerres,  201. 

—  Éceuils  du  nord-ouest  do  l'ile, 
221. 

Calauita  (capitale  du  Bengale  et  dc 
toute  rinde  britannique).  Approche 
de  la  ville  par  terre ,  t.  XXXVI , 
p,  12.  —  Forteresse ,  14.  —  Nom- 
breux domestiques  d'usage,  15.  — 
Quartier  de  Chowringhey ,  16.  — 
Maison  de  ville.  Hôtel  du  gouverneur. 
Cathédrale  ,  17.  —  Situation  de  la 
ville.  Environs  ,  18  ,  26.  —  Prome- 
nade. Ablutions  des  indigènes  ,  21. 

—  Querelles.  Crimes  communs  aux, 
Hindous,    22.    —  État   des  dome.> 
tiques,  23.  —  Riche  jardin  botanique. 


3|. 


mission. 


^Vv*.. 


DES  MATIÈRES. 


335 


Établitiomens  philanthropiques.  Pau- 
vreté des  Européens  ,  24.  —  Villages 
des  environs ,  26, 28 ,  32.  —  Pagodes, 
27.  ^  Éléphans  exclus  de  la  ville, 
5J.  —Parc  d'artillerie,  32.  —  Cé- 
rémonie du  Sttttey,  Ob.survations  sur 
cette  coutume,  31  à  38.  —  Stupides 
au  térités  des  Hindous,  38.  —  Misé- 
r  I  <>!e  apparence  des  boutiques,  bazars, 
40.  •  —  Mosquées ,  41 . 

(.'.•■'eut  (ville  du  Malabar,  Hindons- 
itan  ..  ^  ionné  son  nom  aux  toiles  du  Le- 
%:*.<ii.i. «pelées  Calicot,  1. 1,  p.  38.  — 
b:i>r:  l'état  le  plus  puissant  de  la 
côte ,  41 .  — •  Gama  y  arrive ,  46.  — 
Cabrai  y  établit  un  comptoir,  67.  — 
Est  canonné  par  Cabrai ,  69.  —  Par 
Gam:\  79.  —  Arme  contre  le  roi  de 
Cochiii,  ami  des  Portugais ,  84.  — 
Sa  flotte  est  battue  par  quelques  Por- 
tugais ,  85.  — ^  Prise  et  brûlée  par 
Alouquerque,  103. 

<Jat(fornie  (État  de  l'Amérique  sep- 
tentrionale). Découverte  par  Cortez, 
t.  XXXVIH,  p.  316.  —  Description 
du  pays ,  des  productions  ,  XII  ,<  231. 
—  Naturels  ,  233.  —  Fonctions  des 
caciques ,  récompenses  ,  abolition  de 
la  polygamie,  234  et  suiv.  —  Vête- 
ment, 240.  —  Mœurs  des  Indiens 
indépendans,  241.  ■—  Leurs  jeux, 
242.  —  Plantes  et  roches ,  247.  — 
Langue  des  environs  de  Monterey, 
249.  —  Descriptions  des  natu- 
rels, XIII,  174;  XVII,  121.  — 
Transpirations  forcées,  XIX,  320.— 
Paebloit  ou  villages  habités  par  les 
Espagnols,  325.  —^  Costume  d'un 
dragon  Californien  ,  327.  —  Descrip- 
tion du  port  San-Francisco  et  de  ses 
naturels.  Voy.  ce  nom, 

Californie  (missions  de  la).  Détails 
historiques  ,  t.  XII ,  p.  230.  —  État 
des  Indiens,  234.  ■—  Utilité  de  ces 
missions,  XIX,  297. — Bâtimens  delà 
mission,  298.  —Butdes  missions,  300. 
—  Éducation  des  convertis.  Leurs  tra- 
vaux ,  301  et  suiv.  —  Entretien ,  304, 
308.  —  Enfans  des  deux  sexes  sé- 
parés. Amour  des'Indiens  pour  les  mis- 
sionnaires, 306.  -—  Concessions  de 
terrain ,  308.  — Offices ,  316. —  bonté 
des  missionnaires ,  318.  -—  indolence 
des  convertis ,  320 ,  322.  —  Terrains 
dépendant  des  missions,  322.  — 
Agriculture ,  324.  —  Voy.  Mouttrey^ 


Sauta-Clara ,  Sa»HhRo*a ,  Sam  Carlo* , 
^M  DUgo ,  Sam  Francisco  ,  Sam  Joii, 
Caliite  (Ile  de  l'Arcbipel),XLVI,95. 
Callao  (port  de  mer  de  Lima ,  Pé- 
rou], t.  XVI ,  p.  39,  XLI,  338. 

Cambrieiu  (liabitans  du  Uaoussa  et 
des  Iles  du  Niger).  Leur  état  miséra- 
ble, t.  XXX  ,  p.  219.  —  Caractère. 
Tributs  qu'ils  paient  au  sultan  d'Yn- 
ouri.  Ornemens  incrustés  dans  certai- 
nes parties  de  la  figure ,'  220,  221  — 
Huttes.  Armes,  222. 

Caminouquois  ou  Kamimou-Koii  (tribu 
au  nord  du  cap  deBonne-Espérance). 
Sontbienfaisans,t.  XXIV,p.  189. — 
Ijcurs  armes ,  moeurs,  habillcmens  , 
etc. ,  330^  —  t*iiits  salés,  et  auimaux 
de  leur  pays ,  332 ,  333. 

Caupbell.  Son  voyage  dans  l'A- 
frique méridionale,  t.  XXIX,  p.  335. 

Campèch*  (  ville  du  Guatemala  ) , 
t.  XLI,  p.  5, 167. 

Campot  (région  du  Brésil).  Bel  as- 
pect ,  t.  XLII ,  p.  253.  —  Enormes 
fourmilières,  254.  —  Migrations  des 
fourmis,  255.  —  Superstition  des  nè- 
gres à  leur  sujet,  256.  —  Les  Arma- 
dillos,  257  —Villages,  258, 280, 282, 
289.— Ecole  d'Uhéos,  259.— Absence 
totale  de  couteaux  dans  les  maisons, 
260.  —  Ablution  de  punch,  261.  — 
Etendue  des  Campos,  262.  —  Bizarres 
crevasses,  277. —  Colho  d'Agoa,  281. 
—  Rivière  Parahupeba,  284.— Mine, 
285.  -—Le  serpent  corail,  286. 

Canada  (contrée  de  la  Nouvelle" 
Bretagne.  Amérique  septentrionale  ). 
Haut-Canada,  Lac  Ontario,  t.  XXXIX, 
p.  67,  77, 81, 100, 206.— Le  Welland 
et  autres  canaux,  75.  —  Lac  Erié,  77, 
80,  Cl,  206. —  Voyage  dans  le  payi», 
84.  —  iTork,  capitale ,  86.  —  Usages, 
mœurs,  costumes,  religion  des  In- 
diens, 87  et  suiv.,  90.  —  Chaussées  de 
bois,  89.  —  Présens  du  gouvernement 
anglais  aux  Indiens.  90. — Prédications 
daus  les  forêts,  93. — Emigrans  irlan- 
dais, 95.  —  Observations  sur  les  émi- 
grations, 98. — Kingston,  100, 102. — 
Ile  et  ville  de  Montréal.  Voyageurs 
du  pays,  106.  —  Traces  dn  déluge, 
206.  —  Caractère  des  liabitans,  XLI, 
2l6ld.-~-f^«iyagedatt*l«Bat-Camida,Qué- 
bec,  XXXIX,  107.  —  Campagne,  111. 
'  —Paysans  français,  leur  mobiUer,  110 
et  suiv.~-Indiens,  113.  —Traces  du 


330 


TABLE  GÉNÉRALE 


déluge,  206'— Caractère  de«  liabitau^, 
XLI.  289.  VoT.  QuAte. 

Cmariu  ((les,  cAte  d'Afrique),  re- 
connues par  des  Génois,  des  Catalans, 
des  Français  ;  découvertes  par  les 
Portugais,  1. 1,  p.  11.  —  Esquisse  de 
leur  histoire,  Vil,  176  ;  XXII,  11. 

Canfisb.  Ses  deux  voyages  autour 
du  monde ,  oà  il  amasse  de  grandes 
riciiesses  en  pillant  les  Espagnols, 
t  I,  p.  184  et  suir. 

Ctinnet  (ville  dn  royaume  de  Na- 
ples),  t  XLVI,  p.  197. 

CoMtoH  (  port  de  la  Chine  ).  Les 
Portugais  le  visitent  ;  ayant  violé  les 
ordres  de  l'empereur,  ils  sont  massa- 
crés,  t.  I,  p.  107.  —  Audience  qn'An- 
son  obtient  du  vice-roi,  IT,  339.  — ■ 
Jolis  bateaux  de  la  ville,  XI,  4K7.  — 
Etendue.  Population,  468.  —  Rues. 
Maisons;  469;  XHI,  401.— Prostitu- 
tions, XVIII,  444.  —  Détails  sur  les 
deux  villes,  445.— Intérieur.  Popula- 
tion, 416-  —  Aspect  favorable^  Maison 
de  plaisance.  Cochons  sacrés,  XXXIII, 
422.  —  Climat,  XXXVIII,  420.  Voy. 
Â/acao,  Tigrt. 

CAPXtL-BROOKE.  Son  voyage  en 
Suède  et  en  Norwége,  t.  XLV,  p.  1 . — 
Visite  et  décrit  le  cap  Nord  ,  218  et 
suiv,  —  Passe  un  hiver  dans  ces  con- 
trées, 225. 

Capul  (  ile  de  la  Malaisie).  Barbare 
coutume  des  habitons,  t.  I,  p.  191 . 

Caracas  (  capitale  du  Venezuela  , 
Amer.  mér.).  Population.  Situation 
CUmat,t.XXXVni,p.  364;1XLII,  431. 
Caraveaterait.  Origine ,  description, 
différentes  sortes,  noms  divers  de  ces 
établissemens,  t.  XXXI,  p.  198  et  suiv. 

—  Caravenserais  divers,  XXXV,  129, 
137, 139, 168,  181  ;  XXXVI,  396. 

Carinihit  (  province  de  l'empire 
d'Autriche  ),  t.  XLVI,  p.  229. 

Carjàvai.,  évéque  de  Plaisance. 
Equipe  à  ses  frais  une  flotte  pour 
faire  le  tour  du  monde,  t.  I,  p.  151. 

—  Résumé  de  ses  voyages ,  XVIII , 
191. 

Carltoi  (île  de  la  Norwége).  Les  lem- 
uings,  t.  XLV,  p.  183.  —  Plantes  ma- 
rines. Zoophytes,  186.  —  Gorgones , 
189.  —  Grande  profondeur  de  l'eau, 
190. 

Carlstatt  (chef-lieu  du  Wermeland. 
Suède),  t.  XLV,  p.  3t. 


Caina»  (  ville  de  la  Hante-Egypte  ) 
Belles  ruiBps,  t.  XXIII,  p.  91. 

r<ii7ia(/e(État  de  l'Hindonstan).  CAte 
de  Coromandel,  t.  XVIII,  p.  397.  — 
Figure,  caractère,  rei>as  des  naturel» 
de  la  cAte,  XXXI,  338.  —  Droits  des 
militaires,  347.  —  Les  masuli  et  les 
catamarans  (  embarcations  ),  XXXVI, 
429. — ^I  ien  du  martyre  de  saint  Tho- 
mas ,  433.  —  Ruines  de  Maba-bali- 
Ponr,  436- — Sadras.  Education.  Cos- 
tumes. Bayadères ,  438.  Voy.  Madran, 
capitale,  Pondichiry. 

Caroline  (ile  de  la  Polynésie).  Aspect. 
Etendue.  Productions,  t.  XVI,  p.  435. 

Carolim  du  Sud  (un  des  Etats-Unis). 
Emigrations  et  retours  périodiques, 
t.  XXXIX,  p.  283.  —  Colombia,  291. 

—  Une  plantation,  307  et  suiv.,  515. 

—  Rizières,  310.  —  Travaux  des  nè- 
gres, 311  et  suiv.,  318.— Culture  du 
riz,316. — Etat  intellectuel  des  nègres, 
318. — Leur  ventepour  les  contrées  du 
nord  de  l'Amer.,  320.  Voy.  Charltttown. 

Caroline  du  Nord  (un  des  Etats- 
Unis  ).  Voyage  dans  l'intérieiir , 
t.  XXXIX,  p.  283  et  suiv.  —  Emigra- 
tions et  retours  annuels ,  ih,  —  Pa- 
resse générale  ,  287.  —  Fayetteville , 
288.  — Montpellier,  289. 

Carolines  ou  Nouvelle»  Philippinet 
(  archipel  des ,  Polynésie  ) ,  décou- 
vert par  Padilla  ,  t.  II ,  p.  27.  — 
Manière  de  saluer  des  habitans,  (X, 
297,  note. — Lenrschants  et  leurs  dan- 
ses nocturnes,  3f>7,  note,  405. — Leur 
respect  pour  leurs  chefs ,  389  ,  uote. 
— Leur  propreté,  X,  64 ,  note.  —  Oc- 
cupations des  hommes  et  des  femmes, 
67,  note.— Pluralité  des  femmes,  y  est 
un  honneur,  79,  note.  —  Cérémonies 
funèbres,  81,  note.  —  Revenus  >1'.:3 
chefs ,  provenant  du  louage  d'outils 
en  fer,  323,  note.— Détails  sur  les  re- 
lations de  file  avec  Guham,  XVII,  241. 
— Chansons  uatittnales,  243.  —  Grou- 
pes qui  composent  l'urchipel.  Produc- 
tions. Naturels.  Vétemens.  Supersti- 
tions, XV11I,80. — Polygamie.Travaux 
des  deux  sexes.  —  Cimbat  contre  la 
baleine,  82. — Can>  >  '  s.  Gouvernement, 
84.  —  Croyance  au  dogme  de  la  Tri- 
nité, XLIII,  xxiij. —  Etat  des  femmes, 
xxiij.Voy.  iles  Faitakid^ffogoleu,  Mac' 
Asktl^  Martyr» ^  Natutulouk^  Noagouor, 
groupe  ;  OiiaMM ,  Oitou» ,  Ollata  ^  Pt- 


DES  MATIÈUKS. 


337 


If»;  groupe  Radich,  arcli.  ;  Rahch,  ar- 
cLipel;  Sludky^  Tamalan,  Urrille,  Yoang, 

Carpathes  (  chaîne  do  niontiif^uctt , 
Kurope),  tom,  XLIV,  pag.  81.  — 
Animaux,  89.  —  Hauteur,  largeur, 
riches  mines,  etc.,  XLVI,  38  à  40.  — 
Hauteur  des  principaux  points,  45. — 
Région  des  grands  arbres,  55. 

Carpiit.  Sa  mission  chez  les  Tar< 
tares,  t.  XXXI,  p.  28. 

Carr.  Ses  voyages ,  tom.  XLVI , 
p.  155. 

Carteret.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  III,  p.  65.  —  Séparé  de 
Wallis ,  qu'il  accompagnait ,  i1  arrive 
à  Masafuero  (85)  qu'il  décrit,  IQl.  — 
Corrige  plusieurs  erreurs  sur  le  gise- 
ment de  la  terre  de  Davis,  105.  — 
Découvre  l'Ile  de  Pitrairn,  i07;  l'tle 
de  l'Evêque-d'Ôsuabruck,  109;  les  tirs 
du  Duc-(le-Gloucester  ;  1rs  lies  de  la 
Reine-(Jbarlotte,  114,  135;  de  Simp- 
son, de  Carteret,  136;  de  Sir-Charles- 
Hardy,  de  Winchelsea,  etc.,  140  et 
suiv.  —  Découvre  et  décrit  le  détroit 
qui  sépare  la  Mouvelle-Bretagnc  de  la 
Nouvelle-Irlande,  149  et  suiv'.  —  Dé- 
couvre les  lies  de  l'Amirauté ,  de  Du- 
rour,  de  Matty,  de  Stephens,  de  Frec- 
will,  etc.,  162  et  suiv.  —  Ne  peut 
obtenir  de  mouiller  à  Macussar,  190. 
—  Revenant  en  Europe,  il  rencontre 
le  vaisseau  de  Bougainville,  225.  — 
Résumé  do  ses  voyages,  t.  •XVIII, 
p.  201. 

Cartier.  Ses  voyages  pour  trouver 
un  passage  au  nord  de  l'Amérique , 
t.  XL  ,  p.  xiij. 

Carihage  (ancienne  ville  d'Afrique). 
Sa  fondation,  t.  I,  p.  4. — Fait  cxplo» 
rer  les  eûtes  d'Afrique,  5. — Ëmplace- 
Qjent.  Ruines,  XXII,  190. 

Carihagène  (  ville  de  la  Colombie, 
Amérique  méridionale  ),  Port  nommé 
par  Rodrigue  de  Bastida,  XXXVllI , 
p.  20Î. — Beau  port.  Aspect  lugubre. 
Population,  XLII,  431. 

Carihagène  (ville  d'Espagne).  An- 
cienne et  nouvelle  ville.  Environs, 
t.  XLVI,  p.  170. — Immense  arsenal, 
171. 

Caiysforl  (  île,  archipel  Dangereux, 
Polynésie).  Découverte  par  Edwards, 
f.  XIII ,  p.  419.  —  Est  très  basse , 
XIX,  166. 

Cascade  (baie ,  Tti     de  Feu).  Nom- 

XLVI. 


niée  et  décrite  par  Bougainville,  t.  lY , 
p.  166. 

Casherpcur  (ville  du  Kemaouu,  Hin- 
doustan  ).  Lieu  de  pèlerinage  de« 
Hindous,  t.  XXXVr,  p.  250. 

Cama  (  port  du  Pérou  ).  Aspect. 
Sol,  t.  XVI,  p.  409. 

Caspienne  (mer  entre  l'Europe  et 
l'Asie).  Beauté  des  campagnes  méri- 
dionales, t.  XXXV ,  p,  310,  322,  525. 

—  Voyage  sur  les  cAtes,  334  et  suiv. 

—  Port  d'Enzellé  ,  368.  —  Voyage  à 
travers  les  Turcomans  de  la  mer-Cas- 
pienne, XXXVII,  303.  Voy.  Turco. 
mnr  ,  —  Beauté  des  campagnes  mé- 
riaionales,  342.  —  Vaisseau.  Niveau 
des  eaux  au-dessous  de  celui  de  l'O- 
céan, 318.  —  Son  niveau,  XLVI,  H. 

—  Rivières  qu'elle  reçoit ,  50.  Yoy. 
Arlrabad^  Mazendèran ,  Ghilan. 

Cnstille  (Nouvelle-,  province  d'Es- 
pagne) .  Vayage  dans  le  pays  ;  Cuença , 
t.  XLVI,  p.  171,  174.— Tolède,  174. 
— Madrid.L'Escnrial.  Saint-lldefonse. 
Aranjuez ,  175, 176. 

Cnstille  (Vieille- ,  province  d'Espa- 
gne ).  Voyage  dans  le  pays.  Burgos , 
t.  XLVI,  p.  172.  —  Décadence  des 
deux  villes  de  Médina,  173. 

Castor  marin ,  sa  descrip.,  t.  XXXL 
p.  394. 

Costiies  (baie  de  la  Mantchourie, 
empire  Chinois).  Nommée  par  La  Pé- 
rouse,  t.  XII,  p.  390.  —  Sa  descrip- 
tion ,  394.  —  Village  tartare.  Bonté 
des  hubitans,  395,  399,  —  Cabanes, 
397.  —  Pèches ,  398 ,  400.  —  Tom- 
beaux ,  399  —  Distinction  de  for- 
tune dans  les  tombeaux ,  401 . — Ten- 
dresse poi'r  les  enfans ,  402.  —  Fi- 
gure ,  saleté  des  naturels ,  403.  — 
Vêtement ,  404.  —  Conjectures  sur 
la  religion,  405 — Utilité  des  chiens, 
407. — Productions  diverses  :  coquilles, 
oiseaux,  plantes,  411  et  suiv.  —  Pays 
boisé.  Description  des  naturels,  XIII, 
196.  — Vètemcns,  199.  —  Maisons 
d'été  et  d'hiver.  Maladies,  201.  -— 
Respect  pour  les  morts ,  202.  —  Ta- 
bleau comparatif  de  la  taille  des  na- 
turels et  ce  ceux  de  l'Ile  Ségalien , 
204. 

Castro  (don  Juan  de).  Son  entrée 
triomphale   dans  Goa,t.  I,p.  115. 

—  Sa  mort.  Notice  sur  sa  vie ,  1 16. 
CasuaritiOf  utilité  de  cet  arbre  pour 

22 


■t^: 


M 


338 


TABLE  GÉNÉRALE 


Ici  Indien t  d«  U  mer  dn  Sud,  t.  XV, 
p   383 ,  note  3. 

CatalogHt  ^province  d*E«pagne). 
Voyage  dant  le  pays,  t  XLV[,  p.  162 
et  «lÙT.  — Barcclonne,  162.—  Fi- 
gure, caractère,  coiumerco  de*  cata- 
lans, 165, 160. 

Cathirintiiboaru  (  ville  de  la  pro- 
▼ince  de  TohoUk,  Sibérie).  Origine , 
fonderies,  t.  XXXI .  p.  243.  —  Mai- 
sons.  Fortifications.  Kglise.  Foire,  Ob- 
servance du  dimanche,  244. 

Ctucaia  (  gouvernement  de  la  Rn»* 
sie).  Voyage  dans  le  pays ,  t.  XLIV  , 
p.  436.  —  Commerce  de  sel.  Cam- 
pagne ,  436.  —  Postes  ;  stations ,  436 , 
437.  —  Temrouk ,  437.  —  Tours  de 
guet,  438.  ^Le  Kopil  Yekaterinodar, 
439.  —  Établissement  des  cosaques  , 
442.  — Village,  443.  —  Stavropole, 
444.  —  Géorgievsk ,  445.  —  Colonie 
écossaise,  446.  —  Le  mont  Bechtau , 
447.  -^  Eaux  minérales,  448.— For- 
tifications de  Koustantinogorsk,  448. 

—  Mozdoc.    Yckaterinograd ,  450. 

—  Le  Terek,  451 .  — •  Taganrock,  454. 
Cauetiit  (chaîne  de  monts  entre  la 

mer  Nuire  et  la  mer  Caspienne), 
t.  XLIV,  p.  447.  —  Habitudes  des 
tribus  du  versant  de  la  Circassie,  449. 

—  Voyage  de  Klaproth.  Antiquité  du 
nom,  XLV,  409.—  Divers  noms.  Tra- 
ditions mythologiques.  410.  — Détails 
historiques,  411  à  413.  —  La  chaîne 
des  monts,  411  à  416. — Habitations. 
Vallées.  Forêts.  Mousse  ,417.  —  Ani- 
maux, 418.  —  Lacs.  Habitans  dn 
Caucase.  Réfutations  de  l'opinion  sur 
la  race  caucasienne,  419.  —  Mceurs. 
Usages.  Religion  ,  etc.,  etc.,  des  six 
grandes  classes  d'habitans.  Les  Les- 
ghis ,  421  à  424  et  451  à  455.  —  Les 
Kistes ,  425  à  426.  —  Les  Ossètcs  , 
427  à  428.  —  Les  Circassiens ,  429  à 
438  —  Les  Abazcs ,  438  à  442.  — 
Les  Géorgiens ,  412.  —  Peuplades 
turques  ,  444.  —  Traits  généraux  de 
mœurs  et  usaj^es ,  444  et  suiv.  —  Vé- 
nération pour  le  tonnerre,  445. — ' 
Devins.  Vénération  pour  les  étoiles 
tombantes  ,  446.  —  Caractère  singu- 
lier du  serment ,  447'  —  Manque  de 
l<»is.  Assemblées,  Hospitalité ,  448. 
— .  Vengeance  ,  449.  —  Les  Immiré- 
tiens,  450,  —  Commerce  des  Cauca- 
siens f  451.  Voy.  Kouban, 


Caf*rnt  (  Ile  de  l'oréan  Antarcti- 
que). Découverte  par  Marion,  i,  IV, 

Caviu  (port  de  l'Ile  de  Luçon).  Son 
état  ancien  et  récent.  Sa  population. 
Sa  décroissance,  t.  XII,  p.  294.  — 
Description  du  village.  Marché  illu- 
miné,  XVII ,  249. 

Caicm^our  (ville de  l'Allahabad,  Hiu- 
doustan).  Population.  Musquées.  Cli- 
mat, t.  XXXVI,  p.  174.— Boutiques. 
Importance,  175 

Caxamnrca  (  ville  dn  Pérou  ).  An- 
cienne danse  indienne  ,  t.  XLII , 
p.  6.  —  Environs,  9,  —  Palais  inca. 
Riics^  10. 

CiiyêHM  (Ile  de  la  Guyane  Fran- 
çaise, Amérique  méridiounale).  Peut 
rivaliser  avec  les  Molnqnes    pour  la 

culture  des  épices ,  t.  XV,  ]>.  78. 

Oiseaux  ,  XLI ,  182.  —  Iles  voiùnes, 
224.  —  Aspect  du  continent;  du  ha- 
vre de  la  ville.  Roc.  Constabic  ,  224. 

—  Détails  historiques.  Décadence  de 
la  colonie.  ProAictions,'225. — Des- 
cription d'une  plantation  ,  227.  — 
Oiseaux-mouches ,  232. 

Célibei  (île  de  la  Mal.).  Découverte 
par  les  Portugais,  t.  1,  p.  107.*—  Par- 
tagée en  districts,  111 ,  205.  —  Ville 
et  baie  de  fiunthain,  212.  — •  Produc- 
tions, 214.—  Productions  diverses. 
Incursion  tau  lac  intérieur,  XV,  383 
XVin,348.  —  Campogne,  550,  355. 

—  Villages,  351,  357,360.  —Lai- 
deur dos  femmes.  Religion.  Divina- 
tion semblable  à  celle  de  Rome.  Gou- 
vernement, 352.  —  Forêts ,  355,  363. 

—  Hiéroglyphes  ,  357.  —  Lac,  358. 
.^  Sculptures,  Etendue  ,  rivières  de 
rtle ,  360.  —  Climat.  Mines.  Ports. 
Arbres ,  362.  —  Productions.  Fleurs. 
Animaux ,  364,  367.  —  Commerce. 
Figure  des  naturels.  Gouvernement. 
Langue,  366.  —  Montagnes  ,  XLIll, 
p.  vi ,  Ixx ,  Ixxj.  —  Lac ,  viij  ,  Ixx. 

—  Mines  ,  viij ,  Ixxj.  —  Arbres , 
ix,  Ixxij.  —  Qnadrupèpes,  x,  Ixxij. 

—  Tribu  Bouguis  ,  xiij ,  xxij  ,  xxxj , 
Ixxj,  Ixxiv. — Ressemblance  de  races, 
xvij.  —  Race  igocoté,  xix.  —  Reli- 
gion ,  xxij.  —  Gouvernemcot,  xxviij. 
— Industrie.  Commerce  ,  xxix,  Ixxiij. 

—  Piraterie.  Esclavage,  xxx.  —  Lan- 
gue ,  xxxij.  —  Superficie.  Baies.  Vol- 
cans Rivières,  Ixx.  •-«  Climat.  Terri- 


DES  MATIÈRES. 


339 


Arbres , 

Xj  Ixxij. 

cij  ,  xxxj , 

de  races, 

—  Reli- 
ât, xxviij. 
ix,  Ixxiij. 

—  Lan- 
laies.  Voi- 
lât. Terri- 


toire liollandai».  Villes  principale*, 
Ixsj. —  Singes  blancs.  Reptiles.  Phos- 
phorescence de  la  iner,  Ixxiij.  —  Po* 
pulation,  Mopurs.  Usages ,  etc.,  des 
principales  tribus  ,  Ixxiv  et  siiiv.  Vuy. 
Maca/tar,  Manado. 

C/phalonie  (Ile  iooieooe) ,  t.  XLVf, 
p.  SOUet  suiv. 

CVran  (lie  des  Moluqiics,  Malaisio  ). 
CAtes.  Hautes  moutagin's.  Knt  fort 
peuplée,  t.  IV,  p.  328,  32*J.  —  Expor- 
tation des  épices,  XV,  78.  —  Postes 
hollandais,  79. 

Ceriffa  ou  Cythère  (  Ile  iouienne  ), 
t.  XLVI ,  p.  93,  205. 

Ceuta  (  ville  de  l'empire  de  Maroc). 
Les  Portugais  s'en  emparent,  1. 1,  p.  18; 
XXd,  8. 

Cévenntt  (montagnes  de  France) , 
t.  XLVI,  p.  24.  —  Hauteur  des  prin- 
cipaux sommets,  43. 

Ceylan  (ile  de  la  mcr  du  Bengale). 
Découverte  par  les  Portugais  ,  t.  I, 
p.  93.  —  Belles  forets.  Éléphiinx  quel- 
quefois très  redoutables  ,  XVIII,  429. 

—  différences  de  son  a|-t  religieux 
d'avec  celui  de  Siam,  XXXI V,  118, 
166  ,  233  ,  236. 

Ch,  Chercher  à  Seh  et  à  Teh  les 
noms  que  l'on  ne  trouverait  pas  à  Ch. 

ChaaJou  (  ville  de  l'Yarriba,  Gui- 
née ).  Occupations.  IVIosurs.  Trou- 
peaux,  t.  XXX,  p.  75,76. 

Chabrol  (  lie  du  groupe  Loyalty, 
Nouvelles-Hébrides).  Nommée  par  D, 
d'UrviUe.t.  XVin,p.  304. 

Chanhapojrai  (  ville  du  Pérou  ). 
Environs.  Intérieur,  t.  XLII,  p.  16. 

Chaki  (ville  de  l'Yarriba,  Guinée) , 
t.  XXVIII ,  p.  130. 

ClmmistoQle,  mer  de  Behring,  Amé- 
rique russe).  Découverte  par  Kotze- 
bue.  Son  aspect,  t.  XVII ,  p.  S5.  — 
Sa  hauteur.  Son  aspect,  XIX  ,  246. 

—  Saluts,  alimens  des  naturels,  266. 

—  Tente.»,  268. —  Connaissance  géo- 
graphique, 269. —  Vie  nomade,  273. 
-r-  Pipe  commune  à  toute  la  famille , 
275 

Champlain  (  lac  du  Canada  ).  Dé- 
couvert par  Champlain  ,  t.  XL , 
p.  xix. 

Chanal  (  île,  groupe  de  la  Révolu- 
tion ,  archipel  de»  Marquises).  Dé- 
couverte par  Marchand  ,  t.  XV  , 
p.  444. 


OiandtUur  (  Ile»  de  la  ,  extrémité 
snd  de  l'Amérique).  DécouTertea  par 
Cook,  t.  IX,  p.  114. 

Chamlemagor    (ville   du  Bengale,   ' 
Hindoustan),   t.  XXXI.p     457. — 
Commerce  ,  458.  —  Aspect.  Maisons. 
Rues.  Misérables  boutiqaes,t.XXX  VI, 
p.  32. 

CItankoaaiî  (  ville  de  la  Chine  ).  Ré- 
siste il  Cengisklian,  l.  XXXIII, 
1>.  1S5.  —  Ruines  de  ponts  en  mar- 
.rc ,  180. 

Chnn>ibonJ  (  province  du  Siam  ). 
Histoire  ,  beauté  ,  productions  ,  mi- 
nes d'or  et  de  pierres  précieuses  du 
pays,  toni.  XXXIV,  p."  274.  —  Popii- 
lation.  Chrétiens  indigènes.  Rvéque 
français.  Gunverneur,  276.  —  L'agila 
(bois  odoriférant) ,  277  à  279.—  Elé- 
phans.  Singes.  Daims.  Buffles  blancs, 
281.  —  Autres  animaux,  282. 

Charbonnier.  Description  de  cet 
oiseau,  t.  IV,  p.  9. 

Chardin.  Notice  biograph.,  t.XXXI , 
p.  168.  —  Son  voyage  en  Perse ., 
171.  ^ 

Charjouejr  (ville  de  la  Tatarie  indé 
pendante).  Bac  surl'Oxus,  t.  XXXVII, 
p.  235.  —  Fort.  Population.  Marché. 
Marchandises,  238. 

Charles  (Ile  ,  archipel  Gallapagos). 
Nommée  par  Cowlty,  t.  I,  p.  355.  — 
F,»t  montagneuse  et  boisée  ,  XVI  , 
49.  —  Aventures  extraordinaires  de 
Patrick  Watkins,  51  et  sniv.  —  Ani- 
maux ,  79. 

Charles'Hardy  (  Ile  de  Sir-,  Poly- 
nésie ).  Découverte  par  Carteret , 
t. m,  p.  140. 

Chartei-HardyQles  de  Sir-,  côte  de  la 
Nouvelle-Galles  méridionale  ).  Nom- 
mées par  Cook,  t. .VI.  p.  361. 

Charletton  (ville  de  la  Caroline  du 
snd,  Etats-Unis)^  Agréable  situation. 
Beaux  arbres  des  rues  ,  t.  XXXIX  , 
p.  293.  —  Galeries.  Habitations,  294. 

—  Aspect  du  port ,  295.  —  Marché 
aux  esclaves  ,  296.  —  Courses  de 
chevaux  ,  298.  —  Bal.  Esprit  mercan- 
tile ,  positif  et  égoïste ,  299,  300.  — 
Institutions  diverses,  301,303  et  suiv. 

—  Moulins  à  ri/,,  302. 

Charlotte  (canal  de  la  Reine-,  N.m- 
velle-Zélande  ).  Rivages.  Naturels. 
Villages,  etc. ,  t.  VI ,  p.  78  et  suiv. 
VII,  289,307  et  suiv.;  VIII,  102.  — 


é 


■** 


340 


TABLE  GÉINÉHALK 


Climnt ,  106.  —  Filets ,  110.  —  Coi 
tume  de  combat.AnthropopbuKie,  ii'2 
et  tuir.  —  Aspect  du  payi,  IX,  25H. 

—  Sol  fertile.  Climat  iigréiible,  250. 

—  Arbres  ,  281.  —  l'Uutes  ,  262.— 
Oisroui,  265. —  Poissons  des  i-Ates, 
268.  —  Rurhors.  Insectes ,  269.  — 
Minéraux ,  270.  —  ncHi-riptiuii  de» 
habilans,  271,  278.  —  VtUeinens.  Or- 
neiueus.  'i'uton.ige  ,  272.  —  Habita- 
tions. Ameijblenient.  Filets  do  pt^rbe, 
274.  —  Outil» ,  275 ,  270.  —  Piro- 
gués  ,  270.  — '  Cuisine  ,  277. —  Leurs 
dispositions  guerrières,  280. — Armes, 

281.— Préparatifs  de  combiit,  282 

Cbnnsons.  Langue,  283. 

Charlottt  (détroit  de  la  Reine-,  entre 
l'Ile  de  Qiiadra,  In  'Nouvellc-Unnovre 
et  lu  Nouvelle-Géorgie ,  Amérique 
septentrionale ,  ouest),  Exploré  et 
uommé  par  Vancouver,  Noms  don- 
nés à  divers  lieux  ,  t.  XIV,  p.  108 
à  521. 

Charlottt  (Ile  de  la  Reine-,  Polyné- 
sie). Découverte  et  décrite  par  Wallis, 
tom.  III,  p.  297.  —  Outils.  Canots  et 
tombeaux  des  insulaires,  299. 

Charlotte  (lie:  de  la  Reine-,  Améri- 
que septentrionale  ,  ouest).  Décou- 
vertes par  La  Pérouse  et  nommées  par 
les  Anglais,  t.  XII ,  p.  142  et  suiv.; 
XV ,  462  et  Kuiv.  —  Description  des 
babitans  ,  466  et  suiv.  —  Lac  inté- 
rieur, XIX,  158.  Voy.  Y/ipa. 

Charlotte  (Iles  de  la  Reine-,  groupe 
de  l'urcbipel  Santa-Cruz). Découvertes 
par  Carteret,  t.  III,  114, 133.—  Des- 
cription des  babitans,  115. — Villages 
fortifiés,  128, 129.  Voy,  Iles  Edgcomb, 
Uome^Ktppel,  Oary,  Portlandy  Touboaa, 
Tretamon  ,   Follan, 

Chatam  (  groupe  d'iles  et  tle  princi- 
pale à  l'est  de  la  Nouvelle-Zélande^. 
Découverte  par  Drougbton,  t.  XIV, 
p.  71. —  Pirogue»,   filets,  bois,  72. 

—  Naturels.    Vêtement ,   ornemens. 
Oiseaux,  80. 

C/iatam  (île,  Polynésie).  Découverte 
par  Edvrards,  t.  XIII,  p.  425. 

Chatam  (Ile  du  groupe  Gallapagos). 
Rocber  remarquable.  Veaux  roarinti. 
Poires  sauvages,  t.  XVI,  p.  116. — 
Sol.  119  —Aspect,  120, 

Chais  marini.  Leur  description,  leurs 
mœurs,  t,  XXXI,  p.  390  à  393. 

Chajrmat   (tribu  de  la  Colombie). 


Figure.  Aversion  pour  les  vétemem 
t.   XXXVIII,   p.  361.  —Mariages; 
usages,  362.  —  Occupations  des  tem- 
me»  et  des  bommes  ,  363. 

Chtkhi  (ville  de  l'Yurribii ,  Guinée  ), 
Costumes.  Carautènt,  t.  XXX,  p,  78, 
79. 

Chelliihi  Hinbitans  do  l'Atlas).  Leur 
vie,  t.  XXII,  p.  103,  — Caractère, 
forme»,  174,  178. 

ChenJi  (villo  et  province  do  la  Nu- 
bie), La  ville  autrefois  comuicrrante  ; 
maisons;  belle»  femmes,  t.  XXIII, 
p.  492.  -  Habitation»,  XXV,  451.— 
Curactèro  des  naturels  ;  sol ,  produc- 
tion» ,  452. 

Chequaian  ou  Seguatnneo  (  port  du 
Mexique  ),  Sa  description  rt  celle  de» 
environ»,  t.  II,  p,  210,  220. 

Chertoiiise  Taurique  ,  voy,    Tauride. 
Cherry  (Ile,  PtUyuésie).  Découverte 
par  Edwards,  t.  XIII,  |i,  427- 

Chevaux  malins.  Leur  description, 
t.  XI ,  p.  68.  —  No  ressemblent  en 
rien  à  un  cbeval ,  70.  —  Leur  affccti<)i> 
pour  leurs  petits,  309,  —  poids  do 
leurs  dents,  XXXI,  387. —  Habitudes, 
XL ,  252 

Chiens  (Ile  des,  Polynésie).  Décou- 
verte par  Le  Maire ,  t.  I,  p.  287,  — 
Est  peut-être  celle  nommée  Douteuse 
par  Kotsebue,  XVII,  44. 

Chiens  marins.  Femelles  dangereuse» 
quand  elles  font  leurs  petits,  t.  II, 
p.  15. 

Chiens  marins  (baie  des ,  Nouvelle- 
Hollande  ).  Nommée  et  décrite  par 
Daropier,  t.  I,  p.  408,  et  suiv.  —  Ani- 
maux ,  XVIII,  47.  —  Arbres  chétifs. 
Sol  aride.  Animaux,  naturels,  60. 

Chili  (république  de  l'Amérique  mé- 
ridionale ),  Détails  sur  la  guerre  de 
l'émancipation,  t,  XVI,  390,  et  suiv, 
—  Salubrité  du  climat,  XVIII,  133.— 
Baldivia,  XV,  81.  —  Surface.  Popu- 
lation ,  XXXVIII,  389  et  suiv.  — 
Villa-Nueva  ;  plan  des  nouvelles  villes, 
XLI,  368  et  suiv.  —  CUmat,  370.  — 
Mauvais  état  des  routes ,  384.  — 
Manière  de  tuer  les  bestiaux  ,  401 
à  404.  —  Mines  de  métaux,  405,  406, 
407. Voy. ^rou  onos^  Chitoe,Conceptioii^ 
CopiapOf  Guasco,  la  Serena,  Mocha, 
Santiago,  capitale,  Falparaiso. 

Chiliens,  Effets  sur  leurs  mœurs  de 
l'introduction   des   cbcvaux    et    des 


^»r 


DES  MATIÈRES. 


341 


liauf*,  t.  XII,  p  78.— Figure,  formen, 
XIII,  173. — Le>  fvrnmctttat  riubitude 
de  fiimor,  XVIII,  133.  —  Maur*  et 
u»aget,XLI,401,405. 

Chilkiah  (  rillo  du  Kemiouo ,  Hin« 
doustan).  Enrinia»,  t.  XXXVI,  p.  248. 

—  Aspect  uiinérublo  de  la  Tille  et  don 
Imbitaot.  Cabauei.  Foiret  célèbre*, 
249. 

C/i(70f  (urchipcl  du  Chili).  A.ipect  dot 
Iles  ;  productioQi ,  t.  XX.  p.  70. 

ChUoè  (Ile  de  l'urcliipcl  de  CUiloë). 
Ktendue,  arbres,  productions,  »(d  , 
climiit ,  population,  villes,  t.  XX, 
p.  72.  —  Description  do  .San-Carloi , 
/3. — Religion;  ciiractère.  Ilabilicincnt 
des  dames  ,  74'  —  Occupations;  aiuu- 
«eniens  des  bahitnns,  70  et  suit. 

Chimboraço  (pic  des  Andes).  Sa  hau- 
teur, t.  XXXV IH,  p.  5,  53,  54. 

Chin«,  Signe  de  deuil  en  usnge  en 
Chine  et  en  Suvdo,  t.  XLVI,  p.  204. 

Cliin*  (partie  de  l'empire  Chinois). 
Mission  d'Avril,  t.  XXXI ,  p.  01.  — 
Frontières  de  la  Sibérie ,  .280,  203 
et  suiv.  —  Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XXXIII ,  p.  lOf  et  suiv.  —  Gigan- 
tesque montagne,  175.— Couvent,  l77- 
— Chan-Kouan,  185. —  Plaines  de  Put- 
chy-ll,  187.  — Jëuux  thermales,  200. 

—  Chevaux,  358. —  Canal  impérial, 
590, 475  et  suiv. — Oiseau  péchcu  r,394. 

—  Jardins ,  390. —  Les  rois  de  l'enfei^ 
401.  —  Arbre  à  suif,  404.  —  Peintu- 
res sur  verre ,  410.  -—  Population 
n'est  point  exubérante,  414.—  Diver- 
sité des  d.enrées  des  boutiques ,  415. 

—  Truffes ,  figuiers ,  416-  —  Arbre  à 
vernis  ,418.  —  Temple  taillé  dans  le 
roc  ,  420.  —  Population.  Uniformité 
physique  et  morale,  425.  —  Produc- 
tions diverses  ,  434,  439,  400,  474, 
480. —  Inoculation  de  la  petite  vérole, 
usitée  de  temps  immémorial ,  XLVI , 
83.  Voy.  Canton,  Eu -ho,  rivière;  Gwt- 
King-FoUf  Ho-Tchoiv,  Kalgan,  Kang- 
Tchou-Fou,  KaonUngze,  Kiming,  JVan- 
leingjlVaHg'Ttihang-FoUj Ptiho,  rivière; 
Uo-Yang,  lac;  Sang-Yutn.  Siuan-Hua- 
Fou,  Tien-Sing,  Tong'Oioi»,  Tong'Kou, 
Ton  -  Tchang-Fou,  lang  -Tte-  aiangj 
You'Fang, 

Chine  (empereur  de  la ).  Ses  che- 
vaux, t.  XXXIII ,  p.  110.  — •  Ses  chas- 
ses ,  1 19.  —  Usage  à  la  cessation  du 
deuil  de  sa  mort ,  181.  —  Ses  sorties 


dans  Pékiug,  108,  243. —  Set  devoirs, 
set  futtctiout.  lUU,  231,  254,  207.  — 
Nomt  donné*  aux  annéet  du  règnt, 
213.— Ses  femme*,  213. — 'Renouvelle- 
ment de  l'anuée ,  237.  —  Funérailles  , 
2.'î8, 200  —  Hommage  à  l'inventeur  de 
lagricnlture,  207,  .%8,  300,  451.  — 
Hommage  a  Confuciu* ,  2U0.  —  Sa- 
crifices MU  ciel ,  808.  — >  Son  despo- 
tisme dominé  par  celui  de*  coutume*  , 
380.  —  Est  victime  du  cérémonial , 
401.  —  Appel*  nu  jugement  du  pou- 
pie,  424.  —  Nom  qui  lui  o*t  donné, 
430.  —  Secuur*  aux  pauvret ,  445.  '- 
Hommaget  i  l'été  ,  a  l'hiver,  452.  — 
Audience  accordée  à  Macartncy.  Son 
costume,  400,  4(i7.  — ■  Eunuquet  d<f 
sa  cour,  409.  — ■  Sort  do  tct  femmes  a 
ta  mort ,  470. 

Chili*  (muudarins  dolaV  Costumes, 
t.  XXXIII,  p.  353,  305.  —  Cartes  de 
▼isite ,  355.  —  Habits  de  cérémonie  ,  ' 
305.  —  Vie  efféminée ,  402.  —  Aiment 
les  plaisirs  de  In  table ,  433. 

Chiiuii,  Sont  très  peu  curieux  des 
chotet  élrangèret,  t.  II,  n.  280. — 
Distimulét ,  trompeurs ,  320.  '—  Ob- 
servations sur  leurs  manufacturet , 
leur  peinture,  littérature,  morale, 
gouvernement;  no  tnéritent  pas  Ich 
éloges  qu'on  en  a  faits,  344  et  suiv. — 
Leur  commerce  avec  Ict  Européens  , 
leur  fierté,  XIL  274.  —  Visite  au 
poste  de  la  frontière  de  Sibérie,  XXXI, 
205.  —  Leur  camp,  208.  —  Exposi- 
tion des  enfant  ,  436.  —  Saints  , 
XXXIII,  80.  — Ne  t.enneat  pat  aux 
fenêtres  vitrées;  indifférence  pour  le 
verre  ,  178.  —  Usage  à  la  fin  ilu  deuil 
de  l'empereur,  181 .  —  Costumes,  207 
à  210,  o80.—  Astrologie,  astronomes, 
chrétiens ,  211.  —  Vénèrent  le  cor- 
beau, 238.  —  Phoulsa,  ornement  de 
distinction ,  243.  —  Religion ,  255.  — 
Figure ,  279.  —  Pieds  des  femmes  , 
280.  —  Comédiens ,  303  à  307.  — 
Mœurt,  311.  —•  Conclusion  de  mar- 
chés ,  319.  —  Exercices,  320.  —  Réu- 
nions ,  jeux ,  321, 322.  —  Repas,  353. 

—  Puanteur,  356.  —  Saleté,  367.  — 
Querelles ,  379  ■-•  Ne  mangent  point 
de  bœuf,  381  — >  Puissance  piter- 
nelle ,  382.  —  Convois  funèbres  583, 
384.  —  Idoles ,  585,  386,  305  595, 
401,443. —  Supplice  du  p«a/f«  287. 

—  Salut  militaire    413.  —  Alimcns 


.^ 


.* 


312 


TABLE  GÉNÉRALE 


boissons ,  451  et  suiv.  —  Respect  pour 
le  trône,  453.  —  Achat  des  jolies 
filles  ,  474.  —  Sacrifices  au  fleuve 
Jaune,  477.  —  Sur  leurs  colonies , 
XXXIV,  15,68,  71,  73.— Mœurs, 
caractère,  usages  ,  67  à  76.  —  Lour- 
deur de  leurs  jouques,  73  à  76.  — 
Insolence  envers  les  Européens ,  85, 
102.  —  De  leurs  émigrations  en  Siam, 
178,  180,  227.  —  Formes  physiques, 
240  à  246.  —  Livret  de  navigation , 
XLIir,  liij. 

C/iinoit  (empire).  Son  traité  avec  la 
Rus..  ■,  pour  l'établissement  d'une 
missi  n  à  Péking,  t.  XXXIII,  p.  1  et 
suiv  —  Officiers  divers ,  5.  —  Con- 
.leurs  sacrées,  14  —  Longueur  du 
H,  59,  170. —  Graude  muraille,  161, 
163,  182, 184.  461,  465.  —  Almanach\ 
impé.ial,  211,  427,  —  Perséculian 
contre  les  chrétiens,  212.  —  Édit 
contre  le  ministre  d'un  empereur,  214 
à  219.  —  Armée,  224  et  suiv.  —  Re- 
erutemeut,  costume,  exercices,  fai- 
blesse, 226.  —  Marine,  228.  — 
(Soldat  français,  228).  —  Renouvel- 
lement de  l'an ,  237.  —  Liberté  de 
religion  ,  255.—-  Religions  reconnues, 
256.  —  Capitales,  265,  269  et  suiv. 
—  Classes  des  princes,  291.  —  Canal 
impérial ,  390,  475  et  suiv.  —  Dispo- 
sition du  Code  criminel  au  sujet  des 
inouraus ,  392.  —  Salut  militaire  , 
413. —  Subordination  hiérarcliique  ; 
appels  au  jugement  du  peuple,  424. 
— ■■  Pn'-liraiuairc  hi.>>toriqne  de  l'ambas- 
sade deMacartuey,  426. — Nom  douné 
h  l'empire,  430.  —  Ab.sence  de  postes, 
440.  —  Impôts  en  nature,  441.  Voy. 
iioutaiij  Corée,  Tatarie  ou  Maatchourie 
et  Monj^oUg^  Thihet, 

<h!o{i\e  de  l'Archipel),  t.  XLIV, 
p.284;XLVI,98 

C/uns:ira  (ville  du  Bengale,  Hindous- 
tau),  t.  XXXV 1,  p,  45. 

Cliitpour  (ville  du  Gu7.erate  ,  Hiu- 
doustan).  Toiles  peintes  ;  lions  appri- 
voisés, t.  XXXI,  p.  69. 

Chuiagong  (  district  du  Bengale  , 
Uiudoustan  ).  Chef-lieu,  caui])<igne  , 
rontt-s,  climat  trop  loué,  t.  XXXVI, 
p.  74. 

Ckoba  (ville  du  Darfoiir,  Soudan). 
Carrière  de  craie  ,  t  XXV,  p.  400. 

Choiseul  (île  de  l'archipel  Salomon). 
Découverte  par  Bougaiuville.  Descrip- 


tion des  habitants ,  de  leurs  pirogues 
à  bas-reliefs  et  de  Icpr»  armes    t  IV 
p  290,  298.      • 

Choiseul-Gouffier.  Son  voyage 
en  Grèce,  t.  XLVI,  p.  &2. 

Cholula  (ancienne  ville  du  Mexique). 
Population,  rues,  temples,  décadcuce 
t.  XXXVIII,  p.  309.  —  Situation! 
maisons,  envircus,  XLI,  p.  45. 

Chou  cai:aïbe.   Sa    description,  son 

goùt,t.  VI,  p.  526,333. 

Choumaguine.  Voy.  Sehumagine. 

Chou  jialmisle.  Apparence  et  savetir 
de  son  fruit,  t.  III,  p.  142. —  Dis- 
position du  fruit ,  t.  IX,  i>.  26. 

C/toumla  (  ville  de  la  Bulgarie ,  Tur- 
quie d'Europe),  t.  XLIV,  p.  62. 

Cl'Oiv  (ville  «de  l'Yarriba  ,  Guinée). 
Croyiinee  sur  les  habitudes  des  bhiucs. 
t.  XXX,  p.  59.  —  Environs, métier  à 
tisser,  60. 

Christiania  (l'une  des  deux  capitalps 
de  la  Norwége).  Aspect,  tom.  XLV, 
p.  51.  —  Détails  divers  ,  53. — Anéai  - 
tissement  du  commerce,  53.  —  A.s- 
pect  du  moût  Mastberger,  55.  —  Po- 
pulation ,  port ,  XLVI,  296. 

Chunar  (ville  de  l'Allali^bad,  Hiu- 
doustan  ).  Poste  anglais,  édifices, 
t.  XXXVI,  p.  155.  —  Sanctuaire  ré- 
véré, 157.  —  Demeuredes  Eiircpécns. 
Population  ;  environs;  ours  et  loups, 
158. 

Chuprah  (ville  du  Béliar,  Hindous- 
tan),  t.  XXXVl,  p.  125.  —  Maisons. 
Hindou  en  prière,  126. — .Boutiques 
flottantes,  127. 

Chypre  (ile,  mer  Méditerranée),  Le 
bois,  abondant  autrefois,  y  manque 
aujourd'hui.'  Animaux,  tom.  XXIII , 
p.  54. 

Cincinnaii  (v\\\f.  derindian.i ,  Etats- 
Unis),  Son  étonnant  accroi.sscuieut , 
t.  XXXIX,  p.  381, .399.  —  Sou  beau 
port ,  305.  —  Diverses  particularités 
sur  la  ville,  396  et  suiv.  —  Incivilité, 
esprit  mercantile,  400,  406. —  Ferme 
dans  les  bois  des  environs,  401. — 
Domestiques,  403.  —  Ennui  des  soi- 
rées ,  406.  —  Marché,  407.—  Mu- 
séums d'histoire  naturelle  ,  408.  — 
Absence  d'amusemens.  Églises,  409. 
—  Influence  du  clergé ,  410.  —  Km-i- 
vement,  411.  —  Écoles  ,  413.  —  Fiiiui- 
liarité  des  villageois,  415.  —  Sort  dc> 


If 


DES  MATIÈRES. 


343 


paysans,  418.  —  Absem-e  de  charité, 
420. — Fierté  des  pauvres,  théâtre, 
421.—  Pruderie,  422.  —  Saisons, 
423.  —  Bal.  Séparation  des  deux 
sexes,  424  et  suiv. 

Circassie  (contrée  entre  la  mer  Cas- 
pienne et  la  mer  Noire).  Montagnes  , 
t.  XLIV  ,  p.  437.  —  Costume  de 
princes,  440.  —  Eaux  roinéralps. 
Village,  448.  —  Intérieur  d'une  mai- 
son. Vie  des  hordes  du  Caucase  , 
449.  —  Le  Terek,  451.  —  Inocula- 
tion rie  la  petite  vérole ,  usitée  pour 
con  rver  la  beauté  des  femmes  , 
XLYI ,  83  ,  note,  —  Voy.  Caucase, 

Ciroassiens  ou  Tcherkesses.-  Ancien 
nom.  Ont^dcgcnéré ,  t.  XXXI ,  p.  175. 

—  Pays  qu'ils  habitent,  XLV,  429. 

—  Noms  divers.  Etat  de»  personnes, 
430,  431.  —  Gouvernement,  431.^ 
Usage  des  présens  au  prince.  Privi- 
lège du  prince  et  des  nobles ,  432. — 
Se  nourrissent  de  cliaire  de  cheval , 
433.  —  Influence  des  vieillards.  Ad- 
ministration de  la  justice.  Assemblées 
singulières  ,  433  ,  434.  — •  Voleur 
adroit  non  puni.  Hospitalité.  Usages 
divers.  Punition  de  l'adultère.  Di- 
vorce ,  435.  —  Éducation  des  enfans 
du  prince,  436.  —Figure,  formes. 
Costume.  Maisons,  437.  —  Chevaux. 
Agriculture.  Langue  ,  438.  —  Traits 
généraux  de  mœurs  et  d'usage  ,  444 
à  455.  — -  Célèbrent  le  premier  jour 
de  l'an,  connaissent  la  pâque.  Vé- 
nèrent le  tonnerre ,  445. 

Clapperton.  Son  voyage  en  Afri- 
que ,  t.  XXVII,  p.  1.  — Voy.  Denham. 

—  Son  excursion  .i  Sackatou  ,  325. 

—  Entrevues  avec  le  gouverneur  do 
Katagoum,  347,  349,  353,  358, 
364.  —  Séjourne  à  Kano,  368  et  suiv. 

—  Entrevues  avec  le  gouverneur  , 
37* .  —  Arrivé  à  Sackatou ,  405.  — 
Eui  -evues  avec  le  sulran  ,  406  et  suiv. 
411 ,  420.  —  Son  voyage  dans  l'Afri- 
q'ip  septentrionale,  XX VIII  ,113.  — 
Entrevues  avec  le  roi  de  l'Yarriba  , 
137  et  suiv.  —  Ne  peut  obtenir  de 
voir  le  Niger,  141.  —  Visite  le  roi 
de  Kiama  ,  154  et  suiv.  —  La  reine 
<!c  Niffé,  191.  —  Lacune  dans  son 
journal,  219.  —  Assiste  à  un  combat, 
22t.  —  Ses  visites  au  sultan  avec  qui 
il  se  brouille  ,  224 ,  231  —  Fin  de 
sou  journal ,   237.    —    Voy,  Lamler 


(Richard).  —  Ses  derniers  momens. 
Son  enterrement ,  243 

Clarence  (lie  du  Duc-de-),  (Polyn.). 
Découverte  par  Edwards,  t.  XIII, 
p  425.  -~  Productions ,  figure  et 
vêtement  des  naturels ,  XVI ,  437. 

Clarence  (port  de  l'Amérique  russe). 
Découvert  par  Beechey  Sa  descrip- 
tion. Naturels.  Armes.  Vétemens. 
Huttes,  t.  XIX,  p.  449,451. 

Clerke  (lie,  mer  de  Behring)  t.  XI, 
p.  101 ,  377 

Clerke.  Prend  le  commandement 
des  vaisseaux  de  Cook  après  l'assas- 
sinat du  capitaine,  fiéclame  le  corps 
de  Cook  ,  t  XI ,  p.  201 ,  205 ,  222. 

—  En  reçoit  une  partie  ,  209.  —  Ses 
soldats  incendient  le  village  de  Ka- 
kooa,  217.  —  II  obtient  le  reste  du 
corps  de  Cook ,  223.  —  Touche  an 
Kamtschatka  ,  ce  qu'il  y  fait,  316  et 
suiv.  —  Excursion  dans  l'intérieur 
du  pays,  323  et  suiv.  —  Voyage  en 
traîneau  ,  330.  —  Réception  amicale 
à  Bolcheretsk ,  337,  348.  —  Envoie 
à  Saint-Pétersbourg ,  à  l'ambassadeur 
anglais  le  journal  de  Cook  et  le  sien , 
553.  —Essaie vainement  de  traverser 
les  glaces  au  nord-puest,-  368,  371. 
•—  Sa  mort  Son  éloge,  379.  —  Ses 
funérailles  à  Petropawlowski ,  382 , 
384.  —  La  Pérouse  fait  graver  une 
inscription  sur  son  tombeau  ,  XIII  , 
S9i— Voy.  Gor^ 

Clermont-Tonnéfre  (fie  de  l'archipel 
Dangereux^,  Ejéiuuverte  par  Dupcr- 
rey,  t.  XVIII ,  pi38.  —  Couleur  des 
naturels  ,  XIX ,  152.  —  Canot ,  153. 

—  Langue.  Étendue,  sol,  154. 
Coagalga  (  une  des  îles  Alcouticn- 

r.es).  Etendue.  Xspect,t.  XIX,  p.  282. 

Cobbé  (capitale  du  Dar-Four,  Sou- 
dan). Situation,  t.  XXV,  p.  397.  — 
Etendue.  Habitaus ,  398,  m  — 
Éftle»,  401. 

Cobi  (désert  de  Mongolie)  Tra- 
versé par  Timowski ,  t.  XXXllI  , 
p.'157à«149  —Sol.  Aspect,  138,  143, 
— 'Animaux,  138.  —  Puits,  140, 
144.  —Lacsalé,  140.  —  Monts,  141. 
142.  —  Chevaux  de  l'empereur,  141. 

—  Obo  ou  autel  de  pierre  ,  149.  — 
Sel.  Absence  d'insectes,  323.  — (-em- 
paré aux  plaines  d'Amérique,  etc.,. 
XXXVIII ,  373.  —  Voy.  Mogoh-Sou- 
nitet. 


« 


341 


TABLE  GÉNÉRALE 


# 


Coohin  (ancien  royaume  de  l'HIn- 
doustaa  dans  le  Malabar).  Le  roi  fait 
alliance  avec  Cabrai ,  amiral  portu- 
gais ,  1. 1 ,  p.  70.  —  Le  roi ,  dépouillé 
par  le  znmorin  ,  est  vengé  par  Al- 
bnquerque ,  82.  —  Et  par  Pacbeco , 
84. 

Coch!n  (capitale).  Situation.  Habi- 
tans  lors  dé  Tarrivée  de  Cabrai ,  t.  T, 
P-  70.  —  Gama  y  établit  un  comptoir, 
79.  —  Prise  et  brûlée  par  le  zamorin 
à  cause  de  son  alliance  avec  les  Por- 
tugais, 81. 

Cochinchine  ou  Anam  méridional 
(royaume  de  l'Indo-Chlne),  Bambous, 
f.  XXXIV,  p.  329.  —  BiDgeh ,  337.— 
Côte,  351.  —  Montagnes.  Fertilité 
du  sol.  Iles,  352,  440.  —  Tribu  de 
pécheurs ,  354-  —  Inférieur  du  pays , 
368    —   Armée ,  372  et  suivantes, 

—  Beaux  canaux,  377,  440.  t-  Vi- 
site au  mandarin  des  élépbans  ,  383 
ei  suiv.  —  Mandarins  français  ,  383 , 
438.  —  Acteurs  chinois ,   384  ,  426. 

—  Supériorité  due  aux  Français,  398. 
40l. — Influence  française  ruinée,  398 
et  suiv  — Population,  421. — Visite 
au  Tacoon  ou  nradarin  des  étrangers, 
424  à  434.  —  Beauté  du  pays ,  440 , 
442.  —  Lac  d'eau  salée,  441.  —  Con- 
trée granitique.  Excellent  état  des 
routes,  446.  —  Fleuve.  Montagnes  , 
449  et  suiv.  —  Langue,  453.  Voy. 
Fu  •  Kok ,  Hué ^  capitale;  Saigon, 
Turon. 

Cochinelii'nois,  'Smrme  physique  , 
t.  XXXIV,  p.  24Ih  246,  322  — 
Tendance  à  l'obésifé.  Caractère.  Ha- 
bitations, 323.  —  Leur  beau  teint, 
323  ,  334.  —  AppartemcDs ,  344.  — 
Costumes,  324, 372e*tsuiv.  ,411,  412, 
423.  —  Costume  de  rameurs,  32G.  — 
Mœurs,  334  ,  417-  —  Infériorité  des 
femmes ,  340-  —  Barc^ues ,  353.  — 
Tribu  de  pêcheurs ,  354.  —  Costftnc 
des  soldats,  372  et  suiv,  —  Armes  , 
374.  —  Mandarins  français ,  381.  — 
Supériorité  due  aux  Francis,  398, 
401.  — -  Petitesse  de  taille  ,'407,  ^fOi). 
— Formes.  Figure ,  409,  410. —  ReU- 
pion  ,413.  —  Effets  du  despotisme  , 
415,  416.  —  Bonnes  qualités,  417. 

—  Saleté,  Mofurs  des  femmes  ,  417, 
note,  —  Culte  des  .incêtres  ,  418.  — 
Servitude  militaire,  419.  —  Costume 
de  la  saison  pluvieuse ,  423.  —  Goût 


pour  le»  œufs  pourris,  431;  —  Palan- 
quins et  porteurs ,  444. 

Cockburii  (île,  archipel  Dangereux'). 
Découverte  par  Becchey.  Déserté. 
Stérile,  t,  XIX,  p.  169,  170. 

Cocot  (île  .des ,  archipel  des  Amis) 
Découverte  par  Le  Maire  et  Schouten, 
t.  I ,  p,  295.  —  Avidité  des  habitans 
pour  le  fer  et  la  verroterie,  296.-^  Ils 
veulent  s'emparer  du  vaisseau  de  Le 
Maire  ,  299.  —  Est  l'île  que  Wallis  a 
appelée  Boscawen  ,  VIII ,  73  ;  XIII , 
114,  —  Naturels  se  mutilent  le  petit 
doigt,  149. 

Cocox  (île  des,  mer  du  Sud,  côte  d'A- 
mérique). Son  aspect,  t.  XIV, p,  467. 

—  Productions.  Arbre  remarquable, 
468-  —  Poissotis  ,  oiseaux  ,  470! 

Cocos  {  île  des  Noix  de,  Australie). 
Découverte  par  Cartcret.  Produc- 
tions ,  t,  III ,  p.  142  à  148. 

Cocotier.  Sa  description  ,  son  utiUté 
pour  les  Indiens  ,  t,  VllI,  p.  220.  — 
Ses  racines ,  398  ,  note,  —  Récolte  et 
plaiitatifm  du  fruit  à  l'île  ?}ouki  - 
Hiva,  XVI,  213. 

ColchiJe.  Voy.  MingréUe. 

Coi-OMB  ((!liristophe\Nofice  sur  s,i 
vie ,  t.  XXXVIII ,  p,  72.  —  Expose 
ses  projets  au  prieur  de  RabiJa  qui 
lui  fournit  assistance,  75  et  suiv.  — 
Promesses  et  frais  d'Isabelle  ,  80.  — 
Vaisseaux  qi.i  lui  sont  accordés  ,  82 

—  Met  à  la  voile  ,  83.  —  Murmures 
on  séditions  à  aon  bord ,  84  ,  88.  — 
Découvre  le  Nouveau-Monde,  01,  92. 

—  Prend  possession  de  l'île  San-Sal- 
vador,94.  —  î.^écouvre  les  îles  de  la 
Conception,  Ferdinandine ,  Lsabelle, 
Airena ,  Cuba ,  100.  —  Nomme  la  mor 
de  Nnestra-Senora  ,  104.  — Martin 
Pin/.on  se  sépare  de  lui ,  105.  —  Dé- 
couvr'»  les  îles  d'Haïti  (  Hispauioln)  , 
de  la  Tortue,  106.  —  Perte  de  sou 
vaisseau.  Hospitalité  de.?  •jsulaircs  , 
110.  —  Échanges  de  di\Brs  objot.s 
contre  de  l'or,  112.  —  Laisse  une 
colonie  à  Haïti  et  part  pour  l'iv.- 
jMgnn,  115,  116.  —  Échiqipe  .inx 
Portugais  des  Açores  ,  120.  —  lii»-'» 
reçu  pdr  le  roi  de  Portugal,  123. — 
Arrive  en  Espagne,  125.  —  Sa  lé- 
nfj)tion  à  la  cour.  Ses  récompenses , 
128,  241.  —  Bulle  de  déainrcatiou  , 
120.  —  Repart  ])our  le  Nouveau- 
Monde,   131.  — Trouve  sa  coloim- 


^ 


DES  MATIERES. 


345 


d'Haïti  niioéc ,  133.  —  Fonde  la  ville 
d'Isabelle ,  138.  —  Découverte  de 
mines,  143,  163.  — Fonde  le  fort 
Saint-Tliotnas  ,  143.  —  Découvre  la 
Jamaïque,  146,  211.  —  Découvre 
Siiinte-Marthc ,  147.  —  Fst  aban- 
donné de  Margiiarita  et  Boyl ,  «pii  le 
desservent  eu  Ksp:igne  ,  lof,  159.— 
Ruse  par  laquelle  il  se  rend  maître 
d'un  cacique  ennemi  de  »a  colonie 
d'Isabelle,  152.  —  Bat  l'armée  in- 
dienne ,  155,  —  Tributs  exigés  ,  156. 

—  Subit  l'examen  d'un  commissaire 
royal,  160.  —  Vient  plaider  sa  cause 
en  Espagne,  162,  166.  —  Découvre 
les  îles  de  Marie-G;dante  et  de  la 
Guadeloupe,  164.  —  Bien  acceuilli  à 
la  cour.  Nouvelles  mesures,  166, 
242. — Sou  troisième  voyiif,'e.  Découvre 
le  continent  et  l'île  de  la  Trinité  ,  175. 

—  Les  îles  de  Gracia  ,  de  l'Assomp- 
tion ,  de  la  Conception  ,177.  —  Ca- 
lomnies répandues  contre  lui  en  Es- 
pagne,  179.  —  Est  remplacé  par  Bo- 
vadilla  ,  181.  —  Est  mis  aux  fers, 
ainsi  que  ses  frères,  1 87  et  suiv.  —  Les 
trois  frères  sont  condamnés  à  mort,  et 
renvoyés  en  Espafjne ,  190.  —  Sont 
délivrés  par  le  roi  et  la  reine,  192. 
— Entreprennent  de  nouvelles  décou- 
vertes, 194,  201,  215.  —  P.iuvreté  de 
Colomb.  Sou  désir  d'aller  à  Rome , 
205.  —  Est  obligé  de  faire  échouer  ses 
vaisseaux  à  la  Jamaïque,  210.  —  Mu- 
tinerie de  son  éqiiip;ige  et  ses  suites, 
212 ,  221  ,  223.  —  Annonce  une 
éclipse  aux  Indiens  et  en  obtient  des 
vivres,  217.  —  Déloyaux  procédé. 
d'Ovando  à  son  égard ,  219  ,  224.  — 
Son  frère  bat  les  révoltés  ,  222.  —  Ils 
reviennent  en  Espagne ,  225.  —  Mal- 
heur qui  les  y  attendait ,  226.  —  Mort 
de  Cbristopbe.  Sa  famille.  Sa  figure  , 
228.  —  Son  caractère  ,  229  et  suiv, 
^  Ses  sentimens  religieux  ,  235.  — 
*^on  imagination  ardente,  237.  —  Ses 
idées  sur  sa  découverte ,  238.  —  Ré- 
sumé de  ses  découvertes  et  de  celles 
de  ses  compagnons ,  259.  —  Clirono- 
iogie  de  ses  voyages  et  découvertes  , 
2Î0.  —  Ses  cendres  portées  à  Cuba  , 
415. 

Colo'A'iia  (rivière  de  la  Nouvelle- 
Albion  ,  Amérique  septentrionale). 
Reconnaissance  de  la  rivière.  Son 
entrée  ,  t.  XIV,  p.  368  ,  369.    -   Ri- 


vière d'Young,  569.  —  Baie  de  Gray. 
Ile  Puget ,  370,  —  Rivière  Swaine, 
Iles  Baker,  371,  —  Pointe  Slieriff. 
Mont  Coffin.  Rivière  Kniglit ,  372.— 
Rivière  Rusleigli.  De  Cnll ,  ,373,  — 
Rivière  Manings,  Baring ,  374.  — 
Prise  de  possession  parles  Anglais, 
375. — Ses  pius  magnifiques,  XXXVIII, 
17.  —  Son  cours.  Clarté  de  ses  eaux, 
37,  39. 

Colombia  (un  des  Etats-Unis).  Sa 
formation.  Son  étendue ,  t,  XXXIX  , 
p.  242.  —  Veut(>,  d'esclaves  à  l'en- 
chère ,  263  à  270.  -  Voy.  H'as- 
hinglon, 

Coli  m'iia  l'chcf-lien  de  la  Caroline  du 
sud,  États-Unis),  t.  XXXIX,  p,  291. 

Colombie  (république  de  l'Amérique 
méridiouale).  Tombez.  Habitations  de 
la  cann)agne  et  de  la  ville,  t.  XVI  , 
p.  92.  —  Gouvernement,  XXXVIII, 
26.  —  (Constitution  ,  28.  —  Décou- 
verte par  Colomb  ,  175.  —  Voyage  dp 
Huinboldt  dans  l'intérieur,  556.  — 
Piqûres  des  insectes  ,  382.  —  Surface 
et  |)opulation  ,  389.  —  Productions  , 
597  et  suiv. — St.  Régis  et  autres  ])etites 
villes,  XLIl,  'il  et  suiv.  64.  —  La 
guarann  fliqucur)  ,  6J.  —  Voyage 
dans  riuférieur,  591.  —  Ses  deux 
contrées  ,  limites  ,  superficie  ,  592.  — 
Productions,  395.  —  Rivières  ,  395, 
396,  407.  —  Régions  des  mines ,  597. 

—  Lacs.  Animaux  malfaisans.  Ani- 
maux domcst'ques  ,  398.  —  Plaines. 
Population.  Hèibit"..^  ,  3i)9  ,  et   suiv, 

—  Agriculture,  ^'06 ,  407.  —  Cojn- 
merce    n!.---itim' .    Liniformité    de    la 
températiiic,  40u.  — Gonverni'mrnt 
Armée,    421     —     Chambres,     422. 

—  Chambres  des  rcpré^cutans  e^ 
conditions  de  leur  éligibilité.  Leurs 
droits,  422,  423.  425.  —  Sénat  et 
conditions  requise.»  jniur  être  séna- 
teur. Droits  ,  424  ,  425.  —  C'^nf^rès  , 
426.  —  Pouvoir  exécutif,  if:..  — 
Pouvoir  judiciaire  ,  427.  —  Disposi- 
tions diverses,  427-  —  Principales 
vdies,  428  .i  431.  —  Voy.  Chaymos  , 
Gtiaqiiil ,  Ahidos  ,  Orénoque ,  Pnnama  , 
Qicto^  Rio-Megro^  San'a-te'd,-  Bogota, 
capitale. 

Colombie  (Indiens  de  la).  Tribus 
diverses,  t.  XXXVlil,  p.  379.  — 
Femmes  n'aiment  point  ;ï  devenir 
mères,  Meurtic  de  l'un  des  jumeaux  , 


\.¥ 


34C 


«■ 


TABLE  GÉNÉRALE 


379.  —  Breuvages  abortifs  ,  381 .  — 
Figure..  Taille.  Caractère,  XLH  ,  400, 
401,  412.  —  Les  Bravos  (sauvages)  , 
401.  — Vie  et  caractère  des  ludions  (les 
plaines  et  des  moutagues  ,  402  ,  407 
et  «uiv.  —  Sauvages,  408  à  412.  — 
Choix  du  cacique  ,  épreuves  aux- 
quelles on  le  soumet,  4087  409.  «^ 
Protection  de  la  propriété  nationale. 
Guerres,  410,  411.  — Sort  des  pri- 
sonniers, 411.  —  Anthropopliagie  , 
412.  —  Intelligence  bonne,  412  — 
Idées  religieuses,  413  et  suiv.,  417.-^ 
Culte  d'un  génie  malfaisant.  Méde- 
cine, 414.  —  Polygamie,  416.  — 
Funérailles  des  diverses  tribus,  416, 
'■8.  —  Croyance  à  l'iminortalilé  de 
l'Ame  ,417.  —  A  l'âme  des  hétcs,  418. 

—  Absence  de  vètcmens.  Tatoua'j;e. 
Oruemeus.  Maisons  ,  420.  —  Arm'.-s. 
Canots,  421.  — Voy.  C/taymas,  lit' 
dieiu  de  Terre-Ferme ,  et  des  rives  de 
l'Ort'noque, 

Colombiens.  Horrible  maladie  endé- 
mique ,  t.  XLH  ,  ji.  399.  —  Figure  ; 
teint,  399,  403.  —  Soutimeus  reli- 
gieux. Condition  des  femmes.  Ma- 
riages. Funérailles  ,  403.  —  Carac- 
tère ,  mreurs,  404,  40.5.  —  Noncha- 
lance. Dissimulation  ,  40Î.  —  Igno- 
rance. Respect  i>our  les  i)arens.  Siiluts, 

405. 

Cfiloml'ie  (nègres  de  la).  Leur  pa- 
trie, leurs  formes,  t.  XLII,  p.  400. 

—  INègres  célèbres,  402. 
Coiiituirscin  (Ktat  de  l'Hindoustan  ). 

Costnnie  et  habitation  du  raua  , 
t.  XXXV,  p.  457.  —  Temple  remar- 
quable, 458.  —  Corruption  et  civili- 
sation, 464. 

Comme rcol/jr  (ville  du  Benj^iile).  Fac- 
torerie pour  la  soie,  t.  XXXVI, 
p.  441.  —  Nattes  roma.  ;iuables.  Pa- 
latines de  plumes  d'oistauK,  442. 

Compagnie  (île  de  la)  Découverte 
par  lesUoilnndais,  S()uaspect,t.  XII, 
p.  431,  437. 

Conran  (partie  de  la  c(^te  ouest  de 
rHindi)usfaa).Vill.iges()ii  petites  villes, 
t.  XXXVl,  p.  417,  418.  —  Mon- 
tagnes des  Gattes,  418.  —  Habitaus 
II  aliarattas  ,  421.  —  Sol.  Climat, 
427.  —  Voy.  h'ie'p/iaiifa. 

Conception  (  Ile  de  la  mer  dos  An- 
tilles). Découverte  par  Colomb  , 
t.  XXXViH,  p.  177. 


Conception  (la  ,  rillc  du  Chili).  Sa 
baie,  t.  XII,  p.  70.  —  Ancienne  et 
nouvelle  "ilie  ,  71.  —  Tremblemens 
de  terre.  Population.  Extrême  ferti- 
lité, 72.  —  Maladies.  Rivières  auri- 
fères 73.  —  Parure  des  femmes ,  74, 
76.  —  Convens,  74.  —  Naturels,  75. 

—  Rues  alignées ,   maisons   ba.ss><s 
XVIII,  131.  —Climat  salubre,  133. 

Cundore  (île,  mer  de  Chine).  Sa 
description.  Ses  productions,  t.  XI, 
p.  470.  —  'Climat  pestilentiel.  In- 
sectes venimeux.  Habitnns  ,  XVIII , 
439.  —  Productions  ,  4 1,0.  —  Aspect , 
XXXIV,  309.  —  Végétation.  Produc- 
tions, Roches,  310.  —  Quadrupèdc.î, 
3i2.  —  Village,  313.  —  Habitans , 
314,  316.  —  Population,  produc- 
tions, 315,  317. 

Congo  ou  Zaïre,  Fleuve  d'Afrique 
remonté  par  les  Portugais ,  t.  I  , 
p.  27. 

Coimecticut  (  un  des  Etats-Unis  ). 
Voyage  dans  l'intérieur.  Remarqua- 
Mer»  établisscmcns  publics,  t.  XXXjy, 
p.  174  et  suiv  —  New-Haveu  ,  uue 
des  capitales  Inconvénient  des  deux 
capitales.  Collège.  Cimetière,  176. 

Consolation  (  île  de  ).  Déeouvertu 
par  MaurrelJ.  Ses  productions.  Ses 
naturels,  t.  jk.111,  p.  266. 

Constance  (lac  de  la  Suisse),  t.  XbV, 
p.  338. 

Constantine  (  ville  de  l'Alf^érie  ). 
Ruines  anticpics,  t.  XXII,  p.  185.  — 
Ses  anciens  noms  ,  XXIII ,  31. 

Constant inoplc  (capitale  de  l'empire 
Ott(  man).  Histoire  des  Juifs  de  cctie 
ville,  t  XLIV,  \i.  5.  —  L-eurs  de- 
meures, Itnr  costume,  liiiine  que 
l'on  a  pour  eux,  6.  —  Leur  langue. 
î'outs.  7.  —  Citernes,  étangs  fac- 
tices, 8.  —  Piliers  hydrauliques,  9. — 
Lac  souterrain  ,12.  —  Situation  de 
la  ville,  13  ,  274.  —  Ses  murailles  , 
13,  lî.  —  Ses  ruines,  13.  —  Porte 
par  où  entra  Mahomet,  14.  — Brèche 
où  tomba  Palcohigtie.  (Irand  cime- 
tière ,  15.  —  Prophéties  sur  t!on- 
stantin(q)le  ,  16.  —  Tombes  d'Ali  et 
de  ses  fils.  Eglise  des  Poissons,  17. 

—  Eglises  ji;reeqnes,  18.  —  ■  -hd 
impérial,  19.  —  Envions  déserts,  19, 
263.  —  Palais  de  San-Stephano.  Dé- 
part périodique  des  cailles,  21.— 
Sauterelles ,  22.    —  Ames  d.fmuecs, 


.* 


Ï)KS  MATIÈRES. 


347 


23.  — Rtiiiicsd'anricns  ponts.  Cbaiis- 
st'f,  263.  —  Vue  do  !.'i  ville  au  soleil 
levant ,  204.  —  Son  heureuse  situa- 
tion ,  265,  206.  —  Cimetières,  207. 

—  Péra  ,  208.  Convois.  Tolérance  re- 
li{i;ieusc  des  autorités,  209.  —  tlauses 
d'insalubrité ,  274-  —  Uécliu  du  fa- 
natisme ,  276.  —  Le  Moniteur  otto- 
man ,  278.  —  Administration  de  la 
justice.  Sa  vénalité,  XLVI ,  102.  — 
Police.  Rareté  du  vol.  Sa  prompte  et 
terrible  punition,  105  à  108.  —  E\é- 
ciition  à  mort ,  107.  —  Mœurs  des 
harems  ,  108  et  suiv,  —  Rareté  de  la 
polygamie,  110.  —  Rareté  des  intri- 
gues,  des  séductions,  113.  — Puni- 
tion des  coupables,  114.  — Bonne 
police.  Disposition  des  maisons  ,  H^. 

—  Administration  civile,   115,  liO. 

—  Rareté  des  fêtes  publiques  ,  123. 

—  Premiers  cafés  ,  bsagc  de  fumer, 
125.  —  Langue  en  usage  à  Li  cour, 
126. 

Contrariétés  (île  des,  arci'ipel  Salo- 
mon).  Découverte  par  Survii'e ,  t.  III, 
p.  435.  —  Pirogues  élégante  i.  Orne- 
mens  des  habitaus,  X  •'^  244. 

CoDR..  Notice  sur       vie,  t.  V,  p.  1. 

—  Sou  premier  voyage,  2.  —  Ne  peut 
obtcuir  à  Rio-Jaueiro  la  permission  de 
débarquer  son  équipage.  Pourquoi, 
22.  —  Son  avis  sur  les  passa;;es  dans 
l'océan  Pacifique,  par  le  sud  de  l'A- 
mérique, 80  —  Découvre  les  îles  du 
Lagon,  du  capThrumb,  de  l'Arc;  les 
Iles  Grou|)es,  des  Oiseaux,  de  la 
Chnîuc  ,  87  et  suiv.  —  Son  aTivée  et 
sa  réception  à  Taïti,  95.  —  Expédition 
dans  l'île,  108.  —  Y  construit  un  fort, 
116,  132.  —  Uressc  un  observatoire, 
130.  —  Détail  de  différentes  aventu- 
res, 137  et  suiv.  —  Observe  le  pas- 
sage de  Vénus  sur  le  soleil.  173,  176. 
Navigue  autour  de  l'île,  190  et  suiv. 

—  Quitte  Taïti  emmenant  an  insulaire, 
23  (.  —  Décrit  les  îles  voisines  de 
Taïti,  525.  —  Découvre  les  îles  de  la 
Société,  327.  355.  —  Trouvailles  re- 
marquables, 330,  336.  —  Découvre 
l'île  d'Oteroali,  358.  —  Arrive  à  hi 
Nouvelle-Zélande.  lucidcns  divers,  et 
description  du  pays,  571  et  suiv.  — 
Fait  le  tour  de  Tlle  Iki.'u.i  -  Mawi. 
lueidens  divers,  VI,  del  à  115.  —  Fait 
le  tour  de  Titvai-PounamoTi,  qui  com- 
plète la  circumnavigation  de  la  Nou- 


velle-Zélande, de  115à  113.  —  Décrit' 
la  Nouvelle-Zélande,  de  143  à  iol. 

—  Sa  navigation  défavorable  à  l'exis- 
tence d'un  continent  méridional,  199. 

—  Sa  traversée  jusqu'à  Rotany-Day, 
Il  nomme  un  grand  nombre  de 
pointes  cti,de  baies,  et  "crit  les  eûtes  , 
201  et  suiv,  — fd.  jusqu'à  la  baie  de 
la  Trinité ,  232  et  suiv.  —  Id.  jusqu'à 
la  rivière  Endeavour.  .Situation  dan- 
gereuse de  son  vaissra",   274  et  suiv. 

—  Station  à  la  baie  J'^ndeavour,  286  à 
332.  —  Navigue  jusqu'au  nord  de  la 
Nouvelle-Galles  du  sud.  Découvre  et 
nomme  plusieurs  pointes,  liaies,  Iles, 
332  et  suiv.  —  Prend  po.sses.sion  de  lu 
Nouvelle-Galles  méridioûalc,  368.  — 
Décrit  le  pays,  372  et  suiv. —  Arrive  a 
l'île  de  Savu  ,  423.  —  Repas,  que  lui 
donne  le  roi ,  433.  —  Décrit  Savu , 
YII,  1.  -^  Mouille  à  B.itavia  pour  ra- 
douber son  vaisseau ,  38.  —  Décrit 
Batavia,  53  et  siii/.  —  Décrit  l'île  du 
Prince,  109.  —  Jetic  l'ancre  au  cap 
de  Bontte-Espérance ,  120.  —  Préli- 
minaire de  son  second  voyage.  Sou 
but.  Ses  résultats,  141.  — Cook  part 
d'Augleterre.  Ses.nstnictions,  151).  — 
Va  à  la  recherclie  du  continent  aus- 
tral ,  200.  —  Découvre  des  Iles  de 
glace,  204.  —  Ne  trouve  point  la  terre 
que  Bouvet  dit  avoir  dérouverte,  215. 

—  Arrive  à  la  Nouvelle-Zélande,  et  a 
])liisicurs  entrevues  avec  les  inturels, 
237  et  suiv.  —  Est  visité  par  des  Zé- 
landais ,  257,  338.  — Laisse  dans  l'île 
des  animaux  d'Eirope,  et  sème  des 
des  graines,  268,  270.  —  Les  Zélan- 
dais  prostituent  leurs  filles  à  son  équi- 
page, 318.  —  Aborde  a  Taïti,  353.  — 
Entrevues  avec  les  habitaus,  354  et 
suiv.  —  Visite  le  roi,  594  ,  4l2 .  422 , 
427.  —  Le  reçoit  a  bord,  41  ",  420.  — 

—  Découvre  l'île  d'Hervey,  VllI,  36. 

—  Décrit  les  îles  d'Amsterdam  et  de 
Midd.lhourg,  82.  — Revient  à  la  Nou- 
velle-Zélande et  s'as  lire  que  les  habi- 
tons sont  anthroj)ophages,  98, 113. — 
Décrit  [une  plaine  de  neige,  131. — 
Relâche  à  l'île  de  Pâques,  et  fait  in- 
cursion dans  l'intérieur,  139 — Arrive 
aux  îirs  Marquises,  189.  —  Dé''ouvre 
les  Iles  Palliser,  224.  —  Assiste  à  une 
grande  revue  navale  de  Taïti,  228  et 
suiv.,  256  et  suiv.  —Découvre  l'île 
Palmersfon ,  308  —  L'île  Sauvage,  312. 


348 


M^ 


TABLE  GÉNÉRALE 


* 


« 


—  Les  Nuiivcllcs-IIûbrides,  de '329  à 
427. —  Fëcarmoiiclie  avec  les  insulai- 
re», 357,  3G1,  368.  —  Dérouvre  la 
Nouvelle  Calédonie,  427,  et  IX,  19.  — 
L'Jle  des  Pius,  IX,  12.  —  L'Jle  de  la 
Uotauique,  14.  — L'île  do  Norfolk, 
2Î.  —  Revient  à  la  NouveUf-Zélande, 
28.  —Nomme  le  cap  Dé.s.ointiou ,  à  la 
Terre  de  Feu,  49.  —  Le  Lavre  et  les 
tles  du  Nouvel  -  An,  à  la  Terre  des 
États,  88.  —  Découvre  l'île  WilUs 
96.  — L'ile  PitkersRill,102.  —L'île 
de  Géorgie,  104. — La  Tliulé  mistrale, 
111.  L'île  Snuuders,  de  la  (Chandeleur, 
114.  —  La  terre  de  Saodwicli,  115.  — 
Récapitule  ce  (|u'd  a  fait  dans  sou  se- 
cond voyage.  Son  opinion  sur  le  con- 
tinent austral,  120.  —  Développe  la 
formation  des  îles  de  glace,  122.  — 
Arrive  au  cap  de  Bopne-Kspcrance, 
130.  —  Massacre  de  l'équipage  de  la 
chaloupe  de  YAvcn'ure  par'  les  Zélan- 
dais,  135  et  suiv. —  Décrit  les  Açores, 
157.  — Son  troisième  vojrnge,  —  Son 
but,  164. — Nomme  les  îles  diïPriuce- 
Edouard,  184.  —  Reconnaît  la  terre 
Xerguelcn,  et  nomme  plusieurs  haies, 
caps  et  îles  de  la  côte,  187  et  suiv.  ~ — 
Apprend  à  la  Nouvelle-Zélande  des 
détails  sur  le  massai  re  de  ses  compa- 
triotes ,  238,  24J,  248.  —  Découvro^ 
l'île  Manpia,  289.  -L'île  Wattcoo  , 
297.  —  L'île  de  Wenooaelte,  318.  — 
reçoit  à  bord  le  roi  des  îles  des  Amis, 
340,  388.  ' —  Céréttionial  de  sa  récep- 
tiàn  aux  îles  Hapaee,  jeux,  danses , 
354  et  suivantes  —  Assiste  à  un  repaj 
d'u"  chef  de  Tonga-Tabou,  et  en  visite 
plusieurs  autres,  394  et  suiv.  —  Est 
invité  à  une  grande  fête:  danses,  mu- 
sique ,  combats  de  massue  ,  danses 
de  nuit,  411  et  suiv.  —  Fait  ui;o  pro- 
menade dans  l'intérieur  de  Tlic,  439. 

—  Assiste  à  u'ie  cérémonie  funèbre  , 
442,  451.  — Observe  une  éclipse  de 
soleil,  457.  —  Mouille  à  Middelbourg, 
X,  26.  —  Cite  les  objets  les  plus  pro- 
pres aux  échanges  cans  l;t  me  r  du  Sud. 
39.  —  Décrit  l'archipel  des  /  .lis,  s> .; 
habitans  ,  son  gouvernement,  <'^c. ,  41 
à  96.  —  Arrive  à  Taïti,  103.  —  A  une 
entrevue  avec  ievoi,  112.  —  Dépose 
aux  îles  ,d>R  [la  Société  des  volailles,  et 
y  sèmo  des  graines,  114.  —  Est  témoiu 
d'un  .sacrifice  humain,  116  et  suiv.  — 
Voit    le  corps   etnbaunit  d'un    ciu'f, 


1 42.  -  -  Voit  un  combat  simulé  de  deux 
pirogues  de  guerre,  149.  —  Apprcud 
de  son  lieutenant  les  cérémonies  ])ra- 
tiquées  pour  célébrer  la  paix,  156  et 
suiv.  — -  Fait  des  observations  sur  Ivi, 
échanges  qu'il  ^it  à  Taïti  et  la  mo'ta^e 
doDtd  y  fut  reçu,  166.  —  Donne  ^I- 
ques  renseigncmens  sur  les  voy.igcs 
des  £spagn(ds  à  Taiti,  168.  —  Fait 
une  petite  expédition  contrç  Timéo, 
à  l'occasion  d'uu  vol,  174.  —  Mouille 
à  Huahcine,  oti  il  établi  l'iusulairc 
Omaï  qui  l'avait  suivi  à  Londres,  1/7 
et  suiv,  —  Instructions  qu'il  donue  au 
capitaine  Clerke ,  197.  -  Compare 
l'état  où  il  voit  Ulietea  avec  celui  où 
il  l'avait  trouvée,  200.  —  Achète  à 
Bolabola  une  ancre  de  Rougainvillc, 
201. —  Examine  si  la  connaissance  des 
Européens  a  été  heureuse  pour  les  in- 
sulaires des  îles  de  la  Société,  208.  — 
Découvre  Tile  de  Noël ,  258,  20'1.  — 
Retrouve  les  îles  Sandwich,  266,  '-"•"). 
—  Cérémoniesde  sa  réception  à  Atii.^i, 
274. — Fait  nue  incursion  dEj; .  l'île,  «t 
décrit  un  cimetière,  276. — R.?itiai'qiio 
la  conformité  de  mœurs  et  de  laugjij^jc 
aux  îles  Sandwich,  des  Amis,  de  la 
Société.  331.  -T-  Remarque  qu'uuc 
même  nation  s'est  rép.^ndne  sur  tout 
l'océan  Pacifique,  333.  —  Arrive  eu 
vue  des  côtes  d'Amérique ,  336.  — 
Nomme  le  cap  Grégoire,  357  ;  le  Mp 
Flattery,  et  autres  pointes,  337,  340. 
— Arrive  à  l'île  de  Nootka,  345,  362. 
— Comment  les  naturels  abordent  ses 
vaisseaux,  348.  —  Fait  la  reconnais- 
sance de  l'île,  353  et  suiv. —  Est  visité 
»;ar  une  tribu.  Cérémonies  de  la  pré- 
aCutation ,  358.  —  Donne  des  détails 
surf;  ■Jfte  l'irtie  de  l'Amérique.  Fait  une 
description  générale  de  l'entrée  de 
Ncotl.3, 362  et  suiv. —  Recherche  d'où 
provii^ntle  fer  qu'ont  les  habitans,  415 
et  sui/.— -Poursuit  la  reconnaissance 
de  la  côte  d'Amérique,  426. — Nomme 
plu.si'3urs  baies  et  pointes ,  429.  — 
Découvre  l'île  de  Kaye ,  452,  434,  — 
Reçoit  la  visite  des  ujiturcls  du  pays, 
410,  445.-  Nomme,  sur  la  côte  d'A- 
ïnérique,  1  -^  îles  Vertes,  451  ;  l'entrée 
du  Prince-Guillaume,  XI,  1  ;  le  cap 
Elisabeth,  Saint  -  Hermogine,  les  îles 
Stériles,  etc.,  18  et  suiv.;  la  rivière 
de  Cook  ,  23  ;  les  caps  Greville ,  Bar 
nahas  ,  des   Deux -Têtes,  l'île  de  la 


ç.# 


11»^ 


"è: 


DES  MATIÈRES. 


t 
3A\) 


Trinité,  30.  —  Cap  de  la  Trinité.  Cap 
Uromeux.  Ile  Nébuleuse.  Pointe  des 
l'ours,  32.  —  La  pointe  des  Rochers, 
la  pointe  Halibut  ou  de  la  Plie,  l'Ile 
de  la  Plie,  31.  —  Nomme  la  baie  do 
Dristol,  l'île  Roâde,  etc.,  dans  In  incr 
de  Behring,  44  et  »uiv.  ;  l'^g  Auder- 
.son,  50 ;  les  ilus  du  Traiuen|H|  King, 
le  cap  d'il  Prince-de-Galles^B2.  —  A 
une  entrt'vne  avec  les  Tsi'hinfschy,  et 
décrit  ces  peu  pies,  55  et  suiv. — Nomme 
le  cap  Nord,  76. — Longe  la  côte  d'A- 
sie, et  revient  à  la  côte  d'Amérique, 
en  nommant  plusieurs  caps,  îles,  77 
et  .suiv—  Découvre  Movvée  et  Owliy- 
lién,  deux  des  îles  Sandwich  ,  128, 
132. — Cérémonie»  de  sa  réception  à 
Owhyhée,  148,  153.  —  Est  visité  eu 
poiApc  par  le  roi,  157. — Se  méfie  des 
insulaires,  173;  eu  est  atta({ué,  179. 
—  Est  tué,  187.  —  Détails  de  ses  ser- 
vices, 188. — Suites  de  son  ass.issinaf, 
189.  —  Sou  corps  est  réclamé,  201, 
205.  —  Déférence  de  la  l'Vance  pour 
ses  vaisseaux,  ]iendaut  la  guerre  contre 
su  patrie,  XII,  24,  note.  —  11  fut  im- 
prudent à  Owhyliée  ,  130,  note.  Voy. 
Battis,  Clerke,  Oedidèe,  0-maï,  Tupia, 

Cook  (  rivière  ou  entrée  de ,  Amé- 
rique Russe  ) ,  explorée  par  Cook  , 
t.  XI,  p.  23. — Naturels;  leurs  armes, 
'ïl, — Marées,  28. — Pays  montagneux. 
Vi'iues  de  charbon.  Naturels  ,  XIII , 
282.  —  N'est  qu'une  baie,  XIV,  4-58. 

Copenhague  (  capitale  du  Dane- 
mark ).  Sa  description ,  t.  XLVI , 
1).  153. 

Copinpt  (  port  du  Chili  \  Tremblc- 
mens  de  terre.  Mines  de  métaux, 
t.  XLI,p.407. 

Copies.  Anciens  Egyptiens,  t.  XXII, 
p.  2Î7.  —  Religion.  Etat.  Origine  du 
nom  et  de  la  nation,  248.  —  Déca- 
dence de  la  langue,  253.  —  Leur  état 
politique,  558. — Croyances  et  usages 
religieux,  380. 

Corail  (description  d'un  banc  dé). 
Aspect  au  flux  et  au  reflux,  t.  XXI, 
p,  106. 

Cor.-nas  ou  Coronas  (  tribu  des  Bet- 
diniianas,  Afrique  ).  Un  de  leurs 
kraals,  f.  XXIX,  p. 90,  et  suiv.  —  Cos- 
Imiii's.  Mœurs.]l.icc.i>i,'jrriture,  92.— 
Condition  misérable  d'une  horde,  170. 
—  l'roupedc  rlias.seurs,183. — Origine 
liottcntote.    Gouvernemeut ,    191. — 


Vie  nomade.  Langue.  Race.  Fabri- 
ques, 192. — Mariages.  Maladies,  194. 
—  Religion.  Funérailles.  Alliance» 
avec  les  Griqua»,  196.  —  Mœurs  et 
usages  ,  362.  —  Exposition  de»  vieil- 
lards aux  bétcs  féroces ,  364.  Voy. 
Garifp,  rivière. 

CuituËH  (de).  Sou  voyage  autour 
du  monde,  t.  I,  |i.  220.  —  Institue 
l'ordre  du  Lion  déchaîné  ;  but  de  cet 
orlre,  225. 

Cordoue  (ville  d'Espagne),  t. XLVI, 
p.  177. 

6Wtfe  (province  de  l'empire  chinois). 
.\s])ect,  fortifications,  habitations  du 
la  côle  est,  tom.  XII,  p.  332;  X\l, 
2,  13.  — j  Entrevue  avec  les  naturels  , 
14,  26,  49  —  Ntimbreuses  îles  de  la 
côte,  42,  53.  —  Intérieur  d'uue  mai- 
son, 44.  —  Animaux,  52.  —  Produc- 
tions, XXXJII,  260. 

Coréens,  Costume  d'un  chef  et  de 
.ses  serviteurs,  t.  XXI,  p.  11,  18. — Ba- 
teaux, 41.  —  Femmes  écartées  des 
étrangers,  52. — Présens  de  vasselage 
a  l'empereur  de  la  Chiue,  XXXIII , 
237.  —  Figure.  Costume,  259. 

Cor/ou  (île  ionienne),  t.  XLIV, 
p.  326  et  suiv.  ;  XLVI,  198  et  suiv. 

Corinthc  •(  ville  de  la  Grèce  ). 
L'isthme,  t.  XLIV,  p.  312.— L'Acro- 
pole, 313  —  Elcmeus  de  prospérité, 
314  —  Environs,  515.  —  F.imeux  rai- 
sins, 316.  —  Le  château,  XLVI,  208. 

C^  uaille  (Nouveau,  Non.-Bret.  , 
An  .uc  septentrionale).  Rc'counais- 
soc-'.e  en  canots  Ju  canal  de  Portiand, 
Aspects  de  la  côte,  t.  XIV,  p.  430  et 
suiv.  passim.-—  Armes  des  uatiirels, 
437,  439.  —  Langue,  457. — Vêtement 
de  guerre,  440.  — Horribles  incisions 
à  la  figure,  417.  —  f-c  pays  reçoit  de 
Vancouver  le  nom  qu'il  porte,  452. 

Coronupdel,  Partie  du  Carnatic , 
province  de  l'Ilinduustau.  Voy.  6'ar- 
natic. 

Coronns.  Voy.  Coranas. 

Corté-d'Ai'gisli  (  ancienne  capitale 
delà  Valachie,  Tiiiquie  d'Europe). 
Sa  description,  t.  XLIV,  p.  81. 

CoK.ÉREAL.  Nomme  le  Labrador  , 
t.  XL,  j).  xj.  —  Dérouvre  le  fameux 
détroit  d'Aman,  xij. 

CoHTtz.  Sa  ciiuquête  du  Mexique, 
t.  vXXVUI,  p.  20f>.  —  Sescommeuce- 
mens,  (*.  —  Préparatifs  de  son  catre- 


« 


350 


TABLE  GÉNÉRALE 


prise,  268  et  sulr.  —  Arme  défeiisive 
qu'il  donne  à  ses  soldats,  270.  —  Bat 
les  Indiens  du  Tabasco ,  275,  277.  — 

—  S'empare  de  Tabasco,  276.  —  Com- 
mencement de  la  faveur  de  la  Mexi- 
caine Marina,  279.  —  Reçoit  des  am- 
bassadeurs et  des  présens  de  Monté - 
zuma  ,  2S0,  286,  2^)3.  —  Inoiste  pour 
voir  l'empereur.  Inquiétude  des  am- 

•bassadcur»,  282,  286,  294.  —  S'idlie 
avec  des  caciques  rebelles,  288,  292. 

—  Fonde  Vera-Cru/.,  292.  —  Détruit 
sa  flotte.  Forées  de  son  armée,  295.  — 
Marche  sur  Mexico  ,  296.  —  Bat 
les  Tlascalans  ,  302.  —  Remporte 
sur  eux  une  grande  victoire,  303  et 
8uiv,  —  S*allie  avec  eux,  307,  309. — 
Entre  daus  Mexico,  31 1.  —  Bat  Nar» 
vaëz,  312.  — Mont-'/uma  est  tué.  Sa 
retraite,  313. —  '',  empare  do  Mexico, 

.  fait  prisonuic  urii.ttimozin,  315.  —  Se 
rend  à  Ma-'.'id  315.  —  Découvre  la 
Califorp'j,  3  %  —  Meurt  dans  la 
disgrâ  e,  317.  -  Ses  cendres  portées 
à  Cu'ia  ,  415.  Voyea  Montituma,- 

Cuno  (île  des  Açores).  Découverte 
par  les  Portugais.  Son  étendue,  Sa  po- 
pulation, t.  IX,  \.  157,  158. 

Cos  (île  de  l'Archipel ),  t.  XLVI, 
p.  99. 

Cosaques  du  Don  (  gouvernement  de 
lu  Russie  d'Europe).  'IVibiis  diverses, 
t.  XLIV,  i>.  442 —  Voyiige  dans  le 
pays,  452  à  454.  —  Aksiiï,  452.— "Vieil 
et  nouveau  Tcherkask,  453.  —  Popu- 
latiou  dugouvernement.  Observations 
diverses,  454. 

Cosaques  de  la  mer  IVoire.  Descen- 
dent des  Cosaques  de  l'Ukraine.  Leur 
établissement  dans  le  Caucase,  t. XLIV, 
p.  442. 

Cosaques  de  ^Ukraine,  Villages , 
t.  XLIV,  p.  373.  —  Tribu  de  Vosne- 
sensk,  387.  —  Sout  une  des  deux 
grandes  familles  de  Cosaques,  442. 

Cotchoun  ou  Kouchan  (ville  du  Kho- 
rassan,Perse).Cliniiitsalubre,  t.XXXY, 
p  282.  —  Productions  des  environs , 
283.  —  Demeure  du  khan .  285-  — 
Chant ,  286.  —  Soufisme,  287  à  295. 

—  Fortifications.  Bazar,  297.  — 
Magnifique  Coran.  Son  histoire ,  298. 
Tempéiature ,  299-  —  Assiégée  et 
prise  par  les  Persans,  .  XXVII,  294, 
297. 

Cotiea  (province du  Haoussa,  Sou- 


dan ).  Uabitans  je  Fullindnthic  Tont 
tout  nus.  Leur  saleté,  t.  XXVIII, 
p.  255, 

Coubeabia  (ville  du  Dar-Four,  Sou- 
dan), Fameux  marché,  t.  XXV,  p.  400. 

Coubijr  (ville  du  Boiirgou,  Guinée), 
t.  XXX  ,    p.  156.    —  Fortifications. 

—  Grai|i|159. 

.Counum^  (capitale  de  l'Achanti, 
Guinée), .'Visite  au  roi.  Richesse  des 
costumes,  t.  XXVIII,  p.  397  et  suiv. 

—  Chansons  populaires.  410.  —  Am- 
bassades des  Anglais,  418  et  suiv.-  - 
Tortures.  Cour  du  roi,  423- 

Courant  (  île  de  la  Polynésie).  Dé- 
courerte  par  Cirteret,  t.  III,  p.  169. 

Couronne  (lie  delà,  Nouvellc-Zé- 
laade  ) ,  découverte  et  décrite  [)nr 
Dampier,  1. 1,  p.  454. 

Cousou  (ville  de  l'Yarriba,  Guince\ 
La  caravaue  de  Ha  no ,  t.  XXX,  p.  80. 

Couiumassa  (ville  du  Pérou).  Beauté 
des  femmes,  t.  XLII,  p.  7. 

CuviLHAM.  Premier  Portugais  qui 
ait  navigué  sur  l'océan  Indien  ,  t.  1, 
p.  29. — Obtient  les  premières  notions 
sur  rilc  de  Madagascar,  30.-  ' 

CowLEY.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  1,  352. .—  Découvre  les  îlfs 
du  Rdi-Charli's,  du  Dnc-d'York,  de 
Korfolk  ,  d'Alhcmnrlc  ,  de  Marlbo- 
rough,  de  Cowlpy,  355.  —  Résumé 
de  son  voyage,  XVIII,  197. 

CovvPKR-KosE.  Rilation  de  so«  sé- 
jour au  cap  de  lîonno-Espériitu-e  et 
les  environs,  t.  X\[X,  230.  — Chasse 
aux  éléphansj  314  et  suiv. 

Cox.  Sou  voy^ige  dans  l'empire 
Birman,  t.  XXXIV,  p  449.  —  Reçoit 
audience  de  l'empereur,  476. 

CoxE.  Son  voyage  on  Pologne,  en 
Russie  ,  en  Suède  et  en  Danemark, 
t.  XLVI,  p.  1.33. 

Cracaioa  (île  de  la  Malaisie).  Eten- 
due. Climat,  t.  XI,  473. 

Cracovie  (ville  delà  Pologne}.  Sa 
description  ,  t.  XLVI,  p.  135.  —  L'u- 
niversité. Le  palais.  Environs.  Tom- 
beau du  fondateur,  136. —  Fortlands- 
Krone,  137. 

Cranganor  (  ville  dn  Cocliin,  Mala- 
bar, Uiudoustan  ).  Situation.  Produc- 
tions du  pays,  t.  I,  p.  70.  —  Prise  et 
brûlée  par  Pacheco,  lieutenant  d'Al- 
bukerque,  87 

Création.  Sa  tradition   conservée, 


f 


DES  MATIERES. 


351 


inaiti  dénaturée  à  Taïti,  t.  X,  p.  212.  — 
Conservée  dans  l'Adianti,  XXVIII, 
408. 

Creeht  (Indiens  des  Ktat-Unis).  Se 
retirent  dans  l'État  d'Aliihiima  , 
t,  XXXIX,  j).  343.  —  Leur  détresse, 
547.  —  (Iraode  partie  de  liiille  et  se» 
préparatifs,  348,  352,  355  —  Leur» 
rénuions.  349,  —  Danses,  350.  — 
Luttes,  352.  —  Toilettes,  353. 

Crillon  (cap  de  l'Ile  Ségalien).  Nom- 
mée par  La  Péronse,  t.  XII,  p.  418  — 
Naturels,  421. — Leurs  vétcmcns,  423. 
—  Leur  origine^  424.  —  Connais- 
sances géographiques  ,  425.  —  Vil- 
lages, 427. 

Crimée  ou  Chersonèse  Tauride,  Signi- 
fication de  CCS  noms ,  t.  XXI ,  p.  172. 
Voy.  Tauride  et  Tataret. 

Croissant  (île  de  la  Polynésie).  Dé- 
couverte par  VVilson,  t,  XllI,  p.  440; 
XIX,  97.  —  Habitans ,  cabanes,  98. 

Croker  (île  de  l'arcliipel  Dange- 
reux), décrite  par  Beechey,  t.  XIX, 
p.  197. 

Croyère  (îles  de  la  mer  du  Sud,  côtes 
d'Amérique  septentrionale).  Recon- 
nues et  nommées  par  La  Pérouse, 
t.  Xll,  p,  218.  —  La  Pérouse  découvre 
iiu  Kamtscliatka  le  tombeau  de  l'of* 
licier  de  ce  nom,  XlII,  39. 

Cuba  (île,  Grandes  Antilles).  Décou- 
verte parColouib,  t.  XXXVIII,  p.  101. 

—  Hospitalité  des  insulaires,  102.  — 
Animaux,  103,  425.  —  Croyances  re- 
ligieuses, 148- —  Population,  390, 
409,413.  —  Surface,  409,  428.— 
Heureuse  situation,  412.  —  Produc- 
tious,412,  421,  — Température,  418. 

—  Pins,  acajou,  421.  —  Archevê- 
que.  GouVerueur.   Instruction,  422. 

—  Tableau  du  rapport  des  produc- 
tions, 425.  —  Exportations,  426.  — 
Montagnes ,  428.  —  Rivières.  Villes 
priucipales.  Habitans,  429.  —  État 
des  personnes,  430 -et  suiv.  — Des 
monteros,  431.  —  Des  esclaves,  435 
à  411.  — Vie.  Usages.  Habitudes  de.» 
Cubanais,  441.  —  Usage  général  du 
tabac.  Calèches,  442.  —  Figure,  cos- 
tume. Education  des  femmes,  444.  — 
Mœurs  relâchées ,  445.  —  Caractère 


national,  447.  >—  Desccndnns  des  An- 
ciens Indiens.  Législation.  Justice, 
448.  —  Revenus  ,  449. —  Traite  de» 
noirs,  XM,  170.  Voy.  Havane. 

Ciicnçn  (ville  d'Kspagne),  t,  XLVI, 
p.  171,174. 

Cumana  (ville  du  Venezuela,  Amé- 
rique). Situation  ,  faubourgs,  popu- 
lation, t.  XXXVIII,  p.  357.  —  Euvi- 
rons ,  357 ,  360.  -  -  .Singulier  phéno- 
mène de  la  plaine,  358.  —  Usage  gé- 
néral du  bain.  Port,  359  —  Tribu» 
indiennes  de  la  province,  360.  —  Im- 
portance de  la  ville.  Singulier  bain 
des  dames,  XLII,  431,  432.  —  Plaine 
des  environs.  Saison  des  chaleurs, 
aspect  de  la  campagne,  433. 

Cumberlnnd  (ilc,|,Polynésie).  Dccou- 
Trt-te  par  Wallis ,  t.  III,  p.  303. 

Cumlierland  {^An^  Australie).  Décou- 
vertes et  décrite»  \y,ir  Cook ,  t.  VI, 
p.  26f  —  Aspett.  Arbres,  XXI,  393. 
Cumbcrland-  Uouse,  Établissement 
anglais  de  la  mer  d'Undson  ,  t.  XL, 
p.  477.  —  Environs,  478.  —  Indiens 
Crées.  Mariage».  Cacactères ,  479.  — 
Superstitions.  Sorciers,  480,  481. 

CuNNiNr.H.«M.  Son  voyagea  la  Nou- 
velle-Galles du  sud,  t.  XLIII,  p.  1. 

Curaçao  (île,  mer  de»  Antilles).  Dé- 
couverte par  Ojcda  ,  tom.  XXXVIII, 
p.  243 

Cutiup  ou  Luttup  (ville  et  province 
du  Soudan).  Vaste  étendue  de  îd  .111 .. 
Productions.  Femmes  du  sultan  libres, 
t.  XXVIII,  257. 

Çyclades  (archipel  des  Grandes,  Aus- 
tralie). Découvert  par  Vougainville, 
Coup  d'oeil  sur  le  pays,  t.  IV,  p.  274, 
277.  —  Vu  par  Qniros,  VIII.  135.  — 
Compris  par  Cook  daus  l'avchipel  des 
Nouvelles-Hébrides,  421  XX,  198. 
Voy.  Gromngue',  Thienhoi  en, 

Cyclopes  (leï  deux,  îles  d'Australie). 
Découvertes  par  Bougainville ,  t.  IV, 
p.  321. 

Cytlière  OU  Csng'o  (  île  ionienne  ), 
t.  XLVI,  p. 93, 205, 

Czingares  (tribu  nomade  de  l'Autri- 
che). Ont  été  à  tort  appelés  Bohémien» 
et  Egyptiens,  t,  XLVI,  p.  219.  —  Ca- 
ractère ,  saleté,  physionomie,  224. 


;onservee, 


« 


TABLE  GftNÉHALK 


*  ♦  ' 


,.s    ■. 


Uaeea  (villo  du  Béu^iilp,  Hindous- 
tan).  Éti'ndur.  Miiixiiis.  ]'',^'lise  d(!ii 
Au^ufttins ,  t.  XXXI ,  |>.  80.  —  Belle» 
ruines  de»  envirom,  XXXVI ,  70,  71. 

—  Splendeur  pasiice,  72.  — Hubitiiuf, 
l'opuliilioa.  Climat ,  73.  —  Vi'isscaux 
du  port,  74.  —  'rroinblenii  de 
terre.  Keurie»  d'éiéplian»,  75.  —  £o- 
.scinhlc  du  lu  ville.  Alentour.  Larrosne 
du  nnw.ib,  76.  —  Son  levenii.  Son 
costume,  77.  —  Sa  demeure,  78. 

IJagelel  (lie,  mer  dii  Jiip.iu).  Nom- 
mée par  La  Péruusc,  t.  XII,  p.  533. 

—  Son  aspect ,  334. 

Dagwamba  (ville  du  Bournou,  Sou- 
dan). Ses  ruiue»,  t.  XX VU  ,  p.  159. 

Dahalac  (île,  mer  Ruiige  ,  ouest). 
Sol.  Arbres.  Citernes ,  t.  XXIII , 
p.  158  —  Animaux,  158,  l(i8.  — 
Occupation  des  liabitans ,  16U.  — 
Figure.  Caractère  ,  102.  —  Monnaie 
de  verre.  Décadence  du  commerce  , 
164. —Langue,  169. 

Dam.away.  Son  voyage  à  Cons- 
tautinoplc,  t.  XLVI,  p  127. 

Dalécaiii*  (province  de  la  Suède). 
Caractère  ,  ligure  de»  habitans  , 
t.  XLVI,  p.  291.  —  aespcrt  affec- 
tueux pour  les  .'iiicorités,  1Î92.  ■— 
Présence  d'esprlv  ,  ifKlu.-'trie  ,  friiga- 
litu  ,  ijospiialité  &■•  Diiiécarlien.  Piiin 
fait  en  piuM-e  t'.'i'.iyrrc  ji'arbre  moulue. 


293.  -  --  Cosi^^ume:.  .Signe 
en  Dalécailie    et 


de  deuil  eu 
eu  Cliiue , 


usage 
294. 

Damàrat  (nation  et  pays  du  sud  de 
l'Afrique).  Origine.Productions  du  sol. 
Troupeaux.  Métaux.  Gouvernement. 
Armes,  t.  XXIX,  p.  316.  —  Bornes. 
Richesse.  Industrie.  Mariage.  Funé- 
railles ,  342  et  suiv. 

Damai  { ville  de  Syrie.  Turquie 
d'Asie).  Portefaix  ,  t.  XXXII ,  p.  41. 

—  Aspect.  Belle  rue  ,  452.  — Grande 
mosquée,  434.  — Mosquée  des  der- 
viches. Faubourg  ,  436.  —  Plaine  dé- 
licieuse ,  437.  —  Cimetière.  Chambre 
du  palais,  418.  —  Rues.  Boutiques. 
Idiot  courant  les  rues  tout  nu  ,  439. 

—  Cafés,  440. 

Damghân  (  v'ile  du  Kbor.is.san, 
Perse).  Autrefoi.s  importante,  i.  XXXV, 


p.  141.  —  Population.  Monv,  ^rnt  re- 
marquable ,  142. 

Damot  (province  de  l'^i  f.ilnie\ 
Étendue,  t.  XXIll  ,  p.  330. 

l)\MriKH.  Ses  voya^e.s  autour  du 
muudu  ,   t.   I,  p.  363    —  Décti»  K. 

{tremicr  avec  détail  la  INouvcllc-lid!- 
aude,  390  et  »uiv.  —  Montre  qu'on 
a  débité  des  eonte.t  sur  l'autliropo 
phagie,  401.  —  Nomme  et  décrit 
baie  des  Chicris-Moris ,  dans  la  No. 
vclle  -  Hollande  ,  408.  —  Les  ih.s 
Romarin,  Pulo-Sabuda,  Gai'ct  I)C' 
nis,  etc.,  415  et  suiv,  —  Découvre 
les  îles  Oragcu.se  ,  Mathias,  Lou^iin , 
de  la  Couronne  ,  438  et  454.  —  Dé- 
couvre et  nomme  le  i>ass.igc  de  .son 
U(mi ,  nomme  la  Nouvellc-l'iretagui! , 
452.  —  Accrtjnpagne  Roggurs  dans 
son  voy.tge  autour  du  monde  ,  II ,  -1 

Dampier  (  île  de  rarchipel  de  la  1S<  u- 
velle  -  Bretagne  ).  Naturels.  Anucs. 
t.  XX,  p.  579. 

/>aii«^^oo  (ville du Funda,  Guinée). 
Fétiche,  t  XXX,  p.  401  ,  405.  ~ 
Costunlc  du  chef ,  403  ,  404.  —  Reli- 
gion ,  406 ,  408.  —  Réjouissaufps 
publiques  ,  406.  —  Rues.  Huttes.  Co.s- 
tumes.  Ornemeus,  408.  —  Travaii.x 
des  naturels.  Denrées,  Animaux  do- 
mestiques, 410.  —  Kst  formée  de 
plusieurs  villages,  413. 

y>nHe/Hrt;7.-.  Langue  danoise  comparée 
à  celle  de  la  Norwége  et  de  la  Suède , 
t.  XLV,  p.  98.  —  Voyage  dans  le 
pays,  XLVI,  153. 

Danger  (îles  de  l'Australie),  Nom- 
mée» par  Byron  ,  t,  III ,  p.  51 . 

Dangtieux ,  ou  des  îles  basses  ou 
Pomoioii  (  archipel  ,  Polynésie),  Dé- 
couvert en  partie  par  Schoutrn  ot 
Roggewin,  t.  II,  p.  55,  57;  et  VIII, 
214.  —  En  partie  par  Byron,  III, 
27,  et  VIII,  222.  —  En  partie  par 
Kougainville ,  IV,  204.  -  Iles  peu 
fertiles.  Forme  générale.  Naturels 
rraintifs,  VII,  351.  —  Lvur  aspect 
agréable,  VIII ,  215.  —  Grosseur  des 
arbres,  ,luprès  du  cocotier.  Chiens 
icphyo]>lMigcs  ,  220.  —  Bancs  de  co- 
lail,  221i  —  Difficulté  de  naviguer 
dans  leurs  Cjiux  ,  XVII ,  264.  —  N^'- 


l)ES  MATIKIIKS. 


3.13 


tU'c'ii  l>ca  cominiiuicatifs,  274'  — 
Siuiilitude  de  liinguc  et  de  rnligioii .  Dif- 
ivreuru  dniii  le»  traits  ,  XIX ,  lOH.  — 
Conjectures  mit  lu  manière  dont  il  n 
été  peinilé,  199. —  V«y.  Ile*  j^rc,  iir- 
t'Ilipcl  Itarrow^  Byam-lUavlin,  Carysfort, 
Cltrmont  •  Tonnerre  ,  Cockburn  ,  Uou- 
teuti,  Egmont,  Gambitr,  groupe;  du  Hoi- 
Georgt,  groupe;  Gloucttitr,  groupe; 
Groupes  ,  Harpi ,  La/tjrrinlk* ,  groupe  ; 
Lagon  f  Laneierif  LoiMnge,  Hr/elvillt , 
IHoller,  i$(t/#,  Noël,  Pern  cieutes,  lU- 
solution,  Tiookea,  ffol/e. 

DaniMÏg  (  yille  de»  I^.tats  de  la 
Prusse),  Son  origine  d'après  Regiiiird, 
t.XLV[,p.  74. 

Danube  ^^(leiive  d'Europe).  Se»  eiinx. 
Ses  bord»,  t.  XLIV,  p.  7i  —Villa- 
ges, 72,  181.  —  Vo\age  de  Quiu 
sur  le  fleuve,  133  —  Le  paquebot, 
134  ,  14î  ,  217.  —  Moulins  a  farine  , 
140.-—  <<raud  nombre  de  sinuosités, 
141,  167,  175,  206.  -  Aspect  de» 
rives,  112, 150, 156,  161.105,  170, 

174,  205.  —  Ile  de  UatO(;kovi,  149. 

—  Trou|ieaux  ,  150.  —  Tolua  ,  151. 

—  Peu  de  profondeur  du  fleuve,  151, 
216.  —  Champ  do  bataille,  158.  — 
Vuckorar.  Kamcnitï,  161.  —  IN'eu- 
sati  et  Peterwarden  ,  162.  —  Bel- 
grade ,  164.  —  Scmondria  .165.  — 
Arbres  ,  lies  diverses,  1C6.  —  Oiseatix, 
166 ,  225.  —  Rama  ,  167.  —  Moi- 
dava  ,  170.  —  Chaînes  de  montagnes 
bordant  le  fleuve,  171.  •—  Ruines 
d'un  château.  Gorge  pittoresque,  174, 

175.  —  Rapides,  176.  —  Rocs  remar- 
quables, 177.  —  Établissement  d'une 
route  sur  les  bords  ,182.  —  La  fa- 
meuse porte  de  fer,  200.  —  Ruine» 
du  pont  de  Trajan  ,  203.  —  Vidiu , 
207.  —  Zitera-Palanka  ,  219.  —  Son 
cours,  XLVI,  221. 

Daoudpoutra  (État  de  l'Hiudoustan), 
t. XXXVII,  p.  362. 

Dar-el-Beida  (ville  du  Maroc), 
t.  XXII,  p.  145. 

Dar-Four  (  royaume  du  Soudan  , 
voyage  au  ),  t.  XXV,  p.  392.  —  Si- 
guification  du  nom  ,  393.  —  Wadi- 
Massouck, Fourmis  blanches,  395.  — 
Principales  villes,  399,  —  Carrière  de 
craie  de  Choba.  Fameux  marché  de 
Coubcabia  ,  400-  —  Ecoles  ,  401 .  — 
Saisons.  Arbres,  401 ,  404.  —  Ani- 
maux privés  et  sauvages,  402.  —  Mi- 

XLVI. 


>n- 
tt 


;jo.— 


□éraux,  404.  —  CfouvoraiMuent.  Cou- 
ronne hércditairo,  405, 4 1  ô — Kéroltc, 
Lu  roi  cultivateur,  40f>  ■"-  Origine 
de»  hahitau'-  Areiiiteel' irc,  407.— 
Mœurs.  (Jarartère,  408.  —  Polygauiic, 
409.  —  Travaux  des  femmes,  411.  — 
Tribut,  413.  —  Manière  redoutable  de 
combattre  des  Dergon»,  414.— Circoii- 
citiou.  Excision  ,  414.  —  Kuuucpies  , 
415.  Voyez  Cobbé,  capitale. 

Dahiis  Lieu  de  ton  meurtre, 
t.  XXXV,  p.  127. 

Varling  (rivière  salée  de  la 
velle-lloli.iude).  Kxplorée  en  ■ 
noinuiée  par  Sturt ,  t.  \  '  '' 
255.  —  Superstitious  d( 
214,  259.  —  Goftt  do  SOI. 
217,271.  —Villages,  2^5 
drupèdes  de  ses  bords  ,  2.. 
.seaux,  2.52.  —  Sources  saléi 
Sou  étrange,  254.^  Figure,  cou- 
tumes, véteineus,  etc.,  des  naturels, 
257.  —  Conjectures  sur  ses  sources  et 
sou  cours,  259,  275.  279.  —  Affluens  : 
le  Castlereagh,  2(57  a  271  ,  3t)4  — 
Embouchure  présumée  daus  la  Mur- 
ray.  Preuves  ,  321  ,  322,  324,  563 
et  suiv. 

Darling  (|)>  it  de  la  Nouvelle-Galles 
du  sud),  t.  XLlII,p.  25,  170. 

JJassen-Eyland  (île ,  colonie  du  ciip 
de   Bonne'- Espérance).  Uiseaiix  in- 
nombrables,   t.  XXIV,  p.  20  et  suiv. 
Dahmont.  .Son  voyage  en  Suède, 
t.  XLVI,  p.  288. 

Davi.s.  Découvre  les  Malouiues  , 
t.  II,  p.  420.  — A  exploré  le  détroit 
de  son  uom,XXXVIlI,  33.  —  Re- 
cherche le  passage  au  nord  de  l'Amé- 
rique, Se»  découvertes,  XL,  p,  xv 
et  suiv, 

Davis,  détroit  de  (entre  le  Groen- 
land et  i^umberland  ).  Découvert  et 
exploré  par  Davis  ,  t.  XXXVIII,  33; 
XL,  XV. 

Deehistan  (côtes  du  Farsistan, 
Perse),  pays  plat,  t.  XXXV,  p.  16, — 
Choléra ,  superstition  au  sujet  de 
cette  maladie ,  6,  18,  24. — Bouschire  , 
16.  -  Campagne,  21 ,  22.  •—  Kaz- 
roun ,  23. 

Découverte  (  port  de  la  Nouvelle- 
Alhiiin  ,  Amérique  septentrionale  ). 
Dcscrintiou  de  l'île  de  la  Prutectiou  , 
nommée  par  Vancouver,  tom.  XIV, 
p.  186,  190. —  Description  du  havre, 

23 


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WEBSTER,  N.Y.  14580 

(716)872-4503 


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354 


TABLE  GÉNÉRALE 


nommé  par  Vancouver,  188,  189.  — 
Arbres,  190.  —  Pays,  191.  —  Mai- 
sons, figurp,  armes,  pirogues,  etc. , 
des  naturels,  191 ,  193 ,  218  et  suiv. 

—  Autre  description  du  port  et  de  ses 
environs,  211  et  suiv. —  Sol,  212, 
216>—  Productions  minéralogiques , 
212.  —  Productions  végétales  ,  213. 

—  Quadrupèdes  ,  oiseaux,  214,  215. 

—  Poissons  ,  reptiles  ,  216  —  Ma- 
nière de  disposer  les  morts,  222  et 
suiv. 

Dterèi  (  câtes  de  la  Nonvelle-Hol- 
lande)-.  Aspect.  Nombreux  kanga- 
rous,t.  XVIir,  p.  18. 

Deegoa  (  ville  du  Bournou ,  Son- 
dan).  Murs.  Population,  t.  XXVK, 
p.  138. 

DeioUa  (ville  dn  Rajpontana ,  Hin- 
dottstan),  t.  XXXVI,  p.  331. 

Dtitay,  Voy.   Atlrolafte. 

Dekkan  (partie  de  l'Hindonstan). 
MontHgnes  des  Gattes  et  leurs  Labi- 
tans ,.  t.  XXXVI,  p.  418.  —  Habitans 
maliarattas.  Caverne  célèbre. Temple, 
421.  —  Plaine  de  Carley,  423.  —  Des- 
cription du  Ponnab ,  425  à  426.  — 
Crabes,  425.  —  Sol.  Climat,  426. 

Dtlhi  (État  de  THindousUn).  Palais 
impérial  de  Jannabad ,  tom.  XXXI , 
p.  72.  —  Voyage  dans  le  pays  , 
XXXV,  427,  429.  —  Beauté  de  la 
vallée  du  Doun,  XXXVI,  262,  456. 

—  Résidence  de  la  Begum-Sumron. 
Détails  sur  cette  princesse,  262.  — 
Costume  de  cavaliers,  264.  —  Cam- 
pagne, 265,  285.  —  Ruines.  Four- 
mis blancbes ,  284.  —  Bullumghur, 
285.  —  Sikre ,  287 ,  288.  —  Fameuse 
foire  d'Hardc  uar,  453  et  sniv.— Voyez 
Mtirut. 

Delhi  (capitale  de  l'État).  Vastes  et 
magnifiques  ruines,  t.  XXXVI,  p.  266 
•t  suiv. ,  270.  —  Beaux  monumeus , 
266.  —Maisons,  266,  447,  449.  — 
Mosquée  célèbre ,  266 ,  452.  —  Pa- 
lais du  grand  Mogol ,  266, 269,  446. 

—  Tombeau  d'Humaioun  ,  267,  272. 

—  Détails  historiques ,  270.  —  Canue 
detiroze,  271.^Mouvelle  ville,  châles. 
Bijoux ,  271,  273.  —  Présentation  à 
l'empereur.  Sa  résidence,  275.  —  Sa 
cour,  276.  —  Salles  d'audience,  280, 
282.  — Jardins.  Beau  pavillon,  281. 

—  Rues  ,  283 ,  450.  —  Remparts , 
283. — Décadence,  445.'— Poussière. 


Moucherons,  446,  450.  —  Grande 
rue,  447.  —  Mouvement  intérieur  de 
la  ville,  448,450.  —  Décorations 
des  maisons,  449.  —  Commerce  , 
451.  —  Visites  d'étiquette,  451.  — 
Tombeaux,  puits,  452. 

Délot  (Ile  de  l'Archipel  ) ,  t.  XL VI, 
p.  96. 

/^e/otf  (ville  du  Mandara  .  .ioudac). 
Population.  Sources ,  productions  des 
environs,  t.  XXVII ,  p.  142. 

Deltago  (ville  du  Bournou ,  Suu- 
dan).  Denrées.  Nourriture  des  ani- 
maux ,  t.  XXVII ,  p.  329. 

Déluge   (  tradition   du  ,  au   Kam- 
tschatcka)  ,  t.  XVII ,  p.  389.  —  Ses 
trac r s  en  Amérique,  XXXIX  ,  206. — 
Ses  traces  à  la  Nonvelle-HoUande 
XLIII,366. 

Dembea  (province  de  l'Abyssinie). 
Productions  ,  t.  XXIH  ,  p.  332. 

Demerari  (  rivière  de  la  Guiane  ) , 
t,  XLl  ,J  p.  173.  —  Poison  wourali. 

—  Voy.  ce  nom.  —  Ses  rives,  174, 
186.  —  Rocs  ,175.  —  Différens  as- 
pects journaliers  de  ses  rives  ,  bruit 
des  animaux  ,  186.  —  Demeure  d'In- 
diens, 187, 192  —  La  grande  chute 
et  ses  abords,  191. 

Dendera  (ville  de  la  Hante-Égyptc). 
Sa  situation ,  t.  XXIII ,  p.  87.  —  Cru- 
codilcs ,  88. 

Deitham.  Son  voyage  dans  le  nord 
et  le  centre  de  l'Afrique  avec  Clap- 
pertou,  t.  XXVII,  p.  1.  —  Arrivé  à 
Mourzouck,  10  — -  Visite  le  sultan 
de  Grhaat,  50.  —  Traverse  le  Sahara, 
59  «t  suiv.  —  Arrive  au  grand  Ihc 
Tchad  ,  99.  —  Visite  à  des  cheiks  , 
117,121,  131,252.— Au  sultan  de 
Bournou ,  124.  —  Est  un  objet  de 
curiosité,  129,  133,  154.  —  Fait 
partie  d'une  expédition  contre  les 
Felatahs,  141.  —  Kntrevues  avec  le 
sultan  de  Mandara,  142,  144.  — 
Assiste  à  un  combat ,  159  et  suiv.  — 
Est  fait  prisonnier.  Dépouillé,  166. 

—  S'échappe.  Rejoint  les  siens  ,  166- 

—  Fait  partie  d'une  expédition  contre 
Ip  Muuga,195. — Séjourne  à  Kouka , 
209.  —  Son  entrée  et  sa  réception  à 
Loggun ,  252.  —  Fait  partie  d'une 
expédition  contre  Mendoo,  mais  n'ar- 
rive pas  jusqu'à  l'ennemi,  276,  288 , 
296. 

Dentilla   (  royanme   de    la    Sépé- 


DES  MATIERES. 


355 


V     ' 


gambie  ).  Voyage  dans  l'inténear. 
Banaserile ,  t.  XXV,  p.  342. 

Déota  (ville  du  Radjpoutana).  Belles 
reines.  Fête  et  foire  du  Pfutun>i , 
t.  XXXVI ,  p.  308. 

D^regi  (Ile ,  mer  Ronge  ,  est  ) , 
t.  XXIII,  p.  141 

Den-oud  (ville  du  Khorassan,  Perse\ 
Jardins ,  t.  XXXV,  p.  203.  —  Passe 
dangereuse ,  204. 

Désappointement  (Iles  de,  Pulynésie). 
Découvertes  et  décrites  par  Byron , 

t.  in,  p.  g  à  15. 

Disiri  (port  de  la  Terre  de  Feu). 
Sa  description  et  celle  des  environ*  , 
t.  II ,  p.  371  et  suiv. 

DeuxSaurs  (Ile  des ,  groupe  CLii* 
tam).  Découverte  par  Broughton , 
t.  XIV,  p.  71. 

Dei/a  (ville  de  la  Transylvanie,  em- 
pire d'Autriche) ,  t.  XLIV,  p  112. 

Dtarbekr  {yille  d'Arménie  ,  Turquie 
d'Asie).  Kues.  Bazars.  Fortificationfi. 
Aspect.  Population ,  t.  XXXII ,  p.  475 
et  suiv. 

Dibla  (ville  du  pays  des  Tibbous  du 
Bilma-Saliara) ,  t.  XXVII,  p.  82. 

Diego ,  Alvaret  ou  Gough  (Ile  de 
l'océan  Atlantique  méridional).  Dé- 
couverte par  les  Portugais.  Sol.  Ro- 
cher remarquable ,  t.  XX ,  p.  153  . 
154. 

DiLLOiT.Son  voyage.  Renseignemens 
qu'il  obtient  sur  le  naufrage  de  La 
Pérouse ,  t.  XVIII ,  p.  369  et  suiv. 

Dimanche  (Ile  du ,  Australie).  Dé- 
couverte par  Bligh,  t.  XIII ,  p.  330. 

Dina  (ville  du  Lndamar,  Sénégam- 
bie),t.  XXV,  p.  135. 

À<nayK>iir(villediiBéhar,Hindoust.). 
Poste  angbis.  Casernes,  t.  XXXVI 
p.  124. 

DinJing  (lie,  détroit  de  Malaca). 
Bois.  SoL  Productions,  t.  XXXIV, 
p.  35 ,  36.  —  Plante  magnifique ,  36. 

—  Structure,  37. 

Diomide  (Iles,  mer  de  Behring), 
t. XIX,  p. 271. 

Direction  (Ile  delà  ,  Australie).  Dé- 
couverte par  Bligh,  t.  XIII,  p.  329. 

Direction  (  Iles  de,  côte  de  In  Nou- 
velle-Galles du  sud).  Découvertes  par 
Cook.t.  VI,p.350. 

Dirkee  [yiÛe  des  Tibbous  du  Btlma- 
Sahara).  Danses,  t.  XXVII,  p.   72. 

—  Situation ^  73.  —  Maison»,  74, 


Dieo  (Ile  ,  mer  de  Baffin).  Aspect , 
t.  XL,  p.  39. 

DifkuUa  (ville  des  Felatahs,  Haoui- 
sa ,  Soudan).  Brûlée  par  l'armée  man- 
darienne.  Combat,  t.  XXVII,  p.  160. 

Diu  (ville  du  Gucerate  de  1  ancien 
royaume  de  Cambaye ,  Hindoustan). 
Prise  par  les  Portugais  ,  t.  1 ,  p.  109. 
•—  Assiégée  par  les  Turcs  et  le  roi  de 
Cambaye ,  1 11 .  —  Le  fort  est  glorieu- 
sement défendu  par  les  Portugais, 
112. 

Dixan  (ville  d'Abyssinie).  Situation. 
Deux  sortes  d'habitans,  t.  XXI  (I  , 
p.  211,212. 

DiXON.  Voy.  PORTLOCK. 

DJ.  Chercher  kj  les  noms  que  l'on 
ne  trouvera  pas  à  Dj. 

Djallaeoiia  (ville  du  Tenda ,  Séné- 
gambie) ,  t.  XXV,  p.  326 ,  335. 

Djebliel-AttaU,  Montagne  de  Syrie, 
où  les  Arabes  croient  que  se  trouve 
le  tombeau  de  Josué ,  t.  XXXII  « 
p.  398,400. 

Djédideh  (ville  du  Hedjaz ,  Arabie), 
t  XXXII ,  p.  258. 

Djelalabad  ou  Julalabad  (  ville  du 
Caboul ,  Asie).  Environs.  Le  Simoun  « 
t.  XXXVII,  p.  78.  —  Bazar.  Popula- 
tion. Montagnes  de  neige,  79. 

Djemma  on  Jumnt  (rivière  ,  affinent 
du  Gange).  Aspect  de  l'Himalaya  à  sa 
source,  t.  XXXV,  p.  482.  —  De- 
meure des  esprits.  Sources  d'eau 
chaude ,  483 ,  488.  —  Bain  des  divi- 
nités ,  484 ,  486.  —  Respect  supersti« 
tieux  pour  sa  source,  485. —  Temple, 
ataut  -  coureur  de  la  rivière ,  487.  — 
Lieu  des  ablutions ,  488.  —  Source 
chaude,  XXXVI,  461. 

£>/«Me  (  ville  du  Bambarra ,  Sou- 
dan). Situation,  tom.  XXV,  p.  243. 
—  Étendue.  Maisons,  XXIX,  391.— 
Rues.  Environs.  Mosquée.  Popula- 
tion. Résidence  du  chef  f  892.  —  In» 
dustrie.  Religion.  Polygamie.  Nour- 
riture. Mobilier.  Costume ,  394. 

Djtzan  {port  del'Yémen,  Arabie). 
Antfefois  commerçant.  Caractère  des 
babitans,  t.  XXIII,  p.  145. 

Djexireh  (  ville  d^Arménie ,  Tur- 
quie d'Asie) ,  t.  XXXII,  p.  479. 

Djidda  ou  Jidda  (ville  de  l'Hedjaz , 
Arabie).  Sa  rade ,  t.  XXIII ,  p.  137  ; 
XXXII,  .5,9.  —Situation.  Fortifica' 
iionsj  ll.~--Quais.  Ports.  Fanxbonrgf». 


35G 


TABLE  GËNÉRALK 


Maisons,  12,  14. —  Intérieur  desinni- 
suDs  ,14.  —  Rlians.  Citernes,  Envi- 
rons arides,  16.  —  Commerce,  17, 
21.  —  Marché.  Cimetières  ,  tombeau 
d'Eve.  Population.  Buces  diverses , 
18.  —  État  des  chrétiens  ,  20 ,  161. 

—  Marine ,  20.  •—  Caravanes.  Bouti- 
ques et  notice  sur  tous  les  États ,  22  à 
41  et  sniv.  —  Cafés ,  leur  consom- 
mation, etc.  ,22,  24  et  suiv.  — Pipes. 
Tabacs ,  24,  34.  •—  Café  au  beurre, 
27.  —  Fruits ,  légumes ,  28.  —  Dro- 

fuistes .  35.  —  Ventes  de  vétemens  , 
7.  — Barbiers,  38. —  Portefaix, 
41.  —  Mendians.  Gouvernement.  Mé- 
pris des  Turcs,  42.  —  Aemurquc  sur 
les  habitans,  141  à  168.  —  Teint. 
Tatouage.  Vêtement.  Modes,  142  à 
147.  — •  Habillement  des  femmes,  147. 

—  Éducation,  148. —  Caractère,  158. 

—  Climat.  Maladies ,  183.  —  Cou- 
cours  de  pèlerins,  200.  —  Bavages 
de  la  peste,  356- 

Djilli/ri  (ville  du  royaume  de  Barra , 
Sénégamï  '  \  Son  commerce,  t.  XXV, 
p.  23. 

Djinbala  (  royaume  de  la  Séné-* 
gambie).  Sol  fertile.  Habitaus,  t.  XXV, 
p.  246.      ^ 

Djoubtl  (Ëtat  de  l'Hindoustan).  Sa 
capitale ,  f.  XXXV,  p.  447.  —  Tribu 
sauvage  ,  447,  448.  —  Dieux  domes- 
tiques ,  449.  —  Soin  des  fontaines  , 
450.  —  Costume ,  figure  du  rana,  451 . 

—  Temples  remarquables  de  Baïn- 
gurh,452. 

Djoun,  Voy.  Oxui. 

Djulifunia  (  ville  du  Tenda ,  Séné- 
gambie),t.XXV,p.  342. 

Dnieper  (fleuve  de  la  Bussie  d'Eu- 
rope), t.  XLIV,  p.  374  ;  XL VI,  142. 

DecHAKD.  Son  voyage  dans  l'A- 
frique occidentale ,  t.  XXVIII ,  p.  285. 

IfomiHiea  ou  Oh'va-Hou  (  tie  de  l'ar- 
chipel des  Marquises) ,  t.  VIII,  p.  189, 
199. —  Sa  description  d'après  les  An- 
glais et  les  Espagnols,  XV,  3^6. 

Dominique  (la ,  tle  des  Petites-Antil- 
les). Bel  aspect  Belles  plantation*.  La 
capitale ,  t.  XLI ,  p.  276. 

Don  (Cosaques  du).  Voy.  Cotaquet. 

DorH  (  havre  ,    Nouvelle-Guinée  ). 
Situation,  t.  XVIII,  p.  311.  —  Katu 
tels ,  312.  —  Dépend  de  Tidore.  Vil  - 
lages,  313. 

Douglas.  A  découvcrtles  ilcs  John- 


ston  et  de  Bonne-Observation ,  Good-' 
Look-Ont,  t.  XUI ,  p.  376,  377. 

DouUt-Abad  (ville  du  Khorassan  , 
Perse  ).  Caravenserai  ,  t.  XXXV  , 
p.  139.  —  Défense  contre  les  Tur- 
comans.  Fontaine  merveilleuse  ,  141. 

Dounqaa  (ville  de  l'Achanti,  Gui- 
née). Maisons.  Nourriture.  Occupa- 
tions, jeux  ,  t.  XXVIII,  p.  388. 

Douteuse  (lie ,  archipel  Dangereux). 
Découverte  par  Bongaiuville ,  nom- 
mée par  Cook ,  t.  VII ,  p.  550. 

Douteuse  (Ile ,  Polynésie).  Nommée 
par  Kotzehue ,  et  peut-être  découverte 
par  Schouten,  t.  XVII,  p.  44. 

Dovrtfrieli  (  chaîne  de  la  Nor- 
wége).  Ses  approches ,  t.  XLV,  p.  72. 

—  Olstad-Dovre-Tolfle,  73.  —  Les 
quatre  auberges,  73,  74-  —  Aspect 
du  pays  ,  74-  —  Le  gigantesque 
Sneehat'3n,  75,  80.  —  Merles  noirs , 
abondance  depluviers.[Ëlans.  Bennes, 
76.  —  Fogstuen ,  77.  —  Jerkin.  Dan- 
ses, 78.  —  FielJ-Faret,  82.  —  Dif- 
férence  d'aspect  des  deux  chaînes, 
83,  84.  — Comparé  au  Sepi-Sauh , 
130. 

Draxk.  Son  voyage  autour  da 
monde  ,  t.  I ,  p.  171.  — Découvre  les 
Elisabéthides,  179.  —  Son  caractère 
haineux  et  rodomont,  171  et  180. — 
Découvre  la  Nouvelle-Albion,    181. 

—  Bésumé  de  ses  voyages ,  XVIII , 
192. 

Droniheim  ou  Trontheim  (chef-lien 
du  Drontheim  ,  dans  le  Nordenfields; 
nouvelle  ou  seconde  capitale  de  la 
Norwége),  t.  XLV,  p.  83.  —  Aspect 
et  description ,  86,  88.  —  Environs  , 

89,  97.  — ^  Bétes  sairvages  des  forêts, 

90.  — Magnifiqu-  >édrale  ,  96.— 
Population ,  97.  -  urs  des  habi- 
tans. Ils  parler,  i.  ^..oup  l'anglais, 
peu  le  françai.'t,  98.  —  Fréquence  des 
inceuiiies.  Gardes  de  nuit,  99.  — He 
de  Trtveroen.  Édredon,  102.  —  Le 
fiord,  106.  —  Population.  Situatioa. 
Enviions,  t  XLVI,  p.  297.  —  Beau 
palais  en  bois  du  gouverneur.  Sai- 
■ions ,  298. 

Ducie  (  Ile  -  lagune ,  Polynésie  ) . 
Découverte  par  Edwards.  Ce  que 
c'e.st  qu'une  tle  -  lagune  ,  t.  XIII , 
p.  419.  —  Sol.  Lac  bordé  d'arbres  , 
XIX,  18. 

Duclot  (baie  dn  détroit  deMiigeilan). 


i    ■ 


DES  MATIERES. 


357 


Nommée  par  DongainTÎHe.  Sa  des- 
cription, t.  IV,  p.  151. 

Duero  y  Minho  (Entre ,  province  de 
Portugal),  t.  XLVI,p.  186. 

D»fo  (ville  de  l'Yarriba ,  Guinée). 
Animaux  domestiques  ,  tom.  XXX, 
p.  74 

Dunâat  (tie,  Nouveau-Cornouaillc, 
Amérique  septentrionale).  Nommée 
par  Vancouver,  t.  XIV,  p.  434. 

DuPERRET.  Sou  voyage  autour  du 
monde,  t.  XVIII,  p.  109.  —  Dé- 
couvre  l'tle  Clermont-Tonnerre ,  138. 
—  L'île  Lostange,  140.  —  Découvre 
les  Iles  qui  portent  son  nom,  178.  — 
Découvre  l'île  d'UrviUe,  179. 

Duptrrey  (îles  de  la  Polynésie).  Dé- 
couvertes par  Duperrey,  t,  XVIII, 
p.  178.  —  Habitans,  vétemens,  ta- 
touages, lèpre,  197. 


DuperMf  (Iles  de  la  Malaiaie).  Nom- 
mées par  Laplacc,  t.  XVIII,  p.  451. 

Durion.  Description  do  ce  fruit  de 
l'îlede  Java,  t.  VU,  p. 71. 

Durour  (ile  de ,  Australie).  Décou- 
verte par  Carteret,t.  III,  p.  |63. 

Duskx  (baie  de  la  Nouvelle-Zé- 
lande). Décrite  par  Cook  :  environs 
sauvages,  forêts  impénétrables,  ar- 
bres, arbustes  ,  sol,  cinq  espèces  de 
canards  et  autres  oiseaux,  insectes 
malfaisans,  habitans,  t.  VII,  p.  276 
et  suiv,  —  Incontinence  des  femmes, 
321.  —  Est  probablement  la  baie  des 
Assassins,  découverte  par  Tasman , 
IX,  35  —  Pays  voisin.  Plantes , 
XIV,  52,55. 

Dxroë  (île  de  la  Norwége).  Ses 
montagnes  remarquables,  t.  XLV, 
p.  171, 172. 


% 


Ebo*  (ville  et  pays  de  la  Guinée 
supérieure).  Environs.  Jolies  maisons, 
t.  XXX,  p.  433.  —  Palais  du  roi. 
Statues,  434,  441.  —  Costume  de 
rois,  436 ,  444.  —  Habitans ,  439.  — 
Importance  commerciale,  440,  452. 
— Le  roi  rançonne  les  frères  Lander, 
444 ,  447,  45|.  —  Les  certificats  euro- 
péens ,  445.  —  Inhospitalité.  Vin  de 
palmier.  Réunions  des  habitans ,  450. 

—  Figure.  Espèce  de  tatouage,  452. 

—  Soins  des  femmes  pour  leurs  dents, 
459.  —  Exorcisme  du  roi ,  466. 

Eaarowa.  Voy.  Middelbourg. 
Echiquitr  (archipel  de  l'Australie). 
Nommé  par  Bougain ville,  t.  IV,  p.  320. 

—  Kst  le  même  que  celui  des  Mille- 
Iles,  XIII,  214,  note. 

Eeottais,  Leur  caractère  comparé  à 
celui  des  Anglais  et  des  Irlandais, 
t.  XLVI ,  p.  273  et  suivantes.  Écossais 
des  plaines  et  des  montagnes,  276.  — 
Sont  d'opiniâtres  argumentateurs , 
287. 

Edgcomb  (ile  du  Lord- ,  groupe  de 
la  Reine-Charlotte).  Découverte  par 
Carleret,  t.  III,  p.  134.  —  Est  la 
même  que  l'île  Ourry,  et  doit  être  ap- 
pelée Touboua  ,  XVIII ,  385. 

Edimbourg  (capitale  de  l'Ecosse). 
Le  tràne  d'Arthur,  t.  XLVI,  p.  283. 


— •  Environs.  Aspect  du  golfe.  Ses  îles, 

284.  —  Holy-Rood ,  285, 286.  -  An- 
cienne et    nouvelle  ville.   Édifices , 

285.  —La  rue^High'Srreet. "Maisou  de 
Knox,  286.  —  Commerce.  Culture 
des  lettres.  Réunions.  Détails  sur  les 
dames  d'Edimbourg,  287. 

Edouard  (îles  du  Prince-,  au  sud  de 
l'Afrique).  Découvertes  par  Marion  , 
no  imées  par  Cook ,  t.  IX ,  p.  184. 

EoWARos.  Découvre  l'île  -  lagune 
dcLord-Ducie;  les  îles  deLord-Hood, 
Carysfort,  t.  XTII,  p.  419.  --  Arrête 
à  Taïti  une  partie  de  l'équipage  ré- 
volté de  Bligh ,  420  et  suiv.  —  Dé- 
couvre les  îles  du  Duc -d'York,  du 
Duc-de-Clarence,  Chatam ,  Otutuelah , 
425.  —  Les  îles  Howe ,  Granville , 
Mitr?,  Cherry,  Pitt  (Vanikoro) ,  427. 

—  Son  naufrage  ;  se  sauve  sur  la 
chaloupe ,  428.  —  Découvre  les  îles 
Plumb,  Laforey,  Hawkesbury,  430. 

—  Arrive  h.  Timor,  432. 

Eetcho  (ville  de  l'Yarriba ,  Guinée). 
Célèbre  marché.  Denrées.  Taxes , 
t.  XXX,  p.  96. 

Egas  (ville  du  Brésil).  Les  Brancos. 
Cannibalisme ,  t.  XLII,  p.  56.  —-Qua- 
drupèdes, serpcns  immenses,  oiseaux , 
ô8.  —  Population.  Maisons.  Indus- 
trie, 60. 


368 


TABLE  GÉNÉRALE 


Egga  fnlle  de  l'Yarriba).  Impor- 
Unt  marcué,  t.  XXX,  p.  62.  —  Ren- 
feignemens  sur  cette  ville,  366.  — 
Etendue.  Canots,  360.  —  Popula- 
tion. Sol.  Productions.  Hyènes ,  362. 
r—  Curiosité  des  Liibitans ,  364 ,  368. 
-~  Hues.  Étoffes,  368. 

^/^/^«^{«(villeduZeg-Zeg,  Soudan), 
t.XXVIII,  p.  265 

Egmont  (Ile  d',  archipel  Dange- 
reux '.  Découverte  par  Wallis ,  t.  II(, 
p.  302.  —  Productions,  XIX,  lf>2, 
t63.- Naturels,  164. 

Egypt*.  Foyagt  it  Foluty^  t.  XXII, 
p.  215.  -  Aspect  du  pays,  222,  303. 
—Sol,  225 ,  243 ,  303,  306.  —  Car- 
rières ,  226 ,  347.  —  Lacs  de  Natron , 
226-  — '  Vents  et  leurs  phénomènes , 
rosées,  230.  —  Vent  chaud  ou  kam- 
sin ,  234.  —  Climat.  Air,  239.  —  Ba- 
ces  d'habitans ,  243.  —  Etat  politique, 
259 ,  266,  304.  —  État  du  peuple , 
261.  —  État  des  arts,  des  esprits,  du 
commerce,  270.  —  Caravanes,  272, 
278.  —  Du  projet  de  couper  l'isthme 
de  Suez,  274.  —  Ville  de  Suei ,  279. 

—  Douanes,  impôts,  281. —  Com- 
merce des  Franc» ,  283.  —  Popula- 
tion ,  288.  —  Maladies  :  perte  de  la 
▼ne  extrêmement  iVéquente.  Causes , 
290.  —  Petite  vérole, et  autres  maux, 
294.  —  Bains  chauds,  297.  —  Peste, 
300.  —  Le  pays  n'est  peint  pitto- 
resque, aussi  il  manque  de  poètes  , 
306.  —  Ruines  et  pyramides  ,  309.  — 
Exp/diiionfrançaitt.  Événemens  mili- 
taires, 320.  —  Objet  schiutifique,  331. 

—  Division  des  travaux ,  333.  — 
Avantages  sur  les  voyageurs  anciens , 
340.  —  Température  dei'Égypte.  Sé- 
cheresse. Bosées,  353,  376.  —  Popu- 
lation. Races  d'habitans ,  356.  —  Es- 
claves noirs,  363.  —  Gouvernement 
despotique  des  Turcs,  366.  —'  Mab- 
dies ,  375.  —  Productions ,  402.  — 
Harems,  406.  —  Lois  sur  les  es- 
claves, l'usure,  l'adultère,  le  vol, 
413.  —  Catacombes,  430.  —  Histo- 
rique du  commerce  avec  l'Europe  «t 
l'Inde.  Canal  de  jonction,  456.  — 
Vopif^e  de  Bruce.  Animaux ,  XXIIl , 
63,  72.  ~  Sol,  64.  —  Pyramides 
d'argile  de  Metrahenny,  71.  —  Atha, 

77.  —  Productions.  Cannes  à  sucre , 

78.  —  Ruines  d'Asmounein,  82.  — 
Monfalout,  84.  —   Siout,    85.  — 


Denderah,  Diopolis-Parva ,  87.  — 
Furshour,  89.  — Buines  deLouxor, 
de  Carnac,  91 .  —  Buines  d'Esné ,  9^. 

—  Travaux  des  géomètres  grecs,  96. 

—  Birambar,  103.  —  Legeta,  104 

Marbres,  105,107,  109.  —Port  de 
Koseir,  112.  —  Bel  arbuste.  Son 
utilité  pour  les  femmes,  XXXI  ,  343. 
— ^  Exphcations  de  l'usnge  des  cham- 
bres des  pyramides ,  XXX( V ,  2Z6 , 
note.  — •  Voy.  Alesamiri*  ,  Arabes ,  le 
Caire,  capitale;  Copttt,F*UohtMaremi, 
Mamloukt,  Rosette,  SjreHn",  Tkibet, 

Egyptiens.  Leurs  premières  naviga- 
tions, 1. 1 ,  p.  2.  —  Étaient  éloignés 
des  entreprises  maritimes.  Sésostris 
triomphe  de  leurs  préjugés,  3.  —  Ac- 
croissement de  leur  marine ,  ibid.  — 
Intéressés  à  ce  que  l'établissement  des 
Portugais  dans  l'Inde  ne  réusiitt  pas , 
90 ,  99.  —  Sont  soumis  par  les  Turcs 
qui  s'opposent  aux  progrès  des  Por- 
tugais dans  l'Inde  ,110.  —  État  poli- 
tique, XXII,  259,261,266,304.— 
Maladies,  290,  294,  375.  —  ^l- 
sence  de  poésie,  306.  —  Apathie  ap- 
parente ,  365.  —  Imagination ,  367. 

—  Passe-temps,  367,  369.  —  Res- 
pect pour  les  vieillards  ,  371.  — 
Mœurs  et  usages,  371 ,  372  ,  405, 
410.  -r—  Musique ,  373.  —  Mœurs  et 
occupations  des  femmes  de  diverses 
classes,  377  et  suiv.  — .  Mariages. 
Leur  célébration,  382,  390  à  397.  — 
Occupations  de  la  mère,  384.  —  Mom 
donné  a  l'enfant.  Sa  circoncision ,  son 
éducation,  386.  —  Facilité  du  di- 
vorce ,  397.  — ■  Frugalité.  Nourriture. 
Cuisine,  400,  403.  —  Vétemens ,  or- 
nemens,  404.  —  Vie  ordinaire ,  405, 
410.  —  Harems,  406.  —  Vie  des 
Égyptiennes,  407  et  suiv.  —  Saints, 
409.  —  Jeux,  411.  —  Respect  pour 
les  morts ,  412 ,  432.  —  Les  femmes 
se  teignent  la  paume  des  mains ,  la 
plante  des  pieds  ,  etc. ,  XXXI ,  343 , 
544.  —  Pèlerinage  à  la  Mecque, 
XXXII,  1U2.  —  Deuil  des  femmes, 
329. 

Eilden  (province  du  Nordenfields  , 
Norwége) ,  t.  XLV,  p.  108. 

Eimeo  { tle  de  l'archipel  de  la  Société). 
A  deux  bons  havres,  t.  X,  p.  170. — 
Cook  décrit  la  personne  du  chef  qui 
lui  rend  visite,  175-  —  Prodnctious, 
aspect,  sol  de  l'île,  175. 


DES  MATIERES. 


359 


EiiiiMi-K*x  (  vUlage  de  Perw). 
Eninet  antiques,  t.  XXXV,  p.  125. 

El-Araoua*  (ville  des  Tuariks ,  Sa- 
liara  ).  Commerce.  Rues.  Maisons. 
Puits  des  environs ,  t.  XXIX  ^  p.  414, 
416. 

El'iourt  (mont  de  la  chaîne  du  Cau- 
case). Origine  volcanique,  t.  XXXV, 
p.  SI.  —  Ses  hrancheit ,  93.  —  Lieu 
du  meurtre  de  Darius,  127.  — 
Ruines  antiques,  127,  130.  —  As- 
pect de  montagnes,  131.  —  Mines  de 
turquoises,  193.  —  Montons  sau- 
vages, 196'  —  Passe  dangereuse, 
204  —  Belle  vallée  de  Tilar,  324.  — 
Détroit  par  lequel  Alexandre  pour- 
suivit Darius ,  325.  —  Aspect ,  XLIV, 
448. 

El'Drah  (contrée  du  Maroc).  Pro- 
ductions. Charrue,  t.  XXIX ,  p.  423. 

f/^AiA(a(ile,  cAtedeConcan)  Sol. 
Buis.  Énorme  éléphant  de  pierre, 
t.  XXXYI,  p.  407.  —  Célèbre  caverne 
cruciforme.  Sculptures  de  la  mytho- 
logie hindoue.  Représentation  de  la 
Triuité,  408.  410 

Eltpluun.  Leur  chasse  en  Afrique , 
t.  XXV,  p.  307;  XXIX,  314  et  suiv.; 
XXX  ,  273.  —  Kléphants  blancs  , 
XXXIV,  160  à  281. 

Eléphant  marin.  Est  le  même  que 
le  lion  marin ,  t.  XXI ,  p.  216.  —> 
Description  de  son  corps ,  de  ses 
moeurs,  XX ,  49  et  suiv.  ;  XXI,  262 
et  suiv. 

Eléphant  (  pointe  du  détroit  de  Kot- 
zebue).  Nommée  par  Beechey .  Couches 
de  glace  sur  les  montagnes  ,  t.  XIX, 
p.  249   —Habitations,  251. 

EUpkantine  {\\e  da  Mil).  Sa  beauté, 
t.  XXII, p.  450. 

Elf-Kartebx  (port  de  la  Suède), 
t.  XLV,  p.  334. 

ff-fî/ime/i  (ville  de  Syrie),t.  XXXII, 
p.  428. 

El-Farib  (ville  du  Maroc).  Com- 
merce. Costume.  Religion.  Travaux 
des  femmes,  t.  XXIX,  p  422. 

Elitabeih  (  Ile , Polynésie).  Etendue. 
Aspect.  Rochers.  Sol.  Productions  , 
t. XIX,  p.  20,21. 

EUsahéthides  (Iles,  Polynésie ,  côtes 
d'Amer,  septentrionale).  Découverte» 
par  Drake,  1. 1,  p.  179. 

Elseneur  (  ville  du  Daoemarck  )  , 
t  XLVI ,  p.  288. 


i 


El  ton  (  bat*  ,    Amérique    russe 
Nommée  par  Beechey ,  t.  XIX ,  p.  271 

Et<;n  (Ue  de  la  Nor/vége),  t.  XLV, 
p.  114. 

£'/H<a<0' (ville  du  liedjaz,  Arabie)., 
EiLux,  thermales.  Forêts  de  dattiers. 
Ermite  grec,  t.  XXXII,  p   374. 

El-ffata  (ville  du  Niffé,  Guinée). 
Hautes  fourmilières  ,  t.  XXVI II  , 
p.    189. 

Emadou  (ville  de  ITarriba,  Guinée), 


t.  XXVIIL 


126. 


Emfrai  (ville  du  Gondar,  Abyssinie). 
Aspect.  Maisons,  t.  XXIII,  p.  388. 

Endtavour  (rivière ,.  Nouvelle-Gallea 
méridionale ,  Nouvelle  •  Hollande  ). 
Cook  y  fait  radouber  son  vaisseau 
(^l' Endtavour)  et  lui  donne  son  nom , 
t.  VI,  p.  286,  332.  —  Ses  habiuns, 
310.  —  Leurs  pirogues  et  leurs  armes, 
315.  •>-  Description  de  la  rivière  on 
baie  :  animaux,  arbres,  332. 

Endtavour  (détroit  del',  nord  de  la 
Nouvelle  -  Hollande  ).  Nommé  par 
Cook,  t.  VI,  p.  371. 

Enfant-Ptrdu  (Ile  de  F,  Polynésie). 
Découverte  par  Bongainville ,  t.  IX , 
p.  265. 

Enganki  (province  de  la  Gninée. 
supérieure) ,  t.  XXX ,  p.  224,  et  suiv. 
— '  Garnacisa.  Cours  souterrain  dn 
Niger,  225. 

Enikalt.  Voy.  Yt-nikatt. 

EifTRECASTBAUx  (d').  Préliminaire» 
et  résumé  de  soc  voyage  à  la  recher- 
che de  La  Pérouse,  t.  XV,  p.  1.  — 
Nomme  le  port  dn  Nord  à  la  terre  de 
Yan-Diémen,  18,  —  Découvre  le  ca- 
nal qui  porte  son  nom,  25  et  suiv.  — 
Reconnaît  la  côte  occidentale  de  la 
Nouvelle-Calédonie  et  ses  i-écifs ,  35 
et  suiv.  —  Les  Iles  de  la  Trésorerie , 
Choiseul ,  Rougainville,  Bouka,  42  et 
suiv.  —  Les  iles  de  l'Amirauté,  52 
et  suiv.  —  Nomme  l'Ile  Saint-Alouarn, 
89.  —  Séjourne  à  la  terre  de  Nuyts ,  -« 
y  nomme  la  baie  de  l'Espérance ,  92. 
—Nomme  l'archipel  de  la  Recherche, 
le  groupe  de  l'Est,  101.  —  A  une  en- 
trevue avec  les  naturels  de  la  terre  de 
Van-Diémen ,  et  décrit  leurs  mœurs , 
110.  —  Découvre  l'ile  Raoul,  144. 
Séjourne  à  Tonga-Tabou,  145  à  170. 
—  Cherche  les  traces  de  La  Pérouse, 
170 ,  229,  233.  —  Découvre  les  Iles 
Beaupré ,  190.  —  Ses  gens  sont  att%- 


m) 


TAHLE  GÉNI^:RaLE 


qiiés  à  la  NonveUe-CHlédonie ,   196. 

—  Découvre  l'Ile  de  la  Recherche, 
224.  —  Recoiinait  l'urrhipel  Snlo- 
iiion,  257.  —  Partie  «le  la  Lousiade, 
2.51.  —  Y  découvre  les  Iles  Jiiricn  ot 
Trobriand ,  266.  —  Reconnaît  en 
partie  la  Nouvelle-BretiiRne,  272.— 
DécouTre  l'Ile  Mérite,  273.  —  Le»  Iles 
Française,  Villauraez  ,  Raoul ,  Gric- 
quel,'  274.  —  l'Ile  du  Portail.  276.— 
Est  attaqué  du  scorbut,  279.  — 
Meurt,  283.  —  Son  éloge.  Ses  ser- 
vices, 284.  Voy.  d'Auiibeau. 

Entrteat'.taus  (canal  de  d',  terre 
dnVan-Diémen).  Découvert  par  d'En- 
trrcasteaux,  t.  XV,  p.  25  et  suiv. 

Eooa.  Voy.  Middelbourg. 

Epreuret.  En  usage  cliez  lesjalofs, 
l.  XXII,  p.  46.  — Épreuves  des  dispo- 
kitinns  d'une  personne,  XXV 111,  282. 
.—  De  l'accusé  de  vol  à  Achanti,  426' 

—  Épreuves  par  l'eau  et  par  les  cier- 
f;ps  dans  l'empire  birnian  ,  XXXIV, 
468.  —  I^j>reuve  du  feu  on  Perse, 
XXXV,  124. — Décision  d'un  cas  dou- 
teux par  l'ouverture  du  Knran,  158. 

Epltite  (ville  de  l'Anatolie,  Turquie 
d'Asie),  t.XLVI,p.99. 

Epidauri  (ville  de  la  Gpèce).  Ses 
mines,  XLIV,  304,  312. 

Ertgup  (groupe,  Iles  Radack).  Dé- 
rouvert par  Kotzebue.  Entrevues  in- 
téressantes avec  les  naturels,  t.  XVII, 
p.  166  à  178.  —  Son  étendue,  181. 

Erekli  (ville  de  la  Turquie  d'Eu- 
rope). Maisons,  port,  environs,  tom. 
XLIV,  p.  29. 

friV (canal  des  Etats-Unis).  Paque- 
bots, t.  XXXIX,  p.  40.  —  Activité  de» 
communications,  p.  46.  —  Chutes  de 
Trenton.  51.—  Villages,  52,  64.  — 
]''.xtrnordinaire  accrois<iement  du  vil- 
lage de  Rochcster ,  61  et  suiv,  — 
Écluses  remarquables,  64  —  Lon- 
gueur, écluses,  coût  du  canal,  65.  — 
.Ses  communications,  78;  XLI,  267. 

Erié  (lac  du  Cauada).  .Sa  glace, 
XXXIX,  77.  —Rivière  Grand.  —  Es- 
siis  de  défricbemens,  80.  —  Aspect 
du  lac,  81.  — Traces  du  déluge,  206. 

Etivan  (  ville  et  province  d'Armé- 
nie, Turquie  d'Asie;.  Situation.  For- 
tprcsse,  t  XXXI,  p.  202.  —  Églises. 
Climat.  Lac.  rélcfirc  monastère.  — 
Mont  Ararat,   204.. 

Ermites  (île  des,  Australie),  Pioui- 


mée  par  Maurelle,  t.  XIII,  p.  216. 
—  Ont  été  découvertes  par  Bougiiin- 
ville,  t.  XV,  63.  —  Bel  aspect ,  03  — 
Naturels,  64. 

Erromango  (  Ile  des  Nouvelles-Hé- 
brides). Decouyerte  parCouk,  t.  VIII, 
p.  377.—  Son  gisement,  sa  circon- 
férence ,  425. 

Erronam   (Nouvelles  -  Hébrides] 
f.  VIII,  p.  377,379. 

Eiolavei  (c6te  des,  Guinée  supé- 
rieure), Dadagry,  t.  XXVIII,  p.  281  ; 
XXX,  6  et  suiv.  —  Animaux,  7.  — 
Wow.  Crânes  humains  servant  d'or- 
nrnicns,  35.  —  Denrées.  Sagbu,  ca- 
ractères magiques,  36. —  Ville  de 
Bidjie,  37,  39, 40. 

Eshilsluna  (ville  de  la  Sudermanic, 
Suède),  t.  XLV,p.25. 

Etné  (  ville  de  la  Hautc-Égypte  ). 
Ruines,t.  XXIII,  p.  92. 

Espagne  (voyage  dans  l'intérieur), 
t.  XLVI,  p.  162  et  suiv.  —  La  Ca- 
talogne ,  162  et  suiv.  —  Province  de 
Grenade,  166  et  suiv.  —  De  Mur- 
cie ,  1 70  et  suiv.  —  Castille-Nouvellç, 
171, 174etsuiv.—  Biscaye.  La  Vieille- 
Castille,  172.  —  Province  de  Léon  , 
173.  —  L'Aragon,  174.  —  Province 
de  Valence,  176,  184.  —  Manrl.e, 
Andalousie ,  177.  •—  Malpropreté  des 
£!ï|)agnoh.  Abondance  de  vermine, 
179,  180.  —  Ignorance  des  arts  mé- 
caniques, de  l'industrie,  etc,  180. — 
Leurs  Mœurs ,  leur  caractère  ,  leur 
teint.  Détails  sur  les  Espagnoles,  182. 

—  Les  amans  en  titre.  Éducation. 
Danses,  183. 

Espérance  (Ile  de  1' ,  PolynésieVDé- 
couverte  par  Le  Maire,  t.  I,  p.  oOO. 

Espérance  (baie  de  l',  terre  de 
Nnyts).  Nommée  par  d'Entreeas- 
teaux.  Sa  description,  t.  XV,  p.  92. 

—  Productions,  animaux,  100. 
Esquimaux  de  l'ouest  (tribus  de  l'A- 

niérique  russe).  Entrevues  avec  eux, 
leur  figure,  ornemeus  de  leurs  lèvres, 
Uiiage  dn  tabac ,  nourriture ,  etc. , 
t.  XVIT,  p.  81  à  104.  —  Ornement 
labial,  XIX,  241.  —  Pelleteries.  Us- 
tcnsiles.  Sculptures.  Armes ,  242  — 
Figure.  Canots  recouverts.  Habita- 
tions, 251.  —  Figure,  vétcmcns,  etc., 
255  —  Ornemcns.  Huttes,  2ii4,  265. 

—  Vie  errante.  Fiicilité  d'établir  une 
nouvelle  demeure,  272-  > —  Clochettes 


DES  MATiÈRËS. 


901 


Miiis  lei  vétcmen*,  274.  —  l'ipe  ccim- 
mune  à  toute  la  famille,  275.  >—  Ar- 
mes. Ornemens,  Huttes.  449.  — Rap- 
ports avec  d'autres  trinus.  Sont  un 
peuple  pêflicur,  462-  —  Huttes.  Vil- 
Inges  gurdés  pur  les  femmes  durant 
la  !<aisovde  la  péclie,  464.  —  Occu- 
ltations de  l'hiver.  Religion,  Figure. 
Caractère,  464.  —  Hoipilalité.  IJsage 
dn  tubac.  Urnemens  ,  468.  —  Amu- 
semens.  Industrie.  Langue,  470. 

Etquimaux  de  l'egt  ou  dei  terres 
Je  Baffln,  de  Boothia,  du  Groenland, 
du  Labrador,  de  la  presqu'île  Melville. 
Des  terres  de  Baffîn  et  de  Bootbia  : 
villages.  Huttes  de  glace.  Tentes.  Tn- 
térieur,  t.  XL,  p.  iv,  v,  87,  101,  363, 
3G6,  450.  —  Entrevues  avec  eux ,  5  et 
Miiv. ,  81,  87,  93,  103  et  suiv. ,  154 
et  sniv. ,  162, 172,  196, 360.  —  Véte- 
mens,  82,  85,  365.  404.  —  Cannes, 
couteaux ,  331  ,  368  ,  404.  —  Taille , 
«giire,  85,  363,  403,  445.  —  Figure 
et  vêtement  des  femmes,  89,  97,  366. 

—  Chasse  au  renne  ,  90.  —  Fiançail- 
les ,  95.  —  Danses  ,  98.  —  Voracité, 
115,  127,  165.  —  Traîneaux  faits 
avec  des  poissons  gelés  et  autres  corps, 
105,  195,  423.  —  Opinion  sur  le  vol, 
110.  —  Superstitions,  115,  413,  417. 
460.  —  Chusse  au  bœuf  musqué,  121. 

—  Magasin  de  provisions,  124, 129. 

—  Détails  sur  l'état  civil,  126.  —  Sin- 
guliers usages  matrimoniaux ,  133. — 
Kcmédc  aux  maux  de  dents  ,  141.  — 
Kcliange  de  femmes,  158, 174.  —  Gu- 
lieux  détails  sur  le  mariage ,  173.  — 
Pèches.  178,  199,  415.  —  Réflexions 
sur  le  sort  des  Esquimaux,  195.  —  Leur 
galiinterie,  196.  -r-  Nourriture,  368, 
416,  424.  —  t:anots,  367.  —  Chiens, 
368, 423,  434,  452.  —  Disposition  au 
vol,  380, 405,  454. 

Esquimaux  du  Groenland.  Hutte  de 
glace,  t.  XL,  p.  iv,  v.  — Entrevues 
avec  eux,  5 à  16.  —  Saints,  10.  — 
Traîneaux  ,14.  —  Nourriture ,  danses, 
15.  —  Chasse  de  l'ours,  254. 

Esquimaux  du  Labrador.  Haj^aks  (ca- 
nots d'hommes ),  t.  XL,  p.  377.  — • 
Oumiakt  (bateaux  de  femmes),  378, 
381.— Dispositions  au  vol.  Voracité, 
379.— Trait  de  mœurs,  380.— Jouets, 
ornemens ,  382. 

Esquimaux  de  la  presqu'île  Melleville 
et  des  lies  adjacentes,  Êntrerues  avec 


eux,  t.  XL,  p.  402,  409,  424.  — 
Taille,  figure,  formes,  403,  445.  — 
Tentes,  M,4\{),  422,  450.  -  Dis- 
]>ositions  un  vol.  405,  4.>4. —  Chants, 
410,  411,  415,  434.  —  Sorciers, 
413,  417,  460.  —  Dépècement  de 
veaux  marins,  tombeaux,  416.  — 
Manière  de  mesurer  le  temps,  419.  — 
Chasse  au  walruB,  421.  —Manque  de 
respect  pour  les  morts,  423.  —  Chiens, 
423,  434,  452.  —  Hospitalité  singu- 
lière, 424.  —Danses,  425. —  Funé- 
railles, 430 ,  433,  460.  —  Doutes  sur 
une  barbare  coutume,  431.  —  Che- 
velure, 446.  —  Vétemcns,  ornemens, 
447,  448,  449.  -  Tatouage ,  449.  — 
Ustensiles, .irmcs,  450,  451.  — Leurs 
voyages,  451. —  Hospitalité,  état  des 
femmes ,  455.  —  RelAcliement  des 
mœurs ,  456.  —  Fréquence  de  l'adop- 
tion ,  vieillesse  peu  respectée.  —  Ab- 
sence de  chefs ,  457.  -^  Divertisse- 
mens,  458.  —  Famines,  459.  —  Et.it 
des  idées  religieuses ,  460. 

Esiequibo  (rivière  de  lu  Guiaue  an- 
glaise). Ses  bords,  leurs  animaux, 
leurs  arbres,  t.  XLl,  p.  193,  195, 
261.  -  Cataractes,  196, 260, 265.— 
Belles  montagnes,  beaux  oiseaux, 
197.—  Caïmans,  262. 

'Est  (groupe  de  1',  côte  de  la  terre 
de  Nuyts),  Nommé  par  d'Entrecas- 
tennx,  t.  XV,p.l01. 

Estaing  (  baie  d' ,  Ile  Ségalien ,  mer 
du  Japon  ).  Nommée  par  La  Pérouse, 
t.  xn ,  p.  378.  —  Naturels,  378.  — 
Cirque  ,  productions ,  380. 

Éstramadure  (  province  du  Portu- 
gal), t.  XLVI,  p.  186.  —  Lisbonne, 
188. 

Estrella  (port  du  Brésil).  Belle 
route ,  t.  XLII ,  p.  323.  —  Bel  aspect 
des  environs.  Le  Tillagc  indien ,  324. 

Etals-Unis  (rép.  de  l'Amer,  sept.). 
Gouvernement,  t.  XXXVIII,  p.  26. 

—  Constitution ,  28.  —  Progrès  de  la 
population,  386.  —  École  militaire 
de  West-Point,  XXXIX,  33.  —  Mi- 
lice nationale,  37.  —  Traits  caracté- 
ristiques des  habitans,  41.  —Leur 
présomption,  42.  —  Absence  de  pos- 
tes.   Extraordinaires  (voitures),  45. 

—  Domestiques,  50,  403.—  Général 
usage  de  la  glace,  51.  —  Indiens, 53, 
347  et  suiv. — Réprobation  des-nègros, 
57.^Baretédes  sonnettes ,  58. — Cler- 


3B2 


TABLE  GÉNÉRALE 


gé,  60)  410.— Extraordinaire  accroin* 
nemeot  de  villet ,  61  et  «iiiv. ,  881 , 
399.  —  Toilette,  66.  —  D^boucliés 
de»  marchandises  jusqu'ii  l'Océan  ,77 
et  »niv.  —  Lac»  divers  ,114.  —  Sour- 
ce* de  Saratoga ,  1 15.  —  GouTerne* 
ment,  119.  —  Hage  électorale,  128 
et  «uiT.  —  Ravage»  de  l'excès  des 
linneuri  fartes,  138. — UnitairiHni»mo, 
146.  —  Commerce  de  glure,  lâO.  — 
Marin»,  160.—  E»prit  mercaatile, 
positif  et  égoiite  de»  uummes.  Délais- 
sement des  femmes,  162,  300,  400, 
406 ,  420, 425 ,  440,  449.  —  Déplo. 
rable  état  de  l'éducation  publique, 
168  il  171.  —  Esquisse  du  gouver- 
nement, 181  et  suiv.  Voy.  ffaihing- 
ton  ).  — •  Pouvoir  législatif  :  chambre» 
des  reprcsentans ,  181.  —  Sénat, 
182,  189.  —  Congre»,  181  et  »uiv., 
201,  202.  —  Pouvoir  exécutif. 
Election  du  président,  186  à  195.  — 
Ses  droits,  195.^  Ses  devoirs  ,  196. 
lies  États-Unis  sont  une  démocratie 
plus  qu'une  république,  198.  -—  Di- 
verses influences  de  1  esprit  démocra- 
tique, 204.—  Trace  du  déluge ,  206. 
—  De  la  librairie ,  219.  —  Tombe  de 
Franklin,  220.  —  Dégradation   de» 


aentimens,   221. 


Chaussure    en 


gomme  élastique,  224.  — ■  Le  Ches- 
terfield  américain ,  231 .  —  Sale»  ha- 
bitude», 231,  430.  —  Système  judi- 
ciaire ,  232.  —  Cour  suprême ,  233 , 
240.  —  FHne»tes  effets  d'un  prin- 
cipe radical  en  matière  judiciaire, 
236  et  suiv.  —  Juges,  238.  — Compo- 
sition du  tribunal,  239.  —Appels, 
240.  —  Ridicules  exigences  et  sus- 
ceptibilités républicaines ,  245 ,  403. 

—  Ventes  d'esclaves  aux  enchères, 
263  à  270,  296.  —  Canards  du  Poto- 
mac ,  270.  —  Tyrannie  contre  les 
nègres,  276.  —  La  loi  défend  l'af- 
franchissement, 289.  —  Faiblesse 
des  seatimpDs  d'amour  paternel  et 
filial ,  303  ,  304.  —  Rizières ,  310.  — 
Culture  du  riz,  316.  —  État  intellec- 
tuel des  nègres.  Commerce  intérieur 
dont  ils  sont  l'objet,  318,  320.  — 
culture  et  préparation  du  coton,  326 
et  suiv.  —  Tâche  des  esclaves  ,  329. 

—  Leur  nourriture,  330.  —  Leurs 
vétcmens ,  331.  •—  Aspect  d'une  ville 
nouvelle,  341.  —  Mieux  traités  dans 
l'intérieur,  342.  —  Loterie  de  terre», 


343.  —  Embryon  d'nne  ville  dans  les 
forêt»,  345.  —  Climat,  367.  —  Le» 
squatters ,  372.  —  Radeaux,  370,  — 

Mariage»  prématuré»  ,  404,  419 

Le  ravifmint,  411.  — •  Sort  des 
paysans  ,  418.  —  Absence  de  charité, 

420.  —  Fierté  de»  pauvres  ,    421.  

Condition  de  la  femme,  440  à  413. — 
Cuisine.  Mets,  444.  446.  — Costume, 
447.  —  Formes  physiques ,  448.  — 
Cupidité  des  habitans,  449.  —  Voi- 
tures, l'A.  — •  Littérature  sans  noblesse, 
450.  —Beaux-arts,  451.  —  Mohlente 
abolie.  Loi  sur  les  religions,  XLII, 
427.  — •  Voy,  Alabama  ,  CaroliMt , 
Colombia,  Crttkt,  Indiens  ;  f/anV/*, 
G/orgi»,  lUinoii ,  Indiaita  ,  Kentukjr , 
Louitiant^  Maryland ,  Mastackutulis , 
N*»-York  ,  Pensylvani*  f  firginii , 
R^athington,  capitale. 

£'a-Ao  (riv.  de  Chine).  Tombeaux. 
—Convoi  funèbre,  t.  XXXIII,  p  384, 
385.  —  Cadavre»  flottan»  ,  385.  — 
Ville  de  Sang-Yuen.  Café  de»  aveu' 
gle»,  388.  -Ville de  YouFang, 389. 
—  390. 

Europe,  Supériorité  de  ses  races 
sur  celle»  de  l'Asie ,  t.  XXXI ,  23. 
Historique  de  ses  relations  avec  l'Asie, 
35  et  suiv,  —  Diverses  opinions  des 
Asiatique»  sur  l'Europe,  XXXVII, 
131  et  suiv. — Différence  d'habituden 
d'avec  les  Turcs ,  XLIV,  53.  — Coofi- 

Îuration.  Caractère  particulier,  XLVI, 
et  suiv.  —  Mont.ignes ,  2.  —  Pro» 
ductions  ,  2 ,  54  ,  56.  —  Miues ,  2, 
38.  —  Quadrupède»,  2,  57.  —  Sa 
supériorité  intellectuelle  et  indus- 
trielle ,  3.  —  Bornes ,  4.  —  Poiuts 
extrêmes, 5.— -Superficie.  Etats, 6. — 
Golfes.  Mers ,  leurs  limites ,  leurs 
niveaux,  leur»  marée»,  leurs  surfaces, 
etc.,  7  à  13.  —  Lacs,  13,  14.  —  As- 
pérités du  sol  ,15.  —  Orographie,  16 
et  suiv.  —  Aspect  général ,  état  des 
monts,  16  à  21.  —  Sept  principaux 
massifs  et  leurs  groupes  :  massif  alpi- 
que,  21,  24,  27  à  36.  V.  Alpe; 
Massif  sardo-corse.  Massif  taurique, 
22.  —  Mas!>if  sarmatique.  Massif 
britannique.  Massif  scandinavique, 
Massif  hespérique,23. —  L'Hcraus,  les 
Carpathes  ,  38.  —  L'Oural,  le  Wal- 
dai ,  40.  —  Hauteurs  des  principaux 
points ,  42  à  46.  —  Système  hespé- 
rique,   42.  —  Système  gallo-franci» 


DES  MATIÈRES. 


303 


que  et  «Inique ,  43 ,  44.  — ■  Système 
tlaTO-beUénimie ,  «aqiathien  et  «can- 
diuarique,  45.  —Système  britanni- 
que ,  49.  —  Bassins ,  fleuves  ,  46  et 
suiT.  —  De  l'océan  Glanial ,  46.  — 
Ue  la  Baltique.  De  la  mer  du  Nord, 
47.  —  De  l'Atlantique ,  48.  —  De  la 
Méditerranée,  49.  —"  De  la  mer 
Noire  ;  de  la  mer  Caspienne ,  50,  — 
Climat  ,51.—  Pliénomincs  généraux, 
52. —  Mas»e  des  eaux  jtluviales  ,  53. 
—  Sol,  atmosphère,  54.  —  Végé- 
taux et  leurs  régions,  55.  —  Puys  à 
lait,  payn  à  liuile,  56.  —  Arbres 
fruitiers,  56.  —  Règne  animal ,  57. 
—I  Familles  de  peuples ,  58 ,  m.  — 
Religions,  60.61.  ^Guuvernemens, 
63,  67.  —  De  l'équilibre,  63  —  Po- 
pulation  totale  et  des  divers  Etats. 
Sou  augmentation ,  64  à  66.  —  Cbro- 
nolugie  de  l'origine  des  Etats ,  67.  — 
Voyages  dans  l'intérieur ,   xvi*  siè- 


cle. Montaigne,  60.—  Busbeck ,  71. 

—  XVII*  siècle  :  Regnard,  72.  — 
Scbeffer,  75.—  Ricaulr,  76. —  xviii* 
siècle  :  Labat,  76.  —  Andorson.  Troïl , 
77.  —  John  Moore ,  81 .  —  Mauper- 
tuis,  82.  —  Lady  Montagne,  82.  — 
Cboiseul-Goufifier,02.—  Porter,  100. 
Swinburne,  161.  —  Peyrou,  169.  — 
Bourgoing,  172.  — Fischer  ,  170.  — 
Murphy,  185.  —  Linck,  188.  — 
PiUti,  190.  —  Riedesel,  195.  — 
Si-Sauveur,  108. —  Ponqueville,  206. 

—  Lacour,  210.  —  xix«  siècle.  216. 

—  Marcel  de  Serres,  217.  —  Vialla , 
240.  —  Mimaut ,  255.  —  A.  Mun- 
témont,  260.  —  Picbot,  278.  — 
Dauroont,  288.  —  Twining,  296. 

Evang^tiitu,  Ilots  près  la  Terre 
de  Feu ,  t.  IV,  p.  194. 

Evéqu»  d'Omabruek  (Ile  de  1',  Poly- 
nésie). Découverte  par  Carteret,  t.  III, 

p.  m. 


Faeardini  (Ilots  des  quatre ,  Poly- 
nésie). Découverts  par  Bongainville , 
t.  IV,  p.  200. 

Fa'aba  (  capitale  du  Sonlimana  , 
Guinée).  Jeux  militaires,  t.  XXVIII, 
p.  8,  81  à  89.  —  Chants  de  guerre 
dialogues ,  84.  —  Serpent  apprivoisé , 
92.  —  Tributs  au  roi.  Cérémonies  de 
l'acquittement  de  l'un  deux,  93  et 
Kiiiv.  —  Latitude.  Dévotions  du  roi , 
99. 

Falklattd  •  ouest  (  Ile,  Malonïnes). 
Étendue.  Abonde  en  gibier,  t.  XYIII, 
p.  117.  —  Étendue,  n'a  plus  autant 
de  gibier,  XXI ,  242. 245. 

Falkland'est  (Ile,  Malouines).  Plus 
petite  que  Falkland- ouest,  t.  XXI, 
p.  243. 

FaUo  (baie,  colonie  du  cap  de 
Bonne-Espérance).  Étendue.  Maga- 
Mus  de  la  (Compagnie.  Poisson , 
t.  XXIV,  p.  44. 

Famini  (port  du  détroit  de  Magel- 
lan). Sa  description  et  celle  de  la 
câte  adjacente,  t.  II,  p.  404.  -~  Une 
coiouie  des  Espagnols  n'y  prospère 
pas.  Ses  productions,  III,  278. 

Fanadik  (tie,  archipel  des  Caro- 
Unes).  Productions.  Naturels ,  t.  XX, 
p.  228. 


Faniroet  (ville  du  Haoussa,  Sou« 
dan),t.  XXVII,p.  395. 

FARNiiro.  Sea  voyages  dans  le* 
mers  du  sud,  t.  XXI,  p.  449.  — 
Découvre  les  Iles  Washington ,  450. 
— -  Du  mont  Pisgah,  452.  —  De  PaU* 
mer,  des  Princes,  de  Willey,  de 
Nuèl,454ot455. 

FanniHg  (Ile»),  Nommées  par  Fan- 
ning,  sont  les  Iles  Shetland  du  sud, 
t.  XXI ,  p.  452. 

Fa  ning  (lie  ,  Polynésie),  t.  XVIII, 
p.  390. 

Fanti  (État  delà  Guinée). Etendue. 
Religion,  t.  XXVIIl ,  p.  380.  —  Ha- 
billement. Usages.  Aspect  du  pays, 
382.  —  Toilette.  Cannibalisme ,  384. 

Fartis'an  (province  de  la  Perse). 
Voyage  dans  le  pays,  t.  XXXV,  p.  16 
et  sniv,  —  Tribus  de  vagabonds , 
26  ,  Û\.  —  Ses  qualités ,  39. —  Pro- 
ductions ,  43, 45.  —  Voy.  Deehtiitan  , 
Schiraz, 

FatUcondx  (capitale  du  Bondoi^, 
Sénégambie).  Maison  du  roi ,  t.  XXV, 
p.  72,  73.  —  Son  harem,  76. 

/Vya/  (  lie  de»  Adores).  Découverte 
par  les  Flamands,  t.  IX,  p.  157.  — 
Sou  étendue,  ses  productions,  158; 
XX,  443. 


au  4 


TABLK  6li:Nf:RALR 


FuytttifiHi  (  Tille  de  la  Cernliue 
du  nnrd,  IttiitiUDit) ,  toin.  XXXrx, 
P.  288.  —  Uiglanders  de»  «nvironi , 
289. 

/>*/«•  (Ile de  l'arrliipcl  de*  Ami»), 
tton  ginement.  Ses  luliitan»  «ont  re> 
doutables  pour  leur*  Toiniui ,  t.  X  , 

St.  47.  —  II*  «ont  antliropopbage* , 
18.  —  Leur  induitrie,  40. 

Ftlataht  (habitaus  du  Ilouasa  ,  Sou- 
dan). Couleur.  Rcliginri ,  t.  XXVII , 
P'  146.  —  Combat.  Victoire  »i)r  les 
Arabes  et  les  Mandarieus ,  159  et 
suiv.  —  Musfeia ,  UiskulU  ,  160.  — 
Armes,  205.  —  Ressemblance  avec 
les  Marocains,  540.  —  Figure.  Cos- 
tume, XXX, 88.  —  Leurs  progrèsdans 
l'Yarriba,  108  et  suiv.  —Jolie»  femme» 
d'Acbu.  Caractère,  115,  118.  —  Lois 
concernant  ceux  du  Bourgou ,  145. 
—  Leur  bistoire ,  152.  —  Description 
de  leur  capitale.  Voy.  Sackatou, 

FttJrioh  {yille  du  Tyrol),  t.  XLV, 
p.  406. 

Ftilaht.  Laboureurs  égyptiens , 
maltraités  par  les  Turcs,   t.  XXII, 

C.  245,  269,  369.  —  Sont  eudurcis  à 
fatigue,  370.   —  Renlicrcbent  la 
graisse  des  animiiux,  403. 

F*l9upi  (peuple  de  la  Sénégambie). 
Leur  commerce ,  t.  XXV,  p.  24.  — 
•  Religion.  Esprit  vindicatif,  34. 

FtrhaSad  (ville  du  Mazandéran  , 
Perse).  Autrefois  résidence  royule  , 
t.  XXXV,  p.  352.  —  Ruines  du  pa- 
lais de  Scbah-Abbas ,  353. 

Fernambouc  (ville  du  Brésil).  Son 
origine,  t.  XXXVIII,  p.  341.  —  As- 

5ect.  Harre,  Population.  Climat, 
XI,  217.  •—  Tristesse  de  l'intérieur. 
Rues.  Maisons,  218.  —  Le  fort.  Le 
palais  du  gouverneur,  219.  ■—  Collège 
des  Jésuites.  Jolis  environs.  Produc- 
tions. Animaux,  220.  —  Jeu.  Envi- 
rons, 222. 

Fernando'Noronha  (  lie ,  cAte  du 
Brésil).  Découverte  par  Améric  Ves- 
puce,  t.  IX,  p.  155.  —  Son  gouver- 
neur portugais.  Ses  productions, 
XVI ,  13.  —  Était  nu  lieu  de  dé- 
portation du  Brésil ,  XX ,  67. 

Ftmando-Po  (tle ,  golfe  de  Guinée). 
Aspect,  t.  XXX,  p.  481.  —  Histo- 
rique. Etablissement  anglais  ,  482.  — 
Huttes ,  caractère ,  formes ,  ornemens , 
vétemeni  des  naturels ,  484  à  488.  — 


Nourriture,  Vin  de  palmier,  480.  — 
Kffft»  du  liarmnltani  (veut) ,  4',)0, 

F*M  (ville  du  Maroc),  Situatiou. 
Moulin»  à  eau.  Arc  de  triomitlic.  Mui- 
Hoiis,  Fabrique*,  Marché»,  Moiqiices, 
t.  XXIX,  II.  4^1.  —  Fortifii'iitiun»  . 
428. 

Ftttan  (  Étal  de  l'Afrique  «pplnp- 
trionale  ).  Voynge  dau»  rinléri<-ur. 
Zouyiab ,  t.  XXV,  p.  428.  —  Met»  le 

Iilu»  recherché.  Partie  cultivée.  Nom- 
tre  do  villes,  429.  —  Climat.  Pro- 
ductions. Commerce,  430.  —  <>ou- 
verncnient.  Population  ,  432.  —  U»- 
billemcnt.  Boissons.  Maison».  Nourri- 
ture, 434'  —  Voyage  dans  le  piiji, 
XXVII,  3  et  suiv. ,  et  44ti  nt  siiiv.  — 
Sorkna,  5.  —  Costume  de  femme» ,  ({. 

—  Noces,  15.  —  /.pglirem,  20.  —  Tcs- 
souwa ,  29.  —  Voyage  dans  la  vnllée 
deCrurby.  Productions,  30  a  37.  — 
Karnik ,  ol.  —  Germa,  ruine»  ro- 
maines, 31  ,  32.  —  Oratoires  de  carn- 
pagnc ,  34.  —  Vallée  de  Siiiati ,  59 il 
suiv.  -  Ville  neuve,  41  à  43.  — <  Ver- 
recherchés  pour  la  nourriture  ,  41. — 
Traghan.  Tapis,  55,  56.  —  Beauté 
des  nuits,  57.  —  Gatrone,  57,  110. 

—  Kasrowa ,  59.  Voy.  Mowzouk ,  ca- 
pitale ;   Teghery, 

Ficanii  (liorde  cafro).  Leurs  incur- 
sions. Sont  le»  mémos  que  les  Mau- 
tatis,  t.  XXIX,  p.  138. 

Fidallah  (ville  du  Maroc),  t.  XXII, 
p.  144. 

Fidgi  ou  fiti  (  arcb.  de  la  Polyné- 
sie). Naturels  cannibales,  industriels, 
t.  XV,  p.  182.  —  Détail»  sur  quel- 
ques lies.  Figure  des  naturels,  XVIII, 
299.  —  Anthropophagie,  Pirogues. 
Gouvernement,  lleligion,  Mariagc.s. 
État  des  femmes.  Tatouage,  300.  — 
Usage»  féroce».  Ornemens,  Monnaie. 
Vétemens,  302. 

Finlande  (prov,  delà  Russie).  Bains 
de  vapeur,  t.  XLV,  p.  322.  —  PcUo, 
325.  —  Aspect  du  pays ,  324 .  32C. 

—  Intérieur  des  maisons,  325.  — 
Turtola,  326.  —  Tornéa,  327.  — 
Lacs,  XLVI,  14.  —  Arbres  frui- 
tiers, 56. 

FiNLAYSON.  Son  voyage  du  Ben- 
gale en  Siam  et  en  Cochinchioe , 
t.  XXXI V  ,  p.  1.  —  Découverte  tic 
graines  dans  le  plantain ,  92.  —  Ar- 
rivée à  Bankok,  cap.  du  Siiim,  122.  — 


DES  M  ATI  KR  ES. 


365 


Aiidioiice  iriiD  nnuixtre,  ISf,   141. 

—  ViRite  à  un  piiuitit ,  13((,  2(»7,  'ilO. 

—  N«|{»riiitu)iM  inr  lu  trérénioulHl  , 
130,  \\1.  —  L'ambuMiide  liont  il  fait 
|Mrtleierpnd  jirooeMioDnclleuieiit  au 
piilni»,  143,  147.  —  Oi»«*oiirii  Inliu 
d'un  ualurel  ,  145.  —  Aiidieiiru 
rnjrnie  ,  15:2  à  15i).  —  Vuite  du  |ia- 
Uin,  IfiO  à  170'  ^  l'ulitique  tiaiuoi»«, 
17U  ,  180  il  100.  — ■  Autre  aiubasaude 
liion  mifux  reçue  que  celle  des  An- 
^Inii,  100,210. — FinlayMinest  mandé 
au  pillai»  pour  un  cas  de  clialéra- 
moruu»,  21U.  —  Nul  grand  digui- 
Uire  ne  Titiie  l'ambassade,  215.  — 
Klle  n'obtient  pas  mémo  uae  visite  de 
congé,  210.  —  Arrivée  eu  Dochin- 
rliine,  32U.  —  Audience  du  vice-roi 
do  Saigon ,  344  et  suiv.  —  Combat  de 
tigre  et  d'éli^phaus ,  347.  —  Rigueurs 
l'uutre  l'ambassade  qui  se  rend  a  ta 
capitule  (Uué),  303,  364,  372.  — 
Visite  au  mandarin  des  élépbiins ,  383 
et  suiv.  437.  —  Objet  de  l'umhas- 
«ade  ,  386.  —  L'audieuce  est  refusée, 
388,  300.  —  Les  prcseus  même  sont 
rejetés,  402.  —  Visite  au  Taruon, 
424  à  434.  —  Réglcmens  commer- 
ciaux,  426 ,  430- 

Finmark  ou  Lapante  nonr/gitm» 
(partie  de  la  Norvège).  Attraits  pour 
lu  voyageur,  t.  XLV,  p.  2.  —  Rapide 
végétation,  56.  —  Extrêmes  cba- 
leurs  ,  57.  —  Bas  prix  des  peaux 
d'hermine,    02.  —   Ëdrodon ,    103. 

—  Est  peu  habité,  131 ,  104.  —  Les 
aubergistes,  132.  —  Aspect  de  la 
c6to,  133.  ~^  Monts  Tronen,  Lovun- 
nen,  134.  '—  Bois  d'Amérique  jeté 
sur  la  côte,  177.  ~  Grande  profon- 
deur de  l'eau  sur  la  cûte.  Protection 
qiiR  lui  prêtent  ses  nombreuses  Iles , 
190,  101.  —  Voyage  le  long  de  la 
cAte,  104.  —  Iles  Loppen,  104.  — 
Absence  d'agriculture,  107,  —  Ile 
Soroè,  108  —  Qualoë-Seyland,  100. 

—  Bjornoc  ,210.  —  Roc  Uav-Hosten , 
211.  —  Ile  Uavoë  ,  211.  •—  Maasoè  , 

212 Le  cap  Nord,  212  et  suiv.  — 

Manque  de  bois,  214,  215.  —  Iles 
Steplien  ,  216.  —  Tableau  ,  résumé 
du  pays  en  été  et  en  hiver,  225.  — 
Limites  ,  226.  —  Bateaux  ,  230.  — 
Le  Lapon  du  Finmark  est  le  type  de 
la  race  ,235.  — Troupeaux  de  rennes, 
24-3.  —  Un  hiver  dans  le  pays,  247. 


—  Voy.  H'-mnur/esl .  —  Pliospliorci- 
cence  de  la  mer  l'ulnire ,  '.248.  — 
Effet  prodiiit  sur  l'horizon  par  le  so- 
leil au-dessous.  Aurores  boréales,  260, 
'i84  ,  201.  —  Golfe  et  district  d'Al- 
ten  ,  '262.  —  l^lcureuils ,  263.  - 
Oiseaux,  270  —  Observations  sai  i« 
climat  du  nord  ,  271.  —  Détails  sur 
la  vie  intérieure  des  colons,  270  à 
284.—  Principale  nourriture  des  bes- 
tiaux, 284.  —  Nourriture  princiiitiU 
des  bestiaux,  285.  —  Fin  d'octobre , 
disparition  du  soleil ,  280.  —  Beauté 
de  l'hiver  du  nord ,  200.  —  Voyage 
en  traîneaux  ,  206  et  suiv.  —  Pa- 
roisse de  Kouto-Keino.  Son  presby- 
tère. Son  église  ,310,311  —  Clergé, 
312.—  Campagne.  Mousse  des  ren- 
nes, 315.  —  Lacs  nombreux,  315, 
317.  —  Voy.  Laponi  du  Finmark, 

Fischer.  Son  voyage  en  Espagne  , 
t.  XLVI,p.  170. 

Flattery  (cap ,  Nouvelle-Galles  mé- 
ridionale). Nommé  et  décrit  par  Cook, 
t.  VI,  p.  340. 

FltiH  (Ile  de  la  Norwége\  Monts 
gigantesques,  t.  XLV,  p.  141.  —  Dé- 
paiwsence  des  animaux  en  été  ,  leur 
nourriture  en  hiver,  142.  —  Sol,  143. 

—  Édredon,  144. 

FUinvor  (  Ile  de  la  Norwége  )  , 
t.  XLV,  p.  143. 

J''lor»noe  (capitale  de  la  Toscane) , 
t.  XLVI,p.  265. 

Florei  (Ile ,  Açores).  Découverte 
par  les  Portugais,  t.  IX,  p.  157. — 
XX,  445. 

Floride  (un  des  États-Unis).  Décou- 
verte par  Ponce  de  Léon, t.  XXXVIII, 
p.  248.  —  Émigrations  et  r^toursi 
périodiques  ,  XXXIX  ,  283. 

Foa  (Ile  ,  groupe  Uapace  ,  archipel 
des  Amis),  t.  IX,  p.  350 

Folden  (  golfe  de  lu  Norwpge  ) , 
t.  XLV,  p.  115,  158.  —  Le  fameux 
gouffre  de  Maelstrom ,  160. 

Foosht  (Ile  ,  mer  Rouge).  S(d.  Ani- 
maux. Habitans.  Village ,  t.  XXIII , 
p.  154. 

Formate  (baie,  colonie  du  cnp  de 
Bonne  -  Espérance),  t.  XXIV,  p.  88, 
00. 

Formate    (  île ,    mer   de   Chine  ) 
t.  XIII,  p.  396;  XIX,  388. 

Fouladou  (royaume  de  Sénégarobie). 
Manna.   Fruit    du   nitta ,    t.    XXV  , 


360 


TABLE  GÉNÉRALE 


p.  3i6>  —Mines  d'or.  Albioos,  321. 

—  Tambakounda  ,  324.  -^  Mala- 
colla  Huttes,  329. 

Foulahi  (peuples ,  habitant  la  Sc- 
négarabie  et  les  contrées  voisines}. 
Figure.  Mœurs.  Industrie ,  t.  XXII, 
p.  48.  —  Commerce  du  Vintain , 
XXV,  24.  —  Religion ,  34.  —  Figure. 
Mœurs,  35,  79.  —  Caractère.  Gou- 
vernemen:.  Industrie,  81.  — Emploi 
du  lait,  82.  —  Travaux  des  femmes , 
XXIX,  375.  —  Villages,  376.  - 
Costumes.  Ornemens ,  377.  —  Carac- 
tère. Vêtemens,  383.  —  Usage  du 
tabac.  Bestiaux,  384. 

Fouta-Djallun  (pays  de  la  Séné- 
gambie  ,  iiabité  par  les  Fonlahs  ). 
Bornes.  Gouvernement.  Religion.  Cos- 
tumes Caractère,  t  XXVUI.p  300, 
et  XXIX,  382.  —  Ville  de  Yani- 
Marou.  Costumes.  Mobilier,  XXVIII  , 
302. 

Fouta-Toro  (pays  de  la  Sénégambie, 
habité  par  les  Foulahs.  Description 
du  pays.  Bornes.  Arbres.  Animaux. 
Maturelsy  Polygamie,  tom.  XXVllI, 
p.  438. 

Français,  Font  la  première  décou- 
verte dans  les  terres  Australes  ,  t.  1  , 
p.  121.  —  Leurs  découvertes  eu 
Afrique  avant  le  xix*  siècle  ,XXÏI , 
22.  —  Leur  expédition  en  Egypte. 
Voy.  Egypte.  —  Notice  sur  leurs 
établissemens  dans  l'Inde ,  XXXI , 
457.  —  Ambassade  de  Louis  XIV  à 
Siam ,  mieux  reçue  que  celle  d'Angle- 
terre, XXXIV,  219.  Voy.  FiirLAYsow. 

—  Leur  influence  en  Cochinchine 
anéantie,  398  et  suiv. 

Français  (port  des  ,  Nonveau-Nor- 
folk,  Amérique  septentrionale).  Re- 
connu et  nommé  par  La  Pérouse  , 
t.  XII,  p  159,  160.  —  Naturels, 
leurs  poignards,  161.  —  Nat'irels 
apprécient  becuconp  le  fer,  162.  — 
Loutres  de  mer,  164.  —  Naturels 
portés  au  vol,  165,  179,  191.  — 
Description  du  port,  167,  170,  183. 

—  Malheur  qui  y  arrive  à  La  Pérouse, 
171  et  suiv.  —  Pèches ,  179,  204.  — 
Moraï  on  cimetière,  180.  —  Piro- 
gues, 182,  205.  —  Climat ,  végéta- 
tion, 185.  —  Végétaux,  fruits,  pois- 
sons, quadrupèdes,  oiseaux,  rochers, 
186.  —  Grossièreté  des  naturels  , 
leur  inriiniition  au  jeu,  189,  206.  — 


Leurs  arts,  190,  204.  —  Villages  , 
saleté  des  maisons ,  meubles  ,  nsten- 
siles,  chiens,  193.  —  Ornemens  in- 
crustés ,   vêtemens ,   tatouage ,    196. 

—  Deux  opinions  sur  la  beauté  des 
femmes,  VOO.  —  Description  des  na- 
turels, 201.  —  Armes,  205.  —  Lan- 
gue, 207.  —  Figure  des  naturels, 
XIII,  176.  — Ornemens  incrustés, 
177. —  Observations  générales  ,  vie, 
formes  physiques ,  mœurs ,  gouverne- 
ment, unions,  traitement  des  femmes 
en  couches,  179  à  188. 

Françaises  (îles ,  Australie  près  de 
la  Nouvelle-Bretagne).  Découvertes 
par  d'Kntrecasteaux,  tie  Mérite,  t. XV, 
p.  273,274. 

France.  Impression  que  reçoit  le 
voyageur  de  ce  pays,  com]>arée  à 
celle  qu'il  éprouve  eu  Angleterre , 
t.  XLVI,  p.  279. 

Fronce  (île  de,  ou  fie  Maurice ,  mer 
des  Indes).  Belles  forges,  t.  IV, 
p.  391.  —  Hahitans,  XVIII,  57.- 
Langue  française  est  répandue,  (.or- 
veriiement,  58.  —  Bel  aspect  dé  k 
ville  de  Port-Louis,  422.  —  Regret 
des  Français,  423.  —  Cascade,  Bo- 
cages de  la  campagne,  Monumens, 
424. 

FRANKLiir.  Sa  tombe  à  Philadel- 
phie, t.  XXXIX,  p.  220. 

Franklin  (le  capitaine).  Ses  recher- 
ches du  pôle  Magnétique,  t.  XL, 
p.  183,  —  Ses  voyages  aux  côtes  de 
la  mer  Polaire.  Préliminaires,  475.— 
2*  voyage,  488.  —  Arrivée  au  lac 
du  Grand-Ours,  492.  —  Arrivée  à  la 
mer  Polaire ,  494.  —  Découverte  du 
cap  Bathurst ,  495. 

Franklin  (cap ,  Amérique  russe). 
Nommé  par  Beechey,  t.  XIX,  p.  259. 

Fransche-Hoeck  (canton  du  cap  de 
Bonne-Espérance).  Sol.  Productions, 
t.  XXIV,  p.  46.  —  Séjour  des  des- 
cendans  des  réfugiés  français ,  239. 

—  N'ont  rien  conservé  de  leur  ori- 
gine,  XXIX ,  238.  —  Description  de 
la  vallée ,  239  et  suiv. 

Frayer.  Son  voyage  dans  le  Kbo- 
rassan,  Perse,  t.  XXXV,  p.  1.  — 
Reçoit  audience  de  l'iman  de  Mas- 
cate ,  7.  —  Passe  à  Ispahan  ,  48.  — 
Séjourne  à  Téhéran ,  53,  91.  —  Rend 
visite  à  l'ancien  ambassadeur  d'An- 
gleterre, 55.  —  A  un  poète  lauréat , 


DES  MATIÈRES. 


367 


à  Philadcl- 


56.  —  A  un  gonvernenr,  149.  —  A 
un  khan ,  198  et  suiv.  —  Séjour  a 
Mèrlied,  capitale  du  Kkorassan  ,  207 
à  275.  —  Visite  le  tombeau  d'Aa- 
roim-al-Rascbild  (216) ,  233.—;  Rend 
visite  au  vizir,  235.  —  A  de  célèbres 
dervich?» ,  244  et  suiv.  —  Au  prinre. 
Conversation  sur  l'astronomie,  248. 

—  Les  Moullabs  se  révoltent  à  cause 
de  son  séjour,  253,  258.  —  Il  feint 
d'être  musulman  ,  254 ,  267.  —  Re- 
çoit la  visite  d'un  meudiaut  fort  arro- 
gant, 268.  —  Est  forcé  de  renoncer 
au  voyage  de  Bockliara,  272.  —  Rend 
visite  au  vizir  de  Cotclioun-Soufisme, 
285  à  296.  —  Visite  une  tribu  de 
Turcomaos,  310.  —  Voyage  sur  les 
côtes  de  la  mer  Caspienne ,  334.  — 
Visite  un  prince  à  Sari ,  342.  —  Vi- 
site sa  fi'mmc  comme  médecin ,  350. 

—  Sa  captivité.  Mauv.iis  traitemens 
qu'il  endure,  309,  371,  386,  393  à 
408.  — Son  voyage  aux  munts  Hima- 
laya ,  421 .  —  Arrive  aux  sources  du 
Gaage ,  493.  —  S'y  baigne  ,  494. 

Freaericksburg  f  ville  de  la  Virginie, 
États-Unis) ,  t.  XXXIX,  p.  271. 

Freetown  (capitale  de  la  colonie  de 
Serra-Leone,  Sénégambie) ,  t.  XXVI II, 
p.  376. 

Fretwill  (îles  de ,  Australie).  Dé- 
couvertes et  décrites  par  Carteret, 
t.  III,  p.  164  et  suiv. 

Fremona  (village  du  Tigré).  Restes 
du  couvent  des  Jésuites  ,  t.  XXI II , 
p.  231. 

Frères  (ile  des,  Australie).  Décou- 
verte par  Bligli ,  t.  XKI ,  p.  330. 

Freycinkt.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  XVIII,  p.  50-  —  Aborde 
à  Itio-Janeiro ,  52.  —  A  l'Ile-de- 
France  ,56-  —  A  l'ile  Bourbon ,  à  la 
Nouvelle-Hollande  ,59.  —  A  Timor, 
62.  —  Aux  îles  Vagag ,  75.  —  Aux 
Carolines ,  80.  —  Aux  Mariannes ,  85. 

—  Aux  Sandwich ,  88.  —  Fait  nau- 
frage, est  receuilli  par  un  navire, 
107. 

Frobishkr.  Ses  tentatives  ponr 
trouver  un  passage  au  nord  de  l'A- 
mérique, t.  XL,  p.  xiv. 

Frobisher  (détroit  de  ,  au  nord  du 


Labrador).  Découverte  par  Forbisber, 
t.  XL  ,  p.  XV. 

Froides  (lies ,  on  lits  Marton ,  océan 
Antarctique).  Découvertes  par  Ma- 
rion ,  t.  IV,  p.  404. 

Fuca  (entrée  ou  'détroit  entre  l'Ile 
de  Quadra  et  Vancouver,  et  le  conti- 
nent d'Amérique).  Exploration  par 
Vancouver.  Observations,  t.  XIV, 
p.  169  et  suiv.,  177  et  suiv. ,  \k6. 

Fugeloe  (île  de  la  Norwége)  As- 
pect. Manière  d'y  prendre  le  piiffin  , 
t.  XLV,  p.  192.  —  Restes  de  baleine 
sur  le  sommet  du  roc  ,  193.  — Aigles 
marines.  Loutres,  193,  194. 

Fu-Koh-,  Phu-Kuollt  ou  Pau-Kok 
(ile ,  golfe  de  Siam).  Aspect.  Végéta- 
tion, t.  XXXIV,  p  99,  104.  —  Pro- 
ductions ,  100 ,  105.  —  Pêcheurs  chi- 
nois et  cochinchinnois,  100,  102.  — 
Forme.  Ftendue.  Maisons,  104.  — 
Animaux,  105. 

Fuliindushie  (ville  du  Cotira ,  Sou- 
dan). Habitans  vont  tout  nus.  Leur 
saleté,  t.  XXVIlI,p.255. 

Funda  (royaume  de  la  Guinée  su- 
périeure), t  XXX,  p.  391.  —  Des- 
cription de  Damuggoo  et  de  ses  habi- 
tans ,  401  à  413.  Voy.  ce  nom.  — 
Continence  des  femmes,  419. 

FuRiTEAUX  (le  capitaine;.  Son  vais- 
seau est  séparé  de  celui  de  Cook  par» 
lu  tempête,  t.  VIII,  p  102,  109; 
IX,  131  —  Relation  du  massacre 
de  l'équipage  de  sa  chaloupe  par  les 
Zélandais  ,  135  et  suiv.  —  Cook  ap- 
prend des  naturels  des  détails  sur  le 
massacre  de  ses  compatriotes ,  238  , 
241 ,  248 

Furshout  (ville  de  la  Hante-Egypte), 
Situation.  Couvent,  t.  XXIII ,  p.  89. 

Futleh/jour  (ville  de  l'Allahabad, 
Hindoustan).  Mosquée.  Tombes  des 
environs.  Grand  caravenserai,  tom. 
XXXVI,  p.  171.  —  Mendians fliara- 
bouts  ,172. 

Fui lehpour - Sieri  (ville  de  l'Agra, 
Hind.).  Aspect.  Murailles.  Ruines  mu- 
sulmanes, t.  XXXVI,  p.  296. 

Futwa  (ville  du  Behar,  Hindoustan). 
Beau  pont.  Ecoles  de  jurisprudence 
et  de  théologie,  t.  XXXVI,  p.  120. 


/ 


368 


TABLE  GÉNÉRALE 


6 


Gafats,  Nation  da  l'Abyssinie , 
t.  xxni,p.  331. 

C<i<<iM  (royaume  de  la  Sénégambie). 
Bornes.  Climat.  Habitans,  Gouverne» 
ment ,  t.  XXV,  p.  82.  --  Joag ,  84.— 
Voyage  dans  le  pays ,  XXVIII ,  353  à 
868.  •—  Tuabo ,  3Ô3 ,  358.  —  Assem- 
blée des  cbefs,  360.  —Plaine  d'Oury, 
355.  —  Mauvais  traitemens  des  es- 
claves, 363,  366.  Voy.  Hourejr,  S*raec 
leti. 

Gallapagoi  (lies ,  mer  du  Sud,  près 
del'Am.  mérid.).  Découvertes  par  les 
Espagnols,  t.  I,  p.  372.  —  Énormes 
tortues  des  Iles,  373;n,il6;  XIV, 
473.  —  Ces  Iles  sont  d'origine  volca- 
nique, XVI,  50»  119.  —  Aventures 
extraordinaires  de  Patrick  Watkins,. 
51  et  suiv.  -^Détails  sur  leurs  tortues, 
103.  —  Leurs  animaux  ,  112.  —  Iles 
principales.  Signification  du  nom, 
XX ,  59.  —  Éruption  d'un  volcan , 
85.  V.  Iles  Albermalt ,  Charlei ,  Cha- 
tam,  James,  Narborough ,  Porter, 
/Fanam,  Yorek. 

Galles  méridionale  (  Nouvelle-,  par- 
tie est  de  la  Nouv.-Hollande  ),  lon- 
gée, nommée  et  décrite  par  Cook. 
Noms  donnés  à  plusieurs  lieux,  t.  Vf, 
p.  201  à  372.  —  Les  naturels  se  pei- 
gnent le  corps  et.  vont  entièrement 
nus,  210, 212.  —  Leurs  lances,  215. 

—  Animaux,  arbres,  219,  374,  378. 

—  Description  de  Botany-Bay ,  229. 

—  Fourmis  vertes  de  Bustard-Bay  , 
leurs  nids,  245,  380.  — Crabes  re- 
marquables, 251.  —  Fourmis  blan- 
ches ,  poissons  singuliers ,  256.  — 
Description  du  canal  de  la  Soif,  259. 

—  Des  lies  Cumberland,  265.  — 
Description  de  la  baie  Eudeavour, 
332.  —  Description  du  cap  Flattery  , 
340.  — '  Cook  prend  possession  de  la 
terre,  à  qui  il  donne  son  nom  de 
Nouvelle-Oalles méridionale,  368.  — 
Description  particulière  du  pays,de  ses 
productions  et  de  ses  liahitans,  372  et 
s.— ri  Untes,  377.  —  Oiseaux,  reptiles, 
insectes  ,  379.  —  Quatre  espèces  re- 
marquables de  fourmis.  Description 
de  leurs  habitations ,  380  et  suiv.  — 
Poissons,  584.  —  Habitans  peu  nom- 


breux, quelle  peut  en  être  la  cause? 
385,404.  —  Leur  description ,  385  et 
suiv., et  4)4. — Leurs  ornemcnsdu  nez 
et  antres  bijoux ,  388.  —  Sout  très 
indifférens  ,  390.  —  Leurs  cabanes , 
391.  —  Leurs  meubles, 393.  —  Leur 
nourriture  et  leur  cuisine,  394.  — 
Comment  ils  se  procurent  le  feu, 
396  et  suiv.  —  Leurs  armes,  et  ma- 
nières de  s'en  servir,  398.  —  Piro- 
fues,  401.  ^  Courans  de  la  c(^te, 
06.  —  Histoire  de  l'établissement 
des  Anglais  ,  de  ses  progrès ,  de  son 
état  actuel,  XVIII,  219  et  suiv.  — 
Religion  des  habitans.  Tatouages, 
mutilations ,  222.  —  Habitations,  ma- 
riages,  état .  des  femmes,  couches, 
224.  —  Éducation  des  enfans.  Su- 
perstition. Funérailles ,  226.  —  Etat 
et  usages  des  habitans  blancs ,  227  et 
suiv.  —  État  de  la  seconde  généra- 
tion, 233.  —  Naturels.  Végéta  tic^n , 
XXI,  333,  337  —-Lézards,  XLIII, 
xj.  —  Configuration  et  aspect  delà 
côte,  3,  6,  25  — Montagnes,  4,32, 

40.  —  Rivières,  4,  28,  33,  37,  40, 

41.  —  Division  de  la  colonie  par 
comté ,  20.  —  Description  générale , 
20,  40.  —  Comté  de  Cumberland, 
20 ,  23 ,  32,  45 ,  83,  175  —  Comté 
d'Argile ,  20 ,  34,  45,  177  —  Comté 
de  Bathurst,20,  39,  45, 176, 180.- 
Comté  de  Camden,  20,  22,  31,  45  — 
Sol,  22, 23, 32, 77, 171  —Campagne, 
26,  37,  38  —  Villages  et  petites 
villes,  27,  28,  30,  39.  —Les  kan- 
garous,  28 ,  55  à  58 ,  60  —  Plantes, 
31,36,47.  —Oiseaux,  31, 36, 47, 
49,  50,  59  à  65 ,  182.  —  Vallée  de 
Bavragovang,  31  —  Fertdes  districts, 
32,  37  —  Forêt  d'Éden.  Routes, 
34  —  Forêts,  arbres,  34,42,45, 
46  —  Lacs ,  35,  177  —  Erablisse- 
meut  de  la  rivière  Hunter,  37,  59.  — 
Baie  de  Moreton,  42.  —  Salubrité  du 
climat.  Température.  Saisons,  43,  44, 
45,  48,  51.  —  Bois  résineux,  bois 
incombustibles,  46.  —  Fruits,  47.  — 
Ecureuils  volans,  50,  59.  —  Epo- 
ques des  semences  et  des  récoltes, 
51.  —  Animaux  domestiques,  51  a 
54.  —  Vases  à  lait,  beurre,  52,  — 


ife 


y- M 


DES  MATIÈRES. 


369 


Animaux  sanT«ge>,  51.  —  Hennr    ' 
ToUni,  58.  —  On»,  59.  —  AV 
59.   —    Émns,  61*  —  PeiTo<|k? 
62,  64.  —  Ouean  remarquable  .  «.<<>. 

—  Poissons ,  65. — Reptiles.  66  i  7a 

—  L'homme  anx  serpens ,  68.  >-  In- 
sectes ,  70  à  76.  —  Fourmis  de  diver- 
ses couleurs,  73.  ~-  Ravages  des 
chenilles,  75 1  —  Minéraux,  char- 
bon,  76.  "-*  Roches ,  argiles,  minerai 
magnétique,  77.  —  BUnes,  78.  — 
Divers  degrés  de  civilisation  dans 
l'intArienr,  82.  •—  Caractère,  m«enrs, 
etc.,  des  Currtiiex ,  ou  de  la  popula- 
tion née  dans  la  colonie,  101  à  109, 
1 17.  —  Histoire  de  la  colonie ,  109. 

—  Améliorations ,  1 1 1 .  -«  Manufac- 
tures, 115,  117.  —  Commerce.  114f 
115, 117.  —  Convicts.  Honnêteté  des 
marchands,  114>  — Nuances  delà 
société,  117.  —  Susceptibilité  des 
condamnés,  118.  —  Etiquette,  119. 
— Etablissement  d'éducation  et  d'uti- 
lité publique.  Meubles  de  cèdre.  Cos- 
tume, 120.  —  Journaux,  cabinets 
littéraires,  121.  —  Courses  de  che- 
vsùx,  122.  —  Abus  de  la  colonie, 
122  et  suiv.  >-  De  l'émigration.  Me- 
sures à  prendre  par  les  colons,  124 à 
131.  —  Concesûons  de  terres,  125, 
130.  —  Disette  de  femmes,  162.  — 
Observations  générales  sur  le  gouver^ 
nement  de  la  colonie ,  >164>  —  Com- 
pagnie australienne,  166.  >-*  Bornes 
de  la  volonie  169->—  Son  état  pros- 
père, 169.  ~~  Sécheresses   périodi- 

Îues,  175 ,  178.  —  ffistorique  des 
éconvertes  faites  dans  l'intérieur, 
175  à  178.  —  Etablissement  de  Wel- 
lington-Valley, 181.— V.  Auitralitnt, 
Botéi^-Bof,  DarliHg,  Endtatour, 
Jaekton,  Livtrpool,  NtmcatU,  Para' 
éatta,  Sidney,  Winitor. 

Galléi  wiiridionaU  (  Nouvelle-,  Con- 
victs, déportés  de  la).  Costume, 
chatne  dans  les  rues  de  Sidney, 
t.  XLin,  p.  11.  —  Etat  des  convicts 
domestiques,  131 — Travaux  de  ceux 
atuchés  aux  fermes,  132  et  suiv.  — 
Coureurs  de  bois,  132.—'  Singuliers 
voyages  vers  la  Chine  et  Timor ,  13& 
—  Evasions,  137  et  suiv.  —  Détails 
sur  l'embarquement  et  la  vie  à  bord 
du  vaisseau  de  transport  des  hommes, 
140âà  155.  —  Logement,  vétemens, 
nourriture,  141.  —  Lits.  SurveiUans, 

XL  VI. 


142.  —  Impudence,  144,  145.  — 
Leur  habileté,  >leur  fourberie,  146. 
•—  Littérateurs.  Théâtre,  147.  — 
Assises,  148.  —  ConvicU  irlandais, 
149  et  suiv.  ~  Convicts  anslais,  151. 
—  Punitions  du  bord,  lo3.  —  Fa- 
veur abuûve  pour  eux  ^  154.  »  Dé- 
barquement, marque  y>  155.  <»  Dé< 
tails  sur  l'embarquement  et  la  vie  à 
bord  des  femmes  déportées,  156-  — 
Logemens.  Snrveillans,  ISS.—  Eti- 
quette. Amusemens,  157.  — ^  Sensi- 
bilité die  certaines  femmes.  Ses  causes, 
159,  160.  ^^  Sort  des  femmes  après 
le  débarquement.  Mariages,  161. 

GalUt  (cap  du  Prince-de-,  détroit 
de  Behring,  Amérique  russe  }.  Nom- 
mé par  Cook ,  t.  XI,  p.  53.—  Son  gi- 
sement, 54.  —  Son  aspect  imposant. 
Villages.  Montagne  remarquable.  As- 
pect du  pays,  XIX,  446. 

Gallei  (Me  du  Prince-de-,  nne  des 
Iles  de  la  Société).  Découverte  par 
Carteret,t.  III,  p.  28. 

Galles  (archipel  du  Prince-de',  cAte 
ouest  de  la  Nouvelle-Bretagne,  Amé- 
rique septentrionale).  Exploré  et 
nommé  par  Vancouver,  tom.  XIV. 
p.  451. 

GallieU  (royaume  on  province  de 
l'empire  d'Autriche),  t.  XLVI,  p.  226. 
236,239.  ' 

GallipoU  (ville  du  royaume  de  Na- 
pie») ,  t.  XLVI,  p.  197. 

Galttz  (  lies  don  José-de- ,  Poly- 
nésie ).  Découvertes  par  Maurrell , 
t.Xin,  p.257. 

Gaka.  (VasGO  de).  Part  de  Bélem 
pour  chercher  la  route  des  Indes,  1. 1, 
p.  32.  —  Découvre  le  cap  de  Bonne- 
Espérance,  33.  '—  Découvre  et  re- 
monte la  rivière  de  Los  Reyes.  -.- 
Découvre  Mosambique ,  36-  n— ■  Mé- 
liniie ,  58.  —  Découvre  les  Indes,  41. 
•>-•  Rentre  en  triomphe  k  Lisbonne , 
62.  Revient  dans  les  Indes,  où  il  éta- 
blit plusieurs  comptoirs ,  73  et  suiv. 

Gamba.  Son  voyage  au  mont  Cau- 
case, XLV,  409. 

Gambarott  (ancienne  ville  du  Bour- 
nou,  Soudan).  Ses  ruines,  t.  XXVII. 
p.  186. 

Gambie  (  fleuve  de  Sénégambie  ). 
Poissons.  Animaux  amphibies ,  tom. 
XXV,  p.  25.  —  Quatre  classes  de  na- 
turels sur  ses  bords,  33  — Des  éta- 

24 


370 


TABLE  6ÊNÉHALE 


i-jgLit<^." 


bliMeuMns  earop  jens  et  de  leur  coin- 
meroe,  43. 

6ambi»r  (Iles,  archipel  Dangerenx), 
Déconcertes  parWilsoD,  t.XIII,  p.  440, 
XIX,  97, 140.  --  Radeaux,  pagaies, 
100, 115, 149.  —  EntreToes  avec  les 
naturels,  101 ,  105, 113 ,  129.  -^  Fi- 
gure ,  formes  des  insulaires,  108, 144, 
146.  —Élégant  tatouage,  108,  147. 

—  SaluUtions,  111. —  Nourriture, 
1 15.  —  Iles  du  groupe,  122, 140.  — 
Momies,  123.  —  Vétemens,  133, 134. 

—  TamlMars,  134. — Origine  des  (les, 
141.  —  Sol.  Production,  143.  —  Na- 
turels; mœurs,  traits,  taille,  144.  — 
Population,  148, 198.— Pèches,  149. 
Yoy.  Iles  Btleher  «(  Peard. 

Ôamblx.  Labsé  par  Porter  àNouka- 
Hira ,  t.  XVI,  355.  —  Ses  aTenlures, 
371.  —  Est  abandonné  sur  un  petit 
▼aisseau  par  son  équipage  réroité , 
378.—  .Est  fait  prisonnier  par  les  An- 
glais, 385.— Recouvre  sa  liberté,  403. 

Gan- King-Fou  (ville  de  la  Chine). 
Environs.  Rue.  Enorme  dragon , 
t.  XXXm.  p.  405. 

Gang*  (fleuve  de  l'Hindoustam).  Son 
confluent  avec  la  I>jemma.  Marque  de 
ceu^qui  se  sont  purifiés  dans  ses  eaux, 
t.  XXXI,  p.  75.  —Sa  sonne,  XXXV, 
493.—  Singulier  esquif ,  XXXVI,  69. 

—  Voyage  sur  ses  eaux  jusqu'à  Di- 
napour,  400  et  suiv.  Voy.  Hougly. 

Gangotri  (village  de  l'Himalaya). 
Source  du  Gange.  Temple,  t.  XXXV, 
p.  492,  493.  —  Ablutions,  494.  — 
Élévation  du  village,  XXXVI,  463.— 
Singulières  cérémonies  des  Hindous 
à  la  source,  464. 

Gurtt-Dtnit  (Ile,  Australie).  Figure, 
moBurs,  usages,  vie  des  naturels,  t.  I, 
p.  441  et  suiv.     - 

Gtiritp  (rivière  du  pays  des  Boscbi- 
mans  et  des  Coranas).  Afflue^s, 
t.  XXVI,  p.  176,  226.  —  Beauté  du 
principal  confluent,  XXIX,  31.  — 
Voyage  le  long  de  ses  bords,  179  çt 
suiv.  x—  Animaux,  182.  —  Cataracte, 
185  —  Difficulté  de  l'irrigation,  190. 

—  Manière  de  traverser  la  rivière, 
190.  —  Commerce  à  l'embouchure 
devenu  impossible,  218. 

fioni'MWM  (ville  de  l'Engarski,  Gui- 
née). Remarque  importante  sur  le 
Niger,  t.  XXX,  p.  225. 

Guttet  oeeidvntales  (monts  de  l'Hin- 


donstan  ).  Belle  roote  de  traverse  ; . 
t.  XXXVI ,  p.  418.  —  Belles  vues  ; 
superbes  forêts,  419.  —  Villages,  419. 

—  Montagnaru  autrefois  inbospits- 
liers,  lenrs  formes,  420.  —  Caverne- 
temple,  421.  —  Palmiers  remarqua- 
bles, 427. 

GatroM  (ville  du  Fezzan),  t.  XXVII, 
p.  57. 446. 

Gaudtoi  (  babitans  des  Pampas , 
Amérique  méridionale),  t.  XLI,  p.  287. 

—  Origine,  291.  —  Caractère,  291, 

298.  300.  —  Vie,  291,  295  «t  suiv., 

299.  -  Huttes,  291,  293.  —  Parc  à 
bestiaux,  292.  —  Hospitalité,  294, 

300.  —  Intérieur  des  buttes ,  ustensi- 
les ,  etc.,  293, 295.  —  Éducation,  296 
et  suiv.  —  Condition  des  femmes,  300. 

—  Religion ,  301,  303.  —  Funéraille», 
mariages ,  304.  —  Approvisionnent 
les  marchés  des  villes ,  306,  330.  — 
Leurs  attitudes  à  cheval ,  307,  322.  — 
Craignent  et  haïssent  les  Indiens,  323, 
337,  358. 

6<u<//«  ^/«M.Sa  description,  t.XXlV, 
p.  61.  .      > 

£««z&  (village  d'Abyssinie).  Sources 
du  Nil  ;  campagne ,  t.-  XXIII,  p.  424, 
429.  —  Maisons,  451.  —  Sacrifices 
au  Nil  ;  vénération  dont  il  est  l'objet , 
451  et  suiv. 

Geffle  (  port  de  la  Suède),  t.  XLV, 
p.  333. 

Gènes  (ville  de  la  Ligurie ,  royaume 
de  Sardaigne),  t.  XLVI,  p.  266- 

Genève  (ville  du  New-York ,  ^États- 
Uni»),  t.  XXXIX,  p.  56. 

GnurrROY.  Son  voyage  en  Séné- 
gambie.t.  XXII,p.  78. 

George  (lies  du  Roi-,  arcbijjiel  des 
îles  Basses).  Découvertes  et  décrites 
par  Byron,  t.  III ,  p.  15;  VIII,  222. 

George  (détroit  du 'Roi-,  Nouvelle- 
Hollande).  Naturels ,  armes ,  ustensi- 
les, t.  XXI,  p.  418,  419.  —  Vête- 
ment, figure,  ornemens,  422. 

George  (port  du  Roi-,  terrede  Nuyts, 
Nouvelle  -  Hollande  ).  Découvert  et 
nommé  par  Vancouver,  t.  XIV,  p.  21. 

—  État ,  aspect  de  la  cùte,  XVIII ,  19, 
20.  —  Naturels;  vétemens,  omemeus, 
incisions,  22,  36.  —  Conservation  du 
feu,  armes,  huttes,  24.  —  Campe- 
ment, nourriture,  chiens,  26,  28.  — 
Usages  curieux  imposés  par  la  disette, 
30.  —  Occupations  des  femmes.  Po- 


^^- 


'•^\ 


DES  MATIÈRES. 


371 


lygamie.  Manières  de' se  marier,  82. 

—  Couches  faciles.  L'un  des  deux 
idéaux  est  mis  à  mort ,  85.  —  Dan- 
ses. Médecins.  Charlatans ,  86.  —  Sa- 
lutations. Combats  singuliers,  38.  — 
Combats  généraux,  40.  ~  Funérailles. 
Idées  religieuses.  Idiome,  42.  —  Fi- 

Snre,  nourriture,  vêtement,  cabane 
es  naturels,  216. 

George  (  entrée  du  Roii,  ou  de 
Nootka,  lie  de  Quadra  et  Vancou- 
ver ).  Sa  description.  Ses  produc- 
tions ,  etc.  Mœurs ,  usages ,  formes , 
industrie,  etc.,  des  naturels,  t.  X, 
p.  3']6  à  424;  XIII ,  353  à  375.  — 
Pour  les  détails  ,  voyez  tle  de  Quadra 
et  Vancouver, 

Géorgie  (un  des  États-Unis).  Vente 
d'esclaves,  t.  XXXIX,  p.  320.  —  Sa- 
vannah.  Environs.  Arbres  des  rues , 
321,  822.  —  Campagne,  322  et 
suiv.,  340.  —  Fleuve  Alatamaha ,  324. 

—  Villages,  324,  332.  —  Iles  de  la 
câte ,  325.  —  Culture  et  préparation 
du  coton,  326. — Taches  dps  esclaves, 
329-— Leur  nourriture,  330. —  Leurs 
vétemens,  331.  —  Voyage  dans  l'in- 
térieur, 331  et  suiv.  —  Reptiles,  3S2. 

—  Maisous  dans  <les  forêts,  338.  — 
Maçon,  nouvellement  fondée,  340. 

—  Aspect  d'une  ville  nouvelle, 
341.—  Loteries  de  terres,  342.  — 
Embryon  d'one  ville  dans  la  forêt, 
345. 

Géorgie  (province  de  la  Russie  d'A- 
sie). Voyage  dans  le  pays.  Fleuve 
Kour  qui  a  donné  son  nom  à 
Cyrus,  t.  XXXI.  —  Maisons,  194.  — 
Roseaux  panachés ,  XLIV,  398.  — 
Soumise  par  les  Arabes  ,  dominée  au- 
jourd'hui par  les  Russes ,  XLV,  413. 
Voy.  Tijlis,  capitale. 

Géorgie  australe  (  ile  de  la ,  océan 
Atlantique).  Découverte  par  un  Fran- 
çais, t.  XX,  p.  34;  XXI,  231  —  Nom- 
mée par  Cook,  IX,  104. —  est  inbabi- 
tflble,  105.—  Productions  Commerce 
des  phoques,  XXI,  230,  232.  <—  Ani- 
maux, 233  et  suiv. 

Géorgie  (  lie  de ,  mer  de  Behring  ). 
Combats  des  Udns  de  mer,  t.  XVII 
p.  216. 

Géorgie  (  golfe  de  la  ,  Nouvelle- 
Géoreie  ).  Nommée  par  Vancouver. 
t.XI^,p.248. 

Géorgie  (Nouvelle-,  pays  de  la  Nou- 


velle-Bretagne, Amérique).  Reconane, 
décrite  et  nommée  par  Vancouver, 
t.  XIV^.  226  à  248.  -  Beauté  du' 
pays,  "in.  —  Villages,  huttes,  natu- 
rels, 230,  237.  —  Fables  débitées  sur 
la  barbarie  des  insulaires,  237.  — 
Pointe  Reittauration,  242.  —  Anse  de 
Penn  et  ses  alentour  j ,  245.  —  Entrée 
de  l'Amirauté.  Prise  de  possession  du 
pays ,  247.  —  Golfe  de  la  Nouvelle- 
Géorgie.  Rade  de  Possession.  Port 
(rardner,  port  Susau,  248.  Voy.  dé- 
troit de  la  Reine-Charlotte  et  détroit  de 
Fuea, 

Géorgie  septentrionale  (archipel  des 
régions  arctiques).  Découvert  et  ex- 
ploré par  Parry,  t.  XL,  p.  275  à  296. 

Géorgiens.  Leurbeau  sang,  t. XXXI, 
p.  191.  —  Caractère,  192 Cos- 
tume ,    usages  ,    noblesse  ,'  religion 
194.  —  Costume,  XLIV,  399.  -  Pays 

Îu'ils  habitent.  Stature ,  traits ,  XLV, 
42.  —  Occupations  du  peuple.  Fem- 
mes réellement  belles ,  443.  -^  Traits 
féné^ux  de  mœurs  et  d'usages,  444  à 
51 .  Voy.  Caucase. 

Géorgievsk  (  ville  du  Caucase ,  Rus- 
sie d'Europe,  t.  XLIV,  p.  445. 

Geosa  (ville  du  Zamfra ,  Soudan  ), 
t.  XXVII,  p.  396 

Germa  (  ville  du  Fezzan  )  Ruines 
romaines,  t.  XXVII ,  p.  31.  —  Nou- 
velle ville ,  32. 

Gkazeipour  (  ville  de  l'Allahabad , 
Hindoustan  ).  Aspect.  Ruines.  Palais 
arabe,  t.  XXXVI,  p.  130.  -^  Climat 
salubre.  Environs.  Eau  de  rose.  Pro- 
ductions des  environs,  132.  —  Snttey 
des  veuves.  Suicides,  134.  ^Carac- 
tère, fanatisme ,  langue  des  habitans , 
136. 

Ghejrssiqvêis{'ç&iiA.e  au  nord  du  cap 
de  Bonne-Espérance).  Physionomie, 
idiome,  vétemens,  ornemens,  etc., 
t.  XXIV,  p.  442.  —  Femmes  belles  et 
retenues ,  444.  —  Scmi- castration  , 
445. 

Ghilan  (province  de  la' Perse). 
Voyage  dans  le  pays,  t.  XXXV.  p.  3^. 

—  Lahadjan.  Bazars,  363.  —Villes  di- 
verses, 366.  —  Port  d'Enzellé,  368. 

—  Violation  de  le  propriété,  410. 
Voy.  Recht,  capitale. 

Ghirza  (ville  de  Tripoli).   Édifices 
peut-être  romains,  t.  XXVII,  p.  451 . 
Ghisni  ou  Ghusni  (<rille  du  Caboul , 


872 


TABLE  GÉNÉRALE 


Asie  ).  Pranes  rencimmin,  t.  XXXVII, 
p.  102.  —  Autrefoia  capitale ,  1  li. 

Ghorian  (  Tille  et  district  dn  Klio- 
rassan.  Perse).  Fort  remarquable, 
t.XXXV,  p.  418. 

Ghraat  (capitale  des  Tuaricks, 
SaLara).  Costumes,  t.  XXYII,  p. 49. 

—  Belle  source ,  «51  •  *—  Environs.  Mai- 
sons. Cimetière,  52.— Langue,  64. 

Gibraltar  (ville  d'Espagne).  Enorme 
Tooher  du  détroit,  t.  XVIII,  p.  51. 

—  Sss  fortifications,  210.  — Signifia 
cation  de  son  nom,  XXIII,  156. 

Giequtl  (  lie  près  de  la  Nonvelle- 
Bretagné).  Découverte  par  d'Entre- 
casteaux,  t.  XV,  p.  275. 

Gilhtrt  (  archipel ,  lies  Mulgrave  ). 
Sa  découverte.  Iles  qui  le  compo- 
sent,  t.  XVIII ,  p.  167. 

GilUtkaat  (lie  de  la  T^orwége). 
Monts  gigantesques,  t.  XLV,  p.  140. 

—  Animaux.  Depérissance  des  trou- 
peaux en  été ,  leur  nourriture  en  hi- 
ver, 142.— Édredon ,  144. 

Girqf*  tuée  par  Levaillant  Sa  des- 
cription ,  t.  XXIV,  p.  325.  —  tieux 
que  ces  animaux  fréquentent  en  Afri- 
que, 440. 

Gtr^^  (ville  de  la  Hante-Egypte). 
Est  la  DioipolU parra^X.  XXIII,  p.  87. 

Girkv/a .(  ville  du  Kano ,  Soudan  ). 
Danses  de  l'Aid,  t.  XXYII ,  p.  432. 

Giotn  (  lie  de  la  Norwége  ) ,  t.  XLV, 
p.  114. 

Giurgero  (ville  de  la  Valachie ,  Tur- 
quie d'Europe),  t.  XLIV,  p.  72- 

Glaeé  (  cap ,  Amer,  russe  ) ,  nommé 
parCook,  t  XI,  p.  66. 

Gitnadendal  (  vallée  du  cap  de 
Bonne-Espérance  ).  Etablissement  des 
missionnaires,  t.  XXVI ,  p.  52.  —  As- 
pect ,  55.  — ^  Eglise ,  56.  —  Maisons, 
manufactures,  57 «  62.  —  Popula- 
tion ,  59.  —  Mœurs  et  usages  des  na- 
turels, 59 ,  62.  —  Huttes,  60. 

Gl9m*n   (rivière  du  Sonderfields, 


Norwége  ) ,  t.  XLV,  P.  42,  45 ,  47.— 
Flottage  cie  sapins ,  49. 

GlouettUr  (Iles  dn  Ouo-de-,  arrb. 
Dangereux),  découvertes  par  Carte- 
ret,  t.  III,  p.  109. 

Gbieticf  (  ville  dn  gouvernement  de 
Tcbemigov ,  Russie  d'Europe  ) ,  tom. 
XLIV,  p.  370. 

Gmelik.  Son  voyage  en  Sibérie, 
t.  XXXI,  p.  243. 


Gom  (Ile  et  ville  de  Bedjaponr, 
Hindoustan).  Situation,  climat,  ter- 
roir, histoire,  prise  par  Albuqnerque, 
t  I,  p.  103. —  Beau  port,  XXXI, 
81.  I 

Goddah  (ville  de  la  Mongolie,  Tar- 
tarie  chinoise).  Beaux  édifices,  fon- 
taines, beaux  environs,  t.  XXXI, 
p.  59. 

Gojam  (  province  de  l'Abyssinie  ). 
Etendue  Sol.  Troupeaux  Popula- 
tion, t.  XXIII,  p.  329 

GoLBERT.  Son  voyage  an  Séné- 
gal ,  t.  XXII  ,  p.  68. 

Gommier.  Plante  remarquable  des 
lies  Malouines,  sa  description  ,  t.  lY, 

P  63. 

.Goitaguûi*  (  tribu  botentotte).  Le.i 
femmes  se  graissent  et  se  poudrent 
le  corps,  t.  XXIV ,  p.  129, 149, 15tf. 
—Episode  de  Narina  et  de  Levaillant. 
Mœurs  de  la  peuplade,  131  et  sniv. 
—Figure  Salut8,142, 187.-Habille- 
meus,  ornemens,  142,  158,  167.-- 
Soins  pour  les  vieillards ,  150.  tr 
Retenue  des  femmes,  155,  166, 186. 

—  Huttes,  156.  —  Soins  des  mères, 
160.  —  Mariages  ,  couches,  162.  — 
Armes,  169.  —  Animaux  domesti- 
ques, 173  et  suiv.— Légumes,  fruits, 
177.  —  Funérailles,  179  —Danses, 
musique,  182.  —  N'existent  plus  au- 
jourd'hui ,  XXIX ,  5. 

6oR(/<ir  (province  d'Abyssinie).  Mont 
Laraalmon,t  XXIII,  p.  279.  —  Cli- 
mat, 280.  —  Péages,  281.  —  Plai- 
nes et  sources  au  sommet,  282.  — 
Voyage  dans  le  pays ,  283  et   suiv. 

—  Langue,  mœurs  des  habitaus 
dn  Lamalmon,  284.  —  Emfras,  388. 

—  Joli  village  d'Azazzo  ,392.  —  Ri- 
vière, 393.  —  Première  église  catho- 
lique, 394  —  Pays  de  Gorgora,  394, 
397. 

Gondar  (  capitale  du  Gondar  et  de 
l'ibyssinie).  Aspect,  t.  XXIII,  289. 

—  Fonctions  de  l'acab  saat ,  298.  — 
Entrée  triomphale  du  roi,  305.  — 
Audience  accordée  à  Bruce,  309, 313. 

—  Situation.  Maisons.  Palais,  383.  — 
Bouffons  ,  464.  —  Marchés ,  465.  — 
Palais  de  la  reine ,  468. 

GoNNEViLEE,  Français.  Découvre 
des  terres  au-delà  du  cap  de  Bonne- 
Espérance  en  1503,  t.  1,122. 

GoRS.  Prend  le  commandement  du 


DES  MATIÈRES. 


873 


▼aiiiean  de  Clerk,  qui  remplaçait 
Cook ,  t.  XI ,  p.  383.  —  Longe  la  c6te 
du  Japon  .  4Sd.  —  Découvre  TUe  de 
Soufre,  463. 

GoM*  (  fie  voisine  dn  cap  Vert,  Sé- 
néffA  ) ,  colonie  française.  Sol.  Popu» 
lation,  t  XVIH ,  420. 

Gorgone  Description  de  ce  zoo- 
phyte,t.XLV,p.  189. 

Gorgon»  (lie,  côte  de  Colombie^, 
nommée    par  Pizarre.  Obscurité  ne 
ses  baies.  Ses  montagnes.  Son  climat 
t.  XXXVin,p.321. 

Gorgora  (  pays  du  Gondar.  Abyssi- 
nie  ).  Première  église  catholique.  Cli- 
mat, t.  XXIII,  394,  397. 

Gonitki  (  ville  du  gouvernement  de 
Moscou,  Russie  d'Europe).  Célèbre 
jardin  botanique,  t.  XLIV,  p  470. 

Goroehoretx  (  ville  dn  Wladimir, 
Russie  d'Europe  ) ,  t.  XLIV ,  p.  470. 

Gotha  (la).  Rivière  de  la  Suède  ) 
t.  XLV,  p.  8.     . 

Gothembourg  (ville  de  la  Gotbie, 
Suède).  Sa  ^scription,  t.  XLV, p  4 
et  suiv.  —  Environs,  7. 

Gothit  (partie  de  la  Suède). 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XLV,  p.  4 
et  suiv.  —  Gothembourg ,  4.  — Cam- 
pagne, 7,  9.  —  Villages.  Forêts  de 
pins,  7  —  La  Gotha ,  8.  —  Chute  de 
Trolhatta.  Lidkoping.  Lac  Wener,  9. 
'—  Effroyable  quantité  de  loups  ,11. 
—  Helsingborg,  XLVl ,  288.  —  Joen- 
koeping.  Linkoeping,  289.  —  Nor- 
koeping,291. 

Goubtr  (province  dn  Haonssa,  Son- 
dan).  Kalawawa,  capitale,  t.  XXVII, 
p.  404;  XXVIII ,  222  et  suiv.  —Ma. 
geria,227.  228. 

Gough,  Voy   Diego  Alvaret 

Gamnahbad  (ville  et  district  dn  Kho- 
rassan,  Perse).  Importance.  Popula- 
tion, t.  XXXV,  p.  96,  416. 

Gounds  (caste  de  l'Hindonstan). 
Mœurs.  Occupations.  Caractère  , 
t.  XXXVI,  p.  411. 

Gour  (ville  du  Bengale).  Son  anti- 
que splendeur.  Ses  vastes  ruines  , 
t.  XXXVI,  p.  98. 

Goutto  (pays  d'Abyssinie).  Langue. 
Bétail  Miel.  Campagne,  t.  XXIII, 
p.  400,  409 

GoMer  (tle,  Australie).  Découverte 
gar  Carteret,  t.  III,  p   136.  —  Piro- 
ues  construites  avec  art,  138. 


6nb^lI«/iM((viUage  du  Saeewberg, 
colonie  dn  cap  de  Bonne-Espérance). 
FertUité  dn  sol,  t. XXVI,  p.  845.  — 
Rues,  tiglise^  346.  -«  Productions  dn 
•ol,348. 

Gncia  (lia  de ,  mer  des  Antilles). 
Découverte  par  Colomb,  t.  XXXVIII, 
p.  177. 

Graeicta  (Ile ,  Açores).  Découverte 
par  les  Portugais,  t  17^ ,  p.  157.  — * 
Population,  productions,  l59;  XX  , 
444. 

Graham  (ville  de  la  colonie  du  cap 
de.  Bonne-Espérance).  État.  Popula- 
tion. Arbres.  Situation,  t.  XXIX, 
p.  247.  ^  Famille  de  fermier,  249. 

—  Chariots.  Objets  de  eommerce  avec 
les  naturels  des  frontières ,  250.  — 
Animaux  divers.  Chasse  aux  élé- 
phans ,  254.  —  Déprédations  dea 
trilms  frontières ,  256 

GraMpiUe  (lie ,  Polynésie).  Décou- 
verte par  Edwards ,  t.  XIII ,  p.  427. 

Grantlejr  (port,  Amérique  rus&e). 
Découvert  par  Beechey.  Sa  descrip- 
tion. Naturels  :  leurs  armes,  leurs 
huttes  ,  t  XIX ,  p.  449  et  suiv. 

Gray  (port  de.  Nouvelle- Albion , 
Amérique  septentrionale).  Rivage  , 
productions ,  naturels ,  pirogues ,  ar^ 
mes,  t.  XIV,  p.  376,  378. 

Gray  et  DocHARD.  Leur  voyage 
dans  l'Afrique  occidentale,  t.  XXVIII, 
p.  285. 

Grebatof  (v'ûle  du  Wladimir,  Russie 
d'Europe),  t.  XLIV,  p.  469. 

Griee.  Montagnes,  t  XLIV,  p. 290, 
322.  —  Murailles  de  Tiryntho.  Lac 
de  Lerne ,  295.  —  Nouvelles  mon- 
naies de  même  dénomination  que  les 
anciennes.  Manière  de  voyager,  296. 
— •  Raines  et  bois  sacré  d'Hiéron  , 
297.  —  Ruines  d'Epidanre ,  304  — 
Miel  du  mont  Hymette  Eleusis ,  31 1 . 

—  Mégare,  312.  —  Élémens  de  pros- 
périté ,  314.  —  Campagne ,  315 ,  316, 
ol8.  —  Vortizza.  Fameux  raisins.  Pla- 
tane immense,  316  et  suiv.  —  Le 
Parnasse,  322.  325.  —  Voyage  de 
Ponqueville,  XLVI ,  206.  —  Navarin, 
207.  •—  Thcbes,  Sparte,  Spezzia,  213. 

—  Hydra,  214.  —  L'illissus,  215. 
Voy.  Athénttj  Corintho  ,  Napoli  > 

capitale  ;  Patrat, 

Grées  ûHcient.  Leur  premières  navi- 
gations, t.  I,  p.  3.  —  But  réel  de 


>^  V 


374     . 


TABLE  GÉNÉRALE 


l'expédition   des    Argonantm,   tUd. 

Grtes  mmdtrMt.    Leur    caractère 
t.  XLIV,  p  293.  —  Lenrs  cafés ,  520. 

—  Leurs  mariages ,  322  et  suiT.  — 
Mœurs    guerrières    des    Malnotes 
XLVI,  208,  210  et  sniv. 

GrtKodi  (-Tille  et  prorince  d'Es» 
pagae).  État  florissant  de  l'ancien 
royaume  Maure ,  t.  XLVI ,  p.  166  et 
suiv.  —  L'Alhambra ,  167.  —  Salu- 
brité du  climat.  Agrémens  de  la  rille , 
168.  —  Antequerro ,  Malaga  ,  109. 

Grtnadt  (Nouvelle-,  province  de  la 
Colombie  ).  Surface.  Population , 
t.  XXXVIII,  p.  S80.~  Productions, 
807  et  snÏT.  —  Nombres  des  divers 
babitans,  XLII,  402. 

Griqua  (ville  et  tribu  de  Betcboua- 
nas),  t.  XXIX,  p.  37.  -  Agréable 
situation  ,  59.  —  Climat,  40.  ~  Qri- 

Îine,  progrès,  état  actuel  desGriquas, 
1.  —  Conseil  de  guerre ,  46.  —  Ba- 
taille contre  les  Mantatis  qui  sont 
vaincus,  101  à  112,  136.  —  Allian- 
ces avec  les  Coranas,  \97. 

Grijalva.  Découvre  nie  Saint-Tho- 
mas dans  la  mer  du  Snd,  1. 1,  p.  164. 

Grodno  (gouvernement  de  la  Russie 
d'Europe).  Voyage  dans  l'intérieur, 
Bielsk,  Bialistok,  t.  XLVI,  p.  139.  — 
Juifs,  140. 

Groiwo  (cbef-lien  du  gonvern.).  Sa 
description.  Le  deuxième  partage  de 
la  Pologne  y  fut  signé,  t.  XLVI, 
p.  139. 

Groenland  (grand  pays  de  l'Amé- 
rique septentrionale).  Sa  dteowerte. 
SignifioatioH   de  ton  nom,  t.  Y,  p.  10. 

—  Saisons  et  lelTrs  phénomènes,  XL, 
ij  et  suiv.  —  Température,  vj.  — 
Côte  de  Londres,  Hope  Sanderson  , 
lie  des  Femmes,  nommée  par  Davis , 
xvij  ,  256.  —  Verte  campagne.  Signi- 
fication du  nom  dn  pays ,  34.  —  Mai- 
sons ,  56.  —  Caractère  du  Groënlan- 
dais.  Productions ,  38.  —  Lits  des  ra- 
vines, 257.  —  Animaux,  259. — Voy 
Etquimaux,  Holsteinbtrg. 

Groningue  (Ile  de ,  archipel  des 
grandes  Cyclades).  Découverte  par 
Rogewin ,  t.  II ,  p.  65;  IV,  278. 

Groot-Barg  (rivière  de,  colonie  du 
cap  de  Bonne-Espérance).  Bac.  Péage, 
t.  XXVI,  p.  106. 

Gratta  (  tle  du  golfe  Adriatique) , 
t.  XLIV,  p.  331. 


Groupes  (Iles,  archipel  Dangereux). 
Découvertes  par  Cook.  Description  de» 
babitans,  tV,  p.  00,  93: 

Grurby  (vallée  dn  Fessan).  Voyage 
dans  la  vallée,  t.  XXVII ,  p.  30  a  57. 

Guat/a  (ville  de  l'Yaouri ,  Guinée). 
Le  Niger.  Canots,  t.  XXX,  p.  216. 

Guadtloup*  {\\t ,  Petites  Antilles), 
Découverte  par  Colomb,  t.  XXXVIII, 
p.  164.  —  Amaaones.  Productions , 
165.  —  Aspect,  XLI,  275.  —  Pro- 
menade de  la  capitale ,  la  Soufrière , 
276. 

Guanaqut.  Description  de  ce  qua- 
drupède, t.  III,  p.  241. 

Guaiyook  (bourg  de  l'Abyssinie). 
Bosquets,  gibier,  t.  XXIII  ,  p.  473. 

Guarda  (lac  du  Tyrol),  t.  XLV, 
p.  599,  400. 

Guari  (ville  et  province  du  Zeg- 
Zeg ,  Soudan).  Ancienne  et  nouvelle 
ville.  Situation  ,  t.  XXVIII ,  p.  204, 
:i05,  268. 

Guateo  (ville  du  Cbil').  Mines. 
Sol,t.  XLI,p.  406.  t 

Guatimala  (république  de  l'Améri- 
que septentrionale).  Surface.  Popu- 
lation, t.  XXXVIII,  p.  589  et  suiv. 

—  Compagnie  pour  la  section  de 
l'isthme  do  Nicaragua,  406.  —  Cam- 
pèche,  XLI, 5,  167.  —  Indigo  re- 
nommé,   108   —  Montagnes,  411. 

—  Borues.  Montagnes,  XLII,  449. 

—  Rivières ,  productions  ,  450 , 
457.  •—  Habitans  et  leur  nombre. 
Milices,  451.  —  Population  des 
principales  villes,  452.  —  Pouvoir 
législatif,  455.  —  Caractère,  \ie, 
usages,  etc.;  des  Indiens  valientes, 
4ô6.  — -  Récolte  de  la  vanille  aroma- 
tique. Projet  de  réunion  entre  les 
deux  mers ,  458. 

Gualimala  (capitale  de  la  républ;- 
que).  Histoire.  Nooibreuses  vicissi- 
tudes, t.  XLII,  p.  452,  453.  —  Cli- 
mat. Maisons.  Grande  place.  Église. 
Amphiihéâtre.  Université,  etc.,  454- 

—  Population.  Chambre  dn  Sénat. 
Progrès  de  l'instruction  publique  , 
455. 

GnATiMOZiiT  (empereur  du  Mexi- 
que ),  Fait  prisonnier  par  Cortcz, 
t.  XXXVIII,  p.  315.— Est  mis  à  la  tor- 
ture. Sa  fiu  tragique ,  316. 

Guaraquil  (ville  de  la  Colombie) , 
t.  XLn,p.  431. 


DES  MATIERES. 


m 


G»fuim(ne,  Marianne*).  Décrite  par 
Dampier.  Prodnctioni,niaiioni,  cha* 
loupes  des  habitans,  t.  I ,  p.  560  et 
suiv.  —  Sa  description  par  Roggers , 
M ,  23.  —  Description  de  la  ville 
d'Agana,  X\UI,  237,  246.  —  Des- 
cription dn  Tillage  et  des  maisons  de 
Massa,  288.  •—  Détails  sur  les  rela- 
tion* de  l'Ile  arec  les  Carolines,  241 
et  SUIT.  —  Aspect  de  la  cùte  orien- 
tale. Sol ,  467.  —  Productions ,  ani- 
mans,  XVIII,  86. 

Gmittiu  (pays  d'Amérique  méridio- 
nale). Origine  des  établissemens  fran- 
çais et  hollandais  ,  t.  XXXVIII  , 
p.  844. 

Gt^yaiu  tmglait».  Voyage  dans  l'in- 
térieur et  dans  les  déserts  de  l'ouest , 
t.  XLI ,  p.  173.  —  Poison  mourait,  ses 
singulières  propriétés,  etc.  Voy.  e* 
nom.  —"Plantations,  174.  —  Beauté 
dos  arbres ,  grosseur  de  qnelqnes  es  • 

Îèces,  etc.,  174,  176,   193,  194, 
98.  —  Arbres  croissant  sur  d'autres 
arbres ,  178.  -—Fertilité  du  sol ,  179. 

-  Quadrupèdes ,  179,  m,  205, 281 . 
•—  heparotteu*,  180.  —  Magnifiques 
oiseaux,  181.  197,  196,  201,  203, 
231  et  suiv.,  234.  •—  Vampires,  163, 
237.  —  Reptiles ,  183,  186 ,  250  , 
241  et  suiv.,  256,  284.  —  Poissons, 
185,  198.  —  Climat ,  185.  —  Insectes, 
185 ,  203 ,  231,^40.  —  Pays  de  Ma- 
cousbie,  198.  Voy.  ee  nom.  —  Gomme 
élastique,  198  —  Position  de  l'Eldo- 
rado ,  200 ,  202 ,  204.  —  Savannes , 
201.  —  Grandes  fourmilières,  203. 

—  Habitudes,  nourriture,  etc. ,  de 
l'oiseau  -  mouche  ,  231  et  suiv.  — 
Grosses  fonrmies  rouges  ,  240.  — 
Chasse  au  serpent,  251  à  258.  — 
Chasse  au  caïman  ,  260  à  265. 

Voy,  Demerary,  rivière  ;  Essequibo , 
ririère  ;  MacousIUs ,  Indiens;  Stabroek, 


Guiane  française.  Le  coq  de  ro- 
cher, t.  XLI ,  p.  228.  —  Grosse  four- 
mi rouge.  Autres  insectes  ,  240.  — 
Reptiles,  241  et  suiv.  Voy.  Cayenne. 

Guiane  hollandaise.  Voyage  dans  le 
pays.  Paramaribo.  Nouvelle-Amster- 
dam ,  t.  XLI,  p.  228  et  suiv. 

Guiantt  (Indiens  des).  Meurtre  de 
l'un  des  jumeaux ,  t.  XXXVIII , 
]>.  379.  —  Veuvages  abortifs  ,  381 . 
—  /eux ,  danses  ,  XLI ,  176.  —  Cos- 


tume, ornemens.  188,  S46.  —  Ta- 
touage ,  188 ,  246.  —  Demenres  , 
187,  189,  192.196.202,  265.  — 
Tribus  principales.  Huttes.  Meubles. 
Occnpanons,  244.  —  Liqnenr  ter- 
mentée,  245.  —  Maladies,  246.  — 
Religion ,  247.  —  Caractère ,  2^.  — 
Mo«fe  de  communication ,  249.  — 
Amour  de  l'indépendance  ,  250, 
Voy.  Mieouihit. 

Guillaumt  (entrée  du  Prince-,  Amé- 
rique msse).  Exphirée  et  nommée  par 
Cook,  t.  X ,  p.  439  à  452,  et  XI,  1  et 
suiv.— Entrevues  avec  les  naAirels,X, 
440,  442,448,  449.  -  Costumes, 
ornemens,  440,  443.  —  Chants,  440. 

—  Pirogues,  441,  443.  —  Passion 
des  naturels  pour  les  grains  de  verre 
et  le  fer,  444.  —  Ils  essaient  de  piller 
le  vaisseau  de  Cook ,  445 ,  446.  — 
Baie  du  Réduit  fermée,  448.  —  Rai- 
sons de  croire  que  l'entrée  ne  donne 
pas  an  passage  an  nord ,  450.  —  Ile 
MonUgn.  Iles  Vertes,  451,  452.  — 
Étendue  de  l'entrée ,  XI,  1.  —  Figure 
des  naturels ,  2.  -~  Leur  yétemens  , 
3.  •— '  Ornemens  suspendus  et  in- 
crustés ,  5,  7.  —  Lèvre  inférieure 
fendue ,  6.  —  Coloriage  Je  la  fignrej 
7.  —  Canots ,  8.  —  Armes ,  instrn- 
mens  de  péclie  et  de  chasse ,  9.  -^ 
Meubles ,  10.  —  Outils,  il.  —  Nour- 
riture ,  cuisine  ,  12.  —  Idiome  ,  13. 

—  Animaux ,  14.  ~^  Belles  Â>ur- 
rures ,  15.  —  Oiseaux  ,  16.  —  Pois- 
sons ,  métaux  abondans ,  17.  ~  Vé- 
gétaux, 18.  —  Reconnaissance  des 
eûtes.  Entremes  avec  les  naturels , 
XIII,  292  et  suiv.  — •  Formes  physi- 
ques ,  337,  339.  —  Vie  nomade. 
Gouvernement ,  337.  —  Cheveux. 
Ornement  des  lèvres  et  du  nez  Barbe, 
538.  —  Costumes.  Productions  du 
pays ,  339.  —  Animaux.  Amour  des 
naturels  pour  le  ter  et  le  verre.  Nour- 
riture. Cuisine ,  340.  —  Sont  d'une 
race  sauvage  et  endurante,  341. 

Guillaume-Henri  (lie  du  Prince-, 
Polynésie).  Découverte  par  Wallis , 
t.  III,  p.  303. 

Guinée.  Découverte  par  les  Portu- 
gais ,  t.  I ,  p.  11.  —  Visite  à  réta- 
blissement des  nègres  délivrés  k  Sierra- 
Léone,et  observations  sur  l'abolition 
de  l'esclavage ,  XXVIII ,  875  et  suiv^ 
—Traitement  des  esclaves,  XXX,  278. 


37G 


TABLE  GÉNÉRALE 


V07,  In  proriaoei  d«  JÊehmti ,  Âl- 
q»»mi ,  B»HiM,  Calaèmr,  C4l»  d*»  Mi- 
»lt»*tt  Etoi,  Mngankif  FmH,  FwUm, 
Ymrrtbm,  l'tU  Ftriuado-Po. 

Giibtét  (NoareUe<,ou  terra  des  Pa- 
poDi,  Auitnlie).  Déoourtrte  par  l'Et- 
pagnol  Saaredra ,  1. 1 ,  p.  162.  —  la- 
«uuire*  noiri ,  et  i  dnquante  lieues 
blaoci ,  tbid.  — •  Comment  ils  conter- 
vent  le  gibier,  430.  —  Animaux  de 
l'Ile.  Figure ,  ornemens ,  pèches  des 
Papous ,  433  et  suir.  —  Font  usage 
d'un  feu  semblable  à  celui  de  la 
poudre>à  canon,  YI ,  413,  415.  — 
hahitans  de  l'intérieur  et  des  cAtes  , 
XVIII ,  182.  —  Description  de  trois 
races  d'habitans ,  812.  — '  Jalousie 
maritale ,  513.  —  Industrie.  Nouri- 
ture.  Musique.  Maurs ,  314.  —  His- 
toire de  la  reconnaissance ,  XX ,  883. 

—  Baie  Astrolabe.  Naturels.  Armes. 

Canots  ,  880 Oiseaux  de  paradis. 

Beauté  du  pays.  Bois  précieux  ,  888. 

—  Productions,  animaux ,  XLIII,  ix. 

—  Religion ,  figure ,  les  Pr>pons ,  les 
Endamènes,  xx.  Voy.  bavre  JOer^, 
baie  Aitroîabt. 

GudbnuuJal.  Belle  et  ricbe  Tallée  de 
la  Norvège,  t.  XL7,  p.  66.— Aspect 
des  chaumières,  population  et  cul- 
ture, 61. 


Gmhmo  (Ile  du  Niger),  t.  XXX, 
p.  85r— Etendue  de  i'Ue.  Caractère 
des  babltans,  854. 

GunjM  (Tille  du  BrésU),  t.XLII, 

p.  6a       ^ 

G«rJUal(Et«t  de  TBindoustan  ). 
Capitale.  Théâtre  prbcipal  de  Is  my- 
thologie liindoae,  t.  XXXV,  p.  478, 
479  et  suir. 

CuMtrêt»  (proT.  derHindoustan\ 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XXXI, 
p.  66.  —  Autre  Toyage.  XXXVI,  361. 
—Animaux ,  861,  896.  —  Jhalloda , 
862.— fiarreah  ,  865.  —Arbres ,  861, 
866 ,  377,  891 ,  897.  —  Charretiers, 
862.— ViUsges,  868,  868,  877,  891, 
892 ,  896.  —  Campagne ,  364 ,  877 , 
390,  897.  —Ville  et  État  de  Baroda, 
869  à  376 —  Soldats,  865,  869  et 
suir. — Provisions  de  foin, 87/.— Cos- 
tume, figures,  etc.,  des  Kbolis,  879 
et  suiv.  —  Divers  habitans  ,  880. 
—  Fertilité. Tabac.  Sucre,  884.— Cli- 
mat désastreux,  886,  394.— Animaux 
venimeux,  388.  --•  Pierres  précieu- 
ses, 889.'~>Rareté  des  palmiers  et  des 
bambous,  891.-^ Chefs  de  village, 
891.  —  Vaste  caravanserai  de  Kun- 
Chowley,896.  Voy.  Barook*,  Bhtili, 
Diu,  OUtpour,  KauÎJif  Kholit,  P»tU, 
Pittamt,  Surat*. 


H 


naatm»  (  Qe  du  groupe  Hapaee ,  ar- 
chipel des  Amis  },  IX ,  350. 

OaarouK-at'BMehild,  Description  de 
son  tombeau,  t.  XXXV,  p.  217  et 
snir.,  233. 

HaiHOH  (  Ile  de  la  mer  de  Chine). 
Étendue,  t.  XVIII ,  p.  447.  —  Forêts. 
Habitans.  Productions ,  448. 

Haïti  on  NitpanMa  (  Ue ,  Grandes 
Antilles  )  ,  découverte  par  Colomb., 
t.  XXXVIII  ^p.  106.— Naturels.  Caci^ 

2 ne ,  108.  —  Slasque  d'or  donné  à 
olomb ,  109.  —  Echanges  avec  les 
matelots ,  112.  — '  Colonie  espagnole, 
115.  — ■  Sa  ruine ,  138.—  Fondation 
delà  ville  /faM/«»  138, 144.  —  Pro- 
vince Cibao,  142.  —  Mines,  143, 
163,  200.  —  Fondation  du  fort 
Saint-Thomas,  143.  —  Ruse  par  la- 
quelle Colomb  se  rend  maître  d'un 


cacique  ennemi  de  la  colonie,  152. 

—  Défaite  de  l'armée  indienne,  155. 

—  Tributs  exigés,  156.  — Fondation 
de  Saint-Domingue,  172.  —  Bava- 
dilla  remplace  Colomb  dans  le  gou- 
vernement, 181.  —  Impût  sur  les 
mineurs ,  200»  —  Ovando  remplace 
Bovadilla,  499.  —  Perfidie  d'Ovando 
contre  les  Indiens ,  208.  —  Dépopu- 
lation, 246.  —  Atroces  procédés  à 
l'égard  des  Indiens,  255.  —  Popu- 
lation, 409. 

Halai  (  village  du  mont  Taranta , 
Abyssinie).  Figure  des  habitans.  Bé- 
tail, t.  XXIII,  p.  208. 

Httifaia  (ville  du  Sennaar,  Nubie). 
Aspect.  Étendue.  Manufacture,  tum. 
XXIII,  p.  491. 

Aa/f  a«(tle,  groupe  Loyalty).  Nom- 
mée par  d'Urville,  t.  XVIII ,  p.  304. 


DES  MATIÈRES. 


377 


Hêlt  (fUl«  d«  U  BitUn^.  Fanmiei 
mliiM  d«  Ml,  t.  XLY.p.  875  à  880.— 
Intérieur  flo  U  tIH*.  Manafaotura,876. 

Hall.  Son  voyage  de  découverte 
à  la  côte  occidentale  de  la  Corée, 
t.  XXIf  p  1 .  — Vitite  un  oiief  coréen , 
14  et  tuiT.,  as  f  89.  —  Arrive  à  Tlle 
Loo-Clioo,  59.  —  Reçoit  d'nn  haut 
chef  une  vitite  qu'il  (ni  rend,  87, 
93  et  suir, ,  167.  —  Fait  un  prome- 
nade Ji  terre,  109,  121.  132,  162.  — 
Décourre  et  décrit  le  port  Mel- 
ville,  132  il  143.  —  Reçoit  visite  du 
prince,  167. 

Hall  (  groupe  de  Sir-James-,  mer 
Jaune).  Apect.  Habiuns ,  lenrs  véte- 
mens,  leur  naturel  insooiable.  Vil- 
lage, t.  XXI,  p.  1  et  suiv. 

HêUum  (  Ile  du  Nil  ),  Souvenir  de 
l'olivier  de  Strabon,  t.  XXtIl ,  p.  74. 

Hamoa  (  Ile,  archipel  des  Amis  ), 
t.  X,p.  46. 

Bawuur/ut  (port  de  l'Ile  Qnaloè'n , 
Norwége  ).  Maisons.  Hospitalité . 
t.  XLV ,  p.  200.  —  Baie.  Poissons, 
Habitons,  231.  <—  Soirées,  chants, 
232.  —  Belles  femmes.  Toilettes,  234. 
— Un  hiver  passé  dans  le  pays,  247  et 
suiv.  •—  Phosphorescence  de  la  mer 
Polaire,  248.  ->  Approches  de  l'hiver, 
251.  —  Départ  des  Lapons,  253.  — 
£ffet  produit  sur  l'horizon  par  le  so- 
leil au-dessous.  Aurores  boréales, 
260.  —  Etablissement  commerciaux, 
277.  —  Population.  Nature  du  com- 
merce,  278.  •»  Vie  intérieure  des 
colons.,  279  à  283. 

Hanmr*  (Nouvelle-,  Nouvelle-Bre- 
tagne, Amérique  septentrionale  ). 
Nominée  par  Vancouver,  t.  XIV, 
p.  451.  — Aspect  du  pays,  419.  — 
Fourrure  d'un  animal  indigène.  Mu- 
tilations et  omemens  extraordinaires 
des  naturels,  420.  —  Leur  figure, 
422.  —  Ile  Hawkesbnry,  429.  — 
V.  Démit  d*  la  H«iiu  '  ÇhoHotl*  ^ 
Arehipal  de  Pitt. 

Hanovre  (Nouvelle-,  tle,  archipel  de 
la  Nouvelle -Bretagne).  Découverte 
par  Carteret,  t.  III,  p.  15d. 

Haoutta  (royaumedu  Sondan).Ren- 
seignemens  divers,  t.  XXV,  p.  164, 
245.  —  Voyage  dans  l'iotérieur.  Be- 
delurfie,  XXVII,  330.  —  Objets  du 
commerce ,  333.  —  Pays  et  tribu  des 
Bcdites ,  334, 341.  —  Arbres  remar- 


Îuablei,  884.  —  Acrienltvre,  888, 
46.  —  Province  de  Bede  Guna,  888. 
»  Huttes,  841.  —  Sansang,  842 1 
844.  —Yaeoba.  CannibalUme,  856. 

—  Campagne,  866,  895, 898.  —  Cos- 
tnme  et  arme*  des  guerriers,  874. 

—  Boxeurs,  884.  —  Kadania,  804. 

—  Faniroce,  395.  —  Province  de 
Cachena ,  396  —  Voyage  dans  l'in- 
térieur à  travers  le  Guari,  le  Zeg-Zeg, 
XXVIII,  183  àg67.— Kotoncora,a(n. 
Magaria,  222,227.  —  Mœurs,  usages 
et  coutumes  des  Cambriens  ,  XXX , 
219  a  222.  —  V.  provinces  on  tribus 
de  Btdtcti  Cotica,  F*lataht ,  Guari  ^ 
Goubtr,  Kam,  Katagoum,  Yaeoba, 
Zamfra,  Ztg-Ztg. 

Hauuia  mipitale  dn  HaouHa),  tom. 
XXV,  p.  164, 245. 

Hapaê*  (groupe,  archipel  des 
Amis  ).  Reconnaissance  et  descrip- 
tion des  Iles  du  groupe ,  t.  IX,  p.  8a0 
à  388.  —  Aspect.  Iles  qui  le  compo- 
sent, 850  —  Denrées  ,  351.  —  Cé- 
rémonial de  la  réception  qu'on  y 
fait  à  Cook,  852  et  suiv.  —  Com- 
bats simulés  partagés  par  les  fem- 
mes, 855.  —  Amnsemens  nocturnes 
des  naturels,  leurs  chants  et  leurs 
danses,  858  à  368.  —  Femme  ocu- 
liste. Singulier  moyen  |>onr  raser 
les  cheveux ,  374.  •-•  Respect  pour  le 
roi,  381.Voy  Foa^Hamto,  Utolaiwa, 
L«fooga. 

HapMon  (tle,'gronpe  Burdet,  Poly- 
nésie). Nommée  par  Beechey,  tom. 
yix,  p.  434. 

iSTara^  (ville  dn  Penjab,Hindoust.), 
Ses  ruines,  son  histoire,  t.  XXXVII, 
p.  423. 

Hardonaroxi  HurduMr^rAle  de  l'Hin- 
donstan).  Situation.  Description  de  sa 
célèbre  foire,  t.^  XXXVI ,  453  et  suiv. 

Harem.  Appartement  des  femmes 
d'Orient.  Le  médecin  est  le  seul  étran- 
ger qui  y  soit  admis.  Précautions , 
t.  XXII  ,  p.  406.  —  Détails  sur  les 
harems  de  Perse,  XXXI,  230.  — 
Détails  sur  l'intérieur  des  harems  de 
Turquie,  XLVI ,  88  à  90, 108  à  114. 

Harp*  (Ile  de  La  ,  archipel  Dange- 
reux). Découverte  et  décrite  par 
BougainviUe,  t.  IV,  p.  203. —  Est 
probablement  celle  que  Cook  nomina 
plus  tard  du  Lagon ,  VII ,  150. 

Hartfoni  (ville    du  Connecticut, 


/^ 


S78 

Étato-UoU  ).  ReaartniakUa  4tabii»M- 
mrni  pabliri ,  t.  XXXIX ,  p.  174. 

II»»M0  (  Tilie  dn  Wogora ,  Abjui- 
nte  ).  Sitaatioii.  Monti  reOMrqaables, 
t.  XXIII,  p.  257,  258. 

UwanM  (tabula  de  l'Ile d«  Cuba). 
Son  heurense  potition,  t.  XXXVIli , 

Ï.  411.  —  Popalation,  port,  rue», 
18.  —  Bel  aspect.  Edifices ,  414.  — 
AméUoratioiit.  Ceodrei  de  Colomb  et 
de  Cortea,  415.  —  EnTironi.  Climat, 
416, 420.— lotUtutiont  divertet,  423. 
^  Loterie,  441.  Vie  du  Cubanaii, 
442  et  mi*.  —  Belle  promenade. 
Figure.  Cottame.  Education  des  fem- 
mes, 444.  —  Meurtre.  Lit  de  ihttt  ^ 
446.  —  Aspect.  Habitans,  XLI,  168. 
—Jardin  botanique.  Palais  épiscopal. 
Marchés,  169.  —  Marché  aux  escla- 
ves. Climat.  Rues.  TliéAtre,  170. 

Hwot  (Ile  du  Finmark ,  Norwége), 
roo  de  Hœsten,  t.  XLY ,  p.  211.  •— 
Talc,  212. 

Hawatf  Toy.  Sandmleh. 

Hamkubury  (Ile,  Polynésie  ).  Décon- 
verte  par  Edwards,  t.  XIII,  p.  431. 

^<i<rJl-Mi«i^(lle,IfouTelle-HanoTre. 
Nommée  par  Vancouver,  tom.  XIV, 
p.  429. 

Hayiot  (ville  de  la  Roumélie,  Tur- 
quie d'Europe),  t.  XLIV,  p.  52. 

HafHa*  (  tribu  d'Abyssinie  ). 
Couleur.  Vètemens,  etc.,  t.  XXIII, 
p.  202. 

Hkad.  Son  voyage  à  travers  les 
Pampas  et  les  Andes,  pour  explo- 
rer les  mines  d'or  et  d'argent.  PrcH- 
minaires ,  t.  XLI ,  p.  278.— Franchi  t  la 
Cordillère,  342  à  869. 

Hebhth  (viU^e  l'Irak- Akari,  Tur- 
quie d'Asie).  Dépravation  des  mœurs, 
t.  XXXII,  p.  486 

HiBcn.  Son  voyage  dans  les  pro- 
vinces supérieures  du  Gange,  tom. 
XXXVI ,  p.  1.  — -  Ses  entrevues  avec 
le  nawab  d'Aoude,  187  et  suiv.  — 
Refuse  une  invitation  de  la  célèbre 
Begum-Sumrou ,  264.  —  Est  pré- 
senté à  l'empereur  de  Delhi.  Cérému- 
mes.  Cadeaux ,  275  à  282.  —  Visite  le 
rajah  c  BuUumghur,  285.  —  Le  na- 
wab t  Sikre ,  288.  —  Le  rajah  de 
Baroda ,  869,  373  —  Le  nawab  de 
Madras,  432. 

HAridet  (archipel  des  Nouvelles^, 
Austk'al.) .  Iles  Aurore,  de  la  Pentecâte , 


TABLE  GÉNÉRALE 


d«  Pie.de  l'Etoile,  t.  lY,  p.  207.-U«- 
crlt  et  nommé  par  Cook,  Vlll,829, 421 . 
—Vilains  babitans, 840.— Leur  ooqit 
semblable  k  celni  d'une  fourmi,  841. 
•—  Ornemens  ,  armes ,  542  —  Grut 
Igulers,  891.  '—  Voy.  Iles  Âmbrym, 
^pé«,  Èrf^mag»,  Ernmam,   GranJtt 


Cjr«lad»t,    Jmmtr,  Léprtu* ,  Lojralljr, 

Îroupe  ;  MalUeçllo,  Pa»«m,  PtnUcél*, 
*t0-d*-l'EMU ,  Swtdmiek,  SaiM-Bat^ 
thélHUg^f  Sêphini ,  Ttumm,  Ttm  du 
Saint-Etprit. 

H»4iit»  «M  Àrabtt  PétrH  (  province 
de  l'Arabie).. Voyage  le  long  de  la 
c6te,  t.  XXIII,  p.  181  à  187.— Beauté 
du  pays.  Mont  Ruddua ,  135.  — 
Voyage  de  burckhardt ,  XXXII ,  5.  — 
Naturels  sont  portés  au  commerce, 
17.  —  État  des  chrétiens ,  20, 161.  — 
Denrées,  28,82,  241,  246,  253.- 

Portefaix,  41 Huttes  k  café,  45, 

73.  —  Montagnes.  Vallées,  45,  52, 
St,  240. 244, 251 .  252,  258,  261 ,  im, 
540.  —  Naturels  ne  voyagent  que  de 
nuit ,  46.  —  Sol ,  47,  237,  240, 251. 

—  Arbres,  48, 55,  236,  259.  —  Uhl 
ges  des  pèlerins,  51,  57,  09, 77,  lia. 

—  Ras-el-Kora,  55.  — ■  Productions, 
55,  243,  253,  307.  —  Maisons  du 
Hadheïls ,  56.  —  Costume  du  pèlerin , 
69  et  suiv.  ~  Musique.  Chants ,  1(tô. 

—  ftabegh ,  246  et  s«mv.  —  Ordre  de 
marche  des  chameaux,  243.—  Puiti, 
246,  250.  —  Baume,  255.  —  Voleurs, 
?.')7.  —  Ujedideh,  258  —  Remarque» 
sur  la  direction  des  vallées,  266.  — 
E.«inèces  de  dattes ,  298.  —  Volcan , 
5(H).—  Manque  de  chevaux.  Moutons, 
325.  —  Torrent  de  Wady-Akik,  837. 

—  Beder,  343  à  345.  —  Aigles ,  346. 

—  (Croyances  sur  la  peste,  349,  355, 
357.  —  Eaux  thermales.  Forêts  de 
dattiers ,  874.  Voy.  Djdda,  la  Mtcqat, 
Midin»,  Sinat,  Su/m,  Toi*/,  Tor,  fTa- 
di-Sfiiaa,  Yembo. 

Heibaîe  f  ville  de  la  Tatarie  indépen> 
daute).Cl)V>'*i>u  de  hx-iques,  t.XXXVII, 
p.  i^\S.  —  Maisons.  Costumes,  137. 

Ht  Iqelandt-f^ar  {lies  de  l.t  Norwége), 
t.  XLV,  p.  120. 

Hellespont,  ou  d/troitdff  I/ar">'<rnel>ei 
(entre  la  Turquie  d'E»     r.<  "' j  >  'i 
quie  d'Asie).  Aspect  dt.       t  -,  ;.  XLÎ  /, 
p.  281.  / 

Ileltingborg  (ville  de  la  Gotliic, 
Suède),  t.  XLVI,  p.  288. 


DES  MATIÈRES. 


87U 


jy«M (villa  de  la  Syrlv,  Tvnnit 
(rAiie).Fortificatlont.  Mal»oni.  Mon- 
quéeii.  Combnt^  •Imalét,  t.  XXXII, 
p.  4M. 

Hémmi  (  mont  ),  t.  XLVI  «  p.  28. 58. 

Wmif  frille  da  KhoraMan ,  Parus  ). 
Comparaola  à  Itpahan.  Grande  pla- 
ce. Basari.  Moiquéa.  PupaUtioo  , 
t.XXXV,  p.4t7. 

UiaoMT.  Se>  opératiuDi  aoi  M ar> 
qniiet ,  t.  XIV,  p.  877.  —  DéoooTre 
les  Ile*  TreTeoen  et  Sir-Beon-Martin. 
381.  —  L'Ile  Robert,  884.  —  Eit  tué 
par  les  naturel»  de  Woabou ,  887. 

Hfrgtit  f  groupe  •«'  l'archipel  des 
Marquiiet  V  1  ;i)>ii>rM  par  Hergett , 
nommé  pat  >'  ..  >«<v  -  lies  Riou, 
TreveovLi.  Sir-II«ni.  Martin,  Robert, 
p.87Ua584. 

H*rm„'<ta  '  :  ille  de  la  Transylra- 
iiiR  empire  d'Antriche),  t.  XLIT, 
7       S,  106. 

liirmiM.  Dc^icription  de  cet  animal 
et  de  ses  lub'^niles,  t.  XLV,  p.  91. 

UiRoiM>TE.  So»  Toyages,  t.  I,  p.'  4. 

Rtnty  (lied*,  ou  T*rrongg»mon, 
Àlooa,  Polyaétie  ).  Décuurerte  par 
Cook,  t.  VIII ,  p.  56.  —  Aspect.  Na- 
turels,  IX ,  321.  —  Leurs  ornemens, 
leur  idiome ,  lenrs  pirogues ,  823. 

Ui/ron  (ville  de  la  Grèce).  Ses  rui« 
nés ,  son  bois  sacré,  t.  XLIV,  p.  297. 

aiglamitit  (montagnards  d'Ecosse), 
t.  XLVI,  p.  276. 

Himaliya  (  montagnes  de  l'Asie  ). 
Voyage  de  Fraser,  t.  XXXV,  p.  423. 

—  Portion  visitée,  425.  — «  Aspect 
sauvage ,  426.  —  Végétaux.  Animaux, 
432,  478.  —  Habitans,  433.— Teint, 
434.  —  Costumes,  435,  437.  —  Fi- 
gare  et  état  des  fummes ,  436.  —  Ma- 
riages. Religion  ,  437.  —  Castes ,  438. 

—  Polyandrie ,  462.  —  Maisons,  464. 

—  Religions.  Funérailles ,  465,  466. 

—  Cornes  sacrées ,  478.  —  Sources 
de  la  Djemma ,  482,  485,  486.  —  De- 
meure des  esprits.  Eaux  tliermales, 

483,  488.  —  Pic  do  Bender-Pouch , 

484.  —  Théâtre  des  faits  mytliulogi- 
queu  hindou '^.  Superstitions  485. — 
''  °  is  des  divinités ,  486.  ~-  Sources 
maintes,  488.  —  Cérémonie  du  ghat, 
490.  —  Sources  du  Gange ,  493.  — 
Climat  pestilentiel  du  mont  Almorah, 
XXXVI,  p.  211.  —  Aspect  des  monts 
dans  le  Rolulonnd ,  213.  —  Buifi  dé- 


sertés périoifiquament,  314.  — ^<>7*S* 
dan*  les  niooM  du  Kemaonn ,  316.  — 
/fj^M  (  brouillard  )  Ses  déplorablea 
rffets,  215, 318, 230  ~  Productions, 
334, 335.—  Al.  im^>i« ,  225.—  Paysan» 
kbasyas,  236.  -  Ai^^cts  dans  It 
KemaouM,  339.  —  —  'é  do  Gan> 
ghar,  329,  ?^2,  248.  —  H^^Xnm  des 
principaux  monts,  334.  —  Arbres, 
345.  —  Jolies  femn.r^  de  Luckwarie , 
457.  —•  Polvandrie,  458.  —  TempU 
hindou,  459.—  Établissement  pour 
les  eonvalescens  européens.  Effet  '*s 
niq&res  d'un  insecte,  460,  468.-- 
Point  de  vne  magnifique ,  4iBl  et  suiv 

—  Hommes  filant ,  46/.  -~  Aspect  des 
monts  des  rives  du  Sutledge ,  aXXVII, 
4.  —  /é.  vues  dn  Penjab,  31.  Voy. 
l^tmiM,  Gimg0lri,  Khatjai,  Htmw, 
Théog. 

HittJmhKoiuk  (  mont»  dn  CabonI), 
t.  XXXVII,  p.  114,  116.  —  Pasaa 
d'Hajeibeiguk.  117,  119.  — •  Mours, 
physionomie  des  montagnards,  118. 
>—  Passe  de  Kalon.  Précipices  affreux, 
120.  —  Son  aspect  k  Koundoui,  150 

Uimlout,  Peuples  de  leur  race , 
t.  XXXI,  p.  20.—  Caravenierais , 

65 Charlatxns ,  66.  —  Pagode  de 

courtisanes,  67.  —  Manière  de  tra- 
verser les  rivières,  68.  —  Marque 
distinctive  des  purifiés  dans  le  Gange , 
75.  —  Idoles ,  77.  —  Tombeaux,  78. 

—  Chasses ,  87  et  suiv.  —  Antique 
origine ,  338.  —  Sobriété.  Repas , 
839  —  Habillement.  Ornemens.  Fem- 
mes, 840.—  Habillement  et  ornemeas 
des  femmes, 842  et  suiv.  —  Vêtement 
des  veuves ,  344.  —  Voyages ,  346.  — 
Castes  ou  état  des  personnes,  848.  — 
Importance  du  mariage.  Polygamie. 
Disproportion  d'âge.  Couches,  349, 
350.  —  Infériorité  des  femmes ,  851 , 
352.  —  Règles  do  conduite  pour  les 
femmes ,  353  à  356.  —  Éducation , 
vie ,  costume ,  réputation  des  Bayadè- 
res  hindoues ,  348,  et  XXXVI,  438.  — 
Pèlerinages  à  la  Mecque,  XXXII,  198. 

—  Formes  physiques,  XXXIV,  239  à 
246.—  Ablutions,  XXXVI,  21.— 
Détails  et  observations  sur  le  SutUx 
ou  sacrifice  des  veuves ,  34. 134, 154, 
289.  —  Ridicules  austérités ,  38.  — 
Consommation  de  l'huile  de  moutarde, 
,%.  —  Habitudes  domestiques ,  85.  — 
Bijoux  des  femme»  ,119.  —  Compas- 


380 


TABLE  GÉNÉRALE 


sion  pour  les  animaux,  121,  227, 29(,. 
395.—  Suicides  fanatiques,  135, 154. 

—  Caractère,  136,322.  —  Le  persan, 
langue  de  commuDication,  137'  — 
Fête  de  Ramaguna ,  165.  —  Durée  de 
la  vie,  205.  —  Casherponr,  lien  de 
pèlerinage,  251.  -*■  Fête  et  foire  dn 
Nu$wtd,  309.  —  Esprit  d'égalité  des 
Hindous  du  centre,  322,  337.  — 
Houley  (  carnaval  ),  344.  —  Trinité 
hindoue,  410.  —  Superstitions  , 
443. 

Hindouttan.yojage  dans  l'intérieur, 
t.  XXXI,  p.  62.  —  Caravenserais ,  65. 

—  Pagodes  de  courtisanes,  67.  — 
Lions  et  léopards  apprivoisés, 69, 87. 

—  Idoles,  77.  —  Tombeaux,  78.  — 
Chasses ,  87  et  suiv.  —  Voyage  de 
Sonnerat,  337.  —  Bel  arbuste.  Son 
utilité  pour  les  femmes ,  343.  —  Mai- 
sons ,  345.  —  Meubles.  Voyages ,  346. 
—Notice  sur  les  établissemens  français, 
457.  — .  Tours.  Lieux  divers ,  XXXV, 
427  et  suiv.  —  Voyage  dans  les  pro- 
vinces supérieures,  XXXVI,  1.  — 
Shaddoc.  Plantains  (fruits),  2.  — Pre- 
mier établissement  des  Anglais  ,  6.  — 
Introduction  de  la  pomme  de  terre, 
8.  —  Pagodes ,  27,  149.  —  Animaux 
sacrés,  60,  l43.  —  Scorpions,  120. 
—Avenues,  140. —  Célèbre  vishvage- 
sar,  149.  —  Sanctuaire  le  plus  révéré 
de  l'Hindoustan,  157. — Caravanserais, 
171.  —  Ancienne  manière  de  passer 
les  rivières,  231.  —  Confection  de  la 
glaee,  254. —  Cabanes  des  contrées 
supérieures,  257.  —  Gypseys  (espèce 
de  Bohémiens  ),  259.  —  Jumna-Mus- 
jeed,  le  plus  bel  édifice  musulman, 
266,  452.  —  Hôpitaux  pour  les  ani- 
maux, 395.  —  Caverne  cruciforme. 
Trinité  hindoue ,  408  à  410.—  Grande 
foire  d'Hardouar,  452.  Voy.  Ghattet, 
monts. 

Hindous  tan  (Etats  ou  provinces  des 
contrés  de  1'  ).  Voy.  Adjemir,  Agra  , 
Allahabad,  Aoude ,  Behar,  Bengale, 
Beltum,  Bischur,  Cachemire  ,  Carnatic, 
Coehin,  Conean,  Comluirseim,  Daoudpou- 
tra,  Dekkan,  Delhi,  Djoubel,  Gurwhal, 
Guzerat»,  Kemaoun,  Malwhoy  Népaul , 
Penjab,  Rajpoulana,  Reuiain,  Rohilcund, 
SinJhx,  Théog. 

Hindouttan  (castes,  tribus  de  1' ). 
Voy.  Bayadèret,  Bhatt,  Bhetls,  Boras, 
BrahmiMtj  Goundt,  Gypteys ,  Joins, 


Khasyas,  Kolii,  Partit,  Puharheit,  Raj- 
pouti,  Seikt. 

Hindouttan  (  fleuves  de  1').  Voy. 
Djemma,  Gange,  Hougly ,  Hydatpe ^ 
Indus. 

Uinza  (village  de  la  Gafrerie).  Mo- 
bilier d'une  hutte,  t.  XXIX ,  p.  303. 

—  Costume  et  taille  du  chef,  304. 

—  Femmes  cafres,  306.  —  Usage  du 
cheval,  309. 

Hipalut.  Mousson  du  sud-ouest  ainsi 
nommé  par  les  Romains,  1. 1 ,  p.  8. 

Hippa  (ile  de  la  Nouvelle-Zélande) 
t.  VII,  p.  306. 

Hippopotame.  Description  de  cet 
animal ,  t.  XXVI ,  p.  245.  —  Est  sen- 
sible à  la  musique,  XXVII,  208. 

Hispaniola,  Voy.  Haïti. 

Hoapiniu {ile,  iner  de  Corée).  Son 
aspect ,  t.  XII ,  p.  326. 

Hobart-Town  (capitale  de  la  terre  de 
Van-Diémen  ).  Ses  maisons,  ses  rues, 
t.  XVIII,  p.  318,  324.  —  Situation, 
323.  —  Port,  monumens,  324. 

^o^o/««(archipel)oudeBergb,olu  le 
Torre,  lies  Carolines).  Iles  qui  le  com- 
posent. —  Habitans,  t.XVlII,  p.  180. 
.—Nommé  groupe  Bergh  par  Maurell, 
XX ,  207,  212.  —  Bel  aspect,  207.  - 
Récifs ,  209.  —  Canots  divers,  voiles , 
301  et  suiv.— Ustensiles  de  pèche,  deux 
races  d'habitans  ennemis,  304,  317. 
— •  Figure  des  naturels,  vêtement, 
belles  femmes,  oruemeus,  occupa- 
tions ,  306  et  suiv.  —  Mœurs  louables, 
adresse,  312.  —  Religion  ,  314.  — 
Mariages,  funérailles,  316.  —  Com- 
bats, armes,  318.  —  Habitations, 
lits,  320.  —Fertilité,  322.  —  Produc- 
tions de  tous  les  règnes,  climat, 
324. 

Hollande.  Conquêtes  des  Hollandais 
dans  les  Indes  sur  les  Portugais,  1. 1, 
p.  119. — Ont  seuls,  des  Européens, 
la  permission  de  visiter  le  Japon , 
XXXI ,  111 ,  132, 161.  —  Leurs  hom- 
mages à  l'empereur,  138.  -—Voyage 
et  réception  de  l'ambassade,  150.  — 
Moyens  employés  pour  monopoliser  le 
commerce  des  épices.Voy.  JÙoluques, 
Voyage  dans  l'intérieurdcla  Hollande, 
aspect  de  la  campagne ,  bonheur  du 
peuple,  t.  XLVI,  p.  190 —Canaux, 
digues,  191.  —  Saisons,  192,  —  Pro- 
preté des  Hollandais,  192,  193.  — 
Leurs  mœurs  et  habitudes,  193,  l'Jl 


Buddah,  188. 


DES  MATIÈRES. 


3«1 


■Hollande  (Nonvelle-,  on  Australie). 
Découverte  par  Tasman,  t.  I ,  p.  344. 
— •  Décrite  poor  la  première  foin  avec 
soins  par  Danipier,d90, 426.— Manque 
d'arbres  fruitiers ,  d'animaux,  391.  *- 
Description  du  pays  par  Cook.  Voyez 
No^vtlle  '  Galles  mMdionale.  •—  Re- 
cherche des  causes  du  petit  nombre 
de  ses  naturels,  VI,  385,  404.  — 
Càte  sud -ouest  explorée  par  Van- 
couver qui  nomme  plusieurs  caps, 
baies,  etc.,  XIV,  14  et  suiv.  — Ré- 
servoirs de  poisson,  27.  —  Remar- 
Sues  sur  le  pays  et  les  productions 
e  la  côte  sud-ouest  ,  82  à  âO.  — 
Climat,  40.  —  Arbres,  42.  —  Qua- 
drupèdes, 43.  —  Oiseaux,  44.  — 
Productions  marines, 45.  —  Reptiles, 
animaux  nuisibles,  insectes,  46.— Dé- 
vastation extraordinaire  produite  par 
le  feu,  49.  —  Sol  sablonneux,  XV, 
105.— Divisions  territoriales,  XVIII, 
15.  —Historique  des  reconnaissances 
XXI,  326.  —  Remarques  sur  ce  qui 
reste  à  faire  sur  les  côtes,  428.  — 
Productions,  animaux,  XLIII,  ix,  x. 

—  Voy.ige  de  Sturt  dans  l'intérieur , 
168  à  276.  —  Ses  résultats ,  276  et 
suiv.,  279.  —  Situation,  température, 
168.—  Rivières,  169, 176, 177,  244. 

—  Causes  de  stérilité,  171.  —  Plan- 
tes, 171,  227.  — Rivages,  172, 173. 

—  Belle  végétation  de  l'Illawarra, 
173.  —  Oiseaux,  172 ,  182,  252, 257, 
297,  307,  332,  337,  346,  351.  — 
Sécheresses  périodiques,  173,  178 , 
274.  —  Historique  des  découvertes 
faites  dans  l'intérieur,  175 à  178.  — 
Montagnes  bleues,  175.  —  État  pré- 
sumé de  l'intérieur ,  178.  —  Explora- 
tion du  cours  de  la  rivière  Macquarie, 
179  à  226.  —  Arbres,  183, 185, 186, 
188,  190,  195,  224,283.—  Lac 
Baddah,  188.  —  Sécheresse  des  en- 
virons ,190.  —  Monts  Harris,  198  , 
199,225,  264.  — Mont  Forster,  199. 

—  Marais  de  la  Maquarie,  202,  210 
à  216,  218,  223,  261.—  Incendies, 
211,  212,  250,261,262.  —  Pia- 
teaud'Oxley,217,240, 242.— Groupe 
d'Urban,  217,  241.  —  Mont  de  New- 
Year,  220 ,  230,  233.  —  Campagoe, 
226, 227,  235 ,  239,  262,  273 ,  302. 

—  Mosquites ,  serpens,  227.  —  Mou- 
che kangarou,  234.  —  Contrée  dé- 
solée, 235,  237,  302.  —  Montagnes, 


Violettes  ,  236,  269.  —Taillis,  238 
et  suiv.  —  Contrée  fertile ,  240.  — 
Rivière  »alée ,  244.  -  Voy.  Darling. — 
Village  indigène,  248.  Son  étrange 
entendu  dans  la  campagne ,  254-  — 
Etangs  de  Wallis,  266.  —  Étangs  de 
Morrissette,  266.  —  Rivière  Castel- 
reagh,267à  271.— Melons  savoureux, 
275.  >— -  Expédition  sur  les  rivières 
Morumbidje  et  Murray ,  279.  — 
Rochers  de  quartz,  382.  —  Plaines 
d'Yass,  montagne  Pouni ,  283.  — 
Caractère  du  pays  entre  l'Undevaglia  et 
la  Morumbidje,  284,  et  suiv.—  Plaine 
Pondcbadjeri,  291.  —  Mirage,  301. 

—  Lac  (Alexandrina)  où  se  jette  la 
Murray,  334.  —  Baie  Encounter , 
336  ,  379. —  Remarque  générale  sur 
l'intérieur.  Traces  du  déluge,  36^  à 
366. — Observations  sur  le  golfe  Saint- 
Vincent  et  ses  rives,  368  et  suiv.  381. 

—  Belles  vallées  du  cap  Jervis  et  des 
environs,  368  et  suiv.  —  Mont  Bar- 
ker,  370.  —  Port  Américain,  Port 
Lincoln,  380. 

Voy.  Australiens,  naturels;  Darling, 
Lachlan,  Maeguarie ,  Nouvelle-Galles 
méridionale ,  Morum-bidje ,  Murray, 
Terre  de  Lewin,  Terre  de  ijfuyts.  Terre 
de  fFilt ,  Jackson, 

Hollande,  hotlentote  (province  de 
la  colonie  du  cap  de  Bonne-Espé- 
rance). Voyage  dans  l'intérieur ,  cam- 
pagnes, productions,  t.  XXVI ,  p.  40. 

—  Lieux  de  repos ,  47.  —  Maisons  de 
bains  d'eau  thermale,  48.  —  Hôpital 
de  lépreux,  51. 

Holsteinborg{à.\itc\ct  du  Groenland), 
t.  XI,  p.  35  —  Maisons  de  Tiriéniak- 
Pudlet ,  36. 

Holy-Rood.  Château  d'Edimbourg , 
t.  XLVI ,  p.  285 ,  286. 

Honevy  ou  Onevy  (Ile,  archipel  des 
Amis  ).  Sa  description.  Ses  naturels , 
t.  IX,  p.  446  et  suiv. 

Hongrie  (  province  de  l'empire  d'Au- 
triche). Ses  plaines  comparées  aux 
savanes ,  tom.  XXXVIII,  pag.  372.  — 
Voyage  dans  l'intérieur;  XLIV,  115 
à  131.-^  Rançonncment  des  voya- 
geurs, 115.  —  Villages  et  maisons  , 
116,117,120,122,124,126,150,158, 
181.  —  Rivières,  116, 122, 123, 164. 

—  Couvent  célèbre.  Belle  vue,  118. 
—Grandes  steppes,  119, 120,123, 150. 

—  Radua.  Hyppa.  Arad,  118,  119.  — 


\ 


382 


TABLE  GÉNÉRALE 


Costume, servitude,  occupations  des 
paysans,  121.  —  Beau  clocher  de 
Saiut-Martin ,  122.  »  Sibonrkatsoli , 
125.  —  Grandes  roues  borizontales , 
125i  —  Différence  dans  les  formes 
physiques  des  Hongrois  et  des  Autri- 
chiens, 129.  —  Raab.  Le  pilori,  130, 

—  Presbuurg ,  136.  —  Denrées ,  pro- 
ductions propres  au  pays,  139  ,  146, 
153.-_Vins  de  Tokai ,  1 46.  >— Brigan- 
dage des  nobles,  148- — Caractère,  ha- 
bitudes des  Hongrois,149.  Troupeaux 
150.  Manufactures,  commerce  ,  152 
— Tolna,  151,  154. — Champs  de  ba- 
tailles, 158,  163.  —  Vuckovar,  Ka- 
menitz,  161.  —  Petervardein.  Prêtres 
grecs,  162.  — Semlin.  Belgrade,  163. 

—  Établissement  d'une  route  sur  les 
bords  du  Danube,  182. — Orsova,183. 
■^Abus  criaus  qui  subsistent  encore, 
186.  —  Aperçu  de  la  constitution , 
188.  —  État  des  personnes,  189.  — 
La  bulle  d'or.  Privilèges  des  nobles, 
190,  195.  •—  Prérogatives  royales, 
191  et  suiv. ,  199-.—  Dignité  de  pa- 
latin, 193.— Magnats.  Leur  costuiiie, 
194,  208,  — VUles  libres,  196.— 
Diite,  197,  198. —  Revenus  de  la  cou 
ronne,  198. — Armée,  199 — Voyage 
dans  le  pays.^ — Origine  des  Hongrois; 
XLYI ,  127.  —  Privilèges  conser- 
vés. La  diète,  128.  —  Récolte  du  vin 
de  Tokai,  130  à  132.  —  Habitans  di- 
vers du  pays,  218  et  suiv.— Les  Czin- 
gares,  219,  224.  —  Sol.  Montagnes. 
Fleuves,  221.  —  Coup  d'oeil  sur  la 
province  et  ses  habitans  ,  222  à  224. 
Sol,  ses  rapports  avec  celui  de  l'E- 
gypte. Eaux  salées,222. —  Caractère, 
figure,  langue,  costume,  signes  dis- 
tinctifs  du  noble,  223. —  Religion, 
236.  —  Juifs,  239.  Voy.  Bude,  Pesth. 

Hood  (ile,  archipel  des  Marquises) , 
Nommée  par  Cook,  t.  VIII,  p.  189. — 
Son  aspect,  205;  XVI,  133.  —  Son 
origine,  productions,  animaux,  415. 

^O0<£  (lie  de  Lord- ,  Polynésie).  Dé- 
couverte par  Ldwards,  t.  XIII,  p.  419, 
440.  —  Et  non  par  Wilson ,  comme 
leditBeechey;XIX,  152. 

Hoolaiva  (tle,  groupe  Hapaee,  ar- 
chipel des  Amis),  t.  IX,  350.  —  Sa 
description,  377  et  suiv. 

Hope  (pointe,  Amérique  russe). 
Nommée  par  Beechey,  t.  XIX,  p.  255. 

—  Laideur  des  naturels ,  256. 


Ho-Tehov  (  ville  delà  Chine).  Rois 
de  l'enfer.  Théâtre,  tom.  XXXIII, 
p.  401. 

Horeh  (mont  de  l'Hedjaz,  Arabie), 
t.  XXIII  p.  133. 

i/ora( cap,  à  l'extrémité  sud  de 
l'Amérique  méridionale).  Découvi>rt 
par  Le  Maire ,  t.  I,  p.  285.  —  Dange- 
reux et  difficile  à  doubler,  II,  110.  — 
Sou  aspect,  IX,  75.  —  N'est  point 
difficile  à  doubler,  XII  ,  63,  XV, 
330.  •—  Son  aspect  imposant,  XXI, 
273;  XLI,  374. 

Horn{l\e  de,  Australie).  Décou- 
verte par  Le  Maire  et  Schouten, 
tome  I,  page'  302,  312.  — Descrip- 
tion de  l'ile,  des  habitans ,  de  leun 
maisons.  Singulières  politesses  et  cé- 
rémonies du  roi  et  de  sa  cour ,  303  à 
312. 

HoRHEMANir.  Son  voyage  du  Caire 
à  Morzouk,  t.  XXV,  p.  416.—  Repas 
du  soir  à  la  caravane,  419. 

Uotlentots  (peuple  du  sud  de  l'Afri- 
que). Connaissent  l'art  de  fondre  !e 
cuivre.  Singulière  bénédiction  nup- 
tiale. Le  prétendu  tablier  de  chair  des 
femmes,  t.  VII,  p.  131, 132.  —  N'eut 
aucune  religion,  XXIV,  51.  —  Glou- 
tonnerie, 124.  —  Retenue  des  femmes, 
155,  166,  186.  —  Vétcmens.  Orne- 
mens,  158. — Soins  des  mères,  160.  — 
Mariages.  Couches,  162-  —  Armes, 
169.  —  Ignorance  de  l'agriculture , 
171.  —  Usage  du  tabac,  172.  —  Ani- 
maux domestiques ,  173.  —  Légumes, 
fruits,  177.  —  Mesure  de  lianuée, 
178.  —  Funérailles,  179.  —  Danses, 
182.  —  Instrument  de  musique,  183. 

—  Occupations  journilières,  186  — 
Proportions  du  corps,  187.  —  Mœurs, 
187.  —  Langue ,  193.  —  Du  tablier 
de  chair  des  femmes,  220.  —  Descrip- 
tion d'une  Hottentole,  XXVI,  97.  — 
Jeu  singulier,  138.  —  Voyage  dans  le 
pays,  165  et  suiv. —  Kraals  (villages), 
178, 180,  184,  et  suiv.,  302,  381, 388. 

—  Missionnaires,  197.  —  Instrument 
de  musique ,  275.  -^  Le  kraal  de 
Ramah,  XXIX,  21.  —  Voracité,  178. 

—  Aspect.  Laideur  des  femmes , 
274.  —  Sont  ennemis  des  Cafros, 
276.  —Moralité,  277.  —Armes,  278. 

—  Missionaires.  Éloquence,  295.  — 
Description  du  Sibilo,  388.  Voy.  Bas- 
tert-Blanei ,  Gonaquoit ,  Hollande  hot- 


DES  MATIÈRES. 


383 


tenlotê ,  KleurwaUff  Llly-Founlain  , 
Maaaiut,  Namaquai,  Ramah. 

Hoûgly  (  branche  occiat.-ui!;.  da 
Gange).  Ses  rive»,  t.  XXXVJ,  p.  5, 7. 

—  Première  possession  de»  Anglais, 
6.  —  Promenade  sur  sa  rive.  Abla- 
tions, 21. 

Hourey  (district  da  Galam  ,  Séné- 
gambie).  Sa  description,,  t.  XX VI 11, 
p.  355. 

Haut-Bay{co\oxiw  du  cap  de  Bonne- 
Espérance,  t.  XXIV,  p.  41. 

Uotttniquas  (pays  du  cap  de  Bonne- 
Espérance  ).  Beauté.  Miel,  t.  XXIV, 
p.  72.  —  Colons,  74. 

Houzouanas  (peuple  au  nord  du  cap 
de  Bonne-Espérance).  Redoutés  de 
leurs  voisins,  t.  XXlV,p  389,411.  — 
Mœurs,  408,  414.  —  Taille , formes , 
412.  —  Huttes,  413.  —  Vie  errante, 
'114.  —  Comment  découvrent  les  sour- 
ces, 416.  —  Armes,  416.  —  Sont  dis- 
tincts deS  Boscluraans,  417. —  Bornes 
(le  leur  pays,  4l8.  —  Masse  de  chair 
au  bas  du  dos  chez  les  femmes,  419. 

—  Se  graissent  le  corps,  422.  —  Si- 
gnaux de  nuit ,  423. 

How  (lies  du  Lord-,  archipel  de  la 
Reide-Charlotte  )  Découvertes  et  dé- 
crites parCarteret,  t.  III,  p.  133. 

How  (lie*  du  Lord- ,  Polynésie ,  près 
d'Otatti).  Découverte  par  WalUs,  t.  III, 
p.  380. 

Howe  (  Iles,  Polynésie  ).  Découvertes 
par  Edwards,  t.  XIII,  p.  427. 

Howell  (  ville  du  Massachussetts  , 
États-Unis  ).  Importantes  manufactu- 
res, t.  XXXIX,  p.  154.  —  Mariages 
des  ouvriers,  155.  —  Établlssemeus 
divers,  158. 

Hoaheine  (lie,  archipel  de  la  Société). 
Découverte  par  Cook,  t.  V,  p.  325.  — 
Productions  Grauds  haugars  pont 
le»  pirogues,  329.  —  Coffre  eutière- 
meat  semblable  à  l'arche  d'alliance  et 
appelé  Maison  de  Dieu,  330.  —  Ha- 
bitans ,  333.  —  Description  de  l'île  , 
VII,  443  —Chiens,  448. —Mauvais 
traitement  qu'y  éprouve  un  des  com- 
pagnons de  voyage  de  Cook.  Belle 
cuuduite  du  roi ,  449  et  suiv.  —  L'in- 
sulaire O-Maï  s'embarque  sur  un  des 
vaisseaux  de  Cook,  456.  —  Arréoys, 
ou  sociétés  secrètes.  Leur  but  immo- 
ral, VIII,  263,  272,  274.—  Repré- 
sentations dramatiques,  267.  —  Cook 


à  son  retour  y  établit  O-Maï,  X,  177 

et  .suiv. 

Hudikswalt  (  ville  de  la  Suède  ), 
t.  XLV,  p.  333. 

Hunsoir.  Ses  recherches  du  passage 
au  nord  de  l'Amérique ,  t.  XL  ,  xxj. 
— •  Découvre  le  détroit  et  le  golfe  ou 
mer  de  sou  nom.  Sa  fiu  tragique , 
xxij. 

Hudsom  (rivière  des  Etats-Unis). 
Son  lit,  t.  XXXIX,  p.  23.  —  Beauté 
de  ses  bords  ,  32.  —  Paquebots,  40. 

—  Communications,  78. 

Hudson  (  mer  ^' ,  Amérique  septen- 
trionale). Découverte  par  Hudson. 
Climat,  t.  XXXVIII,  p.  31  ;  XL,  xxij. 

—  Aspect  de  l'île  des  Passages,  390. 

—  Baie  Repuise.   Traces    d'habitims. 
Animaux,    391 ,   392.  —  Baie  havi- 
land ,  394.    —  Ile   Burchnam ,    canal 
Hutd,  cap  Montargie  ^  395.  —  Anso' 
Dackett ,  397.  —  Ile  Vantittart ,  399. 

—  Établissement  des  compagnies, 
477-  —  Mœurs, usages,  etc.,  des  In- 
diens creeks,  479. —V.  Cumherland- 
House ,  Southaïkplon. 

Hué  (  cap  de  la  Cochinchine  ).  For- 
tifications de  l'embonchiire  de  la  ri- 
vière, t  XXXIV,  p  369,  370.— 
Bea^ix  canaux  de  Ceinture,  377-  — 
Beauté  des  rives  de  la  rivière,  378. 

—  Propreté  des  villages  cnvironnans, 

379.  —  Chevaux.  Sol  des  environs  , 

380.  —  Citadelle  de  la  ville ,  381 , 
393,  394.  —  Portes,  382,  394.  — 
Visites  au  mandarin  des  éléphans, 
383  et  suiv.  — Mandarins  français,' 

383.  —  Acteurs  chinois.   Musique, 

384,  392,  436.  —  Audience  royale 
refusée  à  des  Anglais,  392.  V.  Finlay- 
son,  —  Bazars.  Greniers  publics ,  395. 

—  Casernes  royales.  Costumes ,  396. 

—  Arsenal  d'artillerie,  énorme  canon, 

397.  — •  Supériorité  duc  aux  Français, 

398 ,  401  ■  —  Influence  française 
ruinée ,  398  et  suiv.  —  Pauvreté  du 
bazar,  404.  —  Visite  au  Tacoon,  424 
434.  —  Tablettes  et  boîtes  ornées  de 
Mia,  424.  —  Repas,  430.  —  Canal 
hors  de  la  ville ,  440- 

HuMBOLiiT.  So^  voyage  aux  ré- 
gions équiaoxiales  d'Amérique,  toin. 
XXXVIII,  p.  355  —  Son  étude  com- 
parative des  savanes,  steppes,  déserts, 
371  et  suiv. 

Hnrex-ka'Putlun   (  ville  du  Penj.'ib, 


384 


TABLE  GÉNÉRALE 


Hindonstan).  Bac.  Hospitalité ,  tom, 

xxxyii,p.& 

HoTTOir.  Son  ambassade  dans  la 
pays  des  Acliantis,  Guinée,!.  XXYIII, 
p.  380.—  Son  objet,  385.  —  Sa  Tisite 
an  roi ,  397, 405. 

UuttoH  (tle>  mer  Janne).  Aspect 
Naturels ,  leurs  vétemens,  leurs  for- 
mes ,  t.  XXI,  p.  9  et  suiv. 

Hjrdatp*  ou  /«Inm  (  rivière  dm 
Penjab).  Son  lit  Ses  eaux.  Ses  cro- 
codiles. Bateaux  des  Macédoniens , 
tome  XXXVII ,  pages  55  et  suivan- 


tes.  —  Sa  sortie  des  montagnes ,  45. 

Hydra  (ville  de  la  Grèce),  tom. 
XLVI,  p.  214. 

Hjdnbad  (capitale  du  Sindhy, 
Hindonstan).  Présentation  à  l'émir, 
t.  XXXVII,  p  357,  358.  —  La  cour, 
859. — Environs.  Iniui,  361  • — PopnU< 
tion.  Demeure  de  l'émir.  Fort,  362. 
—  Canot  de  l'émir,  363. 

HypofUi,  ou  catacombes  égyptien- 
nes admirablement  décorées.  Descrip- 
tion de  ceux  de  Thèbes,  t*  XXII , 
p.  430  et  suiv. 


Unitak  (  vUle  de  la  Sibérie  ).  Bftti- 
raens  publics.  Convens.  Caractères, 
t.  XXXI ,  p.  275. 

Ika-na-ma»i  ou  EaheiHomaui»*  (l'une 
des  deux  grandes  lies  de  la  Nouvelle- 
Zélande  ).  Exploration  des  côtes  par 
Cook,  t.  YI,  p.  1  à  115. —  Situation 
de  ses  habitans  'différente  de  ceux 
de  Tavai  -  Pomanou.  Son  littoral , 
XVIII,  256.  —Etendue,  XX,  175. 
—  Pour  les  détails ,  voy.  NowelU- 
Zéland: 

lUs-lagunet.  Ce  qu'est  cette  sorte 
d'Iles,  t.  xni,p   419. 

Ilimsk  (  ville  des  Tungouses ,  Sibé- 
rie). Vie  des  babitans,  tom.  XXXI, 
p.  284,  287. 

///(no{f(un  des  Etats-Unis).  Ses 
plaines ,  t.  XXXIX,  p.  380. 

lUistut  ou  Ilissut  (fleuve  de  la  Grè- 
ce), t.  XLVI,  p.  215. 

ïmao  (Ile  près  de  Taïti),  t.  V, 
p.  172, 176. 

Immtr  (  tle,  archipel  des  Nouvelles- 
Hébrides),  t.  VIII,  p.  401,  426. 

Immirétiens  (  peuple  de  l'Immirétie, 
province  de  la  Russie  d'Asie).  Leur 
territoire.  Leurs  traits ,  leurs  formes. 
Habitudes.  Rivières  du  pays ,  t.  XLV, 
p.  450.  —  Productions.  Vente  d'es- 
claves, 451. 

Indiana  (  un  des  Etats-Unis  ).  Pays 
sans  agrément,  t.  XXXIX,  p.  380. 
— -  'i    Cineinnati, 

Indo-Chine  (  presqu'île  au-delà  du 
Gange  ).  Ses  fleuves  et  ses  chaînes  de 
montagnes,  t.  XXXIV,  p.  449  et  suiv. 
—Inondations  périodiques,  451  .—Di- 


visions territoriales ,  451 ,  452.  — 
Langues ,  453.  V.  Coehinchine ,  Ma- 
laea ,  Siam, 

Indut  ou  Sind  (  fleuve  d'Asie  ).  Ex- 
ploré sous  Alexandre,  1. 1,  p.  5 — Son 
état  dans  le  Penjab ,  XXXVII ,  52, 
54.  —  Sable  aurifère ,  55.  —  Explo- 
ration de  son  cours,  339.  -^  Man(;|ui* 
de  renseigneinens  sur  le  fleuve ,  340. 

—  Ses  embouchures,  342^  —  Souve- 
nirs d'Alexandre,  345,  544,  578,383. 

—  AUuvioBs  du  Delta,  545.  —  Son 
état  à  Taltah ,  554.  —  Barques ,  ba- 
teaux, 555,  363,  578.  —  Différens 
bras ,  353 ,  355, 375.  —  Rives ,  361, 
563.  —  CbAteau  de  Schwan,  366.  rr- 
Ile.  Forteresse  de  Bukkur,  375.  — 
Désert  entre  l'Indus  et  le  Cbenab, 
410.  Voy.  Selledg*. 

Ingus  Son  voyage  en  Bavière  et 
an  TyroJ,  t.  XLV,  p.  337. 

Inktrman  (ville  du  gouvernement  de 
la  Tauride).  Ses  cavernes,  t.  XLIY, 
p.  413. 

Jnn  (rivière  duTyrol).  Sa  belle  vallée, 
t.  XLV,  p.  362.  —  Lieux  remarqua- 
bles de  la  vallée ,  fameuses  mines  de 
sel  de  Hall ,  375  à  380.  —  Abbaye 
de  Wilten,  575.  —  Villages,  375, 
580,  382.  —  Scbwartï,  380.  —  L'A- 
chensée ,  381.  •—  Rives ,  404. 

Inaccessible  (  ile  du  groupe  Tris- 
tan d'Acunha) ,  t.  XX,  p.  147. 

Inquazhilligee ,  Voy.  R^onjerque. 

Inspruek  (capitale  aa  Tyrol  ).  Envi- 
rons, t.  XLV,  p.  563,  384.  —  Jolis 
édifices.  Aspect.  Processions,  564.  — 
Bogers,  367.  —  L'évation,  368.  — 


DES  MATIÈRES. 


385 


DivertiBsemens,  drames  ucr^i,  369. 

—  Krmitago  de  Maximilieo.  Détails 
liistoriquos,  370,  371.  —Cathédrale. 
Tombeau  de  Maximilien,  372.  —  Au- 
tres églises.  Beaux  tableaux,  373,  374. 

—  Cimetière,  Cabiuet  d'histoire  na- 
turelle. Galerie  de  tableaux,  374.  — 
Population.  Température ,  383. 

ioniennet  Hlcs,  mer  Méditerranée). 
Navigation  daus  leurs  eaux,  t.  XLIV, 
p.  325  i  et  XLVI,  198.  —  Itaqne.  Cé> 
phalonie,  201.  — i  Zante,  203.  -^  Cy- 
thère,  205.  Voy.  Corfou. 

Irak'Akary  (province  de  la  Turquie 
d'Asie  ).  Heblieb.  Dépravation  de 
mœurs,  t.  ;j:XXII,  p.  486.  —Bag- 
dad, 487  et  suiv.  —  Ruines  de  Baby. 
lone,  495. 

Irhoutslc  (ville  de  la  Sibérie).  Fon- 
datina.  Situation.   Maisons.  Gouver- 
neur. Evéque.   Police.   Environs.  Gi- 
bier, t.  XXXI,  p.  282. 

frlanJaii,  Leur  caractère  comparé 
à  celui  des 'Écossais  et  des  Anglais, 
t.  XLVI,  p.  273. 

Irlande  (Nouvelle- ,  lie,  archipel  de 
la  Nouvelle-Rretagne).'  Découverte  et 
descriptiou  du  détroit  qui  la  sépare  de 
la  Nouvelle-Bretagne,  t.  III ,  p.  149  et 
suiv.  >-  Longues  pirogues,  153.— 
Usages  des  naturels,  154.  —  Naturels, 
leurs  armes ,  nourriture ,  industrie , 
pirogues,  XVIIl,  145,  146.—  Pro- 
ductions de  File.  Naturels,  XX,  372 
et  suiv. 

Isabelle  (  lie  des  Lucayes  ).  Décou- 
verte par  Colomb.  Animaux.  Maisons. 
Jlamacs.  Ornement  d'un  indigène, 
;.  XXXVIIl,  p.  100. 

Isabelle  (  ville  de  l'île  Haïti).  Fon- 
dée par  Colomb,  t.XXXVlII,  p.  138, 
144. 

Isolant.  Indiens  de  Batavia.   Leur 


occupi^ion ,  t.  Vif,  p.  88.  —  Leur 
nourriture ,  89.  —  "Toilette  des  fem- 
90.  —  Opérations  que  les  detix  sexes 
font  à  leurs  dents ,  91 .  —  Extrava- 
gante et  sanguinaire  pratique ,  92.  — 
Opinion  absurde  sur  le  diable  et  sur 
les  couches  des  femmes,  92. 

Iser  (rivière  de  la  Bavière  et  du  Ty- 
rol),t.XLV,p.358,361. 

Islande  (lie,  océan  Atlantique).  Dé- 
couverte par  les  Scandinaves,  t.  I, 
10.  —  Saisons  et  leurs  phénomènes  , 
XL,  ij  et  suiv  — Est  une  dépendance 
du  Groenland,  XLVI,  6.  —  Premiers 
établissemens  d'Européens.  Détails 
historiques.  Taille,  figure,  vétemens 
des  Islandais,  78.  —  Maisons.  Occu- 
pation des  deux  sexes.  Caractère. 
Amusemens.  Imprimerie.  Poésie.  Sa- 
gas, 79.  —  VËdda.  Climat.  Nourri- 
ture. Maladies  des  habitans,  80.  — 
l'Hécla.  Sources  d'eaux  chaudes  Ba- 
salte, 81 . 

Ispalian  (  ancienne  capitale  d«  la 
Perse  ),  t.  XXXI,  i>.  207.  —  Médecin 
persan,  XXXY,  46.  —  Cupidité  des 
Persans,  48. 

Istrie  (provincI  de  rillyrie,  empire 
d'Autriche).  Rovigo,  t.  XLIV,  p.  533. 

—  Aspect  de  la  côte,  334. 

Italie.  Voyage  de  M.  Albert-Mon- 
tcmont,  t.  XLVI,  p.  260.  —  Dimen- 
sions, 261.  —  Division.  Climat,  262. 

—  Montagnes,  lacs  ,  fleuves.  Carac- 
tère des  Italiens ,  263.  —  Gouverne- 
inens.  Religion.  Coup  d'rcil  sur  ses 
Etat  set  leurs  capitales,  264  et  suiv.  — 
Culture  passionnée  des  lettres.  Etat 
des  femmes ,  269  et  suiv.  —  Adultère 

•  toléré,  absence  de  tendresse  conjugale 
et  maternelle,  272. 

Ithaque  ou  Thiaqui  (ile  Ionienne  ) , 
t.  XLVI,  p  201. 


/.  Chercher  à  Dj  les  mots  que  l'on 
ne  trouvera  pas  à  /. 

Jackson  (port  de  la  Nouvelle-Galles 
méridionale ,  Nouvelle-Hollande  ).  Sa 
description  ,  t.  XLIII,  p.  5.  —  Fonda- 
tiou  de  l'établissement  pénal,  175u 

Jadois  (ville  de  l'Yarriba  ).  Etat  des 
veuves  du  chef,  t.    XXX,  p.  63.  — 

XLVI. 


Leurs  privilèges.  Costume  des  habi- 
tans. Hippopotames  des  environs,  64. 

Jaffatien  (ile,  mer  Rouge),  t.  XXIII, 
p.  131. 

Joins,  Secte  de  l'ouest  de  l'Hin- 
doustan,  t.  XXXVI,  p.  151,  323. 

Jalapa  ou  Xalapa  (  ville  du  Mexi- 
que). Belle  route  qui  y  conduite  Bel 

3S 


«» 


380 


TABLE  6ËNÉHALË 


aspect  de  la  ville,  t.  XM,  p.  22  — 
Soin  ancica  état  florÏMant ,  23.  — 
Maitnni.  Églises.  Costume  dc«  fenf 
mes,  24.  —  Magazios  ,  boutiques. 
MoBurs  ot  usages  des  liabitans,  25  et 
suiv.  —  Repas,  27.  — Café,  t07. 
Jalap,  108  —  Salubrité  du  climat, 
beauté  des  environs,  1ll. 

Jalofi  (  peuple  de  Séuégambie  ). 
Figure,  t.  XXII,  p.  45.  —  Mœurs. 
Cérémonial.  Epreuves  judiciaires,  46. 
•^  Armes,  48.  —  Beligion.  Figure, 
XXV,  34,  35.  —  Taille.  Caractère. 
Case»,  XXY II  1,438. 

Jamaïqu»  (  Ile  des  Antilles  ).  Dé- 
couvtirte  par  Colomb,  t.  XXXYIII, 
p.  146.  —  Premiers  chiens  lâchés  par 
les  Espagnols  cu7ttre  les  Indiens, 
211  «—  Colomb  annonce  une  éclipse 
aux  Indiens  et  en  obtient  des  vivres , 
217.  —  Première  colonie  espagnole. 
Forme,  étend'ie,  montagnes,  climat  de 
rué,  XLII,459.  -•■  Villes  principales, 
460.  —  Remarquable  caractère  des 
habitans,  461. 

Jambu-ejrti;  Description  de  ce  fruit, 
t.  VU,  p.  70. 

James  (  Ile,  groupe  Gallapagos)  Ses 
tortues,  t.  XVI,  p.  102.  Ses  autres 
auimaiix  ,  105,  107.  —  Sol ,  106 

Jamuichtu/a  (ville  de  Sibérie).  Fa- 
meux lac  salé .  t.  XXXI ,  p.  263. 

Jamabad  (  ville  du  Delhi ,  Hindous- 
tan  ).  Maisons.  Palais  impérial,  tom. 
XXXI,  p.  72. 

Jannah  (  ville  de  l'Yarriba  ).  Sculp- 
tures. Rues,  t.  XXVIII ,  p  123.  — 
Marché.  Manufactures,  124. 

Japon  (empire  du).  Découvert  par 
les  Portugais,  t.  I ,  p,  108.  —  Iles 
qui  le  constituent,  XII,  333.  —  Im- 
mobilité des  coutumes.  Préservatifs 
contre  le  froid.  Gouvernement,  XVII, 
16.  —  Les  Hollandais  out  seuls  des 
Européens  la  faculté  de  visiter  le  pays, 
XXXI,  111, 132, 161.  — Voyage  daus 
le  pays,  1 1 1  et  suiv.  —  Nom  du  pays 
chez  les  naturels.  Iles  qui  le  compo- 
sent. Superficie.  Population,  112.  — 
Histoire.  Gouvernement,  115,  125, 
126.  —  Histoire.  Privilèges,  etc.,  de 
l'empereur  temporel,  115,  158.  — 
Histoire.  Privilèges  de  l'empereur  ec- 
clésiastique, 115,  126,  158. —  Climat. 
Terroir,  119.  —  Tremblemens  de 
terre.  Mines.  Végétaux.  Arbres,  120 


AgricuUare.  Animaux,  122.  —  Pro- 
ductions de  mer,  124.  — Domaine  de 
l'empereur,  129.  —  Gouvernement 
des  villes,  135.  Voyage  et  hommages 
des  Hollandais  à  la  cour  de  l'empe- 
reur, 138,150.  —  Précautions  de 
voyage,  139.  —  Grandes  routes.  Mil- 
les géométriques,  141.  Mauona,  villes, 
144, 162  —  Postes.  Hûtellerie,  146. 
Vivres.  Voyageurs.  Pèlerins.  Men- 
dians  Nonnes,  148.  —  Armée,  159. 

—  Boutiques ,  163.  —  Manière  de 
voyager,  166.  Voy.  JMo,  [capit.  et  ile 
Miako  ,  résidence  de  l'empereur  ec- 
clésiastique ;  Niphon ,  Kiuiu ,   Sikolif, 

Japonais.  Habitations.  Vêtement , 
t.  XII,  p.  336,  337.  —  Peuple  de 
race  japonaise ,  XXXI,  22.  —  Histoire, 
Il5,  125  — Race.  Religion.  Supersti- 
tions, 116.  —  Nouveau  culte.  Diffé- 
rences avec  les  Chinois.  Frugalité, 
118.  —  Oiseaux  d'augure,  124. — 
Fêtes ,  127.  —  Couvens ,  128.  —  Mai- 
sons de  débauche  ,   133,   150,159. 

—  Punition  des  crimes  ou  délits. 
Funérailles,  136.  —  Précautions  de 
voyage,  139.  —  Voyageurs.  Pèlerins. 
Mendians.  Nonnes,  148.  —  Eucy- 
clupédie  japonaise ,  157.  —  Sectes 
religieuses ,  157.  —  Caractèi^e,  159. 

—  Hérédité  des  professions.  Indus- 
trie, 160. —  Gouvernement.  Concu- 
bmes.  Fiançailles,164. — Voyages,166. 

/nrra (ville  du  Ludamar,  Séuégam- 
bie). Situation,  t.  XXV  ,  p.  127. — 
Maisons.  Habitans,  131. 

Jaune  (  fleuve,  Chine).  Sacrifice  au 
fleuve,  t.  XXXIII ,  p.  477  ,  478. 

Java  (Ile  de  l'Océanie).  Décou- 
verte par  les  Portugais ,  t.  I ,  p.  106. 

—  Divisions  politiques,  IV, 377.  — 
Productions  de  l'île,  VII,  63  à  79.  — 
Animaux  domestiques,  80.  —  Tigres, 
rhinocéros,  82,  —  Description  de 
Smarang,  XIII,  433.  —  Audience 
du  roi,  XXXI,  81.  —  Cherté  des 
enterremeus ,  82.  —  Montagnes , 
XLIII  ,  vj  ,   liv.  —  Volcpns ,  vij.  — 

Rivières  ,  viij. Productions  ,  viij, 

liv.  —  Animaux, x^  liv. —  Superficie. 
Population,  liij.  —  Détails  divers  sur 
la  partie  hollandaise ,  liv,  Ivij.  — 
Climat ,  liv.  —  Nids  -  comestibles ,  Iv. 

—  Partie  indépendante.  Fertilité. 
Belle  campagne,  Ivi.  —  Villes,  Ivij. 

—  V.  Batavia  ,  Isalam, 


DES  MATIÈRES. 


387 


JaraHoii.  Fanatinn«  des  pèlerins. 
Enterrefflens,  t.  XXXI,  p.  82.  —  Ci- 
vilisation. Riche  littérature,  XLII1, 
sij.  —  Religion.  Pèlerinages  i  la 
Mecque,  xxij.  —  Industrie.  Com- 
merce, zxix.  —  État  des  femmes, 
XXX).  —  Langue  ,  xxxij.  —  Formes. 
Teint,  Iv.  —  Maisons,  Iv,  Ivj.  — 
Polygamie,  1t,  —  Dirertissemens , 
Wj.  —  Meubles,  Ivij. —  Costume, 
Wij.  —  Caractère.  Circoncision ,  Iviij. 
Jbbtl-Manouar  (  tle ,  Egypte ,  mer 
Ronge),  t.  XXIII,  p  120. 

Jbbel-Sibergti  (^  tle ,  mer  Ronge). 
Signification  du  nom,  tom.  XXIII, 
p.  116.  —  Puits,  11/.  —  Coquillages, 
118. 

JtbbeUTtir  (Ile,  merBouge,  K.).  Si- 
eoificAtion  du  nom.  Volcan,  t.  XXIII, 
p.  166. 

Jean  (prêtre).  Nom  donné  en  Eu- 
rope au  roi  d'Abyssinie.  Son  origine, 
t.  XXlll ,  p.  347 

Jedo  (  Ile  I*]iphon,  cap.  du  Japon  ) , 
t.  XXXI,  p.  I'i9.  — Hommages  an 
sultan ,  de  la  part  des  Hollandais , 
158.  —  Grandes  rontes.  Milles  géo- 
métriques ,  142.  —  Situation ,  155.  — • 
Aspect  Maisons.  Palais,  156.  —  Châ- 
teau impérial.  Encyclopédie  japonaise, 
157.  —  Jelum.  Voy.  Hyda'pe, 

Jvnna  (viflede  l'Alquemi,  Yarriba). 
Environs.  Costume  du  chef,  t  XXX , 
p.,  47.  — Barbares  usages  à  la  mort 
du  chef,  49,  54  et  siiiv.  —  Dépopu- 
lation ,  50.  —  Industrie.  Nourriture . 
Usages  divers,  52- — Femmes  dévouées 
à  la  mort ,  54  et  suiv.  .—  Tambours 
ciselés ,  58.  ' 

Jerkin  (  ville  du  Sondersfields, 
Norwé^e  ).  —  Danses  ,  t.  XL\  ,  pag. 
78. —Le  Dovrefri«-ld,79. 

Jesso  (ile  ,  mer  du  Japon  ).  Coofu- 
sion  dans  les  notions  sur  cette  Ile,  dis- 
sipée par  La  Pérouse,  t.  XII  ,  p.  418 
et  suiv.  —  Distinction  d'Etat.  Com- 
merce d'huile  de  baleine,  XI (  1,10- 

—  N'était  point  connue  des  Basse.-i 
quand  La  Pérouse   la   découvrit,  13. 

—  Bace  des  naturels,  15. 
JétKiUt.  Fondent  les  missions  du 

Paraguay,  t.  IV,  p.  107.  —  Leur  dé- 
vouement, 108.  —  Comment  ils  gou- 
vernaient les  missions ,  111.  —  Sont 
chassés  d'Espagne  et  du  Paraguay, 
1 15.  —  Leur  première  église  en  Abys- 


sinie,  XXIII,  394.  —  Euient  chargés 
de  la  rédaction  de  l'almanach  de 
l'empire  chinois,  XXXIII,  210,  427. 
Jitttt- Maria  (ile,  Australie),  Son 
aspect.  Ses  naturels,  t.  XV,  p.  51  «  52. 
J«Xpour  [^\\\\t  da  Rajpoutana,  Hin- 
doMstan  ).  Environs ,  tom.  XXXVI , 
p.  310.  -  Fortifications,  311.  —Hô- 
tel de  la  résidence.  Climat.  Magnifi- 
cence de  la  ville,  312.  —  Maisons. 
Tour.  Population ,  313.  —  Magnifi- 
que palais,  jardins,  appartemens , 
absence  d'escaliers,  318  à  317.  — ■ 
Régularité  des  quartiers,  319.  —  Ab- 
sence de  politesse,  322. 

Jhalloda  (ville  du  Gnzerate,  Hio» 
doustan  ) ,  t.  XXXVI.  p.  362. 

Joag  (  ville  du   Galam ,  Sénégam- 
bie  )  Population.  Fortifications,  tom 
XXV,  p.  84. 

Joenkoeping  (  ville  de  la  Gothië, 
Suède  ).  Petitesse  des  lits  suédois, 
t.  XLVI,  p.  289. 

Joggabath  (  lie  du  Sharg,  Soudan). 
Aspect.  Gibier,  t.  XXVII,  p.  242. 

Johar  (  tribu  du  Kaarta ,  Sénégam- 
bie  ).  Religion.  Superstition  t.  XXV, 
pll4. 

Johntton  (détroit  de ,  entre  l'Ile  de 
Quadra  et  Vancouver  et  la  côte  d'A- 
mérique). Découvert  par  Vancouver, 
t.  XIV,  p.  291. 

Johttston  (ile,  Polynésie).  Décou- 
verte par  Douglas.  Etendue.  Aspect. 
Productions.  Naturels ,  tom.  XIII  , 
p.  376. 

JootsiSima  (tle,  mer  du  Japon). 
Son  aspect  agréable  ,  ses  édifices , 
t.  XII ,  p.  339. 

José-Basco  (Don-,  île,  Australie). 
Découverte  par  Maurrell.  Misère  des 
habitans.Leur  figure,  t.  Xllt,  p.  217, 
218. 

jourd^ain  (rivière  de  la  Syrie  ,  Tur- 
quie d'Asie) .  t.  XXXII ,  p.  389.  — 
Figure  des  habitans  de  la  vallée,  395. 
Juan- Fernandez {lie  delà  côte  ooest 
de  l'Amérique  méridionale).  Décou- 
verte par  Juan  -  Fernandez  qui  la 
peuple  dé  chèvres  ,  1. 1 ,  p.  370.  —  Sa 
dcscriptioD  :  terroir  fertile ,  arbres 
aromatiques  ,  terre  plus  rouge  que  le 
vermillon,  plantes,  beauté  des  val- 
lées ,  race  de?,  clièvres  détrn'tes  par 
les  chiens  ,  abondance  de  lions  ma- 
rins et  de  morues,  II,  152  à  147.  — 


'M 


TABLE  GÉNÉRALE 


Cartèret  la  trouve  fortifiée  par  le* 
Espagnols,  III,  85.  —  Voy.  Mata- 
Futro,  Stlkirk. 

Juiftiu  Maroè,  Leurs  bellesfeaiines, 
t.'XXn,  p.  157,  179.  —  Leur  vie. 
Sont  très  méprisés  ,  164  ,  160 ,  173 , 
uute.  —  Leur  industrie ,  167. 

Julabad.  Voy.  Djtlalabad, 


Jullind*^  (  Tille  du  Penjab,  Hind.) 
Muraille.  Rues,  t.  XXXVll,  p.  457. 

J»ra  (moDtagno ,  entre  la  France  et 
la  Suisse),  t.  XLVI,  p.  26.  —  Hau- 
teur des  principaux  points ,  44. 

/nW««  ?tle  de  l'archipel  de  la  Loui> 
siade).  Découverte  par  d'£atrecas> 
teaux,  t.  XV,  p.  26a 


R 


Kaaba.  Voy.  La  Attcque. 

Kaa4jaga.  Yuy.  Galam. 

jlTaarra  (royaume  de  la  Sénégambie). 
Coiffure  des  femmes,  toro.  XXV, 
p.  39,  —  Voyage  dans  le  pays  , 
112  et  snir.  —  Tribu  des  Joliar,  114. 
>— Kemroou,  capitale,  115.  —Cour 
du  roi,  116.  —  Fruits  du  lotus.  122. 

—  Guvrre  contre  Barabara  ,  128.  — 
Naura ,  blé,  211.  —  Sarunsang,  356. 

—  Beugassi ,  357,  —  Sobi ,  359.  — 
Sandjarra  :  cérémonie  précédaut  la 
circoncision.  Polygamie  portée  à  l'ex- 
cès, XXVIII,  375. 

Kabailet,  Voy.  Berbiri. 

Kabanka-Pampana  (rivière  du  Kou- 
ranko,  Séoégambie).  Bords  pittores- 
ques, t.  XXVIII,  p.  50. 

Kabou  (pays  de  la  Sénégambie) , 
t.  XXVIII,  p. 441. 

Kabobiquois  (tribu  au  nord  du  cap 
de  Bonne-Espérance),  C'ustume  d'un 
chef,  t.  XXIV,  p.  356,  3.'i8.  —  Muti- 
lation dans  le  cas  de  maladie,  359.  — 
Idiome ,  359.  —  Ornemens.  Véte- 
mens,  561,  369,  371.  —  Bœuf  de 
guerre,  362.  —  Figure,  368.  —  Re- 
tenue des  femmes ,  370.  —  Mœurs  , 
374.  —  Armes ,  574-  —  Chasses ,  375. 

—  Autorité  du  chef,  576.  —  Son  ha- 
bitation. Aridité  du  pays  ,  577. — Ani- 
niSùx ,  588. 

Kabshari  (ville  du  Bonrnon,  Sou- 
dan). Ses  huttes,  t.  XXVII,  p.  194. 

Kadania  (ville  du  Haoussa ,  Soudan), 
XXVII ,  p.  594. 

K^MPFER.  Sa  vie,  t,  XXXI,  p.  109. 
— ■  Sou  voyage  au  Japon  ,  111  à  157. 

KaJJa  (ville  du  gouvernement  de  la 
Tanride,  Russie  d'Europe)  ,  t.  XLIV, 
p.  418.  —  Description,  432.  —  Si- 
tuation. Fortification.  Population. 
Maisons.  Histoire.  Terroir.  Rude. 
Commerce.  Climit,  XXXI,  175, 174. 

Kainth  (villa   do  Guzerate ,  Hin- 


doustan  ).    Habitation    particulière  , 
caserne  anglaise ,  t.  XXXVI ,  p.  385. 

—  Climat  désastreux,  386.  —  Forti- 
fication. Maisons.  Beau  temple,  587. 

Katr-fFan  (ville  du  royaume  de  Tu- 
nis). Ruines  antiques,  t.  XX  If,  p.  194. 

kak{{fungi  (ville  du  Bourgou  ,  Cfui- 
née).  Situation.  Hospitalité.  Danses, 
t.  XXX  ,  p.  148. 

Kakunda  (ville  et  province  de  l'I  ar- 
riba,  Guinée).  Est  indépendante.  Gou- 
vernement. Naturels.  Ornemens.  Vé- 
temens,  t.  XXX,  p.  375.  —  Signe» 
distinctifs  des  naturels.  Caractère. 
Huttes.  Chasse ,  581. 

Kalav/cwa  (capitale  du  Gouber,  Son- 
dan^  ,  t.  XXVII ,  p.  404. 

Kalgan  (ville  de  la  Chine),  t.  XXXIII, 
p.  162.  --  Rue ,  164.  —  Coups  de 
cauon  quotidiens.  Cc'qu'ils  indiquent, 
166.  —  Signification  du  nom.  Les 
deux  villes  ,  forteresse ,  etc. ,  168 , 
169. -Environs,  170. 

Kama  (ville  du  Kouranko,  Séné- 
gambie), t,  XXVIII ,  p.  65. 

Kamalia  (ville  du  JÛanding,  Séné- 
gambie). Séjour  de  Mungo-Parck , 
t.  XXV,  p.  283.  ■-  Fête  de  la  cir- 
concisiqn,  291.  —Écoles,  308. 

Kamato  (ville  du  Kouranko  ,  Séné- 
gambie ).  Funérailles  d'un  chef , 
t.  XXVIII,  p.  67.  —  Population.  For- 
tifica  lions  ,  69.  —  Escorte  de  l'un  de» 
rois,  109. 

Kaminou-KoU,  Voy.  Caminouquois, 

Kamsin  ou  vtnt  chaud,  Voy.  Simoun, 

Kamtschatka  (Rus.-;ie  d'Asie).  Des- 
cription de  la  baie  d'Awstka  et  de  la 
ville  de  Saint-Pierre  et  Saint-Paul , 
t.  XI ,  p.  508,  309.  —  V  liage  Kanit- 
chin,  328.  —  Voyages  ei. 'traîneaux , 
550  et  suiv.  —  Chiens  ,  351,  418.  — 
Ostrog  (village)  de  Na'.chéekin  ,  334. 

—  Eaux  thermales,  3!»5,  403.  —  Des- 
cription géographique  du  pays,  394.— 


*• 


DES  MATIÈRES. 


»t)0 


Rîrlèrcs  ,  S96.  ^  Sol ,  prodnctioni , 
396.  —  Climat,  59B.  —  Volcans, 
401.  —  Sources  chaudes,  arbres, 
403.  —  Arlirisseniix  plantes ,  405  à 
412.  —  Description  do  la  plante  «a- 
rma  ,  et  de  l'Atri*  douât,  406 ,  406.  — 
Ortie  remplaçant  le  chanvre,  412.  — 
Quadrupèdes  ,  412.  —  Oiseaux,  419. 
Ampliibics  ,  421 .  —  Poissons ,  423. 
—  Pèche,  429.  —  Trois  sortes  d'in- 
Intaus,  428.  —  Commerce  d'importa- 
tion, 439.  —  Trois  sortes  d'tiabita- 
tions  ,  443.  —  K.oriuques  ,  456.  — 
Voyage  au  Tolcan  voisin  de  Pétro- 
pawlowdki,  XHI,  23  et  suiv.  —  Gou- 
vernement équitable  '^^s  Russes  ,  43. 
— Résumé  de  lu  Cl  des  Russes, 

Ô4.  — '  Gouvernemeut  usse ,  XVII  , 
25.  — ~  Détails  sur  les  saisons  ,  382.— 
Attrait  du  pays,  385.  —  Brebis  sau- 
vage, 388.  "—Oiseaux.  Découverte  et 
conquête  ,  387.  —  Population  en 
1822 ,  396.  —  Voyage  dans  le  pays  ; 
XXXI ,  357.  —  Géographie ,  357  et 
suiv  •—•  Montagnes.  Rivières,  358  , 
361  ,  363.  •—•  Volcans,  ^aux  ther- 
males .  364.  —  Productions ,  367.  — 
Sol ,  568.  —  Climat ,  570.  —  Mé- 
taux. Minéraux.  Arbres ,  372.  —  Ar- 
bustes. Fraits.  Plantes,  374.  — 
Chiens.  Renards  ,  576.  —  Béliers. 
Zibelines ,  579.  —  Marmottes.  Gon  - 
lu.  Ours,  580.  —  Ruts  :  fables  sur 
leur  compte,  383.  —  Sortes  d'ani- 
maux amphibies  ,  586  à  394.  — 
Voy.  Avitika ,  BolehtrtUk ,  P/Iropttm- 
lowthi  ,  TseliuUkjr.  ^ 

Kamt$chadalet.  Vétemens ,  t.  XI  , 
p.  526,  447.  —  Danses,  545.  — • 
Chasse  de  l'ours  ,  585 ,  416.  —  Ce 
qu'ils  doivent  à  cet  animal ,  588.  — 
Leurorigine,  428. —  A  quelle  époque 
connus  des  Russes ,  450.  —  Précis 
de  leur  histoire,  451.  — Leur  état 
actuel ,  458.  ^—  Ne  sont  pas  portés 
vers  l'agriculture,  XIII,  29,  61.  — 
Leurs  'anses ,  54.  —  Sont  portés 
vers  les  mœurs  russes,  42,  61.  — 
Ont  adopté  la  religion  grecque ,  48. 

—  Commerce  de  pelleteries ,  58.  — 
Bains  de  vapeur,, 60.  — '  Mœurs,  25. 

—  Religion.  Tradition  du  déluge  , 
388.  —  Usages  avant  la  conquête , 
391.  —  Mœurs  actuelles,  393.  — 
Chasse  à  l'ours ,  596.  —  Effets j^e  la 
oeiga  sur  la  figure ,  XXX^  5/ 1 .  — 


Manteaux,  nattes,  etc.,  faits  avec 
une  plante ,  576.  —  Utilité  du  chien  , 
576.  —  Chasses ,  578  à  585.  -  Pêches, 
588  et  394.  —  Ressemblance  avec 
les  Mongols,  Figure.  Nourriture  , 
395.  —  Véleraens ,  597.  —  Progrès 
du  luxe,  399.  —  Maisons.  Meuble». 
Outils  ,  400.  —  Canots.  Traiucaux  , 
402.  —  Manière  d»  voyager ,  404  , 

414.  —  Armes  ,  405.  —  Grossièreté 
de  mœurs.  Courbes.  Traitement  des^ 
cnfans.  Vieillesse  méprisée,  406.  — 
Mariages ,  409,  410.  —  Modestie  dos 
fummes.  Occupations  c'cs  hommes  et 
des  ieiâmes,  411.  —  Divertissemcns  , 

415.  —  Religion.  Magiciennes.  Su- 
perstitions, 417. 

Kmtm  (  pays  du  Bonrnou,  Soudan). 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.   XXVII, 

£.'98  et  suiv.,  318  et  suiv.  —  Lari , 
i  à  101,  518.  —  Négresses  kanem- 
bous,  99.   —  Animaux,  102  et  suiv. 

—  barah,  104.  —  Woodie,  105, 1»06. 
522.  —  Naturels,  106.  —  Corps  mili- 
taire de  KAuembous,  196,200,  270. 

—  Mendoo  :  défaite  du  vbeik  de 
Bonrnou,  288  à  300. 

Kangarou.  Description  de  ce  qua- 
drupède, t.  VI,  p.  292,  316.  —  Est 
bon  à  manger,  XVIII,  19.— Descrip- 
tion. Habitudes,  etc.,  XLIII ,  28,  55  à 
58.60. 

Knng(trou$   (  île    des ,   côte  de  la 
NunveTle-UoUande  ).  Sel.  Colonie  de 
dépuriés  ,  t.  XLIII,  p.  5.  —  Stérilité 
Lacs  salés,  580. 

Kaniagama  (  ville  du  Kouranko , 
Sénégambie)  ,  t.  XXVHI,  p.  60. 

Kankan  (  ville  et  pays  de  la  Séné- 
gambie  ).  Gouvernement.  Religion  , 
t.  XXIX,  p.  589.  —  Propreté.  Indus- 
trie. Arbres.  Commerce,  590. 

Kang-Tchou'Fou  (ville  de  la  Chine). 
Truffes.  Figuiers,  t.  XXXllI,  p.  416. 

—  Bourse.  Belle  tour,417. 

Kano  (  prov.  duUaousa,  Soudan). 
Voyage  diius  l'intérieur,  t.  XXVII, 
p.  362  à  596  et  432.  —  Girkwa  .  452 

—  Vovage,  XXVHI,  210  à  216.  — 
Beabaegic,210à214.— Campagne,211. 

Kano  (  capit.  du  Kano  ).  Maisons  , 
t.  XXVII,  p.  568.  —  Entrevues  aver 
le  gouverneur.  Sa  demeure.  Ses  pri- 
vilèges, 371.—  Population,  rlimnt. 
Portes,  376.  —  Maisons.  Marché. 
Denrées,   378  —  Bonchcrip.  Repas, 


âuo 


TABLE  GÉNÉRALE 


3ti0.  —  Marché  aux  «toUTet ,  382. 

—  Joogleun,  583.  —  Boxwr* ,  384. 

—  Arbre*.  Pré|iaratioo  du  coton, 
887.r-Teintttrflt.  Nati*;  'U  le  teignvnt 
partis  du  oorpt.  Jar..es ,  688,  5W.  — 
Coitnine*.  Barbierr .  Mideoi  la.  Mala- 
diei,390.  — Murages.  Funérailles, 
302.  —  RbaDiadan,431. 

4tM*(lIe,  archipel  des  A^tis),  Sa 
forme,  t.  XIII ,  p.  143.  —  i>.^a  as- 
pect, 144. 

Aaomimgs»  (ville  dt  la  Chine). 
Tour.  Idule.  Environs,  t.  XXXIIl, 
p.  394. 

Kanui  (ville  du  Caucase,  Russie 
d'Europe  ).  Colonie  écossaise ,  tom. 
XLIV,  p.  446. 

Kartuiou-Bnar  (  ville  du  gonver- 
aeoieat  de  la  Tauride,  Russie  d'Eu- 
rop;j  ),  t.  XLIV,  p.  429 

Karilrarrit  (  tribu  de  Betchouanas), 

t.  XXVI,  p.  471. 

Kanv  (  Grand- ,  défilé  de  la  colo- 
nie du  Cap  ).  Voyage  dans  l'io  té- 
rieur,  t.  XXVI,  p.  121  à  140.  — 
Arbres,  124.—  Belles  routes,  126.  — 
Etendue.  Signification  du  nom,  XXIX, 
oo. 

KatTo  (  Roggeweld  ).  Voy.  Roggf 
»*ld,  —  kathr,a,  Voy.  Ca  hena 

Kairowa  (ville  du  Fezzan'),  tom. 
XXVII ,  p.  59. 

Kation  (  royaume  de  la  Séoégam- 
bie).  Coiffnre  des  femmes,  t.  XXV , 
p.  o9.  —  Voyage  dans  le  pays,  04  à 
112.  —  Kouniakary,  capitale.  Au- 
dience du  nii ,  106.  —  Armée,  109. 

—  Voyage  dans  le  pays ,  XXVIII , 
368  à  372.  —  Asamagantary,  371. 
Voy.  Tissi. 

Katagoum  (  pays  du  Haoïissa ,  Sou- 
dan ).  Cour.  Audience  du  gouver- 
neur, t.  XXV4J ,  p.  347,  349,  358 , 
364.  —  Limites.  Armes.  Productions, 
354.  —  Mourmour,  360. 

Katagoum  (capitale  du  Katagoum). 
Situation,  t.  XXVII,  p.  346- —  For- 
tifications, 355.  —  Maisons,  356. 

Katunga  (capitale  de  rVarriba, 
Guinée) ,  t.  XXVII ,  p.  363.  —  Le  roi, 
sa  demeure,  son  costume,  XXVII l, 
136,  147, 151.  —  Ne  veut  pas  Inisser 
approcher  du  Nigei*,  141.  — Situa- 
tion. Fortifications.  Sculptures.  Mar- 
chés, 146.  —  Formalités  av.iut  d'en- 
trer dans  la  ville.  Costume.  Cour  du 


roi.  XXX,  96,  99.  —  Saints  de 
courtisans,  100.  —  Apathie.  Mar- 
chés Denrées,  102,  108.  —  Cou 
tume  relative  aux  préaena,  104 ,  106. 

—  Discrétion  au  sujet  du  pays,  107. 
—Caractère.  Progris  desFelatahs,108. 

Kara.  Voy,  ^¥a. 

Kawen  (  groupe ,  Iles  Radack  ).  Dé- 
couvert par  Kotzebue.  Nombre  d'Ilea 
t.  XVII ,  p.  183  à  197.  —  Ile  Tjau. 
Bel  aspect.  Douceur  de  ses  habitans 
187.  —  IleOlot,  189,196.  —  Ile 
Airick,  191.  —  Visita  k  la  reine. 
Pantomine ,  192. 

A  <iN>«N  (  Ue  de ,  groupe  Kawen  ), 
Découverte  par  Kotaebqe  ,  t.  XVII , 
p.  183.  —  Oruemens  du  chef,  184, 

'  Kayny  (  ville  du  Bambara  ,  Sou- 
dan). Situation.  Habillement.  Danse. 
Musique.  Autre  Amusement ,  tom. 
XXVIII,  p.  303  et  suiv. 

Kayt  (  Ile  de ,  cAte  ouesf  de  l'A- 
mérique septentrionale  ).  Déco.-.erte 
par  took,  t.  X,p.  432,434  -r^ou 
étendue,  434.  —  Descripiioè  da 
pays,    43&   —  Oiseaux,  43'/. 

KatrouH  (ville  du  DechtisUc , 
Perse).  Ancienne  renommée,  tum. 

XXXV,  p.  23. 
X«4<i.  Voy.  Oublia. 

Kteshê*  f  ville  de  l'Yarriba,  Gui- 
né<)  ).  Fortifications,  p.  XXX,  115.— 
Races  d'Iiabitaas.  Jolies  femmex,  116. 

—  Gouverneu',  1 19. -—Superstitions, 
121. 

X'W(  rivière  du  snJ  de  l'Afrique), 
t.  XXIX,  p.  297  et  suiv. 

Kemaoun  (  province  de  l'Hindoi's. 
tan  ).  Voyage  dans  l'intérieur ,  tom, 

XXXVI,  p.  211  et  suiv.  —  Aspect  de 
l'Himalaya  ,213,  229.  —  Bois  déser- 
tés périodiquement.  21 4^  222.  —  £»• 
tenee  dt  hibou  (  brouillard  ).  Ses  ef- 
fets 215 ,  218.  —  Hideux  habitans , 
215.  —  Campagne,  216,  219,  220, 
221 ,  232,246  —  Invasion  de  Meir- 
Khan,  217.  —  Jackals  ,  222.  -  Pro- 
ductions, 224. 225. — Figure.  Costume, 
Industrie  des  Khasyas,  225-  227.— Jo- 
lie vallée  de Beim-Thal ,  227.  —  Lac, 
227.  —  Belle  gorge  de  Ganghur,  229, 
232,  248.  —  Villages,  229,  237, 
243,244.  —  Ancienne  manière  de 
traverser  le» rivière»,  231.  —  Arbres, 
238.  —  Caractère.  Mœurs.  Popula- 
tion, 239.  —  Oiseaux.  Quadrupède», 


DES  MATIÈRKS. 


3t)l 


240,  241.  —  Pain  eitrAnemtDt  grot- 
•ier,  244.  —  Rii  renommé.  Tbé 
•aufigo,  217.  —  ForAt*  «poulané- 
ment  inoeudiée«.  Boa  coii»trictor , 
258.  Voy.  jilmorah,  capitale;  CaiKêf 
pour,    Ckilttah  ,   Khaijrai ,  Rud*rpoui; 

Ktmmou  (capitale  du  Knarta  ,  Sé- 
D^arobie).  Situation,  tom.  XXV, 
p.  115.  —Cour  du  roi,  116. 

Ktmmoult  (  peuple  d'ibyMÏnie  ).  Sa 
religion  ,  t.  XXtlI ,  p.  471.  —  Om«- 
meas  dei  femmes ,  472. 

Ktmiuûky  (  un  de»  Ëtatt-Unit  ).  Sa 
campagne.  Se*  ville»  principales, 
t  XXXIX,  p.  894.  Voy.  LouiioiU*. 

Ktpptl  (tie  de,  arcbiiiel  de  la 
Reine  -  Charlotte  ).  Découverte  par 
Cartcret,  t.  III,  p.  134. 

K*pptl  (  Ile  de ,  archipel  des  Amis). 
Décuurerle  nar  Wallif,  t  !II,p.881. 
N'est  d'après  Cuok  autre  que  l'tle 
des  Traître*  de  Le  Maire ,    t.  Vlil , 


Leur  conipasiion  pour  lesanimaua, 
227.—  CarurUrc.  Mceui*  ,  228.  281. 

Kk*n0M  (  gtiuveruewent  de  la  Kut- 
*ie  d'Europe  ).  Voyage  dans  l'inté- 
rieur, t.  XLiV,  p.  386  à  809.  — 
Steppes.  Villages,  386.  —  Stations 
militaire*.  Colonie  de  Cosaques,  887. 
—  Postes ,  389.  —  Campagne ,  889 , 
397.  —  Colonie  militaire.  Nicolaif, 
395. 

KktrtoH  (chef-lieu  du  gouverne- 
ment).  Environs  Situation,  I.  XLIV , 
p.  807.  —  Fondations.  Edifices,  898. 

Khctit  (tribu  de  l'HindoniUa }. 
Costume.  Figure.  Armes,  t.  XXXVi, 
p.  379.  —  Leur  origine.  Leur  état 
dans  le  Guserate,  880.  —  Courage. 
Vigueur ,  882.  —  Costdme.  Armes  , 
88o.  — >  Expéditions  de  ouirande, 
884. 

Khora$$aH  (  province  de  la  Perse  ). 
Sa   description.  Limites,  t.  XXXV, 


p.  73.  —  HabiUns, 3?,5.  '—Comment    p.  91.  —  Sol.  MonUgnes,  02,  101. 


appelée  par  les  naturels ,  X ,  44. 

Ktpptl  (  Iles  de,  cAte  est  de  la 
Nouvelle-Hollande  \  Uéconvertes  par 
Cook ,  t.  VI ,  p.  253. 

Rbruuei,bit.  a  découvert  les  Iles 
Ronde  et  de  la  Fortune,  t,  VII, 
p.  222.  —  Les  Iles  Croy,  Roland,  du 
Rendez- Vous ,  etc. ,  IX  ,  186.  —  Lu 
terre  qui  porte  son  nom,  203  ,  et  XX, 
36.  —  Son  voyage  au  prétendu  con« 
tinent  austral ,  XII,  23. 

Kerkouk  (ville du  Kourdisbm ,  Tur- 
quie d'Asie) ,  t.  XXXII ,  p.  484. 

Kerma  Ue  (  tle*  de  la  Polynésie).  Ho 
Macauley,  t.  XV,  p.  143.—  Ile  Raoul, 
p.  144. 

KtrHuk,  Voy.  Loggum, 

E^routrt  (  Iles  ,  Amérique  russe  ). 
Reconnues  et  nommées  par  La  Pé- 
rou», t.  XII,  p.  220. 

Kershemc  (  ville  des  Tibbous  du 
Bilma-Sahara  ),  t.  XXVII ,  p.  82. 

Kertch  (  ville  du  gouveruement  de 
1»  Tauride,  Rusiiie  d'Europe  ).  Tom- 
beau de  Mithriddte  ,  tom.  XLIV , 
p.  433. 

Kharaik  (ville  du  Fexzan).  tom. 
XXVII,  p.  31. 

Khasyas  (  paysans  de  l'Himalaya  , 
dans  le  Kemaoun,  Hindoustan).  Fi- 
gure. Costume.  Ornemens  des  fem- 
mes. Industrie,  t.  XXXVI,  p.  226. 
—  Se  disent   du  pur  sang  Rajpout. 


—  Désert  de  sable,  95.  —  Désert 
salé,  96,  103,  142, 171.  —  DUtrict 
qui  le  bornent,  96,  142.  —  Tour- 
bet,  96,  416.  —  Célèbres  mines  de 
turquoises,  99, 191, 193,  195.—  Ha- 
bitans  des  montagnes ,  102.  —  Féro- 
cité des  tribut  des  frontières,  104.  — 
Voyage  dans  le  pays,  121  à  310. — 
Situation  des  villages,  129  — Cara- 
vanserai,  129,  137, 139, 168,  181.  - 
Tombeau  d'un  coureur,  130.  —  Dé- 
fense contre  les  Turcomans.  Forts  et 
tours  de  terre,  132, 135.  141,  168  — 
Colonie  syrienne,  135.  —  Sol.  Cim- 
pagne,  135, 143. 171 ,  181 ,  202, 276  , 
300,  310.  320.  —  Doulet-Abas,  139, 
141. —  Ro.itam,  152.— Crainte  qu'ins- 
pirent les  Turcomans,  158.  170.  — 
Voyage  d'une  caravane,  162,  164, 
177.— Colonie  géorgienne,  167. — 
Ruines,  173,  188.  —  Coton.  Mû- 
rier. Etoffes,  176.  —  Fameux  Cara- 
venserai,  181.  —  Riipacité  des 
chefs,  185.  —  Extraction  des  tur- 
quoises, 195.  —  Moutons  sauvages, 
196.  _  Productions,  203,  283, 
305,321,  412,  415  et  suivantes. — 
Jardins  de  Derroud,  208.  —  Tom- 
beau d'Haroun-al-Rasciiihl ,  216  à 
223  ,  233.  —  Berceaux  de  voyage  en 
chameau ,  255  note.  —  Crème  salée, 
271.  -Lieux  divers,  277,279.281,300, 
302,  SOC,  412  et  suiv.  —  Indifférence 


302 


TABLE  GÉNÉRALE 


religttuM,  1296 ,  290.  —  Magaiaqne 
Coran ,  2K.  —  (^bmc  au  MogUer, 
tlOè.  —  y'Mt  et  dùtriot  de  Bkrdjuurn» 
Ka'hi,  413.  «-^  Tombeau  d'un  célèbre 
poète,  418.  ^  Etclave*  des  Turco* 
■lant ,  XXXVII ,  241,  263,  277.  — 
AipMt  dei  montagoei,  265.  —  Plante 
i  tnif,  266.  —  Voyage  dans  le  pay*. 
Tour*  de  la  frontière  de  la  Tatarie, 
281.  —  Lieur;  diveri.  281,  286,  307- 

—  Eaux  thrrmales,  281.  —Taren- 
tule, 284.  —  Campugne ,  296 ,  305 , 
807.—  Climat,  ^96,  805.  —  Bou- 
JQOurd.  Vallée  de  la  rivière  Attrok, 
804,  —  Vagabonds  llytiU,  805.  Voy. 
AbàaitalmJf  Cotthowt  ^  DamghtH ,  El- 
t*uft,  Gonmihbad,  Gliori/m,  Htrat, 
Mteh*d,  capitale;  MgMiitoun,  JVitcha- 
per«,  S*vt*<rar^  Stmwun,  Seftahroud^ 
T0ibtt,  Tout,  ancienne  capitale» 
Turaornam ,  Yttd. 

JT/tou/oMN  (ville  de  la  Tatarie,  tndé- 
pendaute).  Beaux  environi.  Pop  da- 
tion. Caraventerai ,  toro.  XXXVII, 
p.  138.  —  FruiU,151. 

Khurttr  avilie  et  oaiis  de  la  Bou- 
kharie,  Tiisrie).  Bal  aspect,  toin, 
XXXVII,  p.  169.  —  Population. 
Maisons.  Lieu  de  naissance  de  Ti- 
Dour,  171*  •—  Etendue  de  son  oasis , 
172. 

Kliyrpour  (  Tille  et  Etat  du  .Sin- 
dby',  Hindouktan  ).  Cour  et  costume 
de  l'émir,  t  XXXVII,  p.  371.  Voy. 
Bukkur. 

Ktama  (  ville  et  Etat  tributaire  du 
Bourgou,  Guinée).  Costume  et  es- 
corte du  chef,  t.  XXVIII,  p.  154 
156,  161.  —  Latitude.  Huttes.  Cum- 
nierce.  Religion ,  158.  ^  Population. 
Gouvernement.  Saints.  Dtnrées,  160. 

—  Costume  d'un  chasseur,  162.  — 
Exif^ence  du  roi,  276.  '-'  Huttes, 
XXX ,  129.  —  Hutte  du  roi ,  131.  — 
Vice  des  prêtres  mahométans,  135 
— •  Figures  en  bois.  Céi^monie  du  hé- 
knm-Sala,  136.— Courses  dechevaux, 

138,  141.  —Cour  du  roi.  Costumes, 

139.  —  Caractère  des  naturelu,  248. 
Kiekmi  (Ile,   golfe  Persique).  As- 
pect désolé.  Dé<»dence.  Population , 
t.  XXXV,  p.  12. 

^"/  (gouTernr.ment  de  la  Russie 
d'Europe  ).  Voyrige  dans  l'intérieur , 
t.  XLIV ,  p.  375  à  386.—  Campagne, 
382  883,585.  —  VassUkov,  382.  — 


Bois.  883.  —  Villages,  888,  884 

—  HabitMus  juifs  et  polonais ,  S8S. 
•^  Zvenigorodka.  Uman ,  884 

Kt^f  (  capitale  du  gouvernement 
deoenom).  Son  aspect,  t.  XLIV , 
pag.  575.  —  Le  kaout ,  376.  — 
Desoriplion  de  la  ville ,  377  à   882. 

—  Arsenal ,  378.  —  Monastère.  Ca- 
taoofflbos ,  379.  —  Rfilises.  Le  vieux 
Kief.  Le  Podota,  881.  —  Environs, 
882. 

Kim-ChowUx  (  ville  dn  Guzerote, 
Hindonstan  V  Vaste  caraveuserai , 
t.  XX XVI,  p.  396. 

KimiHg  (ville  delà  Chine).  Envi- 
rons. Cuuveni,  t.  XXXIII,  p.   176, 

177.  ~-  Indifférence  pour  le  verre , 

178.  —  Temples  ,  346. 
Kinitakoitro  (  ville  des  Mandingnes, 

Sénégambie  ) ,  t.  XXV ,  p.  312. 

KiNU.  Expliire  les  cAtes  de  la  Nou- 
velle-Hollande, t.  XXI,  p.  326  H 
860,  368  à  418.  -^  Nomme  différent 

Joints ,  341  ,  343 ,  348  et  suiv. ,  371), 
83  et  suiv.,  398  et  suiv. ,  412 ,  425. 

—  Ses  entrevues  avec  les  naturels , 
4U7 ,  421 .  —  Remarque  sur  ses  ruya- 
ges,428. 

King  (lie  de,  mer  de  Behring) 
Nommée  par  Cook ,  t.  XI,  p.  53. 

Kiiig  (  Ile  de ,  cAto  de  la  Nouvelle- 
HoUande),  t.  XLIII,  p.  36. 
'      X'/iigJIra»  (province]  dn    Bourgou, 
Guinée) ,  t.  XXX ,  p.  248,  251. 

KîngttoH  (ville  du  Haut-Canuda  ) , 
t.  > XXIX,  100,  102. 

Kiohn  ou  Alpes  •  Scandinaves, 
(monts  entre  la  Suèdr)  et  la  Nor- 
wége),  t.  XLV,  p.  7,93,  500  — 
Le  mont  Solivara  ,  304.  —  Chaîne  de 
Chouis-Niumi ,  307.  —  Lac»,  507, 
308.  —  Tempête  de  lueige  ,  508.  — 
Direction  des  monts,  XLVI,  41.  — 

—  Hauteur  des  principaux  points, 45. 

—  Région  des  glaces ,  52. 
Kirklciii  (ville    de   la  Ronmélie , 

'  Turquie    d'Europe  )  ,  tom.     XLIV , 
p.  41. 

Kirri  (  ville  de  l'Yarriba ,  Guinée  ). 
Marché,  t.  XXX,  p.  415,419.— 
Palaver  (  coniteil  de  guerre  ) ,  419  et 
suiv.  —  Formes.  Véteraens.  Incisions 
dans  la  figure.  Belles  femrae.i.  Signe 
distinctif  de  la  cité,  424.  —  Manière 
do  faire  le  commerce  auz  "n'iroo», 
427. 


DES  MATIÈRES. 


393 


KhtM  (Tille  dmTibboui  du  Bilma. 
Sahara),!.  XXVII,  p.  W. 

Kiit0t  (  habiUna  du  Caucate). 
Mvtirt ,  utagn ,  etn.,  elo.,  t.  XLY  , 
p.  425  à  427  et  444  à  451.  Voy.  Cu». 
eai». 

Kinnt  (  Ua  de  l'eaipire  du  Japon) , 
I.  XII,  p.  355  {  XXXI,  114.  V07. 
/ItmgAUiti. 

Jr7Min»M;«r  («talloo  de  missioDoairet 
en  Hottentotie) ,  t.  XXVI ,  p.  197 , 
283.  —  BAtimeut,  201.  —  Service 
divin,  ^gliie  ,  202.  —  Managei. 
Éoolet.  Village  .  204.  —  Maiioni  , 
206.  —  Naturel*  ,  207.  —  Autorité 
de*  chef*  des  naturel*.  208.  •-  Jar- 
din*, 210,  212.  —  Blé.  Légume*, 
212.  —  Habitations  d<*.  miuionnaire*, 
214.  —  Saison»,  216.  —Maladies, 
218.-T  Vétemeni,234. 

Klatroth.  Son  Toyage  an  mont 
Caucase,  t.  XLV,  p.  400. 

Klautin  (ville  du  Tvrul).  Son  Christ, 
t.  XLV,  n.  395. 

Ktoof  (kraal  hottentot).  Sa  descrip- 
tion, t.  XXVI ,  p.  180,  184  et  SUIT. 
296. 

Knijght  (Ile ,  Ncu?elle-Zélande ,  sud- 
est).  Découverte  par  Broughton.  Son 
aspect  affreux ,  i.  XIV,  p.  69,  70.  — 
N'est  autre  que  les  Suares  découvertes 
par  Vancouver,  86. 

Koehelit*  (beuu  lac  de  la  Bavière) , 
t.  XLV,  p.  359. 

Kolalrouha  (ville  du  Kouranko ,  Sé- 
négambie^ ,  t.  XXVIll ,  p.  69. 

ICotor  (ville  du  Woulli,  Sénégam- 
bie).  Singulière  répression  des  trou- 
bles domestiques,  t.  XXV,  p.  58. 

XemaHgo.  on  Amango  (Me ,  Poly< 
nésie),  t  IX,  p.  336. 

Komia  (ville  du  Solilimana  ,  Séné- 
gambie  ).  Étendue.  Danses.  Jeux  , 
t.  XXVIll,  p.  76. 

Koi{fodah  (port  de  l'Ycmen ,  An- 
bie).  Campagne.  Climat,  t.  XXIII, 
p.  l41. 

Kenq  (  montagne  d'Afrique  )  , 
t.  XXII,  p.  7;  XXVIll,  113. 

Kongsving*r  (  forteresse  ,  Sondcr- 
fields,  Norwége),  t.  XLV,  p.  42  à  45. 

Kokkodongort  (ville  du  Soiilimana , 
Sénégambiej,  t.  XXVIll,  p.  79.  — 
Environs,  80.  —  Vue  de*  sources  du 
Niger,  105. 

Konkodou  (canton   du   Fouladou  , 


Sénégambiej.  Mina*  d'or.  AlUao*  , 
t.  XXV.  p.  521. 

A^onl'^l  (  ville  du  Xouranko ,  Séné- 
gambie),  t  XXVIll,  n.  57. 

Koiutantim»gorik  (ville  dn  Cancaie, 
Biussie  d'ËuruDe),  t.  XLIV,  p.  448. 

Kootf»  (ville  du  Nifé,  Guinée). 
Très  commerçante  ,  t.  XXVIll  , 
T«.  195.  —  Marchés.  Population.  État 
des  esclaves,  196.  •—>  Caractère.  Oc* 
oupation».  Usages  des  naturels,  198. 

Komi  (tribu  au  nord  de  la  colonie 
du  cap  de  Bonne-Eitpérance).  Véte- 
mens.  Traits,  t.  XXVI ,  p.  100,  195. 

—  Maurs.  Usages.  Pays,  192.  — 
Kraal  (village),  296,  378. 

Konquot»  (tribu  au  nord  de  lu  co- 
lonie du  cap  de  Bunno-Espérance). 
Taille.  Vêtement.  Pays  aride.  Vie 
errante ,  t.  XXIV,  p.  352.  —  Idiome , 
559. 

Koriaquet.  Fixes  et  errans.  Tribus 
du  Kamtsoliatka.  Leur  état,  t.  XI , 
p.  453. 

Kofokou  (  province  dn  Rourgou  , 
Guinée) ,  t.  XXX ,  p .  248 ,  251 . 

Kottir  (port  d'Egypte).  Fortifica- 
tions. Commerce,  t.  XXIII,  p.  112. 

JCoioHoora  (  ville  et  province  du 
ttaoussa, Soudan),  t.  XXVIll,  p.  202. 

Koioo  (tie,  archipel  des  Amis), 
t,  IX,  p  385. 

KoTZKBDB.  Son  premier  voyage  au- 
tour du  monde ,  t.  XVII ,  p.  29.  -^ 
Découvre  les  Iles  Romanzoff ,  45.  -~ 
Spiridoff,  46.  —  La  chaîne  de  Ru- 
rick ,  47.  —  Le  groupe  Krusenstcrn  , 
48.  '—  Découvre  les  groupes  Kutu- 
soff  et  Suwaroff ,  62.  —  L'Ile  Rat- 
manoff ,  75.  —  L'Ile  Saritschcff ,  79. 

—  Chamisso  ,  85.  —  D'^^iouvre  lo  dé- 
troit de  Kotzebue,  103.  —  L'Ile  du 
Nouvel-An,  127.  —  L'Ile  du  Bouc, 
144.  —  Les  Iles  des  Oiseaux,  146, 
155.  —  L'île  Orned.  Entrevues  inté- 
ressantes avec  les  naturels ,  150 ,  161  , 
168,  177,  229,  362,  370.  —  Dé- 
couvre les  diffcrens  groupe»  des  Iles 
Radack,  164  à  209  ,  254.  —  Le 
groupe  Legiep,  231.  —  2*  Voyagt , 
255.  —  Découvre  l'Ile  Predpriate  , 
266.  —Décrit  l'État  de  Taiti  en  1824 , 
275  à  326.  —  Est  visité  par  la  reiue, 
305  et  suiv.  —  Décrit  le»  Iles  des 
Navigateurs  ,  327.—  Découvre  l'île 
du   Pécheur,    339.   —  Ses  rolatioos 


304 


TABLE  GÉNÉRALE 


nvec  la  reine  convertie  et  lettrée  de 
Sandwich,  435,  438,  444  et  suiv.  — 
Découvre  le  groupe  Rimski-Korsakoff, 
463. 

Kottebue  (détroit  de ,  mer  de  Beh- 
ring ).  Découvert  par  Kotzebue  , 
t.  XVII ,  p.  103.  —  Ornement  labial 
des  naturels,  XIX,  241.  —  Pellete- 
ries. Ustensiles.  Scupltures.  Armes , 
242.  —  Figure  des  naturels.  Canots 
reconverts ,  244.  —  Couches  de  glaces 
sur  les  montagnes,  249.  —  Pointe 
Éléphant,  249,  251.  —  Habitations  , 
251 .  —  Voy.  Chamiito, 

Kouban  (Heuve  du  Caucase).  Steppes 
de  ses  bords ,  t.  XLIV,  p.  386- —  $on 
cours,  435.  —  Temrouk,  437.  — 
Tours  de  g^et  et  antres  fortificitions, 
438 ,  443.  —  Yékatériaodar,  439.  — 
Établissement  des  Cosaques ,  442.  — 
Villages,  443. 

Kottcfum,  Voy.  Cotcltoun. 

Kouga  (rivière  du  cap  de  Bonne» 
Espérance),  t.  XXIV,  p.  113. 

Kouka  (capitale  du  Bouruon,  Son- 
dan).  Audience  du  cheik ,  t.  XXVII  , 
p.  117.  — Denrées.  Vêteraeus,  118. 
_  Esclaves,  118,  216.  —  Belles 
négresses,  177.  —  Environs  ,  179. — 
Caravane  d'esclaves,  204.  —  Séjour 
dans  la  ville.  Usages.  Mœurs,  209. — 
Mariages,  214.  —  Saisons,  215,  227. 

—  Esclaves  lutteurs,  223.  — Fourmi's 
blanches  et  noires ,  228.  —  Médecins. 
Charlatans,  230  — Eunuques ,  234. 

—  Victoire  contre  le»  Begbarmis  , 
268  et  suiv.  —  Observance  du  Rha- 
madan ,  277,  279.  —  Punition  contre 
ceux  qui  l'enfreignent,  281.  —  Célé- 
bration de  la  fête  de  l'Aïd-Kebir , 
307. 

Kowiknrro  (ville  du  Bambarra ,  Sou- 
dan). Commerce  de  sel,  t.  XXV, 
p.  264.  —  Habitée  par  des  brigands  , 
XXVHl,  357. 

Kouliufa  (ville  dn  Kotiranko  ,  Sé- 
négambie) ,  t.  XXVIII ,  p.  49. 

Koum  (ville  lie  Perse  ,  proprement 
dite).  Tombeau  de  Fatima,  t.  XXXV, 
p.  50.  —  Population.  Inhospitalité, 
52. 

Kouma  (ville  du  Bambarra),  t.  XXV, 
p.  269. 

Koundouz  (  ville  de  la  Tatarie  indé- 
pendante), t.  XXXVII,  p.  142.  — 
Manière  de  prendre  le  tlié  ,145.  — 


Situation,  149.  —  Climat  insalubre. 
Population.  Citadelle ,  150. 

Kouniakarx  (  capitale  du  Kasson  , 
Sénégambie).  Audience  du  roi,  t.  XXV, 
p.  106. 

Kour  (fleuve  de  Géorgie,  Russie 
d'Asie).  A  donné  son  nom  à  Cyrus  , 
t.  XXXI,  p.  191. 

Kouranko  (province ,  dépendant  du 
Manding ,  Sénégambie).  Voyage  dans 
l'intérieur,  t.  XXVIII ,  p.  43  à  74-  — 
Mœurs  et  usages  des  naturels,  45  et 
suiv.  —  Campagne ,  47, 50 ,  56 ,  59 ,' 
64.  —  Productions,  4<i,  72^  —  Kou- 
loufa,  49.  —r  Rivière  de  Kabanka- 
Pampana ,  50.  —  Sonbo-SqmbouDia  , 
51 .  —  Ménestrels ,  52.  —  Boundagia, 
56.— NynUh,  Konkofil,  57.  —  Neta- 
Kouta,  59.  —  Rivière  Tongocelle, 
61 ,  62.  —  Kaniagania ,  65.  —  Funé- 
railles d'un  chef,  67.  —  Étendue, 
bornes ,  villes  principales ,  69.  —  Res- 
semblance des  naturels  avec  ceux  du 
Tinumani  et  du  Ma^iding.  Costi^n-e 
de  femmes ,  70.  —  Mariages  ,  ocfcL- 
pation  des  femmes  ,71.  —  Maisons , 
72.  —  Renommée  d'éloquence  des 
naturels.  Funérailles,  73.  —  Juge- 
ment!. Gouvernement,  74.  —  Ma- 
nière de  traverser  les  rivières,  75. 
—  Sources  de  la  Rokelle ,  104-  —  Es- 
corte d'un  chef,  109.  —  Voy.  Kamato, 
Laing,  Simera. 

Kourdistan  (province  de  la  Turquie 
d'Asie).Voyage  dans  le  pays,  t.  KXXII, 
p.  470,  471  et  suiv,  — Comment  les 
Kourdes  dévalisent  les  voyageurs.Cos- 
••umes.  Armes,  471.  — Physionomie, 
472.  —  Divertissemens,  475.  —  Ar- 
belles  ,  483.  —  Altorm  ,  Kerkonk , 
484.  —  Observation  de  mœurs , 
t.  XXXV,  p.  419. 

Kouriles  (lies  ,  mer  d'Okhotsk).  Ile 
Paramousir  ,  soumises  par  les  Russes, 
t.  XI ,  p.  449.  —  Explorées  par  La 
Pérousc.  Noms  donnés  à  plusieurs 
lieux,  XII,  419.  —  Ile  de  la  Compa- 
gnie, 431,  437.  —  Figure,  mœurs 
et  coutumes  des  naturels,  XVII, 
18. 

Kourkavan!  (ville  du  Bondou  ,  Séné- 
gambie^  Religion ,  t.  XXV,  p.  67. 

Kricko  (rivière  de  la  Sénégambie). 
Son  cours ,  t.  XXV,  p.  1 1 1 . 

Krogoen  (  île  de  la  Norwége  )  , 
t.  XLV,  p.  118. 


DES  MATIÈRES. 


S»5 


Krolio9êti  (rille  du  gouvernement 
de  Tcberoigov,  Russie  d'Europe). 
Palais  du  dernier  hetman  de  l'Ukraine, 
t.  XLIV.p.  371 

KRCsEirsTERir.  Son  voyage  autour 
du  monde ,  t.  XVII ,  p.  3. 

Kntenttern  (groupe ,  archipel  Dan- 
gereux). Découvert  par  Kotzebue, 
t.  XVII ,  p.  48. 

Krusemlera  (  Ile  ,  mer  de  Behring). 
Nommée  par  Beechey,  t.  XIX ,  p.  237. 

Ku«ra'  (  province  de  l'Abyssinie) . 
Sol.  Climat.  Nègres  païens.  Pouvoir 
du  gouverneur,  t.  XXIII, p.  332. 

Xumi  (  tte ,  mer  de  Corée  ).  In- 
sulaires, leur  vêtement,  leurs  piro- 
gues, t.  XII,  p.  323. 

X^fttein  (  ville  du  Tyrol  ) ,  t.  XLV, 
p.  581. 


Kuruma»  (capitale  des  Mantchlapis , 
sud  de  l'Afrique).  Situation.  Maisons, 
t.  XXIX ,  p.  48.  —  Habitation  des 
chefs.  Rues ,  50.  —  Grand  conseil , 
â5,  82.  —  Service  divin ,  59. 

Kuruman  (rivière  du  pays  des  Mant- 
chlapis). Sa  source,  t.  XXIX,  p.  63. 

Kuiattz  (ville  de  lu  Sibérie).  Sa  des- 
cription, Habitans.  Travaux,  t.  XXXI, 
p.  270. 

Kuttery  (ville  du  Boumou ,  Sou- 
dan). Singulières  huttes,  t.  XXVII  , 
249.  —  Fortifications,  250. 

KuTTiTER.  Ses  voyages  ,  t.  XLVI , 
p.  155. 

ir«(B«0>7  (groupe ,  Polynésie).  Dé- 
couvert par  Kotzebue ,  t.  XVII ,  p  57, 
62.  —  Canots ,  insulaires  très  doux  , 
58.  —  Leur  figure ,  60. 


I 


/. 


t. 


Lab\t.  Ses  voyages  en  Europe  , 
t.  XLVI,  p.  76. 

/.<i£ott  (ville  du  Yarriha,  Guinée). 
Beaux  alentours,  t.  XXVIII,  p.  120. 
—  Visite  au  chef ,  121. 

Zafrra /or  (Nouvelle-Bretagne,  Amé- 
rique septentrionale).  Nommé  par 
Cortéréal,  t.  XL,  p.  xj.  Voy.  Eiqni- 
maux. 

Lahy  (ville  du  Tenda,  Sénégambie), 
t.XXV,  p.  341. 

Labyrinthe  {JXq»  du,  archipel  Dan- 
gereux). Découvertes  par  Roggewio, 
t.  II,  p.  57;  VIII,  214. 

Lnchlan  (rivière  de  la  Nouvelle- 
Hollande),  Communication  présumée 
avec  la  Morumbidje,  t.  XLIIl,  p.  303, 
364. 

Lacoiir.  Son  voyage  en  Grèce, 
t.  XLVI,  p.  210. 

Ladrilleros.  Son  voyage  par  le 
détroit  de  Magell.in  ,  1. 1 ,  p.  151.  — 
Résumé  de  ses  voyages,  XVIII,  191. 

Laforey  (Me  de  la  Polynésie),  Décou- 
verte Kdwards.  Indices  de  sacrifices 
Immains  ,  t.  XIII,  p.  430. 

La  Guayra  (  ville  du  Venezuela , 
Amérique  méridionale),  t.  XXXVIII, 
l».  363. 

Lagon  (  île  du,  awhipcl  Dauge- 
ronx).  Découverte  p:ir<Jouk.  lJescri(i- 
tion  des  habitans,  t.  V,  p.  86.  —  Est 


prabablement  celle  de  La  Harpe ,  que 

Bougaiuville  avait  nommée  avant  lui, 
VII,  150.  —  Son  aspect,  XIX,  159. 

—  Belles  formes  des  naturels.  Véte- 
mens,  161. 

Lagune  (île).  Ce  qu'est  cette  sorte 
d'île,  XIII,  419. 

Lahajjan  (ville  du  Ghilan  ,  Perse). 
Population.  Bazars,  t.  XXXV,  p.  363. 

Laliore  (  capitale  du  Penjab,  Hin- 
doustan).   Environs,  t.  XXXI,  p    86. 

—  Antiquité.  Situation,  92.  —  An- 
cienne spleudeur,  XXXVII,  13.— 
Fréquence  des  tremblemens  déterre, 
16.  —  Fête  du  printemps,  22.  — 
Riche  palais  du  Summum-Bourj,  24. 

—  Aspect  de  la  ville,  432.  —  Présen- 
tation de  Bornes  à  Runjeet- Sing, 
434.  —  Salle  d'audience  royale,  438. 

—  Revue  militaire.  Commandcmcns 
en  français ,  438.  —  Description  de 
la  ville,  440.  —  Tombeau  impérial , 
441. — Jardin  de  Shah-Jelian,  442. 
Voy,  Ranjeei-Sing, 

Laing.  Son  voyage  dans  le  Ti- 
mani  (Sénég.irabie  ).  Faits  prélimi- 
naires, t.  XXVIII,  p.  1.  —  Audience 
du  roi  de  Timani,  11,  —  A.ssiste  à 
une  assemblée  publique,  13,  17.  — 
Voyage  dans  N?  Kouranki»,  43  et  suiy. 

—  lUeu  reçu  [lar  des  chefs ,  50 ,  57 , 
79.  — (;oinplot  contre  lui,  63  et  suiv.. 


396 


.  TABLE  GÉNÉRALE 


■~  Voyage  dans  le  Sonlimana ,  74.  — 
Assiste  à  une  fête,  76.  —  Assiste  à  des 
réjouissances  publiques,  81  à  89  ,  93 
et  suiv.  —  Aperçoit  les  sources  du 
Niger ,  99  et  soir.  —  Renseignemcns 
sur  son  assassinat  recueillis  par  CaiU 
lié,  XXIX,  406. 

La  LouaÈRB.  Son  voyage  à  Siam , 
t.  XXXI,  p.  241. 

Lamalmom  (mont  du  Gondar,  Abys- 
sinie).  Voyage  an  sommet,  t.  XXHI, 
P.  279.  —  Climat ,  280.  ~  Péages, 

281.  —  Plaines  et  sources  au  sommet, 

282.  —  Langue,  mœurs  des  habitans, 
284. 

Lamanou  (lie  et  pic  de  la  mer  du  Jap.). 
Nommé  par  La  Pérouse-,  t.  XII,  p.359i 

Laïuien  (  Oe  des,  archipel  Dange- 
reux). Découverte  et  décrite  par  Bou- 
giiinville,  t.  IV,  p.  200.  —  Nommée 
ensuite  par  Cook  lie  du  cap  Trnmb, 
V,  88;  XIX,  162. 

Landeek  (vUle  du  Tyrol) ,  t.  XLV, 
p.  405. 

Larder  (Richard).  Domestique  de 
Clapperton  en  Afrique ,  coutiaue  son 
journal,  t.  XXVIII,  p.  237. -Inhume 
''lapperton,  243.  —  Goftte  du  serpent 
cuit,  261  .—Aventures  remarquables, 
276,  282.  —  Son  voyage  avec  son 
frère  John  dans  le  but  d'explorer  le 
cours  et  l'embouchure  duNiger,  XXX, 
1,  —Notice  biographique,  2.  —  Rend 
visite  au  roi  de  Badagry,  8, 17, 20,  27. 

—  A  différens  chefs ,  35,  38 ,  44,  48. 

—  Au  roi  de  l'Yarriba  ,  99,  113.  — 
De  Kiam:<,  129,  131. — Nomme  le 
mont  Cornouaille ,  158.  —  Visite  le 
roi  de  Boussa,  164, 169,  228,  275.— 
Le  Niger,  166.  — -  Recherche  îe»  pa- 
piers de  Mungo-Park,  170, 194, 199. 

—  Visite  le  sultan  d'Yaouri,  193, 
203 .  211.  —  Descend  le  Niger,  256 
et  suLv.  —  Visite  le  roi  de  Ouaoua  , 
334.  —  Assiste  à  une  grande  fête  mu- 
sulmane, 259  à  269.  —  Entrevue  avec 
le  roi  de  l'Eau  Noire.  Beaux  costumes, 
315  et  suiv.  —  Entrevue  avec  le  roi 
de  Kakunda,  376.  —  Est  attaqué  et 
pillé,  416,  423 — ^Visite  le  roi  d'Eboé, 
435,  441 ,  444.  —  En  est  rancouué, 
444, 447,  454. 

£<io«  (province  du  Siam),  t.  XXXIV, 
p.  452. 

Lapeuna  (ville  du  gouvernement  de 
Moscou,  Russie  d'Europe).   Marché 


da  Dimanche,  tom.   XLIV,  p.  SS9. 

LAPtACB.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  XVIII,  p.  4l9.  — Nomme 
les  (les  BtU*  et  Duperrey,  450. 

Laponie  nonv/gitnne,  Voy.  Fimnark. 
Ses  différens  noms ,  t.  XLV,  p.  226. 

LopoiUt  rutse  (partie  de  la  Finlande, 
Russie  d'Europe).  Voyage  dans  le 
pays,  t.  XLV,  p.  317.  —  Aspect  du 
pays ,  317,  320.  —  Arbres.  Lacs,  317. 

—  Haltan,  318.  —  Vie  nomade  des 
naturels  ,  320.  ^  Rivières ,  321 ,  324. 

—  Mnnioniska  ,  321.  —  Bains  de  va- 
peurs, 322.  —  Le  Muonio ,  323.  — 
Foire  deKangis.  Rivière  Tornéa,  324. 

Lapons  du  Nordlaud  ,  t^  XLV, 
p.  168. 

Lapons  du  Finmark.  Sontle  type  de 
Li  race,  t.  XLV,  p.  235.  Amour  des 
liqueurs  fortes  ,  175  ,  268.  —  Pê- 
ches de  la  baleine,  180.  —  Singu- 
lières tabatières,  188.  —  Taille  ,  li- 
gure, formes,  194,  243.  — ^  Agilité. 
Force ,  195,  243  ,  273.  —  Famille  hi- 
pone ,  202.  —  Costumes  ,  203 ,  204, 
241,  242,  249,  ^95  —  '^raiement 
des  rennes,  205.  — Berceaux ,  206. — 
Préparation  du  lait ,  208-  —  Cabane, 
218.  —  Hiver  passé  dans  leur  pays, 
225.  —  Soirées ,  231,  233.  —  Chants 
nationaux,  232.  —  Le  Lapon  du  Fin- 
mark  est  le  type  de  la  race,  235.  — 
Cla.sses  de  Lapons ,  236.  —  Pourquoi 
ils  fuient  les  forêts  en  été,  237.  — 
Émigrations ,  239.  —  Tente ,  239,  2Î0. 

—  Caractère,  241,  265,  267-  — 
Teint,  Vie  nomade,  244.  —  Trou- 
peaux. Gloutonnerie ,  245.  —  Nour- 
riture. Cui.sine.  Lait,  246,  247.  — 
Goût  pour  les  couleurs  voyantes,  249. 

—  Magot  du  montagnard.  Contribu- 
tions ,  257.  —  Familles ,  258.  —  Ac- 
couchemens,  éducation  des  enfans  , 
258  à  260.  —  Chasteté,  265.  —  Ra- 
reté des  vols  ,  266.  —  Restes  de  su- 
perstition, 266.  269,  292,  293.  - 
Bonuc  santé,  267.  —  Maladies,  Mé- 
decine ,  268.  —  Armes.  Chasses  ,  269. 

—  Patins  à  neige ,  272.  —  Fête  a  la 
ré.'iparition  du  soleil,  274.  —  Inté- 
rieur d'une  gamme,  275.  — Lapon.'* 
marins,  276.  —  Noces,  286  et  suiv. — 
Sieste ,  289.  —  Idétvs  sur  l«.>.  aurores 
boréalïs,  292.  —  DiCficiiltc  de  des- 
siner un  Lapon ,  293.  —  Danse  , 
chant ,  costume  du  montagnard .  294, 


98àl01,31î 


du  climat ,  jari 


DES  MATIÈRES. 


307 


295.  —  Traîneaux  ,  296.  —  Sont  ba- 
billards ,  50t.  —  Vie  d'an  prêtre 
lapoo.  Cimetières,  311.  —  Tente  à 
rennes,  313.  —  Pipes,  316.  —  Pour 
leur  pays ,  voy.  Finmarlr. 

Laroche  (ville  du  Maroc).  Descrip- 
tion de  la  yille  et  des  environs , 
t.  XXII,  p.  90,  13». 

Lari  (ville  du  Kanem ,  Soudan) , 
t.  XXVII,  p.  98,  318.  —  Huttes, 
98  à  101  ,  318. 

Laroqce.  iiou  voyage  dans  l'Arabie- 
Heureuse,  t.  XXXI,  p.  238. 

Larro  (ville  de  l'AIquemi,  Guinée). 
Fétiche  du  lieu,  t.  XXX,  p.  43.  — 
Costume  du  chef.  Figure  des  naturels, 
44.  —  Progrès  du  pays ,  46. 

Lai^ns  (îles  des).  Voy.  Mariannet, 

Las  Casa.h.  Ses  commencemens , 
t.  XXX V 1 1 1,  p.  253.  —  Peint  les  atroces 
procédés  des  Espagnols  contre  les  In- 
diens ,  255.  —  £n  instruit  le  roi,  256. 

—  Ses  plans  pour  exploiter  les  An- 
tilles ,  258.  —  Sa  première  colonie  ne 
réussit  pas ,  260.  —  Ses  représenta- 
tions au  noi  sur  le  sort  des  Indiens  -, 
261  et  suiv. 

Latdjird  (village  du  Khorassan  , 
Perse).  Fort  remarquable  ,  t.  XXXV, 
p.  131, 132. 

Lasta  (province  de  l'Abyssinie). 
Habitans.  Cavalerie,  t.  XXIII,  p. 327, 
328. 

Latika  ou  Laodicét  (  ville  de  la 
Syrie  ,  Turquie  d'Asie) ,  t.  XXIII , 
p.  45. 

Latte  (île ,  Polynésie).  Découverte 
par  Maurreli,  t.  XIII,  p.  232. 

Laughlan  (lies  ,  Australie).  Nombre, 
•aspect,  t.  XVIII,  p.  307. 

Lebeda  (  Leptis  Magna,  ville  de 
l'État  de  Tripoli).  Ruines  antiques  , 
t.  XXIII,  p.  39. 

Lk  Brutn.  Sçn  v "âge  an  Levant, 
t.  XXXI,  p.  238. 

Le  Cap  (capitale  de  In  colonie  du 
cap  'de  Bonne-Espérance).  Salubrité 
du  climat ,  jardin  de  la  Compagnie  , 
t.  III ,  p.  63.  —  Bâtie  par  les  Hollan- 
dais. Sa  description,  VII,  121,  193. 

—  Climat,  125,  199.  -—  Animaux. 
Productions  ,  126.  —  Jardin  de  la 
Compagnie  ,  127.  —  Naturels  du 
pays ,  128.  —  Quai  ,133.  — •  Descrip- 
tion de  la  montagne  de  la  Table ,  et  du 
pays  d'alentour,  l94.  —  Vins  du  Cap, 


198.  —  Aspect.  Rues.  Population  , 
XX,  120:  XXIV,  8.  —  Poisson.  Gi- 
bier. Fruits  ,  10.  —  Effets  du  vent , 
12.  —  Maladies,  14. —  Pluies,  15. 

—  Vignobles,  41.  —  Boisson»,  43.— 
Arbres ,  46.  —  Habitations  voisines , 
48.  ■—  Nègres  affranchis ,  49.  — 
Moutons  du  Cap,  175.  — •  Colons 
descendans  des  réfugiés  français,  239. 

—  Fripiers ,  251 .  —  Absence  de  jeux , 
272.  — Bel  aspect  iutérieur  de  la  ville, 
XXVI ,  7.  — ;  Maisons ,  8.  —  Climat  , 
8,  27.  —  Églises  et  autres  monu- 
mens.  Fleurs,  10.  —Fortifications. 
Plantes  des  environs  ,14.  —  Histo- 
rique, 19.  —  Habitans.  Commerce  et 
prix  des  esclaves,  20.  —  Première 
mission ,  64.  —  Chariots  ,81.  —  So- 
ciété, XXIX,  231.' —  Jardin  du 
gouverneur.  Danse  des  esclaves.  Ma- 
riages ,  232.  —  Amusemens.  Viiriété 
des  costumes  ,  235.  —  Équipages. 
Bals.  Courses  de  chevaux,  236. 

Lecee  (ville  du  royaume  de  Naples), 
t.  XLVI,p.l97. 

Lee-Boo.  Fils  du  roi  des  lies  Pelew. 
S'embarque  avec  Wilson  pour  l'Eu- 
rope. Curieux  détails  sur  les  impres- 
sions que  produisent  sur  lui  tous  les 
objets  nouveaux.  Son  bon  caractère. 
Son  intelligence ,  t.  XIII ,  p.  386  à 
417.  —  Arrive  à  Londres,  408.  — 
Sa  mort,  416. 

Leechee  (ville  de  l'Yarriba,  Guinée). 
Résidence  du  chef.  Niger,  t.  XXX  , 
p.  309.  —  Canots ,  310. 

Lefooga  (lie,  groupe  Hapaee,  ar- 
chipel des  Amis).  Sa  description  , 
t.  IX ,  p.  369.  —  Son  étendue  ,  370. 

—  Femmes  oculistes.  Coiffeurs ,  374. 

—  Mondrain  factice ,  376.  —  Den- 
rées ,  351 .  —  Cérémonie  de  la  récep- 
tion que  l'on  fait  à  Cook ,  352  et  suiv. 

—  Combats  simulés ,  partagés  par  les 
9 femmes  ,  355.  —  Danse  remarquable, 

358.  —  Description  particulière  des 
amusemens  nocturnes  des  naturels,  de 
leurs  chants  et  de  leurs  danses ,  359  à 
368.  —  Description  de  l'Ile.  Sol.  Cul- 
ture ,  369.  —  Maisons  ,  370.  —  Tom- 
beaux. Mondrains  factices ,  370,  376. 
Étendue.  CAte ,  370.  —  Femme  ocu- 
liste. Singulier  moyen  pour  raser  les 
cheveux ,  374.  —  Pierre  remarquable, 
376. 

Leoirtii.   de  l'A  Barbiitais.  l&oa 


308 


TABLE  GÉNÉRALE 


vuyàgc  autour  du   monde,    t.    II, 
p.  Sa.  —  Est  le  premier  circnmnavi- 
gateur  français ,  40. 
,  Legeta  (lieu  de  la  Haate«Égypte), 
t.  XXIH,  p.  104. 

Ltgiep  (groupe,  Iles  Ralick).  Dé- 
couvert par  Kotzebue.  Naturels  , 
t.  XVH,  p.  231. 

Leigh  (tle  de,  Australie).  Décou- 
verte par  Carteret ,  t.  III ,  p.  148.  — 
Gros  crocodiles ,  XVIII ,  307. 

Ltkoë  (il«  de  la  Morwége) ,  t.  XLV, 
p.  118,120. 

Lk  Maihk  et  Schouteh.  Leur 
voyage  autour  du  monde,  1. 1,  p.  278. 
— Découverte  de  laTerre  des  États,  du 
détroit  de  Le  Maire  et  du  cap  Horn  , 
284  .  286.  —  De  l'Ile  des  Chiens,  287. 
—De  l'île  Sans-Fond,  290.— De  l'île  de 
Watcrlaud,  de  l'île  des  Mouches  291. 

—  De  l'île  des  Cocos ,  295.  —  Des  îles 
des  Traîtres  et  de  l'Esiiérance  ,  300. 

—  Des  îles  de  Horn  ,  312.  —  Des  îles 
Vertes,  514.  •—  De  l'ile  de  Moïse,  320. 

—  De  l'île  du  Volcan,  321.  —De  l'He 
d'Arimoa  ,  324.  —  Ile  Schouten,  327. 
— Arrivent  aux  îles  de  la  Sonde  où  ils 
sont  arrêtés.  Le  Mairp  meurt  empoi- 
sonné, 331  et  278.  —  L'Outong-Java 
découvert  par  Le  Maire,  XIII ,  225. 

—  Résumé  de  leur  voyage ,  XVIII , 
195. 

Le  maire  (détroit  entre  la  Terre  de 
Feu  e';  la  Terre  des  Etats).  Découvert 
par  1<;  navigateur  de  ce  nom,  t.  I , 
p.  284 ,  286.  —  Plantes  de  cent  vingt 
pieds  de  haut .  V,  47.  ■^*  Remarques 
de  Cook.  sur  son  gisement ,  75. 

Lemming,  Description  de  cet  animal 
et  de  ses  habitudes.  Singulière croyaucc 
à  son  égard ,  t.  XLV,  p.  92  à  96  , 
183  à  185. 

Leimot  (  lie  del'Arcliipel),  t.  XLVI, 
p.  98. 

Leobadda  (  ville  de  l'Yarriba  , 
Guinée),  t.  XXVIII ,  p.  134. 

LÉON  (Jean  Ponce  de).  Découvre 
la  Floride,  t.  XXXVIII ,  p.  248. 

Léoh  (ville  d'Espagne).  Sa  déca- 
dence, t.  XLVI ,  p.  173. 

LéoH  (province  d'Espagne).  Voyage 
dans  le  pays.  Supériorité  de  Sala- 
piauque  sur  Léon  ,  t.  XLVI,  173. 

Léopards  dt  mer.  Leur  description  , 
t.  XXI ,  p.  215. 

Lépreux    (  île   d«s  ,   Nouvelles-Hé- 


brides). Découverte  par  Bougainville. 
Description  des  habitans.  Etoffes  à 
dessins.  Armes  ,  t.  IV,  p.  271.  —  Son 
gi&^iment ,  VIII ,  423. 

Lerma  (ville  du  Mexique)  ,  t.  XLI , 
p.  156. 

Lesghis  (habitans  du  Caucase). 
Mœurs.  Usages.  Caractère,  etc.,  etj*., 
t.  XLV,  p.  421  à  425 ,  et  444  à  451. 
—  Limite  de  leur  territoire  451 .  —  Fi- 
gure. Caractère.  Traitement  des  pri- 
sonniers. Vengeance,  452.  —  Puni- 
tion de  l'adultère.  Paresse  des  hommes, 
Occupntioûs  des  femmes  ,  453.  ■ — 
Hospitalité.  Habitations.  Ustensiles, 
Meubles.  Nourriture ,  454.  —  Reli- 
gion ,  455. 

Leutkirch  (  ville  de  la  Bavière  ) , 
t.  XLV,  p.  340. 

Levaillant.  Notice  sur  sa  vie, 
t,  XXIV,  p.  1,  —  Son  lef  rofoge  en 
Afrique ,  7.  —  Ses  chasses  d'animaux 
féroces,  18  ,  50  —  Id.  de  bêles  fau- 
ves ,61.  —  IJ.  d'oiseaux  ,  75,  275, 
312 ,  318 ,  322 ,  335,  384.  —M  d^- 
léphan.s,  92.  —  id.  d'hippopotames  , 
127,  311.  320.  —  Id.  de  girafes. 
Leur  description  ,  324,  —  Id.  de  ga- 
zelles, 451.  —  Ses  collections  per- 
dues ,  25.  —  Préparatifs  de  sa  graudè 
excursion  52.  —  Détail  sur  les  ani- 
maux qui  font  partie  de  sa  caravane, 
64,  68.  —  Dangers  qu'il  court ,  77, 
94 ,  365.  — *•  Aspect  de  .sa  caravane , 
111.  — Épi.sodedeNarina,131àl42. 
—  Sa  visite  au  chef  des  Gonaquas , 
146.  —  Épisode  des  Caminouquois , 
189.— ^$on  2«  yoyage ,  233.  —  Sou 
excursion  chcs  iesNamaquois,  290. — 
Chez  les  Caminouquois,  529.  —  Chez, 
les  Kabobiquois,  356.  —  Leur  achète 
un  bœuf  de  guerre,  362.  —  Se  reud 
chez,  les  terribles  Houzouanas  ,  395, 
404.  —  Chez  les  Gheyssiquois ,  442. 
0  Leviin^cr  (  ville  du  Nordenfields  , 
Norwége).  Foires ,  t.  XLV,  p.  105. 

Lever  (villt  du  Ouaoua  ,  Soudan). 
N'appartient  pas  au  roi  de  Ouaoïia  , 
t.  XXX,  p.  294.  —  Population,  297. 
—  Sa  fondation  récente ,  298. 
Danses.  Cb-ints,  301.  —  Niger,  304. 
Lézard.'  (île  des,  côtes  de  la  Nou- 
velle-G<''ilcs  méridionale).  Découverte 
I»"-  cook.  Sa  description.  Ses  huttes. 
Ses  lézards,  t.  VI ,  p.  545,  346.  --  Ses 
productions,  350. 


DES  MATIÈRES. 


390 


Lhasta  (capitale  du  Ttiibet),  t.  XXXI, 
p.  419 ,  421 .  —  Signification  du  nom. 
Riche  monastère ,  451 .  —  Couvens. 
Ualai-Lama.  Crédulité,  452. 

Lhkrmite  (Jacques).  Son  voyage 
autour  du  monde ,  t.  I ,  p.  332.  — 
Explore  et  décrit  la  Terre  de  Feu  , 
335  et  sniv.  —  Meurt ,  344. 

Liban  (montagnes  de  Syrie).  Cou- 
vent de  Maronites.  Grotte  des  Fous. 
Cèdres.t.  XXXn,p.  452. 

LiJhoping  (  ville  de  la  Gotliie , 
Suède),  t.  XLV,  p.  9,  10. 

Liem  (ville  du  Tyrol) ,  t.  XLV, 
p.  390. 

Ligurie  (province  du  royaume  de 
Sardaigne).  Coup  d'oeil  sur  le  pays. 
Gênes  ,  t,  XLVI ,  p.  266. 

Lily- Fauniain  .'village  liottentot , 
Namaqua  ).  Fondé  par  les  mission- 
naires. Habitans.  Leur  nombre ,  tom. 
XXIX  ,  p  .  223. 

Lima  (capitale  du  Pérou).  Mœurs  , 
habitudes  ,  costumes  des  dames , 
t.  XLI  ,  p.  389.  —  Route  de  Lima  à 
Callao,  391.  —  Environs.  Arc  de 
triomphe  Églises,  392.  —  Rues. 
Trottoirs ,  393.  —  Théâtre ,  jfe4. 
Voy.  Callao. 

LiNCK.  Son  voyage  en  Portugal , 
t.  XLVI,  p.  188. 

Lindau  (ville  de  la  Bavière),  t.  XLV, 
p.  338. 

LiNDENAU.  Ses  voyages  à  la  re- 
cherche d'un  passage  au  nord  de  l'A- 
mérique, t.  XL  ,  p.  xix  et  suiv. 

Liakoeping  (  ville  de  la  Gothie  , 
Suède)  ,  t.  XLVI ,  p.  289. 

Liant  ou  éléphant  marins.  Leur  des- 
cription, t.  II,  p.  15.  —  Plus  d'étiil- 
lée  ,  142.  —  Leur  description,  IX. 
81.  —  Leurs  mœurs,  82.  —  Leurs 
combats  nch.';i:nés  au  temps  de  la  co- 
pulation ,  XVII ,  216;  XXI,  316; 
XXXI,  387  et  suiv. 

Lion  (tête  du ,  montigne  du  cap  de 
Eonne-Espérance  ).  Sa  description  , 
t.  XXIV.  p.  268. 

Lion  (faus.se  tète  du  ,  montagne  du 
(^ap  ).  Sa  description  ,  t.  XXIV  , 
p.  2G8. 

Li/ipa  (ville  de  la  Hongrie  ,  empire 
d'Autriche)  ,  t.  XLIV,  p.  118. 

Lisbonne  (  capitale  du  Portugal  )  , 
t,  XLVI ,  p.  188,  189. 

Lisburn    (cap,    Amérique    russe). 


Nommé  pir  Cook,  tom.  XI,    p.  71. 

Lissa  (  tle  du  golfe  Adriatique  ) , 
t.  XLIV,  p  330. 

Litakou  (  capitale  des  Bachapins- 
Betchouanas ,  sud  de  l'Afrique).  En- 
virons ,  t.  XXVI ,  p  416  et  suiv.  454. 

—  Maisons ,  420.  —  Chefs.  Réception 
de  ^urchell ,  421  et  suiv.  —  Usages 

des  piiissans,  430.  —  Danse,  444 

Étendue,  451.  —  Intérieur  de  mai- 
sons ,  452.  —  Repas ,  455 ,  456  — 
Peintures  ,  457.  —  Forgeron ,  459  et 
sniv.  —  Gisement  de  la  ville ,  463.  — 
Étendue  Population.  Sépultures,  ^. 

—  Pâturages.  Animaux  domestiques  , 
467.  —  Climat ,  469.  —  Abandonnée 
par  les  habitans.  Son  étrange  aspect , 
XXIX  ,  69.  —  Quartiers.  Indus- 
trie de  la  nouvelle  ville,  337.  — 
Vallée  du  Miel ,  338.  —  Ancienne  et 
nouvelle  ville.  Canal  des  Mission- 
naires, 345. 

Liverpool  (  ville  de  la  Nouvelle- 
Galles  méridionale ,  Nouvelle-Hol- 
lande) ,  t.  XLIII ,  p.  23  ,  30.  —  Ses 
plaines  fertiles  ,  37,  39. 

Livingston  {i\e,  archipel  des  Caro- 
lines).  Découverte  par  Morell.  N'est 
que  l'île  Ononn  ,  t.  XX ,  p.  21 4. 

LoAisE.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  I,  p.  153.  —  Dévoûment 
de  son  aumônier,  157.  —  Meurt  dans 
la  mer  du  Sud,  159.  —  Voy.  Sa- 
lazar. 

Loffoden  (  îles  de  la  Norwége  ). 
Pêche  ,  préparation  ,  etc. ,  de  la  mo- 
rue ,  t.  XLV,  p.  145  à  152.  —  Aspect 
des  îles ,  163.  —  Golfe  de  Vest ,  165. 

—  Ile  Hiudoën.  Parties  habitées. 
Fertilité.  Ile  Rost,  166.  —  Marsouins, 
167.  —  Description  d'un  Lapon ,  169. 

—  Ile  Scnjen ,  169.  —  Renards  bleus, 
blancs,  rouges  ,  noirs,  169,  170. 

Loggun  (pays  du  Soudan).  Mon- 
naie, t.  XXVII,  255.  —Race.  Ca- 
ractèie  des  habitans,  256.  —  Deux 
sultans,  257.  —  Productions,  265. — 
Industrie.  Métiers  ,  266.  —  Animaux. 
Epux  stagnantes.  Insectes ,  267.  — 
Défaite  des  Uegliarmis  ,  268  et  suiv. 

Loggun  ou  Kernuk  (  capitale  du 
Loggun  ).  Population,  "Teintures. 
Monnaie  de  métal  tom.  XXVII, 
p.  255. 

Loheia  (port  de  l'Yémen  ,  Arabie), 
Aspect.    Sol.  Provisions.    Gouverne- 


400 


TABL     GÉNÉRALE 


ment ,  t.  XXIII ,  p.  146.  —  Orne- 
mens  des  femmes,  148. 

Lombard'F'MtitK  (  royaume  ,  pro- 
vince de  l'empire  d  Autriche).  Divi- 
sions ,  t.  XLVI ,  p.  266.  —  Limites. 
Milan.  Venise ,  267. 

Londrtt  (capit.  du  royaumenni  de  la 
Grande-Bretagne).  Aspect  de  cette 
ville.  Son  intérieur,  t.  XLVI ,  p.  280 
et  siiiv.  —  La  ville  et  ses  babitans 
comparée  à  Paris  et  aux  Parisiens, 
282,  283. 

Long-Iiland  (  lie  du  New  -  York  , 
États-Unis).  Sa  formation.  Traces  du 
déluge,  t.  XXXIX,  p.  208. 

Long-lsland  (  ile  de  la  Malaisie  ). 
Découverte  par  Wallis,  t.  III,  p.  396. 

Longue  (t\e,  Nouvelle-Zélande).  Dé- 
couverte par  Dampier,  1. 1 ,  p.  454.— 
Sa  description,  Vil,  310. 

Loo-Choo  (Ile ,  mer  de  Corée),  Port 
Napa ,  t.  XIX  ,  p.  395.  —  Costumes, 
3S3.  —  Interrogatoire  des  étrangers , 
397,  400.  —  Bouté  des  naturels,  402 
et  suiv.  —  N'aiment  pas  à  laisser  pé- 
nétrer les  étrangers  dans  l'intérieur 
de  nie,  401,  403,  405,  409.  —  Tom- 
beaux ,  leur  intérieur,  407,  408.  — 
Campagne  cultivée  ,  410.  —  Capitale 
de  l'île,  410.  —  Monnaie,  412.  — 
Mouchoirs  de  papier,  415.  —  Popu- 
lation. Figure  et  mœurs  des  naturels  , 
418.  —  Instruction,  Vétemens,  Na- 
turels ont-ils  des  armes  ?  420.  —  Ré- 
pression des  crimes,  422.  —  Reli- 
gions, 424.  — Commerce.  Manufac- 
tures. Connaissances  géographiques , 
425.  —  Costumes.  Canots ,  t.  XXI , 
p.  62,  67,  70,  81,  195.  —  Entrevues 
avec  les  naturels.  Leur  affabilité ,  67, 
74, 87,  93,  103, 136,  167.  -  Leur 
figure  ,  70, 145.  •*-  N'aiment  pas  à 
laisser  débarquer  les  étrangers ,  72.— 
78, 80, 102, 120,  —  Pont.  Cimetière, 
76,85, 177.  -  Festin,  96, 114, 156, 
167,  179.  —  Prêtres  non  respectes , 
98,  198,  —  Intérieur  des  terres,  109 
et  suiv  121.  —  Intérieur  d'une  mai- 
son, 122.  —  Temple,  jardin,  126. 

—  Description  dn  port  Mel ville ,  132 
à  143.  —  Tntouage,  145.  —  Funé- 
railles, 147.  —  Timidité  des  femmes, 
163.  —  Cérémonial  ,  costume  du 
prince,  167,  173.  —  Religion,  187. 

—  Cimetières ,  188.  — •  Le  roi  seul  a 
plusieurs  femmes,  190.  —  État  des 


femme»,  191. |—  Littérature.  Armes, 
Justice ,  192.  —  Musique  ,  194.  — > 
Bétail,  culture,  manufactures,  196.— 
Fabrication  dn  sel ,  198,  ~-  Gouver- 
nement, XLIII,  xxviij. 

Lepatka  (  cap  du  Kamtschatcka) , 
t.  XI ,  p.  456. 

Z«/)p<ii(ile,  dnFinn)9rck,Norwcge), 
'  «Lapons,  t.  XLV,  p,  194.  —  Ca- 
verne,  195.  —  Étendue ,  sol.,  196. 

Lottange  {i\e ,  archipel  Dangereux), 
Découverte  par  Duperrey,  t.  XVIII 
p.  140. 

Let-Rejr**  (  ville  dn  Pérou  ),  Fon- 
dée par  Pizarre  ,  tome  XXXVIII, 
p.  333. 

Lougou  (  province  dn  Bourgou , 
Guinéc),t.  XXX,p,  248,  251. 

Louis  XIV,  Son  ambassade  à  Siam. 
Mieux  uceonillie  que  ne  le  furent 
celles  des  Anglais,  t.  XXXIV,  p.  219. 
—  Voy,  Finlayton, 

Louiiiade  (archipel  de  l'Australie), 
Ile  Saint  -  Aignan ,  t,  XV,  p.  25^.  — 
Groupe  de  Bonvouloir,  258.  — -1  .as- 
pect riant  de  la  grande  tle ,  259.  — 
Naturels  font  des  ornemens  d'os  hu- 
mains. Leur  pudeur,  262,  —  Combat 
de  deux  pirogues,  263,  —  Nutrrels 
sont  cannibales ,  263 ,  265.  —  Bou- 
cliers ,  pirogues  ,  264.  —  Iles  Jurien , 
Trobriand,266. 

Louisiad»  (golfe  de  la  ,  Est  do  la 
Nouvelle  -  Guinée  ).  Découvert  par 
Bougainville,  t,  IV,  i),  290  et  prcc,— 
Beauté  du  pays ,  284, 

Louitiaiie  (un  des  États-Unis).  Usage 
de  la  langue  française  ,  t.  XXXIX  . 
P.  366,  386,  389.  —  Aspect  des 
forêts,  386.  —Voy,  NoweUe-OiUant, 
capitale. 

Louit-U-Grand  (  fie  du  détroit  de 
Magellan) ,  t.  IV,  p.  189. 

Loutres  (Me  aux  i  mer  de  Behring) , 
t.  XIX,  p.  281. 

Loutre  de  mer.  Sa  description  ,  t.  X, 
p.  371;  XII,  164,  244;  XIII,  359,  372; 
XVII,  406.  —  Est  diiférente  de  la 
loutre  de  rivière ,  407.  —  Sa  chasse , 
408. 

LouUville  (ville  du  Kentucky,  Etats- 
Unis)  ,  t,  XXXIX ,  p,  375.  —  Beaux 
arbres,  376,394, 

Loyaltf  (  groupe,  Nouvclle-Héb.). 
Iles  Chabrol,  Halgan-Tupinicr,  tom. 
XVIII, p.  304.— Ile  Britanuia,  305, 


DES  MATIÈRES. 


401 


Loyd  (port  de  l'tle  Peel).  Nommé 
par  Becchcy,  t.  XIX  ,  p.  431. 

Lucayts  (  tics  ,  Amérique  ),  Pre- 
mières terres  découvertes  pur  Colomb, 
t.  XXXVIII,  p.  94,  240.  —  Voy.  Sun- 
Salvador. 

LuekHOiv  (capitale  de  l'Aondh ,  Hin- 
doustan).  Gazetier,  t.  XXXVI,  p.  180. 

—  Entrée  dans  la  ville,  181  et  suiv, 

—  Rues,  181,  182,  185.  -  Men- 
dians,  181,  190.  —  Mosquées.  Pa- 
godes. Bazars  ,  182  ,  185.  —  Carac- 
tère de.  hahitans.  Tombeau  royal , 
185.  —  Collège  musulman  ,  186.  — 
Beau  palais,  186.  —  Audience  du 
nawab.  Sa  demeure.  Sa  couronne. 
Ses  œuvres  scientifiques ,  187  et  suiv. 

—  Usage  de  reprendre  les  cadeaux  , 
191.  —  Population.  Ponts  ,  193.  — 
Chrétiens  ;  autres  habitans  ,  194. 

Luçon{\\e,  archipel  des  Philippines). 
Désavantage  du  gouvernement  des  Es- 
pagnols, t.  XII,  p.  299.  —  Extrême 
fertilité  du  sol ,  303.  —  Pirateries  des 
Mores  ou  Malais  mahométans,  305. 

—  Garnison,  311.  —  Tremblement 
de  terre  ,  port  de  Sisiran ,  XIII ,  206 
à  212  ;  XVIII ,  403.  —  ^  .sion  en 
paroisses ,  440.  Climat.  Sol.  Produc- 
tions. Objet  d'exportation  ,  XX ,  217 
et  suiv.  —  Habitans ,  XLIII  ,  xiij  ,  et 
suiv.  —  Voy.  Cavité  ,  Manille. 


Lwiamar  (  royaume  Maure  de  Sé- 
négambie).  Voyage  dans  l'intcrienr. 
Coiffure  des  femn.^s  ,  tom.  XXV  , 
p.  126.  —  Jarra  :  maisons  ,  naturels, 
127,  131.  —  Dina,  135  —Fabrica- 
tion de  la  poudre,  137.  —  Musique  , 
138.  —  Captivité  de  Mungo-Park  au 
camp  près  de  Benoum  ,;140  et  suiv. — 
Armée  ,  182,  —  Limites,  182.  -- 
Voy.  Maures  de  la  Sénégambie. 

Lugan  (ville  du  Voronedje  ,  Russie 
d'Europe).  Grande  fonderie  de  ca- 
nons ,  t.  XLIV,  p.  456. 

Luleojas  (  tribu  de  Betchouanas  , 
sud  de  lAfriq  je) ,  t.  XXVI ,  p.  470. 

Luioa  (ville  du  Nordland  suédois) , 
t.  XLV,  p.  329. 

Lune  (monts  de  la).  —  Voy.  Amid- 
Amid. 

Luxor  (ville  de  la  Haute-Egypte). 
Belles  ruines,  t.  XXIII ,  p.  91. 

Ly\ll.  Son  voyage  en  Russie  , 
t.  XLIV,  p.  354. 

L^ke  (désert  de ,  partie  du  Sahar.^ 
Ses  oasis  doivent  renfermer  de  cu- 
rieuses ruines,  t.  XXII,  p.  319.  — 
Natron  du  bois  de  Bir-el-Malha,  XXV , 
395.  —  Arbres  pétrifiés,  421.  — 
Oum-£ssogueir  :  site,  maisons  ,  habi- 
tans ,  422.  —  Voy.  Oasit  de  Syouah. 

Lynx.  Description  de  cet  animal 
t.  XLV,  p.  90. 


M 


Maasoi{i\e  du  Finmark ,  Norwége), 
t.  XLV,  p.  212. 

Maboum  (ville  du  Timani ,  Séné- 
gambie).  Composée  de  deux  villes 
ti  es  dif£ér<înies ,  t.  XXVIIl ,  p.  27,  43. 

—  Mœurs  et  usage  des  Mandingues, 
45  et  suiv.  —  Campagne.  Produc- 
tions, 48. 

Ma-Buitg  (ville  du  Timani ,  Séné- 
gambie) ,  t.  XXVIII ,  23.  —  Gri-gri 
(sorcier),  25. 

Macao  (île  et  ville  de  la  Chine  ,  en 
face  de  Canton).  Autrefois  très  riche, 
t.  II,  p.  292.  —  Fondée  à  quelle  oc- 
casion par  les  Portugais  ,  comment  ils 
l'ont  perdu  ,  XH,  270.  —  Fortilica- 
tion  du  fort,  277.  —  Population, 
278.  —  Quelques  privilèges  des  Chi- 
nois ,  279.  —    Gouvernement ,  280. 

—  Aspect  riant  de  la  ville,  282.  — 

XLVI. 


Portugais  soumis  aux  Chinois,  XVIII, 
404,  —  Aspect  de  l'île  ,  442.  —  Mar- 
ihés.  Maison  du  Camoèns,  447.  — 
Son  buste ,  XXXIII ,  423.  —  Climat , 
XXXVIII,  420.— Voy.  Tigre. 

Macariej  (ville  du  Nijni-Novogo- 
rod,  Russie  d'Europe  ).  Description 
de  ces  célèbres  bazars,  t.  XLIV,  p.  466 
à  469. 

Macartnky.  Son  voyage  dans  l'in- 
térieur de  la  Chine  et  en  Tartarip. 
Préliminaire  historique  de  son  ambas- 
sade ,  t.  XXXHI,  p.  426.  —  Arrive  à 
Péking ,  447.  —  Discussion  pour  le 
cérémonial  d'hommages  ,  453  ,  464. 
—  Part  pour  la  Tartaric,  458.  —  Re- 
çoit audience  de  l'empereur,  466, 
467. 

Mac-Askill  (îles,  archipel  des  Ca- 
rolines).   T-oductions,  tom.  XVIII, 

26 


402 


TABLE  GÉNÉRALE 


p.  177.  — <  Naturuls.  Yétomeni.  Orne- 
mens,  178. 

Macaisar  (ville  de  l'ile  des  (Jè)èbcs). 
$itiiatioa.  EnTirons,  t.  1(1 ,  p.  205 , 
211.  -r-  Comptoirs  do  sod  départe- 
iD«nt.  Sa  garoUon,  IV,  882. 

A^cauet  (  peuple  de  la  race  Bot* 
tentote).  Teint.  Hahillemrnt.  Armes. 
Superstitions.  ]<hcndiie  de  leur  pays. 
Circoncision  ,  t.  XX  ,  p.  127  et  suiv. 

Meuaulax  (  'les  Kermadec ,  Polyné- 
kie),  t.  XV,  p.  143. 

Machaou*  (  tribu  de  la  race  do 
Betcliouanas ,  Afrique  ).  Mœurs  et 
coutumes ,  t.  XXIX ,  p.  358. 

Mackbnzik.  Ses  reclierches  du  pas- 
sage au  nord  de  l'Amcriquc.  Découvre 
lu  rivière  de  son  nom,  toni.  XL, 
p.  xxvij  et  suiv. 

MaektntU  ^fleuve  de  TAmérique 
septentrionale).  Sa  découverte.  Ses 
trois  bras.  Son  cours ,  t.  XXXVIII , 
p.  57 ,  38.  —  Charbon  de  bois  brû- 
lant sur  ses  rires.  Terre  mangée  par  les 
Indiens  ,  t.  XL  ,  p  490.  —  Produo- 
tions  des  rives.  Indiens  ,  491.  —  Lao 
du  Grand-Ours.  Fort  Franklin ,  492. 

Mqcoh  (ville  de  la  Géorgie,  Etats- 
Unis).  Fundatiozi  récente.  Singulier 
aspect,   t.   XXXiX,  p.  540  et  sniv. 

Macouthis  (  Indiens  de  l'ouest  de 
Guiane  ).  Leur  pays ,  t.  XLI ,  p.  198. 

—  Leur  fabrication  du  terrible  wourali 
(poison)  ,  205  et  suiv.  —  Son  iisnge 
à  la  chasse,  208,  212.  —  Armes,  2U8 
et  suiv. ,  210,  213,  — Costume  de 
chasse ,  210,  211. —  Ruses  de  chasisc, 
212.  —  Remèdes  au  poison ,  214. 

Maequarie  (  ile  de  la  colonie  de  la 
Nonv.-Hollande),  lUorne  aspect  delà 
campagne.Colons,  tom.  XL11I,  p.  116. 

Maoquarie  (rivière  de  la  Nouvelle- 
Hollande).  Sa  découverte ,  t.  XLIII , 
p.  176.  —  Expédition  pour  recon- 
naître son  cours  ,  179.  —  Beoseigne- 
mens  recueillis,  l81.  —  Rives,  183, 
185, 192, 196.  —  Arbres,  183,  185, 
186 ,  195.  —  Affluens ,  184,  186.  — 
Rapides ,  185.  -~  Beauté  du  Casua- 
rina,  185.  —  Entrevues  avec  les  n,i- 
turels,  187.  191,  193  et  suiv.,  212. 

—  Lac  Buddah,  188.  —  Cataracte, 
190.  —  Marécages ,  194  ,  202,  210  à 
218,  223 ,  261.—  Sécheresse,  196.— 
Le  mont  Barris,  Ses  alentours ,  198 
«t  suivante».  —  Roseaux ,  201  ,  205 , 


207.  —  Excursions  do  Sturt,  202, 
204  à  208,  210,  218,  222.  —  Fin  de 
la  rivière ,  205,  221, 226.  —  Explora- 
tiun  des  marais.  Son  résultat,  210  à 
210,  223.  —  Inondations,  225. 

Madagaiear.  tremière.s  notions  sur 
cette  ile  obtenues  par  Covilham,  t,  I, 
p.  50. 

Madirê  (tle,  océan  Atlantique). 
Découverte  par  les  Portugais.  Origine 
de  son  nom ,  t.  I ,  p.  20,  —  Vins 
excellens  ,  11,  75.  —  Bel  aspect  de 
l'Ile ,  V,  6.  —  Pressurage  du  vin,  7. 
— •  Productions  de  toute  espèce,  10. 

—  Description  de  la  ville  de  Fun- 
cbal,  10.  —  Population  de  Die  ,  12. 
Description   de  Funchal ,  VII,    165. 

—  Gouvernement  de  l'ilc,  167.  — 
Descripticn  des  indigènes',  169.  — 
Description  de  l'Ile.  Sol  volcanique  , 
171,  —   Culture  de   la  vigne,  173, 

—  Animaux  domestiques  et  sauv,i- 
ge.s.,  174.  —  Origine  du  nom.  Inccu- 
die  des  arbres  ,  XXII ,  9.  —  Aspect 
de  Funchal,  XLII ,  81,  86.  —  Riie* 
Moyens  de  transport,  82.  —  Bœufs. 
Origine.  Costume  des  gens  de  la  cam- 
pagne ,  83.  —  Figure  et  vétemen»  des 
femmes,  84.  —  Mendians.  Maisonii , 
85.  —  Arbres  des  environ?,  86.  — 
Monastère  de Motrc-Danic.  Vœux  des 
marins ,  87.  —  Marsouins ,  pois.sous 
volans  ,  88 

Madibou  (  village  du  Bambarn  ). 
Poissons.  Crocodiles,  t.  XXV,  p.  237. 

Ittadison.  Voy.  Naaka-ltiva. 

Madrat  (  capitale  du  Carnatic ,  Hiu. 
doustan.)  Aspect  intérieur ,  t.  XVIIl, 
p.  435.  —  Aspect.  Les  Mamli  et  les 
Catumarans  ,  cmb.trcations  ,  XXXVI, 
429.  —  Cathédrale.  Maisons.  Arbres, 
431.  —  Climat,  432.  —  Parc  d'arUlle- 
rie,  435. 

Madrid  (  capitale  de  l'Espagne  ). 
Ses  environs.  Son  origine.  Le  Prado, 
t.  XL VI,  p.  175.  -^  Résidences 
royales  des  environs  :  l'Escuri.')!  , 
Saint-lldefonse,  ArauJTiez,  175,  176. 

Maélstrom  (  fameux  gouffre  de 
Norwége),  t.  XL V,  155,  160. 

Malar  ou  Molar  (  lac  de  la  Suède), 
t.  XLV,  p.  15,  335. 

Magaria  (ville  du  Gouber,  Haoussa), 
t.  XXVllI,  p.  222.— A  été  propij. 
fmcnt  agrandie ,  p.  227.  —  Prières 
des  musulmans ,  228. 


DES  MATIERES. 


40S 


Magdalenti  (  Ile,  archipel  des  Mar- 
quises ).  Relation  de  «a  déronvette, 
par  Mindoua ,  1. 1 ,  p.  107  ;  XV,  3i)6, 
068  et  siiiv.  —  Phy^Domie  des  .ta> 
bilans ,  373. 

Maoellait.  Part  de  Soville  pour 
arrirer  eux  Moluques  pur  l'occident, 
1. 1,  p.  123. — Découvre  l'Ue  de»  Oies, 
128.  —  Prend  possession  de  la  Patii- 
gouiu  ail  nom  du  roi  d'Espagne,  ITS. 

—  OccouTre  le  détroit  qui  porte  son 
nom  et  la  Terre  de  Feu,  140.  — 
Nomme  l'océaa  PariBqiie,  141.  — 
Découvre  les  lies  Malheureuses  ,  143. 

—  Les  Iles  des  Larrons,  145.  —  Les 
Philippines  ,  146.  —  Est  tué  dans  un 
combat  dans  l'Iode,  147.  —  Son  équi- 
page continue  sa  route  et  arrive  en 
Espague,  149.  —  11  est  le  premier 
qui  ait  fait  le  tour  du  monde,  ii.  Son 
vais.seau  conservé  comme  un  monu- 
ment de  sou  expédition  ,  150.  —  Ré- 
sumé de  ses  voyages  ,  XVIII,  190. 

Magellan  (  détroit  entre  Terre  de 
Feu  et  Amérique  ),  Découvert  par  Ma- 
gellan ),  t.  I,  p.  MO  —  .Ses  dimeri- 
siou.%  155.  —  Ses  miirce.s.  Se»  rives 
couvertes  d'une  neige  bleue,  156  ;  IV, 
154.  —  Il  y  vente  fort,  on  ne  peut  y 
ancrer,  1,175, 246. — Parcouru  et  décrit 
dans  toute  son  étendue,  par  Byron,  II, 
397,  409,  427,  452.  —  Observations 
générales  sur  sa  navigation,  448,453. 

—  Détails  snr  les  deux  eûtes  du  dé- 
troit, 247,  277.  —  Descriptions  des 
principaux  endroits  de  monillage.s, 
277.  —  Table  des  distances  et  de  la 
situation  des  pointes  du  détroit ,  286. 

—  Traversé  par  Bougainville.  Ob- 
servations et  descriptions  de  mouilla- 
ges, IV,  133,  196.  —  Sa  longueur 
entière.  Observation  sur  sa  naviga- 
tion, 195.  —  Quantité  de  biileincs  , 
t.  XII,  61.  Voy.  Uc  Sante-Eliiabeth, 
port  Famiat,  Pilares,  cap. 

Mngtroe[\\e  de  la  Norwége),  tom. 
XLV,  p.  131.  —  Le  cap  Nord,  212. 
V.  c*  nom. — Aspect  de  l'île  Mouettes, 
213. —  Rareté  dn  bois.  Maisons,  214. 

—  Habitans.  216.  —  Cabane,  218.— 
Ouragans  de  neige, 222-  — '  .S.'ilubrité 
du  climat.  Aurores  boréales,  225.  — 
Sol,  étendue  de  l'île.  Abaissement 
de  la  mer.  Le  Knivskiosmess ,  224. 

Maha-hali'Poitr  {^y'iWe.  d«  Carnatic, 
llinduustau).    Sos    ruines.    Rochers 


sculptés.  Allégories,  tom.  XXXVI, 
p.  436. 

JUakarré  (  rille  du  Tinutni ,  8én<« 
gamiiie),  t.  XXVIII,  p.  9. 

Mttké  ,'  Ile ,  groupe  Seychellei  ) 
EnorroA  'tues,  t.  XVIII ,  p.  427.— 
Bœufs.  Français  ?  sont  regrttt^. 
428. 

MaXHottt  on  Ltuonl»n»  (  peuple  de 
la  Grèce).  Leurs  mœurs  gnerrière*. 
t.  XLV I,  p.  208. 

Maitea.  Voy.  Otnabnelt. 

Maitsha  (province  de  l'Abysùnie). 
Production  ,  t.  XXIII ,  p.  ?3l ,  402. 

—  Sol ,  402,  416.  —  Capitale,  461. 
lHakivUr$  (  tribtt  de  Betchouana*  ). 

tXXVI,  p.  471. 

Malabar  (  Etat  de  l'Hindoostan  ). 
Caractère  des  habitans,  t.  XXXI, 
p.  547.  V.  Calieut,  Coehin,  CaHgtnor. 

Malabats  ou  Tamouh  (naturels  de  la 
cAte  do  Coromandel).  Sont  de  la 
famille  Malabre,  t    XXXI,  p    21. 

—  Figure.  Mœurs  ,  usages ,  338  et 
suiv. 

il/(r/(i«a(presqu'tle  de  l'Indo-Cliine) . 
Soumis*  par  Albiiquerque,  tom  1 , 
p.  104.  —  Fort  de  Queda.  Animaux. 
Sol.  Plantes,  XXXI V,  31, 32.  —  Ar- 
bres ,  35. 

Miilaca  (  capitale  du  royau  5  de  ce 
nom  ).  Origine.  Port.  Soumise  par 
Albuquerque,  1. 1,  p  104.  —  Enlevée 
par  le.s  Anglais  aux  Hollandais, 
XVIII,  393.  —  Environs.  Sol.  Pro- 
ductions, XXXIV,  38  et  suiv.  — 
Air  de  snlitude.  Climat,  41.' — Fa- 
milles ludlaudai.ses.  Esclaves,  42. 

Malaca  (  détroit  de,  mer  des  Indes). 
Structure  des  lies.  Pliénomènes  de  v«^> 
getation,   tom.  XXXI V,  p.  13  à  47 
Voy.  Poulo  Dinding,  Poulo  Peitang  ^ 
Sin  Capert, 

Malacotia  (  ville  dn  Fonladon ,  S» 
négambie).  Huttes,  t.  XXV,  p.  319. 

Malais  (  peuples  d'/Vsie).  Dur  es- 
clavage de  leurs  femmes.  Religion, 
t.  XVIII ,  p.  ^139.  ■—  l'èlcriiingps  à  la 
Nieeqiie,  XXXII,  238,  24C.  —  Gtrac- 
tère  ,  mreiirf  ,  usages  ,  XXXIV,  76  à 
80. — l'aeo,  240. — P'ormes  physiques  , 
240  h  216.  —  Teint.  Nourriture.  Re- 
ligion, X  LUI,  iv.— Dominent  dans  rO- 
céauie,  aj  — Diversion  des  races.Idio- 
mes,  sj. — Sont  d'habiles  commercans. 
Leur  littérature,  xii ,  xv.  —  Race.  Fi- 


401 


TABLE  GÉNÉRALE 


t 


gure,  XT  f  t  inir.  Lieux  où  ils  sont  éta- 
li».  —Nourriture,  xvj.  Costume,  ca- 
ractère ,  xvij.  —  Langue,  xxxij.  — • 
Figure ,  forme*  ,   chefs.  Polygamie , 

Ixj" 

Malàipti  (  lie*,  mer  des  Indes).  Ne 
sont  que  récifs  de  coniit,  t.  XYIII, 
n.  428— Cacaotiers,  XXXIV,  26.— 
Embarcations.  Denrées.  Naturels , 
XXXV I,  3. 

Mai.donata,  Son  aventure  extraor- 
dinaire  à  Buénos-Ayres,  t.  XXXVIII, 
p.  349. 

Mallieolo  (tle,  NouTelles-Hébridcs). 
Découverte  par  Cook,  t.  VIII,  p.  o29, 
838.  —  Habitans ,  leurs  ornemens  , 
330,334. —  Langue,  530,  542  — 
Leurs  arcs,  carquois  et  uutres  armes, 
336.  —  Cabanes,  338.  —  Sul  fertile. 
Animaux.  Population.  Climat,  343.  — 
Nourriture  des  Imbitans.  Instrumeus 
de  musique  ,  345.  —  Se  versent  de 
l'eau  sur  la  tête  en  signe  d'amitié , 
347.  —  Aspect  du  pays,  415. 

Malouinei  (  Iles ,  vûte  eut  de  l'Amé- 
rique méridionale)  Découvertes  par 
La  Bocho  ou  Davis,  toui.  II,  p.  43, 
420.  —  Nommée  Belgie  australe,  par 
Roggewiu  ,  44.  —  Leur  description  , 
4l4  et  suiv.  —  Pourquoi  ensuite  nom- 
mées Malouines,  421. —  Les  Frun^-ais 
qui  en  avaient  pris  possession  les 
rendent  aux  Espagnols,  reconnais- 
sant 'eurs  droits ,  IV,  38,  45.  —  Dé- 
tails I  istoriques  sur  ces  Iles ,  et  leur 
établissement  français  fondé  par  Bou- 
gainville,  qui  croit  ces  terres  décou- 
vertes par  A.  Vespuce,  39.  —  Leur 
aspect  peu  séduisant,  56.  —  Leur  cli- 
mat égal,  59.  —  Eaux.  Terrain,  80. 

—  Plantes,  fruits,  63  et  suiv.  —  Plan- 
tes marines,  68.  —  Coquilles,  qua- 
drupèdes ,  oiseaux,  169  et  suiv.  — 
Animaux  marins  et  poissoo.s,  78.  — 
Diflérens  noms  qu'elles  ont  portés. 
Aspect  monotone.  Animaux.  Tempé- 
rature, XVIII,  116.  —  Tourbe,  119. 

—  Abondance  du  gibier.  Description 
des  palmipèdes,  121.  •>-  Découvertes 
par  Davis,  125.  —  Une  perfidie  des 
Anglais,  127i  XXT,  250.  —  Sol ,  ani- 
maux, XX,  32.  Voy  SoUdad,  Fal- 
kland,  NeiJ^hland. 

Malwha  (  province  de  l'Hindons- 
tan).  Etoffp  .  renommées  de  Seronge, 
XXXI,    p.  dO-  —  Tribus   diverses, 


XXXVI,  548.  —  Lieux   divers,  549, 
350,  351  ,  352,  559.  —  Champs  de 

Stavots,  550. —  Campagne  ,  350,  353, 
155.  —  Suc  de  fleur  enivrant,  351, 
359.  —  Jus  du  pavot,  351.  —  Villauf 
de  Blieils ,  353.  —  Chariots,  355.  — 
Abominable  coutume.  Banswiini,  35(!, 
357.  —  Limite  de  la  province ,  ô61 . 

Mamlouhi.  Leurs  figure.  Leur  rarr 
est  éteinte  en  Egypte,  t.  XXII,  p.  258, 
365.  —  Leurs  habitudes  en  Egypte  , 
372. 

Mamora  (  ville  de  Maror  ),  Buines 
portugaises,  t    XXII,  p.  101. 

Man  (Ile   de,  Nouvelle-Dretagni' , 
Australie  ).  Découverte  par  Carterot 
t.  III,  p  150. 

Manado  (  port  de  l'tle  Célèbe»  ) , 
t.  XVIII,  p.  350. 

Manche  (  province  de  l'Espagne  ), 
f.  XLVI,  p.  177. 

JUandara (^l»ay»  du  Soudan).  Voyage 
dans  l'inférieur,  t.  XXVII,  p.  141.  -- 
Detovr,  142.  —  Instrumens  de  musi- 
que. Garde  du  sultan.  Costume.  Cdur, 
145  et  suiv. —  Mora.  Singulier  us.ige 
d'étiquette,  144.  —  Nombre  des 
principales  villes,  147.  —  Mo.sgov. 
Costume  de  chefs,  148-  —  Conihnt 
contre  les  Felatahs.  Défaite  du  sul- 
tan, 159  et  suiv.  —  Chaîne  de  mon- 
tagnes ,  175.  —  Fer.  Forges,  176.  — 
Belles  négres.ses.  Caractère,  177. 

Maicdbvii.le.  Son  voyage  en  Ar- 
ménie, t.  XXXI,  p.  52. 

Manding  (  royaume  de  la  Séoé- 
gambie).  Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XXVj  p.  275,  295.  —  Monda,  277, 
—  Mansia,  281.  —  Climat,  286.  — 
Mines  d'or,  505.  —  Kinitatouro,  312. 
— •  Voyage  dans  l'intérieur,  t.XXVIII, 
p.  8.  —  Manière  de  traverser  les  ri- 
vières ,  75.  Voy.  Kamalia ,  Kouraiiko , 
Timani. 

Mandingaei  (  babitans  du  Man- 
ding ).  Caractère.  Traitement.  Eu- 
fan.s.  Distinction  du  prince,  t.  XXII, 
p.  49.  —  Gouvernement,  t.  XXV, 
p.  56.  —  Lois,  57.  —  Caractère.  Vê- 
tement. Maisons,  58.  —  Maison 
commune,  40.  —  Esclaves,  41.  — 
Contes,  48. —  Singulière  répression 
des  troubles  domestiques,  58  — 
Luttes.  —  Danses,  60.  —  Boisson, 
62.  —  Caractère,  288.  —  Cir- 
concision, 291.  —  Polygamie,  293  — 


r)ES  MATIÈKI^S. 


406 


Noms  de*  enfant,  2li5.  —  DïTition  du 
temps.  Connaissances  géogrii|iliii|iirs, 
297.  — Religiun  Funérnillcii.  Miiiique, 
'JS8.  —  Auiuur  du  seh  Arts,  500.  — 
Costume,  XXVKI,  45.  -  Armes. 
Métiers.  Uiàtinclioos  de  rangs.  Mdu- 
calion ,  46  —  Travaux  des  femmes, 
XX[X,  375.  -  Mœurs ,  385. 

Mangia  (  archipel ,  Polynésie  ).  Dé- 
couverte par  Cook.Voy.  ff^atuto,  !¥•- 
nùOMtt*. 

Mangia  (tle  de  l'archipel  do  cenom). 
Découverte  par  Cook,  t.  IX,  p.  280. 
,  HL  Description  des  habitans,  290, 
2w.  —  Aspect  agréable  de  l'Ile. 
Langue  des  insulaires ,  295.  —  Leur 
manière  de  saluer.  Leur  nombre  en 
1823,296,297. 

Manglt.  Sa  saveur,  t.  VII,  p.  66. 

Mangouitan.  Description  de  ce  fruit, 
t.  VII,  p.  69. 

Maniana  (  ville  et  royaume  du  Son- 
dan).  Habitans  anthropophages,  tom. 
XXV,  p.  246. 

Manille  (]iort  de  l'Ile  de  Lnçon,  ca- 
pitale des  Philippines  ).  Population  , 
beaux  environs  ,  maisons  sur  pilotis, 
son  bel  aspect,  t.  XII,  p.  296 Dé- 
savantages de  son  gouvernement, 
299.  — >  Distinction  des  rangs.  Impôt 
sur  le  tabac,  302.  —  Beauté  des  en- 
virons, 3 10.  — Faubourg  des  Chinois. 
Usage  de  fumer  immodérément  chez 
les  femmes,  XVII ,  250.  —  Tremble- 
ment de  terre  ,  XVIII,  403.  —  Com- 
bats de  coqs.  Eglises  richement  dé- 
corées, 441. —Kues.  Maisons,  XX, 
218. 

MohUUs  (  ancinn  nom  des  Philippi- 
nes). Conjectuij  sur  l'origine  de  ce 
nom,  t.  I,  p   443.  Voy.  Philippines. 

Manna  (  ville  du  Fouladou ,  Séué- 
gambie  ).  Fruit  du  nitta  ,  t.  XXV , 
p.  316. 

Manouaran  (  une  des  lies  des  Pa- 
pous, M.ilaisie).  Etendue.  Naturels, 
t.  XVIII,  p.  77. 

Mantia  (  ville  du  Manding,  Séné- 
gambie),t.  XXV,p.  281. 

Mantatis  (horde  cafre).  Envahis- 
sent les  pays  de  leurs  voisins,  t.  XXIX, 
p.  44,  57,  71.  —  Combat  contre  les 
Griquas,  101  et  suiv.  —  Perdent  la 
bataille  ,  1 10  et  suiv.,  136. —  Figure. 
Langage.  Co.^turoe.  Ornemcu.'i,  Armes, 
114-  — Origine.  Histoire,  152  et  suiv. 


-—  Ruinés  et  chAHM'H  de  leur  pays  par 
les  /oolas,  132,  134. —  Sont  les  mê- 
mes que  les  Ficanis  ,  138.  —  Leurs 
progrès  vers  U  colonie,  140  et  suiv. 
Maniehiapti  (  tribn  de  Betchoua- 
nas ,  Afrique  sad  ).  Voyage  dans  le 
pays,  t  XXIX,  p.  48.—  Travaux 
des  femmes ,  52.  —  Cérémonies  dana 
lu  conversation.  Améliorations  dues 
ank  missionnaires,  54.  —  Pitsho  ou 
grand  conseil ,  55,  82  —  P^y*,  61. 

—  Caractère,  119,  350.  —  Man- 
teaux ,  348.  —  Plantes.  Fruits ,  349. 

—  Cuisine.  Amour  du  tabac.  Indus- 
trie. As»  cmblées  publiques,  350.—  Sa- 
luts,  3-50, 357.— Cruauté.  Danse.Usa- 
ges.  Superstitions,  352  et  suiv. —  Cir- 
concision. Polygamie,  857. V.  Kurumam. 

MoHtehouri»  (  partie  de  la  Tatarie 
chinoise).  Intérieur  et  extérieur  d'un 
tombeau ,  t.  XII ,  p.  351 .  —  Plantes. 
Roches.  Oiseaux,  Coquilles ,  353.  — 
Côtes  peu  habitées,  XIII,  3. —  Doute 
sur  la  prétendue  pêcherie  des  perles, 
5.  —  Pierres,  plantes,  animaux,  6. 

—  Pirogues,  8.  Voy.  Caitrits,  SuffrtH, 
Ttrnajr. 

Mantehous.  Saints,  tom.  XXXIII, 
p.  80.  —  Leur  conquête  de  la  Chine. 
Leurs  privilèges  ,  97,  231 ,  238,  265, 
note,  271 .  —  Costumes ,  207.  —  For- 
ment la  première  division  dans  l'ar- 
mée de  l'empire ,  224.  —  Vénèrent 
la  pie ,  239,  note.  —  Religion ,  255. 

JUaouna  (  Ile ,  archipel  des  Naviga- 
teurs ).  Aspect ,  t.  XIII ,  p.  84.  — 
Haute  stature  des  insulaires,  89.  — 
Joli  village  ,  beau  pays ,  oiseaux  pri- 
vés ,  90.  —  Férocité  .les  habitans,  92 
et  suiv.  —  Assassinat  de  Laugle, 
compagnon  de  voyage  de  LaPerouse, 
100.  —  Beauté  du  pays.  Férocité  des 
naturels,  XVII,  331.  —  Cheve- 
lure frisée  et  teinte ,  335.—  Tatouags 
n'est  guère  plus  utile,  335. 

Marrabou  (ville  du  Bnmbara).  Com- 
merce du  sel ,  t.  XXV,  p.  265. 

Makckl  uk  Skrre.  Son  voyage  ea, 
Autriche,  t.  XLVI,  p.  217. 

Marchand.  Son  voyage  autour  du 
monde.  Préliioinaircs ,  t.  XV  ,  p.  321  ■ 

—  Relâche  et  séjourne  aux  iles  Mar- 
quises ,  535  et  suiv.  —  Édianges  avec 
les  naturels,  342,  346,  358.  —  Est 
volé  dans  une  descente,  355.  — Dé- 
crit les  îles  Marquises,  (-t  particuliè- 


'%> 


406 


TA«»LE  GÉNÉRALE 


reiMot  nu  Sanu-Crittlnii,  863  à 
482.  —  D^conrro  le*  Ile*  do  la  Béro- 
iDtioo  où  Im  tict  Mari-liand,  du  l>i«, 
PIat«,  434 ,  445.  —  L'Ile  Piiui.  443. 
••  Les  ilri  Ma»M>,  Cbitool,  444.  — 
lemarqno»  sur  «un  T|tyuge,  47â.  — 
liincoatioo  lur  soldécouvsrtcs,  XVI, 
i84. 

Mafokaiid(tle,  groupe  de  la  Rëvo- 
IbtiuD  )■  Uéi'ouTerte  pai  Morclwod, 
t.  XV,  p.  434.  —  Sun  bol  aupect, 
436.— HabilaaaiembliibleR  aui  Mvn- 
docaiDt,  431)  — •  Frostitution  furi-ée 
dci  froimeii .  441.  —  Arbrcn,  442.  — 
Eteodua ,  446.  ■—  Diitcutùon  »ur  m 
découverte,  XVI,  134. 

Marco-Poix).  Ci'lèbro  Toyageur.  A 
demeuré  vingt  ana  k  lu  Cluoe,  t.  I, 
r  11,  XXX1II,270.  —Son  voyuge  on 
A  <e,  XXXI,  83.  —  Eat  atUcbé  au 
■ervice  dn  kbaa ,  89,  46.  —  Notice 
biograpliiqne,  47.  —  E*t  tait  prbon- 
•1er  parles  Vénitiens,  47, 60. 

Mardi»  (ville  d'Arménie,  Turqnie 
d'Asie),  t.  XXXII,  p.  470.  ■  urtico 
divin.  Mariages,  472.  •-  MoHquéos. 
^ns.  Basars.  Population ,  474- 

Mar-Eliai,  Couvent  grec ,  en  Syrie, 
acheté  par  Udy  Staubope ,  t.  XXXII , 
p.  444. 

Maria  (lie, près  delà  terre  de  Van- 
Diéraen).  Su  description  :  arbros,  oi- 
seaux, qup,4rupèd«s,  t  VII,  p.  209. 
Huttea  et .  ustensiles  des  habitan», 
800 

MMiammi  on  <f««  Larron*  (  (les,  Po- 
lynéMc).  Découvertes  par  Magellan. 
Habitans.  Prodnctions.  Cabanes.  Pi- 
fogues,  t.  I,  p.  <43  et  suiv.  —  Sal.i- 
lar  nomme  l'une  d'elles  Borta,  159. 

—  Les  habitans  adorent  les  os  de  leurs 
ancêtres.  Travaillent  le  bois  avec  1.1 
pierre.  Leurs  armes,  IGO,  214.  — 
Iienrs  canots,  191,213,  249.  —  Leurs 
funérailles,  215.— Décrites  par  Nuort, 
247.  —  Méritent  leur  nom,  248.  — 
Leur  nombre,  II,  275.  —Description 
de  leur  pros  ou  bAtimcnf)  reniarr]))»- 
bles,  278.  —  Historique  des  diffé- 
rentes  reconnaissances,   XVm,  85. 

—  Prodnctions.  Anim»»»»  !*■  — Fi- 
gure des  naturels.  Noor^ini'^  V/te- 
men8,87,  88.  — Gouvef**«aM!at  espn- 

Sol,    846.  —  MissioMMNres,    XX, 
9.  Voy.  AiitmftioH,   timlum^  Se^- 

P0tf  milHaM^ 


MarifGalandt  (U«,  P«titea>ARtilleiV 
t.  XL!,  p.  276. 

Mahion,  Chargé  de  nimcnvr  n 
Aoutouruu  le  Taition  dans  sa  patrie, 
t.  IV,  p.  401.  —  Découvre  la  terre 
d'Eitporance,  403. — Les  Iles  Froides, 
Aride,  Pritu  de  posucniion,  41)4.— 
Attère  n  la  Nouveile-'/.élaude,  401).  — 
Sa  confiance  envers  les  insulaires  , 
410.  —  Sa  fin  tragiqne,  413  et  suiv. 
— .Lu  Nouvelle* /.élaude  lui  est  rrdf« 
vable  de  plusieurs  plantes,  444,  440. 

Mariait  ou  t'roid*t  (  Iles ,  sud  A« 
l'Afrique  ).  Découvertes  par  Mitrio», 
I.  IV.p.  404,  VII,  224,  IX,  184. 

Muri¥*llt  (lie  des  Pliilippiue»),  Des- 
cription du  village.  Havages  des 
Maures,  t.  XII,  p.  288.  —  Gouverne, 
ment,  289.  —  Quelques  animaux, 
290. 

Maroe  (empire  de).  Voyage  dans 
l'iutérienr,  t.  XXII,  89  et  suiv. — 
Laracbe,  90,  138. —  Tombeuux  de 
pieux  musuimnns.  Superstition,  V7, 
140.  —  Maïuura  :  ruines  purtugai<k>i, 

101.  —   Fameux   pirates    de    Siilé, 

102.  —  Rabat.  Pirates,  103,  142.  — 
Fruits,  105,  118, 145.  — Mogadore, 
112.  —  Climat.  Etublis.seinens  des 
£un>pécns,  114.— Fid:illiiih,144.  — 
Azamore,  146.  —Sol.  115,  150,  176. 

—  Culture  ,  116.  *—  Mines,  animaux, 
118.  —  Manufactures,  120.  —  Mé- 
tiers, 121.  —  Maisons  ,  vcr^'ers,  122. 

—  Tarudunt,  123.  — Tanger,  133  à 
135.  —  Dar-cl-Bcida,  145.  —  Tett, 
147.  ~-Six  classes  d'habitans,  162. — 
Gouvernement,  166. — Chevaux,  172. 

—  Voyage  dans  le  pays.  El-Harib. 
Commerce.  Religiou.  Costumes.  Tra- 
vaux des  femmes,  XXIX,  422.  —  W- 
Dracb.  Prodiictious.  (^jiarrue,  423. 
Mincina.  Arbres,  424.  —  Talilet: 
impôts,   agrémens,   industrie,  425. 

—  Description  de  Fez,  426  à  4^8. 
Voy.  Arabti.  Btrbtrt,  Chelluht,  Juifs, 
Maurfs, 

Maroc  (  lapitale  de  l'empire).  Sa 
plaine  ,  t.  XXII ,  p'.  151.  —  Fortifica- 
tions. Palais  du  sultan.  Mosquée», 
153. —  Rues,  maisons,  155. — Dazar, 
156.  Quartier  et  vie  des  Ju).'  157. 
— •  Jardins,  158. 

Maroutzit  (tribu  de  la  race  des  Bct- 
chouanas ,  Afrique  sud  ).  Industrie. 
Bétail,  t.  XXIX,  p.  359. 


DES  MATIERES. 


407 


Mmqal»  de  Tra»êH*  (llo  do  U  terre 
de  Sandwich  ),  t.  XXI,  p.  432. 

Matiim'itt.  Voy.  Nonka-Hiva. 

MniruMOHiMt  (Iriliu  de  UoIrlioiiNanii, 
Afrique,  «udj.  t.  XXVI,  p.  471. 

t.  r,  p.  4. 

Munehall  (arriiipel ,  partie  des  llcf 
Mulgrnves,  t.  XVill,  n.  107. 
Martin  (  Ile  de  8ir-Hc 


Icnn- ,  groupe 


f{ergpi«t  ou  arrhlpcl  des  Marquiies  ). 
Nommée  par  Uergcst,  t.  XIV,  p.  381. 

—  DisriiMiun  »ur  ut  drcoiiverlc, 
XVI,  131.  —  KRt  rrio  Nooliœrati 
(NoiiliH  -  Hiva).  Voy.  6\t  Jtrnitr  nom 
jioutla  tuile, 

Martinique  (la,  Ile  ùes  Potitcs-Antil- 
les).  Brnuté  do  la  cHpitnlc ,  t.  XLI, 
p.  276.  —  Le  roc  diamant,  277. 

Martyri  (les,  Iles  de  1'  arcliipel  Ca- 
rolincs).  Sont  les  lies  Allnp,  Fauadik 
et  TiiniHtam,  t.  XX,  p.  228  ,  note. 

MarjrlanJ  (  nu  des  États  -  Unis  ). 
Voyage  dans  l'intérieur ,  t.  XXXiX  , 
p.  226  —  Baltimore.  227  a  230,  127, 
419.—  Climat,  431.  -^  Deauté  et 
viiriétc  des  fruits  et  dc.4  fleurs ,  432. 

—  Papillons,  oiseauK-moucbes,  vers 
hiisans,  434. 

Masa-Fuero  ou  Petite  Ile  de  Juan- 
Fernandez,  N'est  point  stt-rile,  abonde 
en  chèvres,  t.  II,  154.! — '^'^  pintiidcs, 
III,  97.  —Sa  forme,  son  ôtendup.  .8a 
distance  de  celle  de  Ju.nn-Fcruandcz. 
Poissons  de  ses  cAtcs,  101  cf  suiv.  — 
Signification  do  son  nom.  Soi.  Climat, 
XX,  00,  65. 

Maseate  (ville  de  l'Oman ,  Arabie). 
Pjilais  de  l'iman.  Population.  C'ostii 
me».  MaiDons,  t.  XXXV,  i>.  2.  —  *^ 
pect,  ^—  environs  ,  4.  —  Comme  .  <  . 
pui.ssance  de  l'iman  ,  5, 6.  — '  lHr»<pr- 
tance  des  dattiers,  6.  —  CostUMae  àm 
l'iman,  7. 

Matouah  (Ile,  Abyssinie,  mo>-  Ronge). 
Autrefois  très  commercanu^,  ►.  XXIII, 
p.  165,  171.  — Nomancie*.  Fteudu;-, 
170.  —Costumes  de  cIk-K.  175, 179. 

—  Cbiteau.  Musique.  irS.  —  Mala- 
dies ,  186.  —  Autrefu»  wsidence  «lu 
Buharnagasli,  323. 

Hmunchutetu  (t'«  4esKtat.'<-r»i.s  ). 
Campagne,  t.  XXViX,  p.  43, 140, 144. 
-Villages,  43,  1«,  143.  145,  161. 
— Quakers, 44. — Voyage  «'.ans  le  pays, 
132.  —  Esprit   d'iudépuaiiiuuc  £ ,  135. 


—  Concoari  dos  comités  agricoles, 
134.  —  Uiage  Immodéré  Je»  liqucuni 
fortes,  138.  —  Beauté  des  ville»  ou 
villngei,  140,  141,  113.  —  Mont  Ho- 
lyoke,  142. —  Collège  Harward,  151. 

—  Manufactures  et  ouvriers,  154.  — 
Concours  deliateaui,  101.  —  Condi- 
tion des  femmes,  102  et  suiv, —  Édu- 
cation publique,  166  et  suir.  Voy. 
Boston,  capitale;  Howell,  Salem,  Sloei' 
6riJf(*. 

M<utaâre  (tlt!i  du,  Australie).  Dé- 
couvertes par  Morrcll,  t.  XX,  p.  215, 
200.  — Cimetière  royal,  253.  —  For- 
mes, Vé'  mens  des  naturels ,  256.  — 
Armes.  Canots.  —  Biclic  do  mer,  258. 

—  llo.itililés  contre  Morrell.  Bataille. 
Cannibalisme,  270  à  21M.  —  tirouite 
iJentiqueau  neuf  ilesdit  Cartrret,2ilO. 
Perfidie  des  insulaires,  32^).— Morrcll 
achète  l'Ile  Wallitro  des  Insulaires, 
qui  l'attaquent  ensuite,  311,  361. 

Mati*  (lie,  groupo  de  la  Hévolutiou), 
Décoiivcrtu  par  Marchand,  t.  XV, 
p.  444.  —  Discussion  sur  sa  décou  ■ 
verte,  XVI,  134. 

Massouafi  (port  de  l'Abys^inie)  Im  - 
portauce  de  sou  aucieu  commerce , 
t.  XXIII.  p.  1(}4. 

Atattlitrgei  (moût  du  .Sondcrsfield  , 
Norwége),  t.  XLV,  p.  5.5. 

Mnthiat  (ilc,  Austr.ilic).  Découverte 
par  n.impipr,  t.  I,  p.  438;  IV,  318  ; 
Xni,  219,  220. 

Htaily  (ile  d'Austriilic).  Découverte; 
par  Cnrferet,  t.  III,  i».  103. 

Maupfbtuis.  Son  voyage  eu  La- 
V    *.c,  t  \LVI,  ^..  82. 

MAua.  ..-t.  Découvre  l'île  Vavao  , 
t.  XIII,  p.  137,  138.  —  L'île  Auwr- 
iir.'i .  138.  231.  —  Son  voyage  de 
Munille  au  Mexique.  Préliminaire.^, 
204.  ^  Découvre  les  Iles  de.s  Fr- 
mites,  des  Moines,  216.  —  Les  lleii 
José-Bîisco  ,  Saint  -  Michel,  Jésus-M»- 
ria  ,  Saint-Gabriel  ,  Saint-R»i)hii<;l , 
Base,  Dufour,  les  Trois-Ilois,  218.  — 
Un  grand  nombre  d'autre»  Iles ,  222. 

—  L'ile  Latte,  232.  — Les  îles  de  Ma- 
jorqua,  où  il  est  bien  accueilli,  233  à 
250. —  Les  Iles  de  G;dvcz,  les  Cou- 
leuvres, la  Seule,  Va.squcz,  257-  — 
les  îles  de  Consolation ,  Muurclle,  260. 

—  Malheur  qu'il  éprouve,  200.  —  Se 
ravitaille  à  l'île  Guham,  271.  —  Ar- 
rive eu  Amérique ,  277. 


408 


TABLE  GÉNÉRALE 


Maurellt  (Malaisie).  Découverte  par 
Manrelle,  t.  XIII,  p.  267. 

Maures  de  la  Barbarie.  [Sont  forcés 
d'abandonner  aux  Portugais  les  eûtes 
de  Maliibar  et  d'Ajan ,  1. 1 ,  p.  92.  — 
Éducation,  XXII,  200.  — Musique, 
202.  —  Occupations,  203.  —  Ma- 
riages ,  204' 

Maures  de  la  Malaitie,  Ce  qu'ils 
sont.  Pourquoi  ainsi  nommés,  t.  XII, 
p.  305.  —  Leur  commerce ,  XV,  295. 

Maures  de  Maroc.  Figure,  t.  XXII, 
p.  125, 167.  —  Vêfemens,  126, 168 

—  Réception  d'un  étranger ,  126.— 
Repas ,  126 ,  169.  Messagers,  129.  — 
Saints ,  130,  171.  —  Usage  du  cheval, 
131 ,  172.  —  Occupent  les  hauts  em- 
plois, 162.  —  Éducation,  167.  — Ca- 
ractère, 170. 

v^  Maures  de  la  Sénégamhie.  Voyage 

dans  leur  pays.Établissemens.Bançons 
des  voyageurs,  t.  XXII,  p.  78. —  Or- 
gueil. Figure.  Vie  nomade.  Occupa- 
tions et  traitement  des  femmes,  80. — 
Education.  Vétemens ,  82.  —  Langue 
Religion.Commerce,84. — Hospitalité. 
Jugemens.  Combats,  86.  —  Forcent 
les  babitans  de  TÏHsi  à  embrasser  le 
mahométisme,  XXV,  100.  —  Leur 
figure.  Origine,  132.  —  Retiennent 
prisonnier  Mungo-Park,   140,  200. 

—  Exercices  du  cheval,  158.  —  Fu- 
nérailles ,  159.  —  Noces,  160.  Mœurs 
et  habitudes,  173.  —  Travaux  des 
femmes,  178.  —  Maladies,  179.  — 
Justice,  180. — Gouvernement.  Privi- 
lège royaux ,  181.  —  Changemens  de 
station ,  185.  Voy,  Ludamar. 

Maw.  Son  voyage  à  travers  le  nord 
de  l'Amérique  méridionale,  t.  XLII, 
1 .  — Descend  le  fleuve  des  Amazones , 
34  à  74. 

Mayorga  (île,  Australie).  Décou- 
verte par  Manrelle ,  t.  XIII,  p.  233 , 
250.  —  Son  aspect ,  233.  —  Patates 
de  quinze  pieds,  234.  —  Naturels, 
255.  —  Respect  pour  le  roi.  Sa  cour, 
237,  240.  — Jeux.  Combats  simulés, 
244.  —  Fertilité  de  la  terre.  Produc- 
tions ,  250.  —  L'ile  avait  été  vue  par 
des  Européens  avant  Manrelle ,  233. 

—  Naturels  se  mutilent  le  petit  doigt, 
253. 

Ma-Yotso  (ville  duTimaui,  Séné- 
gambie),t.  XXVIII,  p.  26. 

MazanJeran  (  province  de  la  Perse). 


Arbres.  Achreff,  t.  XXXV,  p.  339.  — 
Beau  pont,  341.  —  Costume  d'uu 
prince,  342. — Teint  des  babitans. 
Barbes  teintes,  345.  —  Costume  des 
femmes,  346.  —  Ferhabad,  352.  — 
Ruines  du  palais  de  Schah  -  Abbas , 
353.  —  Balfrouch,  354.  —  Amol: 
i^tiqnités  intéressantes ,  359.  —  Belle 
chaussée ,  XXXVII ,  316,  320.  -  Ra- 
vages de  la  peste ,  322.  —  Campagne. 
Climat.  Maladies.  Habitans.  Animaux 
venimeux.  Productions,  322.  —Cos- 
tumes. Habitations,  324.  —  Belle  val- 
lée de  TUar,  324,  325.  Voy.  Sari , 
capitale. 

Meares.  Ses  deux  voyages  des 
côtes  d'Asie  à  la  côte  d'Amérique, 
t.  XIII,  p.  335,  343.  —  Découvre  les 
îles  de  la  Providence ,  de  Tatée,  344. 
— •  Nomme  en  Amérique  la  pointe  du 
Brisant.  ITomme  le  mont  de  la  Selle, 
le  mont  Olympe,  les  baies  Sboal- 
Watcr,  la  Déception,  Quicksnud, 
Effingham  ;  les  caps  de  Désappointe- 
ment, Grenville,  Look -Ont,  Bpalc, 
353  et  suiv,  —  Décrit  les  mœurs,  rou- 
tumes,  vétemens,  figure,  etc.,  des 
habitans  du  district  de  Nootka ,  357 
à  376. 

Meched  (  capitale  du  Khorassan  , 
Perse).  Aspect,  t.  XXXV,  p.  207.  — 
Morne  silence,  208.  —  Histoire,  210. 
— ■  Maisons,  21 3.  —  Rues.  Bazar,  214- 

—  Edifices  publiques.  Belle  place  , 
215.  —  Portails.  Mausolée  d'Haroun- 
aURaschild ,  216  à  223 ,  233.  —  Dé- 
tails historiques  sur  ce  sanctuaire , 
218  et  suiv.  —  Medressés  (collèges)  , 
223,  228,  231.  —  Bains  publics. 
Palais.  Population ,  227.  —  Moullahs, 
228,  230.  —  Objets  d'étude  des  col. 
léges,  228.  —  Commerce,  231.  — 
Manufactures.  Velours  renommes , 
232.  —  Visite  de  Fraser  au  vizir,  235- 

—  A  de  célèbres  derviches ,  244  et 
suiv.  —  Visite  au  prince ,  248.  — 
Berceaux  de  voyage  en  chameau  , 
255 ,  note.  —  Grand  mausolée  ,  264. 

—  Mendiant  arrogant,  268.  —  Crème 
salée,  271.  —  Plante  à  suif ,  XXXVII, 
266. —  Vénération  pour  la  ville,  282, 
289.  —  Villages  des  alentours,  285. 

—  Intérieur  de  la  ville,  286.  —  Rues, 
289.  —  Population.  Habitations,  290. 

—  Fameux  tombeau  de  l'iman.  Mu.s- 
qnée  azurée,  291.  —  Autres  édifice)». 


Détails  histor 


DES  MATIERES. 


409 


Détails  historiques ,  292.  —  lUamina- 
lions ,  291  ^ 

Meeque  (ville  du  Hedjaz  ,  Arabie^. 
Portefaix.  Porteurs  d'eau,  t.  XXXII , 
]>.  41  ,  166.  —  Costume  du  pèlerin  , 
69  et  suir.  —  Obligation  de  tout 
voyageur  qui  arrive  ,  76.  —  Céré- 
monies de  la  Visitation  de  la  mosquée, 
77  à  85.  —  Description  de  la  ville. 
Ses  titres ,  85.  —  Environs  ,  86  ,  94. 

—  Maisons.  Terrasses ,  87,  88 ,  102. 

—  Rues ,  87,  89.  -^  Absence  de  bâti- 
mens  ,  88.  —  Citernes.  Poste  au 
lettres.  Cimetière,  90  —  Ses  quar- 
tiers et  leurs  bnbitans  ,  90  à  101.  ^ 
Mendians,  pèlerins,  91, 163.  —Bain, 
92.  — •  Eunuques  mariés ,  93.  —  Le 
Grand-Château.  Rues  remarquables , 
95, 97.  —  Lieu  des  supplices  ,  96.  — 
Marché  d'esclaves,  97.  —  Femmes 
publiques,  100  ,  156.  —  Sermens  , 
101.  —  Deicription  de  la  mosquée ,  102 
à  128.  —  Description  de  la  Kaaba  , 
102  ,  105  à  110  ,  414  et  suiv.  —  Fa- 
meuse  pierre  noire ,  106.  —  Tombeau 
d'Ismaël ,  108.  —  Puits  du  Zemzem. 
Sa  vertu,  111,  120.  —  Empreinte  du 
pied  d'Abraham  ,  114.  —  Croyances , 
supertitions  au  sujet  de  la  mosquée  , 
114,117,  128.  —  Chaire,  115.  — 
Prière  du  soir,  116.  —  Écoles,  119. 

—  Volée  de  pigeons.  Portes.  Mu- 
railles, 121.  —  Ministres.  Cérémo- 
nie», 122.  — Notice  historique  sur  la 
Kaaba  ,  128  à  140.  —  Description  de 
l'ouverture  de  la  mosquée ,  138.  — 
Remarques  sur  les  habitans,  141  à 
168.  —  Teint.  Tatouage.  Vêtement. 
Modes,  142  à  147.  —  Habillement 
des  femmes,  147.  —  Éducation  ,  148, 
164)  173.  —  Esclaves.  Concubines  , 
148.  —  Exigences  des  guides  des 
pèlerins ,  150.  —  Singulier  office  des 
delyls,  153.  —  Luxe,  154,  157.  — 
Bepas ,  157.  —  Caractère ,  158 ,  160. 

—  Saluts  ,  159.  —  État  delà  science, 
164.  —  Musique.  Chants,  165,  166. 

—  Noces.  Réjouissances  pour  la  cir- 
concision ,  167.  —  Gouvetncment , 
168  à  181.  —  Histoire  des  schérifs  , 
168 ,  172.  —  Leur  costume  ,  leur 
juridiction ,  170.  —  Leurs  cnfans 
élevés  clic7.  les  Bédouins,  173  — Loin- 
l'aractèrc.  Leur  religion,  175.  —  Du 
kadliy  et  de  la  justice,  177.  —  His- 
toire du  kadhy,  178.  —  Revenu  du 


schcrif,  179.  — Climat,  181.  —  Ma- 
ladies ,  183 ,  234.  —Du  hadi  ou  piUn- 
nage,  185  à  335.  —  Progrès  de  l'in- 
différence, 185.  —  Caravane  sy- 
rienne, 187,  201,  233.  —  Pèlerinage 
de  sultans,  188,  note.  —  Ordre  de 
marche,  189.  —  Caravane  égyp- 
tienne ,  192 ,  202.  —  Persanne ,  etc. , 
192  et  suiv.  — Pacotille  du  pèlerin, 
196.  — Industrie  des  pèlerins  nègres  , 
197. — Pèlerins  hindous  ,  198.  —  Vie 
des  pèlerins,  200.  —  Pèlerinage  des 
Caravanes  à  Arafat ,  204.  —  Devoirs 
des  pèlerins,  205.  212 ,  218,  230.  — 
Description  de  l'Arafat,  207.  —  Ser- 
mon. Bannières,  212,  214.  —  Re- 
tour, 216.  —  Séjour  à  Wadi-Muna  , 
219.  —  Cérémonie  des  pierres ,  219. 

—  Sacrifices.  Fin  du  pèlerinage,  221. 

—  Retour  à  la  Mecque,  222.  — 
Preuves  du  pèlerinage,  230.  —Dif- 
férences avec  la  mosquée  de  Médine , 
293,294. 

Médina  (capitale  du  WouUi ,  Séné- 
gambie).  Fortifications.  Cour  du  roi , 
t.  XXV,  p  46.  —  Population.  Cos- 
tumes,  XXVIII,  313,  314. 

Médina-del-Campo  (  ville  d'Espagne). 
Sa  décadence,  t.  XLVI,  p.  173. 

Médim-Rio-Seio  (ville  d'Espagne) 
Sa  décadence,  t.  XLVI,  173. 

Médine  (ville  du  Hedjaz  ,  Arabie). 
Caractère  des  habitans ,  t.  XXXII  , 
p.  158,  322.  —  Obligations  du  voya- 
geur, 263 ,  302.  —  Situation ,  2U6  , 

—  Jardins,  267,  296,  300,  323.  — 
Intérieur.  Portes ,  268.  —  Maisons  , 
268,  296.  —  Rues  princi])ales  ,  269. 

—  Monumens  remarquables  ,  270. — 
Fauxbourgs,  270,  29i6.  —  Mosquées, 
canal.  Puits,  272.  —  Grande  mos- 
quée ,  274  à  296.  —  Colonnades,  275, 
286.  —  Tombeau  de  Mahomet ,  277. 

—  Office  des  eunuques,  278,  286  , 
288.  — F~ble  répandue  en  Europe  au 
sujet  du  tombeau,  280.  —Tombeau  de 
la  femme  d'Ali.  Traditions,  281. — Cé- 
rémonies de  la  visite,  283  et  suiv.  — 
Lampes.  Portes,  286.  —  Service  de  la 
mosquée,  288,  et  suiv.  —  Différences 
avec  la  mosquée  de  la  Mecque  ,  293  , 
294.  —  Historique  de  la  mosquée, 
2^5.  —  Fruits.  Léfjunies,  2Î)7.  — 
Espèces  de  dates ,  298.  —  Tamarins. 
Éruption  d'un  volcan  ,  300.  —  Cime- 
tii'res.  Personnages  remarquables  iu- 


î* 


410 


TABLE  GÉNÉRALE 


humés ,  302.  —  Montagne  d'Otiond , 
S04,  506.  —  Village  de  Koba  ;  son- 
vcoirs  de  Mahomet,  507  et  suit.  — 
Remarques  sur  les  habitaas,  510  à 
329.  —  Origine.  Descendans  de  Ma- 
homet, 511.  —  Costume,  513.  — 
Bédouins  ,514.  —  Commerce ,  515.  — 
Manqne  de  denrées, 517.  —  Défaut 
d'industrie ,  518.  ~  Vie ,  523.  — 
Chiens  exclus  de  la  ville ,  525.  — 
Fête  de  Monled-en-Neby ,  526.  — 
Honneurs  funéraires ,  527.  *—  État 
de  la  science.  Langue ,  529.  —  Gou- 
vernement ,  550  à  554.  —  Climat , 
554.  —  Maladies,  555. 

MédUttrante  (mer).  Premières  na- 
vigations qui  eurent  li#u  sur  ses  eaux , 
t.  I  ,  p.  2.  —  Bornes.  Noms  différons. 
Golfes ,  XLVI ,  9.  —  Courans ,  ma- 
rées ,^11.—  Surface  ,12.  —  Fleuves 
reçus  dans  ses  bassins,  49. 

Altfdusa-villilia.  Description  de  ce 
mollusque,  t.  XIV,  p.  141,  144.  — 
Méduses  des  régions  arctiques ,  XL  , 
viij. 

Jtf/gare  (ville  delà  Grèce),  t.  XLIV, 
p.  512. 

Meinam  (rivière  du  Siam)  Embou- 
chure, t.  XXXIV,  p.  108.  —  Rives  , 
120.  ""i  Bazars  flottans ,  122.—-  Inon- 
dations périodiques ,  452 

Meirut  (ville  du  Delhi,  Hindons- 
tan).  Garnison  anglaise.  Yilic  indi- 
gène. J!Aur  d'enceinte.  Eglise  chré- 
tienne. Climat ,  t.  XXXVI,  p.  260.— 
Soldat  de  la  Begum-Sumrou.  Détails 
sur  cette  princesse  ,  262. 

MéWid*  (ile,  côte  de  Z.'inguebar, 
Afrique).  Découverte  par  Vasco  de 
Gama ,  beauté  et  régularité  de  la 
ville ,  son  commerce ,  sa  religion ,  ses 
productions ,  t.  I ,  p.  38  et  suiv.  — • 
Naturels  tous  gauchers  ,  XXII,  13. 

Mtlville  (ile,  archipel  Daugcreux). 
Découverte  par  Becchey,  t.  XIX  , 
p.  197. 

Melvill*  (port  de  l'Ile  Loo-Choo). 
Décrit  par  Hall.  Bel  aspect  des 
côtes.  Description  des  villnges  qui  le 
bordent,  t.  XXI,  p.  132;i  l43. 

MelviUe  (île  des  régions  arctiques , 
nord  de  l'Amérique).  Sa  découverte  et 
exploration  de  sa  côte  sud  par  Parry, 
t.  XL  ,  p.  282  à  284.  —  Animaux  , 
287,  519,  526,  328,  335,  337.  - 
Sol.  Charbon  de  terre ,  287,  307,  331 


— •  Pointe  Hou,  baies  Skene,.  Brid- 
pot%,  etc. ,  282.  —  Parti  envoyé  à 
terre,  égaré  pendant  trois  jours ,  288  et 
suiv.  —  Uiverna{;e  du  capitaine  Parry , 
précautions,  di^ertisscmens  de  l'équi- 
page ,  295  à  34  '.  —  Effets  du  froid , 
301,  505,  313,316.  -  Aurores  ho- 
réaies,  505,512.  —  Exhalaisons  de  la 
terre,  522.  —  Productions,  325,  325, 
536,  340.  —  Voyage  à  travers  l'île, 
324  à  558.  -  Étang  ,  525.  —  Mon- 
tagnes,  526.  —  Description  d'uu 
renne,  5li7.  — »  Découverte  de  l'îîe 
Sabine ,  oiseaux  ,  productions ,  329  , 
331.  —  Crique  Buehnan,  334  — 
Golfe  Lidden,  336.  —Cap  Dvndaii,  351 . 

MelviUe  (presqu'île ,  régions  arcti- 
ques ).  Exploration  de  la  côte  est, 
t.  XL ,  p.  391  à  427.  —  Baie  Répuise, 
trace  d'habitans,  391,  592.  —  Décou- 
verte et  exploration  du  havre  Lyon  et 
de  la  baie  Ross,  401  et  suiv.  — 
Tentes ,  404.  —  Quartiers  d'hiver  de 
Parry,  406.  —  Trombe  de  neige, 
408.  —  Dépècement  de  veaux  iiiî- 
rins ,  416.  —  Tombeaux  ,  416.  —  IV^<1 
de  cygues  ,417.  —  Belle  rivière  B.-ir- 
row.  Sa  cataracte,  420.  —  Chasse  an 
walrus  ,  421.  —  Manque  de  respect 
pour  les  morts.  Traîneaux,  423.  — 
Funérailles  ,' 430 ,  4u3.  —  Voy.  Es- 
quintaux  de  la  presqu'tle  MfiUùUe, 

Mcmmingen  (ville  de  la  Bavière) , 
t.  XLV,  p.  341. 

Memphis  d'Egypte,  Voy.  Metra- 
henny, 

Memphit  (ville  des  Etats-Unis  du 
Mississipi)  ,  t.  XXXIX,  p.  391. 

Mekdoca  et  MrifDANA.  Découvrent 
les  iles  de  Salomon  ,  pourquoi  les 
nomment  ainsi  ,  1. 1 ,  p.  168  et  suiv. 
—  Uésumé  do  leurs  voyages ,  XVIII, 
192. 

Mendoça.  Archipel  de  la  Polynésie. 
Voy.  Nouka-lfiva. 

Mendoeia  (cap  ,  Nouvelle-Albion  , 
Amérique  septentrionale  ),  Son  ii»- 
pect.  Productions  des  montagnes  , 
t.  XIV,  p.  147. 

Mentloo  (ville  du  Kiinera).  DrfjiiU 
du  slieik  de  Bournou  ,  t.  XXV  II  , 
p.  288  à  300. 

MkîiDO/.a.  Fonde  Buenos- Ayrcs  , 
f.  XX,  p.  m-,  XXXVIII ,  319.  —  Éi.i 
sodé  de  Maldouata  ,  349  et  sitiv  — 
Fondn  l'Assomption,  352. 


DES  MATIÈRES. 


411 


Slendoza  (ville  de  la  Plata,  Amé- 
rique méridionale).  Climat ,  t.  XLI , 
p.  286.  —  Pénitences  générales,  302. 

—  Situation.  Rues ,  place ,  527.  — 
Maisons.  527. — Uabitiins,  costumes, 
328.  —  promenade  et  promeneurs  , 
328,  531,  332.  —  Nonchalauce  du 
peuple,  329 ,  333.  —  Lîi  sieste ,  329. 

—  Bains.  Licence,  331,  343.  —  En- 
virons, 343. 

Mer,  Sa  pliosphorescence.  Cause  de 
ce  phénomène,  l.  VII,  p.  189.  — 
Dans  quelles  circonstances  il  appa- 
raît, tome  XV,  page  17,  XXXIV,  34, 
35. 

MiroH  (  ville  dn  Tyrol  ).  Maison 
d'André  Hofer,  t.  XLV,  p.  401,  402. 

Mercredi  (ile  dn  ,  Australie)  DécoU' 
verte  par  BligU,  t.  XIII ,  p.  550. 

Mire  et  les  Filles  (la ,  îles  du  Fin- 
mark ,  Norwége)  ,  t.  XLV,  p.  216  à 
218. 

Mère  et  les  Filles  (la,  lies  de  la  Non- 
velle-Bretagne).  Découvertes  par  Car- 
teret,  t.  III,  p.  150. 

Mérite  (ile,  îl»s  Françaises).  Dé- 
couverte par  d'F'  ■♦^ecasteaux ,  t.  XV, 
273. 

Meroé  {juïk'k'  =:  *meu8e  île  de 
la  Nubie),  Ses  ■  .  .  t'araît  être  l'At- 
bara  actuel,  t.  XXIII,  p.  446;  XXV, 
452. 

Mert»  (ville  de  la  Tatarie  indé- 
pendante. 'Asie).  Ruines  et  villages 
des  environs.  Restes  du  fameux  ro- 
yaume, t.  XXXVII ,  p.  249.  —  Sa  ri- 
vière ,  249, 256. 

Mésopotamie  Voyage  dans  le  pays  , 
t.  XXXII,  p.  462.  —  Voy.  Irak- 
dkarjr,  Al-Djetyreh. 

Mételin  ou  i[/e.-&M(ileder^rcbipel), 
t.XLVI,p.98. 

Metrahenny  (  villages  d'Egypte  ). 
Pyramides  d'argile,  t.  XXllI  ,  p.  71. 

—  Est  l'ancienne  Mcmpliis ,  72  ,  74. 
Mexique  (république  de  l'Amérique 

septentrionale  ).  Gouvernement  , 
t.  XXXVIII ,  p  26.  —  Constitution  , 
28.  —  Conquête  de  Cortez,;,  266.  — 
Étendue  et  bornes  de  l'empire  de 
Montézuma,  289. — Origine  de  net  em- 
pire, 290.  —  Terrain  ,  bourgades  , 
histoire ,  gouvernement  de  l'ancieaue 
province  de  Tlascala,  298.  —  Pro- 
grès de  la  population  ,  386.  —  Bor- 
nes, étendue,  montagnes ,   produc- 


tions ,  XLI ,  2.  —  Histoire  ,5,9.  — 
Poissons  du  golfe.  Ile  du  Sacrifice,  5,7. 
Campagne ,  sol ,  16, 18 ,  20 ,  30 ,  33, 
46,  162.  —  Villages,  17,  19, 21,  31, 
34,  147,  155,  158.  —  Oiseaux  ,  19  , 
34.  —  Ponts .  20 ,  21 .  —  Productions, 
30,  32,  102  et  sniv.  —  Fermes  ou 
haciendas,  32,  96,  99.  — Mirages, 
33.  —  Cabanes  indiennes  ,  83.  — 
Chevaux  et  cavaliers  ,  92  et  suiv.  97. 
•^--  Mulets  et  carrosses,  96,  98.  — 
Anes,  98.  —  Moutons  ,  chèvres,  co- 
chons, 99.  —  Chiens,  101.  —  Co- 
cyotie,  102.  —  Agriculture  ,  102. — 
Blé  ,  orge  ,  maïs ,  103  —  Fèves  , 
pommes  de  terre ,'  fruits ,  104  (.et  62). 

—  Banane) ,  plantations  et  liqueur 
d'aloès,  105  (et  32).  —  Sucre ,  café, 
coton ,  cacao  ,  107.  —  Jalap  ,  tabac  , 
indigo,  108.  — ■  Vanille.  Climat, 
109,  111.  —  Vents,  112.  —  Bois, 
157,  162.  —  Mœurs  ,  usages  des 
Indiens,  158  et  suiv.  —  Leurs  dra- 
mes historiques,  159  et  suivantes. — 
Mines  d'argent ,  163,  165.  —  Bon 
traitement  des  esclaves,  421.  —  Cos- 
tume ,  armes  d'Indiens  du  pays  ,  425. 

—  Religion  de  l'État,  XLII ,  427. 
Voy.  Acapulco  ,  Boiiair,  Chequatam  , 
Càolula  ,  Jalapa ,  P^rote ,  Puebla  ,  San- 
Blas  ,  Santa-Ctara ,  Tabasco ,  Thenies- 
ealtepee ,  Tepec ,  Tezenco  ,  Tollitca  , 
f^era-Craz, 

Mexique  (antiquités  du).  Ruines  de 
Zampoala,  t.  XXXVIII,  p.  291.  — 
Muraille,  frontière  de  la  province  de 
Tlascala,  301. — Population,  rues, 
temples  de  Cholula  ,  309 ,  et  XLI ,  45. 
— IliiJ.  de  Tezenco ,  de  Istacpalapa  , 
XXXVin,  510.  —  Château  de  Ch.t- 
pultepec,  XLI,  122,  155.  —  Anti- 
quité» diverses ,  130.  —  Statti'.'s,  hié- 
roglyphes, peintures,  131.  —  Le 
gTJ'nd  calendrier,  132.  —  Pierre  sa- 
crificialc,  133.  —  Statue  colossale. 
135.  —  Ruines  de  Tezenco.  Son  an- 
tique splendeur,  139,  —  Son  Pa- 
lais des  caciques,  143.  —  Ruines 
du  Tescosengo,  145,  146.  —  Le  Imno 
de  Montézuma ,  144,  146.  — •  Ruines 
d'Huexotla.  Pyramides  ,  colonne  , 
stuc,  147,  148.  —  Célèbres  pyra- 
mides du  Soleil  et  de  la  Lune  ,  149  ;' 
153.  Voy.  Ancien  Mexico. 

Meitco  (capitale  du  Mexique).  Alen- 
tours.  Aspect ,  t.    XLI,    p.    48.  — 


%. 


t 


112 


TABLE  GÉNÉRALE 


Beûiité  des  rues ,  des  maisons ,  49  >■' 
51 .  —  Tutérieur  des  maisons  ,  52.  — 
La  Plazu-Major,  le  marché  et  les  den- 
rées, 52 ,  68  à  73.  —  Cathédrale,  of- 
fice divin,  54.  —  Autres  églises,  55 , 
60.  —  Couveus.  Hospices ,  57,  59.  — 
Hôtel  du  gouvernement ,  57.  —  Mon- 
naie ,  58.  —  Ecole  des  mines  ,  59 , 
131.  —  Tombeau  de  Cortex  ,  60.  — 
Pair',  de  Cbapultepec,  60.  —  Déc.i- 
dei"v;  des  arts,  61.  —  Théâtre ,  62. 

—  l'romenades  publiques  ,  64.  — 
Canal  ,  65.  —  Jardins Jlotlans,  67.  ■— 
La  place  du  marché,  68  à  73.  —  Hô- 
tels, 73.  — Boutiques,  états,  74  à  79. 

—  Costumes  des  différens  rangs ,  79 
à  83.  —  Cabanes  indiennes ,  83.  — 
Fabriques,  84  et  suiv.  —  État  de 
l'instruction.  Écrivains  publics  ,  etc. , 
88.  —  Exécutions  publiques,  89  à  92. 

—  Chevaux  et  cavaliers  ,  92  et  suiv. 
97.  —  Mulets ,  carrosses ,  96 ,  98.  — 
Commerre  de  cochons  et  leur  traiie- 
ment,  99.  —  Climat,  112.  —  Châ- 
»..*au  de  Cbaipultepcc,  123,  155.  — 
Musée  d'antiquités ,  131.  —  Le  grand 
calendrier,  132.  —  La  pierre  saorifi- 
ciale,  133.  —  Statue  colossale  ,  135. 

—  L'ancien  lac,  137.  —  Excursion 
aux  minos  d'argent  de  Themascalte- 
pec,  155. 

Mexico  Cnncien  ).  Entrée  de  Cortez 
dans  la  ville.  Palais  de  Montéznma. 
Population,  XXXVIIl,  311. — Assiégée 
et  prise  par  Cortez,  314.  —  Con- 
sommation de  la  viande,  401  .—Plan  de 
la  ville  ancienne,  t.  XLI,  p.  113.  — 
Situation,  aspect,  114.  —  Palais  et 
jardins,  119,  123.— Ménageries,  120 
et  suiv.  —  Arsenal.  Artistes,  124. — 
Idoles  Temple  Téooalli.  Sacrifices 
d'hommes  et  de  copal,  125,  126.  — 
Lieu  des  sépultures.  Tombeaux,  127. 

—  Habileté  des  peintres.  Fabrication 
du  papier,  128.  —  Statues  brisées  , 
129.  —  Véracité  des  auteurs  es- 
pagnols sur  la  splendeur  de  l'em- 
pire, 154.  Voy.  Montézuma. 

Mezinoua  (  ville  du  Khorassan  , 
Perse).  V.istes  ruines.  Population , 
t.  XXXV,  p.  172.  —  Relations  avec 
les  Turcomans,  174. 

Miako  (île  Niphon,  Japon).  De- 
meure de  l'empereur  ecclésiastique  du 

p.  129,  153.  — 

Château,     Rues. 


Japon,   t.  XXXr, 
Temple,     Rivière. 


Manufactures.    Population,   p.   154. 

Miasen  (lac  de  i.'i  Norwége),  t.XLV, 
p.  58, 60. 

Middelbourg  ou  Eooa,  Eaooivee  (Ile , 
archipel  des  Amis  ).  Son  aspect 
agréable,  t.  VIII,  p.  37.  —  Descrip- 
tion  d'un  habitant ,  38.  —  Habitation 
du  roi,  41.  — l^hitans  :  leurs  formes, 
leurs  tatouages  jusque  sur  les  parties 
les  plus  délicates  du  corps ,  leurs  or- 
nemens ,  43.  —  Lourdes  massues  , 
bien  sculptées;  arcs  et  manière  de 
s'en  servir,  45  —  Beauté  de  l'ile ,  f[T. 

—  Cimetières,  48.  —  Description  de 
l'ile,  82.  —Production^,  habitations 
disséminées ,  animaux  domestiques  , 
poissons,  filets,  pirogues  ,  outils,  34. 

—  Naturels  ,  leurs  vétemens ,  orne- 
mens ,  amusemeus  ,  instruuiens  do 
musique ,  manière  de  saluer ,  leur 
franchise ,  86  et  suiv.  —  Coutumes 
singulières  :  mutilation  du  petit  doigt, 
90.  —  Gouvernement ,  93.  —  Aisance 
des  habitans  acquise  à  la  sueur  de 
leur  front ,  94.  —  Religion  ,  laugue  , 
95.  —  Aspect  de  l'île,  X,  28,  30.  — 
Sol.  Plautes ,  30. 

Milan  (capitale  du  royaume  lom- 
bard-vénitien), t.  XLVI,  p.  267. 

Milet  (  ville  de  l'Aoatolie  ^  Turquie 
d'Asie  )  ,  t.  XLVI ,  99. 

Mille-tles  (  archipel  des,  Austrahe). 
Découvertes  par  Roggewin ,  tom,  II , 
p.  70.  —  Est  le  même  que  celui  de 
l'Echiquier  de  Bongainville ,  XIII , 
214,  note. 

Milo  (île  de  l'archipel),  t.  XLVI, 
p.  94. 

Mimeina  (ville  de  l'El-Drach,  Maroc) . 
Environs.  Maisons.  Troupeaux.  Ar- 
bres, t.  XXIX  ,  p.  424. 

MiNDANA.  Découvre  les  îles  Salo- 
mon,  t.  I,  p.  168.  —  Son  prodi- 
gieux voyage  dans  la  mer  du  Sud, 
195.  --  Découvre  les  îles  Marquises 
de  Mendoze,  197.  —  De  Saint-Ber- 
nard et  du  Solitaire,  205.  —  Découvre 
l'île  de  Santa-Cruz,  III,  446.  — Meurt 
et  est  remplacé  par  sa  femme  dans  ?e 
commandement,  448.  —  Observations 
sur  sa  découverte  des  îles  Marquises , 
XV,  363,  369. 

Mindanao  (île ,  archipel  des  PhiUp- 
])ines  ).  Description  de  la  côte  et  des 
îles  qui  l'a  voisinent ,  1. 111,  p,  170  et 
suiv.  —  Entrevues  avec  les  insulaire». 


w 


1 1 


DES  MATIERES. 


413 


leur  conduite,  171  et  suit.  —  Baie 
Trompeuse,  177.  —  Erreurs  de  Dam- 
pier  corrigées,  178  et  siiiv.  —  Baie  de 
Désappuiutemeut,  179.  —  Aspect  de 
la  campagne,  182. 

Mnilelhtim  f  ville  de  la  Bavière), 
t.  XLV.p.  34i. 

Mingrèli*  ou  Colchide  (province  de 
la  Russie  d'Asie).  ÉtymoTogic  du  nom. 
Campagne.  Climat,  t.  XXXI,  177.  — 
Maladies.  Rivières,  178.  —  Terroir. 
Productions,  179, 183.  —  Bon  vin. 
Sa  coafection.  Récolte  du  gom,  180. 
—  Aiimens.  Privilèges  des  seigneurs, 
183,  187,  188.  —  Quadrupèdes.  Oi- 
seaux, 182,  184.  —  Villages.  Mai- 
son* ,  185.  —  Race.  Belles  femmes. 
Éta':  des  personnes  ,  186.  —  Éduca- 
tion. C  )stume.  Repas.  Saluts,  188.  — 
Le  Phase,  190.  — Religion,  194. 

Minsk  (ville  et  gouvernement  de  la 
Russie),  t.  XLVI,p.  140. 

ilirage.  Ses  effets  dans  divers 
pays ,  t.  XXI,  p.  417;  XXXV,  64.  note; 
XXXVn,  152;XLIII,301. 

y(f<>zay;our(vilIedel'Allahahad,Hin- 
doustan  ).  Sa  prospérité ,  t.  XXXVI , 
p.  139. 

Missions,  Fondées  au  Paraguay  par 
les  jésuites,  t.  IV,  p.  107.  —  Leur 
étendue,  leur  division,  leur  gouver- 
nement, 111  et  suiv.  —  Les  jésuites 
en  sont  chassés,  115  et  suiv. —  Leurs 
bienfaits  à  la  NouvelU-Zélande,  XX, 
187  et  suiv.  \oy. Californie,  Klaarivater^ 
Lily-Fountain,  Pella, 

Mittionnaires  anglais.  Voy.  t.  XIII, 
p.  435-  —  Leur  premier  établissement 
aux  lies  de  la  mer  du  Sud ,  438,  442 
et  suiv 

M'ssissipi  (fleuve  de  l'Amérique 
septentrionale  ).  Savanes  de  ses  rives, 
t.  XXXVIir,  p.  12.  —  Son  cours.  Ses 
affluens.  Ses  eaux.  Sa  largeur,  37,  41, 
43.  —  Description  du  fleuve  et  de  ses 
belle»  rives,  44  à  48.  —  Son  aspect  et 
ses  dimensions  a  la  INoivelle-Orlèans, 
XXX1X,360,  365.  --Divers  genres 
de  bateaux,  361,  362.  —  Ses  hauteurs 
àlaNouvelle-Orléans,  363, 3(51. — Sou 
cours,  365.  —  Ses  crues,  365.  —  Ses 
CTiibouc'Iuires,  308,  384. — Voyage 
sur  ses  eaux  ,  369.  —  La  Balise,  370, 
385.  —  Crevasses  de  la  levée,  371- 
—  Les  Squatters  ,  372.  —  Confluent 
lie  rohio  ,  374.  —  Confluent  du  Mis- 


souri, 377.  —  Élégans  bateaux  à  va- 
peur ,  389.  —  Voyage  sur  ses  eaux , 
.389.  —  Ses  rive»,  390.  Voy.  Ohio. 

Mistissipi  (  un  des  Etats  -  Unis  ). 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XXXIX , 
359  et  suiv.  —  Natchez,  364,  390.  — 
Memphis,  Zù\. 

Missouri  (  affluent  du  Mississipi  ). 
Son  cours,  t.  XXXVIII,  p.  42.—  Con- 
fluent du  Mississipi,  Ville  de  SAinl- 
Louis.  Eaux  bourbeuses ,  XXXIX  , 
377.  —  Radeaux,  379. 

MiTHRiUATE.  Sa  tombe ,  sa  monta- 
gne, son  siège,  t.  XLIV,  433. 

Mittenufald  (ville  do  Bavière  ) ,  tom. 
XLV,  p.  361. 

Mltr»  (île,  Polynésie).  Découverte 
par  Edwards ,  XIII ,  p.  427. 

Mobile  (ville  de  l'Alabama,  États- 
Unis).  Son  étendue. Sa  baie,  t.  XXXIX, 
p.  358. 

Moclia  (Ile,  Chili).  Son  bel  aspect. 
Est  fréquentée  par  les  contrebandiers, 
t.  XVI,  p.  23.  Animaux,  Eau  limpide, 

XVIII,  130.  —  Son  état  en  1825, 

XIX ,  'î. 

Mogadore  (ville  du  Maroc).  Foud.^- 
tion.  Commerce  Fortifications.  Inté- 
rieur de  la  ville  ,  t.  XXII,  112. 

Moines  (îles,  Australie).  Décou- 
vertes par  Maurelle,  t,  XIII,  p.  216. 

Moïse  (ile  de  l'Australie).  Décou- 
verte par  Le  Maire,  t.  I ,  p.  320. 

}foka  (  ville  de  l'Yémen,  Arabie). 
Bel  aspect,  t.  XXIII,  p.  150.  — Com- 
merce ,  XXXI ,  239. 

Mokundona  (  ville  du  Timani ,  Sé- 
négambie  )  ,  t.  XXVIII,  p.  20 

Moldavie  (  province  de  la  Turquie 
d'Europe).  Détails  divers ,  t.  XLIV, 
p.  88.  —  Détails  sur  l'aucienne  his- 
toire, 233. 

Moller  (île,  archipel  Dangereux), 
t.  XVIII,  p.  139. 

MoLL'EN.  Son  voyage  en  Sénégam- 
bie,  t.  XXVIII,  p.  433.  —  Arrive  aux 
sources  du  Sénégal,  437. — Son  voyage 
en  Colombie,  XLII,  391. 

Moluques  (îles  de  Miilaisie).  Décou- 
vertes par  les  lieiiteuans  d'Albuquor- 
qtio,  t.  I,  p.  105.  —  Divisions  terri- 
toriales. Gouvernement.  Comptoir» 
des  Hollandais,  IV,  379  à  383. — 
Habiles  moyens  employés  par  les  Hol- 
landais pour  monopoliser  le  commerce 
de»   épices,  385.  —  Culture   exclu- 


À 


# 


4f4 


TABLE  GÉNÉRALE 


sive  de  certaines  ilet»,  384.  —  Ce 
commerre  presque  annule  par  les  An- 
glais ,  386.  —  Précautions  contre  les 
employés.  Epoque  de  la  récolte,  385. 
Malignité  du  climat.  Tremblement  de 
terre,  387.  —  CUef-lien  des  établis- 
scmens  hollandais,  XV,  72.  —  Poli- 
tique des  Hollandais ,  74,  297.  — Dé- 
cadence do  l«>n  r  compagnie.  Ses  eau  se  s, 
75 ,  36.  —  Régime  oppressif  à  l'égard 
des  ind  -  .s,  76.  —  Extirpation  or- 
donnée plantes  à  épiées ,  77. — 
Les  iles  .«.rdrout  le  commerce  exclu- 
sif des  épiceries ,  78.  —  Chinois  na- 
ralisés ,  80.  -r-  Jalousie  entre  les  chefs, 
entretenue  par  les  Hollandais,  207. 

—  Beauté  des  végétaux  ,  XLIII ,  ix. 

—  Crocodiles,  xi.  —  Uabitans  ma- 
lais, xr. —  Religions,  xxiij,  —  In- 
dustrie. Commerce ,  xxix.  Yoy.  îles 
Amboine ,  BaaJa,  Boiro,  C/ram,  Ter- 
mite. 

Mombatta  (île,  c6te  de  Zangueliar) 
Découverte  par  Vasco  de  Gaina ,  t.  I, 
38.  —  Étendue.  Sol.  Habitaus  ,  riche 
p.xrnre,  XXII,  13. 

Monda  (ville  du  Manding ,  Séné- 
gambie),t.  XXV,  p.  277. 

Mondrain  (ile  du  ,  archipci  des  Prii- 
lippines  ).  Découverte  par  Cartcret, 
t.  m,  171.-178,181,182. 

Monfalout  (ville  de|la  Haute-Égyptc). 
Son  ancien  état,  t.  XXI [I,  p.  84. 

MoHghjrn  (ville  du  Béhar,  Hindous- 
tan).  Aspect.  Mouvement,  activité, 
t.  XXXVI,  p.  116.  —Maisons.  Bou- 
tiqnes.  Forgerons  renommés,  117.— 
^iiuviruns ,   1  ?8. 

BiottgoUe  (  partie  de  la  Tatarie  chi- 
noise ).  Ambassade  de  Marco-Polo , 
t.  XXXI,  p.  51  et  suiv.  —  De  Rhoë , 
67  et  suiv.  —  Voyage  dans  le  pays, 
XXXIII,  9  à   135,  et  463  et  sniv. 

—  Obos  ou  autels  de  pierres ,  23 ,  51 , 
68, 114.  —  Bivières,  24,  33,  55,  63, 
101  —  Moutons  à  longues  oreilles, 
25.  —  Productions ,  29,  51,  50,  54  , 
118,  120,  125.  et  suiv.,  133.  —Oi- 
seaux, 34,  45.90.  —  Bivière  Schara, 
34,36.  —Chapelles.  Temples,  36, 
70,  123,  128  et  suiv..  —  Caravane, 
38.  —Quadrupèdes,  40,  51,  69,  1 13, 
12Î.  —  Charrettes,  41  ,  56.—  Nour- 
riture des  habitans  des  steppes,  48. — 
Chameau  blanc  ,51.  ^  Arbres,  54, 
102, 106, 133.  -  Forêts ,  52,  58,  — 


Goddah,  59.  —  Usage  des  Kadacs] , 
60.  —  Peines,  89.  — -  Marais  salés  , 
105, 109,  114,  —  Pierres  précieuses, 
110,113,  121, 125  —  Récits  sur  un 
général  chinois  ,111.  —  Monts  ,114, 
117,  118, 128.  —  Chasse  de  l'empe- 
reur,  119.  —  Granit.  Aimant,   122. 

—  Idoles  gigantesques.  Temples.  Li- 
vres sacrés.  Costume,  131.  —  Trou- 
peaux de  l'empereur,  134. —  Voyage 
dans  le  pays  des  monts  Sounicns,  137 
à  149.  —  Quadrupèdes ,  138.  —  Lac 
salé,  140.  -  Monts,  141,  142.  - 
Chevaux  de  l'empereur,  141.  —  Autel 
de  pierre,  149.  —  Groupes  de  tenles, 
154-  —  Souvcnirde  Gengiskhan,  150. 

—  Détails  généraux.  Ciimpague  Sol, 
323.  —  Climat.  Productions.  Popu- 
lation, 324.  —  VilLiges,  habitans, 
palais  impérial,  464.  Voy.  Cobi, 
Goddiih,  Ourga,  capitale. 

Mongols.  AmbassadeauCrand-Mo- 
gol,  t.  XXXI,  p.  51.  —  Cortège  et 
audiences,  58.  —  Camp  iinpé.-ial, 
60.  —  Nombreuse  escorte  de  voyage, 
85,  90.  —  Chasses,  86. — Nnnrri- 
ture ,  91.  —  Costumes,  107.  —  Res- 
semblance avec  les  Kamtscliad^ilcs, 
395.  —  Contingent  dans  l'armée  de 
l'empire  (de    Chine),  XXXUl,  224, 

—  Religion ,  255.  —  Conclusion  de 
marchés,  319.  —  Figure.  Caractères, 
325.  —  Costumes,  326.  —  Armes, 
l'eûtes  ,  327.  —  Nourriture.  Occupa- 
tions, 328.  —  Mariages,  noces,  328 
à  356.— Mois  de  l'année,  330.  —  Vi- 
site de  la  femme  à  sesparens.  Divorrc, 
356. — Funérailles.  Arts  et  sdeuces , 
358.  —  Etat  des  persounes,  359,  — 
Règlcmens  divers,  3''iO  et  sniv.  — 
Prières,  345. —  Classe.s  de  reUgieux, 
344.  Voy.  Delhi. 

Moiigols'Kalkhai.  Voyage  chez  le* 
Mongols- Kalkhas,  t.  XXXIII,  p.  9  à 
135. —  Couleurs  sacrées,  14. — Reli- 
gion. Lamas,  21.  —  Témoignage. 
Polites.se ,  27.  —  Croyance  à  la  nié- 
tempsycobc,  28,  45,  46.  —  Usage  et 
préparatiou  du  thé,  52-  —  Cos- 
tumes ,  35,  68,  75,  151.  —  Equii.i- 
tion  ,  |5ai.  —  Boivent  le  lait  Je  ju- 
ment, 47. —  Chaûts  nationaux,  fi! 
et  suiv.  —  Deuil  de  rcmperour  (dr 
la  Chine),  G6,  71.  —  Costunio  de 
femme,  68.  —  Saints,  8'J  —  Céré- 
monie de  deuil.  Tribunal.  Peines  ,89. 


rope,  t.  XLVI, 


DES  MATIÈRES. 


415 


—  Khan-Ola,  Gif;antesqnes  inscrip- 
titini),  05-  —  RccitH  sur  ua  général 
cliinnis,  111.  — Idoles  gigantesques. 
Livres  sacrés,  131.  >— Uufflcs,  349. 
Rhubarbe.  Marmottes ,  5ôO. 

Mongols-Tsalhas,  Voyage  dan»  leur 
pays,  t.  XXXllI.p.  149  à  161.  — 
.Sépultures,  151.  —  Idole  d'Orgon, 
153.  —  Amour  du  tabac,  151.  — 
Souvenirs  de  Geugiskliau,  156. 

JUongols'Sounit«s.\oyag0  dans  leur 
pays,  t.  XXX 111,  p.  137  a  149^,  548. 

—  Coffres  pour  la  prière ,  1 39.  — 
Taïdzis  ou  nobles ,  348. Voy.  t'oit. 

Moiitagu  (ilc,  Amérique  septen- 
trionale ouest).  Découverte  par  Cook, 
t.  X,p.  451. 

MoWTAiiUE  (  lady  ).  Ses  voyages  en 
Turquie,  t.  XLVl  ,  p.  82.  —  Fait  in- 
troduire  la  vaccine  eu  Angleterre, 
83. 

Montaigne.  .Ses  voyages  en  Eu» 
lope,  t.  XLVI.p.  69à  71. 

MoNTÉMONT  (Albert).  Son  voyage 
aux  Alpes  et  en  Italie,  tum.  XLVI« 
p.  260. 

Monténégrins  (liab^tans  de  Monté- 
négro). Extérieur  et  iutérieur  de  leurs 
laaisous,  t.  XLVI,  p.  242,  241  — 
Absence  d'arts,  243.  —  Gouverne- 
ineot,  244.  —  Physionomie,  barle, 
cheveux,  245.  —  Saints.  Exercices 
des  armes,  Co.stume,  246.  —  Formes 
et  costume  di's  femmes,  iiaptênie, 
247.  —  Terribles  chiens  de  garde. 
Rigidité  dé  moeurs.  Sévère  punition 
de  la  fille  quia  failli,  248.  249.  — 
Mariages,  250,  251.  —  Fraternité 
d'armes.  Respect  pour  les  morts.  Fu- 
nérailles,  252.  —  Ooyances  super- 
sticieuses.  Caractère,  253.  —  Respect 
|)our  les  vieillards.  Yeugeauco  hcrc  - 
difaire,  254. 

Monténégro  (  province  de  la  Tur- 
quie d'Europe).  Situation ,  campagne, 
origine  du  nom,  t.  XL VI ,  p.  2îl.  — 
Bivières ,  climat.  Absence  de  villes 
et  de  cbemius,  242  —  Gnégussi,  lieu 
de  la  résidence  du  gouverneur ,  345. 

—  Absence  d'art,  243  et  suiv,  — 
Population, 

Monterey  (  capitale  de  l.i  Nouvelle- 
Californie  ),  Description  de  sa  baie, 
t.  XII,   p.     227.   —  Naturels,   229. 

—  Rade  découverte  par  Visc.iino , 
231.  —  Cabanes,   233,  —  Etat  des 


naturels  sous  les  Epissionnaires.  Fonc- 
tions des  caciques,  récompenses, 
abolitions  de  la  Polygamie,  234  et 
suiv.  —  Habillement ,  240.  —  Mœur» 
dos  Indiens indcpendans, 241. '>~  Po- 
pulation en  1833 ,  245  — -  Quelques 
plantes  et  roches,  247.  —  Langue, 
prononciation ,  249.  —  Uescription 
de  la  baie.  Etablissement  jespagnol. 
Fort,  XIV,  564.  —  BAtimens,  366. 

—  Mission  et  présidio,  XIX,   538- 
Moiitt-yideo  (capitale  de  lu  répu- 
blique de  ce  nom).  Ruco.  Maisons. 
Climat,  t.  XX,  p.  69. 

Muntézunta  (empereur  du  Mexi- 
que), Envvie  des  déoutés  et  des  pré- 
seus  à  Cortcz,  t.  XXXVIII,  p.  280, 
286  —  Habileté  de  ses  peintres,  283, 

—  .Ses  courriers,  285.  —  Etendue, 
Bornes  de  sou  empire,  289.  —  Ori- 
gine de  cet  empire,  290.  —  Reçoit 
Cortcz  à  Mexico.  Son  palais,  311.  — 
Sa  fin  tragique,  313.  —  Ses  domes- 
tiques, XLI,  114.  —  Ses  femmes, 
115.  —  Cérémonial  despotique,  115. 

—  Salle  des  repas.  Ustensiles.  Plats, 
domestiques.  Musique,  etc ,  116, 
1 18.  -  Ses  habitudes ,  1 18,  124,  — 
PaUiset  jardins,  119,  123.  —  Ména- 
geries, 120  et  suiv.  —  Arsenal.  Ar- 
tistes, 12Î.  —  Le  Bano  de  Monté- 
zuma ,  144.  —  Véracité  des  auteurs 
espagnols  sur  la  splendeur  de  son 
empire,  154. 

Montgomery  (  ville  de  l'AIaliama  , 
Etats-Uuis),  t.  XXXIX.  p,  356. 

Monti  (  baie  de ,  Amérique  russe  ). 
Découverte  par  La  Pérouse,  t.  XII, 
p,  151 ,  152. 

Montpellier  (  ville  de  la  Caroline 
du  nord,États-tJuis),  t.  XXXIX,  289. 

Montréal  (île  et  ville  du  fleuve 
Saiiit-Lam^nt ,  Canada  ),t,  XXXIX, 
p.  106. 

MooRE  (John).  Ses  voyagea  en 
Europe,  t.  XLVl,  p.  81. 

Mora  (  ville  du  Mandara  ,  S'Midan), 
Singulier  usage  d'étiquette,  t-  XXVII, 
p.  144.  —  Ses  environs  ,  179. 

MoradabaJ  [ville  du  Rohilciiod,  Hin- 
donstan).  Beaux  jardins.  Confection 
de  la  glace. Belles  vignes,  t.  XXXVI, 
p.  253. 

Moravie  (  province  de  l'crapire 
d'Autriche).  Sol,  Température,  tom. 
XLVl ,  p,  227,  —  Ses  habitans,  228. 


416 


TABLE  GÉNÉRALE 


—  Etablistemoot  des  frère»  Moraves, 
237. 

More»  (partie  de  la  Grèce  ).  Voyage 
de  Pouciueville ,  t.  XLVI ,  p.  206. 

MoHRKLL.  Sa  vie,  t.  XX,  p  1.  — 
Son  premier  voyage  autour  du  moude, 
\b'  —  Son  deuxième  voyage  ,  67.  — 
Combat  les  sauvages  de  la  Californie, 
92.  —Son  troisième  voyage,  103.  — 
Sod  quatrième  voyage.  Sa  femme 
l'accompagne,  13&,  137,  1^7,161, 
225,  297.  —  Découvre  les  groupes 
Westervelt,  201  —  De  Bergh,  207, 
212.  —  L'ile  Livingston,  214.  — 
Bécif  de  Skiùdy ,  228.  —  Le  groupe 
Skiddy,  230.  ■>-  Hostilités  avec  les 
insulaires  ,  236 ,  241,  276, 282,  331 , 
361 .  —  Découvre  les  îles  du  Massa- 
cre ,  245 ,  290.  —  Entrevues  avec  les 
naturels,  246  et  suiv.,  271  ,  275.  — 
Construit  une  maison.  Plante  un  jar- 
din ,  266.  —  Est  trahi  par  les  natu- 
rels, 276.  —  Alarme,  281.  •—  Mas- 
sacre. Bataille  ,  282. —  Cannibalisme  , 
289.  —  Retour  aux  îles  Massacre.  Un 
de  ses  marins  fait  prisonnier ,  337.— 
Récit  de  sa  captivité,  343.  —  Achat 
de  l'ile  Wallace  ,  341 .  —  Découverte 
mystérieuse,  394. 

Monta  ( ile  ,  groupe  Sandwich), 
t.  XI,  p.  245,  XIV,  403. 

Morue,  Description  de  la  pèche  de 
ce  poisson  sur  les  côtes  de  la  Norwége. 
Sa  préparation  et  autres  détails ,  tom. 
XLV,  p.  145  à  152. 

Morumbidje  (  rivière  de  la  Nouvelle- 
HolUnde).  Exploration  de  son  cours , 
par  Sturt,  t.  XLIII ,  p.  281.  —  Carac- 
tère du  pays  entre  Ûndevaglia  et  la 
rivière,  284  et  suiv.  —  Cabane,  286. 
—Rives,  286, 302 ,  S(i7.  —  Ses  eaux , 
287.— Riches  vallée», 288— Affluens, 
288 ,  310.  —Entrevue  avec  les  natu- 
rels, 290,  295,  297,503,  309, 313  ei 
suiv.  —  Chasse  à  l'opossuui,  290.  — 
Caractère  de  la  rivière  au-delà  des 
montj4gnes,  293.  —  Inondations, 
297.—  Oiseaux  ,  297,  307.  —Figure, 
formes  des  naturels ,  298  —  Usages 
divers ,  299.  —  Armes.  Combats , 
299,  313.  —  Privilège  des  vieillards, 

299.  —    Privilège   des  gens    mariés. 
Cérémonies  de  nuit.  Etat  des  femmes, 

300.  —  Arbres  ,  301 ,  302.  —Mirage, 

301.  —    Communication    prù.sumée 


avec  le    Lachlau  ,  303. 


Vents, 


304.  — -  Plaine  de  roseaux,  304,  309. 

—  Tombeau ,  507.  —  Rapides  ,  310. 

—  Arbres  charriés,  311.  —  Se  jette 
dans  la  Murray,  312,  352.  Voy.  ce 
nom.  Collision  avec  le»  naturels,  354, 
357  et  suiv.  —  Infanticide,  Canniba- 
lisme, 362. 

Morutzi»  (  tribu  de  Betcliouanas , 
sud  de  l'Afrique)  ,  t.  XXVI,  p.  471, 

Moscou  (capitale du  gouvernement). 
Magnifique  aspect,  t.  XLIV,  p.  355. — 
Sa  description,  XLVI,  142.  — As- 
pect. Détails  historiques  ,  143.  — -  Le 
Kremlin  ,144. 

Moscou  (  gouvernement  de  la  Rus- 
sie). Voyage  dan»  l'intérieur,  tom. 
XLIV,  355  à  363.  —  Podolsk ,  356. 

—  Lapasna.  Marché  du  dimanche, 
359.  — Serputcliof.  Images  des  saints, 
762.  —  Boghorodosk,  461.  —  Vias- 
uiki.  Célèbre  jardin  botanique  de 
Gorrenky,  470. 

Mosgoui  ou  Musgoi»  (ville  du  Man- 
dara,  Soudan  ).  Costume  de  i^Kh, 
t.  XXVII,  p.  148. 

M0SK.1TE.  Laissé  par  Sharp  dans  l'Ile 
de  Juan-FernaDdez  ,  t.  1 ,  350.  — 
Repris  trois  ans  après  par  Dampirr, 
raconte  comment  il  s'e^t  entretenu 
pendant  ce  temps ,  366.  Voy.  Selkirk. 

Mouab  (  résidence  du  roi  d'Yémen , 
Arabie),  t.  XXXI ,  p.  240. 

Moulineau  {^We  du  Géant,  Austra- 
lie), découverte  par  Bougainville , 
t  IV,  p.  322. 

Moultan  {^Mn  des  Etats  des  cheiks, 
Hindoustan).  Voyage  dans  le  pays, 
t.  XXXVII,p.  384etsuiv.-BibliDthè. 
que  du  khan,  392. — Shoujuabad,399. 

—  Introduction  des  dattiers ,  409.  — 
Désert  entre  le  Chenab  et  l'Indus, 
410. — Souvenirs  d'Alexandre,  412. 
Voy.  Oueh. 

Moultan  (capitale).  Soumise  .111 
cheiks.  Aspect.  Population.  Hautes 
maisons.  Etoffes  de  soie.  Commerce, 
XXXVII,  400.  —  Tombeaux  renom- 
més,  402,  405.  —  Forteresse,  401 

—  Antiquité  de  la  ville  ,  403.  —  Cé- 
lèbre? temple  Ilindou,  404.  — Into- 
lérance religieuse  des  cheiks  ,  407. — 
Climat,  408.  —  Environs,  409- 

Alourija  (ville  du  Bambara).  Com- 
merce de  sel ,  t.  XXV,  p.  217. 

Mourmour  ou  Murmur  (ville  du  Kata- 
goum ,  Soudan) ,  t.  XXVII.  p.  360. 


DKS  MATIÈRES. 


4t7 


JUounouk  (  capitnie  du  Fe/zan  ). 
Preuve  dr  bonne  éducation ,  t.  XXV, 
p.  427.  —  Situation ,  4*î'8.  —  Palais 
du  sultan ,  432.  —  FortiGcations  , 
XXVII ,  10.  —  Exrnrsinn  dons  Icii 
environs ,  28.  —  Costume  des  femmes, 
449. 

Mouttet  (ville  de  l'Ai  -  Djexyreh  , 
Turquie  d'Asie  ).  Aspect.  Rues , 
t.  XXXII ,  p.  480.  —  Cafés.  Dains. 
Population.  Figure  des  habitans.  Ha- 
billement. Ornemens,  482. 

Moussant  (phénomène  des).  Connu 
des  Romains  sous  le  règne  de  Claude, 
tl,p.7. 

Mouzabad  (ville  du  Rajpcutana, 
Hindoustan  ).  Temple  des  Jains  , 
t.  XXXV 1 ,  p.  323. 

Mowah  (ville  du  Rajpoutana  ,  Hin- 
doustan).  Fortifications.  Bazur.  Tein- 
tures,  t.  XXXVI,  p.  304. 

Mow/e  (île  du  groupe  Sandwich).  Dé- 
couverte par  Cook.  Son  aspect ,  t.  XI, 
p.  i28,  244;  XII,  121.  —Pirogues  , 
123.  —  Explication  du  mot  tabou, 
126.  —  Hi«bitan8  sout-ils  anthropo- 
phage»? 136.  —  Sol,  villages  ,  137. 

—  Meubles  ,  étoffes  ,  138.  —  Son  as- 
pect ,  XIII ,  168.  —  Habitans  ,  ta- 
touages, ornemens,  vêtement,  169. 

—  Gouvernement,  climat,  171. 
Moxa  (rivière   de  Norwége).    Ses 

chutes  ,  t.  XLV,  p.  67. 

JUojrobamba  (ville  du  Pérou).  Teint 
des  hiibitans.  Manufacture  de  coton  , 
t.  XLII ,  p.  26.  —  Danses  et  luttes  , 
27. 

Mozambique  (île  de ,  Afrique  sud- 
est).  Découverte  par  Gama.  Com- 
merce. Ancienne  connaissance  de  la 
boussole,  t.  I ,  p. 35 ;  XXII ,  12. 

MozJoh  (ville  du  Caucase ,  Russie 
d'Europe),  t.  XLIV,  p.  450. 

Mseitsk  'ville  de  la  Russie  d'Eu- 
rope), t.  XLIV,  p.  366. 

Mudge  (pointe ,  Nouvelle-Géorgie  , 
Amérique  septentrionale). Nommée  par 
Vancouver,  t.  XIV,  p.  289.  —  Nafu- 
rels ,  villa  (je  fortifié ,  pirogues  ,  293. 

Muggaby  (lac  du  Bonruou  ,  Sou- 
dan). Hippopotame,  t.  XXVK ,  p.  ,192, 
208.  —  Autres  animaux,  207. 

Mutgrave  (groupe  ,  archipel  Ra- 
dack  ,  Polynésie).  Ornemens  des  na- 
turels ,  productions  des  Iles  ,  t.  XVI  , 
p.  444  ,  455  ,  461 .  —  Disposition  et 

XLVI. 


étendue  des  lies ,  454.  —  Funérailles , 
457.  —  Mariages ,  459.  —  Gouver- 
nement. État  des  personnes  ,  460.  — 
Religion.  Huttes,  462.  —  Canots, 
464.  —  Figure  des  naturels,  467.  — 
Les  lies  sont  formées  de  deux  ar- 
chipels, XVIII,  167.  VojT.  archipel 
Gi'btvf^  Manhall, 

Mulgrav0  (port ,  Amérique  russe). 
Naturels  incrustent  des  ornemens 
dans  la  lèvre  inférieure ,  t.  XII ,  p.  198. 

—  Nommé  par  Dixon.  Naturels. 
Idiome,  XIII ,  285.  —  Disposition 
des  morts,  287,301. 

MuUenbach  (  ville  de  la  Transyl- 
vanie ,  empire  d'Autriche) ,  t.  XLIV, 
p.  111,  112 

Mukgo-Park.  Sa  vie,  t.  XXV,  p.  1. 

—  Sofi  1""  Voyagt  dans  l'Afrique  vers 
Tombouctou,  21.  —  Sa  route  sur  les 
bords  de  la  Gambie,  23.  —  Entre 
dans  le  désert ,  62.  —  Ses  vi.sites  au 
roi  de  Bontlou,  72.  —  Est  dévalisé. 
87,101,  151,  199,  272,  356.  —Ses 
visites  :>ii.roi  dn  Kasson  ,  106.  —  De 
Kaarta  ,  116.  —  Recueille  des  rensei- 
gnemens  sur  le  major  Hougliton  ,  126. 

—  Continue  son  voyage  presque  sc'l, 
136.  —  Est  conduit  prison  jier  à  Bt- 
noum  ,  140.  —  Mauvais  traitemcns 
qu'il  reçoit,  142  et  huiv.  154.  — 
Comment  il  recouvre  sa  boussole  , 
151.  —  Reçoit  un  singulier  présent 
de  noces,  161.  —  S'échappe,  197. 

—  Ses  souffrances  dans  le  désert , 
201.  —  Découvre  et  longe  le  Niger, 
223.  —  Ses  aventures  sur  ses  bords , 
223  à  242  et  247  à  262.  —  Ses  ren- 
contres  d'animaux  féroces,  236,  249, 
257 ,  364.  —  Est  forcé  de  revenir 
vers  l'ouest ,  242.  —  Fait  des  saphis 
(amulettes)  pour  vivre  ,  264 .  —  Sé- 
journe à  Kamalia  ,  283,  308.  —  Voit 
un  Albinos  ,  321.  —  Son  deuxiimt 
Forage,  329.  —  Revoit  le  Niger, 
36iB.  —  Fin  de  son  journal.  Commen- 
cement de  celui  de  son  ancien  guide 
envoyé  cinq  ans  après  à  sa  recherche , 
375.  —  Récit  de  son  guide  ,  384.  —  Sa 
mort,  389.  —  Renseigncmens  sur  saÉ 
mort,  XXVIII,  178,  200,  228.  — 
Recherche  de  ses  papiers ,  XXX,  170. 

—  Renseigncmens  sur   son  compte 
192,194,199,325. 

Mungomem  (habitans  du  Munga  , 
Soudan).  Expédition  contre  eux  par 

27 


41» 


TABLE  GÉNÉHALE 


los  Burnowien*  ,  se  «oumettcat  , 
t.  XXVII,  i>.  196,  201.  —  Leurs 
armes,  205. 

Munich  (capitale  de  la  Bavière).  En* 
TÏroDS,  t.  XLV,  p.  345.  —  Bel  aspect, 
545.  •— Proitpôrité,  Population.  Riches 
costumes ,  346.  —  Théâtre ,  347.  — 
Palais  du  roi.  Objets  pr<icieux ,  348.  — 
Galerie  des  tableaux,  349.  —  Aca- 
démie des  beaux -arts.  Le  glypto- 
tbèque.  Scblei«heim ,  350.  ^—  Détails 
sur  les  prisoos,  351.  —  HApituux  , 
352.  —  Églises,  353.  —  Académie 
des  sciences.  Dibliotiièques  et  autres 
institutions,  354,  355.  —  Éducation. 
École  de  dimanche.  Gaieté  de  carac- 
tère, 355.  —  Amusemens,  356-  — 
Lieu  remarquable  des  uluatours,  550, 
367. 

Munionisica  (ville  de  lu  Laponio 
russe),  t.  XLV,  p.  321. 

Muonio  (rivière  «le  Laponie  ), 
t.  XLV,  p.o23. 

Miiroie  (province  d'Fspagne).  Car- 
thagène,  t.  XLVI ,  p.  170.  . 

Muroiig  (ville  du  Wladimir,  Russie 
d'Europe),  t.  XLIV,  p.  463. 

MoHFHT.  Son  voyage  en  Portugal, 
t.  XLVI,  p.  185. 

Mwray  (rivière  de  la  Nouvelle-Hol- 
lande). Découverte  par  Sturt.Conflucnt 
de  la  Morumbidje,  t.XI.III,  p.312, 
352.  —  Démonstrations  hostiles  des 
naturels.  Armes,  chants  de  guerre  , 
tatouages ,  313  à  320 ,  335, 346 ,  351 . 
-  Rives,  314,321,  324,  333,  — 
Arbres,  317.  —  Embouchure  pré- 


sumée du  Darling,  321.  324,  363  et 
suiv,  —  Nom  douué  a  la  rivière  par 
Sturt,  322.  • —  Kutrevues  avec  les  na- 
turels, 325,  528,  320,  333,  342.  >• 
Habileté  des  naturels  pour  la  pèche 
323.  -  Pays  peinilé,  325,  326.— 
Saleté.  Maluv^ics,  320,  828.  —  (  on- 
iluent  du  Rufus,  327,  350,  —  Lai- 
deur des  femmes,  527,  329.  —  Co- 
quillages marins  ,  330.  —  Rociiers, 

331,  343.— Torti:.     331 .—  Oiseaux, 

332,  337,  346.  351.  —  Montagnes , 
332.  —  Vallée ,  332.  —  Nattes  des 
naturels,  333.  —  Lac  ou  se  termine 
la  rivière,  534.  —  Communication  du 
lac  avec  la  mer,  535,   336,  340.  — 

—  Montagne  de  sable,  339.  —  Vallée 
de  la  rivière,  ?41.  —  Roseaux,  342. 

—  Amas  d'os,  344.  —  Ile,  346.  — 
Tribus  n'habitent  point  les  rives,  349. 
— -  Naturels  massacrent  le  capitaine 
Darkcr,  374  à  378. 

A/uroiet/o  (ville  d'Espagne),  t.  XLVI, 
p.  177. 

Mutfeia  (ville  du  Feintnhs ,  Sondàii). 
Combat  contre  les  Arabes  et  les  Man- 
darieu»,  t,  XXVII ,  p.  160. 

Mutra  (  ville  de  l'Oman ,  Arabie  ). 
B^ie.  Eaux  thermales,  t.  XXXV,  p.  9. 

Mutira  (ville  de  l'Agra  ,  Hindous- 
t.in).  Révérée  des  Hindous.  Respect 
pour  les  animaux.  Beaux  édifices  , 
t.  XXXVI     p.  291. 

Mrtilènê  (Ile  de  l'Archipel).  Beauté 
du  climat,  t.  XLIV,  p.  282.  —  Le  Si- 
rocco, 282,  —  Havre  et  village  de 
Sigri,  283. 


N 


Namaquai  (grands  et  petits  ,  tribus 
Hottentotes).  Sol  du  payr  Villages  , 
t.  XXIX,  p.  213.  —  Huttes  mobiles. 
Climat.  Brigandages  è^Africantz ,  214. 
—  Lily-Fountaiu  :  établissement  des 
missionnaires  ,  223.  —  Religion.  In- 
dustrie. Fêtes  de  la  puberté  ,  340.  — 
Ornemens    des   chasseurs    heureux , 

.342.  Voy.  Rivikre. 

»  Namaquai  (petits).  Vétemens  ,  orne- 
mens, t.  XXIV,  p.  295,  296,  303.— 
Musique  ,  297.  —  Insectes  incom- 
modes, 298.  —  Poiufs.  Bœufs  de 
guerre,  299.  — «  Moutons ,  500.  — 
Stature,  301. 


JVamaquat  (pays  des  petits).  Étendue, 
t.  XXIV,  p.  501.  —  Rareté  des  pluies, 
504.  —  Partie  aride,  506.  —  Ar- 
bustes, 312,  455.  —  Poison  pour  les 
animaux  féroces  ,  455.  —  Campagne 
verte,  457.  —  Voyage  dans  le  pays , 
XXIX,  206.  —  Pilla  :  établissement 
des  missionnaires ,  209.  • —  Bornes  du 
pays,  211. 

Naaaquas  (grands).  Fables  racon- 
tées à  leur  sujet ,  t.  XXIV,  p.  336.  — 
Taille.  Couleur,  340.  —  Mœurs,  311 , 
343,  344.  — Vétemens,  ornemens, 
541 .  —  Absence  de  religion ,  342.  — 
U  sage  absurde ,  545.  — -  Armes ,  343 


iDES  MATIÈRES. 


41» 


—  Mailqne.  l«iu ,  319.  — >  Mariaget, 
548. 

NamMuM  (payi  dei  srandi),  Répn* 
blique  a'oiteaus,  t.  XXIV,  p.  322.  — " 
Girafe  tuée  par  l.eTaillant ,  324.  -^ 
Animaux  yenimeux  ,  348.  —  Bornes, 
XXIX,  211 ,  339.  —  Dép  ..ulation  , 
214< 

Namouloult  (groupe,  archipel  des 
Carolines).  Découvert  parMurrell  et 
nooimé  Skiddjr,  t.  XX  ,  p.  230,  . 

Afanea,  Description  de  ce  fruit , 
t.  VII ,  p.  72. 

Piangaiaki  (tle  Kinsu ,  Japon),  Soa 
havre,  t.  XXXI,  p.  111,  130.  —  Si- 
tuation, 129.  —  Commerce.  Aspect. 
Rues.  Rivières  ,130.  —  Temples. 
Maisons  de  débnuche,  132,  133.  ^^ 
Gouvernemens ,  132,  13vi.  —  Ponts. 
Rues.  Maisons.  Magistrat  de  ptilice , 
136.  — Grandes  routes.  Milles  géomé- 
triques, 142. 

^ang- 7<7t(iii^-/'0u  (ville  de  la  Chine). 
Casques  dorés.  Peintures  sur  verres. 
Brouettes  de]  visites.  Femmes.  Mcn- 
dians.  Lieu  d'examen  militaire  , 
t.  XXXIII ,  p.  410,  412. 

Nanking  (ville  de  la  Chine).  Rues, 
tom.  XXXIII,  pa(;.  396,  399.  — 
Boutiques.  Manufactures.  Muraille. 
Portes ,  396.  —  Idoles.  Bains  de  va- 
peur.  Canal ,  398.  —  Toor  de  porce- 
laine ,  400.  —  Son  coton ,  479. 

flfatunat  Y  iles  ,  mer  de  Chine  ) , 
t.  XXXIV,  p.  86 

Nopht*  (  huile  de).  Son  extraction 
an  Birma,  t.  XXXIV,  p.  472. 

Naples  (royaume  de).  Voyage  d.ins 
l'intérieur,  t.  XLIV,  p.  348;  XLVI, 

196.  —  Sybaris  ,  Tarente,  Gallipoli, 
Lecce  ,   Briudcs  ,  Cannes  ,   Bftvino , 

197.  —  Coup  d'œil  sur  le  pays ,  264. 
Voy.  Sicile. 

Naples  (capitale  du  royaume).  Cu- 
rieux aspect  de  la  rue  du  Toledo  , 
t.  XLIV,  p.  350.  —  Le  macaroni , 
351.—  Le  musée  j  352.  —  P<  pnla- 
tion,  dation,  monumens,  XLVI, 
264. 

Napoli  it  Romame  ou  Nauplie  (  >'a- 
pitale  de  la  Grèce).  Montagne.  As- 
pect de  la  ville,  t.  XLIV,  p.  291.  — 
Etat  florissant,  292.  —  Grecs  mo- 
dernes, 293.  —  N'a  rien  d'attrayant. 
Ses  forts.  Ses  rues,  XLVI  ,213- 

lYarborough  {lie,  groupe  Gallapa- 


go().  Nommé*  par  Cowley,!.  I ,  p.  BAS. 
— iSoQ  beau  port,  |X VI,  64.  —  8«>1 
de  rtle.  Aventuret  d'un  marin  dé- 
laissé.  66.  >~  Éruplioa  d'un  folcau , 
XX  .  85  et  suiv. 

JVarcoitJam  (Ile,  groupe  Andaman  , 
golfe  du  Bengale) ,  t.  XXXIV,  p.  4. 

Nauau  (iles  de  la  Sonde).  Nombre, 
usages ,  mœurs  ,  etc. ,  des  habitans , 
t.  XLIII ,  p  xlix. 

N»teh**i{  ville  du  Mississipi,  États» 
Unis),t.  XXXIX    p.364,  390. 

JVaupli».  Vi>y.  nopoli, 

Naura  (ville  du  Kaarta ,  Sénégam» 
bie).  Situation,  t.  XXV,  p.  211.  — 
Blé,  212. 

Navarin  (vUle  delà  Grèce),  t.  XLVI. 
p.  207. 

JVarigaUurê  (archipel  des,  Poly- 
nésie). Traversé  et  nouimo  par  Bougain- 
ville  ,  t.  IV,  p.  265.  —  Naturels.  Piro- 
gués  ,  XIII ,  70,  80.  —  Vases ,  cordes , 
nattes  ,  82.  —  Haute  stature  des  na- 
turels, 89,  116.  —  Leur  férocité, 
92,  100,  116,  117.  —  Tatouage  , 
vêtement,  117.  —  Femmes,  leurs 
faveurs,  118.  —  Arts,  nourriture 
étoffes,  119.  —  Langue  ,  121.  —  Uri. 
gino  des  naturels ,  122.  —  Gouver- 
nement féodal,  123.  —  Pirogues, 
125.  —  Sol  des  iles  ,  beaux  villages, 
animaux,  productions,  126.  —  Le» 
Iles  sont  les  plus  belles  du  monde, 
XVII,  329,  330.  Voy.  Ilei  Cocos.. 
Maouna,  Oyolaira,  Péchtur,  Plate,  Pola, 

Aaifur  (  vallée  du  Népaul ,  Hind.). 
Laideur  des  femmes  ,  tom.  XXXV , 
p.  454.  —  Lieux  divers,  454.  —  Huile 
de  uoyaux  de  péclie ,  454.  —  Beaux 
chiens,  455.  —  Costume  d'un  .sol- 
dat, 456.—  Corruption.  Civilisation , 
464. 

Nasia  (ile  de  l'Archipel) ,  t.  XLVI, 
p.  95. 

Nébuleus»  (ile ,  Amérique  septeu- 
trionale  ouest).  Nommée  par  Couk  , 
t.  XI,  p.  33. 

Necktr  (  iles  ,  Amérique  septen- 
trionale ouest).  Reconnues  et  nom- 
mées par  La  Pérouse,  t.  XII ,  p.  224. 
A'«cA-er(ile,près  des  Iles  Sandwich). 
Découverte  par  La  Pcrouse  ,  son  as- 
pect ,  son  gisement ,  t.  XII ,  p.  258. 

Nedjed  (partie  de  l'Arabie  Déserte). 
Tribu  des  Wahabites  ne  vénèrent 
point  Mahomet,  t.  XXXII,  p.  291.  — 


420 


TABLE  GÉNÉRALE 


SigoiScatioB  dn  aooi.  VUIm.  C«Ditale. 
Pâturifet.  Beagt  chevmix  ,  583. 

fifti/jin  (ville  du  goufernfnent  de 
Tchernigor,  Huisie  d'£ar.),  t.  XLIV, 
p.  372. 

JVigroi  (  llet  du  groupe  de  l'Aini- 
rauté).  Bel  aiiiect ,  t.  XV,  p.  67.  — 
Naturel».  Leur»  arme* ,  58. 

iV^pal  ou  IV^paul  (ittat  de  l'Hin- 
douftan)  Obiervations  générale*  sur 
le  pay*  et  l'armée  OUoiirka  ,  t.  XXXV, 
p.  421  et  HUIT.  —  Caateii,  422.  —  Po- 
pulation des  principale»  villrs  ,  423. 

—  Armée  Ghonrka.  Arme*  diTerset, 
424.  —  Singulier  traitement  des  en- 
fan*  dans  un  villnge ,  440  —  Tem- 
ples, 444.  — Caractère  des  Gluiurkas, 
448.  —  Comment  ils  remplacent  les 
poteaux  indicatifs ,  467.  Voy.  Nanur. 

Nita-Kouta  (  ville  du  Koiiranko  , 
Sénégambie) .  t.  XXVIII,  p.  60. 

Nm/'llês  (groupe  de» ,  Auiitralie). 
Est  le  même  quecelui  des  Iles  du  Mii»- 
*acre ,  t.  XX ,  p.  200. 

Ntvill*  (  port  de  i'ile  de  Quadra  et 
Vancouver,  Amérique  leptentrionalc). 
Nommé  par  Vancouver,  t.  XIV, 
p.  296.  --  ViUaf;e  agréable ,  maisons, 
rues,  297.  —  Naturel»,  occupation 
des  femmes,  296.  — Cbansons,  299. 

—  Naturels  avaient  des  arme*  à  feu , 
500. 

N*we€utl»  (  ville  de  lu  Nouvelle- 
Galle*  du  sudV  Édifice*,  t.  XLIII  , 
p.  37.  —  Indigènes,  87. 

N*»  •  Kapen  (  ville  du  Connecticut 
États-Unis  ).  Une  de»  capitales  de 
rÉtat.  Inconvéniens.  Collège.  Cime- 
tière, t.  XXXIX,  p.  176. 

New-Itland  (ile ,  groupe  Malouines). 
Barnard  y  est  abandonné  par  des 
naufragé»  anglais  qu'il  avait  recueillis 
dans  son  vaisseau ,  t.  XVIII,  p.  126  ; 
XXI,  250. 

JVeiflsland  (folynésieV  Découverte 
par  Walli»,  t.  III,  p.  397. 

NtufYoïk  (Un  des  États-Unis). 
Variabilité  du  climat,  tom.  XXXIX, 
p.  24.  —  Remarquable  prison  péni- 
teutiaire  de  S.'ng-Sing.  Vie  des  prison- 
nier* ,  25  à  32.  —  West-Point,  école 
militaire ,  33 ,  34.  —  Village* ,  35,  46, 
52,  59.  —  Milice  nationale,  57.  — 
Ré*idence  du  gouvernement,  39.  — 
Scheneotady,  43  à  50  —Troie.  Mont 
Ida,  47.  —  Chute*  deTrenton,  51. 


—  Indien»,  53.  —Campagne,  63, 
54.  — Terre»  défrirliée»  ,  51.  —  Ijiri. 
65,  60.  —  Genève,  56.  — Rareté  det 
Bonuettes,  58.  —  Sackett,  101.  — 
Légitlature,  120.  —  Séance  des  cliani- 
bre»,  1^1  et  suiv.  —  Huge  électorale, 
128 et  suiv.  — Trace»  du  déluge,  206. 

—  Voyage  dans  l'intérieur,  XLI,  167 
et  »uiv.  —  Renom  de»  eaux  de  Sara  - 
toga,  170.  Voy.  jill>a^,  Bu/falo, 
Mr>*,  Hudton,  LoHg'/steinJ,  Uliea, 

nti».York  (capitale  de  l'Etat).  Rien- 
veillance  des  iiabitans  ,  t.   XXXIX, 

tt.  6.  — Table»  d'IiAte»  et  restaiirnu», 
).  —Chantier  pour  les  construrtiona 
navale»,  11.  —  Fréquence  des  incen- 
die», 13.  —  EtnblisHemen*  d'utilité 
]iubrique,  15.  —  Ecole»,  16-  — Cour 
»upréme,  17-  —  City-Hall.  A«pp«'t  dp 
la  ville,  18.  —  Déplacement  de  inai- 
*on»,  20  et  »uiv.  —  A»pect  du  iiavre 
le  l*""  de  chaque  moi»,  178.  —  Baiiin 
de  Long-Brntich,  436.  —  EIcmeu»  de 
»uccè».  Beauté  des  environ»,  Miiis^m.s, 
XLI,  271.  —  Elégante  tournure  et. 
costume  des  dame»,  272.  —  OL.hci- 
vntion»  sur  la  ville ,  le  caractère  des 
babitao»,  le  climat,  294. 

Niagara  (partie  du  fleuve  SJint- 
Laurent ,  Amérique  septentrionidc  ). 
Son  cours,  sa  cataracte,  t.  XXXV  Ut, 
p.  37,  41;  XXXIX,  67  et  suiv.  —  Ile 
des  Clièvre»,  69.  —  £tabU»»emeo!> , 
70.  —  Ponts  ,71.  —  Caverne,  73.— 
Voyages  le  long  de  se»  bord»,  81.  — 
Baie  de  Burlington,  85.  —  Indieu!), 
87.  —  Hauteur  et  volume  d'eau  de  lu 
cataracte ,  XLI,  368. 

Niat  (lie  de  la  Sonde  ).  Étendue, 
productions.  Habitans,  tom.  XLIII, 
p.  xlviij. 

Nii-aragu.i  (Isthme  de,  province  do 
Guiitemala,  Amérique  méridiouale). 
Compagnie  pour  la  section  deTisthaïc, 
t.  XXXVIII ,  p.  406. 

Nico'-ar  (île,  mer  du  Bengale).  Ap- 
partient aux  Danois.  Denrées,  tom. 
XVIII,  p.  438. 

Nicolaïf  (ville  du  gourememcnt  de 
Kberson, Turquie  d'Europe),  t.  XLIV, 
p.  395,  396. 

Nidt  d'oiseaux  eomestiblts,  t.  XX , 

p.262;XLIII,  X,  Iv. 

NiBBUHR.  Notice  biographie.  Son 
voyage  en  Arabie,  t.  XXXI,  p.  323. 

NitwtU  (mont»  de  la  colonie  du 


DES  MATIÈUES. 


421 


ca|i  (la  BoBue-E*|t^faooc,  t.  XXIX, 
(*.  96. 

Nijf*  ou  Noujfi*  (royaume  «lu  Simi- 
dan).  Voyago  dan»  le  |*avii,t.  XXVIII, 

1t.  189  et  »uiv.  —  Kl-Wuta.  Hautes 
burmiliérr»,  189.  —  Tnbra.  VUile  à 
la  reiue,  19U.  191.  —  ramj>,  1U4.  — 
Voyao»  dan»  le  payn .  XXX,  1A1.  Relit  * 
ilet,  282  etsuiv.  Ossiioire  d'Li|i|ioi)ii- 
tame»,  283.  •— V»y.  Kooifa,  Pittaihu, 
Rabba, 

JVigaudt  (  Ile  des',  caoal  de  No^l , 
Terre  de  Feu  ).  Nommée  par  Couk , 
t.  IX,  p.  61. 

Nigtr  •«  Qttorra  (fleuve  d'Afrique). 
Découvert  par  MuDgu-Purk ,  t.  XXV, 
p.  1,  223. — Voyage  nurses  bord%  223 
a  242,  et  247  à  202.  —  Crocodiles  , 
237.  —  Reiiseignemeus  sur  non  rours, 
243.  —  Ses  suHnes,  XXVIII,  103  et 
SUIT,  -—  Nommé  Qiiorra  par  les  natu- 
rels, 115.  —  Naturels  des  bords  en 
refusent   l'upprocht*,  lil.  —  Ile  et 
ville  de  Boussa ,  180.  —  Amours  du 
Niger  et  de  la  Moussa ,  277.  —  Sfs 
débordemens ,  XXIX ,  387.  —  Voyage 
des  frères  Lauder  dauslcbiit  d'explu- 
rer  son  cours  et  son    embouibnre, 
XXX ,  1 .  —  Son  état  à  Boussa ,   16(f. 
•—  Voyage  sur  ses  bords,  177. —  Leur 
beauté,  180, 182,  307,  372.  —  Natu- 
rels  des  Iles  ,   184.  —  Observations 
sur  son  cours, 190. —  Palmiers,  214, 
351,  384.  —  Productions,  villes  de 
oes  rives,  218, 304,  312,  394, 461.  — 
Tours  souterrains,  225. —  Descente 
du  fleuve,  256  —  Ile  Mclalie ,  281 . 
—  Autres  Iles,  282,  285,  293,  !î07, 
310  et  suiv.,  319,  343, 348, 351, 356, 
426.  —  Ile  Bélée.  Costume  du  roi  de 
l'Eau  Noire  et  de  sa  conr,  314  et  suiv. 
— Ëtatdufleuve'au-dcssous  de  Rabba, 
342.  —  Hippopotames,  345,  382.  — 
GuDgo  et  ses  liabitiins,  351,  554.  — 
Pélicans,  371.  —  Alligators,  381.  — 
Manière  de  faire  le  commerce  près  de 
Kirri ,  427.  — •  Superstition  au  sujet 
du  fleuve,  431.  Voy.  Camhriem^  peu- 
ples ,  lies  Patathie,  Zagoihie, 

JVigiitie.\»y.  SoaJaH. 

NiJ'tni-Novogorodl^gouvetaemeat  de 
la  Russie  d'Europe).  Voyage  dans  le 
pays,  tom,  XLIV,  pag.  464  à  469.  — 
Célèbres  bazars  de  Macaricf ,  466  à 

NijJni'Novogorod  (chef-lieu  du  gou- 


vernement)  .Sa  deocriplion  ,  t.  XLIV, 
P  464  à  466. 

Nilei  (  provinre  du  Bourgou  ).  Dar- 
nes. Capitale.  Sold.iti,  t.  XXX,  p.  248. 
—  Nombre  de»  cités.  Singulier  tribut, 
250  —Chevaux,  251. 

Mkita  (ville  du  gouvernement  de  la 
Tniridn,  Russie  d'Europe),  t.  XLIV, 
p.  421. 

Niknpoli  (  ville  de  Bulgarie ,  Tur- 
quie d'Europe,  t.  XLIV,  p.  225. 

Dl'l  (fleuve  d'Egypte).  Arbre  de  set 
bords, t  XXII,  p.  222,425  — Limon, 
227. —Sou  utilité,  228  —Accrois- 
sement de  son  delta  ,  230.  >—  Carriè> 
rcs  de  ses  bords ,  347  —  Ses  inon- 
dations, 355  —  Entrée  de  la  branche 
d'Alexandrie,  Beauté  de  ses  ri<  >s, 
425.  —  Leur  célèbre  carrière  de  (gra- 
nit, 448.  —  Ses  cataractes,  448— 
Son  ancien  lit  reconnu  par  Andréossi. 
Ses  lacs  de  Natronn.  Ses  couvens , 
452  et  suiv.  —  Canal  de  jonction  .' 
la  mer  Ronge,  456.  —  Voyagt  it 
Bruof.  Sf'S  descriptions  des  rives  , 
XXI II,  67  et  suiv.  —  Ile  Halouan. 
Souvenir  de  l'olivier  deStrabon,  74. — 
Cannes  à  sucre,  78.  —  Crocodiles, 
88  —  Nilomètre ,  92,  95.  —  Catarac- 
tes, 94,  389,  408.  —  Tentative  de 
Bruce  pour  découvrir  ses  sources , 
391  et  suiv,  —  Traverse  le  lao  Tzana 
sans  mêler  ses  eaux,  397.'—  Est 
vénéré  dans  l'Abyssinie ,  408,  424, 
428.—  Bruce  arrive  aux  sources,  423. 

—  Description  de  ses  sources,  427  a 
435,  437. —  Tableau  de  son  cours 
jusqu'à  la  mer,  437  et  suiv.  —  Prêtre 
des  sources.  Sacrifices,  449,  451.  — 
Son  influence  en  Nubie,  487.  Voy. 
Elephaniine,  Génz. 

Nio  (lie  de  l'archipel),  t.  XLVI , 
p.  94. 

Niphon  ( Ile ,  Japon  ),  Son  '''«indue. 
Sa  capitale,  t.  XII,  p.  333.  —  %>  n- 
tagnes.  Rivières,  112.  -  MiaL< >.  De- 
meure de  l'empereur  ecclésiastique , 
XXXI,  129, 153.— Fil'es  de  joie,  150. 

—  Usaka,  Maisons.  Rues*  tivoc  portes. 

—  Gouvernement,  152.  —  Temple. 
Rivière.  Château.  Rups.  .'Manufactures. 
Population,  154.  Voy.  Jedo 

Nitcliapore  (  ville  du  Khoras.san  , 
Perse).  Célèbres  mines  de  turquoises, 
t.  XXXV,  p.  99, 191,  1»3,  195.  —  Sa 
plaine,  99,  181,  lOO-  —  Beaux  eavi- 


i22 


TABLE  GËMÉRÂLE 


rons,  186, 190,  202  — ^  Triste  aspect 
de  la  ville,  186.  •>  Enchanteurs  in- 
diens. Traditions,  187.  «^  Ruines, 
]88' —  Histoire  de  ses  révolutions, 
189.  —  Population.  Village  des  euvi« 
ronr.  Température ,  190. 

Kizelet-el-jirab (^  illage  delà  Haute- 
Egypte).  Ses  cannes  à  sucre,  t.  XXIH , 
p.  78. 

Afoil  (canal  de ,  Terre  de  Feu).  Des- 
cription du  pays  et  de  ses  habitans , 
t.  IX ,  p.  53.  —  Canards  sauvages ,  59. 

—  Laideur  et  saleté  des  babitans,  65, 
j9.  ^  Leurs  armes ,  66.  —  Leurs  pi- 
rogues ,  67.  —  Oiseaux,  72.  Voy.  lies 
des  Nigaud»,  des  Oiet. 

Noèl  (Me  de  l'archipel  Daugereux). 
Découverte  par  Cook,  t.  X,  p.  258, 264. 
Nourrit  des  tortues,  258.  —  Cook  y 
fait  semer  différentes  graines,  261.— 
Sol.  Son  exhaussement,  262.  —  Est 
inhabitée.  A  très  peu  d'arbres ,  263. 

—  Son  étendue,  264. 

Aoil  (Ile  de  la  terre  de  Sandwich). 
Découverte  par  Fanning,t.  XXI,  p.455. 

Aoi-T  de  eocos  (tles  des,  Australie). 
Découvertes  par  Carteret.  Productions 
diverses.  Cannes  appelées  yoncx  par  les 
Français,  t.  III,  p   142  à  148. 

NooRT  (Olivier  de).  Son  voyage 
autour  du  monde,  t  I,  p.  240.'— 
DécouTte  les  tles  des  Pinguins  et  des 
Patagôn8,242. 

JVootka  ou  du  Roi-George  (  entrée, 
Ile  de  Qnadra  et  Vancouver.  )  Sa  des- 
cription, ses  productions,  etc.,  mœurs, 
usages,  formes,  industrie,  etc.,  des 
naturels,  t.  X,  p.  546  à  424;  XIII, 
356  à  375.  Pour  les  détails ,  voyez  lie 
de  Quadra  et  faneovwtr. 

7V0n/(cap,  Ile  Mageroë,  nord  de  la 
Norwége).  Approches  du  cap,  t.  XLV 
p.  210.  •-'  Description  du  cap,  220 
et  sniv. >>  Violence  des  vagues,  222. 

—  Salubrité  du  climat.  Aurores  bo- 
réales ,  223.  Voy.  Mageroi, 

Nord  (cap ,  Amérique  russe).  Nom- 
mé par  Cook,  t.  XI,  p.  76. 

Nord  (port  du,  terre  de  Van-Dié- 
men  ).  Nommé  par  d'Entrecasteaux. 
Sa  description  et  celle  des  alentours , 
t.  XV,  p.  18,  21,  28.  —  Conjectures 
sur  les  naturels.  Huttes  ustensiles, 
20.  ••'  Animaux.  Arbres  creusés,  22. 
•—  Plantes ,  25.  —  Climat ,  27. 

Nordtiifitldê  (partie  de  la  Norwége). 


Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XLV,  p.  83> 
à  111.  --  Le  Dovrefield.  85.  —  Vil- 
lages, 84,  85,  101,  102,  108, 109.  — 
Lièvres  de  montagne ,  85.  —  La  Gule, 
86.  —  Chutes  de  Leerfossen.  Lacs 
pittoresques  de  Jonsvandel,  88.  — 
Enormes  fourmilières.  Leur  intérieur, 
89.  —  Vinaigre  de  fourmis,  90.  — 
Bétes  sauvages,  90  à  96.  —  Le  lynx, 
90.—  L'hermine,  91.—  Le  lemming, 
92  à  96,  183  à  185.  —  Difficulté  des 
routes.  Précautions  des  chevaux,  101. 

—  Rivières,  102,  105.  —  Ile  de  Tut- 
terroen.  Edredon,  102.  —  Aspect  du 

Îays,  104.  —  Foires  de  Levanger, 
05.  —  Abondance  de  Courlis.  Ptur- 
migans,  106.  —  Régimens  de  pati- 
neurs, 107.  —  Fin  des  routes,  108, 
110.— Voyage  le  long  de  la  côte,  110. 

—  Iles  d'Otteren ,  1 13.  —  De  Gioen , 
de  Elven  ,  114.  —  Golfe  de  Fol- 
den ,  145.—  Transparence  de  la  mer, 
116.—  Iles  de  Vigten,  117.  —  De 
Otersun,  117.  —  De  Krogoen,  118. 

—  DeLeKoë,  118,  120  —  Hdlge- 
land-Vaer,  120. Voy.  bovrefrield,  IJron- 
ihelm,  nouvelle  capitale  de  la  Suède. 

Nordland  (  grande  province  de  la 
Norwége).  Ile  Roest,  t.  VIII ,  p.  128. 

—  Attraits  pour  le  voyageur,  XLV,  2. 

—  Edredon,  103, 144.  —  Glaces  per- 
pétuelles, 113. —  Ile  de  Torgetel  son 
fameux  mont,  121.  Voy.  ce  nom.  — 
Ile  de  Vegen ,  125.  —  Multitude 
d'oiseaux  sur  les  Iles  rocailleuses,  126. 

—  Demeure  épiscopale  de  l'île  d'Al- 
sten,  128.— Les  sept  fameuses  mon- 
tagnes, 130.  —  Ile  de  Mageroë,  131. 

—  Monts  Trœnen,  Lovunnen,  134. 

—  Le  cercle  polaire,  135,  —  Iles  de 
Selsoën,  136.  —  Svinvœr.  Fin  de  la 
végétation ,  137.  —  Différentes  espè- 
ces d'ours,  138.—  Pois.soDS  noirs, 
139.  —  Iles  Stot ,  Gilles  Kaal ,  Flcin. 
Monts  gigantesques,  140,  141.  — 
Dépaissance  des  troupeaux  en  été. 
Leur  nourriture  en  hiver,  142  —  Port 
de  Hundholm,  144.  —  Pèche,  pré- 
paration, etc.,  de  la  morue,  145 à 
152. — Villages,  Maisons,  155.  — 
Port  de  Bodoë ,  1 54  à  1 58.  —  Fameux 
gouffre  de  Maelstrom ,  159,  160.  — 
Golfe  de  Salten,  155.  —  Poissons 
rouges,  156.— Etendue,  sol,etc.,  delà 
province ,  159.  —  Ile  de  Stegen  et  ses 
cavornes,  164.  —  Golfe  de  Vest,  165. 


DES  MATIÈRES. 


42S 


—  Iles  Loffoden ,  166.  "  Marsouias , 
167.  —  Ile  Sandtow,  167.  —  Descrii»- 
ti'.a  d'un  Lapon  de  lii  >  ute,  168.  — * 
Ile  Senjen,  169, 172.  -  Renards  bleus, 
Lianes,  rouges  et  noirs,  170. —  As- 
pect des  monlfagiles  de  Dyroë.  171. 

—  Port  de  Trouisoë,  174.  —  Bois  et 
antres  corps  d'Amérique  jetés  sur  la 
côte,  177,  188.  —  lie  de  Reenoë, 
182.  —  De  Carlsoë,  183.  —  Grande 
profondeur  de  l'eau  sur  la  côte.  Pro- 
tection que  lui  prêtent  ses  lies  nom- 
breuses ,  190, 191.  —  Absence  d'agri- 
culture, 197. 

JVoniland  (  province  de  la  Suède  ). 
Voyage  dans  l'intérieur,  t.XLV,  p.  328. 

—  riikkala.  Sapins.  La  Calix.  Hvita, 
528.  — Luloea,  329  —  Nombre  de  ri- 
Tières,|529.  —  Pitliea,  329.—  Bothnie 
septentrionale ,  329.  —  Taureau  à  la 
cliarrue,  329. —  Costume  des  paysaÂs. 
Skelleftéa.  Umen  ,  330.  —  Bothnie 
ouest,  330.  —  District  d'Angferman- 
land.  Spinte.  Montagne  Skula,  331. 

—  Sunds  Wall ,  332. —  Le  Niurunda- 
Elf.  333. 

Norfolk  (île  de  la  côte  de  l'Amérique 
méridionale).  Découverte  par  Cowley, 
t.  I  ,  p.  355. 

Norfolk  (île,  Austr;ilie).Découverte 
par  Cook.t.  IX,  p.  24. — Productions, 
25.  —  Sa  descriplion,  XIII,  156. 

Norfolk  (  détroit  ou  entrée  de, 
Nouveau  -  Norfolk  ).  Nommé  par 
Oixon.  Naturels.  Distorsiou  et  orne- 
ment des  lèvres,  t.  XII,  p.  198; 
XIII,  301. 

Norfolk-Nouvtau  (pays  deJlaNouv.- 
Bretagne,  Amérique  septentrionale  ). 
Sa  reconnaissance  par  La  Pérouse. 
Noms  donnés  à  divers  lieux.  Naturels. 
Leurs  formes,  usages,  etc.,  t.  XI Ij 
p.  142  et  suiv.  — Description  du  port 
des  Français,  et  des  mœurs  ,  usages, 
vétemens,  etc.,  de  sesbabitans,  159  à 
207.  Voy.  et  nom.  Physionomie.  Dis- 
torsion des  lèvres,  198  note  —  For- 
mes des  naturels,  XIII,  176. — Phy- 
sionomie.Ornement  Ltbial,  177. — Cou- 
leur de  la  peau, Ongles.  Chevcux.Belles 
dents.  Tatouages,  178.  —  Reconnais- 
sance de  la  côte.  Noms  donnés  à 
plusieurs  lieux  par  Dixon.  Mœurs, 
coutumes,  etc.,  des  indigènes ,  299  et 
suiv.  — Observations  générales.  For- 
mes physiques.  Mœurs.  Usages.  Gou 


vernement  Unions.  Tmitement  des 
femmes   en  couche,    179  à  188. 

Norkoepiiiff  (  ville  de  la  Suède,  Go- 
thie),  t.  XLVI.p.  291. 

iVorfon (entrée  de,  Amérique  russe). 
Babitans.  Habitations,  t  XI,  p.  9d. 
Nommée  par  Cook ,  96.  —  Naturels 
ressemblent  aux  Groënlandais,  124- 

Norw/g»  (partie  du  royaume  de 
Suède  ) .  Attraits  pour  le  voyageur , 
t.  XLV,  p.  2.  —  Voyage   dans    le 

Sonderfields ,  40  <  83 La  fête  de 

la  Saint- Jean,  42.  —  Monnaies,  46. 

—  Difficultés  et  périls  des  bacs,  47. 

—  Quadrupèdes  ,48,  76,  85,  90,  96, 
138,170,  181, 193,  263.  —  Oiseaux, 
49,  76, 82,  102,  106, 126, 193 ,  290. 
.—  Flottage  des  sapins,  49.  —  Mines, 
54.  — •  Forêts ,  55.  —  Fabrication  du 
charbon  leur  est  très  funeste ,  55.  — 
Beauté  et  richesse  des  vallées.  Rapi- 
dité de  la  végétation ,  56.  —  Fortes 
chaleurs ,  57.  —  Lacs ,  58,  59.  — 
Saison  convenable  pour  voyager  dans 
le  pays  ,  59.  —  Population  et  culture 
de  l'Hedcrman  et  du  Guldbrausdal , 
61.  —  Agilité  des  animaux  domesti- 
ques, 65,  64.  —  Torrens,  65  ,  69  et 
suiv.  —  Fermages.  La  chaîne  du  Do- 
vrefield,  72.  —  Voyage  dans  le  Nor- 
dcnfields,  83  à  111. . —  Enormes  four- 
milières. Leur  intérieur,  89.  —  Vi- 
naigre de  fourmis ,  90.  ->  Langue 
comparée  à  celle  de  Suède  et  de  Da- 
nemark ,  98.  —  Clicvaux  du  pays- 
102.—  Edrcdon,  102,  144  —  Régi- 
mens  de  patineurs ,  106  à  108.  —  Fin 
des  routes,  108,  110.  —  As]iect  des 
montagnes,  110.  —  Profondeur  des 
rivières.  Il 2.  —  Glaces  perpétuelles 
133,  137.  — Iles  et  côtes  dn  Sonder- 
fields. du  Nordlaud ,  du  Finmarck. 
Voy.  cet  nomt.  —  Les  sept  fameuses 
montagnes,  130.  —  Le  cercle  polaire, 
135.  —  Fia  de  la  végétation,  137.  — 
Différentes  espèces  d'ours,  138.  — • 
Poissons  noirs,  139. —  Monts  gigan- 
tesques, 140, 141.  — Dépaissance  des 
troupe:iiix  en  été,  leur  nourriture  en 
hiver,  142.— -Pêche,  préparation,  etc., 
de  la  morue  aux  Iles  Loffoden,  145  à 
152.  —  Poisson  ronge,  156.  —  Fa- 
meux gouffre  de  Maelstrom,  153, 
160.  —  Variabilité  du  vent  sur  U 
côte.  Mauvaise  construction  des  bar- 
ques, 1C2.—  Renards  bleus,  blancs, 


414 


TABLE  GÉNÉRALE 


ronges  et  noir» ,  169,  170-  •—  Bois  ot 
aotrei  corps  d'Amérique  jetés  sur  la 
cAte,  177 ,  188.  —  Le  fioner.  Ma- 
nière de  pécher  cette  baleine ,  178  à 
180.  —  Les  rennes,  181.  —  Plantes 
*  marines.  Zoophytes ,  188  et  suiv.  — 
>^    Gorgones,  189.  —  Les  puffins ,  192. 

—  Aigles  marins.  Loutres,  193.  — 
Phosphorescence  de  la  mer  Polaire , 
^.—  Aurores  boréales,  261,  284, 
291.  '—  Observations  sur  le  climat  du 
nord ,  270, 27 1 .  —  Titre  de  /ro»,  286. 

—  Beauté  de  l'hiver  du  nord.  290.— 
Forêts  de  bouleaux ,  42 ,  54.  —  Ar- 
bres fruitiers ,  50.  —  Lacs ,  XLY 1, 1 4. 
■—  Voyage  de  Twining,  296  et  suiv. 
Yoy.  Chrittiania ,  ancienne  capitale; 
Finmark,  Loffoden,Nordenfieldi,Nord- 
landy  Sondtrfields,  Scandinavie,  Dron- 
tlitim,  nouvelle  capitale. 

iVono/jf/cm.  Diffèrent  beaucoup  des 
Suédois,  t.  XLV,  p.  41.  —  Ressem- 
blance des  montagnards  de  tous  pays, 
41 .  —  Vénération  pour  les  pies ,  49. 
^  —Nourriture des  paysans.  Leur  exté- 
rieur prévenant ,  63.  —  Leurs  nom- 
breux talens,  65,  66.  —  Noirceur  de 
leur  teint,  72.—  DaD!>es,78. — Noces , 
84.  —  Superstitions  diverses  des 
paysans,  93,  184.  — Exercices  d'un 
régiment  de  patineurs.  Ses  services , 
106  à  108.   -  Hospitalité,  1 19, 132. 

—  Am<i|>r  des  liqueurs  fortes,  127. 

—  Tribunaux  de  conciliation,  129. — 
Les  aubergistes,  132.  —  Intrépidité 
des  femmes  de  pécheurs,  136.  — 
Repas  ,  152, 153, 197.  —  Portent  ha- 
bituellement un  poignard.  Belle 
chevelure  des  femmes,  XLVI,  296. 

Noufjie.  Voy.  Niffé. 

Nougouor  (  groupe,  archipel  des 
Carolines).  Découvert  par  Monte- 
verdeson,  t.  XX ,  p.  237-  —  Huitres  à 
perles.  Arbres.  Formes  et  habillement 
des  naturels,  238.  —  Hostilités  contre 
Morrell,331. 

Nottka-Hiva  ou  Marquitet  de  Men- 
dofa  (  archipel  de  la  Polynésie  ).  Dé- 
couvert par   Mindana,   t.  I,p  198. 

—  Bon  natnn  i  des  habitans,  198  et 
suiv.  —  Habitations ,  pirogues  ,  ani- 
maux ,  fruits ,  202.  -—  Noms  indiens 
de  plusieurs  (les,  VIII,  199. — Excellent 
terreau,  202. —  Situation,  étendue  des 
différentes  lies ,  205.  —  Productions , 
habitans,  tatouage,  vétemens,  orne- 


mens,  207  et  suiv.— Habitatious,*nour- 
riture,cnisine,210. — Armes^pirogues, 
animaux,  212.  —  Population,  213. 
—  Manière  de  saluer  un  ami ,  XV , 
349.  —  Historique  de  la  décou- 
verte, 363.  —  Cabanes,  381.  —  Ar- 
bres. Productions,  383.  —  Animaux, 
387.  —  Climat ,  390.  —  Habitans  : 
physique,  vétemeus,  tatouage,  391 , 
401,  403.  —  Ornemens ,  396.  — 
Beauté  des  femmes,  400.  —  Leurs 
vétemens,  403.  —  Leurs  mœurs  dis- 
solues ,  405.  —  Nourriture  des  natu- 
rels ,  410.  —  Pirosues ,  armes,  410, 
416.  —  £chasses,4l4.  —  Ustensiles, 
étoffes,  exercices,  417.  —  Mœurs, 
420.  —  Conjecture  sur  le  gouverne- 
ment. Population ,  425.  Comparaison 
avec  Tttïti  de  la  langue  et  des  natu- 
rels, 428.  —  Eventails,  XVI,  333. 

—  Éohasses ,  336.  —  Traditions  et 
conjectures  sur  l'origine  des  habi- 
tans, 344.  —  Bel  aspect  des  lies, 
418.  Voy.  îles  Dominica,  Hergett, 
Hood,  Magdaleaa  ,  Révolution ,  /?0pa- 
hoga  ,  San- Pedro  ,  Santa-Catharina, 

Nouka-Hira  ou  Maditon  (île  prin- 
cipale de  l'archipel  de  Nouka-Hiva  ]. 
Son  aspect,  t.  XVI,  p.  149, 421,  425. 

—  Démêlée  Porter  et  de  la  tribu 

fuerrière  des  Heppahs ,  156,  163, 
74,  186,  209.  —  Villages  fortifiés , 
159. —  Prix  extrême  attaché  aux  dents 
de  baleine,  163.  —  Oinemens  des 
guerriers ,  l65.  —  Tribus  distinctes, 
gouVero^ent,  noblesse,  176,  238. 

—  Nombre  de  guerriers,  180.  — 
Manière  de  combattre,  181.  —  Mai- 
sons très  remarquables,  193  et  suiv. 
32 1 .  —Habitans  sunt-ils  anthropopha- 
ges ?  197,  203,  207.  —  Leur  extiéme 
propreté,  199.  — Remarques  sur  la 
langue,  205.  —  Objets  en  os  hu- 
mains ,  207.  —  Souvenirs  de  la  visite 
des  Européens,  211, 340.  —  Récolte 
des  cocotiers,  213.  —  Productions, 
Description  du  bananier,  de  la  tor- 
ra,  do  la  kava ,  de  l'arbre  à  pain, 
217  et  suiv.  —  Mœurs  des  naturels, 
225,  227,  229.  —  Leur  figure,  228, 
343. —  Habillement  et  ornemens  des 
femmes,  232,  233,  426,  453.  —  Ca- 
nots de  guerre  et  de  pèche,  252, 
254.  —  Cuisson  des   cochons ,  261 . 

—  Chants  et  danses  ,  265.  —  Expé- 
dition de  Porter  contre  la  tribu  des 


DES  MATIÈRES. 


425 


TypM,  263  à  S04.  —  Cimetière  :  sta- 
tue ,  obélisque ,  309.  -—  Dieux ,  313. 

—  Cért'monie  religieuse,  idée  de  la 
vie  futuro,  315.~Religion,  316,  318, 
431.  —  Drapeau  blanc,  emblème  de 
paix,  320.  —  Intérieur  des  maisons. 
Aepas,  321.  —  Occupations  des  natu- 
rels,  323.  —  Mobilier,  iostrumeus, 
324.  —>  Dispositions  de  leur  cheve- 
lure, 327.—  Tatouage,  328,433. 

—  Etoffes  ,331.  —  Cercueils.  Even- 
tails ,  333.  —  Echasses ,  336.—  Qua- 
drupèdes ,  339.  —  Tradition  et  con- 
jectures sur  l'orifgine  des  babitans, 
344.  —  Mariages ,  434.  —  Naturels 
•ont  cannibales,  XVlI ,  7,  12.  —  Leur 
figure,  8.  —  Orneraens,9. —  Maisons, 
outils,  pirogues,  autorité  du  roi,  10. — 
Religion,  musique,  13.  Voy.  Porter. 

Nouvel-An  (lies  du,  prè^  la  Terre  de 
Feu).  Nommées  et  décries  par  Cook, 
t.  IX,  p.  90. — Phoques  et  oiseaux, 91. 

Nouvel-An  (ilc  du,  Polynésie).  Dé- 
couverte par  Kotzebue,  t.  XVII,  p.  1 27. 

—  Figure,  costume,  armes  des  natu- 
rels, 129.  —  Intérieur  boisé,  133. 

Nota  Galleug.  Découvre  ler,  îles  de 
l'Ascension  et  de  Sainte-Hélène ,  tom. 
IX,  p.  151. 

Novogorod  (ville  et  (Jiipvernement 
de  la  Russie  d'Europe  ).    Ancienne 


puissance  de  la  vlUe,  t.  XLVI,  p.  146. 

Nua1t1t»tiU$  (tribu  de  Bichuanas, 
au  nord  du  cap  de  Boune-Espéranee}, 
t.  XXVI,  p.  471. 

Nubaê  (naturels  de  la  Nubie).  Sont 
tous  soldats.  Leur  figure  ,  religion  , 
t.  XXIII ,  p.  476.  —  Troupeaux  de 
porcs.  Circoncision,  478.—  Leur  paya. 
Comment  ils  allument  le  feu,  479. 

Nubie  (contrée  d'Afrique).  Cours 
du  Nil  dans  le  pays  et  les  voisins  , 
t.  XXI II,  p.  439  et  suiv.  —  Voyage 
dans  l'iutérieur,  468  et  suiv.  V.  Aibara 
ou  Meroè,  Ckendi  ,  Seimaarf  Suakem. 

NoxvA  (Jean  de).  Donne  son  nom 
à  une  ile  qu'il  découvre  près  de  Mo- 
zambique, 1. 1 ,  p.  71.  —  Combat  les 
Maures  dans  les  Indes,  72. 

NcoicKS  (Vasco).  Découvre  le  pre- 
mier la  mer  du  Sud  du  haut  de  la  Cor- 
dilière,  t.  XXXVIII,  p.  248. -y  En 
prend  possession ,  252  —  A  décou- 
vert les  îles  aux  Perles  ,318. 

Nuitiirabad  (  ville  du  Rajpoutana  , 
-  Hindoust.j.Rues.  Casernes,  t. XXXV1,# 
p.  327.  —  Environs.  Puits.  Climat , 
328.  —  Rareté  des  meubles  en  bois. 
Boutiques,  329.  —  Vêtemens,  330. 

Nyniah  (ville  du  Kuuranko  ,  Séné- 
gambie),t.  XXVIII,  p.  57. 

Ntrup.  Ses'voyages,  t.XLVI,p.  155. 


I 


o 


Oasis  dn  désert  de  Liby^  Doivent 
renfermer  d'intéressantes  ruines  , 
t.  XXII,  p.  349.  —  Voyage  aux 
oasis,  XXV,  438  et  suiv.  Voy.  Syouah. 
f  Obidos  (  ville  de  la  Colombie  )  , 
t.  XLII,  p.  66. 

Océanie.  Ruines  de  style  pyramidal 
trouvées  daus  f>es  îles,  t.  Il,  p.  253. 
—  Coffre  semblable  à  l'arche  d'al- 
liance, et  appelé  Maison  de  Dieu  , 
trouvé  dans  plusieurs  îles ,  V,  330  , 
336.  —  Croix  trouvée  sur  une  tombe, 
VI,  94.  —  Opinion  générale  des  in- 
sulaires sur  leur  origine  ,  197.  — 
Statues  colossales  de  style  égyptien , 
Vlll,  151,  161,  165,  180.  —  Forma- 
tion de  ses  îles,  IX,  330  et  suiv. — 
Tradition  de  la  création  conservée, 
mais  défigurée ,  X  ,  242.  —  Une 
beule  nation  répandue  dans  ks  Iles , 
o33.  —  Étendue ,   population  ,   di- 


visions de  Malte  -  Brun  et  de  Wal- 
kenaer,  XL1II,  i.  —  Divisions  de 
Balbiet  de  Dumont  d'Urville,  ij.  — 
Division  de  Rieuzi,  iv.  —  Climat. 
Montagnes.  Hauteur  des  principaux 
points,  vi,  —Volcans.  Fleuves.  Ri- 
vières, vij.  —  Lacs.  Productions , 
viij.  —  Animaux ,  ix  et  sniv.  —  Tribus 
indigènes,  leur  état  actuel,  xj.  — 
Étrangers  établis  ,  xv.  —  Variété , 
caractère  des  divers  races.  Les  Ma- 
lais ,  XV.  —  La  race  polynésienne , 
xvij.  —  Race  noire,  xviij,  —  Les  Po- 
pouas,  xviij.  —  Les  Papous  ,  xx.  — 
Les  Australiens ,  xxj.  —  Religions  , 
xxij  ,  xxvij.  —  Le  Tabou  ,  xxiij.  — 
Gouvernemens  ,  xxviij .  —  Industrie  , 
commerce  ,  xxix.  —  Tatouage,  poly- 
gamie ,  ib.  —  Anthropophagie.  Repas. 
Vêtement.  Ornemens,  xxx.  —  Ma- 
riages. État  des   femmes  ,  xxxj.  — 


:* 


# 


426 


TABLE  GÉNÉRALE 


Langues ,  xxsij.  —  Da  oannibalisme  , 
80.  Voy.  Arttoy$,  Ava  ,  Tabou. 

Oditta  (ville  du  gouTernemeat  de 
Khcrson ,  Russie  d'Europe).  Environs, 
t.  XLIV,  p.  589.  —  Fa-  bourgs,  39». 
*  — >  Histoire  de  son  commerce  ,  391 . 
^  —  Rues.  Maisons.  Jardins  Édifices 
divers ,  391  et  suiv.  —  Cathédrale  , 
393.  — Uabitans,  394. 

CŒdidék  ,  naturel  de  l'Ile  Uliétéa , 
(  archipel  de  la  Société  ).  S'embarque 
sur  le  Taisseau  de  <  90L,  t.  VIII , 
p.  24»  —  Son  étonnef<ent  è  a  vue  de 
la  neige,  121.— •Cor>k  éta  t  revenu  à. 
Uliétéa ,  OEdidée  se  décide  à  de- 
meurer dans  sa  patrie.  Son  caractère, 
301.  —  Revoit  Cook  à  Taïti,  X, 
115.  —  Donne  un  repas  à  Cook  , 
140. 

Œno  (ile,  Polynésie),  t.  XIX, 
p.  96. 

Oghao  (ile ,  archipel  des  Amis) , 
t.  VIII,  p.  322  et  suiv. 

Ohettroa  (ile ,  Polynésie).  Décou- 

^verte  par  Cook,  t.  V,  p.  358.  — Sa 

description  et  celle  des  habitans,  364. 

—  Vêtement ,  365.  —  Armes,  366. 
Ohio  (affluent  du  Mississipi).  Ses 

beaux  plâunes ,  t.  XXXVIII ,  p  17. 

—  9-  n  confluent  avec  le  Mississipi , 
XXXIX ,  374.  —  Aspect  de  ses  rives , 
375.  —  Son  aspect  à  Louisville , 
375.  —  Aa-des:"is  de  Memphis ,  392. 

—  Ses  rives ,  393. 

Ohsson  (d').  Son  voyage  à  Gonstan- 
tinople,t.  XLVI,p.l21. 

Oitt  (Ile  des,  canal  de  Noël,  Terre 
(le  Feu).  Nommée  par  Cook.  Ses  ca- 
vernes profondes ,  t  IX ,  p.  63. 

Oiseau  -  mouche.  Ses  habitudes ,  sa 
nourriture ,  etc. ,  t.  XLI ,  p.  231  et 
suiv. 

Oiseau  de  paradis.  Sa  description. 
Fables  à  son  sujet ,  t.  II ,  p.  71  ;  X , 
286;  XX, 388. 

Oiseaux  (iles  des,  Polynésie).  Dé- 
couvertes par  Kotzebue,  Formées  de 
corail,  t,  XVII,  p.  146,  155.  —  Na- 
turels ,  148,  154.  —  Beauté  des 
nuits,  152. 

Ojeda.  Découvre  Ttle  de  Curaçao 
et  la  côte  de  Venezuela ,  t,  XXXVIII, 
p.  243. 

Oka  (rivière  de  la  Russie  d'Eu- 
rope), t.  XLIV,  p.  464. 

Oku'^esso.  Voy.  S^galien. 


Ollapiïle,  groupe  des  Caroliaet>). 
Productions.  Naturels ,  t.  XX ,  p.  228> 

Olot  (Ile,  groupe  Kawen).  Décou- 
verte par  Kotzebue,  t.  XVll,  p.  189. 
198. 

O-Maï  ,  uaturel  des  iles  de  la  So- 
ciété. S'embarque  sur  les  vaisseaux  de 
Cook ,  t.  VII  ,  p.  456.  —  Quitte 
Londres,  IX,  168.  —  En  passante  la 
Nouvelle-Zélande,  engage  un  insu- 
laire à  le  suivre,  251<  —  Rencontre 
quelques-uns  de  ses  compatriotes  à 
l'Ile  Wateeoo  ,  à  deux  cent  lieues 
d'Huabeine,312.  —  Est  de  retour  aux 
tles  de  la  Société,  X,  lOT  —  Donne 
un  repas  à  Cook,  128.  — '  Acquiert 
une  pirogue.  Est  exposé  à  être  dé- 
pouillé par  ses  parens,  161.  -;■  Pré- 
sens et  discours  qu'il  fait  à  Huaheiue, 
179.  —  Son  établissement  à  Hua- 
heine  est  décidé  avec  les  chefs  de 
cette  lie,  181.  — Cook  lui  fait  cons- 
truire une  maison ,  créer  un  jardin  , 
182.  —  Animaux  qu'on  lui  laisse, 
189,  197.  —  Ses  regrets  au  dépWt 
de  Cook,  189.  —  Observations  sur 
sou  caractère,  sa  conduite,  sa  fa- 
mille, 190. 

0«an  (province  de  l'Arabie).  Côte  de 
Mascate  :  palais  de  l'iman.  Costumes. 
Maisons ,  t.  XXXV,  p.  2.  —  Cam- 
pagne, 4.  —  Cl'mat,  5.  —  Com- 
merce, Puissance  de  l'iman.  Produc- 
tions Manufactures ,  5,  6.  — •  Impor- 
tance des  dattiers-)  6.  •—  Costume  de 
l'iman,  7,  r— 'Muttra  :  eaux  ther- 
males, 9.  —  Bouschire,  10, 11. 

Oneeheow  (lie,  archipel  de  Sand- 
wich). Découverte  par  Cook,  t.  X  , 
p.  289.  —  Raisons  pour  croire  que  ° 
les  insulaires  sont  cannibales ,  291 . — 
Son  étendue ,  ses  productions  ,  29S. 
—  Son  aspect ,  XI ,  247.  —  Sr-s  den- 
rées ,  XlII ,  282  ;  XIX,  23^  —  Race 
des  naturels,  ib.  -—Onevx.Yoy.  Ifoneçx- 

O/igeluks-Fontain  (kraal  des  Uotten- 
tots),  t.  XXVI,  p,  381. 

Oitoun  (ile,  archipel  des  Caroline»), 
Découverte  par  Lutke.  Nommée  Li- 
9:ngston,  par  Morrell  qui  croit  la  dé- 
couvrir, t.  XX,  p.  214.  ' 

Ontario  (lac  du  Canada).  Son  as- 
pect, t.  XXXIX,  p.  67,  81.  —  Ne 
gèle  jamais  ,  77.  —  Havre  de  Sackett, 
100.  —  Traces  du  déluge ,  206. 

OntoHgJava  (tic ,   Australie).    De- 


n 


'J* 


DES  MATIÈRES. 


427 


couverte  par  Le  Maire  et  Schonten  , 
t.  XIII,  p.  225. 

OittOHg-Java  (ile,  Australie).  Dé- 
couverte par  Tasman,  t.*  I ,  p  349; 
m,  429.  —  Est  différent  del'Ontong- 
Java  de  Le  Maire,  XIII ,  225. 

Oo.  Cher,  cher  à  Ou,  les  mots  qui  ne 
se  tronveront,pàs  à  Oo 

OmIIo  l'une  des  iles  Âléoutiennes), 
t.  XI,  p.  Û 

Oonemak  (une  des  iles  Aléontien- 
nes),t.  XI,p.45;XIX,  282. 

Oonolathka  (une  de»  ikv  Aléon- 
I  tiennes^.  VétemMTtfe  boyaux  de  ba- 
leine, dei>  babitans,  t.  XI,  p.  41.  — * 
L'un  d'eux  porte  une  lettre  russe  à 
Cook,  42,   106.  —  Denrées,   104, 

105 ,  106.  ~—  Commerçans  russes , 

106.  —  Domination  russe ,  107.  •— 
Figure  des  naturels ,  vétem^ns  ,  orne- 
mens,  repas  ,  108.  —  Ilaintations  , 
ustensiles  ,110.—  Manières  4e  pro- 
duire le  feu,  113.  —'Armes,  caso»» 
remarquables,  114.  —  Attirail  de 
pèche  et  de  chasse,  poissons,  pho- 
ques, 116.  •»  Oiseaux,  végétaux  , 
4uadrupèdes,  118.  —  Plantes  nour- 
rissantes, 120.  — Cimetières ,  123.  — 
Idiome  semblable  à  celui  du  Groen- 
land,  1  24.  —  Marées ,  125.  —  Aspect 
horrible,  XVII,  116. 

Opam  (tle ,  Polynésie).  Découverte 
par  Vancouver,  t.  XIV,  p.  57,  61  — 
Son  aspect.  ColUnes  fortifiées.  Piro- 
gues ,  62  ,  65.  —  Productions.  Natu- 
rels, 64.  —  Na».!r»ls ,  XXI,  410. 

Orageuse  (ile,  Australie).  Décou- 
verte par  Dampier,  t.  I,  p.  438;  IV, 
318.  -  Son  gisment,  XIII,  219,  220. 

Oran  (ville  de  l'Algérie)  Aspect. 
Fortificatior.ii ,  t.  XXII,  p.  182. 

Orange  (fleuve  du  sud  de  l'Afri- 
quel ,  t.  XXIV,  p.  378. 

Oranger  (premier),  apporté  en  Eu- 
rope, t.  XLVI,  p.  186, 

Orebro  (ville  de  la  Suède) ,  t.  XLV, 
p.  13. 

Oreehova  (ile ,  archipel  Sandwich  ). 
Découverte  par  Cook  ,  t.  X ,  p.  28l^. 
—  Est  peu  étendue ,  2(96.  —  Est  sté- 
rile ,  XIV,  408. 

Orel  (gouvernement  de  la  Russia 
d'Europei.  Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XLIV,  p.  566  à  369. 

Orel  (chef-lieu,  du  goaTérnement) , 
t.  XLIV,  p.  567. 


Orf»aqne  (fleuve  de  la  Colombie  , 
Amérique  méridionale).  Cours.  Af- 
fluens.  Animaux,  t.  XXXVIII,  p. 61,^. 

—  Comparaison  do  ses  plaines  avec 
les  Savanes ,  les  déserts ,  etc. ,  371  et 
Buiv.—.  Tribus  d'Indiens  de  ses  bords. 
Meurtre  de  l'un  des  jumeaux  ,  ou  de 
l'enfant  faible ,  379.  —  Leurs  breu- 
vages abortifs,  381.  —  Piqûre  des 
mosqnites  et  maringonins ,  382  et 
suiv.  —  Enormes  reptiles  ,  XLII , 
183.  .—  Cours,  inondations,  396.  ^^ 
Caractère  des  Indiens  des  rives  ,  408. 

—  Leur»  noces ,  415.  —  Culte  des 
crapauds ,  417.  —  Funérailles  des 
diverses  tribus,  418.  —  Armes.  Ca- 
nots, 421.  —  Voyage  sur  le  fleuve  , 
436.  —  Saison  des  chaleurs  ,  437.  — 
Rives.  Crocodiles.  Rocs  de  granit. 
Saison  des  pluies.  Confluents ,  438. 

—  Oiseaux,  439,  445.  —  i!nsectes  , 
439,  441  —  Beaux  arbres ,  439.  — 
Aventures  d'un  voyageur  surpris  par 
Ucc  crue  du  fleuve  sur  un  arbre  où  il 
demeura  trois  jours,  440  à  448.  — «w 
Enormes  lézards,  441,  443.  —  Tor- 
tues ,  443.  — •  Phoques ,  414. 

Orfiih  (ville  de  l'Al-Djezyreh,  Tnrq. 
d'Asie).  Danses.  Mosquée ,  t.  XXXII , 
p.  466.  --^  Intérieur  de  maison.  •— 
Muraille,  ilnes.  Bazars.  Mosquées  et 
Ic^jrs  oiseaux.  Population, 468. 

Oriental  (cap,  du  dét.  de  Behring  ). 
Nommé  par  Behring ,  t.  XI  ,p.  86 

Grîiûa:  (la  Nouvelle-, capitale  delà 
Louisiane  ,  États  -  Unis  ).  Aspect , 
t.  XXXIX;  p.  559.  -^  Première  vue 
du  Mississipi.  Ses  dimensions.  Ses 
crues,  etc.,  360  à  566.  —  Divers 
genres  de  vais.seaux,  561,362  — Mar- 
ché. T,?:igages  divers,  366,  586. — 
Languti  française  très  répandue ,  366, 
586.  —  Climat,  367.  —  Mulâtresses, 
585,  388,  —  Société ,  387.  —  Créoles, 
388.  — •  Théâtres.  Bateaux  à  vapeur , 
389. 

Ormux  (île,  golfe  Persicjue)  ,  t.  I , 
p.  96. — Autrefois  florissante,  XXXV, 
12,14. 

Orned  (île ,  Polynésie).  Découverte 
par  Kotzebue.  Aspect  agréable  , 
t.  XVII ,  p.  156.  "^  Entrevue  intéres- 
sante avec  les  naturels ,  157  et  suiv. 

—  Tombeau ,  160.  —  Nourriture  des 
babitans  ,  170.  —  Représentations 
dramatiqaes ,  572. 


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428 


TABLE  GÉNÉRALE 


OroM»  (fleuTii  dfl  la  Syi  i«i ,  Turquie 
d'Asie) ,  t  XXKI ,  p.  46. 

Oro*.i,Mg  Mie  du  groupa  Pel/sw). 
Wilaoa  nantrasé  y  reconstruit  son 
Taissean.  Un  fils  du  roi  s'embarque 
pour  l'Europe ,  t.  XIII ,  p.  386. 

Ono9a  (Tille  de  la  Hongrie ,  em- 
pire autriciiten  ).  Aspeef ,  <,.  XLI V , 
Î.  182.  —  Précautions  coi:  t?e  la  peste, 

<^«'4/i-a(Tille  de  l'He  Niphou ,  Japon). 
Maisons.  Rues  avvu  porte».  Uonver- 
nement,  t.  X7-XI,  p.  152. 

Otiuibruek  ou  lUaiiea  (Ile  d',  archipel 
de  !a  Société).  Découverte  par  Wallis, 
Mil,  p.  304;  y  y  95.  —  Dépeiul  de 
Taïti.  Ses  bahitans.  Lent  >  Tétemciï  )  et 
ornemens,  X,  251.— *  Forme, ctendne, 
aspect,  XUI,  313. 

Otnabruole  (Jle  de  l'£véqne-d',  Pcî}  • 
nésie  ).  Découverte  par  Carteret , 
t.  III,  p.  !09. 

Osie-«:  (  habitant  du  Caucase  ). 
Vie ,  u  ..  !rs  ,  iisages  ,  etc.  ,  etc.  , 
*t.  XLV,  j.,  427  â  m  et  4U  à  451. 
Voy.  Caucoi.-, 

Ottiakt  (p».;u.'o  lie  ia  Sibérie).  Si- 
tuation d«;  ït'ii  vays.  ïanle.  Figure, 
VêtcTOrtus,  t  XXaI,  p.  (508.  —  Ha- 
Li'leiueai  des  femmes.  Logement. 
Meubles.  Nourriture.  Chiens  et  traî- 
neaux, 310.  —  Polygamie.  Mariages, 
312.—  Différence  avecles  Samoyèdes, 
Z\\.  —  Couches  des  femmes ,  315. •— 
Chasse.  Pèche.  Travaux  des  femmes. 
Man;<L-re  de  fumer,  316,  318.  —  Su- 
perstiiions  ,  316 ,  519.  —  Jalousie  , 
319.  —  Paresse,  319,  321.  — Mesure 
du  temps.  Commerce.  Manière  de  se 
reconnaître  débiteur.  Maladies ,  320. 
->•  Enterremens ,  522. 

Otaha  (île,  archipel  de  la  Société). 
Découverte  par  Cook ,  t.  V,  p.  325  et 
suiv.  —  Habitans.  Productions,  YIII , 
19.  —  Hiava  on  daaset,  et  représen;ta- 
tions ,  20.  —  Bâtiment  public  ,  23.— 
Abonde  en  cochons ,  23.  —  Conquise 
'  par  les  naturels  de  Bolabola,  X,  203 
et  suiv. 

Otahi-Oa,  Voy.  Magdalena. 

Olakor-taia,  Voy.  f^enooattu. 

Otdia  (gronpe,  archipel  Radack). 
Découvert  par  Kotsebue ,  t.  XVII , 
p  160, 164.  — Beau  climat.  Beaux 
habitans.  Productions,  162-  —Graines 
et  plantes  d'Europe  qui  y  sont  se- 


mées, 166,  225,  357,1059.  —  Nour- 
riture deshabiUns,  1/0. — Trésorier 
du  chef,  185.  —  Drames,  chansons 
historiques,  tS61  ,  366  —  Manière  de 
combattre,  364,367. 

Ottnum  (île  de  la  Norwéjj!),  '.XL,V, 
p.  117  et  suiv. 

0««M««(îledelaKors*ée«i.  t.  XLV, 
p.  113. 

Otututlah  (Ile,  Poly-iésio  ,  (décou- 
verte par  Edwards,  t.  XIII.  ;>.  ,Vi>. 

Ou,  cherch>,r  à^oi:  i-  00,  \f.  uiot» 
«pi'on  ne  trouvera  pas  à  OU 

Ovulait  (lie,  archipel  .^es  Caroli-  ^. 
ïiva).  Découverre  par  Cro;;.<3r,  Aspect,  " 
t.  XV I  '  ; ,  p.  171 .-  -  Productions.  Ani- 
maux, tudigènes.  Vétemei.' t.  Mariage, 
172.  —  Gou'-prneicent.  Mœurs  paci- 
fiques. MaisoT/.' .  Villnj^â  Lôlé,  174.  — 
Repas.  lio.pitHiité.  Idiligiou.  Lonfruc  . 
176.  —  Noms  qu'«î)e  ;j  portes,  X,  , 
199.—  Gouvtj  jeiB<i>t,  XLlti,  xxviij. 
—  État  de»  femmes ,  :xxsj. 

Oueh  (ville  du  Moultan,  Hindous- 
tan).  Situation.  Population.  Unes , 
t.  XXXVII.  p.  385.  —  Voiture.  Sol- 
dats  du  khan ,  380,  •—  Anciens  sé- 
pulcres, 388.  —  Mole,  389.  —  En 


virons,  391 


Oude.  Voy.  Aoudh. 

Oum'Essogh«ltr(\i]ïe  du  désert  de 
Lybie  ).  Site.  Maiar>,is.  Habitans , 
t.  XXV,  p.  422. 

Oural  (monts  entre  l'Knrope  et  l'A- 
sie), t.  XLVI,  p.  40. 

Ourga  (capitale^  de  l»  Mongolie, 
Tatarie  Chinoise),  t.  XXXIII,  p.  7t. 

—  Costumes  de  fonctionnaires,  72- 

—  Procession  des  lamas,  74.  —  Vi- 
site au  vangi.  Costumes.  Apparte- 
ment, 75  et  suiv,  —  Quartier  des 
marchands,  79.  —  Fêtes  du  koutouk- 
tou ,  80  à  84,  87.  —  Présens  au  kou- 
tôuktou,  85.  —  Courses  de  chevaux. 
Luttes,  86  et  suiv.  —  Cérémonie  de 
deuil.  Tribunal.  Peines ,  89.  —  Tern- 
ies. Résidence  du  koutouktou.  Ecole, 

.  —  Habitations,  Rues,  Inscriptions 
gigantesques ,  95.  —  Environs ,  95, 
97.  —  Pyramide ,  98.  —  Aspect  de  la 
ville.  Climat ,  99.  —  Chef  de  la  police. 
Population ,  100. 

Ouroumia  (  lac  de  l'Azerbaidjan  , 
Perse),  t  XXXV,  p.  380.  —  FertUité 
de  ses  bords,  382.  —  Tribu  chré- 
tienne, 384, 


w 


/      R 


'■^■, 


DES  MATIÈRES. 


430 


Ouroumia  (  rille  de  l'Azerbaïdjan  , 
Perte).  Habitans.  Évéque  catholique. 
Vices  des  habitans,  t.  XXXV, p.  383- 

Ourrjr  (  tle ,  r  rchipd  de  la  Reine- 
Charlotte)  Déconverte  par  Carteret, 
t.  Ill ,  p.  134'  —  E«t  la  Même  que  l'Ile 
Edgecombe,  et  doit  être  appelée  Ton- 
boua,XVII[,  385. 

Ourt.  Leur  chasse  an  Kamtschatka. 
Leurs  mœurs,  etc., t- XI,  p. 385, 416; 
XVH,  396;  XXXI,  381  ;  XLV,  138. 

Ourt  dt  mer.  Leur  description  ,  t.  IX, 
p.  80,91.  —  Des  régions  polaires, 
XL.x. 

Outk-out  (  petite  ville  du  gouverne- 
ment delà  Tauride,  Russie  d'Europe), 
t.  XLIV,  p.  425. 

OvANDO.  Remplace  Bovadilla  dans 
le  gouTerncment  des  pai'ties  décou- 
yCrtes  de  rAmérique ,  l.  XXXVIII , 
p.  199. —  Sa  perfidie  contre  les  Indiens 
d'Haïti,  208.  —  Ses  déloyaux  procé- 
dés à  l'égard  de  Colomb,  219,  224.— 
Est  remplacé  par  le  fils  de  Colomb , 
248 

Owhyh^e  (lie,  archipel  des  lies  Sand- 
wich )  Découverte  par  Cook ,  t.  XI , 
p.  l32.  —  Description  de  la  baie  de 
Karakakooa,  141,  243,  259.  —  Pou- 


Paarl  (ville  de  la  colonie  du  cap  de 
Bonne-Ei>pérance},  %.  XXVI ,  p.  78. 

Pacheco.  Lieutenant  d'Albuquer- 
que ,  bat  le  zamorin  de  Calicut ,  t.  I , 
p.  84  et  sniv.  — Détruit  une  flotte  tur- 
que dans  riude,  88. 

Paeknam  (ville  du  Si:im).  Demeure 
du  gouverneur,  t.  XXXI V,  p.  112.'^- 
HoB|>italités  des  habitans,    114.  — 
Figure,  115. —  Bazar,  116.  —  JoU  ' 
temple,  117, 118. —  Canons,  119. 

Padit.la.  Découvre  les  iles  Palaos , 
t.  Il ,  p.  27  et  suiv. 

i'aia  (arbre  à).  Sa  description, 
1. 1,  p.  380;n,  25, 250;  V,97;  XIIi;' 
318;  XVI,  219.  —  Comment  se 
mange  le  fruit ,  1 ,  381  ;  V,  256  ;  XIII, 
318;  XVI ,  220.  —  Confection  du 
mahie  on  pâte  que  l'on  fait  avec  le 
fruit ,  V,  256.  —  Rassemblé  au  figuier, 
XVI,  455. 

Paissae,  Chutes  d'eau  du  Nouveau- 
Jersey,  t.  XXXIX,  p.  19. 


voir  despotique  des  chefs,  143.  — 
Cimetière,  146*—  Effets  dn  tabou, 

151.  —  Société  de  prêtres,  152 

Le  roi  visite  Cook,  157.  —  Combats 
à  coups  de  poings,  162.  —  Opinion 
sur  le  but  du  voyage  de  Cook,  166. 

—  Bouffons,  167.  -  Naturels  inspi- 
rent de  la  défiance  à  Cook.  Ses  suites. 
Cook  est  assassiné ,  173  à  188.  — 
Incendie  de  Kakooa ,  217.  — Forme, 
étendue  ,  districts  do  l'Ile ,  239.  — • 
Câtes  et  pays  adjacent ,  240  et  sniv. 

—  Hanteur  des  montaf^nes,  241.  — 
Produit  le  bois  de  saudàl ,  XIV,  139. 

—  Combats  simulés  ,  395. 

Ox:!t  ou  Djihoun  (fleuve  de  la  Tata» 
rie  indépendante).  Manière  de  le  tra- 
verser en  Boukhara,  tom.  XXXVII, 
p.  165. —  Description  du  pays  jusqu'à 
Boukhara ,  123.  —  Énormes  melons , 
124.  —  Bac  de  Charjouey,  235.  — 
Gros  poissons ,  237. 

Cy?  rivière  du  Nordenfields,  Nor- 
wége),  t.  XLV,  p.  112. 

d/ofdva  (ile,  ardiipel  des  Naviga- 
teurs). Beauté  du  pays.  Haute  stature 
des  naturels,  t.  XIII ,  p.  110.  —  Ur- 
nemens  des  femmes,  112.  —  Beauté 
du  pays,  XVn,  330. 


Paita  (ville  dn  Pérou).  Description. 
Port.  Habitans.  Campagne  aride,  t  II , 
p.  175. —  Prise,  pillée  et  brûlée  par  les 
Anglais ,  179  et  suiv.  —  N'est  qu'une 
bourgade,  XVIII,  135.  —  Affreux 
aspect  du  sol,  136. — Pizarre  a  décou- 
vert le  port,  XXXVIII,  325. 

Palaos.  Voy,  Pélew. 

Palerme  (  capitale  de  la  Sicile  ), 
t.XLVI,p.  264. 

Palestin0(p»Ttie  de  la  Syrie).Voyage 
dans  l'intérieur,  t.  XXXII ,  p.  385.  — 
Vallée  dn  Jourdain ,  389,  395. 

Pallas.  Son  voyage  en  Russie , 
t.  XLVI,  p.  154. 

Patliser  (groupe,  Polynésie).  Dé- 
rouvert par  Cook,  t.  VIII ,  p.  224.  — 
Disposition  des  ile»,  XVIt,  273. 

P<i/m«i-«ton (groupe,  Polynésie).  Dé- 
couvert par  Cook,  t.  VIII ,  p.  308.  — 
Est  formé  de  plusieurs  (lots.  Est  inha- 
bité. Sa  circonférence,  IX^  325.— 
Oisf^ux,  526.  —  Son  lac.   Ses  julis 


'9 


430 


TABLE  GÉNÉRALE 


Îoiuona»  827.  —  Abonde  en  coeot, 
2S.  —  Conjeoturet  »r  h  formation 
de«tlott,890etiuiT. 
Pa/jiii«p.  Vin,  huile,  sirop  et  sucre 

În'on  en  retire,  t.  VU,  p.  18,  XXVIII, 
t. —  Son  fruit,  14. 
Palmjrr*  (ville  de  Syrie,  Turquie 
d'Asie).  Détruite  par  Aurélien ,  t.  I , 

Î.  7.  —  Ses  ruines.  Tribus  qui  les 
abitent,XXII,43,48. 
Pampat.  Plaines  de  l'Amérique  mé- 
ridionale. Manière  d'y  voyager,  t.  IV, 
p.  12.  —  Leur  aspect,  XXXYIII,  374. 

—  Description  générale,  XLI,  280. 

—  Étendue.  Bornes ,  282.  —  Les  trois 
régions  et  leurs  divers  aspects.  Végé- 
taux, 282-  —  Arbres,  284.  —  Inceno 
dies.  Rivières,  285.—  Climat,  285, 
2S7.  —  Animaux,  286,  292.  —  Le 

£ampero  (vent),  287.  ^—  Habitans. 
létails  bistoriques.  Colons ,  288.  < — 
Manières  de  voyager.  Précautions, 
314,  321.  —  Campagne,  316.  —  Re- 
lais, 316,  319.  —  Postillons.  Chevaux, 
317  et  suiv.  — BriMnds,323. — ^Trous 
de  bùeachos,  324.  Voy.  Guachoi, 

Pampat  (Indiens  des),  tom.  XLI, 
p.  288.  —>  Redoutés  des  Guachos 
qu'ils  haïssent,  323,  337,  338.  — t<cur 
belle  race,  333.  — Vie  nomade,  334 

—  Occupations,  335,  339,  341.  — 
Usage  constant  du  cheval,  335,  337. 

—  Guerres,  336,  338.—  Rehgion, 

339.  —  Esprit  vindicatif.  Croyance  à 
l'immortalité  de   l'âme.  Funérailles, 

340.  —  Amour  des  liqueurs  fortes 
Échanges ,  341.^ 

ff  Pampan-Kraal  (jolie  colline  dn  cap 
de  Bonne-Espérance),  t.  XXIV,  p.  82. 

Panama  (  isthme  de  ).  Largeurs  , 
t.  XXXVIII,  p.  2.—  Sur  sa  section, 
406;XLII,458. 

Panama  (ville  de  la  Colombie).  Au- 
trefois coiamerçante.  Détails  bistori- 
ques, t.  XLI,  p.  408.  —  Élémens  de 
prospérité.  Belles  ruines,  40^,  410. — 
Ëvéché.  Situation.  Population,  XLII, 
431.      .  ^ 

Panjang^{tle ,  golfe  de  Siam).  Éten- 
due. Surface  Végétation ,  t.  XXXIV, 
p.  304.  —  Rocs.  Animaux.  Végétaux. 
Arbres ,  306. —  M'a  rien  d'engageant, 
308. 

PaHlog{i\e  du  groupe  Pelewr),  t.  II , 
p.  29.  —  Larcins  des  naturels,  51,  32. 
Tatouage ,  32.  0 


Pam^/m  (tlea,  Polynésie).  Trfs 
peuplées,  t.  XVII,  p.  49,  SO.  —  Pbv- 
siqne  des  natarels,  63.  —  Absence  ée 
tatouage.  Canots,  64. 

P«oom  ou  Ap»um  (  Ile ,  Nouvelles- 
Hébrides  ,  Australie).  Découverte  par 
Cook,  t  VIII,  p.  339,424. 

Papout  (lie  des,  Malaisie).  Laideur 
des  naturels.  Maisons.  Nourriture. 
Vétemens.  Religion,  t.  XVIII,  p.  77, 
78.  Voy.  Iles  Boni,  Manouaran,  Rawack, 
Waigioti. 

Papous  (lent  des).  Voy.  Ifowtlh- 
Guin^t. 

Paquet  ou  Waxhou  (lie  de,  Polynésie). 
Découverte  et  décrite  par  Roggewiu , 
t.  II,  p.  48  et  suiv. —  Animaux.  Cabanes 
et  étoffes,  51 .—  Maturels,52. — yojrag» 
de  Coôk,  Grandes  statues  et  colonnes, 
Lenr  rapport  avec  celles  de  l'Egypte, 
53:  Vin,  140,  144,  151,  158,  161, 

165,  180  —  Description  des  habi- 
tans et  de  leurs  vétemens.  Leurs  gran- 
des oreille»,  143,  147,  149,  176.- 
Étoffes  d'écorce  d'arbre,  145.  — ^  Fri- 
ponnerie des  habitans,  146,  168.'— 
Comment  ils  s'abritent  du  soleil,  149. 

—  Intérieur  du  pays  stérile,  150, 152, 
160.  —  Cabanes  misérables,  153  et 
suiv.,  178.  —  Manque  d'animaux, 
157.  —  Rares  arbrisseaux ,  166.  — 
Lubricité  de  certaines  femmes,  167, 
170,  —  Petites  statues  bien  sculptées, 
169.  —  Description  particulière  de 
l'Ile.  Pays.  Productions,  171  et  suiv. 

—  Nombre  des  Hamtans.  Lenr  teint. 
Leur  langue.  Leur  caractère.  Leurs 
vétemens  et  ornemens.  Leurs  armes. 
Leurs  c^twnes.  Leurs  ustensiles.  Leurs 
pirogues"^  175  et  suiv.  —  Description 
pins  particulière  des  statues  gigantes- 
ques, ouvrage  d'une  civil)<',ition  plus 
avancée,  \90.—f^oyage  d*  LaPirouie, 
Naturels,  XII,  88,  90.  —  Sécheresse 
du  sol.  Sa  cause,  91.  —  Monnmens. 
Statues.  Pyramides  sur  les  tombeaux, 
95,  97,  98,  102, 110,  lit.  -  Popula- 
tion. Cavernes,  96,  115.—  Grandes 
maisons  communes,  99, 110. —  Iden- 
tité des  nat).  :1s  avec  les  autres  Poly- 
nésiens ,  1  1.  —  Sont  voleurs,  104. 
-i«- Pirogues,  105. —  Nourriture.  Cui- 
sine. Agriculture,  106, 1 14. —  'Vaincs 
semées  et  animaux  laissé»  par  les 
Français ,  109, 114.  —  Grau'l  manne- 
quin de  jonc,  111.  —  Description  du 


*f 


DES  MATIÈRES. 


431 


cratère  d'un  ancien  volcan,  112.  — 
Conjectures  aur  le  gouTernemeat,  115. 

—  Figure  et  maurs  des  habitans, 
XIII ,  163.  —  Volcan.  Statues.  Ca- 
vernes ,  167.  —  Bois  amené  par  les 
courans ,  XVII,  43-  —  Forme  Hau- 
leur,  XIX,  17.  —  PoDulation,  J96. 

Para  (ville  du  Brésil) .  Tigres  privés, 
t.  XLII ,  p.  70.— Situation.  Environs. 

—  Le  palais ,  72  —  Cathédrale ,  73. 

—  Usage  singulier,  73.  —  Considéra- 
tion sur  la  province,  76. 

Paivguajr  (  province  du  Brésil ,  au- 
jourd'hui État  séparé).  Détail  Mir  l'o- 
rigine, la  forme  et  les  progrès  de  '^'  > 
missions,  t.  IV,  p.  106  et  suiv.  — 
Expulsion  des  jétuiten ,  115  et  suiv. — 
Fondation  de  l'Assomption,  XXXVIII, 
Pi  352.  —  Voyage  dans  le  pavs , 
XLII ,  277  et  suiv,  Voy.  fiUariea. 

Paraguay  (  affluent  du  Parana  )  , 
t.  XXXVIII,  67,  68. 

Parahiba  (rivière  du  Brésil).  Singu- 
lières grenouilles ,  t.  XLI| ,  p.  236 , 
322.  —  Diverses  brandies,  509,  316. 

Pam/M'ia. (ville  du  Brésil ),  t.  Xlill , 
p.  318.  ' 

Paramaribo  (  capitale  de  la  Guiane 
hollandaise) ,  t.  XLI ,  p.  228. 

Paramalta  (ville  de  la  Monvelle- 
Galles  du  sud).  Aspect.  Maisons.  Rues. 
Climat.  Knvirons,  t.  XLIII,  p   26. 

Parana  (affluent  du  Rio  de  la  Plata), 
t.  IV,  p.  14,  XXXVIII,  66,  68.  — 
Reçoit  le  Paraguay,  67. 

Paramousir  (uneKltfS  lies  Kouriles), 
t.  XI,  p.  457, 

Paris  et  les  Parisiens  comparés  à 
Londres  et  à  ses  habitans,  .t.  XLVI, 
p.  282,  283. 

Parot  (  tle  de  l'archipel  ).  Marbres 
d'Arnndel ,  t.  XLVI,  p.  96. 

Parry.  Ses  recherches  du  p<Me  Ma- 
gnétique, t.  XL ,  p.  183.  —  Son  pre- 
mier voyage  pour  la  découverte  d'un 
passage  au  nord  de  l'Amérique.  Pré- 
liminaires, 244-  —  Nomme  la  biiie 
Mary-Board,  Crokerj  le  capEvérard, 
Home,  Bullen,  etc.,  262.  —  Décou- 
vre la  baie  Maxwell ,  264.  — '  L'Ile 
Léopold,  265. — «Les  caps  Clarence, 
Sippings ,  267-  —  Le  cap  Kater,  269. 
Les  baies  Fitz-Gérald ,  du  Prince-Ré- 
gent, Bowen  ,  270.  —  Le  cap  York , 
273.  —  L'anse  Hob-House;  caps  Her- 
sdiell ,  Hurd    etc. ,  274.  —  Les  baies 


Gaswyne,  Barlow;  les  caps  Hiley, 
Hotham;  les  Iles  Beechoy,  Corowallis; 
canal  Wellington;  l'entrée  dfl  Bar- 
row ,  275.  —  L'ile  Grifth^  le*  cap» 
Martyr ,  Walker,  279.  —  La  pointa 
Hosi ,  les  baies  Skène,  Bridport,  etc. , 
282.  —  La  grande  tle  MelviUc,  282 
à  284.  —  Cap  Providence,  Uay,  293. 

—  Opérations  pour  s'établir  en  quar- 
tier d'hiver,  précautions,  divertisse- 
mens  ,  295  à  344  —  Le  port  Winter 
et  l'archipel  de  la  Nord-Géorgie,  296. 
Effets  du  froid,  301,  305,  313,  316. 
— -  Voyage  à  travers  l'Ile  Melville, 
324  à  338.  —  Découvre  l'ile  Sa- 
bine ,  329.  —  Remet  à  la  voiie , 
344.  —  Découvre  la  terre  de  Banks, 
348.  —  Le  cap  Dundan,  351.  — 
Les  lies  Brown  ,  Somerville.  Nomme 
le  Nord-Sommerset,  le  Nord-Devon  , 
etc.  ;  354  —  La  baie  Eardiey  ;  le  cap 
Crawfurd ,  355.  —  La  baie  de  l'Ami- 
rauté; les  lies  Woollaston,  356.  — 
Entrevues  avec  les  Esquimaux  ,  360. 

—  Nomme  l'ile  de  l'Observation,  369. 

—  Deuxième  voyage.  Préliminaires, 
373.  —  Lnfrevurs  avec  les  Esqui- 
maux, 377,  402.  —  Explore  les  cAtes 
de  l'ile  Southumpton ,  et  donne  des 
noms  à  divers  lieux ,  374  à  393.  — 
Découverte  du  cap  Btichnan;  du  caual 
Hurd  ;  du  ca  p  Mon  ta  gue,  395< — L'anse 
Duckett,  397. —  Cap  Edouard;  baie 
des  Cinq  Grelins ,  400.  —  Découverte 
et  exploration  du  havre  Lyon ,  et  de 
la  baie  Ross ,  401  à  405.  —  Quartiers 
d'hiver,  406. — Découverte  du  détroit 
de  la  Fury  et  de  l'Hécla,  427.  —  Troi- 
sième voyage  ,  440.  —  Quatrième 
voyage ,  pour  atteindre  le  pûle  Nord , 
461 .  —  Voyage  en  chaloupe ,  465  et 
suiv. 

Parry  (groupe ,  Polynésie).  Décou- 
vert par  Bcechey,  t.  XIX,  p.  433.  — 
Voy.  Peel. 

Parsii  (  sectaires  de  l'Hind.  ),  Leur 

richesse  à  Surate,  t.  XXXVI,  p.  400. 

'—  Leur  état  à  Bombai.  Religion,  405. 

—  Funérailles ,  406. 

Patagonie  (pays  de  l'Amérique  mé- 
ridioDale).  Description  de  la  côte 
orientale,  t.  II,  p.  96-  —  A  do  vastes 
pâturages  sans  arbres ,  96.  —  Abonde 
en  taureaux  et  en  chevaux  >,97, 100. 

—  Colonie  espagnole,  XXI,  317.  — 
Sol,  323.  —  Animaux,  384. 


.*^_ 


^ 


h' 


432 


TABLE  GÉNÉRALE 


fît 


PaUgtni,  Ponrqnol  ainti  nomméi 
par  Magallaa ,  1. 1,  p.  129.  —  Taille, 
coultnr,  costume,  150.— Cabane*  de 

E>aux,  viveat  de  chair  crue  ,  134.  — 
oyen  qu'ils  emploient  pour  décliar- 
5er  leur  estomac ,  1 35  —  Tombeaux, 
41.  —  Leur  chasse  au  taureau,  Il , 
97.  —  Tatouage,  taille,  889  et  suiv. 
—'  Éperons ,  III ,  239.  —  Nou? eanx 
détails  sur  leur  taille,  leur  teint,  leur 
corps  ,  lenrs  Tétemens ,  Icnr  nourri» 
ture  ,  leurs  frondes  ,  240  et  suir.  — - 
Alliance  avec  les  Français,  IV,  53.  — 
ont  une  entrevue  avec  BongainTille, 
qui  fournit  des  détails  sur  leur  corps, 
leur  habillement ,  leurs  armes,  138 
et  suiv.  —  Taille.  Costume.  Occupa- 
tions, XX,  51  .—Leur  taille  a  été  exa- 
gérée, XXf,  319. 

Patatfui  (Ile  du  Niger).  Beauté.  Pro- 
ductions, kst  tributaire  du  Ouaoua, 
t.  XXX ,  p.  283,  264.  —  Habitations. 
Maison  de  correction  des  femmes. 
Statues,  291.  —  Costume  d'uu  prêtre 
païen,  292. 

Pathmoi  (flede  rArcbipel),  tom. 
XLVI,  p.  98. 

Patnà  (capitale  du  Beliar,  Hindous- 
tan  ).  Situation.  Grande  étendue.  Mai- 
sons ,  t.  XXXi,  p.  79.  —  Aspect  im- 
posant. Beau  jardin.  Ruines,  XXXVI, 
122. 

Patras  (ville  de  la. Grèce),  t.  XLIV, 
p.  319.  — Café,  520.  —Mariage  d'an 
Grec,  322  et.suiy.  —  Monnmens,  324. 
L'Odéon,  XLVI,  208. 

Pau-Kok.  Voy.  Fu-Kok. 

PACLDiirG.  Sa  croisière  dans  les  (les 
de  l'océan  Pacifique,  à  la  recherche  de 
matelots  révoltés,  t.  XVI ,  p  407.  — 
Passe  aux  Marquises,  417  à  435.  — 
Aux  Mulgraves ,  444  et  suiv.  —  Y 
trouve  un  matelot  qui  rend  compte  de 
la  révolte  ,  450  et  suiv. 

Peard  (ile,  groupe  Gambier ,  Poly- 
nésie). Découverte  par  Wilson,  t.  XIll, 
p.  440;  XIX,  97.  —  Nommée  par  Bee- 
che>,  122.  —Villages.  Momit^,  123^,^ 
129.  — Grand  bâtiment,  129,  148  — 
Areghcou  roi,  130. — Vétenens,  133. 
134. 

Pacheiaii.  Nom  donné  aux  habitans 
de  la  Terre  de  Feu,  t.  IV,  p.  163.  — 
Maisons«  Armes.  Canots  ,  1 ,  338.  — 
Grossièreté  ,  laideur,  puanteur,  IV, 
172.  —  Pirogues.  Armes,    174-  — 


Bon  raraotère,  175.— Jooglenrt,  178. 

—  Sont  peu  curieux,  V,  Si. — Hnttru, 
Tatouage.  Langue.  Armes  bien  ron- 
fectionnées.   Absence  de  gouverne- 
ment, 64.  —  Vie  errante ,  & ,  89. 
Comment  ils  se  procurent  le  feu,  VI 
396.  ^  Laideur,  IX,  65,68  et  suiv.  ~ 
Armes,  66.  —  Pirogues,  67.  — Stu- 
pidité,  68  et  »uiv.  —  Entrevues  avec 
eux.  Ne  sont  pas  si  stupides,   XXI 
273  et  suiv. ,  290,  560.  —  Occupai 
tions  des  femmes  ,    281.  —  Forme», 
figure ,  282,  295.  —  Canots ,  287.  — 
Armes.  Oruemens,  289,  SOI .—  Nour- 
riture, 511. 

PJehtur  (ile  du ,  archipel  des  Navi- 
gateurs). Découverte  pur  Kotzebue. 
Habiles  marins ,  t.  XVII ,  p.  338  et 
suiv. 

Pedro  (don).  Proclamé  eropcrenr 
constitutionnel  du  Brésil,  t.  XLII, 
p.  108.  —  Son  enfance ,  sa  jeunesse , 
nommé  régent  du  Brésil,  126.  —  Son 
goût  pour  les  arts  mécaniques,  In  mu- 
sique, la  chasse,  129.  —  Son  esprit 
de  duplicité,  130.  —  Se  fait  procla- 
mer empereur,  131.  —  F.st  cliassé 
ignominieusement.  Son  usurpalioo. 
Sa  mort,  132.  — Sa  garde,  sou  cos- 
tume à  l'ouverture  d'une  session  lé- 
gislative, 365  et  suiv.  —  Son  palais 
d'été,  370.  —  Sa  ligure,  370.  —  Pi.r- 
lait  le  français,  371 .  —  Sa  vie  privée, 
372. 

Peel  (tle  Sir-Robcrt,  groupe  Parry). 
Découverte  par  TIcifIcliey.  Port  Loyd 
t.  XIX,  p.  431,  434. 

P^gou  (proviuce  de  l'empire  bir- 
man), ^n^rme  physique  des  habitans, 
t.  XXXlt,  p.  240,  242  et  suiv.  - 
Campagne,  467.  —  Voy.  Rangtun. 

Pei-Ho  (rivière  de  Chine).  Voyage 
d'Amherst,   t.  XXXIII,  p.  351  à'S/l. 

—  Jonques ,  366.  —  Distinction  de 
celles  des  fonctionnaires ,  368.  — 
Voyage  de  Macartney,  429  à  442.  — 
Yachts ,  430.  —  Productions  des 
rives.  Pyramides  de  sel,  434. — Digues, 
écluses,  439.  —  Villes  qu'elle  baigne. 

—  Voy.  TitH-Sing^  Tong'KoUj  Tong- 
Chom. 

Péking  (capitale  de  l'empire  chi- 
nois ).  Détails  sur  la  mission  russe, 
t.  XXXIII ,  p.  2  —  Enviions.  Ville 
tartare,  188,  445,  446,  4W.  —  Mai- 
sons, 191  et  satv. ,  276,  448.  —  Rues, 


% 


.^: 


DES  MATIERES. 


433 


194,223,  2.%,  276,  278,  447.— 
Place»,  U4  —  Bontiqaei,  194,  276, 
448  ,  —  Paliiiit  impérial  ,194  —  Sa 
detcription  ,  281  a  289.  —  Monli-dê- 
piéH,  104.  —  Deuil ,  196.  —  Surtiea 
de  l'eiDuereur,  198.  —  Admiui»tr.i- 
tion  de  la  justice.  Peines ,  109  à  205. 
.—  Réserve  des  fonctionnaircH ,  205. 
Temple  de  Fo  206. — Autres  temples, 
245,  265, 2f(8 ,  276, 299, 307, 808.  — 
Costumes,  207  a  210. — Astroloffie.As- 
trooomos chrétieni,  211.  — Libraires, 
219,  307.  —  Imprimeurs,  220.  294. 

—  Joailliers,  221,  303,  —  Potiers, 
221.  —  Anes  k  louer,  221  —  Traî- 
neaux. Grottes  des  pauvres,  222.  — 
Églises  chrétienne»,  229,  249,  260.— 
Puits,  230.  —  Temple  de  la  terre, 
détails  sur  In  religion,  idoles,  etc., 
251  et  sniv.— Obélisque»,  234,  252, 
301 .  -Fonderie.  Idoles,  235.  —  Re- 
nouvellement de  l'an  ,  237.  —  Céré- 
monies religieuses,  240.  —  Mosquée, 
242.  —  Escorte  d'un  prince ,  243.  — 
Tombeaux.  Cimetière,  245,  262  * 
265.  —  Temples  de  Ho-Tcbang,  245. 
~  Fameuse  cloche ,  246.— Eléphans, 
247 ,  248.  —  Couvent  portugais.  Peu 
de  faveur  des  catholiques,  249  et  suiv. 

—  Ponts  en  marbre,  252,  289,  446. 

—  Lacs,  252, 300,  449.  —  Tours,  2.52, 
447. —  Fête  du  printemps,  257. — 
Funérailles  de  rerapereur  ,  258.  — 
Ecluses.  Canal,  261.  —Description 
de  la  ville,  269  à  323.  —  Signification 
du  nom.  FondatitÉi  ,<  269  et  suiv.  — 
Situation.  Saisons,  272.  —  Divisée  en 
deux  villes,  King-Tcbing  et  Yaï-lo- 
Tcbing,  273.  —  Etendue ,  273.  — 
Murs.  Portes ,  274.  —  FaïDourg». 
Population ,  277.  —  Sévère  police , 
281  et  suiv.  —  Les  trois  villes  de 
Kiog  -  Tching  ,  283.  —  Quartier  de 
Houang-Tching.  289  à  294.  —  Monts 
factices,  290.  —  Edifices,  291.— 
Statue  de  Fo.  Lac,  292-  —  Magasins 
à  poudre ,  soie ,  etc. ,  293-  -r  Quar- 
tier de  King-Tching,  294  à  302.  — 
Tribunaux,  295 et  suiv., 313.  —  Eta- 
blissement pour  les  concours,  298. 

—  Candidats.  Observatoire.  Temple 
de  Fo.  Monnaie,  299.  —  Obélisque. 
.1res  de  triomphe,  301 .  —  Quartier 
de  Vai-la-Tching ,  302  à  31 1 .  —  Ta- 
vernes. Batns.  Joailliers ,  302.  —  Dé- 
tails snr  le^  théâtres ,  303  à  307.  — 

XLVI. 


Ccréioonli  ....  laboirsge, 306.  451. — 
Ccntlution,  Distisction  de  PwLiag  des 
autres  rapiules.  Mours.  Classes  d'iia- 
bilans,  310.  —  Domestiques,  313.  — 
319.  —  Pompes.  Médecins.  Stations 
de  voitures,  314.  —  Denrées,  provi- 
sions,  810.  —  Conclusion  de  marché , 
319.—  Oan«e.  Réunions.  Jeux,  321, 
322. — Grand  faubourg,  375.—  Forti- 
fications, 447. — Description  de  la  ville  : 
ville  chinoise  ,  451 .  —  Eminence  du 
ciel,  452.  —  Palais  d'automne,  453.— 
Intérieur  d'un  palais,  454.  —  Popula- 
tiou,  456.  —  Filles  publiques,  457.  — 
Climat,  470.  —  Convoi  funèbre,  471. 

PtUa  (  ville  des  Hottentots  Nama- 
qnas  ).  Etablissement  des  missionnai- 
res, t.  XXIX,  p.  208. 

P»Uti>  00  Palaoi  (groupe,  archipel 
des  Carolines,  Polynésie).  Décou. 
vert  par  Pudilla.  Leur  premier  nom , 
t.  Il,  p.  27.  —  Ile  Sonforol.  Mission- 
naires et  leurs  travaux  ,  28,  50,  31 . 

—  Entrevues  avec  des  naturels,  28, 
31.  —  Formes,  figures.  Vétemcus 
des  naturels,  28.  —  Ile  Paulog,  fo- 
rêts ,  butenux ,  29.  —  Avidité  des 
naturels.  Tatouage,  32.  —  Naufrage 
de  WiUon,  XIII,  377,  379.  —  Gou- 
vernement. Bonté  du  roi.  La  cour. 
Cérémonial.  Ordre  de  l'Os,  380.  — 
J'riviléges  du  roi,  381.  —  Végé- 
taux, 381 ,  382.  —  Animaux.  Con- 
fitures, 382.  —  Bétel  et  petits  paniers 
à  bétel,  382,  383.  —  Maisons.  362, 
383.  —  Ustensiles.  Repas,  383.  — 
Armes ,  383,  384.  —  Canots.  Figure, 
formes,  vêtement  des  naturels,  384. 

—  Tatouages.  Omemens.  Mariages. 
Cimetières.  Caractère  des  naturels, 
385.  —  Ile  Orooloog.  Lee-Boo ,  It 
fils  dn  roi  s'embarque  avec  Wilsoa 
pour  l'Europe,  586.  —  Intéressans 
détails  sur  ce  jeune  homme,  386  à 
418.  —  Fruits,  390.  —  Bonté  des 
insulaires  pour  l'équipage  de  Wilson, 
391  et  suiv. 

^  P^léponite  (  partie  du  royaume  4e 
Grèce).  Voyage  de  Pouqneville,  tom. 
XLVI,  p.  207. 

Penjab  ou  Punjab  (un  des  États 
des  Seiks,  Hindoustan  ).  Beauté  de 
ses  plaines,  t.  XXXVII,  p.  4  — • 
Voyage  dans  le  pays.  Kureji*ka-Put- 
lund,8.— Puits.Sol.  Etat  de  l'agricul- 
ture. Anciens  canaux  des  Mogols ,  0, 

28 


«•■ 


^ 


484 


TABLE  GÉNÉRALE 


82.  —  Hnrn»  roynn»  do  Pultev,  10. 

—  Tremblement  de  trtre,  lo.  — 
ClMMe  roynio.  Belles  tontes,  17  et 
sniT.  —  Arm^e,  2a.  438,  447.  —  Cos- 
tumes, 19,  22, 42, 594,  454.  —  Mau- 
solée de  Juhangir,  28.  —  Produc- 
tions, 30,  32.  —  Bamnnggr.  Drl.us- 
pect  de  l'Himalaya ,  31 .  — ^  Pleutres  ou 
rivières,  34,  35,  52,  415,  415.  — 
NoHtla  (maladie  ). Crocodiles,  55.  — 
Chaîne  salée,  37.  —Mines  de  sel, 
88.  —  Exportation  de  minéral,  40. 
Villages  divers,  41,46,429,  458.  - 
Potewar.  Bcuiité  et  costume  des  natu- 
rels, 42.  —  Forteresse  de  Rotas.  Dé- 
tails historiques,  43  —  Singulières 
piles  de  maçonnerie,  46.  —  Dé- 
filé de  Margulla,  49.  —  Souvenirs 
d'Alexandre,  412,415,  410,455  — 
L'Aydaspe,  415.  —  Tribu  dos  Juns, 
418,420.  —  Shorkote.  Tr.iditiuns. 
Monnaies  antiques,  419,  420.  —  Oi- 
seaux et  reptiles  du  Ravy,421.  — 
Ruines  et  histoire  d'Harapa  ,  423.  — 
Chasse  au  tigre,  425.  —  Bnrqui',  427. 

—  Grand  canal,  453.  —  Culte  des 
Seiks ,  453,  —  L'Hyphasc ,  455.  — 
Jullinder,  457.— Le  Doah  du  Setledf^c, 
458.  Voy.  Allarii,  Amietsir,  Jelum,  La- 
hore,  capitale  ;  JUoultan,  Pind-Dadun- 
Aluut,  Pultty,  Bunjttt-Sinff,  Seikt, 

Ptniylvanie  (  un  des  États-Uni!)  ). 
Voyage  dans  l'intérieur ,  t.  XXXIX  , 
p.  210.  —  Funestes  effets  d'un  prin- 
cipe radical  en  matièce  judiciaire, 
236  et  suiv.  —  Composition  du  tri- 
bunal, 239.  —  Voy.  Philadelphie. 

Pentteôle  (  ile  de  la,  Polynésie). 
Découverte  par  Wallis.  Cabanes  des 
habitans ,  t.  III ,  p.  292.  —  Ancienne- 
talent  très  habitée.  Ossuaire  de  pois- 
sons, XIX,  157.  —  Sol.  Animaux,  158. 

Penleeàte  (  ile  de  la  ,  Nouvelles- 
Hébrides).  Découverte  par  Bougain- 
Tille.t.  IV.p.  267;VIIL,425. 

Pepyi  { île,  océan  Atlantique  ).  Vue . 
par  Cowley,   à    ce    qu'il  dit,   t.  1^ 
p.  353.  —  Vainement  cherchée  par*' 
Byron,  II,  384.  — Est  probablement 
une  des  lies  Malouines ,  420. 

Pfirékop  (  ville  du  gouvernement  de 
la  Tauride ,  Russie  d'Europe),  tom. 
XLIV ,  p.  400. 

Perles i^iXei  dçs,  mer  des  Antilles). 
Découverte  par  Nugnez,  t.  XXXVIIF, 
p.  318. 


Pemtoieutu  (Ile»,   arrhi^"     iinu- 
gerenx  ).  Découvertes  par  Sci.i  uei,- 
t.  II,  p. 56;  VIII,  2li 

P/r0f«( ville  du  Mexique).  Aspert 
Maisons,  t.  XLI,  p.  32. 

Pérou  (  république  ,  Amérique  mé. 
ridionale).  Imporfectiim  des  commu- 
nications par  eau,  t.  XVI ,  p.  45.  — 
Port  de  Casma,  409.  —  Do  Santa  , 
410.— -Conquête  do  Piïarro.XXXVIn'. 

317.  —  Origine    du  nom,   327.  

Richesses  des  Incas,  332.  —  Pi/.arre 
est  assassiné.  Troubles  qui  suivent  cet 
événement,  334  et  suiv.  Surface.  Po- 
pulation, 389.  —  Mœurs,  costume» 
modernes,  XLI,  389.  —  Pont  sun- 
pendu  du  Maypo ,  396.  —  Manière 
de  tuer  les  bestiaux,  401  à  404  — 
Voyage  dans  l'intériei^r ,  t.  XLH,  1  et 
suiv.  —  Ruines ,  10.  —  Villages ,  5 , 
15.  —  Chafhapayos,  16.  —  Abeilles. 
Cire  noire  ,  22.  — Danses  et  luttes, 
27.  —  Insectes  divers,  37.  —  Oiseaux 
divers,  40, 43. —  Quadrupèdes  divt'r.H, 
44,  46.  —  Uesccndans  des  Inqis , 
45  ,  75.  — ^  Considérations  génératoH, 

74.  \oy.  Callao  ,  Caxamarca ,  Coutu- 
matsa,  LiAta,  capitale;  lUoyobamba , 
Paita,  Truxiflo. 

Pérou  { Indiens  du  ).  Villages. 
Ancienne  danse ,'t.  XLII,p.  3,  31.  — 
Sarbacane  à  lancer  la  flècbe ,  25.  — 
Banchos.  Costume,  tatouage ,  32.  — 
Danses ,  33.  —  Loi  pour  le  travail  des 
femmes,  35.  —  Repas,  35.  —  Indiens 
canuibales,  38.  —  Pèches,  40.  — 
Sagacité  pour  s'orienter,  41.— -Tribu 
des  Origones ,  43»  45.  '—'  Tribu  des 
Yaguasy  descendaus  des  Incas,  45, 

75.  —  Indiens  de  Ucayale,  49.  — 
Tribus  diverses  ,  78  et  suiv. 

Pelouse  (de  La).  Sa  vie,  t.  XII, 
p.  1  et  suiv.  —  Préparatifs  de  son 
voyage  ,  dans  l'intérêt  de  la  science, 
25.  —  Accueil  qu'il  reçoit  à  la  Con- 
ception, 70  et  suiv.  —  Fêtes  qu'il 
donne  et  qu'il  reçoit ,  80.  —  Dé- 
crit l'ile  de  Pâques,  88  et  suiv.  —  Y 
fait  semer  des  graines  et  lai.sser  des 
animaux  d'Europe,  107,  109,  114. 
—  Voyage  dans  l'intérieur  de  l'île , 
108.  —  Découvre  la  baie  de  Monti, 
en  Amérique ,  152.  —  Nomme  le 
port  des  Français ,  160.  —  Malheur 
qu'il  y  éprouve  ,171  et  suSv.  —  Re- 
connaît et  nomme    plu&ieqrs  caps, 


DES  MATIÈRES. 


43& 


porta, 210 et laW.—Lei  lies  Crorère, 
218.—  Les  ilet  Kerouurt,  m  — 
Lei  Ilet  Sartine,  225.  —  Lei    ilei 
Merkor,  224.  —  Dérrit   la    bnio  do 
Mnnterey  et  les  CnUfornios,  227  et 
tuiv.  —  Découvre  l'ile  Neeker  ,  258. 
—  Décrit  Macao,  273.  —  Décuuvre 
l'Ile  Dagetot ,  333.  —  Nomme  et  dé- 
crit la  baio  de  Tcrnay,  344.  >*■  Y  dé- 
couvre un  tombeau  tartare,  351.  — 
Nomme   la  baie  de  Suffren,357.  — 
Le  pic  Lamanon,  359.  ■—  Longe  l'ile 
Ségalien,    nomme    plusieurs  baies, 
pointes,  371  et  suiv.  —  Décrit  la  baie 
de  Castries  et  ses  iiabitans ,  391 .  — 
Découvre   le  détroit  mii   porte  son 
nom,  415,   note,    418-  —  Nomme 
l'ile  Monnoron,  le  pic  de  Langle.  le 
cnp  Grillon,  417.  —  Fait  couunitre 
la  géographie  du  Jesso ,  de  l'ilu  Séga- 
lien et  de  la  cAte  d'Aitie ,  418  et  buiv., 
Xlll,12et  suiv.  Ëstbien  accueilli  pur  le 
gouverneur  du  Kamtscliatka ,   XII , 
439;    XIII ,   18,  32 ,  30.  —  Incur- 
sion dans  l'intérieur,  ver^  un  volcan  , 
23  et  suiv.  —  Fait  graver  une  inscrip- 
tion sur  le  tombes  de  la  Croyère  et 
de  Clerke ,  39.  —  Assassinat  do  Lan- 
gle, 100.  —  Arrive  ù  l'archipel  des 
Amis,  137.  — Décrit  l'ile  Norfolk, 
153.  —  Arrive  à  Uutany-Day.  Fiu  de 
son    journal ,   160.  —  Sa    dernière 
lettre  au  ministre  de  la  marine,  Kil. 
—  Recherché  par  d'Entrecasteaux  , 
XV,  1.  —  N'a  p^s  relAché  aux  îles  des 
Amis  ,  170. —  RënseigncmcnH  sur  son 
naufrage,  XVIII,  207,  334.  337,  370 
et  suiv.,  386.  —  Lieu  de  sou  naufrage, 
338,  340, 375,  386. —Monument  à  sa 
mémoire  à  la  Nouvellc-Hollnndc,  515. 
P^rouse  (détroit  de  La,  mer  du  Ja- 
pon ).  Découvert  par  La    Pérouse, 
t.  XH ,  p.  415.  418. 

Pérouse  (  iles  de  La,  Australie). 
Voy.   Tikopia  ,   yanikoro. 

Penant,  Peuples  de  la  race  Per- 
sane, t.  XXXI ,  p.  20.  — Noms  que 
les  Turcs  et  Arabes  donnent  auX 
Persans ,  208.  —  Médecine,  211.  — 
Sang.  Figure.  Caractèré.Mœur.s.Vices, 
214,  216.  — Paresse, 217,  223.— 
Education.  Civilités,  218.  —  Mauière 
de  s'asseoir,  221.  —  Suluts,  222.  — 
Noms.  Titres.  Jeux,  224. —  Vétemens. 
Toilette  des  hommes  et  des  femmes, 
226.  —  Luxe  de  domestiques.  Nour- 


riture.  Langues.  Ecriture ,  papier , 
etc.,    228.  —  Goût   dot   Mntences. 
Titre  du  roi.  Détads  sur  les  harems, 
230,  231.  — Fonctions  des  matrones^ 
des  eunuques,  234.— VI.iriagHs.  Droits 
paternels ,   230.  —  Pèleriuage  à  la 
Mecque,  2^).î.  —  Costumes  de  voyage, 
XXXV,  19.  —  Médecin,  46.  —  Etat 
des  personnes.  Vices ,  67  et  suiv.  — 
De  leur  politesse ,  73.  —  Caractère , 
74-  —  Religion ,  75.  —  Irréligion. 
Derviches,   70    —  Fête  du   nouvel 
an ,  présens  au  roi,  82  et  suiv.  —  Ini- 
mitié do  religion  avec  lesTurcomans, 
105—  Sccie  desAU-Allahis,  123.  — 
Amour  des  boissons  fortes,  197.  — 
Citants,  286.    —  Soufisme,    287    ■ 
295  —  Persans  de  Caboul ,  XXXVll, 
103.  —  Sort  des  Persans  esclaves  en 
Tatarie ,  229,  241 ,  2(i3  ,  277.  —  Fi- 
gure. Costumes ,  286. 

Peri*   (  empire     dtksie).    Usages 
resseniblans  à   ceux  de  l'Abyssinio , 
t.  XXni,  p.  335  et  suiv.  —  Voyage 
de  Chardin,    XXXI,   171  ,  195.   —  ^ 
Caravi-nscrais,  198.  —  Maisons,  206. 

—  Nom  du  pays.  Climat.  Vents,  208. 

—  Arbres.  Arbrisseaux.  Ambre,  210. 

—  Fruits.  Fleurs.  Métaux.  Minéraux. 
Pierre.  Animaux  domestiques  et  sau- 
vages ,  212.  —  Titre  du  roi ,  230.  — 
Tribu  d'Us   (  vagabonds  ).  Costume, 
ligure.  Usages,  XXXV,   26*  et  suiv., 
41.  —  Bassesse  du  peuple.  Cupidité 
des  ministres,  53   et   suiv  ,   6v.  — 
Gouvernement  méprisé ,  40.  — '  Acte» 
de  tyrannie,  42,69,  71,  78.  —  Puis- 
sance a  été  exagérée,  59.—  Limites, 
60.  —  Stérilité,  61  et  suiv.  —  Effets 
du  mirage  ,  63.  —  Triste  aspect  des 
grandes  villes ,  65.  —  Vices  de  la  so- 
ciété, 67  et  suiv.  —  Gouvernement, 
77,  80.  —   Anecdotes  sur   le  shah, 
mort  eu  1854  ,  78.  —  Présens  qui  lui 
revicnuent,  82.  —  Ses  femmes,  87. — 
Perception  des  impôts ,  88.  —  Armée, 
90.  —  Voyage  dans   le   Khorassan, 
121  à  310.  —  Ruines  antiques,  125. 
127.  — >  Lieu  du  meurtre  do  Darius, 
127.  —  Fameux  caravenserai ,  18tet 
suiv.  — •  Voyage  sur  les  côtes  de  la 
mer  Caspienne,  334.  —  Arbres ,  337, 
359,  34.5.  —  Scèue  de  la  vie  privée 
d'un  grand,  352.  Voy.  Atlraliad,  Ma- 
zandéran,  Ghilan.  — Tribu  chrétieunc  , 
384.  —  Décadence,  XXXVII,, 289. 


430 


TABLE  GÉNÉRALE 


—  Tribu  d*  Tarconans  soumise, 
311,312.  Voy.  ^*'rfl*«««/,  province  ; 
Aurbattjan,  province;  Dechtiita», 
province;  Ei»ani-Ktfy,Fl6oun ,  mont; 
bpahan,  Koum, Khoratian,  Ormux,  lie; 
Oroumia,  lac  ;  Talitch^  province  ;  7«- 
herm ,  capitale. 

Peiendores  (  ties,  Malaisie),  t.  XII, 
p.  319,  XVII,  461. 

Pethawar  ou  Piehaoué^  (  ville  du 
Caboul,  Asie). Environs,  t.  XXXYII, 
p.  58.  —  Costwme  de  chef,  60.  — 
Réjouissance  du  premier  jour  de  l'an, 
63.  •  Emploi  du  vendredi ,  6J-  — 
Rare   ntelligence.  Jeunes  enfans,  67. 

—  f  mbats  de  cailles,  68.  —  Poires 
lenommées,  102. 

Pe$th  (  capitale  de  la  Hongrie,  em- 
pire d'Autriche  ) ,  t.  XLIV,  p.  126, 

128,135.  — Bel  aspect,  136, 140.— 

Coumuniratious    avec   Bnde ,    136. 

—  Dames.  Rufc,  137. —  Marchands. 
Théâtres.  Musique,  138.  —  Den- 
rées, 139. —  Progrès,  188.  —  Le 
palatin,  194.  —  Ne  forme  qu'une 
ville  avec  Bude.  Edifices,  XLYI,  128. 

—  Foire,  130. 

Peterurardein  (  ville  de  la  Hongrie  , 
empire  d'Autriche).  Environs,  tom. 
XLIV,  p.  161.—  Communication  avec 
Neusatz,  162. 

Pétrels,  Oiseaux  qui  marchent  sur 
l^eau.  origine  de  leur  nom,  t.  III, 
p.  81,  _  Pétrels  bleus,  VU,  213. 

Pétropawlowtki  ou  Saint-Pierre  et 
Saint-Paul  (capitale  du  Kamtschat- 
ka).  Aspect  .nisérable  de  cette  ville, 
t.  XI ,  p.  309.  —  Embouchure  de  la 
rivière,  324.  —  Hôpital  russe ,  357. 

—  Funérailles  du  capitaine  Clerkc, 
382. —  Nombre  d'habitations,  447. — 
Son  phare,  XII,  439.  —  Voyage  au 
volcan  voisin,  XIII,  23  et  suiv.  — 
Aspect  de  la  ville  ,  47.  —  Religion 
grecque,  48.  —  Bains  de  vapeur,  60. 

—  Misère  du  pays.  Climat  malsain. 
Population,  XVII,  22.  —  Etat  en 
1825,  XVII,  394.  —  Les  ours  y  sont 
venus  dans  les  rues,  en  hiver,  397.— 
Embellissemens.  Améliorations,  XIX, 
437.  —Son  port, XXXI,  360.  Voy. 
jiwatska. 

Peybon.  Son  voyage  en  Espagne , 
t.  XLVI ,  p.  1G9. 

Phate  (fleuve  de  la  Mingrélie,  Asie). 
Origint  de  son  nom,  t.  XXXI,  p.  19U. 


Ph/niei*Ht.  Leurs  premières  navi- 
gâtions,  t,  I,  p.  2.  —  Franchissent 
les  colonnes  d'Hercule  ,2.  —  Leur 
voyage  autour  de  l'Afrique,  3.  — 
fondent  Carthage,5. 

Pichaoutr.  Voy.  Ptshawur. 

Philadelphie  (capitale  de  la  Pen- 
sylvanie).  Aspect,  t.  XXXIX,  p.  210, 
219.—  Sociétés  scientifiques,  213, 
218.  —  Hospices.  Ecoles ,  214.  —  De 
la  librairie,  215. —  Bibliothèques, 
217. —  Noms  des  rues ,  219— Tombe 
de  Franklin,  220.  —  Institutions  di- 
verses. Salle  célèbre,  221.  —Déca- 
dence ,  229.  —  Rues  tendues  de  chaî- 
nes, 429,  438.  —  Aspect.  Rues.  Mai- 
sons, 434.  —  Monnmen^,.  Tristesse 
de  la  ville ,  435.  —  Magasins.  Loterie. 
Bains  de  Loog-Branch  ,  436.  —  Inté- 
rieur d'une  synagogue  de  quakers, 
437.—  Société.   Costumes,  439,  447. 

—  ('ondition  de  la  femme,  440  à  443. 

—  Beaux  environs.  Calme  de  la  ville. 
Faste  desmonumens,  XLI,  270. 

Philippines  (îles  de  la  Malaisie).  Dé- 
couvertes par  Magellan  qui  les  nomma 
archipel  de  Saint-Lazare ,  1. 1,  p.  146. 

—  Conoucfs  long-temps  sous  le  nom 
de  Manilles.  Conjecture  sur  l'origine 
de  cette  dénomination,  443.  —  Wn- 
sieurs  erreurs  de  Dampier  à  leur 
égard  corrigées,  III,  170, 178.— Dés- 
avantage du  gouvernement  de!>  Espa- 
gnols, XII, 298. —  Extrême  tercilité  du 
sol ,  303.  -n  Nouvelle  compagnie  des 
Philippines ,  304.  —  Pirateries  des 
Mores  ou  Malais  mahométans , 
305.  —  Détails  sur  les  naturels, 
XVriI,  441.  -  Population ,  XX,  216. 

—  Premiers  établissemens  espagnols 
Climat.  Productions.  Objets  d'expor- 
tation, 217,  219.  —  Bains.  Couches 
précoces  et  heureuses,  222  et  siiiv, — 
Mines,  plantes,  animaux,  XLIII,  viij 
et  .suiv.  Voy.  Bafchjr,  Luçon,  Marivelle, 
Mondrain. 

Philippines  (Nouvelles-  ).  Voy,  Ar- 
chipel des  Carolines. 

Phania  (île,  Polyaésie),  t.  XVII f, 
p.  391. 

Phoques.  Voy.  Castors  marins.  Chais 
marins.  Chevaux  marins.  Chiens  marins, 
Eléphans ma'^ins ,  Léopards marins,£ions 
mnrins,  yeaux  marins. 

Ph»-Kuolte.  Voy.  Fu-Kok. 

Pie-de-i' Etoile  (  île  des  Nouvelles- 


DES  MATIÈRES. 


Hébrides  ).  Découverte  par  Bougain- 
ville,  tom.  IV,  pag.  267,  VIII ,  421. 

PicHOT.  Son  voyage  en  Angleterre 
et  en  Ecosse,  t.  XLVI,  p.  273. 

Pico  (île  dn  groupe  des  Açores).  Dé- 
couverte par  les  Portugais  ,  t.  IX , 
]>.  157.  —  Est  la  plus  grande  des 
Acorps.  Sa  population.  Ses  vignc.i , 
»58;  XX,  442. 

Pi/mont  (  province  du  royaume  de 
Sardaigne).  Coup  d'œil  sur  le  pays. 
Turin,  t.  XLVI,  p    266. 

Pierre  V*""  (Ile  de  I  océan  Glacial 
.lottrctique).  Découverte  par  Belling- 
bausen ,  t.  XXI ,  p.  446. 

Pigeon  blanc  antarctique.  Sa  des- 
cription, t.  XV,  p.  326  et  suiv. 

Pilaret  ,  on  Pillar,  ou  det  Pilliers 
(  cap ,  Terre  de  Feu  ).  Sa  descrip- 
tion, t.  IV,  p.  193.  —  Sa  distance 
du  cap  des  Vierges  à  l'autre  extrémité 
du  détroit  de  Magellan,  l95. 

PrLATi.  Son  voyage  en  Hollande , 
t.  XLVI,  p.  190. 

PtMtRjr  (  ile,  détroit  de  Malacca). 
Bel  aspect,  t.  XXXIV,  p.  13.  —  In- 
dustrieuse colonie  de  Clûnois  ,  14.  — 
Ville ,  16.  —  Caractère  des  Indiens  et 
des  Cbinois,  17.  — *  Belle  campagne, 
19. —  Climat,  20,  23.  —  Animaux 
singuliers,  21.  — •  Végétaux.  Oi- 
seaux ^22. —  Climat  de  l'hiver,  23. 

—  Montagnes ,  24 ,  27.  —  Distribu- 
tion des  plantes,  24  —  Cacaotier  j 
26.  —  Productions  agricoles ,  28.  — 
Poivriers,  29.  —  Girofliers.  Cafiers  , 
etc.,  30.  —  Mont  Palmer,  33.  — 
Phosphorescence  de  1»  mer,  34. 

PtHOOW  (Vinceot-F.inez).  A  décou- 
vert le'Bré.sil ,   tom.  XVIII,  pag.  53 

xxxvin,244. 

Pind'DadanKhan  (  ville  du  Pen- 
jab,  Hindoiistaa  ).  Maisons,  tom. 
XXXVII,  p.  56.  —Mines  et  mineurs, 
37. 

Pingouins,  Oiseaux.  Origine  de 
leur  nom ,  1. 1 ,  p.  233.  —  Leur  des- 
cription, 234;  II,  101;  IV,  75;  VII, 
212.  —  Out  le  sommeil  dur,  IX,  86. 

—  Leuï.s  trois  espèces  aux  Maloui- 
nes,  XVIII,  122.  —  Leurs  mœurs, 
XXI,  233. 

Pingouint  (îles  des  ,  cAte  d'Améri- 
(pie  septentrionale  ,  sud  ).  Décou- 
verte par  Noort,'  tom.   I,  pag.  245. 

Piitt    (  îles    des,  Nouvelle-Calé- 


donie ).  Découverte  par  Cook  »  t.  IX , 
p.  12. 

PiifTO.  Son  voyage  en  Asie,  tom. 
XXXI,  p.  51. 

Pitania  (ville  du  royaume  de 
Yany,  Sénégambie  ).  Commerce, 
t.  XXV,  p.  26.  — Jurisprudence.  Avo- 
cats, 37. 

Pisgah  (île  du  Mont-,  Shetland 
mérdional).  Découverte  par  Fanning, 
t.  XXI ,  p.  452. 

Piteaiin  (île,  Polynésie).  —Dé- 
couverte par  Carteret,  t.  III,  p.  107. 

—  Détails  sur  l'établissement  de  l'é- 
quipage révolté  du  capitaine  Bligh, 
XIX,  23  et  suiv.  —  Etat  de  l't  tablis- 
jtemeut  en  1825,  58  et  sniv.  —  Vête- 
ment des  insulaires,  61.  —  Figure, 
62 ,  89 ,  90.  —  Habitations ,  63 ,  66. 

—  Repas.  Prières,  64,  8t,  92.  —  Mo- 
raïs  ,  statues,  vases  anciens,  68,  74- 

—  Danse.  Musique,  71.  —  Culture, 
77.  —  Prohibitions  dans  le  mariage, 
les  mêmes  qu'en  Angleterre,  79.  - 
Fmploi  du  tempt ,  83.  —  Mariages. 
Baptêmes,  85.  —  Traitement  des  en- 
fans,  maladies,  92.  —  Productions 
végétales ,  94.  —  Population  ,  95. 

Pithcea  (  ville  du  INordland,  Sué- 
dois), t.  XLV,  329. 

Pitt  (ile, groupe  Vanikoro).  Décon- 
verte  par  Edwards,  t.  XIII,  p.  427  ; 
XVIII,  342. 

Pitt  (  archipel  de  la  côt«  de  la  Nou- 
velle-Hanovre, Amérique  septentrio- 
n-ile  ).  Nommé  par  Vancouver ,  tom. 
XIV ,  p.  430. 

Pitt  (  île,  archipel  de  Pitt).  Caba- 
nes temporaires  des  ha^itans,  t.  XV, 
p.  450. — '  Environs  de  la  baie  Tchin- 
kitaué.  Productions.    Animaux,  452. 

—  Pelleteries,  oiseaux,  poissons, 
454  —  Physique  des  naturels  ,  ta- 
touage, 4.'ï8.  —  Ornement  labial  dos 
femmes,  458.  —  Armi  s,  industrie  , 
chaut,  langue ,  460. 

Pitt      (  île,    terre    de 
Découverte  par  Biscoë,   tom.  XXI^ 
p.  462. 

PizARRE.  Prépare  une  expédition 
ponr  la  conquête  du  Pérou,  tom. 
XXXVIII,  p.  317.  —  Découvertes  di- 
verses, 319. — Découvre  l'île  Gorgone, 
321.  —  L'Ile  Sainte-Claire,  324.  — 
Le  port  de  Paita,  de  Saint&.Croix, 
325.  —  Revient  à  Panama  sans  s'être 


Graham  ), 


'138 


TABLE  GÉINÉRALE 


enrichi,  327.  —  Vient  en  Espagne  où 
il  est  nommé  gouvcmpur  du  Pérou, 
Î28.  —  Nomme  Pucrta  Viejo ,  329. 

—  Reçoit  des  ambassadeurs  de  Huas^ 
car,  prince  péruvien  ,  330.  —  Re- 
çoit des  présens  de  l'Iaca  Atahualpa, 
331.  —  Arrive  à  la  capitale  Caxa- 
marca ,  332.  —  Fonde  Los-Reyes  , 
Truxillo.  £st  nommé  marquis,  333. 

—  £st  assassiné ,  334.  ■—  Son  carac- 
tère, 335. 

Plaia  (la,  république  de  l'Amérique 
septentrionale).  Détails  sur  les  pre- 
miers établissemens  des  Espagnols, 
t.  IV,  p.  14  à  54.  —  Voyage  dans  le 
pays ,  XLI ,  288  et  suiv.  — ^  Manière 
de  tuer  les  bestiaux ,  401  à  404.  Voy. 
Bufyot-Ayres,  capitale;  Mendoza, San- 
Luii,  Ufpallata,  FiUa-F'icentia. 

Plate  (  île  de  la  Colombie  ).  Son 
aspect.  Ses  animaux.  Sou  étendue, 
t.  XVI,  p.  88,  90. 

Plata  (  Rio  de  la,  fleuve  de  l'A- 
mei-ique  méridionale  ).  Ce  qu'il  est. 
Son  embouchure,  ft  IV,  p,  14.  — 
Détails  sur  les  établissemens  des  Es- 
pagnols sur  ses  bords,  14  et  suiv.  — 
Origine  de  son  nom,  17,  —  Fleuves 
qui  le  forment,  XXXVIII,  66.  —  Son 
embouchure  ,  67.  —  Inondations. 
Cours ,  68.  —  Découvert  par  de  Solis , 
344.  —  Cabot  découvre  les  îles  Saint- 
Gabriel  ,  345.  —  Nommé  par  Cabot, 
347.  —  Fondation  de  Buénos-Ayres, 
349.  Voy.  Parana,  Uruguax, 

Plate  (île,  archipel  des  Navigateurs). 
Aspect  agréable,  t.  XVII,  p.  340.  — 
Deurées.  Jolis  petits  perroquets,  342. 

—  Nombreuse  population  ,  344. 
Plate  (île,  groupe  de  la  Rév'olutiou). 

Découverte  par  Marchand ,  t.  XV , 
p.  435. 

Plie  (île  delà,  Amérique  russe). 
Nommée  par  Cook,  t.  XI .  p.  35.  — 
Voioiin  sur  la  côte  iiJjaceme,  36. 

Plongeons  (  île  des  )  ou  Pylitracl 
(Au  stralie).  Découverte  i>ar  Tasmau  , 

t.  I,  p.  347;  VIII,  90. 

Plumb  (ils  ,  Polyuésie).  Découverte 
par  Edwards,  t.  XIII,  p.  430. 

Podolie  (  gouveruemeut  de  la  Rus- 
sie d'Eurojic).  t.  XLIV,  p.  386. 

Podolgk  (ville  du  gouvernement  de 
Moscou,  Russie  d'Europe),  t.  XLIV, 
p.  356.  —  Édifices  religieux  .  357. 

Pçdor  (ville  sur  le  Scncg.il;.  Comp- 


toir et  fort  françaix  ,  t.  XXII ,  p.  61. 

—  Température ,  62.  —  Campagne 
64;XXVI1I,433. 

Poision.  Ressemblant  à  un  singe, 
t.  I,  p.  165.  —  Volant,  IV,  281;  VII , 

176  ;  XV,  337.  —  A  voiles ,  V,  15 

Qui  se  plait  sur  la  terre  sèche ,  VI . 
256. 

Poissons  (rivière,  Afrique).  Décou- 
verte par  les  Portugais ,  1. 1 ,  p.  28. 

Pola  (  lie  du  golfe  Adriatique  ) , 
t.  XLIV,  p.  333. 

Pola  (île ,  archipel  des  Navigateurs). 
Étendue.  Beauté,  t  XIII,  i>.  113; 
XVII,  330,344. 

Polair»  (cercle),  t,  XLV,  p,  135. 

Pologne  (  État  de  l'empire  de  Rus- 
sie). Voyage  dans  le  pays,  t.  XLVI, 
p.  133, — r  État  des  personnes ,  privi- 
lèges, régleuiens,  etc.,  des  quatre  clas- 
ses,  133  à  135. —  Juifs.  Cracovie, 
1 35.  —  Fort  Landskrone.  Caractère , 
saluts,  costumes,  des  Polonais,  137. 

—  Origine  de  ce  peuple.  Miues  de 
Wiehtska,  158.  —  Varsovie,  138.  — 
Lieu  de  la  signature  du  partage  de  la 
Pologne,  139. 

Pomotou  (iirchipel).  Voy.  Dangereux. 

Pondichérx  (ville  du  Caroatic ,  Hin- 
doustan,  à  la  France).  Déplorable 
état  actuel,  t.  X\1II,  p,  397.  — 
Fonctions  du  daubashc  ou  guide  des 
étrangers.  Usage  très  fréquent  du  pa- 
lanquiu.  Historique  de  sa  fouda- 
fion.  Bouuc  situation,  430,  — Beauté 
des  environs,  Tisseranderie  très  ré- 
pa'^due.  Horreur  des  Indiens  pour  la 
viande,  Monumeiis,  432,  434.  —  Co- 
chons sauvages  .  434.  —  Historique 
de  i'ctabUssement.  Belle  situation.  En- 
virons. Ravages  des  Anglais,  XXXI, 
458.  —  Aidées ,  ou  village»  des  envi- 
rons, 460,  462.  —  Brames,  461.  — 
Belles»  iutures,  462-  —  Célèbre  pa- 
gode. Cathédrale  des  Ini.^sions.  Palais 
du  gouverneur,  463,  464-  -  Mousti- 
ques. Maisons,  465.  —  Saisons.  Mar- 
chés, Belles  femmes ,  463. 

Popa^an  (^ville  de  la  Colombie  ), 
t.  XH,p.  4ol. 

Portail  (île  du,  archipel  de  la  Nou- 
velle-Bretaguej.  Découverte  par  d'En- 
trecasteaux,  t  XV,  p.  276. 

Porter.  Ses  courses  dans  la  mer 
du  Sud,  contre  les  Anglais,  t.  XVI, 
p.  1.  —  Ses  prises   sur  les  Anglais  , 


DES  MATIERES. 


430 


39, 71,  95,  98, 125.  —  Découvre  l'He 
Porter,  73,  81.  —  Récapitulation 
d'une  partie  de  sa  campagne ,  124.  — 
Décrit  rtle  Madison  ou  Noiika-Hiva  , 
149.  —  Ses  démêlés  avec  la  tribu 
guerrière  des  Ueppahs ,  156, 163, 174, 
if86,  209.  —  Est  visité  par  des  chefs , 
166,  174,184.  —  Fait  construire  un 
petit  village,  223,  235- —  ses  démêlés 
avec  la  tribu  guerrière  des  Typées , 
243  ,  246 ,  267  et  suiv.  —  Fait  cons- 
truire un  fort,  250.  —  Prend  posses- 
sion de  l'île  Nouka-Hiva,  255.  — 
Visite  un  chef,  260.  —  Expéditions 
contre  les  Typées,  263  gt  suiv.,  279 
à  304.  —  Son  vaisseau  capturé  par  les 
Âuglais,  358.  —  Aventures  de  son 
lieutenant,  371.  Voy.  Gamble. 

Porttr  (ilç,  lies  Gnllapagos).  Son 
bel  aspect,  t.  XVI ,  p.  73.  —  Arbus- 
tes ,  79.  —  Énormes  tortues  ,81. 

Porter.  Son  voyage  en  Turquie, 
t.XLVi.p.  100. 

Portlarùi  (  canal ,  Nouvelle  -  Cor- 
uouaille,  Nouvelle-Bretagne,  Amérique 
septentrionale).  Reconnu  en  canots  et 
nommé  par  Vancouver,  t.  XIV,  p.  436, 
446. 

Portland  (île ,  archipel  de  la  Reinç- 
Ctiarlotte).  Découverte  par  Cartcret, 
t.  III, p.  126. 

PoRTLOCK  et  DixoN.  But  de  leur 
voyage,  t.  XIH  ,  p.  '279.  —  Arrivent 
aux  îles  Saudvvi'-h,  280,287  et  suiv, 
-Dixon  nomme  lu  port  Mulgrnve  sur 
la  cfSte  d'Amérique,  285,  301.  — 
Portlock,  le  liavre  Portloek,  299. — 
Uixnn,  le  détroit  de  Norfolk,  301. 

Portlock  (havre  de,  Amer,  russe). 
Nommé  par  Portlock.  Ornement  la- 
bial des  naturels,  t.  XIII,  p.  299. 

PortO'Caiello  (port  du  Venezuela, 
Amérique  méridionale).  Climat,  f  or- 
tifications  ,  t.  XXXVlll,  p.  368- 

Porto-Rica  (île.  Grandes  Antilles). 
Découverte  ])ar  Colomb,  t.  XXXVIlI, 
p.  241,  215,217.  -  Ruines,  247. 

Portugal.  Ses  haliitaus  .ipprennent 
la  uavigatiuii  des  Maures.  Leurs  dé- 
couvertes ,  tom.  I ,  p.  1 . ,  —  Leurs 
voyages  le  long  des  côtes  d'Afrique. 
Encouragés  par  le  prince  Henri,  19. 
—  Découvrent  Madère,  id.  —  Con- 
naissent pour  la  première  fois  la  pou- 
dre d'or,  20. —  Frauehisscnt  l'embou- 
dmre  du  Sénégal ,  23.  -    Découvrcut 


les  Acores ,  24  —  L'île  de  Fcrnando- 
Po,  26.  —  Remontent  le  fleuve  de 
Congo  [Zaïre),  27.  —  Découvrent  la 
rivière  des  Poissons,  28. — Éprou- 
vent des  revers  aux  Indes  après  la 
mort  d'Albuquerque,  106.  —  Pénè- 
trent jusqu'à  Siam  et  à  Canton ,  107- 
—  Découvrent  Fornéo,  Célèbes,  l'ar- 
chipel des  Philippines;  enfin  le  Japon, 
108.  —  État  de  leur  domination  et  de 
leur  commerce ,  ibid.  —  Perdent  les 
Molusques,  Ceylan,  etc.  Ne  conser- 
vent, après  leur  première  con- 
quête, que  Goa  JMeliapour,  119.  — 
Leurs  découvertes  en  Afrique  avant  le 
dix-nçuvièrae  siècle,  XXII ,  8. 

Portugal.  Voyage  dans  le  pays , 
t.  XLVl,  p.  185  et  suiv.  — Climat, 
185.  —  Tremblemens  de  terre.  Fleu- 
ves. Provinces.  Premier  oranger  ap- 
porté de  la  Chine,  186  —  Etat  de 
l'industrie.  Caractère.  Figure  des  Por- 
tugais, 187,188. 

Poiewar  (contrée  du  Pcnjab,  Hin- 
doustan).  Beauté  des  habitans.  Costu- 
mes, t.  XXXVII,  p.  42. 

Poiter [lie,  océan  Atlantique).  Dj- 
converte  p,  rFanning,  t.  XXI  ,p.  4' '4 
Poulo-Condore.\ow.ConJore  et  cher- 
cher de  même  au   second  mot  tous 
ceux  commençant  par  Poulo. 

Pounah  (ville  du  Dekkau ,  Hindous- 
tan  ).  Aspect.  Rues.  Montagnes  des 
Gattcs.  Auciens  forts,  to'n.  XXXVI  , 
p.  424.  —  Temple  de  Si.-a.  Crabes 
Population.  Pauvreté  de  la  ville,  425. 
—  Palais ,  426. 

PorQUEVt  i.r.E.  Son  voyage  en  Grèce , 
t.  XL\    ,  p.  206. 

Pourpre  dei  anciens.  Ce  qu'il  pour;  ui' 
être  ,  t.  V,  p.  16. 

Pojr,  Description  de  ce  bel  oiseau  , 
t.  VII,  p.  284 

Po~Yang  (lac  de  la  Chine).  Teruple 
de  Confucius.  Portails,  t.  XXXIII, 
p.  407.  — '  Beauté  des  e^.  >  -  )i)s,  408. 
PrasUn  (port  de  l'ile  Saota-Isabella, 
archipel  Saiomon).  Nouimé  par  Sur- 
ville,  t.  III ,  p.  430. 

PrasUn  (port  de  l'île  de  la  Nou- 
velle-Bretague).  Nouimé  ut  décrit  par 
Bougaiuville ,  t.  IV,  p.  3G1  et  suiv. 

Predpiiate  ou   Entreprise    île,  Po- 
lynésie).  Découverte    par   Kotzebuc. 
NatureLs.  Canots,  t.  XVll,  p.  266. 
Premiérc-Fue  (île  de  la ,  Ànstrolie)» 


il!    I»' 


440 


TABLE  GÉNÉRALE 


Découverte  par  Sarnlle ,  t.  III ,  p.  429. 

Prttbourg  (clief-liea  de  la  Hongrie , 
empire  d'Autridie-) ,  t.  XL[V,  p.  156. 

Prince  (île  du  ,  Malaisie).  Descrip- 
tion de  Samadang ,  sa  capitale  , 
t.  VII,  p.  112.  —  Denrées  du  pays  , 
114, 116,  1 19  —  Description  de  l'île 
et  de  ses  liabitans ,  1 1 5.  —  Leur  nour- 
riture, 116.  —  Maisons  de  leurs 
villes  portées  sur  des  colonnes,  117. 

—  Leur  caractère  et  leur  langage 
1 18. 

Princes  (ile  de  la  terre  de  Sand- 
wich ).  Découverte  par  Fanning  , 
t.  XXI,  p.  455. 

Prise-de-Postettion  (lie,  océan  An» 
.rctique).  Découverte  par  Marion  , 
t.  IV,  p.  404. 

Premt  (ville  do  l'empire  birman). 
Étendue.  Restes  de  fortificiiti./ns. 
Denrées  commerciales ,  t.  XXXIV, 
p.  471.  —  Population,  472. 

Providence  (ville  duBhode-Island  , 
États-Uniî,),  t.  XXXIX,  p.  173. 

Providence  (île  de  la,  Australie). 
Découverte  par  Mcares  ,  t.  Xfll  , 
p.  344. 

Puebla  (ville  du  Mexique)  .  t.  XLT  , 
p.  35.  — •  Aspect  de  l.i  ville,  36.  — 
Magnificence  des  églises,  36,  38,  40. 

—  Rues.  Pavage ,  36.  —  M;iisons , 
appartemens ,  37.  —  (louvernement. 
Marché  et  denrées ,  41 ,  42.  —  Fa- 
briques de  savon.  Confitures,  43- 


Puerto  -  Sanfo    (lie,    Afrique    sud- 
ouest).  Découverte  par  les  Portugi'is 
t.  XXII ,  p.  9. 

Puerto-Viejo  (ville  delà  Colombie). 
POicnomméparPizarre.t.  XXXVIll 
p.  529. 

Puh.irreis  (montagnards  du  Ben- 
gale). Mœurs.  Coutumes,  t.  XXXVI 
p.  101,  107,  109.  —Figure,  103, 
108.  — Gouvernement,  108.  —  Re- 
ligion, 110.  —Funérailles,  111. — 
Mariages,  Sermens  ,  112.  —  Leur 
contrée,  113. 

P^ka  (ville  de  l'Yal-ibâ ,  Guinép). 
Cos*  ime  duchef ,  t.  XXVIII ,  p.  117. 

Pulo-Condore.yoy,  Condore,et  cber- 
cbez  de  même  au  deuxième  mot  ceux 
commençant  par  Pulo. 

Pundi  (province  du  Bourgou  ,  Sou- 
dan),  t.  XXX ,  p.  248,251. 

Punjab.  Voy  Penjab. 

Pvttef  (  ville  du  Penjab  ,  Hin  • 
doustan).  Canaux  des  empereurs  mo- 
gols,  t.  XXXVII,  p.  9.  —  Popula- 
tion. Maisons.  Haras  royaux,  10. 

Pjrlttraat.  Voy.  Plongeons. 

Pjrramidt  d'Egypte  Dissertation  sur 
leur  destination,  t.  XXII ,  p.  309  et 
suiv.  —>  Pyr.imides  d'argile  ,  XXIII  , 
71.  -—  Explications  de  l'usage  dos 
petites  chaBfcbres  ,  XXXIY,  236  note. 

Pyrénées  ^  monts  d'Europe),  t.  XL  VI, 
p.  24.  —  Hauteurs  des  principaux 
point.  Régions  des  grands  arbres,  5o, 


que» ,  361  ,  3( 


a 


Quadra  et  Vancouver  ou  Noolha  (île, 
ouest  de  l'Amérique  septentrionale  ). 
Raisons  de  croire  que  les  lirbitans  sout 
cannibales,  t.  X,  p.  346,  389.  — 
Sont  voleurs ,  347.  —  Comment  ils 
abordent  les  vaisseaux  ,  348.  358.  — 
Comment  ils  sèchent  le  poisson,  354. 
— Leurs  idées  précises  de  la  propriété, 
36O.  —  Description  du  pays  ,  .364.  — 
climat ,  365.  —  Productions  ,  366. — 
pourrures  de  commerce ,  368.  — 
^nimaux  marins  ,  370  ,  J7Q-  —  Lou- 
tres ,  371.  —  Oiseaux  ,  372.  — 
(jiseaux.de  mer,  573.  —  Poissons, 
574.  —  Coquilhîges ,  376.  —  Rep- 
jiles.  Insectes  ,  377.  —  Pierres  ,  378 
—  Figure  des  jjubitiins  :  leiiit ,  vête- 
mens  ,  oruemeus  ,  379  el  suiv.  —  Vê- 


tement de  cérémonie  ,  384.  —  Mas- 
ques de  bois  monstrueux ,  385.  — 
Habit  de  guerre ,  387.  —  Discours  , 
388.  —  Caractère  des  habitaus  ,  389. 

—  Amour  do  la  musique,  590.  — 
Chant ,  instrumcns  de  musique  ,  o9l. 

—  Description  d'un  village,  manière 
de  construire  les  maisons  ,  394  ,  398. 

—  Intérieur  des  maisons ,  596.  •— 
Meubles  et  ustensiles,  397.  — Figures 
de  bois,  398,  421.  —  Oceui)atiou 
des  hommes  et  des  femmes  ,  399.  — 
Nourriture  animale  et  vcgétile.  Cui- 
sine, 401  et  suiv.  —  Saleté  de?  epas, 
406  —  Armes,  407.  —  Manufac- 
tures ,  arts  mécaniques ,  408.  — 
Sculpture  et  peinture  ,  410.  —  Cons- 
truction des  pirogues,  411.   —  Atli 


DES  MATIÈRES. 


441 


mil  de  pèche  et  de  chasse,  412.  — 
Outils  de  fer,  414.  —  D'où  peuvent 
ils  s'être  prociir  ce  "métal  ?  415  et 
suiv.  —  Institution»  pohtiqucs  et  reli- 
gieuses ,  420.  —  Lnngue  ,  421. — 
Marées ,  424.  —  Nombre  des  natu- 
rels de  l'entrée.  Village ,  XIII ,  356. — 
Aspect  du  continent  d'Amérique  , 
357.  — f  Saisons,  Ports  divers.  Pro- 
ductions végétales ,  358-  —  Ani- 
maux de  terre  et  de  mer,  359.  —  Ta- 
touages ,  360,  305.  —  Formes  physi- 
ques ,  361  ,  362.  —  Compression  de 
la  tête  des  enfans  ,  361.  —  Épilution, 
362.  —  Teint.  Traits.  Chevelure,  365. 
—  Habillement  des  hommes ,  363  à 
365.  —  Orncmens,  366,  367,  369.— 
Habillement  des  femmes ,  367.  — 
Costume  de  guerre,  368.  — Cirac- 
tère,  369.  —  Anthropuphagie  ,  des- 
cription d'un  repas,  370.-—  Occu- 
pations, 371,  37Û.  —  Canots.  Har- 
pons. Pêches  de  la  baleine  et  autres  , 
372.  —  Industrie ,  373.  —  Guerres  , 
374.  —  Polygamie  peru-ise  aux  chefs. 
Mariages,  375.  —  Religi  >n,  376.  — 
Exploration  par  Va;, couve  •  du  détroit 
de  Fuca,  entre  l'îlr  ''-  QuaJra  et  Van- 
couver et  la  No;.  ie-Géorgie  ,  XIV, 
169  et  suiv.,  177  et  suiv,,  183. — Ex- 
ploraliou  par  Vancouver  du  détroit  de 
la  Reine  -  Charlotte  ,  entre  l'île  de 
Qiiadra  et  Vancouver ,  h  Nouvelle- 
Géorgie  et  la  Nouvelle-Hanovre.  Noms 
donnés  à_  divers  lieux  j  168  à  321. 

Qualocn  ou  Baleine  (île  du  Fin- 
mark,  Norwége) ,  t.  XLV,  p.  199.  — 
Ktablissemeas    commerciaux .     200  , 

277.  —  Mont  Tirefield  ,  201.  —  Fa- 
mille et  intérieur  d'une  tente  laponne. 
Rennes,  202  à  218.  —  Importance. 
Aspect ,  228.  —  Campague.  Arbres. 
Mont*gnps,  229.  —  Bateaux,  230- — 
Aspect  en  hiver,  276.  —  Commerce  , 

278.  —   Nourriture   principale    de» 


bestiaux  ,   285.  "^  QuaLiund  ,  286. 

Voy.  Hantmerfut. 

Quaktrs,  Bizarrerie  de  leurs  céré- 
monies ,  t.  XXXIX  ,  p,  44 ,  438.  — 
Intérieur  d'une  synagogue,  437. 

Quarra  (ville  du  Zamfra,  Soudan), 
t.  XXVII,  p.  400.  -  Murs.  Environs, 
402. 

Québec  (capitale  du  Canada)  Envi- 
rons, t,  XXXIX,  p.  108.  —  Citadelle 
Diamond,  fiel  aspect  du  havre ,  109. 
—  Habitations,  ilO.  —  Fortifica- 
tions. Caractère  des  habitans,  XLI,269. 

Queda  ou  Kedak  (  port  de  la  ^)^o- 
vince  de  Malaca).  Animaux.  Sol.  Plan- 
tes, t.  XXXIV,  p.  31,  32. 

Quelpaërt  (île  ,  mer  de  Corée).  Bel 
aspect,  sol,  t.  XII ,  p.  329.  —  Inhos- 
pitalité  des  naturels ,  330. 

Quibo  (île  de  la  Colombie  ,  Amé- 
rique). Sa  description.  Ses  produc- 
tions. Ses  animaux.  Serpens  volans. 
Alligators.  Huîtres  perlieres ,  t.  II  , 
p.  193  à  198. 

Qailloa  (île  de  la  mer  des  Indes)  , 
t.  I,p.  91. 

Quitf.  Son  voyage  «ur  le  Danube, 
t,  XL(V,  p.  133.  —  Reçoit  andieuce 
de  Husseim  pacha  ,208  à  214. 

QuiNTE-CuRCK.  Exactitude  de  ses 
descriptions  des  contr-jcs  He  la  Haute- 
Asie,  t,  XXXVII,  p.  161,  343. 

QoiRos  (Fernand  de).  Son  voyage 
dans  la  mer  du  Sud,  t.  I,  p,  252.  — 
Découvre  l'île  de  la  Bello-Nation  , 
257.  —  I"'t  terre  australe  du  Saint- 
Esprit.  Fonde  Jérusalem-la -Netive  , 
268.  —  A  découvert  Taiti ,  qu'il 
nomme  Sagit^aria  ,  Vil ,  353;  XVII , 
275.  —  Résumé  de  ses  voyages , 
XVIII,  191 

Quito  (ville  de  la  Colombie).  Situa- 
tion ,  j)opulation.  Maisons.  Rues. 
Édifices.  Denrées,  t.  XL'i.  ,  p.  430. 

Quona    Voy.  Niger. 


Raah  (ville  de  la  Hongrie  ,  empire 
d'Autriche),  t.  XLfV,  p.  150. 

Riiùat  (  ville  du  Maroc  ).  Pirates, 
Maisons.  Habitans  ,  t.  XXil,  p.  103, 
104.  --Ville.  H2. 

Rahbu  (ville  du  Niffé ,  Soudan), 
lli-nseigneincns  sur  la  ville  ,  t,  XXX  , 


î'  258  ,  320  —  Renom  des  nattes, 
do  eouli'ir,  327,  352.  —  Aspect.  H.'t- 
bitaus,  329.  —  Deîirées.  Marché  d'ei- 
claves,  A!)imaux,  330. 

flalicgh  (villi!  du  Hciljaz  ,  Arabie)  , 
t.  XVXII,  p.  216  et  suiv. 

KïJaek  (groupe,  archipel  des   C'a-- 


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'  1.1   x' 


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442 


TABLE  GENERALE 


» 


rolines).  Décoarert  et  exploré  par 
Kotzebue,  t.  XVII,  p.  178  à  209. 
254.  —  Naturels  conservent  dans  des 
chansons  la  souvenir  des  événemens 
reniarquablus ,  243,  361,366,372. 

—  Manière  de  combattre ,  364 ,  367- 
Voy,  groupes  A-ur  ^  Jilu,  Bigar , 
Eregup,  Kawen  ,  Mtllgravi$ ,  Otiia  , 
Udiriek. 

Radin  (ville  de  la  Hongrie,  eupire 
d'Autriche),  t.  XLIV,  plus. 

Raguse  (ville  de  Dulmatie,  Turquie 
d'Europe),  t,  XLIV,  329. 

Ratngurh  (ville  du  Djoubel ,   Hin- 
dou stan  ).    Temples    remarquables 
t.  XXXV,  p.  452. 

Bajmahal  (ville  du  Bengale,  Hin- 
doust.).  Agréable  situation,  t.  XXXVI, 
p.  99.  —  Ancien  palais,  444. 

Rajpoiitana  ou  pajrt  des  Rtypouli 
(Etat  indépendant  de  l'Hindonstan). 
Voyage  dans  le  pays,  tom.  XXXVI, 
p.  299.  -  Villages  ,299,  303,  306. 

—  Sol ,  299,  308.  —  Habitans,  300. 

—  Campagne,  301,  306,  30Z,  323, 
525,  333,  344.  —  Soldats ,  303.  — 
Mowah  :  fortifications ,  bazars  ,  tein- 
ture ,  304  —  Ruines  de  Déosa ,  fête 
et  foire  de  Nusund,  308.  —  Umeir. 
Belles  ruines,  319.  —  Kouzabad, 
temple  de  Jains  ,  323.  —  Adjciuir, 
325  à  328.  —  Etat  florissant  du  Mi<r- 
war ,  329.  —  Bunaei,  330.  —  Deioléa,, 
331.  — Ordre  religieux  des  Bhats, 
331.  —  Bunaira.  Costume  du  rajah, 
533.  —  Beilwara,  334.  —  Puits>  335. 
Fabrique  d'indienne  d'Ummeirgliir, 
336.  —  Tchittorc.  Temple  de  Si  va , 
539, 341— Pêcheurs  bheils,  338, 347. 

—  Secte  de  Jats ,  349.  —  Voy.  Jejr- 
pour,  Nusseirnbad,  ff^uerh. 

Pajperuts  (habitans  du  R»j|)outana). 
Tribu  des  Khasyas ,  t.  XXXVI,  p.  227. 
Costume  de  cavaliers.  318.  —  Habi- 
tudes, 321.  —  Caractère,  346.  —  Out 
envahi  le  pays  des  Bheils,  347. — Abo- 
minable coutume,  556. 

/îa/(c^- (groupe,  archi])el  des  Caro- 
lines).  RcuseigucTiens  d'  liués  p.T"  iiu 
Badackan,  t,  XVII,  p.  21.  '. — Groupe 
Legiep,  231. 

liamah  (kraal  ou  village  'Aottentot), 
t.  XXIX,  p,  21. 

ftambutuii.  Debtrii)tion  de  ce  fruit, 
t.  VII,  p.  72. 

llamHuggr  f  ville    du  Penjab .  liin- 


donstan),  tome   XXXVII,  page  31. 

Ra  »por9  (capitale  du  Biscliur,  Uin- 
doustan).  Situation.  Rues.  Ruines 
Salle  d'audience,  t.  XXXV,  p.  470.— 
Réputation  de  sainteté  de  la  ville. 
Edifices,  471 .  —  Singulières  piles  de 
pont,  472. 

Ranai  (île,  archipel  Sandwich).  Ses 
productions,  t.  XI,  p.  246. — Sou  pau- 
vre aspect,  XIV, 122. 

Rangoun  (port  principal  du  Pégou, 
empire  birman  ).  Célèbre  pagode  , 
t.  XXXIV,  p.  464.  —  Asppct  de  la 
ville.  Habitations,  465, 466. — Douane. 
Fortifications,  465.  —  Rues.  Filles 
publiques.  Population.  Eît  le  refuge 
des  débiteurs  insolvables ,  466. 

Raoul  (île,  lies  Kermadee,  Polyné- 
sie). Découverte  par  d'Entrecastoaux , 
t.  XV,  p.  144. 

Raoul  (île,  près  de  la  Nouvelle- 
Bretagne,  Australie).  Découverte  par 
d'Entrecasteaux  ,  t.  XV,  p.  275. 

Rai-ét-Féel  (province  de  l'.^i :y>;si- 
nie).  Sol.  Climat.  Habitans ,  t.  XXUI, 
p.  o34.  —  Bruce  en  est  n-rimé  gou- 


verneur, 382. 


Ras-*l-Kora  (  ville  du  Hedjaz,  Ara- 
bie ),  Beauté  du  pays.  Productions  , 
t.  XXXII ,  p.  55. 

Raigrad  (ville  de  la  Bulgarie ,  Tur- 
quie d'Europe).  Transport  des  prison- 
niers, t.  XLÎV,  p.  61,  64,  66. 

Ratmanoff  (  île ,  mer  de  Behring  ). 
Nommée  par  Kotzebue,  t.  XVII,  p.  75  ; 
XIX,  237. 

Rauack  (une  des  îles  des  Papous). 
F.tendue.  Laideur  des  habitans.  Mai- 
sons. Costume.  Religion,  tcm.  XVIII, 

p.  77. 

Reehiirche  (archipel  de  la  côte  de 
la  tfc.r.)  de  Nuyts).  Nouimé  par  d'En- 
tre casîeaux  ,  t.  XV,  p-  IQi . 

.\echerche  (île  de  la,  groupe  Vani- 
ko  "o  ).  Découverte  par  d'Entrecas- 
teaux. t,  XV,  p.  224;  XVIII ,  342.  — 
Est  l'île  Vauikoro  ,  385. 

lUcht  (  capitale  du  Ghilan  ,  Perse), 
t,  XXXV,  p.  358.  —  Caractère  des 
iiabitaas,  364.  —  Jolies  boutiques. 
Meudi;  «s,  366.  —  Derviches.  Fakirs , 
567.  —  Population.  Port  d'Enzellé , 
3f)8. —  Violation  de  la  propriété, 410 

/i<î«no«  (île  de  la  Norwege  ),  t.  XLV, 
p.  182. 

Henné.  Description,  habitudes,  uti- 


Monumeus  ,    XX 


DËjS  MATIÈRES. 


44» 


liié,  etc.,  de  cetanim&l,  t.  XLV,  p.  181, 
254  et  suiv. 

H/er/ation  (  ile  de  la ,  Polynésie  ). 
Découverte  et  décrite  avec  ses  habi- 
tans  par  Roggewin  ,  t.  II ,  p.  57  à  62. 

Regkaro.  Ses  voyages  en  Europe , 
t.  XLVI ,  p.  72. 

Riiolution  (Ile  de  la ,  archipel  Dan- 
gcreiix\  Découverte  par  Bougainville, 
nommée  par  Cook ,  t.  VII ,  p.  349. 

Rttlauration  (  ilu  de  la  ,  Australie). 
Découverte  par  Bligh ,  t.  XIII ,  p.  330. 

Révolution  (groupe  de  l'arcbipel  des 
Marquises).  Découvert  par  Marcband, 
t.  XV,  p.  434  à  448.  —  Ile  Plate  , 
435.  —  Ile  Bau« ,  443 ,  446.  —  Ue 
Chaual,  Masse,  444. —  Les  Améri- 
cains revendiquent  l'iionneur  de  leur 
découverte,  XVI ,  133  et  suiv.  Voy.  ile 
Marchand,  Trfyenen,^ 

Rewain  (province  de  l'Hindoustan). 
Fonnesdes  naturels.  Vente  de  femmes, 
t.  XXXVI ,  p.  461  et  suiv.  —  Uonimes 
filant.  Effet  de  la  piqûre  d'un  insecte , 
460  et  467. 

Rhinooiros,  Sa  deitcriptiou.  Sa 
chasse ,  t.  XXVt  ,  p.  334  et  suiv. 

Rhode,  (île  del'Arcliipel),  t.  XLVI, 
p.  99. 

Rhor.  'Son  ambaiisade  uu  grand 
Mogol,  t.  XXXI,  p.  57. 

RicAXiLT.  Ses  "oyages  en  Eurcj  e  , 
t.  XLVI,  p.  76. 

Riehntond  (capitale  de  la  Virginie  , 
État-Unis  ).  Capitole.  Législature  , 
t.  XXXIX ,  p.  273.  —  Salles  des 
séances.  Élections.  Eligibles.  Élec- 
teurs, 274.  —  Vexations  contre  les 
Nègres,  278. 

RiKDE.sEi..  Son  voyage  en  Sicile, 
t.  XLVI,  p,  195. 

Rimski-K orsako/f  (  groupe ,  Poly- 
nésie ).  Découvert  par  KotzcLue , 
t.  XVII,  p.  463. 

Rio  de  la  Plala.  Voy.  Plata, 

RiO'Janciro  (  c.ipitale  du  Bré.sil  ). 
Son  commerce.  Revenus  (ju'en  tirait 
le  roi  de  Portugal ,  t.  IV,  p.  90.  —  Sa 
descriptiiiu,  V,  50-  —  Beauté  des  en- 
virons ,  productions  ,  35,  —  Scm  niiues 
d'or  et  do  pierres  précieuses ,  59.  — 
Son  port,  41.  —  Animaux  des  en- 
virons. Vaste  forêt.  Population  de  la 
f)roviuce.  Caractère  des  luibitaus , 
XVIII,  54  et  55.  —  Maisons.  Rues. 
Mouuueus  ,   XX  ,   20.   —   Denrées 


commercialei.  Beanté  du  havre.  Pro- 
ductions du  pays ,  22.  —  Moeurs. 
Ignorance,  24.  —  Merveilleuse  beauté 
de  son  havre ,  XLU,  93.  —  Aspect  de 
la  vUle,  94, 140,  —  Iles,  95  Dotc.  — 
Spectacle  de  la  baie  an  point  du  jour, 
05.—  État  des  nègre*,  97  à  103, 
184,  207.  —  Régiment  nègre,  99, 

103.  —  Hègres  marchands ,  100, 103. 

—  Funérailles,  101 .  — Prêtres  nègres, 
102,  103.  —  Usage  dans  les  repas  , 

104.  —  La  place  Sauta-Anna.  Bou- 
tiques ,  105, 108.  —  Rnas .  104, 106, 
109,  182.  —  Tw*r,a,,  107.  -  Mai- 
sons, 109,  181,  183.  —  Découverte 
du  havre,  113.  —  La  famille  royale 
portugaise  s'y  réfugie  en  1808,  116. 

—  Améliorations ,  édifices  dus  à  don 
Jean,  118  et  suiv.  — Théâtre,  121. 

—  Costume  de  postillon,  133. —  La 
veille  et  le  jour  de  la  Toussaint,  134 , 
137.  —  Représentations  dramatiques, 
135.  —  Eglise  de  San-Francisco,  136 
et  suiv.  —  De  la  Cande^aria,  du  Ro- 
sario,  139.  —  Couvents  de  Santa- 
Bento,  140.  —  De  San-Antonio  ,  141. 

—  De  Santa-Tlieresa,  142.  -—Églises 
de  Nos!ia-Spnliora-da-Gloria  ,  de  Boa- 
Viiigem ,  143.  —  De  San -Domingo 
de  Santa-Rita  ,  145.  —  l'Ajuda  (cou- 
vent de  nonnes) ,  145  et  suiv.  —  Pro- 
fession d'une  noune,  147  et  suiv.  — • 
Retraites  pour  les  femmes ,  confréries 
religieuses,  151.  —  Pauvreté,  et  par 
suite   ignorance    des  ecclésiastiques , 

,  —  Manière  d'annoncer  les  fêtes 
.  j  saints,  154.  —  Les  Pseudo-Sébas- 
tien, 156,  —  Instruction  publique, 
1 57.  —  Hôpital  de  la  M  iséricorde ,  1 58. 

—  Dissection  des  cadavres  ,  160.  — 
Maladies  ,  162  et  suiv Bizarres  re- 
mèdes. Superstitions,  166.  — •  Aca- 
démie des  beaux-arts.  Muséum  d'his- 
toire naturelle,  169.  —  Antiquités 
iudicTiues.  Journaux,  170.  —  Noti- 
eias  particulares  ,  171.  —  Correspon- 
de'icia  ,  172.  —  Exemples  de  lettres 
diffamatoires,  173.  —  Curieux  certi- 
ficat de  ba|)tècic,  175.  —  Écoles 
d'enseignement  mutuel  ,  176.  — 
bizarres  pacotilles  envoyées  par  les 
Européens;  178  et  suiv.  —  La  mon- 
naie, 180.  —  Atelier  des  diamans , 
181.  —  Insupportable  bruit  des  cba- 
rettes,  182.  —  Population,  183.  — 
Affranchis ,  184.  —  Uabitans  isaa- 


# 


''•  «'"'Si 


444 


TABLE  GÉNÉRALE 


Sais,  185.  —  Manièrn  ies  Brésiliens 
e»  divers  rangs ,  186.  —  Singulières 
confusions  d'états  ;  les  barbiers ,  190. 

—  Aspect  vraiment  moral  de  la 
Tille,  191.  —  Hospice  des  Enfans- 
Tronvés  ,  192.  —  Divertissemens  , 
■^95.  —  La  Patteio  (promenade),  191 

—  Opér^ ,  195.  —  Loteries^artieu- 
Kères,  197.  —Poste  anx  l^lffes,  198. 

—  Vénalité  des  juges ,  200.  ^Police. 
Exécution  capitale  ,  202.  —  Com- 
merce des  esclaves ,  203  •  334.  -~  Fu- 
nérailles des  riches ,  des  enfans  ,  des 
nègres  ,  205  et  suiv.  (et  101).  —  Cu- 
rieuse place  Corioca ,  209.  —  Alimens 
des  divers  classes  ,  210.  —  Marchés  , 
fruits  indigènes,  211.  —  Boissons, 
212.  —  Les  Ciganos,  334.  —  Le 
marcité  aux  esclaves  ,  335.  —  Indice 
de  l'iipproche  du  carême ,  348.  ^— 
OEufii  de  cire.  Aspersions,  349.  — 
Procession  d  mercredi  des  cendres , 
350.  —  La  °maiue  sainte  ,  352.  — 
Cadeaux  du  uercrcdi,  353.  —  Céré- 
monies du  jeudi  et  du  vendredi,  354. 
— -  Réjouissances  du  samedi,  357  à 
362.  —  Le  jour  de  Pâques ,  363.  — 
Ouverture  delà  session  législative  par 
l'empereur,  364.  —  Séance  de  la 
chambre  des  députés,  366.  —  Le  pa 
tais  de  Santo-Christorao ,  370. 

Rio-Ne'gro  (ville  de  la  Colouibie).Eau 
de  la  rivière,  t.  XLIF,  p.  61 . — Effroi  des 
femme!)  devant  ua  téirsrope,  62. 

Rio-N^gro  (rivière  du  Brésil).  Aui- 
maux.  Productions  des  rives.  Caractère 
et  usages  des  habitaus,  t.  XX ,  p.  27. 

Rivière  (Grande-,  fleuve  des  Hot- 
tentots-Namaquois).  Sa  largeur.  Ses 
bords ,  leurs  arbres  et  leur  gibier  , 
t.  XXIV,  p.  309  et  siiiv. 

Rivières  (canton  des  vingt-quatre  , 
colonie  du  Cap).  Sa  beauté,  t.  XXIV, 
p.  244,  275. 

Rohm  (ile,  baie  de  la  Table,  co- 
lonie du  cap  de  Bonne-Espérance). 
Lieu  de  dctentiou.  Productiou.s  , 
t.  XXIV,  p.  50. 

Robert  (île ,  groupe  Hergest),  t.  XIV, 
p.  384. 

RoBiNSOH  Crusok.  Aventura  ;ui  a 
servi  de  type  à  ce  romau  ,  t.  Il ,  p.  8. 
Voy,  Selkirk. 

Rodney  (pointe,  Kamtschatka).  Trou- 
peaux de  rennes  ,   t.  XIX ,  p.  438. 

Rocs'  wi  Rusien  (ile  de  la  oAte  du 


Nordiand  nnrwégien).  Naufrage  de 
Quirino  en  1432,  t.  VIII,  p.  128. 

RotioiRs  (Wood).  Son  voyage  au- 
tour  du  monde ,  t.  Il ,  p.  4-  -~  Double 
le  premier  le  cnp  Horn ,  4  et  8.  — 
Recueille  à  l'tle  Juan-Fernandcz  le 
matelot  Selkirk ,  qai  y  était  délaissé 
depuis  quatre  ans,  8. 

Roggewtld-Karro  (pays  de  la  co- 
lonie du  cap  de  Bonne-Espérance). 
Habitation  temporaire  des  fermiers , 
t.  XXVI,  p.  124.  —  Sol,  arbres, 
125,  "151.  -^  Voyage  dans  le  p-'ys , 
140  à  162. —Ferme,  142.  —  Rhi- 
nocéros  ,  152.  —  Poissons,  153.  • — 
Lièvres.  Autruche,  161.  —  Caractère 
des  colons,  XXIX,  145.  —  Origine  de 
l'animosité  contre  les  Boschimnns,  1 48. 

RoGGEWiw.  Son  voyage  autour  du 
monde ,  t.  II ,  p.  43.  —  Découvre  et 
décrit  l'Ile  de  Pâques ,  46.  —  Les  îles 
Pernicieuses,  de  l'Aurore,  des  Vêpres, 
du  Labyrinthe ,  55.  —  L'île  de  la  Ré- 
création ,  où  il  faillit  être  victime  de  la 
perfidie  des  habitans,  57.  —  Dé- 
couvre les  fies  Bauman  ,62,  64.  -  ■ 
Découvre  les  Mille  îles ,  70.  —  Est 
mis  en  prison  à  Batavia  ,  par  la  Com* 
pagnie  des  Indes  orientales  ,  73.  — 
Résumé  de  sesdécouvertes,XVIII,198. 

Rohilcund  (province  de  l'Hindous- 
tan).  Voyage  dans  le  pays ,  t.  XXXV  f, 
p.  205  et  suiv.  —  Édifices  ,  bazars  de 
Shalijehampour,  206.  —  Campagne  , 
205,  206,  208,  209,  213,  255.  - 
Climat.  Productions,  206  —  Liitix 
divers,  207,  208,  253,  251 ,  256.  - 
Caractère  des  HohiUas  ^^habitaus)  , 
208,  210.  —  Champs  de  tabac.  Pèle- 
rins du  Gange,  208.  —  Défaut  du 
Denrées,  209.  —  Bareily,  210.  —  As- 
pect de  l'Himalaya  ,  213.  —  Morada- 
bad,  mouliu  à  sucre,  253.  — Cim- 
ffction  de  la  glace.  Vignes.  Pays  sem- 
blable au  Bengale,  254.  —  Amroiili. 
Cabanes  de  l'Inde  supérieure,  257. 

Roit  (îles  des  ,  Polynésie).  Décou- 
vertes  par  Saavedra  ,  t.  T,  p.  161. 

Fois  (île  des  Trois- ,  Nouvelle-Zé- 
lande). Découverte  par  Tasman  ,  1. 1 , 
p.  346  ;  VI ,  70. 

Rokelle  (rivière  du  Kouranko  ,  Sé- 
néfjambic).  Manière  ingénieuse  de  l.i 
traverser,  t.  XXVIII,  p.  75.  —  Sa 
source ,  104 

Roketchick  (  ville  du  Timani  ,  Se- 


[>E6  MATIÈRES. 


'iÀb 


iirgiimbie),   tom.  XXVUI,  pag.  21. 

Rokktmild-Karro.  Voy,  R«ggtfi>$ld- 
Karro. 

Rolton  (  Tille  du  Timapi  ,  fiéné- 
gambie).  Audience  du  roi,  t.  XXVIII, 
i>.  11.  —>  AsMmblée  publique,  13  . 
17, 

Romains.  Leurs  ▼oy.ige.i  et  expé- 
ditions maritimes  ,  t.  I,  p.  6  et  suiv. 

Romitint  ou  de  l'EgUi*  (  États  )  , 
t.  XLVl,p.265. 

liomanzoff  (Ile ,  Polynésie),  Décou- 
verte par  Kotzebnc) ,  t.  XVII ,  p.  45. 

Romarin  (île,  Terre  de  Witt,  Nou- 
velle-Hollande), Nommée  et  décrite 
par  Dampier,  t.  I,  p.  415 

Rom$.  Saint-Picrrfl,  t.  XLIV,  p.  540. 

—  La  grand'messf' ,  341  et  suiv.  — 
S,iint-Jean-de-Latran,  343.  —  Com- 
(laraisou  du  Cotisée,  du  Parthéuon  et 
de  Saint'Pierre,  344.  —  Supériorité 
de  Siiint-Picrre ,  345.  —  Cénotaphe 
de  Paul,  ni,  316.  —  Aspect  des 
rues ,  347.  —  Vue  panoramique  de 
Rome,  348.  —  Libéral  emploi  des 
impAts ,  348.  —  Soin  des  pa])cs  pour 
la  conservation  des  monumens,  349. 

—  Situation,  circuit,  édifices  divers, 
XL VI,  265, 

Ronde  (Ile,  mer  de  Beliring),  Nom» 
mée  par  Cook,  t.  XI,  p.  46. 

Roo.  Lieu  de  marché  d'Abyssinic  , 
t.  XXiri,p.  599. 

ftooa'.ooga  (île,  archipel  des  Mar- 
quises). Son  aspect,  t.  XVI,  p.  137. 

—  Tatouage  des  naturels,  138.  — 
Quelques  ornemens ,  140,  142.  — 
Physionomie  des  naturels,  145.  — 
Canots,  146. 

RooyeStnd  (pays  du  cap  de  Bonne. 
Espér.).  Sa  beauté,  t.  XXIV,  p.  231. 

Roia  (  ville  du  Timani  ,  Séné- 
pambie),  t.  XXVIII ,  p.  9. 

Rosette  (ville  d'Egypte).  Situation. 
Importance.  Jardins,  Rues.  Habitans, 
Cafés  ,  t.  XXII ,  p.  426.  —  Nom 
arabe,  sa  signification.  Jardins,  XXIII, 
65, 

Ross  (  le  capitaine  ).  Résultats  de 
ses  voyages  à  la  recherche  du  pas- 
sage au  nord  de  l'Amérique  ,  t.  XL  , 
p.  XXX.  —  Son  l*""  Foyage  aux  ré- 
gions arctiques,  XL,  1.  —  Ses  ma- 
telots tirent  \^  vaisseau  sur  la  glace, 
3.  —  Nomme  la  buie  Melville ,  les  lies 
Brovvn ,  4.  —  Entrevues  avec  les  Es- 


quimaux ,  5  et  luiv.  —   Nomme  les 
hautes  terres  arctiques,  17,  —  L'il* 
Byam-Martiu ,  27.  —  *•«  2*  Foyage, 
28.  —  Retrouve  les  provisions  «bau- 
données  par  la  Fury,  41  et  suiv.  — 
Découvre  la  baie  Fearnell ,  la  rivière 
Laug,  la  péninsule  de  Boothia,  46. — 
Le  port  Lan  g, '49.  — •  Le  port  Elisa- 
bcth,51.  —  Le  port  Éclipse ,  56. — 
Prend  ses  quartiers  d'hiver,  Pré<'aii- 
tions.  Occupatious  d')Mver,63,  168, 
208.  —  Eutrevues  avec  les  Esquimaux, 
81,  87,  93,  103  et  suiv.  154,  162, 
172,  196.  —  Excursions  à  terre,  49, 
60,103,111,117,  135,  144,171  à 
181.— Chasse  au  bœuf  musqué,  121. 
—Isthme  Boothia,  142.^  Uécouvre  la 
mer  à  l'ouest,  146.  — Nomme  les  llea 
Beverley,  Matty,   149.   —  Les  cnpa 
Aberncthes,  Sabine,  Young,  150.  — '■ 
Baies  Parry,  152. —  Richardson,  golfe 
Bootlkia,  cap  Félix,  153.  —  Prise  de 
possession.    Cap   Victory ,      154.   ^- 
Sou  vaisseau,  un  moment  délivré,  est 
de  nouveau  prit  par  les  glaces,  165  , 
166,  —  Baie  du  Schériff,  168.    — 
Voyage    en  traîneaux,    176-  —  Lac 
Krusenstern,   178.  —   Rivière  Han- 
stein,  179.  —  Voyage    pour    déter- 
miner la   poiiitlon    du    pôle  Magué  > 
tique,  183,  —  Sa  place,  187,  190  — 
l'rise  de  pos.session  ,  189.  —  Trouve 
des    mets   con.servés   pendant    dou/.e 
an>, ,  209.  —  Route  pénible  à  travers 
les  glaces ,  214.  —  Abandonne  son 
vais.ieau,  219.  — Construciio.»   l'une 
maison  où  l'on  passe  l'hiver,  226,  — 
Départ,  237.  —  Découverte  et  récep- 
tion à  bord  d'un  vaisseau,  240.  — 
Voy.  Régions  arctiques. 

Rossignol  (île,  groupe  Tristan  d'A- 
cunha),  t.  XX,  p.  147. 

Rotas  (forteresse  dv  Penjab  ,  Hio- 
doustan).  Aspect.  Histoire,  t.  XXXVIL 
p.  43. 

Rotouma  (île,  Polynésie),  Aspect. 
Douceur  des  naturels.  Leur  figure. 
Leur  toilette,  t.  XVIII,  p.  160.  — 
Étoffes.  Armes.  Saints.  Langue.  Gou- 
vernement, 162.  —  Mariages,  funé- 
railles ,  164.  —  Bienveillance  des  na- 
turels ,  166.  —  Aspect.  Population , 
583.  —  Étendue.  Belle  race  d'habi- 
tans ,  391 .  —  Leurs  cheveux  pou  Jré.s, 
XLIII,  XXX. 

Rotterdam.  Voy.  Anamocka. 


« 


440 


TABLE  GÉNÉRALE 


floug»  ou  go{f*  Ar  ihiqu*  (mer).  La 
navigation  y  est  diflicile,  1. 1,  p.  110. 

—  Voyage  le  long  des  cAtes,  XXIII , 
114  et  suiv.  —  Ile  Jhbcl  -  Sibcrget , 
116.  —  Coqiiillngr'  .  118.  —  Ile 
Jbbel-Macouar,  120.  —  Ile  firuco, 
124.  —  Groujic  Jiiffiitnn,  131.  —  Ile 
Dérégé,  144.  —  Aspect  du  détroit 
de  Bab-el-Mandeb,  152.  —  Ile 
Fooiht,  124.  —  Ile  de  Ddccalan  , 
155.  —  Ile  Jbbcl-Teir,  156.  —  Des- 
cription de  l'Ile  et  des  !•..  'aus  de 
Dab<ilac ,  158  à  169.  Voy.  i.  ^  Ma- 
touah ,  Soeotora. 

Rouméliê  (provinre  de  la  Turquie 
d'Europe  ).  Voyage  dan»  lo  pays  , 
t.  XLIV,  p.  1  et  suiv.  ;  et  253  et  suiv. 

—  hrekli ,  29.  -  TrLorlu ,  34  ,  36 , 
260.— Bourgas ,  38 ,  258.  —  Kirklessi, 
41.  —  Hnydo»  ,  52.  —  Villes  moins 
misérables  que  celles  de  Bulgarie  , 
253.  —  Andrinoplc ,  257.  —  Aspect 
pittoresque  de  Sylivria  ,  260.  —  Belle 
campagne,  XLVI,  86.  Voy  Andri- 
nople  ,  Constantinople. 

Rouilchoitic  (ville  de  la  Bulgarie  , 
Turquie  d'Europe  ).  Aspect.  Belle 
porte.  Rues,  t.  XLIV,  p.  70.  —  Bel 
aspect,  229.  —  Sa  laideur  quand  on 
la  voit  de  près  ,  230.  —  Boutiques , 
marchaudise-s ,  242. 

Rovêredo  (ville  du  Tyrol).  DétaiLt 
divers ,  t.  XLV,  p.  566.  —  Prospérité 
399. 

Rotigno  ou  fiovigi)  (ville  de  l'Istrio , 
euip^re  d'Atstncl'C; ,  ».  XLIV,  p.  333. 

Kows.  l.>o>:it-o;iUf.  de  Furneaux , 
est  ma.ss,jf;ré  avec  ites  gens  par  les 
Zélajdais,  t,  5X,  p.  135  et  .suiv.  — 
Cook  apprend  à  !;.  Nouvelle-Zélande 
des  détails  sur  sa  mort,  238,  241  , 

248. 

RuBRUQUis.  Son  ambassade  en  Tar« 
tarie  ,  sous  saint  Louis ,  t.  XXXI , 
p.  30. 

Ruddua  (  montagnes  du  Hedjaz  , 
Arabie).  Près  d'Yambo.  Beau  climat. 
Belle  campagne,  t.  XXIII ,  p.  135. 

Ruderpour  (ville  duKrmaoun  ,  Wiv- 
doustan).  t.  XXXyi ,  p.  219.  —  Cli 
mat  pestilentiel.  Fécondité  de  la  terre. 
Productions  ,  220. 

RiiNJEET-SiNG  (roi  du  Penjabou  de 
Lahore  ).  Accueille  généreusement , 
Burnes,t.  XXXVII,  p.  10,  14.  — 
L'engage  à  une  partie  de  chasse.  R'i- 


cbesie  der  tentes.  Cottnmea.  Élé- 
phant. Fauconniers.  Usages  du  pnnce, 
17  et  suiv,  —  Revue  et  réception*  à  lu 
fête  du  Pusuud,  22.  —  Fête  qu'il 
donne  à  Bûmes  ,  24.  ^—  Son  projet  de 
rendre  l'Iodus  navigable  ,  '^.  —  Son 
génie,  son  bon  carartèr»'  ^  /7   449. 

—  Son  ignorance ,  32.  '^i  poli- 
tique envers  ses  noble» .  413.  .—  Of- 
ficiers français,  435 ,  439,  440 Sa 

joie  en  recevant  des  cadeaux ,  436. 

Son  écurie.  Sa  figure,  437.  —  Salle 
d'audience.  Joyaux,  438.  —  Revue 
militaire.   Commandement   en   fn  - 

Sais ,  438,  447.  —  Ses   danseu 
43.  —  Ses  projets  ambitieux  ,    - . 

—  Son  artillerie,  447.  —  Sa   po 
tique ,  449.  —  Ses  bijoux  ,  450.  —  Sa 
munificence,  451,  458.  —  Sa  rési- 
dence favorite,  455.  Voy.  Allard. 

Rurik  (chaîne  du  ,  liot.s  de  la  Poly» 
nésie  ).  Découverte  par  Kotzebue, 
t.  XVII ,  p.  47. 

BusDECK.  Ses  voyages  en  Europe, 
t.  XVLI,p.71. 

Ruistt,  Détails  sur  leur  culte  reli- 
gieux, t.  XLIV,  p.  357,362.  —  Cou- 
tumes curieuses,  362.  —  Maisons  de 
paysans  ,  366.  —  Application  du 
Knout,  376.  — Superstition,  471  et 
.suiv.  —  Culte  des  images,  472.  — 
Hiérarchies  de  la  société,  474.  — 
Étiquette  des  repas  ,  476.  —  Palais 
de  glace,  477  et  suiv.  — -  Portrait 
physique,  479.  —  Costume.  Carac- 
tère, 480.  —  État  despcrsounes.  Dé- 
tails sur  les  quatre  classes,  XLVI, 
148  à  151. 

Rutiie,  Son  traité  avec  la  Chine , 
pour  l'établi.s.sement  d'une  mission  à 
Péking,  t.  XXXIll ,  p.  1  et  suiv.  — 
Voyage  dans  la  Russie  d'Europe, 
XLIV,  354.  —  Villages,  354,  356. 
358,  360,  363,  366,  369.  —  Cam- 
pagne,  358,  365.  —  Marché  du  di- 
manche, 259.  —  Le  Dnieper,  374.  — 
Uabitans.  Juifs ,  383.  —  Leur  singu- 
lier usage  ,  384.  —  Steppes  ,  386.  — 
Colonie  de  Cosaques,  387.  —  Dé- 
tails sur  les  colonies  militaires,  388, 
395.  —  Portes ,  389.  —  Bornes  mili- 
taires de  Potemkin,  401.  —  Médecins 
des  gouverneurs,  430.  —  Tours  de 
guet  de  la  frontière  du  Caucase ,  438 

—  État  politique  de  l'empire,  471-  — 
Administration, 474.  —  Lacs,  XLVI 


# 


H.  —  Montagne* ,  22.  —  Voyage 
hu»  le  pays,  133,  140  à  1,'*|.  — 
Multitude  do  Juif»  en  Litliunnie,  140. 
Voy.  goiivcrnt'incnii  do  Caucase  ,  Co' 
taqutt  du  Don  f  Finlande  ,  Grodno  , 
Kief,  Minik ,  Moteou ,  NiJilnl'Novegù' 
roit .  JVo¥ogored ,  Orêl ,  Podoli*,  Smo- 
Itntk,     Talith,     TauHJe ,    Toh*rni- 


DES  MATIÈRES.  447 

Tulii,   T*tr,    ForûH*J(jt,  Wla- 


gow. 
dimir. 

RuttU  d'Ali*  (vrtyngc*  dan»  la). 
Voy.  Abazt»  ,  Aim^iui  ,  Géorgie  , 
Immirélient ,  Kamtnh(\  ka,  MiMgrtflit  , 
SibMi ,  Talitoh. 

Rtuêie  W Amérique .  Voy.  Amertume 
mil*. 


Saateora.  Dérourre  le*  Iles  des 
Boi»,  t.  I,  p.  161.  —La  Nouvelle- 
Guinée  et  d'autres  lies,  probiiblement 
celles  des  Biirbus ,  163.  —  Résumé  do 
SOS  yoyages,  t.  XVIII ,  191. 

jiaAi  (ville  du  fiondou,  Séncgambic), 
t.  XXVIlI.p.  321. 

Sable  (\\e  de,  Sénégal),  t.  XXVIII, 
p.  287. 

SabuJa  (Ile,  Maliiisie).  Sa  descrip- 
tion. Productious  ,  t.  I,p.  432  et  suiv. 

—  Oisctux  remarquable» ,  433.  — 
Habitans,  434.  —  L(  >ir  pùclie  ingé- 
nieuse ,  435. 

Sacala  (  district  de  l'Abyssinie  ), 
Plaine.  Miel.  Églises,  t.  XXIII ,  p.  420, 
422. 

Saekatou  (  capitale  des  Felatalis  , 
Soudan),  t.  XXVII,  p.  405.  —  Hisi- 
dence  du  sultan ,  406,  4(39,  415.  — 
Musquée,  416. —  Situation.  Étendue. 
Murs  de  la  ville,  421. —  Uabituns, 
Industri.!.  422;  XXVIII,  222. 

Sackett  (ville  du  Nev-York  ,  États- 
Unis),  t.  XXXIX.  — Son  Iiiivre,p.l01. 

—  Aspect  de  la  ville ,  102. 

Sadrai  {y'ûle  du  Carnatic,  Hindous- 
tan  ),  t.  XXXVI ,  p.  437.  —  Éduca- 
tion, costume,  réputat  un  des  Baya- 
dères ,  438. 

5(^r<i  (ville  duHedJHZ,  Arabie).Mar- 
cbé.  Maisons. Productions,  t.  XXXII , 
p.  253 ,  255. —  Sol.  Vente  des  dattiers. 
Jardins ,  Costume ,  254.  —  Baume  , 
255. 

Sagbu  (ville  de  la  côte  des  Esclaves , 
Guinée  ).  Maison  du  chef.  Caractères 
magiques  ,  t.  XXX  ,  p.  36. 

Sagiltaria  (  île  ).  Découverte  par 
Quiros.  Est  l'Ile  Taiti,  t.  VII ,  p.  353; 

xvir,275. 

Sahara  (vaste  désert  d'Afrique).  Son 
étendue,  t.  XXII,  p.  2. — Voyage  dans 


nne  partie  par  Mungo-Pdrk  nétaiU 
sur  le  pays  et  ses  linbitati'  \  V,  182 
et  suiv.  —  Voj'Hge  aux  438  et 

suiv. -^ Traversé  |iai  '  '"'.ip- 

perton,  XXVII,  ./» 
versé  par  Caillié,  \ 

—  Sol.  Arbustes,  411  e 
de  niarcbes  des  caravaii  ,.iiii  rce 
des  mûres,  412,  41^. —  i;i-Ari»i.  lan, 
ville  du  désert,  Cuniniercc.  Rues.  Mai- 
sons. Puits  des  environs,    414,  416. 

—  Puits ,  417, 422.  —  Précautions  de 
voyage,  417.  —  Effets  du  rairiige  , 
421 .  Vny.  Lybie,  Simoun,  Sy'ouah,  Tib- 
bout,  Tuarioi, 

Saigon  (port  de  la  Cncliinchine  ), 
t.  XXXIV,  p.  320.  —  Rivière,  328, 
339.  —  Maisons  Rues,  328,  343.  — 
Emblèmes  .superstitieux  ,  330.  —  Mé- 
decin français ,  333.  —  Denrép»,  335- 

—  Manufactures,  336. —  Situatiou  , 
340. —  Demeure  du  gouverneur,  343. 

—  Cour  du  gouverneur ,  314.  — 
Combat  entre  un  tigre  et  des  élépliaus, 
347. 

Saint- Aignan  (Ile,  archipel  de  la 
Louisinde).  Sou  aspect,  t.  XV,  p.  255. 

Saint-Àndrë  [We).  Voy.  Soiiforol. 

Sain'-AnJr^l  îles,  Polynésie).  Dé- 
couvertes par  Cnrteret,  tom,  III, 
p.  169. 

Saint-Antoine  (Ile  du  cap  Vert). 
Productions.  Population.  Sol.  Mines, 
t.  XX,  p.  106. 

Siinl-Barlhélemx  (Ile  des  Nouvelles- 
Hébrides,  Australie).  Sun  gisement, 
t.  VIII,  p.  422. 

Saint-Alouarn,  t.  XV,  p'  89 

Saint- Barthilemx  (île,  Polynésie). 
Découverte  par  Salazar,  1. 1,  p.  159. 

Saint-Bernard  (île  de  l'Australie  . 
Découverte  par  Mindana,  1. 1 ,  p.  205. 
—  Est  probablement  celle  que  Byron 


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Sciences 

Corporation 


23  WEST  MAIN  STREET 

WEBSTER,  N.Y   M580 

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448 


TABLE  GÉNÉRALE 


nomma  pint  tard  tle  du  Dengtr,  VU, 
144. 

SaM'Blaitê  (baie,  coh^aie  du  Cap), 
'  t.  XXIV,  p.  71. 

AiiJi/-6o«/nf  ««(ville  de  Tlle  Haïti  ). 
Détails  snr  sa  fondation,!.  XXXVIII, 
p.  170, 172. 

Saiitt'ElU  (mont ,  Amérique  russe). 
Son  aspect,  t.  X.  p.  430;  XII,  148. 

Saint-Blmê  (feu).  Description  de  ce 
pbénomène,  t.  XII,  p.  43  note. 

S<^int-Georg«  (  canal  entre  la  Non» 
Telle-Irlande  et  la  Noavelle-Bretdgne). 
Découvert  par  Carteret,  t.  III ,  p.  152. 

—  Sa  beauté ,  XX ,  372. 
Saint-Georgt  (tle,  Açores).  Décou- 
verte par  les  Portugais,  t.  IX,  p.  157. 

—  Sa  pctpulation,  159. 
Sain>-ù«orge  (aisi:ict  delà  colonie 

du  cap  de  Bonne>£spérance).  Beauté 
du  pays,  t.  XXIX,  p.  332. 

Saint-Gtorgt  (tle ,  mer  de  Behring), 
t.XIX,p,  281. 

SaiHt-iSeorg*  (  ville  du  Wogora  , 
Abvssinie  ).  £glise  dédiée  à  la  sainte 
Vierge,  t.  XXIII,  p.  289. 

Saiiit-Ildt/oiu*  (résidence  royale  en 
Espagne),  t.  XLVI,  p.  176.  ^ 

Saini-Joaehim  (fort  de  la  Guiane).  Sa 
fondation.  Son  délabrement,!.  XLl, 
p.  204. 

Saint- LturtHt  (fleuve  de  TAmérique 
septentrionale).  Son  cours.  Ses  diffé- 
rens  noms ,  t.  XXXVIII ,  p.  37, 39.— 
Voyage  sur  ses  eaux,  XXXIX  ,  102. 

—  Ses  rapides ,  103, 104.  —  Chutes 
de  Montmorency,  108, 111.—  Cliutcs 
de  Bouilloire,  114.  —  Traces  du  dé- 
luge ,  206.  Voy.  JUoHtrtat,  Niagara, 

Saint-Laurtnt  (tle,  mer  de  Behring), 
t.  XIX,p.233et8uiv. 

Saint-Lazare  (  archipel  ).  Le  même 
que  celui  des  Philippines. 

■Siiia/-Xoui« (ville  du  Missouri,  Etats- 
Unis),  t.  XXXIX ,  p.  377. 

Saimt-JUiehel  (Ile,  Açores).  Dé- 
couverte par  les  Portugais,  t.  IX , 
p.  157.  — ■  Très  fertile  et  très  peuplée. 
Ses  productions,  160.  —  Mines.  Po- 
pulation, XX,  44 1.  —  Beauté  du  cli- 
mat. Vins.  Convens.  Apparition  et  dis- 
position de  nie  Sabrina,XLI,  171. 
et  XLII,  389.  —  Evêchc.  Etendue. 
Population.  Climat,  383.  —  Absence 
d'esclaves.  Bellesfigures  des  h.-ibitaus, 
384.  —  Costumes,  385.  —  Origine  de 


l'ile,  586.  —Le  porto  Uliéo,  386.  — 
Tremblemcns  de  terre,  388. 

Saint-Nieolai  (île,  groupe  du  cap 
Vert),  t.  XX,  p.  107. 

Saini'Paul  (île,  océan  Austral). 
Arbres  do  cent  cinquante  pieds  dfe 
haut ,  t.  Xin,  p.  312. 

Saint-Paul  (Ile,  mer  de  Behring), 
t.  XIX,  p.  281. 

S  'nt-Pét*rtbourg{c«[n\»\c  de  l'em- 
pire russe  ).  Fondation.  Inondations. 
La  Neva  ,  t.  XLVI,  p  146.  —  Mo- 
numens,  147. —  Etendue  Population, 
148.— -Palais  impériaux  des  environs. 
148. 

Saint'Pierrê  et  Saint-Paul  (  capi- 
tale du  Kamtsdiatka  ).  Voy.  Péiro- 
pawlowtltl. 

SAiiTT-SAOVxttR.  Son  voyage  aux 
iles  Ioniennes,  t.  XLVI,  p.  108. 

Saimt  Thomas.  Lieu  de  son  sup- 
plice dans  l'Hindoustan ,  t.  XXXVI, 
p.  433. 

Saint-Ttiomas  (île,  mer  du  Sud). 
Découverte  par  Grijalva.  Poisson  res- 
semblant à  un  homme,  1. 1,  p.  164, 
165. 

Sainte-Catherine  (  île ,  Brésil).  Eten- 
due ,  forts,  terroir  fertile,  bois  parfu- 
més, climat  malsain,  t.  II,  p.  85,90. 

—  Etendue ,  historique,  XII,  45.  — 
Terrain ,  46.  —  Pèche  de  la  baleine , 
47.  -  Denrées,  naturels,  51.  —  Des- 
cription de  la  ville,  XVI,  15. — Beauté 
de  la  baie,  bonheur  des  insulaires 
sous  le  gouvernement  portugais,  l7. 

—  Sol,  productions,  animaux ,  capi- 
tale, XVIII,  114. 

Sainte-Claire  (ilc,  côte  de  la  Co- 
lombie ).  Découverte  par  Piz.irre. 
Monstrueuses  idoles.  Ouvrages  en 
métaux.  Etoffes,  tom.  XXXVIII,  p.ig. 
324. 

Sainte-Elitabetk  (ile,  détroit  de 
Magellan  ),  t.  IV,  p.  148. 

Sainte-Hélène  (  île,  océan  Atlanti- 
que). Sa  description,  t.  VII,  p.  135. 

—  Ses  productions,  138.  —  Son 
étendue.  Sa  population ,  IX,  150.  — 
Découverte  par  Nova  Gellego  ,  151. 

—  Aspect,  climat,  XVIII,  185.  — 
Tombeau  de  Napoléon,  XX,  424.  — 
Histoire  de  la  decotiverte  de  l'île, 
425. —  Aspect.  Intérieur.  Plaine  de 
Longwood,  426.  — •  Terroir.  Produc- 
tions. Animanx.  Climat,  430.       <• 


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I)' 


DES  MATIÈRES. 


449 


'  Saintt'H/liite (port  ia  Brésil),  Gu«- 
nacos ,  lièvrea,  t.  XXI,  p.  210. 

SaiHtt'Hilène  (  baie,  colooie  du  ràp 
de  Bonne  -  Espérance),  t.  XXIX, 
p.  228. 

Sainu-Lueie  (  iles  du  cap  Vert  ). 
Etendue.  Sol,  t.  XX,  p.  107. 

Sainte- Lar'e  (ile  «  Petites- Antilles). 
Aspect.  Capitale,  t.  XLI,  p.  277. 

Sainie-Marlhe  (  ile,  mer  dej  An- 
tilles). Déconcerte  par  Cdomb.  Sin- 
gulière propriété  d'un  poisson ,  tom. 
XXXVIH,  p.  147. 

Saintes  (îles.  Petites  -  Antilles  ). 
Aspect,  t.  XLI,  p  276. 

San-Blas  ( port  du  Mexique).  Si- 
tuation. Environs,  t.  XLI,  p.  4!4.  — 
Températures,  424.  —  Insectes.  Sai- 
sons, 425.  —  Maladies.  Emigrations 
périodiques.  Population,  426- 

San-Carlos  (  mission  près  de  Mon- 
terey  ).  Sa  situation.  Ses  greniers. 
Le  village.  Beauté  du  pays,  t.  XIV, 
p.  362 ,  XIX,  339. 

San-Carlos  (capitale  de  l'Ile  Chiloë). 
Maisons ,  rues ,  monumens  ,  t.  XX, 
p.  73.  —  Habillen^ent  des  dames,  75. 
•—  Amusemens,  80. 

San-Diégo  (ville, Nouvelle-Califor- 
nie). Climat.  Sol,  p.  XIV,  p.  457.  — 
Environs.  Combat  avec  les  sauvages, 
XX.  90  et  suiv. 

San-Francisbo  (  port  de  la  Califor.  ). 
Son  étendue,  t.  XIV,  p.  344.  —  Dé- 
tails sur  le  présidio  On  fort  :  garni- 
son ,  maisons ,  pays  environnant , 
épaque  de  rétablissement,  345,  353. 
—  Détails  sur  la  mission  :  pays  envi- 
ronnant, maisons,  occupations  des 
frères .  église,  époque  de  l'établisse- 
ment, 548, 353.  —  Misère  dea  natu- 
rels, de  leurs  huttes,  351.  —  Climat 
de  la  région  sud ,  456.  —  Eglise,  ca- 
bane et  occupation  des  naturels , 
XVII,  118.  —  Entrpe  du  port,  XIX, 
284.  —  Abondance  de  gibier ,  288. 
—  Mécontentement  contre  la  répu- 
blique, 289,  292,  294,  296.  — 
Demeure  du  gouverneur  des  prési- 
des. Incurie  du  gouvernement.  Gar- 
nison, 290- —  Utilité  des  missions, 
297.  — Détails  sur  les  missions.  Voy. 
Californie.  —  Expédition  contre  la 
tribu  des  Cosemènes,  310'  Transpira- 
tions forcées  des  naturels,  320.  Voy. 
Sauta-Clara. 

XLVI. 


SuH'liigo  (lie  du  cap  Vert  ).  Sa 
description,  t.  Vil,  p.  178.  — Ses 
naturels,  179. —  Son  sol,  181.  — 
Productions.  Animaux,  XX,  115.  — 
Port  de  Praya  ,116.  —  Population  , 
118,  note.  —Son  aspect,  t.  JlVl, 
p.  5.  —  Port  de  Praya  :  Sa  population, 
garnison,  commerce,  7. 

San-lago  (capitale  du  Chili).  Fignre 
des  femmes.  Leur  vêtement,  leurs  ma- 
nières familières,  t.  XI V ,  p.  475. — 
Détails  sur  la  ville  et  les  maisous, 
478.  —  Route  qui  y  conduit,  XLI, 
3697  —  Rues.  Maisons,  Place.  Dévo- 
tion ,  370-  —  Licence  des  mcours  , 
371  —  Etat  des  prêtres.  La  Siesta, 
Climat,  372. — "Etat  de  la  société, 
384.  —  Propreté  des  rues.  Maisons  et 
leur  intérieur,  385-  — -  Politesse  des 
habitans ,  385  ,  387.  —  Promenade 
publique,  586. 

San-José,  ville  de  la  Californie), 
t.  XIX,  p.  322. 

San-Luii  (ville  delà  Plata).  Climat, 
t.  XLI  p.  286.  —  Etat  roisérérable, 
324  et  suiv. 

San-Pediv  ou  Ontteyo  (  ile,  archi- 
pel des  Marquises  ),  Découverte  par 
Mindana,t.  I,p.  197;  V1II,199;  XV, 
375. 

San-Salvador  (  tlea  Lucayes,  Amé- 
rique ).  Première  terre  découverte 
par  Colomb,  tom.  XXXVIII,  p.  91. 

—  Bel  aspect,  93.  —  Colomb  en 
prend  possession,  94.  — Etonnement 
des  insulaires ,  95.  —  Tatouage  ,  96,»' 

—  Teint.  Trait».  Armes.  Canots,  97. 

—  Echanges  avec  les  matelots,  9^ 
San-Salvador  (ville du  Brésil).  SJ^bté 

de  la  ville.  Population  ,   t.  XX,  p.  68. 

—  Son  origine,  XXXVIII,  342. 
Salamanque  (ville  d'Espagne),  tom. 

XLVI,  p.  173. 

Stlajrer  (ile,  Malaisie),  t.  XV, 
p.  316. 

Sala-y-Gomez  (  île  >  Palynésie  ). 
Etendue,  Aspect.  ^  égétation,  t.  XIX, 

pag  6. 

Salazar.  Successeur  de  Loaise.  Dé- 
couvre l'ile  de  Saint  -  Barthélemi, 
Nomme  Borta  une  des  iles  des  Lar- 
rons, t.  I,  p.  159. 

Saldanha  (  baie  de  la  colonie  du 
cap  de  Boune-Espéranca).  Descrip- 
tion. Poissons.  Gibier,  t,  XXIV,p  16. 
—  Ile  Das8en>Eyland,  20  et  suiv. 

29 


466 


TABLE  GÉNÉRALE 


Salé  (  ^le  da  Maroc  ).  Famejox 
pirates,  t.  XXII,  p.  102.— Tille, 

141. 

Saltm  (,TàH«  du  Massachnsietti , 
Etats  rUirts).  Marins  renommés.  Mu- 
>nm,t.XXXIX,p.lâ8. 

Salomon  (  archipel,  Aostralie  ).  Dé- 
couvert par  Mendoce  et  Hindana, 
pourquoi  ainsi  nommé,  1. 1,  p.  168( 
170.  —  Habitans.  Leors  canots,  109. 
—  Retrouvé  par  Surville  qui  le 
nomme  Terre  des  Arsacides,  III,  420, 
430 ,  434.  '-'  Description  du  pavs , 
des  habitans,  de  leurs  armes ,  434  et 
444.  —  Productions  dé  l'tle,  441.  •— 
Naturels,  leur  roi,  leurs  habiles  méde- 
cins ,  reUgion ,  442.  —  Perfidie,  XV, 
842.  —  Pirogues ,  244-  Voy.  Iles  Boa- 
gaimillt,  Bouka,  ContrariéU,  Choiuul, 
Sanla'Cataliiui ,  Santa-Iiabella  ,  Sim- 
bù»,  Tréiortri*. 

Salutte  (Ile ,  jointe  à  celle  de  Bom- 
bai ).  Ses  deux  villes.  Etat  déplorable, 
t.  XXXVI,  p.  411  —Habitans  de  Tan- 
nah ,  412.  —  FortificaâoDs  dr  Gora- 
bundnr.  Temples-cavernes  du  Boud- 
dhisme, 413  et  suiv. —  Animaux,  416. 
Salten  (golfe  du  Nordland,  Suède  }, 
t.  XLV,p,  155.  —  Poisson  rouge, 
156. 

Salrag*t   (  Iles  des ,  au  nord  des 
Canaries,  t  IV,  p.  5;  XII,  32. 

5a«are<in<^  (  ville  de  la  Boukbarie, 
Tatarie'indépendantc).  Antiquité.  Po- 
pulation. Souvenirs  de  Timour.  Beaux 
^édifices,  t.  XXXVII,  p.  211.  —  Tom- 
beau fameux,  212. 

Amen  (  province  de  l'Abyssinie  ). 
due.  Sol,  XXni,  326. 
^  '.Samet  ( Ûe  de  l'archipel  ),  t.  XLVI. 
p.  98. 

Samoyèdet  (  peuple  de  la  Sibérie  ^ 
Figure.  Formes,  t.  XXXI,  p.  229. 
Mères  précoces.  Vétemens,  300.  " 
Tentes.  Travaux,  302.  —  Nourriture. 
Origine  du  nom.  Religion,  prêtres. 
304,  306.  —  Morale,  T7.  —  Ob- 
stacle aux  unions  conjugales  .  314. 

Sampaka  (  ville  du  La-inmar,  Séué- 
gambie).  Fabrication  de  la  poudre, 
t.  XXV,  p.  137. 

Sana  (capital a  ;!e  l'Yémen,  Ara- 
bie) ,  t.  XXXI ,  p.  336. 

Sancaho  (  ville  d'Abyssiuie  ).  Mai- 
sons. Fortifications,  t.  XXIII, p. 472. 
SmJ^arra  (  ville  du  Kaarta ,  Séné- 


gambie  ).  Cérémonie  précédant  la  cir- 
concision ,  t.  XXVIII ,  p.  373. 

Sandwich  (lie  de  la  NouTelle-Bre• 
tagll«).Découvertepar  Carteret,t.IlI, 
p.  153. 

Sandmeh  (  Nouvelles  -  Hébrides  ) . 
Découverte  par  Cook,  t.  VIII,  p.  35o! 

—  Beauté du  pays,  351.— Son  gise- 
ment. Sa  circonférence ,  425. 

i$aA</H'icA(  Terre  de,  océau  Atlan- 
tique). Découverte  par  Cook,  t.  IX 
p.  115;  XXI,  433. 

Sandmeh  ou  Hawat  (tics  de  la  Pol,). 
Retrouvées  par  Cook,  t.  X,  p.  26(jj 
295.  —  Population,  307  note.  —  Oi-l 
nemens  des  insulaires, 308.  —Mœurs 
semblables  à  celles  des  insulaires  des 
Mes  des  Amis  e^  de  la  société,  331 .  — 
Comment  la  même  nation  s'est  répau- 
due  sur  tout  l'océan  Pacifique ,  353. 

—  Marées  peu  considérables ,  334. 
Effets  du  tabou.  Explication  de  ce 
mot,  XI,  151  ,  299.  —  Relation  de 
l'assassinat  de  Cook  et  de  ses  suiteii, 
173  à  226.  —  Nombre,  noms  et  po- 
sition des  îles ,  237.  —  Climat ,  247. 

—  Vents,  courans ,  martres,  248.  — 
Quadrupèdes ,  oiseaux ,  250.  —  Vé- 
gétaux ,  253.  —  Origine  des  natu- 
rels, affinité  avec  les  Malais  et  autres 
254,  293.  —  Leur  figure ,  255.  — 
Effets  pernicieux  de  l'Ava ,  257.  — 
Population,  258. — Caractère  doux  et 
paisible ,  260.  —  Fous ,  sacrifices  Lu- 
mains,  263.  —  Vétemens,  ornemens, 
éventails,  tatouage,  manteaux  de 
plumes,  leur  origine  espagnole,  cas- 
ques ,  bijoux,  masque,  264  et  suiv. 

—  Villages  et  maisons,  271. —  Nour- 
riture ,  cuisine,  273.  — Occupations , 
danses,  mnsique.jeux,275,280. — Com- 
bien ils  sont  habiles  nageurs,  278.  — 

'Navigation,  281. —  Sculpture,  étoffes 

.eintes,  282.  — -  Ustensiles  de  pêche , 

gourdes  ,  284.  —  Fabrication  du  sel. 

Armes,  286.  —  Division  du  peuple  en 

trois  classes,  autorité  de  l'Earée,  288. 

—  Gouvernement  héréditaire,  pou- 
voir des  chefs,  290.  —  Etat  des 
classes  inférieures,  châtiment  des  cri- 
mes, 292. — Religion  .Sociétédeprétres, 
293.  —  Idoles  ,  294.  —  Chants  avant 
les  repas  ,  296  —  Sacrifices  humiiiu.^, 
297.  —  Les  insulaires  s'arrachent  1rs 
dents  de  devant ,  idées  sur  une  vie 
future,  298.  —  Mariages,  juluusie, 


• 


DES  MATIÈRES. 


451 


I  jalousie 


301.  —  Rites  fanéraires,  303.  — 
Explication  da  mot  tabou ,  XII,  126. 
Ces  île!»  avaient  été  découvertes  avant 
Cook  par  les  Espagnols,  117,  119, 
127  note.  —  Gouvernement ,  129.  — 
L'anthropophagie  est-elle  en  usage? 
137.  —  Changemens  dans  le  gouver- 
nement et  les  mours  depuis  l'arrivée 
des  Européens.  Commerce  des  États- 
Unis,  XIV,  137.  —  Trois  espaces  4e 
perles,  140.  —  Doucenr  des  haltitans, 
XVI,  470.  —  Changement  depuis  la 
découverte,  XVII ,  427.  —  Autorité 
des  missionnaires  anglicans ,  456.  — 
Etendue  du  groupe.  Fertilité.  Repas 
des  naturels  ,  XVIII ,  90.  —  Vête, 
ment,  tatouage,  maisons,  éventails, 
population,  infanticide  en  usage,  92. 

—  Salutations.  Religion,  95.  —  Ta- 
bou, lieux  d'asile,  denil.  Etablisse- 
ment du  christianisme,  97.  —  Pro- 
grès du  luxe.  Jeux.  Danses ,  98.  '— 
Funérailles.  Nourriture,  100.  —  Re- 
pas ,  figure,  pirogues,  langue  des  na- 
turels, 102.  —  Gouvernement.  Com- 
merce ,  104.  —  Histoire  de  ces  iles 
depuis  leur  découverte ,  XIX ,  342  et 
suiv.  —  Bois  de  sandal ,  344  ,  354. 

—  Abolition  des  idoles,  347.  —  Mis- 
sionnaires, 34S  ,  357.  —  Progrès  du 
luxe,  352.  —  Denrées ,  354 ,  356.  — 
Education,  357.  —  Festins,  362.  — 
Danses,  366.  —  Marine.  Commerce , 
375,  376.  —  Climat  des  îles ,  379.  — 
Cheveux  poudrés  des  naturels,  XLIII, 
XXX  Voy.  îles^fo.  .",  Morotoi,  MowJt, 
Ooiuohtow,  Orttlioua,  Oivhjrh^e,  Rtmai, 
Tahoora ,  fFoahom 

Sangnuya  (  ville  du  Soulimana ,  Sé- 
négambie).  Situation.  Murs.  Demeure 
d'unchef,  t.  XXVlII,p.97. 

Sang-YutH  (ville  de  la  Chine).  Ido- 
les. Café  des  aveaglcs,  t.  XXXIIî, 
p.  388. 

Sansan  (  ville  du  Hronssa ,  Soudan). 
Formé  de  trois  villes  ,  tom.  XXVIl , 
p.  342.  —  Son  marché,  344- 

Sanianding  (  ville  du  Bambora , 
Sénégambie  ).  Population.  Commerce 
des  Maures ,  t.  XXV ,  p^  231.  —  Ar- 
rogance des  Maures,  233.  —  Popula- 
tion, 373. 

Saïuerol.  Voy.  Sonforol. 

Santa  (  port  du  Pérou).  Aspect ,  cli- 
mat, productions  des  environs,  tom. 
XVI,  p.  410. 


Santa'CataHiut  (  Ile ,  archipel  Salo- 
mon  ).  Découverte  par  Mindana,  1. 1. 

5. 168.  —  Son  aspect  riant,  XV,  237, 
38,  240. 
Santa-Chrittina  ou  Toa-fVati  (  ar- 
chipel    des  .  Marquises  ).     Naturels. 
Teint,  tatouages,  t.  VIII,  p.  191, 196. 

—  Sol.  192,  2i92, 206.  -  Ornemens 
des  naturels,  197.  —  Porcs  très  petits, 
201 .  —  Eventails ,  202.  —  Manière  de 
saluer  un  ami,  XV,  347,  349.  — Diffé- 
rence de  caractère  entre  les  habitans, 
360.  —  Aspect  agréable  de  l'Ile,  578. 
— ■  Baie  de  la  Madre-de-Dius ,   379. 

—  Cabanes,  381.  —  Arbres.  Produc- 
tions, 383.  —  Animaux,  387 Cli- 
mat, 390.  —  Description  des  habi- 
tante, 391.  —  Physique.  Vêtement. 
Tatouage,  392,  401 ,403.  —  Orne- 
mens ,  396.  —  Beauté  de  ^  femmes , 
400.—  Leur  vêtement,  403.  — •  Leurs 
mœurs  dissolues,  405.  —  Nourriture 
des  naturels ,  410-  —  Pirogues ,  ar- 
i9es,  412 ,  416-  —  Ecbasses,  414.  — 
Ustensiles,  étoffes,  exercices,  417.  — 
Mœurs,  420.  —  Conjecture  sur  le 
gouvernement,  425.  —  Comparaison 
des  naturels  aux  Taïtiens,  428. 

Santa-Clara  (  Mission  et  ville  du 
Mexique).  Beauté  du  pays  d'alen^ 
tour  ),  t.  XIV,  p.  354.  —  Maisons  et 
occupations  des  religieux,  356.  —  Sa- 
leté ,  apathie  des  naturels ,  359.  — 
Troupeaux.  Bâtimens.  Productions  de 
la  mission,  XIX,  330. 

Saitta-Cnz  (île,  Brésil).  Ville  de 
Nossa  Senhora  -  do  -Desterro.  Inté- 
rieur. Traitement  des  nègres,  tom. 
XVII,  p.  35. 

■Santa-Cm  (archipel,  AustraUe), 
Voy.  groupe  Charlotte,  ^les  Edge- 
eomb ,  Ho»,  Keppel,  Outy,  Portland, 
Saata-Cruz,  F^olcan,  Trevanion, 

Saiita-Cruz  (  ile,  archipel  Santa- 
Cru7.  ).  Découverte  par  les  Espagnols  , 
nommée  île  d'Egmont  par  Carteret , 
t.  III,  p.  125.  —  Description  de  l'île, 
126. — Maisons  communes,  127. — 
Villages  fortifiés,  128,  129.— Habitans 
entièrement  nus,  131.  —  Leurs  ])iro- 
gues,  leurs  armes,  135,  447-  —  Phy- 
sionomie (Ié».igrén]>le  des  L<il)itans. 
Leurs  armes.  Leur  penchant  au  vol , 
XV,  225, 235.  —  Asi>cct  de  l'île,  228 
235.  —  Ornemens,  232.  —  Animaux, 
233  —  Productions.  Cases,  235. 


452 


TABLE  GÉNÉRALE 


S«m«'Fé-d*,'Bogo>a  (capitale  de  la 
Colombie).  Saison»^  t.  XLII,  p.  394. 

—  Sitaation.  Climat.  Tremblemens  de 
terre.  Maisons,  428.  —  Population. 
Edifices  publics.  Dames.  Pauvres.  £a- 
virons.  Divertissemens,  Caractère  des 
kabitans,  429. 

Sanla-Isabella  (  tie ,  archipel  Salo- 
mon).  Découverte  par  Mindaua,  tom. 
I ,  p.  168.  —  Retrouvée  par  Surville, 
III,  420, 430, 434. 

Santa-JUaria  nie  ,  CbiM),  t.  XVilI, 
p.  130. 

Santa-Mariu  'île,  Açores).  Décou- 
verte pnr  les  Portugais  ,  t.  IX,  p.  157. 

—  Population.  Productions,  160, 
XX,  444. 

Santa-Bosa  (mission  de  Californie), 
t.  XIX,  305. 

Santarem  (  ville  du  Brésil).  Rues, 
Maisons'  t.  XLII,  p.  67. 

Santiago,  Voy.  S:'H-/a^o, 

Santo-Joao-Ul-R»jr  (ville  du  Bré- 
sil). Histoire.  Rues.  Maisons.  Popula- 
tion. Edifices ,  t  XLII ,  p.  272. 

San'o-Jos^ (Tille  du  Brésil).  Envi- 
rons. Aspect,  t.  XLII ,  p.  262.  —  Si- 
tuation. Maisons.  Cathédrale,  263.  — 
Bizarres  uolions  de  chronologie  et  de 
géographie  des  habitans,  264-  —  Con- 
cert d'amateurs,  266.  —  Soirée  à  l'Eu- 
ropéenne ,  267.  —  Répugnance  pour 
le  mouton,  273.  —  Exemple  des  dé- 

Îlorabl  .>s  résultats  de  l'esclavage , 
74. 

Sanforin  (île  de  l'Archipel),  t.  XLVI, 
p.  95. 

Sarana.  Plante  du  Kamtschatka.  Sa 
description ,  t.  XI,  p.  406.  —  Son 
utilité ,  40g. 

Saiansang  (ville  du  Kaarta  ,  Séné- 
gambie  ),  t.  XXV,  p.  356. 

Sara'oga  (ville  duNevr-York,  Etats- 
Uniit).  Renommée  de  ses  eaux,  t.  XLI. 

p  270. 

Sardaigne  (île,  partie  du  roy;iuine  ) 
Etendue.  Divisions,  t.  XLVI ,  p.  255. 

—  Monts.  Sol.  Rivières.  Climat,  256. 

—  Piipiil.ttion.  Ses  progrès.  Cagliari, 

257.  —  Productions  des  trois  règnes, 

258.  —  Mœurs  des  habitans,  2â9. 
Sardaigne  (  royaume  de  )  Divisons. 

Limite,  t.  XLVI,  265.  —  Le  Piémont, 
la  Ligurie  et  leurs  capitales ,  266. 

Sardalis  (Vallée  du  pays  des  Tua- 
rirk»,  Sah.ira),  t.  XX VU,  p.  46. 


Sari  (capitale  dn  Mazandéran,- 
Perse).  Intérieur  d'une  maison,  tom. 
XXXV ,  p.  341  —  Visites  tkii  prince. 
Costume.  Vie,342,  350  etsuiv. —  An- 
cienneté. Rnes.  Mosquées.  Croyance 
sur  le  sycomore.  Palais,  343.  — 
Collèges.  Bains.  Tour.  Tradition  fa- 
buleuse,   344.   —   Populiition,  345. 

—  Appartemens,  346 Ravages  de 

la  peste,  XXXVII,  321. 

ISariischeff  {île ,  océan  Glacial  arc- 
tique ,  Amérique  russe).  Découverte 
par  Kotzebue  ,  t.  XVII,  p.  75,  79.  — 
Iourtes  (maisons),  ustensiles,  77, 
XIX,  237.  —  Figure.  Habillement 
des  naturels,  238.  —  Ornement  la- 
bial, 240.' 

Sarrtigosse  (  ville  d'Espagne),  tom. 
XLVI,  p.  174. 

Sartine  .(îles,  Polynésie).  Recon- 
nues et  nommées  par  La  Pérouse, 
t.  XII,  p.  223. 

Saladou  (  ville  du  Bambour,  Séné- 
gambie),t.XXV,  p.  344. 

Saundêrs  (  tle ,  extrémité  sud  de 
l'Amérique).   Découverte  par  Cook, 

t.ix,p  114. 

Saundêrs  (  îles  de  Charles-,  Polyné- 
sie). Découverte  par  Wallis  ,  t.  III, 
p.  379. 

Sauvage  (île,  Polynésie).  Décou- 
verte et  décrite  par  Cook,  t.  VUI, 
312  et  suiv. 

Savanes  d'/tméiique  ,  t.  XXXVIII  , 
p.  12.  —  Comparées  avec  les  diverses 
plaines  dn  monde,  371  et  suiv. 

Savannah  (ville  de  la  Géorgie, 
Etats-Unis  ).  Environs.  Aspect  pitto- 
resque,  tom.  XXXIX,  p.  321.  — 
Arbres  des  rues ,  322. 

.Sacii  (  île,  Miilaisie).  Ville  et  mai- 
sons, t.  VI,  p.  427.  451,  432.  —  Des- 
cription del'îl''  VII,  1.  —  Beauté  du 
pays.  Arbres,  Végétaux,  fruits,  3, 13. 

—  Animaux,  4.  —  Katnrels  du  pays, 
6.  — Leur  toilette,  habillement,  bi- 
joux, 7.  —  Piquent  leur  nom  su; 
leur  bras,  10.  —  Leurs  maisons, 
11.  —  Leur  nourriture,  12.  —  Leur 
vin,  sirop  et  sucre  de  palmier, 
13.  —  Leurs  fourneaux  économi- 
ques, 15.  —  Ils  mâchent  du  bétel 
et  de  l'arec,  16.  —  Principautés  de 
l'île.  Nombre  de  leurs  combattans  , 
l7.  —  Leurs  armes  ,  19.  —  État  des 
lipfsonnes ,    20.  —  Mtmument  qn'é- 


DES  MATIÈRES. 


4ôJ 


lèv«  olm>{uo  raj:ih,  un  prince,  21. 
.^  Fête  et  jeàoe  à  la  mort  du  rajali , 
22.  — 'Appareil*  po'ir  mnaipuler  le 
«■oton,  23.  —  Chaque  JDAiilitire  se  fait 
HOU  dieu,  24.  —  Les  Hollandais  y 
remplacent  les  Portugais.  Leur  traité 
aveu  leï  rajahs  ,  23.  —  Le  pays 
ue  mérite  pas  les  éloges  do  Cook  , 
XV,  86. 

Sajconi,  Détails  historiques  sur  une 
de  leurs  colonies  de  la  Transylvanie, 
t.  XLIV,  p.  107  à  110.  —  Leurs  pri- 
vilèges, caractère,  108.  —  Costume, 
Maisons,  109. 

Saxpan  (  une  des  iles  Mariannes  ), 
Sa  description,  t.  III,  p.  39, 47  et  suiv, 

Scandiamie  (  ancien  nom  dn  la  Nor- 
wége  et  du  Danemark).  Visitée  par  Pi- 
thcus  sous  A'exaudre-le-tiraud  ,  1. 1, 
p.  6.  —  Les  Scandinaves  découvrent 
l'Irlande  ,  l'islaude ,  les  Ferovr ,  le 
Groëulaud.  Out  eu  des  relations  avec 
l'Amérique  quatre  siècles  avant  sa  dé- 
couverte par  Colomb,  10. 

Scarl  (  ile,  .Polynésie).  Décou* 
verte  par  Wilson ,  t.  XIII,  p.  4'jl. 

Sah ,  chercher  à  Ch  les  mots  qu'où 
ue  trouverait  pas  à  Seh. 

Scharlkoud   (  ville    du    Khorassau, 
Perse).  Son  district,  t.  XXXV,  p.  97. 
—  Prospérité,  Fort,  155.  —  Popula- 
tion. Température  Prix  des  dearées, 
15G. 

Schara  (  rivière  de  Mongolie,  em- 
pire Chinois  ).  Poissons  ,  t.  XXXIII , 
p.  34.  —  Rives.  Temple ,  36. 

ScHEFFER.  Son  voyugc  en  Europe  , 
t.  XLVI,p.75. 

Snheneutady  (ville  du  New- York, 
Etats-Unis),  t,  XXXIX,  p.  46.  — 
Aspect  animé ,  48.  —  Domestiques , 
50. 

Sohir  z  (  ville  du  Fcirsistan,  Perse  ), 
Ravages  du  clioléra,  t,  XXXV,  p.  24. 
—  Viu  fameux,  25.  —  Aspect,  envi- 
rons stériles ,  30,  38. —  Intolérance, 
31 , —  Cupidité  des  fouctiouuaires,  35 
et  suiv, 

Si!hismar«ff[  détroit,  océau  Glacial 
arctiqueV  Vêtemens,  Ornement  lubial 
des  naturels,  t.  XIX,  237,  239,240. 

ScHuUTKit.  Son  voyage  autour  du 
monde  avec  Le  Maire,  Voy.  ee  nom. 

Schouten  (  ile  de  l'Australie  ).  Dé- 
jLiQuverte  par  Le  Maire  et  Schouten , 
t.  I,.  p.  327. 


Sehronlo  'ville  du  Bambour,  Séaé- 
gambie),t.  XXV,  n.344. 

Schumagin  ou  ChoumagaliUM  (lies  , 
Amérique  russe).  Découvertes  par 
Behriug.  Vêtement  de  boyaux  de.t 
naturels,  t.  XI,  p.  5,  —  Construction 
des  canots,  XIII,  335. 

Scliwan  (ville  du  Sindhy,  Hindous- 
tau)  ,  t.  XXXVII ,  p.  363.  —  Situation. 
Population   Ancienne  grandeur,  364. 

—  Tombeau  fameux,  365. ,r— Antique 
château,  366. 

Sch«>Mz  (ville  du  Tyrol) ,  t  XLV- 
p.  380. 

Scilly  (Iles  de,  Polynésie),  Décou- 
vertes par  Wallis,  t,  III ,  p.  380. 

Ssorbut.  Ses  symptômes.  Ses  effets , 
t.  Il,  p,  125  et  suiv.  —  Préservatifs, 
12G,  135:  111,38,  109;  XllI,  136. 

—  Plus  dangereux  sous  les  climats 
chauds,  VII,  344. 

Serrât  (lie  de  l'Arphipel) ,  t.  XLVI , 
p.  97. 

Sea-Oittr  ou  dei  Loutres  (Ile,  mer 
de  Behring),  t,  XIX ,  p.  281. 

Sel/zeiv')r(Yille  du  Khorassan,  Perse). 
Sa  haute  antiquité ,  t.  XXXV,  p.  178. 
—  Auecdote  sur  Mohammed-Fah , 
179.  —  Population,  Bazar,  180, 

Sechang  (  îles ,  golfe  de  Siam  ), 
Presque  désertes ,  t.  XXXIV,  p.  287. 

—  Huttes.  Misère  des  habitaus.  Nour- 
riture, 288,  —  Productions  ,  291  à 
295.  —  Belle  plante.  Ses  énormes  tu- 
bt^rcules,  292,  294  — Mammifères, 
295.  —  Oiseaux.  Roches,  296.  —  Si- 
tuation avantageuse  de  ces  îles,  301. 

Se'galien  ou  Tchoha^  ou  Oku-Jesso 
(ile,  mer  du  Japon).  Vêtement  des 
Indiens,  t.  XII ,  p.  364.  —  Magasin 
de  poissons ,  365.  —  Raisons  de  croire 
que  les  naturels  connaissent  l'écri- 
ture, 367,  368.  —  Leurs  connais- 
sances, leurs  arts,  372.  —  Leur  figure, 
373,  379.  —  Leur  pauvreté,  quelques 
usages  particuliers ,  374.  —  Cabanes , 
376.  — Remarques  sur  quelques  mots 
de  leur  langue,  377.  —  Niiturels  et 
productions  de  la  baie  d'Estaing,  378. 

—  Cirque ,  380,  —  L'île  deviendra 
certainement  presqu'île ,  389,  —  Ses 
différeus  uouis ,  402  note,  —  Com- 
merce d'huile  de  baleine,  XIII,  10, 
194.  —  N'était  point  connue  des 
Russes  quand  La  Pérouse  la  dé- 
couvrit, 13.  •—  Race  des  naturels , 


*-* 


454 


TABLE  GÉNÉRALE 


15.  —  Laogne ,  muiique ,  17.  — 
Mœuri  4>t  couformation  des  oatiircls, 
188,  193.  —  Vétemena,  190.  — 
Cases,  ineubies,  191.  —  Animaux, 
métiero  à  tisser,  193.  —  Aspect  de 
l'Ile ,  19].  —  Tableau  comparatif  de 
la  taille  des  naturels  arec  celle 
des  Mnntchous,  204.  —  Voy.  cap 
Crillon. 

S'gg*'^*'*  (oasis  des  Tibbons  du 
Bilma-Snliara),  t.  XXVH,  p.  444. 

Stgo  (capitale  du  fiambara ,  Son- 
dan).  Formée  de  quatre  villes.  Forti- 
ficatinns.  Maisons.  Canots,  t.  XXV, 
p.  224.  — Chants,  227. 

Sego  -  Corro  (ville  du  Bambara  ). 
Autrefois  résidence  du  roi ,  t.  XXY , 
p.  381. 

Seikt  (peuple  de  l'Hindoustan ). 
Usages  divers,  t.  XXXVII  ,  p.  8, 
394.  —  Leur  ravages  ,9,11.—  Hor- 
reur du  tabac,  12,  33.  — Couleur 
favorite.  —  Costume  et  château  d'un 
chef,  12,  32.  —  Caractère.  Figure  , 
33.  —  Inimitié  avec  les  Afghans,  56. 

—  Formes.  Costume ,  395 ,  423.  — 
Exercice  commandé  en  français ,  395. 

—  Pratiques  religieuses ,  4w.  —  In- 
tolérance, 407.  —  Chasse  au  tigre, 
425.  —  Guérison  des  blessures  ,  426. 

—  Femmes ,  431.  —  Leur  cité  sainte, 

452.  —  Cérémonies  de  leur  culte , 

453.  Voy.  Cachemire,  Moultan,  Pta- 
jab ,  Funjeet-Sing,  > 

S*l  (île  de,  île  du  cap  Vert). 
Étangs  salés.  Animaux  ,  t.  XX  , 
p.  109. 

Seleeh-Lenha  (  village  du  Tigré  , 
Abyssinie).  Belle  campagne ,  t.  XXIK, 
p.  242. 

Selenghinskoï  (ville  de  la  Sibérie). 
Fondation  Vie  des  habitans,  t.  XXXI, 
p.  281. 

SEI.KIRK  TAlezandre).  Matelot  écos- 
sais délaisse  dans  l'île  de  Juan-Fer- 
nandcz  ,  recueilli  quatre  ans  après 
par  Roggers.  Son  aventure  a  servi  de 
type  au  Robinson  Crusoë ,  t.  II ,  p.  8. 

—  Chèvre  qu'il  avait  marquée  à 
l'oreille  ,  retrouvée  vivante  trente- 
deux  ans  après  ,  139.  —  Son  bis- 
toire.  Mauvaise  foi  de  Foë  à  son  égard, 
XX,60etsniv. 

Seljrmnia  (ville  de  la  Turquie  d'Eu- 
rope) ,  t.  XLIV,  p.  67. 

Selioin  (Ile  de  la  Norwége).  Intré- 


pidité   des  femmes    des   pécheurs 
t.  XLV,  p.  136. 

S*ma*aH  (colline  du  pkys  des  Bot- 
tentots  ).  Description  du  Sibilo  , 
t.  XXVI ,  p.  888. 

Stmùa  (ville  du  Soulimana ,  Séné- 
garobie),t.XXVIlI,p.  78,108. 

Stmendria  (ville  de  la  Servie ,  Tur- 
quie d'Europe) ,  t.  XLIV,  p.  165. 

Stmiu'que  (race).  Peuples  qu'elle 
comprend,  t.  XXXI,  p.  19. 

Semnoun  (ville  du  Khorassan,  Perse). 
Étendue  de  son  district,  t.  XXXV, 

E.  97.  —  Aspect.  Environ.  Misérable 
azar,  133.  —  Population.  Antiquité, 
134.  —  Précautions  contre  les  Tur- 
comans,  135. 

Stndgal  (fleuve  d'Afrique).  Décou- 
vert par  les  Portugais,  origine  du 
nom,  1. 1,  p.  12,  23.  —  Voyage  sur 
ses  eaux ,  XXII ,  61  et  sniv.  —  Voywge 
à  ses  sources ,  XXVIII  ,  433  et  suiv. 
Voy.  PoJor. 

S^négambi»  (pays  d'Afrique  occi- 
dentale). Colonie  anglaise  Voy.  SUrra- 
Leoiu,  t.  XXU,  p.  40.  —  llabitans, 
45.  —  Armes,  48.  — Conseils  du  roi. 
Habillement ,  52.  —  Ornemens.  Ma- 
riages. Jidousie  ,  â4.  — ■  Funérailles. 
Amusemec!*.,  56.  —  Religion,  58.  — 
Baobab ,  arbre  prodigieux ,  62.  — 
Animaux  ,  64.  —  Mœurs  des  nègres, 
69,  71.  — Vêtement.  Nourriture,  70. 
—  Assemblées  ,71.  —  Chants ,  73.  — 
Purrah  ou  confédération  guerrière , 
75.  — Commerce,  religion ,  caractère 
des  Feloups,  XXV,  24,  34.  —Mar- 
chands d'esclaves,  27,  43.  —  Établis- 
semcns  européens  et  leur  commerce  , 
42  et  .suiv.  —  Amulettes,  57,  62.  — 
Arbres ,  62.  —  Respect  pour  les  an- 
cêtres, 65.  —  Climat,  286.  —  Bois  , 
288.  —  Population ,  288.  —  Circon- 
cision, 291.  —  Polygamie,  293. — 
Source  de  l'esclavage ,  309.  —  Com- 
merce, 306.  —  Chasse  de  l'éléphant, 
307.  —  Loi  sur  les  dégâts  des  ânes , 
367.  —  Atroce  tr.iîtement  du  roi  pri- 
sonnier, 381.  —  Pays  de  Kabou  ,  ar- 
chipel des  Bissagots,  XXVIll  ,441-— 
Sources  de  ses  rivières  ,  XXIX ,  433. 
Voy,  royaume  de  Bambara  ,  Bambouck^ 
Bamhour ,  Barra  ,  BonJou ,  Casson  , 
Dentilla,  Djimhala ,  Fouladou ,  Fou- 
tadjallon  ,  Foula  -  Toro  ,  Galam  , 
KaartOf    Kamkoitg,  Kouranko,  LuJa- 


DES  MATIÈRES. 


465 


mar,  Mamiiitm,  Ttitda,  Tlmani,  fFonlU , 
YaiU,  Peuples  :  fonlahê  ,  Jaloft  , 
JUaarti,  Straeoltts.  Rivière*  :  Gambit, 
Krieko. 

Stmtn  (Ile  de  la  Norwéf;e),  t.  XLV, 
p.  169.  —  Hameau  de  Kiuven.  Sol. 
Population  de  l'ile,  173. 

•ÏMiaar  (royaume  de  Nubie).yoyage 
dans  l'intérieur,  t.  XXIII,  p.  468  et 
snir.  —  Jolie  Tille  de  Beyia ,  474.  — 
Meurtre  habituel  des  collatéraux  de 
la  famille  royale.  Successibilité  ,  481 . 

—  Couleur  des  enfuns,  482.  —  Fi- 
gure des  babiUus.  Keligiun,  483.  — 
Le  roi  laboureur,  485.  —  Climat.  Pr» 
ductions ,  486.  —  Influence  du  Mil , 

487.  —  Armée  ,  489.  —  Aspect , 
étendue  ,  mauufactures  d'Halfuia  , 
491.  —  Campagne,  XXV,  445.  — 
Productions.  Teint,  formes  et  carac- 
tères des  habita  us,  446.  —  Le  roi 
cultivateur ,  447.  —  Toilette  des 
femmes.  Circoncision.  Excision,  448. 

—  Mariages,  449.  —  Funérailles. 
Usage  du  tabac.  Nourriture.  Véte- 
mens.  Amulette.  Armes,  450.  Voy.  Nu- 
bas. 

Semaar  (capitale  du  Sennaar).  Pa- 
lais du  roi ,  t.  XXill ,  p.  480.  —  Mor- 
talité des  animanx,  484.  —  Popula- 
tion. Maisons.  Climat,  485.  —  Véte- 
inens,  487.  —  Usages.  Nourriture  , 

488.  —  InnotMilation.  Commerce , 
490.  —  Site.  Maisons,  Campagne  , 
XXV,  445. 

5«/;/i«/-(/(ile8,  archipel  des  Nouvelles- 
Hébrides  ).  Déitouvertes  par  Cook , 
i.  Vni,p.  350. 

Sequata:\eo.  Voy.  Cheqatam. 

Serabcuze  (ville  du  gouvernement 
de  la  Tauride,  Russie  d'Europe)  , 
t.  XLIV,  p.403,404. 

Séraoolett  ou  Sérau/oullis  (habitans 
du  Galam ,  Séaégambie).  Teint.  Com- 
merce ,  t.  XXV,  p.  83.  —  Langue , 
84. 

Serampour  (établissement  dauois  du 
Bengale),!.  XXXVI,  p.  32. 

Seran  (ville  du  Bischur,  Hindous- 
tan).  Situation,  t.  XXXV, p.  477.  — 
Animaux  des  montagnes.  Cornes  sa- 
crées. Pierres  levées.  Sculptures ,  478. 

Serdte  -  Kamen  (  cap  de  l'Asie  , 
nord-est).  Nommé  par  Behring,  t.  XI, 
p.  80. 

StrtHa  (la ,  port  du   Chili).  Habi- 


tans. Climat ,  t.  XLI ,  p.  406.  — 
Mines.  Sol ,  406. 

S*rl«  (Ile,  archipel  Dangereux).  Na- 
turels. Leurs  armes ,  t.  XIX  ,  p.  156. 

StroHg*  (ville  du  Malwba,  Uia- 
dottstao).  Étoffes  renomméet,  t.  XXXI, 
p.  66 

Strpulehe/  (ville  du  gouvernement 
de  Moscou,  Ra1^ie  d'Europe).  As- 
pect. Formes.  Églises.  Marché,t.  XLIV, 
p.  361.  —  Ptmulation.  Rivière  Images 
des  saints ,  362. 

SttUdgt  (rivière  affluent  de  l'Indni, 
Chenab).  Sable  aurifère,  t.   XXXY, 

i>.  458.  —  Singulière  espèce  de  pont , 
172.  —  Aspect  do  l'Himalaya  et  des 
plaines  du  Penjab,  XXXVII,  4.  — 
Jolies  maisons  de»  rives.  Habitans  ,  5. 

—  Fertilité ,  6.  —  Son  état  après  sa 
jonction  avec  l'Hypbasis  ,  ib.  —  Son 
embouchure.  Ses  eaux,  391. —Son 
doab  dans  le  Penjab ,  458. 

SivattopoU  (ville  du  gouvernement 
de  la  Tauride ,  Russie  d'Europe).  Sa 
description,  t.  XLIV.  p.  413  à  415. 

—  Cavernes  d'Inkerman ,  413, 
Sf9ilh  (ville  d'Espagne),  t.  XLVI, 

p.  178. 

Styehtllêt  (Iles  ,  Afrique  est).  Dé- 
couvertes par  des  caboteurs  français: 
île  Mahé.  Enormes  tortues ,  t.  XVIII , 
p.  427.  — Bœufs.  Belles  forêts.  Regret 
des  Français ,  428. 

Seyer  (îles,  mer  du  Bengale).  Si- 
lence remarquable.  Bois.  Absence 
d'oiseaux ,  t.  XXXIV,  p.  6.  ■—  Struc- 
ture ,  7.  —  Productions.  Chauve- 
souris,  9. 

5«Wa«rf(îledelaNorwége),  t.  XLV, 
p.  201.  —  Imposant  aspect  en  hiver, 
276. 

Shahjthanpouv  (ville  du  Rohilcund  , 
Hindoustan).  Environs  '  XXXVI  , 
p.  205.  .—  Édifices,  'bazc-i  cpulens , 
206. 

Sharjr  (rivière  du  Soudan).  Belles 
rives.  Animaux.  Ile  Joggabath,  tom. 
XXVII,  p.  241,  252. 

Shaw.  Son  voyage  dans  les^  Etats 
barbaresques,  t.  XXII,  p.  180- 

Sher-Bell  (  ville  de  l'Algérie,).  Son 
ancienne  magnificence,  tom.' XXII, 
p.  184. 

Shetland  du  sud  (  nouveau,  archipel 
de  l'océan GlaciaVantarct.)., Quelques 
gisemens,  t.  XXI ,  p.  226.  —  Sa  dé- 


4r>6 


TABLE  GÉNÉRALE 


vuurertf.  Sa  deiiuri]>tion,  260.  —  Plio- 
quet.  C<inim«rce  do  fourrures,  262  et 
kuir.  —  Ile  Smirb,  271.  —  Nommé 
Un»  du  mont  Pi»gRli,  par  Fauning, 
452.  —  Terre  de  Pulmer,  454. 

SAiaii  (vallée  duFezzan),  I.  XXVII, 
p.  42. 

Shihof  (jieuple  d'Abyisinie),  Carac- 
tère. CA>tuu>e,  t.  XXIII,  i>.  198. 

Shoa  (province  de  1  Abjrskiuie  1, 
t.  XXtII,p.329. 

Shotkot*  (ville  du  Penjab,  Hindous- 
tau).  Ruines.  Traditions.  Souvenirs 
d'Alexandre,  t.  XXXVII,  p.  419.  — 
Monnaies  antiques,  420. 

Sohi  (ville  du  Kaarta,  Sénégambir), 
t  XXV,  p.  359. 

Shouat  (peuple  des  environs  du  lac 

Trbad ,    Soudan).    TentCM.   Mœurs. 

Nourriture.  Cani|>s,  t.  XXVII,  p.  2!)4. 

Shouas-Ûugganahs  (tribu  d^sSIiouait). 

Physionomie  ,  t.  XXVIl,  p.  290. 

Shoiias-la-Sala  (  tribu  des  allouas  ). 
Défont  lesbeikdu  Bournou,  t. XXVIl, 
p.  288  à  300. 

Shoiymbab  (  ville  du  Moultan,  Hin- 
doustan),  Fortifiratîons.  Rues.  Fou- 
dation,  t.  XXXVII,  p.  399. 

Showy  (ville  du  Bournou,  Soudan). 
Jeux  des  filles.  Danse  des  bommes , 
t.  XXVIl,  p.  285.  —  Girafes,  301. 

Shuruks  (ville  de  la  Tnrconianie  , 
Tatarie  indépendiinte  ),  llabitans  , 
t  XXXVII, p.  259,  267.  —  Environs. 
PIanteà8uif,266.—Toiiibciiu  de  saint, 
2fi7,  271  —Forteresse.  Juifs.  Huttes 
de  Turcoiuans,  268.  —  Sol.  Produc- 
tions, 209  —  Belle  tente,  :i72.  —  Fes- 
tins, 275.  —  Armes,  277. 

5  AI»  (royaume  de  l'Indo-Cliine ). 
Voyage  du  Laloiibèi-e  :  productions. 
Miue.'i.  Agriculture  honorée,  t,  XXXI, 
l>.  211. —  Maisons.  Absence  d'actes 
publics,  242.  —  <  ôte  occidentale, 
XXXIV,  11.  ~  Arbres,  12.  —  Ani- 
maux, 12  — Ambassade  anglaiïic,  122. 
Voy.  Fyn'a.son.  Puissance  du  roi,  136. 

—  Klt'phans  blaocs,  160.Î  163,  281. 

—  Singes  blanc.-,  161,  281.— -Mono- 
pole du  conimetcc  au   profit  dû  roi, 

178,  213.  — Kinigraus  de  Chine,  178, 
180.  —  Orand   coiiinierce  de  sucre, 

179.  —  Politiijiie  .lu  sujet  du  com- 
merce 176,  180  à  190.  —  Traitement 
et  obsè(|ues  du  corps  du  roi ,  2''i9  à 
253,  257.  —Histoire ,  262.  —Moyen» 


de  défense,  265.  —Revenus ,  2C6.  — 
Daims  et  buffles  blanc*.  281 Mar- 
souins, tigres,  léopards,  282.  —  Goii- 
vcrnement,  281.  —  FIcuve.i.  Monta- 
gne», 449  et  suiv.  —  Sol.  Reuseignc- 
men»  sur  le  Laos,  452.  —  Langue, 
453.  Voy.  Bankok,  capitale;  thani'. 
bond,  Fukok,  JUiinam,  Paeknam,  Pan- 
Jaiig,  Sechang, 

Siam  ou  Yuthia  (ancienne  capitale 
du  royaume).  Visitée  par  les  Portu- 
gais dans  le  xvi*  sièilc,  t.  1, 107.  — 
Ravagée  par  le»  Birmans.  Le  siég-j  du 
gouvernement  est  transporté  à  Ban- 
kok,  t.  XXXIV,  221. 

Siamois.  Mœur;*.  Caractère,  t.  XXXI, 
p.  241,  242.  —  Coiffure,  XXXIV, 
115-  -^  Soins  ])our  avoir  les  dents 
noires,  115.  —  Figures/115.  — Cos- 
tumes, 116.  148.  —  Conservent  les 
corps  pour  les  brûler,  118,  2Î9. — 
Usages  dans  les  visites,  138,  196. — 
Respect  pour  les  élépbans  blancs , 
163.  —  Do  leur  goAt  artistique  com- 
paré à  celui  de  Ceyian,  166. —  Céré- 
monie religieuse  de  l'enfance,  170, 
199.  —  Politique  au  sujet  du  com- 
merce, 180  à  190.  —  Musiqne.  Ins- 
trumens ,  202  et  suiv.  —  Nourriture, 
mangent  de  la  viande,  mais  ne  tnenl 
aucun  animal,  230.  —  Sont  de  race 
roogole,  239.  — Traitement  des  morts, 
246  à  253,  257.  —  Astrologie.  Su- 
perstitions, 254.  — Lois,  259.  — Sm- 
l'adultère,  260.  Sur  le  vol.  Les  dettes, 
261.  —  Numération,  267.  —  Calen- 
drier, 268.  —  Fête  de  la  lin  de  l'an- 
née. Divisions  des  années  ,  269.  — 
Religion,  270.  —  Commandcniens  de 
Bouddha  (  siamois  et  français) ,  272. 

—  Arrogance  des  hautes  classes,  284. 

—  Bonté  du  peuple,  285.  —  Infério- 
rité des  femmes,  310. 

Sibidoulou  (ville  du  Manding,  Sé- 
négambie  1  t.  XXV,  275,  295. 

Sibérie  (j)artie  de  la  lVu>«ie  d'Asie). 
Voyage  dans  l'intérieur.  Etendue, 
t.  XXXr,  242.  —,  Fonderies,  243, 
261 ,  266.  —  Mines  (le  enivre ,  215. 
■^Cousins  insu])p(irlitbles,  260.  .Step- 
pes ,  262.  —  Fameux.  la<r  s;ilé,  :263. 
— Superstitions,  207.  — Tonnk  :  eoni- 
inerce.  Vieux  cr(»yans,  272.  —  Les 
Sinscliiwies,  27C.  —  Les  Bnrètes, 
277.--Le»«ralskis,  278.  Péages.  Lnc 
Baikal  honoré  des  naturels,  279. — 


UËS  MATIÈRES. 


457 


Puudation  d«  Seleagbinkkoï.  —  Vie 
do  set  liubîtans,  281'  —  Frontière  de 
lu  Cbine,  280.  293  et  «uir.  —  Cmn- 
|iagae.  Pun  de  différence  af«e  les  en- 
Tirons  de  SaiatPétersbuurg,  292<  — 
Barnauul,   293,  —  Mont  Altaï ,  291. 

Vojr.  IiHiuik  ,  trkoulik ,  Kuinttx , 
Oïliaks,  SamnjriJn,  Tatarti^  Toboltk, 
Tungt  usti. 

Sibikiltin  (ville  du  Tenda,  Séné- 
gambie),  t.  XXV.  p.  339. 

Sibilo.  Description  et  usage  de  ce 
minéral,  t.  XXV(,  p.  589. 

Sibnitbatki  (ville  du  Rengule ,  Hin- 
doustan  ).  Riiiups.  Enfans  de  brali- 
mines,  t.  XXXVI,  p.  48,  51.  —  Pa- 
gode», 49  ot  suiv,  —  Rajab,  52. 

Sibourkalch  (ville  do  la  Hongrie, 
empire  d'Autrirbe),  t.  XLIV,  p.  123. 

S  ht  (ville  d'Arabie),  tom.  XXlIf. 

p.  144.    ; 

.S'iV<7«(ile  du  royaume  deNaples) 
Voyage  dans  l'intérieur  ,  tom.  XLVI, 
p.  195  et  siiiv. 

Sidon  (ville  de  Syrie,Turq.  d'Asie). 
SitniKion,  t.  XXXII,  p.  443.  —  Cbâ- 
teuu.  Climat.  M&riers,  444-  —  Voy. 
Mnr-El  as. 

Sierra- liront  (colonie  anglaise  de 
.Scnégiunbiej.  Tatouages,  dents  limées 
des  naturels.  Produc^tions,  t.  XXII, 
p.  40.  —  (]limat.  Alligators ,  43.  — 
Mœurs,  usages,  assemblées  publiques, 
44.  —  Visite  à  l'étiiblisscmeut  des  nè- 
gres délivrés.  Progrès  de  la  colonie , 
375.  —  Freetown,  capitale,  376. 

Sikchf  {lie  du  Japon),  t.  XII,  p  333, 
XXXI,  114. 

Sikie  (ville  du  Deibi,  Uindoustau). 
Son  nawab,  t.  XXXVI,  p.  288. 

Simliat  (  île  ,  arrliipel  Snlom^n  ). 
Momuiée  Arsacide  p.ir  Survillu.  Su 
description.  Ses  iiabitans,  tuin.  III, 
p.  434. 

Simfia  (ville  du  Kouranko,  Séné- 
gambip).  Ménestrel.  Assemblée  pU- 
J.lique,  t.  XXVni,  p.  52.  —  Maisons, 
Us.ige  dcsagré.<ble,  54.  —  Duusc.s,  55. 

Simoun  ou  Kamun  (veut  pestilentiel). 
Ses  effets.  Piiys  où  il  peut  régner.  Son 
origine,  t.  XXII,  p.  254,— '  Ses  effets, 
Kemèdes,  XXXVII,  78. 

Simpson  (ile  de,  Australie).  Décou- 
verte par  Larteret,  I.  III,  p.  137. 

Sinff  (ville  de  la  Chine',  t.  XXXIII, 

p.  178. 


SlMt  (mont  de  l'Hedjai ,  Arable  ), 
t.  XXlIt,  p  1S3;  XXXII,  375. 

Sineapor*  (Ile,  détruit  de  Malaca  }, 
Progrès  de  la  colonie  anglaise ,  tom. 
XVIII,  II.  399.  —  Population.  Den- 
rées. Ville.  Climat,  400.  -^  L'Ile  don- 
née  en  présent  de  noces,  puis  vendue 
à  la  compagnie  des  ludes  orientales, 
438.  —  Description  de  l'Ile  et  de  U 
ville.  Denrées.  Productions,  t.  XX, 
409  et  SUIT. — Situation  sans  pareille, 
XXXiy ,  47,  60.  —  Sérénité  de  l'at. 
mospbère,  48.  — Salubrité  du  climat, 
50.  —  Ses  effets  sur  les  animaux  et 
les  végétaux,  51  à  53. — Plantes  ram- 
pantes, 52.  —  Animaux  curieux,  54 
et  suiv. —Végétaux,  57,  58.  —  Plante» 
marines,  57.  —  Fabrication  du  cate* 
cbu,  58.  —  Rare  mulaie,  60.  —  Man- 
groves, 62.  —  Leur  utilité,  64.  — 
Maisons  ,  nourriture  ,  caractère ,  co- 
lons chinois  ,  66i  76.  —  Leurs  jon- 
3ues ,  73  i  76.  —  Caractère ,  maurs 
es  Malais,  76  à  80. —  Description 
de  l'établissement  anglais,  81,  — Su- 
perficie de  l'Ile,  XLIII,  xlix  — Si- 
tuation de  la  ville.  Animaux.  Tempé- 
rature agréable  do  l'Ile ,  I.  —  Fou<la- 
tion  et  rapides  progrès  du  commerce 
de  la  colonie,  li,  liij.  —  Dispropor- 
tion des  sexes,  li,  lij. 

Sind.  Voy.  Indus.  _ 

SindUx  ou  Sinde  (Ktat  de  l'Hindous- 
tan).  Ses  eûtes,  et  les  embourhiire.s 
de  rindus,  t.  XXXVII,  p.  342  jt 
suiv,  —  Souvenirs  d'Alexandre,  343  , 
377, 378.  —  Lieu  de  pèlerinage ,  352. 
—  Barques  ,  355  ,  378.  —  Lieux 
divers ,  355 ,  366.  —  Stérilité  entre- 
tenue p:ir  les  émirs,  356.  —  Canot  de 
l'émir,  363.  — •  Caractère  ,  religion 
desbabitans,  307.  — Tribu  des  Ue- 
louebfs,  369,  373.  —  Portrait  des 
chefs  du  pays,  373-  — Leur  impo- 
pularité, 374. —  Nourriture  des  Iia- 
bitans, 381.  — Malpropreté,  382. — 
Cliauuiières  eu  roseaux,  584.  V.  Alore^ 
Hydrabod ^  capitale;  A'/!;T^oijr,  Schu/an^ 
falah. 

Singes  blancs.  A  Siain  ,  t.  XXXIV, 
p.  161,281.  —  Se  trouvent  aus.-.i  à 
l'Jle  de  Célèbes  ,  XLIII ,  Ixxiij. 

Siout  (ville  de  In  Haute-Egypte). 
Ruines,  t.  XXIII,  p.  85- 

Siphante  (île  derArchipel),  t.  XLVI, 
p.  94. 


m  I 


468 


TABLE  GÉNÉRALE 


A'r/ (fklU  «t  province  de  l'Abyt- 
■inie).  Situaliim.  Miitoni.  Maladiet , 
t.  XXIti,  i>.  214.  —  Étendue  de  la 
*Ule.825. 

Sirii.  Voy.  TaeaMié. 

Sitirait  (  port  d«  l'Ile  Lncoo) ,  t.  XIII, 
p.  206  i  212. 

Siticm  (ville  de  U  Bulgarie ,  Tur- 
quie  d'Europe) ,  t.  XLIV.  228. 

Silka  ou  lioitttl'Arehangtl  (Ile  de 
l'Aniérique  leptentrionale  oueit  ). 
Principal  établiMement  de  la  Corn* 
pagnie  rusie  américaine ,  t.  XVII , 
p.  401.  —  Climat,  403  ,  404.  -. 
Dottux  arbrei.  Richetie  du  Sol.  l'oi»> 
«ont,  405.  —  Quadrupèdes.  Cbatte 
de  la  loutre,  406.  —  Horrible  laideur 
de»  naturels ,  400.  —  Vêtement.  Ta- 
touage, 410«  410.  —  Ornemens  in- 
rnittét,  412.  —  Saleté  de»  butte», 
413.—  Dégoûtante  nourriture,  414. 
•.—  Guerres  continuelles.  Demeure» 
temporaires, 415.  —  Occupations  des 
femmes  et  des  hommes.  Veugeance. 
Férocité,  Noces.  Funérailles,  416.  — 
Religion ,  418.  —  Amour  du  jeu  , 
421. 

Siuan-Hou<^fou  (ville  de  la  Cbine). 
Fortification».  Rues.  Étendue.  Produc- 
tions. Animaux  du  district,  t  XXXIII, 
p.  172. 

Sk*ll*ftia  (ville  du  Nordland  sué- 
dois), ».  XLV,  II.  530. 

Skiddy  (récit  de ,  lies  Carolines). 
Découvert  par  Morrell  ,  t.  XX , 
p.  228. 

Sktddx  (  groupe ,  Iles  Carolines). 
Découvert  par  Morrell.  Son  nom  in- 
digène est  Mamoulouk  ,  t.  XX  , 
p.  230. 

Sririter.  Ses  excursions  dans  l'Hiu- 
doustan  et  les  monts  Himalaya  , 
t.  XXXVI,  p.  440. 

Skager-Rale,  Détroit  entre  le  Jnt- 
land  et  la  Norwége ,  t.  XLVI ,  p.  8. 

Slaichiwiei,  Peuple  de  la  Sibérie , 
t.  XXXI,  p.  276 

Snall-Key  (île  de  la  Malaisie).  Dé- 
couverte par  Wallis,  t.  III,  p.  396. 

Smarang.  Jolie  ville  de  l'tle  Java. 
S:i  description,  t.  XIII ,  p.  433. 

Smith  (ile  du  Noaveau-Slietland, 
iiustral  ).  Nommée  par  Weddell  , 
t.  XXI,  p.  271. 

Smolensk  (ville  et  gouvernement  de 
ia  Russie  d'Europe),  Description  des 


fortifications  de  la  ville.  Intérieur  de 
la  ville.  Catbédrale,  t.  XI.VI,  p.  I4|. 

—  Faubourg  de  Wolkousky.  Poiiuln- 
«on  ,142. 

Smym»  (capitalede  l'Anatolie,  Turu. 
d'Asie),  t.  XLIV.  t.  285.  —  VUUgo 
voisin  de  Dourlacb ,  288. 

Snam  (  Iles ,  Nouvelle-Zélande  , 
sud).  Découvertes  par  Vancouver, 
t.  XIV,  p  57.  —  Nommées  ile» 
Knlglit  par  Broughion ,  67,  88. 

Snêthaliam  (mont  gigantesque  du 
Dovrefield ,  Norwége) ,  t.  XLV,  p.  75, 
oO. 

SMt»ttrg*n  (mont  de  la  colonie  du 
Cap), t.  XXIX,  p.  7, 11.  — Auimaui, 
13. 

Sotlitd  (archipel  de  la ,  Polynésie). 
Découvert  par  Cook ,  t.  V,  p.  325 , 

355  et  suiv.  ^  Pirogue  remarquable, 

329.  <—  Coffre  semblable  à  Varcbc 
d'alliance,  et  appelu  Maiton  d*  Dita , 

330,  336.  —  Politesse  envers  le« 
étrHugers,  345. -~ Danses  siugulières, 
546 ,  o53.  —  Description  de  ces  Iles , 

356  et  suiv.  —  Héavas  ou  représen- 
tations dramatiques,  VIII,  5*  7,  15. 
20.—  Chair  des  porcs  de  cet  archipel. 
Causes  de  leur  rareté ,  28.  —  Sacri- 
fices humains  ,  29.  —  Dégoûtante 
pré|>aration  de  la  liqueur  ava  ou  kava, 
31.  —  Quelques  erreurs  corrigées 
touchant  les  femmes,  32.  —Compa- 
raison de  cet  archipel  à  celui  des 
Amis,  75.  —  Arrdojri,  sociétés  se- 
crètes, leur  immoralité,  263,  272,  274 
et  suiv.  —  Religion  :  les  habitans 
croient  à  un  Dieu  suprême,  à  des  di- 
vinités inférieures  ,  à  l'immortalité  de 
l'âme,  295.  —  Nom  qu'ils  donnent 
aux  pensées,  296  note.  —  Prêtres  , 
298.  —  Cimetières  de  famille,  301. 

—  Bonnes  qualités  des  habitans  ,  303. 

—  Romt» ,  tratlrmcnt  contre  les  dou- 
leurs de  nerfs ,  X,  155.  —'  Usage  du 
bi'tiauicr  dans  diverses  cérémonies  , 
ICI.  —  Respect  pour  les  dieux  ,  237. 

—  Productions  particulières  des  Iles. 
Religion  ,  252.  —  Singulier  usage  de 
l'ile  Mataecra.  Mariages ,  253.  —  In- 
sulaires ne  font  point  des  voyages  de 
long  cours  ,  255.  —  Mœurs  et  langue 
semblables  à  celles  des  habitans  des 
îles  Sandwich  et  des  Ami»,  351.  — 
Comment  la  même  nation  s'est  ré- 
pandue sur  toute  la  mer  Pacifique, 


DES  MATlfeRES. 


4&0 


33S.— Mittioanairfltanglleant,  XVII , 
'266.  —  Etablittement  de  la  raligloa 
anglicaae.WI  et  inkr.  Voy.  Iles  Bo- 
Ifi/folM  ,  Èimm  ,  GalUi  ,  Hu»k«iiu  , 
Otaha,  Ontmbrutk  ,  TéUi,Th*Ur90 , 
UlM*a. 

Sc«kiu  (ville  du  Fexian],  Bnnnei 
dattes.  Population.  Pemmea  aimable», 
t.  XXVII ,  p.  5.  —  Hubilleineot  de* 
fommei,  6.  —  Nooei ,  15  et  «uiv. 

Soeoiorn  (Ile ,  à  l'entrée  de  la  mer 
Hooge).  Cuniia  t'en  empare.  Cl)ri(- 
tianitme  jaoobite  établi.  Cirronciaion. 
Conrage  det  femmtt,  t.  XXII ,  p.  14. 
15. 

Sotha  (capitale  det  Druies  orien- 
taux, Syriej ,  t.  XXXII ,  p.  429. 

Sottdad  (lie,  une  dei  Malouinet). 
Sol,  Abondance  de  gibier,  t.  XVIIl, 
p.  117  et  «uiT. 

Solitairt  (lu ,  ilo  Polynétie).  Décoo- 
Terte  pur  Mindunn  ,  t.  I ,  p.  205. 

Somini  (riMo  du  Bambara) ,  t.  XXV, 
p.  263. 

Sondag  (rivière  du  cap  de  Bonne- 
Espérance;  ,  t.  XXIV,  p.  114 ,  222. 

SoHdtrJitldi  ('partie  de  l.i  Nr..  «rége^. 
Voyage  dans  le  pays  ,  t.  XLV,  p.  40 
Il  82.  —  Forteresse  de  Kongsvinger, 
42,  44.  —  La  fête  de  la  Saint-Jean  , 
42.  —  Le  Glomcn,  42 .  45,  47.  — 
Cbevaux.  Moutons  et  chèvres  qui  se 
croisent ,  dit-ou ,  48.  —  Mines ,  54.  — 
Forêts.  Le  mont  Mastberget ,  55.  — 
Belles  vallées,  56.  —  Aspect  des 
chaumières ,  58 ,  61  •  —  Le  Miœson  et 
antres  lacs,  58.  —  Villages  ,  61,  65  < 
66.  68.  —  Population  et  culture  de 
l'Hederman  et  du  Guldsbransdal,  61. 
—  Storhnmmer,  62.  —  Le  mont  Syn> 
fricld ,  62.  —  Agilité  des  auimiiux 
domestiques,  63,  64.  —  Torrens  , 
65.  —  Chutes  de  la  Moxa,  67.  — 
Une  ferme  et  ses  curieux  habitans , 
69  et  suiv.  —  La  chaîne  du  Dovre- 
field,  72.  Voy.  ce  nom.  —  Tofte,  73. 
-  Merles  noirs.  Pluviers ,  76.  — 
Elans ,  rennes ,  76.  —  Jerkin ,  78.  — 
Fiell-farei,  82. 

SoirKERAT.  Son  voyage  aux  Indes 
orientales ,  t.  XXXI ,  p.  337. 

Son/orol^  Sansei-ol  ou  Saint-André{\\ci 
(lu  groupe  Pelcvr).  Découvertes  par 
P.idilla,  t.  II,  p.  28. —  Croix  plantée 
parles  missionnaires,  51. 

Soobrodouka  (ville  du  Bondou  ,   Sé- 


négamble),  PAcbe  et  préparation  du 
poisson ,  t.  XXV.  p.  70.  —  Blé ,  71. 

Saphlm  (capitale  de  la  Bulgarie , 
Turquie  d'Europe).  Bains  <  '  auds  des 
femmes  ,  t.  XLVI ,  p.  85. 

Sotvt  (Ile  J.1  Pinmarck .  Norwége), 
-—  Aspect  vi^'aul  de  la  baie  d'Hasvig , 
t.  XLV ,  p.  196.  —  MonUgnes ,  Sfl. 
—  Etendue.  Habitans,  252.  —  Aspect 
en  hiver,  270. 

Soubo-Sumùounim  (ville  du  Konran- 
ko ,  Sénégambie  ),  Belle  situation  , 
t.  XXVIII,  p.  51. 

S0U'Ck»ii.Fo»  (ville  de  la  Chine). 
Rnes  divisées  par  det  cananx.  Bean 
surnom  ,  t.  XXXIII ,  p.  479.  —  Belles 
femmet ,  480. 

Soudan  ou  Nigritit  (centre  de  l'A- 
frique ).  Ses  négresses,  t.  XXVII  , 
p,  0.—  Sources  de  set  riviirei,  XXIX, 
p.  433. 

Soudan  on  NigrltU  Voy.  lei  Etett 
suivant  :  Bamhara ,  fitgharmi ,  Pour- 
gou  ,  Bountou,  Boulin,  Cuttup,  Dat' 
four,  Haouiia,  Kantm,  Kaito ,  Kiama, 
Loggun ,  Mandata ,  Niff4  ^  Ttmhouetou, 
Ztg-Ztg.  Les  tribus  de  Biddomahi , 
3lungowitni,\Shouai,  Tibbout.  Les  fleu- 
ves de  Niger,  Shart,  et  le  lac  Tehad, 

Soufre  (Ile  de,  Polynésie).  Décou- 
verte par  Gore.  Aspect,  sol,  t.  XI  , 
p.  463;  XXI,  58. 

SoiiUmana  (province  dépendant  du 
Manding,  Sénégambie).  Vnvage  dans 
l'intérieur,  t.  XXVIII,  p.  74.  —  Ko- 
mia,  danses,  jeux,  76.  —  Semba  , 
78,  108.  —  Horbe  très  haute  ,  79  — 
Montagnes  pittoresques ,  81 .  — Chants 
de  guerre,  84  et  suiv.  91.  —  Serpent 
apprivoKié,  92-  —  Danses,  105. — 
Sangouga.  Demeure  d'un  chef,  97.  — 
Travaux  domestiques.  Punition  des 
crimes.  Privilèges  des  femmes  Funé- 
railles. Saints ,  106.  — Instruinens  de 
musique,  108.  Voy./'ataia,  capitale; 
Konkodongore. 

Soulhampton  (île,  mer  d'Hudson) , 
cap ,  ff^elifotd ,  Dent,  Thomson,  tom. 
XL ,  p.  384.  —  Oiseaux ,  385  — 
Cap  Bylot,  386'  —  Animaux  de  mer. 
Traces  d'habitans ,  387.  —  Produc- 
tions ,  387,  388.  —  Oiseaux  ,  388.  — 
Baie  du  Duc-d'York ,  389.  —  Rocher 
Fife.  398. 

Spiirte  (ville  de  la  Grèce"^ ,  t.  XLV, 
p.  208. 


TABLE  GÉNÉRALE 


4({0 

SpeHtla  (royaume  de  Tuais).  Ruines 
antiques,  t.  XXII,  p  193. 

Speixia  (ville  de  la  Grèce),  t.  XLVI, 

p.  213. 

Spilberg.  Sod  Toyage  autour  du 
monde  ,  1. 1,  p.  274.  —  Bat  la  flotte 
espagnole ,  277. 

Spiridoff  (Ile,  Polynésie).  Décou- 
verte par  Kotzebue,  t.  XVII,  p  45- 

Spitzberg.  Sai&ons  et  leurs  pUéiio- 
mènes,  t.  XL,  p.  ij  et  sniv. 

Stabmek  (capitale  de  la  Guiane  an- 
glaise).  Prospérité.  Rues.  Ponts.  Mai- 
sons ,  t.  XLI ,  p.  229.  —  Boutiques , 
hàteU ,  plantations ,  230.  —  Les  vam- 
pires ,  237.  —  Hangar  des  Indiens  , 
250. 

Stahoual  on-  Satalutual  (lie  ,  Polyné- 
sie), t.  XVIII,  p.  181. 

Stanhufe  (  lady  ).  Visitée  par 
Buckiiijjbam,  en  Syrie,  t.  XXXH', 
p.  443.  —  Achète  le  couvent  de  Mir- 
Ëlias.  Sa  sociéîé.  Sa  vie.  Sa  figure  , 
444.  —  Opinions  du  peuple  sur  son 
compte ,  446. 

Staiobelsk  (ville  du  Voronedje , 
Russie  d'Kurope  ).  Environs.  Rues. 
Maisons.  Églises  ,  t.  XLIV,  p.  4ô7. 

Stavropole  (ville  du  Caucase,  Russie 
d'Europe) ,  t.  XLIV,  p.  44J. 

Stegen  (  île  de  la  Norwége).  Ses 
Ciiverues,  t.  XLV,  p.  164. 

Siellemùosch  (bourg  de  la  colonie 
du  cwp  de  Bonne-Espérance),  t.  XXIV, 
p.  46.  —  Bel  aspect.  Rues.  Maisons*  , 
XXVI,  79. 

Siephens  (îles  de  l'Australie).  Dé- 
couvertes pur  (  arteret ,  t.  III ,  p.  164. 

Sef/ip's  (plaines  ).  Lçur  descrip- 
tion, t.  XXXI,  p.  262.  —  Nourriture 
des  lia  Intans  de  celles  de  la  Mon- 
golie, XXXllI,  48.  —  Steppes  de 
l'Oréuoque.  Leur  coiiiparaisoii  aux 
Savanes,  déserts,  etc.,  XXXVIII, 
371  et  suiv.  —  Steppes  de  Russie  et 
du  Kouban,  XLIV,  386 

Sterzing   (ville  du  Tyrol) ,  t.  XLV, 

p.  386, 

Steu/art  (île,  Nouvelle-Zélande), 
t.  XX ,  p.  173. 

Stoekbridge  (ville  du  Mas..iaclinssetts, 
États-Unis).  Esprit  d'iudépeiulancc  , 
t.  XXXIX,  p.  133.  —  Concours  des 
comices  agricoles.  Fêtes,  134. — Usage 
immodéré  des  liqueurs  fortes,  138. 

S>o-!;holM  (capitale    de  la   Suède), 


Pourquoi  cette  ville  parait  triste, 
t.  XLV,  p.  16.  -;-  Situation.  Asjject , 
17.  —  Curiosités  qu'elle  renferme. 
Grandes  revues,  18.  —  Usage  de  la 
langue  française,  19.  —  Indolence 
générale,  19,  20.  —  Situation  de  la 
ville.  Beau  points  de  vue.  Le  port 
Maisons.  Le  palais,  XLVI,  152.  — 
Aspect  imposant,  291. 

Storch.  Ses  voyages  ,  t.  XLVI , 
p.  155. 

StorJal  (rivière  du  Nordeufields  , 
Norvège J,  t.  XLV,  p.  102. 

Stor-Hammer  (ville  du  Sonderfields, 
Norwége^.  Son  ancienne  opulence  , 
t.  XLV,  p.  62. 

Slot  (île  de  la  Norwége).  Poissons 
noirs.  Sol.  Oiseaux,  t.  XLV,  p.  139. 

—  Le  mont  Kunnen  ,  140,  l4l. 
Sioubal  (île ,  groupe  d'A-Ur).  Dé- 
couverte par  Kotzebue,  t.  XVII,  p.201. 

—  Femmes  prennent  part  à  la  guerre, 

203. 

Stuart  (île ,  mer  de  Behring).  Dé- 
couverte par  Cook ,  t.  XI ,  p.  99. 

Stitrt.  Son  voyage  dans  l'intérieur 
de  l'Australie  méridionale  ,  t.  XLIII , 
p.  168.  —  But  du  voyage,  178.  — 
Explore  le  cours  de  la  rivière  Mar- 
quarie,  179  à  226.  —  Entrevues  avec 
les  naturels,  187,  191,  193  et  suiv. 
212,  228,  249,  256,  270,  356.  — 
Nommeleplateau  d'Oxley  et  le  groupe 
d'Urban ,  217.  —  Nom  donné  au  mont 
New-Ycar,  220.  —  Nomme  les  mon- 
tagnes Violettes  ,  236.  —  La  rivière 
Darling  ,  255  —  Résultat  du  l*"" 
voyage .  276 ,  279.  —  2*  expédition 
sur  les  rivières  Morunibidje  et  Murray, 
279.  —  Entrevues  avec  les  naturels  , 
290, 295,  297,  303,  309.  —  Découvre 
et  nonim«r  la  rivière  Murray,  342  à 
322.  --  Démonstrations  hostiles  des 
naturels,  313  à  320,  335,  346,  351. 
Découvre  l'embouchure  du  Darling , 
321,  324,  363.  —  Nomme  le  Rufns , 
327.  —  Collision  avec  des  naturels , 
351  ,  3-57  et  sniv.  —  Découvre  et 
nomme  le  lac  Alexandrina  ,  334 ,  .'^66. 

—  Collision  avec  les  n.iturels ,  354 , 
357  et  suiv. 

Styrie  (province  de  l'empire  d'Au- 
trirl.e) ,  t.  XLVI ,  p.  229. 

Sunkem  (port  de  la  Nuhic).  Impor- 
tance de  son  ancien  commerce  , 
t.  XXIII,  p.  164  et  suiv. 


k 


DES  MATIERES. 


401 


XLvr, 


SiiiJ*  (royanme  de).  Voyage  dans 
l'iatérieur,  t.  XLV,  p.  1.  —  Attraits 
pour  le  Toyagenr,  2.  —  Manière  de 
voyager,  6-  —  Forêt»  de  pins,  7.  — 
Lacs,  9,  15,  37.—  Animaux  san- 
viiges  ,11,  39.  —  Origi  ne  de  ses  lacs , 
12.  —  Forêts,  14,  23,  32,  55.  — 
Armée,  19.  —  Usage  de  la  langue 
française,  19.  —  Auberges  ,  25  ,  26. 

—  Hontes  ,  28.  —  Soirées  et  nnits  de 
Suède,  29,  30.  —  Mines,  31.  — 
Pourquoi  on  voit  si  pcn  de  gibier  en 
ce  pays  où  il  y  en  a  tant ,  39.  —  La 
fête  delà  Saint-Jean,  42.  —  Monnaie, 
46.  —  Rapidité  de  la  végétation  ,  56- 

—  Extrêmes  chaleurs,  57-  — Langue 
comparée  à  celle  de  Norvrége  et  de 
Dîinemark  ,  98.  —  Titre  de/rue^  286. 
Lacs ,  XLVI ,  14  —  Voyage  dans  le 
pays,  151.  —  Voyage  de  Dnumont. 
Helsingborg ,  t.  XI.VI,  p.  288.  —Bar- 
rières des  routes.  Monnaie  nationale. 
Joenkoeping.  Lac  Wetter.  Petitesse 
des  lits  Suédois.  Linkoeping ,  289.  — 
Bêlais  de  poste.  Célérité  du  voyage. 
Aspect  grandiose  de  la  contrée  ,  290. 

—  Norkoeping.  Villes  de  Suède  man- 
quent de  monumens  durables.  Mai- 
sons, Traits  de  mœurs  ,  291   et  suiv. 

—  Pains  faits  en  partie  avec  de  la  fa- 
rine d'écorce  d'arbre ,  293.  —  Rigi- 
dité de  la  police  et  de  la  douane , 
294.  Voy.  DaUorlie  ,  Gothie  ,  Nord- 
land,  Norvège,  Scandinavie ,  Slochholm, 

Suède  (partie  du  royannie  de  Suède). 
Voyage  dans  le  pays,  t.  XLV,  p.  13  à 
40.  — Orebro,  13.  — Lugubre  forêt 
de  Kaaginr,  14.  —  .irboga.  Cathé- 
drale de  Westeras  Lac  Mœlar,  15. — 
Villages,  16,  37,  39,  —  Stockholm, 
16.  —  Voiture,  21.  —  Insectes  em- 
pestant les  forêts.  Enormes  fourmi- 
lières .23,  —  Forêts  consumées  par  le 
feu ,  24.  —  Bonté  des  paysans.  Es- 
tkisltuna ,  25.  —  Smaby,  27.  —  Carl- 
stadt,  31.  —  Lac  Vermelen  ,  37.  — 
Ravages  des  ours,  39.  — Hudikswall. 
Gefle,.533.  —  Chutes  d'Elf-Karleby. 
Restes  de  Linnée,  331. — Lac  Malar 
335. 

Stiè'dois.  Usage  de  la  langue  fran- 
çaise, t.  XLV,  p.  19.  —  Aptitude 
pour  apprendre  tontes  les  langues  , 
20.  —  Affection  pour  leurs  chevaux  , 
27.  —  Chaumières  des  paysans  ,  33. 

—  ITsages  qu'ils  tirent  du  bouleau , 


34.  —  Lenr  costume.  Leur  caractère. 
Leur  nourriture,  35.  —  Différence 
entre  le  Suédois  et  le  Norvégien. 
Ressemblance  des  montagnards  de 
tous  pays,  41.  —  Repas,  152,  —  Ca- 
ractère des  danses  ,  335  —  Suédois 
ont  chacun  leur  voiture  ,  XLVI ,  290. 

—  Leur  caractère.  Grâce  et  attraits 
des  femnes ,  293,  —  Suivent  les 
modes  parisiennes,  296- 

*««  (ville  d'Ég.j,  t.  XXII,  p.274.— 
list  dénuée  de  provisions,  279.  —  Ses 
quelques  habitans.  Son  mauvais  port, 
280. 

Suez  (isthme  de).  Dn  projet  de  le 
couper,  t.  XXII ,  p.  274. 

Sii/fren  (baie  de,  Mantchourie). Nom- 
mée par  La  Pérouse,  t.  XII  ,p,  357. 

Sumrtrn  (île  de  la  Sonde).  Mon- 
tagdcs  ,  t.  XLIII ,  p.  V j  ,  xxxiv.  — 
Volcans,  vij.  —  Rivières,  viij  ,  xxxiv. 

—  Lac,  Mines  ,  viij,  —  Productions  , 
viij  et  suiv,  xxxiv.  —  Animaux  ,  ix  , 
XXXV,  xliv.  —  Races  diverses,  xij,  xiv. 

—  Religion,  xxij.  —  Gouvernement, 
xxviij.  —  Commerce.  Industrie,  xxix. 

—  Anthropophagie ,_  xxx.  —  Trois 
sortes  de  mariages.  État  des  femmes , 
xxj.  —  Étendue  de  l'île,  xxxiij.  — 
Température.  Plaines,  Volcans,  xxxiv. 


—  Rochers  de  corail ,  xxxv.  ■ 


Difû- 


culté  d'abordage,  xxxvj.  — Pêches. 
Caractère,  Religion.  Mœurs.  Polyga- 
mie. Mariago  forcé  des  veuves,  xxxvij, 

—  Noms  et  scrupules  à  cet  égard.  Fu- 
nérailles, xxxviij.  — Défiguration  des 
nouveau  -  nés  ,  xxxix.  —  Figure, 
teint,  xxxix  ,  xl.  —  Dépilation,  xxxix. 

—  Soin  des  ongles ,  xl,  —  Goitres, 
Soin  des  dents ,  xli.  —  Alimens. 
Opinm  ,  xlii, —  Arbres  remarquables. 
Forêts,  xliij.  —  Combats  de  chant. 
Instrumens  de  musique  ,  xlv,  xlvij. — 
Présens,  fêles  offerts  aux  étrangers 
par  les  jeunes  filles,  xlv.  —  Iles  voi- 
sine.s,  xlriij.  Voy.  Buttas. 

S  m  far  (île,  Malaisie).  Découverte 
par  Wallis ,  t.  III ,  p.  396. 

Sund  (détroit  entre  la  Suéde  et  la 
Norwége) ,  t.  XLVI ,  p.  288. 

S'indswall  f ville  du  Nordland  ,  Sué- 
dois), t.  XLV,  p.  332, 

Surate  (ville  du  Guzerate,  Hindous- 
tan).  Ses  bayadères,  t  XXXI,  p.  347. 

—  Aspect,  Signification  de  son  nom. 
MaisDi.  i.     Fortifications.     ChAteau   , 


462 


TABLE  GÉNÉRALE 


XXXVI,  598.  —  Factorerie»  fran- 
çaisea  et  hollandaises.  Commerce. 
Uabitans,  399.  —  Bateaax.  Établisse- 
meiH  divers,  400. 

Surdah  (ville  du  Bengale ,  Hiodoas- 
tan).  Manufacture  de  soie,  t.  XXXVI, 
p.  91. 

Surf,  Mouvement  particulier  de  la 
mer,  t.  XLIII,  p.'xxxvj. 

Swromunugeur  (  ville  de  l'Aoudh  , 
Hindou stan  ).  Vieille  forteresse  , 
t.  XXXVI ,  p.  205. 

SnaviLLE.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  III,  p.  420.  — Découvre 
l'Ile  de  la  Première-Vue,  429.  —Re- 
trouve les  lies  Salomon ,  qu'il  nomme 
terre  des  Arsacides,  430.  —  Dé- 
couvre l'île  des  Contrariétés,  les  Iles 
des  Trois-Sœurs,  435.  —  Les  Iles  de 
la  Délivrance,  451.—  Nomme  la  baie 
Lauriston  ,  "452.  —  Périt  dans  les 
flots  à  Chilca ,  456. 

Sutlejr,  Sacrifices  des  veuves  hin- 
doues. Détails  et  observations  sur 
cette  cérémonie ,  t.  XXXVI ,  p.  54  , 
134. — Signe  indicatif  du  lien  témoin 
du  sacrifice ,  289. 

Suiraro//  (groupe ,  Polynésie).  Dé- 
couvert par  Kotzcbue,  tom.  XVII , 
p.  62. 

SwiHBURirE.  Ses  voyages,  t.  XL VI , 
p.  161. 

Swini-oK.  Ses  voyages  ,  t.  XLVI , 
p.  155. 

Svinvar  (Ile  de  la  Norwége).  Glaces 
éternelles.  Fin  de  la  végétation  , 
t.  XLV,  p.  137.  —  Différentes  es- 
pèces d'ours,  138. 

Sttarteberg  (mont  de  la  Hollande 
hottentote).  Maison  de  bain  d'eau 
thermale,  t.  XXVI ,  p  48.  —  Hôpital 
des  lépreux,  51. 

Sirart-LanJ  (canton  du  cap  de 
Bonne-Espérance) ,  t.  XXIV,  p.  274. 

Sybarit  (ville  du  royaume  de  Na- 
ple8),t.XLVI,p.  197. 

Sydney  (ile,  Polynésie).  Gisement. 
Sol,t.  XVIII.p  391. 

Sydney  (  port  de  la  Nouvelle- 
Galles  méridionale  ,  Nouvelle  •  Hol- 
lande ).  Nommé  Port  -  Jakson  par 
Cook  ,  t.  VI ,  j).  232.  -  Phillip  fonde 
la  ville,  XVIIl  ,  220.  —  Sa  prospé- 
rité, 412.  —  Cataracte  voisine  ,  414. 
—  Monument  à  la  mémoire  de  La 
Pérouse,  415.    —  Lac,  Animaux  cu- 


rieux. Montagne  brûlante ,  454.  — 
Description  de  la  ville.  Progrès  de  \s\ 
colonie,   XXI,   435  et   suivautcs. — 

Environs  de  la  ville,  t.  XLIII,  p.  6 

Baie,  7.  —  Édificesv,  7,  12.  —Quar- 
tier» divers,  7.  —  Promenades,  8, 
19.  —  Le  roi  Boungarre ,  9,  89.  — 
Description  de  la  ville  :  habitatious. 
Chiens  de  garde,  10  —  Aspect  des 
rues.  Chaîne  des  condamnés,  11. 
Voy.  Convicts  de  la  NouoeHe-Gallet  m/- 
ridianalt.  Étendue  de  la  ville,  12.  ^^ 
Eublissemens  publics,  13,  15,  121. 

—  Toilette  des  femmes,  14.  —Mo- 
des. Marché ,  15.  —  Colons  de  toutes 
le»  nations,  16.  —  Sécurité  de  la 
ville,  17.  —  Voitures,  20.  —  État  dé- 
gradé des  tribus  indigènes  du  dis- 
trict, 83  à  86.  —  Nuances  de  la  so- 
ciété ,  104,  117.  —  Améliorations  , 
111.  —  Honnêteté  des  marchands, 
114.  —Manufactures,  117.  —  Eti- 

Îuette  ,119.  —  Intérieur  des  maison», 
21.  — Journaux.  Cabinets  littéraires, 
121.  —  Courses  de  chevaux,  122.  — 
Abus,  122  et  suiv.  —  Gouvernement 
de  la  colonie,  164.  —  Compagnie 
australienne,  166.  —  Etat  prospère 
de  la  colonie,  170. 

Syenne  (ville  d'Egypte),  Son  fameux 
puits.  Emplacement  de  l'ancieoue 
ville,  t. XXII, p.  445.  —  Ruines ,  446. 

—  Port,  447.  —  Nilomètre,  XXIII, 
92 ,  95.  —  Histoire  de  la  ville ,  93  — 
Denrées,  93.  -  Travaux  des  géo- 
mètres grecs,  96.  —  Maladies  des 
yeux ,  100. 

Sylivria  (ville  de  Roumclic  ,  Tur- 
quie d'Europe).  Aspect  pittoresque, 
t.  XLIV ,  p.  260. 

Sympa^ropol»  (chef-lieu  de  la  Cri- 
mée et  du  gouvernement  de  la  Tau- 
ride  ,  Russie  d'Europe).  Description  , 
t.  XLIV,  p.  405, 406.  —  Café  tartare, 
407. 

Synjield  (  mont  du  Sonderfields  , 
Norwége) ,  t.  XLV,  p.  62. 

Syouah  (oasis  de,  désert  de  Lybie). 
Etendue.  Sol,  t.  XXV,.p.  423.  —  Sel, 
424 ,  439.  —  Vêtement,  Caractère  des 
Iiabitans,  424.' —  Sol.  Productions, 
439,440. —  Population, Religion.Gou- 
vernemcnt ,  441 .  —  Caractère,  Com- 
bats ,  442.  —  Commerce,  414. 

Syouah  (chef-lieu  du  Syoïiah).  Mai- 
sons serrées  ,  t.  XXV,  p.  423. 


# 


11. 


DES  MATIÈRES. 


463 


Syroeuf!  'v;Ue  de  SicUe) ,  t.  XLVI , 
p.  195. 

SjrrU  f  ince  de  la  Turquie  d'A- 
sie). Voy.'  0  dans  l'intérieur,  t.  XXIII, 
p.  42  et  su:v.  —  Uassia.  L'Adonis. 
Laodicce,  44.  —  Antioche,  45,  — 
Lefi.  Oronte ,  46.  — ■  Tyr,  49.  —  Sa 
caravane  de  la  Mecque,  XXXII ,  187, 
189.  —  Autre  voyage  dans  le  pays  et 
parmi  les  tribus  arabes  de  l'ouest , 
385  et  suiv .  —  Tombeau  de  Jusué  , 
389,  400.  —  Ruines  d'Amman  ,  415, 
417.  —  Bosra,  427,  —  Soïba,  capi- 


Xi 


taie  des  Druses  orientaux,  429.  — 
El-Gerieh,  428.  —  Sidon,  443,  444. 
—  Mar-Elias,  résidence  de  lady  Stan- 
liope,  444.  —  Beyrout.  Mosquées. 
Costume,  448,  450.  —  Parure  de 
noces  ,  449,  —  Hems,  Mainons.  Mos- 
quées, Combats  simulés,  455.  — 
Voyez  Atep ,  Atsalt ,  Bnlbek ,  Da- 
mât ,  Jourdain  ,  Liban  ,  Palntyrê ,  Tri- 
poli, 

Siveine  (ville  du  Darfour,  Soudan). 
Son  commerce  et  celui  desprincipales 
viUes  du  Darfour,  t.  XXV,  p.  39^. 


f 


-^- 


Tabasco  (  province  du  Mexique  ). 
Combat  des  Indiens  contre  Cortez, 
t,  XXXVIII,  p.  273,  277. 

Tabasco  (  c!«pitale  de  la  province  ), 
Prise  par  Cortez,  t,  XXXVIIF,  p.  276. 

Tabitinga  (  ville  du  Brésil  ).  Aspect. 
Danse  indienne,  t.  XLII,p.  47.  •— 
Fort,  49.  —  Combat  d'un  Indien 
contre  un  tigre,  50, 

T'aA/e  (montagne  de  la  colonie  du 
oitp  de  Bonne-Espérance),  Sa  descrip- 
tion, t,  XX,  p.  120  ;  XXIV,  37.— Son 
aspect,  261 ,  — Phénomène  qui  y  appa- 
raît ,  262.  —  Voyage  à  sou  sommet , 
XXVI,  30  et  suiv.  —  Singes,  35. 

7a£/«(baie  de  la,  colonie  du  cap 
de  Bonne  -  Espérance  ) ,  t.  XXVI , 
pag.  35, 

Tdioii,  Explication  de  ce  mot,tom. 
XI,  p.  151, 299;  XII,  126;  XVI,  192; 
XVIII,  277.  —  Ses  effets,  XI,  151; 
XIII,  288,  319:  XVI,  192;  XVIII,  96, 
277,  292,  —  Curieux  détails  sur 
cette  institution.  Sou  objet,  ses  effets, 
ses  modifications,  etc.,  XLIII,  xziij  à 
xxvij,, 

Tabra  (ville  du  ^iffé,  Soudan  ), 
Pont,  Audience  de  Im  reine,  tom. 
XXVI II,  p.  190. 

Tacazté [Aenve  d'Abyssinie).  L'an- 
cien Siris.  Origine  du  nom.  Beauté 
des  bord»,  t.  XXIII,  p.  249  252.  — 
Crocodiles  Hippopotames,  253. 

Tairart  (  monts  du  pays  des  Tua- 
ricks ,  Sahnra.  Aspect  pittoresque  , 
t,  XXVII,  p.  48. 


Taffara  (  ville  du  Bambara  ) ,  tom. 
XXV,  p.  262. 

T'o/I/fff  ( province  du  Maroc),  Im- 
pôts. Agrémens.  Industrie ,  t,  XXIX , 
p.  425, 

Taief  (  ville  de'l'Hedjaz ,  Arabie  ), 
t.  XXXII,  p.  g.  —  Château,  59,  65,  — 
Situation.  Etendue,  Maisons.  Ravages 
des  Wahabites ,  64.  —  Puits.  Beaux 
jardins.  Fruits.  HabitaDs,66. 

^^^«(île  de  l'archipel  delà  so- 
ciété ).  Retrouvée  par  Wallis ,  t.  III . 
p.  307.  —  Avait  été  découverte  par 
Quiros,  VII,353;  XVII,  275.— Sa 
description  ,  III,  309  et  suiv,  —  La 
reina  se  rend  à  bord,  340.  —  Elle  re- 
çoit à  son  tour  Wallis  et  ses  officiers. 
Description  de  sa  maison ,  342.  — 
Voyage  de  Bougainville.  L'ile  se 
nomme  Taïti  et  non  Otatti,  IV,  197. 

—  Beauté  des  cûte^,  208.  —  Bougain- 
ville y  sème  plusieurs  graines  étran- 
gères, 222.  —  Montagnes,  produc- 
tions, perles,  quadrupèdes,  climat, 
233  et  suiv.  —  Cliangomens  dus  aux 
Anglais  ,  notes  238,  242,  244,  246, 
253.  —  Fabrication  des  étoffes,  249. 

—  Voyage  de  Cook  V,  95.  ^  Arbre 
énorme,  151.  —  Hérédité  de  pou- 
voir, 195,  319,  —  Vestige  de  feux 
souterrains,  21.  —  Côtes,  sol,  fruits, 
animaux ,  235  et  suiv.  —  Maisons 
particulières ,  communes,  250.  —  Ob- 
servation sur  Taïti  pour  les  naviga- 
teurs, 322.  —  Second  voyage  de 
Cook,  L'ile  ne  se  nomme  pas  Otaiti, 


t 


464 


T\BLE  GÉNÉRALE 


VIT,  359  —  CénotapLe  pTramida), 
S66.  — Traces  de  Tolcaos,  403.  — Le 
Baringtonia,  428. —  Observations  mo- 
rales et  politiques  sur  l'état  de  l'ilo, 
439. —  Chair  des  porcs,  causes  de  leur 
rareté  ,  VIII ,  27,  28.  —  3«  voyage 
de  Cook,  X,97.  —  Il  y  dépose  des 
volailles  et  y  sème  des  graines  ,114. 

—  Détail  sur  les  voyages  qu'ont  fait 
les  Espagnols  à  Taïti,  168.  — Vents 
dominans  dans  les  parages,  215.  — 
Beauté  du  pays,  215.  —'Culture  peu 
fioignée,  pourquoi?  216.  —  Lac  au- 
souimet  de  la  montagne,  217.  — • 
Premier  établissement  des  mission- 
naires anglais  ,  XIII,  438  —  Forme 
et  climat  de  l'Ile,  XVII,  277.  —  Dra- 
peau  national,  280.  — Etablissement 
de  l'anglicanisme,  291  et  suiv.  —  Po- 
pulation,  297.  Productions,  XIX, 

229.  —  Productions.  Animaux, 
XLIII,ix. 

Tnnieni.  Attaquent  Wallis ,  t.  TIT , 
p.  318.  ^  Lient  avec  lui  un  com- 
merce d'écbange,  332  et  suiv.  — 
Formes,  figure,  chevelure,  363.  —  In- 
contineoce  des  femmes,  564.  —  CoS' 
tûmes.  Tatouage,  365.  —  Alimens,. 
cuisine,  366  à  369.  —  Médecine, 
370.  —  Sculptures.  Cimetières.  Piro- 
gues diverses  et  leur  construction  , 
371  et  suiv.  —  Armes  ,  375.  —  De 
qui  ont-ils  reçu  la  syphilis?  377,  et 
IV,  266;  VII, '442.  -  Offmnt  leurs 
femmes  aux  étrangers ,  IV,  211,  213. 
.—  Maison  d'un  chef,  214.  —  Races 
différentes,  237.  —Tatouage,  mœurs, 
caractère,  guerres,  armes,  239  et  .suiv. 

—  Gouvernement,  242,  253.  —  Reli- 
gion. Sacrifices  humains,  215,  342, 
251. —  Polygamie  sans  jalousie,  244. 

—  Pirogues ,  247.  —  Fabrication  des 
étoffes,  249.  — Notions  d'astronomie, 
252,  258.  —  Distinction  de  rang  très 
marquée,  253.  —  Médecine.  Langue, 
255.  —  Dispositions  des  corps  morts 
et  cérémonie  qui  s'y  rattachent,  V, 
117, 178, 183,  212,  304.  —  Musique, 
119, 167,  186,  266.  —  Race  à  yeux 
ronges ,  121 ,  242.  —  Connaissance 
de  l'équité,  124.  —  Sont  légers  et 
sensibles,  l27.  —  Jeu  de  lutteurs, 
147  et  suiv.  —  Union  publique  d'un 
couple,  160.  —  Amuseinens  et  re- 
marques à  ce  sujet,  169,  206.  —  Arcs, 
flèches .  185.  —  Cuisine,  192, 256.  — 


Gouvernement ,  195,  319.  —  Pein- 
tures, 201. —  Cimetière»  Pyramides 
212,  315.  —  Trophées,  204,  216.  - 
Taille,  temi,  cheveux,  tatouiige,  véte- 
mens ,  ornemens  ,  perruques,  240  et 
suiv.  —  Habitations  particulières  et 
cor,  muues,  250.  —  N'ont  pas  idée 
de  l'indécence  ,  253»  —  Alimens,  re- 
pas des  chefs  et  du  peuple,  254,  260 
et  suiv.  Chandelles,  267.  In- 
continence cause  d'infanticides.  So- 
ciété desairrfoyj.  Leur  but  immor»! 
268  et  suiv.  —  Extrême  propreté , 
271.  —  Manufactures,  confection 
des  étoffes ,  beauté  des  teintures ,  272 
et  suiv. —  Ustensiles  et  filets  de  péclie, 
283.  —  Construction  des  pirogues  de 
pèche  et  de  guerre ,  287  et  suiv.  — 
Navigations.  Connaissance  des  as- 
tres ,  295.  —  Division  du  temps,  296. 

—  Calcul  et  mesupe  des  distances, 
298.  —  Langue ,  298.  — Maladies  na- 
turelles et  reçues  des  étrangers,-  299 
et  suiv. —  Funérailles,  504  et  suiv. 

—  Religion  :  croyance  à  l'immortalité 
de  l'âme  et  à  un  Dieu  suprême,  307, 
309  et  suiv  —  Prêtres.  313.  —  Ma- 
riages, 314.  —  Circoncision ,  315.  — 
Gouvernement.  Etat  des  personnes , 
517.  —  Armes ,  320.  —  Vêtemens  , 

VII,  357.  —  Facilité  des  femmes , 
ses  effets,  364.  —  Sont  excellents 
plongeurs,  365  —  Cénotaphe  ,  366. 

—  Cabanes,  3C8.  —  Fabrication  des 
étoffes ,  373.  —r  Les  riches  laissent 
croître  leurs  ongles,  377.  —  Cime- 
tières ,  388.  —  Reconnaissent  un 
Dieu  suprême  ,  398.  —  Marques  de 
respect  pour  les  cimetières,  411. — 
/(/.  pour  leur  roi  que  lui  doivent 
même  .ses  parens,  412,  414,  417.  — 
Heivas,  on  représentations  dramati- 
ques, 423v   —    Sacrifices    humains, 

VIII,  29  —  Dégoûtante  préparation 
de  la  liqueur  ava  ttva,  31.  —  Quel- 

Î|ues  erreurs  corrigées  concernant  les 
emmes  ,  32  ,  226-  —  Sens  des  hahi- 
tans  supérieurs  aux  nôtres,  104.  — 
Description  d'une  grande  flotte.  Bàti- 
men.s,  guerriers,  costumes,  armts,  228 
et  suiv.  —  Singulier  vêtement  de  deuil 
et  manière  de  le  porter,  241.  —  Ob- 
servations sur  les  vols  des  liabitans, 
251.  —  Revue  nitvale.  Exerciee^ , 
2C5  et  suiv.  —  Population  ,  262.  — 
Gouvernement,  263  — Tableau  com- 


DES  MATIÈRES. 


405 


♦ 


paratif  de  la  langue  avec  celle  de  la 
Nuuvelle-Zélaude ,  IX  ,  284.  —  Cha- 
pelle où  e.<tt  expusé  le  corps  d'un 
L'Iief,  X,  110.  —  Pescriptiou  d'un  sa- 
crifice humain,  116  et  suiv.,  144.  — 
Maro,  ou  symbole  de  la  royauté, 
124.  —  Lieu  du  sacrifice ,  crâoea 
exposés,  129.  —  O^nuion  des  natU' 
rels  sur  ces  sacrifices ,  132.  —  Autres 
coutumes  barbares,  183.  —  //«<>«, 
ou  représentations  dramatiques,  138» 
142.  —  Singulière  manière  de  don- 
ner des  présens  d'étoffes,  140.  — 
Manière  de  conserver  les  corps  des 
chefs,  143.  —  Combat  simulé  de 
deux  pirogues  de  guerre  ,  149.  — • 
Manière  de  faire  la  guerre,  lâl.  — 
Itomee ,  traitement  contre  les  dou- 
leurs d9  nerfs,  155.  — Cérémonies 
pratiquées  pour  célébrer  lu  paix,  156 
et  suiv.  ~-  Usages  du  bananier  dans 
les  cérémonies  religieuses ,  161 .  — 
La  connaissance  des  Européens  leur 
a-t>elle  été  heureuse  ?  208.  —  Ne  sont 
pas  adonnés  à  l'agriculture,  216  — 
Coquetterie,  218  — Nourriture, ma- 
ladies, 220.  —  Caractère,  221.  — 
Amour  pour  le  plaisir ,  222.  —  Ri- 
chesse de  la  langue  ,  224.  •—  Con- 
naissances en  chirurgie ,  226.  —  En 
médecine ,  227.  —  Famines,  228j  229. 

—  Préparation  et  effets  du  kava,  230. 

—  Mauvais  traitement  des  femmes  , 
231,  234,  237.  —  Heure  et  forme 
des  repas,  231.  — '  Liaisons  avec  les 
femmes ,  232.  —  Opération  de  la  cir- 
concision, 234.  — Système  religieux, 
236.  —  Idées  sur  l'âme  et  sur  une 
vie  future,  238.  —  Idées  extrava- 
gantes, sujierstitions,  240.  —  Tradi- 
tions sur  la  création,  242.  —  Lé- 
gendes historiques,  243.  —  Traces 
d'anthropophagie ,  245.  —  Honneurs 
et  privilèges  dus  au  roi,  246.. —  Etat 
des  personnes.  Droit  de  succession , 

248.  —  Manière  de  rendre  la  justice, 

249.  —  Infanticides  ,  251.  —  Ne  fout 
pas  des  voyages  de  long  cours ,  255. 

—  Analogie  de  leur  religion  et  de 
celle  des  îles  Sandwich ,  XI,  293.  — 

fojrages  diners.  Société  de»  Arréoys, 
XIII,  315,  317.  —  Division  du 
temps.  Effet  du  tabou  ,519.  — 
Emltaumemeut  des  corps.  Idées  .siu- 
.«ulières  sur  l'âme,   XIV,   92,    95. 

—  Changement    dans    la   langue , 

XLVI. 


108.  —  Marchandises  européennes 
devenues  nécessaires,  lll,  — Chan- 
gerpeus  dans  les  guerres.  —  Femmes 
ne  sont  plus  aussi  belles,  113.  — 
Plantes  européennes  détruites. —  Pré- 
venance des  naturels,  127.  —  État  de 
l'île  en  1824.  —  Drapeau  national , 
XYII.  280.  -  Célébration  du  dil 
manche,  283,  286.  —  Travaux  des 

missionnaires  anglicans,  285,  301 . 

EglUe,  286,  319.  -  Modes,  288, 
301,  307.  —  Constitution  politique, 
294.  —  Dégénération  des  insulaires, 
298, 300.  —  Maison  da  roi,  323.  — 
Abolition  du  culte  des  faux  dieux 
XVIII,  141.  —  Étiit  en  1826  ;  XIX, 
203.  —  Parlement,  203,  227.  — 
Costumes  de  la  cour  de  la  reine,  208. 

—  Amour  des  liqueurs  fortes ,  216. 

Moral  des  naturels  n'a  pas  changé. 
Habitations,  219.  —  Dégénérescence 
des  naturels,  219,  228.  —  Occupa- 
tion», 220.  —  Restes  de  superstition, 
222.  —  Tribunal,  224.  —  Absence 
de  progrès,  227.  —  Conversion  au 
christianisme,  XXI,  442. 

Tahooivi  (  île  du  groupe  Sandwich  ). 
Découverte  par  Cook ,  t.  X ,  p.  289.  — 
Visites  des  insulaires  h  Cook  ,  290. — 
Raisons  de  croire  qu'ils  sont  canniba- 
les ,  291 . — Sol  pierreux.  Habitations , 
292.  —  Cérémonies  mystérieuses , 
293. —Sol,  XI,  245. 

Taliseh  (  district  commnji  do  la 
Perse  et  de  {a  Russie  d'A.sie).  Mœurs 
des  habitans.  Montagnes ,  t.  XXXV , 
p.  390.  —  Figure ,  vétemens ,  392.  — 
Captivité  de  Fraser,  393  à  408-  — 
Huttes ,  400. 

Tallabunchia  (ville  de  la  Sénégam.). 
Situation.  Maisons.  Vétemens.  Orne- 
mens,  t.  XXVIII,  p.  287. 

Tallika  (  ville  du  Bondou ,  Séné- 
gambie).  Habitans.  Commerce.  Pré- 
posé du  roi,  t.  XXV,  p.  64. 

TamaH  (  île  et  ville  du  détroit  d'Ié- 
nikale  ),  t.  XLIV,  p.  434.  —  Edifices. 
Antiquités,  435. 

Tamatam  (  île ,  archipel  des  Caroli- 
nes).  Naturels.  Productions,  t.  XX  , 
p.  228. 

Tambacunda  (  ville  du  Fouladon, 
Séncgambie) ,  t.  XXV,  p.  524. 

Tameiian  (Timour-Leng).  Lieu  de  sa 
naissance,  t.  XXXVII,  p.  171.  — Des- 
cription de  sonaucienue  capitale,  211. 

30 


♦ 


.'^ 


4U0 


TABLE  GÉNÉRALE 


Titmoult.  Voy.  Malahari, 

Tagonrvk  (TiUe  da  C»acase,  Hiii< 
lie  d'Europe),  t.  XLIV,  p    451 

Taitgtr  (  «iile  du  Maroc).  Fortifi- 
cations ,  t  XXII,  p.  133.  —  Inté- 
rieur, (34.  —  Campagne ,  \Z5. 

Tanna  (\\v  de  l'arch.  des  Nouvelles- 
Hébriden).  Découverte  par  Cook, 
t.  YIII,  n.  860,  364  —  Aspect  du 
payii,  36o>  396>  —  Éruption  du  toI- 
can,  371  •— Antliropopkagie,  377, 379. 

—  Cabanes ,  880.  —  Environs  du 
volcan,  382,  886,  304.  —  Descrip- 
tion d'un  village,  388  —  Gros  fi- 
guiers, 391.  -  Plantations,  390.  — 
Richesse  du  sol,  397.  —  Productions, 
399  —Langue,  403,  411.  —Natu- 
rels, 403.  —  Tatouage,  405.  —  Vé- 
temrns,  omemeus,  406.  —  Arts  di- 
vers ,  407.  —  Pirogue» ,  armes ,  408. 

—  Maisons,  religion,  412.  — Surface 
de  nie,  426. 

Taranta  {mont ,  Abyssinie).  Asctn- 
sion  au  village  de  Halai,  t.  XXIll , 
p.  207. —  Plaine,  209. 

Tarante  (  vUle  du  royaume  de  Na- 
plés),  t.  XLVI»  p.  197. 

Tarudant  (  ville  du  Maroc  ),  Sitna- 
Hon.  Aspect.  Commerce,  t.  XXII', 
p.  123. 

Tasmait  (  Abcl).  Son  voyage  au- 
tour du  Monde,  1. 1,  p.  342.  —  Dé- 
couvre la  Terre  de  Van-Diémcn  ,  343. 

—  Découvre  la' Nouvelle-Zélande  et 
la  Nouvelle-Hollande,  344;  —  L'ilo 
des  Trois-Kois, 346.  —  L'ile  de  Pyl- 
staart,  347.  —  Les  Iles  d'Amsterdam , 
de  Rotterdam,  348.  —  N'a  pas  dé- 
barqué à  la  Nouvelle-Zélande,  VI, 
143. — Résumé  de  ses  voyages,  XVIII, 
196. 

Tasmanie.  Voy.  Ttrrt  d*  Van-DU- 

«M. 

TassitudoH  (capitale  du  Boutan, 
empire  Chinois  ).  Environs ,  t.  XXXI, 
p.  424.  —  Palais,  427.  —  Collège 
de  prêtres,  447,  449. 

Talaret  du  Caitiay.  Voyages  dans 
leur   pays,  t.  XXXI,    p.  33,  39  et 

S«T. 

Tatarie  (  vaste  pays  de  l'Asie  ). 
Missionnaires  des  xiti*  et  xiv*'  siècles, 
t.  XXXI ,  p.  28 ,  30.  —  Usages  di- 
ters  des  Tatares.  Mariages.  Religion. 
Moeurs ,  29.  —  Voyage  d'Ascelio. 
P«  Rnbruquis,    30.  —  De  Mandc- 


ville ,  32.  -'  De  Marco  Polo ,  53  rt 
suiv.  —  Conquêtes  des  TaCares,  39 
—Font  alliauce  avec  saint  Loui.n ,  40. 

—  Leurs  chasses,  41.  —  Voyag}  de 
Pinio,  51. et  suiv.  Voy,  Tatane  chi- 
noise^   Tatarie  indépennaitte  ^    Tatarie 

rutte, 

Tatarie  chinoiie,  Voy.  Mantchouri» 
et  Mongolie. 

Tatarie  ind/pendante  ou  Turkettan. 
Voy.  Bouekarie,  Tatarie  indépendante 
propre,  et  Tureomannie, 

Tatarie  indépendante  propre  ou  Tur- 
kettan. Voyage  dons  l'intérieur,  tome 
XXXVII,  page  126  à  281,  et  303 
et  suivantes.  —  Montagnes  ,  126.  — 
Lieux  divers,  126, 128, 129, 146,  152, 
265,266.  —  Campagne,  128,237, 
138,  141,  142,  264,  m.  —-Produc- 
tions, 129,  137, 141,  150,  151,  257, 
266,  269,  308.  — ■  Tatares  époii.sent 
les  femmes  de  leurs  prisonniers,  130. 

—  Diverses  opinions  sur  l'Europe, 
131  et  suiv,  —  Passe  du  Kara-Kottiil, 
134.  —  Oiseaux,  135.  —  Maisous. 
Costumes ,  137.  —  Caravenserai»  , 
138.  —  Manière  de  prendre  le  tlié, 
145.  —  Ruines,  Mirage,  152.  — 
Voyage  dans  la  Boukliarie.  Voy.  fe 
mot.  Exactitude  des  descriptions  de 
Quinte-Curce  ,  161.  —  Marchés,  172, 
239.  —  Sort  des  esclaves  persans,  229, 
241 ,  263  ,  277.  —  Une  caravane  en 
Orient,  246. — Rivière  Mourgab  se  per- 
dant dans  les  sables,  256, 258.— Tour  - 
billons  de 'poussière,  265.  —  Physio- 
nomie des  vrais  Tatares,  XLVI,  161. 
Voy.  Bouekarie  ,  Charjouey ,  Heibuk, 
Kouloum,  Koundouz ,  Merve  ,  Oxus  , 
Shurukhi,  Turcomar.ie. 

Tatarie  russe  ou  Sibérie.  Descrip- 
tion d'une  uoce,  t.  XXXI,  p.  248 
à  251.  —  Religion,  257.  —  Obli- 
geance, 259.  —  Figure.  Nourri- 
ture, 260,  277.  —  Superstitions, 
268.  —  Instrumcns  de  laboar,  269. 

—  Usages,  277. 

Tatée  (  Ile  ,  Au.stralie  ).  Découverte 
par  Meares,  t,  XIII,  p.  344. 

Tatootche  (  Ile,  Nouvelle-Bretagne, 
Amérique  septentrionale  occident.  ), 
t.   XIV,    p.  172  et  suiv. 

Tattah  (  ville  du  Siadliy,  lliodon.v 
tan).  Ancienne  opulence.  Population. 
Commerce,  t.  XXXVII,  p.  351.  — 
Autiquitc.  Maisons.   Lieu  de  pèleri- 


DES  MATIÈRES. 


467 


aags  des  eafironi,  353.  —  L'Indoi, 
354. 

Tatiftmiiiiiim  (ville  de  la  Sicile). 
TbéAtro  ancien ,  t.  XLVI ,  p  196. 

Tauride  ou  Crimée  (  gouyernement 
delà  Ruitsie  ). Voyage  dans  l'intérieur, 
t.  XLIV,  p.  399.  -  Campagne ,  400, 
404,  408,  411,  413,  420.  —  Voyage 
en  Crimée,  400  à  434.  —  Pérékop, 
400.  —  Village  arménien.  Borne» 
milliaires  de  Potemkin ,  401.  —  Lacs, 
salés ,  402.  —  Villages  tatares ,  402, 
406,  411,  417  et  suiv.,  420,  422.  — 
Serabonxe,  403.  —  Montagnes,  403, 

418 ,  423.  —  Bohémiens ,  403.  — 
Sympliéropole,  405.  —  Cafés  tatares, 
407, 429.  —  Palais  des  ancien*  kbans 
de  Crimée ,  409.  —  Bagtchiseraï,  410. 
Costume  de  Juifs,  412. —  Sevastapol, 
413.  —  Cavernes  d'Inkerman  ,  414. 

—  Balaklaava  ,415. —  Arbres,  belles 
vallées  ,  416  et  suiv. ,  428.  —  Mird- 
vin.  Kaffa,  418,  432.  —  Rochers  re- 
marquables ,  419.  —  Usage  dans  les 
villages,  420.  —  Intérieur  des  mai- 
sons, 420,  421.  —  Ruines  antiques, 
421,  423.  —  Remarquables  couches 
de  schiste,  422.  —  Ou.vkout,  425.  — 
Vallée  de  Soudak.  Vignes  impériales, 
426.  —  Population,  426.  —  Karassou, 
Bazar,  429.  —  Les  lélégais  (  voitures), 
431.  —  Tombe  de  Mithrid.ite,433.  — 
lénikale.  Ile  de  Taman ,  434.  —  Cli- 
mat, XLVI,  155, 156  —  Saisons.  Sol. 
Productions,  157,  158.  -~  Détails  sur 
la  vigne,  158.  —  Animaux.  Popula- 
tion. Trois   classes  d'habitans,  159, 

leo. 

Tauride  (  Tatares  de  la  ).  Costu- 
mes (bords  du  Dnieper  ),  t.  XLTV, 
p.  399,407.  —  Villages,  402,  40(3, 
411,417,  et  suiv.,  420, 422.  —Poly. 
garnie.  Usages  divers ,  402 ,  427.  — 
Cafés ,  407 ,  429.  —  Palais  des  anciens 
khans  de  Crimée,  409.  —   Luttes, 

419.  —  Intérieur  des  maisons,  421.— 
Initmmcns  de  musique.  Danses,  424. 

—  Caractère,  426.  —  Littérature. 
Poésie.  Géographie.  Médecine  ,  427. 

—  Cimetières,  430.  Tatare»  des 
plaines  et  des  montagnes ,  XLVI , 
160. 

Taurit  ou  TMr'z  (  capitale  de  l'A- 
zerbaïdjan  ,  Perse).  Rues.  Mosquées. 
Population.  Climat,  t.  XXXI ,  p.  206. 
— 'Beauté  des  environs,  XXXV,  378 


—  Aspect,  379,  —  PaLùs,  880.  — 
Lac  Ouroumia,  381. 

Tarat-Pouiumo*  ou  Tafaf-Potmam- 
mou  (l'une  des  deux  grandes  Iles  de  la 
Nouvelle-Zélande).  Exploration  de  ses 
côtes  par  Cook,  t.  VI,  p.  115  à  143. 

—  Situation  de  ses  babitana  diffé- 
rente de  celle  des  habitans  d'Ika-Na- 
Mawi ,  335.  —  Son  littoral,  XVIli , 
252.  —  Etendue,  XX,  175  —  Pour 
les  détails,  voy.  Nouftlle-Zéland: 

TAvxRaiBR.  Ses  voyages  en  Asie , 
t.  XXXI,  p.  62.  Voy.  B»ni*r, 

Teh.  Chercher  à  C'A  les  noms  qui  ne 
trouveront  pas  à  TV-A. 

Tchad  (grand  >  du  Sondan), 
t.  XXVII ,  p.  99.  —  Oiseaux,  100.  — 
Eau.  Iles,  101,  244,  298.  —  Se» 
bords,  132  et  suiv.,  293,  296,  319.— 
Habitans  des  Iles  sont  indépendans. 
Armes.  Religion ,  222.  —  Hippopota- 
mes, 245,319.  —  Voyage  aux  côte» 
orienUles  du  lac,  268,  296.  —  Fi- 
gure, mœurs,  nourriture,  tentes 
des  Shouas,290,  294. — Tribu  de 
Biddomahs,321. 

Teliang^Phing-Tcheou  (  ville  de  la 
Chine  ).  Pont  de  marbre  ,  t.  XXXtlI, 
p.  187. 

Tehtrlratk  (  ville  des  Cosaqueti  du 
Don ,  Russie  d'Europe  ).  Vieille  et 
nouvelle  ville,  t.  XLIV,  p.  452,  453. 

Tehtrkettes.  Voy.  Circattitm, 

Tehernigov  (gouvernement  de  la 
Russie  d'Europe  1  'Voyage  dans  l'in- 
térieur, t.  XLIV;  p.  869  à  374.  — 
Saleté  des  paysans.  Cal)anes,  mobi- 
lier, 369.  —  VillaKcs,  369,  371, 375. 
—  GIuchoF.  Couverture  des  maisons, 
370-  —  Palais  du  dernier  hetman  de 
rukraiue,  371 . — Troupe.->ux.  Borrna. 
Komaroskava.  Nedjin,  372.— >  Forêts , 
S74 

Tehi/t-KaU  (petite  ville  dn  gou- 
vernement de  la  Tauride ,  Russie 
d'Europe).  Rues.  Maisons.  Costume 
de  juifs,  t.  XCIV,411.    , 

Tehittore  ou  Chittore  (  ville  du  Raj^ 
pontana,  Hindoustan).  Aspeot,  tom. 
XXXVI ,  p.  339.  —  Industrie.  Ota" 
délie ,  340.  —  Château.  Temple  de 
Siva  ,  341  et  suiv. 

Tchorlu  (ville  de  la  Ronmélie, 
Turquie  d'Europe),  t.  XLIV,  p.  34, 
36,260. 

Tehoka.  Voy.  S^galien.       ^  .  m  .'  / 


168 


TABLE  GÉNr^:KALK 


Ttbbti  ^«ille  et  district  <lu  Klioras- 
MD,  Pente).  Lodtucrt  Salé,  t.  XXXV, 
p.  96.  —  Ancienne  importance  dé 
Tonm,  96,  416.  Productions,  415. 

Tébrii.  Voy.  Taiiris. 

Tegtrhjr  (  ville  dn  Fezzfln  ).  Entrée 
de  la  ville ,  t.  XXVII,  p.  59.  —  Sa 
merveille ,  60.  —  Sitnnficm,  Katnrcls 
61.  -Environs,  61,  446. 

Tëliéran  (  capitule  de  la  Perite  ).  Vi- 
site à  des  fonctionnaires,  t.  XXXV, 
p.  54.  —  Visite  à  un  poète  lauréat, 
56.  —  Mont  Elbours ,  57.  —  Anec- 
dotes sur  le  shah,  mort  en  1834,  78. 

—  Fête  du  nouvel  an,  Présens  au 
sliah,  82  et  suiv.  —  Aridité ,  roisèl-e 
des  environs,  XXXVII,  327.  —  Céré- 
monies de  la  présentation  an  shah , 
330. 

Ttmhouelo»  (  ville  de  l'intérieur  du 
Soudan ,  sur  le  Niger).  Ses  relations 
avec  les  Portugais  au  xv" siècle,  t.  I, 
p.  30.  —  Premiers  rcnseignemcns 
par  Ça-da-Mosto.  Découverte  par 
Caillié',  XXII ,  3  ,  12.  —  Renseigne- 
mens  reçus  par  M.  Park,  XXV ,  164> 
243.  —  Religion,  245.  —  Voyage  de 
faillie.  Aspect.  Marché.  Naturels. 
Royauté  héréditaire.  M.iures.  Mai- 
sons, XXIX,  398,  399.—  Rues.  Mos- 
quées. Environs ,  401 ,  402,  409.  — 
Population.  Conunerce,  400,-402.—^ 
Commerce  géué  par  lesTuaricks,  401, 
405. — Religion,  formes,  nourriture  des 
naturels.  Magasins  des  Maures,  403. 

—  Mobilier.  Polygamie.  Costume  et 
urnemeAs  des  femmes,  404. — Grande 
mosquée,  406.  —  Visite  historique 
des  reconnaissances  de  la  ville ,  4al. 
—Marché  d'esclaves,  XXX,  267.  Voy. 
Cahra, 

Tenda  (  royaume  de  la  Sénégam- 
bie).  Voyage,  dans  l'intérieur,  t.  XXV, 
p.  326,  335  et  suiv.  • —  Djallacotta  , 
326,  335.—  SibikilKn,  339.  —  Laby, 
341.  — Djullifuuda,342. 

Tinitifje  (  une  des  îles  Canaries  ). 
Son  pic,  t.  V,  p.  14.  —  Description 
de  la  baie  et  de  la  ville  de  Sainte- 
Croix,  IX,  172,  175.  —  Productions 
de  l'Ile ,  173, 176.  —  Aspect  du  pic , 
174.  —  Description  de  la  ville  de  La- 
guna,  175.  —  Fruit  singulier,  176.  — 
Ancienne  race  des  i!es,  177.  —  la 
baie  et  la  ville  de  Sainte  -  Croix , 
XVII,  257  et  suiv. — MagniQque  point 


de  vue  dn  haut  du  pic ,  258.  —  Prew 
miers  hahitaus  onibaii niaient  les  curpi, 

comme  en  Rgypte  ,   200 Diverses 

régions  de  végétaux  du  pic,   XVIII 
212. 

TJpte  (ville  du  Mexique).  Popu- 
lation, situation,  cli.nat ,  t,  XIX, 
p.  476.  —  Situation.  Eglise ,  XLI  , 
415.  —  Costumes,  416,  417.  —  Cli- 
mat ,  41f).  —  La  sieste.  Habitudes  so- 
cialet,  417  ,  418.  —  Grands  diners, 
419  et  sniv.  —  Couvent.  Pcnitenoe  de 

Ecchés  à  commettre,  420.  —  Nores. 
on  traitement  des  esclaves,  421  , 
422.  —  Indiens,  423  —  Education 
négligée.  Températures ,  424. 

Tercere  (  une  des  Sles  Açores  ). 
Découverte  par  les  Portugais,  t.  IX, 
p.  157.  —  Ses  productions.  Son  com- 
merce. Sa  population ,  160.  —  Ville 
d'Angra.'  Ûistoire.  Aspect  de  l'ile. 
Climat.  Productions,  XX,435.  -^  Est 
la  résidence  du  gouvernement  des 
Açores,IX,160;XLH,383. 

Tereh  (  fleuve  du  Caucase  et  d«  la 
Circassie),  t   XLIV,  p.451. 

Teraaie  (  îles  Moluques ,  Malaisie  ). 
Ruse  des  Hollandais  pour  faire  arra- 
cher certaines  plantes  d'épices,  t.  IV, 
p.  384.  —  Comptoirs.  Troupes  de  sa 
dépendance,  382.  —  Plantes  d'é- 
pices arrachées  par  ordre  des  Hollan- 
dais ,  XV,  77.  —  Malais  ,  XLI» ,  xv. 

Tentai  ou  Mantehourit  '(  baie  de  Ta- 
tarie chinoise  ).  Nommée  par  La  Pé- 
roHse,  t.  XII,  p.  344. — Sa  description, 
346.  —  Animaux  ,  productions ,  347. 
—  Prairies,  349 Extérieur  et  inté- 
rieur d'un  tombeau  ,  351 .  —  Plantes, 
roches,  oiseaux,  coquilles ,  353. 

Ttne  (  joli  ville  du  Timaui,  So- 
négambie  )  ,  t.  XXVIII,  p.  19. 

Terre  des  ^rsaci'les.Ent  l'archipel 
Salomon,  découvertjpar  Mindana , 
retrouvé  par  Surville  ,  t.  III,  p.  420, 
430,  434. 

Terre  de  Davis.  Carteret  corrige 
plusieurs  erreurs  sur  son  giseueut, 
t.  III ,  p.  105.  —  Est  peut-être  l'île 
de  Pâques,  d'après  Cook,  VIII ,  139, 
171,  173.  —  Ce  qu'elle  est  d'après 
La  Pérouse,  XII,  86. 

Terre  d'Enderby  (  océan  Glacial  an- 
tarctique ).  Découverte  par  Biwoè, 
t.  XXI ,  p.  460. 

Terre  des  Etats  (sud  de  l'Amérique 


DES  MATIËRES. 


im 


corrige 
seineut , 
itre  l'île 
139, 

d'après 


méridionale  ).  Découverte  par  Le 
Maire ,  t.  I ,  p.  284.  —  Aspect  sau- 
vage, U ,  107'  —  Ne  parait  pas  sau- 
vage à  Cook ,  V,  77.  —  Phoque»  de» 
cAtes ,  IX ,  81 .  —  Oiseaux  de  Hle ,  84. 
Cook  nomme  le  havre  et  les  Iles  do 
Nouvel-An,  88.  —  Surfabe  de  l'Ile, 
89.  —  Horrible  aspe«!t.  Climat,  XVII, 
262;  XX,  41. 

T*rrff'*rme  (  ancien  nom  d'une 
partit!  de  la  Colombie).  Indiens.  Leur 
culte  d'un  génie  malfaisant,  t,  XLII , 
p.  414.  —  Noces .  415.  —  Condition 
de  la  femme,  4l6.  —  Croyance  ,à 
l'immortaUté  de  l'Ame.  Fuuérailles, 
416. 

Terre  de  Feu  (Iles  au',snd  de  l'Amé- 
rique méridionale  ),  Explorée  et  dé- 
crite par  Jacques  Lhermite,  t.  I, 
p.  33o.  >—  Maisons,  338.  —  Des- 
cription dn  port  Désiré,  II ,  371  et 
suiv.  —  Aspect  sauvage  du  pay.s,  III, 
265.  •— Bon  gainville  nomme  et  décrit 
les  ports  de  Beaubassin,  de  la  Cormo- 
randerie,  de  la  Cusciide ,  IV,  164  et 
suiv.  —  Description  d'un  village , 
huttes  grossières,  V,  64.  —  Quadru.» 
pèdes,  oiseaux,  insectes,  plantes, 
71.  —  Aspect  du  pays  n'est  pas  ^i 
sauvage,  74-  —  Cette  terre  est  uif 
amas  d'Iles  ,  XX ,  40;  XXI ,  283, 308. 

—  Village,  304.  -  Climat, 309.— 
Productions,  311,  316.  Voy.  Noè!, 
Pécherais  ,  naturels  ;  Pilartt ,  San- 
Franeis. 

Terre  di  Graham  (océan  Glacial 
antarctique,  sud  de  1  Amérique  seiw 
tentrionale  ).  Aspect.  Ile  Adélaïde. 
IlePitt,t.  XXI,  p.  462 

Terrre  de  hergaelem  (sud  de  la  mer 
des  Indes  ).  Oiseaux,  phoques ,  t  IX, 
p.  189.  —  Description  du  havre  de 
Noël,  191.  —  Cook  reconnaît  l'ile  et 
nomme  diverses  baies,  pointes  et  îles, 
194  et  suiv.  —  Bas-fonds  dangereux, 
198.  —  A  été  découverte  par  Ker- 
guelen ,  203.  —  Rareté  des  plantes , 
204  —  Ses  animaux,  205.  —  Ses 
collines,  207.  —'  Peut  être  très  utile 
aux  vaisseaux.  Ses  animaux,  XX ,  36. 

Terre  de  Leuwin  {  cAte  S.  O.  de  la 
Nouvelle-Hollande).  Remarques  sur 
le" pays,  le  sol,  t.  XIV, «p.  32  et 
suiv. — Climat,  40.  —  Arbres,  42. 

—  Reptiles.  Animaux  nuisibles.  In- 
sectes, 46.  —  Naturels,  46.'  —  Huttes, 


47.  —  Nonrriture,  48. —  Dévastation 
produite  par  le  feu  ,  49.  —  Aridité, 
Elablisscmont  anglais ,  XVIII ,  44.  — 
Parties  du  sol  plus  favorisée».  Climat, 
46.  Voy.  Aitstraliem. 

Tern-Neuoe  (Ile  des  eûtes  d'Auié-* 
rique  ).  Connue  au   xii^  siècle  des 
Islandais,  t.  I,  p.  lO.— Retrouvée  par 
Cabot,    XL,    xj,  —   Historique  des 
pèches  dn  la  morue  au  bauc,  xij. 

Terre  de  Mi{jrtt  (  c6te  sud-ouest  de 
la  Nouvelle-Hollaude):  Remarques  sur 
le  pays.  Sol.  Climat.  Arbres.  Rep- 
tiles, animaux  nuisibles,  insectes. 
Naturels  Huttes.  Nourriture.  Dévas- 
tation extraordinaire  produite  par 
le   feu  ,   tom.    XIV ,   ]i.  32   et   suiv. 

—  S(.ii  aspect  XV,  89, 103,  105.  Voy. 
baie  de  l'Êap^ranir,  gr(Mi|ie  d'£st.  Port 
du  Roi-Georget.  Reolierches ,  groupe. 

Terre  de  Palmer  (  Ile  du  Shetland 
méridional). Découverte  par  Fanning, 
t.  XXI,  p.  454. 

Terre  du  Saiiit-Etprit  (  Nouvelles 
Hébrides  ).  Découverte  par  Quinis, 
B^uté  du  pays,  t.  I,  p.  268.  —  Na- 
tt-rels.  Armes.  Musique.  Pain.  Mines  , 
269  et  suiv.  Comprise  par  Bougain- 
villc  dans  1rs  grandes  Cyclades,  VIII, 
135.  —  Naturels,  leur  parure,  leurs 
pirogues,  417.  —  Sol  fertile,  419.  — 
Est  h  plus  grande  *des  Nouvelles  Hé- 
brides, 421. 

Terre  de  Sandwich  (océan  Atlantique  )i, 
Découverte  par  Cook,  t.  IX, p.  llt>. 

—  N'est  qu'une  réunion  d'Iles.  Nom 
douné  à  l'Ile  du  marquis  de  Traverse, 
XXI ,  433.  —  Découverte  des  Iles  des 
Princes,  de  Willey  ,  de  Noël,  455. 

Terre  de  Van-Diémen  (  Australie). 
Découverte  par  Abel  Tnsman,  t.  I, 
p.  342.~Habitans,  IV,  406.— Nom- 
bre d'Européens  qui  l'habitent  au- 
jourd'hui ,  VI ,  229. — Description  de 
l'Ile  Maria,  VJI,  299.  —  Descriplion 
des  in.sulaires,  212,  223. —  Leurs  v.r- 
nemens,  215.  —  Seul  vêtement  des 
femmes ,  217.  —  Sol ,  219  et  suiv.  — 
Arbres,  plantes,  quadrupèdes,  222. 

—  Oiseaux ,  reptiles ,  poissons ,  224. 

—  lusectes,  226.  —  Habitans  sont 
doux  et  sans  intelligence  ,227. — Leur 
tatouage,  leur  teint , lenr  corps ,  228. 
— Leur  posture  favorite,  229.— Leurs 
huttes,  230.— Leurs  repas,  XV,  112, 
116. — Leur  amour  pour  leurs  cnfiins, 


470 


TABLE  GÉISÉKAI.K 


113.— Leur  |ioljrg»mie,  114.  —  Leur 
•iouoeur,  116t  i25.  — Potinre  dei 
femme»,  l'iO.  — Deuils  turludécou- 
rerte  et  l'étendne  de  l'Ile ,  XVIII ,  9. 

—  Foréti,  «uh,  production»,  6gure 
de*  nntureli,  12.  —  Hiitolre  de»  ro- 
eonnitittaBoei  de  l'Ile,  818.  —  Pon- 
dation  d'une  colonie  auglai*e,  321. 

—  Population.  Gouvernement.  Divl- 
•iont,  S22.  —  Établi»semen«  de  la 
colonie ,  323  et  tuiv.  —  Montagnea , 
rlTièrea,  327-  —  Lnc»,  Iles,  produc- 
tions, animaus,  328.  —  Naturel». 
Hutte».  Vêtement,  330.  —  Naturels 
ré»i»tent  à  la  ciTili»ation ,  332. — Voy. 
Hobarl-Towit,  capitale {  Por/  du  Nord. 

Ttrrt  d*  ffiti  (NouTelle-Hullande). 
Entrevues  avec  les  naturels.  Observa- 
tions diverses  sur  leurs  formes,  leurs 
mosurs,  leur  pays,  etc., 1. 1,  p.  415  et 
sniv. — Stérilité.  Quelques  exception», 
XVin,  48.— Laideur,  saleté, mi»ère , 
mutilations  de»  naturels,  XXI,  415. 
Voy.  lit  du  Romarin, 

Tvrouggtmou-Atooa.  Voy.   Iltrvey. 

Tttiouwa  (ville  du  Eeszan),  t.  XXVI I, 
p.  29. 

Tttt  (ville  du  Maroc).  Fondée  par 
les  Cartluginois,  t.  XXII ,  p.  147. 

Tezeueo  (  ancienne  ville  du  Mexi- 
que). Histoire.  Ruines,  t.  XLI,  p.  139, 
142.  —  Antique  splendeur,  141.  — 
Palais  espagnol.  Forteresse  ,  l42.  — 
Palais  des  caciques,  143.— Le  bano  d* 
Montétuma,  144. —  Village  de  Huexo- 
tla ,  147. 

Thèbtt  (ancienne  ville  de  l'Egypte), 
Description  de  ses  admirables  iiyi>o- 
gées  ou  catacombes,  t.  XXII,  430  et 
suir.  —  Ruines  du  temple,  XXIIl,  90, 

Thibis  (ville  de  la  Grèce),  t.  XLVI, 
p.  208. 

ThemuealUpte  (vilte  du  Mexique). 
Environs,  t.  XLI,  p.  155  à  163.  — 
Villages,  156,  158.— Bois,  157,  162. 

—  Drames  bistoriques  des  Indiens  , 
159.  —  Mines  d'argent  abaudonnéeit, 
163.  —  Situation,  Maisons.  Climat. 
Habitans,  164.— Fertilité  des  envi- 
rons ,  165. — Prise  de  possession  d'une 
mine,  166. 

n*og  (État  de  l'Hindoustan),  Cou- 
tumes, t.  XXXV,  p.  459. — Omemens 
des  femmes,  461.— Polyandrie ,  462, 

—  Maisons,  464.  -•  Religions ,  465. 
—r  Funérailles,  466. 


Thtiuroa  (  tle  de  la  Société).  Dé- 
couverte par  Cook ,  t.  V ,  p,  325. 

Tmrvimot.  Sun  voyage  eiv  Asie, 
En  rapjiorte  le  café ,  tom,  XXXI , 
p.  61. 

TIUb*t  (  Province  de  l'empire  chi- 
nois^. Voyage  dan»  le  pay»,  t,  XXXI, 
p.  419.  —  Limites.  Montagnes.  Fleu- 
ves, 420.— Liqueur  tpiritueuie,  421. 
— Sai»on»  Sol,  425.  —  Bœuf  à  queue 
touffue,  426,  428.  —  Frontière  du 
Boutan.  Superitition,  432.  —  Com- 

ÎBrai»on  avec  le  Boutan ,  440.  Voy. 
haiia,  capitale, 

ThibAaint.  Véteoliens,  Superstitions. 
Conservation  du  corps  du  lama,  tom. 
XXXI,  p.  432.  —  Polyandrie.  Haiue  du 
mariage,  434*  452,  Carnctèro.  Céré- 
monie» du  mariage,  436  —  Liberti- 
nigo.  État  des  femmes.  Exercices  re- 
ligieux, Couvens,  Imprimerie.  Livres , 
4o8.— Oruemen».  Figure.  Travaux  des 
femmes,  453. — Mariages.  Noces,  454. 
— Emplois  du  muucboir.  Funérailles , 
456. 

ThUnltovtn  (Ile ,  arcbipel  des  gran- 
des Gyclades),  Découverte  par  Rog- 
gewin,  t.  Il,  p.  65,  et  IV,  278. 

Tkitrrawhitt»  (  tle,  Nouvelle-Zé- 
lande). Beau  uflir  des  étoffes ,  t.  VII , 
p.  33l.  —  Ustensiles, instrumens élé- 
gamment sculptés ,  332. 

Tbomfsok.  Son  voyage  dans  l'A- 
frique méridionale,  t.  XXIX,  p.  1. — 
Excursion  dans  le  pays  des  Betchoua- 
nas,  37  à  100,  144. — Va  reconnaître 
les  maraudeurs  mautatis,  68.  —  Ap- 
prend leur  défaite,  110  et  suiv. — 
Son  excursion  daus  le  pays  des  Bos- 
cbimans,  144.  — Ses  entretiens  avec 
les  naturbls ,  158 ,  163.  —  Suu  excur- 
sion dans  le  pays  desCoranas,  178  et 
suiv,  —  Donne  des  noms  à  quelques 
lieux ,  189 ,  2C0, 222.  —  Son  voyage 
dans  le  Namaqua,  296. 

Thompton  (  cap  ,  Amérique  russe  ). 
Nommé  par  Bcecbey.  Figure.  Véte- 
mens.  Tatouage  des  naturels,  t,  XIX, 
p.  252  —  Paupières  colorées.  Orne- 
ment labial.  Tentes ,  254, 

Thrumb  (Ile  du  cap,  archipel  Dange- 
reux), Nommée  ainsi  par  Cook ,  mai» 
découverte  par  Bougainville,  t.  IV  , 
p.  202;  V,  88;  XIX,  162.  Voy.  Lan. 

oitrt. 

ThuUautlral*  (tle,  extrémité  sud  de 


DES  MATIÈRES. 


471 


l'Amériqut  ).  D«^cuiiferte  par  Cook  , 
I.  IX,  |>.  111. 

Tii'ojrn  -  Su  (  Ile ,  mer  de  Corée) , 
t.  XII,  p.  320. 

TiatfHi  ou  hha^in  (  Ile  ionienne  ) , 
t.XLVI,p.201. 

Tihbom  (  peuple  du  Saliarii  el  du 
•Soudan  ),  Voyage  dans  leur  pajt , 
t.  XXVII ,  p.  Sd  et  «ni?.— Serrent  de 
courriers ,  81. 

Tibhnu,  du  Bilm-1.  Figure  Kitbée 
l.  XXVII,  p.  69,  70  — A«lienuinroa  , 
70.  —  n.in»e.,  70, 72,  77.  —  Tuku- 
inani,  71.  —  Jeux.  Armes,  74.  ~ 
Uirkée,  72  à  74  —  Vétemens  de  fein> 
mes,  76. — IMaines  denable.  Leur 
capitale  ,  75  à  78  et  443.  —  Dibla. 
Kertbertna,  82.  —Vallée  d'Agliaden. 
Uasia  de  Zow  ,  83,  443.  — Onuis  de 
Seggedca,  444. 

TMout  dit  Gunda.  Voyage  dans  leur 
paya,  t.  XXVIl ,  p.  85.  —  Ville  de 
Beere-Kashifery  ,  85,  440  —  Éqnita- 
tion,  86,  90.  — -  Nourriture,  89.  — 
Taille.  Figure,  90.  —  Hérédité  du 
pouvoir,  91. 

Ttbboui  du  Tratta.  Voyago  d.in»  leur 
pays,  t.  XXVIl,  p  96. —Huttes,  97. 

Tidor  (Ile  des  Moluque»),  t.  XV, 
p.  77. 

Titn-SiHg  (  ville  do  la  ('bine  ).  As- 
pect. Pyramides  de  i.el.  Costume  de 
soldats.  Palais  impérial,  t.  XXXIII, 
p.  360.  —  Repas.  Hcprésentations 
tliéâtrales,  361.  —  Bues ,  maisons , 
365. — Coiffures  riiuiques.  Cérémonie 
en  l'bonneur  de  la  luue  Charivari, 
382.  —  Boutiques  ,  rue.s.  Convoi  fu- 
nèbre, 383.  —  Meunier»,  384.— 
Pont.  Miiisons  ,  436.  —  Éventails  des 
militaire»,  437. 

Tijlis  (capitale de  U  Géorgie,  Russie 
d'Aùe  ).  Autrefois  ville  de  Perse. 
Fortifications.  Cathédrale  ,  t  XXXI , 
p.  195.  —  BAtimens  publics.  Palais 
dn  prince.  Environs,  Commerce.  Ca- 
ravenscrais ,  198  —  La  rivière.  An- 
cienne et  nouvelle  ville  Population. 
Saisons  ,  XLV,  413.  —  Église  catbo- 
bque.  Biiins,  444. 

Tienhoven  (île,  archipel  des  grandes 
Cycladcs).  Découverte  par  Roggewin, 
t.  Il ,  p.  65;  IV,  277. 

Tigre  (fleuve  de  Chine).  Description 
de  son  embouchure  et  de  ses  fortifica- 
tions, t.  ll,p.321;  XI,  466;  XV11I,442. 


7/^r/(  province  d'Abyssitie).  8m 
montagnes,  t.  XXIII,  p.  22U.— ,Re»t«s 
du  courent  de*  jésnilM  a  Kremona  , 
23 1,—  Seleoh  •  Lécha ,  belle  cam- 
pagne ,  242.  —  Son  commerct ,  32f . 
Voy,  Àdo»a,  capitale. 

Tikopiu  (Ile  du  groupe  La  Pérouse). 
Aspect  de  l'Ile.  Détoili  sur  le  phyai> 
que  et  le  moral  des  naturels.  Mariages, 
t.  XVIII,  U.834,  092.  Religion.  AnU 
maux,  83n.— Caractère,  377, 585.  — ■ 
Gisrweut,  étendue,  392. 

Timitni  (  province  dé|>eudant  du 
Manding ,  Sén^gawbit.)  Voyage  dan» 
le  pays ,  t.  XXVlll,  8  et  suiv.— Rosa. 
Maharré,  9— Costume  d'un  chef,  10. 
— Rokon.  Audience  du  roi,  11  — 
Assemblée  publique,  13  ,  17- — Tcrr«, 
19. — Mokiindona ,  20. —  Campagne  , 
21,  22.  —  Villes  diverses  Dalanduco. 
Huile  de  palmier,  21.  —  Ma-Bung, 
23., —  Sorciers,  25.  —  Mayonsu ,  26. 
— Étendue,  27. — Géograjibie,  28. 
Costume,  29.  —  Mariages,  noces,  31. 
— Superstition»,  32,35.— Fuuéraille», 
32.  —  Repas.  Animaux  de  bon  au- 
gure. Buis  sacrés,  34.  —  Institution 
des  Purrahs.  Leur  pui.wance,  36,  39. 
v->  Leurs  marques  extérienre.*,  38-  •«- 
Revenus  des  chefs.  Productions  de  la 
terre.  Manufactures  ,  40.  —  Danse. 
Caractère,  42.  Voy.  Maboum. 

TiMEOwsKi.  Son  voyage  à  Péking,  y 
accompagnant  la  miksion  russe,  tora. 
XXXIII,  p.  1,  4. — Sé|ourue  à  Onrga, 
71  à  101.  — Visite  de  la  mission  au 
vang  ,  75  et  suiv.  —  A  ses  lils,  96.  — 
Traverse  le  désert  de  Cobi ,  137  a 
149.  — Arrive  à  la  grande  muraille, 
161.— Arrive  à  Péking,  189.  —  Sn 
résidence,  191  à  269.  —  Y  voit  un 
Français  ,  soldat  de  l'armée  chinoise  , 
228.  —  Décrit  Péking ,  269  à  328. 

Timoan  (lie  de  la  Miiïaisic)  Habitans. 
Productions.  Sol.  t.  III,  p.  51  et  suiv. 

TiMor  (  île  de  la  Sonde  ).  Sa  des- 
cription, t  VI,  p.  421. — Naufrage  d'un 
vaisseau  francai.s  sur  ses  côtes  ,  VU  , 
29.  —  Étendue.  Sol,  Climat,  XVIII, 
63.  —  Production.s ,  66-  —  Animaux, 
68.— Population.  Aspect  des  naturels. 
Climat,  69.—  Vétemens,  habitations, 
mœurs  et  usages,  70,73  — Croyance», 
polygami?  cher,  les  riches.  Commerce. 
Pouvoir  des  rajabs,  72. — Objet»  d'ex- 
portation ,  XXi^  360.  —  Description 


472 


TABLK  GÏ^INKRALK 


da  la  Tillt)  de  CouftaDa,  361.  —  Sol. 
itublitienkeni  bolUiidiii,  3622.  — 
Miaeid'or,  XLIII,  viij. 

T>mor-Lao*t  (Ile  de  la  Malaiiie).  Sa 
deurription ,  t.  VI,  p.  410. 

7/m  (llede  l'Archip.),  t.  XLVF,  p.Off. 

TMui>  (  Ile ,  arcLipel  de*  Af arian- 
ue«).  Beau  pays,  abondant  en  bétail , 
en  volaille ,  en  frniit ,  ma»  rempli  de 
moucheront,  t.  Il,  242,257.— Rnines 
de  ttyle  pyramidal ,  253.  —  ÀTenturo 
d'Anton, 261,  272. — Son  apparence, 
III,  89.  —  Ciel  brûlant,  iniectet  in- 
commodei ,  44.  —  Set  animaux  ,  46. 
—  Set  fmitt,  891 .  —  Set  longitude 
tt  latitnde ,  395. 

Tiookta  nie  ,  archipel  Dangereux). 
Forme ,  habitant,  t,  VIII ,  p.  216.  — 
Sol ,  cnbancf,  218. 

Tipata  (Tille  du  royaume  de  Tunii). 
Bellei,  ruinet,  t.  XXIII,  p.  31 . 

Titti  (  ville  du  Kasion ,  Sénégam- 
bie  ).  Citadelle.  Habitant.  Aliment , 
t.  XXV,  p.  96.  —  Singulière  prohibi- 
tion  .  97.  —  Condamnation  d'un  té- 
duoteur,  97.  —  Habitaut  forcët  d'em- 
braiter  le  mahométitme,  100. 

Tjan  (  Ile,  groupe  Kawen  ).  Dé- 
couverte par  Kotzebne.  Bel  aipect. 
Douceur  det  habitant  ,  t.  XVII , 
p.18L 

Toa-fFati.  Voy.  Saitta-Christina. 

Toboltk  (province  de  Sibérie).  Det- 
cription  de  Catherinenbourg,  t.  XXXI, 
P.  243,  244.  —  Noro  tarUre ,  248 , 
251.  ~Luo  talé,  2^3. 

Toboltk  (cApiDili:  de  la  Sibérie).  Le 
carnaval,  t.  XXXI,  p  246. — Carême. 
Cérémoniet  roligieu.ses,  247,  252.  — ' 
Perte  du  ne-/  très  frciiuente,  253.  — 
Detcriptiou  àtt  deux  villes.  Popula- 
tion, 254.  —  Habitant  tartare»,  256. 

Tofle  (  ville  du  Souderfieldt,  Nor- 
wége) ,  t.  XLV,  p.  73. 

Tokai  avilie  etditt.  ictde  la  Hongrie, 
empire  d'Autriche  ).  Récolte  de  tes 
vint,  t.  XLIV,  p.  146;  XLVI .  130  à 
132. 

Tolide  (ville  d'Espagne)  ,  t.  XLVI, 
p.  174. 

ToHuea  (villa  du  Mexique),  t.  XLI, 
p.  156. 

Tolna  (  ville  de  Hongrie,  empire 
d'Autriche),  t.  XLIV,  p.  151.  — • 
Autrefoii  importante.  Détails  histori- 
quet,  155. 


Tomik  (ville  de  Sib«rii>).  Fondation. 
Commerce.  Vieux  croyant ,  t.  XXXI. 
p.  272 

Tonpa-Tnbou  (archipel  de  la  Poly- 
nésie). Voy.  jtrcfiipol  d»i  Amie. 

Trngn  Tiikou ,  ou  d'AmiUrdam  (Ile 
priuciiialo  de  l'anhipc*  des  auiu  ]. 
Découverte  par  Tatmab,  t.  f ,  p.  348. 

—  Son  atpect.  (aférieur  et  ex- 
térieur d'un  temple,  VIII ,  51,54, 
58.  —  Beauté  du  payt ,  57.  —  Plan- 
tations trèt  régulièrei ,  57 ,  61  ,  77. 

—  Grandes  cliuuvet-tourit .  62.  — 
Cimetières,  63. — Liihr.i  ité  des  filles, 
65.  —  Pirogue».  Usage  de  la  poudre 
dnnt  la  toilette,  68.  (îouvernemeut, 
72.  —  Batelfur»,  74.  Productions , 
linbitations  dissémiDcct,  animaux  d'< 
niPNliques  ,  poiasous  ,  filots,  |iirof;ui  ., 
outil»  ,  83.  —  Naturels  :  leurs  véf  ■ 
ment,  ornement,  umuteux  i» ,  in- 
striimeiis  de  muMquc  mauifi  i  .1  >  sa« 
luer,  franchise,  86  et  »\\<  l.ou- 
tumcH  singulières,  niutiiiiuon  du  iii'tit 
doigt,  90.  —  OaiiM'ruciiicnt,  J>3. — 
Aisance  acquise  par  le  travail ,  94.  — 
Religion,  lan;;iic,  95.  —  Repas  du 
rui,  IX,  394.— Village  ngrénblc,  308. 

—  Mu.siquc,  chantii,  405.  — Cirque, 
407.  —  Fabrication  des  étoffes ,  408 
et  tuiv.  —  Grande  f/le.  «louuée  à 
Cook  :  danses ,  musique ,  combats , 
danses  de  nuit,  411  et  suiv. ,  431.  — 
Combat  de  pugilat,  422. — Repas  sin- 
gulier de  deux  fumme.'i,430. — Pèche, 
436.  —  Cimetière,  437  ,  449.  —  Ce- 
rémonie  funèbre, 442, 451.  —  Plaotu 
ot  liqueur  kava ,  445.  —  Comment 
les  habitans  tuent  et  préparent  leurs 
porcs,  448,  450.—  Singulière  ma- 
nière de  patter  la  nuit,  452- — Super- 
stition sur  la  découverte  des  voleurs , 
456.  —  Forme,  étendue  de  l'île,  459. 

—  Sol  riche.  Aspect  agréable.  Climat 
variable,  460.  — Principaux  fruits, 
463.  — •  Quadrupèdes ,  oi.seaux,  pois- 
sons, 464.  —  Grande  fête  relative  au 
fils  du  roi ,  X ,  1 ,  3  et  suiv. — Conjec- 
tures sur  son  objet ,  2 J.  —  Nombreux 
districts  et  diefs  de  l'Ile*  86.— Aspect 
de'ilts.aii.no,,,  xni,143.  -  Pre- 
mier étalili'iiiDirrt  des  mi--  .i  '  lires 
au'  '  is  »  ;.'  M.  ;  gouvcrncnKiit,  ma- 
ri;,  (.j  ndiurels,  442.  -  Filles 
prostituées,  XV,  159.  —  Beauté  du 
pays,  productions,  184.  —  Danses, 


DES  iMATIKRES. 


473 


mnUdifl»,  186.—  Hinrnirp  de  la  ilu- 
rourcrte,  XVIII,  283.  --  Climat, 
l'opnlatiuD.  Ft({iire  des  natui di ,  '284. 
—  Mauri,  AinnitnmeD»,  286.  —  Ci- 
rogaeit.  Rrpai.  Polygaïuie.  '^>tonH^l>. 
Maiiiou»,2n8.^Alirnenii.HiibiU,  lenr 
Religion  ,  200.  — l'uliou.  rérviin»  '^ 
religieuae».  Funérailles,  '')2.  — .Sn 
perttittonii.  Hemidet,  Luugue.  Pro- 
duotionit  de  l'Ile,  204. 

ToHg-Chom  (  Tille  de  la  rkiD<>  } , 
t.  XXXIII,  p.  371.  —  Porte  fortiiiéc. 
Boutiquen.  Àucfi.  Cuur  de*  mniMiDH, 
lutërieur  d'un  temple,  872,  373.— 
Monantère ,  448. 

Tong-Kou  (  ville  de  U  Cliiao), 
t.  XXXIII,  p.  357. 

TongoetHt  (^rWxhn  du  Kniiranko, 
Séoégnuibio) ,  t.  XXVIII,  p.  61.—  Sa 
luurce,  G2. 

Tong-Ti'hang-Fouh'iVit  de  la  Chine), 
t.  XXXIII ,  p.  302. 

Ttnqiiin  (  wlfe  do  la  mer  de  Chine), 
t.  XVIII,  p.  449. 

Tonxn  (Iles  de  la  Maliiisie),  t.  III, 
p.  215. 

Too/oa  (  Ile,  archipel  des  Amis  ), 
Opinion  superstitieuse  des  naturels 
sur  leur  Ile,  t.  IX,  p.  848.  —  Son 
aspect,  XIII ,  143. 

Tor  (  TiUago  de  l'Hedjax,  Arabie  ). 
Aspect  pris  par  les  Portugais.  Vue 
des  monts  Horeb  et  Sinai ,  t.  XXIII , 
p.  132.  —  Situation.  Maisons.  Habi- 
tans,  XXXII,  373.— Ermite  grec  du 
mont  Sinaï ,  375. 

Torget  (  ile  de  la  Norwége  ).  Son 
fameux  mont,  t.  XLV,  p.  121.— 
Carernu  qui  perce  le  moût  de  part 
en  p4rt.  Sorcière,  122  à  124. 

jor/i/a  (rivière  de  Laponie),  t.  XLV, 
p.  324. 

Toméa  (ville  de  la  Finlande ,  Rus- 
sie). Réapparition  du  soleil.  Aspect  de 
laviUe,  t.  XLV.p  327. 

Torpille  on  Anguille  éltetrigue , 
t.  II,  p.218;XLn,435. 

Ton  es.  Voy.  Hogoltu. 

Tortue  (ile  de  la,  Orandes-Antilléa) 
Déco«Tertcpar  Colomb,  t.  XXXVIII, 
p  HI7. 

l'ortues  (île  des,  Australie). Dt'coti- 
verte  pur  Bligh,  t.  XIII ,  p.  330. 

Tortues.  Grosseur  de  celles  des  Gal- 
liipagos.  Vont  pondre  à  cent  lieues  de 
la  ,  t.  I ,  p.  373.  —  Espèces  diverses  , 


Il ,  106.  —  Manière  ingénienie  do  les 
prendre  en  mer,  107- —  Passent  ua 
lin  sans  nourriture, XVI,  103.— Leurs 
ccnfs  ,  1U5.  —Leur  poche  k  ean,  415. 

'f'otfniit.  Coup  d'ail  sur  le,  paya. 
Fldrpti.fl,  t.  XLVI,p.  265. 

Toii'oua  (Ile  du  groupe  de  la  Reine 

harlotte  ).  Formée  do  ce  que  l'in'  » 

api^i'h'i    IIpi    Kdgecumlie    et    Ourr^   , 

t.  XVIII,  p.  387    -  VUlages,  Mœurs, 

388,. W2. 

Tovl/ouai  (Ile,  P(.lynésie).  Décou» 
verte  pur  ''nok,  t.  X  j>.iJ8.  —  Eten* 
due.  Asp(  ,  100.  —  Naturels.  Leurs 
vjtcmens,  "Mrs  piru((>i«s  sculptées, 
101.  —  Feri     '••  de  sul ,  XVI .  472. 

Ton»  {y AU  II  district  de  Tebbos, 
KliorassHH,  l'erse).  Autrefois  impor- 
tante, t.  XXXV,  p.  06,  416. 

Touraco.  Description  de  cei  oiseau  , 
t.  XXIV,  p.  78, 

Tourbet  (ville  et  di  trict  du  Khnras» 
san,  Por.«o/,  t.  XXXV  ,  p  96,  4l0. 

Tous  (ancieuuc  ciifiir.ile  du  Klio- 
rnssan,  Perse).  Murailles,  Ruines  d'un 
mausolée  et  d'uu  minarc  '  ,  t.  XXXV, 
p.  263.  —  Histoire,  :i(ii  —  Autre- 
fois capitale ,  XXXVII ,  '.  )(i. 

TowRsoR.  Son  voyage  en  Hon- 
grie, t.  XLVI,  p.  127. 

7'ra^A<ia(villeduFi  /,'/.an\  .  XXVII, 
p.  51.  —  Uiclies  tapis ,  5(). 

Traîneau  (Ile  du  ,  mer  de  J  liring). 
Nommée  par  Cook.  (Viiiempn  Eten- 
due, t.  XI ,  p.  51.  —  Sol,  véf  «taux  , 
animkux.  Description  d!un  trioneau  , 
52.  —  Nommée  iiussi Traîneau  par  lei 
naturels,  XIX,  271. 

TraUres{\\9  des ,  archipel  des  /*  mu). 
Découverte  ]>ar  Le  Maire  ,  1. 1 ,  i>,  300. 

—  Est  l'ilo  que  Wullis  a  appelc  ile 
Keppel,  VIII ,  73;  XIII ,  114-  —  Est 
basse,  131.  —  Ne  doit  peut-être  pas 
être  comptée  dans  l'archipel  des  Amis. 
Ses  habitnns  se  mutilent  le  petit  doii^t, 
149. 

Transylvanie  (province  de  l'empire 
d'Autriche^,  Voyage  dans  l'iutérietir, 
t.  XLIV,  p.  91  à  115.  —  Frontière 
turque,  91,  92.  —  Quarantaine,  95. 

—  Arbre:.  Rochers  ,  94.  r—  Figure  , 
costume ,  etc  ,  des  bergers ,  95, 96. — 
Costume  d'une  jeune  Bohémienne, 
97.  —  Voy.  au  mot  Ftohémitns  d'au- 
tres détails  sur  ce  peuple.  Forteresse 
de  Rothenthuru  (tour  rouge),  98.  — 


474 


TABLE  GÉNÉRALE 


Plaines.  105.  -  Maisons  et  villagos . 
103,  llO,  111  —  Paysans  parlant 
Intiu  ,,104.  —  Charrette  ,105.  —  Her- 
luanstadt,  105,  106.  —  Détails  sur 
l'iiistotre  et  l'état  actuel  d'une  co- 
lonie saxoue,  106, 107. — Belle  route, 
111.  —  Rivières  Deva  ,  112.  —  llra- 
niska,  113.  —  Détails  liittoriqnes  , 
233.  —  Uabitans  divers,  XLVI ,  218 
et  suiv.  —  Sol.  Campagne  ,  224.  — 
Origine ,  caractère ,  paresse  de.s  iialii- 
tan» ,  225.  —  Keligion,  236.  -^  Sec- 
taires ,  239. 

Tras-Os-Moittei  (province  du  Por- 
tugal), t.  XLVI,  p.  186. 

Trente  (  ville  du  Tyrol  ).  Détails 
divers  ,  t.  XLV,  p.  366.  —  Environs, 

397.  —  Aspect  animé  de  la  ville.  Ta- 
bleau   du    Concile.  Belle    situation  , 

398.  —  Jours  de  fête ,  400. 
Trésorerie  (  îles    de   l'archipel    Sa- 

lomon  ).  Nommées  par  Shortland  , 
t.  XV,  p.  42. 

Trivnnioa  (lledcrarch.  de  la  Reine- 
Charlotte  ).  Nommée  par  Carteret , 
t.  Kl,  p  150.  —  Avait  été  nommée  le 
Jardin  par  les  Espagnols  ,  450. 

Trivenen  (He  du  groupe  Uerge.st,  ou 
de  la  Révolution).  Nommée  par  Her- 
gest.  Est  fertile,  bien  cultivée  et  peu- 
plée, t.  XIV,  p.  381.  —  Avait  été  dé- 
couverte avant  par  lesFrançai.s,  et  peut- 
être  par  les  Américains  ,  XVI ,  134. 

Trieste  (ville  de  l'Illyrie,  empire 
d'Antriche)  ,  t.  XLIV,  p.  334. 

TriniJad  (île  ,  océan  Atlantique). 
Stérilité  du  sol,  t.  XII,  p.  41.  —  N'est 
autre  que  l'Asceucion  ,  XVllI  ,  113. 

Trinité  (ile  de  la ,  côte  ouest  de 
l'Amérique  septentrionale  ).  Décou- 
verte par  Couk,  t.  XI,  p.  31. 

Trinité  (île  de  la ,  cAte  de  Co- 
lombie ).  Découverte  pur  Colomb , 
t.  XXXVIII,  p.  176,242. 

Trinité  (baie  de  la  ,  Nouvelle-Al- 
bion ,  Amérique  septentrionale).  Na- 
turels, maisons,  pirogues,  t.  XIV, 
p.  410,  414.  —  Sol  ,  arbres  des  en- 
virons, 413.  —  Mutilations  des  natu- 
rels, 415. 

Tripoli  (Etat  de  Barbarie).  Fruits  , 
Voyage  dans  le  pays,  t.  XXII,  |>.  206; 
XXllI,  39  et  suiv.;  XXVII,  1  et  suiv., 
452 — Villes  du  territoire  d'Audjelah, 
dans  le  Barca,  XXV,  425.  —  Gliirza. 
Ruines  romaines,  451. 


Tripoli  de  Barbarie  (capitale  de 
l'Etat).  Aspect.  Intérieur.  Pn i  i ce.  Beaux 
environs,  t.  XXII,  p.  206. 

Tripoli   (ville  de    Syrie ,  Turquie 
d'Asie) ,  t    XXIII,  p.  43  ,  46.  —  Si- 
tuation.  Maisons.   Eglises.   Jardins 
XXXII,  450. 

Tristan  <i'y#cu/iA(i  (groupe  de,  océan 
Atlantique  méridional  ).  Découvert 
parce  Portugais.  Climat.  Productions. 
Animaux  ,  t.  XX,  p.  148;  XXII ,  14. 
Voy.  îles  Inaacetsible  ,  Rosngnol  , 
Tristan. 

Tristan  d'Acunha  (île).  Etendue.  As- 
pect. Campagne,  t.  XX,  p.  145. — 
Végétaux.  Animaux,  149.  —  Popu- 
lation. Denrées,  151,  152. 

Trobriand  (île  de  l'archipel  de  la 
Louisiade).  Découverte  par  d'Entre- 
castcaux ,  t.  XV,  p.  266. 

Troglodytes.  Peuple  d'Abyssinie. 
Adonués  au  vol  ,  t.  XXIII,  p.  466. 

Troie  (ville  du  New- York  ,  États- 
Unis).  Mont  Ida,  t,  XXXIX,  p.  47. 

Troil.  Ses  voyages  en  Europe , 
t.  XLVI,  77. 

TBOT.LOPE  (  mistress  ).  Son  voyage 
aux  Etats-Unis,  t.  XXXIX,  p.  384 

Trumelin.  Son  voyage  autour  du 
monde,  t.  XVIII,  p.  331. 

Tromsoë  (ile  et  port  du  Nordiand  , 
Norwége),  t.  XLV,  p.  174.  -  Son 
commerce,  175.  —  Le  dimanche  dans 
cette  ville.  L'été,  Comment  on  passe 
l'hiver,  176,  177.  —  Bois  d'Amérique 
jeté  sur  la  côte,  177.  —  Pèche  de  la 
baleine,  178  à  180. 

Trontheim.  Voy.  Drontheim. 

Traxillo  (ville  du  Pérou).  Fondée 
par  Pizarre,  t.  XXXVIlI,p.  333.  — 
Son  port.  Ses  environs  ,  XLII ,  2.  — 
Mur,  rues,  édifices  ,  3. 

Tschiboi-hi  (île,  mer  de  Behring). 
Naturels,  t  XVII,  p. 66,  70.  —Tentes 
formées  d'os  de  baleine,  67.  —  Us- 
tensiles, ornemens ,  breuvage,  danse, 
68.  —  Aspect ,  71.  —  Vêtement ,  73. 

Tschiilshy  (tribu  de  l'Amer,  russe). 
Leurs  armes,  i.  XI,  p  55, 57. — Fig'irc, 
58.  —  Vêtemeut.  Habitations  d'été  et 
d'hiver  dressées  sur  os  de  gros  pois- 
sons, 59.  — (>hiens.  Canots,  61. 

Tschutsky  (tribu  au  nord  du  Kam- 
tschatka).  Leur  pays.  Leur  occupation 
t.  XI ,  p.  454  —  Leur  aspect ,  XVII , 
107, 111.  ~  Cabanes,  110.—  Arme», 


V*  ■ 

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DKS  MATIÈRES. 


475 


li- 


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%: 


112.  —  Ûiflieileinent  réduits  par  le* 
Russes,  395. 

Tuab»  (  capitale   du  bas  Galam  ), 
t.  XXVIII,  p.  353, 358. 

Taarieks  (peuple  du  Sahara),  Ca- 
raetèrf! ,  t.  XXVII ,  ji.  33,  35.  —  Vie 
nomade.  Mariages,  36.  —  Voyage 
dans  le  pays,  4i8  et  suiv.  —  Vallée 
Sardalis,  46.  —  Costumes.  Agriculture 
méprisée,  47.  — Gliraat:  leur  capitale, 
47  à  54.  —  Aspect  pittoresque  du 
Tadrart ,  48.  —  Moûts  pittoresques  , 
48.  —  Langue,  54-  —  Géuent  le  com- 
merce de  Tembonctou.  Armes.  Teint. 
Figure,  XXIX,  401,  405.  Voy.  El- 
Araouan, 

Tacher  (Jle  ,  Polynésie)  ,  t.  XVIII  , 
p.  181. 

Tddeixx.  Son  voyage  eu  Asie  au 
xii«  siècle.t.  XXXI.p.  28. 

Tuga  (ville  de  l'Etat  de  MarocV 
Vastes  et  belles  ruines,  t.  XXIII,  p.  2Ô. 

Tukumaai  (  ville  des  Tibbous  du 
mima  -  Sahara) ,  t.  XXVII,  71. 

Tula  (gouvernement  de  la  Russie 
d'Europe).  Voyage  dans  l'intérieur. 
Villages.  Campagne.  Maison  des 
paysans  ,  t.  XLIV,  p.  363  à  366. 

Tula  (capitale  du  gouvernement)  , 
t.  XLIV,  p.  363.  —  Edifices.  Cita- 
delle. Cathédrale.  Population ,  364. — 
Aspect,  environs,  365.  —  Maisons 
des  paysans ,  366. 

Tulbagh  (yilliige  de  la  colonie  du 
rap  de  Bonne-Espérance),  Maisons 
Eglise,  t.  XXVI,  p.  70. 

Tumbez  (v^le  de  la  Colombie).  Ha- 
bitations de  la  campagne  et  de  la 
ville,  t.  XVI,  p.  92. 

Tungouses  (peuple  de  la  Sibérie). 
Nourriture.  Traîneaux.  Vie.  Village  , 
t.  XXXI,  p.  284.  —  Barques.  Habille- 
ment. Religion,  286.  —  Chasses.  Goi- 
tres ,  288.  -  Superstition  ,  288 ,  290. 

Tunis  (royaume  d'Afrique)  Indus- 
trie des  Tunisiens  ,  t.  XXII ,  p.  192. 
—  Ruines  antiques ,  193,  194.  — 
Spentla  ,  193.  —  Bay-Jab.  Kaïrwan. 
Teintures  de  Zag-Wan ,  194.  —  Qua- 
drupèdes privées  et  sauvages  ,  198. — 
Reptiles.  Oiseaux.  Insectes  ,  200.  — 
Ruines  antiques,  XXIII  ,29,  31.  — 
Tiiga ,  29.  —  Arabes  indépendaus , 
30  —  Tipassa  ,  31.  Voy.  U/ique. 

Tunit  (capitale  du  royaume).  Pré- 
cautions sanitaires  ,  t.   XXII ,  p.  192. 


—    Climat.    Uah.Uus,    XXIII,    27. 

TuprA.  Taïtien  emmené  par  Cook  , 
t.  V,  p.  231.  —  Son  étonneiiient  et 
son  plaisir,  ainsi  qpie  celui  de  son 
valet,  à  Batavia  ,  première  ville  qu'ils 
voient,  VU,  43.  —  Il  y  meurt,  48. — 
Regretté  par  les  sauvages  de  la  Nou- 
velle-Zélande,  305,  314  ,  330.  —  Peu 
regretté  des  Taitieus,  VU,  372. 

Tupinitr  (ile  du  gr,  Loyalty).  Nom- 
mée par  d'Urville,   t.  XVIII ,  p.  304. 

Turcomanie  (  grand  pays  de  la  Ta- 
tarie indépendante).  Vie ,  médecine, 
femmes  ,  jalousie  des  Turcomans  , 
t.  XXXII  ,  p.  462  —  Férocité  des 
tribus  autour  du  Khorossau  ,  XXXV, 
104,  111.  —  Sont  enueniis  reUgieux 
des  Persaus ,  105.  —  Principales  tri- 
bus, 106.  —  Maisons  portatives,  107, 
120.  —  Gouvernement,  Esprit  d'éga- 
lité. Hospitalité,  107,  109,  314.  — 
Richesses,  111  ,  116.  — Etat  des 
femmes,  111,  119.  —  Leur  habille- 
ment ,'112.  —  Costume  des  hommes, 
113.  —  Figure,  114.  —  Armes,  115. 

—  Bous  chevaux.  Chameaux  ,  116. — 
Chiens.  Excursions  ,  117.  —  Ma- 
riages, 118.  —  Funérailles,  119.  — 
Précautions  contre  leurs  ravages  , 
135.  —  Traitement  d'un  prisonnier, 
145.  —  Crainte  qu'ils  inspirent ,  158, 
170.  —  Tril>u  de  Glocklans .  310  à 

316,  —  Campement,  311,  318.  — 
Intérieur  d'une  tente,  312.  —  Repas, 
313,  319.  ^  Soirées.  Musique.  Chan- 
teurs ,  315.  —    Chiens    de  garde , 

317.  —  Aspect.  Costume  ,  XXXVII , 
162.  -  Villages ,  168.  —  Leur  état 
dans  le  Bokhara,  225.  —  Caractère, 

227,  262.  —  Formes  et  costume  des 
femmes,  227,253  — Usages  divers, 

228 ,  232  —  Voyage  dans  leur  dé- 
sert. Collines  de  sable,  234,  241, 
244.  —  Esclaves  persans ,  241.  263  , 
277.  —  Puits ,  240,  243,  245,  280. 

—  Usent  du  lait  de  chamelle ,  246. 

—  Campemens,  251,  257,  259.  — 
Physionomie ,  252,  274.  —  Costumes. 
Couleur  favorite.  Chiens ,  252.  — Vie, 
260,  272.  —  Tribus  diverses ,  260.  — 
Leurs  brigandages ,  i60,  276  ,  285  , 
306.  —  Terreur  qu'ils  inspirent ,  262. 

—  Perfidie.  Avarice,  262,  263.  — 
Mariiiges ,  270.  —  Etat  religieux  , 
271.    -  Festins  ,  275.  —  Armes ,  277. 

—  Voyage  à  travers  les  Turcomans  de 


476 


TABLE  GÉNKHALE 


In  mer  Caspienne,  503.  —  Discipline, 
506.  —  Voy.  Shatukhi. 

Turcomans-Gloklans,  Beauté  de  leur 
pays.  Leur  nombre  ,  t.  XXXVII , 
p.  308.  —  Sont  lio!ipitaliers  ,  310.  — 
Dépendent  de  la  Perse,  311. 

Turcomans-Salores.  Les  plus  nobles 
de  la  race,  t.  XXXVII,  p.  268  — 
Leur  suzerain.  Leur  gouvernement. 
Leur  contrée ,  269.  —  Mariages,  270. 

—  Vie,  272.  —  Belle  tente  d'un 
chef,  272.  —  Physionomie.  Festins  , 
274. 

Turcomans  -  Sarulcs,  Leurs  brigan- 
dages ,  t.  XXXVII  ,  p.  260.  -  Trai- 
tement des  chevaux,  261. 

Turcomans-Tukas.  Leurs  excursions. 
Craintes  qu'ils  inspirent,  t.  XXXVII , 
p.  306,  307.  —  Caractère.  Femmes  , 
312. 

Turcomans-Yamunds.  Soumis  par  la 
Perse.  Leur  nombre ,  t.  XXXVII  , 
p.  312. 

Turcs,  Combattent  les  Portugais 
dans  les  mers  des  Indes,  t.  I,  p.  110. 

—  Leur  origine.  Leur  histoire,  XXd, 
253.  —  Peuples  de  leur  race,  XXXI, 
22.  —  Leurs  dons  intéressés ,  XXXII, 
10  note.  —  Sont  méprisés  des  Arabes, 
43.  —  Sont  hypocrites,  316.  —  Lâche, 
insolence  des  soldats,  370,  372.  — 
Peuvent  remplacer  l'eau  par  le  sable 
pour  leurs  ablutions,  XXXVII,  247. 

—  Manteaux  de  janissaire,  XLIV,  3. 

—  Leur  indifférence  pour  la  vie  des 
hommes  ,  12.  — ■  Nonchalance,  20. — 
Respect  des  oiseaux,  24. —  Supersti- 
tions, 32,  33.  —  Rareté  du  vol,  36, 
243.  — Ignorance,  44.  —  Habitudes 
toutes  cotitraires  d'avec  celles  des 
Européens  ,  55.  —  Repas  turc ,  61 , 
223.  —  Dureté,  65.  —  Intérieur  de 
leurs  cafés ,  220.  —  Description  du 
Nargillé,  222.  —  Isolement  et  re- 
traite des  femmes ,  224.  —  Religion 
des  effendis,  XLVI,  84.  —  Bains 
chauds  des  femmes ,  85.  —  Leur  riche 
et  belle  coiffure.  Beauté  des  femmes , 
86.  —  Détails  sur  l'intérieur  des  ha- 
rems, 88  à  90,  108  à  1 14.  —  Paradis 
des  femmes  Usage  bizarre,  91.  — 
Usage  de  l'adoption   Ses  causes  ,  92. 

—  Sont  intelligens  et  vindicatifs  , 
100.  —  Intolérans,  cupides,  101.  — 
Muftis,  mollahs,  imans,  derviclics, 
scheiks,  102.   —  Rareté  de  la  poly- 


gamie, 110.  — Exagération  des  que- 
relles de  leur  famille.  Etat,  occupa- 
tions de  l'homme  et  de  la  femme, 
1  M.  —  Conduite  du  mari  quand  il  à 
plusieurs  femmes,  112.  —  Respect 
pour  le  harem  d'autrui,115. — Amour 
paternel  et  filial.  Déférences  pour  les 
femmes,  117.  —  Condition  des  femmes 
des  divers  rangs,  118.  —  Mariages, 
119, 120.  —  Fréquentes  répudiations, 
120.  —  Promenades.  Amour  des  che- 
vaux. Interdiction  des  images.  Ses 
effets,  121.  —  Peinture,  sculp- 
ture. Musique.  Proscription  des 
jeux,  122.  —  Alimens,  123.  —  Bois- 
sons :  sorbet,  vins  ,  opium  ,  café  , 
124.  —  Passion  pour  le  café.  Grand 
usage  du  tabac,  125.  —  Costumes. 
Respect  pour  la  barbe,  126.  —  Lan- 
gues parlées,  126- 

Turketlan,  Voy.  Tatarie  indépen- 
dante. 

TuRNER.Son  ambassade  au  Thibet, 

t.  xxxr,p.  419. 

Turin  (capitale  du  Piémont,  royauiiie 
de  Sardaigne) ,  t.  XLVI,  p.  286. 

Tuion  (  ville  de  la  Cocliinchine). 
Baie ,  t.  XXXIV,  p.  356.  —  Sol.  Pro- 
ductions des  euvirons  ,  357,  358  , 
361.  —  Fortifications,  360.  —  Mai- 
sons. Bazar,  361. 

Turquie  d'^sieJVoy.  provinces  à'At- 
Djezyreh ,  Arménie ,  Irak-Akari ,  Kour- 
distan  ,  Syrie. 

Turquie  d'Europe.  État  des  routes  , 
t.  XLIV,  p.  1  et  suiv.  30,  36 ,  38.  — 
Auberges ,  2.  —  Etangs  factices  ,  8  , 
10.  —  Villages  ou  petites  villes  ,  25  , 
37,  45,  48, 50,60, 65,67.  -  Kbans, 
café.s,  26-  —  Buffles,  31.  —  Monu- 
ment de  Soliman  I*"",  38.  —  Cam- 
pagno,  41.  —  Monts  Balkans,  49. 
Voy.  ce  nom.  —  Construction  des  ca- 
banes de  village  ,  50.  ' —  Transport 
des  prisonniers,  61 ,  64.  '—  Dépo-' 
pulation  du  pays,  71.  —  Nouveau 
costume  des  soldats ,  260.  —  Déclin 
du  fanatisme ,  276.  —  Le  Moniteur 
ottoman ,  278.  —  Inoculation  de  la 
petite  vérole  importée  en  Angleterre , 
XLVI,  83.  —  Vexations  des  janis- 
saires, 84.  —  Bains  chauds,  85.  — 
Troupes  défilant  devant  le  Grand- 
Seigneur,  88.  —  .administration  de  la 
justice.  Sa  vénalité,  102  à  104.  — 
Précautions  prises  pour  le  maintien 


des  prol 
di:  v'>ir 

—  Boni 

—  Rarcl 

—  luleii 
121. 
l'usage 
usage  d| 
vinces 
davie  , 
chie, 

Tver 
Russie 
ville.  Pij 
t.  XLVIl 

TwinI 
et  en  Su 

Tzana 
Iles,  t. 

Tyr  ( 
d'Asie). 
p.  49. 

Tyrol 
triche), 
p.  357. 
361.  — 
—  Belle; 
Inspruck 
Tyrol ,  3 
animaux 
de  sel  de 
de  WilK 
380,382 
402.  — S 


DES  MATIÈRES. 


477 


des  propriétés ,  104.  —  Police.  Rareté 
di:  ■»->!,  sa  prompte  et  terrible  piini- 
î  »'I5  à  108.  —  Exécution ,  107. 

—  finiinc  administratioD  civile,  116. 

—  Rareté  des  femmes  publiques,  120. 
^luterdictiou  des  images.  Ses  effets, 
121.  —  Iiitroduction  du  café  et  de 
l'usage  de  fumer,  125.  —  Langues  en 
usage  dans  l'empire,  126.  Yoy   pro- 


vinces  de   Albanie , 
Monténe'gro  , 


hulgarte  , 
Roumélie  , 


Mol. 
Fala- 


davie 

chie. 

Tver  (ville  et  gouvernement  de  la 

Russie  d'Europe).  Description  de  la 

ville.  Productions.  Animaux  du  pays, 

t.  XLVI,  p.  145. 

TwiNiNO.  Son  voyage  en  Norwége 

et  en  Suède,  t.  XLVI,  p.  29o. 

Tzana  (lac,  Âbyssinie).  Etendue. 

Iles,  t.  XXIII,  p.  388. 

Tyr  (ville  de  la    Syrie,  Turquie 

d'Asie).  Estruinée  et  déserte,  t.  XXIII, 

p.  49. 

Tyrol  (province  de  l'empire  d'Au- 
tricbe).  Pourquoi  peu  visité  ,  t.  XLV, 
p.  357.  —  Voyage  dans  l'intérieur , 
361.  —  Campiigne.  362,  376,385. 
—  Belles  vallées,  362,  382.  —  Zirl. 
Inspruck. ,  363.  —  Détails  sur  le  Uaut- 
Tyrol,  365  et  sniv.  —  Nourriture  des 
animaux  domestiques  ,  367.  —  Mines 
de  sel  de  Hall ,  375  à  380.  —  Abbaye 
de  Wihen ,  375.  —  Villages  ,  375  , 
380,  382,  384.  388,  390,  392,  400, 
402.  —  Schwatz ,  380.  —  Lac  Aclien- 


sée,  381.  —  Rattenberg,  Kunfstein  , 
381.  —  Multiplicité  des  cbapeljes  , 
«Toix,  etc. ,  384,  393.  —  Srezziug  . 
386.  —  L'Eisach  ,  386.  —  Brixen. 
Vignes,  387.  —  MublbacL,  388.  — 
Vallée  de  Pustertlial.  Pruncckea , 
389.  —  Auberges  ,  389.  —  La  Rienz. 
Lieuz.  La  Drave,  390.  —  Tyrol  ceu- 
trHl ,  394.  —  Botzen ,  393.  —  Tyrol 
méridional  ou  Ba.s-Tyrol.  Différences , 
396,  397,  399.  —  Ruines  do  Sig- 
muuds-Crou,  396-  —  Saules  pleu- 
reurs ,  397.  —  Trente,  L'Adigc ,  398. 

—  Belle  route,  399.  —  Le  Lago  da 
Gunrda ,  399.  — Oliviers,  grenadiers, 
figuiers ,  400.  ' — '  Meran.  Maison 
d'André  Hofer,  401.  —  Le  Passeyer, 
401 ,  402.  —  Clurns.  Route  remarqua» 
ble,402,  403,  —  Gluns.  Nauders.  Cé- 
lèbre défilé ,  404.  —  Landeck  ,  405. 

—  Le  Voralberg ,  405  —  Bregentz. 
Feldrich,  406.  -  So!  fertile,  407. 
Voy.  ^Ij?cs ,  Inn, 

Tyroliens.  Costume  de  ])aysans  , 
t  XLV,  p.  362  ,  364.  —  Différence» 
du  Tyrolien  autrichien  et  du  Tyrolien 
italieu ,  365  et  suiv.  —  Vie,  nourri- 
ture du  paysan  du  Haut-Tyrol ,  367. 

—  Caractère,  367,  406.  —  Mœurs , 
368,  406.  —  Amusemens.  Drames 
sacrés ,  369.  —  Concerts ,  369.  — 
Travail  délicat  des  paysans  ,  374.  — 
Costume  des  paysans  de  la  mon- 
tagne ,  383.  —  Dévotion ,  384 ,  406. 

—  Esprit ,  407. 


u 


% 


Ubi  {\\e,  mer  de  Chine.  Aspect. 
Costume  Idoles,  t.  XXXIV,  p.  88, 
90.  —  Productions,  Graines  trouvées 
dans  le  plantain,  92  à  95.  —  Pigeons, 
94.  —  (Jbservatiou.s  botaniques  ,  95. 

C/t/ir/ct  (groupe  d',  îles  Radack  , 
archipel  des  Carolines).  Découvert 
par  Kotzebuc,  t.  XVII,  p.  207  et  suiv. 

Uittnhage  (ville  de  la  colonie  du 
Cap).  Effets  de  la  guerre  contre  les 
Cufres ,  t.  XXIX,  p.  326. 

Ukraine  ou  Petite  liussie.  Voyage 
dans  le  pays,  t.  XLIV,  p.  369  et  suiv. 

—  Palais    du    dernier   hetmau,371. 

—  L'Ukraine  comprenait  les  gouver- 
nemcns  de  Karkhov ,  Kief ,  Podolie  , 
Pultava  et  Toherniguv.  Voy.  ces  noms. 


Uliétéa  (ile,  archipel  de  la  Sgciété). 
Découverte  par  Cook ,  t.  V  ,  p.  325  , 
335.  —  Cimetières.  Coffre  semblable 
à  l'arche  d'alliance ,  356.  Voy.  Hua- 
heine.  —  Trophées  de  guerre,  337.— 
Aspect  de  l'ile,  VIII,  3.  —  Représen- 
tations théâtrales,  5,  7,  15,  281.  — 
L'insulaire  Œdidce  s'embarque  avec 
Cook,  24.  —  Arrioys  ou  sociétés  se- 
crètes,  leur  but  immoral,  263,  272, 
274  et  suiv.  —  Les  femmes  se  font 
des  blessures  eu  sigue  de  deuil ,  273. 
—  Manière  de  tuer  et  rAtir  les  porcs, 
288.  —  Idoles.  Esclaves,  ,291.— 
Classe  de  savaus,  291.  —  Religion  , 
295  et  suiv.  —  Prêtres,  298,  —  Etat 
de  l'ile  au  troisième  voyage  de  Cook , 


478 


TABLE  GÉNÉRALE 


, comparé  à  celui  où  il  l'avait  trouvé, 
X,  200.  —  Conquise  par  les  naturelw 
de  Bolabola,  203  et  siiir. 

Uman  (tïHc  du  gouvernement  de 
Kief,  Russie  d'Europe),  t.  XLIV, 
p  384. 

Uméa  (  ville  du  Norland  suédois  ) , 
t.  XLV,  p.  330. 

Umiir  (  ville  du  Rajpoutana,  Hin- 
doustan  ).  Belles  ruines.  Mendiant, 
t.  XXXVI,  p.  319. 

Ummtirghur  {sWlo  du  Riijpoutana, 
Hindoustaa).  Jolis  temples.  Fabrique 
d'indienne.  Fort,  t.  XXXVI,  p.  336. 

Umrestir.  Voy.  Amnisir. 

Vptal  (ville  de  la  Suède).  Environs, 
t.  XLV,  p.  534.  —  Restes,  de  Linnée. 
Cathédrale.  Population.  Château,  535. 
—  Jardin  botanique,  XLVI,  152. 

Uruguay  (  afflueut  du  Rio  de  la 
Plata),  t.  IV,  p.  14;  XXXVIII,  66, 
68. 

UnviLLK.  (Dumontd*).  Résultat  de 
son  voyageautonrdumonde,t.XVIII, 
p.  188.  —  Résultats  des  principaux 
navigateurs,  190  et  suiv.  —Relation 
de  son  voyage .  206.  —  Monille  à  la 
Nouvelle  -  Hollande,  215.  —  Ddtane 
l'histoire  de  l'établissement  des  An- 
glais ,  219.  —  Décrit  la  Nouvelle- 
Zélande  et  ses  habitans ,  237  à  283. 
L'ile  Touga-'l'abou  et  ses    habitant, 


283  à  298.  —  Délermine  la  position 
do  plusieurs  Iles  dans  l'archipel  Fidgi, 
298.  —  Nomme  les  Iles  Chabrol , 
Halgan  et  Tupinier,  304.  —  L'tlu 
Adèle,  506.  —  Reconnaît  les  Iles  Lan- 
ghlan,  307  —La  côte  nord  de  la  Nou- 
velle-Guinée, où  il  nomme  plusieurn 
lieux  ,  309.  —  Découvre  le  lieu  du 
naufrage  de  La  Pérouse,  338. 

Urville  (lied',  Carolines).  Décou- 
verte par  Duperrey.  Étendue.  Belle 
végétation,  t.  XVIII,  p,  179.  —  Est 
formée  de  trois  iles,  XX,  201 .  Voy. 
ffettervelt. 

Usbeks  (peuple  de  la  Boukharie). 
—Manière  de  boire  le  thé,  t  XXXVII, 
p.  145.  —  Costume.  Air  martial,  146- 
—  Cour  d'un  chef ,  147.  —  Carac- 
tère, 149, 173,  198.  —  Amazones  La- 
kays,  168.  —  Figure,  173.  —  Costu- 
mes, 181, 182.  — Usages  divers,  232, 
301. 

Ushruff.  Voy  Asehrejy. 

Uspallata  (ville  de  la  Plata).  Stéri- 
lité des  environs.  Mines.  La  Cordi- 
lière ,  t.  XLI,  350  et  suiv, 

i7/««a  (  ville  du  New -York,  Etats- 
Unis).  Chutes  de  Trenton,  t.  XXXIX, 
p.  51.  —  Beaux  environs,  XLI,  268. 

Utique,  Son  emplacement  dans 
l'Etat  de  Tunis ,  t.  XXII,  p.  190.  — 
Quelques  ruines,  XXIII,  26. 


yalachie  (province  de  la  Turquie 
d'Asie).  Voyage  dans  l'intérieur,  tom. 
XLIV.  p.  71  à 91.  —Le  Danube,  71, 
72.  —  Villages  et  cabanes,  72,  74.  — 
Sel  fossile.  Giurgevo,  72.  —  Singu- 
lière voiture  de  poste ,  73.  —  Aspect 
de  la  campagne,  74,  82, 83 ,  200.  — 
Paysans,  74,  75 ,  84 ,  8M,  89 ,  202.  — 
Villages  de  Bolentine,  80.  —  Monts 
Carpathes,  81.  —  Pitesch,  81. —  An- 
cienne capitale,  81,  82.  —  Salatrouk. 
Prepora,  85.  —  Paysans  qui  parlent 
latin.  Goitres.  Crétins,  84.  —  Croix 
sur  les  chemins,  86.  —  C^s'umes,  86, 
90.  —  Rivières,  87.  —  Étendue  du 
pays,  88.  —  Animanx  ,  population, 
caractère  général ,  89.  —  Religion, 
langue.  État  de  rinâtrnotioii ,  90.  — 
Costume  de  paysans,  172. — Bergères, 
178.  —Porte  de  fer  du  Danulie,  200. 


—  Ruines  du  pont  de   Trajan ,  203- 

—  Rives  dn  Danube,  205.  —  Détails 
historiques  anciens  ,  233.  —  "figures. 
Formes  de»  Valaques,  233.  -■  Carac- 
tère ,  234.  —  Habitations  ,  235.  — 
Meubles,  236.  — Fainéantise.  Prin- 
cipales occupations  ,  236  ,  237.  — 
Nourriture,  costume  des  deux  sexes, 
238,  239.  —  Ornemens  des  femmes , 
240.  —  Vétemens  d'hiver,  241.  Voy. 
Buhharest. 

Falenoa  (ville  du  Brésil).  Indien.^ 
civUisés,  t.  XLII,  p.  240.  —  Savon  dn 
pays,  241 .  —  Marchés  à  esclaves ,  242. 

—  Dames  indigènes,  243. 

Faïence  (ville  d'Espagne  ),  t.^XLVI, 

p.  176. 

f^alence  (prov.  d'F.spagne).  Voyage 
dans  l'intérieur,  t.  XLVI,  p.  176, 1H4. 

—  Mnrviedro.    Alicante,  177.  —  '  i<- 


11 


DES  MATIÈRES. 


479 


t.^LLVI, 


t 


ractère,  figure,  cotiume  dei  Valcn- 
ciens,  184. 

f^alencia  (  lac  dn  Venezuela,  Amp- 
rique  mérid.).  Son  étendue.  Beauté  de 
ses  bords.  Ses  Iles,  t.  XXXVIII,  png. 
366.  —  Singes,  370. 

Falencia-Nueva  (villedu  Venezuela). 
Sa  description.  Population,  Fonda- 
tion, t.  XXXVm  ,  p.  367.  —  Abon- 
dance des  fourmis,  368. 

Falparaiso  (ville  du  Cbili).  Sa  si- 
tuation. Village  voisin,  t.  XIV,  p  475. 

—  Uorre.ir  des  côtes  voisines  ,  XVI , 
27.  —  Situation  de  la  ville.  Quelques 
usages  de  ses  liabitans,  34.  —  Détails 
sur  la  guerre  de  l'émancipation ,  390 
et  suiv.  -  '  Bel  aspect  de  la  c6te.  La 
baie.  La  ville,  XLI  ,  375.  —  Lutte  de 
Taureaux,  376i  378.  —  Instrumensde 
musique.  Chants,  377,  378. — Orages, 
379.  —  Maisons,  380,  382.  —  Carac- 
tère, industrie  des  habitans,  380,382. 

—  Cliaumières,  381.  —  Éducation  , 
283.  — Montagnes  des  environs,  406. 

Vancouver  .  Résumé  de  son  voyage, 
t.  XIV,  p.  1.  —  Longe  et  décrit  la 
cAte  sud-ouest  de  la  Nouvelle-Hol- 
lande, et  donne  des  noms  à  plusieurs 
lieux,  14,  32  et  suiv.— Nomme  le  port 
de  Georges  III  (Albauy),  et  en  prend 
possession,  21 .  — Nomme  le  cap  Hood, 
29.  —  Découvre  les  Suares,  57.  — 
L'île  Oparo,  61 .  —  Son  séjour  à  Taïti, 
()7  etsniv.  —  Fait  connaître  les  rlian- 
gemens  survenus  à  Taïti  depuis  l'ar- 
rivée des  Européens ,  108  et  suiv.  — 
Même  remarque  anx  S.'tndwich,  137. 

—  Reconnaît  e<t  décrit  la  càte  de  la 
Nouvelle-Albion,  et  uommc  plusieurs 
lieux,  14t.  — La  pointe,  la  baie  Saint- 
George,  151,  —  Reconnaît  en  détail 
le  bras  de  mer  qui  sépare  l'île  de 
Quadra  et  Vancouver  du  continent 
américain,  et  nomme  un  grand  nom- 
bre de  lieux,  168  à  321.  —  Explore 
et  fuit  connaître  son  opinion  sur  le 
prétendu  détroit  de  Fuca,  169etsniir., 
177  et  suiv.  ,  183.  --  Nomme  et  dé- 
crit le  havre  de  lu  Découverte,  189, 
211.  —Le  port  TowDshen,  198.  — 
La  pointe  du  Mauvais-Temps,  200. — 
ReconuHÎt  la  côte  de  la  Nouvelle- 
Géocgie ,  en  prend  possession  et  lui 
donue  le  nom  qu'elle  porte  ,  226  à 
248.  —  Poursuit  la  reconnaissance  de 
la  côte  d'Amérique,  et  donne  des  noms 


à  plusieurs  lieux ,  249  et  suiv.  — 
Nomme  après  l'avoir  exploré  îe  détroit 
de  la  Reine-Charlotte,  321. —  Décrit 
les  missions  do  la  Californie  ,  340  et 
suiv,  —  Reprend  la  reconnaissance 
des  côtes  d'Amérique,  et  nomme  plu- 
sieurs lieux,  409  et  suiv.  —  Grande 
excursion  en  canots,  436  et  suiv.  — 
Nommela  Nouvelle-Hanovre,  451.  — 
La  NonveIle<CornoMailles,  452,  — 
Reconnaît  que  la  rivière  deCook  n'est 
qu'iiue  baie,  458.  Voy.  Broughion, 

f'an/A'oro  (groupe,  îles  La  Pérouse). 
Iles  du  groupe,  t.  XVIII,  341.  —  Dé- 
couvert par  Edwards.  Naturels.  Mai- 
sons, 342.  —  Religion.  Langue,  344, 
Voy.  îles  de  Pitt,  de  la  Recherche, 

f^anrkoro  (île,  dite  ^anïco/o,  groupe 
Vanikoro).  Lieu  du  naufrage  de  La 
Pérouse,  t.  XVIII,  p.  338.  —  Carac- 
tère des  indigènes,  377.  —  Aspect, 
392.  —  Figure.  Ornemcns,  378.  — 
E»t  l'île  de  la  Recherche  de  d'Entrecas- 
tcaux,  385.  —  Son  aspect,  392. 

f-'arinas  (  ville  du  Venezuela  )  , 
t.  XLU,p.  432. 

f orna  (province  delà  Turquie  d'Eii- 
rope ,  Bulgarie),  t.  XLIV,  p.  62 

Varsovie  (  capitale  de  la  Pologne  ), 
Sa  description,  t.  XLVI,  p.  138. 

Vassilkov  (ville  du  gouvernement  de 
Kief,  Rus.sie  d'Eur.),  t.  XLIV,  p.  382. 
yavao  (île,  archipel  des  Amis).  D*"- 
convertepar  Maurelle,  t.  XIII,  p.  137. 
— Renseignemens  recueillis  par  Cook, 
X,45. 

Vayag  (îles  de  la  Malaisie),  t.  XVIII, 
p.  75. 

Veaux  marins.  Donnent  nne  huile 
excellente,  leur  peau  forme  une  très 
belle  fourrur»',  t.  III,  p.  104.  —  Leur 
description,  IX ,  98.  —  Manière  dout 
ils  dévorent  leur  proie,  XVI  ,114.-— 
Trace  sur  les  petits  des  blessures  de 
!a  mère,  XX,  43.  —  Disparité  de 
taille  entre  le  mâle  et  la  femelle. 
Leurs  amours,  44.  —  Finesse  de  l'o- 
dorat et  de  l'ouïe.  Deux  espèces  de 
veaux.  Précautions  dans  leurs  cam- 
pemens ,  46.  —  Mœurs.  Portées  de  la 
mère,  XXI,  215,  264.  —  Accouple- 
raens.  Grognement ,  ,\XXI,  387. 
Fegen  (île  de  la  Norwége),  t.  XLV, 

Vendola  (une   des   îles  de   l'/imi- 
rauté  ).     Ktendue.    Aspect.    Climat, 


fi 


480 


TABLE  GÉiNÉRALE 


t.  XV,  p.  53,  56.  —  Naturels  se  cou- 
vrent les  parties  naturelle."  avec  une 
coquille,  56. 

P'enézH^ln  (  république  de  l'Améri- 
que incriiîinnale).  Découverte  par 
Ojeda  ,  toni.  XXXVIII,  p.  243.  -  La 
Guayrn,  363.  —  Belles  fleurs.  Lac  , 
366.  —  Belles  vallées  d'Aragun,  366, 

369.  —  Liiit  végétal,  369. —  Singes, 

370.  —  Llanus  de  l'Oréuoque,  371 

—  Caluboso,  Pois.sons  électriques , 
376.  —  Crocodiles.  Boas  ,  377  — 
Barcclona,  385.  —  Progrès  de  la  po- 
pulation ,  387.  —  Productions  ,  397 
et  suiv. — Con.soiuinatiou  de  la  viande, 
401-  —  Beauté  du  littoral ,  402.  — 
Commerce,  403.  —  Saisons  ,  XLII, 
399.  —  Divers  Labitans ,  leur  nom- 
bre, 403-  —  Indiens,  leur  culte  d'un 
génie  malfaisant  et  leurs  médecins, 
414.  —  Varinas,  432.  — Llanos  de 
Cumana.  Saisou  des  chaleurs,  433.-  — 
Torpilles,  anguilles  électriques,  435. 
r—  Saison  des  pluies  ,  438.  Voy,  Ca- 
racat,  capitale;  Cumana^  Porto  Cabello, 
f^aleni'ta. 

Fenise  (ville  du  royaume  lombardo- 
vénilien),  t.  XLIV,  p.  336  et  suiv.  , 
XLVI.  267,  268. 

Vera-t  vuz  (ville  du  Mexique).  Fon- 
dée p.ir  Cortez,  t.  XXXVÎII,  p.  392. 
Pic  de  l'Orizaba,  XLI ,  5.  —  Aspect, 
6,  12.  ^  Promenade  publique,  8.  — 
Détails  hi.storiques ,  9.  —  La  posada  , 
10  —  Marché.  Cathédrale.  Maisons, 

11.  —  In>alubrité  du  climat,  13,  109. 

—  Population,  14.  —  Vautours  pri- 
vés, 15.  —  Environs  sablonneux,  16. 

FerfoHen  (lac  delà  Suède),  t.  XLV, 

p.  37. 

Vert  (cap,  Afrique).  Découvert  par 
les  Portugais,  t.  1,  p.  12,  23.  —  Ori- 
gine de  .son  nom,  XXII,  11. 

Vert  (îles  du  cap,  Afrique).  Décou- 
vertes par  les  Portugais,  t  1,  ]).  25, 
XXII,  12.  —  Sol  et  productions  des 
îles  ,  t.  Vil,  180.  — (Connues  des  an- 
ciens, XX,  104.  -Sol.  Climat,  114. 

—  Population,  118,  note.  —  Ont  été 
découvertes  par  Ça-da-Mosto,  XXII , 

12.  Voy.  iles  Saint-zinloine,  Bonavista, 
Brava,  San-Iitgo,  Sainte-Lucie,  Saiitl- 
Nicolas,  Sel,  Saint-Fiiicent. 

Vertes  (îles,  Afuérirpie  septentrio- 
nale ,  ouest).  Découvertes  par  Cook  , 
t.  X,  p.  451. 


Vksmio*  (  Améric  ). 
l'île  Fernando-Noronlia 


Découvre 
■Noronlia,  t.  IX,  p.  155. 

Vtst-Fiord  (  golfe  du  INordland, 
Norwége) ,  t.  XLV,  p.  16/?,  166. 

ViAiiLA.  Son  voyage  dans  le  pays 
des  Monténégrins  ,  t  XLVI,  p.  240, 

Vianiski  (ville  du  gouv.  de  Moscou, 
Bussie  d'Europe) ,  t.  XLIV ,  p.  470. 

Victoria  (ville  d'Espagne),  t.  XLVI. 
p.  172.  ' 

Vidin  (ville  de  la  Bulgarie,  Turquie 
d'Asie).  Del  aspect.  Soldats.  Danses, 
XLIV  ,  p.  207.  —  Figure,  costume , 
salle  d'audience  d'Hussein-Pacha,  211 
à  214.  —  Harem  du  pacha,  215. 

Vienn»  (capitale  de  l'empire  d'Au- 
triche). Aspect  de  la  ville.  Le  Prater , 
t.  XLIV,  p.  132. 

Vierges  (cap  des,  détroit  de  Ma- 
gellan). Sa  position  exacte,  tom,  IV, 
p.  130.  —  Sa  description,  132.  — Sa 
distance  du  cap  Pilares  à  l'autre  ex- 
trémité du  détroit,  105. 

Figten  (  îles  de  la  Norwége) ,  tom, 
XLV,  p.  1 17.  —Sont  fréquentées  par 
des  rennes  en  été,  118. 

Villa-Nuera  de  los  Andes  (  ville  du 
Chili).  Rues.  Place.  Soldats,  t.  XLI, 
p.  368. 

,  Villa-Rica  (ville  du  Paraguay,  Amé- 
rique méridionale).  Aspect  délabré, 
t.  XLII,  p.  291.  —  Description  ,  292. 
—  Ancieuue  splendeur ,  293.  —  Dé- 
moralisation, décadence,  état  actuel 
un  peu  meilleur,  294.  — Cavernes  du 
voisinage,  295. 

Vitlaumez  (île,  archipel  de  la  Nou- 
velle-Bretagne). Découverte  par  d'En- 
trecastcaux,  t.  XV,  p.  275. 

Villa- Vicentia  (ville  de  la  Plala). 
Poste.  Environs.  La  Cordilière,  tom. 
XLI,  p.  344  et  suiv.- 

Ville-Neuve  (ville  du  Fezzau).  Phy- 
sionomie des  femmes ,  t.  XXVII  , 
p.  41.  —  Maisons,  42.  —  Habitation 
souterraine ,  43. 

VHley(ï\e  de  la  terre  de  Sandwich). 
Découverte  par  Fanniug ,  t.  XXI , 
p.  455. 

Vincent  (une  des  îles  du  cap  Vert), 
t.  XX,  p.  107. 

Fintain  (ville  foulah  sur  la  Gambie, 
Sénégambie).  Sun  commerce,  t.  j^XV, 
p.  24, 

Viti.  Voy.  Fidgi. 

Virginie  (un de8,Etats-Unis).Voyagc 


# 


DES  MATIERES. 


481 


dans  l'intérienr.  Fréderick»burg  , 
t.  XXXIX,  p.  271.— Mauvois  état  des 
routes,  273.  — ■  Citadelle  immcose 
d'Old-Point-Comfort,  279.  —Beauté 
de  la  campagne,  431.  —  Beauté  et 
Tariété  des  fruits  et  des  fleurs,  432. 
—  Insectes.  Oiseaux-mouches.  Vers 
luisans,  434.  Voy  Richmond ,  capitale. 

F'oleaH  (  ile  du ,  archipel  de  la 
Nourelle-Bretagne).  Découverte  par 
Le  Maire,  1. 1,  p.  321.  —  Habitans. 
Laideur  des  femmes,  322.  —  Erup- 
tion du  volcan,  XV,  272. 

yolean  (ile  du ,  archipel  de  la  Reine- 
Charlotte).  DécouTcrte  par  Carteret, 
t.  Kl,  p.  134. 

Volga  (fleuve  de  la  Russie  d'Eu- 
rope), t.  XLIV,  p.  464;  XLVI ,  145. 

yoi.RBT.  Son  voyage  en  Egypte  , 
t.  XXII,  p.  215. 


.  FoT9iudjt  (  gouvernement  de  la 
Russie  d'Europe).  Voyage  dans  l'in- 
térieur, t.  XHV,  p.  456.  —  Villages , 
456 ,  459.  —  Grande  fonderie  de 
canons,  456.  --  Belle  et  fertile  cam- 
pagne, 456,  458. —  L'Aidara.  Danses. 
Starobelsk,  457.  —  Colonie  alle- 
mande ,  458.  —  Domaine  de  Mi- 
lenetz ,  459.  —  Zadonsk,  460. 

Voronedje  (chef-lieu  du  gouverne- 
ment). Magnifique  aspect.  Popula- 
tion ,  t.  XLIV,  p.  458.  ~-  Rue  princi- 
pale. Cathédrale ,  459. 

Fctgei  (montagnes  de  la  France) , 
t.  XLV,  p.  337;  XLVI,  25.  —  Hau- 
teur des  principaux  points,  43. 

Voitizza  (ville  de  la  Grèce).  Fa- 
meux raisins,  t.  XLIV,  p.  316.  — 
Platane  immense,  317. —  Environs, 
318. 


w 


>.      f'-:^ 


W.  Chercber  i  Ou  ou  k  00,  les 
mots  qu'on  ne  trouverait  pas  à  ff^ 

fFadi-Maitonk  (lieu  du  Darfour  , 
Soudan).  Fourmis  blanches,  t.  XXV, 
p.  395. 

fVadi'lUuna  (  ville  du  Hedjaz  , 
Arabie),  t.  XXXII,  p.  50,  54.  — 
Abraham  y  rencontre  le  démon,  219. 

—  Halte   de  la  procession  générale 
des  pèlerins  de  la  Mecque ,  219  à  222. 

—  Vallée.  Mosquée.  Traditions,  223. 

—  Séjour   des  pachas   Soleïman  et 
Mohammed- Ali,  226  et  suiv. 

fVahabittt  (tribu  de  l'Arabie).  Ne 
vénèrent  point  Mahomet,  t.  XXXII , 
p.  291. 

Wtùgait  (lie,  mer  de  Baffib),  t.  XL, 
1^2. 

fVaigîov.  (une  des  îles  des  Papous). 
A  peu  d'habitans,  t.  XV,  p.  289.  — 
Leur  laideur.  Maisons.  Costumes.  Re- 
ligion, XVIII,  77. 

fFaïhou.  Voy.  Pâques. 

fFaldubba  (  village  du  Wogora , 
Abyssinie  )  Moines.  Retraite  des 
grands  disgraciés.  Maladies,  t.  XXIII , 
p.  271. 

fFallaee  (  une  des  îles  du  Mas- 
sacre). Achetée  par  Morrell  des  insu- 
laires qui  l'attaquent  ensuite  ,  t.  XX  , 
p.  341,361. 

Wallis.  Décrit  les  deux  c6tes  du 

XLVI. 


détroit  de  Magellan ,  t.  III ,  p.  247,  et 

«Eticulièrement  les  endroits  où  il  ,t 
uillé ,  277.  —  Découvre  l'ile  de  la 
Pentecôte,  292.  —  L'Ile  de  la  Reine- 
Charlotte  ,  297.  — Les  lies  d'Egmont, 
de  Glocester ,  de  Cumberland  ,  du 
Prince  -  Guillaume  -  Henri,  d'Osna- 
bruck ,  302  et  suiv.  —  Découvre  et 
décrit  l'ile  de  Taiti ,  507.  —  Reçoit  la 
Reine  à  son  bord,  340,  347  à  349  , 
359, 361.  —  Est  traité  à  son  tour  par 
la  Reine.  Description  de  sa  réception 
et  de  la  maison ,  342  et  suiv.  —  En- 
voie son  contre-maître  en  expédition 
dans  l'ile,  relation  de  cette  expédi- 
tion, 351. — Découvre  l'Ile  deCharles- 
Saundeis,  du  Lord-How,  de  Scilly,  de 
Boscawen;  etc.,  379.  —  Découvre 
l'île  de  Wallis ,  384, 387.  —  Les  ile>> 
Sunday ,  Small-Key ,  Long-Island  , 
New-Island ,  396.  —  Donne  la  table 
des  latitudes  et  longitudes  des  lieux 
qu'il  a  visites  dans  son  voyage,  418. 

fFalUi  (ile  au  nord  de  l'archipel 
des  Amis).  Découverte  par  Wallis , 
t.  III,  p.  384. 

fFallis  (îles  delà  côte  de  la  Nouvelle- 
Galles  du  sud).  Découvertes  par  Cook., 
t.  VI   p.  370. 

Walsb.  Son  voyage  au  Brésil , 
t.  XTjII  ,  p.  81.  —  Reçoit  audience  de 
don  Pedro  ,  369  et  suiv.  ^ 

31 


^V 


4- 


4^2 


TABLE  GÉNÉRALE 


Vfitun.  Son  Toyage  de  Coastanti- 
Boplera  Angleterre,  t.  XLIY,  p.  1. 

^«MiM  (  fie  du  groupe  de«  GalU- 
paKo.),I.XVI    p.88. 

ITMgtH  (vitle  de  BaTÏira)  ,  t.  XLV, 
p.  889. 

if^aihiitgto»  (chef-lieu  de  la  Co- 
lombie «t  capitale  dea  ittats-Uois).  La 
cour  suprême ,  t.  XXXIX ,  p.  233  , 
240.  —  Singulier  aipect  de  la  ville , 
241, 428.— CapitoIe,242,  246.^  Si- 
tnatioB  de  la  Tille,  242, 431 . — Visites 
an  président  ,  243.  —  Ridicules 
eiigences  républicaines ,  245.  — 
Cbumbre  des  représe  ...ns  ,  247.  — 
Police  du  congrès,  248.  —  Eloquence 
verbeuse  et  nitile  des  orateurs  :  ré- 
flexions ,  250  à  254.  —  Lnnçs  débats 
à  propos  d'un  tablenn ,  255  a  262.  -^ 
Vente  d'esclaves  à  l'enchère,  263  à 
270-  —  Canards  des  environs  ,  270. 

—  Églises,  429.  —  Obsèques  d'un 
naembre  du  congrès ,  430. 

ffathington  (îles,  Polynésie).  Dé- 
couvertes   par    Panning ,   t.    XXL  , 

p.  450.  m 

ff^aiitbou  (ville  du  Bambara).  Cm« 
ture,t.  XXV,  p.  214. 

If^alttoo  (Ile  de  l'archipel  Mangia). 
Découverte  par  Cook ,  t.  IX ,  p.  29/, 
914.  —  Habitans,  vétemens,  orne- 
mens ,  301 ,  806.  ■—  Reçoivent  les 
étrangers  en  chantant  et  dansant , 
300,  !H)4 ,  —  Tatouages  ,  307.  — 
Armes,  809.  —  Pirogues ,  810.  — 
Arbrfi,  310.  —  Productions.  Sol, 
811.  —  Croyances  religieuses  des  ha- 
bitans, 315. 

WATKiira  (Patrick).  Ses  aventures 
ntraordinaires,!.  Xvl,  p.  51  etsuiv. 

'WATtiKTOir.  Son  premier  voyage 
i  Fonést  delà  Guiane,  t.  XLI,  p.  173. 

—  S'enqulert  du  lac  Parima  (Eldo- 
rado), 200. 202,  204.  —2«  Voyage 
au  Brésil  fet  aux  Gnisnes,  217.  — 
8*  Voyage ,  255.  «^  Chasse  le  s«r- 

rat ,  251  i  258.  —  Le  caïman ,  2&9 
265.  —  4*  Voyage  aux  États-Unis 
et  aux  Antilles,  266. 

fFama ,  fFamo»  ou  Oaaoua  (ville  et 
province  du  Bonrgon  ,  Soudan)  , 
t.  XXX,  p.  232.  —  Réception  des 
étrangers ,  234.  —  Course  de  che- 
vaux, 287.  —  Politiqtie  du  roi ,  239. 

—  Productions,  240.  --'  Détails  sur 
l'anciani^e  religion.   Cérémonies.  Su- 


perstilion»,  241  .Funéniillrs.  llariagefi, 
344. — Est  distinct  da  Bonrgon,  247. — 
Maladies ,  287.  —  Médecine ,  288.— 
Voyage  de  Clapperton ,  XXVIII,  163 
et  univ.  —  Deuil  des  femmes ,  196. 
—  Fameux  poison ,  167.  —  Popula- 
tion. Rues.  Maisons.  Mariages.  Maurs, 
168.  —  Emploi  des  esclaves.  I^iourri- 
ture,  171.  —-Troupeaux  des  esclaves. 
Armes.  Langue.  Religion  ,  172. 
Voy.  L*¥êr. 

ffatm  (  joli  ville  dn  Zeg-Zeg  ,  Sou- 
dan), t.  XXVIII ,  p.  278. 

WiDDii.ii.  Son  voyage  vers  le  pèle 
snd,  t.  XXI ,  p.  200.— -Nomme  quel- 
ques points,  213  et  Muiv.  294.  — 
Nomme  l'île  Smith's,  271. 

Wtntr  (lac  de  h  Gotliie  ,  Suède), 
Chute  dn  Trolhatta.  Ses  bords.  Ses 
dimensions  ,  t.  XLV,  p.  9.  ■—  Rivières 
qui  s'y  jettent,  10.  —  Aspect,  31. 

IVtnooatti*  on  Otalcootaia  (Ile  de 
l'archipel  Mangia  ).  Découverte  par 
Cook.  Productions,  animaux,  t.  IX  , 
p.  316  et  suiv. 

WERT(Sebald  de).  Son  voyage  au- 
tour du  monde ,  1. 1  ,  p.  220. 

fFtslt}9iUe  (mission  dans  la  Cafre- 
rie),  t.  XXIX,  p.  282.  —Ecoles, 
284  —  Service  divin.  Poésie  cafre , 
285.  —  Aspect  ii  l'établissement, 
295. 

ff^«tUra»  (  chef  liemide  la  Westma- 
nie ,  Stiède  ).  Magnifique  cathédrale  , 
t.  XLV,  p.  15 

ffesientlt  (  groupe,  lies Carolines). 
Vu  par  Morrell,  mais  découvert  par 
Dnperrey  qni  le  nommai  île  d'Ur- 
ville,t.  XX,  p.  201. 

fFett-Point  t  ville  du  New-Tork, 
Etats-Unis  ).  Son  école  militaire , 
t.  XXXlX,p.  33,34. 

fF'icaiumish  (  havre ,  Amérique  sep- 
tentrionale O.).  Richesse  dn  sol  de  ses 
lies.  Pudeur  des  femmes.  Occupation , 
des  hommes,  t.  XIlI^p.  350. 

fFielittka  (  ville  de  la  Pologne). 
Ses  mines,  t.  XLVI,  p.  138^ 

WiLsoN.  Son  iiaufrage  aux  Iles 
Pelcw ,  t.  xni ,  p.  377.  —  Reçoit  dn 
roi  l'ordre  de  l'Os  ,  380.  —  Recon- 
struit s  >n  vaisseau  et  revient  en  Europe 
avecL)e-Boo,  fils  du  roi,  386.  — 
Intéressans  détails  sur  Lee-Boo ,  586 
à  41(J'  ■—  Bonté  des  insulaires  pour 
rér;nipage,   391  et  suiv.   —  WiUou 


h'.ï; 


* 


îf^ 


DES  MATIÈRES. 


4M 


traniparte  l«s  nremiart  mUtionnairn 
dans  la  mer  dn  Sud,  485.  —  Dé* 
couvra  les  Iles  du  Croissaot ,  Gam- 
bier,  Soarl ,  440. 

ff^illigAt  (  ville  dn  Boarnou ,  San» 
dao).  FortifioatioBS,  (om.  XXV H, 
I>  246.  »  BenuB  arbres,  247. 

ATomJU//**  (ila,  Polynésie).  Dé- 
couTtrte  par  Carteret,  t.  III ,  p.  140. 

WiMiior  (Tille  de  U  NouTelle- 
UaUes  do  sud  ),  t.  XLIK ,  p.  37. 

ff^iiitmitrg  (  royaume  de ,  Allema- 
gne, t.  XLV,  p.  539. 

^<d</i'M/i*(gouTeraement  de  la  Rus» 

sie    d'Knrope).  Voyiige  dans  llaté- 

rieur,  t.  XLIV,  p.  461  à  464.  —  Mu- 

rong,  463.  —  Grebatof,  46V.  —  Go- 

ochoreta,  ^70. 

lyiadimr  (  ohef«lieu  dn  gouverne- 
ment). Situation.  Rem{>arts.  Rues, 
t.  XLIV,  461.  —  Palais  archiépisco- 
]>al.  Cathédrale.  Population.  Jardina , 
462. 

ff^oahpu  (Ile  de  l'archipel Sandwidi). 
Découverte  par  Cook ,  t.  X  ,  p.  295. 

—  Bel  aspect  d'une  c6te,  t.  XI,  p.  246. 

—  Stérilité  d'une  autre  côte.  XIV, 
122.  —  Bonne  culture  {  sol ,  produc- 
tions, 125.  —  Naturels  peu  prevanans, 
128.—  Port  de  Haoaruro,  XVII,  426, 
XIX,  873, 378.— Progrès  de  la  civili- 
aatioa,  XVIT,  428.— Progris  du  luxe, 
433.  —  Eôsidence  royale,  435.  -> 
ConverrioB  de  la  reine  à  la  religion 
chrétienne ,  438.  —  Comment  elle  va 
à  l'église,  440.  -'  Détails  curieux  sur 
la  reine,  445  et  buiv.  —  Domination 
anglaise,  456.  —  Décret  pour  for- 
cer à  apprendre  à  lire  ,  457.  -^  £ta- 
bliSHement  du  christianisme ,  XVIII, 
97.—  Progrès  du  luxe,  Jeux.  Danses, 
98.  —  Funérailles,  nourriture,  100. 
Forme ,  382.  —  Progrès  du  luxe, 
XIX,  352.  —  Ecoles,  35a  — Leur 
assujettissement,  359.-  Les  naturels 
.«'émancipent ,  360.  —  Vétemens  du 
peuple,  374.  —  Marine.  Commerce, 
375,  376. 


fFoggora  (  province  d'Abysiini*  ). 
Voyage  dans  le  paya.  Uauza,  ton. 
XXIII ,  p.  257  et  suir.  .  agari, 
258.  —  Waldubba  Moine»,  .etraita 
des  gran4a  disgradéa.  Maladies ,  371. 
—  Signification  de  son  nom,  286.  •— 
Ville  de  Saint-Georgt.  Chapelle  dé- 
diée k  la  sainte  Vierge,  289.  •>  Ani- 
maux nuisibles ,  292- 

^«(/It  (Iles,  archipel  Dangereux ). 
Nommées  par  Beediey ,  tom.  XIX , 
p.  150. 

WoMTOirKCHArr  (nias).  Ses  voya- 
ges, t.  XLVf ,  p.  155. 

fVonjtrqiu  on  thfuat  hilligtt  (  villa 
du  Bonrgou,  Soudan  ).  Passage  à  gué 
dn  Niger,  fêtes  à  cette  occasion ,  ton. 
XXVlII,p.l85,XXX,  283. 

IVooii*  (ville  duXanem.— Bnnr< 
uuu,  Soudan).   Marché,  t.  XXVII, 

SI.  105.  —  Situation.  Naturels,  106, 
122. 

fFoulU  (  royaume  de  la  Sénégam- 
bie).  Voyage  dans  l'intérieur,  t.  XXV, 
p.  52  et  suiv. ,  330  et  suiv.  —  Villes. 
Productions  ,  52.  —  Gouvernement. 
Etat  des  personnes,  53.  —  Kolor. 
Singulière  répression  des  troublée 
domestiques ,  58.  —  Animaux ,   83. 

—  Voyage  dans  l'intérieur .  XXVIII , 
313.  —  Barra-Cunda,  814.  V.  jtf/. 
diiM,  capitale. 

froHrali.  Poison  végétal.  Prumpti* 
tnde  de  ses  effrayans  effets ,  t.  XLI , 
p.  173,  189,  212.  —  Indiens  qui  s'en 
servent.  Sa  composition  ,  205  è  208. 

—  Sou  usage,  208 ,  212.  —  Anti- 
dotes, 214. 

iFow  (  ville  de  la  côte  des  Esclaves, 
Guinée  ).  Maison  du  chef.  Crânes  hu- 
mains servant  d'ornemens  ,  t.  XXX , 
&35.  —  Marché.  Denrées.  Règle» 
eut  dn  fétiche ,  36- 
fFmrh  (  ville  du  Rajpuutana  ).  En- 
virons. Fortifications,  t.  XXXVI, 
E.  501  •  —  Lépreux.  Porte.  Misérable 
azar.  Beaux  jardins.  Musulinans , 
302. 


.H 


Xj/uji<i.  Voy.  Jalapn. 


Xaitteo  (  |>rovinee   du    Mexique  ^' , 
t,  XIX,  p.  476. 


481 


TABLE  GÉNÉRALR 


^««•(«(payt  dn  HaontM,  Soadao). 
Cannibaliune.  t.  XXVII,  p.  BM. 

Yak.  Boaf  k  qneue  ttfnffue.  Sa 
deMription.  Soa  utilité,  t.  XXXI, 
p.  426,  428  et  suir. 

FcMio  ou  y»mbo  (port  du  Hedjai. 
Arabie  ).  Histoire.  Ktat  actuel ,  tom. 
XXIII ,  p.  136.  —  Maisons  de  cam- 
pagne des  kabitana  à  Rnddna  ,  186. 

—  Ravagé  par  la  peste,  XXXII , 
p.  348,  oâS-  —  Prescription  de  la 
religion  i  son  sujet.  Raison  de  l'ab- 
sence de  quarantaine,  354.  —  Sacri- 
fice d'une  cbamelle  à  raison  de  la 
peste.  Situation  de  la  ville  ,  857.  — 
Maisons.  Habitans ,  occupations. 
Mœurs,  358.—  Commerce.  Environs. 
Puits ,  360.  —  Climat ,  362. 

YmmiHn  (ville  du  Bambara).  Bel 
aspect,  t.  XXV,  p  259. 

YûnaoH  (  ville  du  Bengale ,  Hin- 
doustan  ).  Etablissement  »ançais.  Si- 
tuation. Jolies  maisons.  Commerce. 
Bayadères,  t.  XVIII .  p.  436. 

Yaiti  (royaume  de  la  Sénégambie). 
Voyage  dans  le  pays.  Pisania.  t.  XX  r, 
p.  26  etsuiv.  —Sol  fertile, 28. — 
Productions ,  29.  —  Préparation  de  la 
farine,  29.—  Animaux  domestiques 
et  sauvMges ,  30.  — -  Inrisprudence. 
Avocats ,  37. 

Yam-Marou  (yïlle  du  Fouta-Djai- 
lon ,  Sénégambie).  Couleur  des  Labi- 
tans.  Mobilier.  Vétemeas,t.  XXVI II, 
p.  302 

Yahg-tte-ICiaHg  (fleuve  delà  Cliine). 
Beauté  de  ses  rives,  t.  XXXIII,  p.  402. 

—  Arbre  à  suif,  404.  —  Rocker  cu- 
rieux ,  405. — Largeur  commune.  Iles,' 
407. — Étendue  de  son  cours ,  478. — 
Belle  île.  Cotun  nankin,  479. 

laouW  (royaume  du  Bourgou,  Sou- 
dan). Voyage  dans  l'iqtérieur,  t.  XXX, 
p.  181. —  Cbatne  de  montagnes,  181. 

—  Iles,  185. —  Productions,  186.  — 
Bornes.  Gouvernement.' Armée,  212. 

—  Guada,  216. — Manière  de  conser- 
ver le  blé,  218. — Habitans  cambriens, 
219  et  suiv. 

Yaourt  (capitale  du  royaume).  En- 
virons, t.  XXX,  p.  189.  —  Demeure 
(lu  sullau ,  193, 2(0 ,  213.  —  Recker- 


cbe  des  papiers  de  Mungo  -  Park  , 
194, 199.— Désir  de  retenir  les  voya- 
geurs, 204.  -r-  Grande  étendue  de  lu 
ville.  Industrie.  Denrées.  Maisons , 
212.  —  Arbres.  Population,  214. 

YarrilM  (  royaume  de  Guiuée  ). 
Voyage  dans  le  pays.  Puka.  Costume 
du  chef,  t.  XXVIII,  p.  117  à  152.— 
Belle  campagne ,  120,  182. —  Labou. 
Visite  au  chef,  120, 121.— Sculptures, 
123.— Manufactbres,  124. — Émadou , 
126.  —  Assniah ,  127.  —  Chaki,  130. 

—  Fleurs  de  l'arbre  à  beurre ,  132. — 
Atepa,  133.  —  Bornes.  Arbres.  Sol . 
142.  ■—  Animaux.  Productions.  Gou- 
vernement. Figure  des  naturels,  144. 

—  Religion.  Funérailles.  Mariages  , 
148.  —  Homnjages  des  chefs  au  roi , 
150.  — ■  KuRiWe  de  femmes  du  roi , 
279.  —  rtour,  Uure  des  habitans,  280. 
Autre  voybjjn  <\ans  le  pa>s,  XXX, 
48  à  123.  —f  Clhuix  des  délégués  gou- 
verneurs, 49-  — Chew,  59. —  Métiers 
à  tisser ,  60.  < —  Oeuil  des  mères  ,  61 , 
66. — Jadon.  État  des  veuves  de  chefs. 
Lours  privilèges.  Co8tume,4  de  natu- 
rels. Hippopotames,  63, 64.— Produc- 
tions, 6d,  80,  83.  -r  Dufo.  Animaux 
domestiques,  74.  —  Cbaadou,  75.  — 
Singulière  coutume,  76.  —  Féticlies , 
77.  —  Chekki,  79.  —  Couson  ,  Sft- 
Maisons,  91 .—  Célèbre  marché  d'Ée- 
tcbu  ,  96.  —  Progrès  des  Félatahs 
dans  le  pays ,  108  et  suiv.  —  Femme 
à  peau  ronge,  1!4<  —  Acba,  115, 
118.  —  Indice  sur  un  barbare  ujage 
à  la  mort  d'un  chef.  Superstition,  121, 
460.  —  Léoùadda,  134. — Comparai- 
son des  naturels  avec  ceux  du  Bour- 
gou ,  143  et  suiv. —  Bajcbo,305, 
306.  —  Lcechey.  Résidence  du  chef. 
Canots,  509,  310  -r  Fameux  mar- 
ché de  Bocqua ,  387,  391.  —  Palaver 
(conseil  de  guerre  des  naturels  de 
toutes  ces  contrées);  419  et  suiv  — 
Mauière  de  faire  le  commerce ,  427. 
Voy.  /ilquemi,  Bohou,  ancienne  capi- 
tale ;  Egga ,  Jannah  ,  Kakunda  ,  Ka- 
tunga,  capitale;  Kirri. 

Ycletz  (ville  de  la  Russie  d'Eu- 
rope, t.  XLIV,  p.  460. 


DES  MATIÈRES. 


48 


Y*Mt  (f  iU«  du  Boaraon,  Soudaa), 
I.  XXVII,p.lS6. 

Y^tralMHêdmr  (ville  do  Caaoaia , 
Ratùe  d'Enrope  ).  t.  XLIY,  p.  439. 
Coitame  de  princei  rircassMa» ,  440. 
—  Trétor  public  ,  441.  —  Ruea  m«w 
maitoiu,  ÉtabliMement  de*  Coiaques , 
442.  —  FortereMe,  450. 

YémiM  on  Arabit  Utyrtui»,  Voyage 
le  loDg  de  la  c6te  oueft,t.  XXIII,  p.  1 37. 
— Konfoduh,  141.  — iJecian,  145. 
Figure,  costume  de«  femmei.  Par- 
fums ,  148.  —  Voyage  dans  le  pays  , 
XXXI ,  239.  •—  Mouab  :  résidence 
royale ,  240.  —  Climat,  325.  —  Habi- 
taus  jtiifa,  327.  Caractère.  Foires,  S28, 
— Du  la  Tirginité,  381. —  Hospitalité, 
332.  —  Maisons ,  835.  —  Provinces  « 
336.  —  Route  de  la  caravane  pour  la 
Mecque,  XXXII,  194.  —Pays  que 
traversent  les  pèlerins.  —  Costumes 
de  quelques  tribus ,  378  et  suiv.  — 
Voy.  Lohtia,  Moka,  Smm,  capitale. 

lAùkalê  (ville  du  gouvernement  de 
la  Tauride.  Russie  d'Europe  ) ,  tome 
XLIV,  p.  434. 

K#oii  (rivière  du  Bournon,  Soudan), 
t.  XXVII  ,  p.  llO.-r-  Manière  d'y  pé- 
cher ,  315.  —  Forme  des  lacs,  326. — 
Nasses  pour  les  poissons,  346.  —  Ses 


sources,  357. 


Yeou  (viUe  du  Bournou),  t.  XXVII, 
p.  110. 

Y*Md  (ville  et  district  du  Kliorasaan, 


Perse  ),  Sol.  Disiriot  floriaaaat,  torac 
XXXT,  p.  418.-  FortiaoatloBs.  Po- 
pulation. Desoeadans  des  Ghèbres  , 
415.  —  Lieux  remarquables.  Climat , 
415. 

York  (Ile  du  Duo^d',  groupe  des 
Gallapagos).  Nommée  par  Co  irley,t.  I, 

'  Ferjl' (  Ile  du  Duo  d\  Polyaésie^. 
Découverte  par  Byron  ,  t.  III,  p.  82, 
—  Figure  des  babluns  ,%VI,<MO. 

York  (Ile  du  Dno-d' ,  arclupel  de  la 
Nouvelle  -  Bretagne).  Découverte  et 
décrite  par  Carteret,  t.  lit,  p.  150. 

York  (Ile  du  Duivd',  Polynésie). 
Découverte  par  Edwards,  tome  XllI, 
p.  425 

York  (capitale  du  Haut-Canada  ). 
Indiens  des  environ*.  Leurs  usages , 
leur  conversion ,  t.  XXXIX ,  p.  86  et 
suivantes. 

KofMiaaii^  (ville  du  gouvernement  de 
Kberson,  Russie  d'Europe).  Colonie  co- 
saque, t.  XLIV,  p.  387.— Description 
de  la  ville,  388.  —  Campagne ,  389. 

YoiA-Fang  (  ville  de  la  Chine  ).  Pa- 
gode, t.  XXXIII ,  p.  389,  390. 

YouHg-fyutianu  (  groupe  des  Iles 
Caroline»),  itteudue,  t.  XX ,  p.  ^1.— 
Naturels,  233,  234. 

Yppa  (  une  des  Iles  de  la  Reine» 
Charlotte,  Amérique  septentrionale, 
ouest  ).  Ornement  labial  de*  naturels, 
t.  XII,  p.  109. 


z 


Zadoiuk  (ville  du  Voronedie,  Russie 
d'Enrope) ,  t.  XLIV,  p.  460. 

Zarothi  (  ile  du  Niger  ) ,  t.  XXX  , 

E.  319.  —  Aspect.  Négligence  des  ha- 
itans.  Huttes.  Canots ,  332.  —  Com- 
merce. Pèche.  Manufactures.  Autorité 
du  roi  de  l'Ean-Noire ,  334.  —  Carac- 
tère. Population.  Étendue ,  336.  — 
Canots,  339 

Zag-ff^an  (ville  du  royaume  de  Tu- 
nis). Teintures ,  t.  XXII ,  p.  194. 

Zatre  ou  Coi^o (fleuve  d'Afrique). 
Remonté  par  les  Portugais  ,  t.  I , 
p.  27. 

Zalie  (ville  du  Bourgon ,  Soudan) 
Fortifications.  Situation  ,  t.  XXX , 
p.  162. 

Zamfra  (province  du  Haoussa ,  Sou- 


dan). Ville  de  Géosa,  XXVII,  896.— 
Zirmie  ,  396,  399,  426.  —  Ville  de 
Quarra.  Campagne ,  t.  p.  400,  402. 

ZaHg*ia  (ville  du  Haoussa,  Soudan), 
t.  XXVII,  p.  363,364 

ZoHit  (  Ile  Ionienne  ) ,  t.  XLVI  , 
203  et  suiv. 

Zaria  (capitale  du  Zeg-Zeg  ,  Sou- 
dan). Murailles  d'argile  ,  t.  XXVIII , 
p.  207.  —  Population.  Fusils  français 
et  poudre  angluise.  Beaux  environs  , 
208  —  Femmes  du  sultan  ,  266. 

Zegltrem  (ville  du  Fezsan),  Ses  mai- 
sons,  t.  XXVII ,  p.  20. 

Ztg-  Ztg  (  province  du  Haoussa  , 
Soudan)  Voyage  dans  l'intérieur  , 
t.  XXVIII,  p.  205.  —  Gnari,  205, 
268.    —    Productions     végétale*    et 


•f  I 


"1ll 


4H6 


TABLB  GENÊHALK 


ïit 


■ukiMlM.  B«MraM,308.  >-  Bgg*i>i«  . 
205.  —  BMTi,  370.  —  ioU  villa  da 
Wawa,  373.  Voy.  Zagkim,  capitale. 

léltudê  (  Nouvella- ,  arcltipal  da 
l'Auitralie).  Vuy.  Iles  de  Bait'ti ,  da  la 
C^Hnmrn*  ,  Hip/m,  Ikm-Ht'Mawl,  Knight, 
Longue  ,  NoitvtU»  '  24lmnd*  propre  , 
Sti»art,  Ta*ai-Pomaitom  ,  Art  Tr»i$' 
lUii ,  Thitrra»Hi«,  et   canal   d*  la 

ZMémtf  propM (Nonvelle-  ),  ou  tiet 
lk»-»a-/Uami  et  Tap^i-PomaMOu.  Dé- 
oouTerle   par  Tatman,  t  I,  p.  S44. 

—  Surville  y  aborde,  111,  452.— Can- 
pibaluine  de*  naturel! ,  4t^.  —  Fo* 
rét*de  cèdres,  IV,  408.  —  Force  de* 
iainlairet,  A&J- — Leur  horrible  tralii- 
MJu  «oatre  Marioa  et  «ea  seu»  ,  qu'ils 
juastacrent  et  dévorent,  415  et  suit. 
•-  Villages  fortifiés ,  leur  intérieur. 
Artcaaux.Maisoui  particulières,  422. 

—  Nourriture,  426.  —'  Coutume ,  ta- 
touage, bijovx,  428.  -~*  lostrumens 
de  culture ,  de  guerre,  de  musique, 
430.  —  Constructions  des  pirogues, 
433.»  Occupations  dos  femmes,  434. 
—Religion.  Reconnaissance  d*un  Etre 
snpréaM,  435.— Remarques  générales. 
Danses,  deuil.  Indiens  blancs,  noira 
et  jaunes.  Aspect  de  l'Ile,  437.  — 
Ses  produitious  :  marbre,  agates, 
rétrifications,  arbres,  légumes,quadru> 
pèdes,  oiseaux,  441.  —  Les  Français 

Î'  sèment  des  graines.  La  nourelle-Zé' 
ande  reroonatt  les  leur  devoir,  444, 
440.  -TV  Cook  y  arrive,  V,368,  571  — 
Deiicription  de  la  baio  de  Pauvreté  et 
des  côtes  adj.icentes ,  jusqH'nu  cap 
Kidnappera ,  390  et  sniv.  — -  Nourri- 
ture des  naturels  ,  -414.  —  Jardini 
potagers ,  415.  —  Uabitans  se  pei- 
gnent le  visage ,  416.  —  Rocher  re- 
marquable, 423.  —  Exercices  mili- 
taires ,  423.— Uabitans  mangent  leurs 
prisonniers  ,  425  —  Pirogue  remar- 
quable, 427.  —  Forts  et  villages  for- 
tifiés, VI,  8,  26  et  suiv.,93, 190.  — 
Repas,  23.  —  Comment  on  honore 
les  morts,  23, 100«104. — Assauts  simu- 
le», 31.  —  Armes,  33  ,  185.  —  Des- 
cription de  la  buie  de  Mercure  ,  35. 

—  BpiIu  bois  de  charpente  des  bords 
<le  la  Tamibe,  41.  lôO-  —  Descriptiou 
•lu  cap  Colwill,45 — Baie  des  Brèmes, 
47.  — Les  insulaires  combattent  Cook, 
GC.  —  Baie  des  Iles ,  64.  —  Descrip- 


tiea  de  la  «Ait  de  la  kala  des  Hts ,  au 
canal  Charlotte ,  65  et  luW.  -~  Coif- 
fure, M.  —  Anthropoplugie.  84,  86, 
90,  158, 100.  —Chant  mélodieux  des 
oiseaux ,  86 —  Filet  de  péehe  renar- 

3 uable, 80,183.— Croix  sur  une  tombe, 
4. — Description  du  caualde  la  Reine- 
Charlotte  et  de  ses  Uabitans,  105.  — 
Cap  Palhser  nommé  par  Cook,  III,  115. 

—  Cap  Sud,  128.  —  Baie  de  l'Ami- 
roiraiité,  130,  142.  —  Dcncriptioa 
générale  de  la  Nou'elle-Zélandt, 
143.  —  Climat,  quadrupèdes,  oi- 
seaux, insectes,  145,  158  — Poissons, 
148.— Arbres,  végétaux,  arbrisseaux, 
idaute  préférable  au  lin  pour  les 
étoffes,   150.   —  Population,   155. 

—  Les   naturels,  148,    156,    164. 

—  Nourriture  et  cuisine,  158, 176. 

—  Femmes  non  inaccessibles ,  163.^ 
Tatouage,  105.  —  Vétemens,  167  et 
kuiv.  _  Parure,  172. —  Habitations, 
meubles,  ustensiles,  173.  — -  Piro- 
gues, pagaies  et  voiles ,  170.  —  Ou- 
tils, 182.  —  Agriculture,  184.  — 
Danse  de  guerre,  188^  —  Musique 
exécutée  sveo  goût,  inMrumens,  188. 

—  Gouvernement ,  102.  —  Religion  , 
105.  —  Croyance  générale  parmi  les 
insulaires  sur  leui  origine,  197.— 
Langue  semblable  à  celle  de  Taïti. 
197.  —  Description  d'une  belle  cas- 
cade et  du  pays  d'alentour ,  VII, 
251.  —  Description  de  la  baie  de 
Dusky,  176  à  289.  —  Naturel». 
Proiititufion  des  filles.  Réflexions  à 
co  sujet,  318  — Talisman,  pirogues  , 
chiens,  dani>e,  322  et  suiv.  ^  Natu- 
rels SI' vendent  point  leurs  enfans, 
327  —  Beau  noir  des  étoffes,  231. 

—  Différence  de  situation  des  babi- 
tans  des  deux  grandes  îles,  335.  — 
Chiens  carnivores,  347.  —  Chanvre , 
lin,  VIII,  110.  "  Antropophagie, 
113  et  suiv.  —  Naturels  peu  hospita- 
liers ,  IX ,  35.  -^  Village  Kotieghe- 
nooce ,  ois.  —  Salubrité  du  climat , 
45-  —  Massacre  de  marins  anglais, 
135  et  sniv  ,  238,  241.  —  Prompte 
construction  d'un  village,  235.  — 
Perpétuel  état  de  guerre ,  238,  253. 

—  Détails  sur  quel([ues  croyances 
religii^uses ,  254.  —  Polygamie ,  256. 

—  Remarques  sur  les  districts  voisins 
du  canal  de  l'>  Reine-Charlotte.  Sol, 
productK.nr,.  Animaux,  habitaus,  etc.. 


[^ 


DES  MATIÈRES. 


4S7 


258  et  iiiiv.—  DidpoMliona  gnerrirrn 
de»  liabitiia»,  280— rhanionn,  283. 

—  TublcMU  comparatif  de  l(*ur  langue 
avrc  celle  de  Tuiti,  284.  —  Comment 
la  iiiénie  nation  sVit  répondue  de  ce 

tiayii  aux  Ile*  Sandwieb ,  X ,'  333.  — 
■'■Kurc,  iirraet,  niteniile» ,  parure 
di M  natiirflt,  XV,  141;  XVIII,  161  et 
tuiv.  -  Férocité,  151 ,  152.—  Formes 
dei  Icinme*  G<*itiime»,  152.  —  Ar- 
mes. Polygamie.  Travaux.  Piroguea. 
Cabanei,  154.—  Industrie.  Cliantt. 
Religion.  Mariages  ,  156.  —  Gouver- 
nement, 158.  —  Historique  de  ces 
parages,  245.  —  Missionnaires  an- 
glicans, 249.  —  Géograpbie,  250. 
— •  Fi,)ure.  Mœurs  des  naturels,  2(J0 
et  suiv.,  281.  —  Etat  des  personnes, 
265.  —  Guerres,  connaissance  de 
Bonaparte.  Talion.  Occupations,  266. 

—  Mariages.  Funérailles.  Coucbes  , 
268,281  —Tatouage.  Habitatious 
diverses.  Mobilier,  270. — Nourriture, 
Habillement.  Musique.  Danses,  272 

—  Religion ,  275,  278.  — Tiibou.  Re- 
pas, 2/7.  —  Honneurs  funéraires. 
Anthropophagie.  Saints,  278. —  Lan- 
gue. Animaux  ,  280.  —  Origine  des 
naturels.  Huttes  peintes,  XX  ,  177. — 
Vétemens.  Cuisine.  Ustensiles.  Armes. 


Anthropophagie,  177  tt  sni?.— Aspect 
général ,  l82.  —  Les  femmes  objet 
de  commerce ,  185.  —  Utilité  des  mi>- 
sionnaires,  187.— Leurs  travaux,  188. 
—  Kiabiis»emoiit  de  la  mission.  Régir- 
ment ,  101  et  suiv.  —  Figure.  Formes 
de»  naturels ,  XXI ,  430.  —  Sont  e->- 
core  anthropophage».  Leur  aptitude 
aux  art»  de  l'Europe,  XLIil,  xiij.  — 
Crovance  du  dogme  de  la  Trinité  , 
xxiij. — Effets  du  tabou.  Superstition», 
xxiv  et  suiv.  —  Pillages  des  l^iens  des 
chefs  à  leur  mort,  xxvij.  —  Orne- 
mens,  xxx. — Hiérarchia,  sociale  pres- 
que nulle,  103.  Voy.  baie  ûuikx. 

Zirmi  (capitale  du  Zamfra,  Soii> 
dan  ) ,  t.  XXVII ,  p.  306,  SOO.— For- 
tifications,  426 

Zoolai  (  tri'iu  cafre  ).  Conquêtes  et 
renommée  de  leur  roi  Chaka,  t.  XXIX, 
p.  120, 257,  310— Ont  envahi  le  piiy^ 
des  Maotatis,  132. 134. 

Zow  (oasis  des  Tibbuus  dn  Dilma — 
Sahara),  t.  XXVII ,  p.  443. 

Zouylah  (ville  du  FeiMu).  Maison». 
Alentour»,  t.  XXV,  p.  428. 

Zuiu (Ile  de  la  Malaisie).  ConverMon 
du  roi  au  christianisme.  Mort  de  Mit- 
gellan,t.  I,  p.  147. 


riiN    DE   LA   TABLE   GENERALE   DES   MATIERES.