IMAGE EVALUATION
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Corporation
23 WEST MAIN STREET
WEBSTER, N. Y 14580
(716) 872-4503
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CIHM/ICMH
Microfiche
Séries.
CIHM/ICMH
Collection de
microfiches.
Canadian Institute for Historical Microreproductions / Institut canadien de microreproductiona historiques
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©1984
Technical and Bibliographie Notes/Notes techniques et bibliographiques
The Institute has attempted to obtain the best
original copy available for filming. Features of this
copy which may be bibliographically unique,
which may alter any of the images in the
reproduction, or which may significantly change
the usual method of filming, are checked below.
L'Institut a microfilmé le meilleur exemplaire
qu'il lui a été possible de se procurer. Les détails
de cet exemplaire qui sont peut-être uniques du
point de vue bibliographique, qui peuvent modifier
une image reproduite, ou qui peuvent exiger une
modification dans la méthode normale de filmage
sont indiqués ci-dessous.
D
Coloured covers/
Couverture de couleur
D
Coloured pages/
Pages de couleur
I I Covers damaged/
Couverture endommagée
D
Pages damaged/
Pages endommagées
D
Covers restored and/or laminated/
Couverture restaurée et/ou pelliculée
n
Pages restored and/or laminated/
Pages restaurées et/ou pelliculées
I I Cover title missing/
Le titre de couverture manque
Pages discoloured, stained or foxed/
Pages décolorées, tachetées ou piquées
j I Coloured maps/
D
LU Plan
Cartes géographiques en couleur
Coloured ink (i.e. other than blue or black)/
Encre de couleur (i.e. autre que bleue ou noire)
Coloured plates and/or illustrations/
ches et/ou illustrations en couleur
D
&
D
Pages detached/
Pages détachées
Showthrough/
Transparence
Quality of print varies/
Qualité inégale de l'impression
□ Bound with other matériel/
Relié avec d'autres documents
D
Includes supplementary matériel/
Comprend du matériel supplémentaire
D
D
Tight binding may cause shadows or distortion
along interior margin/
La reliure serrée peut causer de l'ombre ou de la
distortion le long de la marge intérieure
Blank leaves added during restoration may
appear within the text. Whenever possible, thèse
hâve been omitted from filming/
Il se peut que certaines pages blanches ajoutées
lors d'une restauration apparaissent dans le texte,
mais, lorsque cela était possible, ces pages n'ont
pas été filmées.
D
Only édition available/
Seule édition disponible
Pages wholly or partially obscured by errata
slips, tissues, etc., hâve been refilmed to
ensure the best possible image/
Les pages totalement ou partiellement
obscurcies par un feuillet d'errata, une pelure,
etc., ont été filmées à nouveau de façon à
obtenir la meilleure image possible.
Additional comments:/
Commentaires supplémentaires:
Les
pages
froissées peuvent
causer de ta distortion
'
This item is filmed at the réduction ratio checked below/
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The copy filmed hera has baan raproducad thanks
to tha ganarosity of :
University of British Columbia Library
The images appearing hère are the beat quality
possible considering the condition and legibility
of the original copy and in keeping with the
filming contract spécifications.
L'exemplaire filmé fut reproduit grâce à la
générosité de:
University of British Columbia Library
Les images suivantes ont été reproduites avec le
plus grand soin, compte tenu de la condition et
de la netteté de l'exemplaire filmé, et en
conformité avec les conditions du contrat de
filmage.
Original copies in printed paper covers are filmed
beginning with the front cûver and ending on
the lest page with a printed or illustrated impres-
sion, or the back cover when appropriate. Ail
other original copies are filmed beginning on the
first page with a printed or illustrated impres-
sion, and ending on the last page with a printed
or illustrated impression.
Les exemplaires originaux dont la couverture en
papier est imprimée sont filmés en commençant
par le premier plat et en terminant soit par la
dernière page qui comporte une empreinte
d'impression ou d'illustration, soit par le second
plat, selon le cas. Tous les autres exemplaires
originaux sont filmés en comnençant par la
première page qui comporte une empreinte
d'impression ou d'illustration et en terminant par
la dernière page qui comporte une telle
empreinte.
The last recorded frame on each microfiche
tthall contain the symbol —^- (meaning "CON-
TINUED "), or the symbol V (meaning "END "),
whichever applies.
Un des symboles suivants apparaîtra sur la
dernière image de chaque microfiche, selon !e
cas: le symbole —^- signifie "A SUIVRE", le
symbole V signifie "FIN".
Maps, plates, charts, etc., may be filmed at
différent réduction ratios. Thosci too large to be
entirely included in one exposure are filmed
beginning in the upper left hand corner, left to
right and top to bottom, as many frames as
required. The following diagrams illustrate the
method:
Les cartes, planches, tableaux, etc., peuvent être
filmés à des taux de réduction différents.
Lorsque le document est trop grand pour être
reproduit en un seul cliché, il est filmé à partir
de l'angle supérieur gauche, de gauche à droite,
et de haut en bas, en prenant le nombre
d'images nécessaire. Les diagrammes suivants
illustrent la méthode.
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UNIVERSELLE
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On souscrit lions Us Départemens chez les Libraires ci-après :
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IjYON . •/ A. Baron, libraire, rue de Clermont, n*> 5.
ROUEN François, libraire, Granid'Rue, d*' 33.
CAEN Manoort, libraire.
MARSEILLE. . . . CUmoI^. Ubimire, ' ^.
MOI!rrPELL|EB. . Patras, libraire. '^ <
NANCY. . A'. . . Georges Grimblot, libraire.
AGEN. .' Bbrtmi<i>> Ubr9\re.
LUNÉVILLE.. . . Creusât, libraire, Grand'Rue, n" 23.
BËZIERS. ..... Paoeot, libraire. •
TOULOVSE. . . D4GALLi,«R, libraire, rue de laP^moiQ.
ORLEANS ÇU^Nmt, Ultri^ire,
CHARTRES. . . . Carnier fils, imprimeur-libraire.
DIJON G'AULARD , libraire.
ABBEVILLE. ... Gatois-Ghare, libraire.
i^ AVIGNON Fructos, libraire..
!| SEDAN Aoç. PifiiiROT, libraire , Grand'Rue, n" 18.
NARBONNE. . . . Delsol, libraire!
STRASBOURG.. Laoier, libf aire, rue Mercière, n» 10.
LILLE Uionner-Bauwens, imprimeur-libraire.
TOULON liloNGB et ViLLAMOS , libraires, rue delà Misé»
ricorde, n' 6. '
CLERMONT-F"». . A. Vçysset, libraire, rue de la Vieille , n" 1 4
BESANÇON, . . . BiNTOT, libraire.
GRENOBLE. . . . Prud'homme, libraire.
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rAKIS. — IMPRIMKKTB ET FONUERIP. IIK RKiNUUX ET c", IDI DBS FIItKCS-IUUIUIlOIR-S.-MICIIEL , t.
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BIBLIOTHÈQUE
U??1VER8ELLE
DES VOYAGES
1;FFECT0É8 par Mlfc ou PAR TERRE
DANS LES DIVERSES PARTIES DU NONÉe.'^
DSM7I8
LES PREMIÈRES DÉCOUVERTES
jusqu'à nos jours;
C0N1ENANT LA DESCRIPTION DBS MOEURS, GOimiHBSt
«OIIVBRNBKENS , COLTBS, SCIENCES ET jSm, INDUSTRIE ET OOMMERCI:,
PRODUCTIONS NATUREuif ET AUTRES.
Rcpus on fttabuits
PAR M. ALBERT-MONTÉMONT,
AUTlUk OU VOrAOC DkM 1,11 CIBQ P&lTIKl'oV UONDI, DES LHTTRIt iOI L'aITAUNOM I H ,
' DU VOVAQI lux ALPïa , ETC. . STC.
•■.•MICHEL, ».
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PARIS.
ARMAND-AIJBREE, EDITEUR.
RUE DE VAUOIRARD, N°17.
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VOYAGES
EN EUROPE.
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VOYAGES ANCIENS ET MODERNES, i
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GÉNÉRALITÉS PRÉLIMINAIRES.
l'ttlti V i;i.« . 1 .
I/Europe n*a, comme Tont remarqué ailleurs
Malte-Brun et plusieurs autres géographes, ni les
imposantes dimensions de TAsie et de l'Amérique,
ni la masse compacte de l'Afrique. Le caractère par-
ticulier qui la distingue de ces trois autres grandes
divisions continentales du globe, consiste dans les
golfes immenses ou mers intérieures qui découpent
son littoral en tout sens, qui, s avançant considéra-
blement dans l'intérieur des terres, eu égard à leur
étendue, facilitent les communications et sont aussi
favorables aux progrès de la civilisation qu'ait
développement de l'industrie et du commerce.
Sorte de dépendance du vaste continent asiati-
que, l'Europe , qui n'en semble être pour ainsi dire
qu'une péninsule, n'offrirait pas, dans presque sa
totalité, un bassin assez large au Nil , qui cache sa
source vers les monts de la Lune; au Kiang, ce
XLVI. 1
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1 VOYAGES EN EUROPE,
fleuve qui arrose de Touest à Testrempirc chinois;
à rAmazone, qui descend du Pérou et coule entre
les deux vastes Etats de la Colombie et du Brésil.
Les montagnes de TEurope les plus gigantesques
n'égalent ni en élévation ni en étendue les longues
et hautes Cordilières de TAmérique, ou l'énorme
plateau des monts Himalaya thibétains; toutes nos
landes, nos dunes réunies n'augmenteraient pas
sensiblement les déserts sablonneux de la Libye, ou
le Sahara de l'Afrique, ou le Gobi de l'Asie; et nos
archipels européens, d'ailleurs si rians, ne seraient
remarquables ni en beauté ni en étendue parmi les
labyrinthes maritimes de l'Océanic. Les productions
des trois règnes de l'Europe, comparées k celles des
autres parties du monde, offrent en général peu
d'originalité, d'éclat ou de grandeur. L'Europe n'a
que très peu de mines d'or, et ne peut nommer
qu'une vingtaine d'espèces de quadrupèdes qui
lui appartiennent exclusivement; encore, ainsi que
l'observe Malte-Brun, sont-ce de petits animaux de
peu d'apparence, tels que des rats et des chauves-
souris. Notre industrie a perfectionné quelques es-
pèces, comme le cheval , le bœuf, le mouton et le
chien; mais nos meilleures productions naturelles
semblent avoir été importées des autres parties du
monde. Le ver à soie nous est arrivé de l'Inde ; la
laine fine, de la Mauritanie; le pécher, de la Perse;
l'oranger, de la Chine; la patate, le maïs et le la-
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GÉNÉRALITÉS. 3
bac, de rAmériquc; et, en dernier lieu, le fin tissu
à chàle, du Cachemire, par l'introduction en nos
climats méridionaux des chèvres du Thibet. Ainsi
nous ne sommes riches que d'emprunts faits h des
contrées en dehors de l'Europe.
Mais grâce à la puissance d une civilisation pro-
gressivement persévérante, cette région Âpre et
sauvage , que la nature n'avait dotée que de bois et
de fers, s'est ornée, enrichie avec le cours des siècles
sous les efforts industrieux de ses habitans. On n'y
reconnaît plus les produits indigènes, la culture a
changé les végétaux et les climats; aux rivages où
le castor élevait paisiblement ses huttes, brillent
des cités populeuses et pullulent des milliers de ci-
toyens; dans les contrées que foulèrent seules et si
long-temps les bétes fauves, se sont établis des em-
pires florissans, et l'indigence a disparu devant
une fertilité laborieuse. L'Europe est devenue
pour ainsi dire le centre intellectuel de l'espèce hu-
maine et la législatrice du monde entier ; elle est
présente sur tous les points de l'univers; un conti-
nent lointain, celui de la Nouvelle- Hollande, se
trouve peuplé de colonies européennes; presque
tout le littoral nord, ouest, sud et est de l'Afrique
est couvert d'établissemens européens; plus d'un
tiers de l'Asie est soumis à la domination euro-
péenne, et le vaste empire chinois est cerné tant au
nord qu'au midi par l'industrie ou les armes de
♦ VOYAGES EN EUROPE.
l'Europe. L'immense Océan est devenu le domaine
exclusif des Européens ou de colons de l'Europe,
et pendant que les peuples les plus policés des au-
tres parties du globe osent à peine s'éloigner de
leurs rivages, excepté peut-être les États-Unis dont
les navires marchands commencent à sillonner la
mer du Sud, nos intrépides navigateurs suivent
d'un p6le à l'autre les routes que leur traça le génie
de la science géographique. Non content de se sou-
mettre la nature et d'enchaîner la foudre, les Eu-
ropéens ont su par l'astronomie conquérir l'univers
céleste et voyager au-dessus des nuages. En un mot,
la science est le patrimoine, pour ainsi dire, exclu-
sif de l'Europe, et l'Européen parait avoir seul
découvert le secret d'en étendre et d'en faire pros-
pérer les nombreux rameaux.
j! L'Europe est comprise entre les 35* et 7V degrés
de latitude nord, et entre les 12" degré de longi-
tude ouest et 68* degré de longitude est. Si on vou-
lait y réunir les îles qui dépendent géographi-
quement de celte partie du monde, telles que la
Nouvelle-Zemble, l'archipel du Spitzberg, etc., on
aurait pour latitude 35 et 81 degrés nord.
;,. L'Europe est bornée au nord par l'océan Glacial
arctique et la baie de Kara, subdivision de cet
océan, commune également à l'Asie; à l'ouest, par
l'océan Atlantique, et au-delà du cercle polaire par
l'océan Glacial arctique; au sud, par le détroit de
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GÉNÉRALITÉS. Il
Gibraltar, la mer Méditerranée, la merde TArchi-
pel , le détroit des Dardanelles, la mer de Marmara,
le détroit de Constantinople, la mer Noire, ll^dé-
troit de Gaffa et la mer d'Azov; à l'est, par }2 Meuve
Kara, la chaîne principale des monts Ourals et le
fleuve Oural jusqu'à son embouchure dans la mer
Caspienne ; ensuite par une partie occidentale de
cette même mer Caspienne, jusqu'à l'extrémité
orientale de la chaîne du mont Caucase. Au sud-est
l'Europe a aussi pour limites le cours du Terek, le
Caucase et le cours du Kouban , accidens géogra-
phiques qui lui sont communs avec l'Asie. Ainsi
les monts Ourals et la mer Caspienne senties deux
grandes séparations naturelles entre l'Europe et
l'Asie à l'est, comme la mer Noire, le Bosphore,
l'Archipel et la Méditerranée sont ses confins au
sud, où elle est séparée de l'Afrique, et l'Atlanti-
que à l'ouest, où elle est séparée de l'Amérique;
enfin l'océan Glacial la limite au nord. * I
I^s points les plus extrêmes de l'Europe sont :
au nord, le cap Nord, situé par 72 degrés de lati-
tude nord et 22 degrés de longitude est, à l'extré-
mité de l'une des îles dépendantes de la Norwége,
et s'avançant dans l'océan Glacial arctique; à l'ouest,
le cap Laroca, situé sur la côte ouest du Portugal
par 30 degrés de latitude nord et 12 degrés de lon-
gitude ouest, et s'avançant dans l'océan Atlantique
septentrional; au sud, le cap Matapan, situé dans
-I
« VOYAGES EN EUROPE,
la Turquie européenne, et s'avançant dans la Mé-
diterranée par 36 degrés de latitude nord et 20 de-
grés de longitude est. Quelques géographes ont
rattaché Tlslande à l'Europe; mais c'est une dépen-
dance naturelle du Groenland, qui lui-même se lie
à l'Amérique septentrionale. Évidemment l'Europe
se termine au nord-ouest avec les îles Féroër.
Renfermée dans les limites que Ton vient de tra-
cer, l'Europe a une superficie d'au moins cinq cent
mille lieues carrées , de vingt-cinq au degré équa-
torial , et une population de plus de deux cent vingt
millions d'habitans. L'accroissement annuel de cette
population est à peu près d'un million d'âmes.
La glus grande longueur de l'Europe est de douze
cent quinze lieues, du cap Saint-Vincent aux monts
Ourals, près d'Ekaterinbourg. De Brest à Astrakan
cette longueur est de huit cent soixante lieues. Sa
plus grande largeur est de huit cent soixante-dix
lieues , du cap Matapan en Grèce au cap Nord. Sa
largeur, qui vient ensuite, est, du cap Colon na en
Galabre au cap Wrath en Ecosse, en partie sur l'eau.
L'Europe comprend au nord le royaume de Nor-
wége, celui de Suède, la partie de l'empire de Rus-
sie située en Europe, les îles britanniques ou le
royaume-uni de la Grande-Bretagne; au centre, le
royaume de Pologne, celui de Prusse, l'Allemagne,
le royaume de Danemark, celui de Hollande, celui
de Belgique , la France, la Confédération suisse et
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^1 GÉNÉRALITÉS, o^ 7
l'empire d'Autriche; au midi, le royaume de Portu-
gal, celui d'Espagne, l'Italie en général, et la Tur-
quie d'Europe. Varsovie occupe la position la plus
centrale de cette partie du monde; mais le bassin
de la Bohème est le point central physique , car il
termine vers le nord le grand système de pays mon-
tagneux qui composent la Haute-Europe.
Nous avons dit que les mers et les golfes carac-
térisaient surtout la péninsule européenne : ces
grandes masses d'eau interposées parmi les terres
manquent à l'Asie, à l'Afrique, à la Nouvelle-Hol-
lande , et même à la majeure partie de l'Amérique.
Elles exercent une grande influence sur la tempé-
rature, qu'elles rendent humide et variable, et sur
le commerce dont elles multiplient les communi-
cations, comme aussi elles influent sensiblement
sur la destinée des nations, auxquelles, conjointe-
ment avec les chaînes de montagnes , elles présen-
tent des remparts naturels contre les invasions
étrangères.
L'océan Atlantique qui borne l'Europe à l'ouest
est appelé par quelques géographes océan Occi-
dental. 11 s'appelle mer du Nord ou d'Allemagne,
entre la Norwége, au sud du cap Slat, le Jutland,
l'Allemagne, les Pays-Bas, la France, la Grande-
Bretagne et les îles Shetland. C'est, comme le remar-
que avec raison M. Balbi, une des méditerranées à
plusieurs issues les plus remarquables de l'Europe.
« VOYAGES EN EUROPE.
Les empiétemens de cette mer sur les côtes d'Aile^
magne et des Pays-Bas y ont formé les deux golfes
de DoUart et Zuyderzée. Un bras de la mer du Nord
s'appelle Skager-rak, entre le Jutland et la Nor-
wégc méridionale; quelques géographes le nom-
ment mer de Danemark; il forme sur la côte de
Norwége un enfoncement considérable appelé gfo//<?
de Christiania. Un autre bras de la mer du Nord
prend la dénomination de Cattegat, entre la Suède
méridionale et le Jutland septentrional ; deux autres
enfoncemens de la mer du Nord, beaucoup plus
petits , forment les golfes de Bukke et de Bergen.
L'océan Atlantique au nord du cap Stat en Nor-
wége, prend la dénomination de merde Scandina-
viey le long de la côte de cette contrée. A l'ouest du
Pas-de-Calais il s'appelle la Manche, entre l'Angle-
terre et la France; il s'appelle mer d'Irlande ou
même canal de Saint- Georges, entre l'Ecosse et
l'Angleterre d'un côté et l'Irlande de l'autre ; il se
nomme mer de Calédonie au nord-ouest de l'Ecosse;
golfe de Gascogne le long d'une côte sud-ouest de
la France, et golfe de Biscaye le long d'une partie
de la côte septentrionale de l'Espagne. ^ ' '-^'"^^
L'océan Atlantique pénétrant dans le continent
européen y forme de vastes mers méditerranées,
l'une au nord , l'autre au midi. La méditerranée du
nord , plus connue sous le nom de mer Baltique ou
simplement Baltique (mot tiré du danois ou suer
do
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GÉNÉRALITÉS. ' 9
dois Beit, qui si^^iifie ceinture), et désignée sous le
nom de mer O- niale par les nations Scandinaves
et germaniques, est une vaste mer intérieure située
entre le Danemark, le Mecklenbourg, la Poméra-
r.ie, la Prusse, les provinces Baltiques de la Russie
et la Suède. Elle offre plusieurs golfes, dont les
principaux sont le golfe de Bothnie, entre la Fin-
lande et la Suède; le golfe de Finlande, entre la côte
méridionale de la Finlande et celle des gouverne-
mens de Pétersbourg, d'Ësthonie et de Revel; le
golfe de Riga ou de Livonie, entre la Livonie et la
Gourlande; et le golfe de Dantzig dans la Prusse
occidentale. Les détroits du Sund et ceux du grand
et du petit Belt sont les trois issues par lesquelles
la Baltique communique avec le Cattegat, qui est
une branche delà mer du Nord. -« .. l
La méditerranée du sud, nommée mer Méditer^
ranëe ou simplement la Méditerranée, est comprise
entre l'Europe , l'Asie et l'Afrique : le détroit de
Gibraltar l'unit à l'océan Atlantique. Cette mer du
côté de l'Europe prend le nom de canal des Ba-
léares, entre la côte du royaume de Valence et le
groupe des îles Baléares ; celui de golfe de Lyon,
le long des côtes de Provence et de Languedoc;
celui de golfe de Gênes, depuis la côte de Nice
jusqu'à celle du duché de Lucques; celui de mer de
Toscane, entre la Corse, la Sardaigne et la côte op-
posée de l'Italie; celui de mer de Sicile, entre l'île
.'R
19 VOYAGES EN EUROPE.
de ce nom et le royaume de Naples; celui de mer
Ionienne entre le pied de Tltalie, la Sicile et la
Grèce. Un bras de cette mer forme le golfe de
Tarente vers la Galabre; un autre le golfe de Patras
^evê le Péloponnèse, et le golfe de Gorinthe ou de
Lépante au-delà du détroit de ce dernier nom. Un
bras de la Méditerranée, pénétrant par le canal
d'Otrante entre l'Italie d*un côté et TÉpire ainsi
que l'Albanie et la Dalmatie de Tautre , forme le
golfe appelé mer /Adriatique. Enfin la Méditerranée
y^vê le détroit des Dardanelles forme ce que les
anciens Grecs appelaient mer Principale ou Archi-
pelagos, et ce que les géographes modernes nom-
ment Archipel. Get archipel, au-delà du détroit des
Dardanelles , forme lui-même le petit golfe à plu-
sieurs issues, nommé improprement mer de Mar-
mara, entre la côte de l'ancienne Thrace d'un côté
et la côte opposée de l'Asie-Mineure de l'autre. A
S6n tour, la merde Marmara, ou la Propontide,
communique par le détroit de Gonstantinople ou
le Bosphore, avec ce qu'on appelle la mer Noire,
limite méridionale de la Russie européenne. La mer
Noire, nourrie par les plus grands fleuves de l'Eu-
rope centrale, reçoit encore par le détroit de Caffa
ou le Bosphore Gimmérien , les eaux limoneuses
des Palus-Méotides, improprement nommés par
\m moàGVï\G^\2i mer dAzof on Azov. ^
r/océan Glacial arctique , qui ne baigne que l'ex-
iii de mer
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de l'Eu-
Je Caffa
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GÉNËRALITÉ». 11
trémité septentrionale de TEurope, forme plusieurs
golfes dont le plus considérable est nommé mer
Blanche, qui est renfermé dans le gouvernement
russe d*Archangel , et qui est , comme la mer de la
Nouvelle-Zemble, exposée à de violentes tempêtes.
Quant à la mer Caspienne, qui baigne TEurope
depuis l'embouchure de la Kuma jusquà celle
du Jaïk, et dont le niveau est inférieur de cent
cinquante-cinq pieds à celui de l'Océan, elle n'est, à
proprement parler, que le plus grand lac du globe,
et la plus grande partie de ses côtes appartient à
l'Asie. -'■'.'• --.....-.>.-,—■-'•-—'■—
Le mouvement généralise la Méditerranée se
dirige de l'est à l'ouest; mais la réaction des eaux
contre les côtes donne lieu à plusieurs courans
latéraux opposés. Les détroits donnent aussi nais'-
sanceàdes courans locaux très variables, comme
le phare de Messine ou la Charybdis des anciens,
etl'Ëuripe, entre le continent et l'île de Nègrepont,
Les marées dans la Méditerranée ne se font sentir
que très légèrement; on a cru les remarquer dans
le golfe Adriatique et dans le golfe de la Grande-
Syrte qui touche à l'Afrique. ' - j. - *-•
Les mers que nous venons d'indiquer bordent le
continent européen sur une ligne de cinq mille cinq
cents lieues, tandis qu'il ne tient au continent asia-
tique que par une ligne de huit cent quatre-vingts
lieues. Ces mers sont, comme l'observe Malte-Brun,
12 VOYAGES EN EUROPE,
d'une haute importance pour l'Europe. En effet,
au nord elles nous séparent des terres glaciales du
pôle boréal ; au midi elles nous garantissent des
chaleurs de l'Afrique; partout elles ouvrent un ac-
cès au commerce et à la navigation des peuples.
La Méditerranée a une surface totale de cent
trente-un mille neuf cent quatre-vingts lieues carr
rées de vingt-cinq au degré; celle de la mer Noire
avec la mer d'Azov est de vingt-trois mille sept
cent cinquante lieues; celle de la mer Caspienne
de dix-huit mille six cents lieues; celle de la mer
Blanche de cinq mille lieues ; celle de la Baltique
entière dedix-sept mille six cent quatre-vingts lieues,
y compris le golfe de Bothnie, qui a séparément
cinq mille cent lieues carrées, et le golfe de Fin-
lande, qui a deux mille trois cents lieues carrées.
La mer d'Allemagne ou mer du Nord , en la bor-
nant par le cap Stat en Norwége, les îles Shetland
et le promontoire de Lindesness, a trente -deux
mille lieues carrées ; le canal d'Irlande a trois mille
quatre cents lieues carrées; et la Manche trois mille
sept cents lieues carrées. î *. ,. .' j ,..
La Baltique a cent soixante -dix lieues de côles
rocailleuses, et extrêmement hautes et escarpées
au sud et au sud-est de la Suède; cinq cent quatre-
vingts lieues de côtes de moyenne élévation au nord
de la Suède et d'une partie de la Russie, et trois
cent quatre-vingts lieues de côtes, la plupart basses
En effet,
iciales du
isent des
nt un ac-
euples.
de cent
eues car-:
ep Noire
lille sept
laspienne
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Baltique
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carrées.
I la bor-
^hetland
te - deux
ois mille
ois mille
ie côles
scarpées
quatre-
au nord
et trois
t basses
ê
GÉNÉRALITÉS. 13
et sablonneuses pour le reste du littoral de Russie,
de Prusse et d'Allemagne. La profondeur de cette
mer est rarement de plus de cinquante brasses, et
pendant les vents du nord ses eaux s'adoucissent
au point de pouvoir servir aux usages domes'
tiqueSt ' -'a*'*"^ >. ; < aln'iiî
La mer d'Allemagne ou mer du Nord est divisée
par quelques géographes en deux parties; l'une por-
tant le nom de mer d'Allemagne^ pour la partie q i
s'étend du Pas-de-Calais à l'extrémité du Danemark,
royaume dans le voisinage duquel on la nomme
aussi mer Cimbrique; et l'autre portant le nom de
mer du Nord pour la partie supérieure qui s'étend
jusqu a l'Islande. Cette mer est sujette à de fortes ma-
rées ; ses eaux, plus douces que celles de l'Océan, sont
grasses et limoneuses; elles donnent vers le soir
une lueur que les marins appellent morillo; elles
se couvrent fréquemment de brouillards épais,
retombant sur le rivage en une rosée amère et
saline qui nuit à la végétation des arbres, mais
qui donne aux plantes une verdure plus fraîche et
plus belle.
Les amas d'eau douce que renferme l'Europe
sous le nom de lacs n'égalent pas ceux de l'Améri-
que septentrionale; cependant ils ont aussi leur
importance. La région la plus remarquable en ce
genre est celle où se trouvent les sources du Volga
au sud , la mer Baltique à l'ouest, et la mer Blanche
^-
H VOYAGES EN EUROPE,
au nord-ouest. La masse d^eau qu'elle comprend, si
elle était réunie en une seule, égalerait presque le
0olfe de Finlande. Les principaux lacs de cette ré-
(];ion sont le lac Ladoga, qui a huit cent cinquante
lieues carrées, et le lac Onega, qui a quatre cent
trente lieues; vient ensuite le lac Saima, en Fin-
lande, qui a deux cent dix lieues. Les autres lacs
ont des dimensions plus petites. ^ ^ '
La Scandinavie a aussi de beaux lacs, tels que
le lac Wener, qui a deux cent quatre-vingts lieues
carrées; celui de Weter, qui a cent dix lieues; celui
de Mœlar avec une superficie de cent lieues. Les
divers lacs de cette région occupent environ huit
cents lieues carrées. Us sont, à un ou deux près,
tous iplacés sur le penchant méridional et le pen-
chant oriental de la chaîne de montagnes qui par-
court la Suède et la Norwége. Tous ceux de la Rus-
sie septentrionale sont au contraire sur les versans
orientaux de cet empire. Au reste, les uns et les
autres s'écoulent dans la Baltique, et Malte -Brun
les regarde comme les sources de cette mer inté-
rieure.
Les plaines au sud de la mer Baltique présentent
aussi quelques contrées renfermant de petits lacs.
La chaîne des Alpes en a de moins grands que les
monts Scandinaves. Ceux des versans méridionaux
sont le lac Majeur, qui a vingt lieues carrées; le lac
Garda, qui a vingt-quatre lieues carrées, et quelques
m
iprend, si
resque lo
cette ré-
linquante
fitre cent
en Fin-
itres lacs
tels que
;ts lieues
les; celui
lies. Les
ron huit
ux près,
le pen-
qui par-
la Rus-
versans
is et les
e-Brun
ler inté-
GÉNÊRALITÉS. 15
autres. I^ pente septentrionale offre le lac des
Quatre-Cantons dont Tétendue est de treize lieues
carrées; le lac de Neuchâtel de quinze lieues carrées;
celui de Zurich de dix lieues carrées; celui de Cons-
tance, de trente-huit lieues carrées ; et une foule d'au-
tres peu étendus. Tous ces lacs réunis peuvent com-
prendre une surface de cent quatre-vingts lieues
carrées. 1^ pente occidentale des Alpes ne con-
tient guère que le lac de Genève, avec une super-
ficie de quarante-quatre lieues carrées.
Dans toute l'Europe occidentale, surtout dans le
Portugal, l'Espagne, la France et l'Angleterre , on
trouve extrénienient peu de lacs. En Irlande on en
voit un grand nombre, dont quatre ou cinq ont
une superfi^cie égale à celle du lac de Zurich, -nun
Considérée par rapport aux aspérités plus ou moins
considérables de sa surface, l'Europe semble se par-
tager naturellement en deux moitiés, c'est-à-dire en
Haute et Basse-Europe, Depuis Londres et Paris j us-
qu'àMoscouetAstrakan,lesterresontpeud'élévation;
de Lisbonne à Constantinople s'offre une suite de
terres hautes, avec une grande variété de coupes
et de pentes, les unes exposées aux vents froids du
nord, les autres aux vents chauds du raidi; presque
partout des limites naturelles séparent les nations,
comme des défilés, des baies ou des rivières à fran-
chir. Au surplus, écoutons comment M. Bruguière,
dans un ouvrage couronné par la Société royale
H VOYAGES EN EUUOPE.
de Géographie \ envisage lorographie ^ de l'Eu-
rope. ^■'\^^
ttSi un observateur, placé à la cinoe du Mont-
Blanc ^ pouvait embrasser de ses regards l'Europe
tout entière, il verrait que le sommet sur lequel
il se trouve est le point le plus culminant et presque
le centre d'une longue suite de montagnes, qui corn*
menée au cap Saint-Vincent et va finir à l'est et au
nord-est, d'une part au cap Matapan, de l'autre,
au bord de la mer Noire, et encore plus au nord
près des frontières de l'Asie.
^.ij(.
Cl
i' « Si l'immensité de cette vue lui permettait de
suivre toute la courbe que décrit la principale ligne,
s'il pouvait en reconnaître les directions, et distin-
guer en même temps ses sinuosités, ses ramifica-
tions et ses coupures , il verrait que plusieurs an-
neaux détachés de la grande chaîne, mais qui
paraissent être son extrémité occidentale, traver-
sent en divers sens la péninsule hispanique; qu'une
barrière formidable s'élève entre la France et l'Es-
pagne, et que cet énorme rempart, composé de
sommités arides, aiguës et souvent inaccessibles, se
Bi-Mi:'
I Orographie de l'Europe. Un volume in-quarto, formant le
tome III du Recueil de voyages et de Mémoires de la Société
royale de Géographie.
* €e mot , qui signifie représentation de montagnes, vient du grer
vros, montagne, et de grapho, je décris.
3 Le Mont-Blanc est, comme chacun sait, la plus haute cime
del'Europe. >••(>)- '^' -....i i ^-•v-v^.,. ,. .- .^j..,,,. ^
iu Mont-
TEurope
ur lequel
tt presque
qui com-
rest et au
e Fautre,
< au nord
Kt
aettait de
aie ligne,
et distin-
ramifica-
iieurs an-
mais qui
traver-
; qu'une
le et TEs-
nposé de
sibles, se
formant le
la Société
ent du grec
haute cime
GÉNÉRALITÉS. 17
prolonge au nord -ouest de ce dernier royaume,
pousse vers le sud dus contre-forts qui atteignent
le Duero, et va se terminer au nord de TOcéan par
les caps Ortégat et Finistère. 11 observerait que le
tronc principal, prenant ensuite sa direction la plus
générale, celle du sud-ouest au nord-est, étend ses
branches sur une partie de la France, et couvre le
sol volcanique de TAuvergne. 11 remarquerait aussi
que les montagnes de la rive occidentale du Rhône
s'abaissent considérablement au-dessus de Lyon,
deviennent à peine visibles dans la Bourgogne, et
se lient, près des sources de la Saône, à une rangée de
hauteurs qui courent d'abord dans le même sens que
le Rhin, le traversent ensuite au-dessus de Mayence,
et vont se perdre en Allemagne. S'il jetait les yeux
sur le bassin où le Doubs décrit tant de circuits, il
verrait plusieurs chaînons que leur situation paral-
lèle au centre de la chaîne , leurs pentes adoucies
vers la Franche-Comt4 et leurs escarpemens op-
posés au lac de Geriève, lui feraient aisément re-
connaître pour une dépendance de la masse colos-
sale sur laquelle il serait placé. Dans la partie du
système la plus rapprochée de lui, il le verrait sé-
parer la France de l'Italie , couvrir d'aspérités la
Suisse et le Tyrol, s'enfoncer au sud-est jusque
dans l'Albanie, et former ainsi une des parois de
l'Adrii*tique; tandis que l'autre mur de ce vaste
bassin, tel qu'il dut exister dans les temps reculés,
XLVI. 2
18 VOYAGES EN EUROPE,
serait tracé par l'embranchement très remarquable
qui commence aux sources de la Bormida et par-
court ritalie dans toute sa longueur. Au-delà du
golfe de Gènes, et dans cette même direction, notre
observateur découvrirait deux grandes îles dont la
charpenteestunechainedemontagnesquis'éloignent
directement au sud, et que la mer coupedroitendeux
parties inégales. Si, en se portant de ce côté, ses
regards étaient attirés par le premier des volcans
de l'Europe, il reconnaîtrait une continuation de la
chaîne italique dans les deux rangées de hauteurs
qui se croisent à Nicosia , et donnent à la Sicile une
forme triangulaire. Sur la frontière méridionale de
la Servie, et presque sous le parallèle où l'archipel
illyrien se termine , la chaîne se fourche : il en ver-
rait une branche se porter vers la Grèce, tandis que
l'autre se replie à l'est et au sud-est, jusqu'au bord
de la mer Noire et de la Propontide. Au nord de
ce dernier rameau, et sous le méridien du golfe de
Salonique, il distinguerait une file de montagnes
qui , se dirigeant d'abord perpendiculairement au
coura du Danube, est coupée par ce fleuve aux en-
virons d'Orsova^ et se courbe ensuite de manière à
envelopper la Transylvanie, la Hongrie, la Moravie
et la Bohême. A l'ouest de ces dernières hauteurs
il apercevrait encore quelques groujj<^;s de petites
montagnes disséminées sur l'Ai .tj;iic occiden-
tale; mais au-delà de ces faibles érainences il ne
G£N£RALITf:S.
t»
marquablo
Ida et par-
lu-delà du
lion, notre
Iles dont la
i s'éloignent
roitendeux
e côté, ses
les volcans
lation de la
le hauteur«i
I Sicile II 1.x
idionale de
1 Tarchipel
: il en ver-
tandis que
qu'au bord
u nord de
lu golfe de
montagnes
rcment au
ive aux en-
manière à
la Moravie
s hauteurs
ie petites
occiden-
nces il ne
verrait plus que de vastes plaines qui s'étendent
jusnn'au bord de la Baltique et de la mer du
Nord. Si sa vue pénétrait au-flelà de ces mers, il
découvrirait les collines de l'An^'^H^^rc qui attei-
gnent leur plus grande élévation dans le pays de
Galles, celle de l'Ecosse dont la structure et la cous
titution géognostique ' sont si remarquabi s; et,
dans ni. éloignement plus grand encore, il cJistin-
gu> : 't ]<**^ montagnes delà Scandinavie, blanriiics
par des neiges perpétuelles, qu'elles doivent bien
moins à leur hauteur qu'à leur proximité du pôlt
boréal.
K Si l'observateur que nous supposons jouissait
de ce spectacle admirable pendant les dernières
chaleurs de l'été, quand la neige a disparu des hautes
sommités où elle ne reste pas toute l'année, l'éclat
de celles qui n'en sont jamais dépouillées lui servi-
rait à reconnaître les points les plus élevés. Il serait
frappé de la blancheur que plusieurs sommets con-
servent constamment sous le ciel brûlant de Gre-
nade. Il apercevrait la neige dans la Galice et dans les
Asturies; l'immense boulevard qui sépare l'Espagne
de la France lui en montrerait aussi. Il n'en remar-
querait pas dans l'intérieur de ce dernier royaume
ni sur toute l'étendue de l'Italie; mais la partie cen-
' Geos, terre, et gnosis, connaissance, forment le mot géogno-
aie, science qui explique la substance, la structure , la situation
des grandes niasses de la terra.
20 VOYAGES EN EUROPE,
traie de la chaîne offrirait à ses yeux, depuis la
source du P6 jusqu'à la Dràve, une multitude de
montagnes dentelées ou à la forme pyramidale,
dont les flancs sont recouverts de neige depuis le
sommet jusqu'à treize ou quatorze cents toises au-
dessus de la mer. 11 distinguerait encore le faîte de
quelques montagnes de l'Albanie, près des sources
de l'Aoùs, peut-être aussi quelques cimes du Balkan;
mais en avançant au nord, il n'en verrait plus que
de la Norwége, si ce n'est cependant vers la limite
septentrionale de la Hongrie, où il discernerait à
peine la pointe d'un seul pic, qui arrive tout jus-
tement à la hauteur où dans ce climat la neige ne
fond plus.
« L'observateur, auquel nous avons accordé la fa-
culté d'étendre ses regards depuis les glaciers de
la Savoie jusqu'aux confins de l'Europe, s'aperce-^
vrait que les montagnes de cette belle partie de la
terre ne forment pas une ligne unique , qu'elles ne
se rattachent pas à une seule et même chaîne. Il
reconnaîtrait, il est vrai, que plusieurs coupures
sont accidentelles et n'établissent pas une véritable
solution de continuité. 11 ne considérerait point,
par exemple, le passage que le Danube s'est frayé à
Orsava, le délilé où l'Ëlbe coule près de Schandau,
et la séparation que le Rhône a faite au fort de l'É-
cluse, entre les Alpes et le Jura, comme les points
de départ de nouvelles chaînes de montagnes; mais
, depuis la
altitude de
yramidale,
e depuis le
s toises au-
! le faîte de
des sources
duBalkan;
lit plus que
TS la limite
cernerait à
^e tout jus-
la neige ne
cordé la fa-
glaciers de
;, s'aperce-:
partie de la
qu'elles ne
: chaîne. Il
s coupures
le véritable
îrait point,
'est frayé à
Schandau,
fort de l'É-
e les points
Ignés; mais
• GÉNÉRALITÉS. Et
quelle que puisse avoir été, dans une haute anti-
quité, la. liaison des collines de l'Angleterre avec
celles de la Picardie, ou des Apennins avec les mon-
tagnes de la Corse, les brajs de mer spacieux qui
séparent aujourd'hui ces contrées ne lui permet-
traient pas plus de les comprendre dans les mêmes
systèmes des montagnes, qu'il n'est permis de con-
fondre les sommets de l'Espagne avec le Mont-
Atlas, ou les ramiBcations de l'Hémus avec les
cimes neigeuses de l'Anatolie. Nous croyons, par
conséquent, que cet observateur reconnaîtrait en
Europe sept principaux massifs ou systèmes de
montagnes, dont celui du centre, beaucoup plus
considérable que tous les autres ensemble, ren-
ferme une grande partie des hauteurs de la France,
celles de la Suisse, de l'Italie, de la Turquie, de la
Hongrie et de l'Allemagne. On peut nommer ce
massif alpique, parce que les Alpes sont le nœud
d'où, dérivent toutes les branches qui le composent.
Ce système aussi peut être divisé en cinq groupes,
.et chacun de ces groupes est divisible en un cer-
tain uombre de chaînes ou de chaînons qui sont
jitousliés entre eux, mais que l'on désigne par des
noms pai;ticuliers. Au sud-ouest du massif alpique,
les montagnes de la péninsule en forment un autre,
dont le centre est un dos très vaste et fort élevé
qui supporte les cimes de la Guadarrama, les monts
de Tolède et ceux de la Sierra -Morena. L'ancien
4/^ .'-
ê
22 VOYAGES EN EUROPE,
nom ^Hespérie, que sa situation reculée vers le
couchant fit donner à TEspagne, peut être appli-
qué à ce massif. La Corse et la Sardaigne, dont Fan-
tique liaison n'est pas douteuse, et qui sont en
quelque sorte encore jointes par le petit archipel
de la Madeleine, forment un troisième système
qu'on peut appeler Sardo- Corse ou Cyrnos-Ichnu-
sique, mot composé des noms par lesquels ces deux
îles furent connues chez les Grecs. Les anciens
noms Cimmériens (les montagnes de la Grimée),
sont évidemment un prolongement du Caucase;
mais comme toutes nos conventions géographi-
ques les font dépendre de la partie de la terre que
nous habitons, nous en formons le msimf taurique.
Au nord de celui-ci, et au centre de la Russie d'Eu-
rope, un plateau vaste et peu élevé voit naître la
Duna, le Volga et le Borysthène. Ce plateau et les
monticules qui lui sont attenans au sud -ouest,
sous le nom de monts fVolchouskit et au nord-est,
sous celui de monts Schémokouski, sont générale-
ment appelés monts Valdaï. Peut-être conviendrait-
il de ne pas mettre ces faibles élévations au rang
des montagnes; mais comme elles ont une grande
importance, parce qu'elles établissent la ligne de
partage entre les eaux de la Baltique et de la mer
Blanche d'un côté , et celles de la mer Noire et de
la mer Caspienne de l'autre , nous les considérons
comme le centre d'un système que nous nommons
lulée vers le
t être appli-
le, dontran-
qui sont en
etit archipel
me système
yrnos'lchnu-
lels ces deux
Les anciens
la Crimée),
lu Caucase;
géographi-
la terre que
ssif taurique.
Russie d'Ëu-
^oit naître la
lateau et les
sud -ouest,
au nord-est,
Ht générale-
onviendrait-
3ns au rang
une grande
la ligne de
Bt de la mer
Noire et de
considérons
us nommonis
*?
GÉrfÉRALITÉS. 23
sarmatique. L'Ecosse, l'Angleterre et l'Irlande cons-
tituent le Oàci britannique. En suivant le principe
que nous avons posé , il faudrait peut-être classer
à part cette dernière île, car le canal du ?Iord qui
la sépare du Cantire a une largeur assez considé-
rable, et si elle fut autrefois réunie à l'Ecosse,
comme les observations géologiques permettent de
le croire, ce ne peut être que dans les premiers
temps de notre globe : néanmoins, comme l'an-
cienne Hibernie a peu d'étendue, nous la joignons
ici à la terre voisine dont elle dépend. Le septième
et dernier massif se compose des Alpes Scandi-
naves, c'est-à-dire de cette longue chaîne qui oc-
cupe le nord-est de l'Europe, où elle forme main-
tenant une presqu'île, après avoir été probablement
autrefois le noyau d'une île très grande. Nous dési-
gnons ce massif sous le nom de système scandina-
vique.n > ^
Le système hespérique se compose de toutes les
montagnes qui couvrent la péninsule et de celles
qui séparent l'Espagne de la France. 11 comprend
trois groupes isolés, que l'on peut distinguer en
groupe méridional , groupe central et groupe sep-
tentrional. Le premier se replie fortement sur lui-
même et décrit une sorte de S depuis les pointes de
Roca et de Tarifa jusqu'aux montagnes de Tolède,
en poussant un long éperon dont le cap Saint-Vin-
cent est une extrémité. Le second est formé par la
U VOYAGES EN EUROPE,
chatne ibérique, qui descend obliquement de la
•ource de TÈbre aux bords de la Ségura, et puis va
se terminer au cap Roca. Le troisième contient la
chaîne pyrénaïque dans toute sa longueur, depuis
le cap Cervère jusqu'à l'embouchure du Duero: il
comprend les montagnes de loccident de TEurope,
autrement dites les Pyrénées^ et forme ainsi la fron-
tière naturelle de la France et de l'Espagne , sur
une longueur de près de cent lieues, c'est-à-dire
d'une mer à l'autre. *;.; ; ,
Le système alpique a dans un groupe occidental
les Cévennes, suite de montagnes que l'on peut
considérer comme étrangères aux Pyrénées, bien
qu'elles n'en soient séparées que par une coupure,
le col de Narouze. La direction de ce groupe est
d'abord droit au nord-est jusqu'au mont Pilât, l'un
des sommets les plus remarquables du Lyonnais;
mais à partir de ce point, la chaîne se dirige au
nord jusqu'au canal du Centre , qui la sépare de la
Côted'Or. La longueur de cette même chaîne est
d'environ cent vingt lieues, dont cinquante -sept
depuis le commencement des montagnes Noires
jusqu'à la source de l'ÂUier, et soixante-trois depuis
cette source jusqu'à l'extrémité des montagnes du
Charolais. Le faîte des Cévennes sépare les bassins
de la Garonne et de la Loire de ceux du Rhône et
de la Saône; c'est-à-dire qu'il établit dans toute sa
longueur la ligne de partage entre les eaux qui se
ment de la
, et puis va
contient la
mr, depuis
i Duero: il
5 l'Europe,
nsi la fron-
pagne, sur
î'est-à-dire
occidental
l'on peut
lées, bien
coupure,
Toupe est
Pilât, l'un
Lyonnais;
dirige au
lare de la
haine est
inte - sept
s Noires
»is depuis
agnes du
s bassins
Bbône et
toute sa
IX qui se
%
J.
Al
GÉNÉRALITÉS. Ï6
rendent dans l'Océan et celles qui se jettent dans la
mer Méditerranée. Les Cévennes sont par là tribu-
taires de ces deux mers à la fois, de la Médi-
terranée par le versant oriental, et de l'Océan
par le versant occidental. Les Pyrénées sont aussi
tributaires de ces deux mers, mais dans un sens
tout différent, suivant leurs pentes et leurs di-
rections. ' ' ' ' * '
Le canal du Centre, au nord duquel se terminent
les Cévennes , est dominé sur sa rive septentrionale
par les collines de la Côte-d'Or, à la suite desquelles
succède le plateau de Langres; puis viennent les
Vosges, dont la chaîne a une longueur à peu près
égale à celle des Cévennes , c'est-à-dire cent vingt
lieues. Ces Vosges ont souvent une forme arrondie,
oe qui leur a valu le nom de ballons. Les montagnes
de la Côte-d'Or et le plateau vde Langres sont cou-
ronnés de bois, tandis que leurs coteaux sont enri-
chis de vignobles. Les Vosges ont de très belles
forêts de sapins, et la végétation couvre ses plus
hauts sommets. Les Vosges, ayant quatre pentes
principales, versent leurs eaux dans quatre mers;
celles qui coulent au sud -est, à l'est et au nord,
sont conduites dans la Méditerranée par la Saône,
ou dans la mer du Nord par le Rhin. Les rivières
des pentes méridionales et occidentales vont se
rendre dans l'Océan et dans la Manche. Quoique la
neige se conserve une partie de l'année dans
a-
•5:
St VOYAGES EN EUROPE,
quelques anfractuosités des Vosges , les plus hauts
sommets de cette chaîne n atteignent pas la ligne
des neiges perpétuelles , qui serait à ce climat au-
dessus de treize cents toises, tandis que le ballon
des Vosges ne dépasse guère sept cents toises.
Quelques élévations de terrain dont la direction
est du nord au sud, depuis Giromagny jusqu'à
Montbelliard, établissent la liaison des Vosges avec
le Jura. La partie du Jura la plus voisine des Alpes
est aussi la plus élevée; il s'abaisse graduellement
en s'éloignant de cette chaîne colossale. Vu du lac
de Genève, le Jura se présente comme une longue
muraille, dont la hauteur est d'environ cinq cents
toises. Sur cette ligne, d'ailleurs peu ondulée, on
aperçoit quelques éminences qui sont les plus hautes
sommités de la chaîne; ce sont entre autres le
Reculet, le mont Tendre, le Colombier et la Dôle,
tous quatre points culminans. Le mont Terrible
qui avait donné son nom à un ancien département
de la France, est moins élevé, et il parait que le
mot terrible est une corruption de celui de terri,
qu'on dit être le vrai nom de cette montagne.
Le Jura se rattache par divers points à la masse
centrale des montagnes européennes. Son extrémité
méridionale au-dessus du fort de rÉcluse, ainsi que
le remarque M. Bruguière dans son Orographie,
a des couches absolument semblables à celles du
mont Vouache : ce qui démontre que le petit espace
#
plus hauts
AS la ligne
climat au-
e le ballon
toises.
1 direction
ny jusqu'à
osges avec
î des Alpes
luellement
Vu du lac
me longue
cinq cents
idulée, on
plus hautes
autres le
etlaDôle,
t Terrible
partement
'ait que le
li de terri,
tagne.
à la masse
extrémité
, ainsi que
rographiè,
celles du
Btit espace
^ GÉNÉRALITÉS. > 27
par lequel il est séparé de cette partie des Alpes
est une coupure que le Rhône a foite. La réunion
a également lieu dans le canton de Zurich , à l'aide
du Legherberg et des montagnes qui coupent le
bassin inférieur de la Limât; mais cette liaison se
manifeste bien mieux encore dans le pays de Vaud,
où la petite suite de hauteurs , connue sous le nom
de Jorat, se détache des Alpes calcaires, du Moles-
son et du Jamau« court à l'ouest et au nord-ouest,
et va se joindre au Jura près de la ville de Lassara.
Cette chaîne forme, au nord-est , le bassin du Lé-
man, et sépare les eaux qui se rendent dans l'Océan
de celles qui courent vers la Méditerranée; caries
pentes du nord versent leurs eaux dans la Broyé,
qui va se joindre à l'Aar et descend avec lui dans
le Rhin, tandis que les eaux du versant méridional
tombent dans le lac de Genève. >v> ?<. ?, » -.i
Le groupe central de l'Europe est celui des Alpes,
mot dérivé du celte alb ou alp, dont le sens est
montagne. Ce mot a été souvent employé par les an-
ciens pour désigner de grandes élévations. ' -^'
Les Alpes forment cette longue suite d'aspérités
qui commence au bord de la Méditerranée, entre
la Ligurie et le Piémont, sépare le bassin du Rhône
de quelques affîucns du Pô, et s'étend à travers la
Suisse, les Grisons et le Ty roi jusqu'aux sources de
la Drave et de la Salzach. Au point où ces dernières
rivières prennent naissance, la chaîne se divise en
S
il VOYAGES EN EUROPE,
deux principales li^fnes de montagnes. Celle du
nord couvre le pays de Salzbourg, la Styrie et 1* Au-
triche, tandis que la rangée du sud, après avoir
séparé la Gàrinthie du pays vénitien, se subdivise
encore près des frontières de Tillyrie en deux bran-
ches qui renferment le bassin de la Save. La plus
septentrionale des deux va dans TEsclavonie jus-
qu'auprès de Brodi, et '*autre semble se terminer
au fond du golfe de Quarnero et sur les bords de
la Kulpa. Les montagnes qui, au-delà de cette ri-
vière, se dirigent au sud-est vers la Dalmatie, ont
été appelées par quelques géographes allemands
Alpes dinariques. EWes font aussi partie du système
alpique, et ne sont même pas totalement séparées
du groupe central , mais elles semblent appartenir
au mont Hémus.
L'étendue de la ligne courbe que forme cette
longue suite de montagnes est de deux cent soixante
lieiies environ depuis Savona jusqu'à Fiume, de
deux cent quatre-vingts depuis le même point jus-
qu'à Presbourg, et de trois cent vingt lieues jusqu'à
Brodi. Sa. largeur est de trente à quarante lieues
dans la Suisse et dans les Grisons, sous les mé-
ridiens du Saint-Gothard et du Septimer; elle
est même de soixante et quelques lieues dans le
Tyrol.
Toute cette chaîne prend différens noms qui
furent donnés par les Romains, et que les modernes
on
lie
ne
se
Vi
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Celle du
ie et TAu-
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GÉNÉRALITÉS. '* ' 29
ont conservés; savoir : Alpes maritimes, Alpes cot-
liennes, grecques, pennines, helvétiques, rhétien-
nes, nOà>iques, carniques et juliennes.
Les Alpes maritimes commencent à la vallée de
Savona,6 degrés 13 minutes à l'orient de Paris, et
se développent jusque dans le voisinage du mont
Viso. Leur longueur est de quarante lieues. Moins
élevées que celles de la Savoie et de la Suisse, elles
augm'*n- -^nt progressivement de hauteur, à mesure
qu'elles a/ancent au nord. La Sarsa Morena, mon-
tagne située près de la source de la Stura, est dé-
pouillée de neige pendant deux ou trois mois de
l'année ; mais les hauteurs qui avoisinent le mont
Viso atteignent la ligne des neiges perpétuelles. La
Bormida, le Tanaro, le Var et le Verdon sont les
principales rivières qui sortent de cette partie de
la chaîne. ;;,:!) >n '^h'yHtmïxiuihvj ^jmoij ^jr.-ïi i^'y.
Les Alpes cottiennes, dont le nom vient de Oot-
tius, petit prince qui avait sa résidence à Suze, au
pied de ces monts, et qu'Auguste, maître des Gaules,
maintint dans son gouvernement, partent du mont
Viso et s'étendent jusqu'au mont Genis. Leur lon-
gueur est de vingt-cinq lieues. Les rameaux qui s'en
détachent vers l'est ont peu d'étendue; ceux de
l'ouest couvrent une partie de la Haute-Provence ,
et du Dauphiné, sous les noms de Hautes et Basses-
Alpes, et s'étendent jusqu'au Rhône. Le Pô, la Du-
rance et la Drômc prennent leurs sources dans les
>'
M
'-T<r
t»\â>
^
30 VOYAGES EN EUROPE.
Alpes cottiennes, et la route du mont Genèvre eit
une de leurs merveilles. - ' "^ '
Les Alpes grecques, ainsi nommées par les Ro-
mains, parce qu'ils croyaient qu'Hercule les avait
traversées en revenant d'Espagne sont comprises
entre le mont Cenis et le col du Bonhomme.
Une grande partie des montagnes de la Savoie
appartient à cette section dont la longueur est
d'une vingtaine de lieues. Le petit Saint -Ber-
nard en dépend, de même que le mont Cenis sur le
col duquel passe la belle route de ce dernier nom.
L'Isère est la plus remarquable des rivières qui
sortent des Alpes grecques. ......
Les Alpes pennines, mot dérivé du celte* penn,
qui signifie tête, se développent depuis le col du
Bonhomme jusqu'au mont Rosa. Elles comprennent
les trois points culminans de la chaîne, savoir: le
mont Bl^nc, le mont Rosa et le mont Gervin. Les
plus vastes glaciers de l'Europe entourent les bases
de ces montagnes, d'où il ne sort cependant aucune
rivière considérable. Cette circonstance tient k la
proximité des deux vallées longitudinales dans les-
quelles coulent le Rhône et le Pô; les cours d'eau
que produisent les glaciers des Alpes pennines se
perdent dans ces fleuves avant d'avoir pu acquérir
de grandes dimensions. La distance entre le col du
Bonhomme et le mont Rosa est d'environ vingt
lieues. •:--ri-'\i' ' ■ •" •'.<•? -^t :..•.< ^- --
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GÉNÉRALITÉS. ffl
Le mont Blanc, situé à Touest du Grand Saint-
Bernard, s'élance comme une immense pyramide
au-dessus d'un vaste assemblage d'autres pics et de
glaciers. On évalue sa hauteur à deux mille quatre
cent soixante-cinq toises. Six glaciers le séparent des
montagnes voisines; ses flancs en offrent encore
deux autres. A partir de sa cime jusqu'au quart
environ de sa hauteur , une couche de neiges éter-
nelles le recouvre, et laisse apercevoir à peine
quelques rochers, si ce n'est sur la face qui re-
garde l'Italie et qui semble taillée presque à pic.
La cime du mont Blanc ne présente point un pla-
teau, mais bien une espèce de dos d'âne ou d'arête
allongée dans la direction de l'est à l'ouest, tellement
étroite en quelques endroits que deux personnes ne
pourraient y marcher de front, jj . ,i icjai* uwi
Les Alpes helvétiques, nommées lépontiennes ,
du nom des Lepontii, anciens habitans de la contrée
où naissent le Rhin, le Rhône et le Tésin, sont
comprises entre le mont Rosa et le Bernard ino,
montagnes situées à vingt lieues l'une de l'autre.
A l'est du Luckmanier, partie du mont Adule qui
conamunique au Saint-Gothard, les montagnes qui
entourent le val Blegno inclinent au sud et vont se
joindre au Bernardino. La branche la plus élevée
et la plus remarquable des Alpes helvétiques ou
de la Suisse est celle qui, en courant parallèlement
au faite, forme la paroi septentrionale du Valais,
32 VOYAGES EN EUROPE.
depuis le massif du Saint-Gothard jusqu'au lac de
Genève. ' ^*
Parmi les sommités les plus remarquables des
Alpes helvétiques ou lépontiennes, il faut citer le
Saint-Gothard, vers lequel le Rhône et le Rhin ont
leur source; et le Simplon, sur le col duquel les
Français ont ouvert, en 1805, une route qui étonne
l'imagination. ""' "^
Les Alpes rhétiennes ou rhétiques couvrent une
partie de Tancienne Rhétie, et se composent de
montagnes des Grisons et du Tyrol. Elles commen-
cent au Bernardino et finissent au pic des Trois-
Souverains. Leui* longueur est d'environ soixante
lieues. Dans ;a partie occidentale est la branche qui
porte le nom d!Àrlbe)rg et de Forarlberg ; et le pro-
longement de ces montagnes , qui couvre la con-
trée située entre le Lech et le lac de Constance , est
ce qu'on appelle les u^lpes d'Algau ou Alpes alga-
viennes. Le versant septentrional des Alpes rhé-
tiennes donne naissance à plusieurs grandes rivières :
l'Iller, le Lech, l'isar et Tlnn, toutes tributaires du
Danube. La pente sud voit naître TAdda, l'Oglio et
l'Adige. '*=■'' ''' »' ' '=
Les Alpes noriques tirent leur dénomination de
la province romaine appelée Noricwn. Elles se di-
rigent à l'est vers la Hongrie, tandis qu'une de leurs
branches, la plus remarquable par sa hauteur,
court du snd-ouest au nord-est jusqu'à Vienne. Le
GÉNÉRALITi^IS.
83
[u'au lac de 1 ^^'^^ ^^ ^^^'^ Wgne de montaf^nes porte dans le pays
le nom de Tauern, qui veut dire tour. Deux rangées
{uables des
aut citer le
le Rhin ont
duquel les
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le de leurs
hauteur,
tienne. Le
de hauteurs accoinpa{;ncnt le faite norique, une
au sud et Tautre uu nord. La première, qui sépare
la vallée de la Muhr de celle de la Drave, fait partie
des Alpes de Styric. Toutes les eaux qui sortent
des Alpes noriqucs rentrent dans le Danube. La
longueur des Alpes noriques est d'environ quatre-
vingt-dix lieues.
Les Alpes carniques couvrent le pays des anciens
Carni, peuple qui habitait au sud du Noricum.
Cette chaîne n'est interrompue nulle part depuis
le lac où la Brenta prend sa source jusqu a Tarvis.
Les Alpes carniques ont aussi une longueur d'en-
viron quarante -cinq lieues, depuis Perine, à Test
de Trente, jusqu'au col de Tarvis.
Les Alpes juliennes, qui font suite ou se lient
aux Alpes carniques, tirent leur nom, suivant quel-
ques-uns, de l'ancienne ville de Forum Julii, ou,
suivant d'autres, d'un passage que Jules-César avait
pratiqué dans ces montagnes. La terre se partage
en deux branches dont la séparation a lieu au sud-
est de Tarvis , et ces branches bornent au nord et
au sud-ouest le bassin de la Save. Près du célèbre
lac de Kirknitz, la branche du sud-ouest se subdi-
vise en deux rameaux, dont le plus occidental se
porte vers Fiume, tandis que l'autre se dirige à
l'est et se trouve séparé des Alpes dinariques par
XLVI. 3
34
VOYAGES EN EUROPE.
le bassin de la Kulpa. La Save est la principale ri-
vière des Alpes juliennes. Le revers sud voit naître
le Lisonzo, qui coule vers la mer Adriatique.
Aux Alpes maritimes que nous avons d'abord
nommées succèdent les Apennins, qui, à partir du
col de Tende, en font un véritable prolongement
vers l'Italie, et dans toute sa longueur jusqu'au dé-
troit de Messine, leur extrémité la plus méridionale.
Leurs cimes les plus hautes se trouvent dans la
partie septentrionale du royaume de Naples; l'une
d'elles, le mont Corno, atteint quatorze cent
quatre-vingt-neuf toises au-dessus du niveau de
la mer. L'aspect de cette chaîne apennine est
triste; on n'y rencontre ni glaciers ni prairies
verdoyantes; les pics sont le plus souvent nus et
décharnés.
L'ensemble du système des Alpes offre, avons-
nous dit, les sommets les plus élevés de l'Europe.
Il occupe l'espace compris entre le 2* et le 13** degré
de longitude est , et celui contenu entre le 37* et le
5 r degré de latitude nord: il recèle une grande
variété de minéraux. A la hauteur de quinze cents
toises commence une région stérile, couverte de
vastes amas de neiges et de glaces éternelles, dési-
gnées sous le nom général de glaciers. Ces glaciers
se retrouvent dans des régions plus basses, dans le
fond de certaines vallées où la glace s'est accumulée
par des éboulemens de neige nommés avalanches.
rincipale ri-
1 voit naître
tique.
)ns d'abord
à partir du
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jusqu'au dé-
néridionale.
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• •- "■■■■»»,«■
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e l'Europe,
e 13" degré
le 37* et le
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ouverte de
elles, dési-
res glaciers
es, dans le
accumulée
ivalanches.
GÉNÉRALITÉS. ' 35
qui se détachent et roulent avec un horrible fracas
des sommets supérieurs.
Les plus grandes vallées des Alpes courent dans
le sens de la chaîne ou à peu près dans la même
direction. Les vallées transversales sont moins lon-
gues. La plus remarquable de ces dernières sert de
bassin à l'Adige. La plus belle des vallées longitu-
dinales est celle de la Drave viennent ensuite celle
du Rhin et celle du Rhône ou le Valais. Comme le
versant oriental et méridional des Alpes est en dé-
clivité très forte, au lieu que le versant occidental et
septentrional est en pente plus douce, il en résulte
que, du côté de l'Italie, par exemple, les vallées des
Alpes sont plus élevées que celles de France et d'Hel-
vétie. Toutes ces vallées offrent, durant la belle
saison, d'innombrables troupeaux de vaches, de
bœufs, de moutons et de chèvres; au-dessus des
pâturages et vers la région des neiges s'élèvent le
bouquetin ou chamois et le lièvre blanc, ainsi que
la marmotte et le grand aigle. -
On ne peut franchir les Alpes que par des cols
ou défilés presque tous fort élevés. Les armées ro-
Iraaines que l'on faisait passer de l'Italie dans les
Gaules traversaient ou les Alpes maritimes le long
de la mer, ou le col du mont Genèvre, ou celui du
mont Cenis, ouïe Petit et le Grand Saint-Bernard,
ou le Saint-Gothard , ou le Bremen ou le col de
Tarvis. Dans les premières années du Xix* siècle.
30 VOYAGES EN EUROPE.
les armées françaises s'étant emparées de tous ces
passages, le génie de Napoléon y fit pratiquer de
magnifiques routes dont les plus célèbres sont celles
du mont Genis, du mont Genèvre et du Simplon,
la merveille des merveilles en ce genre. Voici les
hauteurs de quelques-unes de ces dépressions de
faîte. ■»,.
Jlpes maritimes.
Hauteur
au-drssus de la mer.
Col de Tende, route de Nice à Turin 921 toises.
Col de Genestres, aboutissant au village d'En-
tragny ... 1174
€oI Longet, entre la vallée de l'Ubaye et celle
delaVraita 1618
s
Alpes cottiennes. <■
Col du mont Viso 1665
Col de Servière, au sud-est du mont Genèvre. . 1 197
ColdumontGenèvre, au nord-est de Briançou. 1013
'-. . . ' Alpes grecques.
Col du mont Genis 1059
Col du Petit Saint-Bernard 1125
Col de la Seigne entre le Petit Saint-Bernard et
le Bonhomme 1263
■ i-.' Alpes pennines.
Col du Bonhomme, entre la vallée deTArveet
celle de l'Isère 1255
Col Ferret, au nord-est du mont Blanc- 1 195
Col du Grand Saint-Bernard 1246
Col du mont Cervin, entre le Piémont et le
. Valais 1736 •
Col
le tous ces
atiquer de
; sont celles
1 Simplon,
;. Voici les
ressions de
Hauteur
au-drssas de la mer.
921 toises.
1174
1618
1665
1197
1013
1059
1125
1263
1255
1195
1246
1736
GENERALITES. 87
Alpes lépontiennes.
Col de Montemoro, entre le Piémont et le
Valais 1398 toises.
Coi du Simplon dito 1029
Col de Griès dito 1223
Col du Saint-Gothard, entre la vallée de la
Reuss et celle du Tésiu 1065
Col de Luckmanîer, entre la vallée de Levan-
tine et celle de Medds... ^ 957 I ■
Col de Gemmi, entre le Valais et le canton de
Berne 1158
Col du Grimsel dito 1314
iCol de la Furca, entre le Valais et la vallée
d'Urseren 1363
à
|t Alpes rhéliennes.
Col du Bernardino , entre la vallée du Haut-
.| Rhin et celle de Misox 1097
Col du Splugen, entre la vallée du Haut-Rhin
et le lac de Como 1065
"Col du Brenner, entre la vallée de l'Adige et
j celle de l'inn 729
Col du mont Julien, entre les Grisons et la
Haute-Engadine 1 138
^ol de la Scaletta, entre l'Engadine et Davos. 1342
i ■ " '
1 Alpes noriques.
Col du Tauern de Hadstadt 800
ICol duSoemmering, entre l'Autriche etla Styrie. 490
§ - ■ ■
I Alpes carniques. .
Col de Calamenta 1049
€ol Grande 830
^ol deKadin-KoFel, entre la Carniole et la val-
lée du Gail 1266
^
M
VOYAGES EN EUROPE.
Mpes juliennes.
Col du Predil , entre Lisonzo et Tarvis 600 toises.
ColduLeobel, route de Laybach à Klagenfurlh. 672
Après les Alpes, auxquelles nous avons cru devoir
donner ici un peu de développement, viennent les
montagnes de THémus, qui se lient à la chaîne di-
narique, sous le 44" degré de latitude nord. Le mont
Hémus proprement dit court vers l'est jusqu'au
rivage du Pont-Euxin. Il a plusieurs branches qui
s'étendent vers la Grèce, et que, par cette raison,
nous pouvons désigner sous le nom de montagnes
helléniques.
Les Alpes et les monts Hémus sont séparés par
le bassin du Danube d'un autre système de mon-
tagnes, que l'on appelle les monts Carpathes ou Kra-
packs. Ce système est avant-terrasse des Alpes, et
aficun de ces sommets mesurés, n'atteint neuf mille
pieds, pendant que l'élévation générale est de quatre
à cinq mille pieds, c'est-à-dire égale aux passages
des chaînes alpines, mais il présente une grande
largeur, et renferme de grands plateaux ou bassins
élevés ou fermés, tels que la Bohème et la Transyl-
vanie. C'est la chaîne la plus riche en or, en argent
et en sel gemme; ces montagnes n'ont pas de gla-
ciers ni de creux profonds comme les Alpes. Les
principales parties de ce système sont les monts de
♦:;:
. 600 toises.
b. 672
ns CPU devoir
viennent les
ia chaîne di-
3rd. Le mont
est jusqu'au
)ranches qui
cette raison,
e montagnes
séparés par
me de mon-
uthes ou Kra-
les Alpes, et
vt neuf mille
est de quatre
Eiux passages
une grande
IX ou bassins
t la Transyl-
>r, en argent
t pas de gla-
îs Alpes. Les
les monts de
GÉNÉRALITÉS. 3»
Transylvanie, appelés ainsi du nom d'une des pro-
vinces de l'empire d'Autriche, et connus des anciens
sous le titre d'Alpes bastarnrjues. Celte chaîne du
côlé de l'est forme une limite entre l'empire d'Au-
triche et la Turquie d'Europe. Peu de montagnes
renferment un système minéral plus varié. Les
monts Carpalhes proprement dits séparent la Hon-
grie de la Pologne, tandis que les monts Sudètes
qui en dépendent séparent la Silésie de la Bohème,
et qu'une branche appelée les monts métalliques ^
court entre la Bohême et la Saxe.
Le système des Carpathes , compris entre le S^^et
le 30^ degré de longitude est, c'est-à-dire à partir
du ccurs du Rhin jusqu'à la source du Niémen, et
le 44* et le 54^ degré de latitude nord depuis le
cours du Danube jusqu'à l'embouchure de l'Elbe,
couvre en longueur un espace d'environ deux cent
soixante-dix lieues; la largeur des terres hautes
varie de dix à quarante lieues. Séparé dans touta
sa longueur du système des Alpes par le cours en-
tier du Danube, le système des Carpathes vient s'y
rattacher vers le nord, derrière les sources de ce
fleuve par les montagnes de la forêt Noire. S'il le
dispute à celui des Alpes par l'étendue, il est loin de
rivaliser en hauteur avec lui. Les sommets les plus
élevés sont dans les Crapacks et ne dépassent point
treize cent cinquante toises. Cette élévation décroît
rapidement à m-e^ure que la chaîne s'avance verj
40 VOYAGES EN EUROPE,
le nord ou vers le sud. Les glaciers, comme nous
l'avons dit tout à l'heure, y sont inconnus, et les
lacs y ressemblent à des marais. Ce vaste assem-
blage peut être considéré comme l'avant-terrasse
des Alpes. 11 forme ' ne limite remarquable entre
la végétation de l'Europe du nord et celle de l'Eu-
rope du midi; la vigne ne parait pas pouvoir la
dépasser au nord ; la culture du riz et du maïs cesf.&
en deçà ; le seigle est au-delà plus répandu que le
froment.
Vers les limites de l'Asie se présentent les monts
Ourals ; c'est moins une chaîne qu'un plateau, s'éle-
vant insensiblement du milieu de la Russie, dans la
direction est et nord-est, mais qui, étant couronnée
d'une crête peu marquée , assise sur une base déjà
élevée, paraît égaler dans son niveau absolu les
montagnes de Saxe. Ce système n'arrive frak sept
mille pieds au-dessus du niveau de la mer. Aucune
des suites de collines et de rochers qui traversent
la Russie ne lie distinctement les monts Ourals aux
autres systèmes européens.
Le plateau de Waldaï, d'où descendent le Volga
vers la mer Caspienne , la Duna vers la mer Balti-
que, et le Dnieper vers la mer Noire, n'est qu'une
plaine haute, couronnée de collines de douze à treize
cents pieds au-dessus du niveau de la mer. Ce pla-
teau même, ainsi que le remarque le savant Malte-
Brun, s'abaisse du côté de la Pologne, tellement
omme nous
mus, et les
aste assem-
ant-terrasse
uable entre
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pouvoir Ja
1 maïs cessb
mdu que le
it les monts
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ler. Aucune
i traversent
Ourals aux
int le Volga
i mer Balti-
l'est qu'une
►uze à treize
1er. Ce pla-
vant Malte-
, tellement
GÉNÉRALITÉS. 41
que les sources de la Bérésina, du Niémen, du
Pripetz se trouvent dans une p'aine sans pente
sensible, et à peine élevée de deux cents pieds
au- dessus des mers où s'écoulent les eaux de ces
rivières. ^'
Vers le nord-ouest de l'Europe s'étend la chaîne
des Alpes Scandinaves ou dofrines. La direction de
ces montagnes est du sud au nord, et la chaîne
principale commence à l'extrémité méridionale de
la Norwége, pour aller finir au cap Nord, qui s'a-
vance dans l'océan Glacial arctique, à la partie du
milieu où les Dofrines propres olTrent le vrai carac-
tère d'une chaîne. La Laponic et le sud-ouest de la
Norwége sont deux plateaux couronnés de chaînes
isolées. Les se ^imets les plus élevés de cette chaîne
scandinavique n'atteignent que sept ou huit mille
pieds. Une branche inféric ire sous le nom de monts
Sèves entre sur le territoire de Suède et s'y termine
en collines. Des hauteurs à peine sensibles traver-
sent la Laponie pour s'unir aux collines rocheuses
de la Finlande.
Dans leiî îles Britanniques se trouvent les monts
Grampians ou Calédoniens, dont l'élévation ne sur-
passe pas cinq cents pieds. H y a aussi les monts
Cambriques dans le pays de Galles.
Indiquons maintenant les points culminans des
principales montagnes de l'Europe, d'après M. Bru-
guière et M. Balbi. , r. '
4
J^
42 VOYAGES EN EUROPE.
, SY.STÈME HESPÉRIQUE.
Chain» pceni-bettique ou Sierra-Nevada.
Gerro de Mulhaceu 1823 toises.
Pic de Veleta 1780
■ Çluitne marianique. • .,.. ,y , .
Sierra Sagra.. 028 ' i ,.,;
Gumbre d'Aracena 860
La Foya 638 ''^ -
Chaîne oreto-hernicicnne ou Sierra de Tolâde.
Sierra de Guadalupe 800
Sierra de Portalcgre 333
Chaîne carpeto-vettonique.
Sierra de Gredo) 1650
Penalara 1286
Pierra d'Estrella 1077
Monta Giutra 300
Chatne celtibirienne.
Moncayo 1500,
Sierra d'Occa 850
Pyrénées gallibériques.
Maladelta ou pie Netliou 1787
Pic Posets 1764
Mont Perdu 1747
Le Ganigou 1430
Pyrénées cantabriques. '
Sierra d'Aralar 1100
Pyrénées asturiques.
Pena de Peneranda 1720 '
Sierra de Penamarella 1480
4a.
■1823 toises.
1780
928
860
638
ilâde.
800
333
1650
1286
1077
300
150a
850
1787
1764
1747
1430
1100
1720
1480
t .'. Vf
v; I
GÉNÉRALITÉS. U
Pyriniea gallatques.
Pena Trevinca ^500 toise».
4 ■ SYSTÈME GALLr» .ANCIQLE.
Cévennes. . ." %»
V\G montant. •. 534
La Lozère : 764 ,
Mont Metenc, en Vivarais 010
Mont Pilet «10
Chaînes des Vosges.
Ballon 734
Mont Tonnerre 348
Mont Afrique , près Langres 293
Montagnes d'Auvergne. s
Puy de Sancy, dans les monts d'Or. 973
Plomb du Cantal 953 .^
Puy-dç-Dôme 758 ^;
SYSTÈME ALPIQUE.
Alpes maritimes.
Mont Pelvo 1557
Montagne de Lure 900
''' Mpes cotliennes.
Mont Olan «163
Mont Pelvoux de Valouise 2102
Mont Viso.. 19C8
Mont Genèvre 1043
Alpes grecques.
Mont Iseran 2076
Petit Saint-Bernard 1500
t
4-1 VOYAGES EN EUROPE.
jélpet pennines.
Mont Blanc 2460 toises.
Moût Rosa 2371
Mont Cervin 2310
Mont Gombin 2209
Le Géant 2168
Jlpes lipontiennes. • '
Simplon 1805
Saint-Gothard 1667
j^lpes rhétiennes.
Orseler-Spitz 2010
Monte deirOro 1648
Alpei noriques.
Oross-Glockner 1998
* jélpes bernoises.
lung-Frau 2146
Jorat 639
Le Jura,
Le Reculet 880
La Dôle 860
Alpes cantiques,
Marmolata 1663
Le Grand-Nabois 1600
Alpes juliennes. .,
Mont Terglou 1699
Monte Maggiore 715
Apennins.
Monte Gimone 1091 ; . . , .
Monte Cavallo ou Monte Corno 1489
Moi
Moii
2460 toises.
237 J
2310
2209
2168
:l
V
GÉNÉRALITÉS. 45
Mont Amaro 1428 toises.
Mont Etna 1700
SYSTÈME SLAVO-HELLÉNIQUE.
Monte Dinars 1156
Balkan 1400
Mont Parnasse 900
Tamoros 1000
Mont Olympe 1000
MontiEta 800
Mont Cithéron 650
Mont Ida 1200
SYSTÈME CARPATHIEN.
Monts Carpathes.
Ruska Poyana 1550
Guiluripi 1500
Pic Lomnitz 1300
Monts Sudétes.
Le Kiesenkv.pe 825
Le Keilberg, dans FEIgebrige 661
Monts Kercjrniens.
LeFeldberg 731
Le Hohenberg 625
SYSTÈME SCANDINAVIQUE.
Monts Thuliens.
Le Sognefield 1123
Le Gousta 1012
Monts Dofrines.
Le Skagstlos-Find 1313
Le Sneehatteu 1270
Le Sulitelma 951
4fl VOYAGES EN EUHOPE.
SYSTÈME BRITANNIQUE.
Monté Grampiant.
Ben-Nevis 082 toinefi.
Iffonts Cheviots.
Le Lowlher 490
Chaîne centrale.
Le SnowdoD 556
Chaînons de l'Irlande,
Le Karran-Tual 534
Le Snieb-Dorin 402
Après avoir fait connaître les principales mon-
tagnes de l'Europe, leurs chaînes, leurs déBIés et
leurs points culminans, nous pouvons indiquer les
principaux fleuves ou principales rivières qui en
descendent, en rangeant toutefois ces cours d'eau
d'après les mers qui les reçoivent
Malte-Brun établit neuf bassins ou réservoirs des
fleuves; savoir: bassin de l'océan Glacial, bassin de
la mer Baltique, bassin de la mer du Nord, bassin
de l'océan Atlantique, deux bassins de la Méditer-
ranée, un bassin de la mer Adriatique, bassin de
la mer Noire et bassin de la mer Caspienne.
Dans le bassin de l'océan Glacial se rendent, la
Petzora, qui descend des monts Ourals, et dont le
cours est de c<ent cinquante lieues; la Metzen, qui
descend de k pente nord du plateau d^ Russie et
dont le cot««*s est de cent lieues; la Dwina, qui des-
082 toiflCA.
490
556
534
402
aies mon-
défilés et
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Durs d*eau
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bassin de
nne.
endent, la
et dont le
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Russie et
a, qui des-
■f-
GÉNÉRALITÉS. 47
ccnd du même plateau, et dont le cours est de
cent soixante lieues; l'Onega, qui descend du m^me
plateau encore, et dont le cours est de soixante-dix
lieues; la Tana, qui vient du penchant nord-est des
monts Scandinaves, et dont le cours est de cin-
quante lieues.
Le bassin de la mer Baltique reçoit les eaux de
quatre versans; 1" du penchant est des monts Scan-
dinaves et ouest de la Finlai. Je, s'écoulent dans le
golfe Bothnique, le Tornéo dont le cours est de
quatre-vingts lieues; laLuisna, au cours de quatre-
vingt-six lieues; laDala, au cours de quatre-vingt-
dix-huit lieues ; T du penchant sud de la Finlande
descendent vers le golfe de Finlande, la Neva, qui
passe à Saint-Pétersbourg, et la Kymène, écoule-
ment des eaux de la Finlande; 3° du penchant occi-
dental du plateau central de la Russie, viennent la
Duna, au cours décent quarante lieues, et le Nié-
men, au cours de cent cinquante lieues; 4o du pen-
chant nord des Carpathes et des Sudètes, descendent
la Vistule, au cours de cent quatre-vingt-dix lieues ;
le Bug, au cours ée oent lieues ; l'Oder, au cours
de cent cinqua«Kc lieues; la Wartha, au cours de
cent dix lieuo*
Le bassin de la mer du Nord reçoit les eaux de
quatre ve«Rans principaux: 1" du penchant de la
Norwégr. de la Suède et du Danemark, s'écoulent:
la Glovmma, au cours de quatre-vingt-dix lieues;
■II-
48 VOYAGES EN EUROPE,
la Gotha, y compris la Clara et le lac Vener, au
cours total de cent vingt -cinq lieues; 3" du pen-
chant nord des Sudètes et des monts Hercyniens,
c'est-à-dire de FAllemagne septentrionale, descen-
dent : TËlbe, au cours de cent quatre-vingt-dix lieues;
la Saale, au cours de soixante lieues; la Sprée, au
cours de soixante-quinze lieues; leWéser, au cours
de cent lieues ;rEms, au cours de soixante-dix lieues;
3° du penchant occidental de rAUemagne, septen-
trional de la Suisse, et oriental et septentrional de
la France et de la Hollande, descendent : le Rhin, au
cours de deux cent vingt* cinq lieues; le Mein, au
cours de cent dix lieues ; la Moselle , au cours de
cent seize lieues; la Meuse, au cours de cent vingt
lieues; l'Escaut, dont le cours est de soixante-huit
lieues ; 4" du penchant oriental de la Grande-Bre-
tagne, descendent la Tamise , au cours de soixante
lieues , et le Trent ou Humber , au cours de soixante
lieues.
Le bassin de Tocéan Atlantique reçoit les eaux
de six versans : 1** du penchant occidental de la
Grande-Bretagne, la Saverne ou Savern, au cours
de soixante lieues; 2" du penchant occidental d'Ir-
lande, le Sharnon, au cours de soixante-dix lieues;
3** du penchant nord-ouest de la France , bassin de
la Manche, la Somme, au cours de trente lieues;
la Seine, au cours de cent dix lieues; 4° du pen-
chant ouest de la France, la Vilaine, au cours de
5 Venep, au
3" du pen-
Hercyniens ,
aie, descen-
gt-dix lieues;
la Sprée, au
>er, au cours
te-dix lieues;
gne, septen-
tentrional de
;:le Rhin, au
le Mein, au
au cours de
le cent vingt
ioixante-huit
Grande-Bre-
I de soixante
s de soixante
oit les eaux
dental de la
m, au cours
ndental d'ir-
te-dix lieues;
5e , bassin de
•ente lieues;
4° du pen-
au cours de
' (;ÊNERALITÉS. 4»
trente lieues; la Loire, au cours de cent quatre-
vingts lieues; la Garonne, au cours décent quinze
lieues; l'Adour, au cours de soixante lieues; 5** et
6° du penchant nord et ouest de l'Espagne , le
iDouro, au cours de cent vingt-cinq lieues^ le Tage,
au cours de cent soixante lieues; la Guadiana, au
cours de cent quarante lieues; le Guadalquivir, au
cours de cent lieues. ^ ^ T<,>,r* »'itr' >' • ■ m'^ >■ li
Le premier bassin de la Méditerranée, partie
européenne, reçoit, 1" du penchant est de l'Espa-
gne, rÈbre, au cours de cent vingt-cinq lieues;
2" du penchant sud de la France, le Rhône, au
cours de cent trente lieues; 3" du penchant occi-
dental des Apennins, l'Arno, au cours de trente-
cânq lieues; le Tibre, au cours de soixante lieues;
te Volturne, au cours de trente lieues, t'- îU-j-^u'.
Le bassin de la mer Adriatique reçoit les eaux de
quatre penchans : 1" du penchant oriental des
Apennins, l'Ofanto, au cours de trente lieues; 2" du'
penchant sud-est des Alpes, le Pô, au cours de ce^t
▼ingt-cinq lieues; l'Adige, au cours de soixante-
quinze lieues; TAdda, au cours de cinquante lieues;
3* du penchant sud de la Dalmatie, la Narenta, au
0ours de quarante lieues ; 4" du penchant occiden«-
tal du mont Hémus, le Dria septentrional, au cours •
de soixante lieues; le Vouioussa, au cours de qua-
rante lieues. .. - ' ii.dKui )! ,nrni.
Le deuxième bassin de la Méditerranée, partie
XLVI. 4
SO VOYAGES EN EUROPE,
européenne; reçoit les eaux de deux versans : 1" du
penchant sud de la Sicile, de la Galabre et de la
Mot'ée, rAspropotamo, au cours de quarante lieues;
TAlphée et TEurotas, au cours de chacun trente
lieues; 2° du penchant est et sud de la Grèce, le
Yardar ou Axius, au cours de soixante-quinze lieues;
le Maritza ou THèbre, au cours de quatre-vingt-
dix lieues; leStrymon , au cours de quarante lieues;
le Pénée, au cours de trente lieues.
Le bassin de la mer Noire, partie européenne,
reçoit les eaux de trois penchans : 1** du penchant
est des Alpes et sud de Sudéla et des Carpathes,
le Danube , au cours de cinq cent soixante-dix lieues;
la Draye, au cours de cent vingt lieues; la Save, au
cours de cent dix lieues; la Theiss, au cours de cent
soixante-cinq lieues; le Maresch, au cours de cent
dix lieues; le Pruth , au cours de cent trente lieues;
du penchant naéridional de la Russie et de la
Pologne centrale, le Dniester, au cours de cent
soixante lieues; le Dnieper, au cours de trois cent
cinquante lieues; le Sem, au cours de cent soixante-
dix lieues; leBog, au cours de cent quarante lieues;
le Pnepetz , au cours de cent lieues ; 3" du pen-
chant sud de ^a Russie, bassin particulier de la mer
d'Azof, le Don, au cours de trois cent soixante
lieues ; le Doneth , au cours de cent quarante lieues.
Enfin, le bassin de la mer Caspienne, partie eu-
ropéenne, reçoit du penchant sud de la Russie
rsans:l'du
»re et de la
rante lieues;
acun trente
a Grèce, le
linze lieues;
uatre-vingt-
'ante lieues;
iuropéenne,
lu penchant
Carpathes,
:e-dix lieues;
la Save, au
ours de cent
)urs de cent
'ente lieues;
et de la
jrs de cent
e trois cent
înt soixante-
*ante lieues;
3° du pen-
er de la mer
;nt soixante
rante lieues.
, partie eu-
e la Russie
GÉNÉRALITÉS. 51
centrale, et sud ou est des monts Ourals, le Volga,
au cours de six cent quatre-vingts lieues; TOcca,
au cours de deux cent dix lieues; le Wettuga, au
cours de cent trente lieues; la Lura, au cours de
cent dix lieues; la Cama, au cours de deux cent
soixante lieues; le Wiatka, au cours de cent cin-
quante lieues; la Bielaia, au cours de cent vingt
lieues; la Saraara, au cours de cent lieues; et TOu-
ral ou le Jaïk, frontière de l'Europe à l'est, au cours
de trois cent quarante lieues.
Le climat de l'Europe offre un ensemble très
compliqué; la distribution de la chaleur solaire en
est la première cause, mais elle n'agit pas seule, et
l'on doit tenir compte de l'influence qu'exercent
prirc. s' ment à l'est le plateau de l'Asie, au sud,
le di africain et l'océan Atlantique. A l'est, l'Eu-
rope tient presque dans toute sa largeur à l'Asie
septentrionale; ce voisinage nouveau devant l'est,
qui à travers les vastes plaines de la Russie et de la
Pologne apporte l'air glacial de la Sibérie. Les Alpes
et les Apennins mettent l'Italie à couvert de ce
froid, comme aussi les Carpathes protègent la Bo-
hème et la Hongrie, et Cliristiania en JXorwége
doit à l'abri des monts Scandinaves un climat plus
agréable que celui de Berlin ou de Varsovie. Le
libre cours du vent d'est dans les plaines de l'Eu
rope orientale, rend cette partie plus froide que les
régions occidentales sous des latitudes correspon-
62 VOYAGES EN EUROPE,
dantes. La Grèce elle-même, quoique protégée par
le mont Hémus, y trouve aussi cette influence des
vents de la Scythie, alternant avec ceux du mont
Taurus. Quant aux déserts brùlans de l'Afrique,
c'est par les vents du sud et du sud-est que l'Eu-
rope méridionale en est échauffée; elle le serait bien
davantage si les exhalaisons de ia Méditerranée ne
rafraîchissaient à leur passage ces vents qui nous
apportent l'air suffocant du Sahara. Le scirocco ita-
lien n'arrête qu'au pied des Alpes sa chaleur mal-
faisante, et un vent analogue appelé solano et venant
de Maroc brûle les côtes de l'Espagne; le rideau peu
prolongé de la Sierra- Nevada n'en protège que
quelques parties. De so»^ côté le mouvement de
l'océan Atlantique septentrional empéciie les glaces
polaires d'approcher les côtes occidentales de l'Eu-
rope , et rend dès lors la température moins froide
en hiver. Cette influence de l'atmosphère océanique
varie au surplus de caractère selon les latitudes.
Les phénomènes généraux des climats européens
dépendent aussi de l'élévation du sol et de son ex-
position par rapport au soleil. Dans les Dofrines,
k 63 degrés de latitude, la ligne des neiges perpé-
tuelles est à trois mille pieds au-dessus du niveau
de la mer du côté du nord et du ncrd-est , où les
rayons solaires n'arrivent qu'obliquement, tandis
qu'au sud et au sud-est où l'action de ces rayons
est plus forte, les neiges ne se conservent qu'au
rotégée par
flucnce des
& du mont
! l'Afrique,
t que l'Eu-
; serait bien
terranée ne
ts qui nous
icirocco ita-
laleur mal-
10 et venant
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aoins froide
e océanique
latitudes.
s européens
t d'à son ex-
es Dofrines,
îiges perpé-
s du niveau
l-est, où les
lent, tandis
I ces rayons
rvent qu'au
I GÉNÉRALITÉS. 63
niveau de sept mille pieds. En Laponie, la limite est
de trois mille trois cents pieds. Du reste, l'accrois-
sement et le décrovssement des glaces se balancent
d'année en année. Aux Pyrénées, la ligne des neiges
â perpétuelles commence à huii. mille quatre cents
•pieds; elle est de neuf mille pieds au mont Etna.
Les principaux phénomènes climatologiques ont
été de la part des physiciens l'objet de travaux cu-
rieux; M. de Humboldt a essayé de les réduire à des
formules par sa méthode des lignes isothermes,
qui marquent la température moyenne.
Plusieurs savans qui ont étudié l'humidité de
ÇÏ'atmosphère croient pouvoir fixer à vingt -cinq
pouces la masse des eaux pluviales qui tombent
ordinairement sur l'Europe, au nord des Alpes,
tandis que la quantité des pluies annuelles au sud
de ces montagnes est de trente-cinq pouces. Il est
vrai que la pluie cristallisée sous forme de neige
rétablit l'équilibre, et que, toute chose égale d'ail-
leurs, l'humidité esta peu près la même dans l'at-
mosphère européenne. Chaque année il pleut en-
viron cent cinquante jours dans le nord de l'Europe
et quatre-vingt-dix dans le sud. Le plus grand
.nombre de jours pluvieux dans le nord fait que les
petites gra'ïiinées, amies d'une pluie douce et fré-
quente , entretiennent ces jolies pelouses que le midi
ne connaît pas. Le sol généralement escarpé de
f Europe méridionale fait encore que les pluies s'y
5J VOYAGES EN EUROPE,
écoulent plus rapidement que dans le nord; les
terres moins fertiles du nord conservent du moins
leurs couches d'humus végétal , çt sont partout éga-
lement arrosées. Enfin l'atmosphère européenne est
généralement plus pure que celle des autres parties
du monde.
«végétaux de l'Europe subissent l'influence de
v^rois climats dominans : sur les côtes occidentales
prospèrent à de hautes latitudes certaines plantes
qui périraient sous la même latitude dans une autre
partie du monde. L'orge et l'avoine croissent jus-
qu'au 70" parallèle en Norwége, tandis que sur les
côtes américaines , vis-à-vis , on voit s'arrêter à 52
degrés de latitude toutes les cultures de céréales. Par-
tout ailleurs qu'en Europe les arbres disparaissent
vers le 60* degré. L'influence du climat asiatique
fait que plusieurs arbres et plantes qui ne réussis-
sent pas au centre de la Russie, prospèrent sous les
mêmes latitudes en Germanie et en Scandinavie.
Les vents secs et quelquefois brùlans qui soufflent
vers les limites de la mer Caspienne empêchent
les forêts européennes de s'étendre au-delà du Don,
du Bas- Volga et de l'Oufa. La végétation méditer-
ranéenne, par suite de l'influence du climat afri-
cain, éclate surtout vers les côtes.
Les forêts de bouleau montent en Norwége sous
le cercle polaire à près de quinze cents pieds au-
dessus du uiveau de la mer; le sol herbeux touche
nord; les
t du moins
artout éga-
)péenne est
très parties
[îfluence de
occidentales
nés plantes
s une autre
oissent jus-
que sur les
prêter à 52
éréales.Par-
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Scandinavie,
[ui soufflent
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ielà du Don,
on méditer-
climat afri-
orwége sous
its pieds au-
beux touche
GÉNÉRALITÉS. 55
presque aux neiges éternelles, et le bouleau nain
n'en demeure éloigné qued'environ neuf cents pieds.
Dans la Norwége méridionale quelques pins crois-
sent encore à trois mille pieds au-dessus du niveau
4 delà mer, et plusieurs sortes de pommes mûrissent
• à mille pieds; l'agriculture ne cesse dans les vallées
ouvertes au soleil que vers dix -huit cents pieds.
Elle cesse à trois mille trois cents pieds dans les
monts Sudètes. Les forêts des monts Carpathes se
terminent à quatre mille deux cents pieds; le pin
seuletnent y croit encore à cinq mille pieds. Dans
les Alpes les forêts parviennent généralement jus-
qu'à cinq mille pieds; le sapin croît à cinq mille
cinq cents pieds; l'aune vert à six mille cent vingt
pieds. Aux Pyrénées les grands arbres parviennent
jusqu'au niveau de six mille neuf cents à sept mille
deux cents pieds; le pin d'Ë)cossc arrive encore à
deux cents pieds plus haut. La culture des céréales
cesse à trois mille trois cents pieds, et celle de la
vigne à dix -sept cents pieds. Enfin les céréales
d'Europe occupent généralement les plaines ou les
régions moyennes; mais c'est entre le 50* et le 36*
degré de latitude qu'elles prospèrent le plus. Le
maïs vient jusqu'au 50* degré, le riz à 47 degrés;
la pomme de terre, que nous avons reçue d'Amé-
rique •, est répandue presque partout. La vigne
prospère jusqu'au 45* degré dans toutes les expost-
' Malte-BruD porte la dale de son importation à 1623.
50
VOYAGES EN EUUOPK.
tions; mais depuis là jusqu'au 50'' degré, elle fuit
le voisinag^e de la mer du JNord, et va dans Tinté-
rieur chercher des climats plus constans.
Une ligne longeant les Pyrénées, les Cévennes,
les Alpes et l'Hémus sépare les pays à lait et à beurre
des pays à huile. Dans les premiers, la beauté des
pâturages fait que les bestiau:: abondent, et que la
viande étant meilleure est consommée en plus
grande quantité. >
Parmi les arbres fruitiers , on a remarqué qu;j le
cerisier et le prunier mûrissent en Norwége et en
Finlande jusque vers le 60* degré de latitude, tan-
dis qu'en Russie ils s'arrêtent au OO*" degré. Le pom-
mier mûrit presque sous le 55^ degré; plus au nord
la pomme n'a presque plus de saveur. La figue
mûrit jusqu'au-delà du SO** degré; mais son véri-
table climat est celui des extrémités méridionales
de l'Europe. La véritable patrie de l'olivier parait
être sur les bords de la Méditerranée et jusqu'à l'é-
lévation de douze cents à deux mille pieds. Le vrai
climat des orangers et des citronniers ne commence
qu'à 43 degrés et demi, aux îles d'Hières et en Tos-
cane. Le palmier et l'aloès ne réussissent ordinaire-
ment qu'aux environs de Lisbonne, ou en Anda-
lousie et en Sicile, au-dessous du 40*^ parallèle. C'est
aussi la limite la plus septentrionale de la canne à
sucre. Le lin et le chanvre appartiennent à la pres-
que totalité de l'Europe; toutefois le lin prospère
é, elle fuit
dans l'inté*
■'■■■'
Cévennes,
et à beurre
beauté des
: , et que ]a
e en plus
l'qué qui; le
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ré. Le pom-
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jusqu a 1 é-
eds. Le vrai
conimenee
s et en Tos-
t ordinaire-
11 en Anda-
rallèle. C'est
; la canne à
nt à la pres-
in prospère
"î3
1 GÉNËRALITES. Ô1
davantage dans les températures froides. Le midi de
l'Europe donne du coton et de la soie. Divers arbres
du midi ont pu, à l'aide de culture, être transplan-
tés vers le nord, comme le peuplier et le platane.
Le règne animal de l'Europe est encore moins
varié que le règne végétal. L'ours blanc et le renard
bleu se montrent sur les rivages de la mer Glaciale.
Le renne descend en Scandinavie jusqu'au 61" de-
gré, et en Russie quelques degrés plus bas. La mar-
motte fait ses migrations en ligne droite de l'est à
l'ouest, entre le 55*' elle 65° degré de latitude nord.
L'élan se tient généralement plus bas que le cercle
polaire; il se montre en Lithuanie et même en Prusse.
Les steppes ou plaines nues qui bornent la mer
d'Azov et la mer Caspienne onî, quelques animaux
communs avec l'Asie, comme le chameau, le chacal
et le cheval tartare. Les plaines de l'Ukraine et de
la Moldavie, du Danemark et de la Flandre nour-
rissent les plus belles races de bœufs, de che-
vaux, et de moutons. Les hauteurs de la grande
chaîne montagneuse qui s'étend depuis les Pyré-
nées,, les Cévennes et les Alpes jusqu'aux Carpathes
etal'Hémus, sont habitées généralement parle bou-
quetin, le chamois et la marmotte. Les régions mé-
ridionales ont à peu près les mêmes animaux que
les régions moyennes. L'àne du raidi de l'Europe
vient de l'Asie-Mineure et de la Syrie. Le chat sau-
vage et le lynx ne se trouvent plus guère que dans
-'w
ii VOYAaBS EN ËUUOPE.
les forêts des montagnes centrales d'Espagne et de
la Scandinavie. Quelques forêts centrales de TRu-
rope cachent encore le sanglier. Les ours se cachent
dans quelques parties des Pyrénées, des Alpes et
des monts Scandinaves» Le cerf, le daim, le che-
vreuil errent dans les grandes forêts européennes,
ainsi que Técureuil. Du détroit de Gibraltar au pro-
montoire boréal de l'Oural , on rencontre de nom-
breuses espèces de rats , de campagnols et de mu-
saraignes. Un genre propre à l'Europe est le desmau
(ou rat musqué de Laponie), muni d'une trompe
longue et mobile. La taupe habite surtout le midi
de l'Europe. Le blaireau, la martre, la fouine, la
genette, le putois sont encore des animaux au-
tochtones ou aborigènes des forêts européennes;
dans le nord ils deviennent compatriotes du glou-
ton. La zone polaire est réservée aux rennes , et les
forêts orientales de l'Europe cachent l'élan que l'on
retrouve au Canada. Les insectes sont très multi-
pliés dans les diverses parties de l'Europe.
Suivant Malte-Brun , il existe encore en Europe
dix familles de peuples bien distinctes, mais dont
les rameaux semblent plus forts et plus puissans
que les souches mêmes; indiquons -en seulement
quelques-unes. Les Grecs, dont les Pélasges étaient
une très ancienne branche, occupent aujourd'hui
principalement la Morée et les îles de l'Archipel. Les
Albanais sont les restes des anciens Ulyriens, mêlés
pagne et de
les de TEu-
B se cachent
Jes Alpes et
lim , le che-
iropéennes,
Itar au pro-
tre de nom-
Is et de mu-
it le desmau
une trompe
tout le midi
ai fouine, la
ni maux au-
iiropéennes;
tes du glou-
innes , et les
Lan que Ton
très multi-
)pe.
; en Europe
, mais dont
lus puissans
1 seulement
isges étaient
aujourd'hui
rchipel. Les
riens, mêlés
GÉNÉRALITÉS. ûî)
anciennement avec des Grecs-Pélasges, et plus tard
avec des Grecs modernes. Les Turcs appartiennent
à la même race que les Tartarcs disséminés dans la
Russie méridionale , et qui est venue de l'Asie. Vers
le nord-est de F'^urope se trouvent les Slaves et les
Finnois, peuples qui ont occupé jadis la Scythie et
la Sarmatic. Les peuples slaves comprennent les
Russes, les Polonais, les Bohèmes, les Slovaques
de Hongrie et autres. Dans l'ancienne Dacie sont les
Yalaques dont la langue se rapproche du latin.
Vers les raonti Balkans vivent les Bulgares, tandis
qu'au nord se montrent les Finnois et les Lapons,
et qu'à l'orient végètent les Samoïèdes, du côté
des monts Ourals.
A l'ouest des Slavons et des Finnois, dans le
centre et le nord de l'Europe , demeurent propre-
ment les nations de la famille teutonique, dont les
Allemands, les Scandinaves et les Anglais sont tes
trois divisions principales. Les Allemands compren-
nent tes Autrichiens, les Prussiens, les Saxons et
quelqies autres branches; les Scandinaves com-
prennent les Suédois, les Norwégiens et les Danois;
les Anglais comprennent les peuples des îles Bri-
tanniques. On cite encore comme souches de peu-
vies les Celtes qui étaient établis le long des Alpes,
et les Basques resserrés au pied des Pyrénées.
En général les peuples des climats septentrio-
naux de l'Europe se distinguent par une poitrine
00
VOYAGKS EN EUROPE.
Jar^jfe et carrée, un teint clair et animé, de» yeux
bleus, des cheveux blonds de diverses nuances.
Les peuples du midi ont une taille plus petite, mais
plus de grâce, de vivacité et de souplesse, la coupe
du visa^re plus belle, et les formes ou proportions
du corps plus élégantes. C'est en Grèce, par exem-
ple, que les artistes vont chercher les modèles en
ce genre. . -i .
Trois croyances religieuses se partagent l'Europe:
le christianisme, l'islamisme et le judaïsme. La pre-
mière de ces croyances se divise en trois églises,
savoir : l'église chrétienne proprement dite ou le ca-
tholicisme romain, ou simplement l'église romaine
ou latine; puis l'église protestante et l'église grecque.
L'église romaine domine surtout chez les peu-
ples du midi et de l'ouest, où se parlent les langues
d'origine greco-latine , et peut compter au moins
cent dix millions de croyans. L'Espagne, le Portu-
gal, l'Italie, les neuf dixièmes peut-être de la France,
les quatre cinquièmes de l'Irlande, la Belgique, lu
moitié de l'Allemagne et de la Suisse, les trois
quarts de la Hongrie et de l'ancienne Pologne,
professent le culte catliolique romain et recon-
naissent l'autorité du pape ou souverain pontife.
L'église protestante ou évangélique domine chez
leji peuples du nord, où se parlent les langues d'o-
rigine gothico - germanique ; le nombre de ces
fk)èles est d'environ soixante millions. Cette église
«.
Ls de» yeux
es nuances,
pclitc, muis
e, la coupe
proportions
, par exem-
modèles en
nt l'Europe:
me. La pré-
vois églises,
ite ou le ca-
iso romaine
ise grecque,
ez les peu-
; les langues
r au moins
e, lePortu-
e la France,
Belgique, lu
2, les trois
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i et recon-
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lomine chez
angues d'o-
3re de ces
Cette église
• GËNfiR ALITÉS. 01
est divisée, conformément à son principe de libre
examen, par quelques nuances de doctrines, entre
lesquelles se distinguent, V le luthéranisme, do-
minant dans les deux Saxes, le Wurtemberg, la
Hesse et autres provinces d'Allemagne , comme
aussi dans toute la Scandinavie, dans la Prusse et
dans les provinces baltiques de la Russie; 2° le pres-
bytérianisme ou calvinisme, ou simplement culte
réformé, répandu en Suisse^ dans TAllemagne oc-
cidentale, en Hollande et en Ecosse; 3" le culte an-
glican , qui règne surtout en Angleterre. On truuve
aussi des chrétiens évangéliques en France, où il en
existe plus de trois raillions, en Hongrie, enTr.<n-
sylvanie et dans les vallées du Piémont. '
L'église grecque ou orientale s'étend dans la
partie de l'Europe orientale, où se parlent les lan-
gues d'origine slavonne ou grecque; on lui donne
quarante-trois millions de prosélytes. Cette église,
qui descend directement de l'ancienne église de
l'empire d'orient, règne sur les Grecs, sur une partie
des Albanais et des Bulgares, sur les Serviens, les
^sclavons, les Raitzes hongrois, les Valaques, les
Moldaves, et dans presque la majeure partie de la
Bussie d'Europe.
. L'islamisme se borne à la Turquie d'Europe, et
compte environ cinq millions de prosélytes dan»
cette partie européenne, y compris lu Bosnie.
Quant aux juifs, ils sont disséminés dans les dif-
ai VOYAGES EN EUROPE,
férens États de TËurope, et sur aucun point ils ne
forment de congrégation assez importante pour
que Ton puisse ou doive en rechercher exactement
le nombre; quelques géographes Tévaluent à trois
millions d'individus; il n'en existe pas en Norwége
ni en Espagne ; mais on en rencontre beaucoup en
France, en Pologne, en Hollande et en Allemagne.
Les gouvernemens de l'Europe reposent aujour-
d'hui sur deux principes dominans : la monarchie
absolue, mais gouvernée d'après des lois fixes,
et la monarchie constitutionnelle limitée par des
assemblées représentatives. Le premier principe
domine dans l'est et le sud de l'Europe; le second
dans l'ouest et le nord. Parmi les monarchies ab-
solues, mais tempérées par des lois, il faut citer
l'empire d'Autriche, le royaume de Naples, celui
de Prusse et l'empire de Russie. Parmi les monar-
chies constitutionnelles se rangent la France, l'An-
gleterre, la Hollande, la Belgique, l'Espagne, le
Portugal, la Suède avec la Norwége. Dans l'Europe
centrale les deux classes se mêlent: la Sardaignc, la
Toscane, Rome, la Hesse et le Danemark sont des
monarchies absolues paternelles, tandis que la Ba-
vière, le Wurtemberg, Bade, le Hanovre et la Saxe
sont des États constitutionnels. Le royaume de Hon-
grie dépendant de l'Autriche a également les formes
du gouvernement représentatif, comme l(^s avait
aussi le royaume de Pologne avant l'année 1831.
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mée 1831
^ GÉNÉRALITÉS. 03
où l'empereur Nicolas l'a violemment réuni à l'em-
pire russe. Enfin, il existe encore en Europe un
grand État despotique, celui de l'empire ottoman;
chacun connaît le pouvoir du sultan, il est sans
limite. A ces divers gouvernemens doivent s'ajouter
quelques petits États républicains ou affectant une
forme démocratique : tels sont le gouvernement
fédéral des cantons suisses , les quatre villes libres
de Cracovie, Lubeck, Hambourg et Francfort, avec
le petit État de San-Marino en Italie, et celui d'An
dore, dans les Pyrénées.
11 existe quelques limites naturelles et protec-
trices entre ces différens Etats, mais les traités ont
suppléé à ce qui manque sous ce rapport pour as-
surer un état de paix durable. La Russie pèse bien
sur la Turquie, l'Autriche, la Prusse et la Suède;
mais il y a un contre-poids établi par la France et
l'Angleterre pour empêcher le colosse russe de
s'agrandir ou d'opprimer les Etats voisins. La Prusse
est la contrée la plus ouverte; les monts Hémus et
les Carpathes couvrent Constantinople et Vienne.
Un autre contre-poids existe dans les Etats Scandi-
naves qui, réunis, pourraient se défendre contre
les attaques moscovites; et un troisième existe dans
la Confédération germanique, laquelle avec l'Au-
triche et la Prusse , forme à son tour une masse
formidable de nations allemandes. La France a d'im-
posantes limites aux Alpes et aux Pyrénées, bien
m VOYAGES EN EUROPE,
qu'elle ne domine la frontière d'aucun de ses voisins .
si on excepte la Belgique. L'Espagne et le Por-
tugal, devenus aujourd'hui des États constitu-
tionnels, peuvent constituer une masse compacte
favorisée par la nature , ayant les mers et les mon-
tagnes pour la défendre contre les agressions du
dehors. ,,., . •„, ., ,: . ,
Nous avons dit que la population de l'Europe est
de deux cent vingt millions d'habitans : elle est sur-
tout accumulée dans le centre, parce que là se
trouvent les pays les mieux gouvernés et peut-être
aussi les mieux cultivés. Cette population tend
chaque jour à s'accroître, mais cela tient aussi à
des causes étrangères à celles que nous venons
d'indiquer. Les Etats étendus qui renferment de
grandes provinces d'une fertilité médiocre ont né-
cessairement le désavantage contre les petits Etats
fertiles. Toute chose égale d'ailleurs , l'Espagne a une
population moins dense que le Portugal ; la Toscane,
si bien administrée, est pourtant moins peuplée
que les États romains. Un grand nombre de mon-
tagnes resserrent en Helvétie et en Norwége l'éten-
due du terrain cultivable. Certains Etats, comme
la Pologne, sont plus exposés aux invasions et aux
guerres; d'autres, comme la Turquie d'Europe,
ont a lutter contre des fléaux pestilentiels qui dé-
ciment la population. Au surplus , voici une échelle
distributive de la population européenne dans les
voisins,
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divers Élals qu'elle constitue; celte échelle est éta-
blie par mille carré. .'^ ,, s^, |^, ,, .^., > H hr,
Suède el Norwége 82 habitans.
Russie..... 181
Danemark 616 î '
Prusse 792 ( ; ,
Angleterre propre 1,457
Pays-Bas 1,829
5 Saxe 1,252 ^ -
■ ^ Bavière 968 ,' ; ' , ' ,
Wurtemberg 1,502
Suisse 783
France 1,063
Hongrie 750
Lombardie et Venise 1,171
Royaume sarde 1,122
Lucques 1,122
Toscane 836
États de l'Église 1,043
Naples et Sicile 747
Espagne 64 1
Portugal 446
Iles Ioniennes 1,770
Turquie 324
^ Les cinq puissances principales de l'Europe, la
Russie, la France, l'Angleterre, l'Autriche et la
Prusse, possèdent les deux tiers de la population de
cette partie du globe.
La population de l'Europe s'accroît en masse au
paoins d'un million par année moyenne, de sorte
C[u'avant l'année 1900 elle pourra être d'environ
XLVI. 5
00 VOYAGES EN EUROPE.
trois cents millions. CettP augmentation est plus
rapide dans le nord que dans le centre, le midi et
louest.
La Russie avec cinquante - huit millions d'habi-
tans gagne annuellement cinq à six cent mille in-
dividus, tiiadis que la France avec trente^deux mil-
lions ne paraît acquérir tout au plus que deux cents
mille inJiviuus. L'Autriche avec vingt-neuf millions
d'individus gagne autant que la France. L'Italie et
l'Espagne sont presque stationnaires ; la Turquie
d'Europe semble même rétrograder. En résultat, il
eât probable que les principaux Etats de l'Europe
auront doublé leur population, savoir : la Prusse en
vingt-six ans; l'Angleterre en quarante-deux ans;
les Pays-Bas en cinquante-six ans et demi; les Deux-
Siciles en soixante-trois ans; la Russie en soixante-
six RRS ; l'Autriche en soixante-neuf ans ; la France
en cent cinq ans.
Les Etats du nord de l'Europe, à une population
égale, ont une valeur politique, militaire et finan-
cière, double, triple ou même quadruple de celle
des Etats du midi. La population du royaume de
Naples, par exemple, tst quatre fois celle du Da-
nemark, ou celle de la Suisse; son territoire a deux
fois plus d'étendue, et vaut dix à douze fois le ter-
ritoire danois ou suisse, en valeur agricole : mal-
gré de tels avantages, le royaume de Naples ne
pourrait lutter contre la Suisse et le Danemark.
est plus
midi et
> d'habi-
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oie : mal-
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anemark.
^^ GÉNÉRALITÉS. «7
Les peuples du midi, en général, supportent moins
les fatigues de la guerre que ceux du nord.
Nous avons nommé les principaux Etats de l'Eu-
rope : comme il en sera plus d'une fois question
par Irt suite, il n'est peut-être pas inutile d^en indi-
quer la position géographique. Dans la partie occi-
dentale, on trouve à son centre l'empire d'Autriche,
la France, la Prusse, la Belgique, la Hollande, la
Confédération germanique et la Suisse; au sud,
l'Espagne et le Portugal, ainsi que les Etats de
l'Italie; et au nord la Grande-Bretagne, la Norwége
et le Danemark. La partie orientale comprend la
Russie et la Turquie d'Europe , la Grèce et les îles
Ioniennes. i r . t
En résumé, l'Europe, en 1836, présente trois
empires : la Russie, l'Autriche et la Turquie; une
monarchie élective ecclésiastiqae , Rome; seize
royaumes, sept grands-duchés, Uii électoral, douze
duchés, dix-sept principautés, un landgraviat, une
seigneurie et trente-une petites républiques. L'em-
pire ottoman est aujourd'hui le plus ancien empire
de l'Europe; son origine rfiinonte à la prise de
Constantinople en 1453. L'empii'e russe date de
1721 , et l'empire d'Autriche de 1804. La monar-
chie française est la plus ancienne des monarchies
européennes; elle remonte à l'année 486. L'Es-
pagne, le Danemark et l'Angleterre viennent im-
médiatement après. La Toscane est le plus ancien
68 VOYAGES EN EUROPE,
des graiids-ouchés, et *d municipalité de Sau-Ma-
rino, la plus ancienne des républiques modernes ,
en même temps qu'un des plus anciens États de
l'Europe. Quelques cantons de la Suisse datent
de 1308. Lcii principautés de Liohtenitein c;! dr
Monaco et h. seigneurie de Kniphaiti^on %:;it les plus
petits de tous les Etats de l'Europe. '• ■ ^ 'i'>
Telles sont les généralités préliminrâres que nous
avons cru devoir offrir -mr l'Europe, afin de nous
conformer au plan que nous avons adopté pour
notre Collection de voyajjes. Nous allons mvtjn-
leuant donner un aperçu ou un« analyse ||>i js ou
(îioiïss élendt^e des principaux voyages eifectués en
E'irope jusqu'à la fin du XYllT siècle et dans le
cwi-mencoment du XIX^ jm. .-. .'ii.iif.ti. 4 u>,i
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tfectués en
et dans le
i
VOYAGES ANTERIEURS AU XIX" SIECLE.
Nous n'avons point le projet d'offrir une analyse
complète de tous les voyages anciens et nouveaux
effectués en Europe, le cadre restreint que nous
nous sommes tracé dans notre Collection ne le per-
mettrait pas ; nous ne remonterons même que vers
la fin du XVI* siècle, et traverserons rapidement
le xvii" pour arriver au XYIlT qui réclame plus
d'espace.
SEIZIÈME SIÈCLE.
Le premier voyageur de quelque importance qui
se présente dans la seconde moitié du XVl*«iècle est
le célèbre Michel Montaigne, né en 1533 dans le
Périgord. Ayant appris le latin avant le français, il
avait achevé ses études à treize ans. Ennemi de
toute contrainte, il choisit une profession indé-
pendante, celle du barreau, et il fut pourvu en
1554 d'une charge de conseiller au parlement de
Bordeaux. Il sut se faire estimer de Pibrac et de
Paul de Foix, ses confrères, et du chancelier de
L'Hôpital. Un autre de ses confrères fut ce La Béotie,
qui devin! son ami le plus intime, et dont Montaigne
î» VOYAGES EN EUROPE,
disait encore long-temps après lavoir perdu, car il
lui avait survécu : « Nous étions dans tout de moitié:
il me semble que je lui dérobe sa part. » Gomme il
fallait un aliment continuel à son esprit, il se mit
en 1572 à écrire ses Essais, où dès Tun des pre-
miers chapitres il annonce avoir atteint sa trente-
neuvième année. La première édition de ce livre,
dont lauteur un peu sceptique avait pris pour de-
vise: «Que sais-je?» parut en 1580. C'est vers ce
temps qu'il se mit à voyager en Italie et eu Alle-
magne.
De retour au château de Montaigne en Périgord ,
il rédigea sa relation. Elle n'est guère qu'un bulle-
tin de remarques journalières sur sa santé par les
effets des eaux minérales dont il faisait usage ; on
y trouve cependant des observations intéressantes
surlesmonumens des pays où il voyageait, sur leur
histoire naturelle, sur les mœurs et le caractère de
leurs habitans. L'imposant spectacle du site de l'an-
cienne Rome réveille un moment le génie de Mon-
taigne. «On ne voit rien, dit-il, de Rome que le
ciel sous lequel elle avait été assise; ceux qui pré-
tendaient qu'on y voyait du moins ies ruines de
Home, en disaient trop; car les ruines d'une si épou-
vantable machine rapporteraient plus d'horreur et
de révérence à sa mémoire; ce n'était rien que
son sépulcre. Le monde, er lemi de sa domination,
avait premièrement brisé et fracassé toutr<5 les pièces
'1 deux
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Voi
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SEIZIÈME SlJi:CLË.
71
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qui pré-
ruines de
le si épou-
lorreur et
rien que
mination ,
les pièces
de ce corps admirable; et parce qu'encore tout
mort, renversé et défiguré, il lui faisait horreur,
il en avait enseveli les ruines même. » ^
Pendant que Montaigne visitait Rome, le ba-
ron de Busbeck parcourait la France et poussait
SCS excursions jusqu'à Constantinople. Sa relation
renferme d'excellentes observations sur la Turquie,
où Ferdinand, roi de Hongrie, l'avait envoyé en
qualité d'ambassadeur; et sur la France, où Bus-
beck résida sous les règnes de Charles IX et de
Henri lll, comme envoyé extraordinaire de l'em-
pereur Rodolphe. Busbeck , profond diplomate, qui
réussit à assurer la paix à la Hongrie, avait des vues
et des lumières supérieures à celles de son siècle;
cependant il lui échappa de temps à autre quelques
traits de crédulité sur les matières physiques, et ces
traits sont propres à laisser penser qu'il s'entendait
mieux en politique qu'en histoire naturelle, il
acheta dans un des bazars de Constantinople l'ou-
vrage de Pline l'ancien et celui de Dioscoride, tous
deux aujourd'hui existans à la Bibliothèque impé-
riale de Vienne.
Voilà les deux principaux voyageurs en Europe
qui appartiennent au XV i*' siècle ; il en existe un
plus grand nombre au xvif.
Vi
VOYAGES EN EUROPE.
DIX-SEPTIÈMH SIÈCLE.
C'est encore dans la seconde moitié du xvil'
que se montrent les principaux voyageurs aux dif-
férentes contrées de l'Europe : tels sont Hegnard,
Sclieffer et Ricault.
Regnard, l'un de nos meilleurs poètes comiques,
né à Paris en 1047, fils d'un marchand qui en
mourant lui laissa une l'ortune assez considérable,
se livra de bonne heure à son goût dominant pour
les voyages. Ayant gagné au jeu beaucoup d'ar-
gent pendant celui qu'il fit en Italie en 1C76 ou
1677, il revint en France, pour en repartir l'année
suivante et retourner aux mêmes lieux où le sort
lui avait été si favorable. Ce fut aîors qu'il rencontra
cette Elvire dont il devint épr's, et dont il a tracé
un portrait si flatteur dans un petit roman intitulé:
la Provençale. Embarqué avec elle pour la France,
il fut pris par des corsaires algériens et conduit à
Constanlinople avec la dame de ses pensées. Les
deux amans souffrirent une dure captivité; mais à
la fin, Regnard, qui était gourmand de profession,
sut gagner les bonnes grâces de son maître en pré-
sidant à sa cuisine, et il en obtint sa liberté et celle
de la dame provençale, au moyen d'une somme de
12,000 livres que lui avait envoyée sa famille à l'ef-
fet de le racheter.
De retour en France avec celle qu'il aimait, il
DIX-SEPTIÈME SIÈCLE.
73
[lu XVIl'
aux dif-
\egnard,
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1 intitulé:
i France,
conduit à
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té; mais à
rofession,
PC en pré-
té et celle
jomme de
lille à l'ef-
aimait, il
i
é
était sur le point de l'épouser, lorsque le mari , qu on
croyait mort, reparut tout à r p, et le força de
s'en séparer pour jamais. Déses()éré d'une perte si
cruelle pour son cœur, notre voyageur prit la réso-
lution de courir le monde. Il se rendit en Flandre,
en Hollande, en Danemark, en Suède, et jusqu'en
Laponie. Arrivé à ïornéo, il s'embarqua sur la ri-
vière du même nom , la remonta de sept à huit
lieues, parvint près d'une haute montagne, du som-
met de laquelle il découvrit toute la Laponie et la
mer septentrionale; il y grava une inscription la-
tine avec la date du 22 août 1681. Après avoir par-
couru diverses autres contrées, il revint à Paris, où
las d'errer et de changer, il acheta une charge de
trésorier de France, et se mit enfin à composer ses
comédies. Il mourut en 1 709.
Les observations de Regnard sont très superfi-
cielles en ce qui concerne Ja Flandre, la Hollande
et l'Allemagne. A l'article Copenhague, on trouve
iin fait assez piquant à l'occasion de la tyrannie
que la noblesse danoise exerçait sur ses vassaux
Les bourgeois et les paysans étaient avilis à un tel
point par les nobles, que ceux-ci pouvaient im-
|)unément tuer un individu de ces deux classes, en
mettant un écu sur la tombe du défunt. Frédéric II,
îe même auquel les Etats déférèrent le pouvoir
absolu, ne voulut pas enlever nommément à la no-
t>lesse cet odieux privilège, mais il statua que lors-
74 VOYAGES EN EUROPE.
(|u'un bourgeois ou un paysan tuerait un noble, cg
meurtre resterait impuni, à la char}; viailpinent
par le meurtrier de mettre deux écus sut la tombe
du noble bomicidé : on conçoit que ce règlement
(ît cesser les violences des nobles.
L'origine que donne Regnard à la ville de Dantzi(r
est vraiment curieuse. Ce nom est dérivé du mot
allemand Dantzen, qui signifie danse. Des paysans
s'assemblaient ordinairement dans le lieu où main-
tenant est située cette ville. Ayant dessein d'y bâtir,
ils demandèrent un emplacement à l'évéquc, sei-
gneur du territoire. Ce prélat leur accorda autant
de terrain qu'ils en pourraient entourer en se te-
nant par la main, et formant en rond une espèce
de danse.
Tout ce que le voyageur rapporte du gouverne-
ment de la Pologne n'a plus guère d'intérêt, surtout
depuis le dernier partage; mais le petit nombre
d'observations qu'il a faites sur les mœurs des Polo-
nais et sur le caractère national a encore quelque
prix, parce que les mœurs et le caractère des Polo-
nais ont éprouvé des modifications depuis Regnard.
La description qu'il fait de la mine de sel de Wi-
liska dans cette contrée et de plusieurs raines de
fer et de cuivre en Suède, est très attachante par
la vive peinture des dangers qu'on court dans la
visite de ces mines. Mais de tous les voyages de Re-
gnard , le plus connu est celui qu'il entreprit dans
la Ijapc
roi de
lui prc
provlni
■> tion, é
n d'autre
loble, cv
•u'ruient
la tomb(;
è(j;leiuent
e Dantzij;
è du mot
s paysans
où main-
U'y bâtir,
ique, sei-
da autant
en se te-
ne espèce
jouvernc-
k, surtout
it nombre
i des Polo-
e quelque
; des Polo-
s Regnard.
jel de Wi-
i raines de
îhante par
irt dans la
ges de Re-
•eprit dans
DIX-SEPTIÈME SIÈCLE.
la I^ponie suédoise, sur l'invitation que lui en fît le
roi de Suède, et d après les recommandations que
lui procura ce prince auprès des gouverneurs des
provinces qu'il fallait traverser. Néanmoins sa rela-
tion, écrite avec beaucoup d'agrément, n"a guère
d'autre mérite; elle est pleine d'exagérations et d'er-
reurs, dont Acerbi a relevé quelques-unes dans son
voyage au cap Nord. '•• ' "" 'ii'''
Vers le même temps que Regnard visitait Tornéo,
un autre voyageur, l'Allemand Scheffer, parcourait
la Laponie pour en tracer ensuite l'histoire et la
description, avec les mœurs et coutumes de ses lia-
bitans et les choses rares du pays. Scheffer est le
premier écrivain qui ait décrit exactement ces loin-
taines et intéressantes contrées, sous le double rap-
port de la géographie et de l'histoire naturelle.
L'origine des Lapons, leur religion, leurs usages,
leurs travaux, leurs arts sont traités par lui dans un
grand détail; mais, de même que les écrivains qui
travaillent sur un sujet neuf sont plus disposés à se
tromper, il a commis plusieurs erreurs, malgré les
secours qu'il s'était procurés soit dans les auteurs
lapons et suédois qui ont écrit sur la Laponie, soit
{dans le pays même par les entretiens qu'il avait eus
avec les naturels. Ces erreurs ont été relevées dans
l'ouvrage de Hogstroem , qui a paru en suédois un
jdemi-siècle plus tard, et dans lequel l'auteur sou-
tient également que les Lapons ne sont pas d'une
7« VOYAGES EN EUROPE,
aussi petite taille que Tavait dit Regnard. Au reste,
les mœurs des Lapons et la description du pays ont
été l'objet d'un voyage tout récent, celui de Gapell
Brooke, compris dans le XLV" volume de notre
Collection, et auquel nous renvoyons le lecteur.
Un contemporain de Scheffer et de Regnard vi-
sitait rOrient, tandis qu'ils exploraient le Nord:
c'était le voyageur Ricault, secrétaire de l'ambassade
britannique à Gonstantinople. Il parut de lui en 1 677
deux volumes sur l'empire ottoman, les mœurs, la
politique, la religion et le Grand-Seigneur. Personne,
a\ant Ricault, n'avait donné sur la religion musul-
mane des notions vsi étendues. On remarqua surtout
les détails qui concernent les différens officiers du
sérail , la marine et la milice des Turcs. Néanmoins
la plupart de ses aperçus manquent de philosophie
et de lucidité. On ne les consulte plus que comme
des souvenirs historiques; c'est dans les voyages
effectués pendant le XVlll* siècle qu'il fa'ut puiser
des notions plus certaines et plus nettes.
de 170^
qu'il a.
bonne i
étendu*
détails 4
sa relat
qui l'on
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Saint-D
se rend
mission
et de ri
rens v(
rope, -^
DIX-HUITIÈME SIÉGLE.
' LABAT.
(1705-1715.)
Le premier voyageur qui commence dans l'ordre
chronologique la série des nombreux voyageurs en
Europe, au x\uf siècle, est le père Labat, lequel
Le j
1674,
île sept
le rap[
devait
que su(
compaj
Au reste,
pays ont
de Gapell
de notre
Bcteur.
^nard vi-
le Nord:
rabassade
lien 1677
aœurs, la
^ersonne,
)n musul-
la surtout
ficiers du
can moins
lilosophie
e comme
i voyages
lUt puiser
ns l'ordre
ageurs en
it, lequel
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 77
de 1705 à 1715 parcourut l'Espagne et l'Italie. Ce
qu il a écrit sur TEspagne se réduit à une assez
bonne description de Madrid. Il s'est davantage
étendu sur l'Italie; mais, à l'exception de quelques
détails curieux concernant le gouvernement papal,
sa relation ne peut plus être consultée après celles
qui l'ont suivie. Labat, comme supérieur des mis-
sions de son ordre, avait à la fin du XVIl^ siècle (car il
était né en 1663, et il mourut en 1738) visité toute
la chaîne des Antilles, depuis la Grenade jusqu'à
Saint-Domingue. Revenu par l'Espagne en 1705, il
se rendit à Rome pour y veiller aux intérêts de la
mission des Antilles: il passa dix années en Italie,
et de retour à Paris, sa ville natale, il publia diffé^
rens voyages en Amérique, en Afrique et en Eu-
rope, au nombre de plus de trente volumes.
tt ..:■
ANDERSON. — TROIL.
(1730.)
il')j.'f ,,K.
(1772.)
Le jurisconsulte Anderson, né à Hambourg en
1674, visitait en 1730 l'Islande, et faisait de cette
île septentrionale une description intéressante sous
le rapport de l'histoire naturelle. Cette même île
devait être revue quarante ans plus tard par l'évê-
que suédois Troïl, qui eut le bonheur d'avoir pour
compagnons de ses excursions deux hommes ce-
78
VOYAGES EN EUROPE.
lèbres depuis par leur voyage autour du monde
avec le capitaine Cook; c'étaient Banks et Solander.
Il fut en outre aidé de l'astronome Lind. Ce fut avec
le secours de ces trois savans, et aussi de ses pro-
pres observations que Troïl rédigea sa relation , qui
peut se résumer à ce qui suit, i.oq u; ■ >,!»■>* '
- L'Islande, dont les aborigènes sont à peu près
ignorés, fut visitée successivement par les Norwé-
giens, les Suédois et les Danois, qui y formèrent
quelques établissemens et y tracèrent une sorte de
gouvernement bizarrement mélangé d'aristocratie
et de démocratie. Dans le xiif siècle l'île se soumit
aux rois de Norwége , et elle passa avec ce royaume
sous la domination des rois de Danemark, qui y
entretiennent un grand bailli avec plusieurs offi-
ciers sous lui pour l'administration de la justice
civile et criminelle, la police, la perception des
taxes, etc. Au tableau des anciennes mœurs des
Islandais, qui étaient à peu près celles de tous les
peuples barbares, Troïl fait succéder celui de leurs
mœurs actuelles et de leur caractère physique et
moral. Leur taille est moyenne et leur vigueur
médiocre : les femmes d'une figure agréable sont
rares; ce sexe ne supplée point par les agréraens
de la parure à ceux que la nature lui a refusés:
leur vêtement, leur coiffure sont d'un mauvais
goût; les femmes riches ne se distinguent des autres
que par la finesse du drap qui entre dans leur lia-
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DlX-HUlTlÈME SIÈCLE. 70
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billcment, et qui est communément noir, de même
que celui des hommes.
En Islande , les maisons sont bâties grossièrement
et très mal éclairées; la fumée s'en échappe comme
chez les sauvages, par un trou pratiqué dans la toi-
ture. L'occupation principale des Islandais est la
pêche ; ce sont les femmes qui font sécher le pois-
son. Dans l'hiver ou dans le mauvais temps, les
hommes soignent les bestiaux, fauchent le foin,
filent la laine. La libéralité, la bonne foi, un vif
attachement pour la patrie, des manières aisées et
alTectueuses caractérisent particulièrement les Is-
landais. On ne connaît pas chez eux le vol. Ils sont
peu industrieux, faciles à surprendre et mélanco-
liques. Les dés, les cartes, les dames, les échecs
sont leurs jeux favoris ; ils sont fort habiles dans
ce dernier jeu. " ''''"' " ' ' ' " '■ '^- ■■''■
L'Islande n'offre presque aucun vestige d'anti-
quités : l'imprimerie, au contraire, y remonte jus-
qu'à la découverte de cet art ; elle y fut établie dès
l'an 1531. La poésie av.àt été très ancie?^r.eraent
cultivée en Islande, et antérieurement à l'art d'é-
crire, qui ne s'introduisit dans l'île qu'au Xî" siècle;
les vers se gravaient sur la pierre brute, sur les
plafonds, les murs, les boucliers. Les sagas^ ou-
vrages historiques des Islandais , qui nous ont été
conservés, sont plus estimés que leurs poésies;
cependant on ne peut les lire sans discernement,
80
VOVAGES EN EUROPE.
à cause des fables qui s'y mêlent à l'histoire. Les
sagas sont presque les seules sources de l'histoire
du Nord. Les Islandais chantent volontiers les par-
ties de ces sagas, qui sont en vers. Un ancien ou-
vrage, qu'on nomme VEdda, prouve que dans tous
les temps les Islandais ont pris en grande considé-
ration la poésie et ceux qui s'en occupent.
L*air de l'Islande est pur et sain , et ses habitans
parviennent rarement à un âge peu avancé. Troïl
attribue ce peu de longévité à la qualité des ali-
roens et à la manière (Je vivre. Le pain des Islandais
est ou du biscuit levé, fabriqué à Copenhague, ou
une espèce de gâteaux faits avec de la farine de
seigle, et du petit-lait fermenté : à cette nourriture
ils ajoutent de la farine de lichen et d'orge sauvage;
du beurre aigri; du petit-lait cuit, caillé, fermenté;
du poisson; des viandes salées et famées. Ils mangent
le poisson frais sans sel, et le préfèrent lorsqu'il
commence à sentir; ils y donnent aussi les mêmes
préparations qu'à la viande. Ils consomment toutes
soiites de légumes peu succulens , beaucoup de
poissons à coquilles et de champignons.
C<^ régime, composé de mets un peu plus choisis
seulement chez les gens aisés, est, suivant Troïl, le
germe de plusieurs maladies qui affligent les Islan-
dais, telles que la diarrhée, la jaunisse, l'érysipèle,
et surtout une fâcheuse espèce de scorbut qui leur
est particulière : Troïl entre, à cet égard dans de
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I DIX-HUITIÈME SIÈCLK: 81
grands détails. Ceux que sa relation nous offre ::•.'*•
les piiénomùncs du feu, en Islande, sont du plus
grand Intérêt, mais il faut les lire dans l'ouvrage
même. i\ous dirons seulement que cette île est sur-
tout célèbre par le volcan encore en activité que
l'on nomme VHécla, par des sources chaudes
très multi[)!iées, par une immense chaîne de laves,
de nombreuses colonnes de l^'isaltes, traces ef-
frayantes et témoins irréfragables d'un grand nom-
bre d'autres volcans éteints; c'est à la description
de ces scèties importantes que Troil s'est le plus par-
ticulièi'ement attaché.
JOHN MOORE.
(t7G5.)
Pen \nt que Troil visitait l'Islande, l'Anglais
John Moore parcourait la France, la Suisse et l'Al-
lemagne. Ses observations sur la France sont géné-
ralement impartiales et judicieuses; il ne dissimule
pas les défauts du caractère français, mais il en
fait ressortir également les bonnes qualités. A l'oc-
casion des mesures que prenait la police d'alors
pour découvrir les auteurs de plusieurs pièces de
vers satiriques qui se répandaient à Paris, lors de
l'inauguration de la statue de Louis XV, Moore
semble avoir prévu vingt ans a l'avance la pos-
sibilité d'une révolution telle qu'elle s'esft opérée
en 1780.
XLVI. 6
VOYAGKS EN EUROPK.
MAUPERTUIS.
(1740.)
Les actes de l'Académie des sciences font men-
tion du voyage de Maupertuis en Laponie, où il
fut envoyé dans la première moitié du XYlil" siècle
pour déterminer vers le pôle nord la figure de la
terre. Cette entreprise fut exécutée en un an et avec
un plein succès. La Laponie avait déjà subi de nom-
breuses améliorations depuis Regnard, l'agriculture
avait pénétré dans les vallées exposées aux vents
du sud ; quelques Suédois commençaient à y faire
des exploitations. Une ville nouvelle, TTammers-
fgst, devait y être élevée trente ans plus tard. Capel!
Brooke en parle avec détail dans son voyage que
renferme le XLV volume de notre Collection. Au
reste, c'est moins comme voyageur que comme
savant que Maupertuis doit être ujiprécié.
LADY MONTAGUÊ.
(1720-1760.)
Dans l'ordre cÎTiroPiologique de cette revue
sommaire de voyages, il faut nous transporter
en Orient pour y suivre lady Montagne jusque
dfins l'intérieur du harem du Grand - Seigneur,
où elle obt'.ùt l'insigne faveur de pénétrer. Les
liaisons qu'elle parvi.i à établir avec la sultane
Fatima et ses fréquentes \isites au sérail lui per
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DIX- HUITIÈME SIÈCLE. »3
mirent de donner des mœurs du palais du Grand-
Turc une idée plus juste que celle qu'on n'en avait
auparavant. C'est pendant son séjour en Turquie,
vers l'an 1720, qu'elle eut la première connaissance
de l'inoculation de la petite vérole, et qu'elle songea
à introduire ce procédé en Europe' , où son voyage,
sous forme de lettres, ne parut qu'en 1763, c'est-à-
dire un an après ia mort de cette femme célèbre.
Quoiqu'il y ait d'elle des lettres écrites des lieux
où elle s'est arrêtée, soit pour aller en Turquie, où
elle acompagnait son mari, nommé ambassadeur
près de la cour ottomane, soit à son retour, et
qu'elles renferment quelques observations assez
curieuses pour ces différens pays et pour les ha-
bitans, elles n'ont ni l'étendue ni l'intérêt de ses
lettres écrites de laTurquie même : ce sont principa-
lement celles-ci dont nous offrirons la substance.
A Belgrade, capitale de la Servie, lady Montaguë
fut logée chez un etfondi (on appelle ainsi les doc-
teurs de la loi), fîlh .un pacha, et qui avait reçu
l'éducation la plus soignée. Cet effendi possédait
parfaitement les langues persane et arabe : il inter-
préta à lady Montagne plusieurs pièces de poésie
' L'inoculation, pratiquée de temps immémorial dans la Chine ,
tut aussi essayée en Circassie pour y conserver la beauté des
femmes qui, dans un pays pauvre , sont encore un f^rand objet
de commerce. Ce fut sous ia protection de lady Montaguë que le
cliirur{Tien anfflais Maitlanf!, qui apprit en Turquie la méthode
qu'on y employait pour inoculer, l'introduisit à Londres en 1722.
MÊÊlWL
M VOYAGES EN EUROPE,
dont elle trouva les vers très harmonieux et sus-
ceptibles d'une bonne musique; lamour y éJait
peint d'une manière vive et passionnée. L'cffendi
avait une bibliothèque de livres orientaux bien
choisis, et ne paraissait pas scrupuleux sur l'obser-
vation des préceptes du Koran, puisqu'il faisait
habituellement usage de vin. Tout ce que Dieu a
fait, disait-il, est destiné à l'usage de l'homme. La
loi qui défend le vin est cependant fort sage; mais,
ajouta-t-il, elle n'a été faite que pour le peuple:
l'intention du prophète n'a jamais été de gêner ceux
qui en savent user avec modération.
\a religion dominante des effendis, et qu'ils
tiennent secrète, est le pur déisme : loin de l'ensei-
gner au peuple, ils l'amusent avec divers dogmes,
suivant leur intérêt personnel; aucun d'eux ne s'a-
vise d'afficher l'incrédulité.
En quittant Belgrade, lady Montagne vit avec dou-
leur que les janissaires de son escorte ne payaient
rien aux malheureux habita ns, ni pour le louage
des chariots de son bagage et pour le salaire dos
conducteurs, ni pour le dédommagement des che-
vaux estropiés ou morts de fatigue. Ils ne se bor-
naient pas à ces injustices; ils enlevaient chez le
paysan tout ce qui se trouvait à leur convenance.
Lorsque les pachas voyagent, l'oppression, dit-elle,
est encore tout autre. Ils ne se contentent pas de
tout piller, ils exigent une contribution qu'ils ap-
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DIX-HUITIÈME SIÈCLK.
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tort qu'il* ont l'ait à leurs dents, en dévorant la
provision des malheureux cultivateurs.
Arrivée à Sophia, capitale de la Bulfjarie, lady
Montagne se rendit aux bains chauds de cette ville,
renommée pour la salubrité de l'air. Elle y trouva
deux cents femmes nues. La décence de leur lan-
p,a(je et de leurs manières éloignait toute idée of-
fensante pour la pudeur. Les unes se promenaient
majestueusement, comme Eve dans le paradis ter-
restre; d'autres travaillaient ou prenaient du sor-
bet. ()uelques-unes se faisaient tresser les cheveux
par de très jolies esclaves tle dix-sept à dix-huit ans:
une partie d'entre elies se faisaient remarquer par
l'élégance des formes; toutes avaient la peau d'une
blancheur éblouissante, et de beaux cheveux par-
tagés en tresses. Ces bains sont les cafés des dames
en Turquie : elles prennent ce divertissement une
fois par semaine, et y restent quatre à cinq heures
toutes nues sans s'enrhumer, quoiqu'clîos passent
brusquement du bain chaud dans une chambre
fi'oide, où elles reprennent leurs vètemens. A cette
occasion lady Montagne entre dans un détail très
curieux sur la parure et les a'.ti'aits des dames
turques.
En général les oi'nemens sont prodigués pour la
coiffure principalement : c'est une espèce de tur-
ban dont l'étoffe varie suivant les saisons; mais eu
VOYAGES EN EUIIOI'
tout temps on le porte penché 8ur la tète, et on v
de di
attuche iiii |][land cl or, soit avec une rose cie Uia-
mans, soit avec un riclic nriouchoir brodé; il est
ordinairement surmonté d'un panachi» de plumes
de héron, quelquefois aussi d'un fjros bouquet de
différentes pierreries, où les perle» j-acnt les bou-
tons de fleurs, les rubis forment des roses, les to-
pazes figurent des jonquilles. Les cheveux pendent
par-derrière dans toute leur longueur, er M'esses
ornées de rubans et de perles; jamais lad^ onta-
guë n'en avait vu de si beaux et en si grande quan-
tité; elle comptajusqu'à cent dix tresses à une dame
turque, sans aucun cheveu postiche. Les beautés
lui parurent beaucoup plus communes en Turq^iie
qu'en Angleterre; il est rare, dans le premier de ces
pays, de trouver une femme qui ne soit pas très
belle. Toutes ont un teint éclatant et de grands yeux
noirs; comme les femmes grecques, elles ont le
se«M'et de donner de la grâce à leurs sourcils en
meUant autour de leurs yeux une couleur noire
qui les rend très brillantes à la lumière, et même à
une certaine distance dans le jour.
Lady Montagne fait la description la plus riante
des campagnes de la Romanie, où est située An-
drinople. Les bords des rivières sont plantés d'ar-
bres fruitiers, sous lesquels les gens de distinction
vont prendre le frais et le café au son de quelque
instrument. Les jardiniers même se plaisent à marier
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au murniiire des eaux le son de leur chalumeau,
qui dniis sa simplicité a quelque chose d'infini-
ment jijjréable. \.<\ chaleur du climat ne leur permet
pas de se livrer beaucoup au travail; inais la ferti-
lité des terrains, le secoufs des arrosages y sup-
pléent. 1-41 plupart d'entre eux sont de la nation
jjrecque. La vente de leurs légumes et de leurs fruits
à ta ville procure de laisance à la plupart. Leurs
femmes et leurs filles, qui toutes ont de la beauté
ou des agrémens, se montrent sans »iles dans
leurs petites habitations situées au 'les jar-
dins, et s'occupent à faire de la ibre
des arbres. On retrouve là tous les ih u uui«^ ns que
nous représentent les antiques grecques et romaines.
Les bergers y tressent encore des guirlandes de fleurs
pour leurs béliers favoris, et, comme ceux deThéo-
crite, ils chantent et s'amusent à différons jeux.
La poésie est un des amusemens des gens distin-
gués. Lady Montagne rapporte la traduction qu'elle
Ht de plusieurs stances de vers que le pacha Ibra-
him adressait à la princesse sa femme, fille du sul-
tan , avant d'avoir été admis à la voir : malgré la
différence des idiomes, on démêle dans ce petit
poème des beautés réelles.
Lady Montagne fut spectatrice de la marche des
troupes qui défilèrent devant le Grand-Seigneur
pour se rendre au corps d'armée qui devait se
transporter dans peu sur la frontière. En tête était
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88 VOYAGES EN EUROPE,
un effendi richement monté sur un chameau ma-
gnifiquement enharnaché. Il lisait à haute voix le
Koran posé sur un coussin ; il était entouré d'une
troupe d'enfans qui chantaient des versets du Ko-
ran. Venait ensuite un groupe où Ton avait figuré
toutes les opérations du labourage, puis les boulan-
gers et les différens corps de métiers, et au milieu
d'eux des arcs de triomphe portatifs, où les difFé-
rens genres de commerce étaient magnifiquiement
représentés : ils étaient suivis par des musiciens et
des danseurs. La marche était fermée par des vo-
lontaires nus jusqu'à la ceinture. Pour exprimer
leur dévouement au Grand-Seigneur, les uns avaient
des flèches enfoncées dans les bras ou dans la tête,
d'où le sang découlait sur leurs bras et sur leur
visage; d'autres le faisaient rejaillir sur leurs ca-
marades en se perçant le bras avec un couteau.
Par une distinction particulière, lady Montagne
fut introduite, tant à Andrinople qu'à Constantir
nople, dans trois harems de dames turques. La des-
cription de ces harems, où des Européennes de son
rang et de son mérite n'avaient jamais pénétré, est
nécessairement d'un grand intérêt. Le premier de
ces harems, à Andrinople, était celui d'un grand-
vizir, et n'avait aucune magnificence. La richesse
des habits et le grand nombre de domestiques an-
nonçaient seuls la dignité du propriétaire. La sim-
plicité de l'ameublement s'expliquait par la dévotion
DIX-HUlTlÈMË SIÈCLE. 8»
du vizir et de sa femme : tous deux empToyaient
leur superflu au soulagement des pauvres. La femme,
âgée de cinquante ans, et à laquelle son mari gar-
dait une fidélité scrupuleuse, s'occupait unique-
ment à prier Dieu et son prophète : elle n'en reçut
pas moins ladyMontaguë avec une politesse franche
et naturelle ; elle n'observa pas moins, suivant l'u-
sage du pays , de faire encenser ses cheveux et ses
habits par des esclaves, et d'en faire danser devant
elle au son des instrumens quelques autres. Le re-
pas, qu'elle fit servir plat à plat, n'en fut pas moins
somptueux.
A Andrinople encore, lady Montagne trouva plus
d'amusement dans le harera du kiaia, ou lieutenant
du grand-vizir. Fatime, sa femme, lui parut une
beauté telle que l'art même n'aurait pu l'imaginer,
et que la nature seulement a pu la former. Le por-
trait qu'elle en fait exprime vivement l'enthou-
siasme dont elle fut saisie en la voyant , et qui , loin
de se refroidir dans le cours de sa visite, s'exalta
encore à l'examen détaillé des charmes de Fatime.
Tout ce que le luxe le plus recherché peut réu-
nir en araeublemens et en parures était rassemblé
autour de la belle Fatime; les danses que des es-
claves charmantes exécutèrent devant lady Mon-
tagne étaient légères et voluptueuses; la musique
qu'on lui fit entendre lui parut extrêmement tou^
chante : elle ajoute, à cette occasion , qu'une dame
90 VOYAGES EN EUROPE.
grecque, qui possédait parFaitement la musique
italienne, préférait la musique turque. <
Le troisième harem où lady Montaguë fut intro-
duite à Gonstantinople, était celui de la sultane,
veuve du précédent empereur. Ce qu'elle y trouva
de plus remarquable, ce fut la profusion de pier-
reries dont cette sultane était couverte , la magni-
ficence de l'ameublement, la richesse de la vais-
selle. L'affabilité de ia sultane enhardit lady Mon-
taguë à lui faire plusieurs questions sur les usages
du sérail : par les réponses de cette princesse, elle
s'assura qu'il était faux que le sultan jetât un mou-
choir sur celle qu'il honorait de son choix, et que
celle-''! rampât jusqu'au pied du lit avant d'y être
introduite ; c'est par le keisler-aga (le chef des eu-
nuques) que le sultan fait annoncer à l'odalisque
(femme destinée aux plaisirs du Grand-Seigneur) la
préférence qu'il lui donne; il se fait précéder d'un
présent. Les autres odalisques ont eu soin, après
avoir complimenté cette favorite du jour, de la con-
duire au bain, de la parfumer et de l'habiller ma-
gnifiquement.
Lady Montaguë revit à Constant.. iople la belle
Fatime: elle la trouva dans vn appartement d'hiver
dont les murs étaient: incrustés en nacre de perle,
en ivoire, en bois d'olivier : ceux de la chambre où
elle la reçut l'étaient en porcelaine, et les estrades
garnies de riches cCuissins de brocart.
DlX-HUlTlÈMË SIÈCLE. Ul
Au milieu de ces descriptions voluptueuses se
trouvent jetés des détails intéressans sur des points
de religion et sur des objets de législation : en voici
quelques traits détachés.
C'est une erreur accréditée en Europe par la
Faute des anciens voyageurs, que Mahomet exclut
les femmes de toute participation à la béatitude
éternelle après cette vie. Lady Montaguë s'assura,
d'après l'interprétation des docteurs de la loi, que
Mahomet a promis aux femmes un paradis, mais
séparé de celui des hommes : les vertus qu'il exige
d'elles pour mériter un bonheur éternel, c'est de
travailler de tout leur pouvoir à la propagation de
l'espèce humaine. En conséquence de ce précepte,
les filles qui meurent vierges, les veuves qui ne se
remarient pas, sont considérées comme en état de
péché mortel, et en conséquence exclues du pa-
radis.
Lady Montaguë s'assura uissi de la réalité d'un
usage extrêmement bizarre, mais fondé sur la re-
ligion et sur la loi; c'est que, lorsqu'un mari a
répudié solennellement sa femme, il ne peut la re-
prendre que sous la condition de permettre à un
autre homme de passer la nuit avec elle. Il se trouve,
chose bien étrange, des maris qui aiment mieux
subir cette loi que d'être privés toujours d'une
femme pour laquelle leur passion s'est rallumée.
L'adoption est en usage chez les Turcs; mais elle
92 VOYAGES EN EUROPE,
est plus usitée encore parmi les Grecs et les Armé-
niens. Gomme on n a pas en Turquie la facilité de
disposer de sa fortune en faveur d'un parent ou
d'un ami, et qu'elle n'est assurée qu'aux enfans,
ceux qui prévoient ne point en avoir, ont grand
soin , pour ne pas laisser tomber leurs biens dans
le trésor du Grand-Seigneur, de choisir un enfant
du peuple, et de le conduire avec ses parens devant
le cadi, où ils déclarent qu'ils l'instituent leur hé-
ritier. Les parens alors renoncent à tous leurs
droits sur lui, et en passent acte devant témoins.
Celui qui a adopté l'enfant ne peut plus le déshé-
riter, îjady Montagne a vu néanmoins des mendians
donner des preuves de l'amour paternel, en refu-
sant de céder leurs enfans à des gens très riches,
quoiqu'ils fussent certains que communément les
parens adoptifs ont une grande affection pour ceux
qu'ils ont adoptés.
Aux lettres de lady Montagne nous ferons suc-
céder le voyage d'un Français en Grèce , celui de
M. le comte de Choiseul-Gouffier.
-^
CHOISEUL-GOUFFIER.
(1776.)
Entraîné de bonne heure par le désir de visiter
la Grèce, le comte de Choiseul, qui prit le nom de
Gouffier en épousant l'héritière de celte maison.
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le nom de
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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 93
s'embarqua en 1776 pour la terre classique des
beaux-arts, et en revint avec de précieux maté-
riaux. A son retour en France, et après avoir été
admis en 1779 membre de l'Académie des inscrip-
tions et belles- lettres, il publia son Voyage Pitto-
resque en Grèce. Nommé en \ 784 ambassadeur de
France près la Porte Ottomane, il emmena avec
lui l'abbé Delille, dont il fut toujours le protecteur
et l'ami. Au commencement de la révolution fran-
çaise, il allait se rendre à Londres avec la même
qualité d'ambassadeur; mais apprenant qu'il était
décrété d'accusation par la république, il resta à
Constantinople, d'où il passa en Russie pour ne
reparaître en France qu'en 1802. Voici quelques-
uns des aperçus de son voyage en Grèce.
L'île de Cérigo, si célèbre autrefois sous le nom
de Cythère, n'est plus qu'un rocher qui sert de re-
traite aux pirates.
L'île de l'Argentière, ainsi nommée de ses mines
d'argent, qui sont aujourd'hui fermées, est une
terre stérile qui se refuse à toute autre végétation
que celle de l'orge : on y trouve, comme à Milo,
une terre connue chez les anciens sous le nom de
terre de CimoHs. Cette terre est très recherchée
pour le blanchissage du linge. Ses habitans, au
nombre de deux cents .seulement, sont fort miséra-
bles. Le vêtement des femmes y est excessivement
ridicule.
94 VOYAGES EN ECHOPE.
L'ile de Milo, anciennement Malos, renommée
dans les temps anciens pour son extrême fertilité,
est aujourd'hui très malsaine : la plus grande par-
tie de ceux qui riiabitent sont jaunes et bouffis,
leur ventre est énorme, leurs jambes enflées. La
cause de cette insalubrité se trouve dans l'abon-
dance d'alun et de soufre qu'on y rencontre à
chaque pas, et surtout dans les exhalaisons qu'aux
entrées du port envoient plusieurs crevasses. Ces
exhalaisons pestilentielles prennent une origine
dans l'éruption d'un volcan nouveau qui, formant
en 1707 une îie nouvelle, ébranla toutes les îles
voisines. On trouve dans cette île une vaste caverne
tapissée d'alun, qui parait devoir sa formation à
des carrières.
L'île de Siphante, anciennement Siphnos, offrit
à la curiosité de M. de Choiseul-Gouffier, un tom
beau de marbre blanc chargé de riches sculptures,
et bien conservé, quelques autres qui l'étaient beau-
coup moins, et quelques faibles vestiges consacrés
au dieu Pan. L'hospitalité des habitans lui rappela
celle des anciens Grecs. Dans cette île, le ciel est
toujours pur et serein , et la terre y est très féconde.
On ne trouve plus k Siphante ces mines d'or et
d'argent dont la dîme enrichissait les prêtres du
temple d'Apollon. L'habillement des femmes se
rapproche ici du costume grec.
Les habitans de l'île de Nio, autrefois los, ainsi
I
■m
-1
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 1)5
nommée de ce qu elle fut peuplée par une colonie
d'ioniens, parurent à M. de Choiseul très hospita-
liers. L'île de Santorin , autrefois Théra, et l'île
d'Aproinsi sont un démembrement de l'ancienne
lie de Caliste, qui avait pris ce nom de sa beauté.
A Santorin les femmes sont très coquettes et tien-
nentàêtre bien parées, de manière à ne point laisser
soupçonner leur malaise intérieur. Tout le cMé de
l'ile opposé au volcan qui y fait toujours quelques
explosions , est fertile. Les terres couvertes de pierres
ponces produisent de bons vins, de l'orge, du co-
ton, mais peu de froment. > ;* . .. i. *;v. ^ •»> v;
L'île de Naxia, autrefois Naxos, si célèbre par le
culte dont on y honorait Bacchus, et par la célé-
bration des Bacchanales, produit du froment, des
figues, du vin, de l'huile, de la soie, dans de déli-
cieuses vallées arrosées de mille ruisseaux et om-
bragées d'orangers et de grenadiers. Il reste encore
une porte du temple de Bacchus.
L'île de Tina, autrefois Tinos, aussi fertile que
INaxia, est remarquable encore par les proportions
élégantes et la beauté des traits de ses habitans.
L'habillement le plus voluptueux couvre leurs fem-
mes sans les cacher. L'industrie et le commerce en-
richissent cette île autant que font ses productions.
Les femmes de l'état le plus aisé ne dédaignent pas
les détails intéressans de leur ménage : elles-mêmes
recueillent la feuille des mûriers et filent la soie.
m
90 VOYAGES EN EUROPE.
Les travaux peu pénibles qu'elles partagent avec
leurs servantes permettent à celles-ci de conserver
tous leurs a^^rémcns. Tina est Tune des îles les plus
fertiles de l'Archipel. Les magistrats de cette île,
quel que soit leur âge, s appellent vieillards : c'est
un hommage que ces heureux insulaires rendent à
la vieillesse.
De tant de monumens qui rendent File de Délos
si célèbre, il ne reste que de faibles vestiges, tristes
témoignages de son ancienne splendeur. Sur les
bords de la mer sont quelques colonnes, quelques
piliers de granit; plus loin, les ruines d'un portique
que Philippe, roi de Macédoine, y avait fait élever.
Onvoit encore quelques débris du temple d'Apollon.
C'est dans l'île de Paros que Peiresc découvrit ces
tables si utiles à la chronologie, et qui sont si con-
nues sous la dénomination de marbres d'Àrundely
parce que le comte de ce nom les fit transporter de
Smyrne en Angleterre. M. de Ghoiseul visita les
carrières d'où l'on tira ce beau marbre. L'île est
couverte de riches débris, dont quelques-uns ont
servi à la construction de chaumières.
L'île d'Antiparos, anciennement l'île d'OIiaros,
est célèbre par sa grotte fameuse, et dans laquelle
il est difficile de pénétrer. On descend d'abord,
suspendu sur une corde , à douze toises de profon-
deur : là se trouve l'endroit plus difficile, et le seul
un peu dangereux. C'est u > rocher arrondi surle-
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UIX-HUITIÈME SlÈi^LE. 07
quel Veau coule de toutes parts, et qui, sur la droite,
est bordée de précipices : on se laisse couler à pic
environ de douze à quinze pieds, en tenant forte-
ment un câble. Cet endroit franchi, on descend
par une pente fortraide, mais dans un passage plus
large, avec l'intention de se jeter toujours sur la
gauche pour éviter les mêmes précipices : la pente
devient ensuite moins raide, et h la moitié environ
de la descente, le secours d'un câble est presque
inutile. Au fond de la grotte on trouve un gros
rocher qui semble fermer le passage; on le tourne,
et l'on entre dans la salle qui termine le souterrain.
C'est là qu'on admire les stalactites ou cristallisa-
lions ramifiées, qui ont la forme de culs-de-lampe
pyramidaux avec une large base qui les attache
au rocher en contre -bas; et les stalagmites ou
concrétions protubérantes en forme de choux
ou de touffes, qui se trouvent sur la base du sol
ou du plancher souterrain en contre-haut , à l'op-
posite des stalactites. Les unes et les autres sont
formées par les eaux qui tombent de la voûte , et
goutte à goutte en charriant des matières pier-
reuses. La plus belle des stalagmites a vingt-quatre
pieds de hauteur, sur une base de vingt pieds de
diamètre.
L'île de Scyros, quoique avantagée d'un bon port ,
ne fait qu'un petit commerce de vin et de fromage.
Le sol offre l'apparence de phisieurs cratères, et
XLVI. 7
fi VOYAGKS EN KllROPK.
parait renfermer des mines de cuivre. L*ile de
Lemnos, si célèbre dans l'antiquité, soit 'par un
-volcan que Timagination des poètes avait converti
en forges de Vulcain , et dont il subsiste encore des
traces, soit par son labyrinthe dont il ne reste plus
de vestiges, n'était pas moins fameuse par sa terre
sigillée, qui, dit -on, guérit Philoctète, et qui a
conservé toute sa prétendue vertu dans l'esprit
crédule des Grecs.
L'ile de Metelin, connue dans l'antiquité sous le
nom A'tle de Lesbos, a pris sa nouvelle dénomina-
tion de Mytilène, la principale des cinq villes qu'elle
renfermait. L'ilc Scio ou Chios possède un port
très vivant. Une chaîne de montagnes arides par-
tage cette île, mais les vallées arrosées par une in-
finité de ruisseaux sont couvertes d'orangers et de
grenadiers. Les vignes donnent un vin qui soutient
encore son ancienne réputation. Une production
particulière à Chios est le lentisque, arbre qui pro-
duit ce fameux mastic ou aromate dont les femmes
turques et grecques font un si grand usage. La na-
ture a ici versé ses dons avec profusion.
L'île de Samos, le berceau de Pythagore, con-
serve encore des vestiges de son ancienne splen-
deur; mais sa population ne répond point à la
fertilité de son territoire. L'île de Pathmos, très
stérile, est fameuse par son couvent des moines de
Saint-Jean, qui subsiste des tribus des îles voisines.
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DIX-HUITIÊMB 81ÊCLE. 00
L'Ile de Ces, qui partage la fertilité des autres tles,
a un platane prodigieux, auquel les habitans ren-
dent une espèce de culte : les branches de cet arbrf.'
qui couvrent la place sont soutenues par de su-
perbes colonnes de marbre et de granit, qni attes-
tent l'ancienne magnificence du temple d'Esculape,
si révéré dans cette ile.
L'Ile de Rhodes, fameuse dans l'antiquité par
son commerce maritime, par les lois qu'elle établit
pour ce commerce, par le grand nombre d'artistes
qu'elle produisit, par son colosse et son temple du
1 soleil , dont il ne reste pas de vestiges , a été célèbre
également dans le moyen-àge comme le chef-lieu
de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, et par la
résistance que les chevaliers de cet ordre opposè-
rent à toutes les forces de l'empire ottoman. M. de
Choiseul visita en détail cette ile, d'où il se rendit
à Milet, dont les ruines n'offrent que des arbres
mutilés; et delà à Ephèse, où l'on voit encore deux
aqueducs, mais où l'on ne trouve plus aucun ves-
tige du temple de Diane.
Puisque nous nous trouvons dans le voisinage
de la Turquie, notons ici en passant quelques-unes
des observations curieuses de l'Anglais Porter, qui
visita ce pays à peu près vers le même temps que
M. de Choiseul.
100
VOYAGES EN EUROPE.
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(1768.)
) )'
- Porter connaissait bien la nation turque; il avait
été ministre plénipotentiaire à Constantinople, et
il réunissait à l'avantage de pouvoir presque tout
visiter, le talent de bien observer et de bien dé-
crire. Porter a esquissé rapidement le caractère des
Turcs: il les représente en général comme intelli-
gens, réfléchis et d'une persévérance infatigable à
suivre les objets d'intérêt et de fortune ; dans cette
poursuite ils sont capables de tous les excès, et de
sacrifier au besoin tous les liens de l'amitié et du
sang. Hors de là , dans le cours de la vie commune,
ils sont obligeans, humains et capables même de
reconnaissance; mais lorsqu'ils étendent jusqu'aux
chrétiens la pratique de ces vertus, c'est toujours
en vue de cet avantage. - -^
La passion la plus active chez les Turcs est celle
de la vengeance. Porter en cite quelques exemples
effrayans. En examinant la religion musulmane, il
observe que, malgré la simplicité apparente du
principe fondamental de cette religion , qui est l'is-
lamisme, ou le dogme de l'unité d'un Dieu, il n'est
pas néanmoins de religion dans le monde fondée
sur tant de révélations, et aussi chargée de minu-
tieuses pratiques. Comme ces pratiques, si indiffé-
t
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is, si indiffé-
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 101
rentes à l'ordre moral de l'univers , sont aux yeux
des musulmans le seul moyen d'expiation et de
salut, ils en contractent nécessairement une into-
lérance capable de les porter, aux derniers excès
contre ceux qu'ils quali&ent d'infidèles. Le seul
préservatif contre cette fureur intolérante envei*s
les chrétiens et les juifs qui vivent sous leur domi-
nation, c'est la soif de l'or dont sont communément
dévorés les Turcs. Ces étrangers sont pour eux une
mine inépuisable, où ils ne cessent de fouiller pour
faire face aux besoins toujours renaissans du gou-
vernement, ou pour rassasier leur propre cupidité.
Cette considération si peu puissante, ne l'est pourtant
pas encore assez pour réprimer Tanimosité des
Turcs , qui s'exhale sans cesse par la dénomination
injurieuse de giovar ou infidèle y qu'ils accoutument
les enfans à balbutier dès 1 âge le plus tendre contre
les chrétiens ou juifs qu'ils rencontrent. « 'xù-,-^
Le prosélytisme est tel en Turquie que les mu-
sulmans ne rejettent pas le plus vil, le plus scélérat
des hommes qui s'offre à devenir un vrai croyant,
bien qu'il ignore entièrement en quoi consiste cette
croyance. Porter dit cependant que quels que puis-
sent être parmi les Turcs les dissentimens en ma-
tières religieuses, on n'entend jamais parler chez
eux de punitions et de supplices pour cause de
culte.
Les muftis et les mollahs sont les dépositaires de
ÎOJ ■ VOYAGES EN EUROPE,
la loi, et les imansles ministres du culte. Ces imans
reçoivent une paye sur les immenses revenus des
mosquées, employés à l'entretien et aux embellis-
semens des temples, ainsi qu'aux frais des hospices
et des écoles. Les imans qui font la prière, sont ce
qu'on appelle en Turquie le clergé séculier. Il y a
ensuite les derviches ou moines, partagés en quatre
ordres, et qui ont à leur tète les scheiks, souvent
redoutables au gouvernement par leurs prédications
séditieuses. Ce ne sont, au surplus, ni les lois, ni
les interprètes qui manquent en Turquie, mais c'est
une bonne administration de la justice. Ces lois
et leurs commentaires sont, dans des mains cor-
rompues, un glaive redoutable toujours prêt à me-
nacer la vie ou la fortune des citoyens , dont la
sûreté, les propriétés ont beaucoup plus à souffrir
de ce désordre que du despotisme même du prince:
celui-ci trouve assez souvent dans la religion et ses
interprètes des barrières qu'il ne peut pas franchir.
Plusieuifà cours de justice à Constantinople ju-
gent' les procès. Les cours inférieures sont celles
des mollahs de Galata , et celle du Stamboul ef fendi
ou juge de police. Les cours supérieures sont celles
des cadilesquiers ou grands juges d'Europe et d'Asie,
et le divan du grand-vizir. De ces juridictions sont
affranchis les descendans de Mahomet, qui sont
très multipliés dans l'empire, et qui ont pour juge
le chef de leurs tribus.
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 103
C'est en Turquie nr- .and avantage pour le de-
mandeur, d'avoir le d: jii de choisir un juge, parce
qu'il commence à s'assurer de ce juge avant de
faire son choix; mais assez souvent néanmoins, le
défenseur, renchérissant sur les offres de sa partie
adverse, fait tourner la chance; ou à force d'inci-
dens et de chicane, s'il est le plus riche, il éloigne
le jugement, lasse son adversaire, et l'oblige de
souscrire à un accommodement désavantageux.
Avec les mêmes ressources, il réussit quelque-
fois, s'il ne peut pas gagner le juge, à faire ren-
voyer l'affaire à un autre tribunal. •
Tous les juges ont un naïb ou clam, qui dirige
les décisions du magistrat, et reçoit les proposi-
tions des plaideurs. Ceux-ci se munissent souvent
de part et d'autre d'un fetfa du mufti : c'est une
consultation qu'on obtient de lui sous des noms
interposés, et qui, le plus communément, est ré-
digée par ses commis. Lorsque ces fetfas sont con-
tradictoires, ce qui arrive assez fréquemment, ils
deviennent inutiles aux parties. .,..,. ., .
L'usage des témoins, qu'on emploie pour tous les
genres de preuves, est une source d'abus révoltans :
comme on en trouve toujours pour de l'argent,
parce que l'or est la divinité des Turcs, et qu'on a
certaines pratiques pour séduire ceux qui ne sont
pas corruptibles, on parvient à embrouiller les
questions les plus claires, et à autoriser les délais
iéé VOYAGES EN EUROPE,
de la part du juge, qui, de son côté, a des -gens
préposés pour traiter secrètement avec les parties.
C'est à la faveur de ces abominables reisources
quon voit journellement réunir des demandes
contre la propriété, ou des plaintes en dommages-
intérêts, et qui n'ont pas le plus léger fondement.
L'or est le véhicule des dépositions, comme il en
est la récompense. On ne connaît pas en Turquie
de moyen plus légal pour contraindre à venir dé-
poser en justice : la loi ne permet pas les assigna-
tions, il faut que les témoins se présentent à leur
gré. Suivant le Koran , les faux témoins devraient
être rigoureusement punis; l'on en voit néanmoins
peu d'exemples, si ce n'est au commencement d'un
règne, où, pour signaler l'avènement du nouveau
sultan, le grand-vizir fait saisir une douzaine de
faux témoins. Toute leur punition se réduit à être
promenés dans les rues, montés sur un âne, le
visage tourné vers la queue de l'animal , avec une
inscription qui les déclare faux témoins.
 cette corruption répandue dans les tribunaux,
à l'arbitraire des décisions qui en émanent , si l'on
ajoute le droit acquis au souverain de s'emparer de
toutes les terres tenues en fief lors des mutations
des détenteurs, et même de la totalité des biens de
ses officiers après leur décès, on frémit des con-
séquences funestes qui doivent en résulter pour le
maintien des propriétés. Heureusement une déci-
'Ni
•11-8":
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parties,
^sources
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DIX. HUITIÈME SIÈCLE. tOi
sion du prophète a déclaré sacrés et inviolables
les biens-fonds et les maisons qui se trouv^raient
annexés à l'église. En conséquence de cette décision,
le propriétaire donne tous ses biens à quelque fon-
dation religieuse, sous la condition expresse que
leurs administrateurs ne pourront en prendre pos-
session qu'après l'extinction de tous les hoirs
mâles du donateur : de cette manière il transmet
sans contestation à ses héritiers la propriété utile
de sa fortune, sous la seule charge de substitution.
Malgré l'esprit fiscal qui règne dans les tribu-
naux, la police intérieure et les mesures qu'on
prend pour la sûreté des individus sont excellentes
en Turquie; les vols sont extrêmement rares, dans
la capitale comme sur les grands chemins; les mai-
sons ferment à peine , et le boutiquier s'absente en
laissant sa boutique sous la garde de la bonne foi
publique. Ces vols d'ailleurs seraient promptement
suivis du châtiment sévère infligé aux coupables.
Nous citerons pour preuve l'anecdote suivante, ex-
traite d'un voyage tout récent à Constantinople ',
celui du docteur Brayer, qui y a fait un séjour de
neuf ans, voyage que nous avons analysé dans le
Bulletin de la Société de géographie, cahier du mois
de juin 1836. t
« Dans une de ces belles journées où le Grand-
' Neuf années à Constantinople, par le docteur Brayer, 2 vol.
iii-S"; Paris, 1836.
100 VOYAGES EN EUROPE.
Seigneur va se délasser à Kiahat-khana, charmante
promenade où la foule se rend aussi pour jouir du
plaisir de la campagne et voir le souverain et son
cortège, il se trouve, comme ailleurs, des vendeurs
ambulans de pain, de fromage et d autres comes-
tibles. Parmi eux était un enfant grec qui vendait
du pain; un janissaire passe à côté de lui, prend un
pain et s'en va sans payer. L'enfant se récrie, suit
le janissaire et réclame ce qui lui est dû, deux paras.
Le Turc, irrité de ce qu'un raïa ose exiger le paie-
ment d'une si modique.'somme, l'injurie, et voyant
parmi ses petits pains une quarantaine de paras,
produit de la vente de la journée, s'en empare et
continue son chemin. Le garçon intimidé se met à
pleurer. Gomment paiera-t-il au boulanger son pain
pris à crédit? Un officier passe et s'informe du sujet
de ses pleurs; celui-ci raconte l'aventure et montre
du doigt le coupable encore peu éloigné. L'officier
va droit à lui et lui demande comment il a pu
commettre un tel crime. Le janissaire pâlit, balbu-
tie, ne nie pas, mais rejette sa faute sur la fatalité.
Cependant il est saisi , envoyé à sa caserne ; on re-
cueille la déposition de l'enfant. Le jour suivant il
est traduit devant son chef. « Tu es accusé d'avoir
pris un pain à cet enfant, de l'avoir injurié et de
lui avoir volé quarante paras; est-ce vrai? — La fa-
talité l'a voulu ainsi. — Est-ce que lu ne sais pas ce
que dit le Koran en pareil cas? » Silence du coupable.
rmante
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e; on re-
suivant il
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' — La fa-
sais pas ce
1 coupable.
I
DIX-HUITIÈME SifcCLE. 107
u Ne connais-tu pas la peine infligée aux voleurs par
la loi ? — Vous le savez mieux que moi. — Que
veux-tu que je fasse? ce n*est pas moi qui te juge,
c'est le Koran. » Puis, sans autres formalités, le gé-
néral en chef des janissaires écrit sur un petit carré
de papier, dans le creux de sa main, la sentence de
mort, et la remet à deux kavas pour qu'elle soit
exécutée. • î ' < «•.•(-.r^ ■ .■ i >-.?.,- -m'?i>-'j-ir-r» _-t»M*
0 Les deux bourreaux et le coupable au milieu
s'en vont à pied vers le lieu du supplice. Le délin-
quant n'est pas lié ; seulement s'il est connu pour
une mauvaise tête, l'un le prend par le collet de sa
robe, l'autre par le châle qui lui sert de ceinture.
A peine fait-on attention dans la rue à ces troi^ indi-
vidus; il faut avoir demeuré quelque temps dans le
pays pour se douter de ce qui se passe. Cependant
quelques curieux les suivent à peu de distance. En
s'avançant vers l'endroit fatal, les bourreaux et le
condamné causent ensemble. «Que veut dire ceci,
mon frère, que nous devions exécuter un ordre
semblable? — Que sais -je, cela est arrivé; mon
frère, la fatalité l'a voulu ainsi , que puis-je y faire ? »
Telle est la substance de toute la conversation. '»
« Enfin on arrive au lieu de l'exécution , ordinai-
rement le très petit carrefour près Bach-Capous-
sou. L'approche de la mort fait pâlir le janissaire ;
mais il sait que, quand un coupable a fait ses ablu-
tions, dit ses prières et subi courageusement le
106 VOYAGRS EN EUROPE,
supplice qu'il a mérité, son crime et ses péchés lui
sont pardonnes, et qu'il a droit à la félicité promise
aux vrais croyans ; il se résigne donc. Le chef des
bourreaux lui dit alors de se mettre à genoux; il
s'y met ; l'autre , muni d'une poignée de sable, lui
en jette à la figure ; instinctivement le condamné
ferme les yeux et baisse la tête. La nuque est tenr
due; l'exécuteur saisit ce mouvement pour lui assé^
ner un coup de cimeterre. La tête tombe; puis il
place le cadavre sur le dos et pose la tête perpenr
diculairement entre le bras droit et le corps du sup^
pli(Mé. Il attache ensuite Xç^yafta ' sur sa poitrine, et
le laisse ainsi exposé pendant trois jours aux regards
dupublic.» .;,. , ,. .. .,
Pour donner une idée djes mœurs des harems,
M. Brayer raconte quelques-unes de ses visites dans
ces lieux si rarement visités par les Européens^ et
où le voyageur Porter n'avait pu pénétrer. Nous
rapporterons encore le fragment ci-après, qui sup-
pléera au silence de Porter à cet égard, r «i rrrv
«Introduit par l'effendi dans l'appartement où
étaient ses femmes, je vis, dit M. Brayer, dans un
des angles du sopha une femme très replète, âgée
de cinquante ans environ. Appuyée sur des cous-
sins, elle était couverte d'un chàle, mais pas assez
pour que je ne pusse voir son visage tout entier. Â
' Inscription rie forme ordinairomcnl ovale, relatant le crinii'
de l'individu, et quelquefois le texte de la loi qui l'a condamni^'
;; puis il
perpeivr
s du supi-
itrine, et
IL regards
harems,
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péens^ et
rer. Nous
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, pas assez
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CIX-H.UITIÈME SIÈCLK. ^U»
côté d'elle était une autre femme d'à peu près vingt-
cinq ans, qui causait avec elle et lui montrait, avec
beaucoup de douceur et de respect, différentes
étoffes et autres articles d'habillement, «le la pris
pour sa fille. ' * '
« L'effendi s'étant assis près de la dame âgée, et
moi à côté de lui, elle m'entretint de sa santé. Elle
se plaignit d'étouffemens, de vertiges, d'une diffi-
culté de respirer et de marcher, de maux de tête
et d'un mérac extraordinaire. Elle voulait que je
lui donnasse des forces , et me demandait si je n'a-
vais pas un secret pour dissiper tous ces maux.
«Vu les préjugés du pays, je donnai à entendre
qu'une saignée copieuse, répétée de temps en temps,
pourrait dimmuer la plupart de ces symptômes fâ-
cheux; que la diète, la limonade pour boisson, un
peu d'exercice lui seraient favorables. Le traitement
proposé déplut : c'était un secret qui guérit tout de
suite qu'elle désirait; je n'en avais pas, et me bor-
nai à prescrire un remède insignifiant. En sortant
de la maison, je trouvai au pied de l'escalier l'apo-
thicaire qui, ayant appris qu'un médecin franc
était venu chez son client, venait pour prendre la
recette. Il m'informa que la jeune personne que
j'avais prise pour la fille de la dame âgée était la
seconde femme de l'effendi; que la première, se
voyant arriver à un âge où elle n'espérait plus avoir
d'enfans, avait consenti à ce qu'il en prît une se-
110 VOYAGES EN EUROPE,
conde; que celle-ci rendait à Tautre tous les soins
qu'une fille aurait eus pour sa mère, qu'elle en était
chérie de même, et qu'elle avait donné le jour à
deux enfens qui faisaient la joie de toute la famille.
«J'ai vu dans un autre harem les trois épouses
d'un eFfendi. Toutes trois étaient dans un des an-
gles du sopha, travaillant et causant ensemble de
la manière la plus amicale. Je les pris pour les trois
sœurs. Il était cependant évident qu'une d'elles était
l'objet de l'attention et des prévenances des deux
autres. Introduit par l'effendi, je crus à sa manière
de parler avec elles qu'il en était le père, tant ses
paroles étaient empreintes d'une douce gravité,
sans aucune marque de prédilection pour aucune
d'elles. Ce fut encore l'apothicaire qui m'instruisit
qu'elles étaient ses trois femmes.
« Sans doute, dans les harems populeux des riches
musulmans et des hauts fonctionnaires, il doit y
avoir quelquefois des jalousies, des haines sourdes
qui fermentent, des moyens odieux et criminels
employés pour se délivi'er de rivales plus favori-
sées; mais, vu le petit nombre de ces harems, on
peut les regarder comme des exceptions. 11 est rare,
à Constantinople au moins, qu'un musulman ait
plus d'une femme, à moins de stérilité ou de
grandes infirmités dans la première ou la seconde.
Dans ce cas, la loi lui en fait presque une obligation.
Père, mère, parens et amis, en le voyant marié
penel
heurj
plus
la pr|
une
caded
oevoi
DIX-HLIITIÈME Sli^XLK. Itl
depuis deux ou trois ans, étonnés que sa couche
nuptiale soit stérile, lui font observer que : ttDieu
commande, et la mère met au jour deux jumeaux de
différent sexe, et qu'il rend stériles celles qu'il veut :•»
et le musulman fait par esprit de religion ce qui
quelquefois contrarie ses affections. Les oulémas,
les employés près les ministères, tout ce qui est au
service des (grands, les petits rentiers, les hizmet-
kiars (serviteurs) retraités, les artisans, les ouvriers,
les bateliers si nombreux, les portefaix, n'ont gé-
néralement qu'une femme, et ces classes, quant
aux musulmans, composent les trois quarts de la
population masculine de la capitale.
« On a beaucoup exagéré les querelles et les ja-
lousies qui doivent troubler les ménages turcs,
lorsque le chef de la famille use de la permission
d'avoir plusieurs femmes. Le musulman pense
comme la loi, et se conforme à la loi. Il se croit
supérieur à la femme; le Koran Ta dit, la nature
le prouve ; il est bon , affectueux envers elle , mais
sa bonté est grave, protectrice: c'est celle d'un su-
périeur envers un être faible , nécessaire à son bon-
heur. L'homme, regardant la femme comme le
plus grand des biens que la Divinité lui accorde,
la préfère à tout autre bien. Au lieu d'exiger d'elle
une dot, c'est lui qui lui en donne une ; il fait des
cadeaux aux parens de son épouse , au lieu d'en re-
cevoir. Ses devoirs sont tracés par la nature elle-
fil VOYAGES KN KUJIOPE.
même : il est cliargé de rcxtérieur; il est tenu de
nourrir, d'Imbiller, d'entretenir sa famille, suivant
son ran(; dans la société et suivant ses moyens. S'il
ne le peut, lepouse réclame le divorce el l'obtient;
s'il le peut et ne le veut pas, elle l'y contraint par
la loi ; s'il la maltraite, il est sévèrement puni, lia
femme préside à l'intérieur; elle doit d'abord obéis-
sance à son époux, puis elle est chargée des détails
du ménage, de la préparation des alimens, de l'al-
laitement et du soin de ses enfans. Si la médiocrité
des moyens de son mari lui en fait une nécessité,
elle emploie ses loisirs à filer et à tisser le lin qui
lui est remis pour l'usage de la famille.
«Lors donc que le musulman juge à propos d'a-
voir plusieurs femmes, puisque la loi le lui permet,
l'épouse doit s'y résigner; mais cette même loi pres-
crit au mari de les aimer toutes également, de les
traiter de la même manière, de ne pas faire de ca-
deaux à l'une sans en faire autant aux autres, de
n'en embrasser aucune en présence des autres. Le
Koran règle même la répartition des caresses con-
jugales; la première femme conserve ses droits. Si
l'harmonie du harem n'est pas troublée par la pré-
sence de deux ou trois femmes, elles vivent en com-
mun, et la première conserve la préérsîinence; si
e.: es ne peuvent s'accorder, chacune «l'ellf's l'oit
avoir un appartement séparé, une table à part, mais
également fournie. Si , malgré ces précautions, une
(btient;
lint par
uni. l^a
d obéis-
} détails
, de l'al-
îdiocrité
écessité ,
B lin qui
Dpos d'u-
i permet,
5 loi pres-
nt, de les
ire de ca-
utres , de
autres. Le
esses con-
droits. Si
)ar la pré-
nten com-
ïinence; si
l'oll,.. .^oit
part, mais
itions, une
DIX-HUlTlfeMB 81ÈCLK. 118
d'elle», d*nn cnr«ic(ùrc violent o^'casione par aei
vocil'érntions du scandale dans le voisinage, le mu-
Kulman se hâte de la répudier, et In [)»i\ est rétablie
dans sa maison, qui doit être un lieu d «Menée.
« Les Francs, habitués à ce qui se passe dans leurs
pays respectifs, ne peuvent croire que, malgré
toutes les précautions prises par les maris, il n'y
ait pas à Conslantinople d'intrigues, de séductions,
d'enlèvtr:iciis, ^omme chez eux. Les théAtres n'ont
pas manqué d'c-cploiter les harems, au grand plaisir
des spectateurs, charmés de voir que, sous ce rap-
port au moins, les musulmans ne valent pas mieux
que les chrétiens. Les Francs sont dans l'erreur; il
faut avoir demeuré long-temps dans le pays pour
en être convaincu , il faut avoir eu accès dans plu-
sieurs maisons turques, non-seulement au sélamlik,
où l'on ne peut juger de rien, mais dans le harem,
pour se persuader de la difficulté, je dirai plus, de
l'impossibilité de ces intrigues. Le châtiment, d'ail-
leurs, est si terrible et si prompt, que le Franc le
plus intrépide en est découragé.
«11 s'est trouvé, dit -on, des étrangers riches et
puissans qui, désireux de jouir de faveurs si diffi-
ciles à obtenir, ont, non pas cherché à captiver l'af-
fection d'une musulmane, mais chargé un des en-
'''•meitcurs de Pér« de leur en amener une. Leurs
vœux ont été remplis; ils ont passé quelques ins-
tans, une nuit peut-être, avec elle, enveloppés dans
XLVI. 8
\
114 VOYAGES EN EUROPE.
Tombre du plus profond mystère et sous la pro-
messe d'un secret inviolable. La vanité a, dit -on
encore, proclamé cette bonne fortune; mais on a
su bientôt aussi que ces faveurs chèrement payées
n'étaient autres que celles de quelque femme raïa ,
mise dans la confidence, habillée à la turque, et
qui s'était fait passer pour musulmane, chose très
facile aux yeux d'un Franc nouvellement débarqué.
tt 11 faut cependant le dire : il y a des Européens
assez ignorans des mœurs du pays, et assez témé-
raires pour vouloir choisir eux-mêmes l'objet de
leurs désirs; et, à force d'or ou autrement, ils par-
viennent à s'introduire dans la maison d'un musul-
man en son absence: mais observés par les voisins
qui veillent à l'honneur du harem de leur frère
comme ils voudraient qu'on veillât à celui du leur,
ils sont presque toujours pris en flagrant délit, et
condamnés à mort, sans que la légation à laquelle
ils appartiennent puisse intervenir. Il n'y a pas en-
core long-temps, les journaux ont fait mention de
deux Francs surpris dans un cas semblable. Les
deux femmes furent mises dans un sac, et jetées
dans le Bosphore; des deux chrétiens, l'un ne vou-
lant pas renier sa religion, fut pendu; l'autre, dans
l'espérance de sauver sa vie , embrassa la religion
musulmane; mais à peine eut-il prononcé sa pro-
fession de foi, qu'il fut conduit au supplice. Quel-
quefois cependant, si la femme est libre, et si le
£ Si li
I «ivile
DIX-HUITIÈME SIÈCLE.
iti
t'
ne raïa,
que, et
ose très
îbarqué.
iropéens
ez témé-
objet de
t, ilspar-
m TOUSul-
es voisins
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li du leur,
t délit, et
à laquelle
^ a pas en-
nention de
niable. Les
et jetées
un ne vou-
autre, dans
la religion
ncé sa pro-
plice. Quel-
re, et si le
séducteur embrasse l'islamisme, il arrive que ic
mariage a lieu. • ^" ' "• * *' > " '^^
« La police de Constantinople est cliargée de veil-
ler non-seulement à la tranquillité et à la sûreté de
cette immense capitale, mais encore à la conserva-
tion des bonnes mœurs. Les plus sages précautions
sont prises pour obvier à toute tentative de scan-
dale. Les maisons sont construites de telle sorte,
que nul œil indiscret ne puisse voir ce qui s'y passe.
Les fenêtres sur la rue sont à petits grillages. Au-
cun jour d'une maison voisine ne domine sur les
jardins où les femmes vont se promener. Si les murs
de clôture sont trop bas , on y supplée par des
planches posées verticalement, ce qui empêche là
circulation de l'air, et cause de fréquentes mala-
dies. Les raïa ont généralement adopté les mêmes
coutumes; personne d'entre eux ne cherche avoir
le harem d'un autre pour que l'on ne cherche point
à voir le sien. Aussi l'on entend très rarement
parler d'intrigues amoureuses, d'adultères ou autres
débordemens. Les mauvais lieux sont relégués à
Galata et à Péra surtout, miniature des capitales
européennes. Aucun Franc ne peut habiter Cons-
tantinople; un raïa étranger non marié n'est admis
à demeurer que dans les khan ou dans la famille
à laquelle il est recommandé. »
Si la police turque est bonne , l 'administration
civile ne l'est pas moins, et c'est mal à propos, sui-
ItO VOYAGES EN' EUROPE,
vant Porter, qu'on a cru que les fréquens change-
mens de vizir et d'autres ministres accus'tient la
faiblesse du gouvernement ottoman. Un usage sa-
lutaire maintient l'uniformité , la régularité de sa
marche : c'est le soin scrupuleux avec lequel, au
milieu de tant de mutations, on conserve les subal-
ternes dans leurs emplois, et l'attention soutenue
qu'on a de leur procurer de l'avancement, toutes
les fois qu'il survient quelque déplacement. Par
cette double mesure, le vizir Azem, le kiaia, son
lieutenant, le reiss-effendi et tous les autres mi-
nistres, quelque étrangers qu'ils puissent être aux
connaissances qu'exigent les places auxquelles ils
sont rapidement élevés, sont promptement instruits
par ces subalternes des formes et des ressorts du
gouvernement; et lorsqu'ils sont déposés, la marche
des affaires n'en souffre pas. , / >> ;;*r;i»*
Chaque département renferme un nombre con-
sidérable d'employés et de sous-employés qui tra-
vaillent avec une persévérance incroyable pour
s'élever aux postes qu'ils ambitionnent; et cette
émulation procure nécessairement aux parties l'ex-
pédition la plus prompte. Porter affirme qu'il n'est
pas de gouvernement européen qu'on puisse com-
parer à la Porte, pour l'exactitude avec laquelle
les différens postes sont remplis, pour la précision
avec laquelle toutes les affaires s'y traitent, pour
le choix que dans toutes les transactions diplomati-
I hommi
I détour!
I dans l(
main si
voir c(
contenj
DIX-HUITIÈMR 81ÈGLË. 117
ques on a soin de faire des termes dont la signi-
fication est la plus l'uvurable h l'intérêt de la nation.
Pourvu seulement qu'on puisse indiquer d'iiné
manière vague l'époque où les actes de la plus an-
cienne date ont été passés , on est sur de les trouver
à la Porte, rangés dans le plus bel ordre. Du reste,
la règle constamment suivie dans l'interprétation
des traités faits avec les princes chrétiens, c'est
l'exemple de ce qui s'est pratiqué dans les temps
passés, et que les Turcs appellent /e canon.
En traitant des mœurs des Turcs, Porter observe
que l'affection paternelle a la plus grande énergie
chez eux ; qu'en retour de cette affection , les enfans
ont pour leurs parens une soumission sans bornes,
un attacheraenV inviolable qui emportent même en
général la plus grande déférence pour les supé-
rieurs, et la plus profonde vénération pous' les
vieillards. L'habitude de ces senti mens et l'éloigne-
raent rigoureux du commerce des femmes où l'on
tient les Turcs dans leur jeunesse, leur inspirent le
plus grand respect pour ce sexe, et les maintien-
nent dans une extrême réserve à son égard. Un
homme qui rencontre une femme dans les rues
détourne la tête : jamais un Turc ne se permettra,
dans le plus violent accès de colère, de porter la
main sur sa femme. Il n'est pas rare en Turquie de
^ voir ce sexe abuser dé son ascendant, et par une
contenance ferme, des regards assurés, en imposer
tiê VOYAGES EN EUROPE,
aux hommes les plus courageux : il pousse quel-
quefois Farrogance jusqu'à harceler, à insulter
même sur leur tribunal les juges qui, pour s*en
débarrasser, lui donnent souvent, à tort ou à droit,
gain de cause; on conçoit qu'il ne s'agit ici que des
>.* ' " femmes du peuple. < -i
Celles d'un rang plus élevé, et qui sont nées en
Turquie , ont beaucoup de décence et de retenue.
Plusieurs d'entre elles ayant l'esprit cultivé par la
lecture des livres turcs et arabes , se forment des
principes de morale et de vertu qui deviennent
la garantie de la pureté de leurs mœurs. Quant à
celles qu'on achète , on ne doit s'attendre à trouver
chez elles que des talens agréables, tels que le
chant et la danse. 11 est difficile, suivant Porter, de
confirmer ou de nier les récits que les voyageurs
ont faits des femmes turques. Toujours couvertes,
dans les mosquées, d'un voile qui ne laisse d'ou-
verture qu'aux yeux, elles sont impénétrables à tous
autres regards qu'à ceux de leur père et mère, de
leurs frères et sœurs , et de leurs maris. 11 est facile
au reste d'imaginer que, pour peu qu'elles soient
favorisées des dons de la nature, la vie réglée
qu'elles mènent, le soin qu'elles prennent de pré-
server leur visage de l'influence de i air, doivent
leur donner un teint uni et animé. Les femmes
grecques ne sont pas aussi resserrées dans leurs
maisons que les dames turques ; elles ne se servent
nées en
retenue,
ré par la
nent des
viennent
Quant à
a trouver
Is que le
'orter, de
royageurs
ouvertes,
isse d'ou-
blesàtous
mère, de
l est facile
lies soient
vie réglée
nt de pré-
r, doivent
es femmes
dans leurs
se servent
ï
l
4
DIX-HUITIÈMË SIÈCLE. tl9
de voiles que dans les rues : la plupart ont de beaux
traits, une physionomie attrayante; mais en général
leur teint a quelque chose de terne. IjCS unes et les
autres sont fanées de bonne heure par le mariage
prématuré et le trop fréquent usage du bain de
clialeur qui relâche lep fibres et altère les formes.
L'usage, en Turquie, est de marier des garçons
de treize ou quatorze ans à des filles qui n'en ont
que onze à douze, ou quelquefois moins. Cette cou-
tume a lieu dans toutes les religions et toutes les
sectes répandues sur la surface de l'empire. Les
parties s'unissent sur la foi de leurs parens; elles
n'ont pas la liberté de se voir avant la nuit conju-
gale. Plus d'une fois il s'est pratiqué, parmi les
Grecs et les Arméniens surtout, les tromperies les
plus graves en ce genre; on a uni la beauté à la
laideur, la vigueur aux infirmités. Sur les plaintes
qu'on porte aux entremetteurs, ils répondent que
c'est le désir de régénérer les races qui leur a fait
commettre cette fraude, beaucoup plus fâcheuse
pour les chrétiens, qui n'ont pas les ressources du
divorce. Du temps de Porter, les filles grecques
voulaient connaître ceux qui prétendaient à leur
main, et se laissaient elles-mêmes furtivement en-
trevoir : il leur arrivait aussi de disposer de leurs
personnes en ne consultant que leur inclination.
Pour ne point mêler son sang avec aucune fa-
mille de l'empire, le Grand-Seigneur ne contracte
120 VOYAGES EN EUROPE,
point de lien conjugal. Il n'honore de sa couche que
de belles esclaves ou odalisques. La première qui
lui donne un HIs jouit de toutes les prérogatives
d'épouse et commande dans le harem. Les autres
Turcs peuvent avoir jusqu'à quatre femmes. Le
mariage se contracte devant un tribunal de justice.
En déclarant que telle femme est son épouse, le
mari s'engage*, dans le cas où il la répudierait, à se
charger des enfans, et à lui payer une somme
proportionnée à ses facultés, qui, chez le bas peu-
ple, est fort modique. Dans cette dernière classe
il est rare qu'un homme ait plus d'une femme à la
fois; mais il en change souvent. La femme répudiée,
dans quelque rang que ce soit, n'en trouve pas
moins un autre mari. < v .
»! Les femmes publiques sont rares en Turquie:
on doit attribuer cette cause d'un côté à la faculté
qu'ont les Turcs de se satisfaire jusqu'à satiété par
des unions légitimes; et de l'autre, au dégoût, à
l'aversion même que toute femme effrontée inspire
à un musulman.
A ces détails, nous en ajouterons quelques-uns de
ceux que fournit sur les mêmes contrées un autre
voyageur, M. d'Ohsson.
îhe que
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DIX-HUITIÈME S1ÉCI.Ë. 121
■■-'■■■ '' " " ■■' -• ' • ■■ ,. ,..->- •-,. ;. ' -:,'H,.
D'OHSSON. V . V
' ' (1780.)
Mouradgea d'Ohsson était chargé d'affaires du
roi de Suède à Gonstantinople; né dans cette capi-
tale, il avait pu s'initier plus facilement aux mœurs
et coutumes de la nation turque. Aussi donne-t-il
un tableau fort curieux du code musulman, il offre
également des détails étendus sur l'agriculture,
notamment sur le jardinage des Orientaux. 11 parle
des manufactures en activité dans la Turquie. A
l'époque où il écrivait on n'y connaissait pas alors
les fabriques de draps, ni l'art de construire des
voitures de voyage. D'Ohsson dit que les Turcs ne
se promènent guère que dans les barques sur le
canal de Gonstantinople : c'est là qu'ils aiment à
déployer le luxe oriental. La barque du Grand-
Seigneur est richement décorée. Les Turcs ne
voyagent qu'à cheval : de là leur passion pour les
chevaux. Les pachas et les grands en entretiennent
jusqu'à trois ou quatre cents des races les plus re-
cherchées.
L'interdiction des images [)araît avoir été em-
pruntée de la loi mosaïque par Mahomet; et c'est
en abusant de la doctrine qu'il a fondée contre
ritlolàirie que les Turcs se sont permis tant de des-
tructions des ouvrages de l'art. Il est vrai que cette
113 VOYAGES EN EUROPE,
même doctrine a été la cause du progrès que les
Turcs ont fait dans la peinture et la sculpture : ils
exécutent en bois, en plâtre, en pierre, en stuc et
en marbre des ouvrages qui ne manquent ni de
précision ni de goût; ils gravent aussi des cachets
d'argent et de cornalines.
La musique et la danse sont également proscrites
par la loi mahométane ; mais ces défenses n'ont pas
su prévaloir sur le goût immodéré que les musul-
mans ont pour la musique, et qui leur a été transmis
par les anciens Arabes. Néanmoins, nonobstant ce
goût passionné, ils n'oseraient jouer d'un instru-
ment ou chanter un air noté en société, et ils ne se
livrent jamais h cet amusement que dans le parti-
culier. Les Turcs ne connaissent guère d'autres
instrumens que le violon, la guitare, le cistre, le
luth, la flûte et le tambour de basque; ils n'ont
aucune idée de l'orgue, de la harpe, du piano, du
hautbois, du basson et de la clarinette. Les gens
de la campagne ont la musette, la cornemuse et le
chalumeau. Les instrumens militaires sont les tim-
bales, les tambours, les cimbales et les trompettes.
Quant à la danse , elle est abandonnée à des femmes
du peuple. Les Turcs s'étonnent que les Européens
puissent mêler les deux sexes dans les bals.
Les jeux sont interdits par le Koran : de là point
de spectacles, de fêtes bruyantes comme en Eu-
rope; on permet l'exercice de l'arc et (es courses
oscrttes
'ont pas
IDUSUl-
ransmis
«tant ce
instru-
its ne se
le parti-
d'autres
istre, le
ils n'ont
liane , du
Les gens
luse et le
t les tim-
jmpettcs.
s femmes
uropéens
•
e là point
^e en Eu-
;s courses
DIX-HUITIÉMB SIÈCLE. 123
à cheval. Les gens distingués jouent aux échecs, et le
commun du peuple aux dames. Cette proscription
des jeux publics est cause qu'il règne dans les rues
de Gonstantinople un calme pour ainsi dire complet,
qui n'est interrompu qu'à l'époque des réjouis-
sances publiques, comme aux fétçs de Beyram, le
jour de la circoncision d'un prince , ou à la nou-
velle d'une victoire. Les femmes d'un rang au-des-
sus du comD ne prennent part à ces réjouis-
sances qu'à travers des jalousies ; ou , si on leur
permet de se promener dans les rues , c'est dans
des voitures garnies de treillis bien serrés, où elles
ne peuvent pas être vues; elles se dédommagent de
ces privations dans les harems par des jeux et de
petites comédies, où elles contrefont les chrétiens
et s'habillent en hommes.
Comme la loi déclare immondes plusieurs ani-
maux qui pourraient servir d'alimens, il en résulte
une grande gêne pour les musulmans sur l'article
de la nourriture; des répugnances particulières y
ajoutent encore des entraves; c'est ainsi qu'aucun
coquillage, et presque jamais aucun poisson ne
parait sur leur table : le gibier, le bœuf même, ne
s'y montrent que rarement; le porc en est sévère-
ment exclus. En viande de boucherie, le mouton,
l'agneau, presque toujours hachés, sont la nour-
riture ordinaire; la volaille aussi est d'un grand
usage; mais on consomme beaucoup de légumes*
J24 VOYAGES EN EUROPE.
de fruits, de compotes, de pAtisseries sucrées, et
presque toujours hors du principal repas. '
La boisson dont on fait usa^j^e à table est com-
posée d'un méian^çe d eau et de divers fruits cuits
au sucre ; et dans les maisons opulentes, on y ajoute
des eaux de rose^ de cédrat, de fleur d*orange, où
Ton jette, dans l'été, de In glace. Hors des repas,
on consomme beaucoup de schorbach ; c'est cette
liqueur que nous connaissons depuis assez peu de
temps en Europe, sous le nom de sorbet.
Le vin, comme toutes les liqueurs spiritueuses,
est défendu ai*x musulmans d'une manière si abso-
lue qu'il ne peut pas même être employé compte
remède, soit intérieurement, soit extérieurement;
mais la transgression de ce précepte est très com-
mune, avec les précautions convenables, non-seu-
lement chez les personnes opulentes, mais chez les
derviches même : il n'est observé que par les effen-
dis ou gens de loi.
Quant à l'opium, on parvient, par une longue
habitude, à en prendre trois ou quatre fois par
jour des morceaux de la grosseur du pouce. Aux
visions agréables et fantastiques, à la douce quié-
tude que l'opium procure, succède un état d'hébé-
tement, qui jette à la longue dans une langueur
incurable. . Ç' .
Le café, pris même d'une manière immodérée,
p'a pas des effets aussi funestes. L'usage de cette
É| dans
7m en fan
« heure
1 Lui
9 Turqu
B café,f
H loi; na
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mce. Aux
uce quié-
bt d'hébé-
langueur
imodérée,
; de celte
DlX-HUnikME SIÈCLE. 125
boisson, dont on attribue la découverte à un der-
viche d'Arabie, en 1258, resta concentré dans ce
pays pendant plus d'un siècle, ne s'introduisit que
très lentement en Egypte, en Syrie, en Perse et aux
Indes, et ne pénétra à Constantinople que sous
Soliman. Deux grandes boutiques de café s'y éla-
blirent, et l'affluencc y Tut prodigieuse: on y pas-
sait le temps, soit à des jeux tolérés par la loi, soit
dans des entretiens sur les sciences, les arts, les
belles-lettres, sans jamais y mêler de discussion sur
les affaires politiques. ». . - u ,"".'! .» «n
Li passion des Turcs pour le café est telle que
dans tous les ordres de l'État, hommes, femmes,
enfans en [>rennent dans tous les lieux et à toute
heure du jour. ''
L'usage du tabac à fumer ne s'est introduit en
Turquie qu'en 1605 : il a donné lieu, comme le
café, à beaucoup de controverses parmi les gens de
loi; mais aujourd'hui l'usage en est universel dans
tontes les classes, et il n'est presque pas de musul-
man qui ne fume dix et même vingt pipes par jour.
Il est du bon ton d'offrir des pipes aux survenansy
et les salons des grands en offrent des rangs entiers.
Les Turcs ne quittent pas la pipe , même en écri-
vant; mais les inférieurs s'abstiennent de fumer
devant leurs supérieurs. Le tabac à priser est moins
employé. Les Turcs aiment aussi beaucoup les par-
fums, et ils en mêlent à leur labac.
136 VOYAGES EN EUROPE.
Aux termes du code religieux des Turcs, les pa-
rures en or et en ar(;enl, les étot'fes de soie, sont
interdites aux hommes avec quelques restrictions:
les femmes seules peuvent en porter. I^e chÂlc joue
un (çrand rôle, il sert de ceinture aux deux sexes
en toutes maisons; il supplée aux parapluies, qui ne
sont pas connus dans le Levant. Outre ce cliàle, les
Turcs ont le turban , et pour le porter ils se rasent
la tète : laisser croître ses cheveux serait pour un
Turc une véritable honte; ce serait s assimiler aux
femmes. Tous les Orientaux ont pour la barbe un
respect tout particulier : c'est souvent par leur
barbe qi/ils jurent, et c'est la barbe qui est le prin-
cipal objet de la toilette. ' ' '
Tout ce que Mourad£;ea d'Ohsson rapporte de la
magnificence dans les harems est conforme à ce
qu'en a dit lady Montaguë. Mouradgea donne des
notions précises sur les différentes langues qui sont
l'objet de l'enseignement L'idiome turc primitif est
la langue du peuple; le persan est la langue des
savans qui s'occupent de poésie ; l'arabe est la langue
des théologiens et des gens de loi , le Koran et tous
les ouvrages de jurisprudence étant écrits en celte
langue. L'idiome turc, enrichi de tout ce qu'il a pu
emprunter du persan et de l'arabe, est à l'usage de
la cour et de tous ceux qui ont reçu une éducation
un peu soignée. Du reste , ces trois langues ont le
même caractère, le même alphabet, et on peut
n
"i
a sept
tion d(
ritorial
iyt.:&.
les pn-
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ctions:
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îducation
les ont le
on peut
OIX.HUITIf:MR SIÈCLE. 137
apprendre en quatre mois ù les lire et ù les écrire.
Un autre voyageur anglais, «lames Dallaway, a
aussi visité Constantinople vers le même temps quo
d'Ohsson ; il était chapelain et médecin de l'ambas-
sade anglaise à la Porte. 11 a traité l'article de Cons-
tantinople avec assez d'étendue; mais un voyage
plus moderne, celui de Walscli, que nous avon»
compris dans le XLIV volume de notre Collection,
présente sur la capitale de l'empire ottoman une
description qui nous dispense de rapporter celle de
Dallaway. Le même ouvrage nous permet de négli-
ger également les judicieuses observations du baron
de Tott, qui avait séjourné plus de vingt années à
Constantinople. Nous passerons donc à d'autres
voyages et en d'autres pays. Le premier qui se
présente à notre souvenir est celui de Townson en
Hongrie.
TOWNSON.
(1777.)
Ce voyageur a parcouru les principaux lieux de
la Hongrie, et recherché l'origine de ses habitans,
qu'il croit descendre des Tartares Kalmoucks, du
moins environ un tiers de la population, qu'il porte
à sept millions d'habitans. Il a retracé la constitu-
tion delà Hongrie, et les diverses productions ter-
ritoriales qui, malgré beaucoup de désavantages.
128 VOYAGES EN EUROPE.
forment une richesse agricole et manufacturière
très remarquable.
La nation hongroise a retenu deux de ses anciens
privilèges: celui de faire ses lois, et celui d'imposer
ses taxes. Elle nomme en outre à la place de grand-
palatin ou vice-roi, sur une liste de quatre candi-
dats présentés par l'empereur d'Autriche. La diète
de Hongrie est composée de deux tables , autrement
dites chf^mbres. Dans la chambre haute entrent les
aînés de la haute noblesse , les évéques et les ar-
chevêques, les gouverneurs de provinces et les
gardiens de la couronne. Dans la seconde chambre
siègent les abbés et les députés des chapitres, ceux
des cinquante comtés du royaume, à raison de
deux par chaque comté, et les députés des villes
royales libres qui ne peuvent envoyer chacune
qu'un député.
Bude ou Ofen est la capitale de la Hongrie. On
peut la considérer comme ne formant qu'une seule
ville avec celle dePesth, dont elle n'est séparée que
par le Danube. Un pont de bateaux favorise la com-
munication des deux villes qui, prises ensemble,
ont une étendue considérable, mais qui néanmoins
ne renferment que trente-huit mille habitans. Les
plus beaux édifices publics et particuliers sont à
Pesth. Le palais royal est vaste et majestueux. L'hô-
pital des invalides, destiné à en contenir quarante
r^iille en cas de besoin , sert aujourd'hui de casernes.
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î casernes.
DIX-HUITIKME SIÈCLE. 129
où la sévérité de la discipline est tempérée par
beaucoup de douceur dans le commandement.
Cet hôpital est très bien tenu; tous les autres hô-
pitaux de la ville le sont fort mal.
L'université jouit d'un revenu de 500,000 livres.
Outre les chaires communes à toutes les autres uni-
versités, il y en a trois pour l'histoire naturelle, la
botanique et l'économie. La collection d'instrumens
de physique , et les modèles de machines sont d'un
très bon choix. Le musée d'histoire naturelle est un
des plus beaux de l'Europe : on en peut dire autant
du jardin botanique, qui néanmoins a peu de serres
chaudes. Les bibliothèques publiques, où les livres
modernes de sciences ne sont pas nombreux, sont
peu fréquentées , malgré la facilité de l'accueil et
celle des communications.
La salle de spectacle de Bude est fort belle; celle
tlePesth assez mesquine. Les pièces qu'on y joue sont
assez généralement écrites en allemand. Les diman-
ches et fêtes, le peuple s'amuse, comme à Vienne,
de combats d'animaux. L'hiver, il y a des bals dans
la nuit du dimanche seulement. L'été, toutes les
classes du peuple vont se divertir dans des maisons
et des jardins agréablement situés aux environs de
la ville : il s'y établit de beaux cafés qui sont très .
fréquentés.
Les bains chauds de Bude sont en partie l'ou-
vrage des Turcs, lorsqu'ils étaient en possession de
XLVI. 9
130 VOYAGES EN EUROPE,
cette ville. Les individus des deux sexes dans le
bain public se baignent ensemble, les femmes
avec un jupon, les hommes avec des caleçons : cet
usage extraordinaire n'entraîne aucun inconvé-
nient.
11 se tient plusieurs foires en Hongrie, et il s'y
fait beaucoup d'affaires, comme dans tous les pays
où l'industrie et le commerce ont peu d'activitf*;
celle de Pestli est la plus considérable, et dure dix
jours. Les plus grands objets de cette foire sont
l'achat et la vente des chevaux et des bêtes à
corne.
Les Allemands portent l'habit européen, les Hon-
grois l'habit national, qui, pour les nobles, est
celui des hussards avec le sabre.
Le voyageur donne sur le vin de ïokai des détails
fort intéressans, et dont voici à peu près la «ub-
stance.
Le canton de Tokai, dont le chef-lieu est une
petite ville fort misérable, ne produit qw'une por-
tion de l'excellent vin qui porte son nom : il a eu
la chance de donner ce nom à un district mon-
tueux qui s'étend à trente milles vers le nord, sur
ime largeur moins considérable, et qui embrasse
dix -neuf villes et villages, dont le territoire pro-
duit des vins d'une qualité tout aussi supérieure
que celle du vin que l'on recueille dans le canton
de Tokai proprement dit.
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DIX- HUITIÈME SIÈCLE. I3t
Les vins connus sous le nom de Tokai propre-
ment dit, sont d'une espèce particulière, dont les
différens cantons de ce district ne font qu'une très
petite quantité, et qui sur les lieux mêmes se ven-
dent fort cher : on nomme cette espèce de vin
ambruch ; on le fait au moyen d'un mélange de rai-
sins à moitié secs, qu'on joint à des raisins ordi-
naires. Le voyageur expose dans un grand détail
le procédé de la plantation de la vigne et de la cul-
ture dans le district de Tokai.
Comme il faut que les raisins soient extrêmement
mûrs, on diffère la vendange aussi long-temps qu'il
est possible, et en général jusqu'à la lin d'octobre.
Si le temps est beau , on diffère encore, afin d'avoir
une plus grande quantité de raisins desséchés, chose
indisponsablement nécessaire pour faire de l'aus-
bruch. Dès que les raisins commencent fi mûrir,
on place des gardes dans les vignes, non-seulement
pour empêcher le vol des raisins, mais pourchasser
les oiseaux, qui en sont très friands.
Les vendanges, particulièrement dans le district
de Tokai, sont la saison de la gaîté et des plaisirs.
Tous les nobles qui y possèdoit des vignes, quel-
que éloignées que soient leurs propriétés, y vien-
nent dans cette saison, et invitent à leurs vendanges
leurs parens et leurs amis; mais cette affluence
est encore augmentée par le concours des mar-
chands de vin, et par une ou deux foires qui pré-
132 VOYAGES EN EUROPE,
cèdent les vendanges. On a déjà vu que n'est aux
raisins à demi desséchés que le vin deTokai doit
sa délicieuse saveur; mais la quantité et la qualité
diffèrent d'une année à l'autre. Quelquefois il n'y
en a pas du tout, lorsque les gelées du matin sont
prématurées et précèdent la maturité du raisin;
mais ces mêmes gelées sont favorables lorsqu'elles
ne viennent pas trop tôt. Quelquefois aussi, quand
le temps est pluvieux et couvert, lorsqu'il faudrait
aux raisins qui commencent à se dessécher un soleil
ardent pour en purger les parties aqueuses, les
raisins n'acquièrent point de qualité. Ceux qui sont
propres à se dessécher sont toujours en petite
quantité, comparativement aux raisijns ordinaires;
et, comme on l'a déjà dit, il y a des années où,
par la rigueur de la température , on n'en trouve
pas.
I^es raisins à demi desséchés se foulent séparé-
ment des raisins ordinaires. Le jus qu'on en exprime
a la consistance et l'apparence du miel : on le mêle
avec le vin commun, dans une proportion qui varie
suivant les spéculations ou la fantaisie des pro-
priétaires. Du plus ou du moins de ce jus précieux
dépend la qualité du vin de Tokai.
La plus grande partie des vins de Tokai est en-
levée par les nobles de tous les cantons de la Hon-
grie. Il en passe beaucoup dans les cours de l'Eu-
rope, et il se vend fort cher : c'est du vin de rois
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vin de rois
DIX-HUITIÈME SiÈCLK. IJ.i
et ion n'est point surpris qu'Auguste, roi de Po-
logne, l'ait préféré au nectar des dieux.
Voyons ce qu'un autre voyageur, l'Anglais Coxe,
dit de ce royaume à l'époque où il le visila. pour
aller ensuite à Moscou et de là en Suède.
COXE.
(1778.)
Le voyage de Coxe passe pour un des meilleurs
qui aient été faits en Pologne, en Russie, en Suède et
en Danemark. Les observations du voyageur sont
remplies de justesse, ainsi que le lecteur en jugera
par les extraits qui vont être mis sous ses yeux.
On peut, dit Coxe, diviser les habitans de la Po-
logne en quatre classes, les nobles, les ecclésiasti-
ques , les bourgeois et les paysans.
Par les lois de Pologne,Jun noble est une personne
qui possède une terre libre, ou qui peut prouver
qu'il descend de parens qui en ont possédé une ,
qu'il n'est attaché à aucune profession , à aucun
commerce ni à aucune demeure particulière. Tous
ces nobles, selon la lettre de la loi, sont égaux entre
eux par la naissance , de manière que tous les hon-
neurs et les titres qu'ils peuvent acquérir n'ajou-
tent rien à leur dignité réelle, et ne donnent en
particulier aucun drca de préséance. Par le moyen
de leurs représentans dans les diètes, ils ont une
134 VOYAGES EN EUROPE,
part à l'autorité législative, et dans quelques occa-
sions, comme aux élections des rois, ils s'assem-
blaient en personne, chaque gentilhomme ayant la
capacité d'être élu nonce ou sénateur; ils pouvaient
même se présenter chacun pour candidat au trône.
D'après la loi alors existante, aucun gentilhomme
polonais ne pouvait être arrêté sans avoir été au-
paravant jugé et convaincu, excepté dans les cas
de haute trahison , de meurtre ou de vol sur les
grands chemins ; et méute alors il fallait qu'il fût
pris sur le fait; enfin il ne pouvait être frappé de
la peine capitale sans l'autorisation de la diète. On
voit par là que la noblesse polonaise est extrême-
ment nombreuse. Aussi la multitude des gentils-
hommes polonais a-t-clle toujours été une source
de malheurs pour le pays. •
Les ecclésiastiques sont tous hommes libres, et
ont itiéme des cours de justice, où l'on juge cer-
taines affaires selon le droit canon. Le nonce du
pape en a une aussi , qui est la cour suprême ecclé-
siastique du royaume. Dans les cas de divorce, de
dispenses pour des mariages et d'autres affaires de
ce genre, on s'adresse à la cour de Rome, qui tire
par ce moyen des sommes considérables de la Po-
logne.
La* troisième classe de la nation polonaise est
com^iosée des bourgeois ou des habitans des villes.
Ils élisent leurs bôurguemestres et leurs conseillers
DIX-HUITIÈME SIÈCLE.
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186
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lunaux pour leurs
aires crmiineiles qui s y déciaent sans appel.
' La quatrième classe est celle des paysans , dont la
servitude est d'ancienne date et a toujours été assez
rigoureuse. I^ maxime reçue de tous temps en
Pologne, qu'un esclave ne peut intenter un procès
à son seigneur, est toujours en vigueur. Il y a des
paysans qui appartiennent à la couronne et d'autres
à des particuliers. Ceux qui appartiennent à des
particuliers sont absolument à la discrétion de leur
maître,
f On compte aus.si beaucoup de juifs en Pologne:
ils y sont entrés du tem,ps de Casimir-le-Grand, et
ils jouissent de nombreux privilèges.
Coxe fait de Cracovie une description à laquelle
on aurait peu à changer pour la mettre en harmo-
nie avec l'état actuel de cette ville qui a été ancien-
nement la capitale de la Pologne. Située dans une
\astc plaine arrosée par la Vistule, qui est large et
peu profonde, Cracovie avec ses faubourgs oc-
cupe un terrain très étendu. La grande place qui
est au milieu de la ville est Ibrt spacieuse , et l'on
y voit plusieurs maisons bien bâties. Il y a plusieurs
rues larges et belles; mais la ville brille surtout
par ses églises. Les remparts portent encore des
traces des boulets et des balles dont cette ville fut
criblée lorsque Charles XII vir/ l'assiéger et la
136 VOYAGES EN EUROPE,
prendre au commencement du XYIII^ siècle. Ces
remparts sont de hautes murailles de briques, sou-
tenues de tours rondes et carrées, d'une construc-
tion le plus souvent très bizarre, selon lancien
style des fortifications.
I/université de Cracovie fut fondée et dotée par
Casimir-le-Grand; elle était anciennement appelée
la mère de la littérature polonaise, parce qu'elle
fournissait des professeurs et des hommes savans à
tous les autres collèges du royaume.
Au midi de la ville , près de la Vistule, s'élève une
petite colline ou plutôt un rccher sur le sommet
duquel est bâti le palais; il est environné de murs
de briques et ressemble à une citadelle. Les salles
en sont vastes et d'une belle proportion. Ce palais
était anciennement la résidence des rois de Pologne,
et lorsque Varsovie est devenue la capitale du
royaume, on n'a pas moins continué de faire à Cra-
covie tout le couronnement des rois. Des fenêtres
de ce palais on jouit d'une vue fort étendue.
Le pays qui environne Cracovie n'est guère qu'une
grande plaine sablonneuse. On remarque cepen-
dant deux collines , dont l'une est appelée par tra-
dition le tombeau de Cracus, duc de Pologne, qui
fonda, dit-on, Cracovie l'an 700 de Jésus -Christ.
Ces collines artificielles ont servi plusieurs fois à
signaler la sépulture des personnages célèbres ou
des héros.
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DlX-HUlTlÈME SIfXLE.
de
137
A quelque distance de Cracovîe on aperçoit
forteresse de Landskroiie, située sur un roc, et
dont soixante-seize confédérés Polonais s'emparè-
rent lorsqu'elle était g^ardée par quatre-vingt-sept
soldats russes, exploit qui est encore cité comme
un des plus illustres dans les annales polonaises. .
Le passage souterrain par lequel les soixante-seize
confédérés entrèrent dans la place était un égout
ayant une petite issue du côté de la Vistule; il fallut
se traîner sur les pieds et sur les mains dans un
espace assez long, pour arriver couvert de boue
dans rintéricur du palais et égorger la garde russe :
on eut alors un exemple de ce que peuvent la per-
sévérance et i'audace.
Les Polonais ont, suivant Coxe, une grande
vivacité, et ils gesticulent beaucoup en parlai. î;
leur manière de saluer est d'incliner la tète et de
se frapper la poitrine d'une main en étendant l'autre
vers la terre; mais quand un homme du peuple
rencontre un supérieur il baisse la tête presque
jusqu'à terre en remuant en même temps la main
avec laquelle il touche le bas de la jambe de la per-
sonne à qui il veut marquer son respect. Les hom-
mes de toutes les conditions portent assez généra-
lement des moustaches et se rasent la tête, à la
réserve d'un cercle de cheveux qu'ils laissent sur
le sommet. L'habillement d'un paysan en été n'est
autre chose qu'une chemise et des caleçons de mau-
13» VOYAGES EN EUHOPE.
vaisc toile; il n a ni soulier ni ba», mais un chapeau
rond ou un bonnet. Les femmes du peuple portent
sur leur tête une espèce de voile de lin^je blanc,
son» lequel leurs cheveux sont noués et pendent en
deux tresses. L'habillement des personnes de qua-
lité des deux sexes est des plus élégans; le sabre
est une partie essentielle de celui des gentils-
hommes. ^
Si l'on considère les traits, le regard, les cou-
tumes et tout l'extérieur des Polonais, on trouvera
qu'ils ressemblent plutôt aux peuples asiatiques
qu'aux Européens. Leurs ancêtres ont été indubi-
tablement un peuple tartare.
De Cracovie, et après avoir visité les mines de
Wielitska qui en sont à huit milles, dans une
chaîne de collines qui se joint aux monts Crapacks,
notre voyageur se rendit à Varsovie, pour faire
une description détaillée de cette capitale.
La situation de Varsovie n'est pas désagréable.
Cette ville est bâtie dans une plaine, en partie sur
la pente peu sensible, d'une colline qui s'élève sur
les bords de la Vistule. Ce fleuve a dans cet endroit
à peu près la largeur de la Tamise sous le pont de
Westminster; mais il a peu de profondeur en été.
La ville et ses faubourgs occupent une vaste éten-
due de terrain. Praga, qui est le faubourg le plus
grand, est situé à la droite de la Vistule; un pont
tiebati. î'jx le réunit au reste de la ville, qui compte
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i compU
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 180
environ cent mille habitans. Les rues sont grandes,
mais mal pavées; les églises et les édiKces publics
sont vastes et magnifiques; les hôtels ou palais sont
beaux et nombreux; mais les maisons dans les fau-
bourgs sont en général chétives et mal bâties. Le
palais est située sur un terrain qui s'élève au-dessus
de la Vistule, et Ton y jouit d'une très belle vue sur
cette rivière et sur les environs.
De Varsovie, Goxe alla à Biclsk, dans le palatinat
dePodlachie, où s'assemblait alors la diète de la pro-
vince. Il se rendit ensuite à Bialistock, ville propre
et bien bâtie, ayant des rues larges, les maisons
enduites de plâtre, et séparées les unes des autres à
des distances égales. 11 passa de Bialistock à Grodno,
ville où devait être signé en 1793 le deuxième par-
tage de la PoK'{yne, ainsi que l'abdication du roi
Stanislas- Auguste en 1795. Coxe dut traverser d'a-
bord quelques misérables faubourgs habités par
des juifs, ensuite passer sur un bac la rivière de
rÇiémen, qui est large, claire et peu profonde.
Grodno est bâtie sur une émincnce ; c'est une ville
grande et régulière, mais offrant un mélange bi-
zarre de belles maisons et de misérables cabanes.
Le vieux palais où logeaient les rois durant les diètes
est situé sur une colline sablonneuse et escarpée au
bord de la rivière ; il en reste quelques portions de
murailles; un palais plus moderne a été construit
dans le voisinage.
HO VO YACKS EN KLIUH'K.
Ëii travc^rsant la Lithuanie, notre voya}j;eur l'ut
frappé de la multitude de juifs qu on y rencontre.
Demandez-vous un interprète, on vous amène un
juif. Entrez-vous dans une auber£;e, Tliôte est un
juif. Voulez-vous des chevaux de poste, c'est un
juif qui vous les procure, et un juif qui les mène.
Avez-vous quelque chose à acheter, un juif est len-
tremetteur. C'est peut-être le seul pays de l'Europe
où les juifs cultivent la terre, si l'on en excepte quel-
qu'^s parties de la France. Goxe trouva les chemins
très négligés, et ce ne fut pas sans peine qu'à tra-
vers les forêts il atteignit la ville de Minsk , assez
grande et assez bien peuplée. Elle avait alors un
couvent de jésuites. Les bàtimens de cette ville sont
presque tous en bois.
Notre voyageur partit de Minsk pour Borisow, et
traversa la Bérésina, qui était alors la limite natu-
relle entre la Russie et la Vologne. On se rappelle
que cette rivière est depuis devenue fameuse par
le passage de l'armée française à la retraite de
Moscou. On était au cœur de l'hiver de 1812,
Napoléon avait avec lui six mille hommes de sa
garde, que suivait le reste de l'armée ; le passage fut
extrêmement périlleux, et il y périt des milliers de
soldats français. Eni^n l'armée parvint à l'effectuer,
et il y eut ensiMU inc bataille dirigée en personne
par le maréchal %ey, el dont les résultats sauvèrent
les débris «le la ifrande armée, qui regaj^na la Po-
gulièrf
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fecluer,
ersonnc
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a la Po-
logne et alla se reformer en Saxe, où le prinlrnips
.suivant elle battit «le nouveau les Russes. On sait
qu'alors toute rAllemaj^ne se tourna contre nous,
et (pi'il fallut céder au nombre.
Des bords de la Bérésina, notre voyageur se ren^
(lit à Smolensk, grande et belle ville située aux
rives du Dnieper, sur deux collines et dans la vallée
qui est entre elles deux. Les murailles qui l'envi-
ronnent ont trente pieds de haut et quinze de
large. Le bas en est de pierres, le haut est de bri-
ques. Les murs suivent les contours des collines,
et ont trois milles trois quarts de circuit; il y a en
dehors un fossé profond , un chemin couvert, un
};laci.s, et des redoutes construites à la moderne. La
cathédrale est bAtie sur une éminenceau milieu de
la ville. On a de son faite la vue la plus pittoresque
de cette cité, qui dans son enceinte renferme des
jardins, des bosquets, des champs et des prés. La
plupart des maisons sont de bois et à un seul étage.
Une large et longue rue p^^vée coupe la ville en
ligne droite; les autre* rues sont la plupart irré-
gulières et couvertes «»? i^lanches au lieu de pavés.
Les murs de la ville s élèvent ou s abaissent avec le
♦errain, ets'étendont jusqucs auxbordsdu Dnieper:
leur architecture antique, leurs tours bizarrement
construites, le^ aiguilles des clochers élevés au-
dessus des arè»res, qui cachent par leur multitude
la plupart <4«s maisons, les champs, les prés qui y
142 VOYAGES EN EUROPE,
sont épars, tous ces objets forment le contraste le
plus singulier. Au-delà du Dnieper, fleuve qui prend
sa source dans la forêt de Wolkonsky, près de la
source du Volga, à cent milles de Smolensk, est
une espèce de faubourg composé de cabanes cparses,
qui tient à la ville par un pont de bois. Smolensk,
au temps de Coxe, renfermait environ quarante
mille habitans ; elle n'a plus guère aujourd'hui (1 836)
que de quinze à vingt milles. Elle fut en partie
incendiée en 1812 à l'approche des Français, qui
remportèrent devant cette ville une grande victoire
sur les Russes, victoire qui ouvrit aux vainqueurs
le chemin de Moscou.
Coxe partit de Smolensk pour Moscoq, en pas-
sant par Viasma, ville qui se présente d'une ma-
nière imposante, avec ses dômes et ses clochers au
travers des arbres. Elle occupe sans régularité un
terrain très étendu ; ses bàtimens sont la plupart
de bois ; un petit nombre en briques sont dus à la
munificence de l'impératrice Catherine. La princi-
pale rue, semblable aux grandes routes de Russie,
est couverte en partie de troncs d'arbres couchés
en travers, et en partie de planches comme le plan-
cher d'une chambre. Elle contient plus de vingt
églises, nombre étonnant pour une ville si peu
peuplée. A une certaine distance, le grand nombre
des clochers et des dômes qui dérobent la vue des
cabanes voisines pourraient aisément persuader aux
une
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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 14.T
voyageurs qu'ils vont voir une grande ville , là où
ils ne trouveront bientôt qu'un amas de huttes de
bois.
Près de Viasma, Coxe entra dans la vaste forêt
de Wolkonsky , laquelle s'étend de là sans interrup-
tion dans un espace de cent cinquante milles , pres-
que jusqu'aux portes de Moscou. C'est dans cette
forêt immense que sont les sources des principales
rivières de la Russie européenne, la Duna, le
Dnieper, le Volga.
L'aspect de Moscou se révéla au voyageur à six
milles de dislance par les pointes des plus hauts
clochers. Deux ou trois railles plus près, en mon-
tant sur une éminence, il put jouir du spectacle de
cette capitale, dont les innombrables églises avaient
leurs clochers ou leurs dômes blancs, rouges, verts,
dorés par les feux du soleil. La forêt arrivait jus-
qu'à un mille des remparts, et cet intervalle était
couvert par des prairies. Il traversa la Moskowa sur
«ne sorte de radeau ou de bac , et put alors entrer
dans la seconde capitale de la Russie.
Moscou, que les Russes appellent Moskowa ou
Moskua, à cause de la rivière de ce nom, et à la-
quelle se joint la Neglina , est moins ancien que No-
vogorod, Kiov, Wolodimir et Tver, où les souve-
rains de la Russie ont fait leur résidence avant que
cette ville existât. Le terrain occu|)é aujourd'hui par
le Kremlin n'était qu'un bois el un marais, au mi-
144 VOYAGES EiN EUROPE,
lieu duquel il y avait une petite île contenant une
seule cabane de bois. C'est en 1304 que le grand
duc de Wolodiinir vint s établir à Moscou, que son
fils Ivan agrandit. Son petit-fils Demetrius, en 1367,
enferma le Kremlin d'un mur de briques, ce qui
n'empêcha pasTamerlan de s'en emparer en 1382.
Napoléon y fit son entrée le 14 septembre 1812, à
la tête de sa grande armée qui venait de gagner la
g/ande bataille de la Moskowa. Peu de jours après
l'arrivée des Français, Moscou fut incendié par les
ordres du gouverneur russe Rostopchin , qui avait
fait préparer secrètement des moyens incendiaires.
Peu de quartiers échappèrent aux flammes. Néan-
moins, l'armée française s'y maintint plus d'un
mois. Le Kremlin est détruit le 22 octobre, et
l'ordre de la retraite est exécuté. Moscou fut rebâti
en peu d'annérs, et c'est aujourd'hui une ville toute
moderne.
C'est pourquoi nous nous dispenserons de rap-
porter ici la description que notre voyageur a faite
de cette grande ville. Nous dirons seulement avec
lui que le Kremlin a pris son nom sous la domina-
nation des Tartares, du mot krem ou krim, qui
signifie yb/'/<?rewe. Il est situé dans le centre et sur
la partie la plus élevée de Moscou, au confluent de
la Moskowa et de la Neglina qui en baignent les
deux côtés; sa forme est triangulaire, et sa circon-
férence est de deux milles. Les hautes murailles de
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DiX-HUITiÈME SIÈCLE. I4h
pierres et de briques dont le Kremlin est entoura
ont été construites en 1491, sous la direction d*un
architecte milanais. Le Kremlin renfermé l'ancien
palais des tzars. ' '''
De Moscou notre voyageur se dirigea vers la ville
de Tver, dont la situation est magnifique, sur les
bords élevés du Volga. Elle date de l'an 1 182. Elle
se divise en ville vieille et en ville neuve. -> *
Ses rues sont larges et longues, et vont aboutir à
une place octogone qui en est le centre. Les mai-
sons de cette place et celles des principales rues
isont bâties en briques et enduites d'un stuc blanc,
ce qui leur donne une très belle apparence. Il se
fait un grand commerce à Tver, et le Volga et la
Tvertza sor verts de bateaux. Par le moyen de
la Tvertza on a établi une communication entre la
Neva et le Volga, ou , en d'autres termes, entre la
mer Baltique et la mer Caspienne. Tver est dans
une vaste plaine parsemée de petites éminences ,
trop peu élevées pour mériter le nom de mon-
tagnes. Le pays produit en abondance du blé, du
seigle, de l'orge, de l'avoine, du chanvre, et toutes
sortes de végétaux. On trouve dans les forêts des
chênes, des bouleaux, des aunes, des peupliers,
des frênes, des pins, des sapins, des genévriers, etc.
A quelque distance on rencontre des élans, des
ours, des loups, des renards, des chèvres sau-
vages, etc. Le Volga est très poissonneux; il fournit
XLVI. 10
140 VOYAGES EN EUROPE,
le saumon, le sterlet, la tanche, le brochet, la per-
che et quelquefois l'esturgeon.
De Tver noire voyageur alla saluer Novogorod ,
surnonamée/a Grande^ pour ladistlnguer des autres
ville jui portent le même nom. Elle parait dater
du milieu du v" siècle; elle fut quelqre temps si
puissante qu'on disait d'elle en proverbe : « Qui est-
ce qui peut résister aux dieux et à la grande Novo-
gorod? » Aujourd'hui elle n'est plus que le chef-lieu
d'un gouvernement du même nom. Elle est située
sur les deux rives du Volkof, rivière belle, pro-
fonde et rapide. Coxe en quitta les bords pour se
rendre à Saint-Pétersbourg.
Il a décrit avec détail la nouvelle capitale des
tzars, bâtie sur les rives de la Neva, près du golfe
de Finlande, et en partie dans des îles qui sont à
l'embouchure de ce fleuve. Ce fut en 1716 que
Pierre-le-Grand jeta les fondemens de la ville qui
porte son nom. Cette ville étant bâtie dans un ter-
rain bas et marécageux, est sujette à des inonda-
tions qui ont failli parfois la submerger enticre-
ipenl. Ces accidens sont occasionés par des vents
de sud et de sud-ouest qui, soufflant directement
du golfe, arrêtent le cours de la Neva et en font
refluer les eaux. On communique d'une partie de
Pétersbourg à l'autre par un pont de bateaux sur
lequel on traverse la Neva. Mais quand elle com-
mence à charrier des glaces, on le lève, parce que
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DIX-HUITIÈMË SIÈCLE. 147
les grands glaçons, entraînés du lac l^doga par un
courant rapide, ne manqueraient pas de le détruire.
Alors on est pendant quelques jours privés de toute
communication jusqu'à ce que la riviè»'e soit prise
au point de pouvoir porter des hommes et des
voitures. La JNeva est d'ailleurs trop profonde pour
qu'il soit possible d'y bâtir un pont de pierre.
Parmi les monumens de Pélersbourg, on cite la
statue 4questre en bronze de Pierre-le-Grand. Elle
est de fjrandeur colossale, et c'est l'ouvrage de Fal-
conet, célèbre sculpteur français. Elle fut élevée
aux fixais de l'impératrice Catherine II, en 1782.
Elle repose sur un énorme rocher d'une seule pièce
qui a été amené des environs de Pétersbourg. Au-
cun monument romain n'offre une pareille masse.
Au milieu d'une île est la cathédrale de Saint-Pierre
et Saint- Paul, qui a un clocher de cuivre doré, et
élevé de deux cent quarante pieds au-dessus du
sol. Le palais d'hiver, qui est la demeure ordinaire
de l'empereur, est un bâtiment immense, mais
d'une architecture lourde- et défectueuse; une
galerie le met en communication avec un autre
palais fort beau, dit t Ermitage, bâti par Cathe-
rine II, dont il était le séjour favori. Le palais de
la Tauride , remarquable par l'élégance de l'archi-
tecture, par ses vastes galeries, par son jardin, fut
construit tout exprès par le prince Potemkin , à
loccasion d'une fête qu'il donna à Catherine II. L'hô-^
148 VOYAGES EN EUROPE,
tel de rAcadémie des beaux-arts, la Bourse, THôtel-
de-Ville, sont de beaux monumens. Ce qui frappe
surtout à Pétersbourg, c'est la largeur, Talignement
et la propreté des rues; c'est l'élégance et la régu-
larité des édifices; c'est la beauté des quais en
granit î bordent la Neva. Pétersbourg, à cinq
centt« iJtaes nord-est de Paris , avec une circonfé-
rence de six lieues et demie, renferme aujourd'hui
(1836) plus de trois cent mille habitans. '
L'autocrate russe a dans les environs de sa capi-
tale de vastes palais , où il aime à passer quelques
jours de la belle saison ; les principaux palais sont
Sarsko-Zelo , Oranienbaum , Peterhof et Schlussel-
bcurg. Sarsko-Zelo est à quinze milles environ de
Pétersbourg; il fut bât; par Elisabeth : il est vaste
et pompeux. Oranienbaum est situé sur les bords
de la mer, à vingt-cinq milles de Pétesbourg; il a
été bâti par Menzicof , lorsqu'il jouissait d'un degré
de pouvoir et de grandeur auquel il est rare qu'un
sujet parvienne. Peterhof est à sept milles d'Ora-
nienbaum, et à vingt milles de la capitale; il fut
commencé par Pierre l" et terminé par Fjlisabeth;
il est bâti sur une éminence d'où la vue est su-
perbe. On découvre de là Cronstadt, Pétersbourg,
le golfe et la côte opposée de Carélie. C'est dans ce
palais que se trouve la montagne des traîneaux.
Schlusselbourg est à quarante milles de Péters-
bourg , en suivant les bords sinueux de la Neva.
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 14»
Schlussel en allemand signifie clef, et Pierre-le-
Grand nomma ainsi ce lieu, parce qu*il le regardait
comme étant par sa situation la clef de ses con-
quêtes.
Les détails que le voyageur donne sur les diffé-
rentes classes dont la nation russe est composée
ont encore aujourd'hui à peu près leur application.
Ces classes sont au nombre de quatre : celle de la
grande et de la petite noblesse ; le clergé ; les mar-
chands, bourgeois et autres personnes libres; les
payuins. Dans les trois premières classes sont pres-
que tous les sujets libres de l'empire, et dans la
deriière tous les serfs ou esclaves.
Aux nobles seuls appartient proprement le droit
d'avdr des terres; ils servent dans l'armée et sont
obli^s de fournir des recrues proportionnellement
à l'étendue de leurs possessions. En Russie, comme
dans tous les gouvernemens orientaux, il n'y a
presqie d'autre distinction de rang entre les nobles
que ctlle qui dérive des emplois et des grades que
leur infère le souverain : qu'ils soient pnnces >
comte ou barons , c'est une distinction qui n'a pas
une g'ande valeur sans l'appui de quelque emploi
civil <u militaire. Mais les nobles ont dans leurs
terresune autorité presque illimitée, et disposent
de leu*s serfs sans aucune restriction.
Le Jergé a pour chef l'empereur, qui préside le
sacré ynode, lequel a pour vice-président un ar-
160 VOYAGES EN EUROPE,
chevéque métropolitain, avec un certain nombre
de conseillers et d'assesseurs. Le clerf^f^^ se compose
de réfjuliers, qui sont les moines, et de séculiers,
qui sont les prêtres ou curés. La plus grande partie
des richesses de Téglise est concentrée dans les
monastères. Tous les dignitaires son^ tirés de Tordre
des moines : ce sont les archevêques et évéqiies ,
les archimandrites ou abbés, et les igoumens ou
prieurs. Les curés sont désignés par le titre de
papas ou popes, mot qui signifie père. On ne per-
met pas aux moines de se marier, tandis que cela
est ordonné aux prêtres comme un prélimiiaire
indispensable de leur ordination. Tous les ecclé-
siastiques russes portent de longues barbes, et on
les distingue des laïques, parce qu'ils laissent croître
leurs cheveux très longs et les portent flottais sur
les épaules; ils ont un bonnet carré et une bngue
robe noire. l
La troisième classe est intermédiaire entrela no-
blesse et les paysans; elle se compose d'honmes
libres qui s'occupent des arts, des sciences, de la
navigation , du commerce, ou exercent des nétiers.
Les marchands sont subdivisés en plusieurs «lasses.
Les bourgeois peuvent devenir marchand, s'ils
peuvent avoir un capital au-dessus de 2, 500 Francs.
Ils jouissent de plusieurs privilèges que n'mt pas
les paysans; mais ils sont au-dessous desmanhancis
pn ce qu'ils paient la capitation, et peuveit être
ï
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. lot
enrôlés pour Tarmée et pour la flotte. Viennent en-
suite, après les bourgeois, les esclaves affranchiis^t
les enfans de tous les sujets libres de l'empire.
La quatrième et dernière classe est celle des
paysans ou serfs, qui peuvent se diviser en paysans
(le la couronne et paysans appartenant k des parti-
culiers. I^s premiers habitent dans les domaines
de \(*. couronne, et ils forment environ la sixième
partie des paysans russes, en y comprenant ceux
d«s terres de 1 église, qui appartiennent aussi à la
couronne. Ils relèvent immédiatement des officiers
irq[)ériaux ou des baillis. Les paysans qui appar-
tiement à des particuliers sont la propriété des
pojsesseurs déterres, comme leur charrue et leurs
troipeaux ; et la valeur d'une terre s'estime comme
en Pologne, non par le nombre d'arpens, mais par
cel|i des paysans qu'elle contient.
lie Pétersbourg Coxe se rendit en Suède par la
Finànde, et arriva promptement à Stockholm, en
tra^rsant la mer Baltique. Il fait de la capitale sué-
dois une description intéressante, mais que nous
«0 Reproduirons pas, puisque nous en avons déjà
donié une dans le quarante-cinquième volume de
note collection , en reproduisant le voyage de Ca-
pellBrooke, qui est d'une date bien plus récente,
ayait été effectué en 1820. Nous offrirons seule-
meil, par forme de complément, les détails ci-
aprè.
152 V0YAGE3 EN EUROPE.
Stockholm, cette capitale longue et de forme ir-
régullèrei occupe deux presqu'îles, plusieurs lies,
qui ne sont que des rochers épars dans le lac Mœiar,
dans le courant par lequel ce lac se décharge , et
dans une baie de la mer Baltique. On y découvre
partout des points de vues variés et charmans,
formés par une multitude de rochers de granit qui
s'élèvent du sein de l'eau , les uns nus et escarpéf ,
les autres couverts de maisons , d'autres ornés ce
forêts, {je port communique avec la mer Baltique ;
l'eau en est claire comme du cristal, et si profonde
que les plus gros vaisseaux peuvent aborder jvs-
ques au quai , qui est spacieux et bordé de grances
maisons et de vastes magasins. A l'extrémité iu
port plusieurs rues s'élèvent l'une sur l'autre en
amphithéâtre, et le sommet de la colline est ou-
ronné par le Palais-Royal qui est un bâtinent
magnifique. Du côté de la mer, à deux ou tois
milles de la ville, le port se rétrécit, et n'est jlus
qu'un détroit qui, se courbant entre des roclers,
échappe à la vue, bornée au loin par des collnes
et des forêts. La plus grande partie des maions
sont de pierres ou de briques. Le palais , qui es au
centre de la ville et dans le lieu le plus élevé, est
d'une architecture tout à la fois élégarte et m^ni-
Hque.
Coxe ne fit pas un long séjour à Stockholn : il
visita Upsal, ville célèbre par son université elpav
i.
DIX-HUITIÈMK SIÈCLE. 153
son jardin botanique, où professa Linné ou Linnœus,
né le 24 mai 1707 à Rœshult, dans la province sué-
doise de Smolande.
D^Upsal notre voyageur alla visiter quelques
autres villes de la Suède, et s'embarqua à Helsing-
bourg afin de passer en Danemark, en traversant
le détroit du Sund qui sépare la Suède de ce
royaume. Il débarqua à Elseneur, ville sur la côte
danoise, et se porta directement vers Copenhague,
capitale du Danempirk.
Copenhague est située sur un petit promontoire
de la côte orientale de Tile de Sélande. Le sol en
est tout uni , bas et un peu marécageux. Cette capi-
tale est la ville la mieux bâtie de tout le nord de
r£urope. Elle est environnée du côté de terre de
fortifications régulières, et elle a quatre à cinq
milles de tour. Les rues sont bien pavées, avec un
trottoir de chaque côté. La plupart des maisons
sont bâties en briques et en pierre de taille qu'on
apporte d'Allemagne. Le palais est un grand et
vaste bâtiment d'une architecture élégante. Le
mouvement qu'on observe à Copenhague annonce
une ville commerçante; le port est toujours rempli
de vaisseaux marchands. Les rues sont coupées par
plusieurs larges canaux, au moyen desquels on
peut décharger les marcliandises devant les maga-
sins qui bordent les quais. Une partie de Copen-
liajjue se trouve dans l'île d'Aniac, séparée de celle
t-
154 VOYAGES EN EUROPE.
(le Sélande par un très petit bras de mer qu'on
passe sur deux ponts. •' " ' " ' * '
En quittant Copenhague, notre voyageur passa
le (]frand Belt , puis le petit Belt , et se rendit à Kiel,
d'où il retourna en Angleterre, ''
■ SI •■ . .-' } .' ' . I ; s. lî
»;/..: , pALLAs.
V.
(1708-1773.)
Le voyage dePalinsdans les diffc'Tcntes provinces
de l'empire de Russie a une réputation justement
acquise. Pallas, né à Berlin en 1741, s'était fixé à
Leyde pour s'y livrer plus facilement à l'étude des
sciences naturelles. Catherine II l'appela à Pélers-
bourg, et l'adjoignit aux astronomes qui, avec
Gmclin , devaient aller en Sibérie observer le pas-
sage de Vénus sur le disque du soleil. Pallas dirigea
lui-même les voyageurs; et après avoir parcouru
les parties méridionales, la Sibérie et la Tauride, il
revint à Pétersbourg en 1773, avec une santé déla-
brée par les fatigues. 11 retourna dans la Tauride
en 1795, et y passa encore quinze années qui furent
employées à continuer ses grands ouvrages. Mais las
enfin de voyager, et las surtout de la Russie, il re-
vint dans sa ville natale, où il termina ses jours en
1811. Nous nous bornons à citer son voyage sans
en présenter l'analyse , [lar'cc qu'elle formerait
double emploi avec d'autres voyages postérieurs ,
DIX-HLITIÈMIi Slf.CLK. 155
notamment avec celui de Lyall , qui fi{];upe dans le
XLIV* volume de notre Collection.
Par la même raison, nous nommerons seulement,
1° l'Anglais Swinton , qui de 1788 à 1791 parcourut
pour ainsi dire les mêmes contrées que le voyageur
Coxe; 2" miss Wolstonecraft, qui visita, vers le
même temps, le Danemark, laNorwége et la Suède;
3° John Carr, dont le voyage, au commencement du
xix" siècle, eut les mêmes contrées pour objet;
4" Erasme Nyrup, qui, à la fin du xvill" siècle rt
au commencement du Xix", explora le Danemark,
et en décrivit particulièrement la capitale; 5" l'Alle-
mand Kùttner, qui vit de 1797 à 1799 le Danemark,
la Suède et la Norwége; 6" l'Allemand Storch, qui
h la fin du XVlll" siècle rctraçale tableau de la Russie
européenne, ouvrage qui pourrait servir de mo-
dèle aux travaux du môme genre sur d'autres pays.
Nous offrirons seulement sur la Crimée quelques
traits propres à compléter ce que nous avons rap-
porté dans les voyages plus récens de l-.yall , Kla-
proth et Gamba.
La Crimée ou Tauride, ancienne Chersonèse tau-
rique, presqu'île de la Russie d'Europe, dau-; le
midi du gouvernement de la Tauride, sur la mer
Noire, a un climat sujet à beaucoup de variations.
Quelquefois le printemps s'y annonce dans les pre-
miers jours de février; quelquefois aussi les ri-
i;ueurs de l'biver, qui a commencé vers la Ru
156 VOYAGES EN EUROPR.
d'octobre, s'y prolongent jusqu'au commencement
d'avril : communément c'est au mois de février
que le froid se fait sentir. Suivant Pallas, il est
possible que la dévastation des forêts ait contribué
à rendre le climat plus froid. Les étés sont aussi
variables que les hivers. La température diffère
qjelquefois dans le même jour de 10 à 12 degrés.
Ils sont souvent très secs pendant plusieurs années
consécutives, au point qu'on voit les sources tarir
et les ruisseaux se dessécher dans plusieurs parties
de la péninsule. On a remédié à cet inconvénient
par une distribution de l'eau des rivières dans des
canaux pratiqués avec beaucoup d'intelligence.
La saison la plus agréable et la plus salutaire est
le printemps, qui règne d'ordinaire depuis le com-
mencement de mars jusqu'à la fin de mai. Alors la
campagne, entrecoupée de jardins, offre un coup
d'œil enchanteur par le contraste d'une verdure
naissante avec les nombreuses touffes de roses
rouges et blanches et la couleur éclatante des
fruits de toute espèce. Â ces beautés de la nature,
se joint le spectacle animé de nombreux troupeaux
qui descendent des montagnes ou paissent dans
les plaines. Le ciel est constamment serein, et la
beauté des nuits égale celle des jours.
L'automne, où les fruits tombent en abondance,
est la saison la plus nuisible à la santé. Les fièvres
intermittentes y dégénèrent souvei|t en maladies
maïs ,
'W>
DIX-HlilTIÊME SIÈCLE. 157
chroniques et mortelles. On y éprouve aussi, dès
le mois de septembre, des froids, des gelées asseK
fréquentes dans les nuits; mais ces accidens ne nui-
sent point à la vigne, car le beau temps succède
bientôt au froid, et dure quelquefois jusqu'en
décembre et même jusqu'au commencement de
janvier.
Le sol de la Grimée, généralement marneux,
présente dans les plaines tantôt un fond d'argile
sablonneux, tantôt des terres légères et desséchées:
celles-ci ne se trouvent communément que dans le
voisinage des montagnes ; la fertilité des autres est
remarquable partout où il y a assez de so'urces et
de ruisseaux pour les arroser. La vigne et le fro-
ment réussissent même parfaitement avec ce se-
cours, dans les terrains pierreux. Chose singulière!
la quantité prodigieuse de limaçons dont les terres
sont parsemées , et qui est si funeste dans certains
pays, procure à ces terres une sorte d'engrais mar-
neux et en augmente la fertilité.
Dans les temps anciens, on exportait de la pé-
ninsule une immense quantité de grains; sous la
domination ottomane, elle était réputée le grenier
de Gonstantinople. Les Tartares , avant la conquête ,
avaient enfoui des provisions de blé pour plusieurs
années. Toutes les espèces de grains réussissent
dans la Crimée, froment, seigle, orge, avoine,
maïs, millet et pois.
'^^
168 VOYAGES EN EUROPE.
Le lin et le tabac y prospèrent : la plupart des
légumes de l'Europe y réussissent, quelques-uns
seulement y dégénèrent. Les arbres fruitiers à pépin
donnent de très bons fruits dans les vergers; ceux
des arbres à noyaux sont médiocres : l'olivier et le
figuier participent à cette médiocrité , parce que
la plupart sont sauvages. Les mûriers de toute
espèce s'élèvent avec succès dans toute la Cri-
mée; le noyer y acquiert une grosseur prodi-
gieuse. ,„ ,;... , .-. - .,..: ^ i .,, :... . ■ ,„,
De toutes les productions de cette péninsule, la
vigne est la production sur laquelle Pallasa donné
plus de développemens. Après avoir observé qu'elle
croît en abondance et presque sauvage dans la
partie montueuse; que les Grecs sont les premiers
qui en ont introduit la culture dans la Crimée, où
elle a été perfectionnée par les Génois dans la
partie qu'ils en ont long-temps occupée. Il décrit
avec beaucoup de détails cette culture, dont les
procédés varient suivant la nature du sol et l'expo-
sition. Il donne ensuite une longue nomenclature
de (outes les espèces de vignes cultivées. Il termine
cet article par l'énumératlon des obstacles qui
s'opposent à une plus grande prospérité de la cul-
ture de la vigne dans la Crimée : ces obstacles sont
la cherté des ouvriers, résultante du petit nombre
d'habitans; l'Ignorance et la négligence des Tar-
tares , cultivateurs de la vigne ; la rigueur des sal-
dix-huitième; siècle. 1&9
sons, mais plus que tout cela, les variations de la
température; les attaques d'une petite chenille in-
connue ailleurs, et qui ronge le germe du raisin
au printemps; enfin l'irruption que, depuis quel-
ques années, font dans les vignobles des saute-
relles à ailes rouges, d'une petite espèce connue
en Espagne sous le nom de grillons d'Italie.
Les animaux domestiques de la Crimée sont les
bœufs, les moutons à grosse queue, peu multipliés
dans les parties montueuses, mais fort nombreux
dans les plaines; les chèvres, répandues au con-
traire en grand nombre sur les montagnes; les
chameaux, dont l'espèce se propage très rapide-
ment lorsque les hivers sont doux , et quelques
buffles. Dans la Grimée on remarque une race de
grands chiens lévriers, la plupart à oreilles et à
queue pendantes , très recherchée pour la chasse
du lièvre : beaucoup de riches Tartares en entre-
tiennent de nombreuses meutes.
Leshabitans de la Crimée, dont le nombre s'éle-
vait autrefois à plus d'un demi-million , se trouvent
réduits, d'après un dénombrement récent, mais
qui n'est peut-être pas encore bien exact, à cent
cinquante mille individus des deux sexes de tout
âge. Ces habitans, tous Tartares , se divisent en trois
classes.
l^ première est celle des ISogais, auxquels il
faut ajouter les Tartares du Kouban. Les uns et les
m VOYAGES EN EUllOPE.
autres habitent aujourd'hui leurs propres Villages ,
où ils se sont fixés et fort enrichis par ragriculturc
et l'éducation des bestiaux. Les traits de leur visage
et la conformation de leur tète prouvent qu'ils des-
cendent immédiatement des Tartares-Mongols.
La seconde cl is<ie est composée de Tartares qui
habitent les pY^i^ne ou steppes de la Grimée, jus-
qu'à la partie septentrionale des montagnes. Moins
mélangés que les premiers , ils ont conservé beau-
coup de ressemblance avec les Mongols. Quant a
ceux qui se rapprochent des montagnes, et dont le
sang paraît s'être mêlé davantage avec celui des
Turcs, ils ne ressemblent que très imparfaitement
aux Mongols. Comme les premiers, ils s'occupent
de& bestiaux, ils labourent la terre, mais ils ne se
livrent pas à la culture des jardins.
Pallas range dans la troisième classe les Tartares
qui habitent les vallons méridionaux des mon-
tagnes : cette race, très mélangée, lui a paru pro-
venir de divers restes de peuplades repoussées de
la Crimée à l'époque des conquêtes des armées
mongoles. Cette classe a un caractère de physio-
tiomie particulier, la barbe plus forte et les cheveux
plus clairs que les autres Tartares, qui ne les re-
gardent pas comme de vrais descendans de leur
souche, et leur donnent le nom méprisable de tat,
c'est-à-dire renégdt. Cette rade ^ qui habite des val-
lor.s délicieux, véritable Eden de la Crimée, pro-
duit d'h
tateurs
par le <
nombrei
paître.
La ph
coup de
parmi ei
t'onnés ,
prendre
et des jei
cats. Peu
taire des 1
donne-t-il
connu ch
tartares, i
tageuse,
Transp
pa»"»'3 de
voyages
de ceux
ibérique,
Swinbï
geait son
XLVt. I
il turc
visage
s des-
Is.
es qui
;, jus-
Moins
beau-
uant à
lont le
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tement
cupent
s ne se
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mon-
ru pro-
sées de
armées
pbysio-
îheveux
î les re-
de leur
î de tat,
des val-
ise, pro-
DIX-rUlTlEME SIÈCLE. 161
duit d*habiles jardiniers. Ce sont de grands dévas-
tateurs des forêts dans les pays de montagnes, tant
par le dégât qu'ils font eux-mêmes, que par les
nombreux troupeaux de chèvres qu'ils y font
paître.
La physionomie des vrais Tartares tient beau-
coup de celle des Turcs et des Européens. On voit
parmi eux des hommes robustes et bien propor-
t'onnés, d'une taille svelte; très peu tendent à
prendre de l'embonpoint. La plupart des enfans
et des jeunes gens ont des traits agréables et déli-
cats. Peut-être cet agrément, joint à la vie séden-
taire des femmes qui les tient éloignées des hommes,
donne-t-il lieu à ce vice réprouvé par la nature, si
connu chez les Persans et les Turcs. Les femmes
tartares, quoique la plupart d'une taille peu avan-
tageuse, ns manquent pas néanmoins d'agrémens.
Transportons-nous par la pensée dans une autre
pa^^'S de l'Europe, et faisons connaître d'autres
voyages dans leur ordre chronologique : parlons
de ceux qui ont été effectués dans la péninsule
ibérique, en commençant par l'Anglais Swinburne.
SWINBURNE.
(1775-1776.)
Swinburne ayant épousé une femme qui parta-
geait son goût pour les antiquités et pour les beaux-
XLVI. 11
162 VOVAilES EN ErîlOPE.
arts f se mit à voyager avec elle, et employa
plusieurs années à visiter les lieux les plus remar-
quables de la France, de l'Espagne, de Tltalie et de
TÂllemague. Plus tard, ayant marié sa fil! «\ i\ alh
s'établir aux Antilies dans l'île de la Trinité, ^W/ il
mourut en Î803. Nous ne donnernns ici oue h
substance de son voyage en Espagne?, traduit par
M. de Laborde. ; i •: . i > . v
Ce voyage de Swinburne en Espagne contient
des notions étendues sur la Catalogne et le royaume
de Grenade. Les remarques du voyagei.r engénérc
sont ium judicieusj's que fines. La pureté dt l'air
que l'on respire à Barcelone, une température telle
qu'on y îf'fenge dfîs petits pois toute l'antiée, excepté
dans Je temps de la canicule, la situation de cette
ville qui lui procure de toutes parts tes points de
vue les plus pittoresques, en rendent le séjour très
agréable. Du côté du nord les terres, en s avançant
sur la mer, forment une superbe baie. La vue
s'étend, du côté de l'est, sur la Méditerranée. Les
environs sont couverts de feuillage, de maisons de
campagne et de jardins, qui présentent la plus
riche culture.
La forme de Barcelone est presque circulaire.
Les murs de l'ancienne ville romaine sont encore
visibles en plusieurs endroits. La mer s'est beau-
coup retirée du port. Le môle de ce port, bâti en
pierres de taille, est aussi commode qu'il est solide.
DlX-HUITlÈMli: SIÈCLE. 163
Au-dessous sont de vastes magasins et un large
quai qui s'étend depuis les portes de la ville jus-
qu'au fanal. Cts belles constructions sont dues au
dernier capitaine général de la Catalogne, qui,
suns ajouter de grands frais aux dépenses ordi-
I t''res de la ville, et par les seules ressources de
son génie et d'une économie bien entendue, a sin-
gulièrement embelli Barcelone, par l'alignement
d^s nouvelles rues, le nettoyage des anciennes, et
la construction de plusieurs édifices utiles. En
même temps qu'il l'embellissait par l'encourage-
ment qu'il donnait à ses manufactures et à son
commerce, il bâtit sur la langue de terre qui s'a-
vance dans la mer et forme le port, une ville nou-
velle qu'on appelle Barcelone, où, du temps de
Swinburne, on comptait déjà deux mille maisons.
Dans la belle saison, le rempart forme une très
agréable promenade : il en est une autre où les
dames se montrent pompeusement dans de bril-
lantes voitures.
Les principaux édifices sont : la cathédrale, d'une
architecture gothique de la plus grande légèreté ;
la Bourse, édifice, au contraire, fort lourd, et le
palais du capitaine général, qui n'a rien de recom-
mandable qu'une superbe salle de bal. La salle de
la comédie est fort belle et bien éclairée.
Une police sévère, et la vigilance des alguazils
qui, bien difféi'ens ici de ce qu'ils sont ailleurs,
104 VOYAGES EN EUROPE,
sont des gens de confiance, de probité et d'un cou-
rage reconnu, suppléent, pour les habitans de Bar-
celone, aux secours qu'ils pourraient tirer d'armes
défensives contre les attaques des brigands, si ces
armes n'étaient pas prohibées. Celte prohibition
s'étendait même aux couteaux : il n'y a pas bien
long-temps, dit Swinburne, qu'on n'osait en porter
sur soi d'aucune espèce. Dans chaque cabaret, il y
en avait un attaché à une chaîne pour l'utilité
commune. Quoiqu'on se soit un peu relâché de ces
mesures sévères, on peut se promènera toute heure
de la nuit dans la ville, sans avoir le moindre ris-
que à courir, pourvu que l'on soit muni d'une lu-
mière afin de n'être pas exposé à être arrêté par
les patrouilles.
Les loyers sont fort chers à Barcelone ; la viande
y est sans saveur, le poisson mollasse, insipide,
mais les légumes excellens. On porte communé-
ment à cent cinquante mille âmes la population de
cette ville, sans y comprendre même les dix mille
habitans de Barcelonette.
Les antiquités romaines de Barcelone sont re-
marquables, mais assez peu prisées dans une ville
entièrement adonnée au commerce. Swinburne v
vit avec douleur un sarcophage ?:ervant d'abreu-
voir. Il n'est aucun pays, e.vcepté peut -être
l'Italie, qui possède autant de monumens an-
ciens que l'Espagne. Dans chaque province l'on
l'épugni
dans lei^
avec uni
de cheA
plupart
r-<
165
DIX-HUITIÈME SIÈCLE,
trouve des restes de ponts, d aqueducs, de tem-
ples, de théâtres, de cirques, d'amphithéâtres et
d autres édifices publics, mais plus dégradés par les
outrages des habitnns que par l'injure du temps.
Avant de quitter Barcelone, Swinburne fait quel-
ques observations sur le caractère des Catalans ,
leur agriculture et leur commerce. I^ nature du
pays, qui presque dans to iie son étendue est mon-
tueux, lui paraît avoir une grande influence sur le
caractère physique et moral des habitans. Avec une
peau brune, des traits prononcés, une taille
moyenne et rarement difforme, ils sont robustes,
actifs, industrieux. La perle de leurs immunités,
la honteuse prohibition du port d'armes, les taxes
énormes auxquelles ils avaient été condamnés, rien
de tout cela, dit Swinburne, n'avait pu abattre
leur esprit d'indépendance et de liberté, qui se
manifeste aujourd'hui avec tant d'énergie. .-!; (it>
Quoique les Catalans soient robustes et infati-
gables, ils se soumettent difficilement à la sévé-
rité de la discipline militaire, à moins qu'ils ne
soient placés dans leurs propres régimes nationaux;
mais ils sont excellens dans la cavalerie légère. Us
répugnent à la seule pensée d'être domestiques
dans leur propre pays, et préfèrent le parcourir
avec une balle de mercerie sur les épaules. Loin
de chez eux ils deviennent de bons serviteurs : la
plupart des grandes maisons de Madrid ont des
1«« VOYAGES EN EUROPE.
Catalans à la tête de leurs affaires, comme aussi la
plupart des muletiers et des conducteurs de ca-
lèches en Espagne sont des Catalans, tous probes,
exacts et tempérans.
Le peuple de la Catalogne est moins superstitieux
que dans les autres parties de l'Espagne, et il est
aussi industrieux qu'infatigable. Les principaux
objets d'exportation dans cette province consistent
en vins, eaux-de-vie, sel et huile. On tire beau-
coup de grains de la Sicile, parce que la Catalogne
ne récolte pas assez de blé pour nourrir ses habi-
tans plus de cinq mois. ÏJk Catalogne fabrique beau-
coup de drap et d'étoffes de laine ou de toiles
peintes. ■''■»''» "■' •• ' ^' -w.'i.fîov; r.^i-y < <»
Swinburne décrit la province de Grenade, en
commençant par faire un rapprochement de l'an-
cien royaume de ce nom et de sa capitale, avec ce
qu'ils sont dans leur état actuel. Voici un aperçu de
ce qu'il en dit.
Avant la conquête de Grenade par les Arabes,
l'agriculture dans ce royaume était parvenue au
plus haut point de perfection. Les nombreuses
ruines qui 3ont éparses sur les montagnes attestent
que ces parties froides et aujourd'hui stériles, qui
occupent les deux tiers de la province, étaient
anciennement couvertes de plantations d'arbres
fruitiers, de moissons abondantes et de belles forêts.
I^ plaine, plantée en mûriers, donnait une grando
DIX-HUITIÈME SIÈCLR 167
abondance de soie. Les mines de cl'^> montagnes
étaient ouvertes, et l'on en tirait beaucoup d'or et
dargent. Jamais peuple policé n'entendit mieux
que les Maures la méthode des irrigations pour
fertiliser les campagnes.
Dans la ville de Grenade il n'y avait pas une
maison qui n'eût sa conduite d'eau, et toutes les
rues étaient arrosées par des fontaines.
La population répondait à la richesse du pays.
Chaque Maure avait une portion de terre qui lui
était assignée et qui lui suffisait pour son habita-
tion, sa subsistance, son entretien, et pour la nour-
riture même de son cheval, car chaque homme
était obligé d'en avoir un. Plus d'une fois les rois
de Grenade ont fait passer en revue jusqu'à deux
cent mille hommes, et la soûle ville de Grenade,
peuplée aujourd'hui de quatre-vingt mille àmeâ ,
pouvait mettre sur pied trente mille fantassins et
dix mille cavaliers. On recueillait une quantité pro-
digieuse de fruits. Les fêtes, les danses, les chants
annonçaient de toutes parts la prospérité des ha-
bitans; l'éiéganre et la richesse dans la parure des
femmes ajoutaient à leurs charmes naturels.
Quant à la magnificence des édifices, on peut en
juger par les restes de l'ancien palais des rois de
Grenade, XAlhambra, mot arabe qui signifie mai.fo/t
rouge, dénomination qui lui avait été donnée à
cause de la couleur des matériaux. Cet édifice, sur
Km VOYAGES KN RUROPH.
les ruines duquel Charles^Quint en Ht élever un
autre, est situé sur une haute montagne qui do-
mine Grenade; et il forme par son étendue une
véritable ville. C'est un assemblage immense de
colonhcs, d arcades, de galeries, de voûtes la plu-
part de marbre ou de stuc, chargé d'orncmens
de la plus grande délicatesse. Les plus belles mo-
saïques, de riches dorures, des peintures qui ont
conservé toute leur fraîcheur, décorent une mul-
titude de salles destinées à divers usages. Une pro-
fusion d'eau distribuée avec la plus grande intelli-
gence, des plantations d'orangers, des groupes de
fleurs, des points de vue ménagés avec art, achè-
vent de faire de ce palais un séjour enchanteur:
c'est à peu près tout ce qui reste à Grenade de son
ancienne magnificence. » / ,^;'>ii «rii f ■?! ■( ^o-
Quelque dégradation qu'ait éprouvée cette grande
ville, la pureté de l'air, la douceur de la tempéra-
ture, l'abondance de l'eau qui dans plusieurs mai-
sons passe par de petits canaux jusque dans les
chambres à coucher, rendent le séjour de Grenade
extrêmement agréable. Ses environs sont rafraî-
chis par une infinité de petits ruisseaux, et sont
parfumés par les délicieuses odeurs que ses vents
frais y apportent de tous les jardins distribués sur
la pente des montagnes voisines. Des promenades
formées sur les bords pittoresques du Xenil ajoutent
leurs frais ombrages aux charmes naturels du pays.
Le v<
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aperçu
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Castillej
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DIX-HUITIKME SlfXLR. IGtt
Les femmes ont la carnation plus belle, la peau
plus fine, les joues colorées par une teinte plus
brillante qu*en aucun endroit de TEspap^ne, et leur
manière de s'babillcr concourt encore à les rendre
infiniment piquantes. . ,, • .,.'■'
De Grenade Swinburne dirigea sa route ven
Antequcrro, assez grande ville, située dans une
plaine très fertile, cl il arriva, par un pays entière-
ment dépouillé de bois, h Malagn, dont le séjour, à
cause de sa situation au pied de montagnes nues et
raboteuses, devient presque insupportable par Tex-
cessive chaleur qu'on y éprouve. La rade et le port
de cette ville sont assez sûrs, et la cathédrale est un
édifice imposant. Le vin ambré de Malaga est re-
nommé dans toute TEurope.
A Swinburne succède un autre voyageur dans
les mêmes contrées et dans plusieurs autres pro-
vinces de l'Espagne, telles que Murcie, la Nouvelle-
Castille et les Asturies : c'est le voyageur Peyron.
' ■ ' ' 'q •;! }" îf«-r:.
^.t-;î^|.-
1 : . ' .. ,
Vi\
• ' •' Y"*''* ■
1
PEYRON.
(1780.)
.-i. ■>
', . • 'l'.iv.y i.
Le voyage de Peyron annonce un observateur
judicieux et éclairé; nous n'offrirons qu'un rapide
aperçu de ce qu'il dit de Carthagène dans la pro-
vince de Murcie, et de Cuença dans la Nouvelle-
Castille. • ' ' ' ■ ^ '^^
•ij
170 VOYAGES EN EUROPE.
La province où est située Garthagène est la plus
petite des provinces espagnoles; elle jj-'ournit une
quantité considérable d'oranges, de citrons, de
cédrats, de figues et d'autres fruits à toute la Cas-
tille, à l'Angleterre et à la France. On y fait égale-
ment beaucoup de soie. Les montagnes y sont cou-
vertes d'arbustes, de plantes odoriférantes , de bons
pâturages et d'une espèce de petits joncs qui ser-
vent à fabriquer des ouvrages utiles. La capitale,
qui porte le nom de la province, est située dans
une plaine aussi étendue en longueur que la pro-
vince même , sur une lieue et demie de largeur seu-
lement. La Segura, qui baigne im des côtés de la
ville, a un beau pont et de superbes quais. La ca-
thédrale a une façade riche d'ornemens et une
tour très élevée. 'M:; t.; 'sr 'rlyr^: ;-: --li-ui'sii. '/■•■
Garthagène fut pour les Romains ce que le
Pérou et le Mexique furent pour les Espagnols.
Dans les environs il existe encore des mines d'ar-
gent et de piomb très abondantes. La campagne de
Garthagène se nommait autrefois Campo Sparterîo,
à cause de ce jonc fin et creux appelé par les [an ■
ciens spartum, qui y croît en abondance, et dont
on IVisait des cordes et des câbles, des nasses et
des vêtemens pour les pauvres. Dans les guerres
des Goths, Garthagène fut entièrement détruite.
La nouvelle ville est défendue par une montagne:
le port est si profond quo les navires arrivent jus-
î
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 171
qu'aux quais. Ce lieu est abrité par des coteaux
contre les orages, et l'on ne connaît point de port
quilui soit comparable pourla régularité et lasûreté:
c'est ce qui faisait dire à André Doria, fameux doge
de Gênes, qu'il ne connaissait dans le monde que trois
ports qui fussent sûrs. Juin, Juillet et Garthagène.
^'arsenal de cette ville est immense : un vaisseau
de ligne est facilement équipé et armé dans trois
jours. Au gré du constructeur, la mer vient remplir
les superbes bassins qui servent de chantiers, et le
vaisseau une fois construit va de hii-méme s0
rendre dans la Méditerranée. Chaque navire â
dans l'arsenal son magasin particulier. Une source
d'eau vive que la nature a ménagée sur le bord
de la mer permet aux vaisseaux de faire aignade.
La ville de Cuença est la troisième en imp6r^
tance dans la Nouvelle -Castille, qui compren<i
Madrid et Tolède. Sa cathédrale a une forme go-
thique imposante. Cuença est le chef-lieu d'une
province et compte neuf mille habitans. Elle fait un
commerce de laine considérable. La campagne est
très favorable aux abeilles, qui donnent un mîel
excellent. ' ' * ■= " '
Ni Peyron ni Swinburne n'ont décrit la Galice,
les Asturies et la Navarre : ce soin était réservé ru
voyageur Bourgoing, qui a vu aussi d'autres pro-
vinces. ' .V .
■n
172
VOYAGES EN EUROPE.
••'4.»
BOURGOING.
i'VM^ '■> r:(i'Ji{ J.Wi
-i I .
(1788.)
. Après avoir franchi la Bidassoa, rivière qui sé-
pare la France de l'Espagne , notre voyageur entre
dans la Biscaye. La partie de cette province es-
pagnole qui touche immédiatement aux Pyrénées
semble être une prolongation de ces montagnes.
Pendant les trente lieues que l'on parcourt depuis
la Bidassoa jusqu'à Vlttoria, qui est la limite de la
province, on aperçoit à chaque instant un village
ou un hameau. Bilbao, capitale de la Biscaye, peu-
plée d'environ quinze mille âmes, entretient un
commerce considérable en laines. "; >• m
De Vittoria l'auteur s'avance dans la Vieille-Cas-
tille, pays nu et aride, dont la principale ville est
3urgos, ville industrieuse, peuplée d'environ dix
mille âmes, et offrant une cathédrale qui passe
pour un chef-d'œuvre d'élégance gothique. Les
environs de Burgos, embellis par des avenues et
des promenades, sont fertilisés par le cours de
l'Alarçon , rivière qui arrose de vastes prairies. La
Vieille-Castille compte aussi parmi ses villes celle
de Ségovie, qui offre une belle cathédrale et un
château appelé l'Âlcazary qui fut jadis habité par
des rois Goths. Celle ville offre encore un aqueduc,
ouvrage des Romains, qui réunit deux collines sé-
parées par une profonde vallée.
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 173
En s'avançant de la Vieillo-Castillc vers la pro-
vince de Léon, le voyageur rencontre les villes de
Medina-Rio-Seio et de Medina-del-Campo. La pre-
mière, jadis célèbre par ses fabriques, est réduite ,
d'une populatiofi de trente mille âmes, à celle de
quatorze cents feux; l'autre, jadis la résidence de
plusieurs monarques, le lliéâtre d'un grand com-
merce, et alors peuplée de cinquante à soixante
mille âmes, ne contient à présent que raille feux.
Ainsi, dit Bourgoing, ce que le ravage des siècles
accumulés et des guerres a opéré sur les villes de
Persépolis, de Palmyre et de quelques autres villes
célèbres, deux siècles d'incurie et de mauvaise ad-
ministration l'ont amené pour les deux villes de
Médina, et tant d'autres cités de l'Espagne. On peut
en dire autant de Léon , capitale de la province de
ce nom, qui n'a guère que deux à trois mille âmes,
mais dont les environs sont embellis par de belles
plantations.
La ville de Salamanque, qu' n'occupe que le se-
cond rang dans la province de Léon, est bien sli
périeure à sa capitale : elle doit cette supériorité à
la réputation de son ancienne université, et beau-
coup plus encore aux quatre grands collèges qu'elle
renferme, sur sept r^ui portent ce nom en Es-
pagne. Une foule d'édilices de toutes les époques
et de tous les styles l'ont fait surnommer par les
Espagnols lapetîteRome. Elle a sur leTormès un pont
174 VOYAGES EN EUROPE,
de vingt-sept arches, dont une moitié est de cons-
truction romaineet l'autre du temps de Philippe IV.
L'Aragon, qui confine à la Vieille -Castille, et
qui est une province en général œontueuse et aride
ou mal cultivée, a pour capitale Saffagosse, laquelle
n a conservé de son ancienne magnificence que ses
deux vastes cathédrales. L'Ëbre la partage en deux
parties réunies par un pont superbe , dont une des
arches a cent quatre-vingts pieds d'ouverture. Son
université est la troisième de l'Espagne pour le
nombre de ses étudians. La population de Sara-
gosse dépasse quarante mille âmes.
JNous avons eu déjà occasion de citer Cuença,
ville de la Nouvelle-Castille, et de dire que Madrid
et Tolède sont les deux autres principales villes de
cette province. M. Bourgoing fournit sur ces deux
villes quelques détails qui trouvent ici leur place.
Tolède, autrefois la capitale du royaume de Cas-
tille, n'est aujourd'hui que la seconde ville de la
Nouvelle-Castille. Ses rues désertes, étroites et tor-
tueuses, l'absence presque absolue de l'aisance et
de l'industi'ie, ne répondent guère à son ancienne
splendeur. La cathédrale de Tolède, édifiée sur les
ruines d'une mosquée, est l'un des monumens sa-
crés les plus précieux qu'il y ait eus en Europe. L'Al-
cazar, palais où résidait les rois maures, et qu'avait
encore embelli Charles-Quint, est aussi un bel édi-
fice. Cette ville renterme quinze mille habitans. et
se tpouv
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portés
déposer
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DIX-HUITIÈMË SIÈCLE 1T5
se trouve sur un monticule près de la rive gauche
du Tage. ... »
Après avoir passé le Mançanarez, on urrive par
une belle route plantée d'arbres à Madrid, la capi-
tale de toute l'Espagne, sur la rive gauche du Man-
çanarez, au milieu d'une plaine sablonneuse et
stérile, entourée de montagnes et presque au centre
du royaume. Elle n'était autrefois qu'un bourg ap-
partenant aux archevêques de Tolède. Elle a de
beaux édifices et de nombreuses églises. Le Prado
est une des plus belles promenades de l'Europe.
Parmi les quarante-deux places de Madrid, on cite
la Plaza-Major, la Plaza-del-Sol. Le nouveau palais
du roi est une maj];nifique résidence. Madrid compte
environ de . ». cent mille habilans.
Trois résidences royales existent dans ses envi-
rons, savoir: l'Fscurial, Saint-Udefonse et Aran-
juez.
L'Escurial est situé sur le versant méridional de
!a chaîne escarpée et aride des monts Guadarraraa.
La masse du bâtiment est imposante sans avoir rien
de magnifique, excepté le beau portail de l'occident,
(jui ne s'ouvre pour les rois d'Espagne et le:^ princes
de leur maison que dans dei.x occasions solennelles :
ia première fois, lorsque après leur naissance ils sont
portés à l'Escurial, et la seconde lorsqu'on va y
déposer leurs cendres. On admire à l'Escurial le
magnifique monastère que fit construire Philippe U,
170 VOYAGES EN EUROPE.
après avoir gagné la bataille de Saint - Quentin
en 1557.
Saint-Udefonse est situé beaucoup plus loin sur
le versant septentrional du Guadarrama; c'est la
plus somptueuse maison de plaisance des rois
d'Espagne; elle est environnée de montagnes d'où
descendent de nombreux ruisseaux limpides qui
répandent partout la fraîcheur et la vie. Cette ab< n-
dance des eaux et la situation pittoresque de Saint-
Udefonse en rendent le séjour délicieux en été.
Aranjuez est situé sur le Tage, près de l'embou-
chure deXarama, dans une charmante vallée^ où
les plaines arides de la Castille ont disparu, où l'on
ne marche plus qu'à l'ombre de grands arbres, au
bruit de cascades, au murmure des ruisseaux : îa
végétation la plus brillante annonce le voisinage du
fleuve qui vivitit et féconde ces lieux. Charles-Quint
fit bâtir Aranjuez, moins pour une habitation
royale que pour une jolie maison de plaisance.
De Madrid , notre voyageur se dirige vers la pro-
vince de Valence , en trar-e.rsant une chaîne de mon-
tagnes. La ville de Valonce, grande et belle, est
située sur le Guadalaviar, au milieu d'une cam-
pagne î?ussi 'délicieuse que fertile. C'est aujourd'hui
une des ville<< les plus industrieuses de l'Espagne;
elle possède un grand nombre d'établissemens pu-
blics, et son université est très fréquentée. Elle
compte environ soixante mille âmes. Elle a dans
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 177
son voisinage la ville de Murviedro, bâtie prè» de
la mer, sur les ruines de Tancienne Sagonte, dé-
truite par les Romains après la plus vigoureuse ré-
sistance. Quelques inscriptions puniques et quelques
statues mutilées sont les seuls vestiges que Ton
retrouve de la domination carthaginoise dans cette
partie de l'Espagne. Celle des Romains s'annonce
par quelques restes d'antiquités, sur l'emplacement
de la nouvelle Sagonte.
Notre voyageur visita aussi Alicante, la ville la
plus commerçante de l'Espagne après Cadix et Bar-
celonne, et dont le territoire produit, outre ses
vins renommés, des eaux-de-vie, des amandes, de
lanis, du safran, de la sparterie, du sel, et une
grande quantité de l'espèce de soude appelée
baritla.
En quittant Valence pour revenir à Madrid, notre
voyageur traversa la pro^ * -ce de la Manche, qui
renl-erme de très vastes plaines , où Cervantes a placé
la scène des exploits et des amours de Don Qui-
chotte. Après avoir franchi la chaîne de la Sierra-
Morena, M. Bourgoing entra dans l'Andalousie, la
plus grande province de l'Espagne, la plus riche en
{ijrains, en mines, en bestiaux, et qui produit une
race d'excellens chevaux. Il visita d'abord Cordoue,
ville ancienne et célèbre, qri vit naître Sénèque et
Lucain, et qui, pendant plusieurs siècles, fut la ré-
sidence des rois maures. De Cordoue il passa à Sé-
XLVI. 12
178 VOYAGES EN EUROPE,
ville, grande cité assise aux bords du Guadalquivir,
au milieu d'une campagne superbe. Séville est une
des plus anciennes villes de TEurope; on aperçoit
encore dans ses environs les ruines d'italica, anti-
que cité romaine, patrie de Silius Italicus. La cathé-
drale de Séville est remarquable par sa |][rande
étendue, par son orgue, et surtout par le fameuse
Giralda, qui est la tour la plus élevée de toute la
péninsule. Séville compte environ quatre-vingt-dix
mille âmes.
De ♦ <îtte ville, notre voyageur fit une excursion
à Cadix, l'ancienne Gadcs des Phéniciens. Elle est
bâtie au milieu de la mer sur une batte de sable,
à l'extrémité d'une péninsule de l'île de Léon, dont
l'isthme étroit, long et demi-circulaire, forme sa
rade immense. Belle dans son ensemble, cette ville
ne présente guère que deux ou trois bâtimens re-
marquables. La nature et l'art ont fait de Cadix une
des plus fortes villes de l'Europe; elle est le pre-
mier établissement de la marine militaire de l'Es-
pagne, et elle est peuplée d'environ cinquante mille
habitans.
De Cadix, le voyageur Bourgoing retourna,
comme nous l'avons dit, dans la métropole de l'Es-
pagne, d'où il repassa en France. Un autre voya-
geur, l'Allemand Fischer, a donné une suite à la
relation de M. Bourgoing.
Ce vo^
pagne, q
les préce
un grand
neuves si
mens put
aussi des
Espagnols
pays en q
toujours i
traits relai
La mal
linge. Le
mais il es
tion , et se
De cette
suivant la
classe con:
tous les m
tîplication
que, dans
tiers des p
.<isés, les
l'usage do
a
tourna ,
de l'Es-
re voya-
uite à la
DIX HUITIÈME SIÈCLE. 17i)
FISCHER.
(1797-1798.)
Ce voyageur n'a eu pour objet, en visitant l'Es-
pagne, que de recueillir quelques détails oubliés par
les précédens explorateurs. 11 a jeté dans son récit
un grand nombre de particularités intéressantes et
neuves sur It; clinnat, la population, les établisse-
mens publics, la littérature et les arts; on y trouve
aussi des observations sur les mœurs et usages des
Espagnols, et en particulier sur la Biscaye, petit
pays en quelque sorte républicain, et qui voudrait
toujours se régir par lui-même. Voici quelques
traits relatifs aux Espagnols en général.
La malpropreté de l'Espagnol tient au défaut de
linge. Le pays, à la vérité, fournit du linge t^rossier,
mais il est très cher. Le beau linge l'est à propor-
tion, et se compte parmi les articles de grand luxe.
De cette pénurie plus ou moins grande de linge,
suivant la différence des localités, il résuUe que la
classe commune du peuple ne change de linge que
tous les mois. De là les maladies cutanées, et la mul-
tiplication excessive de la vermine : elle est telle
que, dans les villages, les petites villes et les quar-
tiers des grandes villes habités par les gens les moins
nisés, les hommes mariés ou les voisins sont dans
l'usage de s'er' débarrasser mutuellement en public.
180 VOYAGES EN EUROPE.
Quand ce service se rend réciproque naent entre Icn
gens mariés, c'est une preuve de sûre intimité. Au
surplus , il y a dans les grandes villes des pe,v sonnes
qui se chargent spécialement de cette besogne, et
qui en font met!'". Elles vont régulièrement dans
les maisons pour rendre ce service à leurs prati-
ques; et elles en reçoivent d'autres dans leurs ch
mières construites de nattes, dans les places, de\ i:
les maisons, etc. Le climat, l'usage des réseaux et
l'abondance des cheveux concourent à multiplier
une génération d'insectes qui ne respectent pas les
plus belles têtes. Cette malpropreté s'amalgame
avec le luxe et le faste. On trouve souvent ces in-
sectes dans les palais les plus magnifiques. Tandis
qu'on en respecte l'extérieur, personne, jusqu'aux
femmes ; ne se fait scrupule d'en salir le vestibule
et l'esealittr de la manière la plus choquante. A ce
genre de malpropreté, il faut ajouter celui qui
résulte du défaut de lieux d'aisances.
A l'appui de ce que Fischer dit de l'ignorance to-
tale des arts mécaniques, de l'industrie domestique
et de l'économie publique, il observe que, même
dans les plus grandes villes où l'on serait à portée
d'avoir des ouvrier;? habiles, on cherche en vain
dans beaucoup de maisons plusieurs meubles
d'usage; et que dans les petites villes, les bourgs
et les villages, on manque presque entièrement
J'une Infinité d'ustensiles d'un usage commun dans
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l<;s moindres endroits de rAlleiiiagne. Outre que
les prix de ces objets sont trop hauts, les occasions
de se les (irocurer sont très i-ares, à cause de
réioignenient. '
De ces circonstances, il suit que les Espagnols
(les classes communes du peuple, bornés dans leurs
idées, restent indifférens sur toutes ces jouissances,
et s'en tiennent au plus strict nécessaire. ^' in-
tiil'terence s'étend aux ustensiles les plu? i ^
lie l'agriculture et de l'industrie. L'hal
tout ce qui est ancien exclut toute cornbuiaison ,
toute idée d'amélioration. Ainsi la fabrication de
certaines étot'fcs communes, la préparation de cer-
tains alimens, la manière d'élever des abeilles, de
planter des arbres, étalent pn^sque entièrement
ignorées à l'époque du voyage de Fischer, et ne sont
jjuère plus connues de nos jours.
Notre voyageur fait, du reste, l'éloge de l'hospi-
talité espagnole; il a trouvé chez cette nation un
sentiment naturel de justice, une très grande hon-
nêteté, beaucoup de générosité; et quant à la gra-
vité ou fierté castillane, il l'explique d'une manière
avantageuse pour ce peuple, travaillé depuis quel-
que temps par les dissensions intestines qui le
font sortir de son caractère ordinaire. Fischer
ajoute qu'on rencontre chez les Espagnols moins
de cérémonies et plus de véritable politesse, moins
de morgue et une plus grande égalité entre les di
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182 VOYAGES EN EUROPE,
verses conditions , moins d'orgueil chez les grands
et plus de mépris pour les préjugés de la naissance,
que chez les Allemands. 11 faut excepter peut-être le
préjugç religieux, car les Espagnols sont intolérans
et ne souffrent pas d'autre religion que celle du
pape. '
Les Espagnols, en général, ont le teint livide et
basané, mais ne sont point laids. Les femmes sont
très sensibles, pour ne pas dire très passionnées;
elles ont la taille svelte, la démarche majestueuse,
la voix sonore, l'œil noir et brillant; la vivacité de
leurs gestes et tout le jeu de leur figure annoncent
la trempe de leur âme. Leurs charmes se dévelop-
pent de bonne heure, pour se faner très rapide-
ment : le climat, les alimens échauffans, l'excès des
plaisirs, tout y contribue. Presque toutes les Es-
pagnoles ont la lèvre supérieure velue; cette parti-
cularité explique la force de leur tempérament.
Mais presque toutes ont les dents gâtées par l'usage
immodéré des sucreries. Toutes leurs sensations
sont violentes; avec une imagination fougueuse et
des désirs brûlans, elles ignorent les charmes et
l'illusion que le sexe emprunte de la délicatesse:
ainsi, les expressions les plus libres et les regards
les plus lascifs n'ont rien qui fasse rougir une Es-
pagnole. On serait cependant trompé, si, sur ces
observations, on allait fonder le succès de certaines
vues; l'Espagnole s'explique là dessus avec une li-
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 183
berté mâle. Ses lèvres, ses yeux, n'ont rien de
chaste, mais son orgueil lui défend d'aller plus
loin. Les entreprises qu'un homme tenterait vis-
à-vis délie manqueraient leur but, et cest elle
qui vaut dominer; elle ne veut pas être choisie,
c'est elle /qui veut choisir : voilà pourquoi l'homme
timide et froid fait plus souvent fortune auprès
d'elle, que l'amant le plus entrept-enant et le plus
passionné. Gomme l'orgueil la préserve de toute
bassesse, l'énergie de son caractère la tient en
garde contre l'esprit de légèreté : l'Espagnole est
donc fidèle et constante dans les engagemens illi-
cites. Rien de si onéreux que la gène attachée au
titre d'amant d'une femme mariée; c'est une série
non interrompue d'attentions et de soins minu-
tieux. . , , .
Nous ne suivrons point le voyageur dans les dé-
tails qu'il donne sur le Corteja , autrement dit le
Sigisbé, ou amant en titre; la mode espagnole est
à peu près la même que la mode italienne; il n'y
a entre les deux nations que de légères nuances à
cet égard. Fischer attribue la rareté des bons mé-
nages en Espagne aux vices de l'éducation des
femmes, qui se réduit communément, en effet, à
quelques pratiques religieuses, à l'exercice de la
danse, aux jeux de la guitare, à la broderie. La
danse la plus voluptueuse est le fandango ; il y a
aussi le boléro. La première, dit-il, étourdit les
[li
184 VOYAGES EN EUROPE,
sens, la seconde les transporte; le fandango peint
la jouissance, et le boléro la tendresse récom-
pensée. 'iii';f" ■'fi5':,t,>t, *W . ' . ■ -'.) - • .,:- ,L :.
Le même voyageur visita aussi la province de
Valence, et il dépeint dans les termes suivans le
caractère des Valenciens.
Le Valencien semble réunir tous les avantages
des habitans du nord à ceux deshabitans du midi:
il a les forces des uns, la sensibilité et l'irritabilité
des autres. Il est dur comme un Norwégicn; ar-
dent , fougueux comme un Provençal. Il en est de
même des femmes. A la beauté de leur teint, à la
couleur de leurs cheveux, à leur charmant embon-
point, on les prendrait pour des femmes du nord;
mais leurs grâces, leur sensibilité, leur éclat, tout
leur ensemble les ramène dans le midi.
Le climat influe également sur les formes mo-
rales. Les hommes ont une gaité franche, cette
vigueur de santé et cette surabondance de vie qui
distinguent les pays méridionaux; les femmes,
cette aménité enchanteresse, ce tempr ent ar-
dent, impétueux, ce caractère enjoué, qui torment
le plus doux lien de la société.
Les deux sexes se distinguent également par la
propreté et l'élégante coquetterie de leur ajuste-
ment. La couleur favorite est le bleu. Les étoffes
les plus communes sont les indiennes et les toiles;
mais dans leur grande parure, les hommes mettent
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 186
un gilet de velours noir ou bleu; les femmes, des
corsets de cette même étoffe, ou verts, ou roses.
Mais ce qui rend le costume des Valenciennes si
attrayant, ce qui l'approche du beau idéal, c'est
cette grâce, cette vivacité, cette tournure méri-
dionale qui semble si naturelle aux plus simples
villageoises.
Nous ne quitterons point la péninsule ibérique
sans faire une excursion dans le royaume de Por-
tugal, et pour cela, en observant toujours Tordre
chronologique, nous nous aiderons du voyage de
l'Anglais Murphy, qui visita ce pays vers la fin du
xvill' siècle. ' .
MURPHY,
■' (1798.)
Murphy visita le Portugal à l'époque où la prin-
cesse du Brésil, montée sur le trône, venait de dis-
gracier le ministre Pombal. Le voyageur décrit
l'état physique et moral du pays, les mœurs, lois
et usages des habitans, et les progrès des sciences
et des arts.
L'air du Portugal est en général pur et tempéré;
un vent rafraîchissant, qui rend le climat très sain ,
fait supporter les grandes chaleurs de l'été, pen-
dant lequel il est très rare qu'il pleuve, surtout
dans la partie méridionale. Les hivers, au contraire,
VOYAGES EN EUROPE,
sont très pluvieux; mais quoique le froid dans
cette saison soit quelquefois assez sensible, on ne
connaît l'usage des cheminées que dans les cui-
sines. Le plus grand fléau du Portugal, ce sont les
trembleraens de terre, dont le foyer paraît être
immédiatement sous le sol de Lisbonne.
Le Portugal a de beaux fleuves, dont les plus
grands viennent de TEspagne; les autres prennent
leurs sources dans ses propres montagnes. Le
Minho ne fait que toucher la frontière septentrio-
nale, de même que la Guadiana longe la limite
orientale; le Douro ou Duero sépare plusieurs pro-
vinces ; le Mondego traverse les grandes plaines de
Coïmbre; le Tage entre dans l'Océan au-dessous
de Lisbonne.
Six provinces forment le royaume de Portugal.
Celle A' Entre- Duero-e- Minho t est ainsi nommée,
parce qu'elle est située entre les deux rivières de co
nom. Ses habitans sont généralement d'un beau
sang, braves, robustes et plus endurcis à la fatigue
qu'aucun autre peuple du midi. Us cultivent le plus
beau lin de l'Europe. La province de Tras-os-
Montes, ainsi nommée parce qu'elle est séparée de
la précédente par des montagnes, est le pays le plus
aride et le plus montueux de tout le Portugal. La
province de Beira offre de belles plaines, dans l'une
desquelles fut planté le premier oranger venu de
la Chine. La province de l'Estramadure est la plus
DIX -HUITIÈME SIÈCLE. 187
peuplée et la plus fertile des six; elle comprend
Lisbonne. La province d'Alentejo a de bellâs anti-
quités; et celle des Algarves, qui a conservé le nom
de royaume, bien que très petite, est assez fertile.
Murphy entre dans de lon|];s détails sur les mœurs
dépravées des couvens d'hommes et de femmes
portugais, sur la constitution qui existait alors pour
le gouvernement, sur les lois en vigueur. Le temps
y a du apporter de notables changemens, surtout
après la révolution opérée sous Tempereur don
Pedro. La religion catholique est encore la seule
permise en Portugal; mais il n'y existe plus d'in-
quisition. Suivant le voyageur, le peuple portugais
est très arriéré en tout , particulièrement dans les
arts industriels, agricoles et manufacturiers. Ce
peuple est généralement laid , petit et basané ; les
Portugais sont vains, présomptueux, vindicatifs,
railleurs, jaloux et ignorans, sauf à Lisbonne, et
sans doute à Oporto ; lesgrands du royaume passent
pour orgueilleux et insolens.
Murphy traite assez favorablement les femmes.
Elles ont, dit- il, une belle carnation, les dents
blanches, des yeux noirs pleins d'expression, les
cheveux très beaux et bien fournis; mais elles
ont de vilaines jambes et le pied fort large. Leur
démarche est lente et sans grâce, et elles s'habillent
d'une manière peu avantageuse. Avec beaucoup
d'esprit , elles ont peut-être plus de vivacité encore
188 VOYAGES EN EUROPE,
que les hommes. En galanterie, elles l'emportent
tiur toutes les femmes de l'Europe. Elles ont dans
l'expression cette tendresse séduisante qui appelle
et promet le plaisir. Le téte>à-téte conduit presque
infailliblement au succès; mais on n'obtient pas
toujours aisément ce téte-à-téte, à cause de la ja-
lousie du Portugais, l^es rendez-vous se donnent
aux églises; c'est pour les empêcher le plus possible
que presque toutes les maisons opulentes ont une
chapelle. Les dames d'un certain rang s'habillent à
la française; les hommes portent le manteau et
l'épée. Le Portugais, avide de tout ce qui peut
rïatter les sens, se livre avec un vif emportement
aux plaisirs de l'amour, qui influent sur ses mœurs,
ses habitudes et sa santé. La licence des chansons
et celle des danses répondent à la corruption des
mœurs; c'est surtout dans la danse appelée \difossa
que se peint celle du peuple portugais.
A l'époque où Murphy vit le Portugal, ks sciences
y étaient négligées, surtout les sciences exactes ;
elles le sont moins aujourd'hui, et la littérature est
assez cultivée. ; . . >
Un autre voyageur, l'Allemand Linck, a visité et
décrit le Portugal vers le même temps que Murphy.
Il y était entré par Eivas, place forte, la première
ville portugaise en venant d'Espagne. Il passa direc-
tement à Lisbonne, dont il trouva les rues infes-
tées, le jour, de chiens affamés qui inquiétaient
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 189
les passans; et la nuit, de bandits qui exerçaient
leurs brigandages avec d autant plus d'impunité
qu alors les rues n'étaient pas encore éclairées. 11 vit
que le Portugais n'aime point la promenade, bien qu'il
y en ait de charmantes sur les bords du Tage. A
Lisbonne, le luxe consiste surtout dans le grand
nombre de domestiques, parmi lesquels on re-
marque beaucoup de nègres.
L'Opéra italien parait être le seul qui mérite
quelque attention. Les Portugais se plaisent autant
que les Espagnols aux combats de taureaux. L'Aca-
démie des sciences de Lisbonne se distingue par
ses mémoires et par l'érudition de ses membres.
Lisbonne, capitale du Portugal, bâtie en amphi-
théâtre sur plusieurs collines le long de la rive
droite du Tage, avec un dos plus beaux mouillages
de l'Europe, compte environ deux cent soixante
mille habitans. Oporto ou Porto, seconde ville du
Portugal, bâtie sur deux collines, non loin de l'em-
bouchure du Douro, contient soixante-dix mille
habitans. Linck , dans son ouvrage , s'est plus parti-
culièrement occupé d'objets scientifiques, surtout
de géologie. .j
Transportons-nous maintenant dans un autre
pays, sans sortir du XYlll^ siècle, et suivons le
voyageur Pilati dans l'intérieur de la Hollande.
101)
VOYAGES EN EUROPE.
,.\,'>,*,Ui- PILATI.
^l
' (1777-1779.)
l/unit'brmité que présente l'aspect des villes et
de la campagne, en Hollande, est une singularité
qu'on ne retrouve nulle part ailleurs, et qui ne
manqua point de frapper le voyageur Pilati. Les
villes ne diffèrent des villages que par la grandeur;
la construction des habitations est à peu près la
même partout. La passion pour les fleurs en Hol-
lande est poussée à rextréme; ce sont surtout les
jardiniers de Harlem que Ton cite pour ce genre
de culture.
De toutes parts la face du pays annonce l'aisance
des habitans. Les villages, très multipliés et fort
rapprochés les uns des autres, sont pour la plupart
aussi grands et infiniment plus propres que ne le
sont dans le reste de FËurope les villes du second
rang. Les maisons des paysans sont presque toutes
riantes et bien entretenues. De tous côtés l'œil se
reposeavec complaisance sur des prairies immenses,
couvertes de troupeaux de vaches, de moutons et
de chevaux.
La frugalité, l'économie , l'adresse à saisir les oc-
casions de faire un gain quelconque, et par-dessus
tout cela le bon esprit des villageois qui les porte à
ne pas sortir de leur état, sont pour eux les sources
DIX-HUITIRME SIÈCLE. 101
do cette aisance générale qui s annonce é(;alemcnt
dans l*habiilcracnt des deux sexes. • *
En Hollande on voyajje beaucoup par eau; les
Hollandais n aiment pas à voyn{][er à pied ni en
voiture. Toute la Hollande est entrecoupée de ca-
niiux dont les uns servent a transporter les homme»
et les marchandises, tandis que les autres conduis
sent les fruits, les lé(];umes, le blé, la paille et le
foin des campagnes à la ville. Les barques établies
sur les canaux et sur les rivières sont très multi-
pliées : elles se succèdent sans presque aucune in-
terruption.
Les provinces les plus exposées à la fureur de la
mer sont la Frise, la Zélande, la Hollande propre-
ment dite, et Groningue. Presque tout le terrain de
ces quatre provinces est an-dessous du niveau de
la mer, des lacs même et des rivières. En appro-
chant des côtes on se figure voir la cime des arbres
et la pointe des clochers sortir du fond des eaux.
Cette disposition du sol a obligé, comme on lésait,
d'élever en différens temps des digues prodigieuses ,
0
dont Tentretien, suivant Piiati , coûte autant à TËtat
que celui d'une armée de quarante mille hommes.
Ces digues, qu'un étranges prendrait pour des col-
lines, sont si larges, surtout dans la Zélande, que
deux voitures peuvent y marcher de front. Comme
elles ne suffiraient pas encore pour empêcher les
débordemens, les Hollandais ont imaginé diverses
102 VOYAGES EN EUROPE.
espèces de moulins ou machines pour mettre à sec
les prairies inondées par les eaux.
Les inondations et les gelées de Thiver ont en
Hollande leurs avantafjes et leurs inconvénient.
D'un côté, elles engraissent les campagnes et font
mourir les insectes; d'une autre part, elles ren-
dent le froid plus piquant. De temps en temps il
souffle des vents du sud et du sud-ouest qui échauf-
fent lairet fondent les glaces, même dans le fort
de l'hiver; mais il s'en élève des vapeurs qui for-
ment des brouillards épais et incommodes, au point
d'empêcher de voir et de respirer. C'est à ces venls
et à d'autres qui soufflent vers la fin de l'automne
et qui donnent lieu sur les côtes à tant de nau-
frages, qu'on doit attribuer la salubrité de l'air en
général, tout marécageux que soit le sol, en en
qu'ils le dessèchent un peu , et qu'ils balaient sur-
tout les vapeurs; mais en même temps la varia-
bilité des vents devient le germe de beaucoup de
fluxions et de rhumatismes , si familiers aux habl-
tans de la Hollande qu'ils semblent ne s'en inquié-
ter guère.
Pilati eut à admirer l'extrême propreté des Hol-
landais. Tous les sameclis, on lave les vitres, le
perron, le plancher de toutes les chambres, les
escaliers, les meubles de bois et de métal, comme
on lave ailleurs la vaisselle et les autres ustensiles
de table. Tous les coins de lappartement sont rem-
plis de
dehors
même,
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inquié-
ni.X>lllJITlÈME SÙCLb. lua
plis de crachoirs, les nattes sont prodiguées au
dehors. Les rues des villes* des bourgs, des villages
mônic, si Ton en excepte quelques-unes des plus
fréquentées, telles que La Haye et Auisterdani, sont
tenues dans un état de propreté extraordinaire : on
a soin de Tentretenir dans les étables rnéme, en
suspendant au pluncher avec des cordelettes la
queue des vaches pour einpùchei' qu'elle ne se sa-
lisHC. Cette propreté est portée à un tel point au
village de Broeck dans la Nord-Hollande, que les
rues de ce village, pavées de briques, sont non-seu-
lement lavées fréquemment, mais recouvertes d'un
sable blanc sur lequel on trace des figures de toutes
sortes de fleurs. Ce goût de propreté a pris son
origine dans l'air épais et humide du climat, dans
la nature marécageuse du sol. Cette humidité et
l'épaisseur de l'air ont sans doute produit le tem-
pérament flegmatique des Hollandais, auquel les
gesticulations en parlant sont aussi étrangères
qu'elles sont familières aux Italiens. Ils ont l'immo-
bilité des Orientaux en fumant leur pipe.
Cependant les gelées et raî*)ect de la glace pro-
duisent chez eux une singulière métamorphose. Ces
êtres massifs, pesans, raides et presque immobiles
pendant tout le reste de l'année, deviennent tout à
coup dispos et agiles dès que les canaux sont pris.
Les hommes de toute condition, de tout âge, cou-
rent, dansent, sautent sur ces canaux avec des pa-
XLVI. 13
194 VOYAGES EN EUROPE,
tins. C'est de cette raanière que les paysans viennent
à la ville et s'en retournent chez eux; c'est en se
livrant à cet exercice que les élégans et les dames
même, avant l'heure du dîner, cherchent à gajjner
de l'appétit. Du reste, les Hollandais sont tempé-
rans et surtout polis et hospitaliers.
Pilati déclare qu'il ne connaît point de pays où
l'âge et le mariage amènent dans le sexe tant de
variations qu'en Hollande. Les filles conservent
d'ordinaire jusqu'à dix-huit ans la blancheur de leur
teint et de vives couleurs. Le mariage amène une
prompte dégradation, qui n'est pas uniquemcnl:
l'effet du climat, mais qui tient aussi à l'usage de
l'eau chaude et à celui des chaufferettes. Dès qu'une
Hollandaise est mariée, elle renonce à tous les plai-
sirs pour se donner tout entière à son ménage : il
serait difficile d'être njeilleure mère de famille.
Les assemblées réglées dans les grandes villes
n'ont jamais lieu que pour les hommes : ils y pas-
sent le temps à fumer, à boire très modérément,
à jouer un fort petit jeu, à lire les journaux et à
parler politique. Les visites sont fort rares, excepté
parmi les parens. "''• ■ ' ^
Nous ne suivrons pas plus loin le voyageur Pilati
dans les détails qu'il donne sur la Hollande et sur
les Hollandais; nous allons porter nos regards vers
une autre contrée, dont nous n'avons pas encore
eu occasion de parler, c'est-à-dire vers la Sicile,
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Sicile ,
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 195
qui fut visitée par le voyageur Riedesel , en l'an-
née 1771.
RIEDESEL. ,, ,1 ,,o,î ;>!ïl
■ ■;' (1771.) . .• 'i Kk '(up invy^i
Ce voyageur est le premier qui nous ait fait con-
naître les vastes monumens de la Grande-Grèce,
et en particulier de la Sicile. En décrivant les ruines
des villes, des ports, des aqueducs, des temples,
des théâtres, des arapliithéàtres répandus sur tous
les points de la Sicile, Riedesel, avec le secours des
notions éparses chez quelques auteurs de l'anti-
quité, rappelle sans cesse l'ancien état de ces mo-^
numens du goût et de l'industrie des Siciliens, dans
les temps de leur antique splendeur. ■■.■. -î ?'Mà
Syracuse, qui renfermait dans ses murs trois
villes importantes bien distinctes, ne présente
presque plus de vestiges de ces édifices dont la
magnificence frappait le regard de tous les étran-
gers. De tant de temples qui décoraient cette grande
cité , il ne reste plus que quelques colonnes ; de
tant de théâtres qu'elle renfermait dans sa vaste
enceinte, il ne subsiste du plus grand, taillé dans
le roc, que la partie destinée aux spectateurs;
la scène est entièrement détruite. Tous les embel-
iissemens des trois ports, les aqueducs, les fon-
taines ont entièrement disparu. Ainsi, par une fa-
\ ,
m VOYAGES EN EUROPE.
talité inexplicable, la plus magnifique des villes de
l'ancienne Sicile est la plus déchue. '" "' '
Les ruines de Sélinus permettent de distinguer
les trois temples qu'on y avait élevés. C'est à Gir-
genti que les débris de l'ancienne Agrigente offrent
les monumens les mieux conservés. A Tauremi-
nium, aujourd'hui Tavormina, il existe encore un
ancien théâtre , avec une scène dans son intégrité.
Le voyageur a donné la description de cet édifice et
de plusieurs antiquités de la Sicile non moins im-
portantes et non moins curieuses. Il a également
fait connaître la fertilité extraordinaire de la Sicile
et le caractère moral et physique de ses habilans.
La fécondité du sexe est, dit-il, analogue à celle
des terres, outre que les Siciliennes sont très agréa-
bles et très belles. Les physionomies s'y remarquent
en assez grand nombre, surtout le long des côtes.
A la différence de Naples , Riedesel observe que la
Sicile en général offre plus de beauté chez les
femnies que chez les hommes. Il accorde à ceux-ci
beaucoup de finesse, de pénétration et de lalens;
mais un penchant irrésistible pour la volupté et
une extrême vivacité ne permettent pas aux Sici-
liens de donner à leurs productions un certain
dejf^ré de perfection.
Les observations du voyageur sur la Grande-
Grèce, et particulièrement sur la Calabre, laissent
quelque peu à désirer. Dans le canton où était située
UIX- HUITIÈME 81ÈCLË. 11)7
rancienneSybaris, dont i' r ^ste plus aucun vestige,
Riedesel éprouva les effet» de cet air épais et doux
qui plongeait ses habitans dans la mollesse, et ne
leur donnait de l'activité que pour la recherche des
plaisirs. A Tarente , il remarqua aussi beaucoup de
penchant pour la volupté, une rare beauté chez les
femmes, et une grande jalousie chez les hommes.
A Gallipoli, ville bâtie sur un rocher, et qui est
creusée en dessous, il observa que toutes les cavités
sont remplies d'huile que la chaleur du rocher fait
fermenter et dont elle opère la purification. Cette
huile est lobjet d'un commerce important. Lecce
parut à Riedesel la plus grande et la plus belle ville
du royaume, après celle de Naples: son territoire
est d'une fertilité extrême; mais ses habitans sont
très stupides.
Brindes, si célèbre du temps des Romains par
son port, où l'on s'embarquait pour la Grèce, n'a
rien conservé de son antique splendeur. Ses envi-
rons sont très fertiles, mais en été l'air de ce lieu
est réputé le plus dangereux de toute l'Italie. Dans
les environs de Cannes, où Annibal défit les Ro-
mains, les habitans montrent encore à l'étranger le
terrain appelé le champ du c.irnage, il campo del
sangue. A Bovino, situé au pied de l'Apennin, en se
rapprochant de Naples, notre voyageur éprouva,
le 6 juin , un froid aussi vif qu'à Rome en dé-
cembre.
198 VOYAGES EN EUROPE.
. La Calabre a été aussi , quinze ans après Riedesel,
visitée parrAllemand Barteis, qui a donné de cette
partie du royaume de Naples une description très
détaillée, mais qui se trouve en abrégé dans les
géographies postérieures.
Franchissons l'Adriatique, et allons sur le rivage
opposé à la Calabre chercher encore rancieniie
Grèce, eu commençant par les sept îles Ioniennes,
que Saint-Sauveur a vues en 1781. . , -^ ,,
Juii 'jvfi^K.') ;;:
''.i;.;f) i-.i
t:i) ^'
!■'{>,•»; /i;;
SAINT-SAUVEUR.
(1781.) '
Saint-Sauveur, alors consul de France à Corfou,
a donné sur les îles Ioniennes un voyage historique,
littéraire et pittoresque, auquel nous n'emprunte-
rons qu'un petit nombre de détails géographiques.
La plus considérable des sept îles est Corfou,
jadis connue sous le nom de Ccrcfre, et célèbre
surtout par la description qu'Homère en a faite
dans son Odyssée, où il lui donne le nom d'//t; des
Phéaciens. Elle a soixante lieues environ d'étendue,
avec une population de soixante mille âmes seule-
ment. Le climat de cette île est doux et extrême-
ment variable : elle est sujette aux tremblemens de
terre, mais les secousses sont modérées et causent
rarement du dommage. La mine de charbon de
terre qu'on y a récemment découverte, une mine
DIX-HUITIÈMB SIÈCLE. IDO
de soufre anciennement connue, sembleraient in-
diquer que le foyer de ces commotions est dans
l'ile raûmc; mais on a remarqué que ces secousses
étaient presque toutes de relation, ayant leur direc-
tion du nord-ouest au sud*ouest. -^ it^
Saint-Sauveur reconnaît avec d'autres voyageurs
l'insuffisance des productions de l'île pour les be-
soins de ses habitans : ils ne récoltent du blé et du
vin que pour trois ou quatre mois. C'est avec le
produit de leurs builes, dont ils fabriquent année
commune deux cent cinquante mille jarres, avec
celui de leurs salines, dont le rapport est aussi de
quelque importance, avec la dépouille enfin du
gros et du menu bétail, dont ils font des exporta-
tions pour environ une somme de 50,000 livres,
que les Corfiotes se procurent chez leurs voisins
tout ce qui leur manque. : r
L'article des huiles serait susceptible d'un ac-
croissement considérable, si les opérations de la
nature étaient secondées par l'activité de l'industrie.
Indépendamment de la pénurie de grains et de vins,
Corfou est dépourvue de bois, de prairies; et l'art
du jardinage y est très borné. Le gibier de terre y
est fort rare, le gibier d'eau et les poissons sont
plus communs. ...
Le caractère que le voyageur a reconnu aux Cor-
fiotes n'est» rien moins que flatteur, et paraît un
peu chargé. Il les dépeint comme superstitieux par
\ >
200 VOYAGES EN EUROPE,
religion, ignorans par orgueil, indigens par indo-
lence, ennemis du travail par indigence, cruels par
inclination, perfides et faux par faiblesse : il ajoute,
à la vérité, que ce peuple redeviendra ce qu'il était
autrefois, lorsqu'un gouvernement sage et éclairé
le guidera; ce qui pourrait avoir lieu sous la do-
mination britannique. Une éducation dépravée,
plutôt la nullité de toute éducation sont les causes
auxquelles le voyageur attribue en grande partie
les mauvaises qualités des Corfiotes.
Les femmes, étroitement resserrées autrefois,
étaient parvenues h jouir d'une grande portion de
liberté. Le luxe, les plaisirs de la table s'étaient in-
sensiblement introduitsâ Corfou. Cette observation
s'applique particulièrement à l'unique ville que
contienne cette île, et qui en porte le nom. Les for-
tifications en sont très considérables, et exigent
une forte garnison. Les couvens y sont très nom-
breux, et elle manque d'hôpitaux. Les processions
y sont très multipliées. La superstition exerce d'au-
tant plus son empire sur les Corfiotes, que le clergé
est de la plus profonde ignorance : il s'occupe beau-
coup de misérables peintures, dont l'objet est
d'entretenir l'aveugle dévotion du peuple. Les plus
superstitieuses pratiques se remarquent dans les
cérémonies des mariages et des funérailles.
Les îles de Paxo, de Bucintro, de Parga, de
Provosa, de Venizza, de Sainte-Maure, n'offrent
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 201
lien do plus remarquable. Celle de Provosa seule-
ment serait susceptible d'un commerce considé-
rable avec les provinces turques.
L'île de Thiaqui , connue dans l'antiquité sous le
nom à' Ithaque ou de Dulfchium, attire surtout
lattention pour avoir été le théâtre des événemens
décrits avec tant de charmes dans XOdyssëe. De
toutes parts elle est couverte de rochers dont les
intervalles, soigneusement cultivés, donnent en
i;rains d'une mauvaise qualité une quantité plus
que suffisante pour la consommation des habitans.
Le surplus fournit un article d'exportation assez
borné pour les îles de Géphalonie et de Zante. On
exporte aussi à Thiaqui cinq à six milliers pesans
de raisins de Corinthe, et un peu d'huile d'olive.
Les vins qu'on récolte suffisent aux besoins des ha-
bitans : le jardinage se réduit à une petite quantité
de légumes et de fruits.
Le gibier est rare, la pèche abondante. La vo-
laille réussit singulièrement; on élève des dindes
d'une grosseur remarquable. Les tremblemens de
terre, à Thiaqui, n'ont pas de suites plus fâcheuses
qu'à Géphalonie et à Zante , dont elle est voisine.
La population se borne à sept mille âmes répandues
dans quatre à cinq villages.
Avec la même étendue que l'île de Corfou , celle
de Céphalonie ne lui est pas comparable. Elle est
très montueuseet assez stérile; la récolte des grains
202 VOYAGES EN EUROPE,
n'y fournit que quatre ou cinq mois de substance
aux habitans. Six à sept millions pesant de raisins
de Gorinthe, des huiles en assez (grande abondance,
procurent, par l'exportation . de quoi suppléer
aux productions de première nécessité. L'ilc trouve
aussi une ressource dans une certaine quantité de
coton et de soie d'une très bonne qualité. Les vins
de liqueur et de table se consomment dans le pays,
il n'en passe chez l'étranger qu'une très petite
quantité. . w. ,:.'>-.• ... m,
, On fait à Céphalonie des liqueurs de diverses
espèces fort estimées; mais la plus gi'ande partie
de ces liqueurs, sous l'administration vénitienne,
était employée en présens, et ne formait pas une
branche d'exportation proprement dite.
A Céphalonie, comme à Corfou, l'art du jardi-
nage est encore dans l'enfance. Il faut excepter de
cette assertion la culture d'une certaine espèce de
melons d'hiver, d'une qualité supérieure à celle dec
melons de Malte : la forme en est très différente ;
ceux-ci, parfaitement ronds, sont d'un vert tirant
sur le bronze: ceux de Céphalonie sont d'une forme
ovale et d'un très beau jaune, la chair en est blan-
che. On les conserve long-temps, en les tenant
suspendus.
Le voyageur indique la manière de les cultiver;
elle suppose une industrie qui s'applique à tous les
fruits et à tous les genres de légumes. Le Céplia-
DlX-IIUlTlÈMË SIÈCLE. 203
loiiute y réussirait d'autant mieux, qu'eu général
il est très persévérant dans ses projets.
A ce caractère, il joint beaucoup de finesse et
un penchant décidé pour l'intrigue. On a toujours
reconnu chez lui une grande habitude pour les
sciences en tout genre. Il a couru, en divers temps,
la carrière des lettres avec distinction, plus d'une
fois même il a fourni à l'étranger des hommes
d'état et des militaires distingués; plus hospitalier
que les autres insulaires, il est très vindicatif. ^
L'ile de Zante, qui n'est séparée de Céphalonie
que par un canal peu considérable, n'a qu'une
étendue de quatre lieues de largeur sur six à sept
de longueur. Dans un espace si borné, elle donne
des produits considérables, surtout en raisins de
Oorinthe et en huiles. Le premier de ces produits
s'élève jusqu'à neuf à dix millions pesant.
Le voyageur expose la méthode de cultiver la
vigne qui produit ce raisin précieux , dont les grains
sans pépin n'ont que la grosseur de ceux de gro-
seille. C'est un peu avant sa maturité qu'il est
agréable à manger, parce que sa très grande dou-
ceur est corrigée par un peu d'acidité; on le donne
dans cet état aux malades. 11 se fait de ce raisin,
dans l'île de Zante, plusieurs espèces devins, soit
d'ordinaire, soit de liqueur. La plus grande partie
se consomme dans le pays, le reste est enlevé par
l'étranger : il se conserve long-temps, et on le ré-
2U'I VOYAGES EN EUROPE,
pute très stomachique. Là plus grande partie du
raisin se sèche, et en cet état il n'est pas plus gros
que des grains de poivre. 11 forme un objet d'ex-
portation très considérable.
On ne cultive pas plus de grains à Zante que
dans les autres iles; mais le produit de ces raisins
et de ces huiles lui procure abondamment tout ce
q'/i lui manque et dans ce genre et dans plusieurs
autres. Cette ile, outre des cavernes d'où il s'exhale
en grande abondance une graisse d'une odeur fé-
tide, renferme deux sources de goudron, des eaux
minérales, des salines plus que suffisantes pour la
consommation des habitans.
Elle est dépourvue de bois, et, ce qui en est la
suite ordinaire, on n'y trouve point de rivières.
Les sources d'eau douce sont très communes, mais
toutes placées entre des rochers, et trop éloignées
pour qu'on puisse les employer à l'arrosement.
L'art du jardinage est beaucoup plus avancé à Zantc
que dans les autres îles : on y est désolé par des in-
sectes, qui y sont très multipliés; le voyageur en
cite deux comme très venimeux, et dont la piqûre
est réputée mortelle si l'on n'y apporte pas un
prompt remède. L'un est une chenille dont la mar-
che est très rapide, qu'on appelle galera; l'autre
une araignée de l'espèce des maçonnes , et de la
grosseur d'une noix. Entre les lézards, il en est un
dont la blessure, dit-on, donne la mort; celle que
niX-HUlTlÈMK SIÈCLE. 20.'>
fait le scorpion n'est point morlelle, mais elle pro-
cure une fièvre violente, et on la {jiiérit avec une
herbe du pays. L'ile est très riche en plantes sa-
lubres.
La ville de Zante, située au centre de Hle cl
défendue par une forteresse, est peuplée d'environ
douze mille âmes, parmi lesquelles on compte den\
mille Juifs. I^ population totale de File s'élève à
quarante-cinq ou cinquante mille habitans.
L'ile de Céri^^o, si célèbre dans l'antiquité sous le
nom de Cythère, où l'on rendait un culte particu-
lier à Vénus, a huit lieues de longueur sur cinq h
six de larfjeur. Avec la même étendue que celle dn
Zante, elle ne lui est comparable sous aucun rap-
port. Couverte de rochers en grande partie, elle
a des produits très bornés, et ses habitons sont
peu aisés. Leurs récoltes en blé et autres grains
excèdent néanmoins les besoins de la consomma-
tion; le surplus s'exporte dr.ns les îles de Zante et
de Céphalonie. On recueille aussi à Cérigo assez
d'huile pour les besoins du pays , un peu de lin et
de coton; et à l'exception des vins d'ordinaire, que
les habitans sont obligés de tirer de la Morée et de
Candie, les Cérigotes , pour les denrées de pre-
mière nécessité, sont moins dépendans de leurs
voisins que les autres insulaires. Parmi les lé-
gumes et les fruits qu'on recueille dans l'ile, on
distingue une espèce d'.ognons très petits, mais
206 VOYAGES KN F.UROPK.
d'un iifoiU exquis, et des olives éfjaiement fort
petites et très reclierchécs. On fuit à Cérigo deux
sortes de vins de liqueur qui sont en grande répu-
tation.
Pour terminer la liste des voyages effectués pen-
dant le XVill" siècle nous irons, avec M. Pouqueville,
jeter un dernier re^^ard sur quel(|ues points de
cette Grèce antique si souvent explorée, et qui
offre toujours quelque chose à glaner sous le
double rapport de ses sites pittoresques et de ses
merveilleux souvenirs. '» ' ' • ^\^»v\' > iib ff
' |.>:,i«' • -f.' i^'-r'/ii"! !■..('' wl (,''«■ î. nui. f ù'.'i\
M. Pouqueville, envoyé depuis en qualité de
consul général de France aux mêmes lieux qu'il avait
d'abord parcourus, a eu pour but principal dans
son premier voyage, de faire connaître la Morée,
jadis célèbre sous le nom de Péloponèse; l'auteur
ne laisse rien à désirer pour la parfaite connais-
sance de cette péninsule. Nous lui devons aussi
aie description très exacte de l'Albanie, autrefois
l'Enire. "»'.'i-'ii» •- .•.•■i,« viun. i ,.'ï uni ■ ir
M. Pouqueville avait quitté la France en quai» té
de métidcin, faisant partie de la comraisr'.in <1{.'-
sciences et des arts destinée à passer en Orient. A
peine .arrivé en Egypte, sa santé affaiblie l'obligea
DlX-IUlITltMK Slf:CLE. 2U7
(le revenir en Italie. Dans la traverst'e il tut pris par
lin corsaire . conduit on i\lor(';e. On le tl< harcpin
h ^Hvarin, ou ses connaissances nu'diciu.'R Nii pro-
curèrent aii|irès (lu hey 1rs moyens dV'Xj)loit '■ In
pays et <le se procurer des notions sur 1rs liabi-
liuif. iNons présenterons le sommaire de ses re-
inaniues.
Le port c'o .Ni»varin est le plus spacieux de toute
la Mon'e . il u puis de trois lieues de prolonj][e-
ment 8<ii' ' i "ôte, et a bien une lieue de protbndeur.
Il v'-\. fermé au midi par deux éciieils, et par l'île de
Sjihakterie On y trouve trois passes, dont l'une
est la plus fréquentée, parce que les (;ros vaisseaux
peuvent y entrer. Une autre n'admet que de petites
barques. La troisième est très difficile et protéjjée
piu' un fort. Ce vaste et supiîrbe port pourrait con-
lenir les armées navales les plus nombreuses. C'est
dans son enceinte qu'en 1827 l'escidrc turque fut
dévorée par les boulets que lui lancèrent les vais-
seaux de l'amiral de Ri{^;ny et de l'amiral anglais
Codrington, chargés tous deux de proléger les
Grecs renaissant de leurs cendres, et soutenus éga-
lement par les vaisseaux russes de l'amiral Hciden.
Le Péloponèse, qui au temps du Bas- Empire
perdit ce riom pour [>n«ndpe celui de Morée , com-
jMtind l'Argolide, la Corinthie, la Laconie, la Mes-
sénie, l'Élide, l'Achaie et l'Arcadie. Parmi les golfes
de la Morée est celui de ïiépante, si fameux par la
208 VOYAGES EN EUROPE,
bataille de ce nom. Trlpolitza, principale ville de lu
Morée, est formée des débris des anciennes villes
de Mégalopolis, de Tigée , de Mantinée et de Pallan-
tium, sans être située précisément sur l'emplace-
ment d'aucune de ces villes. Tripolitza est abreuvée
par quatre fontaines bien entretenues.
La narration de M. Pouqueville conduit le lec-
teur à Patras, l'ancienne Aroë, célèbre dans l'an-
tiquité par ses édifices, tels qu'un Opéra (Odéon) et
plusieurs temples. De Patras on passe à Corinthe,
qui n'offre plus aucun vestige de son antique spien
deur. Pour monter au cliàieau bàîi sur l'emplace-
ment de l'ancienne citadelle d'Acro-Corinthe , il
faut employer environ une heure. Tlièbes, aujour-
d'hui Tliiva, montre encore quelques ruines, ainsi
qu'Argos et la fameuse Olympie. Mistra est bâtie
sur les ruines de l'ancienne Sparte, et offre de
toutes parts des vestiges précieux d'antiquité.
M. Pouqueville dépeint les Laconiens, aujour
d'hui les Maïnotes, comme des guerriers accou
tumés dès leur enfance au maniement des armes
endurcis aux fatigues, familiarisés avec les dangers
et toujours prêts à s'aller mesurer avec les Turcs
Leur courage, qui dégénère souvent en témérité
prend surtout sa force d'une connaissance parfaite
de leurs défilés et de l'amour du pillage, ou si l'on
veut de la liberté sans frein. Les femmes des Mai-
notes, non moins courageuses que les jeunes coin-
battani
sont le
des Hll
NOU!
voyage
plus d'
taie; n<
l'AIbani
habitan
jusqu'à
à ces ho
partie la
qualités
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la loi pr
L'Albî
sans par
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qu'il est
Ce peup
clavone ,
Les
grande
roce, à
montagn
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'es lieux
tanie es
XLV
,
angers.
Turcs.
mérité,
parfaite
u si l'on
es Maï-
les com-
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 20î)
battans, partagent souvent leurs dangers. Elles
sont le noodèle des mères après avoir été l'exemple
des filles.
Nous ne suivrons point M. Pouqueville dans son
voyage à Constantinople, puisque nous avons eu
plus d'une fois l'occasion de parler de cette capi-
tale; nous nous reporterons de préférence vers
l'Albanie, le pays couvert de montagnes, et dont les
habitans déploient un courage porté quelquefois
jusqu'à la férocité. Les femmes qui donnent le jour
à ces hommes extraordinaires, partagent en grande
partie la vigueur de leur organisation. Les bonnes
qualités de ces femmes n'ont cependant pas pré-
servé les Albanais d'un goût infâme désavoué par
la loi première des hommes.
L'Albanais s'abandonne à ce genre de dissolution
sans paraître soupçonner l'énormité d'un tel vice,
et c'est peut-être à cause de cette passion brutale
qu'il est si peu jaloux de la conduite des femmes.
Ce peuple conserve avec obstination la langue es-
clavone , et aime peu à parler le grec.
Les Albanais doivent incontestablement, en
grande partie, leur caractère très belliqueux et fé-
roce, à la nature de leur pays élevé et hérissé de
montagnes. La température y est sujette à des chan-
gemens brusques et fréquens , qui varient suivant
les lieux et l'aspect des vallons. Le ciel de l'Al-
banie est pur, et les grandes sécheresses y sont
XLVI. H
210 VOYAGES EN EUROPE,
aussi rares que les pluies dévastatrices. Ce pays
éprouve des hivers extrêmement rigoureux, qui
couvrent la terre de neige, et font geler les rivières
et les lacs. Mais la rigueur de cette saison n'excède
guère deux mois. La température de l'été, qui de-
vrait être insupportable dans les gorges, est tem-
pérée parles brises qui sortent des montagnes et du
fond des bois , et qui arrivent chargées des odeurs
aromatiques des coteaux.
Pour compléter ces renseignemens sur la Morée
et lieux voisins, nous emprunterons quelques dé-
tails aux Excursions en Grèce de M. Lacour, ac-
complies durant l'occupation de la Morée par l'ar-
mée française en 1832 et 1833.
Le Maïnote, vagabond et impétueux comme la
nuée qui roule le tonnerre et crève au-dessus de
sa caverneuse retraite, ou comme le torrent qui se
gonfle, écume et se précipite à ses pieds, se lève
avec les premiers rayons du jour; et déjà, dit
M. Lacour, ses regards affreux, qui \oudraient
percer les épais brouillards du matin, cherchent à
distinguer les champs qu'il a vus la veille couverts
des plus belles moissons... et son cœur bondit de
colère!... Il découvre au loin de gras pâturages et
de nombreux troupeaux, et, par un mouvement
involontaire, il porte violemment la main sur ses
armes... Il ne remarque point la distance qui le
sépare de leurs gardiens... Son œil rapide qui ie$
atteint,
à l'insti
Ente;
santé; <
aussi ei
cable, à
pond;
« VoiL
c'est dai
lui éten(
réseaux
« Attac
vils et pi
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devant t(
la beauté
mes, l'a <
l'autel...
pénétrab
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elle te sa
gneur et
«En fat
vincible
donné la
'iien... pa
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 211
atteint, s'il était cha*" de la foudre, les en aurait
à l'instant frappés
Entend- il des cris de joie? Sa lèvre est frémis-
sante; des vœux et des saintes prières?... Et lui
aussi en a adressé, mais à une divinité impla-
cable, à la vengeance! Et le génie infernal lui ré-
pond:
«Voilà ta proie, voilà ton bien... Gomme 1 aigle,
c'est dans les nues que ton front s'élève; comme
lui étends tes ailes, et qu'elles te servent de vastes
réseaux pour envelopper plus sûrement ta victime.
«Attaque, disperse, tue ces hommes encore plus
vils et plus faibles que les rouets et les fuseaux de
leurs femmes... Leur or, leurs coursiers, leur vin,
leur blé, tout t'appartient... tout!...
«Et, fier d'un plus grand trésor, fais marcher
devant toi cette jeune Messénienne dont on vante
la beauté... Sa mère, orgueilleuse de tant de char-
mes, l'a couronnée de fleurs et doit la conduire à
l'autel... Elle est à toi; qu'elle oublie dans ton im-
pénétrable demeure le trouble, l'amour qu'elle
avait dans le cœur, et qu'au retour de la lumière
elle te salue, en souriant, du doux nom de sei-
gneur et d'époux !
«Enfant du Taygète, le sang, le pur sang de l'in-
vincible Spartiate coule dans tes veines; je t'ai
donné la force et l'audace, voilà ta proie, voilà ton
bien... pars !... »
/
1.^
212 VOYAGES EN EUROPE.
Cette sombre allégorie semble être facilement
appliquée par les mœurs, les habitudes et les fré-
quentes excursions des Maïnotes. Pour long-temps
encore ils vivront dans l'état sauvage et barbare
des premiers humains; car ils sont dévorés de cette
cupidité audacieuse et féroce qui enseigne la ra-
pine, la violence et le meurtre; et jamais peut-être
les bienfaits de la civilisation ne viendront les
adoucir et les désarmer.
Il est juste de faire remarquer que leur pen-
chant au brigandage et à la piraterie résulte de la
sécheresse et de la pauvreté de leur territoire , du
peu de ressources que leur offre la culture. Privés
de toutes les ressources qu'apporte la constance
des efforts et de l'industrie, il y a souvent pour
eux nécessité absolue de recourir à des moyens
coupables pour se procurer les douceurs et les cora-
modités de la vie.
11 est juste également de dire que, lorsque l'é-
tranger aborde loyalement et sans crainte le Mai-
note, en réclamant l'hospitalité et sa protection,
rarement il a à se repentir de son abandon ; mais
si une semblable démarche est faite pour quelques
voyageurs réunis en armes, ses politesses sont
promptement accompagnées de précautions hos-
tiles qui révè'ent bientôt sa méfiance, son avarice
et ses inquiétudes. Il sert de guide, il protège dans
les limites de son Pyrgo; mais au-delà, à moins de
sacrifice
très on«
Idiome.
Les n
qu'on é
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lieu en (
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iia il faui
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M. Lac
moderne
ni comme
Elle n'a
Grèce qu
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tant beau
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deviennei
pendant
DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 2i:{
sacrifices pécuniaires qu'il ne manque pas de rendre
très onéreux, il vous souhaite le bonjour dans son
idiorae.
Les rapines, l'assassinat, le mensonge et le vol,
quon érigeait en vertus à Sparte, sont autorisés
parles Maïnotes, pourvu que les désordres aient
lieu en dehors des lieux qu'ils habitent. Les habi-
lans de cette contrée ont toujours pour maxime,
dit M. Pouqueville, l'adage du Spartiate Lysandre,
{\\xil faut tromper les enfans par les jeux, et les
hommes par des sermens. On doit , comme l'observe
avec raison M. Lacour, plaindre un peuple qui,
grand et terrible dans ses luttes pour la liberté,
est condamné, peut-être pour des siècles encore» à
être la terreur de ses voisins.
M. Lacour dit de Nauplie, capitale de la Grèce
moderne, que cette ville ne présente aucun intérêt,
ni comme antiquité, nipoar ses édifices modernes.
Elle n'a du la gloire de devenir la métropole de la
Grèce qu'aux deux forteresses redoutables qui la
protègent et à l'étendue de son port, qui a pour-
tant beaucoup perdu de son antique célébrité. Les
rues de Nauplie sont étroites, mal entretenues, et
deviennent des cloaques lorsqu'il pleut. Il y a ce-
pendant quelques maisons construites à l'euro-
péenne.
Comparée aux villes tristes, noires et délabrées
du Péloponèse, Spezzia parait up prodige. Son
214 VOYAGES EN EUROPE,
port est bon ; les maisons sont remarquables et of-
frent un coup d'œil agréable. Les Spezziotes font
un grand commerce. Leur marine est dans un état
respectable. ' . . -..i ».s.
• Hydra, vue de îa mer, est une ville encore plus
imposante que celle de Spezzia ; elle a beaucoup de
ressemblance avec Alger, sous le rapport de son
élévation pyramidale. Cependant il ne faut pas
sortir de la ville, car tout est rochers , saillies, ra-
vins et obstaeks; on marche sur un sot de fer,
tandis qu'Alger est sur le sol le plus riant et le plus
fertile de l'Afrique.
Ce qu'on doit le plus admirer dans cette ville,,
c'est le sentiment qui lui donna naissance. On ad-
mire l'énergie d'un peuple qui , choisissant une lo-
calité inculte, d'un accès difficile et d'une nature
sauvage, osa appeler la misère au secours de la li-
berté; on assiste, en entrant dans ces mur», à la
renaissance de la Grèce. Des rocs stériles, pas une
source pour désaltérer un être vivant, pas un
champ, pas un arbre; tout cela n*a point empêché
Hydra de devenir par la liberté une ville riche et
florissante, peuplée aiijourd'hui de seize mille ha-
bitans, et qui pourrait en recevoir cinquante mille.
Elle a de belles églises dont l'une possède un lustre
d'or massif.
Rien ne répond mieux à l'idée que l'on voudrait
donne" d'Athènes , que le passage de Cicéron cité
t of-
font
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plus
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Hydra, vue <!e !» rrifi', est ui?*' ^JUe rricof»» y»?u«
imptxsante que cellf <If' Spez^ils» ; e)lp a hcaoroup ^t;-
ressemblaiiec avec Aljîet*, sous L* rapport de stv»
tl*Vc»fitm pyi-ni/n ^p^udafit il nrf' tant p.i
Ur ^orlfOns, saillit'H, r.
ifi ■ ■ )»f» so! «îrt f-Vi
.. 1 .■ 4^.H< raui cl lu pin-
Ce t^wm -iju s*» |i#m »r/l&ïinT dans cette viilr
c'e*t îe ^cninnent qni lui donna )»Hi«*sanc<\ (>ri :m-
mire rnnoqjio d'un {)OUple qui, choisissant viw l.
CalJté incnho, d'un acc«>s diPHcilc ot d'unt; natii'^
s?nivageV osa ap{>»^ler la fnist'ff «« secours de U U
hitvté: on assiste» en entruiit dans, ces tiiiir*, ii ';
renaissance di*. l« (irèn<». Dm roon «tériles, pasu< •
««ifi'fC!»* f**»r^ '•l^'''^l*éN ■ . : -, . vivant, pas *•■
rli^M , ^ - louî cela ïia point cmpé»},
fî^iwi <H^ -V^-^>#iVfiôi? fe id>ert«î «i^ ville riche .»
florisMTjte, |>4*U|jl*« ati|ott«Hrhui de seiaty? mille 1*
bitans, et qui pourrait nn r-^j^îcvoir cinquoin" tnil!
Elle a de belles églises dont 1 une possède un iusî»^
d'or massii'. v
Hien ne r*'pond mieux à. l'idée que i'onvo<idri
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par M. r
dans cet
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I)I\-H(;ITIÈMK SifCCLE. 21A
par M. Pouqueviile. « Quelque part qu'on marche
dans cette ville célèbre, on ne peut y faire un pas
sans se rappeler le souvenir de ses (jranUs hommes,
et sans rencontrer des monumcns de Thistoire. Les
jardins de l'Académie sont pleins de la suavité de
Platon. La Tribune aux harang^ues et le Pnyx rap-
pellent les plus célèbres orateurs do la Grèce. On
croit en parcourant les bords de la mer, entendre
la voix de Démosthène qui apprenait à vaincre le
bruit tumultueux des assemblées, en surmontant
celui des Hots. »
L'étendue d'Athènes, d'après les traditions con-
servées, n'offre pas la quatrième partie de ce qu'elle
était anciennement. L'Acropole, comme citadelle
et comme sanctuaire, a de tout temps renfermé et
protégé tout ce qu'Athènes savante , riche, religieuse
<'t guerrière possédait de plus précieux; et comme
modèle d'architecture, elle a conservé presque en-
tièrement debout le Parthénon, majestueux édifice
encore plein de la divinité à laquelle il fut con-
sacré. La lanterne de Démosthènes est aussi un mo-
nument remarquable; il est en marbre et enrichi
(le précieux ornemens. ■ ' ' ' ' : '
L'illissus ou Uyssus coule, quand il reçoit de l'eau,
à peu de distance du temple de Jupiter Olympien,
qui fut construit dans la partie orientale d'Athènes.
Ce torrent est à sec huit mois de l'année. La fontaine
Callirrhoé ne verse plus qu'un petit filet d'eau.
* I
210 VOYAGES EN EUROPE.
Entrons maintenant dans le Xix" siècle , dont les
trente-cinq premières années ont produit un si
(rrand nombre de voyages. I^es XLIV* et XLV
volumes de notre liibliothèqae universelle ont déjà
fait connaître quelques-uns de ces voyages; l'es-
pace nous manquerait pour en rapporter ici d'au-
tres avec une certaine étendue; nous ne pouvons
plus offrir qu'une analyse.
i.'\i> i
DIX-NEUVlÉME SIÈCLE.
Parmi les voyageurs qui ont exploré diverses
contrées de l'Europe, au commencement du xix'
siècle, on peut citer d'abord Acerbi, pour ses
explorations en Danemark , mais que nous ne de-
vons point examiner, puisque déjà nous avons eu
occasion de parler de ce pays. Viennent ensuite
Boisjolin, qui visita l'ile de Malte, vers l'an 1800;
Echasseriaux , qui parcourut le Valais, en 1806;
Mangourit, qui vit le Hanovre et Vienne en Au-
triche en 1805; Saint-Constant, qui vit Londres en
1804; Hooker, qui décrivit l'Islande en 1809 ; M. de
Laborde, qui en 1808 commença la publication de
son Foyage Pittoresque en Espagne ; et M. Marcel
de Serres, qui en 1809 et 1810, accomplit son
voyage dans l'empire d'Autriche. La relation de
M. de Labordo ferait double emploi avec les dé-
tails que nous avons précédemment donnés siii !a
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 117
péninsule ibérique; nous nous occuperons donc de
. préférence, avec M. Marcel , do rAutriche, pays sur
lequel notre collection n a jusqu'ici offert que quel-
ques traits épars et fu{^itlfs.
I f
MARCEL DE SERRES.
(1809-1810.)
Le Voyage en Autriche de M. Marcel de Serres,
dont la publication fut long-temps retardée par
leffet des circonstances politiques , se compose de
quatre volumes in-8". Nous n'extrairons de cet ou-
vrage que ce qui a rapport aux considérations gé-
nérales sur le pays et sur les habitans.
L'Autriche est, par sa position géographique ^
dans les conditions les plus Favorables pour l'ac-
croissement de sa population et le progrès de l'a-
griculture. Sa superficie dépasse trente-cinq mille
cinq cents lieues carrées, dont la Hongrie occupe
presque la moitié , la Gallicie un neuvième , la
Bohème un dixième, et la Transylvanie un onzième.
Les autres provinces sont plus faibles. La popula-
tion de tout l'empire autrichien dépassait en 1809
vingt millions d'habitans, et elle approche aujour-
d'hui de trente millions.
L'Autriche est, après la Russie, une des contrées
de l'Europe où se trouve le plus de peuples dif-
-*■*
218 VOYAGES EN EIIIIOPE.
férens. La plupart de ces peuples ou de ces races
ont encore conservé leur langage, leurs mceurs,
leurs habitudes et presque toutes leurs coutumes;
ils ne forment point un tout bien uni, parce que
leur agglomération n'est pas encore très ancienne.
On peut ranger ces peuples en huit classes prin-
cipales.
La première classe, qui n'est point la plus nom-
breuse, ainsi qu'on pourrait le croire, se compose
d'Allemands. L'Autriche proprement dite est la
seule province entièrement peuplée d'Allemands;
cette nation est aussi très répandue dans la Styrie
et la Carinthie. En Bohème il y a peu de vrais
Allemands ; on ne les trouve guère en masse que
dans les cantons des cercles qui avoisinent la Saxe,
la Silésie et la Bavière. En Moravie, ils occupent
les conlins de l'Autriche et de la Silésie, ainsi que
les districts de Zuaïm et de Briinn. La Transyl-
vanie nourrit aussi beaucoup d'Allemands, quoi-
que leur nombre soit bien inférieur à celui des
indigènes. En Gallicie on ne trouve guère d'Alle-
mands que dans quelques villages.
La plus nombreuse de toutes les races qui ha-
bitent l'Autriche est l'esclavone, peu connue au-
jourd'hui sous ce nom, à causede l'immense étendue
qu'elle habite et de la diversité du langage- qu'elle
parle. On doit regarder comme provenant de cette
souche primitive, les Tscheks, les Slowaques, les
fr'
DIX-NEUVIEME SIECLE. il»
llaunaques , les Polonais , les Windes , les Croates
et les Rasciens. Il est encore d'autres peuples qui
tirent leur origine de la nation esclavone, tels que
les Lusatiéns, les Carnioliens, les Wippaques, les
Tschistsches, les Kraschauzes, les Morlaques, les
Bosniques, les Dalraates, les Istriens et les Russes:
mais ces derniers peuples n'appartenant pas à l'Au-
triche, il n'y a pas lieu de les examiner ici. Les
Slowaques habitent principalement la Moravie. Les
Hannaques y sont aussi en assez grand nombre.
Les Polonais peuplent la Gallicie. Les Croates, ori-
jjinaires de la Bosnie, habitent su!*tout la Croatie
et plusieurs comtés de la Hongrie.
Quant aux Hongrois, ils sont, après les Slaves
et les Allemands, la race la plus répandue dans la
monarchie autrichienne. Ils conservent encore
beaucoup de traces de leurs anciennes mœurs. En
général ils sont peu instruits et peu portés au com-
merce. Les Allemands, au contraire, ainsi que les
Esclavons, aiment tous les genres de spéculation ,
comme le commerce de détail. La Hongrie compte
aussi les Czingares , race encore nomade ou plutôt
vagabonde, répandue également dans la Bukowine,
la Gallicie et la Transylvanie. Il paraît que c'est à
tort qu'on leur a donné le nom de Bohémiens et
d'Egyptiens, parce qu'on a faussement supposé
qails étaient les descendans des anciens vagabonds
d'Egypte chassés au commencement du XVl" siècle
220 VOYAGES EN EUROPE.
par le sultan Sélim, lorsqu'il eut conquis cette
province.
Les Juifs sont répandus en (j^rand nombre dans
les diverses provinces de l'empire autrichien , à
l'exception cependant de la Slyrie» de la Carinthie
et de la Haute-Autriche : c'est en Bohême , en Mo-
ravie, en Hongrie et en Gallicie qu'on en voit le
plus. On trouve aussi en Moravie une petite co-
lonie française que l'empereur François l" y avait
fait venir de la Lorraine.
Les Arméniens font également partie de la popu-
lation de l'Autriche; il en existe plus de onze cents
familles dans la Transylvanie.
La réunion de tant de peuples divers dans
une même monarchie amène nécessairement une
grande diversité dans le langage, les habitudes ei
la manière de se vêtir. Rien n'est plus varié que
les costumes de ces différentes nations, et peut-être
n'est-il point de pays , à l'exception de la Russie , où
l'on trouve plus d'idiomes différens. On y parle les
dialectes autrichien , souabe et saxon de l'alle-
mand, ainsi que plusieurs autres moins importans;
l'illyrien, qui est un mélange du slave avec le grec
et le turc, autant de dialectes slaves qu'il y a de
races de cette nation; le hongrois, un latin cor-
rompu, qui est fort usité parmi les nobles et les
bourgeois de la Hongrie; enfin une multitude de
patois, la plupart dérivés de l'italien.
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DlX-NEUVIÉME SIÈCLE. 22t
Oomme dans la plupart des conlrées de rEuropc.
l'Autriche ne présente point de plateaux un peu
élevés et d'une certaine étendue; on n'y voit que
des plaines assez basses , ou de grandes chaînes dont
la pente est presque toujours escarpée. C'est donc
à la hauteur et aux irrégularités du terrain que
sont dues les variations de la température et le peu
de fertilité du sol dont le défrichement est en gé-
néral très pénible. Ainsi les vallées de la Haute-
Autriche, de la Styrie, de la Carinthie, et même di'
la Bohême, éprouvent alternativement des froids
excessifs et des chaleurs extrêmes, mais à la vérité
de peu de durée.
La monarchie autrichienne est hérissée de tous
côtés par des montagnes nombreuses dont plusieurs
atteignent une élévation considérable. Cependant
cet empire n'offre qu'une seule grande chauie qui
le ceint entièrement vers le nord, et y forme une
barrière insurmontable. Ces monts nombreux dont
l'Autriche est couverte attirent les eaux de l'atmo-
sphère et donnent naissance à des rivières et à des
fleuves considéraulcs. Le roi des fleuves de l'Europe,
le Danube, qui prend sa source dans la Forêt-Noire,
sur le territoire du royaume deWurtemberg, entre
au-dessous de Passau, sur le territoire de l'Autriche,
pour aller ensuite déboucher dans la mer Noire,
après avoir reçu quatre-vingt-seize rivières, dans
son cours, que nous avons fixé à cinq cent soixante-
222 VOYAGES EN EUROPE,
dix lieues. Le second des fleuves de l'Autriche est
l'Elbe, qui descend les monta^jnes des Géans, entre
la Silésie et la Bohéoie, et qui va déboucher près
de Hambourg, dans la mer du Nord. Il y a aussi la
Vistule et le Dniester ou Borysthène qui descen-
dent des monts Carpathes.
Jetons maintenant un coup d'œil rapide sur cha-
cune des provinces autrichiennes et sur leurs ha-
bitans. ;, i
Parmi les provinces septentrionales, la Hongrie
est une vaste plaine sablonneuse, dont le sol est
tantôt d'une extrême fertilité, et tantôt de la sté-
rilité la plus absolue, suivant la nature desalluvions
qui l'ont recouverte. Formée en grande partie , dit
M. Marcel de Serres, par des terrains de transport,
cette contrée est presque entièrement composée
des sables et des limons que le Danube et la Theiss
y ont apportés: ce n'est que vers l'est et le nord
qu'on voit le niveau du terrain changer et le sol
s'élever d'une manière bien sensible. Ce que la
Hongrie a de plus particulier ce sont les vastes eaux
salées qui recouvrent une partie de son territoire.
La Hongrie présente quelque ressemblance avec
l'Egypte, en ce qu'elle a, comme cette fameuse
contrée, des plaines sablonneuses très basses et
très étendues, et un fleuve immense qui parcourt
la plus grande partie de sor; territoire.
Aucun peuple en Europe n'a de physionomie plus
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 22;î
caractérisée que le Floiigrois, et ne tient autant ù
ses usages et à ses privilèges. Bien qu'une partie de
ce peuple soit encore retenue sous le joug féodal ,
il est toujours prêt à se révolter chaque fois qu'on
essaie d'ébranler ses institutions. C'est à ce même
régime qu'on doit attribuer sa soumission et son
penchant à flatter les nobles et les grands seigneurs.
Le Hongrois, naturellement fier, aime la guerre et
les aventures chevaleresques ; il ombrage ses lèvres
par de longues et noires moustaches, qui donnent
à sa figure un air plus belliqueux. En général, d'une
taille svelte et élevée, il est plus vif que spirituel; il
a le teint basané et les yeux d'un noir foncé. Il parle
une langue particulière qui se rapproche assez du
finois. Obligé souvent de passer les jours et les
nuits en plein air, sur un sol tantôt humide et
tantôt couvert de bruyères arides , il se garantit du
froid et de l'humidité en se revêtant d'une pelisse
de peau de mouton , sous laquelle il porte une che-
mise et un pantalon d'un tissu grossier.
Ce que nous venons de dire ne doit s'entendre
que du peuple; car, ainsi que partout ailleurs, les
riches et les nobles se procurent toutes les aisances
que la fortune peut donner. Le noble hongrois se
distingue de la classe du peupîe par le sabre, qu'il
porte sans cesse avec lui; il ne le quitte pas même
lorsqu'il conduit la char* îie et qu'il cultive de ses
niains le patrimoine de ses pères. On le voit éga-
224 VOYAGES EN EUROPE.
lemcnt presque toujours en bottes et en pantalon :
par un goût aussi bizarre que singulier, il en porte
souvent plusieurs , afin d'arrondir ses formes et de
donner à ses contours que' |ue chose de moins
prononcé.
En Hongrie on distingue aussi les Gzingares,
que déjà nous avons eu occasion de citer; peuple
nomade et sauvage, conservant depuis long-temps
sa physionomie et ses habitudes; peuple fier, quoi-
que pauvre, ne voulant jamais contructer d'alliance
avec aucune autre race, quels que soient les avan-
tages qu'ils pourraient en tirer; peuple enfin pré-
sentant l'image de la saleté la plus dégoûtante, et
une couleur basanée de la peau qui rend cette sa-
leté encore plus hideuse. Généralement maigres et
agiles, les Czingares se montrent adroits dans tons
les exercices qui exigent de la force et de la sou-
plesse. Leur physionomie est sauvage; leurs sour-
cils arqués, du noir le plus foncé, donnent à leurs
traits une rudesse toute particulière. Ils portent
leurs cheveux très épais; et comme ils ont l'habi-
tude de les dresser au-dessus de leur front, leur
aspect a quelque chose de repoussant.
Si de la Hongrie on tourne ses regards à Test,
vers la Transylvanie, on voit le sol s'élever d'une
manière sensible et les montagnes se rapprocher
de plus en plus; la Marosh baigne une portion de
ce territoire; la partie élevée se couvre de forêts,
DIX-NEUVÏÈME SIÈCLE. 225
et l'ensemble du pays prend un aspect de plus en
plus imposant. Les peuples qui habilent cette con-
trée se ressentent autant de la nature sauvage du
pays que de leur origine : on croit qu'ils descen-
dent des Wallaques. Voisins de la Turquie, leurs
mœurs se rapprochent déjà beaucoup de celles des
Turcs. IViéfians, vindicatifs et paresseux, ils n'ont
de l'antipathie que pour les autres peuples; ils igno-
rent les arts les plus simples, et sont peu portés à
la culture des terres; on peut les regarder comme
une des nations de l'Europe dont la civilisation a
été la plus retardée. Sans activité, sans industrie,
ils passent nonchalamment leur vie à garder leurs
troupeaux. On les vo»* plongés dans tous les vices
qu'engendre l'oisiveté, contraste frappant avec
l'activité des Saxons, auxquels \r commerce et
l'industrie procurent l'aisance nécessaire au bon-
heur.
Versle même côté orientalde l'Autriche on trouve
la Buivowine, dont le sol est entrecoupé de monta-
gnes assez étenduci'. et d'une assez grande élévation.
Ces montagnes, qui sont des ramifica'ions des Car-
pathes, forment les frontières naturelles de la Tran-
sylvanie, sauf quelques plaines, d'ailleurs fertilisées
par des eaux abondantes. Les habitans de cette
contrée nous rappellent les mœurs des anciens pa-
triarches, soit par la sobriété, soit par leur manière
de vivre. Uniquement occupés du Si.'n de leurs
XLVI. iS
226 VOYAGES EN EUROPE,
bestiaux, ils mènent une vie purement nomade, et
n'ont point en général d'habitations fixes; sembla-
bles aux Tartares, avec lesquels ils ont quelque
analo{;ie, ils transportent leur demeure ambulante
dans d'autres contrées lorsqu'ils ont épuisé les nk-
turages du canton où ils vivaient. Il leur arrive
souvent de quitter l'Autriche pour passer dans la
Moldavie, car tous les pays sont indiFférens à un
peuple pasteur; sa patrie se trouve partout où la
nature lui présente les moyens de fournir sans
peine aux légers besoins de son existence.
La Galîicie, autre province orientale de l'Autriche,
nest guère qu'une immense plaine sablonneuse,
située au nord et au pied des monts Garpalhes, qui
séparent la Galîicie de la Hongrie et de la Transyl-
vanie. Des collines peu élevées et quelquefois d'une
assez grande fertilité y varient le sol à l'inBni; mais
ce sol ne s'améliore véritablement que près des
bords de la Vistule; les récoltes sont très abon-
dantes. Les habitans de la Galîicie sont générale-
ment bergers ou agriculteurs. Vifs et spirituels,
comme les Polonais, avec lesquels ils ne formaient
autrefois qu'un même corps de nation , ils sont une
des branches la plus intéressante de cette nation
slave si répandue en Europe. Une tète large, des
pommettes très écartées, un nez retroussé, des
lèvres épaisses, et un corps robuste et fort les ca-
ractérisent. On trouve aussi parmi eux les Gorales^
peuple
lonais.
Parn
la Silés
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 227
peuple qui rappelle les Sai mates, ancêtres des Po-
lonais.
Parmi les provinces du nord de i Autriche figure
la Silésie, séparée par dcii chaînes élevées de la
Hongrie et de la Moravie. Cette province, entre-
coupée de montagnes, est sillonnée par des rivières
qui en fécondent le territoire. Les habitans n'of-
frent rien de particulier.
La Bohême est couverte d'un grand nombre de
monts élevés qui hérissent presque entièrement son
vaste territoire ; c'est surtout vers le nord et à l'ouest
que l'élévation du sol devient considérable; presque
tout le royaume est borné dans cette direction par
les monts Sudètes. Les habitans de la Bohême sont
industrieux et ont beaucoup de fabriques; ils ex
ploitcnt les mines et les forêts; mais peu encou-
ragés par le gouvernement et appesantis sous le
joug impérial , ils sont quelque peu apathiques et
entretiennent beaucoup de mendians et de vaga-
bonds.
Parmi les provinces du centre de l'Autriche , la
Moravie est une des plus industrieuses et des
plus fertiles. Le terrain s'y élève par degrés à
partir des confins de la Basse-Autriche, et des
montagnes assez hauter^ en couvrent la partie la
plus septentrionale. Ces montagnes sont des ra-
mifications de la chaîne des Sudètes ou de celle
*les Carpathes. La température change avec cette
:228 VOYAGES EN EUROPE,
élévation du sol, et la vigne, dont la verdure tapisse
les rians coteaux de la Moravie méridionale, ne
prospère plus sur les collines élevées des cercles
situés vers le nord. Ainsi le sud de cette province
est favorable à presque tous les genres de culture,
et son sol varié offre Timagc de lu fécondité de
celui de la Basse-Autriche. Cette bonté du sol con-
tribue à raccroissement de la population. Les Mo-
raves sont en général courageux et vifs. Plus rusés
que les habitans de l'Autriche proprement dite, ils
ont également plus d'activité. A la vérité, on ne
retrouve plus chez eux celte simplicité de mœurs
et cette bonhomie qui caractérisent l'Autrichien.
Si de la Moravie on vient dans l'Autriche propre,
on trouve la vallée du Danube, considérée comme
le jardin de l'Allemagne; elle réunit le sol le plus
fertile à l'aspect le plus pittoresque. Cependant
quoique la haute et Basse-Autriche offrent un ta-
bleau si riant, le peuple y est grave, sérieux; et la
prodigalité des dons du sol le rend en quelque sorte
indolent et paresseux : une lenteur extrême carac-
térise ses moindres actions. Ces légers défauts sont
compensés par une grande loyauté, une sincérité
sans bornes et une probité à toute épreuve. Les
habitans de Vienne conservent en partie ce carac-
tère, atténué seulement par les vices inséparables
des réusions nombreuses.
En ^'éloignant de la Basse-Autriche , et portant
DIX-NEUVIEME SIÈCLK. JW
ses regards vers le sud, on voit, dit M. Marcel de
Serres, la nature prendre un caractère plus grand
et plus pittoresque. Des torrens impétueux rem-
placent les rivières au cours paisible; au lieu de
rians coteaux et de gras pâturages, on ne voit plus
que des rochers souvent dépouillés de verdure et
des forêts épaisses, retraite ordinaire des animaux
farouches. La nature devient de plus en plus sauvage
jusqu'aux montagnes du nord de la Styrie et de la
Carinthie ; des plaines de neiges couvrent toutes
les hauteurs, Tif et le sapin sont les seuls arbres
qui élèvent leurs troncs monotones sur ces cimes
battues par les tempêtes. Les habilans de ces con-
trées, sans cesse obligés de lutter contre un climat
rigoureux, sont t.'mples, hospitaliers et religieux,
lis veulent être traités avec confiance; avec eux
on ne doit jamais laisser rien percer dans son air
qui sente la supériorité. Satisfaits de leur sort et
bornés dans leurs désirs , par la douceur on obtient
tout d'eux ; mais la violence les révolte, la méfiance
les indigne et paralyse leurs bonnes et généreuses
intentions. Ils ne veulent passer ni pour meilleurs
ni pour plus mauvais qu'ils ne sont réellement.
Leur langue est mâle et rude, et l'écho qui la répète
sert souvent de signe de ralliement au voyageur
é{»aré ou à l'infortuné que la pente rapide des mon-
tagnes n'expose que trop à des chutes dangereuses.
Si de la Styrie on avance plus au raidi vers l'A-
230 VOYAGttS EN EtHOPE.
driatique, le pays change d'aspect de luéme que lu
physlononiie des peuples, l^ terre est plus fleurie,
les montagnes ne vous entourent plus; au lieu d'une
langue rude et dure, lair retentit des sons mélo-
dieux d'un idiome plus doux; l'hospitalité des mon-
tagnes est remplacée par l'activité avide du com-
merçant. Ainsi, l'habitant de la Basse-Styrie et de
la Carniole , comparé à celui de la Haute-Styrie et
de la Carinthie, présente autant de différence qu'il
y e 1 a entre une plaine riante et les vallons toujours
rétrécis des montagnes.
A ces considérations sur les provinces et les
peuples de l'empire autrichien , ajoutons quelques
mots sur les Allemands en général. Us ont, surtout
en Autriche, une sincérité et une fidélité à toute
épreuve. Ils doivent autant ces bonnes qualités à
leurs institutions qu'à la b3nté de leur cœur. Leur
caractère paisible, leurs longs hivers où les fa-
milles se rassemblent dans des pièces d'une chaleur
insupportable, tout les porte à des idées d'ordre et
d'union dont ils ne°se départent jamais. Us aiment
le travail, ils ont un penchant naturel à réfléchir
sur tout, et ils conservent des sentimens très reli-
gieux. La lenteur qu'ils mettent dans toutes leurs
actions et rimporta#ice qu'ils y attachent, contri-
buent à perpétuer ,armi eux ces idées d'honi:'''teté
et d'hospitalité quils n'oublient jamais soit envers
leurs compatriote»-, soit à l'égard de l'étranger : la
DlX-NËUVlÉMË SIÈCLE. Ml
bière qu'ils boivent auprès de leurs poêles énorn[)es,
en fumant leurs pipes, contribue pour beaucoup
à diminuer leur activité et à les rendre lourds. Les
Allemands sont très révérentieux, et tiennent beau-
coup aux titres de noblesse. Ils aiment aussi la mu-
sique, et sont eux-mêmes bons musiciens. Ils se
distinguent dans les arts mécaniques, dans les
sciences, et surtout dans les ouvra^js d'érudition.
En résumé, les Allemands sont (généralement sé-
rieux et g;raves : leur gaité , lorsqu'ils en ont, ce qui
du reste n'est pas commun , tient plutôt au carac-
tère qu'à la tournure de leur esprit : ils sont gais
comme ils sont honnêtes, pour la satisfaction de
leur propre conscience, et souvent aussi , comme
le remarque M. Marcel, dont nous empruntons les
paroles, par une suite de la paix de l'àme, partage
des êtres bons et simples. Les saillies leur sont
presque inconnues, soit que leur esprit s'y refuse,
soit que leur langue s'y prête ]j>l'u. En France, les
bons mots sont, pour ainsi due, une chose vulgaire;
en Allemagne, on n'aninw i^tuuais la conversation:
aussi y est-elle bien moitis agréable qu'en France;
n'y roulant jamais S4»r des matières aussi variées.
Les Allemands disserteiit plus qu'ils ne causent. Ils
portent dans la conversation la science qui est bonne
dans les livres, «rtant aussi t3ut le contraire de ces
Français qui Biettent souvent dans leurs livres ce
qui convient au plus à la conversation. C'est à ce
231 VOYAGES EN EUROPE.
déFaut de tact qu'il faut attribuer la monotonie qui
disparait dans la familiarité de leur intérieur. Lors-
qu'on est assez heureux pour être admis dans l'in-
timité des familles, on y trouve un charme que
l'étranger ne peut jamais éprouver, parce qu'il ne
voit les Allemands que dans des circonstances où
leur timidité naturelle et leur respect pour les usages
paralysent la plus grande partie de leurs moyens.
En les voyant dans l'intimité, on peut apprécier
toute la bonté de leur cœur ainsi que l'étendue de
leur instruction. Dans le monde les Allemands pa-
raîtront ennuyeux, parce que leur esprit a besoin
d'être tout-à-Faità son aise pour prendre son essor,
et qu'ils manquent généralement de ces grâces et
de ce vernis de politesse qui nous trompent sou-
vent en France sur le mérite des individus.
Quant aux femmes, elles ont en Allemagne peut-
être plus d'esprit que les hommes; leur lact et leur
délicatesse les met, comme partout ailleurs, bientôt
d'accord avec les mœurs de l'étranger. Générale-
ment elles ont plus d'imagination que de véritable
passion, et plus d'abandon que de sentiment. Beau-
coup plus libres qu'en France jusqu'au moment où
elles se marient, elles se livrent aussi plus facile-
ment aux impressions qu'elles éprouvent. L'amour
leur paraît une vertu; en France il n'est jamais
qu'une faiblesse. A la vérité, elles n'excusent qu'une
seule passion; toutes celles qui suivent un premier
DIX-NEUVIÈMK SIÈCLE. 233
sentiment ne sont pour elles qu'un caprice coupable
ou le fruit d'une imagination pervertie. Cette ma-
nière d'envisager l'amour rend les femmes alle-
mandes capables de bien des sacrifices pour l'objet
qui a su les charmer, et elles s'abandonnent rarement
au désespoir. Elles ne peuvent dans la simplicité de
leur cœur croire qu'un homme d'honneur puisse
feindre des sentimens qu'il n'éprouve pas, et qu'il
se fasse un jeu de la plus noble de nos affections.
Dans leur intérieur, et une fois mariées, les
femmes allemandes deviennent d'excellentes mères
de famille. Elles gagnent aisément le cœur de leur
époux par la manière dont elles remplissent leurs
devoirs, surtout les Autrichiennes, qui ont peut-
être moins d'imagination et plus de mœurs que les
Allemandes en général. Dans la société les Alle-
mandes sont aussi fort agréables, quoique moins
spirituelles que les Françaises.
Sous le rapport des religions, l'empire d'Autriche
en compte un assez grand nombre, et cette diver-
sité de sectes influe nécessairement sur l'esprit
comme sur les mœurs des habitans. On peut faire
à cet égard une observation générale. Les peuples
qui habitent le sud de l'Allemagne ont une imagi-
nation plus calme et moins prompte à s'exalter que
les peuples du nord de celte contrée. Aussi voit-on
que l'esprit de cette secte y est beaucoup plus rare,
et par conséquent les disputes religieuses moins
234 VOYAGES EN EUROPE,
communes. La seule province de TAutriche où ron
ait vu des guerres de religion est en Bohême. Voi-
sine de la Saxe , du nord de la Baviè "e et de la
Prusse, cette province semble avoir reçu l'impul-
sion des habitans de ces divers royaumes; comme
ces peuples, les habitans de la Bohême se sont laissé
entraîner dans des disputes interminables sur des
matières de controverse, qui ont donné lieu à des
guerres d'autant plus terribles qu'elles avaient
armé des citoyens contre des citoyens. Telles ont
été les fameuses disputes excitées par Jean Huss et
Jérôme de Prague , qu'on peut considérer comme
les précurseurs de la réformation , de cette liberté
de penser qui plus tard a fait tant de progrès dans
le nord de l'Allemagne.
Les autres provinces ont évité les malheurs de la
Bohême , soit par une suite du caractère des habi-
tans, soit à cause de la protection modérée que les
princes d'Autriche ont donnée à la religion qu'ils
voulaient rendre dominante. De cette manière, les
princes de cet empire ont évité les malheurs causés
par le fanatisme, malheurs d'autant plus déplo-
rables qu'ils ont porté un grand nombre d'hommes
à regarder la religion comme une superstition mas-
quée. Mais des exemples aussi illustres que réeens
ont prouvé aux hommes les plus aveuglés, que la
religion était aussi nécessaire à la prospérité des em-
pires qu'au bonheur de l'homme isolé. En effet, ainsi
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 235
que Fa fort bien exprimé un des grands orateurs
du siècle, la religion peut seule raffermir la gran-
deur naissante, et consoler la grandeur qui n'est
pas.
Il serait intéressant de connaître la différence
qui existe entre l'Allemagne protestante et TAlle-
magne catholique; on peut dire seulement que
toutes les branches de l'industrie ont fait générale-
ment plus de progrès dans le nord de l'Allemagne
que dans la partie qui est restée catholique. L'agri-
culture est plus avancée dans le sud que dans le
nord. Il est vrai que la nature du sol y entre pour
beaucoup. Les habitans du nord de l'Allemagne, vi-
vant sous -an t » rigoureux et sur un sol peu pro-
ductif, ont d L ■;' .igénier pour découvrir les moyens
de s'assurer une subsistance que leur refusait une
terre ingrate. C'est en effet du nord de l'Allemagne
que sont sorties toutes les découvertes qui prou-
vent l'esprit inventif des Allemands: Kepler et Leib-
nitz virent le jour dans le nord de l'Allemagne. Les
littérateurs et les savans du nord surpassent en-
core aujourd'hui en réputation ceux du midi.
La religion catholique romaine est à la fois en
Autriche la religion du souverain et de l'État. La
plus grande partie des habitans de l'Autriche pro-
fessent cette religion. C'est probablement le grand
nombre de catholiques qui a porté pendant long-
temps les empereurs à ne tolérer que cette croyance.
236 VOYAGES EN EUROPE.
Cependant Joseph II, voulant laisser les opinions
religieuses entièrement libres, rendit un édit de
tolérance pour toutes les religions. Depuis lors, les
différentes sectes chrétiennes, le judaïsme et même
le mi) )métisrae, y sont, tolérés.
L'archevêque de Vienne est le chef du clergé civil
catholique de l'Autriche, tout comme celui de Saint-
Polten se trouve à la tête du clergé militaire. Ce
dernier a seul le droit de présenter à la nomination
de l'empereur les sujets propres à remplir les places
ecclésiastiques et militaires, comme celles des au-
môniers des régimens et des villes fortes. Les ar-
chevêques (erzbischof) et les évêques (bischof)
des différens sièges de l'empire sont tous présidens
du chapitre métropolitain. Lorsqu'un évêque ou
archevêque vient de mourir, le chapitre a le droit
ilt; proposer à la nomination de l'empereur un de
ses membres pour remplacer celui qui n'est plus.
L'empereur approuve ou annule cette nomination,
sans qu'il soit nécessaire que le pape intervienne
en aucune manière.
La population autrichienne compte à peu près
les deux tiers de catholiques. Les protestans sont
très répandus vers les frontières de la Saxe. Il y a
beaucoup d'habitans qui suivent le rite grec dans
la Hongrie, laGallicie, la Croatie et la Transylvanie.
Le nombre des luthériens est généralement moins
considérable que celui des réformés. En Bohème,
DLX-NEUVIÈME SIÈCLE. 237
les calvinistes surpassent de beaucoup le nombre
des luthériens. £n Moravie, il existe ce qu'on ap-
pelle les Frères Moraves, dont le premier établisse-
men date de l'année 1457.
Les établissemens des Frères Moraves sont en
quelque sorte les couvens des protestansv Leur culte
est un mélange de protestantisme et de luthéria-
nisme. Leurs associations, très libérales, ne sont
gênée ' par aucune espèce de vœu ; tout y est volon-
taire, cl tout cependant est en commun. Les hom-
mes et les femmes n'y sont pas plus séparés que
dans nos villes , et le mariage n'y est nullement in-
terdit. Cette association, dit M. Marcel de Serres,
présente cela de particulier, que le travail de cha-
que individu qui la compose ne lui appartient point,
mais bien à la communauté. La communauté pro-
fite de l'industrie et des talens de chacun de ses
membres, en leur donnant un traitement propor-
tionné à leur degré de mérite. Long-temps ils ont
mangé en commun; mais cette coutume s'est perdue
en grande partie, à mesure qu'ils se sont étendus.
Aujourd'hui, on voit dans ditierens Etats de l'Alle-
magne, principalement en Moravie, en Saxe et en
Prusse, des villriges entiers peuplés uniquement
par des Frères Moraves. Tous ces villages se distin-
guent par une grande propreté, ainsi que par l'ordre
et l'union qui régnent entre tous les habitans. Us
sont en général si paisibles, et tout s'y passe avec
238 VOYAGES EN EUROPE,
tant de silence, que Ton serait tenté de les croire
déserts et abandonnés. Ces communautés sont diri-
gées par des tieillards. '
Les deux sexes vivent séparés jusqu'au moment
du mariage. Avant cette époque, les hommes et les
femmes ht ent en commun , chacun de leur côté.
Dansce&' ^.andes réunions, on a cherché à établir
une égalité parfaite; jusqu'à présent on y a réussi.
Quant aux dogmes des hernhutes, ils se rappro-
chent beaucoup de ceux de la confession d'Augs-
bourg et de la doctrine de Luther. On peut dire
que la société entière est ecclésiastique : tout s'y
fait du moins au nom de la religion , et uniquement
pour elle. Une autorité invincible semble régir cette
église qui n'a point de prêtre. Le vieillard le plus
respectable de la communauté exerce les fonctions
du sacerdoce; et lorsqu'il juge qu'un homme mérite
mieux que lui d'en remplir les devoirs , il le prie
au nom de ses frères de leur parler de Dieu. Lors-
qu'on se trouve pour la première fois au milieu des
Frères Moraves, on se croirait transporté aux pre-
miers temps de l'Eglise chrétienne ; leurs mœurs
sont si pures et leur genre de vie si austère, qu'on
les prendrait tous pour autant de pieux solitaires.
Une douceur sans égale et une bonté inaltérable
les caractérisent, et, ce qui n'est pas moins extraor-
dinaire, tous à peu près au même degré.
On voit encore en Autriche un assez grand nombre
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 230
de sectes différentes : ainsi en Transylvanie il existe
plus de quarante-cinq mille unitaires ou sociniens.
Ces unitaires y jouissent des mêmes prérojjativcs
que les catholiques ou que les protestans. La plu-
part sont Hon£[rois ou Szeklers.
Quant aux juifs, ils ne sont pas en Autriche aussi
nombreux qu'on pourrait le croire; il ne s'y en
trouve guère plus de trois cent mille, qui sont
principalement répandus en Hongrie et en Gallicie.
L'instruction publique est assez avancée en Au-
triche. Les établissemens destinés à l'éducation, in-
dépendamment des écoles primaires, sont connus
sous le nom de Gymnases et de Lycées. Les gym-
nases existent dans la plupart des villes et ressem-
blent beaucoup à nos collèges. Les lycées tiennent
à la fois à l'éducation et à l'institution spéciale; on
n'en voit que dans les villes où il n'y a point d'uni-
versité. Les universités sont des établissemens spé-
ciaux pour les hautes études. Celle de Prague est
très ancienne. Les élèves de ces universités jouis-
sent d'une grande liberté dans le choix de leurs
études et dans les actes de leur vie.
Nous ne suivrons pas plus loin M. Marcel de
Serres dans ses excellentes descriptions de l'empire
d'Autriche ; il a suffi à notre plan d'avoir fait con-
naître les principaux traits de son ouvrage, notam-
ment ceux qui avaient rapport aux mœurs et cou-
tumes des habitans. Nous allons maintenant, et sans
V
240 VOYAGES EN EUROPE,
quitter pour ainsi dire le vaste territoire de lempe-
rcur germanique > faire une excursion vers les
limites orientales, au-delà de la Croatie et de la
Dalmatie; nous débarquerons aux bouches du
Cattaro, pour de là pénétrer avec le colonel Vialla
dans le pays des MonLCnégrinSi
V VIALLA.
(1810.)
Lorsque les Français , poussés par le génie con-
quérant de Napoléon , s'avancèrent jusqu'aux portes
de Castel-Nuovo en Illyrie, et de là aux bouches du
Cattaro, on entendit parler pour la première fois
du peuple Monténégrin, qui, vers la tin de 1806,
était descendu en masse de ses montagnes, à la voix
révérée de Wladika, ou prince-évéque du pays, et
que l'empereur de Russie avait attaché à sa cause.
A l'approche des colonnes françaises vers Castel-
Nuovo, dix mille Monténégrins, joints aux troupes
qui débarquèrent sur la rive de laSaturina (torrent
qui séparait alors l'Etat de Raguse des possessions
turques), tombèrent inopinément sur notre armée
et la forcèrent à la retraite jusqu'à Raguse, où elle
se rallia et repoussa l'ennemi. Les Monténégrins
dispersés regagnèrent leurs montagnes, et les Russes
se rembarquèrent précipitamment. C'est alors que
le colonel Vialla se mit en route avec un soldat
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 241
pour pénêlrcr au milieu de ces nionta{Tnards, qui
l'accueillirent avec empressement comme un en-
voyé du grand Napoléon.
La partie du territoire occupée par les Monté-
négrins est cette haute chaîne de montagnes qui
s'élendent depuis la vallée de Garba, le long de
l'Herzegowine, jusqu'aux confins du district de
Castel-Nuovo du nord au sud , et sur toute la pro-
vince de Cattaro de l'est à l'ouest. Le Monténégro
tire son nom de sa situation et de son aspect même.
Ses masses énormes, autrefois couvertes de sapins,
paraissent noires de tous les côtés et sous tous les
points; cetteteinte, d'autant plus sensible qu'il était
tombé une assez grande quantité de neige, au-
dessus de laquelle s'élevait leur cime, a dii détermi-
ner sa dénomination chez un peuple guidé par la
seule nature; on l'appelait en langue illyrienne
Czernogoreou Czernogora, mont noir ou montagne
noire: on devrait dire Monte-Nero, mais comme
les Vénitiens en s'emparant du pays traduisirent le
nom illyrien dans leur dialecte, on a dit Monté-
négro.
Ce pays est situé entre le 36® et le 37® degré de
longitude , et les 42" et 43® degrés de latitude. Il est
borné à l'est par le cadalik d'Ântivari et la Zanîe
supérieure; au midi, par les bouches du Cattaro,
depuis le Pastrowichio jusqu'à la province de l'Her-
zegowine; à l'ouest, par l'Herzegowine, comprise
XLV!. 16
242 VOYAGES EN EUROPE,
au viziriat Bosniatc, et par les montagnes supé-
rieures de l'Albanie propre : il est par conséquent
environné de trois côtés par le territoire turc, et
du quatrième par TAIbanie cx-véniiienne.
Quelques rivières» prennent leurs sources dans
cette contrée, partout entrecoupée de montagnes,
et d'une situation à peu près semblable à celle des
Alpes, mais en général d'un style plus sévère. Le
climat est bien plus doux que celui de la Suisse, et
peut se comparer à celui de la Macédoine. Le Mon-
ténégro est le seul pays de l'Europe où l'on ne voit
aucune ville, ni même aucun assemblage d'habi-
tations qu'on puisse y comparer. Les abords de ce
pays sont partout difHciles et périlleux; aucun che-
min tracé n'y conduit. 11 faut gravir plusieurs gra-
dins en amphithéâtre en allant de cavités en cavités
et en se cramponnant aux rocher^. Une fois sur la
hauteur, on a un plateau assez étendu de terres à
bruyères où paissent de nombreux troupeaux. Le
pic majestueux du Montecœlo se perd dans les
nuages et se montre couvert d'une neige éternelle.
Les maisons djs Monténégrins sont isolées et
construites grossièrement de branchages et de terre.
Elles sont couvertes d'écorces d'arbres, lesquelles
ont de vingt-cinq à trente pieds de long, et quatre
à cinq pouces de large. On pose les écorces dans
leur longueur, sur le cintre, d'où elles s'inclinent
des deux côf.és sur les murs; et, placées l'une à côté
de l'auti
des tuil
De très
à des ba
»ure , afi
sons n'o!
loyer est
en comn
Gnégui
verneur,
considéra
ordre offi
Pt grande
monts , et
iefiet le
proche. L
mer qu'ur
unes des ;
dins; néan
lables, où
pays. C'est
Les mai
•^'age, sont
"ière, en ti
'Je soin; e
flisposées
"^ont îgnon
^'•«itecture,
DIX-iNEliVlfeMK 8I^:CLK. 243
(Je luutre un recouvrement Hlternatil'', à la manière
des tuiles, elles abritent parfaitement la maison.
De très grosses pierres sont fixées de chaque côté
ù des barres de tra\er'-e qui contiennent cette toi-
ture, afin d*ëviter les secousses des vents. Ces mai-
sons n'ont, pour la plupart, qu'une pièce, dont le
loyer est nu milieu : les bétes et les gens y habitent
en commun. '•
Gnégussi, lieu de la résidence habituelle du gou-
verneur, présente le plus bel aspect; un terrain
considérable au centre de montagnes du troisième
ordre offre un vaste plan circulaire; de nombreuses
ot grandes habitations l'environnent au pied des
monts, et, s'y élevant en amphithéâtre, produisent
i'efiet le plus agréable. Cet effet disparaît à l'ap-
proche. Les maisons, qui de loin semblent ne foi*-
mer qu'un cordon continu, sont très éloignées les
unes des autres, et la plupart environnées de jar-
dins; néanmoins c'est un bourg des plus considé-
rables, où se tiennent de fréquens marchés pour le
pays. C'est le siège de l'autorité temporelle.
Les maisons, qui y sont presque toutes à un seul
étage, sont aussi toutes construites de la même ma-
nière, en très grosses pierres, taillées sans beaucoup
(le soin; elles sont couvertes de dalles brutes et
disposées sans régularité. Tout prouve que les arts
sont ignorés ou tombés en désuétude. Point d'ar-
c'iiilecture, point de règles, point d'ordre dans la
244 VOYAGES EN ELUOPE.
construction de ces maisons. Chacun y est son
propre architecte, et lorsqu'il s*agit d^unc construc-
tion de quelque importance, on a recours ù des
maçons étrangers. Les couvens, les presbytères,
sont bien bâtis; la maison du gouverneur et celles
de quelques notables sont de ce nombre ; aussi of-
Frent-elles un singulier contraste avec tout le reste.
Nulle part ailleurs que dans les temples, on ne
rencontre les traces de la sculpture; aucun genre
de décor, ni à Tintérieur, ni à l'extérieur d'aucune
habitation particulière; les meubles mêmes qu'on
voit dans quelques endroits sont très grossièrement
travaillés; et ceux qui réunissent à l'utilité quelques
formes agréables y sont apportés de La Fouille, de
Trieste, et plus souvent de Venise, par la province
de Cattaro.
L'intérieur dés maisons est couvert de nattes et
de tapis de lisières. Le feu se fait au milieu d'une
pièce spacieuse; des pierres ou des escabelles de
gros bois sont placées autour; on s'y assied en rond.
C'est là aussi que se préparent les alimens. Deux
planches suspendues à des tringles de bois servent
h placer le laitage et les viandes. Les habits sont
accrochés à des chevilles dans un angle. Quelques
coffres portatifs renferment ce que l'on a de plus
précieux.
Les Monténégrins ont pour chef civil le gouver-
neur, qui a au-dessus de lui le wladika ou prince-
DIX.NRIJVIKME SIÈCLE. 215
évoque. Celui-ci prononce en dernier ressort sur
les affaires (graves. Cependant les homicides sont
ordinairement vengés par la famille de la victime
sur celle de Taj^rcsseur, si on ne peut pas le saisir
lui-même. • -
Leg habitans du Monténégro,' considérés en gé-
néral, sont un assemblage d'hommes de la plus
haute stature et des plus heureuses formes, dans
les proportions de la belle nature. Aux traits du
visage les plus réguliers ils joignent un regard as-
suré, haut, superbe même, qui, imprimant à leur
physionomie un extérieur sévère, semble au pre-
mier coup d'œil justiBer l'opinion d'une dureté de
cœur qu'ont accréditée les journaux sur de fausses
relations; cette dureté n'est qu'apparente; ils ont
le port noble, la démarche libre, mais fière, théâ-
trale, et presque audacieuse. '•
Tous portent la moustache; elle est d'obligation ,
et le plus grand outrage qu'on puisse leur faire est
de la toucher ou d'en parler avec dédain. Us tien-
nent habituellement leurs cheveux rasés sur le
front jusqu'à la moitié de la tête, dans la directinn
d'une oreille à l'autre. «L'homme, disent-ils, doit
montrer son front à découvert, s'il n'a point à
rougir; et s'il a à rougir, il doit encore montrer
son front à découvert, pour se corriger par l'ai-
guillon de la honte. »
La plupart portent la barbe longue , ou du moins
I
2lfi VOYAGES EN EUROPE.
se rasent fort rarement. Jamais ils ne coupent leurs
ongles. .:,.,,.; ,.. r -ir*,.'.; ..-.v < -,,,. . ,. , rvA^^-:-
Ils sont remarquables surtout par la beauté de
leurs jambes. Aussi sont- ils agiles, propres à la
chasse, et en général à tous les exercices du corps.
Ils saluent de la niain comme s'ils avaient les ha-
bitudes du monde poli. Ce peuple compte environ
cinquante-trois mille habitans.
Les Monténégrins sont tous d'une grande adresse
dans le maniement de leurs armes : ils tirent
avec la plus grande justesse et à une grande portée.
On les forme de bonne heure à l'exercice de la
cible. I ! *
Leurs habits sont d'une étoffe très grossière d'un
gris blanc ou d'une couleur bleue. La casaque est à
manches larges et s'agrafe sur la poitrine. La che-
mise est sans collet. Les pantalons peuvent être
serrés ou flottans et amples. On porte pour souliers
des chaussons de peau de chèvre d'une seule pièce,
qui prennent la forme du pied. Des pistolets sont
passés dans la ceinture. Le fusil est en bandoulière.
Les hommes portent ordinairement une espèce de
havre-sac renfermant quelques vivres. Jamais aucun
Monténégrin ne fait un pas sans être muni de toutes
ses armes, et il a toujours à la bouche une pipe à
long tube.
Les Monténégrines ont de belles formes, les yeux
grands, pleins d'expression, de belles dents, une
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 247
physionomie avenante , un teint un peu basané ,
parce quelles sont assujetties aux travaux des
champs; celles qui ne quittent point la maison sont
très fraîches et très blanches. Toutes ont la poitrine
large, et l'ont fort belle. Leur abord est aisé, leur
parler agréable et insinuant; elles sont d'un naturel
très souple, comme aussi d'une force extraordi-
naire.
Leur habillement consiste en une longue et large
tunique sans manches, sur une chemise encore
plus longue à manches très larges et brodées à la
grecque. La chaussure est la même que celle des
hommes. Les filles ont pour ornement une grande
quantité de monnaies ou de médailles, et portent
une barelte de diverses couleurs.
La cérémonie du baptême est accompagnée d'une
multiplicité d'aspersions abondantes; le pope à cet
égard ne fait point grâce d'une seule goutte, et c'est
pour le nouveau -né une véritable immersion. En
plaçant les enfans dans le berceau on y met en
même temps les attributs de leur sexe. Pour les
garçons ce sont le fusil, les pistolets et le ganzard.
Les Monténégrines pendant leur grossesse n'ob-
servent aucun régime et n'interrompent aucune-
ment leurs travaux ni leurs voyages. Elles se char-
gent des mêmes fardeaux, et accouchent au milieu
des champs ou dans les bois, seules sans autre se-
cours qu'elles-mêmes, sans pousser le plus léger
248 VOYAGES EN EUROPE,
soupir ni faire entendre la moindre plainte. Après
s'être un peu remises, elles prennent l'enfant dans
leur tablier, le portent au premier ruisseau ou à la
plus proche fontaine, le lavent et l'enveloppent
dans des haillons, pour le laisser à lui-même au
bout de quatre mois d'allaitement.
Les Monténégrins ont des chiens de garde d'une
grosseur extraordinaire, et qui font un horrible
vacarme à l'aspect d'un étranger. Us ont la forme
et la férocité du loup. Malheur à l'homme qui les
aurait provoqués : c'en serait fait de lui!
Les filles des Monténégrins veillent sur leur con-
duite avec un grand soin ; car si l'une d'elles devient
enceinte c'est une calamité non-seulement pour la
famille, mais pour tout le pays. Selon le voyageur
Vialla, dont nous empruntons le récit, on fait des
prières dans les églises, on s'en entretient partout
comme d'une affaire d'Etat. La malheureuse victime
de sa faiblesse ou de son amour est impitoyablement
maltraitée, souvent même exposée à la mort. Chassée
de la maison paternelle, personne n'oserait ouver-
tement lui offrir un asile; elle est obligée d'aller se
cacher dans quelque antre, où «Ile finit par mourir
de faim, ou périt dévorée par les bêtes leroccs.
Quelquefoi elle s'expatrie; il en est aussi qui, pour
ne pas survivre à leur honte , se sont précipitées des
plus hauts rochers.
Une très belle fille de ce pays, connue sous le
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 249
nom de Nika, allait fréquemment à Cattaro, oà elle
avait contracté des liaisons avec un sergent fran-
çais; elle devint enceinte; long-temps elle cacha
son état, mais une sœur l'ayant découvert en in-
forma sa mère; ces deux femmes, subjuguées par
l'opinion, entraînent cette infortunée dans les bois,
l'attachent à un arbre, l'éventrent et lui arrachent
l'enfant palpitant!
Heureusement, dit M. Vialla, ces scènes horribles
sont très rares au Monténégro, où il y a beau-
coup de retenue parmi les femmes. On y connaît
encore la timide retenue de l'innocence; les bonnes
mœurs n'y sont pas en dérision ; aussi l'opinion pu-
blique en est-elle la règle et le prix. D'ailleurs, les
Monténégrines sont naturellement douces et d'une
ingénuité touchante; elles sont sensibles et aiment
avec constance; mais aussi sont-elles très jalouses
et capables de se porter à tous les excès pour ven-
ger l'humiliation d'un abandon coupable. En voici
un exemple: une jeune Mor*" ^grine, d'une bonne
famille, devint éprise d'un jeune compatriote; elle
céda au sentiment qui l'entraînait. L'amant, après
avoir tout obtenu, s'éloigna. L'infortunée, qui
voit approcher le terme de sa honte, le cherche;
elle emploie tout pour déterminer le séducteur à
l'épouser. Elle pleure, caresse, menace, et toujours
en vain. Enfin, indignée, elle lui dit : «M'épouses-
tu , oui ou non ? — Nous verrons. — Explique-toi sur
i
IBO VOYAGES EN EUROPE,
l'heure. — Eh bien ! je te le promets. — Quand ? — -
Dans un mois. — C'est trop tard; tu sais mon état,
huit jours te suffisent.» Le jeune homme, croyant
se débarrasser seulement de l'importunité de sa
victime, lui dit : c Eh bien ! dans huit jours. » Maria
lui présente aussitôt l'image de la Vierge : «Jure,
dit-elle, jure -If ptr" la Madone. » L'aspect de cette
image révérée, par laquelle les Monténégrins ne
jurent pas vainement, découvre l'arrière-pensée de
l'infidèle; il hésite : « Eh bien ? dit l'amante inquiète.
— Mais il faut... il faut... — Il faut jurer. — Je ne
puis. — Jures-tu? — Non. » A ce mot, la jeune fille
se précipite sur lui ; elle lui arrache son poi-
gnard , l'en frappe au cœur , et se perce elle-même
le s^'tn.
Nous venons de faire connaître la rigidité de
raœurs des filles Monténégrines; indiquons quelques
traits relatifs à leur hyménée.
Lorsqu'une jeune fille est recherchée en mariage,
le père du garçon ou quelqu'un des plus proches
parens se rend dans la maison avec laquelle il veut
foriper alliance. On lui présente les filles, ci il
choisit celle qui lui plaît, sans s'inquiéter si elle
sera du goût de celui qui doit l'épouser. Rarement
il éprouve un refus, car en ce pays on ne fait nulle
attention à l'état ni à la situation ni à la fortune de
l'époux, et il arrive souvent qu'un Monténégrin ac-
cord 3 sa fille à son fermier, même à sou serviteur.
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 351
Le mariage convenu, le futur est amené chez la
fiancée; dès qu'ils se sont vus et qu'ils ont témoigné
le moindre désir réciproque de s'unir, le mariage
est conclu sans qu'il y ait besoin de contrat, car les
Monténégrins n'ont pas de notaires, leur parole
suffit, d'autant plus que la femme n apporte jamais
en dot qu'un simple trousseau. Le prêtre bénit
l'union, après avoir confessé la jeune fille. 11 y a
un banquet et des réjouissances qui durent quel-
quefois plusieurs jouvs, pendant lesquelles l'époux
ne peut approcher de sa femme que furtivement;
on exige même qu'ils dorment tous deux séparé-
ment jusqu'à la fin de la noce.
Chez ce peuple une femme u'ose appeler en
public son mari par son nom , la première année du
mariage; elle en charge une autre personne, mais
toujours sans le nommer, se servant de l'expres-
sion : appelle celui-là. Elle s'en fait un scrupule
^lors même qu'elle est seule avec lui. De son côté
le mari observe la même réserve à l'égard de sa
femme.
Si une demande de mariage a été rejetée , il ar-
rive quelquefois que le jeune homme refusé se
rend furtivement avec quelques amis à la maison
de la fille, l'enlève bon gré, malgré, et la conduit
devant le prêtre, qui moyennant un léger salaire
les unit, nonobstant toute réclamation. Si cepen-
dant un anneau nuptial avait été donné auparavant ,
h1
252 VOYAGES EN ErROPE.
il faudrait le restituer, avant de pouvoir contractet
un nouvel engagement. r ,. <•
Il existe encore parmi les Monténégrins des al-
liances ii^.times ou fraternités darmes, qui sont
inviolables. Ces alliances se font avec un csntuin
appareil devant le prêtre, qui bénit les arru ;;î p«j.
sées en croix sur le seuil de la porte Chacnn des
deux amis y porte la uiain dcoile, tandis que la
gauche touche le cœur, et dans cette attitude ot) se
donne le baiser d'alliance , en jurant de vivre et de
mourir l'un pour l'autre. Après ce serment, les îleux
amis 1 ;v;)t i'^'change réciproque de leurs armes, et
à la mor[ de Tiiin d\;ux elles appartiennent au sur-
vivant. Vn î 1 pacte est rarement violé , il résiste à
toutes ks épreuves. Les offenses faites h l'un sont
communes à l'autre.
Les Monténégrins ont un grand respect pour les
moris. Les parens du défunt lui parlent à Toreilie,
pleurent etlui donnent des commissions pour l'autre
monde, en lui attachant au cou un morceau de
gâteau , et en lui mettant dans la main une pièce de
monnaie, à la manière des anciens Grecs. Le corps
descendu dans la terre, on donne un grand repas
mêlé de chants bachiques et de prières. Les hommes
laissent croître leur barbe en signe de deuil ; les
femmes se couvrent la tête d'un mouchoir bleu ou
noir pendant la première année du décès, si c'est
un mari ou un de leurs enfans , chaque jour do fête
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 253
elles vont pleurer et déposer des fleurs sur sa
tombe, en demandant à haute voix au défunt des
nouvelles de i'autre monde.
Nulle part là croyance aux revenans, aux -sor-
ciers, aux malins esprits, n*est plus invétérée qu'au
b'ontenegro. Les fantômes, les rêves, les prestiges,
poursuivent sans ce^se leur imagination; mais rien
n'égale la terreur que leur inspirent les cadavres
\^es individus frappés d'excommunication, et jetés
au hasard sans sépulture. Le sol qui les a reçus est
une terre maudite à jamais; ils s'en éloignent à une
grande distance; et si le lieu se présente à leur sou-
venir , ils se croient poursuivis par des revenans.
Enfin ces hommes , qui affrontent tous les périls ,
ne révent que sorciers et esprits malins; tous leurs
discours peignent la terreur dont ils sont atteints.
D'autres croient voir les ombres de leurs aïeux
planer dans les nuages et sur leur tête; ils leur
adressent la parole dans le silence et les ténèbres;
ils croient entendre leur voix; ils conversent avec
les ombres, leur donnent des commissions pour
d'autres morts; et, dans le délire de leur imagina-
tion , ils se figurent être eux-mêmes en communi-
cation ouverte avec l'autre monde.
En résumé, les Monténégrins sont hardis et in-
trépides dans les combats ; rusés, irascibles , ils sont
terribles dans leurs ressentimens. Ignorans et vains,
ils sont superstitieux dans leur religion; avides de
254 VOYAGES En EUROPK.
nouvelles, ils sont d'une crédulité stupide. Ils sont
intéressés dans les affaires , mais très exacts dans
leurs relations commerciales; bons et hospitaliers
envers les étrangers qui réclament loyalement
lasile ; fidèles à leur parole, constans en amitiés;
pleins de piété envers leurs pères et mères; très
attachés à leur patrie, et surtout jaloux à Texcès de
leur indépendance. Ce qu'il y a de plus honorable-
ment remarquable chez ce peuple, c'est la pro-
fonde vénération qu'il a pour la vieillesse. Lorsque
les jeunes gens aperçoivent un vieillard, ils pres-
sent leurs pas, s'approchent respectueusement de
lui, le baisent sur la poitrine et s'inclinent hum-
blement. Celui-ci porte la main étendue sur leur
tête , et les baise au front.
Chez les Monténégrins la vengeance se trapsmct
de père en fils, et ne s'éteint qu'après une longue
série d'attentats réciproques, et en la rachetant
quelquefois avec des sommes plus ou moins consi-
dérables. Alors une réconciliation publique a lieu;
il y a messe solennelle, les deux familles y assisf ent ;
le kmeti ou tribunal spécial, composé de vingt-
quatre vieillards , dont douze au choix de chaque
famille, se réunit; le prêtre fait jurer la paix : le
coupable ou les coupables sont à genoux; l'agres-
seur porte suspendue au coa l'arme meurtrière qui
fut l'instrument dti dernier assassinat; les dcu.:
ennemis se tendent réciproquement les bras, se
DlX-NEUVIÈMË SIÈCLE. 255
serrent Tun contre Tautre; les assistans applau'
dissent, et la réconciliation est définitivement ac-
complie.
Traversons l'Adriatique et la péninsule italique
pour nous rendre à Tile de Sardaigne, et en dire
quelques mots , à l'aide du voyage de M. M imaut.
MIMVUT.
(1820.)
L'île de Sardaigne est située dans la Méditer-
ranée, entre les 5** et 8" degrés de longitude est, et
les 38" et 42*" de latitude nord. Sa longueur du sud
au nord est d'environ cent quatre-vingt-cinq lieues
marines, de 25 au degré, et sa largeur moyenne de
quatre-vingt-deux lieues. Sa circonférev 'îe est d'en-
viron cinq cents lieues marines. Elle a .'Espagne à
l'ouest, la France au nord-ouest. Gènes au nord,
la Toscane et Rome au nord-est , Naples à l'est , la
Sicile et Malte au sud-est, Tunis au sud, et Alger
au sud-ouest.
La mer qui sépare la Sardaigne des côtes de la
Toscane s'appelle la mer Tyrrhénienne , et celle
qui en baigne la partie occidentale, la mer Sarde.
On donne le nom de Bouches- Bonîfacio au détroit
de huit milles de large qui sépare cette île de l'île
de Corse.
L'île de Sardaigne est divisée en deux parties à
25(i V;OYAGES EN EUROPE,
peu près égales; Vune au midi en face de l'Afrique,
l'autre au, nord, 8«''parée de la Corse par le détroit
de Bonifacio. La partie septentrionale est beaucoup
plus élevée que la partie méridionale. Le sol est
coupé par plusieurs chaînes de montagnes, séparées
entre elles par des vallées. Le mont Genargantu est
regardé comme le point culminant de toute Tile;
mais ces diverses hauteurs ne passeraient ailleurs
que pour des monticules ou des collines, ce qui
donne à la Sardaigne un aspect moins sauvage que
celui de la Corse, et la fait paraître de loin, en .mer,
comme une surface plane.
A très peu d'exceptions près, le sol de la Sar-
daigne est suffisamment arrosé, et compte un assez
grand nombre de rivières et de ruisseaux d'eau
vive. 11 n'est guère de monticule ou de coteau de
l'île qui n'offre une source d'eau limpide et fraîclie.
La plaine qui environne Cagliari, capitale de l'île,
est moins bien partagée, à cause de sa situation
basse au bord de la mer et de la présence des
eaux saumâtres. On compte sept rivières princi-
, pales, dont le Tirso ou fleuve d'Oristano est le
plus considérable.
La Sardaigne jouit généralement d'un climat
tempéré, et la partie septentrionale rappelle même
assez habituellement celui des plus belles contrées
de l'Italie. 11 est malheureusement altéré et déna-
turé par des vices de localité ou par la constitution
DIX-NEUVIÈME Sl.ÉCLF 267
physique du pays. Nulle part on ne voit des varia-
tions de température aussi fréquentes et aussi com-
plètes. Ces brusques transitions occasionnent de
nombreuses maladies, dont la plus fréquente est
ceWc quon nomme Viritempérie. j, ;, ,
La Sardaigne a néanmoins beaucoup de cente-
naires , ce qui prouve que la qualité de Tair et des
eaux n*est pas la seule cause qui ait arrêté le pro-
grès de la population. Elle comptait un million
deux cent mille habitans sous la domination ro-
maine , et elle était tombée au tiers de ce nombre
sous la domination espagnole. Elle n'avait qu'en-
viron trois cent vingt-sept mille âmes en 1720^
époque où la maison de Savoie en prit possession ;
et aujourd'hui elle en a environ quatre cent vingt
raille.
Cngliari , capitale de la Sardaigne , est située k
l'extrémité de la partie méridionale de cette île, au
fond d'un golfe qui porte son nom. L'aspect de
cette ville, en venant de la mer et à l'entrée du
golfe, est imposant; mais vue de près, elle est gé-
néralement laide. Elle s'élève en amphithéâtre de-
puis le port jusqu'au sommet d'une haute colline,
où se trouve placé un fort. La rade et le port sont
mis au nombre des plus spacieux et des plus sûrs
qui soient en Europe. Cagliari a quelques beaux
édifices et un grand nombre de monumens histo-
riques. Cette ville est le principal lieu d'iraporta-
XLVl. 17
258 VOYAGES KN ECHOPE.
lion et d'exporlation du commerce de la Sardaig..L>,
et ses liabitans, dont le nombre dépasse vin(];t mille,
sont plus policés que ceux des autres parties de
l'île.
Cette lie produit beaucoup de grains, de vins et
de fruits. Elle nourrit de beaux chevaux et mou-
tons, et fabrique du tabac. Elle a quelques mines
d'argent et de fer; mais sa véritable richesse miné-
ralogique est le plomb. Elle possède un grand
nombre d'espèces et de variétés de marbres. Au-
cune des îles de la Méditerranée n'est aussi riche
en quadrupèdes, et elle n'a pas une seule bétc fé-
roce. Outre les chevaux et les moulons que nou8
venons de citer, elle a des ânes, des bœufs, des
vaches, des chèvres, des cerfs, des daims, des
sangliers, et paraît posséder exclusivement laboc-
camèle, espèce de martre intermédiaire entre la
belette et l'hermine, qui aime beaucoup le miel;
d'où lui est venu son nom de boccamèle ou bouche
à miel. Nul animal ne s'apprivoise plus facilement;
la boccamèle est de la maison dès qu'elle y entre ;
on la régale de lait et de sucreries. Elle a un cri de
colère et de joie, et par une espèce de gémisse-
ment, elle avertit qu'elle veut sortir, bien diffé-
rente de la belette, qui est toujours silencieuse et
qui ne donne jamais de voix qu'on ne la frappe.
Les enfans en élèvent, et des femmes en portent
comme des bichons. La Sardaigne est également
DlX-NËllVIfilMESlfcCLfc:. 25»
riche en perdrix , en cailles et en grives ; mais c est
surtout par ses céréales qu'elle est renommée; clic
était un des greniers de la capitale du monde.
Les Sardes ont prouvé de laptitudc pour les
sciences, les lettres et les arts ; mais ils sont (géné-
ralement insoucians, paresseux et légers; ils aiment
le luxe et les fêtes; ils sont doux, pacifiques et
hospitaliers. Leur indifférence pour le travail est
un effet naturel de la chaleurs du climat et de la
fertilité du sol. Dans la vie ordinaire ils sont d'une
rare sobriété. Ils sont extrêmement difficiles sur la
qualité du pain , qu'ils veulent excellent et d'une
blancheur éclatante. La jalousie est une des causes
(les nombreux assassinats qui se commettent dans
cette île; le moindre attentat k l'honneur des femmes
et des filles est à l'instant vengé, surtout dans les
villages et dans l'intérieur des montagnes : c'est
là que les femmes se cachent encore quand vien-
nent des étrangers; elles ne se mettent point à
table avec eux. Les montagnards sardes portent la
pelisse.
De l'île de Sardaigne repassons sur le continent ,
et donnons un rapide aperçu de l'Italie, tel que
nous l'avons retracé nous-méme en 1821.
2G0 VOYAGES EN EUROPE.
ALBERT-MONTÉMONT.
(1821.)
Dans notre Voyage aux Alpes et en Italie *, nous
nous sommes appliqué à faire surtout connaître les
principales villes de Tltalie supérieure et les prin-
cipales routes des Alpes. Aucun pays n a été, peut-
être, plus souvent visité et décrit; chaque année
une multitude de touristes anglais le parcourent
dans toutes les directions. L'Italie, paradis des sens,
est encore aujourd'hui la terre classique des beaux-
arts, et la France y envoie ses jeunes peintres étu-
dier les modèles antiques. Notre Bibliothèque uni-
verselle ne pourrait contenir, même en abrégé, les
diverses relations publiées sur cette contrée tou-
jours nouvelle, sur cette patrie enchaiîîcresse de
Virgile et du Tasse, de Pétrarque et de Monti. Les
Lettres sur l'Italie par Dupaty sont justement cé-
lèbres; il en est de même de la Corinne de madame
de Staël, et d'une infinité d'autres ouvrages qui
sont dans toutes les mains; il suffit de les citer.
Plus récemment un amateur de la peinture et des
arts, M. Valéry, a décrit les richesses en ce genre;
et M. Simon, voyageur consciencieux, a aussi re-
tracé ses impressions en Italie, après avoir vu l'Hel-
vétie et l'Angleterre. M. le marquis de Forestaa donné,
' Trois voluin(>8 in-18, troisième édition. Paris, 1827.
en 182<
la Sicii
en Sieii
M. Ben
maritim
Del'ï
jues aui
une des
allons s(
précité,
indiquer
cette ter
sonnet p
L'Italie
Alpes, ai
à l'est la
deux mei
lope, ell
nord-oue
et 46 de
l'ouest à
degrés Ifl
longueur,
' f^iaggio i
1834,3 vol.
' Six volu
DIX-NEUTIÈME SIÈCLE. 261
en 1825, des lettres, qu'il avait écrites en 1805 sur
la Sicile, et M. Nervo les a complétées par un Tour
en Sicile, accompli en 1833. Un autre voyageur,
M. Bertolotti, a exploré en 1834 toute la Ligurie
maritime *.
De l'ensemble de ces divers voyages et de quel-
ques autres qui nous échappent, on pourrait tirer
une description assez complète sur l'Italie. Nous
allons seulement, d'après notre Voyage aux Alpes
précité, et notre Voyage aux cinq parties du Monde ',
indiquer quelques traits physiques et moraux de
cette terre, si bien dépeinte par Filicaja dans un
sonnet plein de sensibilité ^.
L'Italie a pour limites au nord et à l'ouest les
Alpes, au sud-ouest et au sud la Méditerranée, et
à l'est la mer Adriatique; circonscrite ainsi entre
deux mers et les plus hautes montagnes de l'Eu-
rope, elle s'étend obliquement, avec la Sicile, du
nord-ouest au sud-est , entre 36 degrés 40 minutes
et 46 degrés 40 minutes de latitude nord , et de
l'ouest à l'est, entre 3 degrés 20 minutes et 16
degrés 18 minutes de longitude est. Sa plus f^rande
longueur, des Alpes carniques à l'extrémité sud-
' fïaggio nella Liguria matittima, di Davide Bertolotti. Torino,
1834,3vol.in-8*».
' Six volumes in-18. Paris, 1823.
^ Italia ! italia ! o tu cui feo la sorte
Dono infelic»' di hollezza , etf.
262 VOYAGES EN EUROPE,
est de la Sicile, est de trois cents lieues; sa plus
grande largeur, eu égard à la Savoie qui dépend
du Piémont, est de cent quarante lieues jusqu'à
Venise ; sa moyenne largeur, de Rome à Ancône, ou
de la mer Tyrrhénienne à la mer Adriatique, varie
de trente à cinquante lieues. Sa superficie totale
est de quinze mille lieues carrée», et sa population
d'environ vingt raillions d'habitans, qui se répartit
de la manière suivante :
Italie supérieure ou septentrionale.
Royaume iombard-vénitiea 4,080,000 habitans.
Royaume sarde 4,145,000
Duché de Parme 400,000
Modène 380,000
Massa 100,000
Lucques 172,000
Toscane 1,500,000
République de Saiat-lVIarin 5,000
États romains ou de l'Église 2,360,000
Italie inférieure ou mérdionale.
Royaume des Deux-Siciles 6,800,000
19,942,000
Malte (pour mémoire) 90,000
Total 20,032,000
L'Italie , dont le climat varie considérablement
du nord au midi, mais est en général très douxt
présente des aspects extrêmement divers. Il est
inutile de parler de ses monumens anciens et nin
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 263
dcrnes, et de la fécondité de son territoire; tout
cela est trop connu. ; ,,
La chaîne des Apennins se développe comme un
long ruban sur Tltalie, depuis le col de Tende où
elle commence, jusqu'en Calabre où elle finit.
Le lac Majeur, le lac de Côme et celui de Garda,
sont les trois plus belles nappes d'eau d'Italie. Ses
principaux fleuves sont le Pô ou l'Éridan , le Tésin ,
l'Adige , l'Arno , le Tibre et le Voltiirne. Elle compte
plusieurs volcans, tels que le Vésuve et Stromboli
près de Naples, et l'Etna ou Mont-Gibel en Sicile.
Les Italiens, courbés depuis des siècles sous le
joug d'une obéissance passive et monacale, ont
contracté des habitudes superstitieuses; mais leur
inteHij^ience n'est qu'assoupie, et elle se réveille
souvent. Dans la classe éclairée on rencontre l'ur-
banité et les manières françaises. On peint les Ita-
liens comme vindicatifs et fourbes, mais la loyauté
n'est pas plus rare chez eux qu'ailleurs, et souyent
leur dissimulation est une néi^essité imposée par ^i
nature de leurs gouvernemens. Les Italieunes ont
de la grâce et delà beauté, une allure aisée, mais
les mœurs un peu relâchées, aoit à cause du climat,
soit à cause de la teneur despotique des lois du
pays. Les Italiens sont passionnés pour la musique,
et leur langue mélodieuse s'y prête admirable
mont.
9
Tous les Etats italiens sont des monarchies ab
264 VOYAGES EN EUROPE,
solues; mais il en est de très modérées, comme
en Toscane , où les sciences et les arts sont dans
une situation très florissante. 11 n'existe aucun lien
commun entre ces divers gouvernemens. Le culte
catholique est le seul toléré en Italie.
Jetons un rapide coup d'œil sur ces Etats et sur
leur capitale, en commençant par le midi.
Le royaume de Naples ou des Deux-Siciles, jadis
appelé la Grande-Grèce, doué du plus beau ciel,
serait le plus agréable de l'Europe, sans le voisinage
quelquefois dangereux du Vésuve et de l'Etna; les
montagnes qui le couvrent y tempèrent la chaleur
et alimentent de nombreuses rivières. La Sicile
propre est le grenier de l'Italie, comme elle l'était
déjà du temps des Romains, qui la nommaient
Trinacria , à cause des trois caps qui la cerminent.
Palerme en est la capitale, dans une plaine fertile
et riante, sur un golfe auquel elle a donné son
nom. Nous avons eu déjà occasion de parler de la
Sicile, nous pouvons donc nous borner ici à la
nommer en passant.
Naples , i'ancienne Parthénope , capitale du
royaume des Deux-Siciles, est une belle et grande
ville , peuplée d'environ trois cent cinquante mille
habitans; elif est située sur le bord de la Médi-
terranée. Sa magnifique rue de Tolède, ses trois
cents églises, ses trois châteaux forts, notamment
eelui de Saint-Ëlme sur une colline dominant la
DIX-NEUVIÈME SIÈGL'^. 266
cité , son port de cent milles de circuit, son
théâtre Saint-Charles, voilà des merveilles que tout
le monde connaît. '
Les Etats Romains ou de l'Eglise or ^ pour capi-
tale Rome, assise sur les deux rives du Tibre, et
prolongée avec une muraille, sur sept '^oUines prin-
cipales, qui lui donnent un circuit de cinq lieues.
L'église Saint-Pierre avec son immense coupole,
chef-d'œuvre de Michel -Ange, est le plus bel édi-
fice de l'univers. Le Vatican a de magnifiques pein-
tures et une précieuse bibliothèque.
Le Capitole est toujours debout. Rome, qui a
compté jadis prts de quatre millions d'habitans, ne
contient plui guère aujourd'hui que cent soixante
raille âmes.
Après les Etats Romains se présente la Toscane
ou l'Etrurie, pays fertile en fruits, vins, blé et
mûriers, possédant des carrières de marbres, des
raines de fer, et un gouvernement snge , qui réside
à Florence, sa capitale, assise dans une plaine fé-
condée par TArno, qui débouche dans la Méditer-
ranée. Florence, peuplée de quatre-vingts milleâmes,
a toujours son Académie délia Crusca, et sa fa-
meuse galerie de peinture.
Après la Toscane viennent les Etats sardes , com-
posés du Piémont , de l'ile de Sardaigne, de la Li-
ffurie, de Nice et de la Savoie. Us ont pour limites
au nord la Suisse vers Genève, à l'est la Lom-
2GG VOYAGES EN EUROPE,
bardie, au sud le golfe de Gènes, et à Touest la
France. Le Piémont, qui prend son nom de sa po-
sition au pied des Alpes, renferme d'excellens pâ-
turages et récolte au-delà de ses besoins ; il est ar-
rosé par le Pô, qui descend du Mont-Viso et va
déboucher au-dessous de Ferrare dans TAdriatique.
Sa capitale est Turin , la plus régulière de toutes
les villes de Tltalie ; elle est bâtie sur la rive gauche
du Pô, a ses rues tirées au cordeau, un palais clé-
gant, un superbe théâtre, de vastes places, des
boulevards, une citadelle, et cent dix mille habi-
tans. On remarque dans ses environs le chAîeau
de la Superga, le Saint-Denis des rois de Piémont.
Le pont sur le Pô est une des plus belles cons-
tructions du règne de Napoléon.
Dans la Ligurie, dont le territoire longe la Mé-
diterranée, noiTS trouvons la seconde ville du
royaume sarde, la superbe Gênes, pairie de Chris-
tophe Colomb, ci-devant capitale d'une république,
qui avait, comme Venise, un doge pour chef; elle
est bâtie en amphithéâtre au fond d'un golfe qui
offre un port excellent : c'est la ville aux palais de
marbre, la rue Neuve en <;st bordée. Masséna sou-
tint à Gênes un siège mémorable. Ses toits en ter-
rasses sont cou ertb de fleurs. Elle réunit environ
quatre-vingt mille habitans.
Le royaume lombard-vénitien se compose de la
Lombardie et de l'iinoienne république de Venise.
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 2ft7
Il est borné au nord par les Alpes qui le séparent
de la Suisse, h Test parle Frioul, au sud par les
États romains et les duchés de Modène et de Parme
dont le Pô le sépare, et à Touest par le Tésin et le
lac Majeur qui le séparent du royaume sarde.
Milan, capitale du royaume lombard -vénitien,
est située dans une riche plaine, sur TOlona, entre
le Tésin et rAdda,qui communiquent avec la ville
par des canaux. Nous avons donné de cette ville
une description très détaillée dans notre Voyage
aux Alpes et en Italie. Le dôme de Milan , d'une
construction magnifique, est tout en marbre; le
théâtre de la Scala est le plus grand de l'Italie; la
bibliothèque Ambrosienne contient plus de cent
mille volumes. Milan est le Paris dn l'Italie, par ses
cafés, ses hôtels, se*' restaurateurs, ses journaux,
ses cabinets littéraires, son Champ de Mars, ses
fiacres, ses boulevards, ^es bals, ses théâtres, et
l'aménité de ses hab'tans, qui sont au nombre
de cent cinquante mille : le long séjour des Fran-
çais y a produit toutes ces métamorphoses.
Venise, dont notre Voyage aux Alpes contient
aussi une description très détaillée, a pour mu-
railles les flots, étant située à l'extrémité septen-
trionale de la mer Adriatique , sur cent trente-huit
petites îles qui communiqjent entre elles par plus
de cinq cents ponts , et qui forment plus de quatre
cents canaux de différente larjjenr, dans lesquels
208 VOYAGES EN EUROPE,
naviguent environ dix mille gondoles, espèce de
bateau remplaçant les voitures, et qui, par leur
couleur noire comme l'eau fétide sur laquelle on
les dirige, ne ressemblent pas mal à des corbillards
filottans sur des fleuves d'encre.
Venise a environ vingt-cinq mille maisons, toutes
bâtis sur pilotis, parce que le terrain n'est pas
ferme; sa population est d'environ cent cinquante
mille habitans, distribués sur deux lieues et demie
de circuit. La ville est partagée en deux parties
égales p"r le grand canal de la Zecca, qui a cent
pieds de Margeur, et traverse la ville de l'est à l'ouest
en formant de nombreuses sinuosités. La place
Saint-Marc , qui a trois cents pieds de long sur cent
de large, est ornée de superbes édifices, parmi
lesquels on remarque la basilique et l'ancien pa-
lais du doge.
L'arsenal est un immense édifice du lU" siècle,
placé sur une île ayant cinq milles de tour. La bi-
bliothèque de Venise renferme plus de trois cent
mille volumes. Enfin le pont de Rialto, jeté sur le
grand canal de la Zecca au centre de la ville, est
un très bel ouvrage en marbre, d'une seule arche
très élevée , afin que les bàtimens à voiles puissent
passer dessous. 11 a plus de cent pieds de longueur,
et est orné d'un double rang de boutiques. C'est
près de ce pont que furent jetés les premiers fon-
demens de Venise.
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 269
Les Italiens, en général, pour résumer notre
opinion à leur égard , cultivent les lettres plutôt
par passion que par métier; ils suivent leurs études
dans le silence de leur cabinet, et c'est là qu'il faut
les chercher pour les bien connaître. Malgré les
entraves mises à la presse par leurs gouvernemens,
ils publient un grand nombre d'ouvrages et de
journaux o^.. recueils périodiques. Les préjugés ne
pèsent plus guère que sur les feratncs , mais il faut
convenir qu'elles en subissent cruellement le joug.
Depuis le berceau jusqu'à 'a tombe, elles sont pla-
cées dans une sorte d'ilotisme, par l'ascendant que
les prêtres ont conservé sur elles, et par le régime
absurde des lois ou les honteux usages observés à
leur égard jusqu'à l'instant du mariage, et même
après. , , • .
Ainsi que nous l'avons dit dans notre y'oy^^'^ nux
Alpes et en Italie , tant qu'elle n'a point trouvé de
mari, une iille doit habiter la maison de son père,
de son frère aîné . ou de celui de ses parens qui est
devenu le chef de la famiUe. Elle est là tïomme une
pupille incommode; elle doit vivre, agir et parler
sous la direction de la maîtresse du logis et sous la
surveillance des domestiques, ou bien se retirer
dans un couvent. Elle ne reçoit pas de dot, à
moins d'un acte spécial de son père, ou bien d'être
unique héritière , ce qui est rare dans un pays où
les propriétés foncières sont toujours laissées à la
270 VOYAGES EN KUUOPE.
branche masculine. La portion assi(;néc à une de-
moiselle est a..)rs gérée par des curateurs qui l'ex-
ploitent suivant leurs propres intérêts. D*mi autre
côtéf les moines emploient tous les moyens pour
faire prononcer ''^s vœux à une fille, et dès qu'ils
y ont réussi , la jeune personne devient esclave de
son serment, qu'elle ne saurait plus rétracter
les parens portent quelque intérêt à une jolie p^.-
pille sans fortiAie, ils la donnent, ou plutôt la
vendent à un Iionime usé, à un vieillard, à con-
dition qu'il la fera son héritière. Dans cette situa-
tion, elle attend le jour où il mourra, pour disposer
des biens qu'il a promis de lui laisser. Si elle se
refusait à un pareil accommodement, elle serait
maltraitée, et enfermée tout de suite au fond d'un
cloître, d'où elle ne pourrait plus sortir; et, Dieu
merci, ks cloîtres d'hommes et de femmes ne man-
nueist paf e:i Italie!
, Épouse, la jeune Italienne ne peut jamais s'oc-
cuper du ménage , ni améliorer le bien-être de son
mari; cela serait de mauvais ton. Le gouvernement
de Napoléon avait essayé de détruire ce préjugé;
mais les Français furent à peine rentrés dans leurs
anciennes limites , qu il reprit tout son empire.
La femme italienne a cessé d'être ce qu'elle avait
été un moment, la maîtresse de ses domestiques, et
s'est rassise à table, comme un hôte invité, pen-
dant que !e confesseur s est réinstallé dans la mai-
DIX-lNKl]Vlfi:MK SIÈCLE. tit
son conjugale pour remeltre les péchés qu'il lui
plaîl, et pour exercer librement son avarice, sa
sensualité et sa domination, qui sont en Italie, bien
plus qu ailleurs, trois passions dominantes.
La femme ainsi établie, ou restée fille, a-t-clle
acquis quelques talens brillans, et devient-elle,
sous ce rapport, un peu marquante? Par jt on
se moquera d'elle ; l'arme <lu ridicule irp. ^r^er
jusque dans le plus humble réduit ^ et e!
{jardée comme un monstre qu'il faui vitci à
l'égal du démon. Voilà pourquoi les femmes cé-
lèbres sont rares en Italie.
Il n'y a que les intrigues amoureuses qui puis-
sent en Italie dédommager une femme de l'espèce
d'interdit lancé contre elle. A peine mariée, comme
son époux court les maîtresses et en entretient publi-
quement, l'Italienne se dispose à devenir infidèle;
entourée d'adorateurs nombreux, qui passent leur
vie à visiter le plus de dames qu'ils peuvent, le
matin dans leurs appartemens et le soir dans leurs
loges au spectacle , elle jette les yeux sur un des
postulans, et choisit d'ordinaire le plus traitable,
celui qu'elle avait le plus long-temps rebuté; l'in-
trigue devient un besoin pour elle, et ses passions
un autre besoin de son existence. Le cavalier ser-
vant est aussitôt un hôte d'habitude dans la maison
de sa maîtresse, il lui sert à la fois de trésorier et
d'intendant; lorsqu'elle est au piano, c'est lui qui a
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Sciences
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23 WEST MAIN STREET
WEBSTER, N.Y. MSSO
(716) 872-4503
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272 VOYAGES EN EUROPE,
l'heureux privilège de tourner le feuillet; il Tac-'
compagne au bain, à la promenade, aux assem-
blées, dans ses visites; en un mot, il ne la quitte
jamais , si ce n*est de temps en temps pour pro-
mener le petit chien de la belle. Le mari ne fait
nulle attention à de pareilles assiduités; l'adultère
en Italie est toléré comme un mal nécessaire, et
qu'il n'est point possible de corriger. Ainsi, point
ou peu de tendresse, ni conjugale ni maternelle:
une femme voit son mari sans cesse occupé d'af-
faires amoureuses; elle l'imite, et ses occupations
ne lui laissent point assez de temps pour ses devoirs
de mère; c'est une nourrice, une bonne, ou quel-
que autre domestique qui les remplit. Voilà l'usage,
voilà la mode parmi le beau monde; nulle Italienne
n'oserait s'en écarter, de peur des quolibets de l'un
ou de l'autre sexe , et tous les directeurs des con-
sciences féminines les façonnent d'ailleurs à cette
règle, au maintien de laquelle le célibat du sacer-
doce lui-même est plus qu'intéressé. , ,j ; j,
,n; jRepassons les Alpes sans nous y arrêter, parce
que nous en avons parlé dans les généralités mises
en tête de ce volume, et traversant la France allons
faire, avec M. Pichot, une promenade en Angleterre^
contrée dont nous n'avons rien dit encore.
DIX-NEllYlÈMË SIÈCLE.
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Le Voyage de M. Pichot en Angleterre et en
Ecosse ^ est plutôt littéraire que géographique; mai»
il renferme quelques détails de mœurs qui peuvent
trouver ici leur place avec ceux que nous pouvons
y réunir en les puisant dans d'autres ouvrages,
comme, par exemple, le Voyage axfx montagne
d'Ecosse, par M. Charles Nodier ^. , . :-»
Dans notre Voyage aux cinq parties du Monde ,
Dous avons essayé de caractériser les trois peuples
de la Grande-Bretagne; savoir, les Anglais, les
Écossais et les Irlandais; nous rapporterons ici ce
que nous disions d'eux en 1828; nous y joindrons
ensuite ce que l'ouvrage de M. Pichot nous four-
nira pour compléter le tableau et remplir notre
objet.
S'il fallait, disions-nous alors d'après une revue
anglaise , et d'après nos observations faites sur les
lieux, rapidement il est vrai; s'il fallait juger leca^
ractère des peuples des trois royaumes unis de la
Grande-Bretagne suivant leurs actions, on pourrait
dire que l'Anglais est guidé par l'habitude, l'Écos-
sais par la réflexion , et l'Irlandais par l'impulsion.
' Trois volumes in-8». Paris, 1825.
» Un volume in-8*. Paris, 1823.
XLVI.
•f»
IS
274 VOYAGES EN EUROPE.
UAnglais est froid , repoussant dans ses manières «
se lie lentement et difficilement d'amitié; il est poli,
mais non cordial; sa figure, plutôt que son cœur,
vous accueille chez lui ; il ne cherche point la corde
qui vibre à votre oreille; il n'a en vue qu'une
chose, c'est le moment où il congédiera son hôte.
11 aime à se vanter de son pays, en même temps
qu'il murmure contre les lois qui le régissent.
Écoutez ses plaintes : il est réduit à la mendicité, il
va mourir de faim; mais regardez sa demeure,
c'est un palais, et, pour lui, il étoufte dans son
embonpoint. S'il remplit tous ses devoirs envers sa
famille, s'il esî, doux et poli envers ses domesti-
ques, c'est moins par affection que parce qu'ils
sont ses domestiques et sa famille.
En toutes choses perce chez lui l'égoïsme, le
moi éternel ; et si l'Anglais parvient à guider sa
barque, il s'inquiète fort peu que le reste du monde
surnage ou s'enfonce dans les flots. Mais s'il ne sait
pas aimer avec ardeur, sa haine n'a pas d'amertome.
11 paraît franc et loyal dans ses actions et b a-
roles; aussi peut-il être souvent dupe. L'empire de
l'habitude se remarque chez lui jusque dans ses
plaisirs : il fréquente le même café, s'assied à la
même place, boit la même sorte de liqueur, lit les
mêmes journaux; semblable à cet homme qui, la
première fois qu'on lui présenta une asperge, la
mordit par le mauvais bout, et voulut depuis faire
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 275
toujours de même , si FAnglais avait eu le malheur
de tomber dans une pareille méprise, il voudrait
constamment y persister. C'est, en un mot, un être
d'habitude et de formes, soumis passivement aux
lois établies, plein de sincérité, d'honnêteté et de
raison, mais opiniâtre dans ses opinions, et remar-
quable surtout par son tempérament flegmatique.
L'Écossais, loin de se tenir à l'écart, de vivre in-
dépendant des autres, et de trouver son plus grand
bonheur à se concentrer en lui-même, comme le
pratique l'Anglais, se porte en avant, et sa passion
pour les autres décide de son amour ou de sa
haine. La recommandation la plus légère lui suffit
pour ouvrir sa maison à un étranger; son accueil
est cordial ; mais il va disputer avec son hôte, l'en-
tretenir de sa personne et de ses affaires dans les
plus grands détails, l'accabler à son tour de ques-
tions, et, à force de politesses et d'attentions, faire
excuser une curiosité souvent impertinente. D'abord
enthousiaste, il soumet ensuite votre caractère et
votre fortune à l'analyse, dès que vous l'avez
quitté; s'il y remarque un côté défavorable, il le
note avec soin : tant que ia fortune vous sourit,
vous ne trouverez nulle part un homme plus dis-
posé à vous être utile, qui vous serve plus effica-
cement. Êtes-vous dans le malheur, il prend aussi-
tôt congé de vous et vous laisse sans cérémonie. Si
on n'a pas à lui reprocher l'apathie commune aux
276 VOYAGES EN EUIIOPE.
Anglais, on n'a pas également à louer en lui la sincérité
de celle-ci ; il est plus profond mais moins tenace.
' L'Écossais des montagnes , ou Highlander, avec
son manteau de serge rayée , sa claymore , ses bro-
dequins, ses jupons et sa toque, a une allure plus
vive que l'habitant des plaines, ou Lowlander; l'un
et l'autre ont été dépeints dans les romans de Wal-
ter Scott *, qui se trouvent dans toutes les mains,
depuis le dernier artisan jusqu'au monarque. Il est
dès lors bien inutile que nous reproduisions ici des
portraits universellement connus.
On a VU des Anglais être pris pour des Ecossais,
et des Écossais pour des Anglais : jamais un Irlan-
dais ne donnera lieu à cette méprise, et il ne res-
semble qu'à lui -même. Si le hnsard vous le fait
rencontrer, il est à l'instant votre ami; il n'est pas
d'admiration qu'il n'éprouve pour votre personne,
et il vous loue en face jusqu'à l'hyperbole. Mais
qu'une autre idée, quelle qu'elle soit, effleure son
esprit, il devient aussitôt votre ennemi. Il parta-
gera avec vous sa dernière pomme de terre; mais,
dit l'écrivain morose qui nous sert d'autorité, avant
que vous l'ayez mangée, peut-être aura-t-il déjà
enfoncé dans votre gorge le couteau qui avait servi
à la couper: ceci, toutefois, nous semble exagéré.
• Notre traductiOrTi en 30 volumes in-S" a eu, en 1836, les hon-
neurs du stéréotypage chez MM.Firmin Didot , les premiers typu
graphes d« France. "••'" ' • '< •< ''•■• i
îérité
lace.
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i bro-
2 plus
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iWal-
nains ,
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ici des
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ne res-
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[•sonne,
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Lire son
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Voy. tin Kw/'ope. J%--itt/.J*-^.»^â
ArtfÇtiiî», on n'jipasf»f{iilcmeiif à ïmwr i.n lu» la sluccrii^
ili: ctrlle-ci ; il est plus (hoIoikI triui-^ uioifij; tenace.
li'Kcossais d(rs rnon(H}>;nps, on H j^imilcr, avec
son inrmtrau de ser^^c riiyt'e. sa ri^^yntmre, *r.s bro-
dequins, sps jupons et sa to<}ne' , a une allure pluj.
vive qiio I habitant dos plaines . ou Lo^vlandev ; îun
et l'aulPf ont été dépeints dans les romans de VVM-
ter ScoU *, qui se trouvent dans toutes les tuains,
depr/îs I*» dernier artisan jusqu'au monarfjue. Il ej-t
dès îor» bien inufi!*^ que nous reproduisions iei dss
j>onrai{* »jnfv«T'W*lt«inient eonnu*.
1 pour des Ecof^sais,
•\iS ; jiunais un Irlaïi
é^ '■'. '4 \\e\\h cetl*! HU'prise, et il ner^s-
seujbb. ipi'a lui-même. 'Si le basard vous le iVtit
reneoutrer, il est à l'inslAut votre ami; il n'est }.,;%
d'adcniration qu'il uVprouve pour votre personiio.
et ?' vous loue eu face jusqu'à rbyperbole. jMa^
qu'uuf autr« idtk% tiitelle ((u'elle soit, effleure son
esprit. H ïlKr*'«»4«l «^*i«jtèt votre er\nen>i. Il parta-
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dit J'écri' ' :*<uis st^rt d'autorité, ava!.:
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enfon(;é <lansvoti';> 5 j^* le couteau qui avait se* u
à la couper: ceci. tt»t*îaf%«s, nous sernble cxa^» r^
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.on Kiinope. PwÂot.Paii.t^ô
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•••.«'
DIX-NEUVIÈME 8IÊCLE. 277
; Avez-vôu8 envie d'employer Tirlandais, ajoute
le même auteur , il possède toutes les coiiiiaissances,
|)eut tout faire; son âme, sa vie, son bien , tout est
à votre disposition. Si vous le mettez à Tépreuve,
il fera à peine la moitié de ce qu'il vous a promis.
Néanmoins il met tant de naïveté dans toutes ses
actions, que, malg^ré Texpérience, on se laisse
tromper de nouveau. Son amitié n'est pas franche
comme celle des Écossais : c'est l'égoïsme de la
passion , le besoin d'une bienveillance immédiate ,
sans aucun retour sur le passé, sans calcul pour
l'avenir; il est victime, il est esclave de son en-
traînement, etc'est à cela qu'il sacrifie amitié, hon-
neur, patrie, succès dans le monde, tout enfin.
Quand il vous jure un attachement éternel, vous
ne devez pas douter de sa sincérité, mais il change
malgré lui dé sentiment. Gai, brillant, agréable ^
dans ses manières, il semblerait partout devoir
réussir; mais moins solide que l'Anglais, moins
prudent que l'Écossais, et portant ses vues à des
hauteurs qu'il ne peut atteindre, il fait des chutes
continuelles. D'ailleurs l'ambition ne l'occupe pas
long-temps, d'autres passions hii succèfh^nt promp-
tement. Au surplus, pour bien juger un Irlandais,
on prétend qu'il faut le surprendre à jeun.
En somme, l'Anglais marche droit vers le but;
l'Écossais fait çà et là quelques détours; l'Irlandais
vole de côté et d'autre, se renverse avec fracas, et
278 VOAYGES EN EUROPE,
souvent termine sa course au point où il l'a eoin-
mcncée. L'Anglais est persévérant, mais tardif;
l'Écossais, plus varié, a plus d'intensité d'esprit,
quoique moins opiniâtre sur un même sujet; l'Ir-
landais, c'est la légèreté du vent, mais c'en est aussi
le vide. Un Anglais en pouvoir est hautain, froid,
réservé; un Ecossais, intrigant, mais dans le seul
but d'obliger les siens; l'irlandais oubliera ses in-
térêts pour sa vanité, et quicoaquc saura le flatter
en fera sa dupe. En Ecosse, un homme est banni
pour avoir commis un grand crime ; en Angleterre,
pour un crime plus léger; en Irlande, pour la
moindre faute; d'où il suit qu'à Botani-Bay un Ir-
landais peut devenir excellent homme, et un Anglais
homme passable, tandis que l'Ecossais restera scé-
lérat.
Ajoutons cependant, disions -nous déjà en 1828
dans notre Voyage aux cinq parties du Monde précité,
et ce qui est bien plus vrai, aujourd'hui 1836, que
depuis la paix de 1814, les individus des classes infé-
rieures dans les trois royaumes, surtout en Angle-
terre, ont plus de douceur, de politesse et d'amour
pour le travail, sont moins sujets à l'ivrognerie,
s'instruisent davantage, et lisent avec empressement
les ouvrages qu'on multiplie et que l'on met à leur
portée.
Pour compléter ce portrait sur les trois peuples
de la Grande-Bretagne , nous emprunterons à notre
DIX-NEUVIÉMB SIÈCLE. 27»
Voyaf^e à Londres * le coramcncement du premier
chapitre, où nous avons essayé de caractériser som-
mairement les peuples anglais et français.
«Le voya^veur qui, pour la première fois, passe
des rivages de France aux riva(][es britanniques, re-
çoit des impressions si différentes d'une contrée k
1 autre, qu'il lui est d'abord assez difficile de bien
s'en rendre compte. Un liquide intervalle d'environ
fiept lieues, qu'un bateau à vapeur franchit en moins
de trois heures, suffit pour tout changer à ses re-
gards et leur offrir une plage tout autre par ses
aspects que celle qu'il vient de quitter. 11 n'y a
qu'un moment de vastes plaines et de vertes col-
lines à demi cultivées, des villages et des villes où
H) vie se déploie, mais où l'opulence n'est pas le
caractère, frappaient ses yeux : maintenant il aper-
çoit des dunes blanchies par l'Océan , des coteaux
en parfaite culture, des champs, des enclos ou
vergers enveloppés de haies vives et éclatans d'une
verdure délicieuse; partout des habitations propres
et agréables, des villages peuplés avec une éton-
nante surabondance, et annonçant malgré cela une
aisance générale. Tout à l'heure son oreille était
flattée de l'harmonie d'un langage clair, élégant et
sonore; actuellement elle ne saisit plus que les sons
durs ou monotones d'un idiome surchargé de con-
' Voyage à Londres, en 1834. Un volume in-8**. Pari», Prévost
Grocius etDelaunay, Palais-Royal, 1836, seconde édition.
280 VOYAGES EN EUROPE,
sonnes et de monosyllabes. Enfin, naguère encore,
il voyait folâtrer un peuple vif, aimable, léger,
brillant, poli et quelque peu moqueur; au lieu qua
présent le voici chez une nation grave et pensante,
active dans son silence, froide, égoïste, vous regar-
dant à peine, et tout entière à son objet, l'amour
du gain. » ..■ i w , -. . .,
Rapportons également le tableau que dans le
même ouvrage nous avons présenté de Tensemble
de Londres; car, après avoir caractérisé une grande
nation, il n'est peut-être pas sans intérêt pour nos
lecteurs d'avoir une idée de sa capitale.
« Londres se révèle d'abord par de larges avenues
garnies de trottoirs et bordées de commodes habi-
tations composant des villages qui s'y agglomèrent
successivement et en reculent les limites; il se ré-
vèle ensuite par un immense dôme de fumée qui
plane éternellement sur les toits en briques, d'un
rouge sombre, de ses maisons basses et à petites
fenêtres, déjà au nombre de près de deux cent mille;
puis encore par les clochers d'innombrables églises,
dont la plus grande, celle de Saint-Paul, est elle-
même dérobée par ce vaste brouillard ou amas fu-
mant, qui presque toute Tannée intercepte les
rayons du soleil. Plus on avance, plus le spectacle
devient animé, imposant, gigantesque. Ce n'est pas
loutefois que la vue de ces bâtimens, composés de
deux ou trois étages, noircis par la fumée de cliar-
icore,
léger,
u qu'à
isante,
regar-
araour
lans le
semble
grande
)ur nos
avenues
es habi-
«nèrent
il se ré-
mée qui
s, d'un
petites
nt mille;
églises,
est elle-
imas fu-
ptc les
pectacle
n'est pas
posés de
de clîar-
e
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 281
bon et d'une construction triste et uniforme, attire
votre attention; elle en serait bientôt rassasiée;
mais vos yeux sont cbarmés par l'élégance de
ces grillages en fer qui garantissent les quatre
marches de la porte extérieure et les fenêtres du
rez-de-chaussée de chaque maison et longent les
trottoirs en dalles ou en bitume, comme ceux du
boulevart des Italiens, près Tortoni, trottoirs de
deux mètres de large, au bord desquels, de cinq en
six mètres et demi de hauteur, sont les réverbères,
dont le gaz éclaire les rues pendant la nuit et y jette
une lumière presque aussi vive que celle du jour.
Vous jouissez de cette admirable propreté et de
ce luxe général qui distinguent l'extérieur comme
l'intérieur des habitations; vous aimez cette activité
prodigieuse de piétons s'avançant entre deux flots
croisés, celui de droite qui occupe le côté des mai-
sons, et celui de gauche qui suit le trottoir du bord
et de la rue, où les voitures se croisent elles-mêmes
en s'évitant avec la même vélocité, la même adresse
qu'autrefois les chars des jeux olympiques. Vous
ne remarquez, il est vrai, nulle gaîté sur le front
"des passans; ils semblent tous absorbés dans leurs
idées de négoce; ils ne causent point, ou du moins
causent peu, et marchent comme un seul homme
qui cheminerait dans un désert. Il n'est pas jusqu'au
porteur d'affiches qui, la planche derrière le dos,
ou pour mieux dire sur les épaules, ne garde le
282 VOYAGES EN EUROPE,
même silence, interrompu seulement parles accla^
mations burlesques de quelques charlatans toujours
à l'affût de Finstant favorable pour détourner ou
tromper la vigilance du piéton provincial ,. et lui
voler son mouchoir ou sa bourse. De loin à loin
quelques beaux édifices vous apparaissent, comme
afin de rompre le monotone aspect de ces avenues
de vingt à trente mètres de large et de plusieurs
lieues de longueur qui portent le nom de rues, au
nombre d'environ douze mille, et dont par inter-
valles les deux rangs parallèles de maisons se re-
culent et dessinent environ soixante -dix places
appelées squares^ à cause de leur forme assez or-
dinairement carrée ; en passant de la rive droite à
la rive gauche de la Tamise, pour arriver au centre
de la capitale, une forêt de mâts qui vous déro-
bent le fleuve, depuis les grands bassins ou docks
jusqu'au premier pont de Londres, en remontant
i<j uours de l'eau, vous donne enfin une juste idée
de cette incomparable métropole.
«Londres, sans être insalubre, n'a point un beau
ciel comme Paris. S'il a des rues plus belles et mieux
alignées, les maisons qui les forment sont basses
avec de petites fenêtres et des toitures dépourvues
d'élégance, sur lesquelles planent une atmosphère
triste et lourde. Londres n'a point de palais comme
la Bourse et le Louvre, ni de boulevarts comme les
boulevarts de Paris. Londres a pour lui son im^
DIX-NEIIVIÈMK ^lÈCLE. 283
mensité géométrique; sa pop .Aion de un million
cinq cent mille habitans, sa richesse colossale, sa
force industrielle, tandis que la métropole fran-
çaise a ses beaux édifices, ses théâtres, ses boule-
varts, son amour des arts et sa puissance intellec-
tuelle et morale, avec une population d'un million
d'habitans. Enfin, Londres, par ses grillages en fer
devant ses maisons, par ses palissades et ses autres
moyens de défense, et qui trahissent le désir d'une
possession individuelle et exclusive; par le charla-
tanisme de ses affiches et la barbarie grotesque de
ses enseignes, révèle un peuple mécanique , machi-
nal, égoïste et adonné par -dessus tout au lucre,
tandis que Paris montre une sociabilité facile, un
esprit de communauté qui l'emporte sur les intérêts
individuels, un peuple communicatif , aimant à se
réunir, non pour s'enivrer, mais pour danser : le
Londonien ou le Cockney, comme on l'appelle,
exerce le plus son estomac, le Parisien, son esprit
et ses jambes; le Londonien est buveur, taciturne
et lourd, et le Parisien sobre, expansif, babillard
et léger. »
Transportons-nous maintenant avec M. Pichot
dans la capitale de l'Ecosse et rapportons briève-
ment ce qu'il en dit.
« A tout lecteur de Walter Scott , la colline d'Ar-
thur's-Seat (le trône d'Arthur), qui domine Edimr
fms^
284 VOYAGES EN EUROPE,
bourg, est une éminence presque aussi familière
que Montmartre aux Parisiens. Ce rocher, de huit
cent trente pieds au-dessus de la mer, offre une
vue magnifique de TAthènes du nord , panorama le
plus extraordinaire que puisse fournir aucune ville
d'Europe. A l'est , la vaste étendue des flots se con-
fond avec l'azur du ciel, et plus au nord, se rétrécit
progressivement jusqu'à l'embouchure du Forth.
entre les rivages du Lothian et du comté de Fife.
L'œil se repose agréablement sur les îles dont le
golfe est parsemé; et quand le soleil mêle les riches
nuances de ses rayons à leur verdure, on peut les
comparer avec le poète à des émeraudes enchâssés
dans de l'or : emeralds chassed in gold. C'est Inch-
Keith avec son fanal élevé, c'est l'ile de May,
consacrée jadis à saint Adrien, et de laquelle un
autre phare protège aussi les pilotes; c'est Inch-
Colm, fameuse par un ancien couvent, fondé sous
les auspices de saint Colomba; c'est Inch-Garvie,
jadis fortifiée; au sud, sont les montagnes de BraicI
et de Pentland. A l'occident est l'élégante éminence
de Corstorphine, et au-dessous les cscarpemens de
Saliibury's-Craings, semblables à une couronne
murale. Toutes ces hauteurs et celles d'Arthur s-Seat
forment l'amphithéâtre au milieu duquel s'élève
Edimbourg avec son château assis sur une roche
centrale de trois cent cinquante pieds, et une der-
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 285
nière colline à l'est appelée Calton-Hill, que sur-
montent l'Observatoire et la tourelle monumentale
érigée »\ Nelson-.» •. • .. • ..
De la cime d'Arthur's-Seat on voit, à gauche, se
déployer la masse des bàtimens noirs de la vieille
ville, qui, commençant au château gothique d'Ho-
lyrood, est couronnée de l'espèce de tiare que
forme le clocher de Saint-Gilles , et terminée par la
citadelle; adroite, est la Villeneuve, toute régulière
et d'une éclatante blancheur : Tune, fille austère et
sombre du moyen âge, l'autre, fille élégante de la
civilisation. La ville neuve a ses rues tirées au cor-
deau, ses squares, la coupole de son église de
Saint-Georges, sa colonne Trajane élevée à lord
Melville, la brillante terrasse de Prince's-Street,
les portiques du pont du Nord, sa magnifique rue
qui descend jusqu'au port de Leidi; tout cela est
digne de l'Athènes du nord; les sombres maisons
de la ville vieille n'ont de loin rien d'exagéré dans
leur hauteur, bien que quelques-unes forment jus-
qu'à douze étages. On dirait que les architectes de
cette étrange cité , ayant devant les yeux les monu-
raens éternels du trànr. d'Arthur, et du rempart que
figurent les Salisbury's-Craings, ont prétendu riva-
liser avec ces édifices de la nature.
Au pied de Salisbury's-Craings, Edimbourg com-
mence par le château d'Holyrood. De la cour de ce
palais une longue rue mon le jusqu'au château; cette
280 VOYAGES EN EUROPE,
rue (High-Strect) que les habitans d*£dîmbour(r
proclament la plus belle du monde, parcourt un
espace de cinq mille cinq cent soixante-dix pieds,
et dont la plus grande largeur est de quatre-vingt-
dix : c'est là qu'elle s'appelle High-Street (rue
haute). Jusque-là, depuis Holyrood, son nom est
Canongate. Au milieu de Canongate s'élevait jadis
deux croix, dont l'une, Girth-Cross, servait à mar-
quer la limite du sanctuaire d'Holyrood. — Ce
sanctuaire jouit encore de ses privilèges : les débi-
teurs y trouvent un asile inviolable; ils y vivent
soumis à la seule juridiction du gouverneur héré-
ditaire du château. S'ils contractent des dettes nou-
velles sur les lieux, ils sont poursuivis par leurs
nouveaux créanciers, qui peuvent obtenir prise de
corps contre eux ; mais vis-à-vis des créanciers de
l'extérieur, ils sont en sécurité parfaite dans tout le
faubourg et ce qu'on appelle le Parc du Roi, qui
comprend dans son enceinte Arthur's-Seat et Sa-
lisbury-Craings. • ;. v -■.;,' r; .-,; ; :; .
La partie la plus élevée de la Canongate se com-
pose de maisons fort anciennes et surtout fort mal
bâties dans leur régularité bizarre; mais quelques-
unes montrent encore des armoiries qui attestent
que c'était dans ces hôtels qu'habitaient jadis les
fiers barons écossais. Parmi ces vieilles habitations
on rencontre aussi la maison du fameux John Knox,
apôtre de la réforme en Ecosse, qui fit entendre
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 2«7
un langage si dur aux voûtes féodales d^Holyrood ,
en présence de Marie-Stuart.
Edimbourg, quoique plus particulièrement ville
de noblesse et de procureurs, est aussi très com-
merçante. Le port de Leith en fait partie, et l'on y
trouve une population nouvelle, active, nombreuse
et bruyante. Edimbourg est encore plus glorieuse
d'être une seconde Athènes par ses philosophes, ses
orateurs, ses critiques et ses poètes. Il se publie
dans cette ville deux Revues S dont les articles sont
lus et recherchés avec empressement dans le monde
littéraire. ' '- ^
Les dîners et les soirées réunissent souvent le»
coteries, et indépendamment de celles des libraires
ou marchands, il existe celles des du Deffant calé-
doniennes, où Ton discute sur les graves questions
d» jour. De père en fils les Ecossais sont réputés,
depuis long-temps, les argumentateurs les plus
opiniâtres; en religion, en sciences, en politique,
il y a toujours eu deux partis. Les dames d'Edim-
bourg ont la démarche plus gracieuse en général
que les dames de Londres; leur taille est aussi plus
élancée et plus forte à la fois; elles ont en outre un
pied plus grand, et l'on pourrait conseiller aux
jeunes personnes d'Edimbourg l'adoption des
minces pantoufles de nos Parisiennes. Du reste, la
plupart joignent aux grâces de leur corps quel-
' Èdimburgh review; Blackwood magazine.
288 VOYAGES EN EUROPE,
ques talens agréables, surtout celui du la musique.
L'espace nous manque pour explorer avec M. Pi-
chot toutes les curiosités de la capitale de TEcosse,
et pour décrire avec le voyageur le manoir de
Walter Scott, situé dans le voisinage d'Edimbourg.
Ces détails sont d'ailleurs presque généralement
connus. Nous terminerons notre revue en nous
transportant une dernière fois dans la Scandinavie
pour parler du voyage de M. Daumont en Suède,
et de celui de M. Twinlng en Norwége.
DAUMONT.
(1830.)
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tf--. - • . ■ i -
M. Daumont prit la voie de mer pour se rendre
en Suède. Il s'embarqua au Havre le 24 mai 1830,
et six jours après , il était en vue de la Norwége. Il
entra dans le Skager-Rack, bras de mer resserré
entre lo Danemark et la Norwége, et qui précède
le Catégat et le Sund. La navigation est assez dan-
gereuse dans ces petites mers intérieures et étroites,
parsemées d'écueils, de bancs de sable, que les tem-
pêtes bouleversent et déplacent à chaque instant.
La vue maritime du Sund est une des plus belles
de l'Europe , après Constantinople et Naples.
M. Daumont débarqua à Elseneur, ville danoise de
douze mille habitans, puis il franchit le détroit
pour toucher à Helsingborg, ville suédoise sur la
isiquo.
M.Pi-
Icosse ,
oir de
ibourg.
ilement
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Suède,
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iPi VOVAUICS EN FUhOi'F
il'Okh ittivn» .ij^ri'iiblrs, surtout cMfiiii (!<.■ t;i ii>iiit<|i)«-
JAjspaci; nous m.Hiquc |>onr explorer »\rv M. V\
fhof l«Mitcs les (MU'U)î.if«is dv. la capitale (h CE^oss»'
et p^nir décrire avec le voyaj^eur le manoir ûr.
Waiter St:ott, situé dans le voisinrtjje d'Ediuibourj^.
Ces dt'^taiis ^sont d'ailleurs presque j;énéraleniei»t
connus. Nous terminerons notre rf'.wie en nous
transp'^rtafit une dernière Fois dans la Scandinavie'
pour prifler du voyage de M. Oaumout en Suède,
et de celui de M.»Tv/ii),N!»^] en Norwége. '
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M. l,)awvnont prit la voie àc mer pour se ï'endre
eii Suode. U s'embarqua au ilàvre le 24 mai 1830,
et six jours après, il était en vue de la Norwége. Il
entra dans le Skajjer-Rack, bras de mer resserré
entre \p. Danemark et ta Norvv^jje» cl iiui précède
le Ctttéjçat et la Sund. Im navi^jalton est assez dau-
f;f.reusedan*^f;i^K twirte* mers intérieures et étroites,
parsi^mées d t^tm iU, de bancs tic sable, que lesîern
pètes bonlevers*'.nt rt dt>p{i»cent h cbaque insraril.
La vue maritime du Sund est: une des pîus hel'e^
de rKurope , après Constautinoplc et iNapU^.
M. Djumicfit débarquu à Elseueur, ville danoise U»'
douze mille babitans, puis il (Vaucbit le détroif
pour touebor à ilelsiufjborg, ville suédoise sur I'
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DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. SM)
côte opposée, est peuplée d'environ deuf mille ^
huit cents habitnns. De ce point notre voyageur
s achemina vers .ockho1m.ll remarqua dansle trajet
que bs routes de la Suède sont partout u rnsées
de distance en distance par des barrière , afin qu*"
les bestiaux ne puissent s'égarer. Il avait dû se
munir de papier-monnaie, ou billets de banque, la
seule monnaie nationale de la Suède. H passa à
Jœnkœping, viKi> hà ie à l'extrémité du lac Wetter,
lequel a tr^.nte lie.u 4 de long sur sept à huit de
large. Oettc ville, parfaitement bien bÀtie, a des
rues il'uu aspect très gai, régulièrement percées et
bordées de jolies maisons en bois peintes exté-
rieurement. Sa population est de trois mille cinq
cents hnbitans.
M. î)aumoT)t eut pour la première fois dans cette
ville occasion de remarquer la petitesse des lits
suédois : ce ne sont autre chose que des espèces de
couchettes ou de canapés fort étroits, et par con-
séquent très incommodes; il est impossible que
deux personnes puissent y coucher : j'imagine, dit
le voyageur, que le sanctuaire matrimonial a des
lits d'une autre dimension.^^-» "« 'muf;i'» ,'»;jnfi t
M. Daumont gagna ensuite Linkœping, fort jolie
petite ville d'environ quatre mille âmes, chef-lieu
de la provinc*^ d'Ostrogouliie, et il remarqua dans
sa rouie d'Helsingborg à Stockholm, trajet de près
de deux cents lieues, que presque tout le monde en
XLVi. ly
200 VOYAGES EN EUROPE.
Suède voyage en voiture; il n'y a pas, dit-il, un
habitant, à moins qu'il ne soit tout-à-fait misérable,
qui ne possède un chariot et un cheval. Loisqu'on
arrive dans un village, si Ton se trouve obligé d'en-
voyer un commissionnaire à la plus petite distance,
il attelle aussitôt son cheval à sa voiture; jamais il
ne part à pied. Au surplus, ces voitures sont lé-
gères , bien construites , propres et agréables à la
vue. Des relais de poste sont établis à quatre ou six
lieues de distance sur toutes leç routes. Il y a dans
chaque relais un maître de poste ou gestgifvare ,
qui tient toujours des chevaux prêts. A chaque re-
lais on présente un registre où il faut inscrire ses
noms et qualités, et l'heure du départ; en cas de
plainte on en fait mention. Les chevaux sont pleins
de feu, petits, mais de formes élégantes. Rien
n'égale la célérité avec laquelle on voyage ; les voi-
tures filent comme l'éclair, et on relaie en une mi-
nute. Les coursiers partent au moindre signe et au
galop, sans avoir jamais besoin du coup de fouet.
La manière de les exciter diffère de la nôtre , le
postillon frappe fortement ses lèvres l'une contre
l'autre, comme un fumeur qui aspire sa pipe, et
pour les arrêter on crie prrr,prrr; c'est, comme on
voit, un dialecte à part.
La Suède, dit M. Daumonl, porte tous les ca-
ractères d'une grandeur et d'une majesté qui lui
sont propres; il y a de la poésie dans ses sites d'une
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 291
admirable variété; le talent de l'artiste serait im-
puissant pour peindre avec fidélité les teintes tour
à tour douces et sauvages , agrestes et sublimes de
cette contrée. Il atteignit Norkœping, ville de douze
mille âmes sur la Motala, qui se jette dans la Bal-
tique deux milles plus loin. Notre voyageur observe
ici que les villes de la Suède ont rarement des mo-
numens durables; il ne faut point s'attendre à y
rencontrer ces chefs-d'œuvre des arts qui décorent
souvent nos grandes villes ; les maisons, d'une con-
struction légère et ordinairement en bois, ont par-
tout le même aspect, un peu monotone, mais d'une
charmante recherche d'élégance et de propreté.
Norkœping est la première ville manufacturière
du royaume; un bateau à vapeur est établi entre
cette cité et Stockholm; M. Daumont en usa, il se
trouva bientôt dans la capitale de la Suède, dont
l'aspect imposant excita en lui une juste admiration.
11 en donne une description détaillée, que nous ne
reproduirons point, parce que déjà il a été ques-
tion de cette ville dans le voyage de Coxe et dans
celui de Capell Brooke. Nous ne reproduirons ici
que quelques traits de mœurs, et pour cela nous
irons tout d'abord dans la province de la Dalécarlic;,
c'est-à-dire au cœur de la Suède, avec le voyageur,
qui lui-même s'est aidé du voyage de Forsell , publié
en 1830.
Le Dalécarlien réunit la franchise, la probité à
292 VOYAGES EN EUROPE,
rintclligence, à la gravité qui distingue Thomme
indépendant; il est en général fortement constitué.
Son front est éievé, son regard ouvert, et sa dé-
marche ferme et assurée ; ses réponses spirituelles
contrastent avec son air rude. Content de ses pro-
pres droits, il n'envie jamais les privilèges d'autrui;
il supporte plutôt Tinsulte la plus vive que là froide
moquerie. Le paysan est ordinairement le maître
de la terre qu'il cultive, et quelque faible que soit
cette propriété, elle suffit pour lui donner ce ca-
ractère fier et indépendant qui distingue toutes ses
actions. A sa mort, son bien se partage entre ses
enfans màles; il en résulte souvent des lots si faibles,
que le nouveau propriétaire , ne pouvant tirer son
existence de l'agriculture, est obligé d'y ajouter
quelque autre branche d'industrie ; mais tel est son
attachement pour le sol natal, qu'il n'en vendrait
point la moindre partie. Le Dalécarlien tutoie tout
le monde, et cependant il n'y a pas en Suède de
contrée où les autorités soient plus respectées. Lors-
que le gouverneur de la province ou le juge de
l'arrondissement est attendu dans quelque village
pour y exercer ses fonctions , et que la nuit le sur-
prend en chemin, les habitans s'empressent de
venir au-devant de lui avec des torches de sapin
pour éclairer la route. Cette marque d'empresse-
ment respectueux est offerte sans servilité et volon-
tairement.
DlX-NEUVlÊME SIÈCLE. 203
Le Dalécarlien montre beaucoup de présence
d'esprit dans les circonsf<>'^ces graves et imprérues:
habitué à lutter contre un climat dur et un sol
ingrat, il apprend de bonne heure à bien combiner
les ressources de son activité. 11 fabrique lui-même
les ustensiles de son ménage et ceux de l'agriculture
non -seulement pour son usage, mais pour les
vendre, afin de suppléer par cette ressource à Tin-
suffisance des produits qu'il recueille d'un sol in-
grat et stérile.
Le Dalécarlien est extrêmement frugal : le pain
et le gruau forment la base de sa nourriture; trois
ou quatre sardines et quelques pommes de terre
sont pour lui un repas somptueux. L*eau-de-vie et
le beurre ne se trouvent guère que dans les maisons
riches. En Dalécarlie, comme dans tout le nord de
la Suède, on mange un pain façonné en grandes
galettes très minces passées au four; ce pain est
fait d'avoine ou d'orge , et quelquefois de farine de
pois; mais les liabitans de ces communes pauvres
sont souvent obligés d'y mêler une partie de farine
d'écorce d'arbre ou de l'écorce moulue.
Le Dalécarlien observe encore l'ancienne hospi-
talité du Nord; il partage de bon cœur ses minces
provisions avec l'étranger; mais il faut bien se
garder de lui demander son nom avant qu'il ait
pris son repas, ce serait manquer à la civilité ; on
prétend que cet usage s'est conservé du temps ori
w,
294
VOYAGES EN EUROPE.
les lois de riiospitalité prescrivaient de proté|rer tout
individu qu'on recevrait sous son toit, et, dans la
crainte de reconnaître dans Tétranger une per-
sonne appartenant à une famille ennemie, on pré-
férait ne pas lui demander son nom.
La couleur dominante des habits est le blanc ou
le noir, et dans les grandes occasions, le bleu. Il y
a dans certains cantons des costumes de femmes
qui sont d'une grâce et d'une élégance extrêmes,
à cause de leur coupe et des ornemens de toute es-
pèce qui y sont prodigués. Les femmes attachent
souvent un couteau à leur ceinture; à la mort de
leur parens elles prennent le tablier jaune, et il est
fort extraordinaire de reti'ouver ce signe de deuil
des Chinois transporté dans la Dalécarlle. La coif-
fure des femmes est un bonnet plat et blanc qui
ne couvre que la partie supérieure de la tète; il a
quelque ressemblance avec celui des Hollandaises.
Les jeunes filles portent des bonnets ouverts pai-
derrière, et elles laissent flotter les belles tresses de
leurs cheveux blonds; mais cette parure cesse dès
qu'elles se marient.
En Suède, la police et la douane ont quelques
traits de ressemblance, elles sont aussi rigides l'une
que l'autre; la première exige des passe-ports, et la
seconde visite avec minutie les effets des voya-
geurs. Du reste, la police a peu à faire pour les
délits qui troublent la société, et les crimes qui y
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qui sont d'une fjràc(ï <?t d'une élr{janee «îxU'<^rncs.
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I I
DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 205
portent Teffroi : tout cela est presque inconnu en
Suède, et Ton peut parcourir le pays de jour et de
nuit dans la plus parfaite sécurité.
La vie isolée que mènent beaucoup de Suédois
les rend méditatifs et observateurs. On accuse les
Suédois , en général , d'être envieux et rancuneux ;
mais cela tient au prix qu'ils attachent à leur petite
propriété. Les Suédois sont très polis et très préve-
nans; toutefois , il" r nt Fépine dorsale moins flexible
que celle des Danois , des Allemands et des Italiens;
leurs manières décèlent un peuple lier de ses sou-
venirs et indiquent des hommes pénétrés du senti-
ment de leur dignité. Le peuple est essentiellement
bon et doux, sans manquer d'énergie.
Les femmes de la Suède sont renommées pour
leurs attraits et les grâces de leur personne; rien
n'égale, en effet, l'élégance naturelle de leur tour-
nure, l'éclat de leur teint , la beauté de leur cheve-
lure et l'expression de leur physionomie si douce
et si animée tout à la fois; ce sont des modèles
d'une admirable harmonie dé formes gracieuses et
sveltes; leur démarche est remplie d'aisance, et leur
taille ravissante; il y a dans leur maintien de l'a-
bandon et souvent de la dignité : en un mot, il est
fort peu de pays, suivant M. Daumont, où les
femmes soient aussi favorisées de la nature, et l'on
dirait, ajoute-t-il, qu'elle s'est plu à répandre ses
dons avec encore plus de profusion sur celles
2U6 VOYAGKS EN EUROPE,
(l'une condition inférieure. Du reste, les daines se
mettent avec beaucoup de goût, et à Stockholm
elles suivent les modes parisiennes. i . m -< ^
Terininons cette analyse nécessairement incom-
plète, par quelques traits empruntés au Voyage de
M. Twining. - '
■ I . i î
ȔM'i,| -y-
TWINING.
(1834.)
M. Twining annonce dans son Voyage en Nor-
wége et en Suède ^ publié en 1836, qu'il a eu pour
objet de compléter, en ce qui concerne la Norwége,
le beau travail de M. Daumont, dans lequel il est
moins question de cette contrée que de la Suède
propre. '' ■
M. Twining se rend d'abord à Copenhague, puis
à Gothembourg, et franchit le Sund pour débar-
quera Christiania, la seconde capitale de laNowvége.
il fait une description très détaillée de cette ville,
peuplée de vingt -un mille habitans, et dont le
port est spacieux. 11 dit que la manière de voyager
en Norwége est à peu près la même qu'en Suède.
En parlant des mœurs norwégiennes, M.Tvi'ining
dit qu'elles sont encore aujourd'hui ce qu'elles
étaient autrefois. Une coutume assez générale est
de porter un couteau-poignard attaché à une cein-
ture en cuir. Les femmes n'ont ordinairement pour
toute coiffure qu'une longue et belle chevelure.
DIX-NËUVIBMK SIÈCLE. 207
tantôt réunie en deux tresses tombant par derrière,
tantôt entièrement défaite et recouvrant les épaules
de ses boucles épaisses. ;>,. ; ;;,. '
De Christiania, M. Twining passe k Bergen, autre
ville norwégienne située sur le golfe du même
nom, avec des rues étroites, mais régulières et
scntrecoupant h angles droits. Les maisons en bois
sont petites, mais d'un fort joli aspect; elles sont
toutes peintes en blanc et entretenues avec une
grande propreté; des ornemens sont prodigués
avec goût aux portes, qui sont élevées de quelques
gradins au-dessus de la rue, à la manière hollan-
daise. Auprès de chacune d'elles est un tonneau
rempli d'eau , dans le but de prévenir les incendies
ou d'en diminuer les dangers. L'aspect des environs
de Bergen est pittoresque, mais il annonce leur
peu de fertilité. Cette ville réunit vingt-deux mille
habitans.
Après avoir visité Christiansund, notre voyageur
arrive à Drontheim, capitale de la Norwége, etqui,
avec une population de dix mille âmes, occupe au
fond d'un golfe l'embouchure d'une large vallée
arrosée par le Niedelf, rivière peu considérable,
laquelle fait presque le tour de la ville avant de se
jeter dans la mer. Les maisons couvrent la plus
grande partie de la péninsule formée par cette ri-
vière; le reste offre des prairies parsemées d'arbres
et d'habitations. La rue principale est formée de
208 VOYAGES EN EUROPE,
maisons fort belles, quoiqu'cn bois. On y remarque
surtout le palais du gouvernement, regardé comme
le plus bel édltice qui ait été construit en Europe
avec de semblables matériaux. Drontheîm fait venir
une grande partie de ses blés de l'étranger. A la fin
d'août cette ville commence à faire usage des chan-
delles dans rintérieur des maisons. Durant les
jours les plus longs de Tété le soleil ne reste que
quatre heures sous l'horizon; en hiver il ne se
montre qu'environ deux heures, en partie à cause
des montagnes voisines. Sous plusieurs rapports
Drontheim a de la ressemblance avec Christiania.
M. Twining s'est beaucoup occupé des sites et
des costumes d^^ la Norwége; son ouvrage contient
un grand nombre de vues et de portraits. Il re-
vient de Norwége en Suède, dont h son tour il
décrit la capitale; mais il ne lui restait que bien
peu de chose à en dire après M. Daumont : aussi
passerons-nous sous silence les détails qu'il pré-
sente à cet égard. - r
:Û ;,»Pilî^f)
■iK'
FIN DU QUARANTE-SIXIEME ET DERNIER VOLUME.
.. '4k/ ;J ,:•^»»»,
*iu;!
'!îU--i'V' ;>: : •■
Îî-J' -y-iii
■«.
TABLE
MATIÈRES CONTENUES DANS CE TOLUME.
VOYAGES EN EUROPE. ^ Foyages anciens et modernes. I
Généralités préliminaires. /ù.
Seizième siècle. — Montaigne. (1554.) Italie. > W
Dix-septième siècle. — Rbonakd. (1676.) Laponie. * 72
Dix-huitième siècle. — Labat. (1706-1715.) Espagne. ?•
ÂNDER80N. (1730.) — TnoiL. (1772.) Islande. 19
John Moore. (1766.) France. tt
Maupertuis. (1740.) Laponie. t2
Lady MoNTAOUE. (1720-1760.) Turquie. il>
Ghoiseul-Gooffier. (1776.) Grâce. M
Porter. (1768.) Turquie. tflft
D'OHssoN.CaSO,).»». 121
TowNsoN.(1777.) W», 127
GoxB. (1778.) Russie. 133
Pai-las. (1768-1773.)/*. IM
SwiNBURNE. (1776-1776.) Espagne. 161
Peyron. (1780.) Ib. 169
BOURGOINO. (1788.)/*. 172
Fischer. (1797-1798.) 7A. f76
MoRPHY. (1798.) Portugal. 166
PiLATi. (1777-1779.) Hollande. 190
RiEDSEL. (1771.) Grèce. 196
Saint-Sadvedr. (1 781 .) Ib. 198
PouQDEVitLE. (1 798- 1 801 .) /*. 206
Dix neuvième siècle. — Marcel de Serres. ( 1 809-1 8 1 0.) Autriche. 21 7
ViALLA. (1810.) Monténégro. 240
MiMAUT. (1820.)Sardaigne. 266
Albërt-Mointémont. (1821.) Italie. 260
PicnoT. (1824.) Angleterre et Ecosse. 273
Dacmont. (1830.) Suéde. 266
TwiNiNo. (1834.) Norwégc. 206
FIN OR I.A TABLf.
ê
.'¥ .-^"
TABLE GÉNÉRALE
ANALYTIQUE ET RAISONNÉE
DES MATIÈBES CONTEWUÏS DANS LBS «0ARAI»TB-SIX TOIDMES
DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE
DES VOYAGES.
Nom. Cette table a été rédigée par M. LoDi» DEMist4TRiE.
^fi ^ï "/ \v ' ^ .1 i '^ ' 'i
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TABLE GÉNÉRALE.
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Il'
.1] .1 ( ;
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tt>-
.1; r.
Aba*** (liabitaus de TAbazie, pro-
vince de la Russie d'Asie). Leur pays ,
t. XLV, p. 438, 439. — Leurs mœurs,
leur costume, 438, 441. — Belles fem-
mes ; vente d'enfans , 439. — Vente du
père par le fils; éducation des cnfans
des princes; piraterie; respect pour les
croix , 440. — Restes de la religion
chrétienne, 441, 445. — Ignorance,
441. - Caractère, 442. — Traits gêné,
raux de mœurs et d'usages , 444 à 451.
Voyez Caucase.
Abbassabad (village du Khorassan ,
Perse ). Origine singulière, t. XXXV,
p. 167- — Fort, caravenserail, 168. —
Habitans mécontens de leur sort, 169.
Abtrmale (une des Iles Gallapagos),
découverte par Cowley, 1. 1, p. 3-55. — ■
Ses animaux, XVI, 59.
Ahyssinie ( grand pays de l'Afrique
orientale). Voyage de Bruce, d'Ar-
kééko à Gondar, t. XXIII, p. 193- —
Arbres et plantes du pays, 197, 203
à 213, 216, 252, 374, 402. — Carac-
tère, costume des Sliilios, 198. — Ani-
maux, 206, 209, 218, 241, 254, 260,
337, 467 Mont Taranta, village
Halai, naturels, 207 à 209. — Dixan,
211. — Péages donnés à ferme, 219.—
Fleurs, 222, 237.— Ruines d'Axum,
233. — Tableau géographique des
provinces, 322. — Le Begend. % 326,
328. — Les Gafats, 331. — Usages
du p.iys semblables à ceux de In Perse,
335 et suivantes.— Couronne élective
dans la famille, 335, 3Î1, 368. —
Sacre, couronne , occupations du roi,
336, 362. — Conseils, 338, 347. — Mi-
nistres divers, 298, 338, 350, 362, 463.
— Attributs et privilèges de la royau-
té, 338, 348, 351, 362, 463. -
Adoration du roi , 342. — Origine du
nom de Prêtre Jean, 347. — Orne-
men» royaux, 348. "- Prince» dif-
formes se peuvent être rois, 349
Pains d'Abyssinie, 351 .— Récompen-
ses, 353. — Supplices, 355. — Mariage
du roi , 368- — État des héritiers du
trône , 368. — Armée, étendards, 370-
— Extérieur et intérieur des églises ,
375 et suivantes. — Moines , 377. —
Division du temps , 80. — Provinre
de Shoa , 392. — Première église ca-
tholique , 394. — Fertilité du Bafi-
Baha , 395. — Marchés sous les arbres,
399. — Charmes, 403. — Rivière
d'Assar, 404. — Montagnes de la
Lune , 416- — ' Sacala : miel , églises ,
420. 422. — Sources du Nil, 424, 428-
— Animaux de charge, 467. Voyez
Agowt, Damot, Dembia, Gojam, Gondar,
capitale, Gaanjock, Goutio, Hazortat,
Kuarae, Latta, JUaitsha, Ras-el-Feel ,
Sirf, Taeazzi, Tigré, Woggota.
Abysiinient. Costume de chefs ,
t. XXIII , p. 175, 179. — Ont le porc
en horreur, 242. -*- Appellent les Eu-
ropéens les Francs, 293. — Usage»
semblables à ceux des Persans, 335-
— Usages singuliers, 345- — Repas,
357, 36]- — Mœurs et usages sembla-
bles à ceux d'Egypte , 358, 367, 380-
— Mariage et ses suites , 367. — Cir-
concision , 378. — Blessures à la mort
d'un parent 379. — Vénération pour
le Nil, 406, 424, 428, 451.- Vête-
meus, 465. — Religion, travaux , or-
nemens des Kemmouts , 471, 472.
Aeapuloo (y'M.e du Mexique). Voyez
Passim, t. II, p. 206 à 227, et XLI,
p. 412.
Acba ( ville Felatah de l'Yarriba ,
Guinée), t. XXX, p. 115. — Jolies
femmes; caractère, 118.
^cA<vi(i ( royaimie de la Guinér).
Voyage dans le pays , t. XXVIil ,
•a
304
TABLF^ GÉNÉRALE
p. 380 et snivautec. — Sacrifices hn-
tnains, 386. — Dounqna , 388.— Fon-
taine d'Éloquence, 394.— Riches cos-
tumes, 399. — Sacrifices de montons
ont remplacé les sacrifices humains,
401 . »- Description d'un sacrifice hu-
main, 402. — Privilèges du roi, 4U6,
425, 429. — Mœurs , usages » 407,
425, 430. Tradition sur la création,
408. •— Suicides; femmes dn roi, 409,
429. — Tactique militaire ; chants po*
pulaires; grandes fourmis, 410. —
Gouvernement, 424- — Ordre de suC'
cession, 425. — Religion, épreuves,
fêtes , 426- — Occasions des sacrifices
humains; jugemens, 428. — Mariages;
population ; commerce , 430. — Musi-
que, 432- Voyez CounuusUt capit.
Aclmim ( viÛe de la Haute-Egypte ).
Habitans; canal; courent, t. XXIII,
p. 86.
Aehrtf/on J7i/inij(y{ ville dn Mazan*
4éran , Perse). Ruines du beau palais,
t. XXXV, p. 3139. Ancienne opulence,
340. — Belles ruines, XXXVII, 319.
Açorti (lies de l'océan Atlantique).
Origine de leur nom, retrouvées et
reconnues par les Portugais, qui y
trouvent une statue montrant l'Amé-
rique , t. I , p. 24. — Ont été décou-
vertes par les Flamands, IX, 157. — •
Résidence du gouverneur, ISO.— Fré-
quence destremblemens de terre, cli-
mat saluhre, 161. — Détails sur la dé-
couverte; volcaos, XX, 436 etsniv. —
Apparition et disparition de l'Ile Sa-
brina, XLt , 1 71 et XLII , 389. — Pro-
bibition de l'esclavage, XLII, 384. —
Origine probable des Iles, 385. Voyez
Corto, fqjral, Floret, Saint - George,
Graeioia, Saitta- Maria, Saint - Mieh*l,
Pieo, Tercere.
Acouan (une des Iles Aléou tiennes).
Aspect, t. XIX, p. 282.
AoAirsoN. Son Voyage en Sénégam-
bie,t.XXlI,p.60.
AdHatdt (lie. Terre de Graham,
océan Antarctique). Aspect imposant ,
t.XXI, p. 462.
Adèle (Ile, Polynésie). Nommée par
M dOIrville.t XVill, p. 306.
Adeh ( ville de l'Yémen, Arabie),
t. XXXI, p. 239.
Ad-lergty (ville du Woggora, Abys-
sinie). Cimpagne, rivière, hyènes,
t. XXIII, p. 259,26a
Aâig* (rivière d'Italie), t. XLV
p. 398. '— Ses sources, 404f.
A'ijimir ou A^mere (ville du Rajpnu-
tana, Hindoustan). Aspect: forteresse
remarquable, t. XXXVI, p. 325 —
Tombeau fameux, 326. — Célèbre
temple des environs , 327, 328.
Adowa ( capitale dn Tigré , Abyssi-
uie). Ses montagnes, t. XXIII, p. 223.
— Situation, 225 — Églises, 226. —
Manufactures, 227, 230. — Sol; ré-
colte; bétail, 227, 229.
Adriatique (golfe). Navigation dans
ses eaux, t. XLIV,p. 329. — Ile Lis-
sa , 330. — Ile Grossa, 331. — Golfes
dangereux , 331, is32.— Ile Pola, 333.
— Rovigo , 333 — Côtes d'Istrie ,
334 — Trieste, 335. — Venise,
336; XLVI,267.
Affagay (ville du Bournou. Sou-
dan), t. XXVII, p. 139, 262.
Afghans (peuples du Caboul). Leur
inimitié avec les Seiks , t. XXXVII ,
p. 56. — Esprit d'égalité ,64, 68. —
Tribu de Momunds, 74 > 76. —Tribu
de Khyberis, 77. — Esprit de tolé-
rance religieuse, 81. — Traitement
des chevaux , 82. — Tribu de Ghiliis ,
83. "^ Caractère ,85, 94. — Langue,
94. — Origine juive , histoire , 1(16.
— Tribu remarquable deKaffirs, 109.
— Montagnards huzaras, 116, 118.
Afrique, Détails géographiques, for-
me , étendue, t. XXK pi.—. Points
extrêmes, limites 2. — Déserts, 2, 7. —
Circumnavigations par les Phéniciens
et les Carthaginois, 4. — Absence de
mer particulière , caps, 5. —Fleuves,
grands lacs, lies, 6. — Montagnes,
7. — Découvertes des Portugais, 8. —
Découvertes des Anglais, 18 à 22 et
38 à 45-— Découvertes des Français,
22. — Source de l'esclavage , XXV ,
303.
Aghadèt ( vallée des Tibboiis dans
le Bilma - Sahara ). Arbres , animaux
féroces , t. XXVII , p. 83 , 442.
Agowi (peuple de l'Abyssinie),
t. XXIII, p. 330. — Leurs denrées de
commerce , 399 , 457 , 459. — Leur
miel, 401 .— Leurs sacrifices au Nil,
433, 451. — Etaler t autrefois puis-
sans, 456. — Clir.at, température du
pays, 457. — Tributs, 458,459. -
Vêlemen.f, 458.
Agra ( province de l'Hindoustan).
DES MATIERES.
305
Voyage ilans le pays , t. XXXI , p. 70,
XXXVl, 290. — Ville kaiute de Binda-
brund, 290. — Muttra , révérée des
Hindous ; respect pour les animaux ,
beaux édifices, 291. — Campagne,
290 , -.^. - Villages , 292., 203 , 'JSI.
-~ Ruinés , 293 , 290. — Futthe-
poiir, 29tf.' — Qpnstructiott des ponts,
298. Voy. BamtaroH.
Agra (capitale de la province). Au-
trefois très opulente, maisons, hazur,
tombciux , t. XXXI , p. 70
Agrigente ( ville de la Sicile ) ,
t. XLVI , p. 196.
Aiglt ( lie de V). CAtes d« la Non-*
velle-Galle du sud, découverte par
Cook, t. VI, p. 347.
Attu (groupe des lies Radack,Pory-
nésie), découvertes- par Kotzebn*,
t.XVII,p. 206.
Airiele (lie: groupe Kawen, tle«Ra'-
(lack, Polynésie). Découverte par Kot-
zebne, t. XVII, p. 191. — Visite a la
reine. Pantomimes, 192.
Akootan ( lie des Aléoutiennes ). Ses
hantes montagnes , t. XI , p. 44.
Alabama (un des Etats-Unis). ïleçoit'
les Indiens Creeks, t.XXXlX, p. 343.
— Jeux des Indiens , 348. — Mont-
gqmery, 356. — Mobile : sa baie, 358t
voyez Crtekt.
Al'-inie (province de la Turquie
d'Asie). Voyage dans le pays, mœurs
et usages, climat, t XLVI, p. ^9.
Albany[y'A\e du New- York ,^tats-
, Unis). 5iège du gouvernement ; pros-
périté, canal Erié, t. XXXIX, p. 36.
— Législature , séances de l'assem-
blée législative , sociétés , 126.. —
Séance du Sénat, 127. — Rage élec-
torale, 1S8 et suiT. — Catial Erié ,
XL1,267.
Albatros (on mouton duQip). Des-
cription de cet oiseau , de ses mœurs,
t. XV . p. 332 ; XXI , éSS et suir.
Ai.BKRT-MoirTKiioirT. Description
de l'Italie et de ses principales villes;
mœurs et coutumes des habitans.
. Italiennes , leurs conditions ou des-
tinée, t. XLVI, p. 260 à 272.
AlbiHoty de la Sénégambie, t. XXV,
p. 321. — Elépbans et singes albi-
nos, XXXIV, 160, 174, 281. —
Singes blancs de Célèbes, XLIII,
Ikxiij.
>f{i(M (Nouvelle-. Amérique septen-
XLVI.
trionale) , découverte par Drakc, t. I,
p. 181.— Aspect du pays, caps divers,
X , 337. — Exploration de la cAte , ses
aspects. XIV, 141, 145, 147, 161,
170, 181 , 201 , ri27. - Pointe des
rochers , 149. — - Pointe et baie Saint-
Georges, 151. — Cap Oxford, 153.
— Figure, formes, véteniens, piro-
gues , armes , outils des naturels , 154 ,
155, 184, 201, 207,218 et «uiv.,
231 , 2J3. —Le cap Blanc, 158 : eap
PerpeMa, 159; cap Oxford, 160.—
Pointe Grau ville, tle delaDestructiuu,
164.— Montagne remarquable, 167.—
Exploration dir détroit deFuca, 169 et
suiv.'i— Poiute New-Dungeness , l)tf),
184. -Mont Baker, 180— Remarqfibs '
sur la cûte, 181. —Description du
%|ivre delà Découverte, de ses ha-
bitans et du pays adjacent, 189 et
!>uiv., 21 1 et suiv. — Port de Town-
shend, 198. — Pointe Marrovp| anse
des Chênes, 199.— Pointe du Mau-
vais-Temps, 200. — Pointe des Noi-
setiers) absence d'habitans, 203.—
Canal de Hood, 210. — Sol, 212,
216. •— Productions minéralogiques,
212. — Productions végétales, 213.
— Quadrupède», 214, 235. — Oi-
seaux, 215. — Poissons, reptiles,
216. — Règlemens publics , économie
domestique, 220. — Conjecture sur
l'apparence de dépopulation, 221. —
Manière de disposer les movts , obser-
vations , conjectures à ce sujet, 222 à
226. — Fables débitées sur la barbarie
des insulaires, 237. — Voy. port de la
Déeounrtê , port Grajr, rivière OtUm-
bitt, port de la TrùuU.
Alboqdsrquk ( Alphonse ). Son
prvmier voyage dans l'Inde , t. I ,
5. 81. — Bat le zamorin de Calicut,
4 et suiv. — Son nouveau voyage,
93. — Mis aux fers par Almeyde, il
reprend bientôt sa dignité de vice-
roi, 102.— S'empare de Calicut, 103;
de Goa , 104.— Ses lientenans décou-
vrent les Molucques, 105. — Il meurt.
Décadence de la puissance des Portu-
gais dans l'Inde , 106.
Al-Djezjrr«h ou Mitopotamit ( pro-
vince de la Turquie d'Asie). Voyag.t
dans le payl^; t. XXXII, p. 462 et suiv.
— Bir , 465. — Orfah : danses , mos-
qxi'cu et leurs oiseaux', intérieurs de
maisons, bazars, 466 à 468. — Mous-
20
300
if TABLE GÉNÉRALE
•el : cafés, bains, figure des naturels,
vostumes et ornemens , 480 à 482
Alt»>»j» ( province de Portugal ) ,
t. XL VI , p. 187.
AUoutitHiui (tles. Mer de Beh-
ring). Navigation dans leur» eaux,
t. XI, p. 39 et suiT.; XIX, 280. -
Ile de Coagalga, 282. Voy. AkùotM,
Ootialla , OoHolathka , CcKemnk.
AUp (ville de Syrie, Turquie d'A«
ftie). Portefaix, t. XXXII, p. 41. —
Mosquée, cafés, 400. ''
AtkXAirnRK. Souvenirs divers de
ce prince dans l'Asie - Supérieure ,
t. XXXVII , P. 36 , 135 , 168, 343 ,
344 , 378, 383, 412 , 415, 419, 455.
AUsaitdr* if" (arcliipel de la Poly-
nésie), découvert par Belliughausep.
Sauvages babitans, t. XXI , p. 441 .iV
Aleaaitdr* 1" ( île de l'océan Gla-
cial antarctique), découverte par Bel-
linglmusen , t. XXI , p. 446.
AUsmdnt (ville d'Egypte). Aspect
déduisant, intérieur, t. XXII, p. 217,
•128. —Ruines, 218, 4i29. — Commerce,
fortifications , 220. — Importante sou6
les." Htulémces; (ia situation, 427. —
Citernes , climat , 429. — Aspect «,.
\. XXIII, p. 55. — SesTpurts. Sa fou-
dation , 56. — ' Campagne stérile, 57.
— Antiquités, 58. — Fortifications,
60. — Belle rue, population, 61.
Altxandrina (lac de la Nouvelle-
Hollande), découvert et nommé par
Stnrt, t. XLIII, p. 334, 366.—
Communication du lac avec la mer ,
335, 336, 340, 373. — Oiseaux de
ses bords, 3)5. — Se comblera avec le
temps, 345 —Ne communique point
avec le golfe Saint- Vincent , 368 —
Massacre du capitaine Barcker par les
naturels, 374 à 378.
Alger. Son aspect, ses fortifications,
t. XXII, p. 181 , 210. — Intérieur,
campagne, 182, 210. — Arts, bains
chauds, 188. — Jardins, 196. — Ci-
metières, 212.
Atgéri* (col. franc, de l'Af. sept. ).
ProducHons, t. XXII, p. 183, 189,
196, 203, 209. — Oran , 182. —
Arzew, l83. —Ancienne magnificence
de Sherbell , 184. — Rt^cs antiques
de Constantine, 185. — salubrité du
clima.t, culture, 195. — Fertilité du
soL 197. — Mines , 197. — Animaux,
196, 200. — Manufactures , 203. —
Denrées , 203. — Rivières, provinces,
209. — Habitans divers, 213 Boue,
XXIII , 26. — Voy. Arob*$ . KoèiU. .
Mauret.
AigMttu, Mœurs , parure Hes
femmes, religion, t. XXII, p. 187.
— Education , arts , 188. — vCostiime
211. — MaHages,2l2.
Algi ( ville du Kiama , Soudan ) ,
brûlée p; le moyen de pigeon.s,
t. XXVllI, p. 152.
AU-Allahii ( secte de Persans ).
Croyance , coutumes , t. XXXV ,
p. 123. et suiv.
« AlicoHt*, ville d'Espagne, t. XLVI.
p. 177
, Alie (/a Nyi»ph*)y (le de l'Austra-
lie , découverte par Bougaiuville ,
!ï IV , 322.
Aligki, ville des Tibbous du Bilma .
Sahara, t. XX VII, v 71.
AlloMbad (province de l'Hiadon-
staii). Voyage dans le pays, t. XXXVI,
p. 129. — Nombre des mahométans ,
133. -_ Ville de Seidpour, 139. —
Avenues, 140. — Chunar, 156 (ii
158. ^ Mirzapour, 159. — Campa-
gne, 167, 176. — Paysans armés,
168. — Champ de tombes, 169. —
Caravanserais , 171. — Villages, 174.
— Cawiipour, 174. Voy. Binarit ,
Fmttehpour , Gliazeipour,
Allahahad ( capitale de la province}.
Favorable situation , t. XXXVI, p. 1C3.
— Tribunal, 164. — Fête de Ra-
mayuna, 165. <
Allard, général français au service
de Rnnjeet-Siug, sa voiture à Lahore,
y accueille Burnes, t. XXXVII, p. 14,
26. — Son jardin, 433.
Allemands. Caractère des hom.nes et
des femmes, t. XLVI, p. 230 et suiv.
Almetdi. Son voyage et ses exploits
aux Indes, 1. 1, p. 91 et suiv. — Son
fils d4co;ivre l'ile de Ceylan, 92. —
S'empare de Daboul, 10O.
Almcrah (capitale du Kemaoun, Hin-
doustan). Climat insalubre, t. XXXVI,
p. 211. — Route, rue, maisons des
indigènes, 233. — Propreté de la ville,
aspect de l'Himalaya, p. 234.
Alor* (ville et antique royaume du
Siudhy. Hind. ). Ses ruines, son his-
toire , t. XXXVII, p. 376 et suiv.
.<^/«uarn Mlcs Saint-, Australie), nom-
mées par d'Entrecasteaux, t, XV, p. 89.
DES MATIERES.
307
•roTiDces,
— Bone,
Kébilti ,
rare «Ioh
, p. 187.
Costume ,
Soudan ) ,
pigeons ,
Persans ).
XXXV,
, t. XLVI.
le l'A\jstra-
iigainville ,
s du Bilma .
I l'Hindou -
,f.XXX\I,
ihométans ,
ir, 139. -
lar, 156 1»
— Campa-
ans arméi),
tes, 169. —
liages, 174.
Bifnaièi ,
province^.
LVI,p.l63.
He de Ra-
•
lis au service
■eàLahore,
LVII,p.l4,
ishom.'neset
230 et suiv.
nés exploits
suiv. — Son
|lan, 92.—
saonn, Hin-
^, t. XXXVI,
laisoDS des
de la tille,
m.
jroyaume du
les , son bis*
jet suiv.
ltraUe>, nom-
ft.XV,p.89.
Alpni. Dophrlnes on Scandinavei^ ,
t. XLV, p, 7, 93. — BaTOroises, 359,
"îgil. — Tyroliennes, 362 à 402. —
Costume de paysans , 383. — Le
mont Brenner, 385. — Aspect du pays,
385 et suiv.— .Villages, 388,391 et
aaiv. — L«, grand Glochncr, 391, 392.
— Célèbre pasiîage de l'Ortler-Spitz ,
402.- Le Mont-Blanc, XLVI, 16,31,
44. — Massif nlpique et ses groupes ,
21, 24,27.— Origine et signiiication
du nom , 27. — Alpes Dinariques , 28.
— Maritimes , 29, 38, 43. — Cottien-
ues ,59, 38, 43. - Grecques , 30, 30,
43. - - Penniues, 3>),36, 44. — Helvc-
fiques ou lépontiennes, 31, 37, 44. —
Rliétiennes, 32, 37, 44. — Noriqucs,
32, 37, 44.— Carniques , 33, 37,44. -
Juliennes, 33, 38, 44.— Région des
glaciers, des avalancbes , 34. — Val-
lées, 35. — • Défilés, 35.-— Hauteur
des faites, 36. — Alpes Bastarniques,
39. — Dopbrines ou Scaod^iaves, 44.
— Hauteur des principaux points, 43.
— Hauteur des principaux points des
Alpes Bernoises, 44.
Al que mi {^^^-ji dépendant de l'Yar-
riba, Guinée]. Belle campagne, t. XXX,
p. 42. — Larro : félicbe du lieu ; co
tume du chef, figure des naturels;
progrès du pays, 43 à 46. — Jenna ,
47 à 58. — ' Environs, cootume du
cbef , 47. — • Barbares usages à la mort
des chefs , 49 54 et suiv Dépopula-
tion , 50. — Industrie , nourriture dies
naturels , usages divers , 52. — Fem-
mes dévouées à la mort, 54 et suiv; —
Tambonfs arlistement ciselés, 58.
Aliten ( île de la Norvège ). Rési-
dence épiscopale, t. XLV, p. 128. —
C(s sept famonses i>iou<^agnes , 130.
AlUn ( goite , dislriflt , rivière , ville
du Finmark, Norwége), t. XLV, p. 2()2
à 265. — Animaux, 270. — Fête à la
réaparition du soleil, 274. — Z<a ïi*
vière, 298.
Altorm ou Alloun-Koupry ( ville du
Kourdistan, Tur. d'Asie), t. XXXII,
p. 484.
Antakota (tribu cafre). Dialecte,
t. XXIX, p. 118, 126.— Contrée 125,
263.
Amapcndat (tribu cafre) , t. XXIX,
p. 128.
Arxarapoura ou ^namapoura (capitale
duBirjnan), t. XXXIV, p. 454. 45*—
Fondation , situation , palais , maisons
sur pilotis , fort , population, pouvoir
de l'emperenr, 474; ses gardes, sou
costume, 476. — Feux d'ar; "res. 477.
Amargura (ile de l'arcbipei des Amis,
Polynésie), découverte par Maurelle,
sa stérilité, t. XIII, p. 138,237.
AmatK^foa (tle de!rai*tb-oel des Amis,
Polynésie), t. VIII, p.320' et suiv.
Ainat/mba ou Tambookitt ( tribu ca-
fre).^ Race. Dialecte, t. XXIX, p. 117,
118.— Sou territoire. Me forme pas un
peuple, 126.
Amazizi (rivière et tribu du sud de
l'Afrique), t. XXIX, p, 139.
Amazonei (fleuve des) ou Marognon
( Amérique méridionale ), Origine de ■
son nom, t. XXXVIIl, p. 62. — Se»
affliien», 63. — Son cours , 64, 68.
.^ Rapidité du cc.irant, profondeur,
64. — Phénomène du Prororoca, pois-
sons, 6 j. — Crooodiles , 66. — Magni-
fique aspect, XLII, 11. — Radeaux,
12 — Descente du fleure, 31 à 74. —
Canots, 34, 63. — Mosquites, 37. —
Coufiuens, 40, 61, 67, 69. — Les
Urubus(vautours), 54. — Les Amazo-
nes , 56. — Alligators, énormes serpens,
58. — Villes, 60,6r,66, 67, 68.— VU-
lages, 63, 69k — . Plantations, 66. —
Le Delta , 68. — Détails sur sa source
et son premier nom, 77. — Cours,
largeur de l'cmboncburt; , 396.
Amboint, (ile d.s Moluques, Ma-
laisie ). Comptoirs de son ressort
t. IV, p. 379. — Armée , 380. — Cul-
tnre exclusive du girofle, 384. —
Malignité du climat, tremblemens de
terre , 387. — Description générale :
l'ile a peu «"'attrait, XV, 72. — ; Carac-
tère ^es naturels, 72, 73. — Politi-
que de la compagnie hollandaise ,
73, 74. — Mœurs des naturels, 73.
— Épices, 74. —Décadence de la
compagnie , 75. — Population, Chi-
nois seuls étrangers aiimis, leurs obli-
gations, leur commerce, 77, 78. —
Religions , 78. — Exportation des
clous de girofle, introduction de la
muscade, tremblemens de terre, 81.
— Habitations , nourriture du peuple,
cacao, café, gisement» de l'Ile, 82. ^ '
Religion , Xtlll, xxiij.
Amhrjrm (Ile des Nouvelles-Hébri-
des, Australie), découverte pai- Cook , ^,
t. VIII, p. 329. — Naturels , 330 et *
suiv. — , Son volcan , '^48. — Sa cir-
conférence , 424.
308
^ STABLE GÉNÉRALE
Amérlq**. ÉUit en relation «Tec la
ScandinaTie, quatre (ièoles avant celoi
de Colomb, 1. 1 , p. 10. — Généralités
snr le pays , XXXYIII, 1. *— Limite
boréale, 3. — Superficie, 4. — Mon-
tagne!, 6. — Rivières, golfes, 6. —
Mers intéricnr<i , détroits, 8. — Caps ,
9. — Presque (les, 10. — Lacs ,11. —
Savanes, llanos, 12 — Déserts, 13-
»- Climat, 14. '— Tremblement de
terre, volcans, 15 —Productions,
16. -~ Animaux, 17. — Mulâtres;
ignre, formes des indigènes, 18. —
Variété de couleur, origine, 19. —
I^angnes , 20. — Tableau statistique
des Américains sous le rapport de
leur idiome , 22. — Religions , 23. —
Gouvernemens , 25. — Constitutions,
28. —Comparaison de ses plaines aviÉ
les steppes, déserts, etc.372,ctsuiv. —
Population , 388 , 390. — Rapport de
la superficie des différens États et de
leur population , 393. — Projets de
section de l'isthme, 409. — Influences
do l'esprit démocratique, XXXIX,
204. -::. Traces du déluge, 206.
AmMqut mMdional*. LIanos, pam-
pas (plaine»), t. XXXVIII . p. 12 , 69,
408. — Gouvernemens, 25. — Cou-
fins, 6\. — Superficie, 62. — Mon-
tagnes, 52, 406. — Climat,. 55. —
Productions, 57. — Animaux , 59. —
Fleuves , 61. — Habitans , religions ,
population , 70. — Voyage chez les
Indiens k l'ouest des Guianes , XLl ,
173. (Voy. Guiane anglaise) — Ses,
Pampas et leurs habitans, voy. c*
n»m. — Manière de tuer les bestiaux,
401, et,suiv.
Aménqut russe. Exploration ée la
c6te , par Cook , noms donnés à dif-
férens lieux, détails sur les naturels,
t. X, p. 426 à 452. — Reconnaissance
de l'entrée du Prince -Guillaume.
(Voy. et aoM.) — Mœurs et usages des
naturels, 439 à 452; et XI , 1 à 18. —
Suite de l'exploraUon de la côte, 18.
— Rivière ou entrée de Cook, 23.
(Voy. e« nom.) — Exploration de !a
côte ouest , noms donnés à plusieurs
lieux, 47 et suivit — Baie de Bristol, 48
etsuiv. — Remarquable cap du Prince^
de-Galles, 53. -Entrée de Norton, 96.
— Naturels ressemblant aux Esqui-
maux et aux Groënlandais, 124. —
Marées, 125 — Arbres, sol des mon-
tagnes, nombre d'indigènes de la côte
sud, XIII , 304. — Navigation le long
de la côte , 335 et tiuiv. 345 et sniv. ;
XVII, 81 à 105: XIX, 251 à 284,
430 et sui^r. ~- Description du port et
des naturels de Clarence, 449, 451.
— Voy. Chamitto , EUon , Etquimaux
d* l'outst , eap du Prince -4»' Gallei ,
Grantley,'Hope , Kotzeiue , A/ulgrgft,
Norton , Portlock , r^giont arctiques ,
Sl-Elie, Sarittekeff, Sitka, Tr fiutiky.
Amérique' septentrionale. Savanes,
t. XXXVIII, p. 12. — • Gouvernemeu»,
25, 51. — Gisement, 29. — Bornes,
superficie, 29,30. — Golfes, 31 . — Dé-
troits, 33. — Système devoiontagnes,
34. — Hauteur des principales , 35.
— Bassins, fleuves et leurs cours , 36
et sbiv. — Climat, productions , 48.
— Animaux, 49. — Religions, lan*
gués , 50. — * Variabilité du climat ,
XXXIX, 24. — Diverses influences de
l'espKt démocratique , 204 et suiv. —
Traces du dé'ige, 206. — .Tentative»
faites pour trouver un pnssage au
nord. État de nos connaissances à cet
égard, XL, xj, xxvj, xxxj. — Voyages
de Franklin sur les côtes de la mer
Polaire , 477, 489. — Rivière de Cui-
vre, 481, 487.
Amhara. ( Prov. de l'Abyssinie ),
Étendue, sol, habitans, t. XXIII,
p. 328.
Amhkrst. Son ambassade à Péking,
t„ XXXIII , p. 351. — Différends sur
le cérémonial , 352, 355, 362 , 365,
367, 371. — L'Empereur fait con-
gédier l'ambassade , 376. — Séjourne
a Nanking, 396. '— A Canton, 422.
Amidl^Amid ou montagnes de la Lune
(Abyssinie) , t. XXIII , p. 415, 416.
Amirauté (tlei de /'). Partie de l'ar-
chipel de la Nouvelle-Bretage ^ dé-
couvertes par Carteret, toro. III,
p. 1^1, 162. — ■ Pirogue de cinquante
pied^et d'un seul arbre, 160. —
Description des habitans et de leurs
armes , 161. — Voy. Négros , Vtn-
dola.
Amis (des des) ou Tonga-Tabou (sr-
»:hipel de la Polynésie ). Pourquoi
ainsi nommé par Cook, détails sur sa
découverte , t. VIII, p. 73, 325. —
Comparaison des Iles et des habitaDs
avec ceux de l'archipel de la Société
et ceux de Taïti, 75 et suiv. — Produc-
tions , habitations, animaux, domes-
tiques , poissons, filets, piroguesi,
DES MATIÈRES.
300
outils , 83 et »mt, — > Naturels , leurs
vétemeas , ornemens , ainiisemens ,
iostrument de musique, manière de
Diiluer, caractère, S6 et suit. — Cou*
tûmes singulières : mutilation du petit
doigt , 90. — Gouvernement , 9*. —
Aisance acquise par le travail , 94. —
Keligion , langue , 95. — Population ,
dialecte, moral, etc., des liabitans, 327.
— Cook. reço it à bord le roi de ces lies ,
IX, 340. — Disposition des insulaires
au Tol, 342. -^ Leur opinion superti-
tieuse sur l'Ile Toofoa , 348. — Res-
pect pour les chefs, 381 , 389. —
Plante et liqueur kava , 445. — (^uis-
Min des po^s, 448, 450. —Punition
de l'infidélité dos femmes, X, 32. —
Articles les pluspropreaaux échanges
arec les naturels, 39. — Nombre et
nom des fies, 41 , 42. ~ Voyages de
long cours des naturels, 50. — Leurs
formes, teint, maladies, physionMfnie,
53 et suiv. — Douceur de raœurf\ 58.
— Ptachant au vol , 59. — Cheve-
lure , 61 . — • Tatouage , circoncision ,
vétemens, ornemeos, 62,63. - -Pro-
preté, 64, 65. — 'Occupatiop j des fem>
mes , étoffes , 66. — Occupations des
hommes , agriculture très cultivée ,
67 et suiv, — Constructions des mai-
sons, 70. — Meubles, 71 . — Outils, 72.
—• Instrumens de musique, armes, 74.
— Nourriture , cuisine , repas , réu-
nions, 76 et suiv. — Mariages, poly-
gaopie permise anx chefs , 79.— Céré-
monies funèbres, blessures en signe de
deuil , 80 et suiv. — - Croyances reli-
gieuses , Être suprême , immortalité
de l'âme, 83. — Gouvernement res-
semblant à celui de la féodalité, 85)
86, 93. — Hommages rendus au roi,
87 et suiv. .— Bon ordre des assem-
blées, 88. —Quelques privilèges du
roi, 89. et suiv. — Officier de police ,
92. — Remarques sur la langi^ 95 ,
224. — Sacrifices humains, 130. — La
connaissance des Européens a-t-elle été
heureuse pour les insulaires ? 208. —
Mœurs semblables à celles des insulai-
res des lies Sandwich et de la Société,
331.— Gomment la même nation s'est
répandue sur toute la mer Pacifique ,
333. — Sol des Iles, XIII , 148. —
Les naturels se coupent les deux
phalanges du petit doigt, 149. —
Conjectures sur le gouvernement et
l'ordre de succession au trAne , XV,
173,178. — PoUov, disposiUona des
indigènes an vol , 177. — Privilèges
des chefs, mutilations en signe d«
deul, voyages de long cours, 179. —
Natiirels peu belliqueux, 181. —
Voy, lUt Jlnamacki Amargura , Ammt-
tafoa, Boteavik ^cot, K*péraite« ;
F*ej« , Hamom , Hapnè* , groupe, JST*-
tuvjr, Uon^ K»o, JLa*a^«too, Ktpptl,
Middtlbourg^ Oghai», Tomga . Taîoti^
Tooj 6, Traftrm, Fatao.
Amman (ville de Syrie, Turgnie d'A* ,
sie) Ses ruines , t. XXXII, p. 416, 4t7.
ji/mof (ville duMaiandéran, Perse).
Antiquités intéressantes; popolation,
t. XXXV, p. 359.
Amr*tiir ou UmrUtir (ville du Pen-
jab, Hindoustan). Grand canaU céré-
monies du culte /eik, t. XXXVII,
fti 453. — Costume et caractère des
Acalis, 454. — Sel pour les vaches
sacrées , 455.
.<^mroaA ( ville du Rohilcnnd, Hin-
doustan). Mosquées, jardins, cannes k
sucre, t. XXXVI, p. 255.
Amsterdam (Ile, mer des Indes), t.XV,
p. 14.
Amsterdam ( Ile de l'archipel des
Amis). "Vo^, TongO'Tahou.
Amsterdam ( Nouvelle-, ville de la
Guiane Hollandaise ), t. XLI , p. 229-
Aitaekoriies ( Ile , Australie), décou-
verte par Bougainville, t. IV, p 319.
An-Am. Voy. Cochinchine.
Anamapoura. Voy. Amarapoum.
Anambas ( archipel de la mer de la
Chine), reotnnn par Bougainville fils,
t XVIII, p. 408.
Anamocka ou Rotterdam (Ile de
l'archipel des Amis, Polynésie), dé-
couverte par Tasman, 1. 1, p'. 348. —
Beauté du pays; hospitalité, costumes,
maisons des natnrels, t. VlII, p. 316,
318, 324. — Sol; étang intérieur,
323. — Productions, 325. — Habitans
lépreux, 326. — Natnrels, pirogues ,
disposition an vol, IX, 337 et suiv.
-TT* Aspect, sol, productions, 344. — •
Aspect des tlos du Nord, 347- — Denils
sanglans, XIII, p. 321. — Prostitution,
426.
Anay (ville des. Tibbons, Sahara ),
t. XXVII, p, 68.
Anehidites (Iles , cAte de l'Hindous-
tan , ouest). Signification <^a nom , 1. 1,
p. 59..
Andalousi» ( province d'Espagne ).
310
TABI^ GÉNÉRALE
*
•
Voyage dnui l'iAtcricur, f. XLVI ,
|). 177 et suiv. — Curdoue, patrio de
Sénèque et de Lucain , 177. — Sérille,
Cadix, 178.
Andanam (des du golfe du Bengale)
reDtit, 394- — Aoutea; {ilateanx , 897.
— Régions des mines diverses , 397 et
siiiv. — Plaines du bas , 398. — Le»
«racM, 401,402.
Amdréussi fait la reconnaissanrc
Structure, sol, t. XXX4y, p. 2. — Ile de l'ancien lit do Mil, tome XXII,
Narcondam , 4-
A»<itrtoii[\\e, merde Bebring), nom-
mée par Cook, t. XI, p. 60.
AMUERsoir. Ses voyages en Europe,
XLVI, p. 77. r
Atdti ou CorJiliire, ou Cordilière dt»
Aitde$ ( munlagaes de l'Amérique mé-^
ridiouale). Origine du nom. — Maxi-
ma des lignes dt faite, t. XXXVIII,
p. 5. — Volcans, neiges éternelles, val-
lées , 03. — Hauteur des priucipaux
sommets , 54. — productions , régions
de.s plantes , 57, — Régions des ani-
maux, 59. — Itelation de la découverte
del» mer du Sud, du haut des monts,
par Vasco Nugnez, 248. — Soi^ccs
pour les deux vcrsans, XLI, 281 —
Voyage dans les montagnes (au Pérou),
342. — Sol , 343, 350. — Productions,
343, 353. —Ravines, 344; 381 . —Pos-
tes, 314 — Eaux tliermates, 345—
Gorges , 346 , 356 , 358. — Animaux ,
316,355, — Rocher8,347, 356,365 —
Belles vues , 347. — Filons de cuivre ,
319. — Torrens, 355, 360. — Por-
phyre, 356. — Huttes pour les voya-
geurs , 361, 363, 365, 367. — Oura-
gans, 362. — La Cambre (chaîne su-
périeure), 365, 387. — Ville nouvelle,
368. — Passaj^e de la chaîne, XLII,
4 à 34. — Villages, 6, IflJ 18, 31. —
Ancienne danse indienne , 6. — Pas-
ses remarquables, 7, 13, 17, 21, 23,
29. — Vallées, 8. — Productions, 8,
13. — Sommets des monts , 9, 13. —
Seconde Cordillère ; sources ; magni-
fique aspect du Maragnon, 11. •—
•Ours , 16. — Plumes de condors ; sin-
guliers chiens de bergers, 19. — La
JUoiitagna ( district des bois ), 20. —
Prudence et agilité des mules, 21 . —
Abeilles et cire noires, 22. — La
Fentana, 23. — Rivières , 23, 24.—
Clôtures, 24. — Sarbacanei des In-
diens à lancer la flèche, 2£ — Cas-
cade, torrent for^dablc, 30. — In-
diens peints, 32, — Considérations
géuéraîes , 74- — Les trois branches
des Andes. dans la Colombie. Leur di-
vision sous le rapp . •* de la tempéra-
turc,. Aspect , climiit , 393. — Saisons ,
P, 452,
Anirinopte (ville de la Roumélie,
Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 257.
— Belle campagne, XLVI, 86. —
Jardinier!» bergers vivant comme ceux
de l'antiquité. Marche des troupes de-
vant le grand seigneur, 87. — Ha-
rems, 88.
Angola (ville du Boumou, Soudan),
courd'uue princesse, t X^II, p 239
Angt'Kioof ( vallée de la colonie
du can de Bonne-Esipérance), t, XXIV,
p. 104 et suiv.
Angtaii, Leur caractère comparé
à celui Ides Écossais et des Irlan-
dais^ t, XLVI, p. 273 à 280. — Leur
Égolmo, 274,280,283.
Aiigltleirt. Impression que ptodiiit
ce pays, comparé à celle qu'éprouve le
voyageur en Franoe, i. XLVI, p, 2711
— Londres, 280 à 283.
Angornou (ville du Bournou , Sou-
dan), t. XXVII, p. 122.— Population,
commerce, 127.— Denrées; habilaus,
128. — Belles négresses, 177.
Anliinga, Oiseau à cou de serpent,
t. XXIV , p 275.
Aunatom ( Ile ^cs Nouvelles-Hébri-
des, Australie), Découverte par Cook.
Naturels anthropophages, produc-
tions, etc., t. VIII, p. 377 et suiv. —
Son aspect, XVIU, 303. •
AnsQif Ses iuiques expéditions con-
tre les Espagnols du Pérou et des
Philippines,' t, II, p. 74 à 354. — Après
avoir essuyé plusieurs tempêtes, ar-
rive à llle Juan-Fernandez, 132. —
S'empare de divers vaisseaux espa-
gnolK^ 156, 170, 173.— Pille et
brûle Paita dans le Pérou, 179 —
Est obligé d'abandonner successive-
ment presque tout le butin, 221,
236 — Risque d'être abandonné à
Tinian , 259, 272, — Relâche à Ma-
lao,en Chine, 291. — Obtient fort
difficilement l'autorisation du vice-
roi de Canton de se ravitailler , pour-
quoi? 296, 308. — Combat et prend
un galion espagnol, 312.— Rela-
tion de l'audience q><'il obtient du vi-
ce-roi dte'CantoD, 339.
#
DRS MATIÈRES.
A»ttq»trro (ville d'Eit».). t. XLVI,
|>. 109.
AnUgoû (Ile d« petites Antilles).
Miiisuns , rues de la capitale , t. XLI ,
|>. 275.
Antilltt ( archipel de l'Amérique
se|itentrionaIe ). Siognlière pro|frié-
té d'ua poison, t. XXXVIII, p. \9l.
— Population des lies , 3Û0, 409,
410. — Singulier caractère des babi-
taas, XLII, 461.
AnillUi ( grandes ). DikwiiTertes
par Colomb, t. XXXVIII, p. 100,
238- Voy. Cuba, Haui,la Jamttqut ,
Porto-Rieo , Tortui.
AnUH*i (petites). Dérouvertes par
Colomb, t. XXXVIII, p. 164. 239,
241. Voy. Antigoa, la Barbadt , la
Dçmimfuf , la Guadtloupt, Saintt-
Lucie , la Martinique , les Saintet,
AiiUoeh* (ville de Syrie, Turquie
d'Asie^, t. XXIII, p. 45.— Mai»uns,
rues, bazars, mosquées, grotte de la
Fécondité, gouvernement, divertisse-
ments, XXXII , 458.
Antiparoi(\\e de l'Arcbipel). Grotte
fameuse , t. XLVI , p. 96.
AoTouaou. Jeune Ta'ttien, emmené
par Bougainville ,' s'ir.sa demande,
t, IV , p, 231 — Son séjour à Paris,
250. — Meurt à Madagascar 231 ,
251 , 402.— Est le sujet d'une i; «sodé
des Jardiné do Delille, 251. — Avait
des notions d'astronomie , 258.
Aoudh on Oud* (province de l'Hia-
doustan). Voyage dans le pays, tom.
XXXVl, p 176 à 205. — Villages,
177, 197, 200, 201. 205. - Cam-
I>agae, 179, 199, 200, 202. — Gaze-
tier, 180. — Audience ■'u Tîawad ,
sa couronne, ses oeuvres scientifiques,
187 et suiv. — Usage singulier, 191.
— Anarchie de l'Eut , 193. 202. —
Fort Meiagunge , 197. — Belgaram ,
198. — Fertilité du sol, 199.-: C^""-
ricrs, poste, 201. — Vieille forteresse
de Suwmunuggur, 203. Voy. Lucknow
capitale,
Apéi (Ile des Nouvelles-Hébrides),
Australie, t. VIII, p. 339, 424.
Apsnniiu ( montagnes d'Itulic ) ,
t. XLVI. p. 31. — Hauteur des prin-
ripaiix points, 44.
A/)i,u<», Voy. Paoom.
Arabes, Extension de leurs ét^iblis-
st mens sur la mer Rouge ; avaient ,
ai ix" sièrle, nn radi à Canton , 1. 1 ,
3H
r ■♦'
p. 0. — Aiment les ebnveui long.* ,
parfumcat leurs habits ; oostnuio ,
figure de femmes , XXIII , 148. —
Leur race , XXXI , 19. — Effets du
lamitl , précautions, 326.— Noblesse ,
éducation , 327. — Réunions , carac-
tère , 329. — De la virginité , 331 . —
Propreté , offire des barbiers , hospi-
talité, saints, appartemcns , 332,333.
—Taille, repas, visites, maisons, ra-
reté des maladies , 334. — Usages ,
jeua dans les cafés, XXXII, 26. —
Méprisent les Turcs, 43. — Leurs pè-
lerinages à La Mecque. Voy. La lu«e-
(fue. — Pèlerinages des anciens ido-
Aires, 22(i. — Délicatesse de l'odorat,
234. — Superstition des matelots,
365. — Coutumes de quelques tri-
bus, 379. — Voyage pnnni les tribus,
à l'est de la Syrie, 385. — Fipure,
formes, XXXV, 15. — Peuvent rem-
placer l'eau par le sable pour leurs
ablutions, XXXVII, 247.
Arabn-B^douint. Leurs huttes dans
l'Arabie, t. XXXII, p. 13. — Leurs
iirovisions de voyage, 36. — - Elèvent
es enfans des chérifs, 173, 175. —
Condition des enfans du chef ré-
gnant, 175, 176. — Délicatesse de
l'odorat , 234. — Leur costume ; for-^
ment une race à part, 314. — Mé-
prisent les artisans, 319. — Leur race
s'est conservée dans le Ncdjed, 383.
— ■ Voyage parmi les tribus de l'est
de la Palestine, 385. — Campemens;
390, 419 et suiv. — Vols , 393. —
Récits de veillées, 409, 411, 426. —
Tentes , 419. — Souhaits à la per-
sonne qui éternue , 423.
Arabti d» la Barbarir. Ignorance,
t. XXII , p. 201. — Musique , 202. —
Divertissemens , mari.-iges , 204. —
Leur» formes , XXVII . 21 . — Ca-
ractère, 22, 26. — : Vêtemens, pas-
sion pour lesvécits, 23, — Hospitalité,
24 . 27. — Lâcheté punie , 25.
Arabtt tït l'Egypte. Description des
quatre classes, t. XXII, p. 245.
Arabes du Maroc. Leur vie nomade,
t. XXII , 91, 162.— Costume , figure ,
tributs^ 192 à 94. — Sont opprimés ;
leur agriculture, 95. — Chiens de
garde ^.
Arabes viathahUts. Ne vénèrent
point Mahomet , XXXII , 291.
Arabie, Etat du sol, climat, t, XXXI,
p. 325. — Vents cl leur» effets , 328.
4"-
312
TABLE GÉNÉRALE
V
— Habitaot Julh , 327. — Bel arbutta «
kou utilité pour le* femme* , 343. —
HUtorjqua dei voyages effectué!
daat le |iays, XXXII , l et luir. Voy.
Oman,
Arabii D^ierti, Voy. N*Jlj*J,
ArûhU H«un»it. Voy. Y^tun.
Arabie P4lr^*. Voy. //*<(/«.
Araè(y'\\\t de la Hongrie, empire
d'Autriciie), t.XLIV.p. 119.
Aragon ( proTiuoe d'Etpagr.e ).
Caropagne , Saragotae , t. \LS I ,
p. 174.
Aranjuf ( rétidenoe royale. Eapa-
gne), t. XL VI, p. 176.
Ararat (muot d'Arménie), t. XXXI.
p. 205.
Arafuait0t (tribu du Cbili). Natu-
rel* sont hardi» , agi(e«, féroce»; leur
uspect ; (lart de* femme* dan» le* com-
bat*, t. XVIII, p. 132 etiuir. —N'ont
pas de villtis, sont polygames, t. XX,
p. 82.
Arbogit . (ville de In Westmanie ,
Suède) , t. XLV, p. 15,29.
Arc {tl« (/« /'). Archipel Dangereux,
Polyné*ie. Nommée et décrite par
Cook, t. V, p. 89 et *uiT. — Avait été
découverte par Bougainville , XIX ,
''1 77. —• Laideur de» naturel», 189. —
Etaient cannibales, 191. — Polyga-
mie, état de.', femme*, 192. — Con-
version au christianisme, 195. — In-
dustrie, population, 196.
Arehipil (mer entre la Turq.|d*Eur. ,
la /rèce et la Turquie d'Asie). Beauté
du climat et de la mer , t. XLIV ,
P. 282, 289. — Mytilène, 282. —
Istrate , Ipsara , Chio , 284. |— Smy rue,
285. — Baie de Dourlaoh , 288. —
Iles diverses , 289. — Aspect des
montagnes de Morce , 290. — L'Ar-
gentiire, XLVI , 93. — Cythère , 93,
205. — Siphante , Milo , Nio , 94. —
Caliste et ses deux démembremen»,
Santorin et Aproinsi, Naxia, Tina ,
95. — Délos, ^aros, marbres d'A-
tundel , fameuse grotte d'Autiparos ,
98. — Scyros, 97. — Lemnos , Les-
bos , Chios , Samos , Pathmoa , Gos ,
98. — Rhodes, 99. -
Aretiqutt (régions, ou rvlfimiti ci>
pûle septentrional ). Navigatutui ».
nord du détroit de Behring, «^mm»
d'Asie et d'Amérique, découv«M»,
noms donnés à divers lieux, t. £1 .
p. 64 et suiv. — Découverte du 4iif|'
Glacé, 00. — Champs de glace, ff7 .
— Uetcriptiou de» chevaux marin» ,
08 et suiv. — Canards , 70. — Ur-
cou verte du cap Li»burn ,71. — Mc-
marques sur la formation de la glarr,
72. — Découverte du cap Nord , 7' .
— Aarrière» de glace», 3tt7 et »uiv.
— Décourerte du détroit de Kolxe-
bue, 103 Voy. e*Hom. — Voyuge ^u
nord du détroit de Behring, XIX,
236 et »ui;.— Glaciers, 240. — Ex-
ploration de la c6te américaine, 251
et suiv. — Dérouverte du cap Thomp-
son , 252. — Hope, 255. -r- Beaufort,
257. — Franklin, 259. — Découverte
du cap Barrow et de la baie Elsou ,
278. — Découverte du fleuve Mai-
kensie , XXXVIII , 38. — Saisous «t
leur* phénomènes dans ces réglons,
XL , ij et suiv. — Hutte* de glace ,
iv, V. — Étendue de la glac*, vj. —
Températures, vj. — Animaux «t
végétaux, vij et sniv. — Méduse» ,
viij. — Cétacés , x, 250, 265. — Our>,
X, 253. — Historique des tentatives
faites pour traverser l'océan Glacifl
arctique , xj. — Tentatives faites pnr
terre pour trouver le passage au nurd
de l'Amérique , xxvj. — Etat de nos
connaissances à ce suje*, xxxi. —
f^ojragci dm eapila'n* Roii, voy. c« nom,
XL , 1, — MonUgnes de glaces , 2,
256. — Aspert des .glaciers , 2. —
rseige vue au microscope, 26. —
2* Voy g* , 28. — Découverte de U
Bootliia, 'J6. Voy. tt nom. — Animaux
divers, 47, 59, 61, 122, 134, 18(i,
199. 281 , 312, 327, 337. — Danger
des tempêtes d'hiver, 54 et suiv. —
Evaporation de la neige par le vent ,
58. — Aurores boréales, 62, 74, 170,
305. —Oiseaux, 140, 143, 144, 180,
236, 265, 329, 331, 358, 417. -
Voyage pour déterminer la position
du'pâi^ Magnétique, 183. — Sa po-
sition, 187, 190, 247. — Avalanches,
236. — Premier foyagt Je Parry,
244. Voy. et nom. — Baleines noires,
250, 273. — Lits des ravines, 2ô9.
— Découvertes de baies et de caps,
262 et suiv. — Baleines blanches,
263. — Découverte de l'Ile Melville ,
2;S2. Voy. ce nom. — Divers effets
du froid, 301, 305, 313, 316. —
Kffetî des exhalaisons de la ti-rrc,
322. — 2« royage, 373. — Exi>lora.
;iun (le la côte est de la presque Hc
DES MATIÊUES.
313
t »uW. —
ir le tent ,
74, 170,
44,180,
117. -
positiou
- Sa po-
aUnchtfs,
Parry,
es noires.
Des, 2Ô9.
de cap»,
blanches,
Melville ,
ars eflett
3!6. —
lil tlTIf,
Explora-
Cïipic lie
>I«l*ille , 391 et tulf. — Trombe de
«fige, 406. —a» y»r*K*. 440. —
4* yv/'gt |>our atteiudre le pAlc nord,
461. — Arci-cn-ciel, 470. — Vojrmet
de Franklin auK cdtet de la mer Pu-
l«ire, 475. — Voj. £$guimau», Grvtn-
lami , 't'ithultkx.
Arctiqutt (hautes terres). Nomnéet
par Rom. Aipect , prodiictiont, t. XL,
p. 17. ^ Coitume des habitant , 18.
— Figure, formct. lU. — Absence
de religion , 20. -^ Sorciers , 21 . —
Habitutions , larape , 22. — Alimeus ,
vbatsea, animoiiK , 23. — Saleté des
naturels , mariages , 24. — Oonver-
uement , 25.
Ard*l>il ( Tille do rAaerbvlidjao ,
Perse). Sa yaste plaine, t. XX XY,
p. 37if. — Population, mur d'en-
ceinte , maisons, 874. — Tombeaux
remarquables , sfî. — Climat , 376.
ArgtHtièr* (Ile de l'Archipel) , tome
XLVI, p. 03.
Argointit*$. Bat réel de leur expé-
dition , 1. 1 , p. 3.
Argot (Tille de la Grjice), t. XLIV,
p. 291, 2^,205; XLVI, 206.
AriJ0 ( tle , océan Antarctique ).
DécouTerte par Marioa , tom. IV ,
p. 404.
ArimoH (Iles de l'AostraUe). Déoon-
TertM par Lemaire et Schonten. Pro-
ductions, Indiens, etc., t. I, p. 324;
n, 67, 68. — Appelées Iles Brûlantes
par Dampier, 67.
Arkangtl fNoaTeU), \oy.Silka.
Arkétko ( port de l'^kbyssinie ) ,
t. XXIII, p. 172.
Arménit (province d'Asie, commune
à la Russie et à la Turquie). Voyage
dans l'intérieur, I XXXI, p. 202 et
SUIT. — Ville et proTince d'Ériven ,
202^ 204. — Mont Ararat, lOâ. —
Voyage dans l'intérieur, XXXII , 470
et suiv. — Mardin, 472. — Desoiptioa
des Ujarbekr, 475 et suit. — Djesan-
reh, 4/3.
Arréoyt, Sociétés secrètes de «Jit-
sieurs Iles de la Polynésie; Ie«ir b^pt
immoral, t. V, p. 270 et sui».^ V1U,
263, 272, 274 et suiv.j XII 1,5^^ 317.
— Abolies par les missMMiaaires ,
XVII, 279.
Arrbyzaoa. DéToucDi<*«>: de cet au-
mânier pour l'équipage (fo son v»s-
seau, 1. 1, p. 157 et suir.
AHMidu ( Iles de l'Australie ), f< »r-
menl l'arehipel Saloraon , déoouTert
par Mindana, sont retrouTée» pai %vx'
Tille, r. III, p. 420.450,494.
Aarriux. Son Toyage eu Asie ,
t. XXXI, p. 61.
Aivil (Tille du Konrdistaa , Turquie
d'A»ie ). Aneltinu Arhilltt, Rues ,
t. XXXII, p. 483. —Population; chA-
teau , 481.
Arg*m (Tille d'Algérie), Ruines ro-
maines, t. XXII, p. 183.
Anobitpo ( Iles do la Malaisie ),
t. XIX, p. 435.
Aiamagantary ( TÎlle dn Gaston ,
Afrique), t. XXVIII, p. 371.
AtraLiR. Sa k..tsion en Tartarie ,
t. XXXI, p. 30.
Atetntion (Ile au nord-est de Sainte-
Hélène), déoouTorte par Gallego. Sa
descriptlcn, t. IX, p. 151 et suiT. —
Affreux aspect ; étendue; sol, 152. —
XII, 40. —XVIII, 113, 213. — Car-
nison anglaise s améliorations ; climat,
186.
.^«A«nNSMia ( Tille des Tibhous du
Bilma. Sahara), t. XXVII, p. 70.
Ali*. Est le berceau de la cÎTilisa-
rion, t. XXXI, p. 1. — Étendue,
bornes, 2. — Plateaux , monts , 8. —
ClimaU , 7. — Hauteur des principaux
aommets, 8. — Bassin des fleuTot et
des riTières , 9. — Lac» , 13. — Végé-
tation ; botanique , 14. — Mines ; ani-
maux, 17. — Races d'hommes , 19. —
Leur infériorité aux races européen-
nes; leur caractère distinctif , 23. —
Polygamie; relisions; gouTerneroens;
population,\, 2». - Langues, 26. —
Uistori ^u>. des rc* '<ons avec l'Europe,
35. — ~ Uirerses opioioits des Asiati-
que ««r l'Europe, XXXVII, 131 et
»wx - Littérature do l'Asie centrale,
3W. — Une caraTano eu Orient , 246.
— IVifférenccs dans l'ortograpbe des
noms propres, 256. — ('orrespondance
épistolaire des Asiatiques, 380.
Athimounein ( Tille de la Hante-
Égypte). Belles ruines , tora. XXIII,
p. «S.
AsM^ (ville de la Syrie, Turquie
d'V»ie).AHpect,t. XXXII, p. 400.—
Costume, 401. — Intérieur d'une
naisun, 402.— Situation; population,
404. — Château , 404, 410. — Église,
oruemens, cérémooies,405 , 406. —
Maisons , 407. — Crédulité des habi-
tant , 408. — Récits de Toilléos, 409,
ê
314
TABLE GÉNÉRALE
411. —Figure des habitans, 411. —
Leur vie, 412.
Aiiar, ( rivière d'Abyssinie, affluent
du Nil). Lit. Magnifique cascade. Fer-
tilité desea bords, t. XXIll, p. 403
et suiv.
AuomptioH (Une des lies des Lar-
rons). Son étendue, son aspect horri-
ble, t. X(I, P..264. —Effets d'un an-
cien volcan , 266. — L'aspect n'est pas
tii horrible. Cratère du volcan , XIX ,
385.
Atiwàption ( tie de la mer des
Antilles), découverte par Colomb,
t. XXXVIII, p. 177.
Assomption (capitale du Paraguay),
fondée par Mendoza, t. XXXVIII,
p. 352.
Assulah ( ville de l'Yarriba , Gui-
née), t. XXVIII, p. 127.
^**r<iJfl(i(prov. de la Perse). Beauté
du pays, t. XXXV, p. 310, 322, 325.
— Tour remarquable, 325 et siiiv,—
Faisans, ^g. — Maladies , 334. —
Costume de femmes, 338.— Usage
de l'ail , 338. — Coupole de Gount-
buz-Kaous, XXXVII, 313. — Climat;
productions ; belle chaussée, 316.
Astrabad (capitale de la province).
Fondation; éteddue, t. XXXV, p. 335.
— Agréable aspect; maisons; rues;
bazars, 336, 337. — Fréquence de la
peste, XXXVII, 314. — Ancienne
opulence; belle chaussée; commerce,
315.
Astrolabe ou Dekai (baie de la Nou-
velle-Guinée), nommée par d'Urville.
Villages, figure, armes, etc., des na-
turels; productions et beauté du pays,
t. XX, p. 386 et suiv.
Atbara (ville et province de la Nu-
bie), paraît être la fameuse ile de
Meroë. Ruines antiques, t. XXIII,
p. 446; XXV, 452.
Atepa (ville de l'Yarriba, Guinée ),
t. XXVIII, p. 133.
Atjia (ville de la Haute-Egypte).
Ses environs, t. XXIII, p. 77.
Athènes (ville de la Grèce). Le Par-
tiiénon, t. XLIV, p. 306. — L«» Pirce,
307. — Environs; intérieur; ruines
diverses, 308, et suiv. XLVI, 214. —
L'Acropole,; la lanterne de Démos-
thène ; l'Illii^su!. 215.
Atlas (mont de 1'. Afrique). Neiges
t'onstautes. Animaux féroces, t. XXII,
p. 124, — Origine du nom; quelques
hauteurs, 160. < — Tie, caractère, fi-
gure des Chelluks, 163, 174, 178.
Atooi ou Aiouai ( Ile de l'archipel
Sandwich, Polynésie). Découverte
et décrite par Cook. Entrevues avec
les naturels , t. X , p. 265 et suiv, —
Description des naturels , 268. — As-
pect de l'Ile, 269. — Etonnement dvii
insulaires sur le vaisseau, 270. — Ai-
guade, 275. — Cimetière , pyramide,
276 et suiv. — Tombeaux des chefs,
idoles, 278. — - Sacrifices humains,
280. — Plantations, 281. — Villa-
ge, 282. — Vétemens, 283. — BeauK
oiseaux , 285. — Cannibalisme , 287.
— Etendue , mouillage , 297. — As-
pect, sol, 298, 300. — Climat, 300.
— Productions végétales, 301. — Oi-
seaux, 302. — Poissons, animaux
domestiques, pers<mne des naturels,
303. — Sont bons nageurs ; leur bou
caractère, 305. —Population , 306. —
Vétemens et orueroens, 307 et suiv. —
Tatouage, 310.— Habitations , 31 1. —
Ustensiles; nourriture, 312.-^Cuisine,
313.— «Amusemens variés, 314.— Mv
nufactures, étoffes, nattes, 316.-^ Us-
tensiles, outils, 318, 319. — Connais-
sance du fer; d'où leur peut-elle être
venue? 320 et suiv. — Pirogues, 324.
— Agriculture avancée, 325. — Détail^)
sur un des chefs, 327. — Gouverne-
ment, 328. — Armes, 329. — Mœurs et
langue semblables à celles des iusulai-
rcs des lies de la Société et des Amis,
331 et sniv. — Sol, productions,
XI, 246. — Sol, vUlage, XIII, 292.
— Champs cultivés, productions, XIV,
131 et suiv. — Ouvrage remarquabln
d'irrigation , 133. —Montagnes cou-
vertes du bois de sandal, 139.
Auckland ( groupe de l'AustraUe).
Bel aspect, beauté de sa 'nature, t,^XX,
p. 158. — Découvert par Auckland,
164.
Auckland ( ile du groupe d'Auc-
kland). Sol, aspect pittoresque, forêt,
t. XX, p. 164. — Fertilité , végétaux,
auimaux, 166. — Coquillage, 169. —
Climat, 170.
Aaiijelah ( ville du Biirca , Tripoli).
Est mal bâtie, villes de son territoire,
t. XXV , p. 425.
Augsbourg ( ville de la Bavière ),
Bel aspect, t. XLV, p. 342. — Sa des-
cription , 343 , 34 i. — Ses environs,
345.
- I
t
DES MATIÈRES.
X1&
A^r (groii|ie de l'archipel Radack,
Pulynésie). Dccourert par Kotzebue,
t. XVII, p. 197, 205.— Naturels,
196. — lie Stonbal , 201. — Femmes
prenaut part à la guerre , 203. —
Eteadde et population du groupe ,
205.
• AuRiBEAU ( d' ). Prend le comman-
dement de l'expédition à la mort de
d'Entrecasteaux, t. XV , p. 283, 287.
Aurore ( ile des Nouvelles - Hébri-
des, Australie) , découverte par Bou-
gainville , t. IV, p. 267. ■— Son gise-
ment, sa surface , t. YIII , p. 423.
Aurore ( iles près des Maluuiues ).
Leur existence est problématique,
t. XX, p. 33; XXI, 238, 240.
Aurorei Australie , t. Vil , p. 227 ,
228; t. XXI, p. 459.
Aurores BorMu, Yoj. t. XL, p. 62,
74,170, 305.— Au cap Nord, et
dans les environs, XLV, 223, 261,
284,291,292.
AaitraUsns (indigèacB de la Nou-
velle-Hollande). Leur misère , t. I ,
p. 391. — âe peignent le corps, vont
entièrement nus, VI , 210, 212 , 388
— Armes , manière de s'en servir ,
215, 398, à 401. — Formes, figure ,
387. — Ornemens divers , 388, 389.
— Tatouage , 389. — Nonclialance ,
390. — r Vie nomade , cabiines , 391 ,
392. — Mobilier, 393.— Ustensiles de
pèche; nourriture, cuisine, 394,395.
— Comment ils se procurent le feu ;
observations comparatives à ce su-
jet, 396 et suiv. — Grossières piro-
gues, leur construction , 401 et suiv.
— Caractère, langue, 405.*— Mi-
sérables huttes, XIV, 19, 23, 47. —
Réservoirs de poissons , 27. — Vie
errante, 46. — • Nourriture , 48. —
Incendies qu'ils allument, 49. — Idée
de la Tie future. Taille , figure. Mi-
sérables huttes, tatouages, niutila-
tions, XVIII, 222.— Habitations,
mariages , état des femmes , couches,
224. — Armes; vêtement unique, XXI,
332, 333.— Figures, formes, t. XLIII,
p. xxi, 101 ,257, 298. — Misérable
état.xxij, 101, 259. — Mariages,
condition de la femme , xxxj. — Le
roi Boungarre, 9, 89. — Race ^78.
— Cannibalisme, 79, 94, 362?* —
Divers dégrés de civilisation , 82. —
Etat dégradé de ceux du Sidney , 83
à 86. — Meurtre habituel d'uu ju-
meau , 84. — Costumes, 84. — Ca-
ractère, 85, 101, 251. — Naturels «
du HawLesbury, 86. — Du New-
castle , 87. — Intelligence , 88 et
suiv., 101. — Adresse; guerres, 91
et suiv. — Vengeance, 93. — Amour
des enfans,95, 98.— Idées religieuses,
supertitions , 97, 244, 259. — Nourri-
ture, 98. — Saleté, maladies, 100,
251 , 271 , 326, 328. —Vie nomade,
101. — Absence de hiéruicliie so-
ciale, 103. — Entrevues avec eux,
187, 191,193 et suiv., 212,228, •
249, 256, 270. — T.>mbeau, sculptu-
res, 188. — Pèches, 191, 209, 323.
— Corps peints, 192, 251, 313'. —
Incendies qu'ils allument, 211 , 212,
250, 261 , 262. — Huttes, 239, 248.
— Village 248. — Filets , 248. -
Armes, 256,271, 299. — Eue des -
naturel de l'intérieur , 257 , 299 et
suiv. — Naturels du Darling, 257.
Voy, ee nom. — Des bords do la Mo-
rumbidje, voy. ce nom, — Chasse à
l'opossum, 290. — Naturels des bords
de la Murray. Voy. ce nom.
Autriche (empire d'). Voyage dans
l'intérieur, t. XLIV, p. 91. — Fron-
tière turque , 91, 92. — Paysans par-
lant latin , 104. — Le banuat de Té-
mcswar, 115. — Voyage de Marcel de
Strres. Heureuse situation de l'Autri-
che, XLVI, 217.— Races diverses d'ha-
bitans , 218 et suiv. — Coup d'œil sur
chaque province et sur ses babitans ,
222 et suiv. — La Bukowine et ses ba-
bitans, 225. — La Gallicie, 226. —
La Silésie , 227. — La Bohême , 227 ,«
234. — La Moravie, 227, 237. — La
Styrie, la Cariuthie , 229. — Observa-
tions sur les Allemands en général,
230 et suiv. — Religions, 233 et suiv.
— Archevêques, évêques, leur élec-
tion , 236. — Sectes diverses , 238 et
suiv. — Juifs. Bon état de l'instruction
piiblique , 239. Voy. Hongrie , Lom-
bard-Fénitien, Trantjrlvanie, Tyrol.
Autriche (prov. de l'empire d'Autr.).
Différence physique entre les Au-
trichiens et les Iluligrois, t. XLIV,
p. 129. — Voyage dans la province,
routes, loi. — Beauté et fertilité de
la vallée du Danube. Caractère du
peuple , XLVI, 228. — Religion , 235.
Autruislie. Description de cet oiseau,
t. XXVI, p. 415.
A'ja ou Kava uu Y'aiia, liqueur forte
■t
,5 ' r
31G
TABLE GÉNÉRALE
«les Polynésiens; sa dégo&tante con-
4. fection ; ses effets, t. VIII, p. 31; IX,
393, 445, X, 230; XI, 257; XIII, 289;
XV(, 218. — Chants avant de la pren-
dre, XI, 296.
ji»« (proTÎnce et ancienne capitale
du Birman , Indo-Chine). Description
tsoroparatiTe de la forme physique des
habitans, t. XXXIV, p. 240 à 246. —
Sa décadence , 474.
Avril. Sa mission on Chine, t. XXXI,
p. 61.
Awttka ( baie du Kamtschatka ). Sa
description et celle du pays adja-
cent, t. XI, p. 308. 391. — Ville
de Petropawlouski, 309. Vny. et nom,
— Pèche des saumons, 424, 426.
Axum (ancienne capitale de l'A-
byssinie). Description de ses mines,
t. XXIII , p. 233 et suiv. — NoAelle
Tille, 236.
Aymon ( le père et les quatre fils ).
Mondrains du détroit de Magellan,
nommés par BougaiDville,t.IV, p. 136.
Azamore (ville du Maro^.), t.XXXII,
pag. 146.
Aztrbaidjan. (province de la Perse).
Voyage dans l'intérieur, t. XXXI ^
p. 205 et suiv. — Le mont Ararat,
205. — Voyage dans l'intérieur ;
XXXV, 372 et suiv. — Ardebil et sa
vaste plaine, 373 à 376. — Lieux di-
vers, 376. — Caravenserai , 378. ■ —
Lac Ouronmia, 380 et suiv. — Source
du Tigre. Evéque catholique , 383. —
Sauvages descendans des anciens
chrétiens, 384 et suiv. Voy. Tauris,
cap.
Bab-el-Mandtb ( détroit à l'entrée
de la mer Rouge). Signification de
son nom, 1. 1 , p. 110. — Aspect des
deux côtes, XXIIL 152.
Babylone. Ses ruines dans l'Irak-
Araby, Turquie d'Asie, t. XXXII,
p. 493. — Antiquités babyloniennes à
Bagdad, 495. «
Baccalan (lie delà mer Rouge )r,
t. XXXIII, p. 155.
Bachnpins ( tribu de Betchouanas.
Afrique), t. XXVI, p. 400,470.—
Vétemens, armes, 405. — Hérédité du
pouvoir, 471. — Combats, 473. — Ca-
ractère, mœurs, 474, 478, 483. —
Commerce, législation, 474. — Pu-
nition des crimes; superstition, 476.
— Déla.isemens, 481 . — Occupations
des hommes et des femmes, 481, 485.
— Formes ; costume , 484 , 489. —
Mariages, 486. — Coquetterie , 488.
— Maladies; médecins, 491. Agricul-
ture, 492. — Langue, 494. Voy. Li-
lakou, capitale.
BaJigiy (ville de la côte des Escla-
ves , Guinée). Épreuve ^des bonnes
intentions des voyageurs, t. XXVIII,
p. 282. —Environs, XXX, 7. — Visite
au roi, 8. — Costume d'un prêtre, 12.
— Interprète, 15. — Roy.iNité partagée
entre quatre chefs, 16. — Leur cos-
tume, 21 . — Fêtes et cérémonies de la
fin du Rhamadan. Costumes , 24. —
Mallans du Haonssa, 26. — Sol; pro-
ductions; roiusons; caractère; reli-
gion, 30. — Superstition, 4^.
Baebaegie ( ville du Kano-Haoussa,
Soudan ). Situation , habitation du
gouverneur, t. XXVIII, p. 210. —
Maison des femmes, construction des
maisons, 212. — Arbres, oiseaux,
population, 214.
Baffin. Ses recherches du pas-
sage au nord de l'Amérique , t. XL ,
p. xxiij. — Ses découvertes , xxiv-
xxix.
Bajyin (mer de l'Amérique septen-
trionale ), découverte par Baffin. Ses
côtes; ses phoques; ses communica-
tions, fL XXVIII, 31.
Bagdad (ville de l'Irak- Araby, Tur-
quie d'Asie). Aspect, tom. XXXII,
pag. 487. — Escorte du pacha ; res-
pect qu'il inspire ; situation de la vil'.e;
murs; intérieur, 488. — Rues; palais;
Mosquées; dômes; minarets: bazars,
490. — Maisons; population ; âoes
Ll'.ncs; ruines du palais de Nemrod;
mosquée vénérée; tombeau de la
femme d'Aaarouu-Al-Rascbild , 492.
— Antiquités babyloniennes, 495. —
Aspect de la ville à minuit. Etat de la
littérature. Fréquence de^ crimes ,
496, — Intérieurs de maisons vus du
han d'une tour, 497. — Tatouage des
femmes, 498.
Bngtchiterat (ville du gouvernemeut
de la Tauride, Russie d'Europe ). Pa-
V
w
DES MATIÈRES.'
317
, 383.-
anciens
Tauris ,
du pas-
e, t. XL,
xzir-
I«is des anciens khans de Crimée,
t. XLI V, ,p. 4Q&. — Description de la
ùIIh, 410. ,
Bah-Baha (pays d'Abyssinie } , sa
fertilité, t. XXIII, p. 395.
Baïkal (lac de la Sibérie ) , honoré
des naturels. Sou étendue, t. XXXI ,
pas. 279.-
Bajiebo (ville de l'Yarriba, Guinée).
Commerce, Huttes. Saleté. Gouverne-
ment, t XXX, p. 305. — Canots, 306.
Balab/a (ile de la Nouvelle-Calédo-
nie, Australie), découverte et décrite
avec ses habitanspar Cook, t. YIII,
p. 427 et suiv., 440 et suiv, Voy. JVou-
vtlle-Calédonie, — Naturels sont doux
et paisibles, IX, 3, 4,20. — Ne méritent
pas cet éloge. Sont anthropophages,
XV, 194. 198. — Natureismangent la
terre, se fout la guerre, 201.
BalaUava (ville du gouvernement de
la Tauride, Russie d'Europe), t. XLIY,
p. 415.
Balanduco (ville du Timani , Séné-
gamhie). Huile de palmier, t. XXVIII,
p. 21.
Balajra (pays de la Sénégaiâbie).
Bornes. Industrie. Yét<>:vf>Ttt , XXIX,
386.
Balbee (ville de Syrie ■. ir '« d'A-
sie) Son temple du st'^'i, . XXIII,
p. 48. •— La ville moderne , XXXII ,
454.
B&LBOD (Vasco Nuguez de), premier
Européen qui ait vu la mer du Sud
(1513) , en prend possession pour le
roi d'Espagne, 1. 1, p. 141 f note.
Baldivia (ville du Chili). Fondation.
Hahitans , t. XX, p. 81 .
Baleines y leurs jeux, t. IX, p. 78.
— Pèche de la haleine à Nootka, XIll,
372. — Baleines des régions arctiques,
XL, ix. — Habitudes et pêche de l'es-
pèce finner, XLV, 178 à 180.
Bal/rouch ( ville du Mazandéran ,
Perse ). Aspect agréable. Commerce.
Population, t. XXXV, p. 354.— Der-
viche, 355. '-- Anecdote sur un voya-
geur européen , 357.
Balkan (chaîne de monts, Turquie
d'Eur. ), Sites pittoresques, t. XLIV,
p. 49. — Animaux, 49. — Villages,
50, 51, 57. — Contruction des caba-
nes, 50. — Crète des monts, 54 à 59.
— Passe magnifique, 55. — Ponts, 56.
— Danse déjeunes filles, .58. — Beauté
des forêts, 251. — Bohémiens , 252.
•— VersaVit dn côté de la Ronmélir,
255.
Balhk ( ville du Caboul , soumise au
roi de Bonkharie). Ancienne opu-
ijlence, t. XXXVII, p. 153. — Rnines.
Antiquité, 154. — Florissante sous
Alexandre. Histoire, 155. — Trône de
Cyrn». Environs, 156. — Fruits. Cli-
mat, 157. — Médailles antiques, 1^.
Baltimore (ville du Maryland, États-
Unis). Société, t. XXXIX, 227. — Sa
décadence, 229. —Climat, 230. -Brl
aspect. Monumens, 427. — Costumes,
439.
Bambara ( royaume, partie en Séuc-
gambie, partie dans le Soudan). Sa
guerre avec le Kaarta, t. XXV, p. 128.
Voyage dans le pays , 21 1 à 275. —
W'assibou. Culture du blé, 214. —
Mourdja : commerce de sel, 21 7.-^Am-
maux féroces, 222, 236, 364.— Arbres,
231 .— Crocodiles, 237.— Somini,263.
— Saphis ou amulettes, 264. —Com-
merce de sel, 265. — Bammakou,
267. — Kouma , 269. — Atroce trai-
tement du roi prisonnier, 381 . — Cos-
tume du roi, 382. — Atroce coutume,
583. — Voyage dans le pays. Kayaye.
Naturels. Costumes. Danses. Musique.
Autres divertissemens, XXVIII, 301 à
308. Voy. Djtnnf^ Koulikorro^ Santan-
ding, Scgo, capitale.
Bambouck (royaume de Sénégambie).
Mœurs des hahitans. Mariages. Fête
de la Circoncision, t. XXII, p. 76, 77.
£<iMiour (contrée delà Sénégambie).
Voyage dans le pays. Satadou. Schron-
do, XXV, 344.
Bamejran{v'Me du Caboul), Précipices
des environs, t. XXX Vil, p. 120. —
Cavernes. Cité souterraine, 121.—
'Antiquité de la ville, 122. — Idoles
colossales. Traditions, 123.
Bammakou ( ville du Bambara , Séné-
gambie). Commerce de sel, t, XXV,
p. 267, 295.
Bamuchart ( tribn de Betchonanas ,
Afrique), t, XXVI, 471.
Bananes, leur usage dans la Ma-
laisie, t. VII, p. 67. — Disposition de
leur fruit, XV, 383, note ». — Manière
de les faire mûrir, XVI, 217.
Banaron (ville de l'Agra , Hindous-
tan). Marque des purifiés dans le
Gange , t. XXXI , p. 75. — École.
Cérémonie^ devautl'idole,76. — Tom-
beaux remarquables, 78.
V
*.:
318
m»
TABLE GÉNÉRALE
Baïuitrilê (rille da Dentilla , Séné-
ganibie), t. XXV, p. 343.
Banea (tle de la Malaisie), t. XLIII ,
p. Tiij.
Banda (Ile Molnqnes, Malaisie). Ar-tP
mée de son ressort ou gouvernement,
t. IV, p. 380. — Postes ou comptoirs
qui dépenùent de l'ile. Bois de saudal,
381. — Muscade cultivée exclusive-
ment, 384.— P'ants de girofliers ar-
rachés par CI ■. des HoUanduis. 385 ;
XV, 77.
Baukok (nouvelle capitale du Siam).
Aspect animé, bazars flottaus , tom.
XXXIV, p.122,226,228.-- Habita-
tiops , 125 , 129 , 226. — Costume
d'enfans, 125. — Secte de maurs,
130. — Audience d'un ministre, bas-
sesse des serviteurs,. 134 , 197. —
Audience d'unV»n<^e, 136, 207,210.
— Voy. Finlayton, Intérieur du ]ia-
lais du roi, 147 à 171. — Soldats. 150.
— Musique, 151. — Salle du trône ,
richesse, avilissement des courtis.iD.s,
152 et sui/. — Le trône, \55, 156.
— Éléphans blancs , 160 , 281. —
Singes blancs, 164, 281. — Temples,
165 à 170, 234. — Dagoba (monu-
ment sépulcral) , 166, 236. — Pein-
tures, bibliothèque, 170.—* Énormes
canons, 171. — Ambassade cochin-
chinoise et française, mieux accueil-
lie que celle des Anglais , 190 , 219.
— Procession de barques royales ,
193. — Musique , 202. — Translation
du gouvernement de Siam , 224. —
Palais du roi, 225. — Habitans , sont
presque tous Chinois i, 227, '228. —
Métiers, 228 et suiv. — Palais , tem-
ples, 231. — Innombrables sta-
tues de Bouddha , 234. — Habitans,
238.
Bakks. Naturaliste , compagnon de
voyage de Cook , t. V, p. 3. — Sa
malheureuse expédition dans la terre
de Feu , 52. — Singulières cérémonies
de Taïliennes qui le visitent , 155. —
Est chargé d'une fonction dans une
cérémonie funèbre à Taïti , 183. —
Remonte le cours de la rivière, 219. —
Assiste à l'opération du tatouage, 245.
— Trouve dans plusieurs îles de l'O-
céanie un coffre semblable à l'arche
d'alliance, et nommée Maison de Dieu,
330, 336. — Son incursion à la rivière
Kudéavour, de la Nouvelle Hollande ,
Vr, 303 et suiv.
Banlts (ile do la Noayelle-Zélandet,
t. VI, f.. 120.
Bantwarà (ville du MalwL.^ ,>Hind.).
Abominable coutume des Rajponts ,
t XXXV! , p. 356. — Immense en-
ceinte , visite au rajah , 357.
Baobab. Ailire prodigieusement
gros , t. XXII, p. 62.
Bapitr, Description de cet arbre et
de son fruit, t. XVI, p. 456.
Barbaeena (ville du Brésil). Situa
tion, maisons, aspect, [^"oductions
du sol, habitans , t. XLII , p. 300.
Barbue (Iles de la Polynésie). Pro-
bablement découvertes par Saavedra,
t. I,p. 163.
Barca (province du Tripoli). Voyage
dans l'intérieur, villes de l'Audjelali,
t. XXV, p. 425 et suiv.
Barcelone (Nneva , ville du Vene-
zuela , Amérique méridionale). Popu-
lation, climat, t. XXXVIII, p. 385.
Barcelonne (ville d'Espagne). Purefô
de l'air, environs, baie , anciens murs,
t. XLVI,p. 162. — Embellissemens
récei^ts , nouvelle Barcelonne , édi-
fices , police, 163. — Prohibition des
armes, cherté des loyers, popula-
tion , antiquités romaines , 264.
Baré , orpheline , botaniste , fait le
voyage autour du monde avec Bou-
gainville , t. IV , p. 278.
Bareilly{\\\\e du Bohilcund, Hind.).
Ruines , beaux environs , caractère
des Rohillas , t. XXXI , p. 210.
Barnaoul ( ville de la Sibérie ),
t. XXXVI , p. 293.
Baroda (ville et État du Guzerate,
Hindoustan ). iCsrorte de cavaliers ,
t. XXXVI , p. 369. — Bues , 371 . —
Maisons, palais , église chrétienne,
372. —États, puissance du rajah,
372, 391.— Salle d'audif nce, cour du
rajah, 373. — Musique, danses, 376.
Barolongs (tribu i\'a Betchonanas).
Race cafre , t. XXVI) , p. 471.
Baroche ou Broaeh (ville de Guze-
rate , Hind. ) Charlatans indiens ,
t. XXXI, p. B6. — Environs. Ruines.
Bateaux , XXXVI , 393. — Com-
merce. Climat insalubre , 394. — Hô-
pitaux pour les animaux, 395.
Barra (royaume de la Sénégambie).
Voyage dans le pays. DjcUifri, t. XXV,
p. 23.
Barra-Cunda (ville du "N^oulli, Séné-
gal) , t. XXVII F, p. 314.
#
DES MATIERES.
31»
Barrah (ville du Kanem. Soudan) ,
t. XXVII, p. 104.
Barrtah (yille dn GnKerate, Bind.),
Costume des soldats. Position de la
ville, t. XXXVI, p. 365. — Ëtat dé-'*
plorable , 366.
Barriugtoma, Description de ce bel
arbre. Effet remarquable de son fruit
sur les poissons, t. Vil , p. 428.
iSairow^tlede l'archipel Dangereux,
Polynésie). Découverte par Beechey ,
t. XIX , p. 164, 166. — Étendue. Ar-
bres. Huttes , 165.
Barroir (poinf s derAmérique russe),
nommée par B'jecliey, t. XIX, p. 278.
Batchjr ou Daihee (lies de l'archipel
des Philippines.) Nommées par Uam-
pier. Liqneni fermentée des habitans,
t. III, p. 423.- -Naturels distinguent les
métaux par .'i dorât, 424. — Drs-
cription des Ues , 425. — Leur gise-
ment exact, XII, 270. — Origine de
leur nom , XIX , 387.
Basil Uaj t. Son voyage dans l'A-
mérique septentrionale , t. XXXIX ,
p. 1. — Son voyage au Chili, au Pérou
et au Mexique , XLI , 374.
B<rM(détroit de, Nouvelle-Hollande
et terre de Van-Oiémen). Découvert
par Bass , t. XVIII, p. 321.
Battes (archipel des Iles). Voy. Ar-
ehipel Dangereux.
Batterg - Blanet ( enfans d'Euro-
péens et d'Hottentottes ). Mœurs.
Figure , t. XXIV, p. 190 et suiv.
Batavia (capitale de l'île de Java).
Fondée par les Hollandais dans la
province de Bantam , t. I, p. 119.
— Insalubrité dn climat. Belles rues.
Leurs canaux. Population. Beauté
de ses environs, III, 58 et suiv. —
Escorte dn - gouverneur. Carrosses,
des habitans, 218 — Beauté des en-
trons, IV, 368, 370. — Théâtres,
369. — Intérieur de la ville , 371. —
Gouvernement ,373. — Fonctions du
sabandar, 375. — ' Insalubrité du cli-
mat, VII , 45, 54. — Rues , maisons,
édifices publics, 54. — Forts déta-
chés, 57. — Havre , 59. — Environs
de 1p ville, 60. — Fertilité remar-
quable-du sol; description détaillée
desproduc(.tn-ùs,63 et suiv. -r- Abon-
dance de fruits aux marchés, 75.
Descriptions des principales fleurs,
76 et suiv. — Animaux des environs ,
82. — * Habitans , 85 et suiv. — Ex-
travagante et sanguinaire coutume
des Isalams , 92. — Leurs singulières
superstitions, 93 et suiv. — Chinois
habitant Batavia. Leurs occopations ,
'100. — Leurs cimetière*, 101. —
Esclaves , leurs punition* , 103. —
Gouvernement ,' 106. — Monnaies ,
108. —Environs, XM". liv, Ixij.
Batta» (habitans de l'Ile de Suma-
tra). Littérature. Anthropophagie. Arti-
cles de leurs lots condamnant à être
mangé vif, t XLIII , p. xij. — Abomi-
nables repas, xiij. — Caractère, xUv,
--Repas, xlv.
Batture de Diane (Ile , Aust.). Décou-
verte par Bougainville, t. IV, p. 281.
Baudir. Son voyage autour du
monde, t. XVIII, p. 3.
Bauman (lies delà Polynésie), décou-
vertes p.ir Roggewin, t. II, p. 62, 64. —
Mœurs, teint , vétemens des naturels,
63. — Ne doivent pas être confondues
avecles lies desNavigateurs, XIII, 115.
Baur (Ile du groupe de la Révolu-
tion), découverte par Marchand, t. XV,
Étendue, p. 443. — 446-
Bavarois. Fêtes d'enfans, t. XLV,
p. 340. — Respect pour la chambre
matrimoniale, 342. — Costume de
paysannes , 344. — Costumes , 346. —
Religion , 356.
Bavière (État de la Confédération
germanique). Voyage dans l'intérieur,
t. XLV,p 338à361. — Lindau,338.
— Campagne, 338. 341, 342, 345,
359. — Wangen , 359. — Leutkirch,
340. — Routes, Memmingen , Miudcl-
heim, 341. — Loi singulière sur les
voyageurs, 342. — Villages, 342,
358, 361- — Augsbourg , 342 et suiv.
— Munich, 345 et suiv. — Prix du
travail et de la nourriture, 356 —
Plaines, l'Iser, 358. — Beau lac Ko-
chelsce et autres, 359, 360. — Alpes,
359, 360. — Mittenwald , 361 .
Bayadères. Éducation , vie, costume,
réputation dans r'iindoustan, t. XXXI,
p. 347 et XXXVI, 438.
Bay-Jah ( ville du royaume de Tu-
nis). Commerce, t. XXII, p. 194.
Beari (ville du Zeg-Zeg , Soudan).
Tente remarquable du chef, t. XXVIII,
p. 270.
£eau/>r^ (Iles delà Nouvelle-Calédo-
nie, Australie), découvertes par d'Eu-
trccasteaux, t. XV, p. 190.
Bedi-Gima (pays du Haoussn, Son-
#
*sf
%.
320
TABLE GÉNÉRALE
duo). Habitani, prodnotioni, «grioal-
^ ture, t. XXVII, p. 338-.
*^ Btd*r ( Tille du Hadjas , Arabie ).
Maiiona,!^ XXXII, p. 343 — Tliéàtre
d'une battttle de Mahomet, 344. ->>
Race deaJipbitaDa, 345-
3*dihdr0e\ ville du Haoussa , Sou-'
dan). Demeure du gouTerneur, in-
térieur des huttes, attribut de dignité;
belles femmes,. t. XXVlI, p. 330,*—
Amulettes, 332.
£/ii(M (tribu dv H >ussa, Soudan).
Arbréii du pays, t. VU, p. 334. —
Religion, langne, wioUtique, mets
favori, 341.
^KECHET. Sou Toyage autour du
monde, pour aller à la rencontre du
capitaine Parry, t. XIX, p. 1. — Re-
cueil des détails tr^s intéressans sur
la révolte de l'équipage du capitaine
Bligh, 23 et suiv. — Fait connaître
l'état de l'établissement à l'Ile Pitcairn ,
de l'équipage révolté , 58. et isuiv.
— • (rund possession du groupe Gam-
biei et en nomme les lies, 122. — Ses
entrevues avec les naturels, 101, 105,
113. — À. -se le roi, 129 et suiv. —
Nomme les iles Wolfe, 150. — Dé-
couvre les lies Barrow, 166. — Cock-
bnrn, 170. — Byam-Hartin, où il
découvre une petite colonie chré-
tienne, 171 et suiv. — Les Iles Mel-
ville et Croker, 197. — Ses entrevues
avec la rein« et le roi de Taïti, 207,
212, 225. — Nomme les caps Thomp-
son, 252. — Hope, 255.— Beanfort,
257. - FranUin,259.— Barrow, 278.
— La baie Elson , 279. — Son voyage
par terre à Monterey, 325. — Ses en-
trevues arec le roi d« Sandwich, 362
et suiv. — Examens et interrogatoires
qu'il subit à Loo choo, 397, 400, 410,
416. — Promenades dans l'intérieur
de rtle , 401, 405. '— Nomme les grou-
pes Parry, 433. — Burdet, 435. —
Découvre les ports Clarence etGrant-
ley, 451.— Naufk-age de soa gr&nd
canot, 452, 457.
Btere-Kathi/ery (ville des Tibbous
du Gnnda, Soodan;^ t XXVII , p. 85,
440.
Begemder (province de l'Abyssinie).
Étendue, sol, t. XXIII, p. 326.—
Cavalerie , bétail, mines, 328.
Btgharmii ( tribu du Soudan ), dé-
faite par le Sbeikde Kouka, détails sur
la bataille, t. ;LXVII, p. 268 et suiv.
BapoM-SiniHOD. Eut, figure, ca-
ractère do cette princesse binduut!,
t. XXXVI, p. 262 et suiv. ,
£«Aar( province de l'Hindoustan).
Voyage dans le pays,' t. XXXVI,
p. 103 à 129. — Village de Pir-Poin-
tie, 103. — Cavernes, 104. — Campa-
gne, 105,115,119,121.— Boglipour,
107, 114. — Aspect animé, boutiques,
forgerons renommés de Mongbyr, 116
à 118. — Bijoux de femmes, 119.—
Villes musulmanes ; punaises volantes,
scorpions, beau pont, études detliéo-
logie de Futwa, 120. — Dinapour,
121.— Cbuprah,125.à 127. — Buxar,
127, 128. Voy. /»«<««, cap.
Behring, Découvre les Iles Schuma-
gin , t. XI , p. 5. — Nomme le cap
Serdze-Kamen, 80. — L'Ile Saiut-
Laureut, 83, 85. — • A très bien relevé
la côte d'Asie , de la mer de Beliring,
86.
Behring ( lie de la mer de Behring).
Tombeau de Behring. Son aspect hor-
rible, t. XVII, p. 64.
B*hriug (baie de l'Amérique Rus^),
nommée par Cook,t. X,p. 431.^
£.st^ce une baie ou une rivière? XII,
157, n.
Beira (province de Portugal). Pre-
raiev oranger ^^pporté de la Chine,
t. XL VI, p. 186.
Btlelter (ile du groupe Gambier, Po-
lynésie). Village , singulière entrevue
de deux femmes avec Beechey, t, XIX,
p. 125.
BéUeiOt, du Niger), t. XXXj^. 312.
— Costume du roi de l'Ean-Noire et
de sa cour, 315 et suiv.
Btlgaram (ville de l'Aoudh, B:>i-
doustan).Ruines de la caserne, msisons
musulmanes, environs, t. XXXVI,
p. 198
B*lgi« Aiutralt, nom donné par
Boggewin aux lies Malosines, t. II,
p. 44.
Belgnd* (capitale de la Servie,Ta^
quia d Europe). Étang factice, t.XLIV,
p. 10. — Ruines d'anciens rénervoirs,
11. — Aspect, 164. — Les F/ffendis ,
leur reUgion, XLVI, 83, 84.
Btllt (Ile, mer de Chine), nom-
mée par Laplace. Étendue, habitan;),
t. XVm,p.450.
Belle-Nation ( ile de la Polynésie),
découverte par Qairos, 1. 1, p. 262.
BELi.iirG8HÀiiSBir. Son voyage an-
^. J:-
DES MATIÈRES.
321
tonr da monde, t. XXI, p. 431. —
Déooorre l'Ile do Marqnia de Tra-
vene , 432. —- L'arvhipel d' Alexan-
dre l", 441. — ■ Les (les de Pierre I*',
d'Alexandre I*', 446.
/?W««eA«« (tribu da Sindby,Hindoni«>
tan). Costume et cortège d'un chef,
t. XXXVir, p. 369. — Éducation,
373.
£/«<ir4i(\illedel'Allnhabad, Hind).
Son caractère oriental, t. XXXV (,
|). 141. <— Maisons, mes, temples,
142. — Maisons des Hindous; ani-
maux sacrés, 143. —• Mouvement de
la ville, 144, 146. — Sa réputation
de sainteté, l4â. — Industrie, popu»
Jation ,146. — Maison d'nn riche ha-
bitant, 147, 148. — Célèbre vi-hra-
gesar, 149. — Observatoire, 150.—
Ueanx quais. Sectairet) jains, 151, 323.
— Leur sanctuaire, 152.— Mosquée ;
environs delà ville, 153. — Sutteisuu
sacrifices des veuve; suicides, 154. —
Collège hindou , 1 55.
Bendtr-Albatii ( ville du Kerman ,
Perse), Aspect , environs , pyramides,
tombeaux, t. XXXV, p. 13.
fi<ajpa/<. (province de l'Hindoustan).
Canaux, branches du Crangct XXXVI,
p. 2, 45, 57, 64, 67, 70, 88, 92. -
Villages, 9, 11, 15, 26, 47, 62, 66^
81, 91. — (Caractère des domestique»,
23. — Salpêtre, 26. — Pagode», 27,
49. — Établissement danois , 32. —
Poltronnerie des Bengalais, 42.— Cha-
loupes, 43. — Chinsura , 45. — Ani-
maux , 52, 55, 84, 442. — Mendians
cbantenrs , 55 — Huile de moutarde ,
56. — Absence de rocs, 57. — Cam-
pagne, 60, 61, 68, 94, 98, 443 —
Taureaux sacrés, 60. — Loutres appri-
voisées , 65. — Singulier esquit , 69.—
District de Chittagong, 74. — inon-
dations, 80, 97. — Lac , 87. — Bergers,
89. — Moisson du millet , 90. — Manu-
facture de soie de Surdah, 91 . — Bog-
waogola, 93, 443.— Hautes fourmiliè-
res, 96. — Antique splendeur; vastes
raines dip Gonr, 98. — Rajmahal, 99,
104. — ■ Montagnes et leurs habitons,
loi et sniv. — Superstition des indi-
gènes , 443. Voy. Calcutta. Cliander-
nagor, CommercoUjr. Daofa. Puharreis,
Sibnitbashi, Yanaoït.
Bengassi (ville du Kaarta, Nigritie),
t. XXV, p. 357.
XLVI.
BiiTiousu. Son Voyage an Kam»
t4chatka. t. XXXI, p. 857.
B«Houm (ville du Ludamar, Sénégam-
bie). Captivité de Mungo Park an camp
voisin , t. XXV, p. 140 et •niT.— Tri-
but annuel aux Maures , 165.
Btrèert on Kmbatlet (peuples noma-
des da nord de l'Afrique). Lear ori-
gine, leur vie, t. XXII, p. 163, 178,
213 — Langue, 164, 213.— Leur
indépendance, 213-
Berge» ( ville de la Norwége ) ,
t. XLVI, p. 297.
Bergh (groupe de l'archipel des Ca-
rolines). Découvert par Morrell, t. XX ,
p. 207, 21^. — N'est autre que le
groupe Uogolen, 212, note. Voy. e«
aan pour la tuite,
BergoHt (peuple voisin du Darfour,
Soudan). Lear manière redoutable de
combattre, t. XXV, p. 414.
Betg-Rieier (colonie du cap de
Bonne-Espérance). Embouchure. Ro-
seaux. Hippopotames, t. XXIV, p. 458.
BaairiER , compagnon de voyage de
Taveruier dansl'Hindoustan,t. XXXI,
p. 75. — Devient médecin du Grand-
Mogol , 75 , 85. — Suit le prince à
Cachemire, 85.
Betborough{\\9 de la mer de Behring),
nommée par Cook , t. XI, 90. — Pru-
duc'ions , 90, 94. — Hubitans, 91 , 93.
— • Habitations de la c6te, 93.
Betehoucmat ou Biehuaaai ( peuples
de la race cafrc ). Voyage dans leur
pays , t. XXVI , p. 396 et sniv. -«•
Campagne, 401 .— Autruche ; 415.
— Tribus diverses , 470. — Voyage
dans leur pays, t. XXiX , p. 37 et
suiv. — Leur amour du tabac , 5i.—
Lenrs formes; ils se graissent le corps,
53. — Barbare conduite contre les
vaincus , 110, 115. >— Dialectu, 118.
— Assujettissemeut des femmes, 120.
— Caractèr»»^, 121. — Leurs progrès.
Gouvernement, 122. — Habitudes.
335. — Travrrx des femmes. Indus-
trie, 336. — hepas du roi, 337
Superstitions , 353. — Mœurs et cou-
tumes des Machaons , 358. — Indus-
trie , bétail des Marontzis, 359.—
Tribus diverses, 470, 471. Voy. Ba-
ehajiiiu, Coranas, Gricqua, Mantchlapit.
Bejrla (jolie ville du Sennaar, Nu-
bie), t. XXIII, p. 474.
Ùeyrout ( ville de Syrie , Turquie
21
'%
- I
322
TABLE GÉNÉRALE
d'Aiie). Situation. Forme. Mosquées.
Parures, t. XXXII. p. 448, 450
Bhali (caste religieuse de l'Hin-
doustan), t. XXXYI, p. 531 et suiv.
Bhtils ( tribu de 1 Hindoustan ).
Leur vie. Leurs armes, t. XXXVI,
p. 338< — Leur pays envahi par les
Rajpouts. Leur caractère, p. 347. —
Huttes. Formes physiques , 353. —
VUlages, 354, 360, 364. — Se louent
pour eacorter des convois, 362.—
Leur état dans leGuzerate, 381.
Bhtilwara (ville du Rajpoutana,
Hindoustan). Environs. Richesse du
commerce , t. XXXVI , p. 334.
Bhirdjoun-Kain (villas et district du
Khorassan, Perse ). Population. Pro-
ductions. Manufactures , t. XXXV ,
p. 412.
Bialittoek ( ville du Grodno, Rus-
sie d'Europe), t. XL VI, p. 139.
Bieltt (ville du Grodno, Russie
d'Europe), t. XLVI, p. 139.
Biehe de mtr. Description de ce
mollusque , et de l'apprêt nécessaire
pour le Tendre , t. XX , p. 230 ;
notes , p. 259 et suiv. , 326.
Biohuaiuu. Voy-. Btlclutuanas.
Bidattoa (rivière entre la France
et l'Espagne), t. XLVI , p. 172.
Biddomaht ( tribu des environs du
lac Tchad, Soudan ). Longs cheveux
des homme». Ornemens. Figure ,
t. XXVII, p. 320 et suiv.
Bitfji* (vUle delà côte des Esclaves ,
Gainée). Musique, t. XXX, p. 37. —
Demeure et costume du chef, 39, 40.
Bigar {groupe de l'archipel Radack,
Polynésie). Nombre d'iles. Croyance
superstitieuse^ t. XVll , p. 213>
Bilbao (ville d'Espagne), t. XLVI,
p. 172.
, Bilma (cap des TiUtous de ce nom.
Sahara), t. XXVII > p. 75, 443. —
Costume de femmes. Danses, 76. —
Environs, 78. Voy. Tibbout.
Bindmbund {y'Me de l'Agra, Hin-
doustan). Réputation de sainteté. Edi-
£ces. ReUgions, t. XXXVI, p. 290.
Biugeh ( ville de la Cochinchine.
Indo-ChineN. Fortifications, t. XXXIV,
p. 337.
Bir (ville del'Al-Djezyreh. Turquie
d'Asie,t. XXXlI,p. 465.
Bir-an^ar (riWe delà Hante-Egypte),
t. XXllI, p. 103.
Bir-el-malha(hoh du désert de Lybie.
Sahara ). Le natron, t. XXV, p. 895.
Birman (empire de l'Indochine).
Ava , t. XXXIV, p. 240, 474.— Fleuvi-.
Montagnes, 449 et suiv. — Code lé-
gal, 453. — Puissance déchue. Po-
pulation, 454. — Armée, 455. —
Monnaie, 457. — Maisons. Piigodcs,
458. — Ameublement des maisuns,.
459. —Villes divcr.se8, 469, 472, 476.
— Productions , 469 et suiv. — Mines,
471. — -Prome : ruines de fortifica-
tions. Denrées, 471, 472. — Puits do
J^'aphta. Ectraction dv l'huile, 472. —
Pouvoir de l'empereur, 475. ' — Sa
cour. Son costume, 476. — Feux d'ar-
tifice, A77. y oj.Amarapoura, capitale,
Pérou, province.
Birmans. Leurs formes physiques,
t. XXXIV, p. 240, 242 et suiv. —
Langue. Code légal. Race, 453. —
Service militaire. Caractère, 455. —
Poésie, musique, 456. — Physio-
nomie. Funérailles, 457. — Saleté.
Costume, 459, 460. — Occupatioas
des femmes, 4(30. — Mariages. Poly-
gamie, 461. — Religion, 461, 478,-
Costume de fonctionnaires, 463, 476.
— Usages de politesse, 464. — Robes
des femmes, 467. — Leur conditioa.
Prostitution. Epreuves judiciaires ,
468. — Ne mangent que les animaux
morts de maladie, 47o. — Divertisse-
ment du dernier jour de l'année, 478.
Birnie (ancienne capitale du Buur-
non, Soudan). Ses ruines, t. XXYll,
p. 185.
Biscaye ( province d'Espagne ].
Campagne, BUbao, Vittoria, t. XLVI,
p. 172.
Bisehur ( Etat de l'Hindonstan ) .
Voyage dans le pays, t. XXXV, p. 470
et suiv. — Serau : annimaux des mon-
tagnes; corûes sacrées; pierres levées;
sculptures, 4!77, 478. Voy. Bampore,
capitale.
Biscoi. Découvre la terre d'En-
derby , t. XXI, p. 460. — L'île Adé-
laïde, 462.
Bissaeott (archipel de la Sénégam-
bie ). Découvert par Ça-da-Mosto,
t. XXII , p. 18. — Figure dés natu-
rels, XXVIII, 441.
Bjornoë ( lie d». Finmarck, Norwc-
ge),t.XLV,p.210.
BUme (mont des Alpes) , t. XLVI ,
p. 16. — Hauteur, 31, 44. — Glaciers.
Cime, 31. . ,
DES MATl-ÈRËS.
323
Blioh. Bat de «on rojtm dans la
mer du Sud, t. XKI, p. 309. — Dé-
coarre les Iles Bonnty, 518. — Se-
jonrne à T'aïti, 314 et soir. -«Est
abandonné dans la chaloupe par son
équipage révolté, 322. — Est attaqué
par les Indiens de Tofo , 325. — Dé»
couvre les lies de la Direction , de la
Restauration , flu Dimanche , des
Frères , du Mercredi , 329. — Arrive
à Timor, après une étonnante naviga-
tion, 332. — >Les révoltés sont arrêtés
à Taïti, par Edwards, 420. — Détails
intéressans sur la révolte de son équi-
page et ses suites, XIX, 23 et suiv.
Boeqaa ( fameux marché de l'Yar>
riba, Guinée^, t. XXX , n. 387 , 391 •
Bodot ( port du Nordland , Nor-
vège) , t. XLV, p. 154. — Oolfe de
Salten, 155. — ~ Poissons rouges,
)56. _* Monts voisins , gibier, trem-
blemens de terre , 157.
Botro, Burrou ou Bourou (Ile de* Mo-
luqiies). Bel aspect de la côte, t. IV,
p. o31. — Gou. irnement des Hollan-
dais, 335, 340. —Beauté du pats,
abonde en cerfs , son étendue , 336.
— Détails sur les naturels , 337. —
Productions; gros serpens, crocodiloSi
558. —Le sultan, 353. — Sol, lia-
bitans descendans des Maures, XV,
295.— Bourg de Cajeli, 296, 299,
300. — • Jalousie des chefs entretenue
par les Hollandais , 297.
BogUpour (ville du Behar, Hindons-
tan).
Ecole , t.
XXXVI, p. 107.-^
Agréable situation , sei-pens , monta-
gnes des environs ,114.
Boghorcdosk ( ville du gouverne-
ment de Moskou, Russie d'Europe ),
t. XLIV, p. 461.
Boguiangola (ville du Bengale, Hin-
doustan). Jolies habitation», activité ,
t. XXXVI, p. 93. — Beaux environs,
443.
Bohém» (province de l'empire d'Au-
triche) , t. XLVI , p. 227, 234 , 236.
Bohémiens (peuple nomade d'Eu-
rope ). Costume d'une jeune fille ,
t. XLIV, p. 97. — Origine, noms
divers, traits, religion de ce peuple,
99. — Caractère , chefs , 100. — In-
dustrie, aptitude pour la musique,
langue, 101. — Leur condition çn
Transylvanie, 102. — • Horde» des Bal-
kans de Turquie, 252. Voy. Ctingarti.
Bohoii ( ancienne capitale de ï'Yar-
riba, Guinée). Situation, triple en-
ceiate, t. XXX, p. 85. — Aspect,
et> virons , marché , 86.
BolaMt (Ile de l'archipel de la Socié-
té). Cook en prend possession , t. V,
p. 323, 336, —Bon mouilUge, X,202.
''-Son étendue, histoire de. la con-
quête d'Uliétéa et d'Otaha, 203 et
suiv. — Renommée de ses guerrier»,
206.
Bolehtrtiik (ville dttKamtscbatka),
Sa description « t. XI , p. 341. -— Ani-
maux , maisons , 342. — Danses rus-
ses et kamtschadales , 345.
BologM (ville des Etats du saint-
siége),t. XL|V,p. 339.
Bombai ( Ile et ville de la côte de
Oman , Hindonstan ). Commerce ,
descripUon de l'Ile, t. XXXVI, p. 403.
— Animaux , pavillons d'été , 404.
— Ville indigène, habitans parsis,
405. — Églises , 407. — Iles voisines,
407. — ' f Célèbre caverne cruciforme ,
de l'Ile A^EUphanla; trinité hindoue,
408. — Ile de Sahetté , chaussée de
jonction, 410 et suiv. — Temples,
cavernes bouddhistes ,415.
BoihAir (^ile du golfe du Mexique).
Comment les Indiens se procurent le
feu, t. I, p. S95.
Bonatitta ( ile du cap Vert ). Bel
aspect ; description de la ville , t. XX ,
E. 110. — Productions, 113. — Ha-
itans ; mauvais traitemens des escla-
ves ; sol , productions , XXI , 206 et
suiv. — Ville de Nova-Cidade , 207.
Boiutûu ( royaume de la Sénégnm-
bie). Coifture des femmes, t. XXV,
p. 39. -^Voyage dans le pays, 64 à
77. -^ Tallika, 64. — Kourkarani;
religion, 67. — Vétemens', 69. —
Soobrodouka, pêche et préparation
du pobson , 70 — Blé, 71 . — Fatte-
conda, ancienne capitale, 73, 76.
— Sol, commerce, habitans, 79. —
Ville de Sabi , XXVIII, 321. — Bon-
libani, nouvelle capitale, 328. "^
Etendue , gouvernement , religion ,
écoles, races, figure des naturels, 338.
— Ornemeus des femmes, costumes
des homme», 340. — Equipement mili-
taire , préparatifs de guerre , 542. —
Productions , animaux , 440. Voy,
Foulah*.
Bone ( ville de l'Algérie ). Ruines }
situation , commerce ; t. XXIII ,
p. 26.
«>
S24
TABLE GÉNÉRALE
Boni ( Ue de PapoM , Malaisie ).
A*pect, uturalt. t. XYIII , p. 77.
Bo»/» (llei de 1* Blalaitie), t. XIX.
p. 4M. ,
Bomn*'Etp^niiu4i]^eo\oni9 da cap de).
DvconTeric ' du e«p par Dias, t. I,
p. 28 ( et XXK , 12.) - Salubrité du
climat, II. 351, III , 63, VII, 125.
— Naturels , 128. — Aipect du cap ,
XX, 120. — Baie Saldanha, XXIV,
16. — Baie Uout, 44. •— Eaux miné-
rabei, 59. — Animaux , 61 , 89, 92,
107. — Baie de Saint-Blaiie , 71. —
Campagne, 82 , 86 . 1 19, 244. — Baie
Formose, 88 , 90. — Rivière Kouga,
113. — Buffle-ririer, 227. — I)e«cea-
dam des réfugiés français , 239. —
Mode de concessions de terrain ,
241 . — Trois classes de colons , leurs
mœnrs, 246, 255. — Leurkabille-
meut, 25U. — Nourriture , 253. —
Vie, 254. — Saluts, 256. — Educa-
tion , 257. - La tête du liqn , 268.
— Le Swartiand, 274. — Embou-
chure, roseaux, hippopotames du
Brrg-Hivier , 458. — • Bornes de la
colonie, XXVI, 15. — Sol ; manière
de voyager, 16. — Villages , fermes,
16,64, 116,118.142. — Habitans,
détails historiques, 18. — Cominerce
et prix des esclaves, 21. — Adminis-
tration de la justice , monnaie;
denrées, 24. — Productions , climat .
aspect du ciel, 26. — Saisons, 28. —
Dunes, 39. — Eaux thermales , 48 ,
' 68. — Premiers missionnaires , 54.
— Vallée Bosjeveld , 65. — Hospi-
talité, 67. — Eglise de TuUagh, 70.
— Paarl, 78 — Chariots, 81. —
Tremblemcns de terre , 87 , 99. —
Autruches, 121. — ■ Voyage dans le
Eays, XXIX , 2 et suiv. — Le Suevr-
ergea, 7, Il , 13. — Cochera afri-
cains f 10. — Chasse au lieu , 1? — >
Nievreld, 98. — Incursions contre les
Boicliimans, origine de l'animosité
eontre eux , 147. — Baie de Sainte«
Hélène , 228. — Relation d'nu séjour
de quatre ans dans la colonie , 230 et
suiv. '— Plaines , 237. — Intérieur
d'une ferme où se fait le vin , 243.—
Chasse au tigre , 245. — Déprédation
des tribus de la frontière, 256. — ■
Plantes, fleurs, 259. — Corps de
Huttentots gardiens des frontières ,.
273. — Rivalités entretenues par les
fermiers, 276. — Oiseau curieux.
S13. >» Chaas* a«s élépbana , 315 et
aniv. — Sauterelles; UÎtenage ; effets
de la guerre conlre les Cafres , 326.
—Portrait d'une famille huUandaiM-,
327. — Sa ferme , 329. — Insiiiu>
tiens moraves , 83?. — Détails liistu-
riques ; gouverneineiit, provinces ,
3w. — Taxes des c-tions , 370. Voy.
Faho , Fmiueh-Htrt, Grat^fl - R^r-
n*l , GUiudtHiiul , (iraham , Gmot-
Bttg , HolltLHdt holUntot» , Abu/-
Miq»4U, Marro, I* Cap, capi^'. le, Roggt.
m«ld Karro, Suiiit-G*org*i , SltUtm-
iûieh , Tablt.
Bonni-Eipéranet (tribus au norj
du cap de ). Voy. Boêchimam , Bel-
chouanat y Camininquoit, Glitittiguoit,
Hotleniott f HoutouaiMt , Kabobiquat ,
Aptai , Koraquoit , IVa-naquoil.
Boitne-Obieniation (lies de la Poly-
nésie ). Déc«>uvertes par Douglas ,
t. XIII, p. 377.
BomtutiH (ville et baie de l'Ile dos
Célèbes),t. 111, p. 212.
Bonrouloir ( Iles de l'archipel da la
Louisiade). Habitans, leurs arme»,
leurs pirogues , t. XV, p. 258.
Boothia (péninsule des régions arc-
tiques). Découverte par Ross , t. XL ,
p. 46- — Saie.Fear\vell. Rivière Lang,
ibid. — Plantes , 47, 52 ,159 — Ani-
maux, 47, 59. 61, 122, 134, 180,
199. — Villages, huttes, 47, 50, 5»,
87, 162, 172. — -e port Lang , 49.
— Intérieur des terres , 49, 60, 103,
111, 117, 135, 144, 171 à 181. >-
Le ptirt Klisabeth, 51. — Le purt
Éclipse , 56' — Lièvres blancs , 61 .—
Entrevues avec les Esquimaux , 81 ,
87,03, 103, 154, 162, 172, 196. -
Lacs, montagnes, 128. 132, 136.
139, 142, 152, 177, 178. — Baie
Speooe, 138. — RivièM Amitioke.
139. — Oiseaux , 140 , 143 , 144. —
L'isthme ,142. — Vue de la mer à
l'ouest, 146. — Cap Isabella, 147. —
Iles de Bererley, Matty, 149. — Cap
Abemethes, Sabine, Young, 150.—
Difficultés des voyages en «té, 151.
— Baie Parry, 152. — Baie Richard-
son. Golfe B<M»thia^, cap Félix , 155.
— Cap Victory, 1 54— Baie du Shcriff,
168. — Rivière Sanmarez , Hansti'iiis,
177, 179. — Pâle Magnétique , 187,
19Û , 247. — Mœurs. Usages , etc. ,
des habitans. Voy. Eiquimaux d* l'en.
Bon* (secte de l'Hindouatan). Leur
DES MATIÈRES.
326
rtligioa. Leur mauTNite ré|iatiitioD ,
t.XXXVI,p.B03.
Btritôm ( Tille du Min*k, Ruitti«
d'Europe), t. XLVI , p. 140.
Bofn/o (ile de lit Malaitie). D^con-
terte \>*r les Portugais , t. I , p. 107.
— Production» direrses , XV, 383.
_ Montà^oes , XLIII , TJ , lix. >~Hi-
Tièrr», «ij , lix. — Lac, viij , lis, —
Miae« précieuses , viij , lis. -J Pro-
ductions , ix , lis , Isij , IxiiJ. •» Qiia-
dru|)èdes , ix , x , Ixiij et suir. — Ha-
bitans Malais , sij, xr, Ixj. — IIabi<
tans Dayaks , xiij , xxij, Isj. — Patrie
dos Papouns , xviij. — Religion , xxij,
lxTiij.-~GouTernen>ent,xxviij, Ixij.—
Industrie. Commerce, sxix.— Anthro-
pophagie, XXX. — État des femmea,
ixxj, — Langue, xxxij. — Étendue,
babiians, Ivig. — Climat , lix , Ixij.
-• Huîtres perlières , lis. — Golfes ,
Ix. — Figure , mœurs , habitations
d(s différentes tribus , Ix et suiv. —
Sultans indigènes, Ixij , Ixix. — Cam-
pagne, Ixij. — Le bois de fer, Ixij.
— Chiens engraissés pour les repas,
lerpens, IxiT.— Habitudes des singes,
IxT et suir. — • Leur chasse, Ixti, •—
L'orang-ortang, Ixtï. — Giseanz,
IxTij. — Culte des crocodiles. Mé>
tempsychose, Ixriij.
Bonna (ville du gouTernement de
Tchernigor. Russie d Europe), t. XLIV,
p. 372.
Boteaut» (lie de Tarchipel des Amis).
Découverte p.ir Wallis, t. II(, p. 381.
— "N'est autre que l'Ile des Cocos de
Lemaire , VIIT, 73. — Habitans , 225.
— Nom indigène de l'Ile , X , 44.
Boschimaiu (tribu pillarde ..n nord
dn cap de Donne-Espérance). Vie.
Armes. Art de fondre le cuivre. Cos-
tumes des chefs. Mariages , t. VII ,
p. 130 à 132. — Est fiirmée des va-
pibonds des tribus voisines , XXIV,
449. — Éducation de leurs bœufs,
XXVI, 134. — Voyage dans leur
P'ys , 16J5 à 396. — Taille. Couleur ,
168. — Ornemens ^,232. — Ar-
bres , 174 , 178. — Kraals (villages),
178, 180, 184, 272, 303, 313 et
suiv., 371, 411 • — Missionnaires, 181,
197. — Productions , 185. — Qua-
drupèdes , 188, 245 , 334, 368. —
Pièges aux animaux , 224 , 237. —
Oiseau , 228. — Costnmes , 230, 233,
517. — Lao salé, 255. — Ukteosilc»,
23U, 323. — Hippopotame, 245. —
Sol. Pays , 254 — Poisson , 257. •—
Fourmilières, 267. — Musique, 275,
276. 312, 520. — Repaies divirs,
281. — Huttes, 516, 326. — Ma-
I iagos , 320. — Toilette des femmes ,
T"*! — Ablutions, 324. — Habileté
au tir, 325. — Danse.s, 325, 827 et
suir. — Sale habitude, 330.— Chaste
du rhinocéros, 330 —Armes, 372.
— F.xcursion dans leur pays , XXIX ,
144. — Guerres contre les cohtn».
Origine de l'animosité contre eux ,
147. — Numération , 158. — Nourri-
ture. Superstition, 163, 276,366.
— Signiiication du nom de Bosrlii-
mans , 275. — Mœurs et usages , 365.
— Voy. Garitp, rivière.
Botjtntd (vallée du cap de Bonne-
Espérance) , t. XXVI , p. 65.
Betphor* d* Thrae» (détroit entre
la mer de Marmara et la mer Noire).
Ses rives de Turquie , t. XLIV, p. 20.
•— Départ périodiqu*-s de railles , 21 .
— Amu damn^ti (oiseaux) , 73. —
Respect des Turcs pour ces oiseaux ,
24. — Chaloupes , 271. — Magnifi-
cence des rives , 372.
Boira (ville de Syrie, Turquie
d'Asie). Ruinei, t. XXXIl , p. 427.
Bouu. Nationalisé ches les Arkao-
us, t. VII, p. 11, note.
Boitam (ville du Khorassan, Perse).
Fortifications. Population. Mosquées,
t. XXXV, p. 152— Tombeau du fon-
dateur de la ville, 153.
Botton (capitale duMassnchnssetts,
États-Unis). A.npect, t. XXXIX, p 145.
— Unitairianisme , 146. — Édifice»,
149, 159. — Commerce de glace,
150. — Collège Harward, loi. —
Climat, 152. — Gratid hôpital, 153.
— Chantier, 159. -—Marins, 160. —
Écoles , 166. — Bon naturel des ha-
bitans, 172.
Botanique (lie de la Nouvelle-Calé-
donie . Australie ). Découverte par
Cook , t. IX , p. 14. — Ses Grands
pins , 15.
Botany-Bsy (baie de la Nouvelle*
Galles méridionale , Nouvelle - Hol-
lande). Lieu de déportation de I'Ak-
gleterre ; pourquoi ainsi nommé par
Cook. Sa description. Sa population
enl833, t. VI,p. 229.
320
TAULE GÉNÉRALE
, BtIkiiN (proviDce do NordUad tné-
doU). Voyage daoa l'intérieur , t. XLV,
p. 820.
Botol-T«b0to-Xtmm (Ile de lit Matai-
tie). Son étendue, lou hel atpect, vil-
lagef, foréta, t. XII, p. 321 ; XIX, 392.
BotMiH (Tille du Tjrrol). Oétaili di-
rer» , t. XLV, p. 366. — Environa ,
593. -» ARrrmen» de la ville , 304, —
Édi6cei,395. — Promenades. Ruinât
de Sigmuiidk-Cron, 39ti.
Btue (Ile du. Polyni^iie), Décou-
verte par Kotcebue, t. XVII , p. 136,
144. —Tatouage, vétenient, oruo-
mens, 138, 141. — Productions,
143, 144.
Bouddha (culte de). Prières diverses,
t. XXXIII, p. 19, 343. — Péchés
mortels , 45. — • Coffres des oriiiions ,
139. — Eau bénite, 144, note. —
Sépultures, 151. — lie grand prêtre,
232. — Figure du Bouddlia de Siam
et de Ceylan, XXXIV, 118, 233. —
Temple de Packnam , 117. — Tem-
ples de Baukok , 165 à 170, 232. —
Différence du Daguba de Ceylan et
de Siam , 166. — Peintures obscènes
des temples de Bankok ne sont
Itoint dans ceux de Cevian , 233. —
nnombrablet statues de Bouddha à
Bankok , 234. — Leur arrangement,
leur pose peut servir de modèle , Ibid.
— Commandemens de Bouddha (texte
siamois et traduction), 272. — Si-
gnification du mot Bouddha. Su-
prême sectateur, 462. — Description
des temples • cavernes bouddhistes
de l'Ile Salsette , XXXVI, 413 ettuiv.
— /rf. deCarley,421.
BouoAiirviLLE. Part de Brest pour
remettre aux Espagnols la posses-
sion des Malouines, t. IV, p. 1. —
Effectue cette remise, donne quel-
ques détails .sur l'histoire de ces Iles
et sur l'établissement qu'il y avait
fondé , 38 et suiv, — Décrit les mis-
sions du Paraguay et l'expulsion des
jésuites , dont il fut témoin , 106 et
aniv. — A nne entrevue avec les Pa-
tagons, 138. — Nomme la baie Dn-
clus , 151. — Celles du beau bassin
de la Cormorandière, l'Ile des Deux-
Sesurs, la baie de la Cascade, 164 et
suiv. — Décrit les habitans de la côte
de la Terre de Feu , qu'il nomme Pé-
cherais , 163 , 172. — Nomme les caps
Fendu , de l'ttoile et de la Boudeone ,
191. — Découvre les Iles de* quatre
Facardins, desl^anciers, de La Uar-
pe, et plusieurs antres, auxquelles il
donne le nom générique d archipel
Dangereux, 200 et suiv. — Mouille
k Tuiti, 211. — Sa récepticiq nur les
habitans , 213. — Y sème differentei
graines , 222. '— Emmène un Indien
nommft Autourou , 231. —Découvre
l'Ile d'Oumaitia , 258. — Nomme l'ar-
chipel ae Bourbon , 250. — Celui des
Maviffateurs, les Iles de l'Enfaut-Per-
du , de la Pentecôte, de l'Aurore , de
l'Étoile, des Lépreux, 267 et suiv,—
Découvre l'archipel des grandes Cy-
cladcs , 277. — Petite découverte
d'un autre genre , 278. •— Découvre
l'Ile do la Bature de Diane, 281 , — Le
golfe de la Louisiade , 290. — L'Ile
Choiseul , 298. — L'Ile Bouka, 300.
— ReUclie à la NouvelIcBrctagoe.
Décrit et nomme le port Pra»lin,301
et suiv. — Découvre l'Ile des Anaclio-
rètes, 319. — L'arcMpel de l'Échiquier,
l'Ile des Deux-Cyclopes , etc. , 320,- •
Nomme le passage des Français, 327.
•-» Sa navigation dans les Moluqiii-s,
343 et suiv. — Séjourne à Batavia ,
365. — Rencontre le vaisseau de Car-
terot , 399. — Cook achète une de
•es ancres à Taïti , X , 20t. — Ré-
sumé de ses voyages, XVllI, 20t.
BouoAiifviLLE fils. Son voyage au-
tour du monde ^ t. XVIII , p. 394.—
Sa brillante réception en CocLin-
chine , 406, — Reconnaît les groupes
Anambas , 408. — • Érige un monu-
ment à La Pcrouse, à la Nouvelle-
Hollande, 315.
BougainviU* (Ile de l'archipel Salo-
mon). Aspect de la côte occidentale ,
t. XV, p. 44. — Sol montueus,
XVIll , 142.
Bouguis (nation de l'Ile Célébra).
Commerce. Littérature , t. XLIII ,
p. xiij.
BouJnourJ ( ville du Khorassan.
Perse) , t. XXXVII , p. 304.
Bouka ( Ile de l'archipel Salomon).
Découverte par Bougainville. Produc-
tion , côtes. Description desh.ibitaa!«,
de leurs pirogues , t. IV, p. 300 ; XV,
45 et suiv.; XVIII, 143; XX, 370.
Bottkfiara ( capitale de la Buukh.i-
rie). Sa renommée. Est suruoinmée U
DES MATIÈRES.
327
SnitH, i. XXXVII, p. 171, 177, 'iOS.
— Eavironi, 175, 2(i0 — Le R^gUliia
ou graud bniiRr. Etraugert, Cottumi!».
Denrée» , 180 à 186. — Uuge du thé,
(le la glace, 185. — Musquée*. Po-
lice, 180. — CuUéget, 187, 203,
205. — Baiar ani e^cluvet, 187. —
Punition des infracteurs des lois
inuAulmanei, 188. — Etat des babi-
tans iiinduus, 189. — Bains à l'orien-
tale, 192. — Protection accordée au
commerce, 195. — Coiitunie, escorte,
deroirs du roi, 196. — Origine et biit-
toire de la 'ville, 200, 204. — Climat,
200. —Edifices. Canut, 201. — Popu-
lation. Maisons. Grande moiqueo ,
202. — Collège remarquable. Ddmes
émaillés , 203. — Détails sur les col-
lèges, 205. — Rigueur du inuhumé-
tisme, 206. — Littérature de l'Asie
centrale, 209.
Boukliariê (royaume de la Tatarie
iadépendante ). Habitans épousent
les femmes do leurs prisonniers ,'
t. XXXVn, p. 130. — Voyage dans
l'intérieur. Balkli, 153 et suiv.— Ma-
nière de voyager, 160. — Exactitude
des descriptions de Quinte -Curce,
161.— Le désert des Turcomans, 162.
Huttes, 161. — Rivière Osns; manière
de la traverser, 164.— Campagne, 164,
223. —Villages. Puits, 165, 167, 168,
172. — Marche d'une caravane. Es-
prit d'égalité, 166. — Climat, 167.—
Amazones La Kays. 168. Oasit , 169 ,
172. ■— Lieu de naissance de Timour,
171. -Marchés, 172.— Caractère des
ludigènes, 173. -~ Tombeau fameux,
210, 21 2. — Ancienne capitale de Ti-
mour, 211. — Ruines de Kbojuoban.
Momies antiques, 213.— Description
du pays de Bukhara à l'Oxns, 223. ~
Énormes melons, 224.— État des Tur-
comans, 225, 227. — Esclavage, 229.
—Ruines antiques, 231.— Commerce
de peaux de moutons, 233. — Bazars
des Boukhariens à Macarief ,en Russie,
XLIV, 468. Voy. Balkh, Bykund, Kar-
lan, Xhurstjr, Samareand, Utbtki,
BoulibaiU ( capitale du Bondou, Sé-
négambie). Population. Fortifications.
Mosquée, Maisons, t. XXVUl, p. 328.,
— Manière périlleuse de naviguer,
334.
Boundagia ( ville du Kouranko,
Afrique), t. XXVIIl , p. 56.
BtnHtjr (tiei de la PoNnittoy, décou-
vertes par Bligh, t. Xlli, p. 518.
Bourbon ( archipel, Polynésie ), dé-
couvert par Bougaioville, t. IV, p. 259.
Bourbon ( Ile de la mer des Indes) ,
t. XVIir, p. 425 et sulv.
Bourgat ( ville de la Roumélie, Tur-
quie d^Europe ). Routes , t. XLIV,
!>. 38. — Signification du nom. Aspect,
E9. — Belles poteries. Le haratch
(capitation), M.— Aspect. Édifices,
458.
Boi7iiooiiTo. Son voyage en Espt*
gne.t. XLVI, p. 172.
Bourf(ou ( grande contrée du Son-
dan). Incursion des liabitans dan*
l'Yarriba ,t. XXVIII.p. 133.— Voyage
dans le pays, 152 à 188- • Huttes,
153.— Fameux poison, 167. — Triba
des Cambrics, 184. —Gouverneurs,
188. — Étendne. Rivières , 180. —
Voyage dans le pays, XXX, 123 et
sniv. ^ Marclie d une caravane, 123.
-Animaux, 126, 140, 163. — Féti-
ches, 127,— Parallèle entre les natu-
rels et ceux de l'Yarriba , 143. —
Habitans felatahs, 145, 152. — Leurs
pillages, 158, 160, 162 -Zalcn, 162.
— Manière de conserver le blé, 218.
— Vie des chefs. Polygamie, 231. —
Liste des différens Etats, 247, 248,
251. — Traitement des esclaves, 278.
— Maladies. Médecine, 288. Voy.
jilgi, Boutia, Buojr, Coubfy, Et-ff^ato,
Ftlatnh, Kakafungl, Kiama , Niki ^
Wai»a , fFonjtryu^, Yaourt,
Boumou (contrée dn Soudan). Voya-
ge dans le pays, Uurwha , t. XXVII ,
p. 109, 141. - Brcc, 131.— Yeddie,
136. — Deegoa,138. — RninesdeDag-
waraba. 139. — Birnie, ancienne capi-
tale,185 — Ruines de Oambarou, 186.
— Éléph.ins drossés, 188. — Animaux,
192, 207, 208, 216, 232 Kabshari,
194. — Corps armé do Kanembons ,
19o, 200.— Caravane d'esclaves, 204.
— Chasse au buffle, 220. — Angàla,
239. — Willighi, 246. — Kussery.
Huttes remarquables, 249.— Showy:
jeux des filles, danses des hommes,
285. — Rochers remarquables , 286.
— Girafes, 301. — Dcltago, 31'9. —
Objets du commerce. Deboriplion do
deux beaux arbres, 334. — Climat.
Saisons. Population. Productions, Ani-
maux, 456.— Belles négresses, 448.>-r
328
TABLE GÉNÉRALE
Décret sur le commerce des esclaves,
XXX, 257. Voy. jHgonou, Kaium^
Kouka, capitale, Y«ou, rivière.
Bourneuvitns (habitaos da Boar-
nou ). Cour , audience du sultan ,
t. XXVIl, p. 124, 192. — Suite des
chefs, 139,192.— Chansons guerrières,
140.— Mariage», 214. — Observancij
du rhamadan, 277,279. — Pinition de
ceux qui l'enfreignent, 281. •— • Célé-
bration de la fête de l'Aid-Keir, 307.
— Costumes, 343. — Polygamie, 437.
Bourott, Voy. Qoiro.
Boushire ( ville de l'Oman. Arabie).
Eaux thermales. Habillement des
homme), t. XXXV, p. 10. — Costume
et ornemeus de femmes, 11.
Boushire ( ville du Dechtistan, Fer •
se), t, XXXV, 16.
Boussa ( ville et province du Son-
dan). Murailles, t. XXVIII, p. 176.
— Ile. Maisons, 181. — Langue. Reli-
gion. Nourriture, Armes, 182.— N'est
point situé duns une île, XXX, 163.—
Caractère. Costume da roi et de la
reine. 166, 167, 169. - Le Niger, 166.-
Murs de ceinture, 173. — Productions.
Troupeau. Étang salé. Animaux. Gou-
vernement, 174. — Est distinct du
Bourgou, 247. — Célébration d'une
grande fête musulmane ; danses, mu-
sique, etc., 259 à 268. — Costumes,
262. — Superstitions sur une éclipse
de lune, 269. — Chashe aux éléphans,
273. — Traitement des esclaves, 278.
— Maladies. Médecine, 288.
Bouijole. Connue à Mozambique,
avant l'arrivée de Gama, t I, p. 36.
Boutait ( province de l'empire Chi-
nois ). V(«yage dans le pays, t. XXXI,
p. 420. — Buxadeouar, 422. — Suisons,
sol, 425. — Animiiux, 426, 428 et siiiv,
— Confection du beurre, 42ô. — Ha-
bitans tarfares,450. — Pout. Manière
de traverser les précipices, 431. —
Frontière du Thibet, 432.— Comparai-
son du Boutan avec le Thibet, 440.
— Lieux de dévotions. Idoles, 442.
— Vie des prêtres, 444. 447 et suiv.
— Temples sur les bords des chemins,
44 î. — Collège des prêtres, 447. —
Leur influence, 448. — Leurs f /roprié-
tés, 449. Voy. Tattitudon, capitale.
Boutait ( indigènes du , ou D^-
tiai ). Figure. Formes , t. XXXI ,
V 426, 428 et suiv. — Armes, 426 —
Superstitions , 432. — Religion, 441 ,
44o et suiv. — Opinion sur le sys-
tème de l'univers. Idoles, 442. —
Pratiques de dévotion , 444 , 447
et suiv, — Etat des personnes, 450.
—Religion. Mariages, XXXV, 473.-
Denil, 474. — Funérailles, 475. — Su-
perstition. Querelles, 476. — Polyga-
mie. Polyandrie, Costume , 477. —
Religion. Origine, XXXVI, 235.— Fi-
gure. Costume, 236.
Boutoun (ile de la Malaisie). Aspect
de la .;âte ooest, t. XV, p. 302, 304.
— Denrées. 306, 310. -* Ville de
Bouton, 307, 310. — Du souverain de
l'Ile et de la garnison hollandaise,
308.— Faiblesse de la marine, 311.
BovADiLLA. Reçoit les provisions
de gouvcraeur-général des parties dé-
couvertes de l'Auiérique, t. XXXVIII,
p. 182, — Fait mettre aux fers Colomb
et ses frères, 187. — Les condamn« à
mort, et les renvoie en Espagne, 190.
— Sa conduite blâmée à la cour, 192.
—Son odieuse conduite en Amérique,
195. — Est remplacé par Ovando, 199.
— Son naufrage. Sa mort, 203.
BouvsT. Couk cherche vainement
la terre australe , qu'il dit avoir vue ,
t. VII, p. 215; IX, 118
Bouvet ( Ile de l'océan Atlantique ).
Découverte par Bouvet. Son gisement.
Son origine volcanique, t. XX, p, 35.
BowoiCH. Son voyagea Coumassie,
capitale des Achanti ( Afrique occi-
dentale),.t. XXVllI, p. 418.
Bradât ( ville de la Turquie d'Eu-
rope ), t. XLI\ , p, 25.
Brahmines ou Bramet ( caste de
l'Hindoustau). Elèvent les bayadères,
t. XXXI, p, 348, et XXXVI , 438, —
Mariages disproportionnés , XXXI ,
350. — Mœurs dissolues , 351. — Or-
gueil. Habitations, 461 . — Ornement
distinctif de leur famille, XXXVI, 48.
— Trait de mœu rs, 1 62. — Soins qu'ils
prennent des animaux , 395. — Leur
paressp. Leur ignorance, 468.
Brampour ( capitale du Kandeich ,
Hindonstap. ), Etoffes' renommées,
t. XXXI, p. 64.
Brand (vallée du cap de Bonne-
Espérance ). Ses Eaax thermales ,
t. XXVI, p. 68.
Braniska ( ville de la Transylvanie,
empire d'Autriche), t, XLIV, p, 113.
DES MATIÈRES.
320
t avoir vue ,
Bnui (vlUe du Galabar, Gninée). Su-
perititions, t. XXX, p. 460, 474. —
Est forinée de deux villes, 469. — Ali-
mensdes habi'aos. Eurirouii, 470- -
Maisons. Cciunierce de sel Rançou-
nement des voyageurs par le roi, 472,
Brara ( ile du Cap-Vert ). Produc-
tion». Fertilité, t. XX, p. 117.
Bre0 ( ville du Bournou , Soudan ),
t. XXVII, p. 131.
Bregenx ( ville du Tyrol ), t. XLV,
p. 406.
/7r«i</<n ( ville du Sonderfields,Nor-
wége ). Une ferme et ses curieux habi-
tan», t. XLV, p. 69 et suiv.
BrÂil ( empire de l'Amér. mérid. ),
Découvert par l'Espagnol Pinçon ,
t. XVHI, p. 53. — Animaux, 54. —
Gouvernement, 56. — Découverte de
Pinçon : prise de possession de Cabrai,
XXXVIll, 244, 339.— Premières colo-
nies, 340.— Fondations des premières
bourgades, 341 . — Établissement des
Français , 342. — Détails historiques,
343.— Superlicie; population, 389.—
Beaux oiseaux , XLI , 220. — ' Villages,
222. — • Description des Pampas , 2iB0.
Voy. et nom. — Éfat des prêtres, 301
à 303. — Manière de tuer les bestiaux,
401 à 40)..— Villages ou petites villes,
XLII, 53, 55, 61, 69, 215, 249, 258,
280, 282, 289, 301. 303, 306^ 310,
521. — Oiseaux divers, 54. 59, 240,
244i 331 et suiv. — Les Brancot , 56,
74, 76. — Qu.idrupèdes divers, 58,
240, 244. — Alligators , 58. — Serpen»
et autres reptiles, 58, 286, 321, 347.
—•Lacs, 59, 61. — Sentarem, 67. —
Tigres privés, 70. Considérations gé-
nérales, 74. — Limites; étendue, 111.
— Productions, 112, 211, 229, 231 ,
246, 306, 331 .— l'-squisse, liictorique,
112, 132. -— Découverte du pays;
reste de la colonie portugaise, 112. —
La famille royale s'y réfugie, 116. — ■
Améliorations dues à don Jean, 118
et suiv. — Introduction de la vaccine,
121..— Le pays érigé en royaume,
124. —Érigé en empire, 131. Voyez
Don Pedro. — Bizarres pacotilles en-
voyées par les Européens , 178 et .suiv.
— Fruits indigènes, 211, 331. —
Voyage dans l'iutérieur, 213 à 325.
— Multitude de crabe» , 213. — As-
pect» du pays, 214,243, 254, 262,
281, 318, 32^. — Les quatre espèce»
d'auburges, 214. — Insectes, 217,
254, 257, 330. — Ferme»; plentation».
219, 233, 251. 281, 298, 311 à 316.
— UAtelleries , 224. — Convois de
muletiers , 227, 322- — Montagnes ,
229, 234, 239, 252, 284. — Forêts et
leurs animaux, 229 et suiv., 240, 332.
— Rivières, 235, 241, 248 269, 281,
298. — Le vampire , 238. — Rats et
chauves-souris, 238, 244. — Savon
du pays, 241. — Magnifiques bambous,
246. — (>oix.sur les bords des che-
mins, 247. — Petite vérole, 249. —
Les Qimpos, 253. Voy, ee nom.—
Mines , 269, 285. — Rivière aurifère,
stérilité de ses bords , 269. — Cochers,
271. — Kx^mple des déplorables ré-
sultats de l'esclavage, 274. — Les
vendas, 282, 285, 288. — Le serpent
corail , 286. — Topaze» , 290. — Ca-
vernes de Villa-Rica , 295. — Dan.ses
de village , 304. — - hnoniie bomhax,
306. — Célèbre route d'Estrella , 323.
— Progrès, 327. — Climat, 329. —
Araignées extraordinaires, 330. —
Palmier à chou , 331. — Oiseaux re-
marquables , 331 et suiv. les Aganot,
334. — Les Senxallas, 346. Voy. Bar-
baeena, Egat^ Ftrnamhoue , Fernando^
NojoiJia, ùurupa^Sainte-H^line, Pantj
Parahiiaj Rio-Janeiro, capitale ; Saint f-
Catherine , lie, Santo-^oao^ Saiitojoté,
Saint-Sahador, Falença.
BritilitHi. Religion, t. XVIII, p. 56.
— Funérailles des riches, des enfan»
et des nègres, XLII, 101, 205 et suiv.
— Usage à l'occasion des repas, 104.
— Costume de postillon , 133. — Peu
de soin pour les restes de» proche», 161,
206. — Maladies les-plus fréquentes ,
162. — Remèdes bizarres, 166. —
Superstitions, 168. — Manières des
divers rangs, 186 et suiv. — Coutume
des vœux , l89. — Singulière confu-
sion d'état» ; les barbiers , 190. — Vé-
nalité des juges, 200. — Alimens,
210, 214. — Dîner brésilien , 215. —
VAve Maria, 237. — Costume de
dame, 243. — Goitres , 249. — Ablu-
tions de punch, 261. — Bizarres no-
tions des Brcsilieus de l'intérieur sur
la chronologie et la géographie, 264.
— Répugnance pour le mouton , 273.
— Fécondité des femme»; mariages
disproportionnés d'âge ; naissances
extraordinaires , 276- — Caractère gé-
330
TABLE GÉNÉRALE
néral, 32S et shIt. — Caractère des
jeunes personnes, 350.
Br^iil ( Indiens du ). Longévité ;
culte; canot»; vétemens singuliers;
tatouage ; se brûlent tout le poil d«i
corps: Pain de moelle d'arbre, t. I,
p. 227 et suir. — Danses et jornemens ,
XLII, 47. — Combat contre les tigres,
50. — Les Brançoi, 56. — Cannibalis-
me , 57. — Effroi à la vue d'un téles-
cope, 62. — Villages, 63, 324. -r. Fé-
roce tribu des Bote Cudot; essais de
civilisation , 120. •— Indiens civilisés
de Yalenca , 240.
Br/sil (nègres du). Travaux aux-
quels ils sont employés, leur état,
leur traitement, t. XVII, p. 35; XLII,
97 à 103. — Régiment nègre, 99, 103.
— Nègres marchands, 100. »- Prê-
tres nègres, 102. — Les quatre con-
ditions du nègre au Brésil, 103. —
Leur sort amélioré par don Jean, 122.
— Nègres affranchis, 184. —Commerce
de nègres mutins, 203. — ' Enterre-
mens, 207 — Marchés, 242, 334. —
Usage du poison; vengeances, 274.
— > Vénération pour les cavernes , 296.
— Passion des liqueurs fartes, 314.
— • Achat et vente de^i cargaisoa». Les
Ciganos, 334. — Instrumens de musi-
que, 336- — Amour de la danse, 338.
— Gouvernement patriarcal , princes ,
339. 340. — Désir de recevoir le
baptême, 341. — Fuites fréquentes,
chatimens , 342. — Violente horreur
de leur condition ; infanticides causés
par amour pour l'enfant, 343. —
Grand nombre de noirs et de mulâtres
libres, 345. — • Liberté donnée aux
femmes le mercredi saint, 353. —
Leur logement, leur traitement dans
un navire négrier, 376 à 382. —
Comme ils se battent pour une goutte
d'eau, 379.
Bretagne ( royaume uni de la
Grande-). Comparaison du caractère
des trois peuples du royaume, t. XLVI,
p. 273 à 280. — Londres, 280. —
Edimbourg, 283.
Bretagne (Nouvelle-). Contrées de
l'Amérique Septentriooak', Observa-
tions générales sur la vie, les mœurs,
les formes physiques , le gouverne-
mont, les unions, etc., des Indiens de
la côte ouest, t. XIII, p. 179 et suiv.
Voy. Canada, NoweHe-Albion , Nou-
rttU ' ConomUlUif NoM*»Uê - Géorgie,
Nowtfle-Hwtorr» , Labrador, Nouveau-
JVor/olk.
Bretagne ( Nouvelle-, Archipel de
rAustralie), Voy. Iles de l'Amirauté^
Nouvelle ' Bretagne propre, Dampier,
Nottvtlle - Hanovre, Nouvelle • Irlande,
Man, La Mire et les Filles, Portail,
Saniwioh, fillaumez, folcan, York,
Bretagne propre (Nouvelle-. La plus
grande ile de l'archipel de la Nou-
velle-Bretagne). Découverte par Dam-
pier, t. I ^ p. 453. — Habitais jau-
nâtres. Pays très fertile, II, 66. —
Découverte et description du détroit
qui la sépare de la Nouvelle-Irlande ,
III ,149 et suiv. — Description du
port Piaslin. Nommé par Bougaiuville.
Quadrupèdes , sol , insectes , co-
quilles del'ile, IV, 301 et suiv. —
Description de quelques habitans ,
315. — Fait partie du groupe Salo-
mon , découvert par Mindana , VII ,
144. — Aspect agréable de la côte
sud, XV, 272. — Productions , XX ,
372 , 377.
Brindes (ville du royaume de Na-
ples), t. XLVI,p. 197.
Brisaxt (pointe de l'Amérique sep-
tentrionale, ouest). Nommé par Mea-
res. Gigantesque maison du chef d'un
village , t. XIII , p. 347. — Repas du
chef, 349...
Bristol (baie, mer de Behring).
Nommée par Cook , t. XI , p. 46. —
Son étendue, 48.
Britannia ( Ile du groupe Loyalty),
t. XVIU,p, 305.
Brixen (ville du Tyrol), t. XLV,
p. 366 , 387.
Broaeh. Voy. Barotch.
Bronu* ( Iles de la Polynésie), tome
XVII, p. 465.
Broughtoh. Séparé de Vancouver
par un ouragan , t. XIV, p. 68. —
Découvre l'ile Knight , 70. — Les lies
des Deux-Sœurs , de Chatam , 71 . —
Est rejoint par Vancouver à ïaïti ,
85, — Découvre l'archipel Broughtou,
310. — Reconnaît la rivière Co-
lombie, 368.
Broughton (archipel, côte ouest de
la Nouvelle-Bretagne, Amérique sep-
tentrionale). Découvert par Brough-
ton Nommé par Vancouver, t. Xlll ,
p. 310.
DES MATIÈRES.
331
Browitb. Sun voyage au Darfour ,
Afrique centrale , t. XXY, p. 392.
BnucK. Son voyage aux sources du
Nil , en Nubie et en Abyssinie. Notice
biographique. Préliminaires au .voya-
ge , t. XXIII , p. 1 à 52. — Son Sé-
jour à Alger, 18. — Explore la Bar-
barie, 27 — Décrit quelques ruiner ,
29, 31, 39. — Visite la Cyrenaïque,
40. — Palmyre. Balbec , 48. — L'E-
gypte , 55. — Remonte le Nil, 67. —
Son excursion dans la mer Rouge, 114
à 170. — Y donne son nom à une île,
124. — Ses aventures à Masuali en
Abyssinie, 175, 193. — Sa route
d'Arkéeko à Dixan , l93. — De Dixan
à Adova, 213. — A Siré, 225. — A
Addergey, 244. — A Gondar, 264.—
Arrive à Gondar déguisé en Maure ,
299. — Obtient audience d'un roi ,
309. — Est nommé commandant de
la cavalerie noire, 311. — Obtient
audience du ras , 313. — Il a une
violente querelle , 317 et suir. — Dé-
crit les mœurs d' Abyssinie, 335. —
Est nommé gouverneur d'une pro-
vince, 382. — Ses tentatives pour
découvrir les sources du Nil , 391. —
Y arrive, 423. —Est bien accueilli par
les Agows, 448. •■— Revient à Gon-
dar, 462. — Son départ , 470. — Ar-
rife à Sennaar, 480.
Bruce (î}e, mer Bouge). Nommée
par Bruce, t. XXIII, p. 124.
Brûlantes (iles). Voy. Artmon,
BucKiNGHAM. Sou Toyago parmi
les tribus situées à l'est de la Pales-
tine , t. XXXII , p. 385. — • Décrit
Damas , 432. — Visite lady Stanhope
à Mar-Elias , 443 , 444 et suiv. —
Son voyage en Mésopotamie , 462- —
Visite Arbelles , 483. —Bagdad , 487.
— Babylone , 494.
Bueklani (Ile du groupe Burdet).
Nommée par Beechey, t, XIX, p. 434.
Bude (ville de la Hongrie, empire
d'Autriche) , t. XLIV, p. 127, 128.—
Sa communication avec Pestb, 136.— <
Dames , 137. — Forteresse. Beau
quai, 1 39. — Aspect, 140. — Sa com •
munication avec Pesth. I^.difices ,
XLIV , 128. — Université. Établisse-
mens divers. Théâtre , amusemeus.
Bains chauds, 129.
Buéno$-Ayret (capitale de la Plata).
Sa fondation, t. IV, p. 18- '—Maisons ,
édifices , population , 19. — Théâtre
d'acteurs français , !21. <» Bnvirons
abondant en chevaux et en bœufs ,
23. — Mendians à cheval, 25. —
Fondée par Mendoza. Signification
de son nom, XX, 69; XXXVIII,
349, — Disette. Ëpisode de Maldo-
nata et de la lionne , 349 et suiv. — .
Description de la ville , 352. — Cli-
mat. Humidité , XLI , 286. — Sup-
pression des couvens , 301 . — ~ Désa-
grémens de la ville, 304. — Mai-
sons, meubles. Société, 305. — Iso-
lement des dames , 306. — Marchés ,
le Guacho (approvisionneur) 306, 307.
— Abattoir, paies à bestiaux. Mata-
dores , 308. — Principal cimetière ,
funérailles, 309 à 314. — Postillons,
relais, 319.
Bu/falo (ville du New-York, États-
Unis), t. XXXIX, p. 74. — Beauté
des environs , t. XLI , 268.
Buffle , description de cet animal ,
t. XXIV, p. 89; XXVI, 386. — Sa
chasse par les Shouas, dans le Sou-
dan, t. XXVII, p. 220.
Buffle-Rifière (rivière de la colo-
nie du cap de Boane-Espérance ) t.
XXIV, p. 227.
Bukharest (capitale de la Valachie.
Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 75. —
Aspect des rues, firillans équipages.
Boyards, 76, 79. — Situation. Popu-
lation, 77. — Costumes. Églises,
Khans, 78. — Maisons. Dissolution
des mœurs, 79. — Métropolitain, 90.
Bukkur (île, forteresse du Khyr-
pour, Hindoustan), t. XXXVII, p. 367.
— Costume et cortège d'un chef be-
louche, 269. — Situation, 374. —
Cheveux de Mahomet, 376.
Bukomiie (province de l'empire
d'Autriche ), t. XLVI, p. 225 et suiv.
Bulgarie (province de la Turquie
d'Europe). Voyage dans l'intérieur,
t. XLIV, p. 45 à 67. —Villages, 45,
48, 50, 60, 65, 67, 219. - Monts Bal-
kan. Voy. ee nom. Construction des ca-
banes de village , 50. -rrVarna. Chonm.
las, 62, 63. — Rasgrad, 66.- Ternova.
Ancien État des Bulgares. Selymnia.
Industrie. Bon caractère. Costume dtis
Bulgares, 67. ~- Costumes, ornemens^
travail des femmes, 68. — Ignorance
générale, 69. — Ville de Routchouk,
70,229. — Vidin, 207 — Costume,
Salle d'audience d'Hussein pacha, 211
à 214. — Intérieur d'un oaffiué , etc. ,
332
TABLE GÉNÉRALE
220 — Klutns, 22a, 224. — Le Nar-
gillé (pipe}« 222. — Isolemeot et re-
traite deu femmes, 222. Nicopoli,225.
.-.Sistow , 228. — Jeunes filles , 246.
— Bohémien», 248. — Sopliia. B<>ins
uliaods des femmes , XLVI, 85-
ficbn'iCK , son voyage aa Mexique,
t. XLI, p. 1. — Décdurre à Mexico
une antique statue, 135.— -Achète une
mine «l' Argent à Themescaltepec, 1661
i?u//uJMr/iur (Tille du Delhi, Hinde )•
tan), t. XXXyi, p. 285.
Bultmm ( État de l'Hindonstf^. i i ,
t. XXXV, p. 467.— Costume du -<tia
468.
£umi«^ (ville du Rajpontana, Hin^
doustan), t. XXXVI, p. 330.
Bunaita (ville du Rajpoutana, Hin-
donstan).Situation. Environs. Costume
du Rajah, t. XXXV 1, 333.
Buojr (province du Bourgou. Gui-
née ). Singulier tribut. Chevaux,
t. XXX, v. 251.
BURCBKI.L. Son voyage dans l'inté-
rienr de l'Afrique méridionale, t.XXVI,
p. 1 . — Itinéraire jusqu'aux frontières
de la colonie du Cap, 80 à 163. —
Préparatifs pour l'excurkion , 80. Iti-,
néraire à travers la contrée des Bo-
cliismans, 163. — Arrivée ches les
missionnaires, l97. — Excursion an
Ky-Gariep,et retour à la mission,
221. — Obstacle à la continua. tion du
▼oyge, 282, 289 — Itinti-aire de la
mission à C-raaf-Reynet, 300.— Chasse
du rhinocéros , 334 et suiv. — Rési-
dence à Graaf.Reyuet, 345.— Retour
.à la mission , 556. — Rencontre de
bêtes féroces, 368. — Itinéraire de la
mission à Litakou , 581 . — Voyage
chez les Biciiuanas , 396. — Arrive à
Litakou , 420. — Est un objet de cu-
riosité. 426, 48, 435, 458.
BuRCXHARDT. Notice biographique,
t. XXXII, p. 3.- — Son voyage eu Ar.n-
bie, 5. — Se fait passer pour musul-
man pour visiter la Mecque, 58,61 . — -
Prend le costume nécessaire an pèle-
/ rin, 69 et suiv. —Arrive à la Mecque,
76. — Visite la mosquée , 77 à 85. — ■
Décrit la Mecque , 85. — Sa vie dans
cette ville, 98. — Décrit la mosquée et
la Kaaba, 102. — Fait le pèlerinage
d'Arafat, 204 à 231 . — Décrit Médine,
363. —Visite le tombeau de Mahomet
à Médine, 263, 277, 283. — Ses re-
marques sur la ducction des monta-
tagnea de la vallé du loardain , 266.
Buritt (groupe de la Polynésie^.
Nommé par Beechey fies Buckland.
Hapleton, t. XXIX, p. 434, 435.
Burgoi (viUe d'Espagne), t. XLVI.
p. 172.
BvHMis. Son voyage à Bokhara,
t. XXXVII, p. 1. —Est bien accueilli
à Labore par Runjeet-Sing et M. AI-
lard, 10, 14, 17, 24, 26. — Prend le
costume des Afghans, 29. — Est reçu
amicalement à Pichaouer, 57 à 72. —
Visite le chef de Caboul, 88. — Sa
détention , 139 à 148. — Recueille
des médailles antiques, 158, 213, 420,
— Arrive à Bokhara, qu'il décrit, 1/,^.
— Audience du vizir, 177, 194, 216.
— Entretiens avec des princes per-
sans, 287, 500. — Est présenté au
shah de Perse, 329. — Est charge
d'explorer l'Indns. Son voyage, 339.
— Est présenté à l'émir du sud, 558.
— Revient à Lahore, 432, — • Eut pré-
senté à Runjet-Sing, 431, 44'<. — Ca-
deaux qu'il en recuit , 451 , i58.
Burron, Voy. Boèro,
Burwha (ville du Bournou. Soudan).
Fortifications. Huttes, tom. XXVIl,
p. 109.
Biàtari'Bay on baie d^'Oa(aivf«](baie
de la Nouvelle- Galles méridionale,
Nouvelle-Hollande).Ses fourmis vertfss.
Description du pays, t. VI, p. 245 247.
Buxadiouar (ville du Boutan). For-
tifications. Maisons. Origina du nom ,
t. XXXI, p. 422 tt suiv,
Buxar (ville du Béliar, Hindoustan).
Mosquées. Basars, t. XXXVI, p 127.
Citadelle. École. Costumes, \m,
Bj-am-MarUn ( lie de l'archipet Dan-
gereux ). Découverte par Beechey,
t. XIX, p. 171. — Petite colonie chré-
tienne de 'l'aïti n •ufragpo à cette île,
172 et suiv. — Son histoire, 179.
Bykuni (ville de la Boukliarie, Asie).
Antiquité. Ruines. Histoire, t. XXXVIl,
p. 231.
Byroit (le Commodore), but de son
voyage autour du monde, t. II, p. 555.
— Parcourt et décrit dans toute son
étendue le détroit de Magellan, dont
le premier il a dressé uac carte exacte,
p. 397 à 409, 427 à 455. — Découvre
les iles de Désappointement, III, 9, 15.
— Les îles du Roi-Georges, 15. —Du
Prince-de-Galles ,28. — On Danger,
30. L'Ile Byron , 54 — Mouille à Ba-
tavia, .
XVIII,
B/r»
D^% MATIÈRES.
883
uria , 50. — Rétniué dt tes royagea, Tcrte pir Byroa , t III, p. 34. — Det«
XVIII, aOO. cripdon des habiUn*, 36 ; XVI, 443.
Bjrr»» (ll« de U Polynésie). Décou- » CanoU, it.
Cabot. Découvre îe. tles Saint-Ga-
briel daos le Rio de la Plaia, et aomrae
le fleure, t. IV, p (7 ; XXXVIII, 345,
347-. — DécouTrt l'Me de Terre-Neuve,
XL, xj.
Caboul nu Afghanittem (royaume
d'Asie ). Voyage dans le pays ,
t. XXXVII , p. 55 à 126. — Cam-
pagne , 58 , 73, 78 , 80, 93. — Vil-
lages, 58, 73 , 80, 81 , 83, 84 , 113.
- Rivières, 73, 82, 115. — Com-
bats de cailles , 68. — Radeaux à
outres gonflées, 73. — Hautes mon-
fagnes, 76 , 79, 116 , 117 et suiv. —
Le Simoun, 78- — Uescription de
Djelalabad, 78 à 79. — Greiiades
sans pepiu. Vignes, 80 —r Autres
productions , 81 , 101 , 102 , 115. -<
Anciens relais des empereurs Mogols,
83. — Prunes renommées, 102. •—
Fête de l'Aid, 105- — Histoire, 107.
— Anciens kabitans, 109. — Com-
merçans hindous , 110. — Ancienne
capitale. Jolie vallée de Sirchusma,
1 15. — Bameyan , 120. — Cavernes ,
cité souterraine, 121. — Idoles co-
lossales. Traditions, 123. — Balkb ,
153 à 158. — ^ Costume, cour des ex-
rois du pays, 460. — Voy. Ajghattt,
Chisni, UindourKouth, Pts/iaivur.
Cal- (capitale du royaume). « apect.
t. XÀXVII, p. 76, 86. — Visites au
chef, 89. — Beaux environs , 93 , 102,
106.— Ricbes bazars, 95. — Denrées,
95, 96.— Libraires. Derviches. Rues,
96.— Maisons. Origine de la ville, 97.
— Beaux jardins, 99. —Climat, 100.
— Vins , rhubarbe , mûres , et autres
fruits renommés, 101. — Citadelle.
Influence des Persans , 103. — Fêtes,
104. — Marchands hindous, 110.
Cabra (port de Tembouctou , dans
le Soudar Afrique). Cases. Maisons,
t. XXJX , p. 397. — Population. Mar-
ché. Port, 398.
Cabrai,. Son voyage dans l'Inde,
t> 1 , p. 63. — - Découvre le Brésil, 64.
— Etablit un comptoir à Calicot , 67.
— Fait alliance avec k roi de Co-
cbin , 70. — Sa découverte du Brésil
XXXVIII, 339. — Voy. Pinson.
Caehalot. Quelques détails sur ce
poisson , t. XXIV, p. 20.
Cachemire (un des Etats des Seiks,
et ville capitale de cet état. Hindous-
tan). Fable sur l'é:at primitif du sol.
Campagne. Gibier. Eaux, t. XXXI,
p. 100. — Fertilité. Productions. Mai*
sous, 102. — Lac. Jardin ùu roi, 104.
— Caractère des habituns. Indus-
trie. Châles , 106 — Figurr des habi*
tans, 108. — Tremblemens de terre,
XXXVII, 15.
Cachena ou Kashna ( province de
l'Haoussa, Soudan), t. XXVII, p. 396,
427- — Pains de îiulta, 430.
Caehena («^Rpitale du Cachena). Rési-
dence du gi'uverneur. Fruits. Mar-
chés. Industrie , t. XXVII , p. 427.
Ça' DA-Mosio, donne les premiers
renseignemcns sur Tembouctou ,
t. XXIÏ , p. 12 , 17. — Découvre les
îles du cap Vert , 12. — Découvre la
Gambie et Tarchipel des Bilsagots,
18.
Cadix (ville d'Espagne). Sa fonda-
tion , 1. 1 , p. 3. — Es', située sur une
lie. Sa descriptiûi: , t. XX, p. 445 i
XLVI, 178.
Ce^jrttie (contrée du sud de l'Afri-
que). Fertilité du sol. Beauté de la
campagne , t. XXIV, p. 204. — Triba
d'origine européenne , XXIX , 128w
— Emplacement des kraais, 265. — •
Montagnes. Rivières , 279. — Cam-
pagne. Animaux, 280, 286 — Mis-
sionnaires , 282 , 295. — Bœufs dres-
sés, 296. — Fruits empoisonnés , 300.
— Intérieur d'une hutte, 303. —
Voy. Hinta, K«Xy fFeileyvUlt.
Ca/ret, Leur haute taille, t. XXIV^
p. 195— Armes, 196, 208. — Mœurs,
197, 2<X), 211. — Conservent le lait
dans dt s paniers, 197. — Vétemeus. Or-
nemens , 199. — < Occupations journa-
lières. Cabanes , 202. —> Idées re-
ligieuses. Circoncision , 206. — Gou-
vernement, 207, 2(^. — Polyga-
334
TABLE GÉNÉRALE
mie, 210. — .Musit|ne, 210. - yille , 420. — CbarlaUnt. OanMnrii.
Succeisions , 210. — FonérailKn ,
211. — Vêtement, XXVI, 160.
— <• Remarques générales sur lea tri-
bus cafres. XXIX, 116 et sniy.«— Ori-
gine et signification du nom, 116, 263.
—Pays qu'il» occupent, 117. ■— Leur
état moral, 123.— ^>oat plus humains
queles fietchouanas, 124.— Leur N'iiir-
riture, 133. — Caractère, 261.— Occu-
pations des f em-iueset des liorame.<),6!ii3.
— Arts. Aspect d'un naturel Religiou,
264. — Danses, Ornemcns ùës femmei^.
Distinction des chefs. Belles figures ,
266 , 277, 284. — Leur inimitié pour
les Uottentuts entretenue par les eu-
ropéens, 276. — Poét se religieuse, VS5.
— ."tuperstitions, 286 et suir>— Circon-
cUion.Funérailles, 289. — Caractèrp ,
292.— Valeur des femmes, 308, 310.—
Usagp du cheval , 3C3. >— V'>y, Anut'
ko'.tj Amapondas, Amalymba, q«(-
(?4o«aK(i«, Maalatit , Zoolas.
Cagkla.i (cii^tiaic de l'Ile dc Sar-
daigne). Ses \t>virnnr. , t. XLVI ,
p. 256. — Son a.iper-î , va a Je, etc.,
257.
C'AiT.tiAtJD. Son vcvc^. àiixCosit;,
t. XXV, p. 438. -• A Senn.ar,
444. — A Clieudij 451. — A Meroê,
552.
Caillié. Détailà préliminaires sur
le voyageur, t. XXIX, p. 371. — Il
arrive an Niger, 387. — Décrit Jenné,
391 . — A) rive à Tembouctou , 398- —
Receuille de.s renscignemens sur la
mort de LaiD,<; , 406 — Traverse le
Sahara , 409 à 425. — Précautions
de voyage , 417. — Ouragan, 419. —
Effets du mirage, 421. — Reçoit Je
f^rand prix de la Société de geogra-
|.Iiie, 429 — Observations sur son
voyage, 430.
Caire (capitale de l'Egypte). Etat du
peuple , t. XXII , p. 263. — Des arts,
271. — Commerce, 271 , 420, 423.
— Commerce des Francs, 283. —
Ancien nom , 285. -* Situation , 286,
415. — Intérieur. Maisons , 286 ,
416 , 418. — Population , 288 , 419.
— Maladies : perte de la vue. Ses
causes, 290- — • Petite vérole et autres
maux, 294. — • Bains chauds , 297.—
Peste, 300 — Adresse de quelques
artistes, 374. — Cimetières , 417. •>■
Mosquées, 418. — Historique de la
Courtisanes , 421. — • Portefaix
XXXII, 41.— Usure. 316.
Calabar (royaume de la Guiuée su-
périeure ). Voyage dans le î:ny.> ,
t. XXX , p. 460 , et suiv. — Descrip-
ti.in de Brass, de ses habitaus, lie^t.»
environs , 460 , 469 , 470 , 472-
Ctthlozo (ville du Vénézué*:* Âme*
rique méridionale). Poissons «riectn-
que»,t. XXXVIlI,p.376.
Calabré (province «lu royauix-o île
Maples). Voynge d.*t>ï l'intt jcut ,
t XLVI , p. \m et suiv.
Calidonia (Nouvelle-), archipe! 'c
l'Australie). Ta >;rande ile droouverte
i>w Cook, t. Mil , p, 427 et IX, 19, —
BWabéa", VIJI, -127, 441. — Pays s!é-
rile , 427, 450.- Cab;iu -s , 428 , 455,
417* — Habit.iPJ ne c<)nn!*)iS(-nt ])a»
de quadrupèdes , 429 , 441 ■ — Leurs
orneinens , 430 431 , 433, 4. i5. — In-
ter '.«lir de l'Ile , 436. -- L><!»<îriptioii
des linbitans, 445. — Armes, riutiU,
maisons , ustensiles , 446 et suiv. —
Mourriture des naturels , 449. •— Pof
pulation, 450. — Productious, 451.
— Tombeaux , pirogues , 452. —
Outils de pêche , 454- — Côte sep-
tentrionale , IX , 3 , 20. — Douceur
des habitans, 4. — Gouverucuient, 6.
— Ile des Pins, 12. — Dé. vjuverte
de rtle de la Botanique , 14. — Aspect
de la côte occidentale, XV, 36. —Ses
récifs, 39. — Ile Beaupré, déouu-
verte pir d'Entrecasteaux , 190. —
Naturels ne méritent ]}as les éloges de
la relation de Cook. Sont anthropo-
phages, 194, 198. — Détails de (N^tte
horrible cérémonie, 299. — Naturels
mangent la terre. Letirs guerres, 201.
— Éceuils du nord-ouest do l'ile,
221.
Calauita (capitale du Bengale et dc
toute rinde britannique). Approche
de la ville par terre , t. XXXVI ,
p, 12. — Forteresse , 14. — Nom-
breux domestiques d'usage, 15. —
Quartier de Chowringhey , 16. —
Maison de ville. Hôtel du gouverneur.
Cathédrale , 17. — Situation de la
ville. Environs , 18 , 26. — Prome-
nade. Ablutions des indigènes , 21.
— Querelles. Crimes communs aux,
Hindous, 22. — État des dome.>
tiques, 23. — Riche jardin botanique.
3|.
mission.
^Vv*..
DES MATIÈRES.
335
Établitiomens philanthropiques. Pau-
vreté des Européens , 24. — Villages
des environs , 26, 28 , 32. — Pagodes,
27. ^ Éléphans exclus de la ville,
5J. —Parc d'artillerie, 32. — Cé-
rémonie du Sttttey, Ob.survations sur
cette coutume, 31 à 38. — Stupides
au térités des Hindous, 38. — Misé-
r I <>!e apparence des boutiques, bazars,
40. • — Mosquées , 41 .
(.'.•■'eut (ville du Malabar, Hindons-
itan .. ^ ionné son nom aux toiles du Le-
%:*.<ii.i. «pelées Calicot, 1. 1, p. 38. —
b:i>r: l'état le plus puissant de la
côte , 41 . — • Gama y arrive , 46. —
Cabrai y établit un comptoir, 67. —
Est canonné par Cabrai , 69. — Par
Gam:\ 79. — Arme contre le roi de
Cochiii, ami des Portugais , 84. —
Sa flotte est battue par quelques Por-
tugais , 85. — ^ Prise et brûlée par
Alouquerque, 103.
<Jat(fornie (État de l'Amérique sep-
tentrionale). Découverte par Cortez,
t. XXXVIH, p. 316. — Description
du pays , des productions , XII ,< 231.
— Naturels , 233. — Fonctions des
caciques , récompenses , abolition de
la polygamie, 234 et suiv. — Vête-
ment, 240. — Mœurs des Indiens
indépendans, 241. ■— Leurs jeux,
242. — Plantes et roches , 247. —
Langue des environs de Monterey,
249. — Descriptions des natu-
rels, XIII, 174; XVII, 121. —
Transpirations forcées, XIX, 320.—
Paebloit ou villages habités par les
Espagnols, 325. —^ Costume d'un
dragon Californien , 327. — Descrip-
tion du port San-Francisco et de ses
naturels. Voy. ce nom,
Californie (missions de la). Détails
historiques , t. XII , p. 230. — État
des Indiens, 234. ■— Utilité de ces
missions, XIX, 297. — Bâtimens delà
mission, 298. —Butdes missions, 300.
— Éducation des convertis. Leurs tra-
vaux , 301 et suiv. — Entretien , 304,
308. — Enfans des deux sexes sé-
parés. Amour des'Indiens pour les mis-
sionnaires, 306. -— Concessions de
terrain , 308. — Offices , 316. — bonté
des missionnaires , 318. -— indolence
des convertis , 320 , 322. — Terrains
dépendant des missions, 322. —
Agriculture , 324. — Voy. Mouttrey^
Sauta-Clara , Sa»HhRo*a , Sam Carlo* ,
^M DUgo , Sam Francisco , Sam Joii,
Caliite (Ile de l'Arcbipel),XLVI,95.
Callao (port de mer de Lima , Pé-
rou], t. XVI , p. 39, XLI, 338.
Cambrieiu (liabitans du Uaoussa et
des Iles du Niger). Leur état miséra-
ble, t. XXX , p. 219. — Caractère.
Tributs qu'ils paient au sultan d'Yn-
ouri. Ornemens incrustés dans certai-
nes parties de la figure ,' 220, 221 —
Huttes. Armes, 222.
Caminouquois ou Kamimou-Koii (tribu
au nord du cap deBonne-Espérance).
Sontbienfaisans,t. XXIV,p. 189. —
Ijcurs armes , moeurs, habillcmens ,
etc. , 330^ — t*iiits salés, et auimaux
de leur pays , 332 , 333.
Caupbell. Son voyage dans l'A-
frique méridionale, t. XXIX, p. 335.
Campèch* ( ville du Guatemala ) ,
t. XLI, p. 5, 167.
Campot (région du Brésil). Bel as-
pect , t. XLII , p. 253. — Enormes
fourmilières, 254. — Migrations des
fourmis, 255. — Superstition des nè-
gres à leur sujet, 256. — Les Arma-
dillos, 257 —Villages, 258, 280, 282,
289.— Ecole d'Uhéos, 259.— Absence
totale de couteaux dans les maisons,
260. — Ablution de punch, 261. —
Etendue des Campos, 262. — Bizarres
crevasses, 277. — Colho d'Agoa, 281.
— Rivière Parahupeba, 284.— Mine,
285. -—Le serpent corail, 286.
Canada (contrée de la Nouvelle"
Bretagne. Amérique septentrionale ).
Haut-Canada, Lac Ontario, t. XXXIX,
p. 67, 77, 81, 100, 206.— Le Welland
et autres canaux, 75. — Lac Erié, 77,
80, Cl, 206. — Voyage dans le payi»,
84. — iTork, capitale , 86. — Usages,
mœurs, costumes, religion des In-
diens, 87 et suiv., 90. — Chaussées de
bois, 89. — Présens du gouvernement
anglais aux Indiens. 90. — Prédications
daus les forêts, 93. — Emigrans irlan-
dais, 95. — Observations sur les émi-
grations, 98. — Kingston, 100, 102. —
Ile et ville de Montréal. Voyageurs
du pays, 106. — Traces dn déluge,
206. — Caractère des liabitans, XLI,
2l6ld.-~-f^«iyagedatt*l«Bat-Camida,Qué-
bec, XXXIX, 107. — Campagne, 111.
' —Paysans français, leur mobiUer, 110
et suiv.~-Indiens, 113. —Traces du
330
TABLE GÉNÉRALE
déluge, 206'— Caractère de« liabitau^,
XLI. 289. VoT. QuAte.
Cmariu ((les, cAte d'Afrique), re-
connues par des Génois, des Catalans,
des Français ; découvertes par les
Portugais, 1. 1, p. 11. — Esquisse de
leur histoire, Vil, 176 ; XXII, 11.
Canfisb. Ses deux voyages autour
du monde , oà il amasse de grandes
riciiesses en pillant les Espagnols,
t I, p. 184 et suir.
Ctinnet (ville dn royaume de Na-
ples), t XLVI, p. 197.
CoMtoH ( port de la Chine ). Les
Portugais le visitent ; ayant violé les
ordres de l'empereur, ils sont massa-
crés, t. I, p. 107. — Audience qn'An-
son obtient du vice-roi, IT, 339. — ■
Jolis bateaux de la ville, XI, 4K7. —
Etendue. Population, 468. — Rues.
Maisons; 469; XHI, 401.— Prostitu-
tions, XVIII, 444. — Détails sur les
deux villes, 445.— Intérieur. Popula-
tion, 416- — Aspect favorable^ Maison
de plaisance. Cochons sacrés, XXXIII,
422. — Climat, XXXVIII, 420. Voy.
Â/acao, Tigrt.
CAPXtL-BROOKE. Son voyage en
Suède et en Norwége, t. XLV, p. 1 . —
Visite et décrit le cap Nord , 218 et
suiv, — Passe un hiver dans ces con-
trées, 225.
Capul ( ile de la Malaisie). Barbare
coutume des habitons, t. I, p. 191 .
Caracas ( capitale du Venezuela ,
Amer. mér.). Population. Situation
CUmat,t.XXXVni,p. 364;1XLII, 431.
Caraveaterait. Origine , description,
différentes sortes, noms divers de ces
établissemens, t. XXXI, p. 198 et suiv.
— Caravenserais divers, XXXV, 129,
137, 139, 168, 181 ; XXXVI, 396.
Carinihit ( province de l'empire
d'Autriche ), t. XLVI, p. 229.
Carjàvai., évéque de Plaisance.
Equipe à ses frais une flotte pour
faire le tour du monde, t. I, p. 151.
— Résumé de ses voyages , XVIII ,
191.
Carltoi (île de la Norwége). Les lem-
uings, t. XLV, p. 183. — Plantes ma-
rines. Zoophytes, 186. — Gorgones ,
189. — Grande profondeur de l'eau,
190.
Carlstatt (chef-lieu du Wermeland.
Suède), t. XLV, p. 3t.
Caina» ( ville de la Hante-Egypte )
Belles ruiBps, t. XXIII, p. 91.
r<ii7ia(/e(État de l'Hindonstan). CAte
de Coromandel, t. XVIII, p. 397. —
Figure, caractère, rei>as des naturel»
de la cAte, XXXI, 338. — Droits des
militaires, 347. — Les masuli et les
catamarans ( embarcations ), XXXVI,
429. — ^I ien du martyre de saint Tho-
mas , 433. — Ruines de Maba-bali-
Ponr, 436- — Sadras. Education. Cos-
tumes. Bayadères , 438. Voy. Madran,
capitale, Pondichiry.
Caroline (ile de la Polynésie). Aspect.
Etendue. Productions, t. XVI, p. 435.
Carolim du Sud (un des Etats-Unis).
Emigrations et retours périodiques,
t. XXXIX, p. 283. — Colombia, 291.
— Une plantation, 307 et suiv., 515.
— Rizières, 310. — Travaux des nè-
gres, 311 et suiv., 318.— Culture du
riz,316. — Etat intellectuel des nègres,
318. — Leur ventepour les contrées du
nord de l'Amer., 320. Voy. Charltttown.
Caroline du Nord (un des Etats-
Unis ). Voyage dans l'intérieiir ,
t. XXXIX, p. 283 et suiv. — Emigra-
tions et retours annuels , ih, — Pa-
resse générale , 287. — Fayetteville ,
288. — Montpellier, 289.
Carolines ou Nouvelle» Philippinet
( archipel des , Polynésie ) , décou-
vert par Padilla , t. II , p. 27. —
Manière de saluer des habitans, (X,
297, note. — Lenrschants et leurs dan-
ses nocturnes, 3f>7, note, 405. — Leur
respect pour leurs chefs , 389 , uote.
— Leur propreté, X, 64 , note. — Oc-
cupations des hommes et des femmes,
67, note.— Pluralité des femmes, y est
un honneur, 79, note. — Cérémonies
funèbres, 81, note. — Revenus >1'.:3
chefs , provenant du louage d'outils
en fer, 323, note.— Détails sur les re-
lations de file avec Guham, XVII, 241.
— Chansons uatittnales, 243. — Grou-
pes qui composent l'urchipel. Produc-
tions. Naturels. Vétemens. Supersti-
tions, XV11I,80. — Polygamie.Travaux
des deux sexes. — Cimbat contre la
baleine, 82. — Can> > ' s. Gouvernement,
84. — Croyance au dogme de la Tri-
nité, XLIII, xxiij. — Etat des femmes,
xxiij.Voy. iles Faitakid^ffogoleu, Mac'
Asktl^ Martyr» ^ Natutulouk^ Noagouor,
groupe ; OiiaMM , Oitou» , Ollata ^ Pt-
DES MATIÈUKS.
337
If»; groupe Radich, arcli. ; Rahch, ar-
cLipel; Sludky^ Tamalan, Urrille, Yoang,
Carpathes ( chaîne do niontiif^uctt ,
Kurope), tom, XLIV, pag. 81. —
Animaux, 89. — Hauteur, largeur,
riches mines, etc., XLVI, 38 à 40. —
Hauteur des principaux points, 45. —
Région des grands arbres, 55.
Carpiit. Sa mission chez les Tar<
tares, t. XXXI, p. 28.
Carr. Ses voyages , tom. XLVI ,
p. 155.
Carteret. Son voyage autour du
monde, t. III, p. 65. — Séparé de
Wallis , qu'il accompagnait , i1 arrive
à Masafuero (85) qu'il décrit, IQl. —
Corrige plusieurs erreurs sur le gise-
ment de la terre de Davis, 105. —
Découvre l'Ile de Pitrairn, i07; l'tle
de l'Evêque-d'Ôsuabruck, 109; les tirs
du Duc-(le-Gloucester ; 1rs lies de la
Reine-(Jbarlotte, 114, 135; de Simp-
son, de Carteret, 136; de Sir-Charles-
Hardy, de Winchelsea, etc., 140 et
suiv. — Découvre et décrit le détroit
qui sépare la Mouvelle-Bretagnc de la
Nouvelle-Irlande, 149 et suiv'. — Dé-
couvre les lies de l'Amirauté , de Du-
rour, de Matty, de Stephens, de Frec-
will, etc., 162 et suiv. — Ne peut
obtenir de mouiller à Macussar, 190.
— Revenant en Europe, il rencontre
le vaisseau de Bougainville, 225. —
Résumé do ses voyages, t. •XVIII,
p. 201.
Cartier. Ses voyages pour trouver
un passage au nord de l'Amérique ,
t. XL , p. xiij.
Carihage (ancienne ville d'Afrique).
Sa fondation, t. I, p. 4. — Fait cxplo»
rer les eûtes d'Afrique, 5. — Ëmplace-
Qjent. Ruines, XXII, 190.
Carihagène ( ville de la Colombie,
Amérique méridionale ), Port nommé
par Rodrigue de Bastida, XXXVllI ,
p. 20Î. — Beau port. Aspect lugubre.
Population, XLII, 431.
Carihagène (ville d'Espagne). An-
cienne et nouvelle ville. Environs,
t. XLVI, p. 170. — Immense arsenal,
171.
Caiysforl ( île, archipel Dangereux,
Polynésie). Découverte par Edwards,
f. XIII , p. 419. — Est très basse ,
XIX, 166.
Cascade (baie , Tti de Feu). Nom-
XLVI.
niée et décrite par Bougainville, t. lY ,
p. 166.
Casherpcur (ville du Kemaouu, Hin-
doustan ). Lieu de pèlerinage de«
Hindous, t. XXXVr, p. 250.
Cama ( port du Pérou ). Aspect.
Sol, t. XVI, p. 409.
Caspienne (mer entre l'Europe et
l'Asie). Beauté des campagnes méri-
dionales, t. XXXV , p, 310, 322, 525.
— Voyage sur les cAtes, 334 et suiv.
— Port d'Enzellé , 368. — Voyage à
travers les Turcomans de la mer-Cas-
pienne, XXXVII, 303. Voy. Turco.
mnr , — Beauté des campagnes mé-
riaionales, 342. — Vaisseau. Niveau
des eaux au-dessous de celui de l'O-
céan, 318. — Son niveau, XLVI, H.
— Rivières qu'elle reçoit , 50. Yoy.
Arlrabad^ Mazendèran , Ghilan.
Cnstille (Nouvelle-, province d'Es-
pagne) . Vayage dans le pays ; Cuença ,
t. XLVI, p. 171, 174.— Tolède, 174.
— Madrid.L'Escnrial. Saint-lldefonse.
Aranjuez , 175, 176.
Cnstille (Vieille- , province d'Espa-
gne ). Voyage dans le pays. Burgos ,
t. XLVI, p. 172. — Décadence des
deux villes de Médina, 173.
Castor marin , sa descrip., t. XXXL
p. 394.
Costiies (baie de la Mantchourie,
empire Chinois). Nommée par La Pé-
rouse, t. XII, p. 390. — Sa descrip-
tion , 394. — Village tartare. Bonté
des hubitans, 395, 399, — Cabanes,
397. — Pèches , 398 , 400. — Tom-
beaux , 399 — Distinction de for-
tune dans les tombeaux , 401 . — Ten-
dresse poi'r les enfans , 402. — Fi-
gure , saleté des naturels , 403. —
Vêtement , 404. — Conjectures sur
la religion, 405 — Utilité des chiens,
407. — Productions diverses : coquilles,
oiseaux, plantes, 411 et suiv. — Pays
boisé. Description des naturels, XIII,
196. — Vètemcns, 199. — Maisons
d'été et d'hiver. Maladies, 201. -—
Respect pour les morts , 202. — Ta-
bleau comparatif de la taille des na-
turels et ce ceux de l'Ile Ségalien ,
204.
Castro (don Juan de). Son entrée
triomphale dans Goa,t. I,p. 115.
— Sa mort. Notice sur sa vie , 1 16.
CasuaritiOf utilité de cet arbre pour
22
■t^:
M
338
TABLE GÉNÉRALE
Ici Indien t d« U mer dn Sud, t. XV,
p 383 , note 3.
CatalogHt ^province d*E«pagne).
Voyage dant le pays, t XLV[, p. 162
et «lÙT. — Barcclonne, 162.— Fi-
gure, caractère, coiumerco de* cata-
lans, 165, 160.
Cathirintiiboaru ( ville de la pro-
▼ince de TohoUk, Sibérie). Origine ,
fonderies, t. XXXI . p. 243. — Mai-
sons. Fortifications. Kglise. Foire, Ob-
servance du dimanche, 244.
Ctucaia ( gouvernement de la Rn»*
sie). Voyage dans le pays , t. XLIV ,
p. 436. — Commerce de sel. Cam-
pagne , 436. — Postes ; stations , 436 ,
437. — Temrouk , 437. — Tours de
guet, 438. ^Le Kopil Yekaterinodar,
439. — Établissement des cosaques ,
442. — Village, 443. — Stavropole,
444. — Géorgievsk , 445. — Colonie
écossaise, 446. — Le mont Bechtau ,
447. -^ Eaux minérales, 448.— For-
tifications de Koustantinogorsk, 448.
— Mozdoc. Yckaterinograd , 450.
— Le Terek, 451 . — • Taganrock, 454.
Cauetiit (chaîne de monts entre la
mer Nuire et la mer Caspienne),
t. XLIV, p. 447. — Habitudes des
tribus du versant de la Circassie, 449.
— Voyage de Klaproth. Antiquité du
nom, XLV, 409.— Divers noms. Tra-
ditions mythologiques. 410. — Détails
historiques, 411 à 413. — La chaîne
des monts, 411 à 416. — Habitations.
Vallées. Forêts. Mousse ,417. — Ani-
maux, 418. — Lacs. Habitans dn
Caucase. Réfutations de l'opinion sur
la race caucasienne, 419. — Mceurs.
Usages. Religion , etc., etc., des six
grandes classes d'habitans. Les Les-
ghis , 421 à 424 et 451 à 455. — Les
Kistes , 425 à 426. — Les Ossètcs ,
427 à 428. — Les Circassiens , 429 à
438 — Les Abazcs , 438 à 442. —
Les Géorgiens , 412. — Peuplades
turques , 444. — Traits généraux de
mœurs et usaj^es , 444 et suiv. — Vé-
nération pour le tonnerre, 445. — '
Devins. Vénération pour les étoiles
tombantes , 446. — Caractère singu-
lier du serment , 447' — Manque de
l<»is. Assemblées, Hospitalité , 448.
— . Vengeance , 449. — Les Immiré-
tiens, 450, — Commerce des Cauca-
siens f 451. Voy. Kouban,
Caf*rnt ( Ile de l'oréan Antarcti-
que). Découverte par Marion, i, IV,
Caviu (port de l'Ile de Luçon). Son
état ancien et récent. Sa population.
Sa décroissance, t. XII, p. 294. —
Description du village. Marché illu-
miné, XVII , 249.
Caicm^our (ville de l'Allahabad, Hiu-
doustan). Population. Musquées. Cli-
mat, t. XXXVI, p. 174.— Boutiques.
Importance, 175
Caxamnrca ( ville dn Pérou ). An-
cienne danse indienne , t. XLII ,
p. 6. — Environs, 9, — Palais inca.
Riics^ 10.
CiiyêHM (Ile de la Guyane Fran-
çaise, Amérique méridiounale). Peut
rivaliser avec les Molnqnes pour la
culture des épices , t. XV, ]>. 78.
Oiseaux , XLI , 182. — Iles voiùnes,
224. — Aspect du continent; du ha-
vre de la ville. Roc. Constabic , 224.
— Détails historiques. Décadence de
la colonie. ProAictions,'225. — Des-
cription d'une plantation , 227. —
Oiseaux-mouches , 232.
Célibei (île de la Mal.). Découverte
par les Portugais, t. 1, p. 107.*— Par-
tagée en districts, 111 , 205. — Ville
et baie de fiunthain, 212. — • Produc-
tions, 214.— Productions diverses.
Incursion tau lac intérieur, XV, 383
XVin,348. — Campogne, 550, 355.
— Villages, 351, 357,360. —Lai-
deur dos femmes. Religion. Divina-
tion semblable à celle de Rome. Gou-
vernement, 352. — Forêts , 355, 363.
— Hiéroglyphes , 357. — Lac, 358.
.^ Sculptures, Etendue , rivières de
rtle , 360. — Climat. Mines. Ports.
Arbres , 362. — Productions. Fleurs.
Animaux , 364, 367. — Commerce.
Figure des naturels. Gouvernement.
Langue, 366. — Montagnes , XLIll,
p. vi , Ixx , Ixxj. — Lac , viij , Ixx.
— Mines , viij , Ixxj. — Arbres ,
ix, Ixxij. — Qnadrupèpes, x, Ixxij.
— Tribu Bouguis , xiij , xxij , xxxj ,
Ixxj, Ixxiv. — Ressemblance de races,
xvij. — Race igocoté, xix. — Reli-
gion , xxij. — Gouvernemcot, xxviij.
— Industrie. Commerce , xxix, Ixxiij.
— Piraterie. Esclavage, xxx. — Lan-
gue , xxxij. — Superficie. Baies. Vol-
cans Rivières, Ixx. •-« Climat. Terri-
DES MATIÈRES.
339
Arbres ,
Xj Ixxij.
cij , xxxj ,
de races,
— Reli-
ât, xxviij.
ix, Ixxiij.
— Lan-
laies. Voi-
lât. Terri-
toire liollandai». Villes principale*,
Ixsj. — Singes blancs. Reptiles. Phos-
phorescence de la iner, Ixxiij. — Po*
pulation, Mopurs. Usages , etc., des
principales tribus , Ixxiv et siiiv. Vuy.
Maca/tar, Manado.
C/phalonie (Ile iooieooe) , t. XLVf,
p. SOUet suiv.
CVran (lie des Moluqiics, Malaisio ).
CAtes. Hautes moutagin's. Knt fort
peuplée, t. IV, p. 328, 32*J. — Expor-
tation des épices, XV, 78. — Postes
hollandais, 79.
Ceriffa ou Cythère ( Ile iouienne ),
t. XLVI , p. 93, 205.
Ceuta ( ville de l'empire de Maroc).
Les Portugais s'en emparent, 1. 1, p. 18;
XXd, 8.
Cévenntt (montagnes de France) ,
t. XLVI, p. 24. — Hauteur des prin-
cipaux sommets, 43.
Ceylan (ile de la mcr du Bengale).
Découverte par les Portugais , t. I,
p. 93. — Belles forets. Éléphiinx quel-
quefois très redoutables , XVIII, 429.
— différences de son a|-t religieux
d'avec celui de Siam, XXXI V, 118,
166 , 233 , 236.
Ch, Chercher à Seh et à Teh les
noms que l'on ne trouverait pas à Ch.
ChaaJou ( ville de l'Yarriba, Gui-
née ). Occupations. IVIosurs. Trou-
peaux, t. XXX, p. 75,76.
Chabrol ( lie du groupe Loyalty,
Nouvelles-Hébrides). Nommée par D,
d'UrviUe.t. XVin,p. 304.
Chanhapojrai ( ville du Pérou ).
Environs. Intérieur, t. XLII, p. 16.
Chaki (ville de l'Yarriba, Guinée) ,
t. XXVIII , p. 130.
ClmmistoQle, mer de Behring, Amé-
rique russe). Découverte par Kotze-
bue. Son aspect, t. XVII , p. S5. —
Sa hauteur. Son aspect, XIX , 246.
— Saluts, alimens des naturels, 266.
— Tente.», 268. — Connaissance géo-
graphique, 269. — Vie nomade, 273.
-r- Pipe commune à toute la famille ,
275
Champlain ( lac du Canada ). Dé-
couvert par Champlain , t. XL ,
p. xix.
Chanal ( île, groupe de la Révolu-
tion , archipel de» Marquises). Dé-
couverte par Marchand , t. XV ,
p. 444.
OiandtUur ( Ile» de la , extrémité
snd de l'Amérique). DécouTertea par
Cook, t. IX, p. 114.
Chamlemagor (ville du Bengale, '
Hindoustan), t. XXXI.p 457. —
Commerce , 458. — Aspect. Maisons.
Rues. Misérables boutiqaes,t.XXX VI,
p. 32.
CItankoaaiî ( ville de la Chine ). Ré-
siste il Cengisklian, l. XXXIII,
1>. 1S5. — Ruines de ponts en mar-
.rc , 180.
Chnn>ibonJ ( province du Siam ).
Histoire , beauté , productions , mi-
nes d'or et de pierres précieuses du
pays, toni. XXXIV, p." 274. — Popii-
lation. Chrétiens indigènes. Rvéque
français. Gunverneur, 276. — L'agila
(bois odoriférant) , 277 à 279.— Elé-
phans. Singes. Daims. Buffles blancs,
281. — Autres animaux, 282.
Charbonnier. Description de cet
oiseau, t. IV, p. 9.
Chardin. Notice biograph., t.XXXI ,
p. 168. — Son voyage en Perse .,
171. ^
Charjouejr (ville de la Tatarie indé
pendante). Bac surl'Oxus, t. XXXVII,
p. 235. — Fort. Population. Marché.
Marchandises, 238.
Charles (Ile , archipel Gallapagos).
Nommée par Cowlty, t. I, p. 355. —
F,»t montagneuse et boisée , XVI ,
49. — Aventures extraordinaires de
Patrick Watkins, 51 et sniv. — Ani-
maux , 79.
Charles'Hardy ( Ile de Sir-, Poly-
nésie ). Découverte par Carteret ,
t. m, p. 140.
Chartei-HardyQles de Sir-, côte de la
Nouvelle-Galles méridionale ). Nom-
mées par Cook, t. .VI. p. 361.
Charletton (ville de la Caroline du
snd, Etats-Unis)^ Agréable situation.
Beaux arbres des rues , t. XXXIX ,
p. 293. — Galeries. Habitations, 294.
— Aspect du port , 295. — Marché
aux esclaves , 296. — Courses de
chevaux , 298. — Bal. Esprit mercan-
tile , positif et égoïste , 299, 300. —
Institutions diverses, 301,303 et suiv.
— Moulins à ri/,, 302.
Charlotte (canal de la Reine-, N.m-
velle-Zélande ). Rivages. Naturels.
Villages, etc. , t. VI , p. 78 et suiv.
VII, 289,307 et suiv.; VIII, 102. —
é
■**
340
TABLE GÉINÉHALK
Climnt , 106. — Filets , 110. — Coi
tume de combat.AnthropopbuKie, ii'2
et tuir. — Aspect du payi, IX, 25H.
— Sol fertile. Climat iigréiible, 250.
— Arbres , 281. — l'Uutes , 262.—
Oisroui, 265. — Poissons des i-Ates,
268. — Rurhors. Insectes , 269. —
Minéraux , 270. — ncHi-riptiuii de»
habilans, 271, 278. — VtUeinens. Or-
neiueus. 'i'uton.ige , 272. — Habita-
tions. Ameijblenient. Filets do pt^rbe,
274. — Outil» , 275 , 270. — Piro-
gués , 270. — ' Cuisine , 277. — Leurs
dispositions guerrières, 280. — Armes,
281.— Préparatifs de combiit, 282
Cbnnsons. Langue, 283.
Charlottt (détroit de la Reine-, entre
l'Ile de Qiiadra, In 'Nouvellc-Unnovre
et lu Nouvelle-Géorgie , Amérique
septentrionale , ouest), Exploré et
uommé par Vancouver, Noms don-
nés à divers lieux , t. XIV, p. 108
à 521.
Charlottt (Ile de la Reine-, Polyné-
sie). Découverte et décrite par Wallis,
tom. III, p. 297. — Outils. Canots et
tombeaux des insulaires, 299.
Charlotte (lie: de la Reine-, Améri-
que septentrionale , ouest). Décou-
vertes par La Pérouse et nommées par
les Anglais, t. XII , p. 142 et suiv.;
XV , 462 et Kuiv. — Description des
babitans , 466 et suiv. — Lac inté-
rieur, XIX, 158. Voy. Y/ipa.
Charlotte (Iles de la Reine-, groupe
de l'urcbipel Santa-Cruz). Découvertes
par Carteret, t. III, 114, 133.— Des-
cription des babitans, 115. — Villages
fortifiés, 128, 129. Voy, Iles Edgcomb,
Uome^Ktppel, Oary, Portlandy Touboaa,
Tretamon , Follan,
Chatam ( groupe d'iles et tle princi-
pale à l'est de la Nouvelle-Zélande^.
Découverte par Drougbton, t. XIV,
p. 71. — Pirogue», filets, bois, 72.
— Naturels. Vêtement , ornemens.
Oiseaux, 80.
C/iatam (île, Polynésie). Découverte
par Edvrards, t. XIII, p. 425.
Chatam (Ile du groupe Gallapagos).
Rocber remarquable. Veaux roarinti.
Poires sauvages, t. XVI, p. 116. —
Sol. 119 —Aspect, 120,
Chais marini. Leur description, leurs
mœurs, t, XXXI, p. 390 à 393.
Chajrmat (tribu de la Colombie).
Figure. Aversion pour les vétemem
t. XXXVIII, p. 361. —Mariages;
usages, 362. — Occupations des tem-
me» et des bommes , 363.
Chtkhi (ville de l'Yurribii , Guinée ),
Costumes. Carautènt, t. XXX, p, 78,
79.
Chelliihi Hinbitans do l'Atlas). Leur
vie, t. XXII, p. 103, — Caractère,
forme», 174, 178.
ChenJi (villo et province do la Nu-
bie), La ville autrefois comuicrrante ;
maisons; belle» femmes, t. XXIII,
p. 492. - Habitation», XXV, 451.—
Curactèro des naturels ; sol , produc-
tion» , 452.
Chequaian ou Seguatnneo ( port du
Mexique ), Sa description rt celle de»
environ», t. II, p, 210, 220.
Chertoiiise Taurique , voy, Tauride.
Cherry (Ile, PtUyuésie). Découverte
par Edwards, t. XIII, |i, 427-
Chevaux malins. Leur description,
t. XI , p. 68. — No ressemblent en
rien à un cbeval , 70. — Leur affccti<)i>
pour leurs petits, 309, — poids do
leurs dents, XXXI, 387. — Habitudes,
XL , 252
Chiens (Ile des, Polynésie). Décou-
verte par Le Maire , t. I, p. 287, —
Est peut-être celle nommée Douteuse
par Kotsebue, XVII, 44.
Chiens marins. Femelles dangereuse»
quand elles font leurs petits, t. II,
p. 15.
Chiens marins (baie des , Nouvelle-
Hollande ). Nommée et décrite par
Daropier, t. I, p. 408, et suiv. — Ani-
maux , XVIII, 47. — Arbres chétifs.
Sol aride. Animaux, naturels, 60.
Chili (république de l'Amérique mé-
ridionale ), Détails sur la guerre de
l'émancipation, t, XVI, 390, et suiv,
— Salubrité du climat, XVIII, 133.—
Baldivia, XV, 81. — Surface. Popu-
lation , XXXVIII, 389 et suiv. —
Villa-Nueva ; plan des nouvelles villes,
XLI, 368 et suiv. — CUmat, 370. —
Mauvais état des routes , 384. —
Manière de tuer les bestiaux , 401
à 404. — Mines de métaux, 405, 406,
407. Voy. ^rou onos^ Chitoe,Conceptioii^
CopiapOf Guasco, la Serena, Mocha,
Santiago, capitale, Falparaiso.
Chiliens, Effets sur leurs mœurs de
l'introduction des cbcvaux et des
^»r
DES MATIÈRES.
341
liauf*, t. XII, p 78.— Figure, formen,
XIII, 173. — Le> fvrnmctttat riubitude
de fiimor, XVIII, 133. — Maur* et
u»aget,XLI,401,405.
Chilkiah ( rillo du Kemiouo , Hin«
doustan). Enrinia», t. XXXVI, p. 248.
— Aspect uiinérublo de la Tille et don
Imbitaot. Cabauei. Foiret célèbre*,
249.
C/i(70f (urchipcl du Chili). A.ipect dot
Iles ; productioQi , t. XX. p. 70.
ChUoè (Ile de l'urcliipcl de CUiloë).
Ktendue, arbres, productions, »(d ,
climiit , population, villes, t. XX,
p. 72. — Description do .San-Carloi ,
/3. — Religion; ciiractère. Ilabilicincnt
des dames , 74' — Occupations; aiuu-
«eniens des bahitnns, 70 et suit.
Chimboraço (pic des Andes). Sa hau-
teur, t. XXXV IH, p. 5, 53, 54.
Chin«, Signe de deuil en usnge en
Chine et en Suvdo, t. XLVI, p. 204.
Cliin* (partie de l'empire Chinois).
Mission d'Avril, t. XXXI , p. 01. —
Frontières de la Sibérie , .280, 203
et suiv. — Voyage dans l'intérieur,
t. XXXIII , p. lOf et suiv. — Gigan-
tesque montagne, 175.— Couvent, l77-
— Chan-Kouan, 185. — Plaines de Put-
chy-ll, 187. — Jëuux thermales, 200.
— Chevaux, 358. — Canal impérial,
590, 475 et suiv. — Oiseau péchcu r,394.
— Jardins , 390. — Les rois de l'enfei^
401. — Arbre à suif, 404. — Peintu-
res sur verre , 410. -— Population
n'est point exubérante, 414.— Diver-
sité des d.enrées des boutiques , 415.
— Truffes , figuiers , 416- — Arbre à
vernis ,418. — Temple taillé dans le
roc , 420. — Population. Uniformité
physique et morale, 425. — Produc-
tions diverses , 434, 439, 400, 474,
480. — Inoculation de la petite vérole,
usitée de temps immémorial , XLVI ,
83. Voy. Canton, Eu -ho, rivière; Gwt-
King-FoUf Ho-Tchoiv, Kalgan, Kang-
Tchou-Fou, KaonUngze, Kiming, JVan-
leingjlVaHg'Ttihang-FoUj Ptiho, rivière;
Uo-Yang, lac; Sang-Yutn. Siuan-Hua-
Fou, Tien-Sing, Tong'Oioi», Tong'Kou,
Ton - Tchang-Fou, lang -Tte- aiangj
You'Fang,
Chine (empereur de la ). Ses che-
vaux, t. XXXIII , p. 110. — • Ses chas-
ses , 1 19. — Usage à la cessation du
deuil de sa mort , 181. — Ses sorties
dans Pékiug, 108, 243. — Set devoirs,
set futtctiout. lUU, 231, 254, 207. —
Nomt donné* aux annéet du règnt,
213.— Ses femme*, 213. — 'Renouvelle-
ment de l'anuée , 237. — Funérailles ,
2.'î8, 200 — Hommage à l'inventeur de
lagricnlture, 207, .%8, 300, 451. —
Hommage a Confuciu* , 2U0. — Sa-
crifices MU ciel , 808. — > Son despo-
tisme dominé par celui de* coutume* ,
380. — Est victime du cérémonial ,
401. — Appel* nu jugement du pou-
pie, 424. — Nom qui lui o*t donné,
430. — Secuur* aux pauvret , 445. '-
Hommaget i l'été , a l'hiver, 452. —
Audience accordée à Macartncy. Son
costume, 400, 4(i7. — ■ Eunuquet d<f
sa cour, 409. — ■ Sort do tct femmes a
ta mort , 470.
Chili* (muudarins dolaV Costumes,
t. XXXIII, p. 353, 305. — Cartes de
▼isite , 355. — Habits de cérémonie , '
305. — Vie efféminée , 402. — Aiment
les plaisirs de In table , 433.
Chiiuii, Sont très peu curieux des
chotet élrangèret, t. II, n. 280. —
Distimulét , trompeurs , 320. '— Ob-
servations sur leurs manufacturet ,
leur peinture, littérature, morale,
gouvernement; no tnéritent pas Ich
éloges qu'on en a faits, 344 et suiv. —
Leur commerce avec Ict Européens ,
leur fierté, XIL 274. — Visite au
poste de la frontière de Sibérie, XXXI,
205. — Leur camp, 208. — Exposi-
tion des enfant , 436. — Saints ,
XXXIII, 80. — Ne t.enneat pat aux
fenêtres vitrées; indifférence pour le
verre , 178. — Usage à la fin ilu deuil
de l'empereur, 181 . — Costumes, 207
à 210, o80.— Astrologie, astronomes,
chrétiens , 211. — Vénèrent le cor-
beau, 238. — Phoulsa, ornement de
distinction , 243. — Religion , 255. —
Figure , 279. — Pieds des femmes ,
280. — Comédiens , 303 à 307. —
Mœurt, 311. —• Conclusion de mar-
chés , 319. — Exercices, 320. — Réu-
nions , jeux , 321, 322. — Repas, 353.
— Puanteur, 356. — Saleté, 367. —
Querelles , 379 ■-• Ne mangent point
de bœuf, 381 — > Puissance piter-
nelle , 382. — Convois funèbres 583,
384. — Idoles , 585, 386, 305 595,
401,443. — Supplice du p«a/f« 287.
— Salut militaire 413. — Alimcns
.^
.*
312
TABLE GÉNÉRALE
boissons , 451 et suiv. — Respect pour
le trône, 453. — Achat des jolies
filles , 474. — Sacrifices au fleuve
Jaune, 477. — Sur leurs colonies ,
XXXIV, 15,68, 71, 73.— Mœurs,
caractère, usages , 67 à 76. — Lour-
deur de leurs jouques, 73 à 76. —
Insolence envers les Européens , 85,
102. — De leurs émigrations en Siam,
178, 180, 227. — Formes physiques,
240 à 246. — Livret de navigation ,
XLIir, liij.
C/iinoit (empire). Son traité avec la
Rus.. ■, pour l'établissement d'une
missi n à Péking, t. XXXIII, p. 1 et
suiv — Officiers divers , 5. — Con-
.leurs sacrées, 14 — Longueur du
H, 59, 170. — Graude muraille, 161,
163, 182, 184. 461, 465. — Almanach\
impé.ial, 211, 427, — Perséculian
contre les chrétiens, 212. — Édit
contre le ministre d'un empereur, 214
à 219. — Armée, 224 et suiv. — Re-
erutemeut, costume, exercices, fai-
blesse, 226. — Marine, 228. —
(Soldat français, 228). — Renouvel-
lement de l'an , 237. — Liberté de
religion , 255.—- Religions reconnues,
256. — Capitales, 265, 269 et suiv.
— Classes des princes, 291. — Canal
impérial , 390, 475 et suiv. — Dispo-
sition du Code criminel au sujet des
inouraus , 392. — Salut militaire ,
413. — Subordination hiérarcliique ;
appels au jugement du peuple, 424.
— ■■ Pn'-liraiuairc hi.>>toriqne de l'ambas-
sade deMacartuey, 426. — Nom douné
h l'empire, 430. — Ab.sence de postes,
440. — Impôts en nature, 441. Voy.
iioutaiij Corée, Tatarie ou Maatchourie
et Monj^oUg^ Thihet,
<h!o{i\e de l'Archipel), t. XLIV,
p.284;XLVI,98
C/uns:ira (ville du Bengale, Hindous-
tau), t. XXXV 1, p, 45.
Cliitpour (ville du Gu7.erate , Hiu-
doustan). Toiles peintes ; lions appri-
voisés, t. XXXI, p. 69.
Chuiagong ( district du Bengale ,
Uiudoustan ). Chef-lieu, caui])<igne ,
rontt-s, climat trop loué, t. XXXVI,
p. 74.
Ckoba (ville du Darfoiir, Soudan).
Carrière de craie , t XXV, p. 400.
Choiseul (île de l'archipel Salomon).
Découverte par Bougaiuville. Descrip-
tion des habitants , de leurs pirogues
à bas-reliefs et de Icpr» armes t IV
p 290, 298. •
Choiseul-Gouffier. Son voyage
en Grèce, t. XLVI, p. &2.
Cholula (ancienne ville du Mexique).
Population, rues, temples, décadcuce
t. XXXVIII, p. 309. — Situation!
maisons, envircus, XLI, p. 45.
Chou cai:aïbe. Sa description, son
goùt,t. VI, p. 526,333.
Choumaguine. Voy. Sehumagine.
Chou jialmisle. Apparence et savetir
de son fruit, t. III, p. 142. — Dis-
position du fruit , t. IX, i>. 26.
C/toumla ( ville de la Bulgarie , Tur-
quie d'Europe), t. XLIV, p. 62.
Cl'Oiv (ville «de l'Yarriba , Guinée).
Croyiinee sur les habitudes des bhiucs.
t. XXX, p. 59. — Environs, métier à
tisser, 60.
Christiania (l'une des deux capitalps
de la Norwége). Aspect, tom. XLV,
p. 51. — Détails divers , 53. — Anéai -
tissement du commerce, 53. — A.s-
pect du moût Mastberger, 55. — Po-
pulation , port , XLVI, 296.
Chunar (ville de l'Allali^bad, Hiu-
doustan ). Poste anglais, édifices,
t. XXXVI, p. 155. — Sanctuaire ré-
véré, 157. — Demeuredes Eiircpécns.
Population ; environs; ours et loups,
158.
Chuprah (ville du Béliar, Hindous-
tan), t. XXXVl, p. 125. — Maisons.
Hindou en prière, 126. — .Boutiques
flottantes, 127.
Chypre (ile, mer Méditerranée), Le
bois, abondant autrefois, y manque
aujourd'hui.' Animaux, tom. XXIII ,
p. 54.
Cincinnaii (v\\\f. derindian.i , Etats-
Unis), Son étonnant accroi.sscuieut ,
t. XXXIX, p. 381, .399. — Sou beau
port , 305. — Diverses particularités
sur la ville, 396 et suiv. — Incivilité,
esprit mercantile, 400, 406. — Ferme
dans les bois des environs, 401. —
Domestiques, 403. — Ennui des soi-
rées , 406. — Marché, 407.— Mu-
séums d'histoire naturelle , 408. —
Absence d'amusemens. Églises, 409.
— Influence du clergé , 410. — Km-i-
vement, 411. — Écoles , 413. — Fiiiui-
liarité des villageois, 415. — Sort dc>
If
DES MATIÈRES.
343
paysans, 418. — Absem-e de charité,
420. — Fierté des pauvres, théâtre,
421.— Pruderie, 422. — Saisons,
423. — Bal. Séparation des deux
sexes, 424 et suiv.
Circassie (contrée entre la mer Cas-
pienne et la mer Noire). Montagnes ,
t. XLIV , p. 437. — Costume de
princes, 440. — Eaux roinéralps.
Village, 448. — Intérieur d'une mai-
son. Vie des hordes du Caucase ,
449. — Le Terek, 451. — Inocula-
tion rie la petite vérole , usitée pour
con rver la beauté des femmes ,
XLYI , 83 , note, — Voy. Caucase,
Ciroassiens ou Tcherkesses.- Ancien
nom. Ont^dcgcnéré , t. XXXI , p. 175.
— Pays qu'ils habitent, XLV, 429.
— Noms divers. Etat de» personnes,
430, 431. — Gouvernement, 431.^
Usage des présens au prince. Privi-
lège du prince et des nobles , 432. —
Se nourrissent de cliaire de cheval ,
433. — Influence des vieillards. Ad-
ministration de la justice. Assemblées
singulières , 433 , 434. — • Voleur
adroit non puni. Hospitalité. Usages
divers. Punition de l'adultère. Di-
vorce , 435. — Éducation des enfans
du prince, 436. —Figure, formes.
Costume. Maisons, 437. — Chevaux.
Agriculture. Langue , 438. — Traits
généraux de mœurs et d'usage , 444
à 455. — - Célèbrent le premier jour
de l'an, connaissent la pâque. Vé-
nèrent le tonnerre , 445.
Clapperton. Son voyage en Afri-
que , t. XXVII, p. 1. — Voy. Denham.
— Son excursion .i Sackatou , 325.
— Entrevues avec le gouverneur do
Katagoum, 347, 349, 353, 358,
364. — Séjourne à Kano, 368 et suiv.
— Entrevues avec le gouverneur ,
37* . — Arrivé à Sackatou , 405. —
Eui -evues avec le sulran , 406 et suiv.
411 , 420. — Son voyage dans l'Afri-
q'ip septentrionale, XX VIII ,113. —
Entrevues avec le roi de l'Yarriba ,
137 et suiv. — Ne peut obtenir de
voir le Niger, 141. — Visite le roi
de Kiama , 154 et suiv. — La reine
<!c Niffé, 191. — Lacune dans son
journal, 219. — Assiste à un combat,
22t. — Ses visites au sultan avec qui
il se brouille , 224 , 231 — Fin de
sou journal , 237. — Voy, Lamler
(Richard). — Ses derniers momens.
Son enterrement , 243
Clarence (lie du Duc-de-), (Polyn.).
Découverte par Edwards, t. XIII,
p 425. -~ Productions , figure et
vêtement des naturels , XVI , 437.
Clarence (port de l'Amérique russe).
Découvert par Beechey Sa descrip-
tion. Naturels. Armes. Vétemens.
Huttes, t. XIX, p. 449,451.
Clerke (lie, mer de Behring) t. XI,
p. 101 , 377
Clerke. Prend le commandement
des vaisseaux de Cook après l'assas-
sinat du capitaine, fiéclame le corps
de Cook , t XI , p. 201 , 205 , 222.
— En reçoit une partie , 209. — Ses
soldats incendient le village de Ka-
kooa, 217. — II obtient le reste du
corps de Cook , 223. — Touche an
Kamtschatka , ce qu'il y fait, 316 et
suiv. — Excursion dans l'intérieur
du pays, 323 et suiv. — Voyage en
traîneau , 330. — Réception amicale
à Bolcheretsk , 337, 348. — Envoie
à Saint-Pétersbourg , à l'ambassadeur
anglais le journal de Cook et le sien ,
553. —Essaie vainement de traverser
les glaces au nord-puest,- 368, 371.
•— Sa mort Son éloge, 379. — Ses
funérailles à Petropawlowski , 382 ,
384. — La Pérouse fait graver une
inscription sur son tombeau , XIII ,
S9i— Voy. Gor^
Clermont-Tonnéfre (fie de l'archipel
Dangereux^, Ejéiuuverte par Dupcr-
rey, t. XVIII , pi38. — Couleur des
naturels , XIX , 152. — Canot , 153.
— Langue. Étendue, sol, 154.
Coagalga ( une des îles Alcouticn-
r.es). Etendue. Xspect,t. XIX, p. 282.
Cobbé (capitale du Dar-Four, Sou-
dan). Situation, t. XXV, p. 397. —
Etendue. Habitaus , 398, m —
Éftle», 401.
Cobi (désert de Mongolie) Tra-
versé par Timowski , t. XXXllI ,
p.'157à«149 —Sol. Aspect, 138, 143,
— 'Animaux, 138. — Puits, 140,
144. —Lacsalé, 140. — Monts, 141.
142. — Chevaux de l'empereur, 141.
— Obo ou autel de pierre , 149. —
Sel. Absence d'insectes, 323. — (-em-
paré aux plaines d'Amérique, etc.,.
XXXVIII , 373. — Voy. Mogoh-Sou-
nitet.
«
341
TABLE GÉNÉRALE
#
Coohin (ancien royaume de l'HIn-
doustaa dans le Malabar). Le roi fait
alliance avec Cabrai , amiral portu-
gais , 1. 1 , p. 70. — Le roi , dépouillé
par le znmorin , est vengé par Al-
bnquerque , 82. — Et par Pacbeco ,
84.
Coch!n (capitale). Situation. Habi-
tans lors dé Tarrivée de Cabrai , t. T,
P- 70. — Gama y établit un comptoir,
79. — Prise et brûlée par le zamorin
à cause de son alliance avec les Por-
tugais, 81.
Cochinchine ou Anam méridional
(royaume de l'Indo-Chlne), Bambous,
f. XXXIV, p. 329. — BiDgeh , 337.—
Côte, 351. — Montagnes. Fertilité
du sol. Iles, 352, 440. — Tribu de
pécheurs , 354- — Inférieur du pays ,
368 — Armée , 372 et suivantes,
— Beaux canaux, 377, 440. t- Vi-
site au mandarin des élépbans , 383
ei suiv. — Mandarins français , 383 ,
438. — Acteurs chinois , 384 , 426.
— Supériorité due aux Français, 398.
40l. — Influence française ruinée, 398
et suiv — Population, 421. — Visite
au Tacoon ou nradarin des étrangers,
424 à 434. — Beauté du pays , 440 ,
442. — Lac d'eau salée, 441. — Con-
trée granitique. Excellent état des
routes, 446. — Fleuve. Montagnes ,
449 et suiv. — Langue, 453. Voy.
Fu • Kok , Hué ^ capitale; Saigon,
Turon.
Cochinelii'nois, 'Smrme physique ,
t. XXXIV, p. 24Ih 246, 322 —
Tendance à l'obésifé. Caractère. Ha-
bitations, 323. — Leur beau teint,
323 , 334. — AppartemcDs , 344. —
Costumes, 324, 372e*tsuiv. ,411, 412,
423. — Costume de rameurs, 32G. —
Mœurs, 334 , 417- — Infériorité des
femmes , 340- — Barc^ues , 353. —
Tribu de pêcheurs , 354. — Costftnc
des soldats, 372 et suiv, — Armes ,
374. — Mandarins français , 381. —
Supériorité due aux Francis, 398,
401. — - Petitesse de taille ,'407, ^fOi).
— Formes. Figure , 409, 410. — ReU-
pion ,413. — Effets du despotisme ,
415, 416. — Bonnes qualités, 417.
— Saleté, Mofurs des femmes , 417,
note, — Culte des .incêtres , 418. —
Servitude militaire, 419. — Costume
de la saison pluvieuse , 423. — Goût
pour le» œufs pourris, 431; — Palan-
quins et porteurs , 444.
Cockburii (île, archipel Dangereux').
Découverte par Becchey. Déserté.
Stérile, t, XIX, p. 169, 170.
Cocot (île .des , archipel des Amis)
Découverte par Le Maire et Schouten,
t. I , p, 295. — Avidité des habitans
pour le fer et la verroterie, 296.-^ Ils
veulent s'emparer du vaisseau de Le
Maire , 299. — Est l'île que Wallis a
appelée Boscawen , VIII , 73 ; XIII ,
114, — Naturels se mutilent le petit
doigt, 149.
Cocox (île des, mer du Sud, côte d'A-
mérique). Son aspect, t. XIV, p, 467.
— Productions. Arbre remarquable,
468- — Poissotis , oiseaux , 470!
Cocos { île des Noix de, Australie).
Découverte par Cartcret. Produc-
tions , t, III , p. 142 à 148.
Cocotier. Sa description , son utiUté
pour les Indiens , t, VllI, p. 220. —
Ses racines , 398 , note, — Récolte et
plaiitatifm du fruit à l'île ?}ouki -
Hiva, XVI, 213.
ColchiJe. Voy. MingréUe.
Coi-OMB ((!liristophe\Nofice sur s,i
vie , t. XXXVIII , p, 72. — Expose
ses projets au prieur de RabiJa qui
lui fournit assistance, 75 et suiv. —
Promesses et frais d'Isabelle , 80. —
Vaisseaux qi.i lui sont accordés , 82
— Met à la voile , 83. — Murmures
on séditions à aon bord , 84 , 88. —
Découvre le Nouveau-Monde, 01, 92.
— Prend possession de l'île San-Sal-
vador,94. — î.^écouvre les îles de la
Conception, Ferdinandine , Lsabelle,
Airena , Cuba , 100. — Nomme la mor
de Nnestra-Senora , 104. — Martin
Pin/.on se sépare de lui , 105. — Dé-
couvr'» les îles d'Haïti ( Hispauioln) ,
de la Tortue, 106. — Perte de sou
vaisseau. Hospitalité de.? •jsulaircs ,
110. — Échanges de di\Brs objot.s
contre de l'or, 112. — Laisse une
colonie à Haïti et part pour l'iv.-
jMgnn, 115, 116. — Échiqipe .inx
Portugais des Açores , 120. — lii»-'»
reçu pdr le roi de Portugal, 123. —
Arrive en Espagne, 125. — Sa lé-
nfj)tion à la cour. Ses récompenses ,
128, 241. — Bulle de déainrcatiou ,
120. — Repart ])our le Nouveau-
Monde, 131. — Trouve sa coloim-
^
DES MATIERES.
345
d'Haïti niioéc , 133. — Fonde la ville
d'Isabelle , 138. — Découverte de
mines, 143, 163. — Fonde le fort
Saint-Tliotnas , 143. — Découvre la
Jamaïque, 146, 211. — Découvre
Siiinte-Marthc , 147. — Fst aban-
donné de Margiiarita et Boyl , «pii le
desservent eu Ksp:igne , lof, 159.—
Ruse par laquelle il se rend maître
d'un cacique ennemi de »a colonie
d'Isabelle, 152. — Bat l'armée in-
dienne , 155, — Tributs exigés , 156.
— Subit l'examen d'un commissaire
royal, 160. — Vient plaider sa cause
en Espagne, 162, 166. — Découvre
les îles de Marie-G;dante et de la
Guadeloupe, 164. — Bien acceuilli à
la cour. Nouvelles mesures, 166,
242. — Sou troisième voyiif,'e. Découvre
le continent et l'île de la Trinité , 175.
— Les îles de Gracia , de l'Assomp-
tion , de la Conception ,177. — Ca-
lomnies répandues contre lui en Es-
pagne, 179. — Est remplacé par Bo-
vadilla , 181. — Est mis aux fers,
ainsi que ses frères, 1 87 et suiv. — Les
trois frères sont condamnés à mort, et
renvoyés en Espafjne , 190. — Sont
délivrés par le roi et la reine, 192.
— Entreprennent de nouvelles décou-
vertes, 194, 201, 215. — P.iuvreté de
Colomb. Sou désir d'aller à Rome ,
205. — Est obligé de faire échouer ses
vaisseaux à la Jamaïque, 210. — Mu-
tinerie de son éqiiip;ige et ses suites,
212 , 221 , 223. — Annonce une
éclipse aux Indiens et en obtient des
vivres, 217. — Déloyaux procédé.
d'Ovando à son égard , 219 , 224. —
Son frère bat les révoltés , 222. — Ils
reviennent en Espagne , 225. — Mal-
heur qui les y attendait , 226. — Mort
de Cbristopbe. Sa famille. Sa figure ,
228. — Son caractère , 229 et suiv,
^ Ses sentimens religieux , 235. —
*^on imagination ardente, 237. — Ses
idées sur sa découverte , 238. — Ré-
sumé de ses découvertes et de celles
de ses compagnons , 259. — Clirono-
iogie de ses voyages et découvertes ,
2Î0. — Ses cendres portées à Cuba ,
415.
Colo'A'iia (rivière de la Nouvelle-
Albion , Amérique septentrionale).
Reconnaissance de la rivière. Son
entrée , t. XIV, p. 368 , 369. - Ri-
vière d'Young, 569. — Baie de Gray.
Ile Puget , 370, — Rivière Swaine,
Iles Baker, 371, — Pointe Slieriff.
Mont Coffin. Rivière Kniglit , 372.—
Rivière Rusleigli. De Cnll , ,373, —
Rivière Manings, Baring , 374. —
Prise de possession parles Anglais,
375. — Ses pius magnifiques, XXXVIII,
17. — Son cours. Clarté de ses eaux,
37, 39.
Colombia (un des Etats-Unis). Sa
formation. Son étendue , t, XXXIX ,
p. 242. — Veut(>, d'esclaves à l'en-
chère , 263 à 270. - Voy. H'as-
hinglon,
Coli m'iia l'chcf-lien de la Caroline du
sud, États-Unis), t. XXXIX, p, 291.
Colombie (république de l'Amérique
méridiouale). Tombez. Habitations de
la cann)agne et de la ville, t. XVI ,
p. 92. — Gouvernement, XXXVIII,
26. — (Constitution , 28. — Décou-
verte par Colomb , 175. — Voyage dp
Huinboldt dans l'intérieur, 556. —
Piqûres des insectes , 382. — Surface
et |)opulation , 389. — Productions ,
597 et suiv. — St. Régis et autres ])etites
villes, XLIl, 'il et suiv. 64. — La
guarann fliqucur) , 6J. — Voyage
dans riuférieur, 591. — Ses deux
contrées , limites , superficie , 592. —
Productions, 395. — Rivières , 395,
396, 407. — Régions des mines , 597.
— Lacs. Animaux malfaisans. Ani-
maux domcst'ques , 398. — Plaines.
Population. Hèibit"..^ , 3i)9 , et suiv,
— Agriculture, ^'06 , 407. — Cojn-
merce n!.---itim' . Liniformité de la
températiiic, 40u. — Gonverni'mrnt
Armée, 421 — Chambres, 422.
— Chambres des rcpré^cutans e^
conditions de leur éligibilité. Leurs
droits, 422, 423. 425. — Sénat et
conditions requise.» jniur être séna-
teur. Droits , 424 , 425. — C'^nf^rès ,
426. — Pouvoir exécutif, if:.. —
Pouvoir judiciaire , 427. — Disposi-
tions diverses, 427- — Principales
vdies, 428 .i 431. — Voy. Chaymos ,
Gtiaqiiil , Ahidos , Orénoque , Pnnama ,
Qicto^ Rio-Megro^ San'a-te'd,- Bogota,
capitale.
Colombie (Indiens de la). Tribus
diverses, t. XXXVlil, p. 379. —
Femmes n'aiment point ;ï devenir
mères, Meurtic de l'un des jumeaux ,
\.¥
34C
«■
TABLE GÉNÉRALE
379. — Breuvages abortifs , 381 . —
Figure.. Taille. Caractère, XLH , 400,
401, 412. — Les Bravos (sauvages) ,
401. — Vie et caractère des ludions (les
plaines et des moutagues , 402 , 407
et «uiv. — Sauvages, 408 à 412. —
Choix du cacique , épreuves aux-
quelles on le soumet, 4087 409. «^
Protection de la propriété nationale.
Guerres, 410, 411. — Sort des pri-
sonniers, 411. — Anthropopliagie ,
412. — Intelligence bonne, 412 —
Idées religieuses, 413 et suiv., 417.-^
Culte d'un génie malfaisant. Méde-
cine, 414. — Polygamie, 416. —
Funérailles des diverses tribus, 416,
'■8. — Croyance à l'iminortalilé de
l'Ame ,417. — A l'âme des hétcs, 418.
— Absence de vètcmens. Tatoua'j;e.
Oruemeus. Maisons , 420. — Arm'.-s.
Canots, 421. — Voy. C/taymas, lit'
dieiu de Terre-Ferme , et des rives de
l'Ort'noque,
Colombiens. Horrible maladie endé-
mique , t. XLH , ji. 399. — Figure ;
teint, 399, 403. — Soutimeus reli-
gieux. Condition des femmes. Ma-
riages. Funérailles , 403. — Carac-
tère , mreurs, 404, 40.5. — Noncha-
lance. Dissimulation , 40Î. — Igno-
rance. Respect i>our les i)arens. Siiluts,
405.
Cfiloml'ie (nègres de la). Leur pa-
trie, leurs formes, t. XLII, p. 400.
— INègres célèbres, 402.
Coiiituirscin (Ktat de l'Hindoustan ).
Costnnie et habitation du raua ,
t. XXXV, p. 457. — Temple remar-
quable, 458. — Corruption et civili-
sation, 464.
Comme rcol/jr (ville du Benj^iile). Fac-
torerie pour la soie, t. XXXVI,
p. 441. — Nattes roma. ;iuables. Pa-
latines de plumes d'oistauK, 442.
Compagnie (île de la) Découverte
par lesUoilnndais, S()uaspect,t. XII,
p. 431, 437.
Conran (partie de la c(^te ouest de
rHindi)usfaa).Vill.iges()ii petites villes,
t. XXXVl, p. 417, 418. — Mon-
tagnes des Gattes, 418. — Habitaus
II aliarattas , 421. — Sol. Climat,
427. — Voy. h'ie'p/iaiifa.
Conception ( Ile de la mer dos An-
tilles). Découverte par Colomb ,
t. XXXViH, p. 177.
Conception (la , rillc du Chili). Sa
baie, t. XII, p. 70. — Ancienne et
nouvelle "ilie , 71. — Tremblemens
de terre. Population. Extrême ferti-
lité, 72. — Maladies. Rivières auri-
fères 73. — Parure des femmes , 74,
76. — Convens, 74. — Naturels, 75.
— Rues alignées , maisons ba.ss><s
XVIII, 131. —Climat salubre, 133.
Cundore (île, mer de Chine). Sa
description. Ses productions, t. XI,
p. 470. — 'Climat pestilentiel. In-
sectes venimeux. Habitnns , XVIII ,
439. — Productions , 4 1,0. — Aspect ,
XXXIV, 309. — Végétation. Produc-
tions, Roches, 310. — Quadrupèdc.î,
3i2. — Village, 313. — Habitans ,
314, 316. — Population, produc-
tions, 315, 317.
Congo ou Zaïre, Fleuve d'Afrique
remonté par les Portugais , t. I ,
p. 27.
Coimecticut ( un des Etats-Unis ).
Voyage dans l'intérieur. Remarqua-
Mer» établisscmcns publics, t. XXXjy,
p. 174 et suiv — New-Haveu , uue
des capitales Inconvénient des deux
capitales. Collège. Cimetière, 176.
Consolation ( île de ). Déeouvertu
par MaurrelJ. Ses productions. Ses
naturels, t. jk.111, p. 266.
Constance (lac de la Suisse), t. XbV,
p. 338.
Constantine ( ville de l'Alf^érie ).
Ruines anticpics, t. XXII, p. 185. —
Ses anciens noms , XXIII , 31.
Constant inoplc (capitale de l'empire
Ott( man). Histoire des Juifs de cctie
ville, t XLIV, \i. 5. — L-eurs de-
meures, Itnr costume, liiiine que
l'on a pour eux, 6. — Leur langue.
î'outs. 7. — Citernes, étangs fac-
tices, 8. — Piliers hydrauliques, 9. —
Lac souterrain ,12. — Situation de
la ville, 13 , 274. — Ses murailles ,
13, lî. — Ses ruines, 13. — Porte
par où entra Mahomet, 14. — Brèche
où tomba Palcohigtie. (Irand cime-
tière , 15. — Prophéties sur t!on-
stantin(q)le , 16. — Tombes d'Ali et
de ses fils. Eglise des Poissons, 17.
— Eglises ji;reeqnes, 18. — ■ -hd
impérial, 19. — Envions déserts, 19,
263. — Palais de San-Stephano. Dé-
part périodique des cailles, 21.—
Sauterelles , 22. — Ames d.fmuecs,
.*
Ï)KS MATIÈRES.
347
23. — Rtiiiicsd'anricns ponts. Cbaiis-
st'f, 263. — Vue do !.'i ville au soleil
levant , 204. — Son heureuse situa-
tion , 265, 206. — Cimetières, 207.
— Péra , 208. Convois. Tolérance re-
li{i;ieusc des autorités, 209. — tlauses
d'insalubrité , 274- — Uécliu du fa-
natisme , 276. — Le Moniteur otto-
man , 278. — Administration de la
justice. Sa vénalité, XLVI , 102. —
Police. Rareté du vol. Sa prompte et
terrible punition, 105 à 108. — E\é-
ciition à mort , 107. — Mœurs des
harems , 108 et suiv, — Rareté de la
polygamie, 110. — Rareté des intri-
gues, des séductions, 113. — Puni-
tion des coupables, 114. — Bonne
police. Disposition des maisons , H^.
— Administration civile, 115, liO.
— Rareté des fêtes publiques , 123.
— Premiers cafés , bsagc de fumer,
125. — Langue en usage à Li cour,
126.
Contrariétés (île des, arci'ipel Salo-
mon). Découverte par Survii'e , t. III,
p. 435. — Pirogues élégante i. Orne-
mens des habitaus, X •'^ 244.
CoDR.. Notice sur vie, t. V, p. 1.
— Sou premier voyage, 2. — Ne peut
obtcuir à Rio-Jaueiro la permission de
débarquer son équipage. Pourquoi,
22. — Son avis sur les passa;;es dans
l'océan Pacifique, par le sud de l'A-
mérique, 80 — Découvre les îles du
Lagon, du capThrumb, de l'Arc; les
Iles Grou|)es, des Oiseaux, de la
Chnîuc , 87 et suiv. — Son aTivée et
sa réception à Taïti, 95. — Expédition
dans l'île, 108. — Y construit un fort,
116, 132. — Uressc un observatoire,
130. — Détail de différentes aventu-
res, 137 et suiv. — Observe le pas-
sage de Vénus sur le soleil. 173, 176.
Navigue autour de l'île, 190 et suiv.
— Quitte Taïti emmenant an insulaire,
23 (. — Décrit les îles voisines de
Taïti, 525. — Découvre les îles de la
Société, 327. 355. — Trouvailles re-
marquables, 330, 336. — Découvre
l'île d'Oteroali, 358. — Arrive à hi
Nouvelle-Zélande. lucidcns divers, et
description du pays, 571 et suiv. —
Fait le tour de Tlle Iki.'u.i - Mawi.
lueidens divers, VI, del à 115. — Fait
le tour de Titvai-PounamoTi, qui com-
plète la circumnavigation de la Nou-
velle-Zélande, de 115à 113. — Décrit'
la Nouvelle-Zélande, de 143 à iol.
— Sa navigation défavorable à l'exis-
tence d'un continent méridional, 199.
— Sa traversée jusqu'à Rotany-Day,
Il nomme un grand nombre de
pointes cti,de baies, et "crit les eûtes ,
201 et suiv, — fd. jusqu'à la baie de
la Trinité , 232 et suiv. — Id. jusqu'à
la rivière Endeavour. .Situation dan-
gereuse de son vaissra", 274 et suiv.
— Station à la baie J'^ndeavour, 286 à
332. — Navigue jusqu'au nord de la
Nouvelle-Galles du sud. Découvre et
nomme plusieurs pointes, liaies, Iles,
332 et suiv. — Prend po.sses.sion de lu
Nouvelle-Galles méridioûalc, 368. —
Décrit le pays, 372 et suiv. — Arrive a
l'île de Savu , 423. — Repas, que lui
donne le roi , 433. — Décrit Savu ,
YII, 1. -^ Mouille à B.itavia pour ra-
douber son vaisseau , 38. — Décrit
Batavia, 53 et siii/. — Décrit l'île du
Prince, 109. — Jetic l'ancre au cap
de Bontte-Espérance , 120. — Préli-
minaire de son second voyage. Sou
but. Ses résultats, 141. — Cook part
d'Augleterre. Ses.nstnictions, 151). —
Va à la recherclie du continent aus-
tral , 200. — Découvre des Iles de
glace, 204. — Ne trouve point la terre
que Bouvet dit avoir dérouverte, 215.
— Arrive à la Nouvelle-Zélande, et a
])liisicurs entrevues avec les inturels,
237 et suiv. — Est visité par des Zé-
landais , 257, 338. — Laisse dans l'île
des animaux d'Eirope, et sème des
des graines, 268, 270. — Les Zélan-
dais prostituent leurs filles à son équi-
page, 318. — Aborde a Taïti, 353. —
Entrevues avec les habitaus, 354 et
suiv. — Visite le roi, 594 , 4l2 . 422 ,
427. — Le reçoit a bord, 41 ", 420. —
— Découvre l'île d'Hervey, VllI, 36.
— Décrit les îles d'Amsterdam et de
Midd.lhourg, 82. — Revient à la Nou-
velle-Zélande et s'as lire que les habi-
tons sont anthroj)ophages, 98, 113. —
Décrit [une plaine de neige, 131. —
Relâche à l'île de Pâques, et fait in-
cursion dans l'intérieur, 139 — Arrive
aux îirs Marquises, 189. — Dé''ouvre
les Iles Palliser, 224. — Assiste à une
grande revue navale de Taïti, 228 et
suiv., 256 et suiv. —Découvre l'île
Palmersfon , 308 — L'île Sauvage, 312.
348
M^
TABLE GÉNÉRALE
*
«
— Les Nuiivcllcs-IIûbrides, de '329 à
427. — Fëcarmoiiclie avec les insulai-
re», 357, 3G1, 368. — Dérouvre la
Nouvelle Calédonie, 427, et IX, 19. —
L'Jle des Pius, IX, 12. — L'Jle de la
Uotauique, 14. — L'île do Norfolk,
2Î. — Revient à la NouveUf-Zélande,
28. —Nomme le cap Dé.s.ointiou , à la
Terre de Feu, 49. — Le Lavre et les
tles du Nouvel - An, à la Terre des
États, 88. — Découvre l'île WilUs
96. — L'ile PitkersRill,102. —L'île
de Géorgie, 104. — La Tliulé mistrale,
111. L'île Snuuders, de la (Chandeleur,
114. — La terre de Saodwicli, 115. —
Récapitule ce (|u'd a fait dans sou se-
cond voyage. Son opinion sur le con-
tinent austral, 120. — Développe la
formation des îles de glace, 122. —
Arrive au cap de Bopne-Kspcrance,
130. — Massacre de l'équipage de la
chaloupe de YAvcn'ure par' les Zélan-
dais, 135 et suiv. — Décrit les Açores,
157. — Son troisième vojrnge, — Son
but, 164. — Nomme les îles diïPriuce-
Edouard, 184. — Reconnaît la terre
Xerguelcn, et nomme plusieurs haies,
caps et îles de la côte, 187 et suiv. ~ —
Apprend à la Nouvelle-Zélande des
détails sur le massai re de ses compa-
triotes , 238, 24J, 248. — Découvro^
l'île Manpia, 289. -L'île Wattcoo ,
297. — L'île de Wenooaelte, 318. —
reçoit à bord le roi des îles des Amis,
340, 388. ' — Céréttionial de sa récep-
tiàn aux îles Hapaee, jeux, danses ,
354 et suivantes — Assiste à un repaj
d'u" chef de Tonga-Tabou, et en visite
plusieurs autres, 394 et suiv. — Est
invité à une grande fête: danses, mu-
sique , combats de massue , danses
de nuit, 411 et suiv. — Fait ui;o pro-
menade dans l'intérieur de Tlic, 439.
— Assiste à u'ie cérémonie funèbre ,
442, 451. — Observe une éclipse de
soleil, 457. — Mouille à Middelbourg,
X, 26. — Cite les objets les plus pro-
pres aux échanges cans l;t me r du Sud.
39. — Décrit l'archipel des / .lis, s> .;
habitans , son gouvernement, <'^c. , 41
à 96. — Arrive à Taïti, 103. — A une
entrevue avec ievoi, 112. — Dépose
aux îles ,d>R [la Société des volailles, et
y sèmo des graines, 114. — Est témoiu
d'un .sacrifice humain, 116 et suiv. —
Voit le corps etnbaunit d'un ciu'f,
1 42. - - Voit un combat simulé de deux
pirogues de guerre, 149. — Apprcud
de son lieutenant les cérémonies ])ra-
tiquées pour célébrer la paix, 156 et
suiv. — - Fait des observations sur Ivi,
échanges qu'il ^it à Taïti et la mo'ta^e
doDtd y fut reçu, 166. — Donne ^I-
ques renseigncmens sur les voy.igcs
des £spagn(ds à Taiti, 168. — Fait
une petite expédition contrç Timéo,
à l'occasion d'uu vol, 174. — Mouille
à Huahcine, oti il établi l'iusulairc
Omaï qui l'avait suivi à Londres, 1/7
et suiv, — Instructions qu'il donue au
capitaine Clerke , 197. - Compare
l'état où il voit Ulietea avec celui où
il l'avait trouvée, 200. — Achète à
Bolabola une ancre de Rougainvillc,
201. — Examine si la connaissance des
Européens a été heureuse pour les in-
sulaires des îles de la Société, 208. —
Découvre Tile de Noël , 258, 20'1. —
Retrouve les îles Sandwich, 266, '-"•").
— Cérémoniesde sa réception à Atii.^i,
274. — Fait nue incursion dEj; . l'île, «t
décrit un cimetière, 276. — R.?itiai'qiio
la conformité de mœurs et de laugjij^jc
aux îles Sandwich, des Amis, de la
Société. 331. -T- Remarque qu'uuc
même nation s'est rép.^ndne sur tout
l'océan Pacifique, 333. — Arrive eu
vue des côtes d'Amérique , 336. —
Nomme le cap Grégoire, 357 ; le Mp
Flattery, et autres pointes, 337, 340.
— Arrive à l'île de Nootka, 345, 362.
— Comment les naturels abordent ses
vaisseaux, 348. — Fait la reconnais-
sance de l'île, 353 et suiv. — Est visité
»;ar une tribu. Cérémonies de la pré-
aCutation , 358. — Donne des détails
surf; ■Jfte l'irtie de l'Amérique. Fait une
description générale de l'entrée de
Ncotl.3, 362 et suiv. — Recherche d'où
provii^ntle fer qu'ont les habitans, 415
et sui/.— -Poursuit la reconnaissance
de la côte d'Amérique, 426. — Nomme
plu.si'3urs baies et pointes , 429. —
Découvre l'île de Kaye , 452, 434, —
Reçoit la visite des ujiturcls du pays,
410, 445.- Nomme, sur la côte d'A-
ïnérique, 1 -^ îles Vertes, 451 ; l'entrée
du Prince-Guillaume, XI, 1 ; le cap
Elisabeth, Saint - Hermogine, les îles
Stériles, etc., 18 et suiv.; la rivière
de Cook , 23 ; les caps Greville , Bar
nahas , des Deux -Têtes, l'île de la
ç.#
11»^
"è:
DES MATIÈRES.
t
3A\)
Trinité, 30. — Cap de la Trinité. Cap
Uromeux. Ile Nébuleuse. Pointe des
l'ours, 32. — La pointe des Rochers,
la pointe Halibut ou de la Plie, l'Ile
de la Plie, 31. — Nomme la baie do
Dristol, l'île Roâde, etc., dans In incr
de Behring, 44 et »uiv. ; l'^g Auder-
.son, 50 ; les ilus du Traiuen|H| King,
le cap d'il Prince-de-Galles^B2. — A
une entrt'vne avec les Tsi'hinfschy, et
décrit ces peu pies, 55 et suiv. — Nomme
le cap Nord, 76. — Longe la côte d'A-
sie, et revient à la côte d'Amérique,
en nommant plusieurs caps, îles, 77
et .suiv— Découvre Movvée et Owliy-
lién, deux des îles Sandwich , 128,
132. — Cérémonie» de sa réception à
Owhyhée, 148, 153. — Est visité eu
poiApc par le roi, 157. — Se méfie des
insulaires, 173; eu est atta({ué, 179.
— Est tué, 187. — Détails de ses ser-
vices, 188. — Suites de son ass.issinaf,
189. — Sou corps est réclamé, 201,
205. — Déférence de la l'Vance pour
ses vaisseaux, ]iendaut la guerre contre
su patrie, XII, 24, note. — 11 fut im-
prudent à Owhyliée , 130, note. Voy.
Battis, Clerke, Oedidèe, 0-maï, Tupia,
Cook ( rivière ou entrée de , Amé-
rique Russe ) , explorée par Cook ,
t. XI, p. 23. — Naturels; leurs armes,
'ïl, — Marées, 28. — Pays montagneux.
Vi'iues de charbon. Naturels , XIII ,
282. — N'est qu'une baie, XIV, 4-58.
Copenhague ( capitale du Dane-
mark ). Sa description , t. XLVI ,
1). 153.
Copinpt ( port du Chili \ Tremblc-
mens de terre. Mines de métaux,
t. XLI,p.407.
Copies. Anciens Egyptiens, t. XXII,
p. 2Î7. — Religion. Etat. Origine du
nom et de la nation, 248. — Déca-
dence de la langue, 253. — Leur état
politique, 558. — Croyances et usages
religieux, 380.
Corail (description d'un banc dé).
Aspect au flux et au reflux, t. XXI,
p, 106.
Cor.-nas ou Coronas ( tribu des Bet-
diniianas, Afrique ). Un de leurs
kraals, f. XXIX, p. 90, et suiv. — Cos-
Imiii's. Mœurs.]l.icc.i>i,'jrriture, 92.—
Condition misérable d'une horde, 170.
— l'roupedc rlias.seurs,183. — Origine
liottcntote. Gouvernemeut , 191. —
Vie nomade. Langue. Race. Fabri-
ques, 192. — Mariages. Maladies, 194.
— Religion. Funérailles. Alliance»
avec les Griqua», 196. — Mœurs et
usages , 362. — Exposition de» vieil-
lards aux bétcs féroces , 364. Voy.
Garifp, rivière.
CuituËH (de). Sou voyage autour
du monde, t. I, |i. 220. — Institue
l'ordre du Lion déchaîné ; but de cet
orlre, 225.
Cordoue (ville d'Espagne), t. XLVI,
p. 177.
6Wtfe (province de l'empire chinois).
.\s])ect, fortifications, habitations du
la côle est, tom. XII, p. 332; X\l,
2, 13. — j Entrevue avec les naturels ,
14, 26, 49 — Ntimbreuses îles de la
côte, 42, 53. — Intérieur d'uue mai-
son, 44. — Animaux, 52. — Produc-
tions, XXXJII, 260.
Coréens, Costume d'un chef et de
.ses serviteurs, t. XXI, p. 11, 18. — Ba-
teaux, 41. — Femmes écartées des
étrangers, 52. — Présens de vasselage
a l'empereur de la Chiue, XXXIII ,
237. — Figure. Costume, 259.
Cor/ou (île ionienne), t. XLIV,
p. 326 et suiv. ; XLVI, 198 et suiv.
Corinthc •( ville de la Grèce ).
L'isthme, t. XLIV, p. 312.— L'Acro-
pole, 313 — Elcmeus de prospérité,
314 — Environs, 515. — F.imeux rai-
sins, 316. — Le château, XLVI, 208.
C^ uaille (Nouveau, Non.-Bret. ,
An .uc septentrionale). Rc'counais-
soc-'.e en canots Ju canal de Portiand,
Aspects de la côte, t. XIV, p. 430 et
suiv. passim.-— Armes des uatiirels,
437, 439. — Langue, 457. — Vêtement
de guerre, 440. — Horribles incisions
à la figure, 417. — f-c pays reçoit de
Vancouver le nom qu'il porte, 452.
Coronupdel, Partie du Carnatic ,
province de l'Ilinduustau. Voy. 6'ar-
natic.
Coronns. Voy. Coranas.
Corté-d'Ai'gisli ( ancienne capitale
delà Valachie, Tiiiquie d'Europe).
Sa description, t. XLIV, p. 81.
CoK.ÉREAL. Nomme le Labrador ,
t. XL, j). xj. — Dérouvre le fameux
détroit d'Aman, xij.
CoHTtz. Sa ciiuquête du Mexique,
t. vXXVUI, p. 20f>. — Sescommeuce-
mens, (*. — Préparatifs de son catre-
«
350
TABLE GÉNÉRALE
prise, 268 et sulr. — Arme défeiisive
qu'il donne à ses soldats, 270. — Bat
les Indiens du Tabasco , 275, 277. —
— S'empare de Tabasco, 276. — Com-
mencement de la faveur de la Mexi-
caine Marina, 279. — Reçoit des am-
bassadeurs et des présens de Monté -
zuma , 2S0, 286, 2^)3. — Inoiste pour
voir l'empereur. Inquiétude des am-
•bassadcur», 282, 286, 294. — S'idlie
avec des caciques rebelles, 288, 292.
— Fonde Vera-Cru/., 292. — Détruit
sa flotte. Forées de son armée, 295. —
Marche sur Mexico , 296. — Bat
les Tlascalans , 302. — Remporte
sur eux une grande victoire, 303 et
8uiv, — S*allie avec eux, 307, 309. —
Entre daus Mexico, 31 1. — Bat Nar»
vaëz, 312. — Mont-'/uma est tué. Sa
retraite, 313. — '', empare do Mexico,
. fait prisonuic urii.ttimozin, 315. — Se
rend à Ma-'.'id 315. — Découvre la
Califorp'j, 3 % — Meurt dans la
disgrâ e, 317. - Ses cendres portées
à Cu'ia , 415. Voyea Montituma,-
Cuno (île des Açores). Découverte
par les Portugais. Son étendue, Sa po-
pulation, t. IX, \. 157, 158.
Cos (île de l'Archipel ), t. XLVI,
p. 99.
Cosaques du Don ( gouvernement de
lu Russie d'Europe). 'IVibiis diverses,
t. XLIV, i>. 442 — Voyiige dans le
pays, 452 à 454. — Aksiiï, 452.— "Vieil
et nouveau Tcherkask, 453. — Popu-
latiou dugouvernement. Observations
diverses, 454.
Cosaques de la mer IVoire. Descen-
dent des Cosaques de l'Ukraine. Leur
établissement dans le Caucase, t. XLIV,
p. 442.
Cosaques de ^Ukraine, Villages ,
t. XLIV, p. 373. — Tribu de Vosne-
sensk, 387. — Sout une des deux
grandes familles de Cosaques, 442.
Cotchoun ou Kouchan (ville du Kho-
rassan,Perse).Cliniiitsalubre, t.XXXY,
p 282. — Productions des environs ,
283. — Demeure du khan . 285- —
Chant , 286. — Soufisme, 287 à 295.
— Fortifications. Bazar, 297. —
Magnifique Coran. Son histoire , 298.
Tempéiature , 299- — Assiégée et
prise par les Persans, . XXVII, 294,
297.
Cotiea (province du Haoussa, Sou-
dan ). Uabitans je Fullindnthic Tont
tout nus. Leur saleté, t. XXVIII,
p. 255,
Coubeabia (ville du Dar-Four, Sou-
dan), Fameux marché, t. XXV, p. 400.
Coubijr (ville du Boiirgou, Guinée),
t. XXX , p. 156. — Fortifications.
— Grai|i|159.
.Counum^ (capitale de l'Achanti,
Guinée), .'Visite au roi. Richesse des
costumes, t. XXVIII, p. 397 et suiv.
— Chansons populaires. 410. — Am-
bassades des Anglais, 418 et suiv.- -
Tortures. Cour du roi, 423-
Courant ( île de la Polynésie). Dé-
courerte par Cirteret, t. III, p. 169.
Couronne (lie delà, Nouvellc-Zé-
laade ) , découverte et décrite [)nr
Dampier, 1. 1, p. 454.
Cousou (ville de l'Yarriba, Guince\
La caravaue de Ha no , t. XXX, p. 80.
Couiumassa (ville du Pérou). Beauté
des femmes, t. XLII, p. 7.
CuviLHAM. Premier Portugais qui
ait navigué sur l'océan Indien , t. 1,
p. 29. — Obtient les premières notions
sur rilc de Madagascar, 30.- '
CowLEY. Son voyage autour du
monde, t. 1, 352. .— Découvre les îlfs
du Rdi-Charli's, du Dnc-d'York, de
Korfolk , d'Alhcmnrlc , de Marlbo-
rough, de Cowlpy, 355. — Résumé
de son voyage, XVIII, 197.
CovvPKR-KosE. Rilation de so« sé-
jour au cap de lîonno-Espériitu-e et
les environs, t. X\[X, 230. — Chasse
aux éléphansj 314 et suiv.
Cox. Sou voy^ige dans l'empire
Birman, t. XXXIV, p 449. — Reçoit
audience de l'empereur, 476.
CoxE. Son voyage on Pologne, en
Russie , en Suède et en Danemark,
t. XLVI, p. 1.33.
Cracaioa (île de la Malaisie). Eten-
due. Climat, t. XI, 473.
Cracovie (ville delà Pologne}. Sa
description , t. XLVI, p. 135. — L'u-
niversité. Le palais. Environs. Tom-
beau du fondateur, 136. — Fortlands-
Krone, 137.
Cranganor ( ville dn Cocliin, Mala-
bar, Uiudoustan ). Situation. Produc-
tions du pays, t. I, p. 70. — Prise et
brûlée par Pacheco, lieutenant d'Al-
bukerque, 87
Création. Sa tradition conservée,
f
DES MATIERES.
351
inaiti dénaturée à Taïti, t. X, p. 212. —
Conservée dans l'Adianti, XXVIII,
408.
Creeht (Indiens des Ktat-Unis). Se
retirent dans l'État d'Aliihiima ,
t, XXXIX, j). 343. — Leur détresse,
547. — (Iraode partie de liiille et se»
préparatifs, 348, 352, 355 — Leur»
rénuions. 349, — Danses, 350. —
Luttes, 352. — Toilettes, 353.
Crillon (cap de l'Ile Ségalien). Nom-
mée par La Péronse, t. XII, p. 418 —
Naturels, 421. — Leurs vétcmcns, 423.
— Leur origine^ 424. — Connais-
sances géographiques , 425. — Vil-
lages, 427.
Crimée ou Chersonèse Tauride, Signi-
fication de CCS noms , t. XXI , p. 172.
Voy. Tauride et Tataret.
Croissant (île de la Polynésie). Dé-
couverte par VVilson, t, XllI, p. 440;
XIX, 97. — Habitans , cabanes, 98.
Croker (île de l'arcliipel Dange-
reux), décrite par Beechey, t. XIX,
p. 197.
Croyère (îles de la mer du Sud, côtes
d'Amérique septentrionale). Recon-
nues et nommées par La Pérouse,
t. Xll, p, 218. — La Pérouse découvre
iiu Kamtscliatka le tombeau de l'of*
licier de ce nom, XlII, 39.
Cuba (île, Grandes Antilles). Décou-
verte parColouib, t. XXXVIII, p. 101.
— Hospitalité des insulaires, 102. —
Animaux, 103, 425. — Croyances re-
ligieuses, 148- — Population, 390,
409,413. — Surface, 409, 428.—
Heureuse situation, 412. — Produc-
tious,412, 421, — Température, 418.
— Pins, acajou, 421. — Archevê-
que. GouVerueur. Instruction, 422.
— Tableau du rapport des produc-
tions, 425. — Exportations, 426. —
Montagnes , 428. — Rivières. Villes
priucipales. Habitans, 429. — État
des personnes, 430 -et suiv. — Des
monteros, 431. — Des esclaves, 435
à 411. — Vie. Usages. Habitudes de.»
Cubanais, 441. — Usage général du
tabac. Calèches, 442. — Figure, cos-
tume. Education des femmes, 444. —
Mœurs relâchées , 445. — Caractère
national, 447. >— Desccndnns des An-
ciens Indiens. Législation. Justice,
448. — Revenus , 449. — Traite de»
noirs, XM, 170. Voy. Havane.
Ciicnçn (ville d'Kspagne), t, XLVI,
p. 171,174.
Cumana (ville du Venezuela, Amé-
rique). Situation , faubourgs, popu-
lation, t. XXXVIII, p. 357. — Euvi-
rons , 357 , 360. - - .Singulier phéno-
mène de la plaine, 358. — Usage gé-
néral du bain. Port, 359 — Tribu»
indiennes de la province, 360. — Im-
portance de la ville. Singulier bain
des dames, XLII, 431, 432. — Plaine
des environs. Saison des chaleurs,
aspect de la campagne, 433.
Cumberlnnd (ilc,|,Polynésie). Dccou-
Trt-te par Wallis , t. III, p. 303.
Cumlierland {^An^ Australie). Décou-
vertes et décrite» \y,ir Cook , t. VI,
p. 26f — Aspett. Arbres, XXI, 393.
Cumbcrland- Uouse, Établissement
anglais de la mer d'Undson , t. XL,
p. 477. — Environs, 478. — Indiens
Crées. Mariage». Cacactères , 479. —
Superstitions. Sorciers, 480, 481.
CuNNiNr.H.«M. Son voyagea la Nou-
velle-Galles du sud, t. XLIII, p. 1.
Curaçao (île, mer de» Antilles). Dé-
couverte par Ojcda , tom. XXXVIII,
p. 243
Cutiup ou Luttup (ville et province
du Soudan). Vaste étendue de îd .111 ..
Productions. Femmes du sultan libres,
t. XXVIII, 257.
Çyclades (archipel des Grandes, Aus-
tralie). Découvert par Vougainville,
Coup d'oeil sur le pays, t. IV, p. 274,
277. — Vu par Qniros, VIII. 135. —
Compris par Cook daus l'avchipel des
Nouvelles-Hébrides, 421 XX, 198.
Voy. Gromngue', Thienhoi en,
Cyclopes (leï deux, îles d'Australie).
Découvertes par Bougainville , t. IV,
p. 321.
Cytlière OU Csng'o ( île ionienne ),
t. XLVI, p. 93, 205,
Czingares (tribu nomade de l'Autri-
che). Ont été à tort appelés Bohémien»
et Egyptiens, t, XLVI, p. 219. — Ca-
ractère , saleté, physionomie, 224.
;onservee,
«
TABLE GftNÉHALK
* ♦ '
,.s ■.
Uaeea (villo du Béu^iilp, Hindous-
tan). Éti'ndur. Miiixiiis. ]'',^'lise d(!ii
Au^ufttins , t. XXXI , |>. 80. — Belle»
ruines de» envirom, XXXVI , 70, 71.
— Splendeur pasiice, 72. — Hubitiiuf,
l'opuliilioa. Climat , 73. — Vi'isscaux
du port, 74. — 'rroinblenii de
terre. Keurie» d'éiéplian», 75. — £o-
.scinhlc du lu ville. Alentour. Larrosne
du nnw.ib, 76. — Son levenii. Son
costume, 77. — Sa demeure, 78.
IJagelel (lie, mer dii Jiip.iu). Nom-
mée par La Péruusc, t. XII, p. 533.
— Son aspect , 334.
Dagwamba (ville du Bournou, Sou-
dan). Ses ruiue», t. XX VU , p. 159.
Dahalac (île, mer Ruiige , ouest).
Sol. Arbres. Citernes , t. XXIII ,
p. 158 — Animaux, 158, l(i8. —
Occupation des liabitans , 16U. —
Figure. Caractère , 102. — Monnaie
de verre. Décadence du commerce ,
164. —Langue, 169.
Dam.away. Son voyage à Cons-
tautinoplc, t. XLVI, p 127.
Dalécaiii* (province de la Suède).
Caractère , ligure de» habitans ,
t. XLVI, p. 291. — aespcrt affec-
tueux pour les .'iiicorités, 1Î92. ■—
Présence d'esprlv , ifKlu.-'trie , friiga-
litu , ijospiialité &■• Diiiécarlien. Piiin
fait en piuM-e t'.'i'.iyrrc ji'arbre moulue.
293. - -- Cosi^^ume:. .Signe
en Dalécailie et
de deuil eu
eu Cliiue ,
usage
294.
Damàrat (nation et pays du sud de
l'Afrique). Origine.Productions du sol.
Troupeaux. Métaux. Gouvernement.
Armes, t. XXIX, p. 316. — Bornes.
Richesse. Industrie. Mariage. Funé-
railles , 342 et suiv.
Damai { ville de Syrie. Turquie
d'Asie). Portefaix , t. XXXII , p. 41.
— Aspect. Belle rue , 452. — Grande
mosquée, 434. — Mosquée des der-
viches. Faubourg , 436. — Plaine dé-
licieuse , 437. — Cimetière. Chambre
du palais, 418. — Rues. Boutiques.
Idiot courant les rues tout nu , 439.
— Cafés, 440.
Damghân ( v'ile du Kbor.is.san,
Perse). Autrefoi.s importante, i. XXXV,
p. 141. — Population. Monv, ^rnt re-
marquable , 142.
Damot (province de l'^i f.ilnie\
Étendue, t. XXIll , p. 330.
l)\MriKH. Ses voya^e.s autour du
muudu , t. I, p. 363 — Décti» K.
{tremicr avec détail la INouvcllc-lid!-
aude, 390 et »uiv. — Montre qu'on
a débité des eonte.t sur l'autliropo
phagie, 401. — Nomme et décrit
baie des Chicris-Moris , dans la No.
vclle - Hollande , 408. — Les ih.s
Romarin, Pulo-Sabuda, Gai'ct I)C'
nis, etc., 415 et suiv, — Découvre
les îles Oragcu.se , Mathias, Lou^iin ,
de la Couronne , 438 et 454. — Dé-
couvre et nomme le i>ass.igc de .son
U(mi , nomme la Nouvellc-l'iretagui! ,
452. — Accrtjnpagne Roggurs dans
son voy.tge autour du monde , II , -1
Dampier ( île de rarchipel de la 1S< u-
velle - Bretagne ). Naturels. Anucs.
t. XX, p. 579.
/>aii«^^oo (ville du Funda, Guinée).
Fétiche, t XXX, p. 401 , 405. ~
Costunlc du chef , 403 , 404. — Reli-
gion , 406 , 408. — Réjouissaufps
publiques , 406. — Rues. Huttes. Co.s-
tumes. Ornemeus, 408. — Travaii.x
des naturels. Denrées, Animaux do-
mestiques, 410. — Kst formée de
plusieurs villages, 413.
y>nHe/Hrt;7.-. Langue danoise comparée
à celle de la Norwége et de la Suède ,
t. XLV, p. 98. — Voyage dans le
pays, XLVI, 153.
Danger (îles de l'Australie), Nom-
mée» par Byron , t, III , p. 51 .
Dangtieux , ou des îles basses ou
Pomoioii ( archipel , Polynésie), Dé-
couvert en partie par Schoutrn ot
Roggewin, t. II, p. 55, 57; et VIII,
214. — En partie par Byron, III,
27, et VIII, 222. — En partie par
Kougainville , IV, 204. - Iles peu
fertiles. Forme générale. Naturels
rraintifs, VII, 351. — Lvur aspect
agréable, VIII , 215. — Grosseur des
arbres, ,luprès du cocotier. Chiens
icphyo]>lMigcs , 220. — Bancs de co-
lail, 221i — Difficulté de naviguer
dans leurs Cjiux , XVII , 264. — N^'-
l)ES MATIKIIKS.
3.13
tU'c'ii l>ca cominiiuicatifs, 274' —
Siuiilitude de liinguc et de rnligioii . Dif-
ivreuru dniii le» traits , XIX , lOH. —
Conjectures mit lu manière dont il n
été peinilé, 199. — V«y. Ile* j^rc, iir-
t'Ilipcl Itarrow^ Byam-lUavlin, Carysfort,
Cltrmont • Tonnerre , Cockburn , Uou-
teuti, Egmont, Gambitr, groupe; du Hoi-
Georgt, groupe; Gloucttitr, groupe;
Groupes , Harpi , La/tjrrinlk* , groupe ;
Lagon f Laneierif LoiMnge, Hr/elvillt ,
IHoller, i$(t/#, Noël, Pern cieutes, lU-
solution, Tiookea, ffol/e.
DaniMÏg ( yille de» I^.tats de la
Prusse), Son origine d'après Regiiiird,
t.XLV[,p. 74.
Danube ^^(leiive d'Europe). Se» eiinx.
Ses bord», t. XLIV, p. 7i —Villa-
ges, 72, 181. — Vo\age de Quiu
sur le fleuve, 133 — Le paquebot,
134 , 14î , 217. — Moulins a farine ,
140.-— <<raud nombre de sinuosités,
141, 167, 175, 206. - Aspect de»
rives, 112, 150, 156, 161.105, 170,
174, 205. — Ile de UatO(;kovi, 149.
— Trou|ieaux , 150. — Tolua , 151.
— Peu de profondeur du fleuve, 151,
216. — Champ do bataille, 158. —
Vuckorar. Kamcnitï, 161. — IN'eu-
sati et Peterwarden , 162. — Bel-
grade , 164. — Scmondria .165. —
Arbres , lies diverses, 1C6. — Oiseatix,
166 , 225. — Rama , 167. — Moi-
dava , 170. — Chaînes de montagnes
bordant le fleuve, 171. •— Ruines
d'un château. Gorge pittoresque, 174,
175. — Rapides, 176. — Rocs remar-
quables, 177. — Établissement d'une
route sur les bords ,182. — La fa-
meuse porte de fer, 200. — Ruine»
du pont de Trajan , 203. — Vidiu ,
207. — Zitera-Palanka , 219. — Son
cours, XLVI, 221.
Daoudpoutra (État de l'Hiudoustan),
t. XXXVII, p. 362.
Dar-el-Beida (ville du Maroc),
t. XXII, p. 145.
Dar-Four ( royaume du Soudan ,
voyage au ), t. XXV, p. 392. — Si-
guification du nom , 393. — Wadi-
Massouck, Fourmis blanches, 395. —
Principales villes, 399, — Carrière de
craie de Choba. Fameux marché de
Coubcabia , 400- — Ecoles , 401 . —
Saisons. Arbres, 401 , 404. — Ani-
maux privés et sauvages, 402. — Mi-
XLVI.
>n-
tt
;jo.—
□éraux, 404. — CfouvoraiMuent. Cou-
ronne hércditairo, 405, 4 1 ô — Kéroltc,
Lu roi cultivateur, 40f> ■"- Origine
de» hahitau'- Areiiiteel' irc, 407.—
Mœurs. (Jarartère, 408. — Polygauiic,
409. — Travaux des femmes, 411. —
Tribut, 413. — Manière redoutable de
combattre des Dergon», 414.— Circoii-
citiou. Excision , 414. — Kuuucpies ,
415. Voyez Cobbé, capitale.
Dahiis Lieu de ton meurtre,
t. XXXV, p. 127.
Varling (rivière salée de la
velle-lloli.iude). Kxplorée en ■
noinuiée par Sturt , t. \ ' ''
255. — Superstitious d(
214, 259. — Goftt do SOI.
217,271. —Villages, 2^5
drupèdes de ses bords , 2..
.seaux, 2.52. — Sources saléi
Sou étrange, 254.^ Figure, cou-
tumes, véteineus, etc., des naturels,
257. — Conjectures sur ses sources et
sou cours, 259, 275. 279. — Affluens :
le Castlereagh, 2(57 a 271 , 3t)4 —
Embouchure présumée daus la Mur-
ray. Preuves , 321 , 322, 324, 563
et suiv.
Darling (|)> it de la Nouvelle-Galles
du sud), t. XLlII,p. 25, 170.
JJassen-Eyland (île , colonie du ciip
de Bonne'- Espérance). Uiseaiix in-
nombrables, t. XXIV, p. 20 et suiv.
Dahmont. .Son voyage en Suède,
t. XLVI, p. 288.
Davi.s. Découvre les Malouiues ,
t. II, p. 420. — A exploré le détroit
de son uom,XXXVIlI, 33. — Re-
cherche le passage au nord de l'Amé-
rique, Se» découvertes, XL, p, xv
et suiv,
Davis, détroit de (entre le Groen-
land et i^umberland ). Découvert et
exploré par Davis , t. XXXVIII, 33;
XL, XV.
Deehistan (côtes du Farsistan,
Perse), pays plat, t. XXXV, p. 16, —
Choléra , superstition au sujet de
cette maladie , 6, 18, 24. — Bouschire ,
16. - Campagne, 21 , 22. •— Kaz-
roun , 23.
Découverte ( port de la Nouvelle-
Alhiiin , Amérique septentrionale ).
Dcscrintiou de l'île de la Prutectiou ,
nommée par Vancouver, tom. XIV,
p. 186, 190. — Description du havre,
23
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354
TABLE GÉNÉRALE
nommé par Vancouver, 188, 189. —
Arbres, 190. — Pays, 191. — Mai-
sons, figurp, armes, pirogues, etc. ,
des naturels, 191 , 193 , 218 et suiv.
— Autre description du port et de ses
environs, 211 et suiv. — Sol, 212,
216>— Productions minéralogiques ,
212. — Productions végétales , 213.
— Quadrupèdes , oiseaux, 214, 215.
— Poissons , reptiles , 216 — Ma-
nière de disposer les morts, 222 et
suiv.
Dterèi ( câtes de la Nonvelle-Hol-
lande)-. Aspect. Nombreux kanga-
rous,t. XVIir, p. 18.
Deegoa ( ville du Bournou , Son-
dan). Murs. Population, t. XXVK,
p. 138.
DeioUa (ville dn Rajpontana , Hin-
dottstan), t. XXXVI, p. 331.
Dtitay, Voy. Atlrolafte.
Dekkan (partie de l'Hindonstan).
MontHgnes des Gattes et leurs Labi-
tans ,. t. XXXVI, p. 418. — Habitans
maliarattas. Caverne célèbre. Temple,
421. — Plaine de Carley, 423. — Des-
cription du Ponnab , 425 à 426. —
Crabes, 425. — Sol. Climat, 426.
Dtlhi (État de THindousUn). Palais
impérial de Jannabad , tom. XXXI ,
p. 72. — Voyage dans le pays ,
XXXV, 427, 429. — Beauté de la
vallée du Doun, XXXVI, 262, 456.
— Résidence de la Begum-Sumron.
Détails sur cette princesse, 262. —
Costume de cavaliers, 264. — Cam-
pagne, 265, 285. — Ruines. Four-
mis blancbes , 284. — Bullumghur,
285. — Sikre , 287 , 288. — Fameuse
foire d'Hardc uar, 453 et sniv.— Voyez
Mtirut.
Delhi (capitale de l'État). Vastes et
magnifiques ruines, t. XXXVI, p. 266
•t suiv. , 270. — Beaux monumeus ,
266. —Maisons, 266, 447, 449. —
Mosquée célèbre , 266 , 452. — Pa-
lais du grand Mogol , 266, 269, 446.
— Tombeau d'Humaioun , 267, 272.
— Détails historiques , 270. — Canue
detiroze, 271.^Mouvelle ville, châles.
Bijoux , 271, 273. — Présentation à
l'empereur. Sa résidence, 275. — Sa
cour, 276. — Salles d'audience, 280,
282. — Jardins. Beau pavillon, 281.
— Rues , 283 , 450. — Remparts ,
283. — Décadence, 445.'— Poussière.
Moucherons, 446, 450. — Grande
rue, 447. — Mouvement intérieur de
la ville, 448,450. — Décorations
des maisons, 449. — Commerce ,
451. — Visites d'étiquette, 451. —
Tombeaux, puits, 452.
Délot (Ile de l'Archipel ) , t. XL VI,
p. 96.
/^e/otf (ville du Mandara . .ioudac).
Population. Sources , productions des
environs, t. XXVII , p. 142.
Deltago (ville du Bournou , Suu-
dan). Denrées. Nourriture des ani-
maux , t. XXVII , p. 329.
Déluge ( tradition du , au Kam-
tschatcka) , t. XVII , p. 389. — Ses
trac r s en Amérique, XXXIX , 206. —
Ses traces à la Nonvelle-HoUande
XLIII,366.
Dembea (province de l'Abyssinie).
Productions , t. XXIH , p. 332.
Demerari ( rivière de la Guiane ) ,
t, XLl ,J p. 173. — Poison wourali.
— Voy. ce nom. — Ses rives, 174,
186. — Rocs ,175. — Différens as-
pects journaliers de ses rives , bruit
des animaux , 186. — Demeure d'In-
diens, 187, 192 — La grande chute
et ses abords, 191.
Dendera (ville de la Hante-Égyptc).
Sa situation , t. XXIII , p. 87. — Cru-
codilcs , 88.
Deitham. Son voyage dans le nord
et le centre de l'Afrique avec Clap-
pertou, t. XXVII, p. 1. — Arrivé à
Mourzouck, 10 — - Visite le sultan
de Grhaat, 50. — Traverse le Sahara,
59 «t suiv. — Arrive au grand Ihc
Tchad , 99. — Visite à des cheiks ,
117,121, 131,252.— Au sultan de
Bournou , 124. — Est un objet de
curiosité, 129, 133, 154. — Fait
partie d'une expédition contre les
Felatahs, 141. — Kntrevues avec le
sultan de Mandara, 142, 144. —
Assiste à un combat , 159 et suiv. —
Est fait prisonnier. Dépouillé, 166.
— S'échappe. Rejoint les siens , 166-
— Fait partie d'une expédition contre
Ip Muuga,195. — Séjourne à Kouka ,
209. — Son entrée et sa réception à
Loggun , 252. — Fait partie d'une
expédition contre Mendoo, mais n'ar-
rive pas jusqu'à l'ennemi, 276, 288 ,
296.
Dentilla ( royanme de la Sépé-
DES MATIERES.
355
V '
gambie ). Voyage dans l'inténear.
Banaserile , t. XXV, p. 342.
Déota (ville du Radjpoutana). Belles
reines. Fête et foire du Pfutun>i ,
t. XXXVI , p. 308.
D^regi (Ile , mer Ronge , est ) ,
t. XXIII, p. 141
Den-oud (ville du Khorassan, Perse\
Jardins , t. XXXV, p. 203. — Passe
dangereuse , 204.
Désappointement (Iles de, Pulynésie).
Découvertes et décrites par Byron ,
t. in, p. g à 15.
Disiri (port de la Terre de Feu).
Sa description et celle des environ* ,
t. II , p. 371 et suiv.
DeuxSaurs (Ile des , groupe CLii*
tam). Découverte par Broughton ,
t. XIV, p. 71.
Dei/a (ville de la Transylvanie, em-
pire d'Autriche) , t. XLIV, p 112.
Dtarbekr {yille d'Arménie , Turquie
d'Asie). Kues. Bazars. Fortificationfi.
Aspect. Population , t. XXXII , p. 475
et suiv.
Dibla (ville du pays des Tibbous du
Bilma-Saliara) , t. XXVII, p. 82.
Diego , Alvaret ou Gough (Ile de
l'océan Atlantique méridional). Dé-
couverte par les Portugais. Sol. Ro-
cher remarquable , t. XX , p. 153 .
154.
DiLLOiT.Son voyage. Renseignemens
qu'il obtient sur le naufrage de La
Pérouse , t. XVIII , p. 369 et suiv.
Dimanche (Ile du , Australie). Dé-
couverte par Bligh, t. XIII , p. 330.
Dina (ville du Lndamar, Sénégam-
bie),t. XXV, p. 135.
À<nayK>iir(villediiBéhar,Hindoust.).
Poste angbis. Casernes, t. XXXVI
p. 124.
DinJing (lie, détroit de Malaca).
Bois. SoL Productions, t. XXXIV,
p. 35 , 36. — Plante magnifique , 36.
— Structure, 37.
Diomide (Iles, mer de Behring),
t. XIX, p. 271.
Direction (Ile delà , Australie). Dé-
couverte par Bligh, t. XIII, p. 329.
Direction ( Iles de, côte de In Nou-
velle-Galles du sud). Découvertes par
Cook.t. VI,p.350.
Dirkee [yiÛe des Tibbous du Btlma-
Sahara). Danses, t. XXVII, p. 72.
— Situation ^ 73. — Maison», 74,
Dieo (Ile , mer de Baffin). Aspect ,
t. XL, p. 39.
DifkuUa (ville des Felatahs, Haoui-
sa , Soudan). Brûlée par l'armée man-
darienne. Combat, t. XXVII, p. 160.
Diu (ville du Gucerate de 1 ancien
royaume de Cambaye , Hindoustan).
Prise par les Portugais , t. 1 , p. 109.
•— Assiégée par les Turcs et le roi de
Cambaye , 1 11 . — Le fort est glorieu-
sement défendu par les Portugais,
112.
Dixan (ville d'Abyssinie). Situation.
Deux sortes d'habitans, t. XXI (I ,
p. 211,212.
DiXON. Voy. PORTLOCK.
DJ. Chercher kj les noms que l'on
ne trouvera pas à Dj.
Djallaeoiia (ville du Tenda , Séné-
gambie) , t. XXV, p. 326 , 335.
Djebliel-AttaU, Montagne de Syrie,
où les Arabes croient que se trouve
le tombeau de Josué , t. XXXII «
p. 398,400.
Djédideh (ville du Hedjaz , Arabie),
t XXXII , p. 258.
Djelalabad ou Julalabad ( ville du
Caboul , Asie). Environs. Le Simoun «
t. XXXVII, p. 78. — Bazar. Popula-
tion. Montagnes de neige, 79.
Djemma on Jumnt (rivière , affinent
du Gange). Aspect de l'Himalaya à sa
source, t. XXXV, p. 482. — De-
meure des esprits. Sources d'eau
chaude , 483 , 488. — Bain des divi-
nités , 484 , 486. — Respect supersti«
tieux pour sa source, 485. — Temple,
ataut - coureur de la rivière , 487. —
Lieu des ablutions , 488. — Source
chaude, XXXVI, 461.
£>/«Me ( ville du Bambarra , Sou-
dan). Situation, tom. XXV, p. 243.
— Étendue. Maisons, XXIX, 391.—
Rues. Environs. Mosquée. Popula-
tion. Résidence du chef f 892. — In»
dustrie. Religion. Polygamie. Nour-
riture. Mobilier. Costume , 394.
Djtzan {port del'Yémen, Arabie).
Antfefois commerçant. Caractère des
babitans, t. XXIII, p. 145.
Djexireh ( ville d^Arménie , Tur-
quie d'Asie) , t. XXXII, p. 479.
Djidda ou Jidda (ville de l'Hedjaz ,
Arabie). Sa rade , t. XXIII , p. 137 ;
XXXII, .5,9. —Situation. Fortifica'
iionsj ll.~--Quais. Ports. Fanxbonrgf».
35G
TABLE GËNÉRALK
Maisons, 12, 14. — Intérieur desinni-
suDs ,14. — Rlians. Citernes, Envi-
rons arides, 16. — Commerce, 17,
21. — Marché. Cimetières , tombeau
d'Eve. Population. Buces diverses ,
18. — État des chrétiens , 20 , 161.
— Marine , 20. •— Caravanes. Bouti-
ques et notice sur tous les États , 22 à
41 et sniv. — Cafés , leur consom-
mation, etc. ,22, 24 et suiv. — Pipes.
Tabacs , 24, 34. •— Café au beurre,
27. — Fruits , légumes , 28. — Dro-
fuistes . 35. — Ventes de vétemens ,
7. — Barbiers, 38. — Portefaix,
41. — Mendians. Gouvernement. Mé-
pris des Turcs, 42. — Aemurquc sur
les habitans, 141 à 168. — Teint.
Tatouage. Vêtement. Modes, 142 à
147. — • Habillement des femmes, 147.
— Éducation, 148. — Caractère, 158.
— Climat. Maladies , 183. — Cou-
cours de pèlerins, 200. — Bavages
de la peste, 356-
Djilli/ri (ville du royaume de Barra ,
Sénégamï ' \ Son commerce, t. XXV,
p. 23.
Djinbala ( royaume de la Séné-*
gambie). Sol fertile. Habitaus, t. XXV,
p. 246. ^
Djoubtl (Ëtat de l'Hindoustan). Sa
capitale , f. XXXV, p. 447. — Tribu
sauvage , 447, 448. — Dieux domes-
tiques , 449. — Soin des fontaines ,
450. — Costume , figure du rana, 451 .
— Temples remarquables de Baïn-
gurh,452.
Djoun, Voy. Oxui.
Djulifunia ( ville du Tenda , Séné-
gambie),t.XXV,p. 342.
Dnieper (fleuve de la Bussie d'Eu-
rope), t. XLIV, p. 374 ; XL VI, 142.
DecHAKD. Son voyage dans l'A-
frique occidentale , t. XXVIII , p. 285.
IfomiHiea ou Oh'va-Hou ( tie de l'ar-
chipel des Marquises) , t. VIII, p. 189,
199. — Sa description d'après les An-
glais et les Espagnols, XV, 3^6.
Dominique (la , tle des Petites-Antil-
les). Bel aspect Belles plantation*. La
capitale , t. XLI , p. 276.
Don (Cosaques du). Voy. Cotaquet.
DorH ( havre , Nouvelle-Guinée ).
Situation, t. XVIII, p. 311. — Katu
tels , 312. — Dépend de Tidore. Vil -
lages, 313.
Douglas. A découvcrtles ilcs John-
ston et de Bonne-Observation , Good-'
Look-Ont, t. XUI , p. 376, 377.
DouUt-Abad (ville du Khorassan ,
Perse ). Caravenserai , t. XXXV ,
p. 139. — Défense contre les Tur-
comans. Fontaine merveilleuse , 141.
Dounqaa (ville de l'Achanti, Gui-
née). Maisons. Nourriture. Occupa-
tions, jeux , t. XXVIII, p. 388.
Douteuse (lie , archipel Dangereux).
Découverte par Bongaiuville , nom-
mée par Cook , t. VII , p. 550.
Douteuse (Ile , Polynésie). Nommée
par Kotzehue , et peut-être découverte
par Schouten, t. XVII, p. 44.
Dovrtfrieli ( chaîne de la Nor-
wége). Ses approches , t. XLV, p. 72.
— Olstad-Dovre-Tolfle, 73. — Les
quatre auberges, 73, 74- — Aspect
du pays , 74- — Le gigantesque
Sneehat'3n, 75, 80. — Merles noirs ,
abondance depluviers.[Ëlans. Bennes,
76. — Fogstuen , 77. — Jerkin. Dan-
ses, 78. — FielJ-Faret, 82. — Dif-
férence d'aspect des deux chaînes,
83, 84. — Comparé au Sepi-Sauh ,
130.
Draxk. Son voyage autour da
monde , t. I , p. 171. — Découvre les
Elisabéthides, 179. — Son caractère
haineux et rodomont, 171 et 180. —
Découvre la Nouvelle-Albion, 181.
— Bésumé de ses voyages , XVIII ,
192.
Droniheim ou Trontheim (chef-lien
du Drontheim , dans le Nordenfields;
nouvelle ou seconde capitale de la
Norwége), t. XLV, p. 83. — Aspect
et description , 86, 88. — Environs ,
89, 97. — ^ Bétes sairvages des forêts,
90. — Magnifiqu- >édrale , 96.—
Population , 97. - urs des habi-
tans. Ils parler, i. ^..oup l'anglais,
peu le françai.'t, 98. — Fréquence des
inceuiiies. Gardes de nuit, 99. — He
de Trtveroen. Édredon, 102. — Le
fiord, 106. — Population. Situatioa.
Enviions, t XLVI, p. 297. — Beau
palais en bois du gouverneur. Sai-
■ions , 298.
Ducie ( Ile - lagune , Polynésie ) .
Découverte par Edwards. Ce que
c'e.st qu'une tle - lagune , t. XIII ,
p. 419. — Sol. Lac bordé d'arbres ,
XIX, 18.
Duclot (baie dn détroit deMiigeilan).
i ■
DES MATIERES.
357
Nommée par DongainTÎHe. Sa des-
cription, t. IV, p. 151.
Duero y Minho (Entre , province de
Portugal), t. XLVI,p. 186.
D»fo (ville de l'Yarriba , Guinée).
Animaux domestiques , tom. XXX,
p. 74
Dunâat (tie, Nouveau-Cornouaillc,
Amérique septentrionale). Nommée
par Vancouver, t. XIV, p. 434.
DuPERRET. Sou voyage autour du
monde, t. XVIII, p. 109. — Dé-
couvre l'tle Clermont-Tonnerre , 138.
— L'île Lostange, 140. — Découvre
les Iles qui portent son nom, 178. —
Découvre l'île d'UrviUe, 179.
Duptrrey (îles de la Polynésie). Dé-
couvertes par Duperrey, t, XVIII,
p. 178. — Habitans, vétemens, ta-
touages, lèpre, 197.
DuperMf (Iles de la Malaiaie). Nom-
mées par Laplacc, t. XVIII, p. 451.
Durion. Description do ce fruit de
l'îlede Java, t. VU, p. 71.
Durour (ile de , Australie). Décou-
verte par Carteret,t. III, p. |63.
Duskx (baie de la Nouvelle-Zé-
lande). Décrite par Cook : environs
sauvages, forêts impénétrables, ar-
bres, arbustes , sol, cinq espèces de
canards et autres oiseaux, insectes
malfaisans, habitans, t. VII, p. 276
et suiv, — Incontinence des femmes,
321. — Est probablement la baie des
Assassins, découverte par Tasman ,
IX, 35 — Pays voisin. Plantes ,
XIV, 52,55.
Dxroë (île de la Norwége). Ses
montagnes remarquables, t. XLV,
p. 171, 172.
%
Ebo* (ville et pays de la Guinée
supérieure). Environs. Jolies maisons,
t. XXX, p. 433. — Palais du roi.
Statues, 434, 441. — Costume de
rois, 436 , 444. — Habitans , 439. —
Importance commerciale, 440, 452.
— Le roi rançonne les frères Lander,
444 , 447, 45|. — Les certificats euro-
péens , 445. — Inhospitalité. Vin de
palmier. Réunions des habitans , 450.
— Figure. Espèce de tatouage, 452.
— Soins des femmes pour leurs dents,
459. — Exorcisme du roi , 466.
Eaarowa. Voy. Middelbourg.
Echiquitr (archipel de l'Australie).
Nommé par Bougain ville, t. IV, p. 320.
— Kst le même que celui des Mille-
Iles, XIII, 214, note.
Eeottais, Leur caractère comparé à
celui des Anglais et des Irlandais,
t. XLVI , p. 273 et suivantes. Écossais
des plaines et des montagnes, 276. —
Sont d'opiniâtres argumentateurs ,
287.
Edgcomb (ile du Lord- , groupe de
la Reine-Charlotte). Découverte par
Carleret, t. III, p. 134. — Est la
même que l'île Ourry, et doit être ap-
pelée Touboua , XVIII , 385.
Edimbourg (capitale de l'Ecosse).
Le tràne d'Arthur, t. XLVI, p. 283.
— • Environs. Aspect du golfe. Ses îles,
284. — Holy-Rood , 285, 286. - An-
cienne et nouvelle ville. Édifices ,
285. —La rue^High'Srreet. "Maisou de
Knox, 286. — Commerce. Culture
des lettres. Réunions. Détails sur les
dames d'Edimbourg, 287.
Edouard (îles du Prince-, au sud de
l'Afrique). Découvertes par Marion ,
no imées par Cook , t. IX , p. 184.
EoWARos. Découvre l'île - lagune
dcLord-Ducie; les îles deLord-Hood,
Carysfort, t. XTII, p. 419. -- Arrête
à Taïti une partie de l'équipage ré-
volté de Bligh , 420 et suiv. — Dé-
couvre les îles du Duc -d'York, du
Duc-de-Clarence, Chatam , Otutuelah ,
425. — Les îles Howe , Granville ,
Mitr?, Cherry, Pitt (Vanikoro) , 427.
— Son naufrage ; se sauve sur la
chaloupe , 428. — Découvre les îles
Plumb, Laforey, Hawkesbury, 430.
— Arrive h. Timor, 432.
Eetcho (ville de l'Yarriba , Guinée).
Célèbre marché. Denrées. Taxes ,
t. XXX, p. 96.
Egas (ville du Brésil). Les Brancos.
Cannibalisme , t. XLII, p. 56. —-Qua-
drupèdes, serpcns immenses, oiseaux ,
ô8. — Population. Maisons. Indus-
trie, 60.
368
TABLE GÉNÉRALE
Egga fnlle de l'Yarriba). Impor-
Unt marcué, t. XXX, p. 62. — Ren-
feignemens sur cette ville, 366. —
Etendue. Canots, 360. — Popula-
tion. Sol. Productions. Hyènes , 362.
r— Curiosité des Liibitans , 364 , 368.
-~ Hues. Étoffes, 368.
^/^/^«^{«(villeduZeg-Zeg, Soudan),
t.XXVIII, p. 265
Egmont (Ile d', archipel Dange-
reux '. Découverte par Wallis , t. II(,
p. 302. — Productions, XIX, lf>2,
t63.- Naturels, 164.
Egypt*. Foyagt it Foluty^ t. XXII,
p. 215. - Aspect du pays, 222, 303.
—Sol, 225 , 243 , 303, 306. — Car-
rières , 226 , 347. — Lacs de Natron ,
226- — ' Vents et leurs phénomènes ,
rosées, 230. — Vent chaud ou kam-
sin , 234. — Climat. Air, 239. — Ba-
ces d'habitans , 243. — Etat politique,
259 , 266, 304. — État du peuple ,
261. — État des arts, des esprits, du
commerce, 270. — Caravanes, 272,
278. — Du projet de couper l'isthme
de Suez, 274. — Ville de Suei , 279.
— Douanes, impôts, 281. — Com-
merce des Franc» , 283. — Popula-
tion , 288. — Maladies : perte de la
▼ne extrêmement iVéquente. Causes ,
290. — Petite vérole, et autres maux,
294. — Bains chauds, 297. — Peste,
300. — Le pays n'est peint pitto-
resque, aussi il manque de poètes ,
306. — Ruines et pyramides , 309. —
Exp/diiionfrançaitt. Événemens mili-
taires, 320. — Objet schiutifique, 331.
— Division des travaux , 333. —
Avantages sur les voyageurs anciens ,
340. — Température dei'Égypte. Sé-
cheresse. Bosées, 353, 376. — Popu-
lation. Races d'habitans , 356. — Es-
claves noirs, 363. — Gouvernement
despotique des Turcs, 366. —' Mab-
dies , 375. — Productions , 402. —
Harems, 406. — Lois sur les es-
claves, l'usure, l'adultère, le vol,
413. — Catacombes, 430. — Histo-
rique du commerce avec l'Europe «t
l'Inde. Canal de jonction, 456. —
Vopif^e de Bruce. Animaux , XXIIl ,
63, 72. ~ Sol, 64. — Pyramides
d'argile de Metrahenny, 71. — Atha,
77. — Productions. Cannes à sucre ,
78. — Ruines d'Asmounein, 82. —
Monfalout, 84. — Siout, 85. —
Denderah, Diopolis-Parva , 87. —
Furshour, 89. — Buines deLouxor,
de Carnac, 91 . — Buines d'Esné , 9^.
— Travaux des géomètres grecs, 96.
— Birambar, 103. — Legeta, 104
Marbres, 105,107, 109. —Port de
Koseir, 112. — Bel arbuste. Son
utilité pour les femmes, XXXI , 343.
— ^ Exphcations de l'usnge des cham-
bres des pyramides , XXX( V , 2Z6 ,
note. — • Voy. Alesamiri* , Arabes , le
Caire, capitale; Copttt,F*UohtMaremi,
Mamloukt, Rosette, SjreHn", Tkibet,
Egyptiens. Leurs premières naviga-
tions, 1. 1 , p. 2. — Étaient éloignés
des entreprises maritimes. Sésostris
triomphe de leurs préjugés, 3. — Ac-
croissement de leur marine , ibid. —
Intéressés à ce que l'établissement des
Portugais dans l'Inde ne réusiitt pas ,
90 , 99. — Sont soumis par les Turcs
qui s'opposent aux progrès des Por-
tugais dans l'Inde ,110. — État poli-
tique, XXII, 259,261,266,304.—
Maladies, 290, 294, 375. — ^l-
sence de poésie, 306. — Apathie ap-
parente , 365. — Imagination , 367.
— Passe-temps, 367, 369. — Res-
pect pour les vieillards , 371. —
Mœurs et usages, 371 , 372 , 405,
410. -r— Musique , 373. — Mœurs et
occupations des femmes de diverses
classes, 377 et suiv. — . Mariages.
Leur célébration, 382, 390 à 397. —
Occupations de la mère, 384. — Mom
donné a l'enfant. Sa circoncision , son
éducation, 386. — Facilité du di-
vorce , 397. — ■ Frugalité. Nourriture.
Cuisine, 400, 403. — Vétemens , or-
nemens, 404. — Vie ordinaire , 405,
410. — Harems, 406. — Vie des
Égyptiennes, 407 et suiv. — Saints,
409. — Jeux, 411. — Respect pour
les morts , 412 , 432. — Les femmes
se teignent la paume des mains , la
plante des pieds , etc. , XXXI , 343 ,
544. — Pèlerinage à la Mecque,
XXXII, 1U2. — Deuil des femmes,
329.
Eilden (province du Nordenfields ,
Norwége) , t. XLV, p. 108.
Eimeo { tle de l'archipel de la Société).
A deux bons havres, t. X, p. 170. —
Cook décrit la personne du chef qui
lui rend visite, 175- — Prodnctious,
aspect, sol de l'île, 175.
DES MATIERES.
359
EiiiiMi-K*x ( vUlage de Perw).
Eninet antiques, t. XXXV, p. 125.
El-Araoua* (ville des Tuariks , Sa-
liara ). Commerce. Rues. Maisons.
Puits des environs , t. XXIX ^ p. 414,
416.
El'iourt (mont de la chaîne du Cau-
case). Origine volcanique, t. XXXV,
p. SI. — Ses hrancheit , 93. — Lieu
du meurtre de Darius, 127. —
Ruines antiques, 127, 130. — As-
pect de montagnes, 131. — Mines de
turquoises, 193. — Montons sau-
vages, 196' — Passe dangereuse,
204 — Belle vallée de Tilar, 324. —
Détroit par lequel Alexandre pour-
suivit Darius , 325. — Aspect , XLIV,
448.
El'Drah (contrée du Maroc). Pro-
ductions. Charrue, t. XXIX , p. 423.
f/^AiA(a(ile, cAtedeConcan) Sol.
Buis. Énorme éléphant de pierre,
t. XXXYI, p. 407. — Célèbre caverne
cruciforme. Sculptures de la mytho-
logie hindoue. Représentation de la
Triuité, 408. 410
Eltpluun. Leur chasse en Afrique ,
t. XXV, p. 307; XXIX, 314 et suiv.;
XXX , 273. — Kléphants blancs ,
XXXIV, 160 à 281.
Eléphant marin. Est le même que
le lion marin , t. XXI , p. 216. —>
Description de son corps , de ses
moeurs, XX , 49 et suiv. ; XXI, 262
et suiv.
Eléphant ( pointe du détroit de Kot-
zebue). Nommée par Beechey . Couches
de glace sur les montagnes , t. XIX,
p. 249 —Habitations, 251.
EUpkantine {\\e da Mil). Sa beauté,
t. XXII, p. 450.
Elf-Kartebx (port de la Suède),
t. XLV, p. 334.
ff-fî/ime/i (ville de Syrie),t. XXXII,
p. 428.
El-Farib (ville du Maroc). Com-
merce. Costume. Religion. Travaux
des femmes, t. XXIX, p 422.
Elitabeih ( Ile , Polynésie). Etendue.
Aspect. Rochers. Sol. Productions ,
t. XIX, p. 20,21.
EUsahéthides (Iles, Polynésie , côtes
d'Amer, septentrionale). Découverte»
par Drake, 1. 1, p. 179.
Elseneur ( ville du Daoemarck ) ,
t XLVI , p. 288.
i
El ton ( bat* , Amérique russe
Nommée par Beechey , t. XIX , p. 271
Et<;n (Ue de la Nor/vége), t. XLV,
p. 114.
£'/H<a<0' (ville du liedjaz, Arabie).,
EiLux, thermales. Forêts de dattiers.
Ermite grec, t. XXXII, p 374.
El-ffata (ville du Niffé, Guinée).
Hautes fourmilières , t. XXVI II ,
p. 189.
Emadou (ville de ITarriba, Guinée),
t. XXVIIL
126.
Emfrai (ville du Gondar, Abyssinie).
Aspect. Maisons, t. XXIII, p. 388.
Endtavour (rivière ,. Nouvelle-Gallea
méridionale , Nouvelle • Hollande ).
Cook y fait radouber son vaisseau
(^l' Endtavour) et lui donne son nom ,
t. VI, p. 286, 332. — Ses habiuns,
310. — Leurs pirogues et leurs armes,
315. •>- Description de la rivière on
baie : animaux, arbres, 332.
Endtavour (détroit del', nord de la
Nouvelle - Hollande ). Nommé par
Cook, t. VI, p. 371.
Enfant-Ptrdu (Ile de F, Polynésie).
Découverte par Bongainville , t. IX ,
p. 265.
Enganki (province de la Gninée.
supérieure) , t. XXX , p. 224, et suiv.
— ' Garnacisa. Cours souterrain dn
Niger, 225.
Enikalt. Voy. Yt-nikatt.
EifTRECASTBAUx (d'). Préliminaire»
et résumé de soc voyage à la recher-
che de La Pérouse, t. XV, p. 1. —
Nomme le port dn Nord à la terre de
Yan-Diémen, 18, — Découvre le ca-
nal qui porte son nom, 25 et suiv. —
Reconnaît la côte occidentale de la
Nouvelle-Calédonie et ses i-écifs , 35
et suiv. — Les Iles de la Trésorerie ,
Choiseul , Rougainville, Bouka, 42 et
suiv. — Les iles de l'Amirauté, 52
et suiv. — Nomme l'Ile Saint-Alouarn,
89. — Séjourne à la terre de Nuyts , -«
y nomme la baie de l'Espérance , 92.
—Nomme l'archipel de la Recherche,
le groupe de l'Est, 101. — A une en-
trevue avec les naturels de la terre de
Van-Diémen , et décrit leurs mœurs ,
110. — Découvre l'ile Raoul, 144.
Séjourne à Tonga-Tabou, 145 à 170.
— Cherche les traces de La Pérouse,
170 , 229, 233. — Découvre les Iles
Beaupré , 190. — Ses gens sont att%-
m)
TAHLE GÉNI^:RaLE
qiiés à la NonveUe-CHlédonie , 196.
— Découvre l'Ile de la Recherche,
224. — Recoiinait l'urrhipel Snlo-
iiion, 257. — Partie «le la Lousiade,
2.51. — Y découvre les Iles Jiiricn ot
Trobriand , 266. — Reconnaît en
partie la Nouvelle-BretiiRne, 272.—
DécouTre l'Ile Mérite, 273. — Le» Iles
Française, Villauraez , Raoul , Gric-
quel,' 274. — l'Ile du Portail. 276.—
Est attaqué du scorbut, 279. —
Meurt, 283. — Son éloge. Ses ser-
vices, 284. Voy. d'Auiibeau.
Entrteat'.taus (canal de d', terre
dnVan-Diémen). Découvert par d'En-
trrcasteaux, t. XV, p. 25 et suiv.
Eooa. Voy. Middelbourg.
Epreuret. En usage cliez lesjalofs,
l. XXII, p. 46. — Épreuves des dispo-
kitinns d'une personne, XXV 111, 282.
.— De l'accusé de vol à Achanti, 426'
— Épreuves par l'eau et par les cier-
f;ps dans l'empire birnian , XXXIV,
468. — I^j>reuve du feu on Perse,
XXXV, 124. — Décision d'un cas dou-
teux par l'ouverture du Knran, 158.
Epltite (ville de l'Anatolie, Turquie
d'Asie), t.XLVI,p.99.
Epidauri (ville de la Gpèce). Ses
mines, XLIV, 304, 312.
Ertgup (groupe, Iles Radack). Dé-
rouvert par Kotzebue. Entrevues in-
téressantes avec les naturels, t. XVII,
p. 166 à 178. — Son étendue, 181.
Erekli (ville de la Turquie d'Eu-
rope). Maisons, port, environs, tom.
XLIV, p. 29.
friV (canal des Etats-Unis). Paque-
bots, t. XXXIX, p. 40. — Activité de»
communications, p. 46. — Chutes de
Trenton. 51.— Villages, 52, 64. —
]''.xtrnordinaire accrois<iement du vil-
lage de Rochcster , 61 et suiv, —
Écluses remarquables, 64 — Lon-
gueur, écluses, coût du canal, 65. —
.Ses communications, 78; XLI, 267.
Erié (lac du Cauada). .Sa glace,
XXXIX, 77. —Rivière Grand. — Es-
siis de défricbemens, 80. — Aspect
du lac, 81. — Traces du déluge, 206.
Etivan ( ville et province d'Armé-
nie, Turquie d'Asie;. Situation. For-
tprcsse, t XXXI, p. 202. — Églises.
Climat. Lac. rélcfirc monastère. —
Mont Ararat, 204..
Ermites (île des, Australie), Pioui-
mée par Maurelle, t. XIII, p. 216.
— Ont été découvertes par Bougiiin-
ville, t. XV, 63. — Bel aspect , 03 —
Naturels, 64.
Erromango ( Ile des Nouvelles-Hé-
brides). Decouyerte parCouk, t. VIII,
p. 377.— Son gisement, sa circon-
férence , 425.
Erronam (Nouvelles - Hébrides]
f. VIII, p. 377,379.
Eiolavei (c6te des, Guinée supé-
rieure), Dadagry, t. XXVIII, p. 281 ;
XXX, 6 et suiv. — Animaux, 7. —
Wow. Crânes humains servant d'or-
nrnicns, 35. — Denrées. Sagbu, ca-
ractères magiques, 36. — Ville de
Bidjie, 37, 39, 40.
Eshilsluna (ville de la Sudermanic,
Suède), t. XLV,p.25.
Etné ( ville de la Hautc-Égypte ).
Ruines,t. XXIII, p. 92.
Espagne (voyage dans l'intérieur),
t. XLVI, p. 162 et suiv. — La Ca-
talogne , 162 et suiv. — Province de
Grenade, 166 et suiv. — De Mur-
cie , 1 70 et suiv. — Castille-Nouvellç,
171, 174etsuiv.— Biscaye. La Vieille-
Castille, 172. — Province de Léon ,
173. — L'Aragon, 174. — Province
de Valence, 176, 184. — Manrl.e,
Andalousie , 177. •— Malpropreté des
£!ï|)agnoh. Abondance de vermine,
179, 180. — Ignorance des arts mé-
caniques, de l'industrie, etc, 180. —
Leurs Mœurs , leur caractère , leur
teint. Détails sur les Espagnoles, 182.
— Les amans en titre. Éducation.
Danses, 183.
Espérance (Ile de 1' , PolynésieVDé-
couverte par Le Maire, t. I, p. oOO.
Espérance (baie de l', terre de
Nnyts). Nommée par d'Entreeas-
teaux. Sa description, t. XV, p. 92.
— Productions, animaux, 100.
Esquimaux de l'ouest (tribus de l'A-
niérique russe). Entrevues avec eux,
leur figure, ornemeus de leurs lèvres,
Uiiage dn tabac , nourriture , etc. ,
t. XVIT, p. 81 à 104. — Ornement
labial, XIX, 241. — Pelleteries. Us-
tcnsiles. Sculptures. Armes , 242 —
Figure. Canots recouverts. Habita-
tions, 251. — Figure, vétcmcns, etc.,
255 — Ornemcns. Huttes, 2ii4, 265.
— Vie errante. Fiicilité d'établir une
nouvelle demeure, 272- > — Clochettes
DES MATiÈRËS.
901
Miiis lei vétcmen*, 274. — l'ipe ccim-
mune à toute la famille, 275. >— Ar-
mes. Ornemens, Huttes. 449. — Rap-
ports avec d'autres trinus. Sont un
peuple pêflicur, 462- — Huttes. Vil-
Inges gurdés pur les femmes durant
la !<aisovde la péclie, 464. — Occu-
ltations de l'hiver. Religion, Figure.
Caractère, 464. — Hoipilalité. IJsage
dn tubac. Urnemens , 468. — Amu-
semens. Industrie. Langue, 470.
Etquimaux de l'egt ou dei terres
Je Baffln, de Boothia, du Groenland,
du Labrador, de la presqu'île Melville.
Des terres de Baffîn et de Bootbia :
villages. Huttes de glace. Tentes. Tn-
térieur, t. XL, p. iv, v, 87, 101, 363,
3G6, 450. — Entrevues avec eux , 5 et
Miiv. , 81, 87, 93, 103 et suiv. , 154
et sniv. , 162, 172, 196, 360. — Véte-
mens, 82, 85, 365. 404. — Cannes,
couteaux , 331 , 368 , 404. — Taille ,
«giire, 85, 363, 403, 445. — Figure
et vêtement des femmes, 89, 97, 366.
— Chasse au renne , 90. — Fiançail-
les , 95. — Danses , 98. — Voracité,
115, 127, 165. — Traîneaux faits
avec des poissons gelés et autres corps,
105, 195, 423. — Opinion sur le vol,
110. — Superstitions, 115, 413, 417.
460. — Chusse au bœuf musqué, 121.
— Magasin de provisions, 124, 129.
— Détails sur l'état civil, 126. — Sin-
guliers usages matrimoniaux , 133. —
Kcmédc aux maux de dents , 141. —
Kcliange de femmes, 158, 174. — Gu-
lieux détails sur le mariage , 173. —
Pèches. 178, 199, 415. — Réflexions
sur le sort des Esquimaux, 195. — Leur
galiinterie, 196. -r- Nourriture, 368,
416, 424. — t:anots, 367. — Chiens,
368, 423, 434, 452. — Disposition au
vol, 380, 405, 454.
Esquimaux du Groenland. Hutte de
glace, t. XL, p. iv, v. — Entrevues
avec eux, 5 à 16. — Saints, 10. —
Traîneaux ,14. — Nourriture , danses,
15. — Chasse de l'ours, 254.
Esquimaux du Labrador. Haj^aks (ca-
nots d'hommes ), t. XL, p. 377. — •
Oumiakt (bateaux de femmes), 378,
381.— Dispositions au vol. Voracité,
379.— Trait de mœurs, 380.— Jouets,
ornemens , 382.
Esquimaux de la presqu'île Melleville
et des lies adjacentes, Êntrerues avec
eux, t. XL, p. 402, 409, 424. —
Taille, figure, formes, 403, 445. —
Tentes, M,4\{), 422, 450. - Dis-
]>ositions un vol. 405, 4.>4. — Chants,
410, 411, 415, 434. — Sorciers,
413, 417, 460. — Dépècement de
veaux marins, tombeaux, 416. —
Manière de mesurer le temps, 419. —
Chasse au walruB, 421. —Manque de
respect pour les morts, 423. — Chiens,
423, 434, 452. — Hospitalité singu-
lière, 424. —Danses, 425. — Funé-
railles, 430 , 433, 460. — Doutes sur
une barbare coutume, 431. — Che-
velure, 446. — Vétemcns, ornemens,
447, 448, 449. - Tatouage , 449. —
Ustensiles, .irmcs, 450, 451. — Leurs
voyages, 451. — Hospitalité, état des
femmes , 455. — RelAcliement des
mœurs , 456. — Fréquence de l'adop-
tion , vieillesse peu respectée. — Ab-
sence de chefs , 457. -^ Divertisse-
mens, 458. — Famines, 459. — Et.it
des idées religieuses , 460.
Esiequibo (rivière de lu Guiaue an-
glaise). Ses bords, leurs animaux,
leurs arbres, t. XLl, p. 193, 195,
261. - Cataractes, 196, 260, 265.—
Belles montagnes, beaux oiseaux,
197.— Caïmans, 262.
'Est (groupe de 1', côte de la terre
de Nuyts), Nommé par d'Entrecas-
tennx, t. XV,p.l01.
Estaing ( baie d' , Ile Ségalien , mer
du Japon ). Nommée par La Pérouse,
t. xn , p. 378. — Naturels, 378. —
Cirque , productions , 380.
Éstramadure ( province du Portu-
gal), t. XLVI, p. 186. — Lisbonne,
188.
Estrella (port du Brésil). Belle
route , t. XLII , p. 323. — Bel aspect
des environs. Le Tillagc indien , 324.
Etals-Unis (rép. de l'Amer, sept.).
Gouvernement, t. XXXVIII, p. 26.
— Constitution , 28. — Progrès de la
population, 386. — École militaire
de West-Point, XXXIX, 33. — Mi-
lice nationale, 37. — Traits caracté-
ristiques des habitans, 41. —Leur
présomption, 42. — Absence de pos-
tes. Extraordinaires (voitures), 45.
— Domestiques, 50, 403.— Général
usage de la glace, 51. — Indiens, 53,
347 et suiv. — Réprobation des-nègros,
57.^Baretédes sonnettes , 58. — Cler-
3B2
TABLE GÉNÉRALE
gé, 60) 410.— Extraordinaire accroin*
nemeot de villet , 61 et «iiiv. , 881 ,
399. — Toilette, 66. — D^boucliés
de» marchandises jusqu'ii l'Océan ,77
et »niv. — Lac» divers ,114. — Sour-
ce* de Saratoga , 1 15. — GouTerne*
ment, 119. — Hage électorale, 128
et «uiT. — Ravage» de l'excès des
linneuri fartes, 138. — UnitairiHni»mo,
146. — Commerce de glure, lâO. —
Marin», 160.— E»prit mercaatile,
positif et égoiite de» uummes. Délais-
sement des femmes, 162, 300, 400,
406 , 420, 425 , 440, 449. — Déplo.
rable état de l'éducation publique,
168 il 171. — Esquisse du gouver-
nement, 181 et suiv. Voy. ffaihing-
ton ). — • Pouvoir législatif : chambre»
des reprcsentans , 181. — Sénat,
182, 189. — Congre», 181 et »uiv.,
201, 202. — Pouvoir exécutif.
Election du président, 186 à 195. —
Ses droits, 195.^ Ses devoirs , 196.
lies États-Unis sont une démocratie
plus qu'une république, 198. -— Di-
verses influences de 1 esprit démocra-
tique, 204.— Trace du déluge , 206.
— De la librairie , 219. — Tombe de
Franklin, 220. — Dégradation de»
aentimens, 221.
Chaussure en
gomme élastique, 224. — ■ Le Ches-
terfield américain , 231 . — Sale» ha-
bitude», 231, 430. — Système judi-
ciaire , 232. — Cour suprême , 233 ,
240. — FHne»tes effets d'un prin-
cipe radical en matière judiciaire,
236 et suiv. — Juges, 238. — Compo-
sition du tribunal, 239. —Appels,
240. — Ridicules exigences et sus-
ceptibilités républicaines , 245 , 403.
— Ventes d'esclaves aux enchères,
263 à 270, 296. — Canards du Poto-
mac , 270. — Tyrannie contre les
nègres, 276. — La loi défend l'af-
franchissement, 289. — Faiblesse
des seatimpDs d'amour paternel et
filial , 303 , 304. — Rizières , 310. —
Culture du riz, 316. — État intellec-
tuel des nègres. Commerce intérieur
dont ils sont l'objet, 318, 320. —
culture et préparation du coton, 326
et suiv. — Tâche des esclaves , 329.
— Leur nourriture, 330. — Leurs
vétcmens , 331. •— Aspect d'une ville
nouvelle, 341. — Mieux traités dans
l'intérieur, 342. — Loterie de terre»,
343. — Embryon d'nne ville dans les
forêt», 345. — Climat, 367. — Le»
squatters , 372. — Radeaux, 370, —
Mariage» prématuré» , 404, 419
Le ravifmint, 411. — • Sort des
paysans , 418. — Absence de charité,
420. — Fierté de» pauvres , 421.
Condition de la femme, 440 à 413. —
Cuisine. Mets, 444. 446. — Costume,
447. — Formes physiques , 448. —
Cupidité des habitans, 449. — Voi-
tures, l'A. — • Littérature sans noblesse,
450. —Beaux-arts, 451. — Mohlente
abolie. Loi sur les religions, XLII,
427. — • Voy, Alabama , CaroliMt ,
Colombia, Crttkt, Indiens ; f/anV/*,
G/orgi», lUinoii , Indiaita , Kentukjr ,
Louitiant^ Maryland , Mastackutulis ,
N*»-York , Pensylvani* f firginii ,
R^athington, capitale.
£'a-Ao (riv. de Chine). Tombeaux.
—Convoi funèbre, t. XXXIII, p 384,
385. — Cadavre» flottan» , 385. —
Ville de Sang-Yuen. Café de» aveu'
gle», 388. -Ville de YouFang, 389.
— 390.
Europe, Supériorité de ses races
sur celle» de l'Asie , t. XXXI , 23.
Historique de ses relations avec l'Asie,
35 et suiv, — Diverses opinions des
Asiatique» sur l'Europe, XXXVII,
131 et suiv. — Différence d'habituden
d'avec les Turcs , XLIV, 53. — Coofi-
Îuration. Caractère particulier, XLVI,
et suiv. — Mont.ignes , 2. — Pro»
ductions , 2 , 54 , 56. — Miues , 2,
38. — Quadrupède», 2, 57. — Sa
supériorité intellectuelle et indus-
trielle , 3. — Bornes , 4. — Poiuts
extrêmes, 5.— -Superficie. Etats, 6. —
Golfes. Mers , leurs limites , leurs
niveaux, leur» marée», leurs surfaces,
etc., 7 à 13. — Lacs, 13, 14. — As-
pérités du sol ,15. — Orographie, 16
et suiv. — Aspect général , état des
monts, 16 à 21. — Sept principaux
massifs et leurs groupes : massif alpi-
que, 21, 24, 27 à 36. V. Alpe;
Massif sardo-corse. Massif taurique,
22. — Mas!>if sarmatique. Massif
britannique. Massif scandinavique,
Massif hespérique,23. — L'Hcraus, les
Carpathes , 38. — L'Oural, le Wal-
dai , 40. — Hauteurs des principaux
points , 42 à 46. — Système hespé-
rique, 42. — Système gallo-franci»
DES MATIÈRES.
303
que et «Inique , 43 , 44. — ■ Système
tlaTO-beUénimie , «aqiathien et «can-
diuarique, 45. —Système britanni-
que , 49. — Bassins , fleuves , 46 et
suiT. — De l'océan Glanial , 46. —
Ue la Baltique. De la mer du Nord,
47. — De l'Atlantique , 48. — De la
Méditerranée, 49. —" De la mer
Noire ; de la mer Caspienne , 50, —
Climat ,51.— Pliénomincs généraux,
52. — Mas»e des eaux jtluviales , 53.
— Sol, atmosphère, 54. — Végé-
taux et leurs régions, 55. — Puys à
lait, payn à liuile, 56. — Arbres
fruitiers, 56. — Règne animal , 57.
—I Familles de peuples , 58 , m. —
Religions, 60.61. ^Guuvernemens,
63, 67. — De l'équilibre, 63 — Po-
pulation totale et des divers Etats.
Sou augmentation , 64 à 66. — Cbro-
nolugie de l'origine des Etats , 67. —
Voyages dans l'intérieur , xvi* siè-
cle. Montaigne, 60.— Busbeck , 71.
— XVII* siècle : Regnard, 72. —
Scbeffer, 75.— Ricaulr, 76. — xviii*
siècle : Labat, 76. — Andorson. Troïl ,
77. — John Moore , 81 . — Mauper-
tuis, 82. — Lady Montagne, 82. —
Cboiseul-Goufifier,02.— Porter, 100.
Swinburne, 161. — Peyrou, 169. —
Bourgoing, 172. — Fischer , 170. —
Murphy, 185. — Linck, 188. —
PiUti, 190. — Riedesel, 195. —
Si-Sauveur, 108. — Ponqueville, 206.
— Lacour, 210. — xix« siècle. 216.
— Marcel de Serres, 217. — Vialla ,
240. — Mimaut , 255. — A. Mun-
témont, 260. — Picbot, 278. —
Dauroont, 288. — Twining, 296.
Evang^tiitu, Ilots près la Terre
de Feu , t. IV, p. 194.
Evéqu» d'Omabruek (Ile de 1', Poly-
nésie). Découverte par Carteret, t. III,
p. m.
Faeardini (Ilots des quatre , Poly-
nésie). Découverts par Bongainville ,
t. IV, p. 200.
Fa'aba ( capitale du Sonlimana ,
Guinée). Jeux militaires, t. XXVIII,
p. 8, 81 à 89. — Chants de guerre
dialogues , 84. — Serpent apprivoisé ,
92. — Tributs au roi. Cérémonies de
l'acquittement de l'un deux, 93 et
Kiiiv. — Latitude. Dévotions du roi ,
99.
Falklattd • ouest ( Ile, Malonïnes).
Étendue. Abonde en gibier, t. XYIII,
p. 117. — Étendue, n'a plus autant
de gibier, XXI , 242. 245.
Falkland'est (Ile, Malouines). Plus
petite que Falkland- ouest, t. XXI,
p. 243.
FaUo (baie, colonie du cap de
Bonne-Espérance). Étendue. Maga-
Mus de la (Compagnie. Poisson ,
t. XXIV, p. 44.
Famini (port du détroit de Magel-
lan). Sa description et celle de la
câte adjacente, t. II, p. 404. -~ Une
coiouie des Espagnols n'y prospère
pas. Ses productions, III, 278.
Fanadik (tie, archipel des Caro-
Unes). Productions. Naturels , t. XX,
p. 228.
Faniroet (ville du Haoussa, Sou«
dan),t. XXVII,p. 395.
FARNiiro. Sea voyages dans le*
mers du sud, t. XXI, p. 449. —
Découvre les Iles Washington , 450.
— - Du mont Pisgah, 452. — De PaU*
mer, des Princes, de Willey, de
Nuèl,454ot455.
FanniHg (Ile»), Nommées par Fan-
ning, sont les Iles Shetland du sud,
t. XXI , p. 452.
Fa ning (lie , Polynésie), t. XVIII,
p. 390.
Fanti (État delà Guinée). Etendue.
Religion, t. XXVIIl , p. 380. — Ha-
billement. Usages. Aspect du pays,
382. — Toilette. Cannibalisme , 384.
Fartis'an (province de la Perse).
Voyage dans le pays, t. XXXV, p. 16
et sniv, — Tribus de vagabonds ,
26 , Û\. — Ses qualités , 39. — Pro-
ductions , 43, 45. — Voy. Deehtiitan ,
Schiraz,
FatUcondx (capitale du Bondoi^,
Sénégambie). Maison du roi , t. XXV,
p. 72, 73. — Son harem, 76.
/Vya/ ( lie de» Adores). Découverte
par les Flamands, t. IX, p. 157. —
Sou étendue, ses productions, 158;
XX, 443.
au 4
TABLK 6li:Nf:RALR
FuytttifiHi ( Tille de la Cernliue
du nnrd, IttiitiUDit) , toin. XXXrx,
P. 288. — Uiglanders de» «nvironi ,
289.
/>*/«• (Ile de l'arrliipcl de* Ami»),
tton ginement. Ses luliitan» «ont re>
doutables pour leur* Toiniui , t. X ,
St. 47. — II* «ont antliropopbage* ,
18. — Leur induitrie, 40.
Ftlataht (habitaus du Ilouasa , Sou-
dan). Couleur. Rcliginri , t. XXVII ,
P' 146. — Combat. Victoire »i)r les
Arabes et les Mandarieus , 159 et
suiv. — Musfeia , UiskulU , 160. —
Armes, 205. — Ressemblance avec
les Marocains, 540. — Figure. Cos-
tume, XXX, 88. — Leurs progrèsdans
l'Yarriba, 108 et suiv. —Jolie» femme»
d'Acbu. Caractère, 115, 118. — Lois
concernant ceux du Bourgou , 145.
— Leur bistoire , 152. — Description
de leur capitale. Voy. Sackatou,
FttJrioh {yille du Tyrol), t. XLV,
p. 406.
Ftilaht. Laboureurs égyptiens ,
maltraités par les Turcs, t. XXII,
C. 245, 269, 369. — Sont eudurcis à
fatigue, 370. — Renlicrcbent la
graisse des animiiux, 403.
F*l9upi (peuple de la Sénégambie).
Leur commerce , t. XXV, p. 24. —
• Religion. Esprit vindicatif, 34.
FtrhaSad (ville du Mazandéran ,
Perse). Autrefois résidence royule ,
t. XXXV, p. 352. — Ruines du pa-
lais de Scbah-Abbas , 353.
Fernambouc (ville du Brésil). Son
origine, t. XXXVIII, p. 341. — As-
5ect. Harre, Population. Climat,
XI, 217. •— Tristesse de l'intérieur.
Rues. Maisons, 218. — Le fort. Le
palais du gouverneur, 219. ■— Collège
des Jésuites. Jolis environs. Produc-
tions. Animaux, 220. — Jeu. Envi-
rons, 222.
Fernando'Noronha ( lie , cAte du
Brésil). Découverte par Améric Ves-
puce, t. IX, p. 155. — Son gouver-
neur portugais. Ses productions,
XVI , 13. — Était nu lieu de dé-
portation du Brésil , XX , 67.
Ftmando-Po (tle , golfe de Guinée).
Aspect, t. XXX, p. 481. — Histo-
rique. Etablissement anglais , 482. —
Huttes , caractère , formes , ornemens ,
vétemeni des naturels , 484 à 488. —
Nourriture, Vin de palmier, 480. —
Kffft» du liarmnltani (veut) , 4',)0,
F*M (ville du Maroc), Situatiou.
Moulin» à eau. Arc de triomitlic. Mui-
Hoiis, Fabrique*, Marché», Moiqiices,
t. XXIX, II. 4^1. — Fortifii'iitiun» .
428.
Ftttan ( Étal de l'Afrique «pplnp-
trionale ). Voynge dau» rinléri<-ur.
Zouyiab , t. XXV, p. 428. — Met» le
Iilu» recherché. Partie cultivée. Nom-
tre do villes, 429. — Climat. Pro-
ductions. Commerce, 430. — <>ou-
verncnient. Population , 432. — U»-
billemcnt. Boissons. Maison». Nourri-
ture, 434' — Voyage dans le piiji,
XXVII, 3 et suiv. , et 44ti nt siiiv. —
Sorkna, 5. — Costume de femme» , ({.
— Noces, 15. — /.pglirem, 20. — Tcs-
souwa , 29. — Voyage dans la vnllée
deCrurby. Productions, 30 a 37. —
Karnik , ol. — Germa, ruine» ro-
maines, 31 , 32. — Oratoires de carn-
pagnc , 34. — Vallée de Siiiati , 59 il
suiv. - Ville neuve, 41 à 43. — < Ver-
recherchés pour la nourriture , 41. —
Traghan. Tapis, 55, 56. — Beauté
des nuits, 57. — Gatrone, 57, 110.
— Kasrowa , 59. Voy. Mowzouk , ca-
pitale ; Teghery,
Ficanii (liorde cafro). Leurs incur-
sions. Sont le» mémos que les Mau-
tatis, t. XXIX, p. 138.
Fidallah (ville du Maroc), t. XXII,
p. 144.
Fidgi ou fiti ( arcb. de la Polyné-
sie). Naturels cannibales, industriels,
t. XV, p. 182. — Détail» sur quel-
ques lies. Figure des naturels, XVIII,
299. — Anthropophagie, Pirogues.
Gouvernement, lleligion, Mariagc.s.
État des femmes. Tatouage, 300. —
Usage» féroce». Ornemens, Monnaie.
Vétemens, 302.
Finlande (prov, delà Russie). Bains
de vapeur, t. XLV, p. 322. — PcUo,
325. — Aspect du pays , 324 . 32C.
— Intérieur des maisons, 325. —
Turtola, 326. — Tornéa, 327. —
Lacs, XLVI, 14. — Arbres frui-
tiers, 56.
FiNLAYSON. Son voyage du Ben-
gale en Siam et en Cochinchioe ,
t. XXXI V , p. 1. — Découverte tic
graines dans le plantain , 92. — Ar-
rivée à Bankok, cap. du Siiim, 122. —
DES M ATI KR ES.
365
Aiidioiice iriiD nnuixtre, ISf, 141.
— ViRite à un piiuitit , 13((, 2(»7, 'ilO.
— N«|{»riiitu)iM inr lu trérénioulHl ,
130, \\1. — L'ambuMiide liont il fait
|Mrtleierpnd jirooeMioDnclleuieiit au
piilni», 143, 147. — Oi»«*oiirii Inliu
d'un ualurel , 145. — Aiidieiiru
rnjrnie , 15:2 à 15i). — Vuite du |ia-
Uin, IfiO à 170' ^ l'ulitique tiaiuoi»«,
17U , 180 il 100. — ■ Autre aiubasaude
liion mifux reçue que celle des An-
^Inii, 100,210. — FinlayMinest mandé
au pillai» pour un cas de clialéra-
moruu», 21U. — Nul grand digui-
Uire ne Titiie l'ambassade, 215. —
Klle n'obtient pas mémo uae visite de
congé, 210. — Arrivée eu Dochin-
rliine, 32U. — Audience du vice-roi
do Saigon , 344 et suiv. — Combat de
tigre et d'éli^phaus , 347. — Rigueurs
l'uutre l'ambassade qui se rend a ta
capitule (Uué), 303, 364, 372. —
Visite au mandarin des élépbiins , 383
et suiv. 437. — Objet de l'umhas-
«ade , 386. — L'audieuce est refusée,
388, 300. — Les prcseus même sont
rejetés, 402. — Visite au Taruon,
424 à 434. — Réglcmens commer-
ciaux, 426 , 430-
Finmark ou Lapante nonr/gitm»
(partie de la Norvège). Attraits pour
lu voyageur, t. XLV, p. 2. — Rapide
végétation, 56. — Extrêmes cba-
leurs , 57. — Bas prix des peaux
d'hermine, 02. — Ëdrodon , 103.
— Est peu habité, 131 , 104. — Les
aubergistes, 132. — Aspect de la
c6to, 133. ~^ Monts Tronen, Lovun-
nen, 134. '— Bois d'Amérique jeté
sur la côte, 177. ~ Grande profon-
deur de l'eau sur la cûte. Protection
qiiR lui prêtent ses nombreuses Iles ,
190, 101. — Voyage le long de la
cAte, 104. — Iles Loppen, 104. —
Absence d'agriculture, 107, — Ile
Soroè, 108 — Qualoë-Seyland, 100.
— Bjornoc ,210. — Roc Uav-Hosten ,
211. — Ile Uavoë , 211. •— Maasoè ,
212 Le cap Nord, 212 et suiv. —
Manque de bois, 214, 215. — Iles
Steplien , 216. — Tableau , résumé
du pays en été et en hiver, 225. —
Limites , 226. — Bateaux , 230. —
Le Lapon du Finmark est le type de
la race ,235. — Troupeaux de rennes,
24-3. — Un hiver dans le pays, 247.
— Voy. H'-mnur/esl . — Pliospliorci-
cence de la mer l'ulnire , '.248. —
Effet prodiiit sur l'horizon par le so-
leil au-dessous. Aurores boréales, 260,
'i84 , 201. — Golfe et district d'Al-
ten , '262. — l^lcureuils , 263. -
Oiseaux, 270 — Observations sai i«
climat du nord , 271. — Détails sur
la vie intérieure des colons, 270 à
284.— Principale nourriture des bes-
tiaux, 284. — Nourriture princiiitiU
des bestiaux, 285. — Fin d'octobre ,
disparition du soleil , 280. — Beauté
de l'hiver du nord , 200. — Voyage
en traîneaux , 206 et suiv. — Pa-
roisse de Kouto-Keino. Son presby-
tère. Son église ,310,311 — Clergé,
312.— Campagne. Mousse des ren-
nes, 315. — Lacs nombreux, 315,
317. — Voy. Laponi du Finmark,
Fischer. Son voyage en Espagne ,
t. XLVI,p. 170.
Flattery (cap , Nouvelle-Galles mé-
ridionale). Nommé et décrit par Cook,
t. VI, p. 340.
FltiH (Ile de la Norwége\ Monts
gigantesques, t. XLV, p. 141. — Dé-
paiwsence des animaux en été , leur
nourriture en hiver, 142. — Sol, 143.
— Édredon, 144.
FUinvor ( Ile de la Norwége ) ,
t. XLV, p. 143.
J''lor»noe (capitale de la Toscane) ,
t. XLVI,p. 265.
Florei (Ile , Açores). Découverte
par les Portugais, t. IX, p. 157. —
XX, 445.
Floride (un des États-Unis). Décou-
verte par Ponce de Léon, t. XXXVIII,
p. 248. — Émigrations et r^toursi
périodiques , XXXIX , 283.
Foa (Ile , groupe Uapace , archipel
des Amis), t. IX, p. 350
Folden ( golfe de lu Norwpge ) ,
t. XLV, p. 115, 158. — Le fameux
gouffre de Maelstrom , 160.
Foosht (Ile , mer Rouge). S(d. Ani-
maux. Habitans. Village , t. XXIII ,
p. 154.
Formate (baie, colonie du cnp de
Bonne - Espérance), t. XXIV, p. 88,
00.
Formate ( île , mer de Chine )
t. XIII, p. 396; XIX, 388.
Fouladou (royaume de Sénégarobie).
Manna. Fruit du nitta , t. XXV ,
360
TABLE GÉNÉRALE
p. 3i6> —Mines d'or. Albioos, 321.
— Tambakounda , 324. -^ Mala-
colla Huttes, 329.
Foulahi (peuples , habitant la Sc-
négarabie et les contrées voisines}.
Figure. Mœurs. Industrie , t. XXII,
p. 48. — Commerce du Vintain ,
XXV, 24. — Religion , 34. — Figure.
Mœurs, 35, 79. — Caractère. Gou-
vernemen:. Industrie, 81. — Emploi
du lait, 82. — Travaux des femmes ,
XXIX, 375. — Villages, 376. -
Costumes. Ornemens , 377. — Carac-
tère. Vêtemens, 383. — Usage du
tabac. Bestiaux, 384.
Fouta-Djallun (pays de la Séné-
gambie , iiabité par les Fonlahs ).
Bornes. Gouvernement. Religion. Cos-
tumes Caractère, t XXVUI.p 300,
et XXIX, 382. — Ville de Yani-
Marou. Costumes. Mobilier, XXVIII ,
302.
Fouta-Toro (pays de la Sénégambie,
habité par les Foulahs. Description
du pays. Bornes. Arbres. Animaux.
Maturelsy Polygamie, tom. XXVllI,
p. 438.
Français, Font la première décou-
verte dans les terres Australes , t. 1 ,
p. 121. — Leurs découvertes eu
Afrique avant le xix* siècle ,XXÏI ,
22. — Leur expédition en Egypte.
Voy. Egypte. — Notice sur leurs
établissemens dans l'Inde , XXXI ,
457. — Ambassade de Louis XIV à
Siam , mieux reçue que celle d'Angle-
terre, XXXIV, 219. Voy. FiirLAYsow.
— Leur influence en Cochinchine
anéantie, 398 et suiv.
Français (port des , Nonveau-Nor-
folk, Amérique septentrionale). Re-
connu et nommé par La Pérouse ,
t. XII, p 159, 160. — Naturels,
leurs poignards, 161. — Nat'irels
apprécient becuconp le fer, 162. —
Loutres de mer, 164. — Naturels
portés au vol, 165, 179, 191. —
Description du port, 167, 170, 183.
— Malheur qui y arrive à La Pérouse,
171 et suiv. — Pèches , 179, 204. —
Moraï on cimetière, 180. — Piro-
gues, 182, 205. — Climat , végéta-
tion, 185. — Végétaux, fruits, pois-
sons, quadrupèdes, oiseaux, rochers,
186. — Grossièreté des naturels ,
leur inriiniition au jeu, 189, 206. —
Leurs arts, 190, 204. — Villages ,
saleté des maisons , meubles , nsten-
siles, chiens, 193. — Ornemens in-
crustés , vêtemens , tatouage , 196.
— Deux opinions sur la beauté des
femmes, VOO. — Description des na-
turels, 201. — Armes, 205. — Lan-
gue, 207. — Figure des naturels,
XIII, 176. — Ornemens incrustés,
177. — Observations générales , vie,
formes physiques , mœurs , gouverne-
ment, unions, traitement des femmes
en couches, 179 à 188.
Françaises (îles , Australie près de
la Nouvelle-Bretagne). Découvertes
par d'Kntrecasteaux, tie Mérite, t. XV,
p. 273,274.
France. Impression que reçoit le
voyageur de ce pays, com]>arée à
celle qu'il éprouve eu Angleterre ,
t. XLVI, p. 279.
Fronce (île de, ou fie Maurice , mer
des Indes). Belles forges, t. IV,
p. 391. — Hahitans, XVIII, 57.-
Langue française est répandue, (.or-
veriiement, 58. — Bel aspect dé k
ville de Port-Louis, 422. — Regret
des Français, 423. — Cascade, Bo-
cages de la campagne, Monumens,
424.
FRANKLiir. Sa tombe à Philadel-
phie, t. XXXIX, p. 220.
Franklin (le capitaine). Ses recher-
ches du pôle Magnétique, t. XL,
p. 183, — Ses voyages aux côtes de
la mer Polaire. Préliminaires, 475.—
2* voyage, 488. — Arrivée au lac
du Grand-Ours, 492. — Arrivée à la
mer Polaire , 494. — Découverte du
cap Bathurst , 495.
Franklin (cap , Amérique russe).
Nommé par Beechey, t. XIX, p. 259.
Fransche-Hoeck (canton du cap de
Bonne-Espérance). Sol. Productions,
t. XXIV, p. 46. — Séjour des des-
cendans des réfugiés français , 239.
— N'ont rien conservé de leur ori-
gine, XXIX , 238. — Description de
la vallée , 239 et suiv.
Frayer. Son voyage dans le Kbo-
rassan, Perse, t. XXXV, p. 1. —
Reçoit audience de l'iman de Mas-
cate , 7. — Passe à Ispahan , 48. —
Séjourne à Téhéran , 53, 91. — Rend
visite à l'ancien ambassadeur d'An-
gleterre, 55. — A un poète lauréat ,
DES MATIÈRES.
367
à Philadcl-
56. — A un gonvernenr, 149. — A
un khan , 198 et suiv. — Séjour a
Mèrlied, capitale du Kkorassan , 207
à 275. — Visite le tombeau d'Aa-
roim-al-Rascbild (216) , 233.—; Rend
visite au vizir, 235. — A de célèbres
dervich?» , 244 et suiv. — Au prinre.
Conversation sur l'astronomie, 248.
— Les Moullabs se révoltent à cause
de son séjour, 253, 258. — Il feint
d'être musulman , 254 , 267. — Re-
çoit la visite d'un meudiaut fort arro-
gant, 268. — Est forcé de renoncer
au voyage de Bockliara, 272. — Rend
visite au vizir de Cotclioun-Soufisme,
285 à 296. — Visite une tribu de
Turcomaos, 310. — Voyage sur les
côtes de la mer Caspienne , 334. —
Visite un prince à Sari , 342. — Vi-
site sa fi'mmc comme médecin , 350.
— Sa captivité. Mauv.iis traitemens
qu'il endure, 309, 371, 386, 393 à
408. — Son voyage aux munts Hima-
laya , 421 . — Arrive aux sources du
Gaage , 493. — S'y baigne , 494.
Freaericksburg f ville de la Virginie,
États-Unis) , t. XXXIX, p. 271.
Freetown (capitale de la colonie de
Serra-Leone, Sénégambie) , t. XXVI II,
p. 376.
Fretwill (îles de , Australie). Dé-
couvertes et décrites par Carteret,
t. III, p. 164 et suiv.
Fremona (village du Tigré). Restes
du couvent des Jésuites , t. XXI II ,
p. 231.
Frères (ile des, Australie). Décou-
verte par Bligli , t. XKI , p. 330.
Freycinkt. Son voyage autour du
monde, t. XVIII, p. 50- — Aborde
à Itio-Janeiro , 52. — A l'Ile-de-
France ,56- — A l'ile Bourbon , à la
Nouvelle-Hollande ,59. — A Timor,
62. — Aux îles Vagag , 75. — Aux
Carolines , 80. — Aux Mariannes , 85.
— Aux Sandwich , 88. — Fait nau-
frage, est receuilli par un navire,
107.
Frobishkr. Ses tentatives ponr
trouver un passage au nord de l'A-
mérique, t. XL, p. xiv.
Frobisher (détroit de , au nord du
Labrador). Découverte par Forbisber,
t. XL , p. XV.
Froides (lies , on lits Marton , océan
Antarctique). Découvertes par Ma-
rion , t. IV, p. 404.
Fuca (entrée ou 'détroit entre l'Ile
de Quadra et Vancouver, et le conti-
nent d'Amérique). Exploration par
Vancouver. Observations, t. XIV,
p. 169 et suiv., 177 et suiv. , \k6.
Fugeloe (île de la Norwége) As-
pect. Manière d'y prendre le piiffin ,
t. XLV, p. 192. — Restes de baleine
sur le sommet du roc , 193. — Aigles
marines. Loutres, 193, 194.
Fu-Koh-, Phu-Kuollt ou Pau-Kok
(ile , golfe de Siam). Aspect. Végéta-
tion, t. XXXIV, p 99, 104. — Pro-
ductions , 100 , 105. — Pêcheurs chi-
nois et cochinchinnois, 100, 102. —
Forme. Ftendue. Maisons, 104. —
Animaux, 105.
Fuliindushie (ville du Cotira , Sou-
dan). Habitans vont tout nus. Leur
saleté, t. XXVIlI,p.255.
Funda (royaume de la Guinée su-
périeure), t XXX, p. 391. — Des-
cription de Damuggoo et de ses habi-
tans , 401 à 413. Voy. ce nom. —
Continence des femmes, 419.
FuRiTEAUX (le capitaine;. Son vais-
seau est séparé de celui de Cook par»
lu tempête, t. VIII, p 102, 109;
IX, 131 — Relation du massacre
de l'équipage de sa chaloupe par les
Zélandais , 135 et suiv. — Cook ap-
prend des naturels des détails sur le
massacre de ses compatriotes , 238 ,
241 , 248
Furshout (ville de la Hante-Egypte),
Situation. Couvent, t. XXIII , p. 89.
Futleh/jour (ville de l'Allahabad,
Hindoustan). Mosquée. Tombes des
environs. Grand caravenserai, tom.
XXXVI, p. 171. — Mendians fliara-
bouts ,172.
Fui lehpour - Sieri (ville de l'Agra,
Hind.). Aspect. Murailles. Ruines mu-
sulmanes, t. XXXVI, p. 296.
Futwa (ville du Behar, Hindoustan).
Beau pont. Ecoles de jurisprudence
et de théologie, t. XXXVI, p. 120.
/
368
TABLE GÉNÉRALE
6
Gafats, Nation da l'Abyssinie ,
t. xxni,p. 331.
C<i<<iM (royaume de la Sénégambie).
Bornes. Climat. Habitans, Gouverne»
ment , t. XXV, p. 82. -- Joag , 84.—
Voyage dans le pays , XXVIII , 353 à
868. •— Tuabo , 3Ô3 , 358. — Assem-
blée des cbefs, 360. —Plaine d'Oury,
355. — Mauvais traitemens des es-
claves, 363, 366. Voy. Hourejr, S*raec
leti.
Gallapagoi (lies , mer du Sud, près
del'Am. mérid.). Découvertes par les
Espagnols, t. I, p. 372. — Énormes
tortues des Iles, 373;n,il6; XIV,
473. — Ces Iles sont d'origine volca-
nique, XVI, 50» 119. — Aventures
extraordinaires de Patrick Watkins,.
51 et suiv. -^Détails sur leurs tortues,
103. — Leurs animaux , 112. — Iles
principales. Signification du nom,
XX , 59. — Éruption d'un volcan ,
85. V. Iles Albermalt , Charlei , Cha-
tam, James, Narborough , Porter,
/Fanam, Yorek.
Galles méridionale ( Nouvelle-, par-
tie est de la Nouv.-Hollande ), lon-
gée, nommée et décrite par Cook.
Noms donnés à plusieurs lieux, t. Vf,
p. 201 à 372. — Les naturels se pei-
gnent le corps et. vont entièrement
nus, 210, 212. — Leurs lances, 215.
— Animaux, arbres, 219, 374, 378.
— Description de Botany-Bay , 229.
— Fourmis vertes de Bustard-Bay ,
leurs nids, 245, 380. — Crabes re-
marquables, 251. — Fourmis blan-
ches , poissons singuliers , 256. —
Description du canal de la Soif, 259.
— Des lies Cumberland, 265. —
Description de la baie Eudeavour,
332. — Description du cap Flattery ,
340. — ' Cook prend possession de la
terre, à qui il donne son nom de
Nouvelle-Oalles méridionale, 368. —
Description particulière du pays,de ses
productions et de ses liahitans, 372 et
s.— ri Untes, 377. — Oiseaux, reptiles,
insectes , 379. — Quatre espèces re-
marquables de fourmis. Description
de leurs habitations , 380 et suiv. —
Poissons, 584. — Habitans peu nom-
breux, quelle peut en être la cause?
385,404. — Leur description , 385 et
suiv., et 4)4. — Leurs ornemcnsdu nez
et antres bijoux , 388. — Sout très
indifférens , 390. — Leurs cabanes ,
391. — Leurs meubles, 393. — Leur
nourriture et leur cuisine, 394. —
Comment ils se procurent le feu,
396 et suiv. — Leurs armes, et ma-
nières de s'en servir, 398. — Piro-
fues, 401. ^ Courans de la c(^te,
06. — Histoire de l'établissement
des Anglais , de ses progrès , de son
état actuel, XVIII, 219 et suiv. —
Religion des habitans. Tatouages,
mutilations , 222. — Habitations, ma-
riages, état . des femmes, couches,
224. — Éducation des enfans. Su-
perstition. Funérailles , 226. — Etat
et usages des habitans blancs , 227 et
suiv. — État de la seconde généra-
tion, 233. — Naturels. Végéta tic^n ,
XXI, 333, 337 —-Lézards, XLIII,
xj. — Configuration et aspect delà
côte, 3, 6, 25 — Montagnes, 4,32,
40. — Rivières, 4, 28, 33, 37, 40,
41. — Division de la colonie par
comté , 20. — Description générale ,
20, 40. — Comté de Cumberland,
20 , 23 , 32, 45 , 83, 175 — Comté
d'Argile , 20 , 34, 45, 177 — Comté
de Bathurst,20, 39, 45, 176, 180.-
Comté de Camden, 20, 22, 31, 45 —
Sol, 22, 23, 32, 77, 171 —Campagne,
26, 37, 38 — Villages et petites
villes, 27, 28, 30, 39. —Les kan-
garous, 28 , 55 à 58 , 60 — Plantes,
31,36,47. —Oiseaux, 31, 36, 47,
49, 50, 59 à 65 , 182. — Vallée de
Bavragovang, 31 — Fertdes districts,
32, 37 — Forêt d'Éden. Routes,
34 — Forêts, arbres, 34,42,45,
46 — Lacs , 35, 177 — Erablisse-
meut de la rivière Hunter, 37, 59. —
Baie de Moreton, 42. — Salubrité du
climat. Température. Saisons, 43, 44,
45, 48, 51. — Bois résineux, bois
incombustibles, 46. — Fruits, 47. —
Ecureuils volans, 50, 59. — Epo-
ques des semences et des récoltes,
51. — Animaux domestiques, 51 a
54. — Vases à lait, beurre, 52, —
ife
y- M
DES MATIÈRES.
369
Animaux sanT«ge>, 51. — Hennr '
ToUni, 58. — On», 59. — AV
59. — Émns, 61* — PeiTo<|k?
62, 64. — Ouean remarquable . «.<<>.
— Poissons , 65. — Reptiles. 66 i 7a
— L'homme anx serpens , 68. >- In-
sectes , 70 à 76. — Fourmis de diver-
ses couleurs, 73. ~- Ravages des
chenilles, 75 1 — Minéraux, char-
bon, 76. "-* Roches , argiles, minerai
magnétique, 77. — BUnes, 78. —
Divers degrés de civilisation dans
l'intArienr, 82. •— Caractère, m«enrs,
etc., des Currtiiex , ou de la popula-
tion née dans la colonie, 101 à 109,
1 17. — Histoire de la colonie , 109.
— Améliorations , 1 1 1 . -« Manufac-
tures, 115, 117. — Commerce. 114f
115, 117. — Convicts. Honnêteté des
marchands, 114> — Nuances delà
société, 117. — Susceptibilité des
condamnés, 118. — Etiquette, 119.
— Etablissement d'éducation et d'uti-
lité publique. Meubles de cèdre. Cos-
tume, 120. — Journaux, cabinets
littéraires, 121. — Courses de che-
vsùx, 122. — Abus de la colonie,
122 et suiv. >- De l'émigration. Me-
sures à prendre par les colons, 124 à
131. — Concesûons de terres, 125,
130. — Disette de femmes, 162. —
Observations générales sur le gouver^
nement de la colonie , >164> — Com-
pagnie australienne, 166. >-* Bornes
de la volonie 169->— Son état pros-
père, 169. ~~ Sécheresses périodi-
Îues, 175 , 178. — ffistorique des
éconvertes faites dans l'intérieur,
175 à 178. — Etablissement de Wel-
lington-Valley, 181.— V. Auitralitnt,
Botéi^-Bof, DarliHg, Endtatour,
Jaekton, Livtrpool, NtmcatU, Para'
éatta, Sidney, Winitor.
Galléi wiiridionaU ( Nouvelle-, Con-
victs, déportés de la). Costume,
chatne dans les rues de Sidney,
t. XLin, p. 11. — Etat des convicts
domestiques, 131 — Travaux de ceux
atuchés aux fermes, 132 et suiv. —
Coureurs de bois, 132.—' Singuliers
voyages vers la Chine et Timor , 13&
— Evasions, 137 et suiv. — Détails
sur l'embarquement et la vie à bord
du vaisseau de transport des hommes,
140âà 155. — Logement, vétemens,
nourriture, 141. — Lits. SurveiUans,
XL VI.
142. — Impudence, 144, 145. —
Leur habileté, >leur fourberie, 146.
•— Littérateurs. Théâtre, 147. —
Assises, 148. — ConvicU irlandais,
149 et suiv. ~ Convicts anslais, 151.
— Punitions du bord, lo3. — Fa-
veur abuûve pour eux ^ 154. » Dé-
barquement, marque y> 155. <» Dé<
tails sur l'embarquement et la vie à
bord des femmes déportées, 156- —
Logemens. Snrveillans, ISS.— Eti-
quette. Amusemens, 157. — ^ Sensi-
bilité die certaines femmes. Ses causes,
159, 160. ^^ Sort des femmes après
le débarquement. Mariages, 161.
GalUt (cap du Prince-de-, détroit
de Behring, Amérique russe }. Nom-
mé par Cook , t. XI, p. 53.— Son gi-
sement, 54. — Son aspect imposant.
Villages. Montagne remarquable. As-
pect du pays, XIX, 446.
Gallei (Me du Prince-de-, nne des
Iles de la Société). Découverte par
Carteret,t. III, p. 28.
Galles (archipel du Prince-de', cAte
ouest de la Nouvelle-Bretagne, Amé-
rique septentrionale). Exploré et
nommé par Vancouver, tom. XIV.
p. 451.
GallieU (royaume on province de
l'empire d'Autriche), t. XLVI, p. 226.
236,239. '
GallipoU (ville du royaume de Na-
pie») , t. XLVI, p. 197.
Galttz ( lies don José-de- , Poly-
nésie ). Découvertes par Maurrell ,
t.Xin, p.257.
Gaka. (VasGO de). Part de Bélem
pour chercher la route des Indes, 1. 1,
p. 32. — Découvre le cap de Bonne-
Espérance, 33. '— Découvre et re-
monte la rivière de Los Reyes. -.-
Découvre Mosambique , 36- n— ■ Mé-
liniie , 58. — Découvre les Indes, 41.
•>-• Rentre en triomphe k Lisbonne ,
62. Revient dans les Indes, où il éta-
blit plusieurs comptoirs , 73 et suiv.
Gamba. Son voyage au mont Cau-
case, XLV, 409.
Gambarott (ancienne ville du Bour-
nou, Soudan). Ses ruines, t. XXVII.
p. 186.
Gambie ( fleuve de Sénégambie ).
Poissons. Animaux amphibies , tom.
XXV, p. 25. — Quatre classes de na-
turels sur ses bords, 33 — Des éta-
24
370
TABLE 6ÊNÉHALE
i-jgLit<^."
bliMeuMns earop jens et de leur coin-
meroe, 43.
6ambi»r (Iles, archipel Dangerenx),
Déconcertes parWilsoD, t.XIII, p. 440,
XIX, 97, 140. -- Radeaux, pagaies,
100, 115, 149. — EntreToes avec les
naturels, 101 , 105, 113 , 129. -^ Fi-
gure , formes des insulaires, 108, 144,
146. —Élégant tatouage, 108, 147.
— SaluUtions, 111. — Nourriture,
1 15. — Iles du groupe, 122, 140. —
Momies, 123. — Vétemens, 133, 134.
— TamlMars, 134. — Origine des (les,
141. — Sol. Production, 143. — Na-
turels; mœurs, traits, taille, 144. —
Population, 148, 198.— Pèches, 149.
Yoy. Iles Btleher «( Peard.
Ôamblx. Labsé par Porter àNouka-
Hira , t. XVI, 355. — Ses aTenlures,
371. — Est abandonné sur un petit
▼aisseau par son équipage réroité ,
378.— .Est fait prisonnier par les An-
glais, 385.— Recouvre sa liberté, 403.
Gan- King-Fou (ville de la Chine).
Environs. Rue. Enorme dragon ,
t. XXXm. p. 405.
Gang* (fleuve de l'Hindoustam). Son
confluent avec la I>jemma. Marque de
ceu^qui se sont purifiés dans ses eaux,
t. XXXI, p. 75. —Sa sonne, XXXV,
493.— Singulier esquif , XXXVI, 69.
— Voyage sur ses eaux jusqu'à Di-
napour, 400 et suiv. Voy. Hougly.
Gangotri (village de l'Himalaya).
Source du Gange. Temple, t. XXXV,
p. 492, 493. — Ablutions, 494. —
Élévation du village, XXXVI, 463.—
Singulières cérémonies des Hindous
à la source, 464.
Gurtt-Dtnit (Ile, Australie). Figure,
moBurs, usages, vie des naturels, t. I,
p. 441 et suiv. -
Gtiritp (rivière du pays des Boscbi-
mans et des Coranas). Afflue^s,
t. XXVI, p. 176, 226. — Beauté du
principal confluent, XXIX, 31. —
Voyage le long de ses bords, 179 çt
suiv. x— Animaux, 182. — Cataracte,
185 — Difficulté de l'irrigation, 190.
— Manière de traverser la rivière,
190. — Commerce à l'embouchure
devenu impossible, 218.
fioni'MWM (ville de l'Engarski, Gui-
née). Remarque importante sur le
Niger, t. XXX, p. 225.
Guttet oeeidvntales (monts de l'Hin-
donstan ). Belle roote de traverse ; .
t. XXXVI , p. 418. — Belles vues ;
superbes forêts, 419. — Villages, 419.
— Montagnaru autrefois inbospits-
liers, lenrs formes, 420. — Caverne-
temple, 421. — Palmiers remarqua-
bles, 427.
GatroM (ville du Fezzan), t. XXVII,
p. 57. 446.
Gaudtoi ( babitans des Pampas ,
Amérique méridionale), t. XLI, p. 287.
— Origine, 291. — Caractère, 291,
298. 300. — Vie, 291, 295 «t suiv.,
299. - Huttes, 291, 293. — Parc à
bestiaux, 292. — Hospitalité, 294,
300. — Intérieur des buttes , ustensi-
les , etc., 293, 295. — Éducation, 296
et suiv. — Condition des femmes, 300.
— Religion , 301, 303. — Funéraille»,
mariages , 304. — Approvisionnent
les marchés des villes , 306, 330. —
Leurs attitudes à cheval , 307, 322. —
Craignent et haïssent les Indiens, 323,
337, 358.
6<u<//« ^/«M.Sa description, t.XXlV,
p. 61. . >
£««z& (village d'Abyssinie). Sources
du Nil ; campagne , t.- XXIII, p. 424,
429. — Maisons, 451. — Sacrifices
au Nil ; vénération dont il est l'objet ,
451 et suiv.
Geffle ( port de la Suède), t. XLV,
p. 333.
Gènes (ville de la Ligurie , royaume
de Sardaigne), t. XLVI, p. 266-
Genève (ville du New-York , ^États-
Uni»), t. XXXIX, p. 56.
GnurrROY. Son voyage en Séné-
gambie.t. XXII,p. 78.
George (lies du Roi-, arcbijjiel des
îles Basses). Découvertes et décrites
par Byron, t. III , p. 15; VIII, 222.
George (détroit du 'Roi-, Nouvelle-
Hollande). Naturels , armes , ustensi-
les, t. XXI, p. 418, 419. — Vête-
ment, figure, ornemens, 422.
George (port du Roi-, terrede Nuyts,
Nouvelle - Hollande ). Découvert et
nommé par Vancouver, t. XIV, p. 21.
— État , aspect de la cùte, XVIII , 19,
20. — Naturels; vétemens, omemeus,
incisions, 22, 36. — Conservation du
feu, armes, huttes, 24. — Campe-
ment, nourriture, chiens, 26, 28. —
Usages curieux imposés par la disette,
30. — Occupations des femmes. Po-
^^-
'•^\
DES MATIÈRES.
371
lygamie. Manières de' se marier, 82.
— Couches faciles. L'un des deux
idéaux est mis à mort , 85. — Dan-
ses. Médecins. Charlatans , 86. — Sa-
lutations. Combats singuliers, 38. —
Combats généraux, 40. ~ Funérailles.
Idées religieuses. Idiome, 42. — Fi-
Snre, nourriture, vêtement, cabane
es naturels, 216.
George ( entrée du Roii, ou de
Nootka, lie de Quadra et Vancou-
ver ). Sa description. Ses produc-
tions , etc. Mœurs , usages , formes ,
industrie, etc., des naturels, t. X,
p. 3']6 à 424; XIII , 353 à 375. —
Pour les détails , voyez tle de Quadra
et Vancouver,
Géorgie (un des États-Unis). Vente
d'esclaves, t. XXXIX, p. 320. — Sa-
vannah. Environs. Arbres des rues ,
321, 822. — Campagne, 322 et
suiv., 340. — Fleuve Alatamaha , 324.
— Villages, 324, 332. — Iles de la
câte , 325. — Culture et préparation
du coton, 326. — Taches dps esclaves,
329-— Leur nourriture, 330. — Leurs
vétemens, 331. — Voyage dans l'in-
térieur, 331 et suiv. — Reptiles, 3S2.
— Maisous dans <les forêts, 338. —
Maçon, nouvellement fondée, 340.
— Aspect d'une ville nouvelle,
341.— Loteries de terres, 342. —
Embryon d'one ville dans la forêt,
345.
Géorgie (province de la Russie d'A-
sie). Voyage dans le pays. Fleuve
Kour qui a donné son nom à
Cyrus, t. XXXI. — Maisons, 194. —
Roseaux panachés , XLIV, 398. —
Soumise par les Arabes , dominée au-
jourd'hui par les Russes , XLV, 413.
Voy. Tijlis, capitale.
Géorgie australe ( ile de la , océan
Atlantique). Découverte par un Fran-
çais, t. XX, p. 34; XXI, 231 — Nom-
mée par Cook, IX, 104. — est inbabi-
tflble, 105.— Productions Commerce
des phoques, XXI, 230, 232. <— Ani-
maux, 233 et suiv.
Géorgie ( lie de , mer de Behring ).
Combats des Udns de mer, t. XVII
p. 216.
Géorgie ( golfe de la , Nouvelle-
Géoreie ). Nommée par Vancouver.
t.XI^,p.248.
Géorgie (Nouvelle-, pays de la Nou-
velle-Bretagne, Amérique). Reconane,
décrite et nommée par Vancouver,
t. XIV^. 226 à 248. - Beauté du'
pays, "in. — Villages, huttes, natu-
rels, 230, 237. — Fables débitées sur
la barbarie des insulaires, 237. —
Pointe Reittauration, 242. — Anse de
Penn et ses alentour j , 245. — Entrée
de l'Amirauté. Prise de possession du
pays , 247. — Golfe de la Nouvelle-
Géorgie. Rade de Possession. Port
(rardner, port Susau, 248. Voy. dé-
troit de la Reine-Charlotte et détroit de
Fuea,
Géorgie septentrionale (archipel des
régions arctiques). Découvert et ex-
ploré par Parry, t. XL, p. 275 à 296.
Géorgiens. Leurbeau sang, t. XXXI,
p. 191. — Caractère, 192 Cos-
tume , usages , noblesse ,' religion
194. — Costume, XLIV, 399. - Pays
Îu'ils habitent. Stature , traits , XLV,
42. — Occupations du peuple. Fem-
mes réellement belles , 443. -^ Traits
féné^ux de mœurs et d'usages, 444 à
51 . Voy. Caucase.
Géorgievsk ( ville du Caucase , Rus-
sie d'Europe, t. XLIV, p. 445.
Geosa (ville du Zamfra , Soudan ),
t. XXVII, p. 396
Germa ( ville du Fezzan ) Ruines
romaines, t. XXVII , p. 31. — Nou-
velle ville , 32.
Gkazeipour ( ville de l'Allahabad ,
Hindoustan ). Aspect. Ruines. Palais
arabe, t. XXXVI, p. 130. -^ Climat
salubre. Environs. Eau de rose. Pro-
ductions des environs, 132. — Snttey
des veuves. Suicides, 134. ^Carac-
tère, fanatisme , langue des habitans ,
136.
Ghejrssiqvêis{'ç&iiA.e au nord du cap
de Bonne-Espérance). Physionomie,
idiome, vétemens, ornemens, etc.,
t. XXIV, p. 442. — Femmes belles et
retenues , 444. — Scmi- castration ,
445.
Ghilan (province de la' Perse).
Voyage dans le pays, t. XXXV. p. 3^.
— Lahadjan. Bazars, 363. —Villes di-
verses, 366. — Port d'Enzellé, 368.
— Violation de le propriété, 410.
Voy. Recht, capitale.
Ghirza (ville de Tripoli). Édifices
peut-être romains, t. XXVII, p. 451 .
Ghisni ou Ghusni (<rille du Caboul ,
872
TABLE GÉNÉRALE
Asie ). Pranes rencimmin, t. XXXVII,
p. 102. — Autrefoia capitale , 1 li.
Ghorian ( Tille et district dn Klio-
rassan. Perse). Fort remarquable,
t.XXXV, p. 418.
Ghraat (capitale des Tuaricks,
SaLara). Costumes, t. XXYII, p. 49.
— Belle source , «51 • *— Environs. Mai-
sons. Cimetière, 52.— Langue, 64.
Gibraltar (ville d'Espagne). Enorme
Tooher du détroit, t. XVIII, p. 51.
— Sss fortifications, 210. — Signifia
cation de son nom, XXIII, 156.
Giequtl ( lie près de la Nonvelle-
Bretagné). Découverte par d'Entre-
casteaux, t. XV, p. 275.
Gilhtrt ( archipel , lies Mulgrave ).
Sa découverte. Iles qui le compo-
sent, t. XVIII , p. 167.
GilUtkaat (lie de la T^orwége).
Monts gigantesques, t. XLV, p. 140.
— Animaux. Depérissance des trou-
peaux en été , leur nourriture en hi-
ver, 142.— Édredon , 144.
Girqf* tuée par Levaillant Sa des-
cription , t. XXIV, p. 325. — tieux
que ces animaux fréquentent en Afri-
que, 440.
Gtr^^ (ville de la Hante-Egypte).
Est la DioipolU parra^X. XXIII, p. 87.
Girkv/a .( ville du Kano , Soudan ).
Danses de l'Aid, t. XXYII , p. 432.
Giotn ( lie de la Norwége ) , t. XLV,
p. 114.
Giurgero (ville de la Valachie , Tur-
quie d'Europe), t. XLIV, p. 72-
Glaeé ( cap , Amer, russe ) , nommé
parCook, t XI, p. 66.
Gitnadendal ( vallée du cap de
Bonne-Espérance ). Etablissement des
missionnaires, t. XXVI , p. 52. — As-
pect , 55. — ^ Eglise , 56. — Maisons,
manufactures, 57 « 62. — Popula-
tion , 59. — Mœurs et usages des na-
turels, 59 , 62. — Huttes, 60.
Gl9m*n (rivière du Sonderfields,
Norwége ) , t. XLV, P. 42, 45 , 47.—
Flottage cie sapins , 49.
GlouettUr (Iles dn Ouo-de-, arrb.
Dangereux), découvertes par Carte-
ret, t. III, p. 109.
Gbieticf ( ville dn gouvernement de
Tcbemigov , Russie d'Europe ) , tom.
XLIV, p. 370.
Gmelik. Son voyage en Sibérie,
t. XXXI, p. 243.
Gom (Ile et ville de Bedjaponr,
Hindoustan). Situation, climat, ter-
roir, histoire, prise par Albuqnerque,
t I, p. 103. — Beau port, XXXI,
81. I
Goddah (ville de la Mongolie, Tar-
tarie chinoise). Beaux édifices, fon-
taines, beaux environs, t. XXXI,
p. 59.
Gojam ( province de l'Abyssinie ).
Etendue Sol. Troupeaux Popula-
tion, t. XXIII, p. 329
GoLBERT. Son voyage an Séné-
gal , t. XXII , p. 68.
Gommier. Plante remarquable des
lies Malouines, sa description , t. lY,
P 63.
.Goitaguûi* ( tribu botentotte). Le.i
femmes se graissent et se poudrent
le corps, t. XXIV , p. 129, 149, 15tf.
—Episode de Narina et de Levaillant.
Mœurs de la peuplade, 131 et sniv.
—Figure Salut8,142, 187.-Habille-
meus, ornemens, 142, 158, 167.--
Soins pour les vieillards , 150. tr
Retenue des femmes, 155, 166, 186.
— Huttes, 156. — Soins des mères,
160. — Mariages , couches, 162. —
Armes, 169. — Animaux domesti-
ques, 173 et suiv.— Légumes, fruits,
177. — Funérailles, 179 —Danses,
musique, 182. — N'existent plus au-
jourd'hui , XXIX , 5.
6oR(/<ir (province d'Abyssinie). Mont
Laraalmon,t XXIII, p. 279. — Cli-
mat, 280. — Péages, 281. — Plai-
nes et sources au sommet, 282. —
Voyage dans le pays , 283 et suiv.
— Langue, mœurs des habitaus
dn Lamalmon, 284. — Emfras, 388.
— Joli village d'Azazzo ,392. — Ri-
vière, 393. — Première église catho-
lique, 394 — Pays de Gorgora, 394,
397.
Gondar ( capitale du Gondar et de
l'ibyssinie). Aspect, t. XXIII, 289.
— Fonctions de l'acab saat , 298. —
Entrée triomphale du roi, 305. —
Audience accordée à Bruce, 309, 313.
— Situation. Maisons. Palais, 383. —
Bouffons , 464. — Marchés , 465. —
Palais de la reine , 468.
GoNNEViLEE, Français. Découvre
des terres au-delà du cap de Bonne-
Espérance en 1503, t. 1,122.
GoRS. Prend le commandement du
DES MATIÈRES.
873
▼aiiiean de Clerk, qui remplaçait
Cook , t. XI , p. 383. — Longe la c6te
du Japon . 4Sd. — Découvre TUe de
Soufre, 463.
GoM* ( fie voisine dn cap Vert, Sé-
néffA ) , colonie française. Sol. Popu»
lation, t XVIH , 420.
Gorgone Description de ce zoo-
phyte,t.XLV,p. 189.
Gorgon» (lie, côte de Colombie^,
nommée par Pizarre. Obscurité ne
ses baies. Ses montagnes. Son climat
t. XXXVin,p.321.
Gorgora ( pays du Gondar. Abyssi-
nie ). Première église catholique. Cli-
mat, t. XXIII, 394, 397.
Gonitki ( ville du gouvernement de
Moscou, Russie d'Europe). Célèbre
jardin botanique, t. XLIV, p 470.
Goroehoretx ( ville dn Wladimir,
Russie d'Europe ) , t. XLIV , p. 470.
Gotha (la). Rivière de la Suède )
t. XLV, p. 8. .
Gothembourg (ville de la Gotbie,
Suède). Sa ^scription, t. XLV, p 4
et suiv. — Environs, 7.
Gothit (partie de la Suède).
Voyage dans l'intérieur, t. XLV, p. 4
et suiv. — Gothembourg , 4. — Cam-
pagne, 7, 9. — Villages. Forêts de
pins, 7 — La Gotha , 8. — Chute de
Trolhatta. Lidkoping. Lac Wener, 9.
'— Effroyable quantité de loups ,11.
— Helsingborg, XLVl , 288. — Joen-
koeping. Linkoeping, 289. — Nor-
koeping,291.
Goubtr (province dn Haonssa, Son-
dan). Kalawawa, capitale, t. XXVII,
p. 404; XXVIII , 222 et suiv. —Ma.
geria,227. 228.
Gough, Voy Diego Alvaret
Gamnahbad (ville et district dn Kho-
rassan, Perse). Importance. Popula-
tion, t. XXXV, p. 96, 416.
Gounds (caste de l'Hindonstan).
Mœurs. Occupations. Caractère ,
t. XXXVI, p. 411.
Gour (ville du Bengale). Son anti-
que splendeur. Ses vastes ruines ,
t. XXXVI, p. 98.
Goutto (pays d'Abyssinie). Langue.
Bétail Miel. Campagne, t. XXIII,
p. 400, 409
GoMer (tle, Australie). Découverte
gar Carteret, t. III, p 136. — Piro-
ues construites avec art, 138.
6nb^lI«/iM((viUage du Saeewberg,
colonie dn cap de Bonne-Espérance).
FertUité dn sol, t. XXVI, p. 845. —
Rues, tiglise^ 346. -« Productions dn
•ol,348.
Gncia (lia de , mer des Antilles).
Découverte par Colomb, t. XXXVIII,
p. 177.
Graeicta (Ile , Açores). Découverte
par les Portugais, t 17^ , p. 157. — *
Population, productions, l59; XX ,
444.
Graham (ville de la colonie du cap
de. Bonne-Espérance). État. Popula-
tion. Arbres. Situation, t. XXIX,
p. 247. ^ Famille de fermier, 249.
— Chariots. Objets de eommerce avec
les naturels des frontières , 250. —
Animaux divers. Chasse aux élé-
phans , 254. — Déprédations dea
trilms frontières , 256
GraMpiUe (lie , Polynésie). Décou-
verte par Edwards , t. XIII , p. 427.
Grantlejr (port, Amérique rus&e).
Découvert par Beechey. Sa descrip-
tion. Naturels : leurs armes, leurs
huttes , t XIX , p. 449 et suiv.
Gray (port de. Nouvelle- Albion ,
Amérique septentrionale). Rivage ,
productions , naturels , pirogues , ar^
mes, t. XIV, p. 376, 378.
Gray et DocHARD. Leur voyage
dans l'Afrique occidentale, t. XXVIII,
p. 285.
Grebatof (v'ûle du Wladimir, Russie
d'Europe), t. XLIV, p. 469.
Griee. Montagnes, t XLIV, p. 290,
322. — Murailles de Tiryntho. Lac
de Lerne , 295. — Nouvelles mon-
naies de même dénomination que les
anciennes. Manière de voyager, 296.
— • Raines et bois sacré d'Hiéron ,
297. — Ruines d'Epidanre , 304 —
Miel du mont Hymette Eleusis , 31 1 .
— Mégare, 312. — Élémens de pros-
périté , 314. — Campagne , 315 , 316,
ol8. — Vortizza. Fameux raisins. Pla-
tane immense, 316 et suiv. — Le
Parnasse, 322. 325. — Voyage de
Ponqueville, XLVI , 206. — Navarin,
207. •— Thcbes, Sparte, Spezzia, 213.
— Hydra, 214. — L'illissus, 215.
Voy. Athénttj Corintho , Napoli >
capitale ; Patrat,
Grées ûHcient. Leur premières navi-
gations, t. I, p. 3. — But réel de
>^ V
374 .
TABLE GÉNÉRALE
l'expédition des Argonantm, tUd.
Grtes mmdtrMt. Leur caractère
t. XLIV, p 293. — Lenrs cafés , 520.
— Leurs mariages , 322 et suiT. —
Mœurs guerrières des Malnotes
XLVI, 208, 210 et sniv.
GrtKodi (-Tille et prorince d'Es»
pagae). État florissant de l'ancien
royaume Maure , t. XLVI , p. 166 et
suiv. — L'Alhambra , 167. — Salu-
brité du climat. Agrémens de la rille ,
168. — Antequerro , Malaga , 109.
Grtnadt (Nouvelle-, province de la
Colombie ). Surface. Population ,
t. XXXVIII, p. S80.~ Productions,
807 et snÏT. — Nombres des divers
babitans, XLII, 402.
Griqua (ville et tribu de Betcboua-
nas), t. XXIX, p. 37. - Agréable
situation , 59. — Climat, 40. ~ Qri-
Îine, progrès, état actuel desGriquas,
1. — Conseil de guerre , 46. — Ba-
taille contre les Mantatis qui sont
vaincus, 101 à 112, 136. — Allian-
ces avec les Coranas, \97.
Grijalva. Découvre nie Saint-Tho-
mas dans la mer du Snd, 1. 1, p. 164.
Grodno (gouvernement de la Russie
d'Europe). Voyage dans l'intérieur,
Bielsk, Bialistok, t. XLVI, p. 139. —
Juifs, 140.
Groiwo (cbef-lien du gonvern.). Sa
description. Le deuxième partage de
la Pologne y fut signé, t. XLVI,
p. 139.
Groenland (grand pays de l'Amé-
rique septentrionale). Sa dteowerte.
SignifioatioH de ton nom, t. Y, p. 10.
— Saisons et lelTrs phénomènes, XL,
ij et suiv. — Température, vj. —
Côte de Londres, Hope Sanderson ,
lie des Femmes, nommée par Davis ,
xvij , 256. — Verte campagne. Signi-
fication du nom dn pays , 34. — Mai-
sons , 56. — Caractère du Groënlan-
dais. Productions , 38. — Lits des ra-
vines, 257. — Animaux, 259. — Voy
Etquimaux, Holsteinbtrg.
Groningue (Ile de , archipel des
grandes Cyclades). Découverte par
Rogewin , t. II , p. 65; IV, 278.
Groot-Barg (rivière de, colonie du
cap de Bonne-Espérance). Bac. Péage,
t. XXVI, p. 106.
Gratta ( tle du golfe Adriatique) ,
t. XLIV, p. 331.
Groupes (Iles, archipel Dangereux).
Découvertes par Cook. Description de»
babitans, tV, p. 00, 93:
Grurby (vallée dn Fessan). Voyage
dans la vallée, t. XXVII , p. 30 a 57.
Guat/a (ville de l'Yaouri , Guinée).
Le Niger. Canots, t. XXX, p. 216.
Guadtloup* {\\t , Petites Antilles),
Découverte par Colomb, t. XXXVIII,
p. 164. — Amaaones. Productions ,
165. — Aspect, XLI, 275. — Pro-
menade de la capitale , la Soufrière ,
276.
Guanaqut. Description de ce qua-
drupède, t. III, p. 241.
Guaiyook (bourg de l'Abyssinie).
Bosquets, gibier, t. XXIII , p. 473.
Guarda (lac du Tyrol), t. XLV,
p. 599, 400.
Guari (ville et province du Zeg-
Zeg , Soudan). Ancienne et nouvelle
ville. Situation , t. XXVIII , p. 204,
:i05, 268.
Guateo (ville du Cbil'). Mines.
Sol,t. XLI,p. 406. t
Guatimala (république de l'Améri-
que septentrionale). Surface. Popu-
lation, t. XXXVIII, p. 589 et suiv.
— Compagnie pour la section de
l'isthme do Nicaragua, 406. — Cam-
pèche, XLI, 5, 167. — Indigo re-
nommé, 108 — Montagnes, 411.
— Borues. Montagnes, XLII, 449.
— Rivières , productions , 450 ,
457. •— Habitans et leur nombre.
Milices, 451. — Population des
principales villes, 452. — Pouvoir
législatif, 455. — Caractère, \ie,
usages, etc.; des Indiens valientes,
4ô6. — - Récolte de la vanille aroma-
tique. Projet de réunion entre les
deux mers , 458.
Gualimala (capitale de la républ;-
que). Histoire. Nooibreuses vicissi-
tudes, t. XLII, p. 452, 453. — Cli-
mat. Maisons. Grande place. Église.
Amphiihéâtre. Université, etc., 454-
— Population. Chambre dn Sénat.
Progrès de l'instruction publique ,
455.
GnATiMOZiiT (empereur du Mexi-
que ), Fait prisonnier par Cortcz,
t. XXXVIII, p. 315.— Est mis à la tor-
ture. Sa fiu tragique , 316.
Guaraquil (ville de la Colombie) ,
t. XLn,p. 431.
DES MATIERES.
m
G»fuim(ne, Marianne*). Décrite par
Dampier. Prodnctioni,niaiioni, cha*
loupes des habitans, t. I , p. 560 et
suiv. — Sa description par Roggers ,
M , 23. — Description de la ville
d'Agana, X\UI, 237, 246. — Des-
cription dn Tillage et des maisons de
Massa, 288. •— Détails sur les rela-
tion* de l'Ile arec les Carolines, 241
et SUIT. — Aspect de la cùte orien-
tale. Sol , 467. — Productions , ani-
mans, XVIII, 86.
Gmittiu (pays d'Amérique méridio-
nale). Origine des établissemens fran-
çais et hollandais , t. XXXVIII ,
p. 844.
Gt^yaiu tmglait». Voyage dans l'in-
térieur et dans les déserts de l'ouest ,
t. XLI , p. 173. — Poison mourait, ses
singulières propriétés, etc. Voy. e*
nom. —"Plantations, 174. — Beauté
dos arbres , grosseur de qnelqnes es •
Îèces, etc., 174, 176, 193, 194,
98. — Arbres croissant sur d'autres
arbres , 178. -—Fertilité du sol , 179.
- Quadrupèdes , 179, m, 205, 281 .
•— heparotteu*, 180. — Magnifiques
oiseaux, 181. 197, 196, 201, 203,
231 et suiv., 234. •— Vampires, 163,
237. — Reptiles , 183, 186 , 250 ,
241 et suiv., 256, 284. — Poissons,
185, 198. — Climat , 185. — Insectes,
185 , 203 , 231,^40. — Pays de Ma-
cousbie, 198. Voy. ee nom. — Gomme
élastique, 198 — Position de l'Eldo-
rado , 200 , 202 , 204. — Savannes ,
201. — Grandes fourmilières, 203.
— Habitudes, nourriture, etc. , de
l'oiseau - mouche , 231 et suiv. —
Grosses fonrmies rouges , 240. —
Chasse au serpent, 251 à 258. —
Chasse au caïman , 260 à 265.
Voy, Demerary, rivière ; Essequibo ,
ririère ; MacousIUs , Indiens; Stabroek,
Guiane française. Le coq de ro-
cher, t. XLI , p. 228. — Grosse four-
mi rouge. Autres insectes , 240. —
Reptiles, 241 et suiv. Voy. Cayenne.
Guiane hollandaise. Voyage dans le
pays. Paramaribo. Nouvelle-Amster-
dam , t. XLI, p. 228 et suiv.
Guiantt (Indiens des). Meurtre de
l'un des jumeaux , t. XXXVIII ,
]>. 379. — Veuvages abortifs , 381 .
— /eux , danses , XLI , 176. — Cos-
tume, ornemens. 188, S46. — Ta-
touage , 188 , 246. — Demenres ,
187, 189, 192.196.202, 265. —
Tribus principales. Huttes. Meubles.
Occnpanons, 244. — Liqnenr ter-
mentée, 245. — Maladies, 246. —
Religion , 247. — Caractère , 2^. —
Mo«fe de communication , 249. —
Amour de l'indépendance , 250,
Voy. Mieouihit.
Guillaumt (entrée du Prince-, Amé-
rique msse). Exphirée et nommée par
Cook, t. X , p. 439 à 452, et XI, 1 et
suiv.— Entrevues avec les naAirels,X,
440, 442,448, 449. - Costumes,
ornemens, 440, 443. — Chants, 440.
— Pirogues, 441, 443. — Passion
des naturels pour les grains de verre
et le fer, 444. — Ils essaient de piller
le vaisseau de Cook , 445 , 446. —
Baie du Réduit fermée, 448. — Rai-
sons de croire que l'entrée ne donne
pas an passage an nord , 450. — Ile
MonUgn. Iles Vertes, 451, 452. —
Étendue de l'entrée , XI, 1. — Figure
des naturels , 2. -~ Leur yétemens ,
3. •— ' Ornemens suspendus et in-
crustés , 5, 7. — Lèvre inférieure
fendue , 6. — Coloriage Je la fignrej
7. — Canots , 8. — Armes , instrn-
mens de péclie et de chasse , 9. -^
Meubles , 10. — Outils, il. — Nour-
riture , cuisine , 12. — Idiome , 13.
— Animaux , 14. ~^ Belles Â>ur-
rures , 15. — Oiseaux , 16. — Pois-
sons , métaux abondans , 17. ~ Vé-
gétaux, 18. — Reconnaissance des
eûtes. Entremes avec les naturels ,
XIII, 292 et suiv. — • Formes physi-
ques , 337, 339. — Vie nomade.
Gouvernement , 337. — Cheveux.
Ornement des lèvres et du nez Barbe,
538. — Costumes. Productions du
pays , 339. — Animaux. Amour des
naturels pour le ter et le verre. Nour-
riture. Cuisine , 340. — Sont d'une
race sauvage et endurante, 341.
Guillaume-Henri (lie du Prince-,
Polynésie). Découverte par Wallis ,
t. III, p. 303.
Guinée. Découverte par les Portu-
gais , t. I , p. 11. — Visite à réta-
blissement des nègres délivrés k Sierra-
Léone,et observations sur l'abolition
de l'esclavage , XXVIII , 875 et suiv^
—Traitement des esclaves, XXX, 278.
37G
TABLE GÉNÉRALE
V07, In proriaoei d« JÊehmti , Âl-
q»»mi , B»HiM, Calaèmr, C4l» d*» Mi-
»lt»*tt Etoi, Mngankif FmH, FwUm,
Ymrrtbm, l'tU Ftriuado-Po.
Giibtét (NoareUe<,ou terra des Pa-
poDi, Auitnlie). Déoourtrte par l'Et-
pagnol Saaredra , 1. 1 , p. 162. — la-
«uuire* noiri , et i dnquante lieues
blaoci , tbid. — • Comment ils conter-
vent le gibier, 430. — Animaux de
l'Ile. Figure , ornemens , pèches des
Papous , 433 et suir. — Font usage
d'un feu semblable à celui de la
poudre>à canon, YI , 413, 415. —
hahitans de l'intérieur et des cAtes ,
XVIII , 182. — Description de trois
races d'habitans , 812. — ' Jalousie
maritale , 513. — Industrie. Nouri-
ture. Musique. Maurs , 314. — His-
toire de la reconnaissance , XX , 883.
— Baie Astrolabe. Naturels. Armes.
Canots , 880 Oiseaux de paradis.
Beauté du pays. Bois précieux , 888.
— Productions, animaux , XLIII, ix.
— Religion , figure , les Pr>pons , les
Endamènes, xx. Voy. bavre JOer^,
baie Aitroîabt.
GudbnuuJal. Belle et ricbe Tallée de
la Norvège, t. XL7, p. 66.— Aspect
des chaumières, population et cul-
ture, 61.
Gmhmo (Ile du Niger), t. XXX,
p. 85r— Etendue de i'Ue. Caractère
des babltans, 854.
GunjM (Tille du BrésU), t.XLII,
p. 6a ^
G«rJUal(Et«t de TBindoustan ).
Capitale. Théâtre prbcipal de Is my-
thologie liindoae, t. XXXV, p. 478,
479 et suir.
CuMtrêt» (proT. derHindoustan\
Voyage dans l'intérieur, t. XXXI,
p. 66. — Autre Toyage. XXXVI, 361.
—Animaux , 861, 896. — Jhalloda ,
862.— fiarreah , 865. —Arbres , 861,
866 , 377, 891 , 897. — Charretiers,
862.— ViUsges, 868, 868, 877, 891,
892 , 896. — Campagne , 364 , 877 ,
390, 897. —Ville et État de Baroda,
869 à 376 — Soldats, 865, 869 et
suir. — Provisions de foin, 87/.— Cos-
tume, figures, etc., des Kbolis, 879
et suiv. — Divers habitans , 880.
— Fertilité. Tabac. Sucre, 884.— Cli-
mat désastreux, 886, 394.— Animaux
venimeux, 388. --• Pierres précieu-
ses, 889.'~>Rareté des palmiers et des
bambous, 891.-^ Chefs de village,
891. — Vaste caravanserai de Kun-
Chowley,896. Voy. Barook*, Bhtili,
Diu, OUtpour, KauÎJif Kholit, P»tU,
Pittamt, Surat*.
H
naatm» ( Qe du groupe Hapaee , ar-
chipel des Amis }, IX , 350.
OaarouK-at'BMehild, Description de
son tombeau, t. XXXV, p. 217 et
snir., 233.
HaiHOH ( Ile de la mer de Chine).
Étendue, t. XVIII , p. 447. — Forêts.
Habitans. Productions , 448.
Haïti on NitpanMa ( Ue , Grandes
Antilles ) , découverte par Colomb.,
t. XXXVIII ^p. 106.— Naturels. Caci^
2 ne , 108. — Slasque d'or donné à
olomb , 109. — Echanges avec les
matelots , 112. — ' Colonie espagnole,
115. — ■ Sa ruine , 138.— Fondation
delà ville /faM/«» 138, 144. — Pro-
vince Cibao, 142. — Mines, 143,
163, 200. — Fondation du fort
Saint-Thomas, 143. — Ruse par la-
quelle Colomb se rend maître d'un
cacique ennemi de la colonie, 152.
— Défaite de l'armée indienne, 155.
— Tributs exigés, 156. — Fondation
de Saint-Domingue, 172. — Bava-
dilla remplace Colomb dans le gou-
vernement, 181. — Impût sur les
mineurs , 200» — Ovando remplace
Bovadilla, 499. — Perfidie d'Ovando
contre les Indiens , 208. — Dépopu-
lation, 246. — Atroces procédés à
l'égard des Indiens, 255. — Popu-
lation, 409.
Halai ( village du mont Taranta ,
Abyssinie). Figure des habitans. Bé-
tail, t. XXIII, p. 208.
Httifaia (ville du Sennaar, Nubie).
Aspect. Étendue. Manufacture, tum.
XXIII, p. 491.
Aa/f a«(tle, groupe Loyalty). Nom-
mée par d'Urville, t. XVIII , p. 304.
DES MATIÈRES.
377
Hêlt (fUl« d« U BitUn^. Fanmiei
mliiM d« Ml, t. XLY.p. 875 à 880.—
Intérieur flo U tIH*. Manafaotura,876.
Hall. Son voyage de découverte
à la côte occidentale de la Corée,
t. XXIf p 1 . — Vitite un oiief coréen ,
14 et tuiT., as f 89. — Arrive à Tlle
Loo-Clioo, 59. — Reçoit d'nn haut
chef une vitite qu'il (ni rend, 87,
93 et suir, , 167. — Fait un prome-
nade Ji terre, 109, 121. 132, 162. —
Décourre et décrit le port Mel-
ville, 132 il 143. — Reçoit visite du
prince, 167.
Hall ( groupe de Sir-James-, mer
Jaune). Apect. Habiuns , lenrs véte-
mens, leur naturel insooiable. Vil-
lage, t. XXI, p. 1 et suiv.
HêUum ( Ile du Nil ), Souvenir de
l'olivier de Strabon, t. XXtIl , p. 74.
Hamoa ( Ile, archipel des Amis ),
t. X,p. 46.
Bawuur/ut (port de l'Ile Qnaloè'n ,
Norwége ). Maisons. Hospitalité .
t. XLV , p. 200. — Baie. Poissons,
Habitons, 231. <— Soirées, chants,
232. — Belles femmes. Toilettes, 234.
— Un hiver passé dans le pays, 247 et
suiv. •— Phosphorescence de la mer
Polaire, 248. -> Approches de l'hiver,
251. — Départ des Lapons, 253. —
£ffet produit sur l'horizon par le so-
leil au-dessous. Aurores boréales,
260. — Etablissement commerciaux,
277. — Population. Nature du com-
merce, 278. •» Vie intérieure des
colons., 279 à 283.
Hanmr* (Nouvelle-, Nouvelle-Bre-
tagne, Amérique septentrionale ).
Nominée par Vancouver, t. XIV,
p. 451. — Aspect du pays, 419. —
Fourrure d'un animal indigène. Mu-
tilations et omemens extraordinaires
des naturels, 420. — Leur figure,
422. — Ile Hawkesbnry, 429. —
V. Démit d* la H«iiu ' ÇhoHotl* ^
Arehipal de Pitt.
Hanovre (Nouvelle-, tle, archipel de
la Nouvelle -Bretagne). Découverte
par Carteret, t. III, p. 15d.
Haoutta (royaumedu Sondan).Ren-
seignemens divers, t. XXV, p. 164,
245. — Voyage dans l'iotérieur. Be-
delurfie, XXVII, 330. — Objets du
commerce , 333. — Pays et tribu des
Bcdites , 334, 341. — Arbres remar-
Îuablei, 884. — Acrienltvre, 888,
46. — Province de Bede Guna, 888.
» Huttes, 841. — Sansang, 842 1
844. —Yaeoba. CannibalUme, 856.
— Campagne, 866, 895, 898. — Cos-
tnme et arme* des guerriers, 874.
— Boxeurs, 884. — Kadania, 804.
— Faniroce, 395. — Province de
Cachena , 396 — Voyage dans l'in-
térieur à travers le Guari, le Zeg-Zeg,
XXVIII, 183 àg67.— Kotoncora,a(n.
Magaria, 222,227. — Mœurs, usages
et coutumes des Cambriens , XXX ,
219 a 222. — V. provinces on tribus
de Btdtcti Cotica, F*lataht , Guari ^
Goubtr, Kam, Katagoum, Yaeoba,
Zamfra, Ztg-Ztg.
Hauuia mipitale dn HaouHa), tom.
XXV, p. 164, 245.
Hapaê* (groupe, archipel des
Amis ). Reconnaissance et descrip-
tion des Iles du groupe , t. IX, p. 8a0
à 388. — Aspect. Iles qui le compo-
sent, 850 — Denrées , 351. — Cé-
rémonial de la réception qu'on y
fait à Cook, 852 et suiv. — Com-
bats simulés partagés par les fem-
mes, 855. — Amnsemens nocturnes
des naturels, leurs chants et leurs
danses, 858 à 368. — Femme ocu-
liste. Singulier moyen |>onr raser
les cheveux , 374. •-• Respect pour le
roi, 381.Voy Foa^Hamto, Utolaiwa,
L«fooga.
HapMon (tle,'gronpe Burdet, Poly-
nésie). Nommée par Beechey, tom.
yix, p. 434.
iSTara^ (ville dn Penjab,Hindoust.),
Ses ruines, son histoire, t. XXXVII,
p. 423.
Hardonaroxi HurduMr^rAle de l'Hin-
donstan). Situation. Description de sa
célèbre foire, t.^ XXXVI , 453 et suiv.
Harem. Appartement des femmes
d'Orient. Le médecin est le seul étran-
ger qui y soit admis. Précautions ,
t. XXII , p. 406. — Détails sur les
harems de Perse, XXXI, 230. —
Détails sur l'intérieur des harems de
Turquie, XLVI , 88 à 90, 108 à 114.
Harp* (Ile de La , archipel Dange-
reux). Découverte et décrite par
BougainviUe, t. IV, p. 203. — Est
probablement celle que Cook nomina
plus tard du Lagon , VII , 150.
Hartfoni (ville du Connecticut,
/^
S78
Étato-UoU ). ReaartniakUa 4tabii»M-
mrni pabliri , t. XXXIX , p. 174.
II»»M0 ( Tilie dn Wogora , Abjui-
nte ). Sitaatioii. Monti reOMrqaables,
t. XXIII, p. 257, 258.
UwanM (tabula de l'Ile d« Cuba).
Son heurense potition, t. XXXVIli ,
Ï. 411. — Popalation, port, rue»,
18. — Bel aspect. Edifices , 414. —
AméUoratioiit. Ceodrei de Colomb et
de Cortea, 415. — EnTironi. Climat,
416, 420.— lotUtutiont divertet, 423.
^ Loterie, 441. Vie du Cubanaii,
442 et mi*. — Belle promenade.
Figure. Cottame. Education des fem-
mes, 444. — Meurtre. Lit de ihttt ^
446. — Aspect. Habitans, XLI, 168.
—Jardin botanique. Palais épiscopal.
Marchés, 169. — Marché aux escla-
ves. Climat. Rues. TliéAtre, 170.
Hwot (Ile du Finmark , Norwége),
roo de Hœsten, t. XLY , p. 211. •—
Talc, 212.
Hawatf Toy. Sandmleh.
Hamkubury (Ile, Polynésie ). Décon-
verte par Edwards, t. XIII, p. 431.
^<i<rJl-Mi«i^(lle,IfouTelle-HanoTre.
Nommée par Vancouver, tom. XIV,
p. 429.
Hayiot (ville de la Roumélie, Tur-
quie d'Europe), t. XLIV, p. 52.
HafHa* ( tribu d'Abyssinie ).
Couleur. Vètemens, etc., t. XXIII,
p. 202.
Hkad. Son voyage à travers les
Pampas et les Andes, pour explo-
rer les mines d'or et d'argent. PrcH-
minaires , t. XLI , p. 278.— Franchi t la
Cordillère, 342 à 869.
Hebhth (viU^e l'Irak- Akari, Tur-
quie d'Asie). Dépravation des mœurs,
t. XXXII, p. 486
HiBcn. Son voyage dans les pro-
vinces supérieures du Gange, tom.
XXXVI , p. 1. — - Ses entrevues avec
le nawab d'Aoude, 187 et suiv. —
Refuse une invitation de la célèbre
Begum-Sumrou , 264. — Est pré-
senté à l'empereur de Delhi. Cérému-
mes. Cadeaux , 275 à 282. — Visite le
rajah c BuUumghur, 285. — Le na-
wab t Sikre , 288. — Le rajah de
Baroda , 869, 373 — Le nawab de
Madras, 432.
HAridet (archipel des Nouvelles^,
Austk'al.) . Iles Aurore, de la Pentecâte ,
TABLE GÉNÉRALE
d« Pie.de l'Etoile, t. lY, p. 207.-U«-
crlt et nommé par Cook, Vlll,829, 421 .
—Vilains babitans, 840.— Leur ooqit
semblable k celni d'une fourmi, 841.
•— Ornemens , armes , 542 — Grut
Igulers, 891. '— Voy. Iles Âmbrym,
^pé«, Èrf^mag», Ernmam, GranJtt
Cjr«lad»t, Jmmtr, Léprtu* , Lojralljr,
Îroupe ; MalUeçllo, Pa»«m, PtnUcél*,
*t0-d*-l'EMU , Swtdmiek, SaiM-Bat^
thélHUg^f Sêphini , Ttumm, Ttm du
Saint-Etprit.
H»4iit» «M Àrabtt PétrH ( province
de l'Arabie).. Voyage le long de la
c6te, t. XXIII, p. 181 à 187.— Beauté
du pays. Mont Ruddua , 135. —
Voyage de burckhardt , XXXII , 5. —
Naturels sont portés au commerce,
17. — État des chrétiens , 20, 161. —
Denrées, 28,82, 241, 246, 253.-
Portefaix, 41 Huttes k café, 45,
73. — Montagnes. Vallées, 45, 52,
St, 240. 244, 251 . 252, 258, 261 , im,
540. — Naturels ne voyagent que de
nuit , 46. — Sol , 47, 237, 240, 251.
— Arbres, 48, 55, 236, 259. — Uhl
ges des pèlerins, 51, 57, 09, 77, lia.
— Ras-el-Kora, 55. — ■ Productions,
55, 243, 253, 307. — Maisons du
Hadheïls , 56. — Costume du pèlerin ,
69 et suiv. ~ Musique. Chants , 1(tô.
— ftabegh , 246 et s«mv. — Ordre de
marche des chameaux, 243.— Puiti,
246, 250. — Baume, 255. — Voleurs,
?.')7. — Ujedideh, 258 — Remarque»
sur la direction des vallées, 266. —
E.«inèces de dattes , 298. — Volcan ,
5(H).— Manque de chevaux. Moutons,
325. — Torrent de Wady-Akik, 837.
— Beder, 343 à 345. — Aigles , 346.
— (Croyances sur la peste, 349, 355,
357. — Eaux thermales. Forêts de
dattiers , 874. Voy. Djdda, la Mtcqat,
Midin», Sinat, Su/m, Toi*/, Tor, fTa-
di-Sfiiaa, Yembo.
Heibaîe f ville de la Tatarie indépen>
daute).Cl)V>'*i>u de hx-iques, t.XXXVII,
p. i^\S. — Maisons. Costumes, 137.
Ht Iqelandt-f^ar {lies de l.t Norwége),
t. XLV, p. 120.
Hellespont, ou d/troitdff I/ar">'<rnel>ei
(entre la Turquie d'E» r.< "' j > 'i
quie d'Asie). Aspect dt. t -, ;. XLÎ /,
p. 281. /
Ileltingborg (ville de la Gotliic,
Suède), t. XLVI, p. 288.
DES MATIÈRES.
87U
jy«M (villa de la Syrlv, Tvnnit
(rAiie).Fortificatlont. Mal»oni. Mon-
quéeii. Combnt^ •Imalét, t. XXXII,
p. 4M.
Hémmi ( mont ), t. XLVI « p. 28. 58.
Wmif frille da KhoraMan , Parus ).
Comparaola à Itpahan. Grande pla-
ce. Basari. Moiquéa. PupaUtioo ,
t.XXXV, p.4t7.
UiaoMT. Se> opératiuDi aoi M ar>
qniiet , t. XIV, p. 877. — DéoooTre
les Ile* TreTeoen et Sir-Beon-Martin.
381. — L'Ile Robert, 884. — Eit tué
par les naturel» de Woabou , 887.
Hfrgtit f groupe •«' l'archipel des
Marquiiet V 1 ;i)>ii>rM par Hergett ,
nommé pat >' .. >«<v - lies Riou,
TreveovLi. Sir-II«ni. Martin, Robert,
p.87Ua584.
H*rm„'<ta ' : ille de la Transylra-
iiiR empire d'Antriche), t. XLIT,
7 S, 106.
liirmiM. Dc^icription de cet animal
et de ses lub'^niles, t. XLV, p. 91.
UiRoiM>TE. So» Toyages, t. I, p.' 4.
Rtnty (lied*, ou T*rrongg»mon,
Àlooa, Polyaétie ). Décuurerte par
Cook, t. VIII , p. 56. — Aspect. Na-
turels, IX , 321. — Leurs ornemens,
leur idiome , lenrs pirogues , 823.
Ui/ron (ville de la Grèce). Ses rui«
nés , son bois sacré, t. XLIV, p. 297.
aiglamitit (montagnards d'Ecosse),
t. XLVI, p. 276.
Himaliya ( montagnes de l'Asie ).
Voyage de Fraser, t. XXXV, p. 423.
— Portion visitée, 425. — « Aspect
sauvage , 426. — Végétaux. Animaux,
432, 478. — Habitans, 433.— Teint,
434. — Costumes, 435, 437. — Fi-
gare et état des fummes , 436. — Ma-
riages. Religion , 437. — Castes , 438.
— Polyandrie , 462. — Maisons, 464.
— Religions. Funérailles , 465, 466.
— Cornes sacrées , 478. — Sources
de la Djemma , 482, 485, 486. — De-
meure des esprits. Eaux tliermales,
483, 488. — Pic do Bender-Pouch ,
484. — Théâtre des faits mytliulogi-
queu hindou '^. Superstitions 485. —
'' ° is des divinités , 486. ~- Sources
maintes, 488. — Cérémonie du ghat,
490. — Sources du Gange , 493. —
Climat pestilentiel du mont Almorah,
XXXVI, p. 211. — Aspect des monts
dans le Rolulonnd , 213. — Buifi dé-
sertés périoifiquament, 314. — ^<>7*S*
dan* les niooM du Kemaonn , 316. —
/fj^M ( brouillard ) Ses déplorablea
rffets, 215, 318, 230 ~ Productions,
334, 335.— Al. im^>i« , 225.— Paysan»
kbasyas, 236. - Ai^^cts dans It
KemaouM, 339. — — 'é do Gan>
ghar, 329, ?^2, 248. — H^^Xnm des
principaux monts, 334. — Arbres,
345. — Jolies femn.r^ de Luckwarie ,
457. —• Polvandrie, 458. — TempU
hindou, 459.— Établissement pour
les eonvalescens européens. Effet '*s
niq&res d'un insecte, 460, 468.--
Point de vne magnifique , 4iBl et suiv
— Hommes filant , 46/. -~ Aspect des
monts des rives du Sutledge , aXXVII,
4. — /é. vues dn Penjab, 31. Voy.
l^tmiM, Gimg0lri, Khatjai, Htmw,
Théog.
HittJmhKoiuk ( mont» dn CabonI),
t. XXXVII, p. 114, 116. — Pasaa
d'Hajeibeiguk. 117, 119. — • Mours,
physionomie des montagnards, 118.
>— Passe de Kalon. Précipices affreux,
120. — Son aspect k Koundoui, 150
Uimlout, Peuples de leur race ,
t. XXXI, p. 20.— Caravenierais ,
65 Charlatxns , 66. — Pagode de
courtisanes, 67. — Manière de tra-
verser les rivières, 68. — Marque
distinctive des purifiés dans le Gange ,
75. — Idoles , 77. — Tombeaux, 78.
— Chasses , 87 et suiv. — Antique
origine , 338. — Sobriété. Repas ,
839 — Habillement. Ornemens. Fem-
mes, 840.— Habillement et ornemeas
des femmes, 842 et suiv. — Vêtement
des veuves , 344. — Voyages , 346. —
Castes ou état des personnes, 848. —
Importance du mariage. Polygamie.
Disproportion d'âge. Couches, 349,
350. — Infériorité des femmes , 851 ,
352. — Règles do conduite pour les
femmes , 353 à 356. — Éducation ,
vie , costume , réputation des Bayadè-
res hindoues , 348, et XXXVI, 438. —
Pèlerinages à la Mecque, XXXII, 198.
— Formes physiques, XXXIV, 239 à
246.— Ablutions, XXXVI, 21.—
Détails et observations sur le SutUx
ou sacrifice des veuves , 34. 134, 154,
289. — Ridicules austérités , 38. —
Consommation de l'huile de moutarde,
,%. — Habitudes domestiques , 85. —
Bijoux des femme» ,119. — Compas-
380
TABLE GÉNÉRALE
sion pour les animaux, 121, 227, 29(,.
395.— Suicides fanatiques, 135, 154.
— Caractère, 136,322. — Le persan,
langue de commuDication, 137' —
Fête de Ramaguna , 165. — Durée de
la vie, 205. — Casherponr, lien de
pèlerinage, 251. -*■ Fête et foire dn
Nu$wtd, 309. — Esprit d'égalité des
Hindous du centre, 322, 337. —
Houley ( carnaval ), 344. — Trinité
hindoue, 410. — Superstitions ,
443.
Hindouttan.yojage dans l'intérieur,
t. XXXI, p. 62. — Caravenserais , 65.
— Pagodes de courtisanes, 67. —
Lions et léopards apprivoisés, 69, 87.
— Idoles, 77. — Tombeaux, 78. —
Chasses , 87 et suiv. — Voyage de
Sonnerat, 337. — Bel arbuste. Son
utilité pour les femmes , 343. — Mai-
sons , 345. — Meubles. Voyages , 346.
—Notice sur les établissemens français,
457. — . Tours. Lieux divers , XXXV,
427 et suiv. — Voyage dans les pro-
vinces supérieures, XXXVI, 1. —
Shaddoc. Plantains (fruits), 2. — Pre-
mier établissement des Anglais , 6. —
Introduction de la pomme de terre,
8. — Pagodes , 27, 149. — Animaux
sacrés, 60, l43. — Scorpions, 120.
—Avenues, 140. — Célèbre vishvage-
sar, 149. — Sanctuaire le plus révéré
de l'Hindoustan, 157. — Caravanserais,
171. — Ancienne manière de passer
les rivières, 231. — Confection de la
glaee, 254. — Cabanes des contrées
supérieures, 257. — Gypseys (espèce
de Bohémiens ), 259. — Jumna-Mus-
jeed, le plus bel édifice musulman,
266, 452. — Hôpitaux pour les ani-
maux, 395. — Caverne cruciforme.
Trinité hindoue , 408 à 410.— Grande
foire d'Hardouar, 452. Voy. Ghattet,
monts.
Hindous tan (Etats ou provinces des
contrés de 1' ). Voy. Adjemir, Agra ,
Allahabad, Aoude , Behar, Bengale,
Beltum, Bischur, Cachemire , Carnatic,
Coehin, Conean, Comluirseim, Daoudpou-
tra, Dekkan, Delhi, Djoubel, Gurwhal,
Guzerat», Kemaoun, Malwhoy Népaul ,
Penjab, Rajpoulana, Reuiain, Rohilcund,
SinJhx, Théog.
Hindouttan (castes, tribus de 1' ).
Voy. Bayadèret, Bhatt, Bhetls, Boras,
BrahmiMtj Goundt, Gypteys , Joins,
Khasyas, Kolii, Partit, Puharheit, Raj-
pouti, Seikt.
Hindouttan ( fleuves de 1'). Voy.
Djemma, Gange, Hougly , Hydatpe ^
Indus.
Uinza (village de la Gafrerie). Mo-
bilier d'une hutte, t. XXIX , p. 303.
— Costume et taille du chef, 304.
— Femmes cafres, 306. — Usage du
cheval, 309.
Hipalut. Mousson du sud-ouest ainsi
nommé par les Romains, 1. 1 , p. 8.
Hippa (ile de la Nouvelle-Zélande)
t. VII, p. 306.
Hippopotame. Description de cet
animal , t. XXVI , p. 245. — Est sen-
sible à la musique, XXVII, 208.
Hispaniola, Voy. Haïti.
Hoapiniu {ile, iner de Corée). Son
aspect , t. XII , p. 326.
Hobart-Town (capitale de la terre de
Van-Diémen ). Ses maisons, ses rues,
t. XVIII, p. 318, 324. — Situation,
323. — Port, monumens, 324.
^o^o/««(archipel)oudeBergb,olu le
Torre, lies Carolines). Iles qui le com-
posent. — Habitans, t.XVlII, p. 180.
.—Nommé groupe Bergh par Maurell,
XX , 207, 212. — Bel aspect, 207. -
Récifs , 209. — Canots divers, voiles ,
301 et suiv.— Ustensiles de pèche, deux
races d'habitans ennemis, 304, 317.
— • Figure des naturels, vêtement,
belles femmes, oruemeus, occupa-
tions , 306 et suiv. — Mœurs louables,
adresse, 312. — Religion , 314. —
Mariages, funérailles, 316. — Com-
bats, armes, 318. — Habitations,
lits, 320. —Fertilité, 322. — Produc-
tions de tous les règnes, climat,
324.
Hollande. Conquêtes des Hollandais
dans les Indes sur les Portugais, 1. 1,
p. 119. — Ont seuls, des Européens,
la permission de visiter le Japon ,
XXXI , 111 , 132, 161. — Leurs hom-
mages à l'empereur, 138. -—Voyage
et réception de l'ambassade, 150. —
Moyens employés pour monopoliser le
commerce des épices.Voy. JÙoluques,
Voyage dans l'intérieurdcla Hollande,
aspect de la campagne , bonheur du
peuple, t. XLVI, p. 190 —Canaux,
digues, 191. — Saisons, 192, — Pro-
preté des Hollandais, 192, 193. —
Leurs mœurs et habitudes, 193, l'Jl
Buddah, 188.
DES MATIÈRES.
3«1
■Hollande (Nonvelle-, on Australie).
Découverte par Tasman, t. I , p. 344.
— • Décrite poor la première foin avec
soins par Danipier,d90, 426.— Manque
d'arbres fruitiers , d'animaux, 391. *-
Description du pays par Cook. Voyez
No^vtlle ' Galles mMdionale. •— Re-
cherche des causes du petit nombre
de ses naturels, VI, 385, 404. —
Càte sud -ouest explorée par Van-
couver qui nomme plusieurs caps,
baies, etc., XIV, 14 et suiv. — Ré-
servoirs de poisson, 27. — Remar-
Sues sur le pays et les productions
e la côte sud-ouest , 82 à âO. —
Climat, 40. — Arbres, 42. — Qua-
drupèdes, 43. — Oiseaux, 44. —
Productions marines, 45. — Reptiles,
animaux nuisibles, insectes, 46.— Dé-
vastation extraordinaire produite par
le feu, 49. — Sol sablonneux, XV,
105.— Divisions territoriales, XVIII,
15. —Historique des reconnaissances
XXI, 326. — Remarques sur ce qui
reste à faire sur les côtes, 428. —
Productions, animaux, XLIII, ix, x.
— Voy.ige de Sturt dans l'intérieur ,
168 à 276. — Ses résultats , 276 et
suiv., 279. — Situation, température,
168.— Rivières, 169, 176, 177, 244.
— Causes de stérilité, 171. — Plan-
tes, 171, 227. — Rivages, 172, 173.
— Belle végétation de l'Illawarra,
173. — Oiseaux, 172 , 182, 252, 257,
297, 307, 332, 337, 346, 351. —
Sécheresses périodiques, 173, 178 ,
274. — Historique des découvertes
faites dans l'intérieur, 175 à 178. —
Montagnes bleues, 175. — État pré-
sumé de l'intérieur , 178. — Explora-
tion du cours de la rivière Macquarie,
179 à 226. — Arbres, 183, 185, 186,
188, 190, 195, 224,283.— Lac
Baddah, 188. — Sécheresse des en-
virons ,190. — Monts Harris, 198 ,
199,225, 264. — Mont Forster, 199.
— Marais de la Maquarie, 202, 210
à 216, 218, 223, 261.— Incendies,
211, 212, 250,261,262. — Pia-
teaud'Oxley,217,240, 242.— Groupe
d'Urban, 217, 241. — Mont de New-
Year, 220 , 230, 233. — Campagoe,
226, 227, 235 , 239, 262, 273 , 302.
— Mosquites , serpens, 227. — Mou-
che kangarou, 234. — Contrée dé-
solée, 235, 237, 302. — Montagnes,
Violettes , 236, 269. —Taillis, 238
et suiv. — Contrée fertile , 240. —
Rivière »alée , 244. - Voy. Darling. —
Village indigène, 248. Son étrange
entendu dans la campagne , 254- —
Etangs de Wallis, 266. — Étangs de
Morrissette, 266. — Rivière Castel-
reagh,267à 271.— Melons savoureux,
275. >— - Expédition sur les rivières
Morumbidje et Murray , 279. —
Rochers de quartz, 382. — Plaines
d'Yass, montagne Pouni , 283. —
Caractère du pays entre l'Undevaglia et
la Morumbidje, 284, et suiv.— Plaine
Pondcbadjeri, 291. — Mirage, 301.
— Lac (Alexandrina) où se jette la
Murray, 334. — Baie Encounter ,
336 , 379. — Remarque générale sur
l'intérieur. Traces du déluge, 36^ à
366. — Observations sur le golfe Saint-
Vincent et ses rives, 368 et suiv. 381.
— Belles vallées du cap Jervis et des
environs, 368 et suiv. — Mont Bar-
ker, 370. — Port Américain, Port
Lincoln, 380.
Voy. Australiens, naturels; Darling,
Lachlan, Maeguarie , Nouvelle-Galles
méridionale , Morum-bidje , Murray,
Terre de Lewin, Terre de ijfuyts. Terre
de fFilt , Jackson,
Hollande, hotlentote (province de
la colonie du cap de Bonne-Espé-
rance). Voyage dans l'intérieur , cam-
pagnes, productions, t. XXVI , p. 40.
— Lieux de repos , 47. — Maisons de
bains d'eau thermale, 48. — Hôpital
de lépreux, 51.
Holsteinborg{à.\itc\ct du Groenland),
t. XI, p. 35 — Maisons de Tiriéniak-
Pudlet , 36.
Holy-Rood. Château d'Edimbourg ,
t. XLVI , p. 285 , 286.
Honevy ou Onevy (Ile, archipel des
Amis ). Sa description. Ses naturels ,
t. IX, p. 446 et suiv.
Hongrie ( province de l'empire d'Au-
triche). Ses plaines comparées aux
savanes , tom. XXXVIII, pag. 372. —
Voyage dans l'intérieur; XLIV, 115
à 131.-^ Rançonncment des voya-
geurs, 115. — Villages et maisons ,
116,117,120,122,124,126,150,158,
181. — Rivières, 116, 122, 123, 164.
— Couvent célèbre. Belle vue, 118.
—Grandes steppes, 119, 120,123, 150.
— Radua. Hyppa. Arad, 118, 119. —
\
382
TABLE GÉNÉRALE
Costume, servitude, occupations des
paysans, 121. — Beau clocher de
Saiut-Martin , 122. » Sibonrkatsoli ,
125. — Grandes roues borizontales ,
125i — Différence dans les formes
physiques des Hongrois et des Autri-
chiens, 129. — Raab. Le pilori, 130,
— Presbuurg , 136. — Denrées , pro-
ductions propres au pays, 139 , 146,
153.-_Vins de Tokai , 1 46. >— Brigan-
dage des nobles, 148- — Caractère, ha-
bitudes des Hongrois,149. Troupeaux
150. Manufactures, commerce , 152
— Tolna, 151, 154. — Champs de ba-
tailles, 158, 163. — Vuckovar, Ka-
menitz, 161. — Petervardein. Prêtres
grecs, 162. — Semlin. Belgrade, 163.
— Établissement d'une route sur les
bords du Danube, 182. — Orsova,183.
■^Abus criaus qui subsistent encore,
186. — Aperçu de la constitution ,
188. — État des personnes, 189. —
La bulle d'or. Privilèges des nobles,
190, 195. •— Prérogatives royales,
191 et suiv. , 199-.— Dignité de pa-
latin, 193.— Magnats. Leur costuiiie,
194, 208, — VUles libres, 196.—
Diite, 197, 198. — Revenus de la cou
ronne, 198. — Armée, 199 — Voyage
dans le pays.^ — Origine des Hongrois;
XLYI , 127. — Privilèges conser-
vés. La diète, 128. — Récolte du vin
de Tokai, 130 à 132. — Habitans di-
vers du pays, 218 et suiv.— Les Czin-
gares, 219, 224. — Sol. Montagnes.
Fleuves, 221. — Coup d'oeil sur la
province et ses habitans , 222 à 224.
Sol, ses rapports avec celui de l'E-
gypte. Eaux salées,222. — Caractère,
figure, langue, costume, signes dis-
tinctifs du noble, 223. — Religion,
236. — Juifs, 239. Voy. Bude, Pesth.
Hood (ile, archipel des Marquises) ,
Nommée par Cook, t. VIII, p. 189. —
Son aspect, 205; XVI, 133. — Son
origine, productions, animaux, 415.
^O0<£ (lie de Lord- , Polynésie). Dé-
couverte par Ldwards, t. XIII, p. 419,
440. — Et non par Wilson , comme
leditBeechey;XIX, 152.
Hoolaiva (tle, groupe Hapaee, ar-
chipel des Amis), t. IX, 350. — Sa
description, 377 et suiv.
Hope (pointe, Amérique russe).
Nommée par Beechey, t. XIX, p. 255.
— Laideur des naturels , 256.
Ho-Tehov ( ville delà Chine). Rois
de l'enfer. Théâtre, tom. XXXIII,
p. 401.
Horeh (mont de l'Hedjaz, Arabie),
t. XXIII p. 133.
i/ora( cap, à l'extrémité sud de
l'Amérique méridionale). Découvi>rt
par Le Maire , t. I, p. 285. — Dange-
reux et difficile à doubler, II, 110. —
Sou aspect, IX, 75. — N'est point
difficile à doubler, XII , 63, XV,
330. •— Son aspect imposant, XXI,
273; XLI, 374.
Horn{l\e de, Australie). Décou-
verte par Le Maire et Schouten,
tome I, page' 302, 312. — Descrip-
tion de l'ile, des habitans , de leun
maisons. Singulières politesses et cé-
rémonies du roi et de sa cour , 303 à
312.
HoRHEMANir. Son voyage du Caire
à Morzouk, t. XXV, p. 416.— Repas
du soir à la caravane, 419.
Uotlentots (peuple du sud de l'Afri-
que). Connaissent l'art de fondre !e
cuivre. Singulière bénédiction nup-
tiale. Le prétendu tablier de chair des
femmes, t. VII, p. 131, 132. — N'eut
aucune religion, XXIV, 51. — Glou-
tonnerie, 124. — Retenue des femmes,
155, 166, 186. — Vétcmens. Orne-
mens, 158. — Soins des mères, 160. —
Mariages. Couches, 162- — Armes,
169. — Ignorance de l'agriculture ,
171. — Usage du tabac, 172. — Ani-
maux domestiques , 173. — Légumes,
fruits, 177. — Mesure de lianuée,
178. — Funérailles, 179. — Danses,
182. — Instrument de musique, 183.
— Occupations journilières, 186 —
Proportions du corps, 187. — Mœurs,
187. — Langue , 193. — Du tablier
de chair des femmes, 220. — Descrip-
tion d'une Hottentole, XXVI, 97. —
Jeu singulier, 138. — Voyage dans le
pays, 165 et suiv. — Kraals (villages),
178, 180, 184, et suiv., 302, 381, 388.
— Missionnaires, 197. — Instrument
de musique , 275. -^ Le kraal de
Ramah, XXIX, 21. — Voracité, 178.
— Aspect. Laideur des femmes ,
274. — Sont ennemis des Cafros,
276. —Moralité, 277. —Armes, 278.
— Missionaires. Éloquence, 295. —
Description du Sibilo, 388. Voy. Bas-
tert-Blanei , Gonaquoit , Hollande hot-
DES MATIÈRES.
383
tenlotê , KleurwaUff Llly-Founlain ,
Maaaiut, Namaquai, Ramah.
Hoûgly ( branche occiat.-ui!;. da
Gange). Ses rive», t. XXXVJ, p. 5, 7.
— Première possession de» Anglais,
6. — Promenade sur sa rive. Abla-
tions, 21.
Hourey (district da Galam , Séné-
gambie). Sa description,, t. XX VI 11,
p. 355.
Haut-Bay{co\oxiw du cap de Bonne-
Espérance, t. XXIV, p. 41.
Uotttniquas (pays du cap de Bonne-
Espérance ). Beauté. Miel, t. XXIV,
p. 72. — Colons, 74.
Houzouanas (peuple au nord du cap
de Bonne-Espérance). Redoutés de
leurs voisins, t. XXlV,p 389,411. —
Mœurs, 408, 414. — Taille , formes ,
412. — Huttes, 413. — Vie errante,
'114. — Comment découvrent les sour-
ces, 416. — Armes, 416. — Sont dis-
tincts deS Boscluraans, 417. — Bornes
(le leur pays, 4l8. — Masse de chair
au bas du dos chez les femmes, 419.
— Se graissent le corps, 422. — Si-
gnaux de nuit , 423.
How (lies du Lord-, archipel de la
Reide-Charlotte ) Découvertes et dé-
crites parCarteret, t. III, p. 133.
How (lie* du Lord- , Polynésie , près
d'Otatti). Découverte par WalUs, t. III,
p. 380.
Howe ( Iles, Polynésie ). Découvertes
par Edwards, t. XIII, p. 427.
Howell ( ville du Massachussetts ,
États-Unis ). Importantes manufactu-
res, t. XXXIX, p. 154. — Mariages
des ouvriers, 155. — Établlssemeus
divers, 158.
Hoaheine (lie, archipel de la Société).
Découverte par Cook, t. V, p. 325. —
Productions Grauds haugars pont
le» pirogues, 329. — Coffre eutière-
meat semblable à l'arche d'alliance et
appelé Maison de Dieu, 330. — Ha-
bitans , 333. — Description de l'île ,
VII, 443 —Chiens, 448. —Mauvais
traitement qu'y éprouve un des com-
pagnons de voyage de Cook. Belle
cuuduite du roi , 449 et suiv. — L'in-
sulaire O-Maï s'embarque sur un des
vaisseaux de Cook, 456. — Arréoys,
ou sociétés secrètes. Leur but immo-
ral, VIII, 263, 272, 274.— Repré-
sentations dramatiques, 267. — Cook
à son retour y établit O-Maï, X, 177
et .suiv.
Hudikswalt ( ville de la Suède ),
t. XLV, p. 333.
Hunsoir. Ses recherches du passage
au nord de l'Amérique , t. XL , xxj.
— • Découvre le détroit et le golfe ou
mer de sou nom. Sa fiu tragique ,
xxij.
Hudsom (rivière des Etats-Unis).
Son lit, t. XXXIX, p. 23. — Beauté
de ses bords , 32. — Paquebots, 40.
— Communications, 78.
Hudson ( mer ^' , Amérique septen-
trionale). Découverte par Hudson.
Climat, t. XXXVIII, p. 31 ; XL, xxij.
— Aspect de l'île des Passages, 390.
— Baie Repuise. Traces d'habitims.
Animaux, 391 , 392. — Baie havi-
land , 394. — Ile Burchnam , canal
Hutd, cap Montargie ^ 395. — Anso'
Dackett , 397. — Ile Vantittart , 399.
— Établissement des compagnies,
477- — Mœurs, usages, etc., des In-
diens creeks, 479. —V. Cumherland-
House , Southaïkplon.
Hué ( cap de la Cochinchine ). For-
tifications de l'embonchiire de la ri-
vière, t XXXIV, p 369, 370.—
Bea^ix canaux de Ceinture, 377- —
Beauté des rives de la rivière, 378.
— Propreté des villages cnvironnans,
379. — Chevaux. Sol des environs ,
380. — Citadelle de la ville , 381 ,
393, 394. — Portes, 382, 394. —
Visites au mandarin des éléphans,
383 et suiv. — Mandarins français,'
383. — Acteurs chinois. Musique,
384, 392, 436. — Audience royale
refusée à des Anglais, 392. V. Finlay-
son, — Bazars. Greniers publics , 395.
— Casernes royales. Costumes , 396.
— Arsenal d'artillerie, énorme canon,
397. — • Supériorité duc aux Français,
398 , 401 ■ — Influence française
ruinée , 398 et suiv. — Pauvreté du
bazar, 404. — Visite au Tacoon, 424
434. — Tablettes et boîtes ornées de
Mia, 424. — Repas, 430. — Canal
hors de la ville , 440-
HuMBOLiiT. So^ voyage aux ré-
gions équiaoxiales d'Amérique, toin.
XXXVIII, p. 355 — Son étude com-
parative des savanes, steppes, déserts,
371 et suiv.
Hnrex-ka'Putlun ( ville du Penj.'ib,
384
TABLE GÉNÉRALE
Hindonstan). Bac. Hospitalité , tom,
xxxyii,p.&
HoTTOir. Son ambassade dans la
pays des Acliantis, Guinée,!. XXYIII,
p. 380.— Son objet, 385. — Sa Tisite
an roi , 397, 405.
UuttoH (tle> mer Janne). Aspect
Naturels , leurs vétemens, leurs for-
mes , t. XXI, p. 9 et suiv.
Hjrdatp* ou /«Inm ( rivière dm
Penjab). Son lit Ses eaux. Ses cro-
codiles. Bateaux des Macédoniens ,
tome XXXVII , pages 55 et suivan-
tes. — Sa sortie des montagnes , 45.
Hydra (ville de la Grèce), tom.
XLVI, p. 214.
Hjdnbad (capitale du Sindhy,
Hindonstan). Présentation à l'émir,
t. XXXVII, p 357, 358. — La cour,
859. — Environs. Iniui, 361 • — PopnU<
tion. Demeure de l'émir. Fort, 362.
— Canot de l'émir, 363.
HypofUi, ou catacombes égyptien-
nes admirablement décorées. Descrip-
tion de ceux de Thèbes, t* XXII ,
p. 430 et suiv.
Unitak ( vUle de la Sibérie ). Bftti-
raens publics. Convens. Caractères,
t. XXXI , p. 275.
Ika-na-ma»i ou EaheiHomaui»* (l'une
des deux grandes lies de la Nouvelle-
Zélande ). Exploration des côtes par
Cook, t. YI, p. 1 à 115. — Situation
de ses habitans 'différente de ceux
de Tavai - Pomanou. Son littoral ,
XVIII, 256. —Etendue, XX, 175.
— Pour les détails , voy. NowelU-
Zéland:
lUs-lagunet. Ce qu'est cette sorte
d'Iles, t. xni,p 419.
Ilimsk ( ville des Tungouses , Sibé-
rie). Vie des babitans, tom. XXXI,
p. 284, 287.
///(no{f(un des Etats-Unis). Ses
plaines , t. XXXIX, p. 380.
lUistut ou Ilissut (fleuve de la Grè-
ce), t. XLVI, p. 215.
ïmao (Ile près de Taïti), t. V,
p. 172, 176.
Immtr ( tle, archipel des Nouvelles-
Hébrides), t. VIII, p. 401, 426.
Immirétiens ( peuple de l'Immirétie,
province de la Russie d'Asie). Leur
territoire. Leurs traits , leurs formes.
Habitudes. Rivières du pays , t. XLV,
p. 450. — Productions. Vente d'es-
claves, 451.
Indiana ( un des Etats-Unis ). Pays
sans agrément, t. XXXIX, p. 380.
— - 'i Cineinnati,
Indo-Chine ( presqu'île au-delà du
Gange ). Ses fleuves et ses chaînes de
montagnes, t. XXXIV, p. 449 et suiv.
—Inondations périodiques, 451 .—Di-
visions territoriales , 451 , 452. —
Langues , 453. V. Coehinchine , Ma-
laea , Siam,
Indut ou Sind ( fleuve d'Asie ). Ex-
ploré sous Alexandre, 1. 1, p. 5 — Son
état dans le Penjab , XXXVII , 52,
54. — Sable aurifère , 55. — Explo-
ration de son cours, 339. -^ Man(;|ui*
de renseigneinens sur le fleuve , 340.
— Ses embouchures, 342^ — Souve-
nirs d'Alexandre, 345, 544, 578,383.
— AUuvioBs du Delta, 545. — Son
état à Taltah , 554. — Barques , ba-
teaux, 555, 363, 578. — Différens
bras , 353 , 355, 375. — Rives , 361,
563. — CbAteau de Schwan, 366. rr-
Ile. Forteresse de Bukkur, 375. —
Désert entre l'Indus et le Cbenab,
410. Voy. Selledg*.
Ingus Son voyage en Bavière et
an TyroJ, t. XLV, p. 337.
Inktrman (ville du gouvernement de
la Tauride). Ses cavernes, t. XLIY,
p. 413.
Jnn (rivière duTyrol). Sa belle vallée,
t. XLV, p. 362. — Lieux remarqua-
bles de la vallée , fameuses mines de
sel de Hall , 375 à 380. — Abbaye
de Wilten, 575. — Villages, 375,
580, 382. — Scbwartï, 380. — L'A-
chensée , 381. •— Rives , 404.
Inaccessible ( ile du groupe Tris-
tan d'Acunha) , t. XX, p. 147.
Inquazhilligee , Voy. R^onjerque.
Inspruek (capitale aa Tyrol ). Envi-
rons, t. XLV, p. 563, 384. — Jolis
édifices. Aspect. Processions, 564. —
Bogers, 367. — L'évation, 368. —
DES MATIÈRES.
385
DivertiBsemens, drames ucr^i, 369.
— Krmitago de Maximilieo. Détails
liistoriquos, 370, 371. —Cathédrale.
Tombeau de Maximilien, 372. — Au-
tres églises. Beaux tableaux, 373, 374.
— Cimetière, Cabiuet d'histoire na-
turelle. Galerie de tableaux, 374. —
Population. Température , 383.
ioniennet Hlcs, mer Méditerranée).
Navigation daus leurs eaux, t. XLIV,
p. 325 i et XLVI, 198. — Itaqne. Cé>
phalonie, 201. — i Zante, 203. -^ Cy-
thère, 205. Voy. Corfou.
Irak'Akary (province de la Turquie
d'Asie ). Heblieb. Dépravation de
mœurs, t. ;j:XXII, p. 486. —Bag-
dad, 487 et suiv. — Ruines de Baby.
lone, 495.
Irhoutslc (ville de la Sibérie). Fon-
datina. Situation. Maisons. Gouver-
neur. Evéque. Police. Environs. Gi-
bier, t. XXXI, p. 282.
frlanJaii, Leur caractère comparé
à celui des 'Écossais et des Anglais,
t. XLVI, p. 273.
Irlande (Nouvelle- , lie, archipel de
la Nouvelle-Rretagne).' Découverte et
descriptiou du détroit qui la sépare de
la Nouvelle-Bretagne, t. III , p. 149 et
suiv. >- Longues pirogues, 153.—
Usages des naturels, 154. — Naturels,
leurs armes , nourriture , industrie ,
pirogues, XVIIl, 145, 146.— Pro-
ductions de File. Naturels, XX, 372
et suiv.
Isabelle ( lie des Lucayes ). Décou-
verte par Colomb. Animaux. Maisons.
Jlamacs. Ornement d'un indigène,
;. XXXVIIl, p. 100.
Isabelle ( ville de l'île Haïti). Fon-
dée par Colomb, t.XXXVlII, p. 138,
144.
Isolant. Indiens de Batavia. Leur
occupi^ion , t. Vif, p. 88. — Leur
nourriture , 89. — "Toilette des fem-
90. — Opérations que les detix sexes
font à leurs dents , 91 . — Extrava-
gante et sanguinaire pratique , 92. —
Opinion absurde sur le diable et sur
les couches des femmes, 92.
Iser (rivière de la Bavière et du Ty-
rol),t.XLV,p.358,361.
Islande (lie, océan Atlantique). Dé-
couverte par les Scandinaves, t. I,
10. — Saisons et leurs phénomènes ,
XL, ij et suiv — Est une dépendance
du Groenland, XLVI, 6. — Premiers
établissemens d'Européens. Détails
historiques. Taille, figure, vétemens
des Islandais, 78. — Maisons. Occu-
pation des deux sexes. Caractère.
Amusemens. Imprimerie. Poésie. Sa-
gas, 79. — VËdda. Climat. Nourri-
ture. Maladies des habitans, 80. —
l'Hécla. Sources d'eaux chaudes Ba-
salte, 81 .
Ispalian ( ancienne capitale d« la
Perse ), t. XXXI, i>. 207. — Médecin
persan, XXXY, 46. — Cupidité des
Persans, 48.
Istrie (provincI de rillyrie, empire
d'Autriche). Rovigo, t. XLIV, p. 533.
— Aspect de la côte, 334.
Italie. Voyage de M. Albert-Mon-
tcmont, t. XLVI, p. 260. — Dimen-
sions, 261. — Division. Climat, 262.
— Montagnes, lacs , fleuves. Carac-
tère des Italiens , 263. — Gouverne-
inens. Religion. Coup d'rcil sur ses
Etat set leurs capitales, 264 et suiv. —
Culture passionnée des lettres. Etat
des femmes , 269 et suiv. — Adultère
• toléré, absence de tendresse conjugale
et maternelle, 272.
Ithaque ou Thiaqui (ile Ionienne ) ,
t. XLVI, p 201.
/. Chercher à Dj les mots que l'on
ne trouvera pas à /.
Jackson (port de la Nouvelle-Galles
méridionale , Nouvelle-Hollande ). Sa
description , t. XLIII, p. 5. — Fonda-
tiou de l'établissement pénal, 175u
Jadois (ville de l'Yarriba ). Etat des
veuves du chef, t. XXX, p. 63. —
XLVI.
Leurs privilèges. Costume des habi-
tans. Hippopotames des environs, 64.
Jaffatien (ile, mer Rouge), t. XXIII,
p. 131.
Joins, Secte de l'ouest de l'Hin-
doustan, t. XXXVI, p. 151, 323.
Jalapa ou Xalapa ( ville du Mexi-
que). Belle route qui y conduite Bel
3S
«»
380
TABLE 6ËNÉHALË
aspect de la ville, t. XM, p. 22 —
Soin ancica état florÏMant , 23. —
Maitnni. Églises. Costume dc« fenf
mes, 24. — Magazios , boutiques.
MoBurs ot usages des liabitans, 25 et
suiv. — Repas, 27. — Café, t07.
Jalap, 108 — Salubrité du climat,
beauté des environs, 1ll.
Jalofi ( peuple de Séuégambie ).
Figure, t. XXII, p. 45. — Mœurs.
Cérémonial. Epreuves judiciaires, 46.
•^ Armes, 48. — Beligion. Figure,
XXV, 34, 35. — Taille. Caractère.
Case», XXY II 1,438.
Jamaïqu» ( Ile des Antilles ). Dé-
couvtirte par Colomb, t. XXXYIII,
p. 146. — Premiers chiens lâchés par
les Espagnols cu7ttre les Indiens,
211 «— Colomb annonce une éclipse
aux Indiens et en obtient des vivres ,
217. — Première colonie espagnole.
Forme, étend'ie, montagnes, climat de
rué, XLII,459. -•■ Villes principales,
460. — Remarquable caractère des
habitans, 461.
Jambu-ejrti; Description de ce fruit,
t. VU, p. 70.
James ( Ile, groupe Gallapagos) Ses
tortues, t. XVI, p. 102. Ses autres
auimaiix , 105, 107. — Sol , 106
Jamuichtu/a (ville de Sibérie). Fa-
meux lac salé . t. XXXI , p. 263.
Jamabad ( ville du Delhi , Hindous-
tan ). Maisons. Palais impérial, tom.
XXXI, p. 72.
Jannah ( ville de l'Yarriba ). Sculp-
tures. Rues, t. XXVIII , p 123. —
Marché. Manufactures, 124.
Japon (empire du). Découvert par
les Portugais, t. I , p, 108. — Iles
qui le constituent, XII, 333. — Im-
mobilité des coutumes. Préservatifs
contre le froid. Gouvernement, XVII,
16. — Les Hollandais out seuls des
Européens la faculté de visiter le pays,
XXXI, 111, 132, 161. — Voyage daus
le pays, 1 1 1 et suiv. — Nom du pays
chez les naturels. Iles qui le compo-
sent. Superficie. Population, 112. —
Histoire. Gouvernement, 115, 125,
126. — Histoire. Privilèges, etc., de
l'empereur temporel, 115, 158. —
Histoire. Privilèges de l'empereur ec-
clésiastique, 115, 126, 158. — Climat.
Terroir, 119. — Tremblemens de
terre. Mines. Végétaux. Arbres, 120
AgricuUare. Animaux, 122. — Pro-
ductions de mer, 124. — Domaine de
l'empereur, 129. — Gouvernement
des villes, 135. Voyage et hommages
des Hollandais à la cour de l'empe-
reur, 138,150. — Précautions de
voyage, 139. — Grandes routes. Mil-
les géométriques, 141. Mauona, villes,
144, 162 — Postes. Hûtellerie, 146.
Vivres. Voyageurs. Pèlerins. Men-
dians Nonnes, 148. — Armée, 159.
— Boutiques , 163. — Manière de
voyager, 166. Voy. JMo, [capit. et ile
Miako , résidence de l'empereur ec-
clésiastique ; Niphon , Kiuiu , Sikolif,
Japonais. Habitations. Vêtement ,
t. XII, p. 336, 337. — Peuple de
race japonaise , XXXI, 22. — Histoire,
Il5, 125 — Race. Religion. Supersti-
tions, 116. — Nouveau culte. Diffé-
rences avec les Chinois. Frugalité,
118. — Oiseaux d'augure, 124. —
Fêtes , 127. — Couvens , 128. — Mai-
sons de débauche , 133, 150,159.
— Punition des crimes ou délits.
Funérailles, 136. — Précautions de
voyage, 139. — Voyageurs. Pèlerins.
Mendians. Nonnes, 148. — Eucy-
clupédie japonaise , 157. — Sectes
religieuses , 157. — Caractèi^e, 159.
— Hérédité des professions. Indus-
trie, 160. — Gouvernement. Concu-
bmes. Fiançailles,164. — Voyages,166.
/nrra (ville du Ludamar, Séuégam-
bie). Situation, t. XXV , p. 127. —
Maisons. Habitans, 131.
Jaune ( fleuve, Chine). Sacrifice au
fleuve, t. XXXIII , p. 477 , 478.
Java (Ile de l'Océanie). Décou-
verte par les Portugais , t. I , p. 106.
— Divisions politiques, IV, 377. —
Productions de l'île, VII, 63 à 79. —
Animaux domestiques, 80. — Tigres,
rhinocéros, 82, — Description de
Smarang, XIII, 433. — Audience
du roi, XXXI, 81. — Cherté des
enterremeus , 82. — Montagnes ,
XLIII , vj , liv. — Volcpns , vij. —
Rivières , viij. Productions , viij,
liv. — Animaux, x^ liv. — Superficie.
Population, liij. — Détails divers sur
la partie hollandaise , liv, Ivij. —
Climat , liv. — Nids - comestibles , Iv.
— Partie indépendante. Fertilité.
Belle campagne, Ivi. — Villes, Ivij.
— V. Batavia , Isalam,
DES MATIÈRES.
387
JaraHoii. Fanatinn« des pèlerins.
Enterrefflens, t. XXXI, p. 82. — Ci-
vilisation. Riche littérature, XLII1,
sij. — Religion. Pèlerinages i la
Mecque, xxij. — Industrie. Com-
merce, zxix. — État des femmes,
XXX). — Langue , xxxij. — Formes.
Teint, Iv. — Maisons, Iv, Ivj. —
Polygamie, 1t, — Dirertissemens ,
Wj. — Meubles, Ivij. — Costume,
Wij. — Caractère. Circoncision , Iviij.
Jbbtl-Manouar ( tle , Egypte , mer
Ronge), t. XXIII, p 120.
Jbbel-Sibergti (^ tle , mer Ronge).
Signification du nom, tom. XXIII,
p. 116. — Puits, 11/. — Coquillages,
118.
JtbbeUTtir (Ile, merBouge, K.). Si-
eoificAtion du nom. Volcan, t. XXIII,
p. 166.
Jean (prêtre). Nom donné en Eu-
rope au roi d'Abyssinie. Son origine,
t. XXlll , p. 347
Jedo ( Ile I*]iphon, cap. du Japon ) ,
t. XXXI, p. I'i9. — Hommages an
sultan , de la part des Hollandais ,
158. — Grandes rontes. Milles géo-
métriques , 142. — Situation , 155. — •
Aspect Maisons. Palais, 156. — Châ-
teau impérial. Encyclopédie japonaise,
157. — Jelum. Voy. Hyda'pe,
Jvnna (viflede l'Alquemi, Yarriba).
Environs. Costume du chef, t XXX ,
p., 47. — Barbares usages à la mort
du chef, 49, 54 et siiiv. — Dépopu-
lation , 50. — Industrie. Nourriture .
Usages divers, 52- — Femmes dévouées
à la mort , 54 et suiv. .— Tambours
ciselés , 58. '
Jerkin ( ville du Sondersfields,
Norwé^e ). — Danses , t. XL\ , pag.
78. —Le Dovrefri«-ld,79.
Jesso (ile , mer du Japon ). Coofu-
sion dans les notions sur cette Ile, dis-
sipée par La Pérouse, t. XII , p. 418
et suiv. — Distinction d'Etat. Com-
merce d'huile de baleine, XI ( 1,10-
— N'était point connue des Basse.-i
quand La Pérouse la découvrit, 13.
— Bace des naturels, 15.
JétKiUt. Fondent les missions du
Paraguay, t. IV, p. 107. — Leur dé-
vouement, 108. — Comment ils gou-
vernaient les missions , 111. — Sont
chassés d'Espagne et du Paraguay,
1 15. — Leur première église en Abys-
sinie, XXIII, 394. — Euient chargés
de la rédaction de l'almanach de
l'empire chinois, XXXIII, 210, 427.
Jitttt- Maria (ile, Australie), Son
aspect. Ses naturels, t. XV, p. 51 « 52.
J«Xpour [^\\\\t da Rajpoutana, Hin-
doMstan ). Environs , tom. XXXVI ,
p. 310. - Fortifications, 311. —Hô-
tel de la résidence. Climat. Magnifi-
cence de la ville, 312. — Maisons.
Tour. Population , 313. — Magnifi-
que palais, jardins, appartemens ,
absence d'escaliers, 318 à 317. — ■
Régularité des quartiers, 319. — Ab-
sence de politesse, 322.
Jhalloda (ville du Gnzerate, Hio»
doustan ) , t. XXXVI. p. 362.
Joag ( ville du Galam , Sénégam-
bie ) Population. Fortifications, tom
XXV, p. 84.
Joenkoeping ( ville de la Gothië,
Suède ). Petitesse des lits suédois,
t. XLVI, p. 289.
Joggabath ( lie du Sharg, Soudan).
Aspect. Gibier, t. XXVII, p. 242.
Johar ( tribu du Kaarta , Sénégam-
bie ). Religion. Superstition t. XXV,
pll4.
Johntton (détroit de , entre l'Ile de
Quadra et Vancouver et la côte d'A-
mérique). Découvert par Vancouver,
t. XIV, p. 291.
Johttston (ile, Polynésie). Décou-
verte par Douglas. Etendue. Aspect.
Productions. Naturels , tom. XIII ,
p. 376.
JootsiSima (tle, mer du Japon).
Son aspect agréable , ses édifices ,
t. XII , p. 339.
José-Basco (Don-, île, Australie).
Découverte par Maurrell. Misère des
habitans.Leur figure, t. Xllt, p. 217,
218.
jourd^ain (rivière de la Syrie , Tur-
quie d'Asie) . t. XXXII , p. 389. —
Figure des habitans de la vallée, 395.
Juan- Fernandez {lie delà côte ooest
de l'Amérique méridionale). Décou-
verte par Juan - Fernandez qui la
peuple dé chèvres , 1. 1 , p. 370. — Sa
dcscriptioD : terroir fertile , arbres
aromatiques , terre plus rouge que le
vermillon, plantes, beauté des val-
lées , race de?, clièvres détrn'tes par
les chiens , abondance de lions ma-
rins et de morues, II, 152 à 147. —
'M
TABLE GÉNÉRALE
Cartèret la trouve fortifiée par le*
Espagnols, III, 85. — Voy. Mata-
Futro, Stlkirk.
Juiftiu Maroè, Leurs bellesfeaiines,
t.'XXn, p. 157, 179. — Leur vie.
Sont très méprisés , 164 , 160 , 173 ,
uute. — Leur industrie , 167.
Julabad. Voy. Djtlalabad,
Jullind*^ ( Tille du Penjab, Hind.)
Muraille. Rues, t. XXXVll, p. 457.
J»ra (moDtagno , entre la France et
la Suisse), t. XLVI, p. 26. — Hau-
teur des principaux points , 44.
/nW«« ?tle de l'archipel de la Loui>
siade). Découverte par d'£atrecas>
teaux, t. XV, p. 26a
R
Kaaba. Voy. La Attcque.
Kaa4jaga. Yuy. Galam.
jlTaarra (royaume de la Sénégambie).
Coiffure des femmes, toro. XXV,
p. 39, — Voyage dans le pays ,
112 et snir. — Tribu des Joliar, 114.
>— Kemroou, capitale, 115. —Cour
du roi, 116. — Fruits du lotus. 122.
— Guvrre contre Barabara , 128. —
Naura , blé, 211. — Sarunsang, 356.
— Beugassi , 357, — Sobi , 359. —
Sandjarra : cérémonie précédaut la
circoncision. Polygamie portée à l'ex-
cès, XXVIII, 375.
Kabailet, Voy. Berbiri.
Kabanka-Pampana (rivière du Kou-
ranko, Séoégambie). Bords pittores-
ques, t. XXVIII, p. 50.
Kabou (pays de la Sénégambie) ,
t. XXVIII, p. 441.
Kabobiquois (tribu au nord du cap
de Bonne-Espérance), C'ustume d'un
chef, t. XXIV, p. 356, 3.'i8. — Muti-
lation dans le cas de maladie, 359. —
Idiome , 359. — Ornemens. Véte-
mens, 561, 369, 371. — Bœuf de
guerre, 362. — Figure, 368. — Re-
tenue des femmes , 370. — Mœurs ,
374. — Armes , 574- — Chasses , 375.
— Autorité du chef, 576. — Son ha-
bitation. Aridité du pays , 577. — Ani-
niSùx , 588.
Kabshari (ville du Bonrnon, Sou-
dan). Ses huttes, t. XXVII, p. 194.
Kadania (ville du Haoussa , Soudan),
XXVII , p. 594.
K^MPFER. Sa vie, t, XXXI, p. 109.
— ■ Sou voyage au Japon , 111 à 157.
KaJJa (ville du gouvernement de la
Tanride, Russie d'Europe) , t. XLIV,
p. 418. — Description, 432. — Si-
tuation. Fortification. Population.
Maisons. Histoire. Terroir. Rude.
Commerce. Climit, XXXI, 175, 174.
Kainth (villa do Guzerate , Hin-
doustan ). Habitation particulière ,
caserne anglaise , t. XXXVI , p. 385.
— Climat désastreux, 386. — Forti-
fication. Maisons. Beau temple, 587.
Katr-fFan (ville du royaume de Tu-
nis). Ruines antiques, t. XX If, p. 194.
kak{{fungi (ville du Bourgou , Cfui-
née). Situation. Hospitalité. Danses,
t. XXX , p. 148.
Kakunda (ville et province de l'I ar-
riba, Guinée). Est indépendante. Gou-
vernement. Naturels. Ornemens. Vé-
temens, t. XXX, p. 375. — Signe»
distinctifs des naturels. Caractère.
Huttes. Chasse , 581.
Kalav/cwa (capitale du Gouber, Son-
dan^ , t. XXVII , p. 404.
Kalgan (ville de la Chine), t. XXXIII,
p. 162. -- Rue , 164. — Coups de
cauon quotidiens. Cc'qu'ils indiquent,
166. — Signification du nom. Les
deux villes , forteresse , etc. , 168 ,
169. -Environs, 170.
Kama (ville du Kouranko, Séné-
gambie), t, XXVIII , p. 65.
Kamalia (ville du JÛanding, Séné-
gambie). Séjour de Mungo-Parck ,
t. XXV, p. 283. ■- Fête de la cir-
concisiqn, 291. —Écoles, 308.
Kamato (ville du Kouranko , Séné-
gambie ). Funérailles d'un chef ,
t. XXVIII, p. 67. — Population. For-
tifica lions , 69. — Escorte de l'un de»
rois, 109.
Kaminou-KoU, Voy. Caminouquois,
Kamsin ou vtnt chaud, Voy. Simoun,
Kamtschatka (Rus.-;ie d'Asie). Des-
cription de la baie d'Awstka et de la
ville de Saint-Pierre et Saint-Paul ,
t. XI , p. 508, 309. — V liage Kanit-
chin, 328. — Voyages ei. 'traîneaux ,
550 et suiv. — Chiens , 351, 418. —
Ostrog (village) de Na'.chéekin , 334.
— Eaux thermales, 3!»5, 403. — Des-
cription géographique du pays, 394.—
*•
DES MATIÈRES.
»t)0
Rîrlèrcs , S96. ^ Sol , prodnctioni ,
396. — Climat, 59B. — Volcans,
401. — Sources chaudes, arbres,
403. — Arlirisseniix plantes , 405 à
412. — Description do la plante «a-
rma , et de l'Atri* douât, 406 , 406. —
Ortie remplaçant le chanvre, 412. —
Quadrupèdes , 412. — Oiseaux, 419.
Ampliibics , 421 . — Poissons , 423.
— Pèche, 429. — Trois sortes d'in-
Intaus, 428. — Commerce d'importa-
tion, 439. — Trois sortes d'tiabita-
tions , 443. — K.oriuques , 456. —
Voyage au Tolcan voisin de Pétro-
pawlowdki, XHI, 23 et suiv. — Gou-
vernement équitable '^^s Russes , 43.
— Résumé de lu Cl des Russes,
Ô4. — ' Gouvernemeut usse , XVII ,
25. — ~ Détails sur les saisons , 382.—
Attrait du pays, 385. — Brebis sau-
vage, 388. "—Oiseaux. Découverte et
conquête , 387. — Population en
1822 , 396. — Voyage dans le pays ;
XXXI , 357. — Géographie , 357 et
suiv •—• Montagnes. Rivières, 358 ,
361 , 363. •—• Volcans, ^aux ther-
males . 364. — Productions , 367. —
Sol , 568. — Climat , 570. — Mé-
taux. Minéraux. Arbres , 372. — Ar-
bustes. Fraits. Plantes, 374. —
Chiens. Renards , 576. — Béliers.
Zibelines , 579. — Marmottes. Gon -
lu. Ours, 580. — Ruts : fables sur
leur compte, 383. — Sortes d'ani-
maux amphibies , 586 à 394. —
Voy. Avitika , BolehtrtUk , P/Iropttm-
lowthi , TseliuUkjr. ^
Kamt$chadalet. Vétemens , t. XI ,
p. 526, 447. — Danses, 545. — •
Chasse de l'ours , 585 , 416. — Ce
qu'ils doivent à cet animal , 588. —
Leurorigine, 428. — A quelle époque
connus des Russes , 450. — Précis
de leur histoire, 451. — Leur état
actuel , 458. ^— Ne sont pas portés
vers l'agriculture, XIII, 29, 61. —
Leurs 'anses , 54. — Sont portés
vers les mœurs russes, 42, 61. —
Ont adopté la religion grecque , 48.
— Commerce de pelleteries , 58. —
Bains de vapeur,, 60. — ' Mœurs, 25.
— Religion. Tradition du déluge ,
388. — Usages avant la conquête ,
391. — Mœurs actuelles, 393. —
Chasse à l'ours , 596. — Effets j^e la
oeiga sur la figure , XXX^ 5/ 1 . —
Manteaux, nattes, etc., faits avec
une plante , 576. — Utilité du chien ,
576. — Chasses , 578 à 585. - Pêches,
588 et 394. — Ressemblance avec
les Mongols, Figure. Nourriture ,
395. — Véleraens , 597. — Progrès
du luxe, 399. — Maisons. Meuble».
Outils , 400. — Canots. Traiucaux ,
402. — Manière d» voyager , 404 ,
414. — Armes , 405. — Grossièreté
de mœurs. Courbes. Traitement des^
cnfans. Vieillesse méprisée, 406. —
Mariages , 409, 410. — Modestie dos
fummes. Occupations c'cs hommes et
des ieiâmes, 411. — Divertissemcns ,
415. — Religion. Magiciennes. Su-
perstitions, 417.
Kmtm ( pays du Bonrnou, Soudan).
Voyage dans l'intérieur, t. XXVII,
£.'98 et suiv., 318 et suiv. — Lari ,
i à 101, 518. — Négresses kanem-
bous, 99. — Animaux, 102 et suiv.
— barah, 104. — Woodie, 105, 1»06.
522. — Naturels, 106. — Corps mili-
taire de KAuembous, 196,200, 270.
— Mendoo : défaite du vbeik de
Bonrnou, 288 à 300.
Kangarou. Description de ce qua-
drupède, t. VI, p. 292, 316. — Est
bon à manger, XVIII, 19.— Descrip-
tion. Habitudes, etc., XLIII , 28, 55 à
58.60.
Knng(trou$ ( île des , côte de la
NunveTle-UoUande ). Sel. Colonie de
dépuriés , t. XLIII, p. 5. — Stérilité
Lacs salés, 580.
Kaniagama ( ville du Kouranko ,
Sénégambie) , t. XXVHI, p. 60.
Kankan ( ville et pays de la Séné-
gambie ). Gouvernement. Religion ,
t. XXIX, p. 589. — Propreté. Indus-
trie. Arbres. Commerce, 590.
Kang-Tchou'Fou (ville de la Chine).
Truffes. Figuiers, t. XXXllI, p. 416.
— Bourse. Belle tour,417.
Kano ( prov. duUaousa, Soudan).
Voyage diius l'intérieur, t. XXVII,
p. 362 à 596 et 432. — Girkwa . 452
— Vovage, XXVHI, 210 à 216. —
Beabaegic,210à214.— Campagne,211.
Kano ( capit. du Kano ). Maisons ,
t. XXVII, p. 568. — Entrevues aver
le gouverneur. Sa demeure. Ses pri-
vilèges, 371.— Population, rlimnt.
Portes, 376. — Maisons. Marché.
Denrées, 378 — Bonchcrip. Repas,
âuo
TABLE GÉNÉRALE
3ti0. — Marché aux «toUTet , 382.
— Joogleun, 583. — Boxwr* , 384.
— Arbre*. Pré|iaratioo du coton,
887.r-Teintttrflt. Nati*; 'U le teignvnt
partis du oorpt. Jar..es , 688, 5W. —
Coitnine*. Barbierr . Mideoi la. Mala-
diei,390. — Murages. Funérailles,
302. — RbaDiadan,431.
4tM*(lIe, archipel des A^tis), Sa
forme, t. XIII , p. 143. — i>.^a as-
pect, 144.
Aaomimgs» (ville dt la Chine).
Tour. Idule. Environs, t. XXXIIl,
p. 394.
Kanui (ville du Caucase, Russie
d'Europe ). Colonie écossaise , tom.
XLIV, p. 446.
Kartuiou-Bnar ( ville du gonver-
aeoieat de la Tauride, Russie d'Eu-
rop;j ), t. XLIV, p. 429
Karilrarrit ( tribu de Betchouanas),
t. XXVI, p. 471.
Kanv ( Grand- , défilé de la colo-
nie du Cap ). Voyage dans l'io té-
rieur, t. XXVI, p. 121 à 140. —
Arbres, 124.— Belles routes, 126. —
Etendue. Signification du nom, XXIX,
oo.
KatTo ( Roggeweld ). Voy. Roggf
»*ld, — kathr,a, Voy. Ca hena
Kairowa (ville du Fezzan'), tom.
XXVII , p. 59.
Kation ( royaume de la Séoégam-
bie). Coiffnre des femmes, t. XXV ,
p. o9. — Voyage dans le pays, 04 à
112. — Kouniakary, capitale. Au-
dience du nii , 106. — Armée, 109.
— Voyage dans le pays , XXVIII ,
368 à 372. — Asamagantary, 371.
Voy. Tissi.
Katagoum ( pays du Haoïissa , Sou-
dan ). Cour. Audience du gouver-
neur, t. XXV4J , p. 347, 349, 358 ,
364. — Limites. Armes. Productions,
354. — Mourmour, 360.
Katagoum (capitale du Katagoum).
Situation, t. XXVII, p. 346- — For-
tifications, 355. — Maisons, 356.
Katunga (capitale de rVarriba,
Guinée) , t. XXVII , p. 363. — Le roi,
sa demeure, son costume, XXVII l,
136, 147, 151. — Ne veut pas Inisser
approcher du Nigei*, 141. — Situa-
tion. Fortifications. Sculptures. Mar-
chés, 146. — Formalités av.iut d'en-
trer dans la ville. Costume. Cour du
roi. XXX, 96, 99. — Saints de
courtisans, 100. — Apathie. Mar-
chés Denrées, 102, 108. — Cou
tume relative aux préaena, 104 , 106.
— Discrétion au sujet du pays, 107.
—Caractère. Progris desFelatahs,108.
Kara. Voy, ^¥a.
Kawen ( groupe , Iles Radack ). Dé-
couvert par Kotzebue. Nombre d'Ilea
t. XVII , p. 183 à 197. — Ile Tjau.
Bel aspect. Douceur de ses habitans
187. — IleOlot, 189,196. — Ile
Airick, 191. — Visita k la reine.
Pantomine , 192.
A <iN>«N ( Ue de , groupe Kawen ),
Découverte par Kotaebqe , t. XVII ,
p. 183. — Oruemens du chef, 184,
' Kayny ( ville du Bambara , Sou-
dan). Situation. Habillement. Danse.
Musique. Autre Amusement , tom.
XXVIII, p. 303 et suiv.
Kayt ( Ile de , cAte ouesf de l'A-
mérique septentrionale ). Déco.-.erte
par took, t. X,p. 432,434 -r^ou
étendue, 434. — Descripiioè da
pays, 43& — Oiseaux, 43'/.
KatrouH (ville du DechtisUc ,
Perse). Ancienne renommée, tum.
XXXV, p. 23.
X«4<i. Voy. Oublia.
Kteshê* f ville de l'Yarriba, Gui-
né<) ). Fortifications, p. XXX, 115.—
Races d'Iiabitaas. Jolies femmex, 116.
— Gouverneu', 1 19. -—Superstitions,
121.
X'W( rivière du snJ de l'Afrique),
t. XXIX, p. 297 et suiv.
Kemaoun ( province de l'Hindoi's.
tan ). Voyage dans l'intérieur , tom,
XXXVI, p. 211 et suiv. — Aspect de
l'Himalaya ,213, 229. — Bois déser-
tés périodiquement. 21 4^ 222. — £»•
tenee dt hibou ( brouillard ). Ses ef-
fets 215 , 218. — Hideux habitans ,
215. — Campagne, 216, 219, 220,
221 , 232,246 — Invasion de Meir-
Khan, 217. — Jackals , 222. - Pro-
ductions, 224. 225. — Figure. Costume,
Industrie des Khasyas, 225- 227.— Jo-
lie vallée de Beim-Thal , 227. — Lac,
227. — Belle gorge de Ganghur, 229,
232, 248. — Villages, 229, 237,
243,244. — Ancienne manière de
traverser le» rivière», 231. — Arbres,
238. — Caractère. Mœurs. Popula-
tion, 239. — Oiseaux. Quadrupède»,
DES MATIÈRKS.
3t)l
240, 241. — Pain eitrAnemtDt grot-
•ier, 244. — Rii renommé. Tbé
•aufigo, 217. — ForAt* «poulané-
ment inoeudiée«. Boa coii»trictor ,
258. Voy. jilmorah, capitale; CaiKêf
pour, Ckilttah , Khaijrai , Rud*rpoui;
Ktmmou (capitale du Knarta , Sé-
D^arobie). Situation, tom. XXV,
p. 115. —Cour du roi, 116.
Ktmmoult ( peuple d'ibyMÏnie ). Sa
religion , t. XXtlI , p. 471. — Om«-
meas dei femmes , 472.
Ktmiuûky ( un de» Ëtatt-Unit ). Sa
campagne. Se* ville» principales,
t XXXIX, p. 894. Voy. LouiioiU*.
Ktpptl (tie de, arcbiiiel de la
Reine - Charlotte ). Découverte par
Cartcret, t. III, p. 134.
K*pptl ( Ile de , archipel des Amis).
Décuurerle nar Wallif, t !II,p.881.
N'est d'après Cuok autre que l'tle
des Traître* de Le Maire , t. Vlil ,
Leur conipasiion pour lesanimaua,
227.— CarurUrc. Mceui* , 228. 281.
Kk*n0M ( gtiuveruewent de la Kut-
*ie d'Europe ). Voyage dans l'inté-
rieur, t. XLiV, p. 386 à 809. —
Steppes. Villages, 386. — Stations
militaire*. Colonie de Cosaques, 887.
— Postes , 389. — Campagne , 889 ,
397. — Colonie militaire. Nicolaif,
395.
KktrtoH (chef-lieu du gouverne-
ment). Environs Situation, I. XLIV ,
p. 807. — Fondations. Edifices, 898.
Khctit (tribu de l'HindoniUa }.
Costume. Figure. Armes, t. XXXVi,
p. 379. — Leur origine. Leur état
dans le Guserate, 880. — Courage.
Vigueur , 882. — Costdme. Armes ,
88o. — > Expéditions de ouirande,
884.
Khora$$aH ( province de la Perse ).
Sa description. Limites, t. XXXV,
p. 73. — HabiUns, 3?,5. '—Comment p. 91. — Sol. MonUgnes, 02, 101.
appelée par les naturels , X , 44.
Ktpptl ( Iles de, cAte est de la
Nouvelle-Hollande \ Uéconvertes par
Cook , t. VI , p. 253.
Rbruuei,bit. a découvert les Iles
Ronde et de la Fortune, t, VII,
p. 222. — Les Iles Croy, Roland, du
Rendez- Vous , etc. , IX , 186. — Lu
terre qui porte son nom, 203 , et XX,
36. — Son voyage au prétendu con«
tinent austral , XII, 23.
Kerkouk (ville du Kourdisbm , Tur-
quie d'Asie) , t. XXXII , p. 484.
Kerma Ue ( tle* de la Polynésie). Ho
Macauley, t. XV, p. 143.— Ile Raoul,
p. 144.
KtrHuk, Voy. Loggum,
E^routrt ( Iles , Amérique russe ).
Reconnues et nommées par La Pé-
rou», t. XII, p. 220.
Kershemc ( ville des Tibbous du
Bilma-Sahara ), t. XXVII , p. 82.
Kertch ( ville du gouveruement de
1» Tauride, Rusiiie d'Europe ). Tom-
beau de Mithriddte , tom. XLIV ,
p. 433.
Kharaik (ville du Fexzan). tom.
XXVII, p. 31.
Khasyas ( paysans de l'Himalaya ,
dans le Kemaoun, Hindoustan). Fi-
gure. Costume. Ornemens des fem-
mes. Industrie, t. XXXVI, p. 226.
— Se disent du pur sang Rajpout.
— Désert de sable, 95. — Désert
salé, 96, 103, 142, 171. — DUtrict
qui le bornent, 96, 142. — Tour-
bet, 96, 416. — Célèbres mines de
turquoises, 99, 191, 193, 195.— Ha-
bitans des montagnes , 102. — Féro-
cité des tribut des frontières, 104. —
Voyage dans le pays, 121 à 310. —
Situation des villages, 129 — Cara-
vanserai, 129, 137, 139, 168, 181. -
Tombeau d'un coureur, 130. — Dé-
fense contre les Turcomans. Forts et
tours de terre, 132, 135. 141, 168 —
Colonie syrienne, 135. — Sol. Cim-
pagne, 135, 143. 171 , 181 , 202, 276 ,
300, 310. 320. — Doulet-Abas, 139,
141. — Ro.itam, 152.— Crainte qu'ins-
pirent les Turcomans, 158. 170. —
Voyage d'une caravane, 162, 164,
177.— Colonie géorgienne, 167. —
Ruines, 173, 188. — Coton. Mû-
rier. Etoffes, 176. — Fameux Cara-
venserai, 181. — Riipacité des
chefs, 185. — Extraction des tur-
quoises, 195. — Moutons sauvages,
196. _ Productions, 203, 283,
305,321, 412, 415 et suivantes. —
Jardins de Derroud, 208. — Tom-
beau d'Haroun-al-Rasciiihl , 216 à
223 , 233. — Berceaux de voyage en
chameau , 255 note. — Crème salée,
271. -Lieux divers, 277,279.281,300,
302, SOC, 412 et suiv. — Indifférence
302
TABLE GÉNÉRALE
religttuM, 1296 , 290. — Magaiaqne
Coran , 2K. — (^bmc au MogUer,
tlOè. — y'Mt et dùtriot de Bkrdjuurn»
Ka'hi, 413. «-^ Tombeau d'un célèbre
poète, 418. ^ Etclave* des Turco*
■lant , XXXVII , 241, 263, 277. —
AipMt dei montagoei, 265. — Plante
i tnif, 266. — Voyage dans le pay*.
Tour* de la frontière de la Tatarie,
281. — Lieur; diveri. 281, 286, 307-
— Eaux thrrmales, 281. —Taren-
tule, 284. — Campugne , 296 , 305 ,
807.— Climat, ^96, 805. — Bou-
JQOurd. Vallée de la rivière Attrok,
804, — Vagabonds llytiU, 805. Voy.
AbàaitalmJf Cotthowt ^ DamghtH , El-
t*uft, Gonmihbad, Gliori/m, Htrat,
Mteh*d, capitale; MgMiitoun, JVitcha-
per«, S*vt*<rar^ Stmwun, Seftahroud^
T0ibtt, Tout, ancienne capitale»
Turaornam , Yttd.
JT/tou/oMN (ville de la Tatarie, tndé-
pendaute). Beaux environi. Pop da-
tion. Caraventerai , toro. XXXVII,
p. 138. — FruiU,151.
Khurttr avilie et oaiis de la Bou-
kharie, Tiisrie). Bal aspect, toin,
XXXVII, p. 169. — Population.
Maisons. Lieu de naissance de Ti-
Dour, 171* •— Etendue de son oasis ,
172.
Kliyrpour ( Tille et Etat du .Sin-
dby', Hindouktan ). Cour et costume
de l'émir, t XXXVII, p. 371. Voy.
Bukkur.
Ktama ( ville et Etat tributaire du
Bourgou, Guinée). Costume et es-
corte du chef, t. XXVIII, p. 154
156, 161. — Latitude. Huttes. Cum-
nierce. Religion , 158. ^ Population.
Gouvernement. Saints. Dtnrées, 160.
— Costume d'un chasseur, 162. —
Exif^ence du roi, 276. '-' Huttes,
XXX , 129. — Hutte du roi , 131. —
Vice des prêtres mahométans, 135
— • Figures en bois. Céi^monie du hé-
knm-Sala, 136.— Courses dechevaux,
138, 141. —Cour du roi. Costumes,
139. — Caractère des naturelu, 248.
Kiekmi (Ile, golfe Persique). As-
pect désolé. Dé<»dence. Population ,
t. XXXV, p. 12.
^"/ (gouTernr.ment de la Russie
d'Europe ). Voyrige dans l'intérieur ,
t. XLIV , p. 375 à 386.— Campagne,
382 883,585. — VassUkov, 382. —
Bois. 883. — Villages, 888, 884
— HabitMus juifs et polonais , S8S.
•^ Zvenigorodka. Uman , 884
Kt^f ( capitale du gouvernement
deoenom). Son aspect, t. XLIV ,
pag. 575. — Le kaout , 376. —
Desoriplion de la ville , 377 à 882.
— Arsenal , 378. — Monastère. Ca-
taoofflbos , 379. — Rfilises. Le vieux
Kief. Le Podota, 881. — Environs,
882.
Kim-ChowUx ( ville dn Guzerote,
Hindonstan V Vaste caraveuserai ,
t. XX XVI, p. 396.
KimiHg (ville delà Chine). Envi-
rons. Cuuveni, t. XXXIII, p. 176,
177. ~- Indifférence pour le verre ,
178. — Temples , 346.
Kinitakoitro ( ville des Mandingnes,
Sénégambie ) , t. XXV , p. 312.
KiNU. Expliire les cAtes de la Nou-
velle-Hollande, t. XXI, p. 326 H
860, 368 à 418. -^ Nomme différent
Joints , 341 , 343 , 348 et suiv. , 371),
83 et suiv., 398 et suiv. , 412 , 425.
— Ses entrevues avec les naturels ,
4U7 , 421 . — Remarque sur ses ruya-
ges,428.
King (lie de, mer de Behring)
Nommée par Cook , t. XI, p. 53.
Kiiig ( Ile de , cAto de la Nouvelle-
HoUande), t. XLIII, p. 36.
' X'/iigJIra» (province] dn Bourgou,
Guinée) , t. XXX , p. 248, 251.
KîngttoH (ville du Haut-Canuda ) ,
t. > XXIX, 100, 102.
Kiohn ou Alpes • Scandinaves,
(monts entre la Suèdr) et la Nor-
wége), t. XLV, p. 7,93, 500 —
Le mont Solivara , 304. — Chaîne de
Chouis-Niumi , 307. — Lac», 507,
308. — Tempête de lueige , 508. —
Direction des monts, XLVI, 41. —
— Hauteur des principaux points, 45.
— Région des glaces , 52.
Kirklciii (ville de la Ronmélie ,
' Turquie d'Europe ) , tom. XLIV ,
p. 41.
Kirri ( ville de l'Yarriba , Guinée ).
Marché, t. XXX, p. 415,419.—
Palaver ( coniteil de guerre ) , 419 et
suiv. — Formes. Véteraens. Incisions
dans la figure. Belles femrae.i. Signe
distinctif de la cité, 424. — Manière
do faire le commerce auz "n'iroo»,
427.
DES MATIÈRES.
393
KhtM (Tille dmTibboui du Bilma.
Sahara),!. XXVII, p. W.
Kiit0t ( habiUna du Caucate).
Mvtirt , utagn , etn., elo., t. XLY ,
p. 425 à 427 et 444 à 451. Voy. Cu».
eai».
Kinnt ( Ua de l'eaipire du Japon) ,
I. XII, p. 355 { XXXI, 114. V07.
/ItmgAUiti.
Jr7Min»M;«r («talloo de missioDoairet
en Hottentotie) , t. XXVI , p. 197 ,
283. — BAtimeut, 201. — Service
divin, ^gliie , 202. — Managei.
Éoolet. Village . 204. — Maiioni ,
206. — Naturel* , 207. — Autorité
de* chef* des naturel*. 208. •- Jar-
din*, 210, 212. — Blé. Légume*,
212. — Habitations d<*. miuionnaire*,
214. — Saison», 216. —Maladies,
218.-T Vétemeni,234.
Klatroth. Son Toyage an mont
Caucase, t. XLV, p. 400.
Klautin (ville du Tvrul). Son Christ,
t. XLV, n. 395.
Ktoof (kraal hottentot). Sa descrip-
tion, t. XXVI , p. 180, 184 et SUIT.
296.
Knijght (Ile , Ncu?elle-Zélande , sud-
est). Découverte par Broughton. Son
aspect affreux , i. XIV, p. 69, 70. —
N'est autre que les Suares découvertes
par Vancouver, 86.
Koehelit* (beuu lac de la Bavière) ,
t. XLV, p. 359.
Kolalrouha (ville du Kouranko , Sé-
négambie^ , t. XXVIll , p. 69.
ICotor (ville du Woulli, Sénégam-
bie). Singulière répression des trou-
bles domestiques, t. XXV, p. 58.
XemaHgo. on Amango (Me , Poly<
nésie), t IX, p. 336.
Komia (ville du Solilimana , Séné-
gambie ). Étendue. Danses. Jeux ,
t. XXVIll, p. 76.
Koi{fodah (port de l'Ycmen , An-
bie). Campagne. Climat, t. XXIII,
p. l41.
Kenq ( montagne d'Afrique ) ,
t. XXII, p. 7; XXVIll, 113.
Kongsving*r ( forteresse , Sondcr-
fields, Norwége), t. XLV, p. 42 à 45.
Kokkodongort (ville du Soiilimana ,
Sénégambiej, t. XXVIll, p. 79. —
Environs, 80. — Vue de* sources du
Niger, 105.
Konkodou (canton du Fouladou ,
Sénégambiej. Mina* d'or. AlUao* ,
t. XXV. p. 521.
A^onl'^l ( ville du Xouranko , Séné-
gambie), t XXVIll, n. 57.
Koiutantim»gorik (ville dn Cancaie,
Biussie d'ËuruDe), t. XLIV, p. 448.
Kootf» (ville du Nifé, Guinée).
Très commerçante , t. XXVIll ,
T«. 195. — Marchés. Population. État
des esclaves, 196. •—> Caractère. Oc*
oupation». Usages des naturels, 198.
Komi (tribu au nord de la colonie
du cap de Bonne-Eitpérance). Véte-
mens. Traits, t. XXVI , p. 100, 195.
— Maurs. Usages. Pays, 192. —
Kraal (village), 296, 378.
Konquot» (tribu au nord de lu co-
lonie du cap de Bunno-Espérance).
Taille. Vêtement. Pays aride. Vie
errante , t. XXIV, p. 352. — Idiome ,
559.
Koriaquet. Fixes et errans. Tribus
du Kamtsoliatka. Leur état, t. XI ,
p. 453.
Kofokou ( province dn Rourgou ,
Guinée) , t. XXX , p . 248 , 251 .
Kottir (port d'Egypte). Fortifica-
tions. Commerce, t. XXIII, p. 112.
JCoioHoora ( ville et province du
ttaoussa, Soudan), t. XXVIll, p. 202.
Koioo (tie, archipel des Amis),
t, IX, p 385.
KoTZKBDB. Son premier voyage au-
tour du monde , t. XVII , p. 29. -^
Découvre les Iles Romanzoff , 45. -~
Spiridoff, 46. — La chaîne de Ru-
rick , 47. — Le groupe Krusenstcrn ,
48. '— Découvre les groupes Kutu-
soff et Suwaroff , 62. — L'Ile Rat-
manoff , 75. — L'Ile Saritschcff , 79.
— Chamisso , 85. — D'^^iouvre lo dé-
troit de Kotzebue, 103. — L'Ile du
Nouvel-An, 127. — L'Ile du Bouc,
144. — Les Iles des Oiseaux, 146,
155. — L'île Orned. Entrevues inté-
ressantes avec les naturels , 150 , 161 ,
168, 177, 229, 362, 370. — Dé-
couvre les diffcrens groupe» des Iles
Radack, 164 à 209 , 254. — Le
groupe Legiep, 231. — 2* Voyagt ,
255. — Découvre l'Ile Predpriate ,
266. —Décrit l'État de Taiti en 1824 ,
275 à 326. — Est visité par la reiue,
305 et suiv. — Décrit le» Iles des
Navigateurs , 327.— Découvre l'île
du Pécheur, 339. — Ses rolatioos
304
TABLE GÉNÉRALE
nvec la reine convertie et lettrée de
Sandwich, 435, 438, 444 et suiv. —
Découvre le groupe Rimski-Korsakoff,
463.
Kottebue (détroit de , mer de Beh-
ring ). Découvert par Kotzebue ,
t. XVII , p. 103. — Ornement labial
des naturels, XIX, 241. — Pellete-
ries. Ustensiles. Scupltures. Armes ,
242. — Figure des naturels. Canots
reconverts , 244. — Couches de glaces
sur les montagnes, 249. — Pointe
Éléphant, 249, 251. — Habitations ,
251 . — Voy. Chamiito,
Kouban (Heuve du Caucase). Steppes
de ses bords , t. XLIV, p. 386- — $on
cours, 435. — Temrouk, 437. —
Tours de g^et et antres fortificitions,
438 , 443. — Yékatériaodar, 439. —
Établissement des Cosaques , 442. —
Villages, 443.
Kottcfum, Voy. Cotcltoun.
Kouga (rivière du cap de Bonne»
Espérance), t. XXIV, p. 113.
Kouka (capitale du Bouruon, Son-
dan). Audience du cheik , t. XXVII ,
p. 117. — Denrées. Vêteraeus, 118.
_ Esclaves, 118, 216. — Belles
négresses, 177. — Environs , 179. —
Caravane d'esclaves, 204. — Séjour
dans la ville. Usages. Mœurs, 209. —
Mariages, 214. — Saisons, 215, 227.
— Esclaves lutteurs, 223. — Fourmi's
blanches et noires , 228. — Médecins.
Charlatans, 230 — Eunuques , 234.
— Victoire contre le» Begbarmis ,
268 et suiv. — Observance du Rha-
madan , 277, 279. — Punition contre
ceux qui l'enfreignent, 281. — Célé-
bration de la fête de l'Aïd-Kebir ,
307.
Kowiknrro (ville du Bambarra , Sou-
dan). Commerce de sel, t. XXV,
p. 264. — Habitée par des brigands ,
XXVHl, 357.
Kouliufa (ville dn Kotiranko , Sé-
négambie) , t. XXVIII , p. 49.
Koum (ville lie Perse , proprement
dite). Tombeau de Fatima, t. XXXV,
p. 50. — Population. Inhospitalité,
52.
Kouma (ville du Bambarra), t. XXV,
p. 269.
Koundouz ( ville de la Tatarie indé-
pendante), t. XXXVII, p. 142. —
Manière de prendre le tlié ,145. —
Situation, 149. — Climat insalubre.
Population. Citadelle , 150.
Kouniakarx ( capitale du Kasson ,
Sénégambie). Audience du roi, t. XXV,
p. 106.
Kour (fleuve de Géorgie, Russie
d'Asie). A donné son nom à Cyrus ,
t. XXXI, p. 191.
Kouranko (province , dépendant du
Manding , Sénégambie). Voyage dans
l'intérieur, t. XXVIII , p. 43 à 74- —
Mœurs et usages des naturels, 45 et
suiv. — Campagne , 47, 50 , 56 , 59 ,'
64. — Productions, 4<i, 72^ — Kou-
loufa, 49. —r Rivière de Kabanka-
Pampana , 50. — Sonbo-SqmbouDia ,
51 . — Ménestrels , 52. — Boundagia,
56.— NynUh, Konkofil, 57. — Neta-
Kouta, 59. — Rivière Tongocelle,
61 , 62. — Kaniagania , 65. — Funé-
railles d'un chef, 67. — Étendue,
bornes , villes principales , 69. — Res-
semblance des naturels avec ceux du
Tinumani et du Ma^iding. Costi^n-e
de femmes , 70. — Mariages , ocfcL-
pation des femmes ,71. — Maisons ,
72. — Renommée d'éloquence des
naturels. Funérailles, 73. — Juge-
ment!. Gouvernement, 74. — Ma-
nière de traverser les rivières, 75.
— Sources de la Rokelle , 104- — Es-
corte d'un chef, 109. — Voy. Kamato,
Laing, Simera.
Kourdistan (province de la Turquie
d'Asie).Voyage dans le pays, t. KXXII,
p. 470, 471 et suiv, — Comment les
Kourdes dévalisent les voyageurs.Cos-
••umes. Armes, 471. — Physionomie,
472. — Divertissemens, 475. — Ar-
belles , 483. — Altorm , Kerkonk ,
484. — Observation de mœurs ,
t. XXXV, p. 419.
Kouriles (lies , mer d'Okhotsk). Ile
Paramousir , soumises par les Russes,
t. XI , p. 449. — Explorées par La
Pérousc. Noms donnés à plusieurs
lieux, XII, 419. — Ile de la Compa-
gnie, 431, 437. — Figure, mœurs
et coutumes des naturels, XVII,
18.
Kourkavan! (ville du Bondou , Séné-
gambie^ Religion , t. XXV, p. 67.
Kricko (rivière de la Sénégambie).
Son cours , t. XXV, p. 1 1 1 .
Krogoen ( île de la Norwége ) ,
t. XLV, p. 118.
DES MATIÈRES.
S»5
Krolio9êti (rille du gouvernement
de Tcberoigov, Russie d'Europe).
Palais du dernier hetman de l'Ukraine,
t. XLIV.p. 371
KRCsEirsTERir. Son voyage autour
du monde , t. XVII , p. 3.
Kntenttern (groupe , archipel Dan-
gereux). Découvert par Kotzebue,
t. XVII , p. 48.
Krusemlera ( Ile , mer de Behring).
Nommée par Beechey, t. XIX , p. 237.
Ku«ra' ( province de l'Abyssinie) .
Sol. Climat. Nègres païens. Pouvoir
du gouverneur, t. XXIII, p. 332.
Xumi ( tte , mer de Corée ). In-
sulaires, leur vêtement, leurs piro-
gues, t. XII, p. 323.
X^fttein ( ville du Tyrol ) , t. XLV,
p. 581.
Kuruma» (capitale des Mantchlapis ,
sud de l'Afrique). Situation. Maisons,
t. XXIX , p. 48. — Habitation des
chefs. Rues , 50. — Grand conseil ,
â5, 82. — Service divin , 59.
Kuruman (rivière du pays des Mant-
chlapis). Sa source, t. XXIX, p. 63.
Kuiattz (ville de lu Sibérie). Sa des-
cription, Habitans. Travaux, t. XXXI,
p. 270.
Kuttery (ville du Boumou , Sou-
dan). Singulières huttes, t. XXVII ,
249. — Fortifications, 250.
KuTTiTER. Ses voyages , t. XLVI ,
p. 155.
ir«(B«0>7 (groupe , Polynésie). Dé-
couvert par Kotzebue , t. XVII , p 57,
62. — Canots , insulaires très doux ,
58. — Leur figure , 60.
I
/.
t.
Lab\t. Ses voyages en Europe ,
t. XLVI, p. 76.
/.<i£ott (ville du Yarriha, Guinée).
Beaux alentours, t. XXVIII, p. 120.
— Visite au chef , 121.
Zafrra /or (Nouvelle-Bretagne, Amé-
rique septentrionale). Nommé par
Cortéréal, t. XL, p. xj. Voy. Eiqni-
maux.
Lahy (ville du Tenda, Sénégambie),
t.XXV, p. 341.
Labyrinthe {JXq» du, archipel Dan-
gereux). Découvertes par Roggewio,
t. II, p. 57; VIII, 214.
Lnchlan (rivière de la Nouvelle-
Hollande), Communication présumée
avec la Morumbidje, t. XLIIl, p. 303,
364.
Lacoiir. Son voyage en Grèce,
t. XLVI, p. 210.
Ladrilleros. Son voyage par le
détroit de Magell.in , 1. 1 , p. 151. —
Résumé de ses voyages, XVIII, 191.
Laforey (Me de la Polynésie), Décou-
verte Kdwards. Indices de sacrifices
Immains , t. XIII, p. 430.
La Guayra ( ville du Venezuela ,
Amérique méridionale), t. XXXVIII,
l». 363.
Lagon ( île du, awhipcl Dauge-
ronx). Découverte p:ir<Jouk. lJescri(i-
tion des habitans, t. V, p. 86. — Est
prabablement celle de La Harpe , que
Bougaiuville avait nommée avant lui,
VII, 150. — Son aspect, XIX, 159.
— Belles formes des naturels. Véte-
mens, 161.
Lagune (île). Ce qu'est cette sorte
d'île, XIII, 419.
Lahajjan (ville du Ghilan , Perse).
Population. Bazars, t. XXXV, p. 363.
Laliore ( capitale du Penjab, Hin-
doustan). Environs, t. XXXI, p 86.
— Antiquité. Situation, 92. — An-
cienne spleudeur, XXXVII, 13.—
Fréquence des tremblemens déterre,
16. — Fête du printemps, 22. —
Riche palais du Summum-Bourj, 24.
— Aspect de la ville, 432. — Présen-
tation de Bornes à Runjeet- Sing,
434. — Salle d'audience royale, 438.
— Revue militaire. Commandcmcns
en français , 438. — Description de
la ville, 440. — Tombeau impérial ,
441. — Jardin de Shah-Jelian, 442.
Voy, Ranjeei-Sing,
Laing. Son voyage dans le Ti-
mani (Sénég.irabie ). Faits prélimi-
naires, t. XXVIII, p. 1. — Audience
du roi de Timani, 11, — A.ssiste à
une assemblée publique, 13, 17. —
Voyage dans N? Kouranki», 43 et suiy.
— lUeu reçu [lar des chefs , 50 , 57 ,
79. — (;oinplot contre lui, 63 et suiv..
396
. TABLE GÉNÉRALE
■~ Voyage dans le Sonlimana , 74. —
Assiste à une fête, 76. — Assiste à des
réjouissances publiques, 81 à 89 , 93
et suiv. — Aperçoit les sources du
Niger , 99 et soir. — Renseignemcns
sur son assassinat recueillis par CaiU
lié, XXIX, 406.
La LouaÈRB. Son voyage à Siam ,
t. XXXI, p. 241.
Lamalmom (mont du Gondar, Abys-
sinie). Voyage an sommet, t. XXHI,
P. 279. — Climat , 280. ~ Péages,
281. — Plaines et sources au sommet,
282. — Langue, mœurs des habitans,
284.
Lamanou (lie et pic de la mer du Jap.).
Nommé par La Pérouse-, t. XII, p.359i
Laïuien ( Oe des, archipel Dange-
reux). Découverte et décrite par Bou-
giiinville, t. IV, p. 200. — Nommée
ensuite par Cook lie du cap Trnmb,
V, 88; XIX, 162.
Landeek (vUle du Tyrol) , t. XLV,
p. 405.
Larder (Richard). Domestique de
Clapperton en Afrique , coutiaue son
journal, t. XXVIII, p. 237. -Inhume
''lapperton, 243. — Goftte du serpent
cuit, 261 .—Aventures remarquables,
276, 282. — Son voyage avec son
frère John dans le but d'explorer le
cours et l'embouchure duNiger, XXX,
1, —Notice biographique, 2. — Rend
visite au roi de Badagry, 8, 17, 20, 27.
— A différens chefs , 35, 38 , 44, 48.
— Au roi de l'Yarriba , 99, 113. —
De Kiam:<, 129, 131. — Nomme le
mont Cornouaille , 158. — Visite le
roi de Boussa, 164, 169, 228, 275.—
Le Niger, 166. — - Recherche îe» pa-
piers de Mungo-Park, 170, 194, 199.
— Visite le sultan d'Yaouri, 193,
203 . 211. — Descend le Niger, 256
et suLv. — Visite le roi de Ouaoua ,
334. — Assiste à une grande fête mu-
sulmane, 259 à 269. — Entrevue avec
le roi de l'Eau Noire. Beaux costumes,
315 et suiv. — Entrevue avec le roi
de Kakunda, 376. — Est attaqué et
pillé, 416, 423 — ^Visite le roi d'Eboé,
435, 441 , 444. — En est rancouué,
444, 447, 454.
£<io« (province du Siam), t. XXXIV,
p. 452.
Lapeuna (ville du gouvernement de
Moscou, Russie d'Europe). Marché
da Dimanche, tom. XLIV, p. SS9.
LAPtACB. Son voyage autour du
monde, t. XVIII, p. 4l9. — Nomme
les (les BtU* et Duperrey, 450.
Laponie nonv/gitnne, Voy. Fimnark.
Ses différens noms , t. XLV, p. 226.
LopoiUt rutse (partie de la Finlande,
Russie d'Europe). Voyage dans le
pays, t. XLV, p. 317. — Aspect du
pays , 317, 320. — Arbres. Lacs, 317.
— Haltan, 318. — Vie nomade des
naturels , 320. ^ Rivières , 321 , 324.
— Mnnioniska , 321. — Bains de va-
peurs, 322. — Le Muonio , 323. —
Foire deKangis. Rivière Tornéa, 324.
Lapons du Nordlaud , t^ XLV,
p. 168.
Lapons du Finmark. Sontle type de
Li race, t. XLV, p. 235. Amour des
liqueurs fortes , 175 , 268. — Pê-
ches de la baleine, 180. — Singu-
lières tabatières, 188. — Taille , li-
gure, formes, 194, 243. — ^ Agilité.
Force , 195, 243 , 273. — Famille hi-
pone , 202. — Costumes , 203 , 204,
241, 242, 249, ^95 — '^raiement
des rennes, 205. — Berceaux , 206. —
Préparation du lait , 208- — Cabane,
218. — Hiver passé dans leur pays,
225. — Soirées , 231, 233. — Chants
nationaux, 232. — Le Lapon du Fin-
mark est le type de la race, 235. —
Cla.sses de Lapons , 236. — Pourquoi
ils fuient les forêts en été, 237. —
Émigrations , 239. — Tente , 239, 2Î0.
— Caractère, 241, 265, 267- —
Teint, Vie nomade, 244. — Trou-
peaux. Gloutonnerie , 245. — Nour-
riture. Cui.sine. Lait, 246, 247. —
Goût pour les couleurs voyantes, 249.
— Magot du montagnard. Contribu-
tions , 257. — Familles , 258. — Ac-
couchemens, éducation des enfans ,
258 à 260. — Chasteté, 265. — Ra-
reté des vols , 266. — Restes de su-
perstition, 266. 269, 292, 293. -
Bonuc santé, 267. — Maladies, Mé-
decine , 268. — Armes. Chasses , 269.
— Patins à neige , 272. — Fête a la
ré.'iparition du soleil, 274. — Inté-
rieur d'une gamme, 275. — Lapon.'*
marins, 276. — Noces, 286 et suiv. —
Sieste , 289. — Idétvs sur l«.>. aurores
boréalïs, 292. — DiCficiiltc de des-
siner un Lapon , 293. — Danse ,
chant , costume du montagnard . 294,
98àl01,31î
du climat , jari
DES MATIÈRES.
307
295. — Traîneaux , 296. — Sont ba-
billards , 50t. — Vie d'an prêtre
lapoo. Cimetières, 311. — Tente à
rennes, 313. — Pipes, 316. — Pour
leur pays , voy. Finmarlr.
Laroche (ville du Maroc). Descrip-
tion de la yille et des environs ,
t. XXII, p. 90, 13».
Lari (ville du Kanem , Soudan) ,
t. XXVII, p. 98, 318. — Huttes,
98 à 101 , 318.
Laroqce. iiou voyage dans l'Arabie-
Heureuse, t. XXXI, p. 238.
Larro (ville de l'AIquemi, Guinée).
Fétiche du lieu, t. XXX, p. 43. —
Costume du chef. Figure des naturels,
44. — Progrès du pays , 46.
Lai^ns (îles des). Voy. Mariannet,
Las Casa.h. Ses commencemens ,
t. XXX V 1 1 1, p. 253. — Peint les atroces
procédés des Espagnols contre les In-
diens , 255. — £n instruit le roi, 256.
— Ses plans pour exploiter les An-
tilles , 258. — Sa première colonie ne
réussit pas , 260. — Ses représenta-
tions au noi sur le sort des Indiens -,
261 et suiv.
Latdjird (village du Khorassan ,
Perse). Fort remarquable , t. XXXV,
p. 131, 132.
Lasta (province de l'Abyssinie).
Habitans. Cavalerie, t. XXIII, p. 327,
328.
Latika ou Laodicét ( ville de la
Syrie , Turquie d'Asie) , t. XXIII ,
p. 45.
Latte (île , Polynésie). Découverte
par Maurreli, t. XIII, p. 232.
Laughlan (lies , Australie). Nombre,
•aspect, t. XVIII, p. 307.
Lebeda ( Leptis Magna, ville de
l'État de Tripoli). Ruines antiques ,
t. XXIII, p. 39.
Lk Brutn. Sçn v "âge an Levant,
t. XXXI, p. 238.
Le Cap (capitale de In colonie du
cap 'de Bonne-Espérance). Salubrité
du climat , jardin de la Compagnie ,
t. III , p. 63. — Bâtie par les Hollan-
dais. Sa description, VII, 121, 193.
— Climat, 125, 199. -— Animaux.
Productions , 126. — Jardin de la
Compagnie , 127. — Naturels du
pays , 128. — Quai ,133. — • Descrip-
tion de la montagne de la Table , et du
pays d'alentour, l94. — Vins du Cap,
198. — Aspect. Rues. Population ,
XX, 120: XXIV, 8. — Poisson. Gi-
bier. Fruits , 10. — Effets du vent ,
12. — Maladies, 14. — Pluies, 15.
— Vignobles, 41. — Boisson», 43.—
Arbres , 46. — Habitations voisines ,
48. ■— Nègres affranchis , 49. —
Moutons du Cap, 175. — • Colons
descendans des réfugiés français, 239.
— Fripiers , 251 . — Absence de jeux ,
272. — Bel aspect iutérieur de la ville,
XXVI , 7. — ; Maisons , 8. — Climat ,
8, 27. — Églises et autres monu-
mens. Fleurs, 10. —Fortifications.
Plantes des environs ,14. — Histo-
rique, 19. — Habitans. Commerce et
prix des esclaves, 20. — Première
mission , 64. — Chariots ,81. — So-
ciété, XXIX, 231.' — Jardin du
gouverneur. Danse des esclaves. Ma-
riages , 232. — Amusemens. Viiriété
des costumes , 235. — Équipages.
Bals. Courses de chevaux, 236.
Lecee (ville du royaume de Naples),
t. XLVI,p.l97.
Lee-Boo. Fils du roi des lies Pelew.
S'embarque avec Wilson pour l'Eu-
rope. Curieux détails sur les impres-
sions que produisent sur lui tous les
objets nouveaux. Son bon caractère.
Son intelligence , t. XIII , p. 386 à
417. — Arrive à Londres, 408. —
Sa mort, 416.
Leechee (ville de l'Yarriba, Guinée).
Résidence du chef. Niger, t. XXX ,
p. 309. — Canots , 310.
Lefooga (lie, groupe Hapaee, ar-
chipel des Amis). Sa description ,
t. IX , p. 369. — Son étendue , 370.
— Femmes oculistes. Coiffeurs , 374.
— Mondrain factice , 376. — Den-
rées , 351 . — Cérémonie de la récep-
tion que l'on fait à Cook , 352 et suiv.
— Combats simulés , partagés par les
9 femmes , 355. — Danse remarquable,
358. — Description particulière des
amusemens nocturnes des naturels, de
leurs chants et de leurs danses , 359 à
368. — Description de l'Ile. Sol. Cul-
ture , 369. — Maisons , 370. — Tom-
beaux. Mondrains factices , 370, 376.
Étendue. CAte , 370. — Femme ocu-
liste. Singulier moyen pour raser les
cheveux , 374. — Pierre remarquable,
376.
Leoirtii. de l'A Barbiitais. l&oa
308
TABLE GÉNÉRALE
vuyàgc autour du monde, t. II,
p. Sa. — Est le premier circnmnavi-
gateur français , 40.
, Legeta (lieu de la Haate«Égypte),
t. XXIH, p. 104.
Ltgiep (groupe, Iles Ralick). Dé-
couvert par Kotzebue. Naturels ,
t. XVH, p. 231.
Leigh (tle de, Australie). Décou-
verte par Carteret , t. III , p. 148. —
Gros crocodiles , XVIII , 307.
Ltkoë (il« de la Morwége) , t. XLV,
p. 118,120.
Lk Maihk et Schouteh. Leur
voyage autour du monde, 1. 1, p. 278.
— Découverte de laTerre des États, du
détroit de Le Maire et du cap Horn ,
284 . 286. — De l'Ile des Chiens, 287.
—De l'île Sans-Fond, 290.— De l'île de
Watcrlaud, de l'île des Mouches 291.
— De l'île des Cocos , 295. — Des îles
des Traîtres et de l'Esiiérance , 300.
— Des îles de Horn , 312. — Des îles
Vertes, 514. •— De l'ile de Moïse, 320.
— De l'île du Volcan, 321. —De l'He
d'Arimoa , 324. — Ile Schouten, 327.
— Arrivent aux îles de la Sonde où ils
sont arrêtés. Le Mairp meurt empoi-
sonné, 331 et 278. — L'Outong-Java
découvert par Le Maire, XIII , 225.
— Résumé de leur voyage , XVIII ,
195.
Le maire (détroit entre la Terre de
Feu e'; la Terre des Etats). Découvert
par 1<; navigateur de ce nom, t. I ,
p. 284 , 286. — Plantes de cent vingt
pieds de haut . V, 47. ■^* Remarques
de Cook. sur son gisement , 75.
Lemming, Description de cet animal
et de ses habitudes. Singulière croyaucc
à son égard , t. XLV, p. 92 à 96 ,
183 à 185.
Leimot ( lie del'Arcliipel), t. XLVI,
p. 98.
Leobadda ( ville de l'Yarriba ,
Guinée), t. XXVIII , p. 134.
LÉON (Jean Ponce de). Découvre
la Floride, t. XXXVIII , p. 248.
Léoh (ville d'Espagne). Sa déca-
dence, t. XLVI , p. 173.
LéoH (province d'Espagne). Voyage
dans le pays. Supériorité de Sala-
piauque sur Léon , t. XLVI, 173.
Léopards dt mer. Leur description ,
t. XXI , p. 215.
Lépreux ( île d«s , Nouvelles-Hé-
brides). Découverte par Bougainville.
Description des habitans. Etoffes à
dessins. Armes , t. IV, p. 271. — Son
gi&^iment , VIII , 423.
Lerma (ville du Mexique) , t. XLI ,
p. 156.
Lesghis (habitans du Caucase).
Mœurs. Usages. Caractère, etc., etj*.,
t. XLV, p. 421 à 425 , et 444 à 451.
— Limite de leur territoire 451 . — Fi-
gure. Caractère. Traitement des pri-
sonniers. Vengeance, 452. — Puni-
tion de l'adultère. Paresse des hommes,
Occupntioûs des femmes , 453. ■ —
Hospitalité. Habitations. Ustensiles,
Meubles. Nourriture , 454. — Reli-
gion , 455.
Leutkirch ( ville de la Bavière ) ,
t. XLV, p. 340.
Levaillant. Notice sur sa vie,
t, XXIV, p. 1, — Son lef rofoge en
Afrique , 7. — Ses chasses d'animaux
féroces, 18 , 50 — Id. de bêles fau-
ves ,61. — IJ. d'oiseaux , 75, 275,
312 , 318 , 322 , 335, 384. —M d^-
léphan.s, 92. — id. d'hippopotames ,
127, 311. 320. — Id. de girafes.
Leur description , 324, — Id. de ga-
zelles, 451. — Ses collections per-
dues , 25. — Préparatifs de sa graudè
excursion 52. — Détail sur les ani-
maux qui font partie de sa caravane,
64, 68. — Dangers qu'il court , 77,
94 , 365. — *• Aspect de .sa caravane ,
111. — Épi.sodedeNarina,131àl42.
— Sa visite au chef des Gonaquas ,
146. — Épisode des Caminouquois ,
189.— ^$on 2« yoyage , 233. — Sou
excursion chcs iesNamaquois, 290. —
Chez les Caminouquois, 529. — Chez,
les Kabobiquois, 356. — Leur achète
un bœuf de guerre, 362. — Se reud
chez, les terribles Houzouanas , 395,
404. — Chez les Gheyssiquois , 442.
0 Leviin^cr ( ville du Nordenfields ,
Norwége). Foires , t. XLV, p. 105.
Lever (villt du Ouaoua , Soudan).
N'appartient pas au roi de Ouaoïia ,
t. XXX, p. 294. — Population, 297.
— Sa fondation récente , 298.
Danses. Cb-ints, 301. — Niger, 304.
Lézard.' (île des, côtes de la Nou-
velle-G<''ilcs méridionale). Découverte
I»"- cook. Sa description. Ses huttes.
Ses lézards, t. VI , p. 545, 346. -- Ses
productions, 350.
DES MATIÈRES.
390
Lhasta (capitale du Ttiibet), t. XXXI,
p. 419 , 421 . — Signification du nom.
Riche monastère , 451 . — Couvens.
Ualai-Lama. Crédulité, 452.
Lhkrmite (Jacques). Son voyage
autour du monde , t. I , p. 332. —
Explore et décrit la Terre de Feu ,
335 et sniv. — Meurt , 344.
Liban (montagnes de Syrie). Cou-
vent de Maronites. Grotte des Fous.
Cèdres.t. XXXn,p. 452.
LiJhoping ( ville de la Gotliie ,
Suède), t. XLV, p. 9, 10.
Liem (ville du Tyrol) , t. XLV,
p. 390.
Ligurie (province du royaume de
Sardaigne). Coup d'oeil sur le pays.
Gênes , t, XLVI , p. 266.
Lily- Fauniain .'village liottentot ,
Namaqua ). Fondé par les mission-
naires. Habitans. Leur nombre , tom.
XXIX , p . 223.
Lima (capitale du Pérou). Mœurs ,
habitudes , costumes des dames ,
t. XLI , p. 389. — Route de Lima à
Callao, 391. — Environs. Arc de
triomphe Églises, 392. — Rues.
Trottoirs , 393. — Théâtre , jfe4.
Voy. Callao.
LiNCK. Son voyage en Portugal ,
t. XLVI, p. 188.
Lindau (ville de la Bavière), t. XLV,
p. 338.
LiNDENAU. Ses voyages à la re-
cherche d'un passage au nord de l'A-
mérique, t. XL , p. xix et suiv.
Liakoeping ( ville de la Gothie ,
Suède) , t. XLVI , p. 289.
Liant ou éléphant marins. Leur des-
cription, t. II, p. 15. — Plus d'étiil-
lée , 142. — Leur description, IX.
81. — Leurs mœurs, 82. — Leurs
combats nch.';i:nés au temps de la co-
pulation , XVII , 216; XXI, 316;
XXXI, 387 et suiv.
Lion (tête du , montigne du cap de
Eonne-Espérance ). Sa description ,
t. XXIV. p. 268.
Lion (faus.se tète du , montagne du
(^ap ). Sa description , t. XXIV ,
p. 2G8.
Li/ipa (ville de la Hongrie , empire
d'Autriche) , t. XLIV, p. 118.
Lisbonne ( capitale du Portugal ) ,
t, XLVI , p. 188, 189.
Lisburn (cap, Amérique russe).
Nommé pir Cook, tom. XI, p. 71.
Lissa ( tle du golfe Adriatique ) ,
t. XLIV, p 330.
Litakou ( capitale des Bachapins-
Betchouanas , sud de l'Afrique). En-
virons , t. XXVI , p 416 et suiv. 454.
— Maisons , 420. — Chefs. Réception
de ^urchell , 421 et suiv. — Usages
des piiissans, 430. — Danse, 444
Étendue, 451. — Intérieur de mai-
sons , 452. — Repas , 455 , 456 —
Peintures , 457. — Forgeron , 459 et
sniv. — Gisement de la ville , 463. —
Étendue Population. Sépultures, ^.
— Pâturages. Animaux domestiques ,
467. — Climat , 469. — Abandonnée
par les habitans. Son étrange aspect ,
XXIX , 69. — Quartiers. Indus-
trie de la nouvelle ville, 337. —
Vallée du Miel , 338. — Ancienne et
nouvelle ville. Canal des Mission-
naires, 345.
Liverpool ( ville de la Nouvelle-
Galles méridionale , Nouvelle-Hol-
lande) , t. XLIII , p. 23 , 30. — Ses
plaines fertiles , 37, 39.
Livingston {i\e, archipel des Caro-
lines). Découverte par Morell. N'est
que l'île Ononn , t. XX , p. 21 4.
LoAisE. Son voyage autour du
monde, t. I, p. 153. — Dévoûment
de son aumônier, 157. — Meurt dans
la mer du Sud, 159. — Voy. Sa-
lazar.
Loffoden ( îles de la Norwége ).
Pêche , préparation , etc. , de la mo-
rue , t. XLV, p. 145 à 152. — Aspect
des îles , 163. — Golfe de Vest , 165.
— Ile Hiudoën. Parties habitées.
Fertilité. Ile Rost, 166. — Marsouins,
167. — Description d'un Lapon , 169.
— Ile Scnjen , 169. — Renards bleus,
blancs, rouges , noirs, 169, 170.
Loggun (pays du Soudan). Mon-
naie, t. XXVII, 255. —Race. Ca-
ractèie des habitans, 256. — Deux
sultans, 257. — Productions, 265. —
Industrie. Métiers , 266. — Animaux.
Epux stagnantes. Insectes , 267. —
Défaite des Uegliarmis , 268 et suiv.
Loggun ou Kernuk ( capitale du
Loggun ). Population, "Teintures.
Monnaie de métal tom. XXVII,
p. 255.
Loheia (port de l'Yémen , Arabie),
Aspect. Sol. Provisions. Gouverne-
400
TABL GÉNÉRALE
ment , t. XXIII , p. 146. — Orne-
mens des femmes, 148.
Lombard'F'MtitK ( royaume , pro-
vince de l'empire d Autriche). Divi-
sions , t. XLVI , p. 266. — Limites.
Milan. Venise , 267.
Londrtt (capit. du royaumenni de la
Grande-Bretagne). Aspect de cette
ville. Son intérieur, t. XLVI , p. 280
et siiiv. — La ville et ses babitans
comparée à Paris et aux Parisiens,
282, 283.
Long-Iiland ( lie du New - York ,
États-Unis). Sa formation. Traces du
déluge, t. XXXIX, p. 208.
Long-lsland ( ile de la Malaisie ).
Découverte par Wallis, t. III, p. 396.
Longue (t\e, Nouvelle-Zélande). Dé-
couverte par Dampier, 1. 1 , p. 454.—
Sa description, Vil, 310.
Loo-Choo (Ile , mer de Corée), Port
Napa , t. XIX , p. 395. — Costumes,
3S3. — Interrogatoire des étrangers ,
397, 400. — Bouté des naturels, 402
et suiv. — N'aiment pas à laisser pé-
nétrer les étrangers dans l'intérieur
de nie, 401, 403, 405, 409. — Tom-
beaux , leur intérieur, 407, 408. —
Campagne cultivée , 410. — Capitale
de l'île, 410. — Monnaie, 412. —
Mouchoirs de papier, 415. — Popu-
lation. Figure et mœurs des naturels ,
418. — Instruction, Vétemens, Na-
turels ont-ils des armes ? 420. — Ré-
pression des crimes, 422. — Reli-
gions, 424. — Commerce. Manufac-
tures. Connaissances géographiques ,
425. — Costumes. Canots , t. XXI ,
p. 62, 67, 70, 81, 195. — Entrevues
avec les naturels. Leur affabilité , 67,
74, 87, 93, 103, 136, 167. - Leur
figure , 70, 145. •*- N'aiment pas à
laisser débarquer les étrangers , 72.—
78, 80, 102, 120, — Pont. Cimetière,
76,85, 177. - Festin, 96, 114, 156,
167, 179. — Prêtres non respectes ,
98, 198, — Intérieur des terres, 109
et suiv 121. — Intérieur d'une mai-
son, 122. — Temple, jardin, 126.
— Description dn port Mel ville , 132
à 143. — Tntouage, 145. — Funé-
railles, 147. — Timidité des femmes,
163. — Cérémonial , costume du
prince, 167, 173. — Religion, 187.
— Cimetières , 188. — • Le roi seul a
plusieurs femmes, 190. — État des
femme», 191. |— Littérature. Armes,
Justice , 192. — Musique , 194. — >
Bétail, culture, manufactures, 196.—
Fabrication dn sel , 198, ~- Gouver-
nement, XLIII, xxviij.
Lepatka ( cap du Kamtschatcka) ,
t. XI , p. 456.
Z«/)p<ii(ile, dnFinn)9rck,Norwcge),
' «Lapons, t. XLV, p, 194. — Ca-
verne, 195. — Étendue , sol., 196.
Lottange {i\e , archipel Dangereux),
Découverte par Duperrey, t. XVIII
p. 140.
Let-Rejr** ( ville dn Pérou ), Fon-
dée par Pizarre , tome XXXVIII,
p. 333.
Lougou ( province dn Bourgou ,
Guinéc),t. XXX,p, 248, 251.
Louis XIV, Son ambassade à Siam.
Mieux uceonillie que ne le furent
celles des Anglais, t. XXXIV, p. 219.
— Voy, Finlayton,
Louiiiade (archipel de l'Australie),
Ile Saint - Aignan , t, XV, p. 25^. —
Groupe de Bonvouloir, 258. — -1 .as-
pect riant de la grande tle , 259. —
Naturels font des ornemens d'os hu-
mains. Leur pudeur, 262, — Combat
de deux pirogues, 263, — Nutrrels
sont cannibales , 263 , 265. — Bou-
cliers , pirogues , 264. — Iles Jurien ,
Trobriand,266.
Louisiad» (golfe de la , Est do la
Nouvelle - Guinée ). Découvert par
Bougainville, t, IV, i), 290 et prcc,—
Beauté du pays , 284,
Louitiaiie (un des États-Unis). Usage
de la langue française , t. XXXIX .
P. 366, 386, 389. — Aspect des
forêts, 386. —Voy, NoweUe-OiUant,
capitale.
Louit-U-Grand ( fie du détroit de
Magellan) , t. IV, p. 189.
Loutres (Me aux i mer de Behring) ,
t. XIX, p. 281.
Loutre de mer. Sa description , t. X,
p. 371; XII, 164, 244; XIII, 359, 372;
XVII, 406. — Est diiférente de la
loutre de rivière , 407. — Sa chasse ,
408.
LouUville (ville du Kentucky, Etats-
Unis) , t, XXXIX , p, 375. — Beaux
arbres, 376,394,
Loyaltf ( groupe, Nouvclle-Héb.).
Iles Chabrol, Halgan-Tupinicr, tom.
XVIII, p. 304.— Ile Britanuia, 305,
DES MATIÈRES.
401
Loyd (port de l'tle Peel). Nommé
par Becchcy, t. XIX , p. 431.
Lucayts ( tics , Amérique ), Pre-
mières terres découvertes pur Colomb,
t. XXXVIII, p. 94, 240. — Voy. Sun-
Salvador.
LuekHOiv (capitale de l'Aondh , Hin-
doustan). Gazetier, t. XXXVI, p. 180.
— Entrée dans la ville, 181 et suiv,
— Rues, 181, 182, 185. - Men-
dians, 181, 190. — Mosquées. Pa-
godes. Bazars , 182 , 185. — Carac-
tère de. hahitans. Tombeau royal ,
185. — Collège musulman , 186. —
Beau palais, 186. — Audience du
nawab. Sa demeure. Sa couronne.
Ses œuvres scientifiques , 187 et suiv.
— Usage de reprendre les cadeaux ,
191. — Population. Ponts , 193. —
Chrétiens ; autres habitans , 194.
Luçon{\\e, archipel des Philippines).
Désavantage du gouvernement des Es-
pagnols, t. XII, p. 299. — Extrême
fertilité du sol , 303. — Pirateries des
Mores ou Malais mahométans, 305.
— Garnison, 311. — Tremblement
de terre , port de Sisiran , XIII , 206
à 212 ; XVIII , 403. — ^ .sion en
paroisses , 440. Climat. Sol. Produc-
tions. Objet d'exportation , XX , 217
et suiv. — Habitans , XLIII , xiij , et
suiv. — Voy. Cavité , Manille.
Lwiamar ( royaume Maure de Sé-
négambie). Voyage dans l'intcrienr.
Coiffure des femn.^s , tom. XXV ,
p. 126. — Jarra : maisons , naturels,
127, 131. — Dina, 135 —Fabrica-
tion de la poudre, 137. — Musique ,
138. — Captivité de Mungo-Park au
camp près de Benoum ,;140 et suiv. —
Armée , 182, — Limites, 182. --
Voy. Maures de la Sénégambie.
Lugan (ville du Voronedje , Russie
d'Europe). Grande fonderie de ca-
nons , t. XLIV, p. 456.
Luleojas ( tribu de Betchouanas ,
sud de lAfriq je) , t. XXVI , p. 470.
Luioa (ville du Nordland suédois) ,
t. XLV, p. 329.
Lune (monts de la). — Voy. Amid-
Amid.
Luxor (ville de la Haute-Egypte).
Belles ruines, t. XXIII , p. 91.
Ly\ll. Son voyage en Russie ,
t. XLIV, p. 354.
L^ke (désert de , partie du Sahar.^
Ses oasis doivent renfermer de cu-
rieuses ruines, t. XXII, p. 319. —
Natron du bois de Bir-el-Malha, XXV ,
395. — Arbres pétrifiés, 421. —
Oum-£ssogueir : site, maisons , habi-
tans , 422. — Voy. Oasit de Syouah.
Lynx. Description de cet animal
t. XLV, p. 90.
M
Maasoi{i\e du Finmark , Norwége),
t. XLV, p. 212.
Maboum (ville du Timani , Séné-
gambie). Composée de deux villes
ti es dif£ér<înies , t. XXVIIl , p. 27, 43.
— Mœurs et usage des Mandingues,
45 et suiv. — Campagne. Produc-
tions, 48.
Ma-Buitg (ville du Timani , Séné-
gambie) , t. XXVIII , 23. — Gri-gri
(sorcier), 25.
Macao (île et ville de la Chine , en
face de Canton). Autrefois très riche,
t. II, p. 292. — Fondée à quelle oc-
casion par les Portugais , comment ils
l'ont perdu , XH, 270. — Fortilica-
tion du fort, 277. — Population,
278. — Quelques privilèges des Chi-
nois , 279. — Gouvernement , 280.
— Aspect riant de la ville, 282. —
XLVI.
Portugais soumis aux Chinois, XVIII,
404, — Aspect de l'île , 442. — Mar-
ihés. Maison du Camoèns, 447. —
Son buste , XXXIII , 423. — Climat ,
XXXVIII, 420.— Voy. Tigre.
Macariej (ville du Nijni-Novogo-
rod, Russie d'Europe ). Description
de ces célèbres bazars, t. XLIV, p. 466
à 469.
Macartnky. Son voyage dans l'in-
térieur de la Chine et en Tartarip.
Préliminaire historique de son ambas-
sade , t. XXXHI, p. 426. — Arrive à
Péking , 447. — Discussion pour le
cérémonial d'hommages , 453 , 464.
— Part pour la Tartaric, 458. — Re-
çoit audience de l'empereur, 466,
467.
Mac-Askill (îles, archipel des Ca-
rolines). T-oductions, tom. XVIII,
26
402
TABLE GÉNÉRALE
p. 177. — < Naturuls. Yétomeni. Orne-
mens, 178.
Macaisar (ville de l'ile des (Jè)èbcs).
$itiiatioa. EnTirons, t. 1(1 , p. 205 ,
211. -r- Comptoirs do sod départe-
iD«nt. Sa garoUon, IV, 882.
A^cauet ( peuple de la race Bot*
tentote). Teint. Hahillemrnt. Armes.
Superstitions. ]<hcndiie de leur pays.
Circoncision , t. XX , p. 127 et suiv.
Meuaulax ( 'les Kermadec , Polyné-
kie), t. XV, p. 143.
Machaou* ( tribu de la race do
Betcliouanas , Afrique ). Mœurs et
coutumes , t. XXIX , p. 358.
Mackbnzik. Ses reclierches du pas-
sage au nord de l'Amcriquc. Découvre
lu rivière de son nom, toni. XL,
p. xxvij et suiv.
MaektntU ^fleuve de TAmérique
septentrionale). Sa découverte. Ses
trois bras. Son cours , t. XXXVIII ,
p. 57 , 38. — Charbon de bois brû-
lant sur ses rires. Terre mangée par les
Indiens , t. XL , p 490. — Produo-
tions des rives. Indiens , 491. — Lao
du Grand-Ours. Fort Franklin , 492.
Mqcoh (ville de la Géorgie, Etats-
Unis). Fundatiozi récente. Singulier
aspect, t. XXXiX, p. 540 et sniv.
Macouthis ( Indiens de l'ouest de
Guiane ). Leur pays , t. XLI , p. 198.
— Leur fabrication du terrible wourali
(poison) , 205 et suiv. — Son iisnge
à la chasse, 208, 212. — Armes, 2U8
et suiv. , 210, 213, — Costume de
chasse , 210, 211. — Ruses de chasisc,
212. — Remèdes au poison , 214.
Maequarie ( ile de la colonie de la
Nonv.-Hollande), lUorne aspect delà
campagne.Colons, tom. XL11I, p. 116.
Maoquarie (rivière de la Nouvelle-
Hollande). Sa découverte , t. XLIII ,
p. 176. — Expédition pour recon-
naître son cours , 179. — Beoseigne-
mens recueillis, l81. — Rives, 183,
185, 192, 196. — Arbres, 183, 185,
186 , 195. — Affluens , 184, 186. —
Rapides , 185. -~ Beauté du Casua-
rina, 185. — Entrevues avec les n,i-
turels, 187. 191, 193 et suiv., 212.
— Lac Buddah, 188. — Cataracte,
190. — Marécages , 194 , 202, 210 à
218, 223 , 261.— Sécheresse, 196.—
Le mont Barris, Ses alentours , 198
«t suivante». — Roseaux , 201 , 205 ,
207. — Excursions do Sturt, 202,
204 à 208, 210, 218, 222. — Fin de
la rivière , 205, 221, 226. — Explora-
tiun des marais. Son résultat, 210 à
210, 223. — Inondations, 225.
Madagaiear. tremière.s notions sur
cette ile obtenues par Covilham, t, I,
p. 50.
Madirê (tle, océan Atlantique).
Découverte par les Portugais. Origine
de son nom , t. I , p. 20, — Vins
excellens , 11, 75. — Bel aspect de
l'Ile , V, 6. — Pressurage du vin, 7.
— • Productions de toute espèce, 10.
— Description de la ville de Fun-
cbal, 10. — Population de Die , 12.
Description de Funchal , VII, 165.
— Gouvernement de l'ilc, 167. —
Descripticn des indigènes', 169. —
Description de l'Ile. Sol volcanique ,
171, — Culture de la vigne, 173,
— Animaux domestiques et sauv,i-
ge.s., 174. — Origine du nom. Inccu-
die des arbres , XXII , 9. — Aspect
de Funchal, XLII , 81, 86. — Riie*
Moyens de transport, 82. — Bœufs.
Origine. Costume des gens de la cam-
pagne , 83. — Figure et vétemen» des
femmes, 84. — Mendians. Maisonii ,
85. — Arbres des environ?, 86. —
Monastère de Motrc-Danic. Vœux des
marins , 87. — Marsouins , pois.sous
volans , 88
Madibou ( village du Bambarn ).
Poissons. Crocodiles, t. XXV, p. 237.
Ittadison. Voy. Naaka-ltiva.
Madrat ( capitale du Carnatic , Hiu.
doustan.) Aspect intérieur , t. XVIIl,
p. 435. — Aspect. Les Mamli et les
Catumarans , cmb.trcations , XXXVI,
429. — Cathédrale. Maisons. Arbres,
431. — Climat, 432. — Parc d'arUlle-
rie, 435.
Madrid ( capitale de l'Espagne ).
Ses environs. Son origine. Le Prado,
t. XL VI, p. 175. -^ Résidences
royales des environs : l'Escuri.')! ,
Saint-lldefonse, ArauJTiez, 175, 176.
Maélstrom ( fameux gouffre de
Norwége), t. XL V, 155, 160.
Malar ou Molar ( lac de la Suède),
t. XLV, p. 15, 335.
Magaria (ville du Gouber, Haoussa),
t. XXVllI, p. 222.— A été propij.
fmcnt agrandie , p. 227. — Prières
des musulmans , 228.
DES MATIERES.
40S
Magdalenti ( Ile, archipel des Mar-
quises ). Relation de «a déronvette,
par Mindoua , 1. 1 , p. 107 ; XV, 3i)6,
068 et siiiv. — Phy^Domie des .ta>
bilans , 373.
Maoellait. Part de Soville pour
arrirer eux Moluques pur l'occident,
1. 1, p. 123. — Découvre l'Ue de» Oies,
128. — Prend possession de la Patii-
gouiu ail nom du roi d'Espagne, ITS.
— OccouTre le détroit qui porte son
nom et la Terre de Feu, 140. —
Nomme l'océaa PariBqiie, 141. —
Découvre les lies Malheureuses , 143.
— Les Iles des Larrons, 145. — Les
Philippines , 146. — Est tué dans un
combat dans l'Iode, 147. — Son équi-
page continue sa route et arrive en
Espague, 149. — 11 est le premier
qui ait fait le tour du monde, ii. Son
vais.seau conservé comme un monu-
ment de sou expédition , 150. — Ré-
sumé de ses voyages , XVIII, 190.
Magellan ( détroit entre Terre de
Feu et Amérique ), Découvert par Ma-
gellan ), t. I, p. MO — .Ses dimeri-
siou.% 155. — Ses miirce.s. Se» rives
couvertes d'une neige bleue, 156 ; IV,
154. — Il y vente fort, on ne peut y
ancrer, 1,175, 246. — Parcouru et décrit
dans toute son étendue, par Byron, II,
397, 409, 427, 452. — Observations
générales sur sa navigation, 448,453.
— Détails snr les deux eûtes du dé-
troit, 247, 277. — Descriptions des
principaux endroits de monillage.s,
277. — Table des distances et de la
situation des pointes du détroit , 286.
— Traversé par Bougainville. Ob-
servations et descriptions de mouilla-
ges, IV, 133, 196. — Sa longueur
entière. Observation sur sa naviga-
tion, 195. — Quantité de biileincs ,
t. XII, 61. Voy. Uc Sante-Eliiabeth,
port Famiat, Pilares, cap.
Mngtroe[\\e de la Norwége), tom.
XLV, p. 131. — Le cap Nord, 212.
V. c* nom. — Aspect de l'île Mouettes,
213. — Rareté dn bois. Maisons, 214.
— Habitans. 216. — Cabane, 218.—
Ouragans de neige, 222- — ' .S.'ilubrité
du climat. Aurores boréales, 225. —
Sol, étendue de l'île. Abaissement
de la mer. Le Knivskiosmess , 224.
Maha-hali'Poitr {^y'iWe. d« Carnatic,
llinduustau). Sos ruines. Rochers
sculptés. Allégories, tom. XXXVI,
p. 436.
JUakarré ( rille du Tinutni , 8én<«
gamiiie), t. XXVIII, p. 9.
Mttké ,' Ile , groupe Seychellei )
EnorroA 'tues, t. XVIII , p. 427.—
Bœufs. Français ? sont regrttt^.
428.
MaXHottt on Ltuonl»n» ( peuple de
la Grèce). Leurs mœurs gnerrière*.
t. XLV I, p. 208.
Maitea. Voy. Otnabnelt.
Maitsha (province de l'Abysùnie).
Production , t. XXIII , p. ?3l , 402.
— Sol , 402, 416. — Capitale, 461.
lHakivUr$ ( tribtt de Betchouana* ).
tXXVI, p. 471.
Malabar ( Etat de l'Hindoostan ).
Caractère des habitans, t. XXXI,
p. 547. V. Calieut, Coehin, CaHgtnor.
Malabats ou Tamouh (naturels de la
cAte do Coromandel). Sont de la
famille Malabre, t XXXI, p 21.
— Figure. Mœurs , usages , 338 et
suiv.
il/(r/(i«a(presqu'tle de l'Indo-Cliine) .
Soumis* par Albiiquerque, tom 1 ,
p. 104. — Fort de Queda. Animaux.
Sol. Plantes, XXXI V, 31, 32. — Ar-
bres , 35.
Miilaca ( capitale du royau 5 de ce
nom ). Origine. Port. Soumise par
Albuquerque, 1. 1, p 104. — Enlevée
par le.s Anglais aux Hollandais,
XVIII, 393. — Environs. Sol. Pro-
ductions, XXXIV, 38 et suiv. —
Air de snlitude. Climat, 41.' — Fa-
milles ludlaudai.ses. Esclaves, 42.
Malaca ( détroit de, mer des Indes).
Structure des lies. Pliénomènes de v«^>
getation, tom. XXXI V, p. 13 à 47
Voy. Poulo Dinding, Poulo Peitang ^
Sin Capert,
Malacotia ( ville dn Fonladon , S»
négambie). Huttes, t. XXV, p. 319.
Malais ( peuples d'/Vsie). Dur es-
clavage de leurs femmes. Religion,
t. XVIII , p. ^139. ■— l'èlcriiingps à la
Nieeqiie, XXXII, 238, 24C. — Gtrac-
tère , mreiirf , usages , XXXIV, 76 à
80. — l'aeo, 240. — P'ormes physiques ,
240 h 216. — Teint. Nourriture. Re-
ligion, X LUI, iv.— Dominent dans rO-
céauie, aj — Diversion des races.Idio-
mes, sj. — Sont d'habiles commercans.
Leur littérature, xii , xv. — Race. Fi-
401
TABLE GÉNÉRALE
t
gure, XT f t inir. Lieux où ils sont éta-
li». —Nourriture, xvj. Costume, ca-
ractère , xvij. — Langue, xxxij. — •
Figure , forme* , chefs. Polygamie ,
Ixj"
Malàipti ( lie*, mer des Indes). Ne
sont que récifs de coniit, t. XYIII,
n. 428— Cacaotiers, XXXIV, 26.—
Embarcations. Denrées. Naturels ,
XXXV I, 3.
Mai.donata, Son aventure extraor-
dinaire à Buénos-Ayres, t. XXXVIII,
p. 349.
Mallieolo (tle, NouTelles-Hébridcs).
Découverte par Cook, t. VIII, p. o29,
838. — Habitans , leurs ornemens ,
330,334. — Langue, 530, 542 —
Leurs arcs, carquois et uutres armes,
336. — Cabanes, 338. — Sul fertile.
Animaux. Population. Climat, 343. —
Nourriture des Imbitans. Instrumeus
de musique , 345. — Se versent de
l'eau sur la tête en signe d'amitié ,
347. — Aspect du pays, 415.
Malouinei ( Iles , vûte eut de l'Amé-
rique méridionale) Découvertes par
La Bocho ou Davis, toui. II, p. 43,
420. — Nommée Belgie australe, par
Roggewiu , 44. — Leur description ,
4l4 et suiv. — Pourquoi ensuite nom-
mées Malouines, 421. — Les Frun^-ais
qui en avaient pris possession les
rendent aux Espagnols, reconnais-
sant 'eurs droits , IV, 38, 45. — Dé-
tails I istoriques sur ces Iles , et leur
établissement français fondé par Bou-
gainville, qui croit ces terres décou-
vertes par A. Vespuce, 39. — Leur
aspect peu séduisant, 56. — Leur cli-
mat égal, 59. — Eaux. Terrain, 80.
— Plantes, fruits, 63 et suiv. — Plan-
tes marines, 68. — Coquilles, qua-
drupèdes , oiseaux, 169 et suiv. —
Animaux marins et poissoo.s, 78. —
Diflérens noms qu'elles ont portés.
Aspect monotone. Animaux. Tempé-
rature, XVIII, 116. — Tourbe, 119.
— Abondance du gibier. Description
des palmipèdes, 121. •>- Découvertes
par Davis, 125. — Une perfidie des
Anglais, 127i XXT, 250. — Sol , ani-
maux, XX, 32. Voy SoUdad, Fal-
kland, NeiJ^hland.
Malwha ( province de l'Hindons-
tan). Etoffp . renommées de Seronge,
XXXI, p. dO- — Tribus diverses,
XXXVI, 548. — Lieux divers, 549,
350, 351 , 352, 559. — Champs de
Stavots, 550. — Campagne , 350, 353,
155. — Suc de fleur enivrant, 351,
359. — Jus du pavot, 351. — Villauf
de Blieils , 353. — Chariots, 355. —
Abominable coutume. Banswiini, 35(!,
357. — Limite de la province , ô61 .
Mamlouhi. Leurs figure. Leur rarr
est éteinte en Egypte, t. XXII, p. 258,
365. — Leurs habitudes en Egypte ,
372.
Mamora ( ville de Maror ), Buines
portugaises, t XXII, p. 101.
Man (Ile de, Nouvelle-Dretagni' ,
Australie ). Découverte par Carterot
t. III, p 150.
Manado ( port de l'tle Célèbe» ) ,
t. XVIII, p. 350.
Manche ( province de l'Espagne ),
f. XLVI, p. 177.
JUandara (^l»ay» du Soudan). Voyage
dans l'inférieur, t. XXVII, p. 141. --
Detovr, 142. — Instrumens de musi-
que. Garde du sultan. Costume. Cdur,
145 et suiv. — Mora. Singulier us.ige
d'étiquette, 144. — Nombre des
principales villes, 147. — Mo.sgov.
Costume de chefs, 148- — Conihnt
contre les Felatahs. Défaite du sul-
tan, 159 et suiv. — Chaîne de mon-
tagnes , 175. — Fer. Forges, 176. —
Belles négres.ses. Caractère, 177.
Maicdbvii.le. Son voyage en Ar-
ménie, t. XXXI, p. 52.
Manding ( royaume de la Séoé-
gambie). Voyage dans l'intérieur,
t. XXVj p. 275, 295. — Monda, 277,
— Mansia, 281. — Climat, 286. —
Mines d'or, 505. — Kinitatouro, 312.
— • Voyage dans l'intérieur, t.XXVIII,
p. 8. — Manière de traverser les ri-
vières , 75. Voy. Kamalia , Kouraiiko ,
Timani.
Mandingaei ( babitans du Man-
ding ). Caractère. Traitement. Eu-
fan.s. Distinction du prince, t. XXII,
p. 49. — Gouvernement, t. XXV,
p. 56. — Lois, 57. — Caractère. Vê-
tement. Maisons, 58. — Maison
commune, 40. — Esclaves, 41. —
Contes, 48. — Singulière répression
des troubles domestiques, 58 —
Luttes. — Danses, 60. — Boisson,
62. — Caractère, 288. — Cir-
concision, 291. — Polygamie, 293 —
r)ES MATIÈKI^S.
406
Noms de* enfant, 2li5. — DïTition du
temps. Connaissances géogrii|iliii|iirs,
297. — Religiun Funérnillcii. Miiiique,
'JS8. — Auiuur du seh Arts, 500. —
Costume, XXVKI, 45. - Armes.
Métiers. Uiàtinclioos de rangs. Mdu-
calion , 46 — Travaux des femmes,
XX[X, 375. - Mœurs , 385.
Mangia ( archipel , Polynésie ). Dé-
couverte par Cook.Voy. ff^atuto, !¥•-
nùOMtt*.
Mangia (tle de l'archipel do cenom).
Découverte par Cook, t. IX, p. 280.
, HL Description des habitans, 290,
2w. — Aspect agréable de l'Ile.
Langue des insulaires , 295. — Leur
manière de saluer. Leur nombre en
1823,296,297.
Manglt. Sa saveur, t. VII, p. 66.
Mangouitan. Description de ce fruit,
t. VII, p. 69.
Maniana ( ville et royaume du Son-
dan). Habitans anthropophages, tom.
XXV, p. 246.
Manille (]iort de l'Ile de Lnçon, ca-
pitale des Philippines ). Population ,
beaux environs , maisons sur pilotis,
son bel aspect, t. XII, p. 296 Dé-
savantages de son gouvernement,
299. — > Distinction des rangs. Impôt
sur le tabac, 302. — Beauté des en-
virons, 3 10. — Faubourg des Chinois.
Usage de fumer immodérément chez
les femmes, XVII , 250. — Tremble-
ment de terre , XVIII, 403. — Com-
bats de coqs. Eglises richement dé-
corées, 441. —Kues. Maisons, XX,
218.
MohUUs ( ancinn nom des Philippi-
nes). Conjectuij sur l'origine de ce
nom, t. I, p 443. Voy. Philippines.
Manna ( ville du Fouladou , Séué-
gambie ). Fruit du nitta , t. XXV ,
p. 316.
Manouaran ( une des lies des Pa-
pous, M.ilaisie). Etendue. Naturels,
t. XVIII, p. 77.
Mantia ( ville du Manding, Séné-
gambie),t. XXV,p. 281.
Mantatis (horde cafre). Envahis-
sent les pays de leurs voisins, t. XXIX,
p. 44, 57, 71. — Combat contre les
Griquas, 101 et suiv. — Perdent la
bataille , 1 10 et suiv., 136. — Figure.
Langage. Co.^turoe. Ornemcu.'i, Armes,
114- — Origine. Histoire, 152 et suiv.
-— Ruinés et chAHM'H de leur pays par
les /oolas, 132, 134. — Sont les mê-
mes que les Ficanis , 138. — Leurs
progrès vers U colonie, 140 et suiv.
Maniehiapti ( tribn de Betchoua-
nas , Afrique sad ). Voyage dans le
pays, t XXIX, p. 48.— Travaux
des femmes , 52. — Cérémonies dana
lu conversation. Améliorations dues
ank missionnaires, 54. — Pitsho ou
grand conseil , 55, 82 — P^y*, 61.
— Caractère, 119, 350. — Man-
teaux , 348. — Plantes. Fruits , 349.
— Cuisine. Amour du tabac. Indus-
trie. As» cmblées publiques, 350.— Sa-
luts, 3-50, 357.— Cruauté. Danse.Usa-
ges. Superstitions, 352 et suiv. — Cir-
concision. Polygamie, 857. V. Kurumam.
MoHtehouri» ( partie de la Tatarie
chinoise). Intérieur et extérieur d'un
tombeau , t. XII , p. 351 . — Plantes.
Roches. Oiseaux, Coquilles , 353. —
Côtes peu habitées, XIII, 3. — Doute
sur la prétendue pêcherie des perles,
5. — Pierres, plantes, animaux, 6.
— Pirogues, 8. Voy. Caitrits, SuffrtH,
Ttrnajr.
Mantehous. Saints, tom. XXXIII,
p. 80. — Leur conquête de la Chine.
Leurs privilèges , 97, 231 , 238, 265,
note, 271 . — Costumes , 207. — For-
ment la première division dans l'ar-
mée de l'empire , 224. — Vénèrent
la pie , 239, note. — Religion , 255.
JUaouna ( Ile , archipel des Naviga-
teurs ). Aspect , t. XIII , p. 84. —
Haute stature des insulaires, 89. —
Joli village , beau pays , oiseaux pri-
vés , 90. — Férocité .les habitans, 92
et suiv. — Assassinat de Laugle,
compagnon de voyage de LaPerouse,
100. — Beauté du pays. Férocité des
naturels, XVII, 331. — Cheve-
lure frisée et teinte , 335.— Tatouags
n'est guère plus utile, 335.
Marrabou (ville du Bnmbara). Com-
merce du sel , t. XXV, p. 265.
Makckl uk Skrre. Son voyage ea,
Autriche, t. XLVI, p. 217.
Marchand. Son voyage autour du
monde. Préliioinaircs , t. XV , p. 321 ■
— Relâche et séjourne aux iles Mar-
quises , 535 et suiv. — Édianges avec
les naturels, 342, 346, 358. — Est
volé dans une descente, 355. — Dé-
crit les îles Marquises, (-t particuliè-
'%>
406
TA«»LE GÉNÉRALE
reiMot nu Sanu-Crittlnii, 863 à
482. — D^conrro le* Ile* do la Béro-
iDtioo où Im tict Mari-liand, du l>i«,
PIat«, 434 , 445. — L'Ile Piiui. 443.
•• Les ilri Ma»M>, Cbitool, 444. —
lemarqno» sur «un T|tyuge, 47â. —
liincoatioo lur soldécouvsrtcs, XVI,
i84.
Mafokaiid(tle, groupe de la Rëvo-
IbtiuD )■ Uéi'ouTerte pai Morclwod,
t. XV, p. 434. — Sun bol aupect,
436.— HabilaaaiembliibleR aui Mvn-
docaiDt, 431) — • Frostitution furi-ée
dci froimeii . 441. — Arbrcn, 442. —
Eteodua , 446. ■— Diitcutùon »ur m
découverte, XVI, 134.
Marco-Poix). Ci'lèbro Toyageur. A
demeuré vingt ana k lu Cluoe, t. I,
r 11, XXX1II,270. —Son voyuge on
A <e, XXXI, 83. — Eat atUcbé au
■ervice dn kbaa , 89, 46. — Notice
biograpliiqne, 47. — E*t tait prbon-
•1er parles Vénitiens, 47, 60.
Mardi» (ville d'Arménie, Turqnie
d'Asie), t. XXXII, p. 470. ■ urtico
divin. Mariages, 472. •- MoHquéos.
^ns. Basars. Population , 474-
Mar-Eliai, Couvent grec , en Syrie,
acheté par Udy Staubope , t. XXXII ,
p. 444.
Maria (lie, près delà terre de Van-
Diéraen). Su description : arbros, oi-
seaux, qup,4rupèd«s, t VII, p. 209.
Huttea et . ustensiles des habitan»,
800
MMiammi on <f«« Larron* ( (les, Po-
lynéMc). Découvertes par Magellan.
Habitans. Prodnctions. Cabanes. Pi-
fogues, t. I, p. <43 et suiv. — Sal.i-
lar nomme l'une d'elles Borta, 159.
— Les habitans adorent les os de leurs
ancêtres. Travaillent le bois avec 1.1
pierre. Leurs armes, IGO, 214. —
Iienrs canots, 191,213, 249. — Leurs
funérailles, 215.— Décrites par Nuort,
247. — Méritent leur nom, 248. —
Leur nombre, II, 275. —Description
de leur pros ou bAtimcnf) reniarr]))»-
bles, 278. — Historique des diffé-
rentes reconnaissances, XVm, 85.
— Prodnctions. Anim»»»» !*■ — Fi-
gure des naturels. Noor^ini'^ V/te-
men8,87, 88. — Gouvef**«aM!at espn-
Sol, 846. — MissioMMNres, XX,
9. Voy. AiitmftioH, timlum^ Se^-
P0tf milHaM^
MarifGalandt (U«, P«titea>ARtilleiV
t. XL!, p. 276.
Mahion, Chargé de nimcnvr n
Aoutouruu le Taition dans sa patrie,
t. IV, p. 401. — Découvre la terre
d'Eitporance, 403. — Les Iles Froides,
Aride, Pritu de posucniion, 41)4.—
Attère n la Nouveile-'/.élaude, 401). —
Sa confiance envers les insulaires ,
410. — Sa fin tragiqne, 413 et suiv.
— .Lu Nouvelle* /.élaude lui est rrdf«
vable de plusieurs plantes, 444, 440.
Mariait ou t'roid*t ( Iles , sud A«
l'Afrique ). Découvertes par Mitrio»,
I. IV.p. 404, VII, 224, IX, 184.
Muri¥*llt (lie des Pliilippiue»), Des-
cription du village. Havages des
Maures, t. XII, p. 288. — Gouverne,
ment, 289. — Quelques animaux,
290.
Maroe (empire de). Voyage dans
l'iutérienr, t. XXII, 89 et suiv. —
Laracbe, 90, 138. — Tombeuux de
pieux musuimnns. Superstition, V7,
140. — Maïuura : ruines purtugai<k>i,
101. — Fameux pirates de Siilé,
102. — Rabat. Pirates, 103, 142. —
Fruits, 105, 118, 145. — Mogadore,
112. — Climat. Etublis.seinens des
£un>pécns, 114.— Fid:illiiih,144. —
Azamore, 146. —Sol. 115, 150, 176.
— Culture , 116. *— Mines, animaux,
118. — Manufactures, 120. — Mé-
tiers, 121. — Maisons , vcr^'ers, 122.
— Tarudunt, 123. — Tanger, 133 à
135. — Dar-cl-Bcida, 145. — Tett,
147. ~-Six classes d'habitans, 162. —
Gouvernement, 166. — Chevaux, 172.
— Voyage dans le pays. El-Harib.
Commerce. Religiou. Costumes. Tra-
vaux des femmes, XXIX, 422. — W-
Dracb. Prodiictious. (^jiarrue, 423.
Mincina. Arbres, 424. — Talilet:
impôts, agrémens, industrie, 425.
— Description de Fez, 426 à 4^8.
Voy. Arabti. Btrbtrt, Chelluht, Juifs,
Maurfs,
Maroc ( lapitale de l'empire). Sa
plaine , t. XXII , p'. 151. — Fortifica-
tions. Palais du sultan. Mosquée»,
153. — Rues, maisons, 155. — Dazar,
156. Quartier et vie des Ju).' 157.
— • Jardins, 158.
Maroutzit (tribu de la race des Bct-
chouanas , Afrique sud ). Industrie.
Bétail, t. XXIX, p. 359.
DES MATIERES.
407
Mmqal» de Tra»êH* (llo do U terre
de Sandwich ), t. XXI, p. 432.
Matiim'itt. Voy. Nonka-Hiva.
MniruMOHiMt (Iriliu de UoIrlioiiNanii,
Afrique, «udj. t. XXVI, p. 471.
t. r, p. 4.
Munehall (arriiipel , partie des llcf
Mulgrnves, t. XVill, n. 107.
Martin ( Ile de 8ir-Hc
Icnn- , groupe
f{ergpi«t ou arrhlpcl des Marquiies ).
Nommée par Uergcst, t. XIV, p. 381.
— DisriiMiun »ur ut drcoiiverlc,
XVI, 131. — KRt rrio Nooliœrati
(NoiiliH - Hiva). Voy. 6\t Jtrnitr nom
jioutla tuile,
Martinique (la, Ile ùes Potitcs-Antil-
les). Brnuté do la cHpitnlc , t. XLI,
p. 276. — Le roc diamant, 277.
Martyri (les, Iles de 1' arcliipel Ca-
rolincs). Sont les lies Allnp, Fauadik
et TiiniHtam, t. XX, p. 228 , note.
MarjrlanJ ( nu des États - Unis ).
Voyage dans l'intérieur , t. XXXiX ,
p. 226 — Baltimore. 227 a 230, 127,
419.— Climat, 431. -^ Deauté et
viiriétc des fruits et dc.4 fleurs , 432.
— Papillons, oiseauK-moucbes, vers
hiisans, 434.
Masa-Fuero ou Petite Ile de Juan-
Fernandez, N'est point stt-rile, abonde
en chèvres, t. II, 154.! — '^'^ pintiidcs,
III, 97. —Sa forme, son ôtendup. .8a
distance de celle de Ju.nn-Fcruandcz.
Poissons de ses cAtcs, 101 cf suiv. —
Signification do son nom. Soi. Climat,
XX, 00, 65.
Maseate (ville de l'Oman , Arabie).
Pjilais de l'iman. Population. C'ostii
me». MaiDons, t. XXXV, i>. 2. — *^
pect, ^— environs , 4. — Comme . < .
pui.ssance de l'iman , 5, 6. — ' lHr»<pr-
tance des dattiers, 6. — CostUMae àm
l'iman, 7.
Matouah (Ile, Abyssinie, mo>- Ronge).
Autrefois très commercanu^, ►. XXIII,
p. 165, 171. — Nomancie*. Fteudu;-,
170. —Costumes de cIk-K. 175, 179.
— Cbiteau. Musique. irS. — Mala-
dies , 186. — Autrefu» wsidence «lu
Buharnagasli, 323.
Hmunchutetu (t'« 4esKtat.'<-r»i.s ).
Campagne, t. XXViX, p. 43, 140, 144.
-Villages, 43, 1«, 143. 145, 161.
— Quakers, 44. — Voyage «'.ans le pays,
132. — Esprit d'iudépuaiiiuuc £ , 135.
— Concoari dos comités agricoles,
134. — Uiage Immodéré Je» liqucuni
fortes, 138. — Beauté des ville» ou
villngei, 140, 141, 113. — Mont Ho-
lyoke, 142. — Collège Harward, 151.
— Manufactures et ouvriers, 154. —
Concours deliateaui, 101. — Condi-
tion des femmes, 102 et suiv, — Édu-
cation publique, 166 et suir. Voy.
Boston, capitale; Howell, Salem, Sloei'
6riJf(*.
M<utaâre (tlt!i du, Australie). Dé-
couvertes par Morrcll, t. XX, p. 215,
200. — Cimetière royal, 253. — For-
mes, Vé' mens des naturels , 256. —
Armes. Canots. — Biclic do mer, 258.
— llo.itililés contre Morrell. Bataille.
Cannibalisme, 270 à 21M. — tirouite
iJentiqueau neuf ilesdit Cartrret,2ilO.
Perfidie des insulaires, 32^).— Morrcll
achète l'Ile Wallitro des Insulaires,
qui l'attaquent ensuite, 311, 361.
Mati* (lie, groupo de la Hévolutiou),
Décoiivcrtu par Marchand, t. XV,
p. 444. — Discussion sur sa décou ■
verte, XVI, 134.
Massouafi (port de l'Abys^inie) Im -
portauce de sou aucieu commerce ,
t. XXIII. p. 1(}4.
Atattlitrgei (moût du .Sondcrsfield ,
Norwége), t. XLV, p. 5.5.
Mnthiat (ilc, Austr.ilic). Découverte
par n.impipr, t. I, p. 438; IV, 318 ;
Xni, 219, 220.
Htaily (ile d'Austriilic). Découverte;
par Cnrferet, t. III, i». 103.
Maupfbtuis. Son voyage eu La-
V *.c, t \LVI, ^.. 82.
MAua. ..-t. Découvre l'île Vavao ,
t. XIII, p. 137, 138. — L'île Auwr-
iir.'i . 138. 231. — Son voyage de
Munille au Mexique. Préliminaire.^,
204. ^ Découvre les Iles de.s Fr-
mites, des Moines, 216. — Les lleii
José-Bîisco , Saint - Michel, Jésus-M»-
ria , Saint-Gabriel , Saint-R»i)hii<;l ,
Base, Dufour, les Trois-Ilois, 218. —
Un grand nombre d'autre» Iles , 222.
— L'ile Latte, 232. — Les îles de Ma-
jorqua, où il est bien accueilli, 233 à
250. — Les Iles de G;dvcz, les Cou-
leuvres, la Seule, Va.squcz, 257- —
les îles de Consolation , Muurclle, 260.
— Malheur qu'il éprouve, 200. — Se
ravitaille à l'île Guham, 271. — Ar-
rive eu Amérique , 277.
408
TABLE GÉNÉRALE
Maurellt (Malaisie). Découverte par
Manrelle, t. XIII, p. 267.
Maures de la Barbarie. [Sont forcés
d'abandonner aux Portugais les eûtes
de Maliibar et d'Ajan , 1. 1 , p. 92. —
Éducation, XXII, 200. — Musique,
202. — Occupations, 203. — Ma-
riages , 204'
Maures de la Malaitie, Ce qu'ils
sont. Pourquoi ainsi nommés, t. XII,
p. 305. — Leur commerce , XV, 295.
Maures de Maroc. Figure, t. XXII,
p. 125, 167. — Vêfemens, 126, 168
— Réception d'un étranger , 126.—
Repas , 126 , 169. Messagers, 129. —
Saints , 130, 171. — Usage du cheval,
131 , 172. — Occupent les hauts em-
plois, 162. — Éducation, 167. — Ca-
ractère, 170.
v^ Maures de la Sénégamhie. Voyage
dans leur pays.Établissemens.Bançons
des voyageurs, t. XXII, p. 78. — Or-
gueil. Figure. Vie nomade. Occupa-
tions et traitement des femmes, 80. —
Education. Vétemens , 82. — Langue
Religion.Commerce,84. — Hospitalité.
Jugemens. Combats, 86. — Forcent
les babitans de TÏHsi à embrasser le
mahométisme, XXV, 100. — Leur
figure. Origine, 132. — Retiennent
prisonnier Mungo-Park, 140, 200.
— Exercices du cheval, 158. — Fu-
nérailles , 159. — Noces, 160. Mœurs
et habitudes, 173. — Travaux des
femmes, 178. — Maladies, 179. —
Justice, 180. — Gouvernement. Privi-
lège royaux , 181. — Changemens de
station , 185. Voy, Ludamar.
Maw. Son voyage à travers le nord
de l'Amérique méridionale, t. XLII,
1 . — Descend le fleuve des Amazones ,
34 à 74.
Mayorga (île, Australie). Décou-
verte par Manrelle , t. XIII, p. 233 ,
250. — Son aspect , 233. — Patates
de quinze pieds, 234. — Naturels,
255. — Respect pour le roi. Sa cour,
237, 240. — Jeux. Combats simulés,
244. — Fertilité de la terre. Produc-
tions , 250. — L'ile avait été vue par
des Européens avant Manrelle , 233.
— Naturels se mutilent le petit doigt,
253.
Ma-Yotso (ville duTimaui, Séné-
gambie),t. XXVIII, p. 26.
MazanJeran ( province de la Perse).
Arbres. Achreff, t. XXXV, p. 339. —
Beau pont, 341. — Costume d'uu
prince, 342. — Teint des babitans.
Barbes teintes, 345. — Costume des
femmes, 346. — Ferhabad, 352. —
Ruines du palais de Schah - Abbas ,
353. — Balfrouch, 354. — Amol:
i^tiqnités intéressantes , 359. — Belle
chaussée , XXXVII , 316, 320. - Ra-
vages de la peste , 322. — Campagne.
Climat. Maladies. Habitans. Animaux
venimeux. Productions, 322. —Cos-
tumes. Habitations, 324. — Belle val-
lée de TUar, 324, 325. Voy. Sari ,
capitale.
Meares. Ses deux voyages des
côtes d'Asie à la côte d'Amérique,
t. XIII, p. 335, 343. — Découvre les
îles de la Providence , de Tatée, 344.
— • Nomme en Amérique la pointe du
Brisant. ITomme le mont de la Selle,
le mont Olympe, les baies Sboal-
Watcr, la Déception, Quicksnud,
Effingham ; les caps de Désappointe-
ment, Grenville, Look -Ont, Bpalc,
353 et suiv, — Décrit les mœurs, rou-
tumes, vétemens, figure, etc., des
habitans du district de Nootka , 357
à 376.
Meched ( capitale du Khorassan ,
Perse). Aspect, t. XXXV, p. 207. —
Morne silence, 208. — Histoire, 210.
— ■ Maisons, 21 3. — Rues. Bazar, 214-
— Edifices publiques. Belle place ,
215. — Portails. Mausolée d'Haroun-
aURaschild , 216 à 223 , 233. — Dé-
tails historiques sur ce sanctuaire ,
218 et suiv. — Medressés (collèges) ,
223, 228, 231. — Bains publics.
Palais. Population , 227. — Moullahs,
228, 230. — Objets d'étude des col.
léges, 228. — Commerce, 231. —
Manufactures. Velours renommes ,
232. — Visite de Fraser au vizir, 235-
— A de célèbres derviches , 244 et
suiv. — Visite au prince , 248. —
Berceaux de voyage en chameau ,
255 , note. — Grand mausolée , 264.
— Mendiant arrogant, 268. — Crème
salée, 271. — Plante à suif , XXXVII,
266. — Vénération pour la ville, 282,
289. — Villages des alentours, 285.
— Intérieur de la ville, 286. — Rues,
289. — Population. Habitations, 290.
— Fameux tombeau de l'iman. Mu.s-
qnée azurée, 291. — Autres édifice)».
Détails histor
DES MATIERES.
409
Détails historiques , 292. — lUamina-
lions , 291 ^
Meeque (ville du Hedjaz , Arabie^.
Portefaix. Porteurs d'eau, t. XXXII ,
]>. 41 , 166. — Costume du pèlerin ,
69 et suir. — Obligation de tout
voyageur qui arrive , 76. — Céré-
monies de la Visitation de la mosquée,
77 à 85. — Description de la ville.
Ses titres , 85. — Environs , 86 , 94.
— Maisons. Terrasses , 87, 88 , 102.
— Rues , 87, 89. -^ Absence de bâti-
mens , 88. — Citernes. Poste au
lettres. Cimetière, 90 — Ses quar-
tiers et leurs bnbitans , 90 à 101. ^
Mendians, pèlerins, 91, 163. —Bain,
92. — • Eunuques mariés , 93. — Le
Grand-Château. Rues remarquables ,
95, 97. — Lieu des supplices , 96. —
Marché d'esclaves, 97. — Femmes
publiques, 100 , 156. — Sermens ,
101. — Deicription de la mosquée , 102
à 128. — Description de la Kaaba ,
102 , 105 à 110 , 414 et suiv. — Fa-
meuse pierre noire , 106. — Tombeau
d'Ismaël , 108. — Puits du Zemzem.
Sa vertu, 111, 120. — Empreinte du
pied d'Abraham , 114. — Croyances ,
supertitions au sujet de la mosquée ,
114,117, 128. — Chaire, 115. —
Prière du soir, 116. — Écoles, 119.
— Volée de pigeons. Portes. Mu-
railles, 121. — Ministres. Cérémo-
nie», 122. — Notice historique sur la
Kaaba , 128 à 140. — Description de
l'ouverture de la mosquée , 138. —
Remarques sur les habitans, 141 à
168. — Teint. Tatouage. Vêtement.
Modes, 142 à 147. — Habillement
des femmes, 147. — Éducation , 148,
164) 173. — Esclaves. Concubines ,
148. — Exigences des guides des
pèlerins , 150. — Singulier office des
delyls, 153. — Luxe, 154, 157. —
Bepas , 157. — Caractère , 158 , 160.
— Saluts , 159. — État delà science,
164. — Musique. Chants, 165, 166.
— Noces. Réjouissances pour la cir-
concision , 167. — Gouvetncment ,
168 à 181. — Histoire des schérifs ,
168 , 172. — Leur costume , leur
juridiction , 170. — Leurs cnfans
élevés clic7. les Bédouins, 173 — Loin-
l'aractèrc. Leur religion, 175. — Du
kadliy et de la justice, 177. — His-
toire du kadhy, 178. — Revenu du
schcrif, 179. — Climat, 181. — Ma-
ladies , 183 , 234. —Du hadi ou piUn-
nage, 185 à 335. — Progrès de l'in-
différence, 185. — Caravane sy-
rienne, 187, 201, 233. — Pèlerinage
de sultans, 188, note. — Ordre de
marche, 189. — Caravane égyp-
tienne , 192 , 202. — Persanne , etc. ,
192 et suiv. — Pacotille du pèlerin,
196. — Industrie des pèlerins nègres ,
197. — Pèlerins hindous , 198. — Vie
des pèlerins, 200. — Pèlerinage des
Caravanes à Arafat , 204. — Devoirs
des pèlerins, 205. 212 , 218, 230. —
Description de l'Arafat, 207. — Ser-
mon. Bannières, 212, 214. — Re-
tour, 216. — Séjour à Wadi-Muna ,
219. — Cérémonie des pierres , 219.
— Sacrifices. Fin du pèlerinage, 221.
— Retour à la Mecque, 222. —
Preuves du pèlerinage, 230. —Dif-
férences avec la mosquée de Médine ,
293,294.
Médina (capitale du WouUi , Séné-
gambie). Fortifications. Cour du roi ,
t. XXV, p 46. — Population. Cos-
tumes, XXVIII, 313, 314.
Médina-del-Campo ( ville d'Espagne).
Sa décadence, t. XLVI, p. 173.
Médim-Rio-Seio (ville d'Espagne)
Sa décadence, t. XLVI, 173.
Médine (ville du Hedjaz , Arabie).
Caractère des habitans , t. XXXII ,
p. 158, 322. — Obligations du voya-
geur, 263 , 302. — Situation , 2U6 ,
— Jardins, 267, 296, 300, 323. —
Intérieur. Portes , 268. — Maisons ,
268, 296. — Rues princi])ales , 269.
— Monumens remarquables , 270. —
Fauxbourgs, 270, 29i6. — Mosquées,
canal. Puits, 272. — Grande mos-
quée , 274 à 296. — Colonnades, 275,
286. — Tombeau de Mahomet , 277.
— Office des eunuques, 278, 286 ,
288. — F~ble répandue en Europe au
sujet du tombeau, 280. —Tombeau de
la femme d'Ali. Traditions, 281. — Cé-
rémonies de la visite, 283 et suiv. —
Lampes. Portes, 286. — Service de la
mosquée, 288, et suiv. — Différences
avec la mosquée de la Mecque , 293 ,
294. — Historique de la mosquée,
2^5. — Fruits. Léfjunies, 2Î)7. —
Espèces de dates , 298. — Tamarins.
Éruption d'un volcan , 300. — Cime-
tii'res. Personnages remarquables iu-
î*
410
TABLE GÉNÉRALE
humés , 302. — Montagne d'Otiond ,
S04, 506. — Village de Koba ; son-
vcoirs de Mahomet, 507 et suit. —
Remarques sur les habitaas, 510 à
329. — Origine. Descendans de Ma-
homet, 511. — Costume, 513. —
Bédouins ,514. — Commerce , 515. —
Manqne de denrées, 517. — Défaut
d'industrie , 518. ~ Vie , 523. —
Chiens exclus de la ville , 525. —
Fête de Monled-en-Neby , 526. —
Honneurs funéraires , 527. *— État
de la science. Langue , 529. — Gou-
vernement , 550 à 554. — Climat ,
554. — Maladies, 555.
MédUttrante (mer). Premières na-
vigations qui eurent li#u sur ses eaux ,
t. I , p. 2. — Bornes. Noms différons.
Golfes , XLVI , 9. — Courans , ma-
rées ,^11.— Surface ,12. — Fleuves
reçus dans ses bassins, 49.
Altfdusa-villilia. Description de ce
mollusque, t. XIV, p. 141, 144. —
Méduses des régions arctiques , XL ,
viij.
Jtf/gare (ville delà Grèce), t. XLIV,
p. 512.
Meinam (rivière du Siam) Embou-
chure, t. XXXIV, p. 108. — Rives ,
120. ""i Bazars flottans , 122.—- Inon-
dations périodiques , 452
Meirut (ville du Delhi, Hindons-
tan). Garnison anglaise. Yilic indi-
gène. J!Aur d'enceinte. Eglise chré-
tienne. Climat , t. XXXVI, p. 260.—
Soldat de la Begum-Sumrou. Détails
sur cette princesse , 262.
MéWid* (ile, côte de Z.'inguebar,
Afrique). Découverte par Vasco de
Gama , beauté et régularité de la
ville , son commerce , sa religion , ses
productions , t. I , p. 38 et suiv. — •
Naturels tous gauchers , XXII, 13.
Mtlville (ile, archipel Daugcreux).
Découverte par Becchey, t. XIX ,
p. 197.
Melvill* (port de l'Ile Loo-Choo).
Décrit par Hall. Bel aspect des
côtes. Description des villnges qui le
bordent, t. XXI, p. 132;i l43.
MelviUe (île des régions arctiques ,
nord de l'Amérique). Sa découverte et
exploration de sa côte sud par Parry,
t. XL , p. 282 à 284. — Animaux ,
287, 519, 526, 328, 335, 337. -
Sol. Charbon de terre , 287, 307, 331
— • Pointe Hou, baies Skene,. Brid-
pot%, etc. , 282. — Parti envoyé à
terre, égaré pendant trois jours , 288 et
suiv. — Uiverna{;e du capitaine Parry ,
précautions, di^ertisscmens de l'équi-
page , 295 à 34 '. — Effets du froid ,
301, 505, 313,316. - Aurores ho-
réaies, 505,512. — Exhalaisons de la
terre, 522. — Productions, 325, 325,
536, 340. — Voyage à travers l'île,
324 à 558. - Étang , 525. — Mon-
tagnes, 526. — Description d'uu
renne, 5li7. — » Découverte de l'îîe
Sabine , oiseaux , productions , 329 ,
331. — Crique Buehnan, 334 —
Golfe Lidden, 336. —Cap Dvndaii, 351 .
MelviUe (presqu'île , régions arcti-
ques ). Exploration de la côte est,
t. XL , p. 391 à 427. — Baie Répuise,
trace d'habitans, 391, 592. — Décou-
verte et exploration du havre Lyon et
de la baie Ross, 401 et suiv. —
Tentes , 404. — Quartiers d'hiver de
Parry, 406. — Trombe de neige,
408. — Dépècement de veaux iiiî-
rins , 416. — Tombeaux , 416. — IV^<1
de cygues ,417. — Belle rivière B.-ir-
row. Sa cataracte, 420. — Chasse an
walrus , 421. — Manque de respect
pour les morts. Traîneaux, 423. —
Funérailles ,' 430 , 4u3. — Voy. Es-
quintaux de la presqu'tle MfiUùUe,
Mcmmingen (ville de la Bavière) ,
t. XLV, p. 341.
Memphis d'Egypte, Voy. Metra-
henny,
Memphit (ville des Etats-Unis du
Mississipi) , t. XXXIX, p. 391.
Mekdoca et MrifDANA. Découvrent
les iles de Salomon , pourquoi les
nomment ainsi , 1. 1 , p. 168 et suiv.
— Uésumé do leurs voyages , XVIII,
192.
Mendoça. Archipel de la Polynésie.
Voy. Nouka-lfiva.
Mendoeia (cap , Nouvelle-Albion ,
Amérique septentrionale ), Son ii»-
pect. Productions des montagnes ,
t. XIV, p. 147.
Mentloo (ville du Kiinera). DrfjiiU
du slieik de Bournou , t. XXV II ,
p. 288 à 300.
MkîiDO/.a. Fonde Buenos- Ayrcs ,
f. XX, p. m-, XXXVIII , 319. — Éi.i
sodé de Maldouata , 349 et sitiv —
Fondn l'Assomption, 352.
DES MATIÈRES.
411
Slendoza (ville de la Plata, Amé-
rique méridionale). Climat , t. XLI ,
p. 286. — Pénitences générales, 302.
— Situation. Rues , place , 527. —
Maisons. 527. — Uabitiins, costumes,
328. — promenade et promeneurs ,
328, 531, 332. — Nonchalauce du
peuple, 329 , 333. — Lîi sieste , 329.
— Bains. Licence, 331, 343. — En-
virons, 343.
Mer, Sa pliosphorescence. Cause de
ce phénomène, l. VII, p. 189. —
Dans quelles circonstances il appa-
raît, tome XV, page 17, XXXIV, 34,
35.
MiroH ( ville dn Tyrol ). Maison
d'André Hofer, t. XLV, p. 401, 402.
Mercredi (ile dn , Australie) DécoU'
verte par BligU, t. XIII , p. 550.
Mire et les Filles (la , îles du Fin-
mark , Norwége) , t. XLV, p. 216 à
218.
Mère et les Filles (la, lies de la Non-
velle-Bretagne). Découvertes par Car-
teret, t. III, p. 150.
Mérite (ile, îl»s Françaises). Dé-
couverte par d'F' ■♦^ecasteaux , t. XV,
273.
Meroé {juïk'k' =: *meu8e île de
la Nubie), Ses ■ . . t'araît être l'At-
bara actuel, t. XXIII, p. 446; XXV,
452.
Mert» (ville de la Tatarie indé-
pendante. 'Asie). Ruines et villages
des environs. Restes du fameux ro-
yaume, t. XXXVII , p. 249. — Sa ri-
vière , 249, 256.
Mésopotamie Voyage dans le pays ,
t. XXXII, p. 462. — Voy. Irak-
dkarjr, Al-Djetyreh.
Mételin ou i[/e.-&M(ileder^rcbipel),
t.XLVI,p.98.
Metrahenny ( villages d'Egypte ).
Pyramides d'argile, t. XXllI , p. 71.
— Est l'ancienne Mcmpliis , 72 , 74.
Mexique (république de l'Amérique
septentrionale ). Gouvernement ,
t. XXXVIII , p 26. — Constitution ,
28. — Conquête de Cortez,;, 266. —
Étendue et bornes de l'empire de
Montézuma, 289. — Origine de net em-
pire, 290. — Terrain , bourgades ,
histoire , gouvernement de l'ancieaue
province de Tlascala, 298. — Pro-
grès de la population , 386. — Bor-
nes, étendue, montagnes , produc-
tions , XLI , 2. — Histoire ,5,9. —
Poissons du golfe. Ile du Sacrifice, 5,7.
Campagne , sol , 16, 18 , 20 , 30 , 33,
46, 162. — Villages, 17, 19, 21, 31,
34, 147, 155, 158. — Oiseaux , 19 ,
34. — Ponts . 20 , 21 . — Productions,
30, 32, 102 et sniv. — Fermes ou
haciendas, 32, 96, 99. — Mirages,
33. — Cabanes indiennes , 83. —
Chevaux et cavaliers , 92 et suiv. 97.
•^-- Mulets et carrosses, 96, 98. —
Anes, 98. — Moutons , chèvres, co-
chons, 99. — Chiens, 101. — Co-
cyotie, 102. — Agriculture , 102. —
Blé , orge , maïs , 103 — Fèves ,
pommes de terre ,' fruits , 104 (.et 62).
— Banane) , plantations et liqueur
d'aloès, 105 (et 32). — Sucre , café,
coton , cacao , 107. — Jalap , tabac ,
indigo, 108. — ■ Vanille. Climat,
109, 111. — Vents, 112. — Bois,
157, 162. — Mœurs , usages des
Indiens, 158 et suiv. — Leurs dra-
mes historiques, 159 et suivantes. —
Mines d'argent , 163, 165. — Bon
traitement des esclaves, 421. — Cos-
tume , armes d'Indiens du pays , 425.
— Religion de l'État, XLII , 427.
Voy. Acapulco , Boiiair, Chequatam ,
Càolula , Jalapa , P^rote , Puebla , San-
Blas , Santa-Ctara , Tabasco , Thenies-
ealtepee , Tepec , Tezenco , Tollitca ,
f^era-Craz,
Mexique (antiquités du). Ruines de
Zampoala, t. XXXVIII, p. 291. —
Muraille, frontière de la province de
Tlascala, 301. — Population, rues,
temples de Cholula , 309 , et XLI , 45.
— IliiJ. de Tezenco , de Istacpalapa ,
XXXVin, 510. — Château de Ch.t-
pultepec, XLI, 122, 155. — Anti-
quité» diverses , 130. — Statti'.'s, hié-
roglyphes, peintures, 131. — Le
gTJ'nd calendrier, 132. — Pierre sa-
crificialc, 133. — Statue colossale.
135. — Ruines de Tezenco. Son an-
tique splendeur, 139, — Son Pa-
lais des caciques, 143. — Ruines
du Tescosengo, 145, 146. — Le Imno
de Montézuma , 144, 146. — • Ruines
d'Huexotla. Pyramides , colonne ,
stuc, 147, 148. — Célèbres pyra-
mides du Soleil et de la Lune , 149 ;'
153. Voy. Ancien Mexico.
Meitco (capitale du Mexique). Alen-
tours. Aspect , t. XLI, p. 48. —
%.
t
112
TABLE GÉNÉRALE
Beûiité des rues , des maisons , 49 >■'
51 . — Tutérieur des maisons , 52. —
La Plazu-Major, le marché et les den-
rées, 52 , 68 à 73. — Cathédrale, of-
fice divin, 54. — Autres églises, 55 ,
60. — Couveus. Hospices , 57, 59. —
Hôtel du gouvernement , 57. — Mon-
naie , 58. — Ecole des mines , 59 ,
131. — Tombeau de Cortex , 60. —
Pair', de Cbapultepec, 60. — Déc.i-
dei"v; des arts, 61. — Théâtre , 62.
— l'romenades publiques , 64. —
Canal , 65. — Jardins Jlotlans, 67. ■—
La place du marché, 68 à 73. — Hô-
tels, 73. — Boutiques, états, 74 à 79.
— Costumes des différens rangs , 79
à 83. — Cabanes indiennes , 83. —
Fabriques, 84 et suiv. — État de
l'instruction. Écrivains publics , etc. ,
88. — Exécutions publiques, 89 à 92.
— Chevaux et cavaliers , 92 et suiv.
97. — Mulets , carrosses , 96 , 98. —
Commerre de cochons et leur traiie-
ment, 99. — Climat, 112. — Châ-
»..*au de Cbaipultepcc, 123, 155. —
Musée d'antiquités , 131. — Le grand
calendrier, 132. — La pierre saorifi-
ciale, 133. — Statue colossale , 135.
— L'ancien lac, 137. — Excursion
aux minos d'argent de Themascalte-
pec, 155.
Mexico Cnncien ). Entrée de Cortez
dans la ville. Palais de Montéznma.
Population, XXXVIIl, 311. — Assiégée
et prise par Cortez, 314. — Con-
sommation de la viande, 401 .—Plan de
la ville ancienne, t. XLI, p. 113. —
Situation, aspect, 114. — Palais et
jardins, 119, 123.— Ménageries, 120
et suiv. — Arsenal. Artistes, 124. —
Idoles Temple Téooalli. Sacrifices
d'hommes et de copal, 125, 126. —
Lieu des sépultures. Tombeaux, 127.
— Habileté des peintres. Fabrication
du papier, 128. — Statues brisées ,
129. — Véracité des auteurs es-
pagnols sur la splendeur de l'em-
pire, 154. Voy. Montézuma.
Mezinoua ( ville du Khorassan ,
Perse). V.istes ruines. Population ,
t. XXXV, p. 172. — Relations avec
les Turcomans, 174.
Miako (île Niphon, Japon). De-
meure de l'empereur ecclésiastique du
p. 129, 153. —
Château, Rues.
Japon, t. XXXr,
Temple, Rivière.
Manufactures. Population, p. 154.
Miasen (lac de i.'i Norwége), t.XLV,
p. 58, 60.
Middelbourg ou Eooa, Eaooivee (Ile ,
archipel des Amis ). Son aspect
agréable, t. VIII, p. 37. — Descrip-
tion d'un habitant , 38. — Habitation
du roi, 41. — l^hitans : leurs formes,
leurs tatouages jusque sur les parties
les plus délicates du corps , leurs or-
nemens , 43. — Lourdes massues ,
bien sculptées; arcs et manière de
s'en servir, 45 — Beauté de l'ile , f[T.
— Cimetières, 48. — Description de
l'ile, 82. —Production^, habitations
disséminées , animaux domestiques ,
poissons, filets, pirogues , outils, 34.
— Naturels , leurs vétemens , orne-
mens , amusemeus , instruuiens do
musique , manière de saluer , leur
franchise , 86 et suiv. — Coutumes
singulières : mutilation du petit doigt,
90. — Gouvernement , 93. — Aisance
des habitans acquise à la sueur de
leur front , 94. — Religion , laugue ,
95. — Aspect de l'île, X, 28, 30. —
Sol. Plautes , 30.
Milan (capitale du royaume lom-
bard-vénitien), t. XLVI, p. 267.
Milet ( ville de l'Aoatolie ^ Turquie
d'Asie ) , t. XLVI , 99.
Mille-tles ( archipel des, Austrahe).
Découvertes par Roggewin , tom, II ,
p. 70. — Est le même que celui de
l'Echiquier de Bongainville , XIII ,
214, note.
Milo (île de l'archipel), t. XLVI,
p. 94.
Mimeina (ville de l'El-Drach, Maroc) .
Environs. Maisons. Troupeaux. Ar-
bres, t. XXIX , p. 424.
MiNDANA. Découvre les îles Salo-
mon, t. I, p. 168. — Son prodi-
gieux voyage dans la mer du Sud,
195. -- Découvre les îles Marquises
de Mendoze, 197. — De Saint-Ber-
nard et du Solitaire, 205. — Découvre
l'île de Santa-Cruz, III, 446. — Meurt
et est remplacé par sa femme dans ?e
commandement, 448. — Observations
sur sa découverte des îles Marquises ,
XV, 363, 369.
Mindanao (île , archipel des PhiUp-
])ines ). Description de la côte et des
îles qui l'a voisinent , 1. 111, p, 170 et
suiv. — Entrevues avec les insulaire».
w
1 1
DES MATIERES.
413
leur conduite, 171 et suit. — Baie
Trompeuse, 177. — Erreurs de Dam-
pier corrigées, 178 et siiiv. — Baie de
Désappuiutemeut, 179. — Aspect de
la campagne, 182.
Mnilelhtim f ville de la Bavière),
t. XLV.p. 34i.
Mingrèli* ou Colchide (province de
la Russie d'Asie). ÉtymoTogic du nom.
Campagne. Climat, t. XXXI, 177. —
Maladies. Rivières, 178. — Terroir.
Productions, 179, 183. — Bon vin.
Sa coafection. Récolte du gom, 180.
— Aiimens. Privilèges des seigneurs,
183, 187, 188. — Quadrupèdes. Oi-
seaux, 182, 184. — Villages. Mai-
son* , 185. — Race. Belles femmes.
Éta': des personnes , 186. — Éduca-
tion. C )stume. Repas. Saluts, 188. —
Le Phase, 190. — Religion, 194.
Minsk (ville et gouvernement de la
Russie), t. XLVI,p. 140.
ilirage. Ses effets dans divers
pays , t. XXI, p. 417; XXXV, 64. note;
XXXVn, 152;XLIII,301.
y(f<>zay;our(vilIedel'Allahahad,Hin-
doustan ). Sa prospérité , t. XXXVI ,
p. 139.
Missions, Fondées au Paraguay par
les jésuites, t. IV, p. 107. — Leur
étendue, leur division, leur gouver-
nement, 111 et suiv. — Les jésuites
en sont chassés, 115 et suiv. — Leurs
bienfaits à la NouvelU-Zélande, XX,
187 et suiv. \oy. Californie, Klaarivater^
Lily-Fountain, Pella,
Mittionnaires anglais. Voy. t. XIII,
p. 435- — Leur premier établissement
aux lies de la mer du Sud , 438, 442
et suiv
M'ssissipi (fleuve de l'Amérique
septentrionale ). Savanes de ses rives,
t. XXXVIir, p. 12. — Son cours. Ses
affluens. Ses eaux. Sa largeur, 37, 41,
43. — Description du fleuve et de ses
belle» rives, 44 à 48. — Son aspect et
ses dimensions a la INoivelle-Orlèans,
XXX1X,360, 365. --Divers genres
de bateaux, 361, 362. — Ses hauteurs
àlaNouvelle-Orléans, 363, 3(51. — Sou
cours, 365. — Ses crues, 365. — Ses
CTiibouc'Iuires, 308, 384. — Voyage
sur ses eaux , 369. — La Balise, 370,
385. — Crevasses de la levée, 371-
— Les Squatters , 372. — Confluent
lie rohio , 374. — Confluent du Mis-
souri, 377. — Élégans bateaux à va-
peur , 389. — Voyage sur ses eaux ,
.389. — Ses rive», 390. Voy. Ohio.
Mistissipi ( un des Etats - Unis ).
Voyage dans l'intérieur, t. XXXIX ,
359 et suiv. — Natchez, 364, 390. —
Memphis, Zù\.
Missouri ( affluent du Mississipi ).
Son cours, t. XXXVIII, p. 42.— Con-
fluent du Mississipi, Ville de SAinl-
Louis. Eaux bourbeuses , XXXIX ,
377. — Radeaux, 379.
MiTHRiUATE. Sa tombe , sa monta-
gne, son siège, t. XLIV, 433.
Mittenufald (ville do Bavière ) , tom.
XLV, p. 361.
Mltr» (île, Polynésie). Découverte
par Edwards , XIII , p. 427.
Mobile (ville de l'Alabama, États-
Unis). Son étendue. Sa baie, t. XXXIX,
p. 358.
Moclia (Ile, Chili). Son bel aspect.
Est fréquentée par les contrebandiers,
t. XVI, p. 23. Animaux, Eau limpide,
XVIII, 130. — Son état en 1825,
XIX , 'î.
Mogadore (ville du Maroc). Foud.^-
tion. Commerce Fortifications. Inté-
rieur de la ville , t. XXII, 112.
Moines (îles, Australie). Décou-
vertes par Maurelle, t, XIII, p. 216.
Moïse (ile de l'Australie). Décou-
verte par Le Maire, t. I , p. 320.
}foka ( ville de l'Yémen, Arabie).
Bel aspect, t. XXIII, p. 150. — Com-
merce , XXXI , 239.
Mokundona ( ville du Timani , Sé-
négambie ) , t. XXVIII, p. 20
Moldavie ( province de la Turquie
d'Europe). Détails divers , t. XLIV,
p. 88. — Détails sur l'aucienne his-
toire, 233.
Moller (île, archipel Dangereux),
t. XVIII, p. 139.
MoLL'EN. Son voyage en Sénégam-
bie, t. XXVIII, p. 433. — Arrive aux
sources du Sénégal, 437. — Son voyage
en Colombie, XLII, 391.
Moluques (îles de Miilaisie). Décou-
vertes par les lieiiteuans d'Albuquor-
qtio, t. I, p. 105. — Divisions terri-
toriales. Gouvernement. Comptoir»
des Hollandais, IV, 379 à 383. —
Habiles moyens employés par les Hol-
landais pour monopoliser le commerce
de» épices, 385. — Culture exclu-
À
#
4f4
TABLE GÉNÉRALE
sive de certaines ilet», 384. — Ce
commerre presque annule par les An-
glais , 386. — Précautions contre les
employés. Epoque de la récolte, 385.
Malignité du climat. Tremblement de
terre, 387. — CUef-lien des établis-
scmens hollandais, XV, 72. — Poli-
tique des Hollandais , 74, 297. — Dé-
cadence do l«>n r compagnie. Ses eau se s,
75 , 36. — Régime oppressif à l'égard
des ind - .s, 76. — Extirpation or-
donnée plantes à épiées , 77. —
Les iles .«.rdrout le commerce exclu-
sif des épiceries , 78. — Chinois na-
ralisés , 80. -r- Jalousie entre les chefs,
entretenue par les Hollandais, 207.
— Beauté des végétaux , XLIII , ix.
— Crocodiles, xi. — Uabitans ma-
lais, xr. — Religions, xxiij, — In-
dustrie. Commerce , xxix. Yoy. îles
Amboine , BaaJa, Boiro, C/ram, Ter-
mite.
Mombatta (île, c6te de Zangueliar)
Découverte par Vasco de Gaina , t. I,
38. — Étendue. Sol. Habitaus , riche
p.xrnre, XXII, 13.
Monda (ville du Manding , Séné-
gambie),t. XXV, p. 277.
Mondrain (ile du , archipci des Prii-
lippines ). Découverte par Cartcret,
t. m, 171.-178,181,182.
Monfalout (ville de|la Haute-Égyptc).
Son ancien état, t. XXI [I, p. 84.
MoHghjrn (ville du Béhar, Hindous-
tan). Aspect. Mouvement, activité,
t. XXXVI, p. 116. —Maisons. Bou-
tiqnes. Forgerons renommés, 117.—
^iiuviruns , 1 ?8.
BiottgoUe ( partie de la Tatarie chi-
noise ). Ambassade de Marco-Polo ,
t. XXXI, p. 51 et suiv. — De Rhoë ,
67 et suiv. — Voyage dans le pays,
XXXIII, 9 à 135, et 463 et sniv.
— Obos ou autels de pierres , 23 , 51 ,
68, 114. — Bivières, 24, 33, 55, 63,
101 — Moutons à longues oreilles,
25. — Productions , 29, 51, 50, 54 ,
118, 120, 125. et suiv., 133. —Oi-
seaux, 34, 45.90. — Bivière Schara,
34,36. —Chapelles. Temples, 36,
70, 123, 128 et suiv.. — Caravane,
38. —Quadrupèdes, 40, 51, 69, 1 13,
12Î. — Charrettes, 41 , 56.— Nour-
riture des habitans des steppes, 48. —
Chameau blanc ,51. ^ Arbres, 54,
102, 106, 133. - Forêts , 52, 58, —
Goddah, 59. — Usage des Kadacs] ,
60. — Peines, 89. — - Marais salés ,
105, 109, 114, — Pierres précieuses,
110,113, 121, 125 — Récits sur un
général chinois ,111. — Monts ,114,
117, 118, 128. — Chasse de l'empe-
reur, 119. — Granit. Aimant, 122.
— Idoles gigantesques. Temples. Li-
vres sacrés. Costume, 131. — Trou-
peaux de l'empereur, 134. — Voyage
dans le pays des monts Sounicns, 137
à 149. — Quadrupèdes , 138. — Lac
salé, 140. - Monts, 141, 142. -
Chevaux de l'empereur, 141. — Autel
de pierre, 149. — Groupes de tenles,
154- — Souvcnirde Gengiskhan, 150.
— Détails généraux. Ciimpague Sol,
323. — Climat. Productions. Popu-
lation, 324. — VilLiges, habitans,
palais impérial, 464. Voy. Cobi,
Goddiih, Ourga, capitale.
Mongols. AmbassadeauCrand-Mo-
gol, t. XXXI, p. 51. — Cortège et
audiences, 58. — Camp iinpé.-ial,
60. — Nombreuse escorte de voyage,
85, 90. — Chasses, 86. — Nnnrri-
ture , 91. — Costumes, 107. — Res-
semblance avec les Kamtscliad^ilcs,
395. — Contingent dans l'armée de
l'empire (de Chine), XXXUl, 224,
— Religion , 255. — Conclusion de
marchés, 319. — Figure. Caractères,
325. — Costumes, 326. — Armes,
l'eûtes , 327. — Nourriture. Occupa-
tions, 328. — Mariages, noces, 328
à 356.— Mois de l'année, 330. — Vi-
site de la femme à sesparens. Divorrc,
356. — Funérailles. Arts et sdeuces ,
358. — Etat des persounes, 359, —
Règlcmens divers, 3''iO et sniv. —
Prières, 345. — Classe.s de reUgieux,
344. Voy. Delhi.
Moiigols'Kalkhai. Voyage chez le*
Mongols- Kalkhas, t. XXXIII, p. 9 à
135. — Couleurs sacrées, 14. — Reli-
gion. Lamas, 21. — Témoignage.
Polites.se , 27. — Croyance à la nié-
tempsycobc, 28, 45, 46. — Usage et
préparatiou du thé, 52- — Cos-
tumes , 35, 68, 75, 151. — Equii.i-
tion , |5ai. — Boivent le lait Je ju-
ment, 47. — Chaûts nationaux, fi!
et suiv. — Deuil de rcmperour (dr
la Chine), G6, 71. — Costunio de
femme, 68. — Saints, 8'J — Céré-
monie de deuil. Tribunal. Peines ,89.
rope, t. XLVI,
DES MATIÈRES.
415
— Khan-Ola, Gif;antesqnes inscrip-
titini), 05- — RccitH sur ua général
cliinnis, 111. — Idoles gigantesques.
Livres sacrés, 131. >— Uufflcs, 349.
Rhubarbe. Marmottes , 5ôO.
Mongols-Tsalhas, Voyage dan» leur
pays, t. XXXllI.p. 149 à 161. —
.Sépultures, 151. — Idole d'Orgon,
153. — Amour du tabac, 151. —
Souvenirs de Geugiskliau, 156.
JUongols'Sounit«s.\oyag0 dans leur
pays, t. XXX 111, p. 137 a 149^, 548.
— Coffres pour la prière , 1 39. —
Taïdzis ou nobles , 348. Voy. t'oit.
Moiitagu (ilc, Amérique septen-
trionale ouest). Découverte par Cook,
t. X,p. 451.
MoWTAiiUE ( lady ). Ses voyages en
Turquie, t. XLVl , p. 82. — Fait in-
troduire la vaccine eu Angleterre,
83.
Montaigne. .Ses voyages en Eu»
lope, t. XLVI.p. 69à 71.
MoNTÉMONT (Albert). Son voyage
aux Alpes et en Italie, tum. XLVI«
p. 260.
Monténégrins (liab^tans de Monté-
négro). Extérieur et iutérieur de leurs
laaisous, t. XLVI, p. 242, 241 —
Absence d'arts, 243. — Gouverne-
ineot, 244. — Physionomie, barle,
cheveux, 245. — Saints. Exercices
des armes, Co.stume, 246. — Formes
et costume di's femmes, iiaptênie,
247. — Terribles chiens de garde.
Rigidité dé moeurs. Sévère punition
de la fille quia failli, 248. 249. —
Mariages, 250, 251. — Fraternité
d'armes. Respect pour les morts. Fu-
nérailles, 252. — Ooyances super-
sticieuses. Caractère, 253. — Respect
|)our les vieillards. Yeugeauco hcrc -
difaire, 254.
Monténégro ( province de la Tur-
quie d'Europe). Situation , campagne,
origine du nom, t. XL VI , p. 2îl. —
Bivières , climat. Absence de villes
et de cbemius, 242 — Gnégussi, lieu
de la résidence du gouverneur , 345.
— Absence d'art, 243 et suiv, —
Population,
Monterey ( capitale de l.i Nouvelle-
Californie ), Description de sa baie,
t. XII, p. 227. — Naturels, 229.
— Rade découverte par Visc.iino ,
231. — Cabanes, 233, — Etat des
naturels sous les Epissionnaires. Fonc-
tions des caciques, récompenses,
abolitions de la Polygamie, 234 et
suiv. — Habillement , 240. — Mœur»
dos Indiens indcpendans, 241. '>~ Po-
pulation en 1833 , 245 — - Quelques
plantes et roches, 247. — Langue,
prononciation , 249. — Uescription
de la baie. Etablissement jespagnol.
Fort, XIV, 564. — BAtimens, 366.
— Mission et présidio, XIX, 538-
Moiitt-yideo (capitale de lu répu-
blique de ce nom). Ruco. Maisons.
Climat, t. XX, p. 69.
Muntézunta (empereur du Mexi-
que), Envvie des déoutés et des pré-
seus à Cortcz, t. XXXVIII, p. 280,
286 — Habileté de ses peintres, 283,
— .Ses courriers, 285. — Etendue,
Bornes de sou empire, 289. — Ori-
gine de cet empire, 290. — Reçoit
Cortcz à Mexico. Son palais, 311. —
Sa fin tragique, 313. — Ses domes-
tiques, XLI, 114. — Ses femmes,
115. — Cérémonial despotique, 115.
— Salle des repas. Ustensiles. Plats,
domestiques. Musique, etc , 116,
1 18. - Ses habitudes , 1 18, 124, —
PaUiset jardins, 119, 123. — Ména-
geries, 120 et suiv. — Arsenal. Ar-
tistes, 12Î. — Le Bano de Monté-
zuma , 144. — Véracité des auteurs
espagnols sur la splendeur de son
empire, 154.
Montgomery ( ville de l'AIaliama ,
Etats-Uuis), t. XXXIX. p, 356.
Monti ( baie de , Amérique russe ).
Découverte par La Pérouse, t. XII,
p, 151 , 152.
Montpellier ( ville de la Caroline
du nord,États-tJuis), t. XXXIX, 289.
Montréal (île et ville du fleuve
Saiiit-Lam^nt , Canada ),t, XXXIX,
p. 106.
MooRE (John). Ses voyagea en
Europe, t. XLVl, p. 81.
Mora ( ville du Mandara , S'Midan),
Singulier usage d'étiquette, t- XXVII,
p. 144. — Ses environs , 179.
MoradabaJ [ville du Rohilciiod, Hin-
donstan). Beaux jardins. Confection
de la glace. Belles vignes, t. XXXVI,
p. 253.
Moravie ( province de l'crapire
d'Autriche). Sol, Température, tom.
XLVl , p, 227, — Ses habitans, 228.
416
TABLE GÉNÉRALE
— Etablistemoot des frère» Moraves,
237.
More» (partie de la Grèce ). Voyage
de Pouciueville , t. XLVI , p. 206.
MoHRKLL. Sa vie, t. XX, p 1. —
Son premier voyage autour du moude,
\b' — Son deuxième voyage , 67. —
Combat les sauvages de la Californie,
92. —Son troisième voyage, 103. —
Sod quatrième voyage. Sa femme
l'accompagne, 13&, 137, 1^7,161,
225, 297. — Découvre les groupes
Westervelt, 201 — De Bergh, 207,
212. — L'ile Livingston, 214. —
Bécif de Skiùdy , 228. — Le groupe
Skiddy, 230. ■>- Hostilités avec les
insulaires , 236 , 241, 276, 282, 331 ,
361 . — Découvre les îles du Massa-
cre , 245 , 290. — Entrevues avec les
naturels, 246 et suiv., 271 , 275. —
Construit une maison. Plante un jar-
din , 266. — Est trahi par les natu-
rels, 276. — Alarme, 281. •— Mas-
sacre. Bataille , 282. — Cannibalisme ,
289. — Retour aux îles Massacre. Un
de ses marins fait prisonnier , 337.—
Récit de sa captivité, 343. — Achat
de l'ile Wallace , 341 . — Découverte
mystérieuse, 394.
Monta ( ile , groupe Sandwich),
t. XI, p. 245, XIV, 403.
Morue, Description de la pèche de
ce poisson sur les côtes de la Norwége.
Sa préparation et autres détails , tom.
XLV, p. 145 à 152.
Morumbidje ( rivière de la Nouvelle-
HolUnde). Exploration de son cours ,
par Sturt, t. XLIII , p. 281. — Carac-
tère du pays entre Ûndevaglia et la
rivière, 284 et suiv. — Cabane, 286.
—Rives, 286, 302 , S(i7. — Ses eaux ,
287.— Riches vallée», 288— Affluens,
288 , 310. —Entrevue avec les natu-
rels, 290, 295, 297,503, 309, 313 ei
suiv. — Chasse à l'opossuui, 290. —
Caractère de la rivière au-delà des
montj4gnes, 293. — Inondations,
297.— Oiseaux , 297, 307. —Figure,
formes des naturels , 298 — Usages
divers , 299. — Armes. Combats ,
299, 313. — Privilège des vieillards,
299. — Privilège des gens mariés.
Cérémonies de nuit. Etat des femmes,
300. — Arbres , 301 , 302. —Mirage,
301. — Communication prù.sumée
avec le Lachlau , 303.
Vents,
304. — - Plaine de roseaux, 304, 309.
— Tombeau , 507. — Rapides , 310.
— Arbres charriés, 311. — Se jette
dans la Murray, 312, 352. Voy. ce
nom. Collision avec le» naturels, 354,
357 et suiv. — Infanticide, Canniba-
lisme, 362.
Morutzi» ( tribu de Betcliouanas ,
sud de l'Afrique) , t. XXVI, p. 471,
Moscou (capitale du gouvernement).
Magnifique aspect, t. XLIV, p. 355. —
Sa description, XLVI, 142. — As-
pect. Détails historiques , 143. — - Le
Kremlin ,144.
Moscou ( gouvernement de la Rus-
sie). Voyage dan» l'intérieur, tom.
XLIV, 355 à 363. — Podolsk , 356.
— Lapasna. Marché du dimanche,
359. — Serputcliof. Images des saints,
762. — Boghorodosk, 461. — Vias-
uiki. Célèbre jardin botanique de
Gorrenky, 470.
Mosgoui ou Musgoi» (ville du Man-
dara, Soudan ). Costume de i^Kh,
t. XXVII, p. 148.
M0SK.1TE. Laissé par Sharp dans l'Ile
de Juan-FernaDdez , t. 1 , 350. —
Repris trois ans après par Dampirr,
raconte comment il s'e^t entretenu
pendant ce temps , 366. Voy. Selkirk.
Mouab ( résidence du roi d'Yémen ,
Arabie), t. XXXI , p. 240.
Moulineau {^We du Géant, Austra-
lie), découverte par Bougainville ,
t IV, p. 322.
Moultan {^Mn des Etats des cheiks,
Hindoustan). Voyage dans le pays,
t. XXXVII,p. 384etsuiv.-BibliDthè.
que du khan, 392. — Shoujuabad,399.
— Introduction des dattiers , 409. —
Désert entre le Chenab et l'Indus,
410. — Souvenirs d'Alexandre, 412.
Voy. Oueh.
Moultan (capitale). Soumise .111
cheiks. Aspect. Population. Hautes
maisons. Etoffes de soie. Commerce,
XXXVII, 400. — Tombeaux renom-
més, 402, 405. — Forteresse, 401
— Antiquité de la ville , 403. — Cé-
lèbre? temple Ilindou, 404. — Into-
lérance religieuse des cheiks , 407. —
Climat, 408. — Environs, 409-
Alourija (ville du Bambara). Com-
merce de sel , t. XXV, p. 217.
Mourmour ou Murmur (ville du Kata-
goum , Soudan) , t. XXVII. p. 360.
DKS MATIÈRES.
4t7
JUounouk ( capitnie du Fe/zan ).
Preuve dr bonne éducation , t. XXV,
p. 427. — Situation , 4*î'8. — Palais
du sultan , 432. — FortiGcations ,
XXVII , 10. — Exrnrsinn dons Icii
environs , 28. — Costume des femmes,
449.
Mouttet (ville de l'Ai - Djexyreh ,
Turquie d'Asie ). Aspect. Rues ,
t. XXXII , p. 480. — Cafés. Dains.
Population. Figure des habitans. Ha-
billement. Ornemens, 482.
Moussant (phénomène des). Connu
des Romains sous le règne de Claude,
tl,p.7.
Mouzabad (ville du Rajpcutana,
Hindoustan ). Temple des Jains ,
t. XXXV 1 , p. 323.
Mowah (ville du Rajpoutana , Hin-
doustan). Fortifications. Bazur. Tein-
tures, t. XXXVI, p. 304.
Mow/e (île du groupe Sandwich). Dé-
couverte par Cook. Son aspect , t. XI,
p. i28, 244; XII, 121. —Pirogues ,
123. — Explication du mot tabou,
126. — Hi«bitan8 sout-ils anthropo-
phage»? 136. — Sol, villages , 137.
— Meubles , étoffes , 138. — Son as-
pect , XIII , 168. — Habitans , ta-
touages, ornemens, vêtement, 169.
— Gouvernement, climat, 171.
Moxa (rivière de Norwége). Ses
chutes , t. XLV, p. 67.
JUojrobamba (ville du Pérou). Teint
des hiibitans. Manufacture de coton ,
t. XLII , p. 26. — Danses et luttes ,
27.
Mozambique (île de , Afrique sud-
est). Découverte par Gama. Com-
merce. Ancienne connaissance de la
boussole, t. I , p. 35 ; XXII , 12.
MozJoh (ville du Caucase , Russie
d'Europe), t. XLIV, p. 450.
Mseitsk 'ville de la Russie d'Eu-
rope), t. XLIV, p. 366.
Mudge (pointe , Nouvelle-Géorgie ,
Amérique septentrionale). Nommée par
Vancouver, t. XIV, p. 289. — Nafu-
rels , villa (je fortifié , pirogues , 293.
Muggaby (lac du Bonruou , Sou-
dan). Hippopotame, t. XXVK , p. ,192,
208. — Autres animaux, 207.
Mutgrave (groupe , archipel Ra-
dack , Polynésie). Ornemens des na-
turels , productions des Iles , t. XVI ,
p. 444 , 455 , 461 . — Disposition et
XLVI.
étendue des lies , 454. — Funérailles ,
457. — Mariages , 459. — Gouver-
nement. État des personnes , 460. —
Religion. Huttes, 462. — Canots,
464. — Figure des naturels, 467. —
Les lies sont formées de deux ar-
chipels, XVIII, 167. VojT. archipel
Gi'btvf^ Manhall,
Mulgrav0 (port , Amérique russe).
Naturels incrustent des ornemens
dans la lèvre inférieure , t. XII , p. 198.
— Nommé par Dixon. Naturels.
Idiome, XIII , 285. — Disposition
des morts, 287,301.
MuUenbach ( ville de la Transyl-
vanie , empire d'Autriche) , t. XLIV,
p. 111, 112
Mukgo-Park. Sa vie, t. XXV, p. 1.
— Sofi 1"" Voyagt dans l'Afrique vers
Tombouctou, 21. — Sa route sur les
bords de la Gambie, 23. — Entre
dans le désert , 62. — Ses vi.sites au
roi de Bontlou, 72. — Est dévalisé.
87,101, 151, 199, 272, 356. —Ses
visites :>ii.roi dn Kasson , 106. — De
Kaarta , 116. — Recueille des rensei-
gnemens sur le major Hougliton , 126.
— Continue son voyage presque sc'l,
136. — Est conduit prison jier à Bt-
noum , 140. — Mauvais traitemcns
qu'il reçoit, 142 et huiv. 154. —
Comment il recouvre sa boussole ,
151. — Reçoit un singulier présent
de noces, 161. — S'échappe, 197.
— Ses souffrances dans le désert ,
201. — Découvre et longe le Niger,
223. — Ses aventures sur ses bords ,
223 à 242 et 247 à 262. — Ses ren-
contres d'animaux féroces, 236, 249,
257 , 364. — Est forcé de revenir
vers l'ouest , 242. — Fait des saphis
(amulettes) pour vivre , 264 . — Sé-
journe à Kamalia , 283, 308. — Voit
un Albinos , 321. — Son deuxiimt
Forage, 329. — Revoit le Niger,
36iB. — Fin de son journal. Commen-
cement de celui de son ancien guide
envoyé cinq ans après à sa recherche ,
375. — Récit de son guide , 384. — Sa
mort, 389. — Renseigncmens sur saÉ
mort, XXVIII, 178, 200, 228. —
Recherche de ses papiers , XXX, 170.
— Renseigncmens sur son compte
192,194,199,325.
Mungomem (habitans du Munga ,
Soudan). Expédition contre eux par
27
41»
TABLE GÉNÉHALE
los Burnowien* , se «oumettcat ,
t. XXVII, i>. 196, 201. — Leurs
armes, 205.
Munich (capitale de la Bavière). En*
TÏroDS, t. XLV, p. 345. — Bel aspect,
545. •— Proitpôrité, Population. Riches
costumes , 346. — Théâtre , 347. —
Palais du roi. Objets pr<icieux , 348. —
Galerie des tableaux, 349. — Aca-
démie des beaux -arts. Le glypto-
tbèque. Scblei«heim , 350. ^— Détails
sur les prisoos, 351. — HApituux ,
352. — Églises, 353. — Académie
des sciences. Dibliotiièques et autres
institutions, 354, 355. — Éducation.
École de dimanche. Gaieté de carac-
tère, 355. — Amusemens, 356- —
Lieu remarquable des uluatours, 550,
367.
Munionisica (ville de lu Laponio
russe), t. XLV, p. 321.
Muonio (rivière «le Laponie ),
t. XLV, p.o23.
Miiroie (province d'Fspagne). Car-
thagène, t. XLVI , p. 170. .
Muroiig (ville du Wladimir, Russie
d'Europe), t. XLIV, p. 463.
MoHFHT. Son voyage en Portugal,
t. XLVI, p. 185.
Mwray (rivière de la Nouvelle-Hol-
lande). Découverte par Sturt.Conflucnt
de la Morumbidje, t.XI.III, p.312,
352. — Démonstrations hostiles des
naturels. Armes, chants de guerre ,
tatouages , 313 à 320 , 335, 346 , 351 .
- Rives, 314,321, 324, 333, —
Arbres, 317. — Embouchure pré-
sumée du Darling, 321. 324, 363 et
suiv, — Nom douué a la rivière par
Sturt, 322. • — Kutrevues avec les na-
turels, 325, 528, 320, 333, 342. >•
Habileté des naturels pour la pèche
323. - Pays peinilé, 325, 326.—
Saleté. Maluv^ics, 320, 828. — ( on-
iluent du Rufus, 327, 350, — Lai-
deur des femmes, 527, 329. — Co-
quillages marins , 330. — Rociiers,
331, 343.— Torti:. 331 .— Oiseaux,
332, 337, 346. 351. — Montagnes ,
332. — Vallée , 332. — Nattes des
naturels, 333. — Lac ou se termine
la rivière, 534. — Communication du
lac avec la mer, 535, 336, 340. —
— Montagne de sable, 339. — Vallée
de la rivière, ?41. — Roseaux, 342.
— Amas d'os, 344. — Ile, 346. —
Tribus n'habitent point les rives, 349.
— - Naturels massacrent le capitaine
Darkcr, 374 à 378.
A/uroiet/o (ville d'Espagne), t. XLVI,
p. 177.
Mutfeia (ville du Feintnhs , Sondàii).
Combat contre les Arabes et les Man-
darieu», t, XXVII , p. 160.
Mutra ( ville de l'Oman , Arabie ).
B^ie. Eaux thermales, t. XXXV, p. 9.
Mutira (ville de l'Agra , Hindous-
t.in). Révérée des Hindous. Respect
pour les animaux. Beaux édifices ,
t. XXXVI p. 291.
Mrtilènê (Ile de l'Archipel). Beauté
du climat, t. XLIV, p. 282. — Le Si-
rocco, 282, — Havre et village de
Sigri, 283.
N
Namaquai (grands et petits , tribus
Hottentotes). Sol du payr Villages ,
t. XXIX, p. 213. — Huttes mobiles.
Climat. Brigandages è^Africantz , 214.
— Lily-Fountaiu : établissement des
missionnaires , 223. — Religion. In-
dustrie. Fêtes de la puberté , 340. —
Ornemens des chasseurs heureux ,
.342. Voy. Rivikre.
» Namaquai (petits). Vétemens , orne-
mens, t. XXIV, p. 295, 296, 303.—
Musique , 297. — Insectes incom-
modes, 298. — Poiufs. Bœufs de
guerre, 299. — « Moutons , 500. —
Stature, 301.
JVamaquat (pays des petits). Étendue,
t. XXIV, p. 501. — Rareté des pluies,
504. — Partie aride, 506. — Ar-
bustes, 312, 455. — Poison pour les
animaux féroces , 455. — Campagne
verte, 457. — Voyage dans le pays ,
XXIX, 206. — Pilla : établissement
des missionnaires , 209. • — Bornes du
pays, 211.
Naaaquas (grands). Fables racon-
tées à leur sujet , t. XXIV, p. 336. —
Taille. Couleur, 340. — Mœurs, 311 ,
343, 344. — Vétemens, ornemens,
541 . — Absence de religion , 342. —
U sage absurde , 545. — - Armes , 343
iDES MATIÈRES.
41»
— Mailqne. l«iu , 319. — > Mariaget,
548.
NamMuM (payi dei srandi), Répn*
blique a'oiteaus, t. XXIV, p. 322. — "
Girafe tuée par l.eTaillant , 324. -^
Animaux yenimeux , 348. — Bornes,
XXIX, 211 , 339. — Dép ..ulation ,
214<
Namouloult (groupe, archipel des
Carolines). Découvert parMurrell et
nooimé Skiddjr, t. XX , p. 230, .
Afanea, Description de ce fruit ,
t. VII , p. 72.
Piangaiaki (tle Kinsu , Japon), Soa
havre, t. XXXI, p. 111, 130. — Si-
tuation, 129. — Commerce. Aspect.
Rues. Rivières ,130. — Temples.
Maisons de débnuche, 132, 133. ^^
Gouvernemens , 132, 13vi. — Ponts.
Rues. Maisons. Magistrat de ptilice ,
136. — Grandes routes. Milles géomé-
triques, 142.
^ang- 7<7t(iii^-/'0u (ville de la Chine).
Casques dorés. Peintures sur verres.
Brouettes de] visites. Femmes. Mcn-
dians. Lieu d'examen militaire ,
t. XXXIII , p. 410, 412.
Nanking (ville de la Chine). Rues,
tom. XXXIII, pa(;. 396, 399. —
Boutiques. Manufactures. Muraille.
Portes , 396. — Idoles. Bains de va-
peur. Canal , 398. — Toor de porce-
laine , 400. — Son coton , 479.
flfatunat Y iles , mer de Chine ) ,
t. XXXIV, p. 86
Nopht* ( huile de). Son extraction
an Birma, t. XXXIV, p. 472.
Naples (royaume de). Voyage d.ins
l'intérieur, t. XLIV, p. 348; XLVI,
196. — Sybaris , Tarente, Gallipoli,
Lecce , Briudcs , Cannes , Bftvino ,
197. — Coup d'œil sur le pays , 264.
Voy. Sicile.
Naples (capitale du royaume). Cu-
rieux aspect de la rue du Toledo ,
t. XLIV, p. 350. — Le macaroni ,
351.— Le musée j 352. — P< pnla-
tion, dation, monumens, XLVI,
264.
Napoli it Romame ou Nauplie ( >'a-
pitale de la Grèce). Montagne. As-
pect de la ville, t. XLIV, p. 291. —
Etat florissant, 292. — Grecs mo-
dernes, 293. — N'a rien d'attrayant.
Ses forts. Ses rues, XLVI ,213-
lYarborough {lie, groupe Gallapa-
go(). Nommé* par Cowley,!. I , p. BAS.
— iSoQ beau port, |X VI, 64. — 8«>1
de rtle. Aventuret d'un marin dé-
laissé. 66. >~ Éruplioa d'un folcau ,
XX . 85 et suiv.
JVarcoitJam (Ile, groupe Andaman ,
golfe du Bengale) , t. XXXIV, p. 4.
Nauau (iles de la Sonde). Nombre,
usages , mœurs , etc. , des habitans ,
t. XLIII , p xlix.
N»teh**i{ ville du Mississipi, États»
Unis),t. XXXIX p.364, 390.
JVaupli». Vi>y. nopoli,
Naura (ville du Kaarta , Sénégam»
bie). Situation, t. XXV, p. 211. —
Blé, 212.
Navarin (vUle delà Grèce), t. XLVI.
p. 207.
JVarigaUurê (archipel des, Poly-
nésie). Traversé et nouimo par Bougain-
ville , t. IV, p. 265. — Naturels. Piro-
gués , XIII , 70, 80. — Vases , cordes ,
nattes , 82. — Haute stature des na-
turels, 89, 116. — Leur férocité,
92, 100, 116, 117. — Tatouage ,
vêtement, 117. — Femmes, leurs
faveurs, 118. — Arts, nourriture
étoffes, 119. — Langue , 121. — Uri.
gino des naturels , 122. — Gouver-
nement féodal, 123. — Pirogues,
125. — Sol des iles , beaux villages,
animaux, productions, 126. — Le»
Iles sont les plus belles du monde,
XVII, 329, 330. Voy. Ilei Cocos..
Maouna, Oyolaira, Péchtur, Plate, Pola,
Aaifur ( vallée du Népaul , Hind.).
Laideur des femmes , tom. XXXV ,
p. 454. — Lieux divers, 454. — Huile
de uoyaux de péclie , 454. — Beaux
chiens, 455. — Costume d'un .sol-
dat, 456.— Corruption. Civilisation ,
464.
Nasia (ile de l'Archipel) , t. XLVI,
p. 95.
Nébuleus» (ile , Amérique septeu-
trionale ouest). Nommée par Couk ,
t. XI, p. 33.
Necktr ( iles , Amérique septen-
trionale ouest). Reconnues et nom-
mées par La Pérouse, t. XII , p. 224.
A'«cA-er(ile,près des Iles Sandwich).
Découverte par La Pcrouse , son as-
pect , son gisement , t. XII , p. 258.
Nedjed (partie de l'Arabie Déserte).
Tribu des Wahabites ne vénèrent
point Mahomet, t. XXXII, p. 291. —
420
TABLE GÉNÉRALE
SigoiScatioB dn aooi. VUIm. C«Ditale.
Pâturifet. Beagt chevmix , 583.
fifti/jin (ville du goufernfnent de
Tchernigor, Huisie d'£ar.), t. XLIV,
p. 372.
JVigroi ( llet du groupe de l'Aini-
rauté). Bel aiiiect , t. XV, p. 67. —
Naturel». Leur» arme* , 58.
iV^pal ou IV^paul (ittat de l'Hin-
douftan) Obiervations générale* sur
le pay* et l'armée OUoiirka , t. XXXV,
p. 421 et HUIT. — Caateii, 422. — Po-
pulation des principale» villrs , 423.
— Armée Ghonrka. Arme* diTerset,
424. — Singulier traitement des en-
fan* dans un villnge , 440 — Tem-
ples, 444. — Caractère des Gluiurkas,
448. — Comment ils remplacent les
poteaux indicatifs , 467. Voy. Nanur.
Nita-Kouta ( ville du Koiiranko ,
Sénégambie) . t. XXVIII, p. 60.
Nm/'llês (groupe de» , Auiitralie).
Est le même quecelui des Iles du Mii»-
*acre , t. XX , p. 200.
Ntvill* ( port de i'ile de Quadra et
Vancouver, Amérique leptentrionalc).
Nommé par Vancouver, t. XIV,
p. 296. -- ViUaf;e agréable , maisons,
rues, 297. — Naturel», occupation
des femmes, 296. — Cbansons, 299.
— Naturels avaient des arme* à feu ,
500.
N*we€utl» ( ville de lu Nouvelle-
Galle* du sudV Édifice*, t. XLIII ,
p. 37. — Indigènes, 87.
N*» • Kapen ( ville du Connecticut
États-Unis ). Une de» capitales de
rÉtat. Inconvéniens. Collège. Cime-
tière, t. XXXIX, p. 176.
New-Itland (ile , groupe Malouines).
Barnard y est abandonné par des
naufragé» anglais qu'il avait recueillis
dans son vaisseau , t. XVIII, p. 126 ;
XXI, 250.
JVeiflsland (folynésieV Découverte
par Walli», t. III, p. 397.
NtufYoïk (Un des États-Unis).
Variabilité du climat, tom. XXXIX,
p. 24. — Remarquable prison péni-
teutiaire de S.'ng-Sing. Vie des prison-
nier* , 25 à 32. — West-Point, école
militaire , 33 , 34. — Village* , 35, 46,
52, 59. — Milice nationale, 57. —
Ré*idence du gouvernement, 39. —
Scheneotady, 43 à 50 —Troie. Mont
Ida, 47. — Chute* deTrenton, 51.
— Indien», 53. —Campagne, 63,
54. — Terre» défrirliée» , 51. — Ijiri.
65, 60. — Genève, 56. — Rareté det
Bonuettes, 58. — Sackett, 101. —
Légitlature, 120. — Séance des cliani-
bre», 1^1 et suiv. — Huge électorale,
128 et suiv. — Trace» du déluge, 206.
— Voyage dans l'intérieur, XLI, 167
et »uiv. — Renom de» eaux de Sara -
toga, 170. Voy. jill>a^, Bu/falo,
Mr>*, Hudton, LoHg'/steinJ, Uliea,
nti».York (capitale de l'Etat). Rien-
veillance des iiabitans , t. XXXIX,
tt. 6. — Table» d'IiAte» et restaiirnu»,
). —Chantier pour les construrtiona
navale», 11. — Fréquence des incen-
die», 13. — EtnblisHemen* d'utilité
]iubrique, 15. — Ecole», 16- — Cour
»upréme, 17- — City-Hall. A«pp«'t dp
la ville, 18. — Déplacement de inai-
*on», 20 et »uiv. — A»pect du iiavre
le l*"" de chaque moi», 178. — Baiiin
de Long-Brntich, 436. — EIcmeu» de
»uccè». Beauté des environ», Miiis^m.s,
XLI, 271. — Elégante tournure et.
costume des dame», 272. — OL.hci-
vntion» sur la ville , le caractère des
babitao», le climat, 294.
Niagara (partie du fleuve SJint-
Laurent , Amérique septentrionidc ).
Son cours, sa cataracte, t. XXXV Ut,
p. 37, 41; XXXIX, 67 et suiv. — Ile
des Clièvre», 69. — £tabU»»emeo!> ,
70. — Ponts ,71. — Caverne, 73.—
Voyages le long de se» bord», 81. —
Baie de Burlington, 85. — Indieu!),
87. — Hauteur et volume d'eau de lu
cataracte , XLI, 368.
Niat (lie de la Sonde ). Étendue,
productions. Habitans, tom. XLIII,
p. xlviij.
Nii-aragu.i (Isthme de, province do
Guiitemala, Amérique méridiouale).
Compagnie pour la section deTisthaïc,
t. XXXVIII , p. 406.
Nico'-ar (île, mer du Bengale). Ap-
partient aux Danois. Denrées, tom.
XVIII, p. 438.
Nicolaïf (ville du gourememcnt de
Kberson, Turquie d'Europe), t. XLIV,
p. 395, 396.
Nidt d'oiseaux eomestiblts, t. XX ,
p.262;XLIII, X, Iv.
NiBBUHR. Notice biographie. Son
voyage en Arabie, t. XXXI, p. 323.
NitwtU (mont» de la colonie du
DES MATIÈUES.
421
ca|i (la BoBue-E*|t^faooc, t. XXIX,
(*. 96.
Nijf* ou Noujfi* (royaume «lu Simi-
dan). Voyago dan» le |*avii,t. XXVIII,
1t. 189 et »uiv. — Kl-Wuta. Hautes
burmiliérr», 189. — Tnbra. VUile à
la reiue, 19U. 191. — ramj>, 1U4. —
Voyao» dan» le payn . XXX, 1A1. Relit *
ilet, 282 etsuiv. Ossiioire d'Li|i|ioi)ii-
tame», 283. •— V»y. Kooifa, Pittaihu,
Rabba,
JVigaudt ( Ile des', caoal de No^l ,
Terre de Feu ). Nommée par Couk ,
t. IX, p. 61.
Nigtr •« Qttorra (fleuve d'Afrique).
Découvert par MuDgu-Purk , t. XXV,
p. 1, 223. — Voyage nurses bord% 223
a 242, et 247 à 202. — Crocodiles ,
237. — Reiiseignemeus sur non rours,
243. — Ses suHnes, XXVIII, 103 et
SUIT, -— Nommé Qiiorra par les natu-
rels, 115. — Naturels des bords en
refusent l'upprocht*, lil. — Ile et
ville de Boussa , 180. — Amours du
Niger et de la Moussa , 277. — Sfs
débordemens , XXIX , 387. — Voyage
des frères Lauder dauslcbiit d'explu-
rer son cours et son embouibnre,
XXX , 1 . — Son état à Boussa , 16(f.
•— Voyage sur ses bords, 177. — Leur
beauté, 180, 182, 307, 372. — Natu-
rels des Iles , 184. — Observations
sur son cours, 190. — Palmiers, 214,
351, 384. — Productions, villes de
oes rives, 218, 304, 312, 394, 461. —
Tours souterrains, 225. — Descente
du fleuve, 256 — Ile Mclalie , 281 .
— Autres Iles, 282, 285, 293, !î07,
310 et suiv., 319, 343, 348, 351, 356,
426. — Ile Bélée. Costume du roi de
l'Eau Noire et de sa conr, 314 et suiv.
— Ëtatdufleuve'au-dcssous de Rabba,
342. — Hippopotames, 345, 382. —
GuDgo et ses liabitiins, 351, 554. —
Pélicans, 371. — Alligators, 381. —
Manière de faire le commerce près de
Kirri , 427. — • Superstition au sujet
du fleuve, 431. Voy. Camhriem^ peu-
ples , lies Patathie, Zagoihie,
JVigiitie.\»y. SoaJaH.
NiJ'tni-Novogorodl^gouvetaemeat de
la Russie d'Europe). Voyage dans le
pays, tom, XLIV, pag. 464 à 469. —
Célèbres bazars de Macaricf , 466 à
NijJni'Novogorod (chef-lieu du gou-
vernement) .Sa deocriplion , t. XLIV,
P 464 à 466.
Nilei ( provinre du Bourgou ). Dar-
nes. Capitale. Sold.iti, t. XXX, p. 248.
— Nombre de» cités. Singulier tribut,
250 —Chevaux, 251.
Mkita (ville du gouvernement de la
Tniridn, Russie d'Europe), t. XLIV,
p. 421.
Niknpoli ( ville de Bulgarie , Tur-
quie d'Europe, t. XLIV, p. 225.
Dl'l (fleuve d'Egypte). Arbre de set
bords, t XXII, p. 222,425 — Limon,
227. —Sou utilité, 228 —Accrois-
sement de son delta , 230. >— Carriè>
rcs de ses bords , 347 — Ses inon-
dations, 355 — Entrée de la branche
d'Alexandrie, Beauté de ses ri< >s,
425. — Leur célèbre carrière de (gra-
nit, 448. — Ses cataractes, 448—
Son ancien lit reconnu par Andréossi.
Ses lacs de Natronn. Ses couvens ,
452 et suiv. — Canal de jonction .'
la mer Ronge, 456. — Voyagt it
Bruof. Sf'S descriptions des rives ,
XXI II, 67 et suiv. — Ile Halouan.
Souvenir de l'olivier deStrabon, 74. —
Cannes à sucre, 78. — Crocodiles,
88 — Nilomètre , 92, 95. — Catarac-
tes, 94, 389, 408. — Tentative de
Bruce pour découvrir ses sources ,
391 et suiv, — Traverse le lao Tzana
sans mêler ses eaux, 397.'— Est
vénéré dans l'Abyssinie , 408, 424,
428.— Bruce arrive aux sources, 423.
— Description de ses sources, 427 a
435, 437. — Tableau de son cours
jusqu'à la mer, 437 et suiv. — Prêtre
des sources. Sacrifices, 449, 451. —
Son influence en Nubie, 487. Voy.
Elephaniine, Génz.
Nio (lie de l'archipel), t. XLVI ,
p. 94.
Niphon ( Ile , Japon ), Son '''«indue.
Sa capitale, t. XII, p. 333. — %> n-
tagnes. Rivières, 112. - MiaL< >. De-
meure de l'empereur ecclésiastique ,
XXXI, 129, 153.— Fil'es de joie, 150.
— Usaka, Maisons. Rues* tivoc portes.
— Gouvernement, 152. — Temple.
Rivière. Château. Rups. .'Manufactures.
Population, 154. Voy. Jedo
Nitcliapore ( ville du Khoras.san ,
Perse). Célèbres mines de turquoises,
t. XXXV, p. 99, 191, 1»3, 195. — Sa
plaine, 99, 181, lOO- — Beaux eavi-
i22
TABLE GËMÉRÂLE
rons, 186, 190, 202 — ^ Triste aspect
de la ville, 186. •> Enchanteurs in-
diens. Traditions, 187. «^ Ruines,
]88' — Histoire de ses révolutions,
189. — Population. Village des euvi«
ronr. Température , 190.
Kizelet-el-jirab (^ illage delà Haute-
Egypte). Ses cannes à sucre, t. XXIH ,
p. 78.
Afoil (canal de , Terre de Feu). Des-
cription du pays et de ses habitans ,
t. IX , p. 53. — Canards sauvages , 59.
— Laideur et saleté des babitans, 65,
j9. ^ Leurs armes , 66. — Leurs pi-
rogues , 67. — Oiseaux, 72. Voy. lies
des Nigaud», des Oiet.
Noèl (Me de l'archipel Daugereux).
Découverte par Cook, t. X, p. 258, 264.
Nourrit des tortues, 258. — Cook y
fait semer différentes graines, 261.—
Sol. Son exhaussement, 262. — Est
inhabitée. A très peu d'arbres , 263.
— Son étendue, 264.
Aoil (Ile de la terre de Sandwich).
Découverte par Fanning,t. XXI, p.455.
Aoi-T de eocos (tles des, Australie).
Découvertes par Carteret. Productions
diverses. Cannes appelées yoncx par les
Français, t. III, p 142 à 148.
NooRT (Olivier de). Son voyage
autour du monde, t I, p. 240.'—
DécouTte les tles des Pinguins et des
Patagôn8,242.
JVootka ou du Roi-George ( entrée,
Ile de Qnadra et Vancouver. ) Sa des-
cription, ses productions, etc., mœurs,
usages, formes, industrie, etc., des
naturels, t. X, p. 546 à 424; XIII,
356 à 375. Pour les détails , voyez lie
de Quadra et faneovwtr.
7V0n/(cap, Ile Mageroë, nord de la
Norwége). Approches du cap, t. XLV
p. 210. •-' Description du cap, 220
et sniv. >> Violence des vagues, 222.
— Salubrité du climat. Aurores bo-
réales , 223. Voy. Mageroi,
Nord (cap , Amérique russe). Nom-
mé par Cook, t. XI, p. 76.
Nord (port du, terre de Van-Dié-
men ). Nommé par d'Entrecasteaux.
Sa description et celle des alentours ,
t. XV, p. 18, 21, 28. — Conjectures
sur les naturels. Huttes ustensiles,
20. ••' Animaux. Arbres creusés, 22.
•— Plantes , 25. — Climat , 27.
Nordtiifitldê (partie de la Norwége).
Voyage dans l'intérieur, t. XLV, p. 83>
à 111. -- Le Dovrefield. 85. — Vil-
lages, 84, 85, 101, 102, 108, 109. —
Lièvres de montagne , 85. — La Gule,
86. — Chutes de Leerfossen. Lacs
pittoresques de Jonsvandel, 88. —
Enormes fourmilières. Leur intérieur,
89. — Vinaigre de fourmis, 90. —
Bétes sauvages, 90 à 96. — Le lynx,
90.— L'hermine, 91.— Le lemming,
92 à 96, 183 à 185. — Difficulté des
routes. Précautions des chevaux, 101.
— Rivières, 102, 105. — Ile de Tut-
terroen. Edredon, 102. — Aspect du
Îays, 104. — Foires de Levanger,
05. — Abondance de Courlis. Ptur-
migans, 106. — Régimens de pati-
neurs, 107. — Fin des routes, 108,
110.— Voyage le long de la côte, 110.
— Iles d'Otteren , 1 13. — De Gioen ,
de Elven , 114. — Golfe de Fol-
den , 145.— Transparence de la mer,
116.— Iles de Vigten, 117. — De
Otersun, 117. — De Krogoen, 118.
— DeLeKoë, 118, 120 — Hdlge-
land-Vaer, 120. Voy. bovrefrield, IJron-
ihelm, nouvelle capitale de la Suède.
Nordland ( grande province de la
Norwége). Ile Roest, t. VIII , p. 128.
— Attraits pour le voyageur, XLV, 2.
— Edredon, 103, 144. — Glaces per-
pétuelles, 113. — Ile de Torgetel son
fameux mont, 121. Voy. ce nom. —
Ile de Vegen , 125. — Multitude
d'oiseaux sur les Iles rocailleuses, 126.
— Demeure épiscopale de l'île d'Al-
sten, 128.— Les sept fameuses mon-
tagnes, 130. — Ile de Mageroë, 131.
— Monts Trœnen, Lovunnen, 134.
— Le cercle polaire, 135, — Iles de
Selsoën, 136. — Svinvœr. Fin de la
végétation , 137. — Différentes espè-
ces d'ours, 138.— Pois.soDS noirs,
139. — Iles Stot , Gilles Kaal , Flcin.
Monts gigantesques, 140, 141. —
Dépaissance des troupeaux en été.
Leur nourriture en hiver, 142 — Port
de Hundholm, 144. — Pèche, pré-
paration, etc., de la morue, 145 à
152. — Villages, Maisons, 155. —
Port de Bodoë , 1 54 à 1 58. — Fameux
gouffre de Maelstrom , 159, 160. —
Golfe de Salten, 155. — Poissons
rouges, 156.— Etendue, sol,etc., delà
province , 159. — Ile de Stegen et ses
cavornes, 164. — Golfe de Vest, 165.
DES MATIÈRES.
42S
— Iles Loffoden , 166. " Marsouias ,
167. — Ile Sandtow, 167. — Descrii»-
ti'.a d'un Lapon de lii > ute, 168. — *
Ile Senjen, 169, 172. - Renards bleus,
Lianes, rouges et noirs, 170. — As-
pect des monlfagiles de Dyroë. 171.
— Port de Trouisoë, 174. — Bois et
antres corps d'Amérique jetés sur la
côte, 177, 188. — lie de Reenoë,
182. — De Carlsoë, 183. — Grande
profondeur de l'eau sur la côte. Pro-
tection que lui prêtent ses lies nom-
breuses , 190, 191. — Absence d'agri-
culture, 197.
JVoniland ( province de la Suède ).
Voyage dans l'intérieur, t.XLV, p. 328.
— riikkala. Sapins. La Calix. Hvita,
528. — Luloea, 329 — Nombre de ri-
Tières,|529. — Pitliea, 329.— Bothnie
septentrionale , 329. — Taureau à la
cliarrue, 329. — Costume des paysaÂs.
Skelleftéa. Umen , 330. — Bothnie
ouest, 330. — District d'Angferman-
land. Spinte. Montagne Skula, 331.
— Sunds Wall , 332. — Le Niurunda-
Elf. 333.
Norfolk (île de la côte de l'Amérique
méridionale). Découverte par Cowley,
t. I , p. 355.
Norfolk (île, Austr;ilie).Découverte
par Cook.t. IX, p. 24. — Productions,
25. — Sa descriplion, XIII, 156.
Norfolk ( détroit ou entrée de,
Nouveau - Norfolk ). Nommé par
Oixon. Naturels. Distorsiou et orne-
ment des lèvres, t. XII, p. 198;
XIII, 301.
Norfolk-Nouvtau (pays deJlaNouv.-
Bretagne, Amérique septentrionale ).
Sa reconnaissance par La Pérouse.
Noms donnés à divers lieux. Naturels.
Leurs formes, usages, etc., t. XI Ij
p. 142 et suiv. — Description du port
des Français, et des mœurs , usages,
vétemens, etc., de sesbabitans, 159 à
207. Voy. et nom. Physionomie. Dis-
torsion des lèvres, 198 note — For-
mes des naturels, XIII, 176. — Phy-
sionomie.Ornement Ltbial, 177. — Cou-
leur de la peau, Ongles. Chevcux.Belles
dents. Tatouages, 178. — Reconnais-
sance de la côte. Noms donnés à
plusieurs lieux par Dixon. Mœurs,
coutumes, etc., des indigènes , 299 et
suiv. — Observations générales. For-
mes physiques. Mœurs. Usages. Gou
vernement Unions. Tmitement des
femmes en couche, 179 à 188.
Norkoepiiiff ( ville de la Suède, Go-
thie), t. XLVI.p. 291.
iVorfon (entrée de, Amérique russe).
Babitans. Habitations, t XI, p. 9d.
Nommée par Cook , 96. — Naturels
ressemblent aux Groënlandais, 124-
Norw/g» (partie du royaume de
Suède ) . Attraits pour le voyageur ,
t. XLV, p. 2. — Voyage dans le
Sonderfields , 40 < 83 La fête de
la Saint- Jean, 42. — Monnaies, 46.
— Difficultés et périls des bacs, 47.
— Quadrupèdes ,48, 76, 85, 90, 96,
138,170, 181, 193, 263. — Oiseaux,
49, 76, 82, 102, 106, 126, 193 , 290.
.— Flottage des sapins, 49. — Mines,
54. — • Forêts , 55. — Fabrication du
charbon leur est très funeste , 55. —
Beauté et richesse des vallées. Rapi-
dité de la végétation , 56. — Fortes
chaleurs , 57. — Lacs , 58, 59. —
Saison convenable pour voyager dans
le pays , 59. — Population et culture
de l'Hedcrman et du Guldbrausdal ,
61. — Agilité des animaux domesti-
ques, 65, 64. — Torrens, 65 , 69 et
suiv. — Fermages. La chaîne du Do-
vrefield, 72. — Voyage dans le Nor-
dcnfields, 83 à 111. . — Enormes four-
milières. Leur intérieur, 89. — Vi-
naigre de fourmis , 90. -> Langue
comparée à celle de Suède et de Da-
nemark , 98. — Clicvaux du pays-
102.— Edrcdon, 102, 144 — Régi-
mens de patineurs , 106 à 108. — Fin
des routes, 108, 110. — As]iect des
montagnes, 110. — Profondeur des
rivières. Il 2. — Glaces perpétuelles
133, 137. — Iles et côtes dn Sonder-
fields. du Nordlaud , du Finmarck.
Voy. cet nomt. — Les sept fameuses
montagnes, 130. — Le cercle polaire,
135. — Fia de la végétation, 137. —
Différentes espèces d'ours, 138. — •
Poissons noirs, 139. — Monts gigan-
tesques, 140, 141. — Dépaissance des
troupe:iiix en été, leur nourriture en
hiver, 142.— -Pêche, préparation, etc.,
de la morue aux Iles Loffoden, 145 à
152. — Poisson ronge, 156. — Fa-
meux gouffre de Maelstrom, 153,
160. — Variabilité du vent sur U
côte. Mauvaise construction des bar-
ques, 1C2.— Renards bleus, blancs,
414
TABLE GÉNÉRALE
ronges et noir» , 169, 170- •— Bois ot
aotrei corps d'Amérique jetés sur la
cAte, 177 , 188. — Le fioner. Ma-
nière de pécher cette baleine , 178 à
180. — Les rennes, 181. — Plantes
* marines. Zoophytes , 188 et suiv. —
>^ Gorgones, 189. — Les puffins , 192.
— Aigles marins. Loutres, 193. —
Phosphorescence de la mer Polaire ,
^.— Aurores boréales, 261, 284,
291. '— Observations sur le climat du
nord , 270, 27 1 . — Titre de /ro», 286.
— Beauté de l'hiver du nord. 290.—
Forêts de bouleaux , 42 , 54. — Ar-
bres fruitiers , 50. — Lacs , XLY 1, 1 4.
■— Voyage de Twining, 296 et suiv.
Yoy. Chrittiania , ancienne capitale;
Finmark, Loffoden,Nordenfieldi,Nord-
landy Sondtrfields, Scandinavie, Dron-
tlitim, nouvelle capitale.
iVono/jf/cm. Diffèrent beaucoup des
Suédois, t. XLV, p. 41. — Ressem-
blance des montagnards de tous pays,
41 . — Vénération pour les pies , 49.
^ —Nourriture des paysans. Leur exté-
rieur prévenant , 63. — Leurs nom-
breux talens, 65, 66. — Noirceur de
leur teint, 72.— DaD!>es,78. — Noces ,
84. — Superstitions diverses des
paysans, 93, 184. — Exercices d'un
régiment de patineurs. Ses services ,
106 à 108. - Hospitalité, 1 19, 132.
— Am<i|>r des liqueurs fortes, 127.
— Tribunaux de conciliation, 129. —
Les aubergistes, 132. — Intrépidité
des femmes de pécheurs, 136. —
Repas , 152, 153, 197. — Portent ha-
bituellement un poignard. Belle
chevelure des femmes, XLVI, 296.
Noufjie. Voy. Niffé.
Nougouor ( groupe, archipel des
Carolines). Découvert par Monte-
verdeson, t. XX , p. 237- — Huitres à
perles. Arbres. Formes et habillement
des naturels, 238. — Hostilités contre
Morrell,331.
Nottka-Hiva ou Marquitet de Men-
dofa ( archipel de la Polynésie ). Dé-
couvert par Mindana, t. I,p 198.
— Bon natnn i des habitans, 198 et
suiv. — Habitations , pirogues , ani-
maux , fruits , 202. -— Noms indiens
de plusieurs (les, VIII, 199. — Excellent
terreau, 202. — Situation, étendue des
différentes lies , 205. — Productions ,
habitans, tatouage, vétemens, orne-
mens, 207 et suiv.— Habitatious,*nour-
riture,cnisine,210. — Armes^pirogues,
animaux, 212. — Population, 213.
— Manière de saluer un ami , XV ,
349. — Historique de la décou-
verte, 363. — Cabanes, 381. — Ar-
bres. Productions, 383. — Animaux,
387. — Climat , 390. — Habitans :
physique, vétemeus, tatouage, 391 ,
401, 403. — Ornemens , 396. —
Beauté des femmes, 400. — Leurs
vétemens, 403. — Leurs mœurs dis-
solues , 405. — Nourriture des natu-
rels , 410. — Pirosues , armes, 410,
416. — £chasses,4l4. — Ustensiles,
étoffes, exercices, 417. — Mœurs,
420. — Conjecture sur le gouverne-
ment. Population , 425. Comparaison
avec Tttïti de la langue et des natu-
rels, 428. — Eventails, XVI, 333.
— Éohasses , 336. — Traditions et
conjectures sur l'origine des habi-
tans, 344. — Bel aspect des lies,
418. Voy. îles Dominica, Hergett,
Hood, Magdaleaa , Révolution , /?0pa-
hoga , San- Pedro , Santa-Catharina,
Nouka-Hira ou Maditon (île prin-
cipale de l'archipel de Nouka-Hiva ].
Son aspect, t. XVI, p. 149, 421, 425.
— Démêlée Porter et de la tribu
fuerrière des Heppahs , 156, 163,
74, 186, 209. — Villages fortifiés ,
159. — Prix extrême attaché aux dents
de baleine, 163. — Oinemens des
guerriers , l65. — Tribus distinctes,
gouVero^ent, noblesse, 176, 238.
— Nombre de guerriers, 180. —
Manière de combattre, 181. — Mai-
sons très remarquables, 193 et suiv.
32 1 . —Habitans sunt-ils anthropopha-
ges ? 197, 203, 207. — Leur extiéme
propreté, 199. — Remarques sur la
langue, 205. — Objets en os hu-
mains , 207. — Souvenirs de la visite
des Européens, 211, 340. — Récolte
des cocotiers, 213. — Productions,
Description du bananier, de la tor-
ra, do la kava , de l'arbre à pain,
217 et suiv. — Mœurs des naturels,
225, 227, 229. — Leur figure, 228,
343. — Habillement et ornemens des
femmes, 232, 233, 426, 453. — Ca-
nots de guerre et de pèche, 252,
254. — Cuisson des cochons , 261 .
— Chants et danses , 265. — Expé-
dition de Porter contre la tribu des
DES MATIÈRES.
425
TypM, 263 à S04. — Cimetière : sta-
tue , obélisque , 309. -— Dieux , 313.
— Cért'monie religieuse, idée de la
vie futuro, 315.~Religion, 316, 318,
431. — Drapeau blanc, emblème de
paix, 320. — Intérieur des maisons.
Aepas, 321. — Occupations des natu-
rels, 323. — Mobilier, iostrumeus,
324. —> Dispositions de leur cheve-
lure, 327.— Tatouage, 328,433.
— Etoffes ,331. — Cercueils. Even-
tails , 333. — Echasses , 336.— Qua-
drupèdes , 339. — Tradition et con-
jectures sur l'orifgine des babitans,
344. — Mariages , 434. — Naturels
•ont cannibales, XVlI , 7, 12. — Leur
figure, 8. — Orneraens,9. — Maisons,
outils, pirogues, autorité du roi, 10. —
Religion, musique, 13. Voy. Porter.
Nouvel-An (lies du, prè^ la Terre de
Feu). Nommées et décries par Cook,
t. IX, p. 90. — Phoques et oiseaux, 91.
Nouvel-An (ilc du, Polynésie). Dé-
couverte par Kotzebue, t. XVII, p. 1 27.
— Figure, costume, armes des natu-
rels, 129. — Intérieur boisé, 133.
Nota Galleug. Découvre ler, îles de
l'Ascension et de Sainte-Hélène , tom.
IX, p. 151.
Novogorod (ville et (Jiipvernement
de la Russie d'Europe ). Ancienne
puissance de la vlUe, t. XLVI, p. 146.
Nua1t1t»tiU$ (tribu de Bichuanas,
au nord du cap de Boune-Espéranee},
t. XXVI, p. 471.
Nubaê (naturels de la Nubie). Sont
tous soldats. Leur figure , religion ,
t. XXIII , p. 476. — Troupeaux de
porcs. Circoncision, 478.— Leur paya.
Comment ils allument le feu, 479.
Nubie (contrée d'Afrique). Cours
du Nil dans le pays et les voisins ,
t. XXI II, p. 439 et suiv. — Voyage
dans l'iutérieur, 468 et suiv. V. Aibara
ou Meroè, Ckendi , Seimaarf Suakem.
NoxvA (Jean de). Donne son nom
à une ile qu'il découvre près de Mo-
zambique, 1. 1 , p. 71. — Combat les
Maures dans les Indes, 72.
NcoicKS (Vasco). Découvre le pre-
mier la mer du Sud du haut de la Cor-
dilière, t. XXXVIII, p. 248. -y En
prend possession , 252 — A décou-
vert les îles aux Perles ,318.
Nuitiirabad ( ville du Rajpoutana ,
- Hindoust.j.Rues. Casernes, t. XXXV1,#
p. 327. — Environs. Puits. Climat ,
328. — Rareté des meubles en bois.
Boutiques, 329. — Vêtemens, 330.
Nyniah (ville du Kuuranko , Séné-
gambie),t. XXVIII, p. 57.
Ntrup. Ses'voyages, t.XLVI,p. 155.
I
o
Oasis dn désert de Liby^ Doivent
renfermer d'intéressantes ruines ,
t. XXII, p. 349. — Voyage aux
oasis, XXV, 438 et suiv. Voy. Syouah.
f Obidos ( ville de la Colombie ) ,
t. XLII, p. 66.
Océanie. Ruines de style pyramidal
trouvées daus f>es îles, t. Il, p. 253.
— Coffre semblable à l'arche d'al-
liance, et appelé Maison de Dieu ,
trouvé dans plusieurs îles , V, 330 ,
336. — Croix trouvée sur une tombe,
VI, 94. — Opinion générale des in-
sulaires sur leur origine , 197. —
Statues colossales de style égyptien ,
Vlll, 151, 161, 165, 180. — Forma-
tion de ses îles, IX, 330 et suiv. —
Tradition de la création conservée,
mais défigurée , X , 242. — Une
beule nation répandue dans ks Iles ,
o33. — Étendue , population , di-
visions de Malte - Brun et de Wal-
kenaer, XL1II, i. — Divisions de
Balbiet de Dumont d'Urville, ij. —
Division de Rieuzi, iv. — Climat.
Montagnes. Hauteur des principaux
points, vi, —Volcans. Fleuves. Ri-
vières, vij. — Lacs. Productions ,
viij. — Animaux , ix et sniv. — Tribus
indigènes, leur état actuel, xj. —
Étrangers établis , xv. — Variété ,
caractère des divers races. Les Ma-
lais , XV. — La race polynésienne ,
xvij. — Race noire, xviij, — Les Po-
pouas, xviij. — Les Papous , xx. —
Les Australiens , xxj. — Religions ,
xxij , xxvij. — Le Tabou , xxiij. —
Gouvernemens , xxviij . — Industrie ,
commerce , xxix. — Tatouage, poly-
gamie , ib. — Anthropophagie. Repas.
Vêtement. Ornemens, xxx. — Ma-
riages. État des femmes , xxxj. —
:*
#
426
TABLE GÉNÉRALE
Langues , xxsij. — Da oannibalisme ,
80. Voy. Arttoy$, Ava , Tabou.
Oditta (ville du gouTernemeat de
Khcrson , Russie d'Europe). Environs,
t. XLIV, p. 589. — Fa- bourgs, 39».
* — > Histoire de son commerce , 391 .
^ — Rues. Maisons. Jardins Édifices
divers , 391 et suiv. — Cathédrale ,
393. — Uabitans, 394.
CŒdidék , naturel de l'Ile Uliétéa ,
( archipel de la Société ). S'embarque
sur le Taisseau de < 90L, t. VIII ,
p. 24» — Son étonnef<ent è a vue de
la neige, 121.— •Cor>k éta t revenu à.
Uliétéa , OEdidée se décide à de-
meurer dans sa patrie. Son caractère,
301. — Revoit Cook à Taïti, X,
115. — Donne un repas à Cook ,
140.
Œno (ile, Polynésie), t. XIX,
p. 96.
Oghao (ile , archipel des Amis) ,
t. VIII, p. 322 et suiv.
Ohettroa (ile , Polynésie). Décou-
^verte par Cook, t. V, p. 358. — Sa
description et celle des habitans, 364.
— Vêtement , 365. — Armes, 366.
Ohio (affluent du Mississipi). Ses
beaux plâunes , t. XXXVIII , p 17.
— 9- n confluent avec le Mississipi ,
XXXIX , 374. — Aspect de ses rives ,
375. — Son aspect à Louisville ,
375. — Aa-des:"is de Memphis , 392.
— Ses rives , 393.
Ohsson (d'). Son voyage à Gonstan-
tinople,t. XLVI,p.l21.
Oitt (Ile des, canal de Noël, Terre
(le Feu). Nommée par Cook. Ses ca-
vernes profondes , t IX , p. 63.
Oiseau - mouche. Ses habitudes , sa
nourriture , etc. , t. XLI , p. 231 et
suiv.
Oiseau de paradis. Sa description.
Fables à son sujet , t. II , p. 71 ; X ,
286; XX, 388.
Oiseaux (iles des, Polynésie). Dé-
couvertes par Kotzebue, Formées de
corail, t, XVII, p. 146, 155. — Na-
turels , 148, 154. — Beauté des
nuits, 152.
Ojeda. Découvre Ttle de Curaçao
et la côte de Venezuela , t, XXXVIII,
p. 243.
Oka (rivière de la Russie d'Eu-
rope), t. XLIV, p. 464.
Oku'^esso. Voy. S^galien.
Ollapiïle, groupe des Caroliaet>).
Productions. Naturels , t. XX , p. 228>
Olot (Ile, groupe Kawen). Décou-
verte par Kotzebue, t. XVll, p. 189.
198.
O-Maï , uaturel des iles de la So-
ciété. S'embarque sur les vaisseaux de
Cook , t. VII , p. 456. — Quitte
Londres, IX, 168. — En passante la
Nouvelle-Zélande, engage un insu-
laire à le suivre, 251< — Rencontre
quelques-uns de ses compatriotes à
l'Ile Wateeoo , à deux cent lieues
d'Huabeine,312. — Est de retour aux
tles de la Société, X, lOT — Donne
un repas à Cook, 128. — ' Acquiert
une pirogue. Est exposé à être dé-
pouillé par ses parens, 161. -;■ Pré-
sens et discours qu'il fait à Huaheiue,
179. — Son établissement à Hua-
heine est décidé avec les chefs de
cette lie, 181. — Cook lui fait cons-
truire une maison , créer un jardin ,
182. — Animaux qu'on lui laisse,
189, 197. — Ses regrets au dépWt
de Cook, 189. — Observations sur
sou caractère, sa conduite, sa fa-
mille, 190.
0«an (province de l'Arabie). Côte de
Mascate : palais de l'iman. Costumes.
Maisons , t. XXXV, p. 2. — Cam-
pagne, 4. — Cl'mat, 5. — Com-
merce, Puissance de l'iman. Produc-
tions Manufactures , 5, 6. — • Impor-
tance des dattiers-) 6. •— Costume de
l'iman, 7, r— 'Muttra : eaux ther-
males, 9. — Bouschire, 10, 11.
Oneeheow (lie, archipel de Sand-
wich). Découverte par Cook, t. X ,
p. 289. — Raisons pour croire que °
les insulaires sont cannibales , 291 . —
Son étendue , ses productions , 29S.
— Son aspect , XI , 247. — Sr-s den-
rées , XlII , 282 ; XIX, 23^ — Race
des naturels, ib. -—Onevx.Yoy. Ifoneçx-
O/igeluks-Fontain (kraal des Uotten-
tots), t. XXVI, p, 381.
Oitoun (ile, archipel des Caroline»),
Découverte par Lutke. Nommée Li-
9:ngston, par Morrell qui croit la dé-
couvrir, t. XX, p. 214. '
Ontario (lac du Canada). Son as-
pect, t. XXXIX, p. 67, 81. — Ne
gèle jamais , 77. — Havre de Sackett,
100. — Traces du déluge , 206.
OntoHgJava (tic , Australie). De-
n
'J*
DES MATIÈRES.
427
couverte par Le Maire et Schonten ,
t. XIII, p. 225.
OittOHg-Java (ile, Australie). Dé-
couverte par Tasman, t.* I , p 349;
m, 429. — Est différent del'Ontong-
Java de Le Maire, XIII , 225.
Oo. Cher, cher à Ou, les mots qui ne
se tronveront,pàs à Oo
OmIIo l'une des iles Âléoutiennes),
t. XI, p. Û
Oonemak (une des iles Aléontien-
nes),t. XI,p.45;XIX, 282.
Oonolathka (une de» ikv Aléon-
I tiennes^. VétemMTtfe boyaux de ba-
leine, dei> babitans, t. XI, p. 41. — *
L'un d'eux porte une lettre russe à
Cook, 42, 106. — Denrées, 104,
105 , 106. ~— Commerçans russes ,
106. — Domination russe , 107. •—
Figure des naturels , vétem^ns , orne-
mens, repas , 108. — Ilaintations ,
ustensiles ,110.— Manières 4e pro-
duire le feu, 113. —'Armes, caso»»
remarquables, 114. — Attirail de
pèche et de chasse, poissons, pho-
ques, 116. •» Oiseaux, végétaux ,
4uadrupèdes, 118. — Plantes nour-
rissantes, 120. — Cimetières , 123. —
Idiome semblable à celui du Groen-
land, 1 24. — Marées , 125. — Aspect
horrible, XVII, 116.
Opam (tle , Polynésie). Découverte
par Vancouver, t. XIV, p. 57, 61 —
Son aspect. ColUnes fortifiées. Piro-
gues , 62 , 65. — Productions. Natu-
rels, 64. — Na».!r»ls , XXI, 410.
Orageuse (ile, Australie). Décou-
verte par Dampier, t. I, p. 438; IV,
318. - Son gisment, XIII, 219, 220.
Oran (ville de l'Algérie) Aspect.
Fortificatior.ii , t. XXII, p. 182.
Orange (fleuve du sud de l'Afri-
quel , t. XXIV, p. 378.
Oranger (premier), apporté en Eu-
rope, t. XLVI, p. 186,
Orebro (ville de la Suède) , t. XLV,
p. 13.
Oreehova (ile , archipel Sandwich ).
Découverte par Cook , t. X , p. 28l^.
— Est peu étendue , 2(96. — Est sté-
rile , XIV, 408.
Orel (gouvernement de la Russia
d'Europei. Voyage dans l'intérieur,
t. XLIV, p. 566 à 369.
Orel (chef-lieu, du goaTérnement) ,
t. XLIV, p. 567.
Orf»aqne (fleuve de la Colombie ,
Amérique méridionale). Cours. Af-
fluens. Animaux, t. XXXVIII, p. 61,^.
— Comparaison do ses plaines avec
les Savanes , les déserts , etc. , 371 et
Buiv.—. Tribus d'Indiens de ses bords.
Meurtre de l'un des jumeaux , ou de
l'enfant faible , 379. — Leurs breu-
vages abortifs, 381. — Piqûre des
mosqnites et maringonins , 382 et
suiv. — Enormes reptiles , XLII ,
183. .— Cours, inondations, 396. ^^
Caractère des Indiens des rives , 408.
— Leur» noces , 415. — Culte des
crapauds , 417. — Funérailles des
diverses tribus, 418. — Armes. Ca-
nots, 421. — Voyage sur le fleuve ,
436. — Saison des chaleurs , 437. —
Rives. Crocodiles. Rocs de granit.
Saison des pluies. Confluents , 438.
— Oiseaux, 439, 445. — i!nsectes ,
439, 441 — Beaux arbres , 439. —
Aventures d'un voyageur surpris par
Ucc crue du fleuve sur un arbre où il
demeura trois jours, 440 à 448. — «w
Enormes lézards, 441, 443. — Tor-
tues , 443. — • Phoques , 414.
Orfiih (ville de l'Al-Djezyreh, Tnrq.
d'Asie). Danses. Mosquée , t. XXXII ,
p. 466. --^ Intérieur de maison. •—
Muraille, ilnes. Bazars. Mosquées et
Ic^jrs oiseaux. Population, 468.
Oriental (cap, du dét. de Behring ).
Nommé par Behring , t. XI ,p. 86
Grîiûa: (la Nouvelle-, capitale delà
Louisiane , États - Unis ). Aspect ,
t. XXXIX; p. 559. -^ Première vue
du Mississipi. Ses dimensions. Ses
crues, etc., 360 à 566. — Divers
genres de vais.seaux, 561,362 — Mar-
ché. T,?:igages divers, 366, 586. —
Languti française très répandue , 366,
586. — Climat, 367. — Mulâtresses,
585, 388, — Société , 387. — Créoles,
388. — • Théâtres. Bateaux à vapeur ,
389.
Ormux (île, golfe Persicjue) , t. I ,
p. 96. — Autrefois florissante, XXXV,
12,14.
Orned (île , Polynésie). Découverte
par Kotzebue. Aspect agréable ,
t. XVII , p. 156. "^ Entrevue intéres-
sante avec les naturels , 157 et suiv.
— Tombeau , 160. — Nourriture des
babitans , 170. — Représentations
dramatiqaes , 572.
It
#.. . .
. '*»•
rft<>
428
TABLE GÉNÉRALE
OroM» (fleuTii dfl la Syi i«i , Turquie
d'Asie) , t XXKI , p. 46.
Oro*.i,Mg Mie du groupa Pel/sw).
Wilaoa nantrasé y reconstruit son
Taissean. Un fils du roi s'embarque
pour l'Europe , t. XIII , p. 386.
Ono9a (Tille de la Hongrie , em-
pire autriciiten ). Aspeef , <,. XLI V ,
Î. 182. — Précautions coi: t?e la peste,
<^«'4/i-a(Tille de l'He Niphou , Japon).
Maisons. Rues avvu porte». Uonver-
nement, t. X7-XI, p. 152.
Otiuibruek ou lUaiiea (Ile d', archipel
de !a Société). Découverte par Wallis,
Mil, p. 304; y y 95. — Dépeiul de
Taïti. Ses bahitans. Lent > Tétemciï ) et
ornemens, X, 251.— * Forme, ctendne,
aspect, XUI, 313.
Otnabruole (Jle de l'£véqne-d', Pcî} •
nésie ). Découverte par Carteret ,
t. III, p. !09.
Osie-«: ( habitant du Caucase ).
Vie , u .. !rs , iisages , etc. , etc. ,
*t. XLV, j., 427 â m et 4U à 451.
Voy. Caucoi.-,
Ottiakt (p».;u.'o lie ia Sibérie). Si-
tuation d«; ït'ii vays. ïanle. Figure,
VêtcTOrtus, t XXaI, p. (508. — Ha-
Li'leiueai des femmes. Logement.
Meubles. Nourriture. Chiens et traî-
neaux, 310. — Polygamie. Mariages,
312.— Différence avecles Samoyèdes,
Z\\. — Couches des femmes , 315. •—
Chasse. Pèche. Travaux des femmes.
Man;<L-re de fumer, 316, 318. — Su-
perstiiions , 316 , 519. — Jalousie ,
319. — Paresse, 319, 321. — Mesure
du temps. Commerce. Manière de se
reconnaître débiteur. Maladies , 320.
->• Enterremens , 522.
Otaha (île, archipel de la Société).
Découverte par Cook , t. V, p. 325 et
suiv. — Habitans. Productions, YIII ,
19. — Hiava on daaset, et représen;ta-
tions , 20. — Bâtiment public , 23.—
Abonde en cochons , 23. — Conquise
' par les naturels de Bolabola, X, 203
et suiv.
Otahi-Oa, Voy. Magdalena.
Olakor-taia, Voy. f^enooattu.
Otdia (gronpe, archipel Radack).
Découvert par Kotsebue , t. XVII ,
p 160, 164. — Beau climat. Beaux
habitans. Productions, 162- —Graines
et plantes d'Europe qui y sont se-
mées, 166, 225, 357,1059. — Nour-
riture deshabiUns, 1/0. — Trésorier
du chef, 185. — Drames, chansons
historiques, tS61 , 366 — Manière de
combattre, 364,367.
Ottnum (île de la Norwéjj!), '.XL,V,
p. 117 et suiv.
0««M««(îledelaKors*ée«i. t. XLV,
p. 113.
Otututlah (Ile, Poly-iésio , (décou-
verte par Edwards, t. XIII. ;>. ,Vi>.
Ou, cherch>,r à^oi: i- 00, \f. uiot»
«pi'on ne trouvera pas à OU
Ovulait (lie, archipel .^es Caroli- ^.
ïiva). Découverre par Cro;;.<3r, Aspect, "
t. XV I ' ; , p. 171 .- - Productions. Ani-
maux, tudigènes. Vétemei.' t. Mariage,
172. — Gou'-prneicent. Mœurs paci-
fiques. MaisoT/.' . Villnj^â Lôlé, 174. —
Repas. lio.pitHiité. Idiligiou. Lonfruc .
176. — Noms qu'«î)e ;j portes, X, ,
199.— Gouvtj jeiB<i>t, XLlti, xxviij.
— État de» femmes , :xxsj.
Oueh (ville du Moultan, Hindous-
tan). Situation. Population. Unes ,
t. XXXVII. p. 385. — Voiture. Sol-
dats du khan , 380, •— Anciens sé-
pulcres, 388. — Mole, 389. — En
virons, 391
Oude. Voy. Aoudh.
Oum'Essogh«ltr(\i]ïe du désert de
Lybie ). Site. Maiar>,is. Habitans ,
t. XXV, p. 422.
Oural (monts entre l'Knrope et l'A-
sie), t. XLVI, p. 40.
Ourga (capitale^ de l» Mongolie,
Tatarie Chinoise), t. XXXIII, p. 7t.
— Costumes de fonctionnaires, 72-
— Procession des lamas, 74. — Vi-
site au vangi. Costumes. Apparte-
ment, 75 et suiv, — Quartier des
marchands, 79. — Fêtes du koutouk-
tou , 80 à 84, 87. — Présens au kou-
tôuktou, 85. — Courses de chevaux.
Luttes, 86 et suiv. — Cérémonie de
deuil. Tribunal. Peines , 89. — Tern-
ies. Résidence du koutouktou. Ecole,
. — Habitations, Rues, Inscriptions
gigantesques , 95. — Environs , 95,
97. — Pyramide , 98. — Aspect de la
ville. Climat , 99. — Chef de la police.
Population , 100.
Ouroumia ( lac de l'Azerbaidjan ,
Perse), t XXXV, p. 380. — FertUité
de ses bords, 382. — Tribu chré-
tienne, 384,
w
/ R
'■^■,
DES MATIÈRES.
430
Ouroumia ( rille de l'Azerbaïdjan ,
Perte). Habitans. Évéque catholique.
Vices des habitans, t. XXXV, p. 383-
Ourrjr ( tle , r rchipd de la Reine-
Charlotte) Déconverte par Carteret,
t. Ill , p. 134' — E«t la Même que l'Ile
Edgecombe, et doit être appelée Ton-
boua,XVII[, 385.
Ourt. Leur chasse an Kamtschatka.
Leurs mœurs, etc., t- XI, p. 385, 416;
XVH, 396; XXXI, 381 ; XLV, 138.
Ourt dt mer. Leur description , t. IX,
p. 80,91. — Des régions polaires,
XL.x.
Outk-out ( petite ville du gouverne-
ment delà Tauride, Russie d'Europe),
t. XLIV, p. 425.
OvANDO. Remplace Bovadilla dans
le gouTerncment des pai'ties décou-
yCrtes de rAmérique , l. XXXVIII ,
p. 199. — Sa perfidie contre les Indiens
d'Haïti, 208. — Ses déloyaux procé-
dés à l'égard de Colomb, 219, 224.—
Est remplacé par le fils de Colomb ,
248
Owhyh^e (lie, archipel des lies Sand-
wich ) Découverte par Cook , t. XI ,
p. l32. — Description de la baie de
Karakakooa, 141, 243, 259. — Pou-
Paarl (ville de la colonie du cap de
Bonne-Ei>pérance}, %. XXVI , p. 78.
Pacheco. Lieutenant d'Albuquer-
que , bat le zamorin de Calicut , t. I ,
p. 84 et sniv. — Détruit une flotte tur-
que dans riude, 88.
Paeknam (ville du Si:im). Demeure
du gouverneur, t. XXXI V, p. 112.'^-
HoB|>italités des habitans, 114. —
Figure, 115. — Bazar, 116. — JoU '
temple, 117, 118. — Canons, 119.
Padit.la. Découvre les iles Palaos ,
t. Il , p. 27 et suiv.
i'aia (arbre à). Sa description,
1. 1, p. 380;n, 25, 250; V,97; XIIi;'
318; XVI, 219. — Comment se
mange le fruit , 1 , 381 ; V, 256 ; XIII,
318; XVI , 220. — Confection du
mahie on pâte que l'on fait avec le
fruit , V, 256. — Rassemblé au figuier,
XVI, 455.
Paissae, Chutes d'eau du Nouveau-
Jersey, t. XXXIX, p. 19.
voir despotique des chefs, 143. —
Cimetière, 146*— Effets dn tabou,
151. — Société de prêtres, 152
Le roi visite Cook, 157. — Combats
à coups de poings, 162. — Opinion
sur le but du voyage de Cook, 166.
— Bouffons, 167. - Naturels inspi-
rent de la défiance à Cook. Ses suites.
Cook est assassiné , 173 à 188. —
Incendie de Kakooa , 217. — Forme,
étendue , districts do l'Ile , 239. — •
Câtes et pays adjacent , 240 et sniv.
— Hanteur des montaf^nes, 241. —
Produit le bois de saudàl , XIV, 139.
— Combats simulés , 395.
Ox:!t ou Djihoun (fleuve de la Tata»
rie indépendante). Manière de le tra-
verser en Boukhara, tom. XXXVII,
p. 165. — Description du pays jusqu'à
Boukhara , 123. — Énormes melons ,
124. — Bac de Charjouey, 235. —
Gros poissons , 237.
Cy? rivière du Nordenfields, Nor-
wége), t. XLV, p. 112.
d/ofdva (ile, ardiipel des Naviga-
teurs). Beauté du pays. Haute stature
des naturels, t. XIII , p. 110. — Ur-
nemens des femmes, 112. — Beauté
du pays, XVn, 330.
Paita (ville dn Pérou). Description.
Port. Habitans. Campagne aride, t II ,
p. 175. — Prise, pillée et brûlée par les
Anglais , 179 et suiv. — N'est qu'une
bourgade, XVIII, 135. — Affreux
aspect du sol, 136. — Pizarre a décou-
vert le port, XXXVIII, 325.
Palaos. Voy, Pélew.
Palerme ( capitale de la Sicile ),
t.XLVI,p. 264.
Palestin0(p»Ttie de la Syrie).Voyage
dans l'intérieur, t. XXXII , p. 385. —
Vallée dn Jourdain , 389, 395.
Pallas. Son voyage en Russie ,
t. XLVI, p. 154.
Patliser (groupe, Polynésie). Dé-
rouvert par Cook, t. VIII , p. 224. —
Disposition des ile», XVIt, 273.
P<i/m«i-«ton (groupe, Polynésie). Dé-
couvert par Cook, t. VIII , p. 308. —
Est formé de plusieurs (lots. Est inha-
bité. Sa circonférence, IX^ 325.—
Oisf^ux, 526. — Son lac. Ses julis
'9
430
TABLE GÉNÉRALE
Îoiuona» 827. — Abonde en coeot,
2S. — Conjeoturet »r h formation
de«tlott,890etiuiT.
Pa/jiii«p. Vin, huile, sirop et sucre
În'on en retire, t. VU, p. 18, XXVIII,
t. — Son fruit, 14.
Palmjrr* (ville de Syrie, Turquie
d'Asie). Détruite par Aurélien , t. I ,
Î. 7. — Ses ruines. Tribus qui les
abitent,XXII,43,48.
Pampat. Plaines de l'Amérique mé-
ridionale. Manière d'y voyager, t. IV,
p. 12. — Leur aspect, XXXYIII, 374.
— Description générale, XLI, 280.
— Étendue. Bornes , 282. — Les trois
régions et leurs divers aspects. Végé-
taux, 282- — Arbres, 284. — Inceno
dies. Rivières, 285.— Climat, 285,
2S7. — Animaux, 286, 292. — Le
£ampero (vent), 287. ^— Habitans.
létails bistoriques. Colons , 288. < —
Manières de voyager. Précautions,
314, 321. — Campagne, 316. — Re-
lais, 316, 319. — Postillons. Chevaux,
317 et suiv. — BriMnds,323. — ^Trous
de bùeachos, 324. Voy. Guachoi,
Pampat (Indiens des), tom. XLI,
p. 288. —> Redoutés des Guachos
qu'ils haïssent, 323, 337, 338. — t<cur
belle race, 333. — Vie nomade, 334
— Occupations, 335, 339, 341. —
Usage constant du cheval, 335, 337.
— Guerres, 336, 338.— Rehgion,
339. — Esprit vindicatif. Croyance à
l'immortalité de l'âme. Funérailles,
340. — Amour des liqueurs fortes
Échanges , 341.^
ff Pampan-Kraal (jolie colline dn cap
de Bonne-Espérance), t. XXIV, p. 82.
Panama ( isthme de ). Largeurs ,
t. XXXVIII, p. 2.— Sur sa section,
406;XLII,458.
Panama (ville de la Colombie). Au-
trefois coiamerçante. Détails bistori-
ques, t. XLI, p. 408. — Élémens de
prospérité. Belles ruines, 40^, 410. —
Ëvéché. Situation. Population, XLII,
431. . ^
Panjang^{tle , golfe de Siam). Éten-
due. Surface Végétation , t. XXXIV,
p. 304. — Rocs. Animaux. Végétaux.
Arbres , 306. — M'a rien d'engageant,
308.
PaHlog{i\e du groupe Pelewr), t. II ,
p. 29. — Larcins des naturels, 51, 32.
Tatouage , 32. 0
Pam^/m (tlea, Polynésie). Trfs
peuplées, t. XVII, p. 49, SO. — Pbv-
siqne des natarels, 63. — Absence ée
tatouage. Canots, 64.
P«oom ou Ap»um ( Ile , Nouvelles-
Hébrides , Australie). Découverte par
Cook, t VIII, p. 339,424.
Papout (lie des, Malaisie). Laideur
des naturels. Maisons. Nourriture.
Vétemens. Religion, t. XVIII, p. 77,
78. Voy. Iles Boni, Manouaran, Rawack,
Waigioti.
Papous (lent des). Voy. Ifowtlh-
Guin^t.
Paquet ou Waxhou (lie de, Polynésie).
Découverte et décrite par Roggewiu ,
t. II, p. 48 et suiv. — Animaux. Cabanes
et étoffes, 51 .— Maturels,52. — yojrag»
de Coôk, Grandes statues et colonnes,
Lenr rapport avec celles de l'Egypte,
53: Vin, 140, 144, 151, 158, 161,
165, 180 — Description des habi-
tans et de leurs vétemens. Leurs gran-
des oreille», 143, 147, 149, 176.-
Étoffes d'écorce d'arbre, 145. — ^ Fri-
ponnerie des habitans, 146, 168.'—
Comment ils s'abritent du soleil, 149.
— Intérieur du pays stérile, 150, 152,
160. — Cabanes misérables, 153 et
suiv., 178. — Manque d'animaux,
157. — Rares arbrisseaux , 166. —
Lubricité de certaines femmes, 167,
170, — Petites statues bien sculptées,
169. — Description particulière de
l'Ile. Pays. Productions, 171 et suiv.
— Nombre des Hamtans. Lenr teint.
Leur langue. Leur caractère. Leurs
vétemens et ornemens. Leurs armes.
Leurs c^twnes. Leurs ustensiles. Leurs
pirogues"^ 175 et suiv. — Description
pins particulière des statues gigantes-
ques, ouvrage d'une civil)<',ition plus
avancée, \90.—f^oyage d* LaPirouie,
Naturels, XII, 88, 90. — Sécheresse
du sol. Sa cause, 91. — Monnmens.
Statues. Pyramides sur les tombeaux,
95, 97, 98, 102, 110, lit. - Popula-
tion. Cavernes, 96, 115.— Grandes
maisons communes, 99, 110. — Iden-
tité des nat). :1s avec les autres Poly-
nésiens , 1 1. — Sont voleurs, 104.
-i«- Pirogues, 105. — Nourriture. Cui-
sine. Agriculture, 106, 1 14. — 'Vaincs
semées et animaux laissé» par les
Français , 109, 114. — Grau'l manne-
quin de jonc, 111. — Description du
*f
DES MATIÈRES.
431
cratère d'un ancien volcan, 112. —
Conjectures aur le gouTernemeat, 115.
— Figure et maurs des habitans,
XIII , 163. — Volcan. Statues. Ca-
vernes , 167. — Bois amené par les
courans , XVII, 43- — Forme Hau-
leur, XIX, 17. — PoDulation, J96.
Para (ville du Brésil) . Tigres privés,
t. XLII , p. 70.— Situation. Environs.
— Le palais , 72 — Cathédrale , 73.
— Usage singulier, 73. — Considéra-
tion sur la province, 76.
Paivguajr ( province du Brésil , au-
jourd'hui État séparé). Détail Mir l'o-
rigine, la forme et les progrès de '^' >
missions, t. IV, p. 106 et suiv. —
Expulsion des jétuiten , 115 et suiv. —
Fondation de l'Assomption, XXXVIII,
Pi 352. — Voyage dans le pavs ,
XLII , 277 et suiv, Voy. fiUariea.
Paraguay ( affluent du Parana ) ,
t. XXXVIII, 67, 68.
Parahiba (rivière du Brésil). Singu-
lières grenouilles , t. XLI| , p. 236 ,
322. — Diverses brandies, 509, 316.
Pam/M'ia. (ville du Brésil ), t. Xlill ,
p. 318. '
Paramaribo ( capitale de la Guiane
hollandaise) , t. XLI , p. 228.
Paramalta (ville de la Monvelle-
Galles du sud). Aspect. Maisons. Rues.
Climat. Knvirons, t. XLIII, p 26.
Parana (affluent du Rio de la Plata),
t. IV, p. 14, XXXVIII, 66, 68. —
Reçoit le Paraguay, 67.
Paramousir (uneKltfS lies Kouriles),
t. XI, p. 457,
Paris et les Parisiens comparés à
Londres et à ses habitans, .t. XLVI,
p. 282, 283.
Parot ( tle de l'archipel ). Marbres
d'Arnndel , t. XLVI, p. 96.
Parry. Ses recherches du p<Me Ma-
gnétique, t. XL , p. 183. — Son pre-
mier voyage pour la découverte d'un
passage au nord de l'Amérique. Pré-
liminaires, 244- — Nomme la biiie
Mary-Board, Crokerj le capEvérard,
Home, Bullen, etc., 262. — Décou-
vre la baie Maxwell , 264. — ' L'Ile
Léopold, 265. — «Les caps Clarence,
Sippings , 267- — Le cap Kater, 269.
Les baies Fitz-Gérald , du Prince-Ré-
gent, Bowen , 270. — Le cap York ,
273. — L'anse Hob-House; caps Her-
sdiell , Hurd etc. , 274. — Les baies
Gaswyne, Barlow; les caps Hiley,
Hotham; les Iles Beechoy, Corowallis;
canal Wellington; l'entrée dfl Bar-
row , 275. — L'ile Grifth^ le* cap»
Martyr , Walker, 279. — La pointa
Hosi , les baies Skène, Bridport, etc. ,
282. — La grande tle MelviUc, 282
à 284. — Cap Providence, Uay, 293.
— Opérations pour s'établir en quar-
tier d'hiver, précautions, divertisse-
mens , 295 à 344 — Le port Winter
et l'archipel de la Nord-Géorgie, 296.
Effets du froid, 301, 305, 313, 316.
— - Voyage à travers l'Ile Melville,
324 à 338. — Découvre l'ile Sa-
bine , 329. — Remet à la voiie ,
344. — Découvre la terre de Banks,
348. — Le cap Dundan, 351. —
Les lies Brown , Somerville. Nomme
le Nord-Sommerset, le Nord-Devon ,
etc. ; 354 — La baie Eardiey ; le cap
Crawfurd , 355. — La baie de l'Ami-
rauté; les lies Woollaston, 356. —
Entrevues avec les Esquimaux , 360.
— Nomme l'ile de l'Observation, 369.
— Deuxième voyage. Préliminaires,
373. — Lnfrevurs avec les Esqui-
maux, 377, 402. — Explore les cAtes
de l'ile Southumpton , et donne des
noms à divers lieux , 374 à 393. —
Découverte du cap Btichnan; du caual
Hurd ; du ca p Mon ta gue, 395< — L'anse
Duckett, 397. — Cap Edouard; baie
des Cinq Grelins , 400. — Découverte
et exploration du havre Lyon , et de
la baie Ross , 401 à 405. — Quartiers
d'hiver, 406. — Découverte du détroit
de la Fury et de l'Hécla, 427. — Troi-
sième voyage , 440. — Quatrième
voyage , pour atteindre le pûle Nord ,
461 . — Voyage en chaloupe , 465 et
suiv.
Parry (groupe , Polynésie). Décou-
vert par Bcechey, t. XIX, p. 433. —
Voy. Peel.
Parsii ( sectaires de l'Hind. ), Leur
richesse à Surate, t. XXXVI, p. 400.
'— Leur état à Bombai. Religion, 405.
— Funérailles , 406.
Patagonie (pays de l'Amérique mé-
ridioDale). Description de la côte
orientale, t. II, p. 96- — A do vastes
pâturages sans arbres , 96. — Abonde
en taureaux et en chevaux >,97, 100.
— Colonie espagnole, XXI, 317. —
Sol, 323. — Animaux, 384.
.*^_
^
h'
432
TABLE GÉNÉRALE
fît
PaUgtni, Ponrqnol ainti nomméi
par Magallaa , 1. 1, p. 129. — Taille,
coultnr, costume, 150.— Cabane* de
E>aux, viveat de chair crue , 134. —
oyen qu'ils emploient pour décliar-
5er leur estomac , 1 35 — Tombeaux,
41. — Leur chasse au taureau, Il ,
97. — Tatouage, taille, 889 et suiv.
—' Éperons , III , 239. — Nou? eanx
détails sur leur taille, leur teint, leur
corps , lenrs Tétemens , Icnr nourri»
ture , leurs frondes , 240 et suir. — -
Alliance avec les Français, IV, 53. —
ont une entrevue avec BongainTille,
qui fournit des détails sur leur corps,
leur habillement , leurs armes, 138
et suiv. — Taille. Costume. Occupa-
tions, XX, 51 .—Leur taille a été exa-
gérée, XXf, 319.
Patatfui (Ile du Niger). Beauté. Pro-
ductions, kst tributaire du Ouaoua,
t. XXX , p. 283, 264. — Habitations.
Maison de correction des femmes.
Statues, 291. — Costume d'uu prêtre
païen, 292.
Pathmoi (flede rArcbipel), tom.
XLVI, p. 98.
Patnà (capitale du Beliar, Hindous-
tan ). Situation. Grande étendue. Mai-
sons , t. XXXi, p. 79. — Aspect im-
posant. Beau jardin. Ruines, XXXVI,
122.
Patras (ville de la. Grèce), t. XLIV,
p. 319. — Café, 520. —Mariage d'an
Grec, 322 et.suiy. — Monnmens, 324.
L'Odéon, XLVI, 208.
Pau-Kok. Voy. Fu-Kok.
PACLDiirG. Sa croisière dans les (les
de l'océan Pacifique, à la recherche de
matelots révoltés, t. XVI , p 407. —
Passe aux Marquises, 417 à 435. —
Aux Mulgraves , 444 et suiv. — Y
trouve un matelot qui rend compte de
la révolte , 450 et suiv.
Peard (ile, groupe Gambier , Poly-
nésie). Découverte par Wilson, t. XIll,
p. 440; XIX, 97. — Nommée par Bee-
che>, 122. —Villages. Momit^, 123^,^
129. — Grand bâtiment, 129, 148 —
Areghcou roi, 130. — Vétenens, 133.
134.
Pacheiaii. Nom donné aux habitans
de la Terre de Feu, t. IV, p. 163. —
Maisons« Armes. Canots , 1 , 338. —
Grossièreté , laideur, puanteur, IV,
172. — Pirogues. Armes, 174- —
Bon raraotère, 175.— Jooglenrt, 178.
— Sont peu curieux, V, Si. — Hnttru,
Tatouage. Langue. Armes bien ron-
fectionnées. Absence de gouverne-
ment, 64. — Vie errante , & , 89.
Comment ils se procurent le feu, VI
396. ^ Laideur, IX, 65,68 et suiv. ~
Armes, 66. — Pirogues, 67. — Stu-
pidité, 68 et »uiv. — Entrevues avec
eux. Ne sont pas si stupides, XXI
273 et suiv. , 290, 560. — Occupai
tions des femmes , 281. — Forme»,
figure , 282, 295. — Canots , 287. —
Armes. Oruemens, 289, SOI .— Nour-
riture, 511.
PJehtur (ile du , archipel des Navi-
gateurs). Découverte pur Kotzebue.
Habiles marins , t. XVII , p. 338 et
suiv.
Pedro (don). Proclamé eropcrenr
constitutionnel du Brésil, t. XLII,
p. 108. — Son enfance , sa jeunesse ,
nommé régent du Brésil, 126. — Son
goût pour les arts mécaniques, In mu-
sique, la chasse, 129. — Son esprit
de duplicité, 130. — Se fait procla-
mer empereur, 131. — F.st cliassé
ignominieusement. Son usurpalioo.
Sa mort, 132. — Sa garde, sou cos-
tume à l'ouverture d'une session lé-
gislative, 365 et suiv. — Son palais
d'été, 370. — Sa ligure, 370. — Pi.r-
lait le français, 371 . — Sa vie privée,
372.
Peel (tle Sir-Robcrt, groupe Parry).
Découverte par TIcifIcliey. Port Loyd
t. XIX, p. 431, 434.
P^gou (proviuce de l'empire bir-
man), ^n^rme physique des habitans,
t. XXXlt, p. 240, 242 et suiv. -
Campagne, 467. — Voy. Rangtun.
Pei-Ho (rivière de Chine). Voyage
d'Amherst, t. XXXIII, p. 351 à'S/l.
— Jonques , 366. — Distinction de
celles des fonctionnaires , 368. —
Voyage de Macartney, 429 à 442. —
Yachts , 430. — Productions des
rives. Pyramides de sel, 434. — Digues,
écluses, 439. — Villes qu'elle baigne.
— Voy. TitH-Sing^ Tong'KoUj Tong-
Chom.
Péking (capitale de l'empire chi-
nois ). Détails sur la mission russe,
t. XXXIII , p. 2 — Enviions. Ville
tartare, 188, 445, 446, 4W. — Mai-
sons, 191 et satv. , 276, 448. — Rues,
%
.^:
DES MATIERES.
433
194,223, 2.%, 276, 278, 447.—
Place», U4 — Bontiqaei, 194, 276,
448 , — Paliiiit impérial ,194 — Sa
detcription , 281 a 289. — Monli-dê-
piéH, 104. — Deuil , 196. — Surtiea
de l'eiDuereur, 198. — Admiui»tr.i-
tion de la justice. Peines , 109 à 205.
.— Réserve des fonctionnaircH , 205.
Temple de Fo 206. — Autres temples,
245, 265, 2f(8 , 276, 299, 307, 808. —
Costumes, 207 a 210. — Astroloffie.As-
trooomos chrétieni, 211. — Libraires,
219, 307. — Imprimeurs, 220. 294.
— Joailliers, 221, 303, — Potiers,
221. — Anes k louer, 221 — Traî-
neaux. Grottes des pauvres, 222. —
Églises chrétienne», 229, 249, 260.—
Puits, 230. — Temple de la terre,
détails sur In religion, idoles, etc.,
251 et sniv.— Obélisque», 234, 252,
301 . -Fonderie. Idoles, 235. — Re-
nouvellement de l'an , 237. — Céré-
monies religieuses, 240. — Mosquée,
242. — Escorte d'un prince , 243. —
Tombeaux. Cimetière, 245, 262 *
265. — Temples de Ho-Tcbang, 245.
~ Fameuse cloche , 246.— Eléphans,
247 , 248. — Couvent portugais. Peu
de faveur des catholiques, 249 et suiv.
— Ponts en marbre, 252, 289, 446.
— Lacs, 252, 300, 449. — Tours, 2.52,
447. — Fête du printemps, 257. —
Funérailles de rerapereur , 258. —
Ecluses. Canal, 261. —Description
de la ville, 269 à 323. — Signification
du nom. FondatitÉi ,< 269 et suiv. —
Situation. Saisons, 272. — Divisée en
deux villes, King-Tcbing et Yaï-lo-
Tcbing, 273. — Etendue , 273. —
Murs. Portes , 274. — FaïDourg».
Population , 277. — Sévère police ,
281 et suiv. — Les trois villes de
Kiog - Tching , 283. — Quartier de
Houang-Tching. 289 à 294. — Monts
factices, 290. — Edifices, 291.—
Statue de Fo. Lac, 292- — Magasins
à poudre , soie , etc. , 293- -r Quar-
tier de King-Tching, 294 à 302. —
Tribunaux, 295 et suiv., 313. — Eta-
blissement pour les concours, 298.
— Candidats. Observatoire. Temple
de Fo. Monnaie, 299. — Obélisque.
.1res de triomphe, 301 . — Quartier
de Vai-la-Tching , 302 à 31 1 . — Ta-
vernes. Batns. Joailliers , 302. — Dé-
tails snr le^ théâtres , 303 à 307. —
XLVI.
Ccréioonli .... laboirsge, 306. 451. —
Ccntlution, Distisction de PwLiag des
autres rapiules. Mours. Classes d'iia-
bilans, 310. — Domestiques, 313. —
319. — Pompes. Médecins. Stations
de voitures, 314. — Denrées, provi-
sions, 810. — Conclusion de marché ,
319.— Oan«e. Réunions. Jeux, 321,
322. — Grand faubourg, 375.— Forti-
fications, 447. — Description de la ville :
ville chinoise , 451 . — Eminence du
ciel, 452. — Palais d'automne, 453.—
Intérieur d'un palais, 454. — Popula-
tiou, 456. — Filles publiques, 457. —
Climat, 470. — Convoi funèbre, 471.
PtUa ( ville des Hottentots Nama-
qnas ). Etablissement des missionnai-
res, t. XXIX, p. 208.
P»Uti> 00 Palaoi (groupe, archipel
des Carolines, Polynésie). Décou.
vert par Pudilla. Leur premier nom ,
t. Il, p. 27. — Ile Sonforol. Mission-
naires et leurs travaux , 28, 50, 31 .
— Entrevues avec des naturels, 28,
31. — Formes, figures. Vétemcus
des naturels, 28. — Ile Paulog, fo-
rêts , butenux , 29. — Avidité des
naturels. Tatouage, 32. — Naufrage
de WiUon, XIII, 377, 379. — Gou-
vernement. Bonté du roi. La cour.
Cérémonial. Ordre de l'Os, 380. —
J'riviléges du roi, 381. — Végé-
taux, 381 , 382. — Animaux. Con-
fitures, 382. — Bétel et petits paniers
à bétel, 382, 383. — Maisons. 362,
383. — Ustensiles. Repas, 383. —
Armes , 383, 384. — Canots. Figure,
formes, vêtement des naturels, 384.
— Tatouages. Omemens. Mariages.
Cimetières. Caractère des naturels,
385. — Ile Orooloog. Lee-Boo , It
fils dn roi s'embarque avec Wilsoa
pour l'Europe, 586. — Intéressans
détails sur ce jeune homme, 386 à
418. — Fruits, 390. — Bonté des
insulaires pour l'équipage de Wilson,
391 et suiv.
^ P^léponite ( partie du royaume 4e
Grèce). Voyage de Pouqneville, tom.
XLVI, p. 207.
Penjab ou Punjab (un des États
des Seiks, Hindoustan ). Beauté de
ses plaines, t. XXXVII, p. 4 — •
Voyage dans le pays. Kureji*ka-Put-
lund,8.— Puits.Sol. Etat de l'agricul-
ture. Anciens canaux des Mogols , 0,
28
«•■
^
484
TABLE GÉNÉRALE
82. — Hnrn» roynn» do Pultev, 10.
— Tremblement de trtre, lo. —
ClMMe roynio. Belles tontes, 17 et
sniT. — Arm^e, 2a. 438, 447. — Cos-
tumes, 19, 22, 42, 594, 454. — Mau-
solée de Juhangir, 28. — Produc-
tions, 30, 32. — Bamnnggr. Drl.us-
pect de l'Himalaya , 31 . — ^ Pleutres ou
rivières, 34, 35, 52, 415, 415. —
NoHtla (maladie ). Crocodiles, 55. —
Chaîne salée, 37. —Mines de sel,
88. — Exportation de minéral, 40.
Villages divers, 41,46,429, 458. -
Potewar. Bcuiité et costume des natu-
rels, 42. — Forteresse de Rotas. Dé-
tails historiques, 43 — Singulières
piles de maçonnerie, 46. — Dé-
filé de Margulla, 49. — Souvenirs
d'Alexandre, 412,415, 410,455 —
L'Aydaspe, 415. — Tribu dos Juns,
418,420. — Shorkote. Tr.iditiuns.
Monnaies antiques, 419, 420. — Oi-
seaux et reptiles du Ravy,421. —
Ruines et histoire d'Harapa , 423. —
Chasse au tigre, 425. — Bnrqui', 427.
— Grand canal, 453. — Culte des
Seiks , 453, — L'Hyphasc , 455. —
Jullinder, 457.— Le Doah du Setledf^c,
458. Voy. Allarii, Amietsir, Jelum, La-
hore, capitale ; JUoultan, Pind-Dadun-
Aluut, Pultty, Bunjttt-Sinff, Seikt,
Ptniylvanie ( un des États-Uni!) ).
Voyage dans l'intérieur , t. XXXIX ,
p. 210. — Funestes effets d'un prin-
cipe radical en matièce judiciaire,
236 et suiv. — Composition du tri-
bunal, 239. — Voy. Philadelphie.
Pentteôle ( ile de la, Polynésie).
Découverte par Wallis. Cabanes des
habitans , t. III , p. 292. — Ancienne-
talent très habitée. Ossuaire de pois-
sons, XIX, 157. — Sol. Animaux, 158.
Penleeàte ( ile de la , Nouvelles-
Hébrides). Découverte par Bougain-
Tille.t. IV.p. 267;VIIL,425.
Pepyi { île, océan Atlantique ). Vue .
par Cowley, à ce qu'il dit, t. 1^
p. 353. — Vainement cherchée par*'
Byron, II, 384. — Est probablement
une des lies Malouines , 420.
Pfirékop ( ville du gouvernement de
la Tauride , Russie d'Europe), tom.
XLIV , p. 400.
Perles i^iXei dçs, mer des Antilles).
Découverte par Nugnez, t. XXXVIIF,
p. 318.
Pemtoieutu (Ile», arrhi^" iinu-
gerenx ). Découvertes par Sci.i uei,-
t. II, p. 56; VIII, 2li
P/r0f«( ville du Mexique). Aspert
Maisons, t. XLI, p. 32.
Pérou ( république , Amérique mé.
ridionale). Imporfectiim des commu-
nications par eau, t. XVI , p. 45. —
Port de Casma, 409. — Do Santa ,
410.— -Conquête do Piïarro.XXXVIn'.
317. — Origine du nom, 327.
Richesses des Incas, 332. — Pi/.arre
est assassiné. Troubles qui suivent cet
événement, 334 et suiv. Surface. Po-
pulation, 389. — Mœurs, costume»
modernes, XLI, 389. — Pont sun-
pendu du Maypo , 396. — Manière
de tuer les bestiaux, 401 à 404 —
Voyage dans l'intériei^r , t. XLH, 1 et
suiv. — Ruines , 10. — Villages , 5 ,
15. — Chafhapayos, 16. — Abeilles.
Cire noire , 22. — Danses et luttes,
27. — Insectes divers, 37. — Oiseaux
divers, 40, 43. — Quadrupèdes divt'r.H,
44, 46. — Uesccndans des Inqis ,
45 , 75. — ^ Considérations génératoH,
74. \oy. Callao , Caxamarca , Coutu-
matsa, LiAta, capitale; lUoyobamba ,
Paita, Truxiflo.
Pérou { Indiens du ). Villages.
Ancienne danse ,'t. XLII,p. 3, 31. —
Sarbacane à lancer la flècbe , 25. —
Banchos. Costume, tatouage , 32. —
Danses , 33. — Loi pour le travail des
femmes, 35. — Repas, 35. — Indiens
canuibales, 38. — Pèches, 40. —
Sagacité pour s'orienter, 41.— -Tribu
des Origones , 43» 45. '—' Tribu des
Yaguasy descendaus des Incas, 45,
75. — Indiens de Ucayale, 49. —
Tribus diverses , 78 et suiv.
Pelouse (de La). Sa vie, t. XII,
p. 1 et suiv. — Préparatifs de son
voyage , dans l'intérêt de la science,
25. — Accueil qu'il reçoit à la Con-
ception, 70 et suiv. — Fêtes qu'il
donne et qu'il reçoit , 80. — Dé-
crit l'ile de Pâques, 88 et suiv. — Y
fait semer des graines et lai.sser des
animaux d'Europe, 107, 109, 114.
— Voyage dans l'intérieur de l'île ,
108. — Découvre la baie de Monti,
en Amérique , 152. — Nomme le
port des Français , 160. — Malheur
qu'il y éprouve ,171 et suSv. — Re-
connaît et nomme plu&ieqrs caps,
DES MATIÈRES.
43&
porta, 210 et laW.—Lei lies Crorère,
218.— Les ilet Kerouurt, m —
Lei Ilet Sartine, 225. — Lei ilei
Merkor, 224. — Dérrit la bnio do
Mnnterey et les CnUfornios, 227 et
tuiv. — Découvre l'ile Neeker , 258.
— Décrit Macao, 273. — Décuuvre
l'Ile Dagetot , 333. — Nomme et dé-
crit la baio de Tcrnay, 344. >*■ Y dé-
couvre un tombeau tartare, 351. —
Nomme la baie de Suffren,357. —
Le pic Lamanon, 359. ■— Longe l'ile
Ségalien, nomme plusieurs baies,
pointes, 371 et suiv. — Décrit la baie
de Castries et ses iiabitans , 391 . —
Découvre le détroit mii porte son
nom, 415, note, 418- — Nomme
l'ile Monnoron, le pic de Langle. le
cnp Grillon, 417. — Fait couunitre
la géographie du Jesso , de l'ilu Séga-
lien et de la cAte d'Aitie , 418 et buiv.,
Xlll,12et suiv. Ëstbien accueilli pur le
gouverneur du Kamtscliatka , XII ,
439; XIII , 18, 32 , 30. — Incur-
sion dans l'intérieur, ver^ un volcan ,
23 et suiv. — Fait graver une inscrip-
tion sur le tombes de la Croyère et
de Clerke , 39. — Assassinat do Lan-
gle, 100. — Arrive ù l'archipel des
Amis, 137. — Décrit l'ile Norfolk,
153. — Arrive à Uutany-Day. Fiu de
son journal , 160. — Sa dernière
lettre au ministre de la marine, Kil.
— Recherché par d'Entrecasteaux ,
XV, 1. — N'a p^s relAché aux îles des
Amis , 170. — RënseigncmcnH sur son
naufrage, XVIII, 207, 334. 337, 370
et suiv., 386. — Lieu de sou naufrage,
338, 340, 375, 386. —Monument à sa
mémoire à la Nouvellc-Hollnndc, 515.
P^rouse (détroit de La, mer du Ja-
pon ). Découvert par La Pérouse,
t. XH , p. 415. 418.
Pérouse ( iles de La, Australie).
Voy. Tikopia , yanikoro.
Penant, Peuples de la race Per-
sane, t. XXXI , p. 20. — Noms que
les Turcs et Arabes donnent auX
Persans , 208. — Médecine, 211. —
Sang. Figure. Caractèré.Mœur.s.Vices,
214, 216. — Paresse, 217, 223.—
Education. Civilités, 218. — Mauière
de s'asseoir, 221. — Suluts, 222. —
Noms. Titres. Jeux, 224. — Vétemens.
Toilette des hommes et des femmes,
226. — Luxe de domestiques. Nour-
riture. Langues. Ecriture , papier ,
etc., 228. — Goût dot Mntences.
Titre du roi. Détads sur les harems,
230, 231. — Fonctions des matrones^
des eunuques, 234.— VI.iriagHs. Droits
paternels , 230. — Pèleriuage à la
Mecque, 2^).î. — Costumes de voyage,
XXXV, 19. — Médecin, 46. — Etat
des personnes. Vices , 67 et suiv. —
De leur politesse , 73. — Caractère ,
74- — Religion , 75. — Irréligion.
Derviches, 70 — Fête du nouvel
an , présens au roi, 82 et suiv. — Ini-
mitié do religion avec lesTurcomans,
105— Sccie desAU-Allahis, 123. —
Amour des boissons fortes, 197. —
Citants, 286. — Soufisme, 287 ■
295 — Persans de Caboul , XXXVll,
103. — Sort des Persans esclaves en
Tatarie , 229, 241 , 2(i3 , 277. — Fi-
gure. Costumes , 286.
Peri* ( empire dtksie). Usages
resseniblans à ceux de l'Abyssinio ,
t. XXni, p. 335 et suiv. — Voyage
de Chardin, XXXI, 171 , 195. — ^
Caravi-nscrais, 198. — Maisons, 206.
— Nom du pays. Climat. Vents, 208.
— Arbres. Arbrisseaux. Ambre, 210.
— Fruits. Fleurs. Métaux. Minéraux.
Pierre. Animaux domestiques et sau-
vages , 212. — Titre du roi , 230. —
Tribu d'Us ( vagabonds ). Costume,
ligure. Usages, XXXV, 26* et suiv.,
41. — Bassesse du peuple. Cupidité
des ministres, 53 et suiv , 6v. —
Gouvernement méprisé , 40. — ' Acte»
de tyrannie, 42,69, 71, 78. — Puis-
sance a été exagérée, 59.— Limites,
60. — Stérilité, 61 et suiv. — Effets
du mirage , 63. — Triste aspect des
grandes villes , 65. — Vices de la so-
ciété, 67 et suiv. — Gouvernement,
77, 80. — Anecdotes sur le shah,
mort eu 1854 , 78. — Présens qui lui
revicnuent, 82. — Ses femmes, 87. —
Perception des impôts , 88. — Armée,
90. — Voyage dans le Khorassan,
121 à 310. — Ruines antiques, 125.
127. — > Lieu du meurtre do Darius,
127. — Fameux caravenserai , 18tet
suiv. — • Voyage sur les côtes de la
mer Caspienne, 334. — Arbres , 337,
359, 34.5. — Scèue de la vie privée
d'un grand, 352. Voy. Atlraliad, Ma-
zandéran, Ghilan. — Tribu chrétieunc ,
384. — Décadence, XXXVII,, 289.
430
TABLE GÉNÉRALE
— Tribu d* Tarconans soumise,
311,312. Voy. ^*'rfl*«««/, province ;
Aurbattjan, province; Dechtiita»,
province; Ei»ani-Ktfy,Fl6oun , mont;
bpahan, Koum, Khoratian, Ormux, lie;
Oroumia, lac ; Talitch^ province ; 7«-
herm , capitale.
Peiendores ( ties, Malaisie), t. XII,
p. 319, XVII, 461.
Pethawar ou Piehaoué^ ( ville du
Caboul, Asie). Environs, t. XXXYII,
p. 58. — Costwme de chef, 60. —
Réjouissance du premier jour de l'an,
63. • Emploi du vendredi , 6J- —
Rare ntelligence. Jeunes enfans, 67.
— f mbats de cailles, 68. — Poires
lenommées, 102.
Pe$th ( capitale de la Hongrie, em-
pire d'Autriche ) , t. XLIV, p. 126,
128,135. — Bel aspect, 136, 140.—
Coumuniratious avec Bnde , 136.
— Dames. Rufc, 137. — Marchands.
Théâtres. Musique, 138. — Den-
rées, 139. — Progrès, 188. — Le
palatin, 194. — Ne forme qu'une
ville avec Bude. Edifices, XLYI, 128.
— Foire, 130.
Peterurardein ( ville de la Hongrie ,
empire d'Autriche). Environs, tom.
XLIV, p. 161.— Communication avec
Neusatz, 162.
Pétrels, Oiseaux qui marchent sur
l^eau. origine de leur nom, t. III,
p. 81, _ Pétrels bleus, VU, 213.
Pétropawlowtki ou Saint-Pierre et
Saint-Paul (capitale du Kamtschat-
ka). Aspect .nisérable de cette ville,
t. XI , p. 309. — Embouchure de la
rivière, 324. — Hôpital russe , 357.
— Funérailles du capitaine Clerkc,
382. — Nombre d'habitations, 447. —
Son phare, XII, 439. — Voyage au
volcan voisin, XIII, 23 et suiv. —
Aspect de la ville , 47. — Religion
grecque, 48. — Bains de vapeur, 60.
— Misère du pays. Climat malsain.
Population, XVII, 22. — Etat en
1825, XVII, 394. — Les ours y sont
venus dans les rues, en hiver, 397.—
Embellissemens. Améliorations, XIX,
437. —Son port, XXXI, 360. Voy.
jiwatska.
Peybon. Son voyage en Espagne ,
t. XLVI , p. 1G9.
Phate (fleuve de la Mingrélie, Asie).
Origint de son nom, t. XXXI, p. 19U.
Ph/niei*Ht. Leurs premières navi-
gâtions, t, I, p. 2. — Franchissent
les colonnes d'Hercule ,2. — Leur
voyage autour de l'Afrique, 3. —
fondent Carthage,5.
Pichaoutr. Voy. Ptshawur.
Philadelphie (capitale de la Pen-
sylvanie). Aspect, t. XXXIX, p. 210,
219.— Sociétés scientifiques, 213,
218. — Hospices. Ecoles , 214. — De
la librairie, 215. — Bibliothèques,
217. — Noms des rues , 219— Tombe
de Franklin, 220. — Institutions di-
verses. Salle célèbre, 221. —Déca-
dence , 229. — Rues tendues de chaî-
nes, 429, 438. — Aspect. Rues. Mai-
sons, 434. — Monnmen^,. Tristesse
de la ville , 435. — Magasins. Loterie.
Bains de Loog-Branch , 436. — Inté-
rieur d'une synagogue de quakers,
437.— Société. Costumes, 439, 447.
— ('ondition de la femme, 440 à 443.
— Beaux environs. Calme de la ville.
Faste desmonumens, XLI, 270.
Philippines (îles de la Malaisie). Dé-
couvertes par Magellan qui les nomma
archipel de Saint-Lazare , 1. 1, p. 146.
— Conoucfs long-temps sous le nom
de Manilles. Conjecture sur l'origine
de cette dénomination, 443. — Wn-
sieurs erreurs de Dampier à leur
égard corrigées, III, 170, 178.— Dés-
avantage du gouvernement de!> Espa-
gnols, XII, 298. — Extrême tercilité du
sol , 303. -n Nouvelle compagnie des
Philippines , 304. — Pirateries des
Mores ou Malais mahométans ,
305. — Détails sur les naturels,
XVriI, 441. - Population , XX, 216.
— Premiers établissemens espagnols
Climat. Productions. Objets d'expor-
tation, 217, 219. — Bains. Couches
précoces et heureuses, 222 et siiiv, —
Mines, plantes, animaux, XLIII, viij
et .suiv. Voy. Bafchjr, Luçon, Marivelle,
Mondrain.
Philippines (Nouvelles- ). Voy, Ar-
chipel des Carolines.
Phania (île, Polyaésie), t. XVII f,
p. 391.
Phoques. Voy. Castors marins. Chais
marins. Chevaux marins. Chiens marins,
Eléphans ma'^ins , Léopards marins,£ions
mnrins, yeaux marins.
Ph»-Kuolte. Voy. Fu-Kok.
Pie-de-i' Etoile ( île des Nouvelles-
DES MATIÈRES.
Hébrides ). Découverte par Bougain-
ville, tom. IV, pag. 267, VIII , 421.
PicHOT. Son voyage en Angleterre
et en Ecosse, t. XLVI, p. 273.
Pico (île dn groupe des Açores). Dé-
couverte par les Portugais , t. IX ,
]>. 157. — Est la plus grande des
Acorps. Sa population. Ses vignc.i ,
»58; XX, 442.
Pi/mont ( province du royaume de
Sardaigne). Coup d'œil sur le pays.
Turin, t. XLVI, p 266.
Pierre V*"" (Ile de I océan Glacial
.lottrctique). Découverte par Belling-
bausen , t. XXI , p. 446.
Pigeon blanc antarctique. Sa des-
cription, t. XV, p. 326 et suiv.
Pilaret , on Pillar, ou det Pilliers
( cap , Terre de Feu ). Sa descrip-
tion, t. IV, p. 193. — Sa distance
du cap des Vierges à l'autre extrémité
du détroit de Magellan, l95.
PrLATi. Son voyage en Hollande ,
t. XLVI, p. 190.
PtMtRjr ( ile, détroit de Malacca).
Bel aspect, t. XXXIV, p. 13. — In-
dustrieuse colonie de Clûnois , 14. —
Ville , 16. — Caractère des Indiens et
des Cbinois, 17. — * Belle campagne,
19. — Climat, 20, 23. — Animaux
singuliers, 21. — • Végétaux. Oi-
seaux ^22. — Climat de l'hiver, 23.
— Montagnes , 24 , 27. — Distribu-
tion des plantes, 24 — Cacaotier j
26. — Productions agricoles , 28. —
Poivriers, 29. — Girofliers. Cafiers ,
etc., 30. — Mont Palmer, 33. —
Phosphorescence de 1» mer, 34.
PtHOOW (Vinceot-F.inez). A décou-
vert le'Bré.sil , tom. XVIII, pag. 53
xxxvin,244.
Pind'DadanKhan ( ville du Pen-
jab, Hindoiistaa ). Maisons, tom.
XXXVII, p. 56. —Mines et mineurs,
37.
Pingouins, Oiseaux. Origine de
leur nom , 1. 1 , p. 233. — Leur des-
cription, 234; II, 101; IV, 75; VII,
212. — Out le sommeil dur, IX, 86.
— Leuï.s trois espèces aux Maloui-
nes, XVIII, 122. — Leurs mœurs,
XXI, 233.
Pingouint (îles des , cAte d'Améri-
(pie septentrionale , sud ). Décou-
verte par Noort,' tom. I, pag. 245.
Piitt ( îles des, Nouvelle-Calé-
donie ). Découverte par Cook » t. IX ,
p. 12.
PiifTO. Son voyage en Asie, tom.
XXXI, p. 51.
Pitania (ville du royaume de
Yany, Sénégambie ). Commerce,
t. XXV, p. 26. — Jurisprudence. Avo-
cats, 37.
Pisgah (île du Mont-, Shetland
mérdional). Découverte par Fanning,
t. XXI , p. 452.
Piteaiin (île, Polynésie). —Dé-
couverte par Carteret, t. III, p. 107.
— Détails sur l'établissement de l'é-
quipage révolté du capitaine Bligh,
XIX, 23 et suiv. — Etat de l't tablis-
jtemeut en 1825, 58 et sniv. — Vête-
ment des insulaires, 61. — Figure,
62 , 89 , 90. — Habitations , 63 , 66.
— Repas. Prières, 64, 8t, 92. — Mo-
raïs , statues, vases anciens, 68, 74-
— Danse. Musique, 71. — Culture,
77. — Prohibitions dans le mariage,
les mêmes qu'en Angleterre, 79. -
Fmploi du tempt , 83. — Mariages.
Baptêmes, 85. — Traitement des en-
fans, maladies, 92. — Productions
végétales , 94. — Population , 95.
Pithcea ( ville du INordland, Sué-
dois), t. XLV, 329.
Pitt (ile, groupe Vanikoro). Décon-
verte par Edwards, t. XIII, p. 427 ;
XVIII, 342.
Pitt ( archipel de la côt« de la Nou-
velle-Hanovre, Amérique septentrio-
n-ile ). Nommé par Vancouver , tom.
XIV , p. 430.
Pitt ( île, archipel de Pitt). Caba-
nes temporaires des ha^itans, t. XV,
p. 450. — ' Environs de la baie Tchin-
kitaué. Productions. Animaux, 452.
— Pelleteries, oiseaux, poissons,
454 — Physique des naturels , ta-
touage, 4.'ï8. — Ornement labial dos
femmes, 458. — Armi s, industrie ,
chaut, langue , 460.
Pitt ( île, terre de
Découverte par Biscoë, tom. XXI^
p. 462.
PizARRE. Prépare une expédition
ponr la conquête du Pérou, tom.
XXXVIII, p. 317. — Découvertes di-
verses, 319. — Découvre l'île Gorgone,
321. — L'Ile Sainte-Claire, 324. —
Le port de Paita, de Saint&.Croix,
325. — Revient à Panama sans s'être
Graham ),
'138
TABLE GÉINÉRALE
enrichi, 327. — Vient en Espagne où
il est nommé gouvcmpur du Pérou,
Î28. — Nomme Pucrta Viejo , 329.
— Reçoit des ambassadeurs de Huas^
car, prince péruvien , 330. — Re-
çoit des présens de l'Iaca Atahualpa,
331. — Arrive à la capitale Caxa-
marca , 332. — Fonde Los-Reyes ,
Truxillo. £st nommé marquis, 333.
— £st assassiné , 334. ■— Son carac-
tère, 335.
Plaia (la, république de l'Amérique
septentrionale). Détails sur les pre-
miers établissemens des Espagnols,
t. IV, p. 14 à 54. — Voyage dans le
pays , XLI , 288 et suiv. — ^ Manière
de tuer les bestiaux , 401 à 404. Voy.
Bufyot-Ayres, capitale; Mendoza, San-
Luii, Ufpallata, FiUa-F'icentia.
Plate ( île de la Colombie ). Son
aspect. Ses animaux. Sou étendue,
t. XVI, p. 88, 90.
Plata ( Rio de la, fleuve de l'A-
mei-ique méridionale ). Ce qu'il est.
Son embouchure, ft IV, p, 14. —
Détails sur les établissemens des Es-
pagnols sur ses bords, 14 et suiv. —
Origine de son nom, 17, — Fleuves
qui le forment, XXXVIII, 66. — Son
embouchure , 67. — Inondations.
Cours , 68. — Découvert par de Solis ,
344. — Cabot découvre les îles Saint-
Gabriel , 345. — Nommé par Cabot,
347. — Fondation de Buénos-Ayres,
349. Voy. Parana, Uruguax,
Plate (île, archipel des Navigateurs).
Aspect agréable, t. XVII, p. 340. —
Deurées. Jolis petits perroquets, 342.
— Nombreuse population , 344.
Plate (île, groupe de la Rév'olutiou).
Découverte par Marchand , t. XV ,
p. 435.
Plie (île delà, Amérique russe).
Nommée par Cook, t. XI . p. 35. —
Voioiin sur la côte iiJjaceme, 36.
Plongeons ( île des ) ou Pylitracl
(Au stralie). Découverte i>ar Tasmau ,
t. I, p. 347; VIII, 90.
Plumb (ils , Polyuésie). Découverte
par Edwards, t. XIII, p. 430.
Podolie ( gouveruemeut de la Rus-
sie d'Eurojic). t. XLIV, p. 386.
Podolgk (ville du gouvernement de
Moscou, Russie d'Europe), t. XLIV,
p. 356. — Édifices religieux . 357.
Pçdor (ville sur le Scncg.il;. Comp-
toir et fort françaix , t. XXII , p. 61.
— Température , 62. — Campagne
64;XXVI1I,433.
Poision. Ressemblant à un singe,
t. I, p. 165. — Volant, IV, 281; VII ,
176 ; XV, 337. — A voiles , V, 15
Qui se plait sur la terre sèche , VI .
256.
Poissons (rivière, Afrique). Décou-
verte par les Portugais , 1. 1 , p. 28.
Pola ( lie du golfe Adriatique ) ,
t. XLIV, p. 333.
Pola (île , archipel des Navigateurs).
Étendue. Beauté, t XIII, i>. 113;
XVII, 330,344.
Polair» (cercle), t, XLV, p, 135.
Pologne ( État de l'empire de Rus-
sie). Voyage dans le pays, t. XLVI,
p. 133, — r État des personnes , privi-
lèges, régleuiens, etc., des quatre clas-
ses, 133 à 135. — Juifs. Cracovie,
1 35. — Fort Landskrone. Caractère ,
saluts, costumes, des Polonais, 137.
— Origine de ce peuple. Miues de
Wiehtska, 158. — Varsovie, 138. —
Lieu de la signature du partage de la
Pologne, 139.
Pomotou (iirchipel). Voy. Dangereux.
Pondichérx (ville du Caroatic , Hin-
doustan, à la France). Déplorable
état actuel, t. X\1II, p, 397. —
Fonctions du daubashc ou guide des
étrangers. Usage très fréquent du pa-
lanquiu. Historique de sa fouda-
fion. Bouuc situation, 430, — Beauté
des environs, Tisseranderie très ré-
pa'^due. Horreur des Indiens pour la
viande, Monumeiis, 432, 434. — Co-
chons sauvages . 434. — Historique
de i'ctabUssement. Belle situation. En-
virons. Ravages des Anglais, XXXI,
458. — Aidées , ou village» des envi-
rons, 460, 462. — Brames, 461. —
Belles» iutures, 462- — Célèbre pa-
gode. Cathédrale des Ini.^sions. Palais
du gouverneur, 463, 464- - Mousti-
ques. Maisons, 465. — Saisons. Mar-
chés, Belles femmes , 463.
Popa^an (^ville de la Colombie ),
t. XH,p. 4ol.
Portail (île du, archipel de la Nou-
velle-Bretaguej. Découverte par d'En-
trecasteaux, t XV, p. 276.
Porter. Ses courses dans la mer
du Sud, contre les Anglais, t. XVI,
p. 1. — Ses prises sur les Anglais ,
DES MATIERES.
430
39, 71, 95, 98, 125. — Découvre l'He
Porter, 73, 81. — Récapitulation
d'une partie de sa campagne , 124. —
Décrit rtle Madison ou Noiika-Hiva ,
149. — Ses démêlés avec la tribu
guerrière des Ueppahs , 156, 163, 174,
if86, 209. — Est visité par des chefs ,
166, 174,184. — Fait construire un
petit village, 223, 235- — ses démêlés
avec la tribu guerrière des Typées ,
243 , 246 , 267 et suiv. — Fait cons-
truire un fort, 250. — Prend posses-
sion de l'île Nouka-Hiva, 255. —
Visite un chef, 260. — Expéditions
contre les Typées, 263 gt suiv., 279
à 304. — Son vaisseau capturé par les
Âuglais, 358. — Aventures de son
lieutenant, 371. Voy. Gamble.
Porttr (ilç, lies Gnllapagos). Son
bel aspect, t. XVI , p. 73. — Arbus-
tes , 79. — Énormes tortues ,81.
Porter. Son voyage en Turquie,
t.XLVi.p. 100.
Portlarùi ( canal , Nouvelle - Cor-
uouaille, Nouvelle-Bretagne, Amérique
septentrionale). Reconnu en canots et
nommé par Vancouver, t. XIV, p. 436,
446.
Portland (île , archipel de la Reinç-
Ctiarlotte). Découverte par Cartcret,
t. III, p. 126.
PoRTLOCK et DixoN. But de leur
voyage, t. XIH , p. '279. — Arrivent
aux îles Saudvvi'-h, 280,287 et suiv,
-Dixon nomme lu port Mulgrnve sur
la cfSte d'Amérique, 285, 301. —
Portlock, le liavre Portloek, 299. —
Uixnn, le détroit de Norfolk, 301.
Portlock (havre de, Amer, russe).
Nommé par Portlock. Ornement la-
bial des naturels, t. XIII, p. 299.
PortO'Caiello (port du Venezuela,
Amérique méridionale). Climat, f or-
tifications , t. XXXVlll, p. 368-
Porto-Rica (île. Grandes Antilles).
Découverte ])ar Colomb, t. XXXVIlI,
p. 241, 215,217. - Ruines, 247.
Portugal. Ses haliitaus .ipprennent
la uavigatiuii des Maures. Leurs dé-
couvertes , tom. I , p. 1 . , — Leurs
voyages le long des côtes d'Afrique.
Encouragés par le prince Henri, 19.
— Découvrent Madère, id. — Con-
naissent pour la première fois la pou-
dre d'or, 20. — Frauehisscnt l'embou-
dmre du Sénégal , 23. - Découvrcut
les Acores , 24 — L'île de Fcrnando-
Po, 26. — Remontent le fleuve de
Congo [Zaïre), 27. — Découvrent la
rivière des Poissons, 28. — Éprou-
vent des revers aux Indes après la
mort d'Albuquerque, 106. — Pénè-
trent jusqu'à Siam et à Canton , 107-
— Découvrent Fornéo, Célèbes, l'ar-
chipel des Philippines; enfin le Japon,
108. — État de leur domination et de
leur commerce , ibid. — Perdent les
Molusques, Ceylan, etc. Ne conser-
vent, après leur première con-
quête, que Goa JMeliapour, 119. —
Leurs découvertes en Afrique avant le
dix-nçuvièrae siècle, XXII , 8.
Portugal. Voyage dans le pays ,
t. XLVl, p. 185 et suiv. — Climat,
185. — Tremblemens de terre. Fleu-
ves. Provinces. Premier oranger ap-
porté de la Chine, 186 — Etat de
l'industrie. Caractère. Figure des Por-
tugais, 187,188.
Poiewar (contrée du Pcnjab, Hin-
doustan). Beauté des habitans. Costu-
mes, t. XXXVII, p. 42.
Poiter [lie, océan Atlantique). Dj-
converte p, rFanning, t. XXI ,p. 4' '4
Poulo-Condore.\ow.ConJore et cher-
cher de même au second mot tous
ceux commençant par Poulo.
Pounah (ville du Dekkau , Hindous-
tan ). Aspect. Rues. Montagnes des
Gattcs. Auciens forts, to'n. XXXVI ,
p. 424. — Temple de Si.-a. Crabes
Population. Pauvreté de la ville, 425.
— Palais , 426.
PorQUEVt i.r.E. Son voyage en Grèce ,
t. XL\ , p. 206.
Pourpre dei anciens. Ce qu'il pour; ui'
être , t. V, p. 16.
Pojr, Description de ce bel oiseau ,
t. VII, p. 284
Po~Yang (lac de la Chine). Teruple
de Confucius. Portails, t. XXXIII,
p. 407. — ' Beauté des e^. > - )i)s, 408.
PrasUn (port de l'ile Saota-Isabella,
archipel Saiomon). Nouimé par Sur-
ville, t. III , p. 430.
PrasUn (port de l'île de la Nou-
velle-Bretague). Nouimé ut décrit par
Bougaiuville , t. IV, p. 3G1 et suiv.
Predpiiate ou Entreprise île, Po-
lynésie). Découverte par Kotzebuc.
NatureLs. Canots, t. XVll, p. 266.
Premiérc-Fue (île de la , Ànstrolie)»
il! I»'
440
TABLE GÉNÉRALE
Découverte par Sarnlle , t. III , p. 429.
Prttbourg (clief-liea de la Hongrie ,
empire d'Autridie-) , t. XL[V, p. 156.
Prince (île du , Malaisie). Descrip-
tion de Samadang , sa capitale ,
t. VII, p. 112. — Denrées du pays ,
114, 116, 1 19 — Description de l'île
et de ses liabitans , 1 1 5. — Leur nour-
riture, 116. — Maisons de leurs
villes portées sur des colonnes, 117.
— Leur caractère et leur langage
1 18.
Princes (ile de la terre de Sand-
wich ). Découverte par Fanning ,
t. XXI, p. 455.
Prise-de-Postettion (lie, océan An»
.rctique). Découverte par Marion ,
t. IV, p. 404.
Premt (ville do l'empire birman).
Étendue. Restes de fortificiiti./ns.
Denrées commerciales , t. XXXIV,
p. 471. — Population, 472.
Providence (ville duBhode-Island ,
États-Uniî,), t. XXXIX, p. 173.
Providence (île de la, Australie).
Découverte par Mcares , t. Xfll ,
p. 344.
Puebla (ville du Mexique) . t. XLT ,
p. 35. — • Aspect de l.i ville, 36. —
Magnificence des églises, 36, 38, 40.
— Rues. Pavage , 36. — M;iisons ,
appartemens , 37. — (louvernement.
Marché et denrées , 41 , 42. — Fa-
briques de savon. Confitures, 43-
Puerto - Sanfo (lie, Afrique sud-
ouest). Découverte par les Portugi'is
t. XXII , p. 9.
Puerto-Viejo (ville delà Colombie).
POicnomméparPizarre.t. XXXVIll
p. 529.
Puh.irreis (montagnards du Ben-
gale). Mœurs. Coutumes, t. XXXVI
p. 101, 107, 109. —Figure, 103,
108. — Gouvernement, 108. — Re-
ligion, 110. —Funérailles, 111. —
Mariages, Sermens , 112. — Leur
contrée, 113.
P^ka (ville de l'Yal-ibâ , Guinép).
Cos* ime duchef , t. XXVIII , p. 117.
Pulo-Condore.yoy, Condore,et cber-
cbez de même au deuxième mot ceux
commençant par Pulo.
Pundi (province du Bourgou , Sou-
dan), t. XXX , p. 248,251.
Punjab. Voy Penjab.
Pvttef ( ville du Penjab , Hin •
doustan). Canaux des empereurs mo-
gols, t. XXXVII, p. 9. — Popula-
tion. Maisons. Haras royaux, 10.
Pjrlttraat. Voy. Plongeons.
Pjrramidt d'Egypte Dissertation sur
leur destination, t. XXII , p. 309 et
suiv. —> Pyr.imides d'argile , XXIII ,
71. -— Explications de l'usage dos
petites chaBfcbres , XXXIY, 236 note.
Pyrénées ^ monts d'Europe), t. XL VI,
p. 24. — Hauteurs des principaux
point. Régions des grands arbres, 5o,
que» , 361 , 3(
a
Quadra et Vancouver ou Noolha (île,
ouest de l'Amérique septentrionale ).
Raisons de croire que les lirbitans sout
cannibales, t. X, p. 346, 389. —
Sont voleurs , 347. — Comment ils
abordent les vaisseaux , 348. 358. —
Comment ils sèchent le poisson, 354.
— Leurs idées précises de la propriété,
36O. — Description du pays , .364. —
climat , 365. — Productions , 366. —
pourrures de commerce , 368. —
^nimaux marins , 370 , J7Q- — Lou-
tres , 371. — Oiseaux , 372. —
(jiseaux.de mer, 573. — Poissons,
574. — Coquilhîges , 376. — Rep-
jiles. Insectes , 377. — Pierres , 378
— Figure des jjubitiins : leiiit , vête-
mens , oruemeus , 379 el suiv. — Vê-
tement de cérémonie , 384. — Mas-
ques de bois monstrueux , 385. —
Habit de guerre , 387. — Discours ,
388. — Caractère des habitaus , 389.
— Amour do la musique, 590. —
Chant , instrumcns de musique , o9l.
— Description d'un village, manière
de construire les maisons , 394 , 398.
— Intérieur des maisons , 596. •—
Meubles et ustensiles, 397. — Figures
de bois, 398, 421. — Oceui)atiou
des hommes et des femmes , 399. —
Nourriture animale et vcgétile. Cui-
sine, 401 et suiv. — Saleté de? epas,
406 — Armes, 407. — Manufac-
tures , arts mécaniques , 408. —
Sculpture et peinture , 410. — Cons-
truction des pirogues, 411. — Atli
DES MATIÈRES.
441
mil de pèche et de chasse, 412. —
Outils de fer, 414. — D'où peuvent
ils s'être prociir ce "métal ? 415 et
suiv. — Institution» pohtiqucs et reli-
gieuses , 420. — Lnngue , 421. —
Marées , 424. — Nombre des natu-
rels de l'entrée. Village , XIII , 356. —
Aspect du continent d'Amérique ,
357. — f Saisons, Ports divers. Pro-
ductions végétales , 358- — Ani-
maux de terre et de mer, 359. — Ta-
touages , 360, 305. — Formes physi-
ques , 361 , 362. — Compression de
la tête des enfans , 361. — Épilution,
362. — Teint. Traits. Chevelure, 365.
— Habillement des hommes , 363 à
365. — Orncmens, 366, 367, 369.—
Habillement des femmes , 367. —
Costume de guerre, 368. — Cirac-
tère, 369. — Anthropuphagie , des-
cription d'un repas, 370.-— Occu-
pations, 371, 37Û. — Canots. Har-
pons. Pêches de la baleine et autres ,
372. — Industrie , 373. — Guerres ,
374. — Polygamie peru-ise aux chefs.
Mariages, 375. — Religi >n, 376. —
Exploration par Va;, couve • du détroit
de Fuca, entre l'îlr ''- QuaJra et Van-
couver et la No;. ie-Géorgie , XIV,
169 et suiv., 177 et suiv,, 183. — Ex-
ploraliou par Vancouver du détroit de
la Reine - Charlotte , entre l'île de
Qiiadra et Vancouver , h Nouvelle-
Géorgie et la Nouvelle-Hanovre. Noms
donnés à_ divers lieux j 168 à 321.
Qualocn ou Baleine (île du Fin-
mark, Norwége) , t. XLV, p. 199. —
Ktablissemeas commerciaux . 200 ,
277. — Mont Tirefield , 201. — Fa-
mille et intérieur d'une tente laponne.
Rennes, 202 à 218. — Importance.
Aspect , 228. — Campague. Arbres.
Mont*gnps, 229. — Bateaux, 230- —
Aspect en hiver, 276. — Commerce ,
278. — Nourriture principale de»
bestiaux , 285. "^ QuaLiund , 286.
Voy. Hantmerfut.
Quaktrs, Bizarrerie de leurs céré-
monies , t. XXXIX , p, 44 , 438. —
Intérieur d'une synagogue, 437.
Quarra (ville du Zamfra, Soudan),
t. XXVII, p. 400. - Murs. Environs,
402.
Québec (capitale du Canada) Envi-
rons, t, XXXIX, p. 108. — Citadelle
Diamond, fiel aspect du havre , 109.
— Habitations, ilO. — Fortifica-
tions. Caractère des habitans, XLI,269.
Queda ou Kedak ( port de la ^)^o-
vince de Malaca). Animaux. Sol. Plan-
tes, t. XXXIV, p. 31, 32.
Quelpaërt (île , mer de Corée). Bel
aspect, sol, t. XII , p. 329. — Inhos-
pitalité des naturels , 330.
Quibo (île de la Colombie , Amé-
rique). Sa description. Ses produc-
tions. Ses animaux. Serpens volans.
Alligators. Huîtres perlieres , t. II ,
p. 193 à 198.
Qailloa (île de la mer des Indes) ,
t. I,p. 91.
Quitf. Son voyage «ur le Danube,
t, XL(V, p. 133. — Reçoit andieuce
de Husseim pacha ,208 à 214.
QuiNTE-CuRCK. Exactitude de ses
descriptions des contr-jcs He la Haute-
Asie, t, XXXVII, p. 161, 343.
QoiRos (Fernand de). Son voyage
dans la mer du Sud, t. I, p, 252. —
Découvre l'île de la Bello-Nation ,
257. — I"'t terre australe du Saint-
Esprit. Fonde Jérusalem-la -Netive ,
268. — A découvert Taiti , qu'il
nomme Sagit^aria , Vil , 353; XVII ,
275. — Résumé de ses voyages ,
XVIII, 191
Quito (ville de la Colombie). Situa-
tion , j)opulation. Maisons. Rues.
Édifices. Denrées, t. XL'i. , p. 430.
Quona Voy. Niger.
Raah (ville de la Hongrie , empire
d'Autriche), t. XLfV, p. 150.
Riiùat ( ville du Maroc ). Pirates,
Maisons. Habitans , t. XXil, p. 103,
104. --Ville. H2.
Rahbu (ville du Niffé , Soudan),
lli-nseigneincns sur la ville , t, XXX ,
î' 258 , 320 — Renom des nattes,
do eouli'ir, 327, 352. — Aspect. H.'t-
bitaus, 329. — Deîirées. Marché d'ei-
claves, A!)imaux, 330.
flalicgh (villi! du Hciljaz , Arabie) ,
t. XVXII, p. 216 et suiv.
KïJaek (groupe, archipel des C'a--
■^^
"^
ifi
' 1.1 x'
f;«
442
TABLE GENERALE
»
rolines). Décoarert et exploré par
Kotzebue, t. XVII, p. 178 à 209.
254. — Naturels conservent dans des
chansons la souvenir des événemens
reniarquablus , 243, 361,366,372.
— Manière de combattre , 364 , 367-
Voy, groupes A-ur ^ Jilu, Bigar ,
Eregup, Kawen , Mtllgravi$ , Otiia ,
Udiriek.
Radin (ville de la Hongrie, eupire
d'Autriche), t. XLIV, plus.
Raguse (ville de Dulmatie, Turquie
d'Europe), t, XLIV, 329.
Ratngurh (ville du Djoubel , Hin-
dou stan ). Temples remarquables
t. XXXV, p. 452.
Bajmahal (ville du Bengale, Hin-
doust.). Agréable situation, t. XXXVI,
p. 99. — Ancien palais, 444.
Rajpoiitana ou pajrt des Rtypouli
(Etat indépendant de l'Hindonstan).
Voyage dans le pays, tom. XXXVI,
p. 299. - Villages ,299, 303, 306.
— Sol , 299, 308. — Habitans, 300.
— Campagne, 301, 306, 30Z, 323,
525, 333, 344. — Soldats , 303. —
Mowah : fortifications , bazars , tein-
ture , 304 — Ruines de Déosa , fête
et foire de Nusund, 308. — Umeir.
Belles ruines, 319. — Kouzabad,
temple de Jains , 323. — Adjciuir,
325 à 328. — Etat florissant du Mi<r-
war , 329. — Bunaei, 330. — Deioléa,,
331. — Ordre religieux des Bhats,
331. — Bunaira. Costume du rajah,
533. — Beilwara, 334. — Puits> 335.
Fabrique d'indienne d'Ummeirgliir,
336. — Tchittorc. Temple de Si va ,
539, 341— Pêcheurs bheils, 338, 347.
— Secte de Jats , 349. — Voy. Jejr-
pour, Nusseirnbad, ff^uerh.
Pajperuts (habitans du R»j|)outana).
Tribu des Khasyas , t. XXXVI, p. 227.
Costume de cavaliers. 318. — Habi-
tudes, 321. — Caractère, 346. — Out
envahi le pays des Bheils, 347. — Abo-
minable coutume, 556.
/îa/(c^- (groupe, archi])el des Caro-
lines). RcuseigucTiens d' liués p.T" iiu
Badackan, t, XVII, p. 21. '. — Groupe
Legiep, 231.
liamah (kraal ou village 'Aottentot),
t. XXIX, p, 21.
ftambutuii. Debtrii)tion de ce fruit,
t. VII, p. 72.
llamHuggr f ville du Penjab . liin-
donstan), tome XXXVII, page 31.
Ra »por9 (capitale du Biscliur, Uin-
doustan). Situation. Rues. Ruines
Salle d'audience, t. XXXV, p. 470.—
Réputation de sainteté de la ville.
Edifices, 471 . — Singulières piles de
pont, 472.
Ranai (île, archipel Sandwich). Ses
productions, t. XI, p. 246. — Sou pau-
vre aspect, XIV, 122.
Rangoun (port principal du Pégou,
empire birman ). Célèbre pagode ,
t. XXXIV, p. 464. — Asppct de la
ville. Habitations, 465, 466. — Douane.
Fortifications, 465. — Rues. Filles
publiques. Population. Eît le refuge
des débiteurs insolvables , 466.
Raoul (île, lies Kermadee, Polyné-
sie). Découverte par d'Entrecastoaux ,
t. XV, p. 144.
Raoul (île, près de la Nouvelle-
Bretagne, Australie). Découverte par
d'Entrecasteaux , t. XV, p. 275.
Rai-ét-Féel (province de l'.^i :y>;si-
nie). Sol. Climat. Habitans , t. XXUI,
p. o34. — Bruce en est n-rimé gou-
verneur, 382.
Ras-*l-Kora ( ville du Hedjaz, Ara-
bie ), Beauté du pays. Productions ,
t. XXXII , p. 55.
Raigrad (ville de la Bulgarie , Tur-
quie d'Europe). Transport des prison-
niers, t. XLÎV, p. 61, 64, 66.
Ratmanoff ( île , mer de Behring ).
Nommée par Kotzebue, t. XVII, p. 75 ;
XIX, 237.
Rauack (une des îles des Papous).
F.tendue. Laideur des habitans. Mai-
sons. Costume. Religion, tcm. XVIII,
p. 77.
Reehiirche (archipel de la côte de
la tfc.r.) de Nuyts). Nouimé par d'En-
tre casîeaux , t. XV, p- IQi .
.\echerche (île de la, groupe Vani-
ko "o ). Découverte par d'Entrecas-
teaux. t, XV, p. 224; XVIII , 342. —
Est l'île Vauikoro , 385.
lUcht ( capitale du Ghilan , Perse),
t, XXXV, p. 358. — Caractère des
iiabitaas, 364. — Jolies boutiques.
Meudi; «s, 366. — Derviches. Fakirs ,
567. — Population. Port d'Enzellé ,
3f)8. — Violation de la propriété, 410
/i<î«no« (île de la Norwege ), t. XLV,
p. 182.
Henné. Description, habitudes, uti-
Monumeus , XX
DËjS MATIÈRES.
44»
liié, etc., de cetanim&l, t. XLV, p. 181,
254 et suiv.
H/er/ation ( ile de la , Polynésie ).
Découverte et décrite avec ses habi-
tans par Roggewin , t. II , p. 57 à 62.
Regkaro. Ses voyages en Europe ,
t. XLVI , p. 72.
Riiolution (Ile de la , archipel Dan-
gcreiix\ Découverte par Bougainville,
nommée par Cook , t. VII , p. 349.
Rttlauration ( ilu de la , Australie).
Découverte par Bligh , t. XIII , p. 330.
Révolution (groupe de l'arcbipel des
Marquises). Découvert par Marcband,
t. XV, p. 434 à 448. — Ile Plate ,
435. — Ile Bau« , 443 , 446. — Ue
Chaual, Masse, 444. — Les Améri-
cains revendiquent l'iionneur de leur
découverte, XVI , 133 et suiv. Voy. ile
Marchand, Trfyenen,^
Rewain (province de l'Hindoustan).
Fonnesdes naturels. Vente de femmes,
t. XXXVI , p. 461 et suiv. — Uonimes
filant. Effet de la piqûre d'un insecte ,
460 et 467.
Rhinooiros, Sa deitcriptiou. Sa
chasse , t. XXVt , p. 334 et suiv.
Rhode, (île del'Arcliipel), t. XLVI,
p. 99.
Rhor. 'Son ambaiisade uu grand
Mogol, t. XXXI, p. 57.
RicAXiLT. Ses "oyages en Eurcj e ,
t. XLVI, p. 76.
Riehntond (capitale de la Virginie ,
État-Unis ). Capitole. Législature ,
t. XXXIX , p. 273. — Salles des
séances. Élections. Eligibles. Élec-
teurs, 274. — Vexations contre les
Nègres, 278.
RiKDE.sEi.. Son voyage en Sicile,
t. XLVI, p, 195.
Rimski-K orsako/f ( groupe , Poly-
nésie ). Découvert par KotzcLue ,
t. XVII, p. 463.
Rio de la Plala. Voy. Plata,
RiO'Janciro ( c.ipitale du Bré.sil ).
Son commerce. Revenus (ju'en tirait
le roi de Portugal , t. IV, p. 90. — Sa
descriptiiiu, V, 50- — Beauté des en-
virons , productions , 35, — Scm niiues
d'or et do pierres précieuses , 59. —
Son port, 41. — Animaux des en-
virons. Vaste forêt. Population de la
f)roviuce. Caractère des luibitaus ,
XVIII, 54 et 55. — Maisons. Rues.
Mouuueus , XX , 20. — Denrées
commercialei. Beanté du havre. Pro-
ductions du pays , 22. — Moeurs.
Ignorance, 24. — Merveilleuse beauté
de son havre , XLU, 93. — Aspect de
la vUle, 94, 140, — Iles, 95 Dotc. —
Spectacle de la baie an point du jour,
05.— État des nègre*, 97 à 103,
184, 207. — Régiment nègre, 99,
103. — Hègres marchands , 100, 103.
— Funérailles, 101 . — Prêtres nègres,
102, 103. — Usage dans les repas ,
104. — La place Sauta-Anna. Bou-
tiques , 105, 108. — Rnas . 104, 106,
109, 182. — Tw*r,a,, 107. - Mai-
sons, 109, 181, 183. — Découverte
du havre, 113. — La famille royale
portugaise s'y réfugie en 1808, 116.
— Améliorations , édifices dus à don
Jean, 118 et suiv. — Théâtre, 121.
— Costume de postillon, 133. — La
veille et le jour de la Toussaint, 134 ,
137. — Représentations dramatiques,
135. — Eglise de San-Francisco, 136
et suiv. — De la Cande^aria, du Ro-
sario, 139. — Couvents de Santa-
Bento, 140. — De San-Antonio , 141.
— De Santa-Tlieresa, 142. -—Églises
de Nos!ia-Spnliora-da-Gloria , de Boa-
Viiigem , 143. — De San -Domingo
de Santa-Rita , 145. — l'Ajuda (cou-
vent de nonnes) , 145 et suiv. — Pro-
fession d'une noune, 147 et suiv. — •
Retraites pour les femmes , confréries
religieuses, 151. — Pauvreté, et par
suite ignorance des ecclésiastiques ,
, — Manière d'annoncer les fêtes
. j saints, 154. — Les Pseudo-Sébas-
tien, 156, — Instruction publique,
1 57. — Hôpital de la M iséricorde , 1 58.
— Dissection des cadavres , 160. —
Maladies , 162 et suiv Bizarres re-
mèdes. Superstitions, 166. — • Aca-
démie des beaux-arts. Muséum d'his-
toire naturelle, 169. — Antiquités
iudicTiues. Journaux, 170. — Noti-
eias particulares , 171. — Correspon-
de'icia , 172. — Exemples de lettres
diffamatoires, 173. — Curieux certi-
ficat de ba|)tècic, 175. — Écoles
d'enseignement mutuel , 176. —
bizarres pacotilles envoyées par les
Européens; 178 et suiv. — La mon-
naie, 180. — Atelier des diamans ,
181. — Insupportable bruit des cba-
rettes, 182. — Population, 183. —
Affranchis , 184. — Uabitans isaa-
#
''• «'"'Si
444
TABLE GÉNÉRALE
Sais, 185. — Manièrn ies Brésiliens
e» divers rangs , 186. — Singulières
confusions d'états ; les barbiers , 190.
— Aspect vraiment moral de la
Tille, 191. — Hospice des Enfans-
Tronvés , 192. — Divertissemens ,
■^95. — La Patteio (promenade), 191
— Opér^ , 195. — Loteries^artieu-
Kères, 197. —Poste anx l^lffes, 198.
— Vénalité des juges , 200. ^Police.
Exécution capitale , 202. — Com-
merce des esclaves , 203 • 334. -~ Fu-
nérailles des riches , des enfans , des
nègres , 205 et suiv. (et 101). — Cu-
rieuse place Corioca , 209. — Alimens
des divers classes , 210. — Marchés ,
fruits indigènes, 211. — Boissons,
212. — Les Ciganos, 334. — Le
marcité aux esclaves , 335. — Indice
de l'iipproche du carême , 348. ^—
OEufii de cire. Aspersions, 349. —
Procession d mercredi des cendres ,
350. — La °maiue sainte , 352. —
Cadeaux du uercrcdi, 353. — Céré-
monies du jeudi et du vendredi, 354.
— - Réjouissances du samedi, 357 à
362. — Le jour de Pâques , 363. —
Ouverture delà session législative par
l'empereur, 364. — Séance de la
chambre des députés, 366. — Le pa
tais de Santo-Christorao , 370.
Rio-Ne'gro (ville de la Colouibie).Eau
de la rivière, t. XLIF, p. 61 . — Effroi des
femme!) devant ua téirsrope, 62.
Rio-N^gro (rivière du Brésil). Aui-
maux. Productions des rives. Caractère
et usages des habitaus, t. XX , p. 27.
Rivière (Grande-, fleuve des Hot-
tentots-Namaquois). Sa largeur. Ses
bords , leurs arbres et leur gibier ,
t. XXIV, p. 309 et siiiv.
Rivières (canton des vingt-quatre ,
colonie du Cap). Sa beauté, t. XXIV,
p. 244, 275.
Rohm (ile, baie de la Table, co-
lonie du cap de Bonne-Espérance).
Lieu de dctentiou. Productiou.s ,
t. XXIV, p. 50.
Robert (île , groupe Hergest), t. XIV,
p. 384.
RoBiNSOH Crusok. Aventura ;ui a
servi de type à ce romau , t. Il , p. 8.
Voy, Selkirk.
Rodney (pointe, Kamtschatka). Trou-
peaux de rennes , t. XIX , p. 438.
Rocs' wi Rusien (ile de la oAte du
Nordiand nnrwégien). Naufrage de
Quirino en 1432, t. VIII, p. 128.
RotioiRs (Wood). Son voyage au-
tour du monde , t. Il , p. 4- -~ Double
le premier le cnp Horn , 4 et 8. —
Recueille à l'tle Juan-Fernandcz le
matelot Selkirk , qai y était délaissé
depuis quatre ans, 8.
Roggewtld-Karro (pays de la co-
lonie du cap de Bonne-Espérance).
Habitation temporaire des fermiers ,
t. XXVI, p. 124. — Sol, arbres,
125, "151. -^ Voyage dans le p-'ys ,
140 à 162. —Ferme, 142. — Rhi-
nocéros , 152. — Poissons, 153. • —
Lièvres. Autruche, 161. — Caractère
des colons, XXIX, 145. — Origine de
l'animosité contre les Boschimnns, 1 48.
RoGGEWiw. Son voyage autour du
monde , t. II , p. 43. — Découvre et
décrit l'Ile de Pâques , 46. — Les îles
Pernicieuses, de l'Aurore, des Vêpres,
du Labyrinthe , 55. — L'île de la Ré-
création , où il faillit être victime de la
perfidie des habitans, 57. — Dé-
couvre les fies Bauman ,62, 64. - ■
Découvre les Mille îles , 70. — Est
mis en prison à Batavia , par la Com*
pagnie des Indes orientales , 73. —
Résumé de sesdécouvertes,XVIII,198.
Rohilcund (province de l'Hindous-
tan). Voyage dans le pays , t. XXXV f,
p. 205 et suiv. — Édifices , bazars de
Shalijehampour, 206. — Campagne ,
205, 206, 208, 209, 213, 255. -
Climat. Productions, 206 — Liitix
divers, 207, 208, 253, 251 , 256. -
Caractère des HohiUas ^^habitaus) ,
208, 210. — Champs de tabac. Pèle-
rins du Gange, 208. — Défaut du
Denrées, 209. — Bareily, 210. — As-
pect de l'Himalaya , 213. — Morada-
bad, mouliu à sucre, 253. — Cim-
ffction de la glace. Vignes. Pays sem-
blable au Bengale, 254. — Amroiili.
Cabanes de l'Inde supérieure, 257.
Roit (îles des , Polynésie). Décou-
vertes par Saavedra , t. T, p. 161.
Fois (île des Trois- , Nouvelle-Zé-
lande). Découverte par Tasman , 1. 1 ,
p. 346 ; VI , 70.
Rokelle (rivière du Kouranko , Sé-
néfjambic). Manière ingénieuse de l.i
traverser, t. XXVIII, p. 75. — Sa
source , 104
Roketchick ( ville du Timani , Se-
[>E6 MATIÈRES.
'iÀb
iirgiimbie), tom. XXVUI, pag. 21.
Rokktmild-Karro. Voy, R«ggtfi>$ld-
Karro.
Rolton ( Tille du Timapi , fiéné-
gambie). Audience du roi, t. XXVIII,
i>. 11. —> AsMmblée publique, 13 .
17,
Romains. Leurs ▼oy.ige.i et expé-
ditions maritimes , t. I, p. 6 et suiv.
Romitint ou de l'EgUi* ( États ) ,
t. XLVl,p.265.
liomanzoff (Ile , Polynésie), Décou-
verte par Kotzebnc) , t. XVII , p. 45.
Romarin (île, Terre de Witt, Nou-
velle-Hollande), Nommée et décrite
par Dampier, t. I, p. 415
Rom$. Saint-Picrrfl, t. XLIV, p. 540.
— La grand'messf' , 341 et suiv. —
S,iint-Jean-de-Latran, 343. — Com-
(laraisou du Cotisée, du Parthéuon et
de Saint'Pierre, 344. — Supériorité
de Siiint-Picrre , 345. — Cénotaphe
de Paul, ni, 316. — Aspect des
rues , 347. — Vue panoramique de
Rome, 348. — Libéral emploi des
impAts , 348. — Soin des pa])cs pour
la conservation des monumens, 349.
— Situation, circuit, édifices divers,
XL VI, 265,
Ronde (Ile, mer de Beliring), Nom»
mée par Cook, t. XI, p. 46.
Roo. Lieu de marché d'Abyssinic ,
t. XXiri,p. 599.
ftooa'.ooga (île, archipel des Mar-
quises). Son aspect, t. XVI, p. 137.
— Tatouage des naturels, 138. —
Quelques ornemens , 140, 142. —
Physionomie des naturels, 145. —
Canots, 146.
RooyeStnd (pays du cap de Bonne.
Espér.). Sa beauté, t. XXIV, p. 231.
Roia ( ville du Timani , Séné-
pambie), t. XXVIII , p. 9.
Rosette (ville d'Egypte). Situation.
Importance. Jardins, Rues. Habitans,
Cafés , t. XXII , p. 426. — Nom
arabe, sa signification. Jardins, XXIII,
65,
Ross ( le capitaine ). Résultats de
ses voyages à la recherche du pas-
sage au nord de l'Amérique , t. XL ,
p. XXX. — Son l*"" Foyage aux ré-
gions arctiques, XL, 1. — Ses ma-
telots tirent \^ vaisseau sur la glace,
3. — Nomme la buie Melville , les lies
Brovvn , 4. — Entrevues avec les Es-
quimaux , 5 et luiv. — Nomme les
hautes terres arctiques, 17, — L'il*
Byam-Martiu , 27. — *•« 2* Foyage,
28. — Retrouve les provisions «bau-
données par la Fury, 41 et suiv. —
Découvre la baie Fearnell , la rivière
Laug, la péninsule de Boothia, 46. —
Le port Lan g, '49. — • Le port Elisa-
bcth,51. — Le port Éclipse , 56. —
Prend ses quartiers d'hiver, Pré<'aii-
tions. Occupatious d')Mver,63, 168,
208. — Eutrevues avec les Esquimaux,
81, 87, 93, 103 et suiv. 154, 162,
172, 196. — Excursions à terre, 49,
60,103,111,117, 135, 144,171 à
181.— Chasse au bœuf musqué, 121.
—Isthme Boothia, 142.^ Uécouvre la
mer à l'ouest, 146. — Nomme les llea
Beverley, Matty, 149. — Les cnpa
Aberncthes, Sabine, Young, 150. — '■
Baies Parry, 152. — Richardson, golfe
Bootlkia, cap Félix, 153. — Prise de
possession. Cap Victory , 154. ^-
Sou vaisseau, un moment délivré, est
de nouveau prit par les glaces, 165 ,
166, — Baie du Schériff, 168. —
Voyage en traîneaux, 176- — Lac
Krusenstern, 178. — Rivière Han-
stein, 179. — Voyage pour déter-
miner la poiiitlon du pôle Magué >
tique, 183, — Sa place, 187, 190 —
l'rise de pos.session , 189. — Trouve
des mets con.servés pendant dou/.e
an>, , 209. — Route pénible à travers
les glaces , 214. — Abandonne son
vais.ieau, 219. — Construciio.» l'une
maison où l'on passe l'hiver, 226, —
Départ, 237. — Découverte et récep-
tion à bord d'un vaisseau, 240. —
Voy. Régions arctiques.
Rossignol (île, groupe Tristan d'A-
cunha), t. XX, p. 147.
Rotas (forteresse dv Penjab , Hio-
doustan). Aspect. Histoire, t. XXXVIL
p. 43.
Rotouma (île, Polynésie), Aspect.
Douceur des naturels. Leur figure.
Leur toilette, t. XVIII, p. 160. —
Étoffes. Armes. Saints. Langue. Gou-
vernement, 162. — Mariages, funé-
railles , 164. — Bienveillance des na-
turels , 166. — Aspect. Population ,
583. — Étendue. Belle race d'habi-
tans , 391 . — Leurs cheveux pou Jré.s,
XLIII, XXX.
Rotterdam. Voy. Anamocka.
«
440
TABLE GÉNÉRALE
floug» ou go{f* Ar ihiqu* (mer). La
navigation y est diflicile, 1. 1, p. 110.
— Voyage le long des cAtes, XXIII ,
114 et suiv. — Ile Jhbcl - Sibcrget ,
116. — Coqiiillngr' . 118. — Ile
Jbbel-Macouar, 120. — Ile firuco,
124. — Groujic Jiiffiitnn, 131. — Ile
Dérégé, 144. — Aspect du détroit
de Bab-el-Mandeb, 152. — Ile
Fooiht, 124. — Ile de Ddccalan ,
155. — Ile Jbbcl-Teir, 156. — Des-
cription de l'Ile et des !•.. 'aus de
Dab<ilac , 158 à 169. Voy. i. ^ Ma-
touah , Soeotora.
Rouméliê (provinre de la Turquie
d'Europe ). Voyage dan» lo pays ,
t. XLIV, p. 1 et suiv. ; et 253 et suiv.
— hrekli , 29. - TrLorlu , 34 , 36 ,
260.— Bourgas , 38 , 258. — Kirklessi,
41. — Hnydo» , 52. — Villes moins
misérables que celles de Bulgarie ,
253. — Andrinoplc , 257. — Aspect
pittoresque de Sylivria , 260. — Belle
campagne, XLVI, 86. Voy Andri-
nople , Constantinople.
Rouilchoitic (ville de la Bulgarie ,
Turquie d'Europe ). Aspect. Belle
porte. Rues, t. XLIV, p. 70. — Bel
aspect, 229. — Sa laideur quand on
la voit de près , 230. — Boutiques ,
marchaudise-s , 242.
Rovêredo (ville du Tyrol). DétaiLt
divers , t. XLV, p. 566. — Prospérité
399.
Rotigno ou fiovigi) (ville de l'Istrio ,
euip^re d'Atstncl'C; , ». XLIV, p. 333.
Kows. l.>o>:it-o;iUf. de Furneaux ,
est ma.ss,jf;ré avec ites gens par les
Zélajdais, t, 5X, p. 135 et .suiv. —
Cook apprend à !;. Nouvelle-Zélande
des détails sur sa mort, 238, 241 ,
248.
RuBRUQUis. Son ambassade en Tar«
tarie , sous saint Louis , t. XXXI ,
p. 30.
Ruddua ( montagnes du Hedjaz ,
Arabie). Près d'Yambo. Beau climat.
Belle campagne, t. XXIII , p. 135.
Ruderpour (ville duKrmaoun , Wiv-
doustan). t. XXXyi , p. 219. — Cli
mat pestilentiel. Fécondité de la terre.
Productions , 220.
RiiNJEET-SiNG (roi du Penjabou de
Lahore ). Accueille généreusement ,
Burnes,t. XXXVII, p. 10, 14. —
L'engage à une partie de chasse. R'i-
cbesie der tentes. Cottnmea. Élé-
phant. Fauconniers. Usages du pnnce,
17 et suiv, — Revue et réception* à lu
fête du Pusuud, 22. — Fête qu'il
donne à Bûmes , 24. ^— Son projet de
rendre l'Iodus navigable , '^. — Son
génie, son bon carartèr»' ^ /7 449.
— Son ignorance , 32. '^i poli-
tique envers ses noble» . 413. .— Of-
ficiers français, 435 , 439, 440 Sa
joie en recevant des cadeaux , 436.
Son écurie. Sa figure, 437. — Salle
d'audience. Joyaux, 438. — Revue
militaire. Commandement en fn -
Sais , 438, 447. — Ses danseu
43. — Ses projets ambitieux , - .
— Son artillerie, 447. — Sa po
tique , 449. — Ses bijoux , 450. — Sa
munificence, 451, 458. — Sa rési-
dence favorite, 455. Voy. Allard.
Rurik (chaîne du , liot.s de la Poly»
nésie ). Découverte par Kotzebue,
t. XVII , p. 47.
BusDECK. Ses voyages en Europe,
t. XVLI,p.71.
Ruistt, Détails sur leur culte reli-
gieux, t. XLIV, p. 357,362. — Cou-
tumes curieuses, 362. — Maisons de
paysans , 366. — Application du
Knout, 376. — Superstition, 471 et
.suiv. — Culte des images, 472. —
Hiérarchies de la société, 474. —
Étiquette des repas , 476. — Palais
de glace, 477 et suiv. — - Portrait
physique, 479. — Costume. Carac-
tère, 480. — État despcrsounes. Dé-
tails sur les quatre classes, XLVI,
148 à 151.
Rutiie, Son traité avec la Chine ,
pour l'établi.s.sement d'une mission à
Péking, t. XXXIll , p. 1 et suiv. —
Voyage dans la Russie d'Europe,
XLIV, 354. — Villages, 354, 356.
358, 360, 363, 366, 369. — Cam-
pagne, 358, 365. — Marché du di-
manche, 259. — Le Dnieper, 374. —
Uabitans. Juifs , 383. — Leur singu-
lier usage , 384. — Steppes , 386. —
Colonie de Cosaques, 387. — Dé-
tails sur les colonies militaires, 388,
395. — Portes , 389. — Bornes mili-
taires de Potemkin, 401. — Médecins
des gouverneurs, 430. — Tours de
guet de la frontière du Caucase , 438
— État politique de l'empire, 471- —
Administration, 474. — Lacs, XLVI
#
H. — Montagne* , 22. — Voyage
hu» le pays, 133, 140 à 1,'*|. —
Multitude do Juif» en Litliunnie, 140.
Voy. goiivcrnt'incnii do Caucase , Co'
taqutt du Don f Finlande , Grodno ,
Kief, Minik , Moteou , NiJilnl'Novegù'
roit . JVo¥ogored , Orêl , Podoli*, Smo-
Itntk, Talith, TauHJe , Toh*rni-
DES MATIÈRES. 447
Tulii, T*tr, ForûH*J(jt, Wla-
gow.
dimir.
RuttU d'Ali* (vrtyngc* dan» la).
Voy. Abazt» , Aim^iui , Géorgie ,
Immirélient , Kamtnh(\ ka, MiMgrtflit ,
SibMi , Talitoh.
Rtuêie W Amérique . Voy. Amertume
mil*.
Saateora. Dérourre le* Iles des
Boi», t. I, p. 161. —La Nouvelle-
Guinée et d'autres lies, probiiblement
celles des Biirbus , 163. — Résumé do
SOS yoyages, t. XVIII , 191.
jiaAi (ville du fiondou, Séncgambic),
t. XXVIlI.p. 321.
Sable (\\e de, Sénégal), t. XXVIII,
p. 287.
SabuJa (Ile, Maliiisie). Sa descrip-
tion. Productious , t. I,p. 432 et suiv.
— Oisctux remarquable» , 433. —
Habitans, 434. — L( >ir pùclie ingé-
nieuse , 435.
Sacala ( district de l'Abyssinie ),
Plaine. Miel. Églises, t. XXIII , p. 420,
422.
Saekatou ( capitale des Felatalis ,
Soudan), t. XXVII, p. 405. — Hisi-
dence du sultan , 406, 4(39, 415. —
Musquée, 416. — Situation. Étendue.
Murs de la ville, 421. — Uabituns,
Industri.!. 422; XXVIII, 222.
Sackett (ville du Nev-York , États-
Unis), t. XXXIX. — Son Iiiivre,p.l01.
— Aspect de la ville , 102.
Sadrai {y'ûle du Carnatic, Hindous-
tan ), t. XXXVI , p. 437. — Éduca-
tion, costume, réputat un des Baya-
dères , 438.
5(^r<i (ville duHedJHZ, Arabie).Mar-
cbé. Maisons. Productions, t. XXXII ,
p. 253 , 255. — Sol. Vente des dattiers.
Jardins , Costume , 254. — Baume ,
255.
Sagbu (ville de la côte des Esclaves ,
Guinée ). Maison du chef. Caractères
magiques , t. XXX , p. 36.
Sagiltaria ( île ). Découverte par
Quiros. Est l'Ile Taiti, t. VII , p. 353;
xvir,275.
Sahara (vaste désert d'Afrique). Son
étendue, t. XXII, p. 2. — Voyage dans
nne partie par Mungo-Pdrk nétaiU
sur le pays et ses linbitati' \ V, 182
et suiv. — Voj'Hge aux 438 et
suiv. -^ Traversé |iai ' '"'.ip-
perton, XXVII, ./»
versé par Caillié, \
— Sol. Arbustes, 411 e
de niarcbes des caravaii ,.iiii rce
des mûres, 412, 41^. — i;i-Ari»i. lan,
ville du désert, Cuniniercc. Rues. Mai-
sons. Puits des environs, 414, 416.
— Puits , 417, 422. — Précautions de
voyage, 417. — Effets du rairiige ,
421 . Vny. Lybie, Simoun, Sy'ouah, Tib-
bout, Tuarioi,
Saigon (port de la Cncliinchine ),
t. XXXIV, p. 320. — Rivière, 328,
339. — Maisons Rues, 328, 343. —
Emblèmes .superstitieux , 330. — Mé-
decin français , 333. — Denrép», 335-
— Manufactures, 336. — Situatiou ,
340. — Demeure du gouverneur, 343.
— Cour du gouverneur , 314. —
Combat entre un tigre et des élépliaus,
347.
Saint- Aignan (Ile, archipel de la
Louisinde). Sou aspect, t. XV, p. 255.
Saint-Àndrë [We). Voy. Soiiforol.
Sain'-AnJr^l îles, Polynésie). Dé-
couvertes par Cnrteret, tom, III,
p. 169.
Saint-Antoine (Ile du cap Vert).
Productions. Population. Sol. Mines,
t. XX, p. 106.
Siinl-Barlhélemx (Ile des Nouvelles-
Hébrides, Australie). Sun gisement,
t. VIII, p. 422.
Saint-Alouarn, t. XV, p' 89
Saint- Barthilemx (île, Polynésie).
Découverte par Salazar, 1. 1, p. 159.
Saint-Bernard (île de l'Australie .
Découverte par Mindana, 1. 1 , p. 205.
— Est probablement celle que Byron
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448
TABLE GÉNÉRALE
nomma pint tard tle du Dengtr, VU,
144.
SaM'Blaitê (baie, coh^aie du Cap),
' t. XXIV, p. 71.
AiiJi/-6o«/nf ««(ville de Tlle Haïti ).
Détails snr sa fondation,!. XXXVIII,
p. 170, 172.
Saiitt'ElU (mont , Amérique russe).
Son aspect, t. X. p. 430; XII, 148.
Saint-Blmê (feu). Description de ce
pbénomène, t. XII, p. 43 note.
S<^int-Georg« ( canal entre la Non»
Telle-Irlande et la Noavelle-Bretdgne).
Découvert par Carteret, t. III , p. 152.
— Sa beauté , XX , 372.
Saint-Georgt (tle, Açores). Décou-
verte par les Portugais, t. IX, p. 157.
— Sa pctpulation, 159.
Sain>-ù«orge (aisi:ict delà colonie
du cap de Bonne>£spérance). Beauté
du pays, t. XXIX, p. 332.
Saint-Gtorgt (tle , mer de Behring),
t.XIX,p, 281.
SaiHt-iSeorg* ( ville du Wogora ,
Abvssinie ). £glise dédiée à la sainte
Vierge, t. XXIII, p. 289.
Saiiit-Ildt/oiu* (résidence royale en
Espagne), t. XLVI, p. 176. ^
Saini-Joaehim (fort de la Guiane). Sa
fondation. Son délabrement,!. XLl,
p. 204.
Saint- LturtHt (fleuve de TAmérique
septentrionale). Son cours. Ses diffé-
rens noms , t. XXXVIII , p. 37, 39.—
Voyage sur ses eaux, XXXIX , 102.
— Ses rapides , 103, 104. — Chutes
de Montmorency, 108, 111.— Cliutcs
de Bouilloire, 114. — Traces du dé-
luge , 206. Voy. JUoHtrtat, Niagara,
Saint-Laurtnt (tle, mer de Behring),
t. XIX,p.233et8uiv.
Saint-Lazare ( archipel ). Le même
que celui des Philippines.
■Siiia/-Xoui« (ville du Missouri, Etats-
Unis), t. XXXIX , p. 377.
Saimt-JUiehel (Ile, Açores). Dé-
couverte par les Portugais, t. IX ,
p. 157. — ■ Très fertile et très peuplée.
Ses productions, 160. — Mines. Po-
pulation, XX, 44 1. — Beauté du cli-
mat. Vins. Convens. Apparition et dis-
position de nie Sabrina,XLI, 171.
et XLII, 389. — Evêchc. Etendue.
Population. Climat, 383. — Absence
d'esclaves. Bellesfigures des h.-ibitaus,
384. — Costumes, 385. — Origine de
l'ile, 586. —Le porto Uliéo, 386. —
Tremblemcns de terre, 388.
Saint-Nieolai (île, groupe du cap
Vert), t. XX, p. 107.
Saini'Paul (île, océan Austral).
Arbres do cent cinquante pieds dfe
haut , t. Xin, p. 312.
Saint-Paul (Ile, mer de Behring),
t. XIX, p. 281.
S 'nt-Pét*rtbourg{c«[n\»\c de l'em-
pire russe ). Fondation. Inondations.
La Neva , t. XLVI, p 146. — Mo-
numens, 147. — Etendue Population,
148.— -Palais impériaux des environs.
148.
Saint'Pierrê et Saint-Paul ( capi-
tale du Kamtsdiatka ). Voy. Péiro-
pawlowtltl.
SAiiTT-SAOVxttR. Son voyage aux
iles Ioniennes, t. XLVI, p. 108.
Saimt Thomas. Lieu de son sup-
plice dans l'Hindoustan , t. XXXVI,
p. 433.
Saint-Ttiomas (île, mer du Sud).
Découverte par Grijalva. Poisson res-
semblant à un homme, 1. 1, p. 164,
165.
Sainte-Catherine ( île , Brésil). Eten-
due , forts, terroir fertile, bois parfu-
més, climat malsain, t. II, p. 85,90.
— Etendue , historique, XII, 45. —
Terrain , 46. — Pèche de la baleine ,
47. - Denrées, naturels, 51. — Des-
cription de la ville, XVI, 15. — Beauté
de la baie, bonheur des insulaires
sous le gouvernement portugais, l7.
— Sol, productions, animaux , capi-
tale, XVIII, 114.
Sainte-Claire (ilc, côte de la Co-
lombie ). Découverte par Piz.irre.
Monstrueuses idoles. Ouvrages en
métaux. Etoffes, tom. XXXVIII, p.ig.
324.
Sainte-Elitabetk (ile, détroit de
Magellan ), t. IV, p. 148.
Sainte-Hélène ( île, océan Atlanti-
que). Sa description, t. VII, p. 135.
— Ses productions, 138. — Son
étendue. Sa population , IX, 150. —
Découverte par Nova Gellego , 151.
— Aspect, climat, XVIII, 185. —
Tombeau de Napoléon, XX, 424. —
Histoire de la decotiverte de l'île,
425. — Aspect. Intérieur. Plaine de
Longwood, 426. — • Terroir. Produc-
tions. Animanx. Climat, 430. <•
f#'
I)'
DES MATIÈRES.
449
' Saintt'H/liite (port ia Brésil), Gu«-
nacos , lièvrea, t. XXI, p. 210.
SaiHtt'Hilène ( baie, colooie du ràp
de Bonne - Espérance), t. XXIX,
p. 228.
Sainu-Lueie ( iles du cap Vert ).
Etendue. Sol, t. XX, p. 107.
Sainte- Lar'e (ile « Petites- Antilles).
Aspect. Capitale, t. XLI, p. 277.
Sainie-Marlhe ( ile, mer dej An-
tilles). Déconcerte par Cdomb. Sin-
gulière propriété d'un poisson , tom.
XXXVIH, p. 147.
Saintes (îles. Petites - Antilles ).
Aspect, t. XLI, p 276.
San-Blas ( port du Mexique). Si-
tuation. Environs, t. XLI, p. 4!4. —
Températures, 424. — Insectes. Sai-
sons, 425. — Maladies. Emigrations
périodiques. Population, 426-
San-Carlos ( mission près de Mon-
terey ). Sa situation. Ses greniers.
Le village. Beauté du pays, t. XIV,
p. 362 , XIX, 339.
San-Carlos (capitale de l'Ile Chiloë).
Maisons , rues , monumens , t. XX,
p. 73. — Habillen^ent des dames, 75.
•— Amusemens, 80.
San-Diégo (ville, Nouvelle-Califor-
nie). Climat. Sol, p. XIV, p. 457. —
Environs. Combat avec les sauvages,
XX. 90 et suiv.
San-Francisbo ( port de la Califor. ).
Son étendue, t. XIV, p. 344. — Dé-
tails sur le présidio On fort : garni-
son , maisons , pays environnant ,
épaque de rétablissement, 345, 353.
— Détails sur la mission : pays envi-
ronnant, maisons, occupations des
frères . église, époque de l'établisse-
ment, 548, 353. — Misère dea natu-
rels, de leurs huttes, 351. — Climat
de la région sud , 456. — Eglise, ca-
bane et occupation des naturels ,
XVII, 118. — Entrpe du port, XIX,
284. — Abondance de gibier , 288.
— Mécontentement contre la répu-
blique, 289, 292, 294, 296. —
Demeure du gouverneur des prési-
des. Incurie du gouvernement. Gar-
nison, 290- — Utilité des missions,
297. — Détails sur les missions. Voy.
Californie. — Expédition contre la
tribu des Cosemènes, 310' Transpira-
tions forcées des naturels, 320. Voy.
Sauta-Clara.
XLVI.
SuH'liigo (lie du cap Vert ). Sa
description, t. Vil, p. 178. — Ses
naturels, 179. — Son sol, 181. —
Productions. Animaux, XX, 115. —
Port de Praya ,116. — Population ,
118, note. —Son aspect, t. JlVl,
p. 5. — Port de Praya : Sa population,
garnison, commerce, 7.
San-lago (capitale du Chili). Fignre
des femmes. Leur vêtement, leurs ma-
nières familières, t. XI V , p. 475. —
Détails sur la ville et les maisous,
478. — Route qui y conduit, XLI,
3697 — Rues. Maisons, Place. Dévo-
tion , 370- — Licence des mcours ,
371 — Etat des prêtres. La Siesta,
Climat, 372. — "Etat de la société,
384. — Propreté des rues. Maisons et
leur intérieur, 385- — - Politesse des
habitans , 385 , 387. — Promenade
publique, 586.
San-José, ville de la Californie),
t. XIX, p. 322.
San-Luii (ville delà Plata). Climat,
t. XLI p. 286. — Etat roisérérable,
324 et suiv.
San-Pediv ou Ontteyo ( ile, archi-
pel des Marquises ), Découverte par
Mindana,t. I,p. 197; V1II,199; XV,
375.
San-Salvador ( tlea Lucayes, Amé-
rique ). Première terre découverte
par Colomb, tom. XXXVIII, p. 91.
— Bel aspect, 93. — Colomb en
prend possession, 94. — Etonnement
des insulaires , 95. — Tatouage , 96,»'
— Teint. Trait». Armes. Canots, 97.
— Echanges avec les matelots, 9^
San-Salvador (ville du Brésil). SJ^bté
de la ville. Population , t. XX, p. 68.
— Son origine, XXXVIII, 342.
Salamanque (ville d'Espagne), tom.
XLVI, p. 173.
Stlajrer (ile, Malaisie), t. XV,
p. 316.
Sala-y-Gomez ( île > Palynésie ).
Etendue, Aspect. ^ égétation, t. XIX,
pag 6.
Salazar. Successeur de Loaise. Dé-
couvre l'ile de Saint - Barthélemi,
Nomme Borta une des iles des Lar-
rons, t. I, p. 159.
Saldanha ( baie de la colonie du
cap de Boune-Espéranca). Descrip-
tion. Poissons. Gibier, t, XXIV,p 16.
— Ile Das8en>Eyland, 20 et suiv.
29
466
TABLE GÉNÉRALE
Salé ( ^le da Maroc ). Famejox
pirates, t. XXII, p. 102.— Tille,
141.
Saltm (,TàH« du Massachnsietti ,
Etats rUirts). Marins renommés. Mu-
>nm,t.XXXIX,p.lâ8.
Salomon ( archipel, Aostralie ). Dé-
couvert par Mendoce et Hindana,
pourquoi ainsi nommé, 1. 1, p. 168(
170. — Habitans. Leors canots, 109.
— Retrouvé par Surville qui le
nomme Terre des Arsacides, III, 420,
430 , 434. '-' Description du pavs ,
des habitans, de leurs armes , 434 et
444. — Productions dé l'tle, 441. •—
Naturels, leur roi, leurs habiles méde-
cins , reUgion , 442. — Perfidie, XV,
842. — Pirogues , 244- Voy. Iles Boa-
gaimillt, Bouka, ContrariéU, Choiuul,
Sanla'Cataliiui , Santa-Iiabella , Sim-
bù», Tréiortri*.
Salutte (Ile , jointe à celle de Bom-
bai ). Ses deux villes. Etat déplorable,
t. XXXVI, p. 411 —Habitans de Tan-
nah , 412. — FortificaâoDs dr Gora-
bundnr. Temples-cavernes du Boud-
dhisme, 413 et suiv. — Animaux, 416.
Salten (golfe du Nordland, Suède },
t. XLV,p, 155. — Poisson rouge,
156.
Salrag*t ( Iles des , au nord des
Canaries, t IV, p. 5; XII, 32.
5a«are<in<^ ( ville de la Boukbarie,
Tatarie'indépendantc). Antiquité. Po-
pulation. Souvenirs de Timour. Beaux
^édifices, t. XXXVII, p. 211. — Tom-
beau fameux, 212.
Amen ( province de l'Abyssinie ).
due. Sol, XXni, 326.
^ '.Samet ( Ûe de l'archipel ), t. XLVI.
p. 98.
Samoyèdet ( peuple de la Sibérie ^
Figure. Formes, t. XXXI, p. 229.
Mères précoces. Vétemens, 300. "
Tentes. Travaux, 302. — Nourriture.
Origine du nom. Religion, prêtres.
304, 306. — Morale, T7. — Ob-
stacle aux unions conjugales . 314.
Sampaka ( ville du La-inmar, Séué-
gambie). Fabrication de la poudre,
t. XXV, p. 137.
Sana (capital a ;!e l'Yémen, Ara-
bie) , t. XXXI , p. 336.
Sancaho ( ville d'Abyssiuie ). Mai-
sons. Fortifications, t. XXIII, p. 472.
SmJ^arra ( ville du Kaarta , Séné-
gambie ). Cérémonie précédant la cir-
concision , t. XXVIII , p. 373.
Sandwich (lie de la NouTelle-Bre•
tagll«).Découvertepar Carteret,t.IlI,
p. 153.
Sandmeh ( Nouvelles - Hébrides ) .
Découverte par Cook, t. VIII, p. 35o!
— Beauté du pays, 351.— Son gise-
ment. Sa circonférence , 425.
i$aA</H'icA( Terre de, océau Atlan-
tique). Découverte par Cook, t. IX
p. 115; XXI, 433.
Sandmeh ou Hawat (tics de la Pol,).
Retrouvées par Cook, t. X, p. 26(jj
295. — Population, 307 note. — Oi-l
nemens des insulaires, 308. —Mœurs
semblables à celles des insulaires des
Mes des Amis e^ de la société, 331 . —
Comment la même nation s'est répau-
due sur tout l'océan Pacifique , 353.
— Marées peu considérables , 334.
Effets du tabou. Explication de ce
mot, XI, 151 , 299. — Relation de
l'assassinat de Cook et de ses suiteii,
173 à 226. — Nombre, noms et po-
sition des îles , 237. — Climat , 247.
— Vents, courans , martres, 248. —
Quadrupèdes , oiseaux , 250. — Vé-
gétaux , 253. — Origine des natu-
rels, affinité avec les Malais et autres
254, 293. — Leur figure , 255. —
Effets pernicieux de l'Ava , 257. —
Population, 258. — Caractère doux et
paisible , 260. — Fous , sacrifices Lu-
mains, 263. — Vétemens, ornemens,
éventails, tatouage, manteaux de
plumes, leur origine espagnole, cas-
ques , bijoux, masque, 264 et suiv.
— Villages et maisons, 271. — Nour-
riture , cuisine, 273. — Occupations ,
danses, mnsique.jeux,275,280. — Com-
bien ils sont habiles nageurs, 278. —
'Navigation, 281. — Sculpture, étoffes
.eintes, 282. — - Ustensiles de pêche ,
gourdes , 284. — Fabrication du sel.
Armes, 286. — Division du peuple en
trois classes, autorité de l'Earée, 288.
— Gouvernement héréditaire, pou-
voir des chefs, 290. — Etat des
classes inférieures, châtiment des cri-
mes, 292. — Religion .Sociétédeprétres,
293. — Idoles , 294. — Chants avant
les repas , 296 — Sacrifices humiiiu.^,
297. — Les insulaires s'arrachent 1rs
dents de devant , idées sur une vie
future, 298. — Mariages, juluusie,
•
DES MATIÈRES.
451
I jalousie
301. — Rites fanéraires, 303. —
Explication da mot tabou , XII, 126.
Ces île!» avaient été découvertes avant
Cook par les Espagnols, 117, 119,
127 note. — Gouvernement , 129. —
L'anthropophagie est-elle en usage?
137. — Changemens dans le gouver-
nement et les mours depuis l'arrivée
des Européens. Commerce des États-
Unis, XIV, 137. — Trois espaces 4e
perles, 140. — Doucenr des haltitans,
XVI, 470. — Changement depuis la
découverte, XVII , 427. — Autorité
des missionnaires anglicans , 456. —
Etendue du groupe. Fertilité. Repas
des naturels , XVIII , 90. — Vête,
ment, tatouage, maisons, éventails,
population, infanticide en usage, 92.
— Salutations. Religion, 95. — Ta-
bou, lieux d'asile, denil. Etablisse-
ment du christianisme, 97. — Pro-
grès du luxe. Jeux. Danses , 98. '—
Funérailles. Nourriture, 100. — Re-
pas , figure, pirogues, langue des na-
turels, 102. — Gouvernement. Com-
merce , 104. — Histoire de ces iles
depuis leur découverte , XIX , 342 et
suiv. — Bois de sandal , 344 , 354.
— Abolition des idoles, 347. — Mis-
sionnaires, 34S , 357. — Progrès du
luxe, 352. — Denrées , 354 , 356. —
Education, 357. — Festins, 362. —
Danses, 366. — Marine. Commerce ,
375, 376. — Climat des îles , 379. —
Cheveux poudrés des naturels, XLIII,
XXX Voy. îles^fo. .", Morotoi, MowJt,
Ooiuohtow, Orttlioua, Oivhjrh^e, Rtmai,
Tahoora , fFoahom
Sangnuya ( ville du Soulimana , Sé-
négambie). Situation. Murs. Demeure
d'unchef, t. XXVlII,p.97.
Sang-YutH (ville de la Chine). Ido-
les. Café des aveaglcs, t. XXXIIî,
p. 388.
Sansan ( ville du Hronssa , Soudan).
Formé de trois villes , tom. XXVIl ,
p. 342. — Son marché, 344-
Sanianding ( ville du Bambora ,
Sénégambie ). Population. Commerce
des Maures , t. XXV , p^ 231. — Ar-
rogance des Maures, 233. — Popula-
tion, 373.
Saïuerol. Voy. Sonforol.
Santa ( port du Pérou). Aspect , cli-
mat, productions des environs, tom.
XVI, p. 410.
Santa'CataHiut ( Ile , archipel Salo-
mon ). Découverte par Mindana, 1. 1.
5. 168. — Son aspect riant, XV, 237,
38, 240.
Santa-Chrittina ou Toa-fVati ( ar-
chipel des . Marquises ). Naturels.
Teint, tatouages, t. VIII, p. 191, 196.
— Sol. 192, 2i92, 206. - Ornemens
des naturels, 197. — Porcs très petits,
201 . — Eventails , 202. — Manière de
saluer un ami, XV, 347, 349. — Diffé-
rence de caractère entre les habitans,
360. — Aspect agréable de l'Ile, 578.
— ■ Baie de la Madre-de-Dius , 379.
— Cabanes, 381. — Arbres. Produc-
tions, 383. — Animaux, 387 Cli-
mat, 390. — Description des habi-
tante, 391. — Physique. Vêtement.
Tatouage, 392, 401 ,403. — Orne-
mens , 396. — Beauté de ^ femmes ,
400.— Leur vêtement, 403. — • Leurs
mœurs dissolues, 405. — Nourriture
des naturels , 410- — Pirogues , ar-
i9es, 412 , 416- — Ecbasses, 414. —
Ustensiles, étoffes, exercices, 417. —
Mœurs, 420. — Conjecture sur le
gouvernement, 425. — Comparaison
des naturels aux Taïtiens, 428.
Santa-Clara ( Mission et ville du
Mexique). Beauté du pays d'alen^
tour ), t. XIV, p. 354. — Maisons et
occupations des religieux, 356. — Sa-
leté , apathie des naturels , 359. —
Troupeaux. Bâtimens. Productions de
la mission, XIX, 330.
Saitta-Cnz (île, Brésil). Ville de
Nossa Senhora - do -Desterro. Inté-
rieur. Traitement des nègres, tom.
XVII, p. 35.
■Santa-Cm (archipel, AustraUe),
Voy. groupe Charlotte, ^les Edge-
eomb , Ho», Keppel, Outy, Portland,
Saata-Cruz, F^olcan, Trevanion,
Saiita-Cruz ( ile, archipel Santa-
Cru7. ). Découverte par les Espagnols ,
nommée île d'Egmont par Carteret ,
t. III, p. 125. — Description de l'île,
126. — Maisons communes, 127. —
Villages fortifiés, 128, 129.— Habitans
entièrement nus, 131. — Leurs ])iro-
gues, leurs armes, 135, 447- — Phy-
sionomie (Ié».igrén]>le des L<il)itans.
Leurs armes. Leur penchant au vol ,
XV, 225, 235. — Asi>cct de l'île, 228
235. — Ornemens, 232. — Animaux,
233 — Productions. Cases, 235.
452
TABLE GÉNÉRALE
S«m«'Fé-d*,'Bogo>a (capitale de la
Colombie). Saison»^ t. XLII, p. 394.
— Sitaation. Climat. Tremblemens de
terre. Maisons, 428. — Population.
Edifices publics. Dames. Pauvres. £a-
virons. Divertissemens, Caractère des
kabitans, 429.
Sanla-Isabella ( tie , archipel Salo-
mon). Découverte par Mindaua, tom.
I , p. 168. — Retrouvée par Surville,
III, 420, 430, 434.
Santa-JUaria nie , CbiM), t. XVilI,
p. 130.
Santa-Mariu 'île, Açores). Décou-
verte pnr les Portugais , t. IX, p. 157.
— Population. Productions, 160,
XX, 444.
Santa-Bosa (mission de Californie),
t. XIX, 305.
Santarem ( ville du Brésil). Rues,
Maisons' t. XLII, p. 67.
Santiago, Voy. S:'H-/a^o,
Santo-Joao-Ul-R»jr (ville du Bré-
sil). Histoire. Rues. Maisons. Popula-
tion. Edifices , t XLII , p. 272.
San'o-Jos^ (Tille du Brésil). Envi-
rons. Aspect, t. XLII , p. 262. — Si-
tuation. Maisons. Cathédrale, 263. —
Bizarres uolions de chronologie et de
géographie des habitans, 264- — Con-
cert d'amateurs, 266. — Soirée à l'Eu-
ropéenne , 267. — Répugnance pour
le mouton, 273. — Exemple des dé-
Îlorabl .>s résultats de l'esclavage ,
74.
Sanforin (île de l'Archipel), t. XLVI,
p. 95.
Sarana. Plante du Kamtschatka. Sa
description , t. XI, p. 406. — Son
utilité , 40g.
Saiansang (ville du Kaarta , Séné-
gambie ), t. XXV, p. 356.
Sara'oga (ville duNevr-York, Etats-
Uniit). Renommée de ses eaux, t. XLI.
p 270.
Sardaigne (île, partie du roy;iuine )
Etendue. Divisions, t. XLVI , p. 255.
— Monts. Sol. Rivières. Climat, 256.
— Piipiil.ttion. Ses progrès. Cagliari,
257. — Productions des trois règnes,
258. — Mœurs des habitans, 2â9.
Sardaigne ( royaume de ) Divisons.
Limite, t. XLVI, 265. — Le Piémont,
la Ligurie et leurs capitales , 266.
Sardalis (Vallée du pays des Tua-
rirk», Sah.ira), t. XX VU, p. 46.
Sari (capitale dn Mazandéran,-
Perse). Intérieur d'une maison, tom.
XXXV , p. 341 — Visites tkii prince.
Costume. Vie,342, 350 etsuiv. — An-
cienneté. Rnes. Mosquées. Croyance
sur le sycomore. Palais, 343. —
Collèges. Bains. Tour. Tradition fa-
buleuse, 344. — Populiition, 345.
— Appartemens, 346 Ravages de
la peste, XXXVII, 321.
ISariischeff {île , océan Glacial arc-
tique , Amérique russe). Découverte
par Kotzebue , t. XVII, p. 75, 79. —
Iourtes (maisons), ustensiles, 77,
XIX, 237. — Figure. Habillement
des naturels, 238. — Ornement la-
bial, 240.'
Sarrtigosse ( ville d'Espagne), tom.
XLVI, p. 174.
Sartine .(îles, Polynésie). Recon-
nues et nommées par La Pérouse,
t. XII, p. 223.
Saladou ( ville du Bambour, Séné-
gambie),t.XXV, p. 344.
Saundêrs ( tle , extrémité sud de
l'Amérique). Découverte par Cook,
t.ix,p 114.
Saundêrs ( îles de Charles-, Polyné-
sie). Découverte par Wallis , t. III,
p. 379.
Sauvage (île, Polynésie). Décou-
verte et décrite par Cook, t. VUI,
312 et suiv.
Savanes d'/tméiique , t. XXXVIII ,
p. 12. — Comparées avec les diverses
plaines dn monde, 371 et suiv.
Savannah (ville de la Géorgie,
Etats-Unis ). Environs. Aspect pitto-
resque, tom. XXXIX, p. 321. —
Arbres des rues , 322.
.Sacii ( île, Miilaisie). Ville et mai-
sons, t. VI, p. 427. 451, 432. — Des-
cription del'îl'' VII, 1. — Beauté du
pays. Arbres, Végétaux, fruits, 3, 13.
— Animaux, 4. — Katnrels du pays,
6. — Leur toilette, habillement, bi-
joux, 7. — Piquent leur nom su;
leur bras, 10. — Leurs maisons,
11. — Leur nourriture, 12. — Leur
vin, sirop et sucre de palmier,
13. — Leurs fourneaux économi-
ques, 15. — Ils mâchent du bétel
et de l'arec, 16. — Principautés de
l'île. Nombre de leurs combattans ,
l7. — Leurs armes , 19. — État des
lipfsonnes , 20. — Mtmument qn'é-
DES MATIÈRES.
4ôJ
lèv« olm>{uo raj:ih, un prince, 21.
.^ Fête et jeàoe à la mort du rajali ,
22. — 'Appareil* po'ir mnaipuler le
«■oton, 23. — Chaque JDAiilitire se fait
HOU dieu, 24. — Les Hollandais y
remplacent les Portugais. Leur traité
aveu leï rajahs , 23. — Le pays
ue mérite pas les éloges do Cook ,
XV, 86.
Sajconi, Détails historiques sur une
de leurs colonies de la Transylvanie,
t. XLIV, p. 107 à 110. — Leurs pri-
vilèges, caractère, 108. — Costume,
Maisons, 109.
Saxpan ( une des iles Mariannes ),
Sa description, t. III, p. 39, 47 et suiv,
Scandiamie ( ancien nom dn la Nor-
wége et du Danemark). Visitée par Pi-
thcus sous A'exaudre-le-tiraud , 1. 1,
p. 6. — Les Scandinaves découvrent
l'Irlande , l'islaude , les Ferovr , le
Groëulaud. Out eu des relations avec
l'Amérique quatre siècles avant sa dé-
couverte par Colomb, 10.
Scarl ( ile, .Polynésie). Décou*
verte par Wilson , t. XIII, p. 4'jl.
Sah , chercher à Ch les mots qu'où
ue trouverait pas à Seh.
Scharlkoud ( ville du Khorassau,
Perse). Son district, t. XXXV, p. 97.
— Prospérité, Fort, 155. — Popula-
tion. Température Prix des dearées,
15G.
Schara ( rivière de Mongolie, em-
pire Chinois ). Poissons , t. XXXIII ,
p. 34. — Rives. Temple , 36.
ScHEFFER. Son voyugc en Europe ,
t. XLVI,p.75.
Snheneutady (ville du New- York,
Etats-Unis), t, XXXIX, p. 46. —
Aspect animé , 48. — Domestiques ,
50.
Sohir z ( ville du Fcirsistan, Perse ),
Ravages du clioléra, t, XXXV, p. 24.
— Viu fameux, 25. — Aspect, envi-
rons stériles , 30, 38. — Intolérance,
31 , — Cupidité des fouctiouuaires, 35
et suiv,
Si!hismar«ff[ détroit, océau Glacial
arctiqueV Vêtemens, Ornement lubial
des naturels, t. XIX, 237, 239,240.
ScHuUTKit. Son voyage autour du
monde avec Le Maire, Voy. ee nom.
Schouten ( ile de l'Australie ). Dé-
jLiQuverte par Le Maire et Schouten ,
t. I,. p. 327.
Sehronlo 'ville du Bambour, Séaé-
gambie),t. XXV, n.344.
Schumagin ou ChoumagaliUM (lies ,
Amérique russe). Découvertes par
Behriug. Vêtement de boyaux de.t
naturels, t. XI, p. 5, — Construction
des canots, XIII, 335.
Scliwan (ville du Sindhy, Hindous-
tau) , t. XXXVII , p. 363. — Situation.
Population Ancienne grandeur, 364.
— Tombeau fameux, 365. ,r— Antique
château, 366.
Sch«>Mz (ville du Tyrol) , t XLV-
p. 380.
Scilly (Iles de, Polynésie), Décou-
vertes par Wallis, t, III , p. 380.
Ssorbut. Ses symptômes. Ses effets ,
t. Il, p, 125 et suiv. — Préservatifs,
12G, 135: 111,38, 109; XllI, 136.
— Plus dangereux sous les climats
chauds, VII, 344.
Serrât (lie de l'Arphipel) , t. XLVI ,
p. 97.
Sea-Oittr ou dei Loutres (Ile, mer
de Behring), t, XIX , p. 281.
Sel/zeiv')r(Yille du Khorassan, Perse).
Sa haute antiquité , t. XXXV, p. 178.
— Auecdote sur Mohammed-Fah ,
179. — Population, Bazar, 180,
Sechang ( îles , golfe de Siam ),
Presque désertes , t. XXXIV, p. 287.
— Huttes. Misère des habitaus. Nour-
riture, 288, — Productions , 291 à
295. — Belle plante. Ses énormes tu-
bt^rcules, 292, 294 — Mammifères,
295. — Oiseaux. Roches, 296. — Si-
tuation avantageuse de ces îles, 301.
Se'galien ou Tchoha^ ou Oku-Jesso
(ile, mer du Japon). Vêtement des
Indiens, t. XII , p. 364. — Magasin
de poissons , 365. — Raisons de croire
que les naturels connaissent l'écri-
ture, 367, 368. — Leurs connais-
sances, leurs arts, 372. — Leur figure,
373, 379. — Leur pauvreté, quelques
usages particuliers , 374. — Cabanes ,
376. — Remarques sur quelques mots
de leur langue, 377. — Niiturels et
productions de la baie d'Estaing, 378.
— Cirque , 380, — L'île deviendra
certainement presqu'île , 389, — Ses
différeus uouis , 402 note, — Com-
merce d'huile de baleine, XIII, 10,
194. — N'était point connue des
Russes quand La Pérouse la dé-
couvrit, 13. •— Race des naturels ,
*-*
454
TABLE GÉNÉRALE
15. — Laogne , muiique , 17. —
Mœuri 4>t couformation des oatiircls,
188, 193. — Vétemena, 190. —
Cases, ineubies, 191. — Animaux,
métiero à tisser, 193. — Aspect de
l'Ile , 19]. — Tableau comparatif de
la taille des naturels arec celle
des Mnntchous, 204. — Voy. cap
Crillon.
S'gg*'^*'* (oasis des Tibbons du
Bilma-Snliara), t. XXVH, p. 444.
Stgo (capitale du fiambara , Son-
dan). Formée de quatre villes. Forti-
ficatinns. Maisons. Canots, t. XXV,
p. 224. — Chants, 227.
Sego - Corro (ville du Bambara ).
Autrefois résidence du roi , t. XXY ,
p. 381.
Seikt (peuple de l'Hindoustan ).
Usages divers, t. XXXVII , p. 8,
394. — Leur ravages ,9,11.— Hor-
reur du tabac, 12, 33. — Couleur
favorite. — Costume et château d'un
chef, 12, 32. — Caractère. Figure ,
33. — Inimitié avec les Afghans, 56.
— Formes. Costume , 395 , 423. —
Exercice commandé en français , 395.
— Pratiques religieuses , 4w. — In-
tolérance, 407. — Chasse au tigre,
425. — Guérison des blessures , 426.
— Femmes , 431. — Leur cité sainte,
452. — Cérémonies de leur culte ,
453. Voy. Cachemire, Moultan, Pta-
jab , Funjeet-Sing, >
S*l (île de, île du cap Vert).
Étangs salés. Animaux , t. XX ,
p. 109.
Seleeh-Lenha ( village du Tigré ,
Abyssinie). Belle campagne , t. XXIK,
p. 242.
Selenghinskoï (ville de la Sibérie).
Fondation Vie des habitans, t. XXXI,
p. 281.
SEI.KIRK TAlezandre). Matelot écos-
sais délaisse dans l'île de Juan-Fer-
nandcz , recueilli quatre ans après
par Roggers. Son aventure a servi de
type au Robinson Crusoë , t. II , p. 8.
— Chèvre qu'il avait marquée à
l'oreille , retrouvée vivante trente-
deux ans après , 139. — Son bis-
toire. Mauvaise foi de Foë à son égard,
XX,60etsniv.
Seljrmnia (ville de la Turquie d'Eu-
rope) , t. XLIV, p. 67.
Selioin (Ile de la Norwége). Intré-
pidité des femmes des pécheurs
t. XLV, p. 136.
S*ma*aH (colline du pkys des Bot-
tentots ). Description du Sibilo ,
t. XXVI , p. 888.
Stmùa (ville du Soulimana , Séné-
garobie),t.XXVIlI,p. 78,108.
Stmendria (ville de la Servie , Tur-
quie d'Europe) , t. XLIV, p. 165.
Stmiu'que (race). Peuples qu'elle
comprend, t. XXXI, p. 19.
Semnoun (ville du Khorassan, Perse).
Étendue de son district, t. XXXV,
E. 97. — Aspect. Environ. Misérable
azar, 133. — Population. Antiquité,
134. — Précautions contre les Tur-
comans, 135.
Stndgal (fleuve d'Afrique). Décou-
vert par les Portugais, origine du
nom, 1. 1, p. 12, 23. — Voyage sur
ses eaux , XXII , 61 et sniv. — Voywge
à ses sources , XXVIII , 433 et suiv.
Voy. PoJor.
S^négambi» (pays d'Afrique occi-
dentale). Colonie anglaise Voy. SUrra-
Leoiu, t. XXU, p. 40. — llabitans,
45. — Armes, 48. — Conseils du roi.
Habillement , 52. — Ornemens. Ma-
riages. Jidousie , â4. — ■ Funérailles.
Amusemec!*., 56. — Religion, 58. —
Baobab , arbre prodigieux , 62. —
Animaux , 64. — Mœurs des nègres,
69, 71. — Vêtement. Nourriture, 70.
— Assemblées ,71. — Chants , 73. —
Purrah ou confédération guerrière ,
75. — Commerce, religion , caractère
des Feloups, XXV, 24, 34. —Mar-
chands d'esclaves, 27, 43. — Établis-
semcns européens et leur commerce ,
42 et .suiv. — Amulettes, 57, 62. —
Arbres , 62. — Respect pour les an-
cêtres, 65. — Climat, 286. — Bois ,
288. — Population , 288. — Circon-
cision, 291. — Polygamie, 293. —
Source de l'esclavage , 309. — Com-
merce, 306. — Chasse de l'éléphant,
307. — Loi sur les dégâts des ânes ,
367. — Atroce tr.iîtement du roi pri-
sonnier, 381. — Pays de Kabou , ar-
chipel des Bissagots, XXVIll ,441-—
Sources de ses rivières , XXIX , 433.
Voy, royaume de Bambara , Bambouck^
Bamhour , Barra , BonJou , Casson ,
Dentilla, Djimhala , Fouladou , Fou-
tadjallon , Foula - Toro , Galam ,
KaartOf Kamkoitg, Kouranko, LuJa-
DES MATIÈRES.
465
mar, Mamiiitm, Ttitda, Tlmani, fFonlU ,
YaiU, Peuples : fonlahê , Jaloft ,
JUaarti, Straeoltts. Rivière* : Gambit,
Krieko.
Stmtn (Ile de la Norwéf;e), t. XLV,
p. 169. — Hameau de Kiuven. Sol.
Population de l'ile, 173.
•ÏMiaar (royaume de Nubie).yoyage
dans l'intérieur, t. XXIII, p. 468 et
snir. — Jolie Tille de Beyia , 474. —
Meurtre habituel des collatéraux de
la famille royale. Successibilité , 481 .
— Couleur des enfuns, 482. — Fi-
gure des babiUus. Keligiun, 483. —
Le roi laboureur, 485. — Climat. Pr»
ductions , 486. — Influence du Mil ,
487. — Armée , 489. — Aspect ,
étendue , mauufactures d'Halfuia ,
491. — Campagne, XXV, 445. —
Productions. Teint, formes et carac-
tères des habita us, 446. — Le roi
cultivateur , 447. — Toilette des
femmes. Circoncision. Excision, 448.
— Mariages, 449. — Funérailles.
Usage du tabac. Nourriture. Véte-
mens. Amulette. Armes, 450. Voy. Nu-
bas.
Semaar (capitale du Sennaar). Pa-
lais du roi , t. XXill , p. 480. — Mor-
talité des animanx, 484. — Popula-
tion. Maisons. Climat, 485. — Véte-
inens, 487. — Usages. Nourriture ,
488. — InnotMilation. Commerce ,
490. — Site. Maisons, Campagne ,
XXV, 445.
5«/;/i«/-(/(ile8, archipel des Nouvelles-
Hébrides ). Déitouvertes par Cook ,
i. Vni,p. 350.
Sequata:\eo. Voy. Cheqatam.
Serabcuze (ville du gouvernement
de la Tauride, Russie d'Europe) ,
t. XLIV, p.403,404.
Séraoolett ou Sérau/oullis (habitans
du Galam , Séaégambie). Teint. Com-
merce , t. XXV, p. 83. — Langue ,
84.
Serampour (établissement dauois du
Bengale),!. XXXVI, p. 32.
Seran (ville du Bischur, Hindous-
tan). Situation, t. XXXV, p. 477. —
Animaux des montagnes. Cornes sa-
crées. Pierres levées. Sculptures , 478.
Serdte - Kamen ( cap de l'Asie ,
nord-est). Nommé par Behring, t. XI,
p. 80.
StrtHa (la , port du Chili). Habi-
tans. Climat , t. XLI , p. 406. —
Mines. Sol , 406.
S*rl« (Ile, archipel Dangereux). Na-
turels. Leurs armes , t. XIX , p. 156.
StroHg* (ville du Malwba, Uia-
dottstao). Étoffes renomméet, t. XXXI,
p. 66
Strpulehe/ (ville du gouvernement
de Moscou, Ra1^ie d'Europe). As-
pect. Formes. Églises. Marché,t. XLIV,
p. 361. — Ptmulation. Rivière Images
des saints , 362.
SttUdgt (rivière affluent de l'Indni,
Chenab). Sable aurifère, t. XXXY,
i>. 458. — Singulière espèce de pont ,
172. — Aspect do l'Himalaya et des
plaines du Penjab, XXXVII, 4. —
Jolies maisons de» rives. Habitans , 5.
— Fertilité , 6. — Son état après sa
jonction avec l'Hypbasis , ib. — Son
embouchure. Ses eaux, 391. —Son
doab dans le Penjab , 458.
SivattopoU (ville du gouvernement
de la Tauride , Russie d'Europe). Sa
description, t. XLIV. p. 413 à 415.
— Cavernes d'Inkerman , 413,
Sf9ilh (ville d'Espagne), t. XLVI,
p. 178.
Styehtllêt (Iles , Afrique est). Dé-
couvertes par des caboteurs français:
île Mahé. Enormes tortues , t. XVIII ,
p. 427. — Bœufs. Belles forêts. Regret
des Français , 428.
Seyer (îles, mer du Bengale). Si-
lence remarquable. Bois. Absence
d'oiseaux , t. XXXIV, p. 6. ■— Struc-
ture , 7. — Productions. Chauve-
souris, 9.
5«Wa«rf(îledelaNorwége), t. XLV,
p. 201. — Imposant aspect en hiver,
276.
Shahjthanpouv (ville du Rohilcund ,
Hindoustan). Environs ' XXXVI ,
p. 205. .— Édifices, 'bazc-i cpulens ,
206.
Sharjr (rivière du Soudan). Belles
rives. Animaux. Ile Joggabath, tom.
XXVII, p. 241, 252.
Shaw. Son voyage dans les^ Etats
barbaresques, t. XXII, p. 180-
Sher-Bell ( ville de l'Algérie,). Son
ancienne magnificence, tom.' XXII,
p. 184.
Shetland du sud ( nouveau, archipel
de l'océan GlaciaVantarct.)., Quelques
gisemens, t. XXI , p. 226. — Sa dé-
4r>6
TABLE GÉNÉRALE
vuurertf. Sa deiiuri]>tion, 260. — Plio-
quet. C<inim«rce do fourrures, 262 et
kuir. — Ile Smirb, 271. — Nommé
Un» du mont Pi»gRli, par Fauning,
452. — Terre de Pulmer, 454.
SAiaii (vallée duFezzan), I. XXVII,
p. 42.
Shihof (jieuple d'Abyisinie), Carac-
tère. CA>tuu>e, t. XXIII, i>. 198.
Shoa (province de 1 Abjrskiuie 1,
t. XXtII,p.329.
Shotkot* (ville du Penjab, Hindous-
tau). Ruines. Traditions. Souvenirs
d'Alexandre, t. XXXVII, p. 419. —
Monnaies antiques, 420.
Sohi (ville du Kaarta, Sénégambir),
t XXV, p. 359.
Shouat (peuple des environs du lac
Trbad , Soudan). TentCM. Mœurs.
Nourriture. Cani|>s, t. XXVII, p. 2!)4.
Shouas-Ûugganahs (tribu d^sSIiouait).
Physionomie , t. XXVIl, p. 290.
Shoiias-la-Sala ( tribu des allouas ).
Défont lesbeikdu Bournou, t. XXVIl,
p. 288 à 300.
Shoiymbab ( ville du Moultan, Hin-
doustan), Fortifiratîons. Rues. Fou-
dation, t. XXXVII, p. 399.
Showy (ville du Bournou, Soudan).
Jeux des filles. Danse des bommes ,
t. XXVIl, p. 285. — Girafes, 301.
Shuruks (ville de la Tnrconianie ,
Tatarie indépendiinte ), llabitans ,
t XXXVII, p. 259, 267. — Environs.
PIanteà8uif,266.—Toiiibciiu de saint,
2fi7, 271 —Forteresse. Juifs. Huttes
de Turcoiuans, 268. — Sol. Produc-
tions, 209 — Belle tente, :i72. — Fes-
tins, 275. — Armes, 277.
5 AI» (royaume de l'Indo-Cliine ).
Voyage du Laloiibèi-e : productions.
Miue.'i. Agriculture honorée, t, XXXI,
l>. 211. — Maisons. Absence d'actes
publics, 242. — < ôte occidentale,
XXXIV, 11. ~ Arbres, 12. — Ani-
maux, 12 — Ambassade anglaiïic, 122.
Voy. Fyn'a.son. Puissance du roi, 136.
— Klt'phans blaocs, 160.Î 163, 281.
— Singes blanc.-, 161, 281.— -Mono-
pole du conimetcc au profit dû roi,
178, 213. — Kinigraus de Chine, 178,
180. — Orand coiiinierce de sucre,
179. — Politiijiie .lu sujet du com-
merce 176, 180 à 190. — Traitement
et obsè(|ues du corps du roi , 2''i9 à
253, 257. —Histoire , 262. —Moyen»
de défense, 265. —Revenus , 2C6. —
Daims et buffles blanc*. 281 Mar-
souins, tigres, léopards, 282. — Goii-
vcrnement, 281. — FIcuve.i. Monta-
gne», 449 et suiv. — Sol. Reuseignc-
men» sur le Laos, 452. — Langue,
453. Voy. Bankok, capitale; thani'.
bond, Fukok, JUiinam, Paeknam, Pan-
Jaiig, Sechang,
Siam ou Yuthia (ancienne capitale
du royaume). Visitée par les Portu-
gais dans le xvi* sièilc, t. 1, 107. —
Ravagée par le» Birmans. Le siég-j du
gouvernement est transporté à Ban-
kok, t. XXXIV, 221.
Siamois. Mœur;*. Caractère, t. XXXI,
p. 241, 242. — Coiffure, XXXIV,
115- -^ Soins ])our avoir les dents
noires, 115. — Figures/115. — Cos-
tumes, 116. 148. — Conservent les
corps pour les brûler, 118, 2Î9. —
Usages dans les visites, 138, 196. —
Respect pour les élépbans blancs ,
163. — Do leur goAt artistique com-
paré à celui de Ceyian, 166. — Céré-
monie religieuse de l'enfance, 170,
199. — Politique au sujet du com-
merce, 180 à 190. — Musiqne. Ins-
trumens , 202 et suiv. — Nourriture,
mangent de la viande, mais ne tnenl
aucun animal, 230. — Sont de race
roogole, 239. — Traitement des morts,
246 à 253, 257. — Astrologie. Su-
perstitions, 254. — Lois, 259. — Sm-
l'adultère, 260. Sur le vol. Les dettes,
261. — Numération, 267. — Calen-
drier, 268. — Fête de la lin de l'an-
née. Divisions des années , 269. —
Religion, 270. — Commandcniens de
Bouddha ( siamois et français) , 272.
— Arrogance des hautes classes, 284.
— Bonté du peuple, 285. — Infério-
rité des femmes, 310.
Sibidoulou (ville du Manding, Sé-
négambie 1 t. XXV, 275, 295.
Sibérie (j)artie de la lVu>«ie d'Asie).
Voyage dans l'intérieur. Etendue,
t. XXXr, 242. —, Fonderies, 243,
261 , 266. — Mines (le enivre , 215.
■^Cousins insu])p(irlitbles, 260. .Step-
pes , 262. — Fameux. la<r s;ilé, :263.
— Superstitions, 207. — Tonnk : eoni-
inerce. Vieux cr(»yans, 272. — Les
Sinscliiwies, 27C. — Les Bnrètes,
277.--Le»«ralskis, 278. Péages. Lnc
Baikal honoré des naturels, 279. —
UËS MATIÈRES.
457
Puudation d« Seleagbinkkoï. — Vie
do set liubîtans, 281' — Frontière de
lu Cbine, 280. 293 et «uir. — Cmn-
|iagae. Pun de différence af«e les en-
Tirons de SaiatPétersbuurg, 292< —
Barnauul, 293, — Mont Altaï , 291.
Vojr. IiHiuik , trkoulik , Kuinttx ,
Oïliaks, SamnjriJn, Tatarti^ Toboltk,
Tungt usti.
Sibikiltin (ville du Tenda, Séné-
gambie), t. XXV. p. 339.
Sibilo. Description et usage de ce
minéral, t. XXV(, p. 589.
Sibnitbatki (ville du Rengule , Hin-
doustan ). Riiiups. Enfans de brali-
mines, t. XXXVI, p. 48, 51. — Pa-
gode», 49 ot suiv, — Rajab, 52.
Sibourkalch (ville do la Hongrie,
empire d'Autrirbe), t. XLIV, p. 123.
S ht (ville d'Arabie), tom. XXlIf.
p. 144. ;
.S'iV<7«(ile du royaume deNaples)
Voyage dans l'intérieur , tom. XLVI,
p. 195 et siiiv.
Sidon (ville de Syrie,Turq. d'Asie).
SitniKion, t. XXXII, p. 443. — Cbâ-
teuu. Climat. M&riers, 444- — Voy.
Mnr-El as.
Sierra- liront (colonie anglaise de
.Scnégiunbiej. Tatouages, dents limées
des naturels. Produc^tions, t. XXII,
p. 40. — (]limat. Alligators , 43. —
Mœurs, usages, assemblées publiques,
44. — Visite à l'étiiblisscmeut des nè-
gres délivrés. Progrès de la colonie ,
375. — Freetown, capitale, 376.
Sikchf {lie du Japon), t. XII, p 333,
XXXI, 114.
Sikie (ville du Deibi, Uindoustau).
Son nawab, t. XXXVI, p. 288.
Simliat ( île , arrliipel Snlom^n ).
Momuiée Arsacide p.ir Survillu. Su
description. Ses iiabitans, tuin. III,
p. 434.
Simfia (ville du Kouranko, Séné-
gambip). Ménestrel. Assemblée pU-
J.lique, t. XXVni, p. 52. — Maisons,
Us.ige dcsagré.<ble, 54. — Duusc.s, 55.
Simoun ou Kamun (veut pestilentiel).
Ses effets. Piiys où il peut régner. Son
origine, t. XXII, p. 254,— ' Ses effets,
Kemèdes, XXXVII, 78.
Simpson (ile de, Australie). Décou-
verte par Larteret, I. III, p. 137.
Sinff (ville de la Chine', t. XXXIII,
p. 178.
SlMt (mont de l'Hedjai , Arable ),
t. XXlIt, p 1S3; XXXII, 375.
Sineapor* (Ile, détruit de Malaca },
Progrès de la colonie anglaise , tom.
XVIII, II. 399. — Population. Den-
rées. Ville. Climat, 400. -^ L'Ile don-
née en présent de noces, puis vendue
à la compagnie des ludes orientales,
438. — Description de l'Ile et de U
ville. Denrées. Productions, t. XX,
409 et SUIT. — Situation sans pareille,
XXXiy , 47, 60. — Sérénité de l'at.
mospbère, 48. — Salubrité du climat,
50. — Ses effets sur les animaux et
les végétaux, 51 à 53. — Plantes ram-
pantes, 52. — Animaux curieux, 54
et suiv. —Végétaux, 57, 58. — Plante»
marines, 57. — Fabrication du cate*
cbu, 58. — Rare mulaie, 60. — Man-
groves, 62. — Leur utilité, 64. —
Maisons , nourriture , caractère , co-
lons chinois , 66i 76. — Leurs jon-
3ues , 73 i 76. — Caractère , maurs
es Malais, 76 à 80. — Description
de l'établissement anglais, 81, — Su-
perficie de l'Ile, XLIII, xlix — Si-
tuation de la ville. Animaux. Tempé-
rature agréable do l'Ile , I. — Fou<la-
tion et rapides progrès du commerce
de la colonie, li, liij. — Dispropor-
tion des sexes, li, lij.
Sind. Voy. Indus. _
SindUx ou Sinde (Ktat de l'Hindous-
tan). Ses eûtes, et les embourhiire.s
de rindus, t. XXXVII, p. 342 jt
suiv, — Souvenirs d'Alexandre, 343 ,
377, 378. — Lieu de pèlerinage , 352.
— Barques , 355 , 378. — Lieux
divers , 355 , 366. — Stérilité entre-
tenue p:ir les émirs, 356. — Canot de
l'émir, 363. — • Caractère , religion
desbabitans, 307. — Tribu des Ue-
louebfs, 369, 373. — Portrait des
chefs du pays, 373- — Leur impo-
pularité, 374. — Nourriture des Iia-
bitans, 381. — Malpropreté, 382. —
Cliauuiières eu roseaux, 584. V. Alore^
Hydrabod ^ capitale; A'/!;T^oijr, Schu/an^
falah.
Singes blancs. A Siain , t. XXXIV,
p. 161,281. — Se trouvent aus.-.i à
l'Jle de Célèbes , XLIII , Ixxiij.
Siout (ville de In Haute-Egypte).
Ruines, t. XXIII, p. 85-
Siphante (île derArchipel), t. XLVI,
p. 94.
m I
468
TABLE GÉNÉRALE
A'r/ (fklU «t province de l'Abyt-
■inie). Situaliim. Miitoni. Maladiet ,
t. XXIti, i>. 214. — Étendue de la
*Ule.825.
Sirii. Voy. TaeaMié.
Sitirait ( port d« l'Ile Lncoo) , t. XIII,
p. 206 i 212.
Siticm (ville de U Bulgarie , Tur-
quie d'Europe) , t. XLIV. 228.
Silka ou lioitttl'Arehangtl (Ile de
l'Aniérique leptentrionale oueit ).
Principal établiMement de la Corn*
pagnie rusie américaine , t. XVII ,
p. 401. — Climat, 403 , 404. -.
Dottux arbrei. Richetie du Sol. l'oi»>
«ont, 405. — Quadrupèdes. Cbatte
de la loutre, 406. — Horrible laideur
de» naturels , 400. — Vêtement. Ta-
touage, 410« 410. — Ornemens in-
rnittét, 412. — Saleté de» butte»,
413.— Dégoûtante nourriture, 414.
•.— Guerres continuelles. Demeure»
temporaires, 415. — Occupations des
femmes et des hommes. Veugeance.
Férocité, Noces. Funérailles, 416. —
Religion , 418. — Amour du jeu ,
421.
Siuan-Hou<^fou (ville de la Cbine).
Fortification». Rues. Étendue. Produc-
tions. Animaux du district, t XXXIII,
p. 172.
Sk*ll*ftia (ville du Nordland sué-
dois), ». XLV, II. 530.
Skiddy (récit de , lies Carolines).
Découvert par Morrell , t. XX ,
p. 228.
Sktddx ( groupe , Iles Carolines).
Découvert par Morrell. Son nom in-
digène est Mamoulouk , t. XX ,
p. 230.
Sririter. Ses excursions dans l'Hiu-
doustan et les monts Himalaya ,
t. XXXVI, p. 440.
Skager-Rale, Détroit entre le Jnt-
land et la Norwége , t. XLVI , p. 8.
Slaichiwiei, Peuple de la Sibérie ,
t. XXXI, p. 276
Snall-Key (île de la Malaisie). Dé-
couverte par Wallis, t. III, p. 396.
Smarang. Jolie ville de l'tle Java.
S:i description, t. XIII , p. 433.
Smith (ile du Noaveau-Slietland,
iiustral ). Nommée par Weddell ,
t. XXI, p. 271.
Smolensk (ville et gouvernement de
ia Russie d'Europe), Description des
fortifications de la ville. Intérieur de
la ville. Catbédrale, t. XI.VI, p. I4|.
— Faubourg de Wolkousky. Poiiuln-
«on ,142.
Smym» (capitalede l'Anatolie, Turu.
d'Asie), t. XLIV. t. 285. — VUUgo
voisin de Dourlacb , 288.
Snam ( Iles , Nouvelle-Zélande ,
sud). Découvertes par Vancouver,
t. XIV, p 57. — Nommées ile»
Knlglit par Broughion , 67, 88.
Snêthaliam (mont gigantesque du
Dovrefield , Norwége) , t. XLV, p. 75,
oO.
SMt»ttrg*n (mont de la colonie du
Cap), t. XXIX, p. 7, 11. — Auimaui,
13.
Sotlitd (archipel de la , Polynésie).
Découvert par Cook , t. V, p. 325 ,
355 et suiv. ^ Pirogue remarquable,
329. <— Coffre semblable à Varcbc
d'alliance, et appelu Maiton d* Dita ,
330, 336. — Politesse envers le«
étrHugers, 345. -~ Danses siugulières,
546 , o53. — Description de ces Iles ,
356 et suiv. — Héavas ou représen-
tations dramatiques, VIII, 5* 7, 15.
20.— Chair des porcs de cet archipel.
Causes de leur rareté , 28. — Sacri-
fices humains , 29. — Dégoûtante
pré|>aration de la liqueur ava ou kava,
31. — Quelques erreurs corrigées
touchant les femmes, 32. —Compa-
raison de cet archipel à celui des
Amis, 75. — Arrdojri, sociétés se-
crètes, leur immoralité, 263, 272, 274
et suiv. — Religion : les habitans
croient à un Dieu suprême, à des di-
vinités inférieures , à l'immortalité de
l'âme, 295. — Nom qu'ils donnent
aux pensées, 296 note. — Prêtres ,
298. — Cimetières de famille, 301.
— Bonnes qualités des habitans , 303.
— Romt» , tratlrmcnt contre les dou-
leurs de nerfs , X, 155. —' Usage du
bi'tiauicr dans diverses cérémonies ,
ICI. — Respect pour les dieux , 237.
— Productions particulières des Iles.
Religion , 252. — Singulier usage de
l'ile Mataecra. Mariages , 253. — In-
sulaires ne font point des voyages de
long cours , 255. — Mœurs et langue
semblables à celles des habitans des
îles Sandwich et des Ami», 351. —
Comment la même nation s'est ré-
pandue sur toute la mer Pacifique,
DES MATlfeRES.
4&0
33S.— Mittioanairfltanglleant, XVII ,
'266. — Etablittement de la raligloa
anglicaae.WI et inkr. Voy. Iles Bo-
Ifi/folM , Èimm , GalUi , Hu»k«iiu ,
Otaha, Ontmbrutk , TéUi,Th*Ur90 ,
UlM*a.
Sc«kiu (ville du Fexian], Bnnnei
dattes. Population. Pemmea aimable»,
t. XXVII , p. 5. — Hubilleineot de*
fommei, 6. — Nooei , 15 et «uiv.
Soeoiorn (Ile , à l'entrée de la mer
Hooge). Cuniia t'en empare. Cl)ri(-
tianitme jaoobite établi. Cirronciaion.
Conrage det femmtt, t. XXII , p. 14.
15.
Sotha (capitale det Druies orien-
taux, Syriej , t. XXXII , p. 429.
Sottdad (lie, une dei Malouinet).
Sol, Abondance de gibier, t. XVIIl,
p. 117 et «uiT.
Solitairt (lu , ilo Polynétie). Décoo-
Terte pur Mindunn , t. I , p. 205.
Somini (riMo du Bambara) , t. XXV,
p. 263.
Sondag (rivière du cap de Bonne-
Espérance; , t. XXIV, p. 114 , 222.
SoHdtrJitldi ('partie de l.i Nr.. «rége^.
Voyage dans le pays , t. XLV, p. 40
Il 82. — Forteresse de Kongsvinger,
42, 44. — La fête de la Saint-Jean ,
42. — Le Glomcn, 42 . 45, 47. —
Cbevaux. Moutons et chèvres qui se
croisent , dit-ou , 48. — Mines , 54. —
Forêts. Le mont Mastberget , 55. —
Belles vallées, 56. — Aspect des
chaumières , 58 , 61 • — Le Miœson et
antres lacs, 58. — Villages , 61, 65 <
66. 68. — Population et culture de
l'Hederman et du Guldsbransdal, 61.
— Storhnmmer, 62. — Le mont Syn>
fricld , 62. — Agilité des auimiiux
domestiques, 63, 64. — Torrens ,
65. — Chutes de la Moxa, 67. —
Une ferme et ses curieux habitans ,
69 et suiv. — La chaîne du Dovre-
field, 72. Voy. ce nom. — Tofte, 73.
- Merles noirs. Pluviers , 76. —
Elans , rennes , 76. — Jerkin , 78. —
Fiell-farei, 82.
SoirKERAT. Son voyage aux Indes
orientales , t. XXXI , p. 337.
Son/orol^ Sansei-ol ou Saint-André{\\ci
(lu groupe Pelcvr). Découvertes par
P.idilla, t. II, p. 28. — Croix plantée
parles missionnaires, 51.
Soobrodouka (ville du Bondou , Sé-
négamble), PAcbe et préparation du
poisson , t. XXV. p. 70. — Blé , 71.
Saphlm (capitale de la Bulgarie ,
Turquie d'Europe). Bains < ' auds des
femmes , t. XLVI , p. 85.
Sotvt (Ile J.1 Pinmarck . Norwége),
-— Aspect vi^'aul de la baie d'Hasvig ,
t. XLV , p. 196. — MonUgnes , Sfl.
— Etendue. Habitans, 252. — Aspect
en hiver, 270.
Soubo-Sumùounim (ville du Konran-
ko , Sénégambie ), Belle situation ,
t. XXVIII, p. 51.
S0U'Ck»ii.Fo» (ville de la Chine).
Rnes divisées par det cananx. Bean
surnom , t. XXXIII , p. 479. — Belles
femmet , 480.
Soudan ou Nigritit (centre de l'A-
frique ). Ses négresses, t. XXVII ,
p, 0.— Sources de set riviirei, XXIX,
p. 433.
Soudan on NigrltU Voy. lei Etett
suivant : Bamhara , fitgharmi , Pour-
gou , Bountou, Boulin, Cuttup, Dat'
four, Haouiia, Kantm, Kaito , Kiama,
Loggun , Mandata , Niff4 ^ Ttmhouetou,
Ztg-Ztg. Les tribus de Biddomahi ,
3lungowitni,\Shouai, Tibbout. Les fleu-
ves de Niger, Shart, et le lac Tehad,
Soufre (Ile de, Polynésie). Décou-
verte par Gore. Aspect, sol, t. XI ,
p. 463; XXI, 58.
SoiiUmana (province dépendant du
Manding, Sénégambie). Vnvage dans
l'intérieur, t. XXVIII, p. 74. — Ko-
mia, danses, jeux, 76. — Semba ,
78, 108. — Horbe très haute , 79 —
Montagnes pittoresques , 81 . — Chants
de guerre, 84 et suiv. 91. — Serpent
apprivoKié, 92- — Danses, 105. —
Sangouga. Demeure d'un chef, 97. —
Travaux domestiques. Punition des
crimes. Privilèges des femmes Funé-
railles. Saints , 106. — Instruinens de
musique, 108. Voy./'ataia, capitale;
Konkodongore.
Soulhampton (île, mer d'Hudson) ,
cap , ff^elifotd , Dent, Thomson, tom.
XL , p. 384. — Oiseaux , 385 —
Cap Bylot, 386' — Animaux de mer.
Traces d'habitans , 387. — Produc-
tions , 387, 388. — Oiseaux , 388. —
Baie du Duc-d'York , 389. — Rocher
Fife. 398.
Spiirte (ville de la Grèce"^ , t. XLV,
p. 208.
TABLE GÉNÉRALE
4({0
SpeHtla (royaume de Tuais). Ruines
antiques, t. XXII, p 193.
Speixia (ville de la Grèce), t. XLVI,
p. 213.
Spilberg. Sod Toyage autour du
monde , 1. 1, p. 274. — Bat la flotte
espagnole , 277.
Spiridoff (Ile, Polynésie). Décou-
verte par Kotzebue, t. XVII, p 45-
Spitzberg. Sai&ons et leurs pUéiio-
mènes, t. XL, p. ij et sniv.
Stabmek (capitale de la Guiane an-
glaise). Prospérité. Rues. Ponts. Mai-
sons , t. XLI , p. 229. — Boutiques ,
hàteU , plantations , 230. — Les vam-
pires , 237. — Hangar des Indiens ,
250.
Stahoual on- Satalutual (lie , Polyné-
sie), t. XVIII, p. 181.
Stanhufe ( lady ). Visitée par
Buckiiijjbam, en Syrie, t. XXXH',
p. 443. — Achète le couvent de Mir-
Ëlias. Sa sociéîé. Sa vie. Sa figure ,
444. — Opinions du peuple sur son
compte , 446.
Staiobelsk (ville du Voronedje ,
Russie d'Kurope ). Environs. Rues.
Maisons. Églises , t. XLIV, p. 4ô7.
Stavropole (ville du Caucase, Russie
d'Europe) , t. XLIV, p. 44J.
Stegen ( île de la Norwége). Ses
Ciiverues, t. XLV, p. 164.
Siellemùosch (bourg de la colonie
du cwp de Bonne-Espérance), t. XXIV,
p. 46. — Bel aspect. Rues. Maisons* ,
XXVI, 79.
Siephens (îles de l'Australie). Dé-
couvertes pur ( arteret , t. III , p. 164.
Sef/ip's (plaines ). Lçur descrip-
tion, t. XXXI, p. 262. — Nourriture
des lia Intans de celles de la Mon-
golie, XXXllI, 48. — Steppes de
l'Oréuoque. Leur coiiiparaisoii aux
Savanes, déserts, etc., XXXVIII,
371 et suiv. — Steppes de Russie et
du Kouban, XLIV, 386
Sterzing (ville du Tyrol) , t. XLV,
p. 386,
Steu/art (île, Nouvelle-Zélande),
t. XX , p. 173.
Stoekbridge (ville du Mas..iaclinssetts,
États-Unis). Esprit d'iudépeiulancc ,
t. XXXIX, p. 133. — Concours des
comices agricoles. Fêtes, 134. — Usage
immodéré des liqueurs fortes, 138.
S>o-!;holM (capitale de la Suède),
Pourquoi cette ville parait triste,
t. XLV, p. 16. -;- Situation. Asjject ,
17. — Curiosités qu'elle renferme.
Grandes revues, 18. — Usage de la
langue française, 19. — Indolence
générale, 19, 20. — Situation de la
ville. Beau points de vue. Le port
Maisons. Le palais, XLVI, 152. —
Aspect imposant, 291.
Storch. Ses voyages , t. XLVI ,
p. 155.
StorJal (rivière du Nordeufields ,
Norvège J, t. XLV, p. 102.
Stor-Hammer (ville du Sonderfields,
Norwége^. Son ancienne opulence ,
t. XLV, p. 62.
Slot (île de la Norwége). Poissons
noirs. Sol. Oiseaux, t. XLV, p. 139.
— Le mont Kunnen , 140, l4l.
Sioubal (île , groupe d'A-Ur). Dé-
couverte par Kotzebue, t. XVII, p.201.
— Femmes prennent part à la guerre,
203.
Stuart (île , mer de Behring). Dé-
couverte par Cook , t. XI , p. 99.
Stitrt. Son voyage dans l'intérieur
de l'Australie méridionale , t. XLIII ,
p. 168. — But du voyage, 178. —
Explore le cours de la rivière Mar-
quarie, 179 à 226. — Entrevues avec
les naturels, 187, 191, 193 et suiv.
212, 228, 249, 256, 270, 356. —
Nommeleplateau d'Oxley et le groupe
d'Urban , 217. — Nom donné au mont
New-Ycar, 220. — Nomme les mon-
tagnes Violettes , 236. — La rivière
Darling , 255 — Résultat du l*""
voyage . 276 , 279. — 2* expédition
sur les rivières Morunibidje et Murray,
279. — Entrevues avec les naturels ,
290, 295, 297, 303, 309. — Découvre
et nonim«r la rivière Murray, 342 à
322. -- Démonstrations hostiles des
naturels, 313 à 320, 335, 346, 351.
Découvre l'embouchure du Darling ,
321, 324, 363. — Nomme le Rufns ,
327. — Collision avec des naturels ,
351 , 3-57 et sniv. — Découvre et
nomme le lac Alexandrina , 334 , .'^66.
— Collision avec les n.iturels , 354 ,
357 et suiv.
Styrie (province de l'empire d'Au-
trirl.e) , t. XLVI , p. 229.
Sunkem (port de la Nuhic). Impor-
tance de son ancien commerce ,
t. XXIII, p. 164 et suiv.
k
DES MATIERES.
401
XLvr,
SiiiJ* (royanme de). Voyage dans
l'iatérieur, t. XLV, p. 1. — Attraits
pour le Toyagenr, 2. — Manière de
voyager, 6- — Forêt» de pins, 7. —
Lacs, 9, 15, 37.— Animaux san-
viiges ,11, 39. — Origi ne de ses lacs ,
12. — Forêts, 14, 23, 32, 55. —
Armée, 19. — Usage de la langue
française, 19. — Auberges , 25 , 26.
— Hontes , 28. — Soirées et nnits de
Suède, 29, 30. — Mines, 31. —
Pourquoi on voit si pcn de gibier en
ce pays où il y en a tant , 39. — La
fête delà Saint-Jean, 42. — Monnaie,
46. — Rapidité de la végétation , 56-
— Extrêmes chaleurs, 57- — Langue
comparée à celle de Norvrége et de
Dîinemark , 98. — Titre de/rue^ 286.
Lacs , XLVI , 14 — Voyage dans le
pays, 151. — Voyage de Dnumont.
Helsingborg , t. XI.VI, p. 288. —Bar-
rières des routes. Monnaie nationale.
Joenkoeping. Lac Wetter. Petitesse
des lits Suédois. Linkoeping , 289. —
Bêlais de poste. Célérité du voyage.
Aspect grandiose de la contrée , 290.
— Norkoeping. Villes de Suède man-
quent de monumens durables. Mai-
sons, Traits de mœurs , 291 et suiv.
— Pains faits en partie avec de la fa-
rine d'écorce d'arbre , 293. — Rigi-
dité de la police et de la douane ,
294. Voy. DaUorlie , Gothie , Nord-
land, Norvège, Scandinavie , Slochholm,
Suède (partie du royannie de Suède).
Voyage dans le pays, t. XLV, p. 13 à
40. — Orebro, 13. — Lugubre forêt
de Kaaginr, 14. — .irboga. Cathé-
drale de Westeras Lac Mœlar, 15. —
Villages, 16, 37, 39, — Stockholm,
16. — Voiture, 21. — Insectes em-
pestant les forêts. Enormes fourmi-
lières .23, — Forêts consumées par le
feu , 24. — Bonté des paysans. Es-
tkisltuna , 25. — Smaby, 27. — Carl-
stadt, 31. — Lac Vermelen , 37. —
Ravages des ours, 39. — Hudikswall.
Gefle,.533. — Chutes d'Elf-Karleby.
Restes de Linnée, 331. — Lac Malar
335.
Stiè'dois. Usage de la langue fran-
çaise, t. XLV, p. 19. — Aptitude
pour apprendre tontes les langues ,
20. — Affection pour leurs chevaux ,
27. — Chaumières des paysans , 33.
— ITsages qu'ils tirent du bouleau ,
34. — Lenr costume. Leur caractère.
Leur nourriture, 35. — Différence
entre le Suédois et le Norvégien.
Ressemblance des montagnards de
tous pays, 41. — Repas, 152, — Ca-
ractère des danses , 335 — Suédois
ont chacun leur voiture , XLVI , 290.
— Leur caractère. Grâce et attraits
des femnes , 293, — Suivent les
modes parisiennes, 296-
*«« (ville d'Ég.j, t. XXII, p.274.—
list dénuée de provisions, 279. — Ses
quelques habitans. Son mauvais port,
280.
Suez (isthme de). Dn projet de le
couper, t. XXII , p. 274.
Sii/fren (baie de, Mantchourie). Nom-
mée par La Pérouse, t. XII ,p, 357.
Sumrtrn (île de la Sonde). Mon-
tagdcs , t. XLIII , p. V j , xxxiv. —
Volcans, vij. — Rivières, viij , xxxiv.
— Lac, Mines , viij, — Productions ,
viij et suiv, xxxiv. — Animaux , ix ,
XXXV, xliv. — Races diverses, xij, xiv.
— Religion, xxij. — Gouvernement,
xxviij. — Commerce. Industrie, xxix.
— Anthropophagie ,_ xxx. — Trois
sortes de mariages. État des femmes ,
xxj. — Étendue de l'île, xxxiij. —
Température. Plaines, Volcans, xxxiv.
— Rochers de corail , xxxv. ■
Difû-
culté d'abordage, xxxvj. — Pêches.
Caractère, Religion. Mœurs. Polyga-
mie. Mariago forcé des veuves, xxxvij,
— Noms et scrupules à cet égard. Fu-
nérailles, xxxviij. — Défiguration des
nouveau - nés , xxxix. — Figure,
teint, xxxix , xl. — Dépilation, xxxix.
— Soin des ongles , xl, — Goitres,
Soin des dents , xli. — Alimens.
Opinm , xlii, — Arbres remarquables.
Forêts, xliij. — Combats de chant.
Instrumens de musique , xlv, xlvij. —
Présens, fêles offerts aux étrangers
par les jeunes filles, xlv. — Iles voi-
sine.s, xlriij. Voy. Buttas.
S m far (île, Malaisie). Découverte
par Wallis , t. III , p. 396.
Sund (détroit entre la Suéde et la
Norwége) , t. XLVI , p. 288.
S'indswall f ville du Nordland , Sué-
dois), t. XLV, p. 332,
Surate (ville du Guzerate, Hindous-
tan). Ses bayadères, t XXXI, p. 347.
— Aspect, Signification de son nom.
MaisDi. i. Fortifications. ChAteau ,
462
TABLE GÉNÉRALE
XXXVI, 598. — Factorerie» fran-
çaisea et hollandaises. Commerce.
Uabitans, 399. — Bateaax. Établisse-
meiH divers, 400.
Surdah (ville du Bengale , Hiodoas-
tan). Manufacture de soie, t. XXXVI,
p. 91.
Surf, Mouvement particulier de la
mer, t. XLIII, p.'xxxvj.
Swromunugeur ( ville de l'Aoudh ,
Hindou stan ). Vieille forteresse ,
t. XXXVI , p. 205.
SnaviLLE. Son voyage autour du
monde, t. III, p. 420. — Découvre
l'Ile de la Première-Vue, 429. —Re-
trouve les lies Salomon , qu'il nomme
terre des Arsacides, 430. — Dé-
couvre l'île des Contrariétés, les Iles
des Trois-Sœurs, 435. — Les Iles de
la Délivrance, 451.— Nomme la baie
Lauriston , "452. — Périt dans les
flots à Chilca , 456.
Sutlejr, Sacrifices des veuves hin-
doues. Détails et observations sur
cette cérémonie , t. XXXVI , p. 54 ,
134. — Signe indicatif du lien témoin
du sacrifice , 289.
Suiraro// (groupe , Polynésie). Dé-
couvert par Kotzcbue, tom. XVII ,
p. 62.
SwiHBURirE. Ses voyages, t. XL VI ,
p. 161.
Swini-oK. Ses voyages , t. XLVI ,
p. 155.
Svinvar (Ile de la Norwége). Glaces
éternelles. Fin de la végétation ,
t. XLV, p. 137. — Différentes es-
pèces d'ours, 138.
Sttarteberg (mont de la Hollande
hottentote). Maison de bain d'eau
thermale, t. XXVI , p 48. — Hôpital
des lépreux, 51.
Sirart-LanJ (canton du cap de
Bonne-Espérance) , t. XXIV, p. 274.
Sybarit (ville du royaume de Na-
ple8),t.XLVI,p. 197.
Sydney (ile, Polynésie). Gisement.
Sol,t. XVIII.p 391.
Sydney ( port de la Nouvelle-
Galles méridionale , Nouvelle • Hol-
lande ). Nommé Port - Jakson par
Cook , t. VI , j). 232. - Phillip fonde
la ville, XVIIl , 220. — Sa prospé-
rité, 412. — Cataracte voisine , 414.
— Monument à la mémoire de La
Pérouse, 415. — Lac, Animaux cu-
rieux. Montagne brûlante , 454. —
Description de la ville. Progrès de \s\
colonie, XXI, 435 et suivautcs. —
Environs de la ville, t. XLIII, p. 6
Baie, 7. — Édificesv, 7, 12. —Quar-
tier» divers, 7. — Promenades, 8,
19. — Le roi Boungarre , 9, 89. —
Description de la ville : habitatious.
Chiens de garde, 10 — Aspect des
rues. Chaîne des condamnés, 11.
Voy. Convicts de la NouoeHe-Gallet m/-
ridianalt. Étendue de la ville, 12. ^^
Eublissemens publics, 13, 15, 121.
— Toilette des femmes, 14. —Mo-
des. Marché , 15. — Colons de toutes
le» nations, 16. — Sécurité de la
ville, 17. — Voitures, 20. — État dé-
gradé des tribus indigènes du dis-
trict, 83 à 86. — Nuances de la so-
ciété , 104, 117. — Améliorations ,
111. — Honnêteté des marchands,
114. —Manufactures, 117. — Eti-
Îuette ,119. — Intérieur des maison»,
21. — Journaux. Cabinets littéraires,
121. — Courses de chevaux, 122. —
Abus, 122 et suiv. — Gouvernement
de la colonie, 164. — Compagnie
australienne, 166. — Etat prospère
de la colonie, 170.
Syenne (ville d'Egypte), Son fameux
puits. Emplacement de l'ancieoue
ville, t. XXII, p. 445. — Ruines , 446.
— Port, 447. — Nilomètre, XXIII,
92 , 95. — Histoire de la ville , 93 —
Denrées, 93. - Travaux des géo-
mètres grecs, 96. — Maladies des
yeux , 100.
Sylivria (ville de Roumclic , Tur-
quie d'Europe). Aspect pittoresque,
t. XLIV , p. 260.
Sympa^ropol» (chef-lieu de la Cri-
mée et du gouvernement de la Tau-
ride , Russie d'Europe). Description ,
t. XLIV, p. 405, 406. — Café tartare,
407.
Synjield ( mont du Sonderfields ,
Norwége) , t. XLV, p. 62.
Syouah (oasis de, désert de Lybie).
Etendue. Sol, t. XXV,.p. 423. — Sel,
424 , 439. — Vêtement, Caractère des
Iiabitans, 424.' — Sol. Productions,
439,440. — Population, Religion.Gou-
vernemcnt , 441 . — Caractère, Com-
bats , 442. — Commerce, 414.
Syouah (chef-lieu du Syoïiah). Mai-
sons serrées , t. XXV, p. 423.
#
11.
DES MATIÈRES.
463
Syroeuf! 'v;Ue de SicUe) , t. XLVI ,
p. 195.
SjrrU f ince de la Turquie d'A-
sie). Voy.' 0 dans l'intérieur, t. XXIII,
p. 42 et su:v. — Uassia. L'Adonis.
Laodicce, 44. — Antioche, 45, —
Lefi. Oronte , 46. — ■ Tyr, 49. — Sa
caravane de la Mecque, XXXII , 187,
189. — Autre voyage dans le pays et
parmi les tribus arabes de l'ouest ,
385 et suiv . — Tombeau de Jusué ,
389, 400. — Ruines d'Amman , 415,
417. — Bosra, 427, — Soïba, capi-
Xi
taie des Druses orientaux, 429. —
El-Gerieh, 428. — Sidon, 443, 444.
— Mar-Elias, résidence de lady Stan-
liope, 444. — Beyrout. Mosquées.
Costume, 448, 450. — Parure de
noces , 449, — Hems, Mainons. Mos-
quées, Combats simulés, 455. —
Voyez Atep , Atsalt , Bnlbek , Da-
mât , Jourdain , Liban , Palntyrê , Tri-
poli,
Siveine (ville du Darfour, Soudan).
Son commerce et celui desprincipales
viUes du Darfour, t. XXV, p. 39^.
f
-^-
Tabasco ( province du Mexique ).
Combat des Indiens contre Cortez,
t, XXXVIII, p. 273, 277.
Tabasco ( c!«pitale de la province ),
Prise par Cortez, t, XXXVIIF, p. 276.
Tabitinga ( ville du Brésil ). Aspect.
Danse indienne, t. XLII,p. 47. •—
Fort, 49. — Combat d'un Indien
contre un tigre, 50,
T'aA/e (montagne de la colonie du
oitp de Bonne-Espérance), Sa descrip-
tion, t, XX, p. 120 ; XXIV, 37.— Son
aspect, 261 , — Phénomène qui y appa-
raît , 262. — Voyage à sou sommet ,
XXVI, 30 et suiv. — Singes, 35.
7a£/«(baie de la, colonie du cap
de Bonne - Espérance ) , t. XXVI ,
pag. 35,
Tdioii, Explication de ce mot,tom.
XI, p. 151, 299; XII, 126; XVI, 192;
XVIII, 277. — Ses effets, XI, 151;
XIII, 288, 319: XVI, 192; XVIII, 96,
277, 292, — Curieux détails sur
cette institution. Sou objet, ses effets,
ses modifications, etc., XLIII, xziij à
xxvij,,
Tabra (ville du ^iffé, Soudan ),
Pont, Audience de Im reine, tom.
XXVI II, p. 190.
Tacazté [Aenve d'Abyssinie). L'an-
cien Siris. Origine du nom. Beauté
des bord», t. XXIII, p. 249 252. —
Crocodiles Hippopotames, 253.
Tairart ( monts du pays des Tua-
ricks , Sahnra. Aspect pittoresque ,
t, XXVII, p. 48.
Taffara ( ville du Bambara ) , tom.
XXV, p. 262.
T'o/I/fff ( province du Maroc), Im-
pôts. Agrémens. Industrie , t, XXIX ,
p. 425,
Taief ( ville de'l'Hedjaz , Arabie ),
t. XXXII, p. g. — Château, 59, 65, —
Situation. Etendue, Maisons. Ravages
des Wahabites , 64. — Puits. Beaux
jardins. Fruits. HabitaDs,66.
^^^«(île de l'archipel delà so-
ciété ). Retrouvée par Wallis , t. III .
p. 307. — Avait été découverte par
Quiros, VII,353; XVII, 275.— Sa
description , III, 309 et suiv, — La
reina se rend à bord, 340. — Elle re-
çoit à son tour Wallis et ses officiers.
Description de sa maison , 342. —
Voyage de Bougainville. L'ile se
nomme Taïti et non Otatti, IV, 197.
— Beauté des cûte^, 208. — Bougain-
ville y sème plusieurs graines étran-
gères, 222. — Montagnes, produc-
tions, perles, quadrupèdes, climat,
233 et suiv. — Cliangomens dus aux
Anglais , notes 238, 242, 244, 246,
253. — Fabrication des étoffes, 249.
— Voyage de Cook V, 95. ^ Arbre
énorme, 151. — Hérédité de pou-
voir, 195, 319, — Vestige de feux
souterrains, 21. — Côtes, sol, fruits,
animaux , 235 et suiv. — Maisons
particulières , communes, 250. — Ob-
servation sur Taïti pour les naviga-
teurs, 322. — Second voyage de
Cook, L'ile ne se nomme pas Otaiti,
t
464
T\BLE GÉNÉRALE
VIT, 359 — CénotapLe pTramida),
S66. — Traces de Tolcaos, 403. — Le
Baringtonia, 428. — Observations mo-
rales et politiques sur l'état de l'ilo,
439. — Chair des porcs, causes de leur
rareté , VIII , 27, 28. — 3« voyage
de Cook, X,97. — Il y dépose des
volailles et y sème des graines ,114.
— Détail sur les voyages qu'ont fait
les Espagnols à Taïti, 168. — Vents
dominans dans les parages, 215. —
Beauté du pays, 215. —'Culture peu
fioignée, pourquoi? 216. — Lac au-
souimet de la montagne, 217. — •
Premier établissement des mission-
naires anglais , XIII, 438 — Forme
et climat de l'Ile, XVII, 277. — Dra-
peau national, 280. — Etablissement
de l'anglicanisme, 291 et suiv. — Po-
pulation, 297. Productions, XIX,
229. — Productions. Animaux,
XLIII,ix.
Tnnieni. Attaquent Wallis , t. TIT ,
p. 318. ^ Lient avec lui un com-
merce d'écbange, 332 et suiv. —
Formes, figure, chevelure, 363. — In-
contineoce des femmes, 564. — CoS'
tûmes. Tatouage, 365. — Alimens,.
cuisine, 366 à 369. — Médecine,
370. — Sculptures. Cimetières. Piro-
gues diverses et leur construction ,
371 et suiv. — Armes , 375. — De
qui ont-ils reçu la syphilis? 377, et
IV, 266; VII, '442. - Offmnt leurs
femmes aux étrangers , IV, 211, 213.
.— Maison d'un chef, 214. — Races
différentes, 237. —Tatouage, mœurs,
caractère, guerres, armes, 239 et .suiv.
— Gouvernement, 242, 253. — Reli-
gion. Sacrifices humains, 215, 342,
251. — Polygamie sans jalousie, 244.
— Pirogues , 247. — Fabrication des
étoffes, 249. — Notions d'astronomie,
252, 258. — Distinction de rang très
marquée, 253. — Médecine. Langue,
255. — Dispositions des corps morts
et cérémonie qui s'y rattachent, V,
117, 178, 183, 212, 304. — Musique,
119, 167, 186, 266. — Race à yeux
ronges , 121 , 242. — Connaissance
de l'équité, 124. — Sont légers et
sensibles, l27. — Jeu de lutteurs,
147 et suiv. — Union publique d'un
couple, 160. — Amuseinens et re-
marques à ce sujet, 169, 206. — Arcs,
flèches . 185. — Cuisine, 192, 256. —
Gouvernement , 195, 319. — Pein-
tures, 201. — Cimetière» Pyramides
212, 315. — Trophées, 204, 216. -
Taille, temi, cheveux, tatouiige, véte-
mens , ornemens , perruques, 240 et
suiv. — Habitations particulières et
cor, muues, 250. — N'ont pas idée
de l'indécence , 253» — Alimens, re-
pas des chefs et du peuple, 254, 260
et suiv. Chandelles, 267. In-
continence cause d'infanticides. So-
ciété desairrfoyj. Leur but immor»!
268 et suiv. — Extrême propreté ,
271. — Manufactures, confection
des étoffes , beauté des teintures , 272
et suiv. — Ustensiles et filets de péclie,
283. — Construction des pirogues de
pèche et de guerre , 287 et suiv. —
Navigations. Connaissance des as-
tres , 295. — Division du temps, 296.
— Calcul et mesupe des distances,
298. — Langue , 298. — Maladies na-
turelles et reçues des étrangers,- 299
et suiv. — Funérailles, 504 et suiv.
— Religion : croyance à l'immortalité
de l'âme et à un Dieu suprême, 307,
309 et suiv — Prêtres. 313. — Ma-
riages, 314. — Circoncision , 315. —
Gouvernement. Etat des personnes ,
517. — Armes , 320. — Vêtemens ,
VII, 357. — Facilité des femmes ,
ses effets, 364. — Sont excellents
plongeurs, 365 — Cénotaphe , 366.
— Cabanes, 3C8. — Fabrication des
étoffes , 373. —r Les riches laissent
croître leurs ongles, 377. — Cime-
tières , 388. — Reconnaissent un
Dieu suprême , 398. — Marques de
respect pour les cimetières, 411. —
/(/. pour leur roi que lui doivent
même .ses parens, 412, 414, 417. —
Heivas, on représentations dramati-
ques, 423v — Sacrifices humains,
VIII, 29 — Dégoûtante préparation
de la liqueur ava ttva, 31. — Quel-
Î|ues erreurs corrigées concernant les
emmes , 32 , 226- — Sens des hahi-
tans supérieurs aux nôtres, 104. —
Description d'une grande flotte. Bàti-
men.s, guerriers, costumes, armts, 228
et suiv. — Singulier vêtement de deuil
et manière de le porter, 241. — Ob-
servations sur les vols des liabitans,
251. — Revue nitvale. Exerciee^ ,
2C5 et suiv. — Population , 262. —
Gouvernement, 263 — Tableau com-
DES MATIÈRES.
405
♦
paratif de la langue avec celle de la
Nuuvelle-Zélaude , IX , 284. — Cha-
pelle où e.<tt expusé le corps d'un
L'Iief, X, 110. — Pescriptiou d'un sa-
crifice humain, 116 et suiv., 144. —
Maro, ou symbole de la royauté,
124. — Lieu du sacrifice , crâoea
exposés, 129. — O^nuion des natU'
rels sur ces sacrifices , 132. — Autres
coutumes barbares, 183. — //«<>«,
ou représentations dramatiques, 138»
142. — Singulière manière de don-
ner des présens d'étoffes, 140. —
Manière de conserver les corps des
chefs, 143. — Combat simulé de
deux pirogues de guerre , 149. — •
Manière de faire la guerre, lâl. —
Itomee , traitement contre les dou-
leurs d9 nerfs, 155. — Cérémonies
pratiquées pour célébrer lu paix, 156
et suiv. ~- Usages du bananier dans
les cérémonies religieuses , 161 . —
La connaissance des Européens leur
a-t>elle été heureuse ? 208. — Ne sont
pas adonnés à l'agriculture, 216 —
Coquetterie, 218 — Nourriture, ma-
ladies, 220. — Caractère, 221. —
Amour pour le plaisir , 222. — Ri-
chesse de la langue , 224. •— Con-
naissances en chirurgie , 226. — En
médecine , 227. — Famines, 228j 229.
— Préparation et effets du kava, 230.
— Mauvais traitement des femmes ,
231, 234, 237. — Heure et forme
des repas, 231. — ' Liaisons avec les
femmes , 232. — Opération de la cir-
concision, 234. — Système religieux,
236. — Idées sur l'âme et sur une
vie future, 238. — Idées extrava-
gantes, sujierstitions, 240. — Tradi-
tions sur la création, 242. — Lé-
gendes historiques, 243. — Traces
d'anthropophagie , 245. — Honneurs
et privilèges dus au roi, 246.. — Etat
des personnes. Droit de succession ,
248. — Manière de rendre la justice,
249. — Infanticides , 251. — Ne fout
pas des voyages de long cours , 255.
— Analogie de leur religion et de
celle des îles Sandwich , XI, 293. —
fojrages diners. Société de» Arréoys,
XIII, 315, 317. — Division du
temps. Effet du tabou ,519. —
Emltaumemeut des corps. Idées .siu-
.«ulières sur l'âme, XIV, 92, 95.
— Changement dans la langue ,
XLVI.
108. — Marchandises européennes
devenues nécessaires, lll, — Chan-
gerpeus dans les guerres. — Femmes
ne sont plus aussi belles, 113. —
Plantes européennes détruites. — Pré-
venance des naturels, 127. — État de
l'île en 1824. — Drapeau national ,
XYII. 280. - Célébration du dil
manche, 283, 286. — Travaux des
missionnaires anglicans, 285, 301 .
EglUe, 286, 319. - Modes, 288,
301, 307. — Constitution politique,
294. — Dégénération des insulaires,
298, 300. — Maison da roi, 323. —
Abolition du culte des faux dieux
XVIII, 141. — Étiit en 1826 ; XIX,
203. — Parlement, 203, 227. —
Costumes de la cour de la reine, 208.
— Amour des liqueurs fortes , 216.
Moral des naturels n'a pas changé.
Habitations, 219. — Dégénérescence
des naturels, 219, 228. — Occupa-
tion», 220. — Restes de superstition,
222. — Tribunal, 224. — Absence
de progrès, 227. — Conversion au
christianisme, XXI, 442.
Tahooivi ( île du groupe Sandwich ).
Découverte par Cook , t. X , p. 289. —
Visites des insulaires h Cook , 290. —
Raisons de croire qu'ils sont canniba-
les , 291 . — Sol pierreux. Habitations ,
292. — Cérémonies mystérieuses ,
293. —Sol, XI, 245.
Taliseh ( district commnji do la
Perse et de {a Russie d'A.sie). Mœurs
des habitans. Montagnes , t. XXXV ,
p. 390. — Figure , vétemens , 392. —
Captivité de Fraser, 393 à 408- —
Huttes , 400.
Tallabunchia (ville de la Sénégam.).
Situation. Maisons. Vétemens. Orne-
mens, t. XXVIII, p. 287.
Tallika ( ville du Bondou , Séné-
gambie). Habitans. Commerce. Pré-
posé du roi, t. XXV, p. 64.
TamaH ( île et ville du détroit d'Ié-
nikale ), t. XLIV, p. 434. — Edifices.
Antiquités, 435.
Tamatam ( île , archipel des Caroli-
nes). Naturels. Productions, t. XX ,
p. 228.
Tambacunda ( ville du Fouladon,
Séncgambie) , t. XXV, p. 524.
Tameiian (Timour-Leng). Lieu de sa
naissance, t. XXXVII, p. 171. — Des-
cription de sonaucienue capitale, 211.
30
♦
.'^
4U0
TABLE GÉNÉRALE
Titmoult. Voy. Malahari,
Tagonrvk (TiUe da C»acase, Hiii<
lie d'Europe), t. XLIV, p 451
Taitgtr ( «iile du Maroc). Fortifi-
cations , t XXII, p. 133. — Inté-
rieur, (34. — Campagne , \Z5.
Tanna (\\v de l'arch. des Nouvelles-
Hébriden). Découverte par Cook,
t. YIII, n. 860, 364 — Aspect du
payii, 36o> 396> — Éruption du toI-
can, 371 •— Antliropopkagie, 377, 379.
— Cabanes , 880. — Environs du
volcan, 382, 886, 304. — Descrip-
tion d'un village, 388 — Gros fi-
guiers, 391. - Plantations, 390. —
Richesse du sol, 397. — Productions,
399 —Langue, 403, 411. —Natu-
rels, 403. — Tatouage, 405. — Vé-
temrns, omemeus, 406. — Arts di-
vers , 407. — Pirogue» , armes , 408.
— Maisons, religion, 412. — Surface
de nie, 426.
Taranta {mont , Abyssinie). Asctn-
sion au village de Halai, t. XXIll ,
p. 207. — Plaine, 209.
Tarante ( vUle du royaume de Na-
plés), t. XLVI» p. 197.
Tarudant ( ville du Maroc ), Sitna-
Hon. Aspect. Commerce, t. XXII',
p. 123.
Tasmait ( Abcl). Son voyage au-
tour du Monde, 1. 1, p. 342. — Dé-
couvre la Terre de Van-Diémcn , 343.
— Découvre la' Nouvelle-Zélande et
la Nouvelle-Hollande, 344; — L'ilo
des Trois-Kois, 346. — L'ile de Pyl-
staart, 347. — Les Iles d'Amsterdam ,
de Rotterdam, 348. — N'a pas dé-
barqué à la Nouvelle-Zélande, VI,
143. — Résumé de ses voyages, XVIII,
196.
Tasmanie. Voy. Ttrrt d* Van-DU-
«M.
TassitudoH (capitale du Boutan,
empire Chinois ). Environs , t. XXXI,
p. 424. — Palais, 427. — Collège
de prêtres, 447, 449.
Talaret du Caitiay. Voyages dans
leur pays, t. XXXI, p. 33, 39 et
S«T.
Tatarie ( vaste pays de l'Asie ).
Missionnaires des xiti* et xiv*' siècles,
t. XXXI , p. 28 , 30. — Usages di-
ters des Tatares. Mariages. Religion.
Moeurs , 29. — Voyage d'Ascelio.
P« Rnbruquis, 30. — De Mandc-
ville , 32. -' De Marco Polo , 53 rt
suiv. — Conquêtes des TaCares, 39
—Font alliauce avec saint Loui.n , 40.
— Leurs chasses, 41. — Voyag} de
Pinio, 51. et suiv. Voy, Tatane chi-
noise^ Tatarie indépennaitte ^ Tatarie
rutte,
Tatarie chinoiie, Voy. Mantchouri»
et Mongolie.
Tatarie ind/pendante ou Turkettan.
Voy. Bouekarie, Tatarie indépendante
propre, et Tureomannie,
Tatarie indépendante propre ou Tur-
kettan. Voyage dons l'intérieur, tome
XXXVII, page 126 à 281, et 303
et suivantes. — Montagnes , 126. —
Lieux divers, 126, 128, 129, 146, 152,
265,266. — Campagne, 128,237,
138, 141, 142, 264, m. —-Produc-
tions, 129, 137, 141, 150, 151, 257,
266, 269, 308. — ■ Tatares époii.sent
les femmes de leurs prisonniers, 130.
— Diverses opinions sur l'Europe,
131 et suiv, — Passe du Kara-Kottiil,
134. — Oiseaux, 135. — Maisous.
Costumes , 137. — Caravenserai» ,
138. — Manière de prendre le tlié,
145. — Ruines, Mirage, 152. —
Voyage dans la Boukliarie. Voy. fe
mot. Exactitude des descriptions de
Quinte-Curce , 161. — Marchés, 172,
239. — Sort des esclaves persans, 229,
241 , 263 , 277. — Une caravane en
Orient, 246. — Rivière Mourgab se per-
dant dans les sables, 256, 258.— Tour -
billons de 'poussière, 265. — Physio-
nomie des vrais Tatares, XLVI, 161.
Voy. Bouekarie , Charjouey , Heibuk,
Kouloum, Koundouz , Merve , Oxus ,
Shurukhi, Turcomar.ie.
Tatarie russe ou Sibérie. Descrip-
tion d'une uoce, t. XXXI, p. 248
à 251. — Religion, 257. — Obli-
geance, 259. — Figure. Nourri-
ture, 260, 277. — Superstitions,
268. — Instrumcns de laboar, 269.
— Usages, 277.
Tatée ( Ile , Au.stralie ). Découverte
par Meares, t, XIII, p. 344.
Tatootche ( Ile, Nouvelle-Bretagne,
Amérique septentrionale occident. ),
t. XIV, p. 172 et suiv.
Tattah ( ville du Siadliy, lliodon.v
tan). Ancienne opulence. Population.
Commerce, t. XXXVII, p. 351. —
Autiquitc. Maisons. Lieu de pèleri-
DES MATIÈRES.
467
aags des eafironi, 353. — L'Indoi,
354.
Tatiftmiiiiiim (ville de la Sicile).
TbéAtro ancien , t. XLVI , p 196.
Tauride ou Crimée ( gouyernement
delà Ruitsie ). Voyage dans l'intérieur,
t. XLIV, p. 399. - Campagne , 400,
404, 408, 411, 413, 420. — Voyage
en Crimée, 400 à 434. — Pérékop,
400. — Village arménien. Borne»
milliaires de Potemkin , 401. — Lacs,
salés , 402. — Villages tatares , 402,
406, 411, 417 et suiv., 420, 422. —
Serabonxe, 403. — Montagnes, 403,
418 , 423. — Bohémiens , 403. —
Sympliéropole, 405. — Cafés tatares,
407, 429. — Palais des ancien* kbans
de Crimée , 409. — Bagtchiseraï, 410.
Costume de Juifs, 412. — Sevastapol,
413. — Cavernes d'Inkerman , 414.
— Balaklaava ,415. — Arbres, belles
vallées , 416 et suiv. , 428. — Mird-
vin. Kaffa, 418, 432. — Rochers re-
marquables , 419. — Usage dans les
villages, 420. — Intérieur des mai-
sons, 420, 421. — Ruines antiques,
421, 423. — Remarquables couches
de schiste, 422. — Ou.vkout, 425. —
Vallée de Soudak. Vignes impériales,
426. — Population, 426. — Karassou,
Bazar, 429. — Les lélégais ( voitures),
431. — Tombe de Mithrid.ite,433. —
lénikale. Ile de Taman , 434. — Cli-
mat, XLVI, 155, 156 — Saisons. Sol.
Productions, 157, 158. -~ Détails sur
la vigne, 158. — Animaux. Popula-
tion. Trois classes d'habitans, 159,
leo.
Tauride ( Tatares de la ). Costu-
mes (bords du Dnieper ), t. XLTV,
p. 399,407. — Villages, 402, 40(3,
411,417, et suiv., 420, 422. —Poly.
garnie. Usages divers , 402 , 427. —
Cafés , 407 , 429. — Palais des anciens
khans de Crimée, 409. — Luttes,
419. — Intérieur des maisons, 421.—
Initmmcns de musique. Danses, 424.
— Caractère, 426. — Littérature.
Poésie. Géographie. Médecine , 427.
— Cimetières, 430. Tatare» des
plaines et des montagnes , XLVI ,
160.
Taurit ou TMr'z ( capitale de l'A-
zerbaïdjan , Perse). Rues. Mosquées.
Population. Climat, t. XXXI , p. 206.
— 'Beauté des environs, XXXV, 378
— Aspect, 379, — PaLùs, 880. —
Lac Ouroumia, 381.
Tarat-Pouiumo* ou Tafaf-Potmam-
mou (l'une des deux grandes Iles de la
Nouvelle-Zélande). Exploration de ses
côtes par Cook, t. VI, p. 115 à 143.
— Situation de ses babitana diffé-
rente de celle des habitans d'Ika-Na-
Mawi , 335. — Son littoral, XVIli ,
252. — Etendue, XX, 175 — Pour
les détails, voy. Nouftlle-Zéland:
TAvxRaiBR. Ses voyages en Asie ,
t. XXXI, p. 62. Voy. B»ni*r,
Teh. Chercher à C'A les noms qui ne
trouveront pas à TV-A.
Tchad (grand > du Sondan),
t. XXVII , p. 99. — Oiseaux, 100. —
Eau. Iles, 101, 244, 298. — Se»
bords, 132 et suiv., 293, 296, 319.—
Habitans des Iles sont indépendans.
Armes. Religion , 222. — Hippopota-
mes, 245,319. — Voyage aux côte»
orienUles du lac, 268, 296. — Fi-
gure, mœurs, nourriture, tentes
des Shouas,290, 294. — Tribu de
Biddomahs,321.
Teliang^Phing-Tcheou ( ville de la
Chine ). Pont de marbre , t. XXXtlI,
p. 187.
Tehtrlratk ( ville des Cosaqueti du
Don , Russie d'Europe ). Vieille et
nouvelle ville, t. XLIV, p. 452, 453.
Tehtrkettes. Voy. Circattitm,
Tehernigov (gouvernement de la
Russie d'Europe 1 'Voyage dans l'in-
térieur, t. XLIV; p. 869 à 374. —
Saleté des paysans. Cal)anes, mobi-
lier, 369. — VillaKcs, 369, 371, 375.
— GIuchoF. Couverture des maisons,
370- — Palais du dernier hetman de
rukraiue, 371 . — Troupe.->ux. Borrna.
Komaroskava. Nedjin, 372.— > Forêts ,
S74
Tehi/t-KaU (petite ville dn gou-
vernement de la Tauride , Russie
d'Europe). Rues. Maisons. Costume
de juifs, t. XCIV,411. ,
Tehittore ou Chittore ( ville du Raj^
pontana, Hindoustan). Aspeot, tom.
XXXVI , p. 339. — Industrie. Ota"
délie , 340. — Château. Temple de
Siva , 341 et suiv.
Tchorlu (ville de la Ronmélie,
Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 34,
36,260.
Tehoka. Voy. S^galien. ^ . m .' /
168
TABLE GÉNr^:KALK
Ttbbti ^«ille et district <lu Klioras-
MD, Pente). Lodtucrt Salé, t. XXXV,
p. 96. — Ancienne importance dé
Tonm, 96, 416. Productions, 415.
Tébrii. Voy. Taiiris.
Tegtrhjr ( ville dn Fezzfln ). Entrée
de la ville , t. XXVII, p. 59. — Sa
merveille , 60. — Sitnnficm, Katnrcls
61. -Environs, 61, 446.
Tëliéran ( capitule de la Perite ). Vi-
site à des fonctionnaires, t. XXXV,
p. 54. — Visite à un poète lauréat,
56. — Mont Elbours , 57. — Anec-
dotes sur le shah, mort en 1834, 78.
— Fête du nouvel an, Présens au
sliah, 82 et suiv. — Aridité , roisèl-e
des environs, XXXVII, 327. — Céré-
monies de la présentation an shah ,
330.
Ttmhouelo» ( ville de l'intérieur du
Soudan , sur le Niger). Ses relations
avec les Portugais au xv" siècle, t. I,
p. 30. — Premiers rcnseignemcns
par Ça-da-Mosto. Découverte par
Caillié', XXII , 3 , 12. — Renseigne-
mens reçus par M. Park, XXV , 164>
243. — Religion, 245. — Voyage de
faillie. Aspect. Marché. Naturels.
Royauté héréditaire. M.iures. Mai-
sons, XXIX, 398, 399.— Rues. Mos-
quées. Environs , 401 , 402, 409. —
Population. Conunerce, 400,-402.—^
Commerce géué par lesTuaricks, 401,
405. — Religion, formes, nourriture des
naturels. Magasins des Maures, 403.
— Mobilier. Polygamie. Costume et
urnemeAs des femmes, 404. — Grande
mosquée, 406. — Visite historique
des reconnaissances de la ville , 4al.
—Marché d'esclaves, XXX, 267. Voy.
Cahra,
Tenda ( royaume de la Sénégam-
bie). Voyage, dans l'intérieur, t. XXV,
p. 326, 335 et suiv. • — Djallacotta ,
326, 335.— SibikilKn, 339. — Laby,
341. — Djullifuuda,342.
Tinitifje ( une des îles Canaries ).
Son pic, t. V, p. 14. — Description
de la baie et de la ville de Sainte-
Croix, IX, 172, 175. — Productions
de l'Ile , 173, 176. — Aspect du pic ,
174. — Description de la ville de La-
guna, 175. — Fruit singulier, 176. —
Ancienne race des i!es, 177. — la
baie et la ville de Sainte - Croix ,
XVII, 257 et suiv. — MagniQque point
de vue dn haut du pic , 258. — Prew
miers hahitaus onibaii niaient les curpi,
comme en Rgypte , 200 Diverses
régions de végétaux du pic, XVIII
212.
TJpte (ville du Mexique). Popu-
lation, situation, cli.nat , t, XIX,
p. 476. — Situation. Eglise , XLI ,
415. — Costumes, 416, 417. — Cli-
mat , 41f). — La sieste. Habitudes so-
cialet, 417 , 418. — Grands diners,
419 et sniv. — Couvent. Pcnitenoe de
Ecchés à commettre, 420. — Nores.
on traitement des esclaves, 421 ,
422. — Indiens, 423 — Education
négligée. Températures , 424.
Tercere ( une des Sles Açores ).
Découverte par les Portugais, t. IX,
p. 157. — Ses productions. Son com-
merce. Sa population , 160. — Ville
d'Angra.' Ûistoire. Aspect de l'ile.
Climat. Productions, XX,435. -^ Est
la résidence du gouvernement des
Açores,IX,160;XLH,383.
Tereh ( fleuve du Caucase et d« la
Circassie), t XLIV, p.451.
Teraaie ( îles Moluques , Malaisie ).
Ruse des Hollandais pour faire arra-
cher certaines plantes d'épices, t. IV,
p. 384. — Comptoirs. Troupes de sa
dépendance, 382. — Plantes d'é-
pices arrachées par ordre des Hollan-
dais , XV, 77. — Malais , XLI» , xv.
Tentai ou Mantehourit '( baie de Ta-
tarie chinoise ). Nommée par La Pé-
roHse, t. XII, p. 344. — Sa description,
346. — Animaux , productions , 347.
— Prairies, 349 Extérieur et inté-
rieur d'un tombeau , 351 . — Plantes,
roches, oiseaux, coquilles , 353.
Ttne ( joli ville du Timaui, So-
négambie ) , t. XXVIII, p. 19.
Terre des ^rsaci'les.Ent l'archipel
Salomon, découvertjpar Mindana ,
retrouvé par Surville , t. III, p. 420,
430, 434.
Terre de Davis. Carteret corrige
plusieurs erreurs sur son giseueut,
t. III , p. 105. — Est peut-être l'île
de Pâques, d'après Cook, VIII , 139,
171, 173. — Ce qu'elle est d'après
La Pérouse, XII, 86.
Terre d'Enderby ( océan Glacial an-
tarctique ). Découverte par Biwoè,
t. XXI , p. 460.
Terre des Etats (sud de l'Amérique
DES MATIËRES.
im
corrige
seineut ,
itre l'île
139,
d'après
méridionale ). Découverte par Le
Maire , t. I , p. 284. — Aspect sau-
vage, U , 107' — Ne parait pas sau-
vage à Cook , V, 77. — Phoque» de»
cAtes , IX , 81 . — Oiseaux de Hle , 84.
Cook nomme le havre et les Iles do
Nouvel-An, 88. — Surfabe de l'Ile,
89. — Horrible aspe«!t. Climat, XVII,
262; XX, 41.
T*rrff'*rme ( ancien nom d'une
partit! de la Colombie). Indiens. Leur
culte d'un génie malfaisant, t, XLII ,
p. 414. — Noces . 415. — Condition
de la femme, 4l6. — Croyance ,à
l'immortaUté de l'Ame. Fuuérailles,
416.
Terre de Feu (Iles au',snd de l'Amé-
rique méridionale ), Explorée et dé-
crite par Jacques Lhermite, t. I,
p. 33o. >— Maisons, 338. — Des-
cription dn port Désiré, II , 371 et
suiv. — Aspect sauvage du pay.s, III,
265. •— Bon gainville nomme et décrit
les ports de Beaubassin, de la Cormo-
randerie, de la Cusciide , IV, 164 et
suiv. — Description d'un village ,
huttes grossières, V, 64. — Quadru.»
pèdes, oiseaux, insectes, plantes,
71. — Aspect du pays n'est pas ^i
sauvage, 74- — Cette terre est uif
amas d'Iles , XX , 40; XXI , 283, 308.
— Village, 304. - Climat, 309.—
Productions, 311, 316. Voy. Noè!,
Pécherais , naturels ; Pilartt , San-
Franeis.
Terre di Graham (océan Glacial
antarctique, sud de 1 Amérique seiw
tentrionale ). Aspect. Ile Adélaïde.
IlePitt,t. XXI, p. 462
Terrre de hergaelem (sud de la mer
des Indes ). Oiseaux, phoques , t IX,
p. 189. — Description du havre de
Noël, 191. — Cook reconnaît l'ile et
nomme diverses baies, pointes et îles,
194 et suiv. — Bas-fonds dangereux,
198. — A été découverte par Ker-
guelen , 203. — Rareté des plantes ,
204 — Ses animaux, 205. — Ses
collines, 207. —' Peut être très utile
aux vaisseaux. Ses animaux, XX , 36.
Terre de Leuwin { cAte S. O. de la
Nouvelle-Hollande). Remarques sur
le" pays, le sol, t. XIV, «p. 32 et
suiv. — Climat, 40. — Arbres, 42.
— Reptiles. Animaux nuisibles. In-
sectes, 46. — Naturels, 46.' — Huttes,
47. — Nonrriture, 48. — Dévastation
produite par le feu , 49. — Aridité,
Elablisscmont anglais , XVIII , 44. —
Parties du sol plus favorisée». Climat,
46. Voy. Aitstraliem.
Tern-Neuoe (Ile des eûtes d'Auié-*
rique ). Connue au xii^ siècle des
Islandais, t. I, p. lO.— Retrouvée par
Cabot, XL, xj, — Historique des
pèches dn la morue au bauc, xij.
Terre de Mi{jrtt ( c6te sud-ouest de
la Nouvelle-Hollaude): Remarques sur
le pays. Sol. Climat. Arbres. Rep-
tiles, animaux nuisibles, insectes.
Naturels Huttes. Nourriture. Dévas-
tation extraordinaire produite par
le feu , tom. XIV , ]i. 32 et suiv.
— S(.ii aspect XV, 89, 103, 105. Voy.
baie de l'Êap^ranir, gr(Mi|ie d'£st. Port
du Roi-Georget. Reolierches , groupe.
Terre de Palmer ( Ile du Shetland
méridional). Découverte par Fanning,
t. XXI, p. 454.
Terre du Saiiit-Etprit ( Nouvelles
Hébrides ). Découverte par Quinis,
B^uté du pays, t. I, p. 268. — Na-
tt-rels. Armes. Musique. Pain. Mines ,
269 et suiv. Comprise par Bougain-
villc dans 1rs grandes Cyclades, VIII,
135. — Naturels, leur parure, leurs
pirogues, 417. — Sol fertile, 419. —
Est h plus grande *des Nouvelles Hé-
brides, 421.
Terre de Sandwich (océan Atlantique )i,
Découverte par Cook, t. IX, p. llt>.
— N'est qu'une réunion d'Iles. Nom
douné à l'Ile du marquis de Traverse,
XXI , 433. — Découverte des Iles des
Princes, de Willey , de Noël, 455.
Terre de Van-Diémen ( Australie).
Découverte par Abel Tnsman, t. I,
p. 342.~Habitans, IV, 406.— Nom-
bre d'Européens qui l'habitent au-
jourd'hui , VI , 229. — Description de
l'Ile Maria, VJI, 299. — Descriplion
des in.sulaires, 212, 223. — Leurs v.r-
nemens, 215. — Seul vêtement des
femmes , 217. — Sol , 219 et suiv. —
Arbres, plantes, quadrupèdes, 222.
— Oiseaux , reptiles , poissons , 224.
— lusectes, 226. — Habitans sont
doux et sans intelligence ,227. — Leur
tatouage, leur teint , lenr corps , 228.
— Leur posture favorite, 229.— Leurs
huttes, 230.— Leurs repas, XV, 112,
116. — Leur amour pour leurs cnfiins,
470
TABLE GÉISÉKAI.K
113.— Leur |ioljrg»mie, 114. — Leur
•iouoeur, 116t i25. — Potinre dei
femme», l'iO. — Deuils turludécou-
rerte et l'étendne de l'Ile , XVIII , 9.
— Foréti, «uh, production», 6gure
de* nntureli, 12. — Hiitolre de» ro-
eonnitittaBoei de l'Ile, 818. — Pon-
dation d'une colonie auglai*e, 321.
— Population. Gouvernement. Divl-
•iont, S22. — Établi»semen« de la
colonie , 323 et tuiv. — Montagnea ,
rlTièrea, 327- — Lnc», Iles, produc-
tions, animaus, 328. — Naturel».
Hutte». Vêtement, 330. — Naturels
ré»i»tent à la ciTili»ation , 332. — Voy.
Hobarl-Towit, capitale { Por/ du Nord.
Ttrrt d* ffiti (NouTelle-Hullande).
Entrevues avec les naturels. Observa-
tions diverses sur leurs formes, leurs
mosurs, leur pays, etc., 1. 1, p. 415 et
sniv. — Stérilité. Quelques exception»,
XVin, 48.— Laideur, saleté, mi»ère ,
mutilations de» naturels, XXI, 415.
Voy. lit du Romarin,
Tvrouggtmou-Atooa. Voy. Iltrvey.
Tttiouwa (ville du Eeszan), t. XXVI I,
p. 29.
Tttt (ville du Maroc). Fondée par
les Cartluginois, t. XXII , p. 147.
Tezeueo ( ancienne ville du Mexi-
que). Histoire. Ruines, t. XLI, p. 139,
142. — Antique splendeur, 141. —
Palais espagnol. Forteresse , l42. —
Palais des caciques, 143.— Le bano d*
Montétuma, 144. — Village de Huexo-
tla , 147.
Thèbtt (ancienne ville de l'Egypte),
Description de ses admirables iiyi>o-
gées ou catacombes, t. XXII, 430 et
suir. — Ruines du temple, XXIIl, 90,
Thibis (ville de la Grèce), t. XLVI,
p. 208.
ThemuealUpte (vilte du Mexique).
Environs, t. XLI, p. 155 à 163. —
Villages, 156, 158.— Bois, 157, 162.
— Drames bistoriques des Indiens ,
159. — Mines d'argent abaudonnéeit,
163. — Situation, Maisons. Climat.
Habitans, 164.— Fertilité des envi-
rons , 165. — Prise de possession d'une
mine, 166.
n*og (État de l'Hindoustan), Cou-
tumes, t. XXXV, p. 459. — Omemens
des femmes, 461.— Polyandrie , 462,
— Maisons, 464. -• Religions , 465.
—r Funérailles, 466.
Thtiuroa ( tle de la Société). Dé-
couverte par Cook , t. V , p, 325.
Tmrvimot. Sun voyage eiv Asie,
En rapjiorte le café , tom, XXXI ,
p. 61.
TIUb*t ( Province de l'empire chi-
nois^. Voyage dan» le pay», t, XXXI,
p. 419. — Limites. Montagnes. Fleu-
ves, 420.— Liqueur tpiritueuie, 421.
— Sai»on» Sol, 425. — Bœuf à queue
touffue, 426, 428. — Frontière du
Boutan. Superitition, 432. — Com-
ÎBrai»on avec le Boutan , 440. Voy.
haiia, capitale,
ThibAaint. Véteoliens, Superstitions.
Conservation du corps du lama, tom.
XXXI, p. 432. — Polyandrie. Haiue du
mariage, 434* 452, Carnctèro. Céré-
monie» du mariage, 436 — Liberti-
nigo. État des femmes. Exercices re-
ligieux, Couvens, Imprimerie. Livres ,
4o8.— Oruemen». Figure. Travaux des
femmes, 453. — Mariages. Noces, 454.
— Emplois du muucboir. Funérailles ,
456.
ThUnltovtn (Ile , arcbipel des gran-
des Gyclades), Découverte par Rog-
gewin, t. Il, p. 65, et IV, 278.
Tkitrrawhitt» ( tle, Nouvelle-Zé-
lande). Beau uflir des étoffes , t. VII ,
p. 33l. — Ustensiles, instrumens élé-
gamment sculptés , 332.
Tbomfsok. Son voyage dans l'A-
frique méridionale, t. XXIX, p. 1. —
Excursion dans le pays des Betchoua-
nas, 37 à 100, 144. — Va reconnaître
les maraudeurs mautatis, 68. — Ap-
prend leur défaite, 110 et suiv. —
Son excursion daus le pays des Bos-
cbimans, 144. — Ses entretiens avec
les naturbls , 158 , 163. — Suu excur-
sion dans le pays desCoranas, 178 et
suiv, — Donne des noms à quelques
lieux , 189 , 2C0, 222. — Son voyage
dans le Namaqua, 296.
Thompton ( cap , Amérique russe ).
Nommé par Bcecbey. Figure. Véte-
mens. Tatouage des naturels, t, XIX,
p. 252 — Paupières colorées. Orne-
ment labial. Tentes , 254,
Thrumb (Ile du cap, archipel Dange-
reux), Nommée ainsi par Cook , mai»
découverte par Bougainville, t. IV ,
p. 202; V, 88; XIX, 162. Voy. Lan.
oitrt.
ThuUautlral* (tle, extrémité sud de
DES MATIÈRES.
471
l'Amériqut ). D«^cuiiferte par Cook ,
I. IX, |>. 111.
Tii'ojrn - Su ( Ile , mer de Corée) ,
t. XII, p. 320.
TiatfHi ou hha^in ( Ile ionienne ) ,
t.XLVI,p.201.
Tihbom ( peuple du Saliarii el du
•Soudan ), Voyage dans leur pajt ,
t. XXVII , p. Sd et «ni?.— Serrent de
courriers , 81.
Tibhnu, du Bilm-1. Figure Kitbée
l. XXVII, p. 69, 70 — A«lienuinroa ,
70. — n.in»e., 70, 72, 77. — Tuku-
inani, 71. — Jeux. Armes, 74. ~
Uirkée, 72 à 74 — Vétemens de fein>
mes, 76. — IMaines denable. Leur
capitale , 75 à 78 et 443. — Dibla.
Kertbertna, 82. —Vallée d'Agliaden.
Uasia de Zow , 83, 443. — Onuis de
Seggedca, 444.
TMout dit Gunda. Voyage dans leur
paya, t. XXVIl , p. 85. — Ville de
Beere-Kashifery , 85, 440 — Éqnita-
tion, 86, 90. — - Nourriture, 89. —
Taille. Figure, 90. — Hérédité du
pouvoir, 91.
Ttbboui du Tratta. Voyago d.in» leur
pays, t. XXVIl, p 96. —Huttes, 97.
Tidor (Ile des Moluque»), t. XV,
p. 77.
Titn-SiHg ( ville do la ('bine ). As-
pect. Pyramides de i.el. Costume de
soldats. Palais impérial, t. XXXIII,
p. 360. — Repas. Hcprésentations
tliéâtrales, 361. — Bues , maisons ,
365. — Coiffures riiuiques. Cérémonie
en l'bonneur de la luue Charivari,
382. — Boutiques , rue.s. Convoi fu-
nèbre, 383. — Meunier», 384.—
Pont. Miiisons , 436. — Éventails des
militaire», 437.
Tijlis (capitale de U Géorgie, Russie
d'Aùe ). Autrefois ville de Perse.
Fortifications. Cathédrale , t XXXI ,
p. 195. — BAtimens publics. Palais
dn prince. Environs, Commerce. Ca-
ravenscrais , 198 — La rivière. An-
cienne et nouvelle ville Population.
Saisons , XLV, 413. — Église catbo-
bque. Biiins, 444.
Tienhoven (île, archipel des grandes
Cycladcs). Découverte par Roggewin,
t. Il , p. 65; IV, 277.
Tigre (fleuve de Chine). Description
de son embouchure et de ses fortifica-
tions, t. ll,p.321; XI, 466; XV11I,442.
7/^r/( province d'Abyssitie). 8m
montagnes, t. XXIII, p. 22U.— ,Re»t«s
du courent de* jésnilM a Kremona ,
23 1,— Seleoh • Lécha , belle cam-
pagne , 242. — Son commerct , 32f .
Voy, Àdo»a, capitale.
Tikopiu (Ile du groupe La Pérouse).
Aspect de l'Ile. Détoili sur le phyai>
que et le moral des naturels. Mariages,
t. XVIII, U.834, 092. Religion. AnU
maux, 83n.— Caractère, 377, 585. — ■
Gisrweut, étendue, 392.
Timitni ( province dé|>eudant du
Manding , Sén^gawbit.) Voyage dan»
le pays , t. XXVlll, 8 et suiv.— Rosa.
Maharré, 9— Costume d'un chef, 10.
— Rokon. Audience du roi, 11 —
Assemblée publique, 13 , 17- — Tcrr«,
19. — Mokiindona , 20. — Campagne ,
21, 22. — Villes diverses Dalanduco.
Huile de palmier, 21. — Ma-Bung,
23., — Sorciers, 25. — Mayonsu , 26.
— Étendue, 27. — Géograjibie, 28.
Costume, 29. — Mariages, noces, 31.
— Superstition», 32,35.— Fuuéraille»,
32. — Repas. Animaux de bon au-
gure. Buis sacrés, 34. — Institution
des Purrahs. Leur pui.wance, 36, 39.
v-> Leurs marques extérienre.*, 38- •«-
Revenus des chefs. Productions de la
terre. Manufactures , 40. — Danse.
Caractère, 42. Voy. Maboum.
TiMEOwsKi. Son voyage à Péking, y
accompagnant la miksion russe, tora.
XXXIII, p. 1, 4. — Sé|ourue à Onrga,
71 à 101. — Visite de la mission au
vang , 75 et suiv. — A ses lils, 96. —
Traverse le désert de Cobi , 137 a
149. — Arrive à la grande muraille,
161.— Arrive à Péking, 189. — Sn
résidence, 191 à 269. — Y voit un
Français , soldat de l'armée chinoise ,
228. — Décrit Péking , 269 à 328.
Timoan (lie de la Miiïaisic) Habitans.
Productions. Sol. t. III, p. 51 et suiv.
TiMor ( île de la Sonde ). Sa des-
cription, t VI, p. 421. — Naufrage d'un
vaisseau francai.s sur ses côtes , VU ,
29. — Étendue. Sol, Climat, XVIII,
63. — Production.s , 66- — Animaux,
68.— Population. Aspect des naturels.
Climat, 69.— Vétemens, habitations,
mœurs et usages, 70,73 — Croyance»,
polygami? cher, les riches. Commerce.
Pouvoir des rajabs, 72. — Objet» d'ex-
portation , XXi^ 360. — Description
472
TABLK GÏ^INKRALK
da la Tillt) de CouftaDa, 361. — Sol.
itublitienkeni bolUiidiii, 3622. —
Miaeid'or, XLIII, viij.
T>mor-Lao*t (Ile de la Malaiiie). Sa
deurription , t. VI, p. 410.
7/m (llede l'Archip.), t. XLVF, p.Off.
TMui> ( Ile , arcLipel de* Af arian-
ue«). Beau pays, abondant en bétail ,
en volaille , en frniit , ma» rempli de
moucheront, t. Il, 242,257.— Rnines
de ttyle pyramidal , 253. — ÀTenturo
d'Anton, 261, 272. — Son apparence,
III, 89. — Ciel brûlant, iniectet in-
commodei , 44. — Set animaux , 46.
— Set fmitt, 891 . — Set longitude
tt latitnde , 395.
Tiookta nie , archipel Dangereux).
Forme , habitant, t, VIII , p. 216. —
Sol , cnbancf, 218.
Tipata (Tille du royaume de Tunii).
Bellei, ruinet, t. XXIII, p. 31 .
Titti ( ville du Kasion , Sénégam-
bie ). Citadelle. Habitant. Aliment ,
t. XXV, p. 96. — Singulière prohibi-
tion . 97. — Condamnation d'un té-
duoteur, 97. — Habitaut forcët d'em-
braiter le mahométitme, 100.
Tjan ( Ile, groupe Kawen ). Dé-
couverte par Kotzebne. Bel aipect.
Douceur det habitant , t. XVII ,
p.18L
Toa-fFati. Voy. Saitta-Christina.
Toboltk (province de Sibérie). Det-
cription de Catherinenbourg, t. XXXI,
P. 243, 244. — Noro tarUre , 248 ,
251. ~Luo talé, 2^3.
Toboltk (cApiDili: de la Sibérie). Le
carnaval, t. XXXI, p 246. — Carême.
Cérémoniet roligieu.ses, 247, 252. — '
Perte du ne-/ très frciiuente, 253. —
Detcriptiou àtt deux villes. Popula-
tion, 254. — Habitant tartare», 256.
Tofle ( ville du Souderfieldt, Nor-
wége) , t. XLV, p. 73.
Tokai avilie etditt. ictde la Hongrie,
empire d'Autriche ). Récolte de tes
vint, t. XLIV, p. 146; XLVI . 130 à
132.
Tolide (ville d'Espagne) , t. XLVI,
p. 174.
ToHuea (villa du Mexique), t. XLI,
p. 156.
Tolna ( ville de Hongrie, empire
d'Autriche), t. XLIV, p. 151. — •
Autrefoii importante. Détails histori-
quet, 155.
Tomik (ville de Sib«rii>). Fondation.
Commerce. Vieux croyant , t. XXXI.
p. 272
Tonpa-Tnbou (archipel de la Poly-
nésie). Voy. jtrcfiipol d»i Amie.
Trngn Tiikou , ou d'AmiUrdam (Ile
priuciiialo de l'anhipc* des auiu ].
Découverte par Tatmab, t. f , p. 348.
— Son atpect. (aférieur et ex-
térieur d'un temple, VIII , 51,54,
58. — Beauté du payt , 57. — Plan-
tations trèt régulièrei , 57 , 61 , 77.
— Grandes cliuuvet-tourit . 62. —
Cimetières, 63. — Liihr.i ité des filles,
65. — Pirogue». Usage de la poudre
dnnt la toilette, 68. (îouvernemeut,
72. — Batelfur», 74. Productions ,
linbitations dissémiDcct, animaux d'<
niPNliques , poiasous , filots, |iirof;ui .,
outil» , 83. — Naturels : leurs véf ■
ment, ornement, umuteux i» , in-
striimeiis de muMquc mauifi i .1 > sa«
luer, franchise, 86 et »\\< l.ou-
tumcH singulières, niutiiiiuon du iii'tit
doigt, 90. — OaiiM'ruciiicnt, J>3. —
Aisance acquise par le travail , 94. —
Religion, lan;;iic, 95. — Repas du
rui, IX, 394.— Village ngrénblc, 308.
— Mu.siquc, chantii, 405. — Cirque,
407. — Fabrication des étoffes , 408
et tuiv. — Grande f/le. «louuée à
Cook : danses , musique , combats ,
danses de nuit, 411 et suiv. , 431. —
Combat de pugilat, 422. — Repas sin-
gulier de deux fumme.'i,430. — Pèche,
436. — Cimetière, 437 , 449. — Ce-
rémonie funèbre, 442, 451. — Plaotu
ot liqueur kava , 445. — Comment
les habitans tuent et préparent leurs
porcs, 448, 450.— Singulière ma-
nière de patter la nuit, 452- — Super-
stition sur la découverte des voleurs ,
456. — Forme, étendue de l'île, 459.
— Sol riche. Aspect agréable. Climat
variable, 460. — Principaux fruits,
463. — • Quadrupèdes , oi.seaux, pois-
sons, 464. — Grande fête relative au
fils du roi , X , 1 , 3 et suiv. — Conjec-
tures sur son objet , 2 J. — Nombreux
districts et diefs de l'Ile* 86.— Aspect
de'ilts.aii.no,,, xni,143. - Pre-
mier étalili'iiiDirrt des mi-- .i ' lires
au' ' is » ;.' M. ; gouvcrncnKiit, ma-
ri;, (.j ndiurels, 442. - Filles
prostituées, XV, 159. — Beauté du
pays, productions, 184. — Danses,
DES iMATIKRES.
473
mnUdifl», 186.— Hinrnirp de la ilu-
rourcrte, XVIII, 283. -- Climat,
l'opnlatiuD. Ft({iire des natui di , '284.
— Mauri, AinnitnmeD», 286. — Ci-
rogaeit. Rrpai. Polygaïuie. '^>tonH^l>.
Maiiiou»,2n8.^Alirnenii.HiibiU, lenr
Religion , 200. — l'uliou. rérviin» '^
religieuae». Funérailles, '')2. — .Sn
perttittonii. Hemidet, Luugue. Pro-
duotionit de l'Ile, 204.
ToHg-Chom ( Tille de la rkiD<> } ,
t. XXXIII, p. 371. — Porte fortiiiéc.
Boutiquen. Àucfi. Cuur de* mniMiDH,
lutërieur d'un temple, 872, 373.—
Monantère , 448.
Tong-Kou ( ville de U Cliiao),
t. XXXIII, p. 357.
TongoetHt (^rWxhn du Kniiranko,
Séoégnuibio) , t. XXVIII, p. 61.— Sa
luurce, G2.
Tong-Ti'hang-Fouh'iVit de la Chine),
t. XXXIII , p. 302.
Ttnqiiin ( wlfe do la mer de Chine),
t. XVIII, p. 449.
Tonxn (Iles de la Maliiisie), t. III,
p. 215.
Too/oa ( Ile, archipel des Amis ),
Opinion superstitieuse des naturels
sur leur Ile, t. IX, p. 848. — Son
aspect, XIII , 143.
Tor ( TiUago de l'Hedjax, Arabie ).
Aspect pris par les Portugais. Vue
des monts Horeb et Sinai , t. XXIII ,
p. 132. — Situation. Maisons. Habi-
tans, XXXII, 373.— Ermite grec du
mont Sinaï , 375.
Torget ( ile de la Norwége ). Son
fameux mont, t. XLV, p. 121.—
Carernu qui perce le moût de part
en p4rt. Sorcière, 122 à 124.
jor/i/a (rivière de Laponie), t. XLV,
p. 324.
Toméa (ville de la Finlande , Rus-
sie). Réapparition du soleil. Aspect de
laviUe, t. XLV.p 327.
Torpille on Anguille éltetrigue ,
t. II, p.218;XLn,435.
Ton es. Voy. Hogoltu.
Tortue (ile de la, Orandes-Antilléa)
Déco«Tertcpar Colomb, t. XXXVIII,
p HI7.
l'ortues (île des, Australie). Dt'coti-
verte pur Bligh, t. XIII , p. 330.
Tortues. Grosseur de celles des Gal-
liipagos. Vont pondre à cent lieues de
la , t. I , p. 373. — Espèces diverses ,
Il , 106. — Manière ingénienie do les
prendre en mer, 107- — Passent ua
lin sans nourriture, XVI, 103.— Leurs
ccnfs , 1U5. —Leur poche k ean, 415.
'f'otfniit. Coup d'ail sur le, paya.
Fldrpti.fl, t. XLVI,p. 265.
Toii'oua (Ile du groupe de la Reine
harlotte ). Formée do ce que l'in' »
api^i'h'i IIpi Kdgecumlie et Ourr^ ,
t. XVIII, p. 387 - VUlages, Mœurs,
388,. W2.
Tovl/ouai (Ile, P(.lynésie). Décou»
verte pur ''nok, t. X j>.iJ8. — Eten*
due. Asp( , 100. — Naturels. Leurs
vjtcmens, "Mrs piru((>i«s sculptées,
101. — Feri '•• de sul , XVI . 472.
Ton» {y AU II district de Tebbos,
KliorassHH, l'erse). Autrefois impor-
tante, t. XXXV, p. 06, 416.
Touraco. Description de cei oiseau ,
t. XXIV, p. 78,
Tourbet (ville et di trict du Khnras»
san, Por.«o/, t. XXXV , p 96, 4l0.
Tous (ancieuuc ciifiir.ile du Klio-
rnssan, Perse). Murailles, Ruines d'un
mausolée et d'uu minarc ' , t. XXXV,
p. 263. — Histoire, :i(ii — Autre-
fois capitale , XXXVII , '. )(i.
TowRsoR. Son voyage en Hon-
grie, t. XLVI, p. 127.
7'ra^A<ia(villeduFi /,'/.an\ . XXVII,
p. 51. — Uiclies tapis , 5().
Traîneau (Ile du , mer de J liring).
Nommée par Cook. (Viiiempn Eten-
due, t. XI , p. 51. — Sol, véf «taux ,
animkux. Description d!un trioneau ,
52. — Nommée iiussi Traîneau par lei
naturels, XIX, 271.
TraUres{\\9 des , archipel des /* mu).
Découverte ]>ar Le Maire , 1. 1 , i>, 300.
— Est l'ilo que Wullis a appelc ile
Keppel, VIII , 73; XIII , 114- — Est
basse, 131. — Ne doit peut-être pas
être comptée dans l'archipel des Amis.
Ses habitnns se mutilent le petit doii^t,
149.
Transylvanie (province de l'empire
d'Autriche^, Voyage dans l'iutérietir,
t. XLIV, p. 91 à 115. — Frontière
turque, 91, 92. — Quarantaine, 95.
— Arbre:. Rochers , 94. r— Figure ,
costume , etc , des bergers , 95, 96. —
Costume d'une jeune Bohémienne,
97. — Voy. au mot Ftohémitns d'au-
tres détails sur ce peuple. Forteresse
de Rothenthuru (tour rouge), 98. —
474
TABLE GÉNÉRALE
Plaines. 105. - Maisons et villagos .
103, llO, 111 — Paysans parlant
Intiu ,,104. — Charrette ,105. — Her-
luanstadt, 105, 106. — Détails sur
l'iiistotre et l'état actuel d'une co-
lonie saxoue, 106, 107. — Belle route,
111. — Rivières Deva , 112. — llra-
niska, 113. — Détails liittoriqnes ,
233. — Uabitans divers, XLVI , 218
et suiv. — Sol. Campagne , 224. —
Origine , caractère , paresse de.s iialii-
tan» , 225. — Keligion, 236. -^ Sec-
taires , 239.
Tras-Os-Moittei (province du Por-
tugal), t. XLVI, p. 186.
Trente ( ville du Tyrol ). Détails
divers , t. XLV, p. 366. — Environs,
397. — Aspect animé de la ville. Ta-
bleau du Concile. Belle situation ,
398. — Jours de fête , 400.
Trésorerie ( îles de l'archipel Sa-
lomon ). Nommées par Shortland ,
t. XV, p. 42.
Trivnnioa (lledcrarch. de la Reine-
Charlotte ). Nommée par Carteret ,
t. Kl, p 150. — Avait été nommée le
Jardin par les Espagnols , 450.
Trivenen (He du groupe Uerge.st, ou
de la Révolution). Nommée par Her-
gest. Est fertile, bien cultivée et peu-
plée, t. XIV, p. 381. — Avait été dé-
couverte avant par lesFrançai.s, et peut-
être par les Américains , XVI , 134.
Trieste (ville de l'Illyrie, empire
d'Antriche) , t. XLIV, p. 334.
TriniJad (île , océan Atlantique).
Stérilité du sol, t. XII, p. 41. — N'est
autre que l'Asceucion , XVllI , 113.
Trinité (ile de la , côte ouest de
l'Amérique septentrionale ). Décou-
verte par Couk, t. XI, p. 31.
Trinité (île de la , cAte de Co-
lombie ). Découverte pur Colomb ,
t. XXXVIII, p. 176,242.
Trinité (baie de la , Nouvelle-Al-
bion , Amérique septentrionale). Na-
turels, maisons, pirogues, t. XIV,
p. 410, 414. — Sol , arbres des en-
virons, 413. — Mutilations des natu-
rels, 415.
Tripoli (Etat de Barbarie). Fruits ,
Voyage dans le pays, t. XXII, |>. 206;
XXllI, 39 et suiv.; XXVII, 1 et suiv.,
452 — Villes du territoire d'Audjelah,
dans le Barca, XXV, 425. — Gliirza.
Ruines romaines, 451.
Tripoli de Barbarie (capitale de
l'Etat). Aspect. Intérieur. Pn i i ce. Beaux
environs, t. XXII, p. 206.
Tripoli (ville de Syrie , Turquie
d'Asie) , t XXIII, p. 43 , 46. — Si-
tuation. Maisons. Eglises. Jardins
XXXII, 450.
Tristan <i'y#cu/iA(i (groupe de, océan
Atlantique méridional ). Découvert
parce Portugais. Climat. Productions.
Animaux , t. XX, p. 148; XXII , 14.
Voy. îles Inaacetsible , Rosngnol ,
Tristan.
Tristan d'Acunha (île). Etendue. As-
pect. Campagne, t. XX, p. 145. —
Végétaux. Animaux, 149. — Popu-
lation. Denrées, 151, 152.
Trobriand (île de l'archipel de la
Louisiade). Découverte par d'Entre-
castcaux , t. XV, p. 266.
Troglodytes. Peuple d'Abyssinie.
Adonués au vol , t. XXIII, p. 466.
Troie (ville du New- York , États-
Unis). Mont Ida, t, XXXIX, p. 47.
Troil. Ses voyages en Europe ,
t. XLVI, 77.
TBOT.LOPE ( mistress ). Son voyage
aux Etats-Unis, t. XXXIX, p. 384
Trumelin. Son voyage autour du
monde, t. XVIII, p. 331.
Tromsoë (ile et port du Nordiand ,
Norwége), t. XLV, p. 174. - Son
commerce, 175. — Le dimanche dans
cette ville. L'été, Comment on passe
l'hiver, 176, 177. — Bois d'Amérique
jeté sur la côte, 177. — Pèche de la
baleine, 178 à 180.
Trontheim. Voy. Drontheim.
Traxillo (ville du Pérou). Fondée
par Pizarre, t. XXXVIlI,p. 333. —
Son port. Ses environs , XLII , 2. —
Mur, rues, édifices , 3.
Tschiboi-hi (île, mer de Behring).
Naturels, t XVII, p. 66, 70. —Tentes
formées d'os de baleine, 67. — Us-
tensiles, ornemens , breuvage, danse,
68. — Aspect , 71. — Vêtement , 73.
Tschiilshy (tribu de l'Amer, russe).
Leurs armes, i. XI, p 55, 57. — Fig'irc,
58. — Vêtemeut. Habitations d'été et
d'hiver dressées sur os de gros pois-
sons, 59. — (>hiens. Canots, 61.
Tschutsky (tribu au nord du Kam-
tschatka). Leur pays. Leur occupation
t. XI , p. 454 — Leur aspect , XVII ,
107, 111. ~ Cabanes, 110.— Arme»,
V* ■
r."
iV.'
r
j
DKS MATIÈRES.
475
li-
ft"
%:
112. — Ûiflieileinent réduits par le*
Russes, 395.
Tuab» ( capitale du bas Galam ),
t. XXVIII, p. 353, 358.
Taarieks (peuple du Sahara), Ca-
raetèrf! , t. XXVII , ji. 33, 35. — Vie
nomade. Mariages, 36. — Voyage
dans le pays, 4i8 et suiv. — Vallée
Sardalis, 46. — Costumes. Agriculture
méprisée, 47. — Gliraat: leur capitale,
47 à 54. — Aspect pittoresque du
Tadrart , 48. — Moûts pittoresques ,
48. — Langue, 54- — Géuent le com-
merce de Tembonctou. Armes. Teint.
Figure, XXIX, 401, 405. Voy. El-
Araouan,
Tacher (Jle , Polynésie) , t. XVIII ,
p. 181.
Tddeixx. Son voyage eu Asie au
xii« siècle.t. XXXI.p. 28.
Tuga (ville de l'Etat de MarocV
Vastes et belles ruines, t. XXIII, p. 2Ô.
Tukumaai ( ville des Tibbous du
mima - Sahara) , t. XXVII, 71.
Tula (gouvernement de la Russie
d'Europe). Voyage dans l'intérieur.
Villages. Campagne. Maison des
paysans , t. XLIV, p. 363 à 366.
Tula (capitale du gouvernement) ,
t. XLIV, p. 363. — Edifices. Cita-
delle. Cathédrale. Population , 364. —
Aspect, environs, 365. — Maisons
des paysans , 366.
Tulbagh (yilliige de la colonie du
rap de Bonne-Espérance), Maisons
Eglise, t. XXVI, p. 70.
Tumbez (v^le de la Colombie). Ha-
bitations de la campagne et de la
ville, t. XVI, p. 92.
Tungouses (peuple de la Sibérie).
Nourriture. Traîneaux. Vie. Village ,
t. XXXI, p. 284. — Barques. Habille-
ment. Religion, 286. — Chasses. Goi-
tres , 288. - Superstition , 288 , 290.
Tunis (royaume d'Afrique) Indus-
trie des Tunisiens , t. XXII , p. 192.
— Ruines antiques , 193, 194. —
Spentla , 193. — Bay-Jab. Kaïrwan.
Teintures de Zag-Wan , 194. — Qua-
drupèdes privées et sauvages , 198. —
Reptiles. Oiseaux. Insectes , 200. —
Ruines antiques, XXIII ,29, 31. —
Tiiga , 29. — Arabes indépendaus ,
30 — Tipassa , 31. Voy. U/ique.
Tunit (capitale du royaume). Pré-
cautions sanitaires , t. XXII , p. 192.
— Climat. Uah.Uus, XXIII, 27.
TuprA. Taïtien emmené par Cook ,
t. V, p. 231. — Son étonneiiient et
son plaisir, ainsi qpie celui de son
valet, à Batavia , première ville qu'ils
voient, VU, 43. — Il y meurt, 48. —
Regretté par les sauvages de la Nou-
velle-Zélande, 305, 314 , 330. — Peu
regretté des Taitieus, VU, 372.
Tupinitr (ile du gr, Loyalty). Nom-
mée par d'Urville, t. XVIII , p. 304.
Turcomanie ( grand pays de la Ta-
tarie indépendante). Vie , médecine,
femmes , jalousie des Turcomans ,
t. XXXII , p. 462 — Férocité des
tribus autour du Khorossau , XXXV,
104, 111. — Sont enueniis reUgieux
des Persaus , 105. — Principales tri-
bus, 106. — Maisons portatives, 107,
120. — Gouvernement, Esprit d'éga-
lité. Hospitalité, 107, 109, 314. —
Richesses, 111 , 116. — Etat des
femmes, 111, 119. — Leur habille-
ment ,'112. — Costume des hommes,
113. — Figure, 114. — Armes, 115.
— Bous chevaux. Chameaux , 116. —
Chiens. Excursions , 117. — Ma-
riages, 118. — Funérailles, 119. —
Précautions contre leurs ravages ,
135. — Traitement d'un prisonnier,
145. — Crainte qu'ils inspirent , 158,
170. — Tril>u de Glocklans . 310 à
316, — Campement, 311, 318. —
Intérieur d'une tente, 312. — Repas,
313, 319. ^ Soirées. Musique. Chan-
teurs , 315. — Chiens de garde ,
317. — Aspect. Costume , XXXVII ,
162. - Villages , 168. — Leur état
dans le Bokhara, 225. — Caractère,
227, 262. — Formes et costume des
femmes, 227,253 — Usages divers,
228 , 232 — Voyage dans leur dé-
sert. Collines de sable, 234, 241,
244. — Esclaves persans , 241. 263 ,
277. — Puits , 240, 243, 245, 280.
— Usent du lait de chamelle , 246.
— Campemens, 251, 257, 259. —
Physionomie , 252, 274. — Costumes.
Couleur favorite. Chiens , 252. — Vie,
260, 272. — Tribus diverses , 260. —
Leurs brigandages , i60, 276 , 285 ,
306. — Terreur qu'ils inspirent , 262.
— Perfidie. Avarice, 262, 263. —
Mariiiges , 270. — Etat religieux ,
271. - Festins , 275. — Armes , 277.
— Voyage à travers les Turcomans de
476
TABLE GÉNKHALE
In mer Caspienne, 503. — Discipline,
506. — Voy. Shatukhi.
Turcomans-Gloklans, Beauté de leur
pays. Leur nombre , t. XXXVII ,
p. 308. — Sont lio!ipitaliers , 310. —
Dépendent de la Perse, 311.
Turcomans-Salores. Les plus nobles
de la race, t. XXXVII, p. 268 —
Leur suzerain. Leur gouvernement.
Leur contrée , 269. — Mariages, 270.
— Vie, 272. — Belle tente d'un
chef, 272. — Physionomie. Festins ,
274.
Turcomans - Sarulcs, Leurs brigan-
dages , t. XXXVII , p. 260. - Trai-
tement des chevaux, 261.
Turcomans-Tukas. Leurs excursions.
Craintes qu'ils inspirent, t. XXXVII ,
p. 306, 307. — Caractère. Femmes ,
312.
Turcomans-Yamunds. Soumis par la
Perse. Leur nombre , t. XXXVII ,
p. 312.
Turcs, Combattent les Portugais
dans les mers des Indes, t. I, p. 110.
— Leur origine. Leur histoire, XXd,
253. — Peuples de leur race, XXXI,
22. — Leurs dons intéressés , XXXII,
10 note. — Sont méprisés des Arabes,
43. — Sont hypocrites, 316. — Lâche,
insolence des soldats, 370, 372. —
Peuvent remplacer l'eau par le sable
pour leurs ablutions, XXXVII, 247.
— Manteaux de janissaire, XLIV, 3.
— Leur indifférence pour la vie des
hommes , 12. — ■ Nonchalance, 20. —
Respect des oiseaux, 24. — Supersti-
tions, 32, 33. — Rareté du vol, 36,
243. — Ignorance, 44. — Habitudes
toutes cotitraires d'avec celles des
Européens , 55. — Repas turc , 61 ,
223. — Dureté, 65. — Intérieur de
leurs cafés , 220. — Description du
Nargillé, 222. — Isolement et re-
traite des femmes , 224. — Religion
des effendis, XLVI, 84. — Bains
chauds des femmes , 85. — Leur riche
et belle coiffure. Beauté des femmes ,
86. — Détails sur l'intérieur des ha-
rems, 88 à 90, 108 à 1 14. — Paradis
des femmes Usage bizarre, 91. —
Usage de l'adoption Ses causes , 92.
— Sont intelligens et vindicatifs ,
100. — Intolérans, cupides, 101. —
Muftis, mollahs, imans, derviclics,
scheiks, 102. — Rareté de la poly-
gamie, 110. — Exagération des que-
relles de leur famille. Etat, occupa-
tions de l'homme et de la femme,
1 M. — Conduite du mari quand il à
plusieurs femmes, 112. — Respect
pour le harem d'autrui,115. — Amour
paternel et filial. Déférences pour les
femmes, 117. — Condition des femmes
des divers rangs, 118. — Mariages,
119, 120. — Fréquentes répudiations,
120. — Promenades. Amour des che-
vaux. Interdiction des images. Ses
effets, 121. — Peinture, sculp-
ture. Musique. Proscription des
jeux, 122. — Alimens, 123. — Bois-
sons : sorbet, vins , opium , café ,
124. — Passion pour le café. Grand
usage du tabac, 125. — Costumes.
Respect pour la barbe, 126. — Lan-
gues parlées, 126-
Turketlan, Voy. Tatarie indépen-
dante.
TuRNER.Son ambassade au Thibet,
t. xxxr,p. 419.
Turin (capitale du Piémont, royauiiie
de Sardaigne) , t. XLVI, p. 286.
Tuion ( ville de la Cocliinchine).
Baie , t. XXXIV, p. 356. — Sol. Pro-
ductions des euvirons , 357, 358 ,
361. — Fortifications, 360. — Mai-
sons. Bazar, 361.
Turquie d'^sieJVoy. provinces à'At-
Djezyreh , Arménie , Irak-Akari , Kour-
distan , Syrie.
Turquie d'Europe. État des routes ,
t. XLIV, p. 1 et suiv. 30, 36 , 38. —
Auberges , 2. — Etangs factices , 8 ,
10. — Villages ou petites villes , 25 ,
37, 45, 48, 50,60, 65,67. - Kbans,
café.s, 26- — Buffles, 31. — Monu-
ment de Soliman I*"", 38. — Cam-
pagno, 41. — Monts Balkans, 49.
Voy. ce nom. — Construction des ca-
banes de village , 50. ' — Transport
des prisonniers, 61 , 64. '— Dépo-'
pulation du pays, 71. — Nouveau
costume des soldats , 260. — Déclin
du fanatisme , 276. — Le Moniteur
ottoman , 278. — Inoculation de la
petite vérole importée en Angleterre ,
XLVI, 83. — Vexations des janis-
saires, 84. — Bains chauds, 85. —
Troupes défilant devant le Grand-
Seigneur, 88. — .administration de la
justice. Sa vénalité, 102 à 104. —
Précautions prises pour le maintien
des prol
di: v'>ir
— Boni
— Rarcl
— luleii
121.
l'usage
usage d|
vinces
davie ,
chie,
Tver
Russie
ville. Pij
t. XLVIl
TwinI
et en Su
Tzana
Iles, t.
Tyr (
d'Asie).
p. 49.
Tyrol
triche),
p. 357.
361. —
— Belle;
Inspruck
Tyrol , 3
animaux
de sel de
de WilK
380,382
402. — S
DES MATIÈRES.
477
des propriétés , 104. — Police. Rareté
di: ■»->!, sa prompte et terrible piini-
î »'I5 à 108. — Exécution , 107.
— finiinc administratioD civile, 116.
— Rareté des femmes publiques, 120.
^luterdictiou des images. Ses effets,
121. — Iiitroduction du café et de
l'usage de fumer, 125. — Langues en
usage dans l'empire, 126. Yoy pro-
vinces de Albanie ,
Monténe'gro ,
hulgarte ,
Roumélie ,
Mol.
Fala-
davie
chie.
Tver (ville et gouvernement de la
Russie d'Europe). Description de la
ville. Productions. Animaux du pays,
t. XLVI, p. 145.
TwiNiNO. Son voyage en Norwége
et en Suède, t. XLVI, p. 29o.
Tzana (lac, Âbyssinie). Etendue.
Iles, t. XXIII, p. 388.
Tyr (ville de la Syrie, Turquie
d'Asie). Estruinée et déserte, t. XXIII,
p. 49.
Tyrol (province de l'empire d'Au-
tricbe). Pourquoi peu visité , t. XLV,
p. 357. — Voyage dans l'intérieur ,
361. — Campiigne. 362, 376,385.
— Belles vallées, 362, 382. — Zirl.
Inspruck. , 363. — Détails sur le Uaut-
Tyrol, 365 et sniv. — Nourriture des
animaux domestiques , 367. — Mines
de sel de Hall , 375 à 380. — Abbaye
de Wihen , 375. — Villages , 375 ,
380, 382, 384. 388, 390, 392, 400,
402. — Schwatz , 380. — Lac Aclien-
sée, 381. — Rattenberg, Kunfstein ,
381. — Multiplicité des cbapeljes ,
«Toix, etc. , 384, 393. — Srezziug .
386. — L'Eisach , 386. — Brixen.
Vignes, 387. — MublbacL, 388. —
Vallée de Pustertlial. Pruncckea ,
389. — Auberges , 389. — La Rienz.
Lieuz. La Drave, 390. — Tyrol ceu-
trHl , 394. — Botzen , 393. — Tyrol
méridional ou Ba.s-Tyrol. Différences ,
396, 397, 399. — Ruines do Sig-
muuds-Crou, 396- — Saules pleu-
reurs , 397. — Trente, L'Adigc , 398.
— Belle route, 399. — Le Lago da
Gunrda , 399. — Oliviers, grenadiers,
figuiers , 400. ' — ' Meran. Maison
d'André Hofer, 401. — Le Passeyer,
401 , 402. — Clurns. Route remarqua»
ble,402, 403, — Gluns. Nauders. Cé-
lèbre défilé , 404. — Landeck , 405.
— Le Voralberg , 405 — Bregentz.
Feldrich, 406. - So! fertile, 407.
Voy. ^Ij?cs , Inn,
Tyroliens. Costume de ])aysans ,
t XLV, p. 362 , 364. — Différence»
du Tyrolien autrichien et du Tyrolien
italieu , 365 et suiv. — Vie, nourri-
ture du paysan du Haut-Tyrol , 367.
— Caractère, 367, 406. — Mœurs ,
368, 406. — Amusemens. Drames
sacrés , 369. — Concerts , 369. —
Travail délicat des paysans , 374. —
Costume des paysans de la mon-
tagne , 383. — Dévotion , 384 , 406.
— Esprit , 407.
u
%
Ubi {\\e, mer de Chine. Aspect.
Costume Idoles, t. XXXIV, p. 88,
90. — Productions, Graines trouvées
dans le plantain, 92 à 95. — Pigeons,
94. — (Jbservatiou.s botaniques , 95.
C/t/ir/ct (groupe d', îles Radack ,
archipel des Carolines). Découvert
par Kotzebuc, t. XVII, p. 207 et suiv.
Uittnhage (ville de la colonie du
Cap). Effets de la guerre contre les
Cufres , t. XXIX, p. 326.
Ukraine ou Petite liussie. Voyage
dans le pays, t. XLIV, p. 369 et suiv.
— Palais du dernier hetmau,371.
— L'Ukraine comprenait les gouver-
nemcns de Karkhov , Kief , Podolie ,
Pultava et Toherniguv. Voy. ces noms.
Uliétéa (ile, archipel de la Sgciété).
Découverte par Cook , t. V , p. 325 ,
335. — Cimetières. Coffre semblable
à l'arche d'alliance , 356. Voy. Hua-
heine. — Trophées de guerre, 337.—
Aspect de l'ile, VIII, 3. — Représen-
tations théâtrales, 5, 7, 15, 281. —
L'insulaire Œdidce s'embarque avec
Cook, 24. — Arrioys ou sociétés se-
crètes, leur but immoral, 263, 272,
274 et suiv. — Les femmes se font
des blessures eu sigue de deuil , 273.
— Manière de tuer et rAtir les porcs,
288. — Idoles. Esclaves, ,291.—
Classe de savaus, 291. — Religion ,
295 et suiv. — Prêtres, 298, — Etat
de l'ile au troisième voyage de Cook ,
478
TABLE GÉNÉRALE
, comparé à celui où il l'avait trouvé,
X, 200. — Conquise par les naturelw
de Bolabola, 203 et siiir.
Uman (tïHc du gouvernement de
Kief, Russie d'Europe), t. XLIV,
p 384.
Uméa ( ville du Norland suédois ) ,
t. XLV, p. 330.
Umiir ( ville du Rajpoutana, Hin-
doustan ). Belles ruines. Mendiant,
t. XXXVI, p. 319.
Ummtirghur {sWlo du Riijpoutana,
Hindoustaa). Jolis temples. Fabrique
d'indienne. Fort, t. XXXVI, p. 336.
Umrestir. Voy. Amnisir.
Vptal (ville de la Suède). Environs,
t. XLV, p. 534. — Restes, de Linnée.
Cathédrale. Population. Château, 535.
— Jardin botanique, XLVI, 152.
Uruguay ( afflueut du Rio de la
Plata), t. IV, p. 14; XXXVIII, 66,
68.
UnviLLK. (Dumontd*). Résultat de
son voyageautonrdumonde,t.XVIII,
p. 188. — Résultats des principaux
navigateurs, 190 et suiv. —Relation
de son voyage . 206. — Monille à la
Nouvelle - Hollande, 215. — Ddtane
l'histoire de l'établissement des An-
glais , 219. — Décrit la Nouvelle-
Zélande et ses habitans , 237 à 283.
L'ile Touga-'l'abou et ses habitant,
283 à 298. — Délermine la position
do plusieurs Iles dans l'archipel Fidgi,
298. — Nomme les Iles Chabrol ,
Halgan et Tupinier, 304. — L'tlu
Adèle, 506. — Reconnaît les Iles Lan-
ghlan, 307 —La côte nord de la Nou-
velle-Guinée, où il nomme plusieurn
lieux , 309. — Découvre le lieu du
naufrage de La Pérouse, 338.
Urville (lied', Carolines). Décou-
verte par Duperrey. Étendue. Belle
végétation, t. XVIII, p, 179. — Est
formée de trois iles, XX, 201 . Voy.
ffettervelt.
Usbeks (peuple de la Boukharie).
—Manière de boire le thé, t XXXVII,
p. 145. — Costume. Air martial, 146-
— Cour d'un chef , 147. — Carac-
tère, 149, 173, 198. — Amazones La-
kays, 168. — Figure, 173. — Costu-
mes, 181, 182. — Usages divers, 232,
301.
Ushruff. Voy Asehrejy.
Uspallata (ville de la Plata). Stéri-
lité des environs. Mines. La Cordi-
lière , t. XLI, 350 et suiv,
i7/««a ( ville du New -York, Etats-
Unis). Chutes de Trenton, t. XXXIX,
p. 51. — Beaux environs, XLI, 268.
Utique, Son emplacement dans
l'Etat de Tunis , t. XXII, p. 190. —
Quelques ruines, XXIII, 26.
yalachie (province de la Turquie
d'Asie). Voyage dans l'intérieur, tom.
XLIV. p. 71 à 91. —Le Danube, 71,
72. — Villages et cabanes, 72, 74. —
Sel fossile. Giurgevo, 72. — Singu-
lière voiture de poste , 73. — Aspect
de la campagne, 74, 82, 83 , 200. —
Paysans, 74, 75 , 84 , 8M, 89 , 202. —
Villages de Bolentine, 80. — Monts
Carpathes, 81. — Pitesch, 81. — An-
cienne capitale, 81, 82. — Salatrouk.
Prepora, 85. — Paysans qui parlent
latin. Goitres. Crétins, 84. — Croix
sur les chemins, 86. — C^s'umes, 86,
90. — Rivières, 87. — Étendue du
pays, 88. — Animanx , population,
caractère général , 89. — Religion,
langue. État de rinâtrnotioii , 90. —
Costume de paysans, 172. — Bergères,
178. —Porte de fer du Danulie, 200.
— Ruines du pont de Trajan , 203-
— Rives dn Danube, 205. — Détails
historiques anciens , 233. — "figures.
Formes de» Valaques, 233. -■ Carac-
tère , 234. — Habitations , 235. —
Meubles, 236. — Fainéantise. Prin-
cipales occupations , 236 , 237. —
Nourriture, costume des deux sexes,
238, 239. — Ornemens des femmes ,
240. — Vétemens d'hiver, 241. Voy.
Buhharest.
Falenoa (ville du Brésil). Indien.^
civUisés, t. XLII, p. 240. — Savon dn
pays, 241 . — Marchés à esclaves , 242.
— Dames indigènes, 243.
Faïence (ville d'Espagne ), t.^XLVI,
p. 176.
f^alence (prov. d'F.spagne). Voyage
dans l'intérieur, t. XLVI, p. 176, 1H4.
— Mnrviedro. Alicante, 177. — ' i<-
11
DES MATIÈRES.
479
t.^LLVI,
t
ractère, figure, cotiume dei Valcn-
ciens, 184.
f^alencia ( lac dn Venezuela, Amp-
rique mérid.). Son étendue. Beauté de
ses bords. Ses Iles, t. XXXVIII, png.
366. — Singes, 370.
Falencia-Nueva (villedu Venezuela).
Sa description. Population, Fonda-
tion, t. XXXVm , p. 367. — Abon-
dance des fourmis, 368.
Falparaiso (ville du Cbili). Sa si-
tuation. Village voisin, t. XIV, p 475.
— Uorre.ir des côtes voisines , XVI ,
27. — Situation de la ville. Quelques
usages de ses liabitans, 34. — Détails
sur la guerre de l'émancipation , 390
et suiv. - ' Bel aspect de la c6te. La
baie. La ville, XLI , 375. — Lutte de
Taureaux, 376i 378. — Instrumensde
musique. Chants, 377, 378. — Orages,
379. — Maisons, 380, 382. — Carac-
tère, industrie des habitans, 380,382.
— Cliaumières, 381. — Éducation ,
283. — Montagnes des environs, 406.
Vancouver . Résumé de son voyage,
t. XIV, p. 1. — Longe et décrit la
cAte sud-ouest de la Nouvelle-Hol-
lande, et donne des noms à plusieurs
lieux, 14, 32 et suiv.— Nomme le port
de Georges III (Albauy), et en prend
possession, 21 . — Nomme le cap Hood,
29. — Découvre les Suares, 57. —
L'île Oparo, 61 . — Son séjour à Taïti,
()7 etsniv. — Fait connaître les rlian-
gemens survenus à Taïti depuis l'ar-
rivée des Européens , 108 et suiv. —
Même remarque anx S.'tndwich, 137.
— Reconnaît e<t décrit la càte de la
Nouvelle-Albion, et uommc plusieurs
lieux, 14t. — La pointe, la baie Saint-
George, 151, — Reconnaît en détail
le bras de mer qui sépare l'île de
Quadra et Vancouver du continent
américain, et nomme un grand nom-
bre de lieux, 168 à 321. — Explore
et fuit connaître son opinion sur le
prétendu détroit de Fuca, 169etsniir.,
177 et suiv. , 183. -- Nomme et dé-
crit le havre de lu Découverte, 189,
211. —Le port TowDshen, 198. —
La pointe du Mauvais-Temps, 200. —
ReconuHÎt la côte de la Nouvelle-
Géocgie , en prend possession et lui
donue le nom qu'elle porte , 226 à
248. — Poursuit la reconnaissance de
la côte d'Amérique, et donne des noms
à plusieurs lieux , 249 et suiv. —
Nomme après l'avoir exploré îe détroit
de la Reine-Charlotte, 321. — Décrit
les missions do la Californie , 340 et
suiv, — Reprend la reconnaissance
des côtes d'Amérique, et nomme plu-
sieurs lieux, 409 et suiv. — Grande
excursion en canots, 436 et suiv. —
Nommela Nouvelle-Hanovre, 451. —
La NonveIle<CornoMailles, 452, —
Reconnaît que la rivière deCook n'est
qu'iiue baie, 458. Voy. Broughion,
f'an/A'oro (groupe, îles La Pérouse).
Iles du groupe, t. XVIII, 341. — Dé-
couvert par Edwards. Naturels. Mai-
sons, 342. — Religion. Langue, 344,
Voy. îles de Pitt, de la Recherche,
f^anrkoro (île, dite ^anïco/o, groupe
Vanikoro). Lieu du naufrage de La
Pérouse, t. XVIII, p. 338. — Carac-
tère des indigènes, 377. — Aspect,
392. — Figure. Ornemcns, 378. —
E»t l'île de la Recherche de d'Entrecas-
tcaux, 385. — Son aspect, 392.
f-'arinas ( ville du Venezuela ) ,
t. XLU,p. 432.
f orna (province delà Turquie d'Eii-
rope , Bulgarie), t. XLIV, p. 62
Varsovie ( capitale de la Pologne ),
Sa description, t. XLVI, p. 138.
Vassilkov (ville du gouvernement de
Kief, Rus.sie d'Eur.), t. XLIV, p. 382.
yavao (île, archipel des Amis). D*"-
convertepar Maurelle, t. XIII, p. 137.
— Renseignemens recueillis par Cook,
X,45.
Vayag (îles de la Malaisie), t. XVIII,
p. 75.
Veaux marins. Donnent nne huile
excellente, leur peau forme une très
belle fourrur»', t. III, p. 104. — Leur
description, IX , 98. — Manière dout
ils dévorent leur proie, XVI ,114.-—
Trace sur les petits des blessures de
!a mère, XX, 43. — Disparité de
taille entre le mâle et la femelle.
Leurs amours, 44. — Finesse de l'o-
dorat et de l'ouïe. Deux espèces de
veaux. Précautions dans leurs cam-
pemens , 46. — Mœurs. Portées de la
mère, XXI, 215, 264. — Accouple-
raens. Grognement , ,\XXI, 387.
Fegen (île de la Norwége), t. XLV,
Vendola (une des îles de l'/imi-
rauté ). Ktendue. Aspect. Climat,
fi
480
TABLE GÉiNÉRALE
t. XV, p. 53, 56. — Naturels se cou-
vrent les parties naturelle." avec une
coquille, 56.
P'enézH^ln ( république de l'Améri-
que incriiîinnale). Découverte par
Ojeda , toni. XXXVIII, p. 243. - La
Guayrn, 363. — Belles fleurs. Lac ,
366. — Belles vallées d'Aragun, 366,
369. — Liiit végétal, 369. — Singes,
370. — Llanus de l'Oréuoque, 371
— Caluboso, Pois.sons électriques ,
376. — Crocodiles. Boas , 377 —
Barcclona, 385. — Progrès de la po-
pulation , 387. — Productions , 397
et suiv. — Con.soiuinatiou de la viande,
401- — Beauté du littoral , 402. —
Commerce, 403. — Saisons , XLII,
399. — Divers Labitans , leur nom-
bre, 403- — Indiens, leur culte d'un
génie malfaisant et leurs médecins,
414. — Varinas, 432. — Llanos de
Cumana. Saisou des chaleurs, 433.- —
Torpilles, anguilles électriques, 435.
r— Saison des pluies , 438. Voy, Ca-
racat, capitale; Cumana^ Porto Cabello,
f^aleni'ta.
Fenise (ville du royaume lombardo-
vénilien), t. XLIV, p. 336 et suiv. ,
XLVI. 267, 268.
Vera-t vuz (ville du Mexique). Fon-
dée p.ir Cortez, t. XXXVÎII, p. 392.
Pic de l'Orizaba, XLI , 5. — Aspect,
6, 12. ^ Promenade publique, 8. —
Détails hi.storiques , 9. — La posada ,
10 — Marché. Cathédrale. Maisons,
11. — In>alubrité du climat, 13, 109.
— Population, 14. — Vautours pri-
vés, 15. — Environs sablonneux, 16.
FerfoHen (lac delà Suède), t. XLV,
p. 37.
Vert (cap, Afrique). Découvert par
les Portugais, t. 1, p. 12, 23. — Ori-
gine de .son nom, XXII, 11.
Vert (îles du cap, Afrique). Décou-
vertes par les Portugais, t 1, ]). 25,
XXII, 12. — Sol et productions des
îles , t. Vil, 180. — (Connues des an-
ciens, XX, 104. -Sol. Climat, 114.
— Population, 118, note. — Ont été
découvertes par Ça-da-Mosto, XXII ,
12. Voy. iles Saint-zinloine, Bonavista,
Brava, San-Iitgo, Sainte-Lucie, Saiitl-
Nicolas, Sel, Saint-Fiiicent.
Vertes (îles, Afuérirpie septentrio-
nale , ouest). Découvertes par Cook ,
t. X, p. 451.
Vksmio* ( Améric ).
l'île Fernando-Noronlia
Découvre
■Noronlia, t. IX, p. 155.
Vtst-Fiord ( golfe du INordland,
Norwége) , t. XLV, p. 16/?, 166.
ViAiiLA. Son voyage dans le pays
des Monténégrins , t XLVI, p. 240,
Vianiski (ville du gouv. de Moscou,
Bussie d'Europe) , t. XLIV , p. 470.
Victoria (ville d'Espagne), t. XLVI.
p. 172. '
Vidin (ville de la Bulgarie, Turquie
d'Asie). Del aspect. Soldats. Danses,
XLIV , p. 207. — Figure, costume ,
salle d'audience d'Hussein-Pacha, 211
à 214. — Harem du pacha, 215.
Vienn» (capitale de l'empire d'Au-
triche). Aspect de la ville. Le Prater ,
t. XLIV, p. 132.
Vierges (cap des, détroit de Ma-
gellan). Sa position exacte, tom, IV,
p. 130. — Sa description, 132. — Sa
distance du cap Pilares à l'autre ex-
trémité du détroit, 105.
Figten ( îles de la Norwége) , tom,
XLV, p. 1 17. —Sont fréquentées par
des rennes en été, 118.
Villa-Nuera de los Andes ( ville du
Chili). Rues. Place. Soldats, t. XLI,
p. 368.
, Villa-Rica (ville du Paraguay, Amé-
rique méridionale). Aspect délabré,
t. XLII, p. 291. — Description , 292.
— Ancieuue splendeur , 293. — Dé-
moralisation, décadence, état actuel
un peu meilleur, 294. — Cavernes du
voisinage, 295.
Vitlaumez (île, archipel de la Nou-
velle-Bretagne). Découverte par d'En-
trecastcaux, t. XV, p. 275.
Villa- Vicentia (ville de la Plala).
Poste. Environs. La Cordilière, tom.
XLI, p. 344 et suiv.-
Ville-Neuve (ville du Fezzau). Phy-
sionomie des femmes , t. XXVII ,
p. 41. — Maisons, 42. — Habitation
souterraine , 43.
VHley(ï\e de la terre de Sandwich).
Découverte par Fanniug , t. XXI ,
p. 455.
Vincent (une des îles du cap Vert),
t. XX, p. 107.
Fintain (ville foulah sur la Gambie,
Sénégambie). Sun commerce, t. j^XV,
p. 24,
Viti. Voy. Fidgi.
Virginie (un de8,Etats-Unis).Voyagc
#
DES MATIERES.
481
dans l'intérienr. Fréderick»burg ,
t. XXXIX, p. 271.— Mauvois état des
routes, 273. — ■ Citadelle immcose
d'Old-Point-Comfort, 279. —Beauté
de la campagne, 431. — Beauté et
Tariété des fruits et des fleurs, 432.
— Insectes. Oiseaux-mouches. Vers
luisans, 434. Voy Richmond , capitale.
F'oleaH ( ile du , archipel de la
Nourelle-Bretagne). Découverte par
Le Maire, 1. 1, p. 321. — Habitans.
Laideur des femmes, 322. — Erup-
tion du volcan, XV, 272.
yolean (ile du , archipel de la Reine-
Charlotte). DécouTcrte par Carteret,
t. Kl, p. 134.
Volga (fleuve de la Russie d'Eu-
rope), t. XLIV, p. 464; XLVI , 145.
yoi.RBT. Son voyage en Egypte ,
t. XXII, p. 215.
. FoT9iudjt ( gouvernement de la
Russie d'Europe). Voyage dans l'in-
térieur, t. XHV, p. 456. — Villages ,
456 , 459. — Grande fonderie de
canons, 456. -- Belle et fertile cam-
pagne, 456, 458. — L'Aidara. Danses.
Starobelsk, 457. — Colonie alle-
mande , 458. — Domaine de Mi-
lenetz , 459. — Zadonsk, 460.
Voronedje (chef-lieu du gouverne-
ment). Magnifique aspect. Popula-
tion , t. XLIV, p. 458. ~- Rue princi-
pale. Cathédrale , 459.
Fctgei (montagnes de la France) ,
t. XLV, p. 337; XLVI, 25. — Hau-
teur des principaux points, 43.
Voitizza (ville de la Grèce). Fa-
meux raisins, t. XLIV, p. 316. —
Platane immense, 317. — Environs,
318.
w
>. f'-:^
W. Chercber i Ou ou k 00, les
mots qu'on ne trouverait pas à ff^
fFadi-Maitonk (lieu du Darfour ,
Soudan). Fourmis blanches, t. XXV,
p. 395.
fVadi'lUuna ( ville du Hedjaz ,
Arabie), t. XXXII, p. 50, 54. —
Abraham y rencontre le démon, 219.
— Halte de la procession générale
des pèlerins de la Mecque , 219 à 222.
— Vallée. Mosquée. Traditions, 223.
— Séjour des pachas Soleïman et
Mohammed- Ali, 226 et suiv.
fVahabittt (tribu de l'Arabie). Ne
vénèrent point Mahomet, t. XXXII ,
p. 291.
Wtùgait (lie, mer de Baffib), t. XL,
1^2.
fVaigîov. (une des îles des Papous).
A peu d'habitans, t. XV, p. 289. —
Leur laideur. Maisons. Costumes. Re-
ligion, XVIII, 77.
fFaïhou. Voy. Pâques.
fFaldubba ( village du Wogora ,
Abyssinie ) Moines. Retraite des
grands disgraciés. Maladies, t. XXIII ,
p. 271.
fFallaee ( une des îles du Mas-
sacre). Achetée par Morrell des insu-
laires qui l'attaquent ensuite , t. XX ,
p. 341,361.
Wallis. Décrit les deux c6tes du
XLVI.
détroit de Magellan , t. III , p. 247, et
«Eticulièrement les endroits où il ,t
uillé , 277. — Découvre l'ile de la
Pentecôte, 292. — L'Ile de la Reine-
Charlotte , 297. — Les lies d'Egmont,
de Glocester , de Cumberland , du
Prince - Guillaume - Henri, d'Osna-
bruck , 302 et suiv. — Découvre et
décrit l'ile de Taiti , 507. — Reçoit la
Reine à son bord, 340, 347 à 349 ,
359, 361. — Est traité à son tour par
la Reine. Description de sa réception
et de la maison , 342 et suiv. — En-
voie son contre-maître en expédition
dans l'ile, relation de cette expédi-
tion, 351. — Découvre l'Ile deCharles-
Saundeis, du Lord-How, de Scilly, de
Boscawen; etc., 379. — Découvre
l'île de Wallis , 384, 387. — Les ile>>
Sunday , Small-Key , Long-Island ,
New-Island , 396. — Donne la table
des latitudes et longitudes des lieux
qu'il a visites dans son voyage, 418.
fFalUi (ile au nord de l'archipel
des Amis). Découverte par Wallis ,
t. III, p. 384.
fFallis (îles delà côte de la Nouvelle-
Galles du sud). Découvertes par Cook.,
t. VI p. 370.
Walsb. Son voyage au Brésil ,
t. XTjII , p. 81. — Reçoit audience de
don Pedro , 369 et suiv. ^
31
^V
4-
4^2
TABLE GÉNÉRALE
Vfitun. Son Toyage de Coastanti-
Boplera Angleterre, t. XLIY, p. 1.
^«MiM ( fie du groupe de« GalU-
paKo.),I.XVI p.88.
ITMgtH (vitle de BaTÏira) , t. XLV,
p. 889.
if^aihiitgto» (chef-lieu de la Co-
lombie «t capitale dea ittats-Uois). La
cour suprême , t. XXXIX , p. 233 ,
240. — Singulier aipect de la ville ,
241, 428.— CapitoIe,242, 246.^ Si-
tnatioB de la Tille, 242, 431 . — Visites
an président , 243. — Ridicules
eiigences républicaines , 245. —
Cbumbre des représe ...ns , 247. —
Police du congrès, 248. — Eloquence
verbeuse et nitile des orateurs : ré-
flexions , 250 à 254. — Lnnçs débats
à propos d'un tablenn , 255 a 262. -^
Vente d'esclaves à l'enchère, 263 à
270- — Canards des environs , 270.
— Églises, 429. — Obsèques d'un
naembre du congrès , 430.
ffathington (îles, Polynésie). Dé-
couvertes par Panning , t. XXL ,
p. 450. m
ff^aiitbou (ville du Bambara). Cm«
ture,t. XXV, p. 214.
If^alttoo (Ile de l'archipel Mangia).
Découverte par Cook , t. IX , p. 29/,
914. — Habitans, vétemens, orne-
mens , 301 , 806. ■— Reçoivent les
étrangers en chantant et dansant ,
300, !H)4 , — Tatouages , 307. —
Armes, 809. — Pirogues , 810. —
Arbrfi, 310. — Productions. Sol,
811. — Croyances religieuses des ha-
bitans, 315.
WATKiira (Patrick). Ses aventures
ntraordinaires,!. Xvl, p. 51 etsuiv.
'WATtiKTOir. Son premier voyage
i Fonést delà Guiane, t. XLI, p. 173.
— S'enqulert du lac Parima (Eldo-
rado), 200. 202, 204. —2« Voyage
au Brésil fet aux Gnisnes, 217. —
8* Voyage , 255. «^ Chasse le s«r-
rat , 251 i 258. — Le caïman , 2&9
265. — 4* Voyage aux États-Unis
et aux Antilles, 266.
fFama , fFamo» ou Oaaoua (ville et
province du Bonrgon , Soudan) ,
t. XXX, p. 232. — Réception des
étrangers , 234. — Course de che-
vaux, 287. — Politiqtie du roi , 239.
— Productions, 240. --' Détails sur
l'anciani^e religion. Cérémonies. Su-
perstilion», 241 .Funéniillrs. llariagefi,
344. — Est distinct da Bonrgon, 247. —
Maladies , 287. — Médecine , 288.—
Voyage de Clapperton , XXVIII, 163
et univ. — Deuil des femmes , 196.
— Fameux poison , 167. — Popula-
tion. Rues. Maisons. Mariages. Maurs,
168. — Emploi des esclaves. I^iourri-
ture, 171. —-Troupeaux des esclaves.
Armes. Langue. Religion , 172.
Voy. L*¥êr.
ffatm ( joli ville dn Zeg-Zeg , Sou-
dan), t. XXVIII , p. 278.
WiDDii.ii. Son voyage vers le pèle
snd, t. XXI , p. 200.— -Nomme quel-
ques points, 213 et Muiv. 294. —
Nomme l'île Smith's, 271.
Wtntr (lac de h Gotliie , Suède),
Chute dn Trolhatta. Ses bords. Ses
dimensions , t. XLV, p. 9. ■— Rivières
qui s'y jettent, 10. — Aspect, 31.
IVtnooatti* on Otalcootaia (Ile de
l'archipel Mangia ). Découverte par
Cook. Productions, animaux, t. IX ,
p. 316 et suiv.
WERT(Sebald de). Son voyage au-
tour du monde , 1. 1 , p. 220.
fFtslt}9iUe (mission dans la Cafre-
rie), t. XXIX, p. 282. —Ecoles,
284 — Service divin. Poésie cafre ,
285. — Aspect ii l'établissement,
295.
ff^«tUra» ( chef liemide la Westma-
nie , Stiède ). Magnifique cathédrale ,
t. XLV, p. 15
ffesientlt ( groupe, lies Carolines).
Vu par Morrell, mais découvert par
Dnperrey qni le nommai île d'Ur-
ville,t. XX, p. 201.
fFett-Point t ville du New-Tork,
Etats-Unis ). Son école militaire ,
t. XXXlX,p. 33,34.
fF'icaiumish ( havre , Amérique sep-
tentrionale O.). Richesse dn sol de ses
lies. Pudeur des femmes. Occupation ,
des hommes, t. XIlI^p. 350.
fFielittka ( ville de la Pologne).
Ses mines, t. XLVI, p. 138^
WiLsoN. Son iiaufrage aux Iles
Pelcw , t. xni , p. 377. — Reçoit dn
roi l'ordre de l'Os , 380. — Recon-
struit s >n vaisseau et revient en Europe
avecL)e-Boo, fils du roi, 386. —
Intéressans détails sur Lee-Boo , 586
à 41(J' ■— Bonté des insulaires pour
rér;nipage, 391 et suiv. — WiUou
h'.ï;
*
îf^
DES MATIÈRES.
4M
traniparte l«s nremiart mUtionnairn
dans la mer dn Sud, 485. — Dé*
couvra les Iles du Croissaot , Gam-
bier, Soarl , 440.
ff^illigAt ( ville dn Boarnou , San»
dao). FortifioatioBS, (om. XXV H,
I> 246. » BenuB arbres, 247.
ATomJU//** (ila, Polynésie). Dé-
couTtrte par Carteret, t. III , p. 140.
WiMiior (Tille de U NouTelle-
UaUes do sud ), t. XLIK , p. 37.
ff^iiitmitrg ( royaume de , Allema-
gne, t. XLV, p. 539.
^<d</i'M/i*(gouTeraement de la Rus»
sie d'Knrope). Voyiige dans llaté-
rieur, t. XLIV, p. 461 à 464. — Mu-
rong, 463. — Grebatof, 46V. — Go-
ochoreta, ^70.
lyiadimr ( ohef«lieu dn gouverne-
ment). Situation. Rem{>arts. Rues,
t. XLIV, 461. — Palais archiépisco-
]>al. Cathédrale. Population. Jardina ,
462.
ff^oahpu (Ile de l'archipel Sandwidi).
Découverte par Cook , t. X , p. 295.
— Bel aspect d'une c6te, t. XI, p. 246.
— Stérilité d'une autre côte. XIV,
122. — Bonne culture { sol , produc-
tions, 125. — Naturels peu prevanans,
128.— Port de Haoaruro, XVII, 426,
XIX, 873, 378.— Progrès de la civili-
aatioa, XVIT, 428.— Progris du luxe,
433. — Eôsidence royale, 435. ->
ConverrioB de la reine à la religion
chrétienne , 438. — Comment elle va
à l'église, 440. -' Détails curieux sur
la reine, 445 et buiv. — Domination
anglaise, 456. — Décret pour for-
cer à apprendre à lire , 457. -^ £ta-
bliSHement du christianisme , XVIII,
97.— Progrès du luxe, Jeux. Danses,
98. — Funérailles, nourriture, 100.
Forme , 382. — Progrès du luxe,
XIX, 352. — Ecoles, 35a — Leur
assujettissement, 359.- Les naturels
.«'émancipent , 360. — Vétemens du
peuple, 374. — Marine. Commerce,
375, 376.
fFoggora ( province d'Abysiini* ).
Voyage dans le paya. Uauza, ton.
XXIII , p. 257 et suir. . agari,
258. — Waldubba Moine», .etraita
des gran4a disgradéa. Maladies , 371.
— Signification de son nom, 286. •—
Ville de Saint-Georgt. Chapelle dé-
diée k la sainte Vierge, 289. •> Ani-
maux nuisibles , 292-
^«(/It (Iles, archipel Dangereux ).
Nommées par Beediey , tom. XIX ,
p. 150.
WoMTOirKCHArr (nias). Ses voya-
ges, t. XLVf , p. 155.
fVonjtrqiu on thfuat hilligtt ( villa
du Bonrgou, Soudan ). Passage à gué
dn Niger, fêtes à cette occasion , ton.
XXVlII,p.l85,XXX, 283.
IVooii* (ville duXanem.— Bnnr<
uuu, Soudan). Marché, t. XXVII,
SI. 105. — Situation. Naturels, 106,
122.
fFoulU ( royaume de la Sénégam-
bie). Voyage dans l'intérieur, t. XXV,
p. 52 et suiv. , 330 et suiv. — Villes.
Productions , 52. — Gouvernement.
Etat des personnes, 53. — Kolor.
Singulière répression des troublée
domestiques , 58. — Animaux , 83.
— Voyage dans l'intérieur . XXVIII ,
313. — Barra-Cunda, 814. V. jtf/.
diiM, capitale.
froHrali. Poison végétal. Prumpti*
tnde de ses effrayans effets , t. XLI ,
p. 173, 189, 212. — Indiens qui s'en
servent. Sa composition , 205 è 208.
— Sou usage, 208 , 212. — Anti-
dotes, 214.
iFow ( ville de la côte des Esclaves,
Guinée ). Maison du chef. Crânes hu-
mains servant d'ornemens , t. XXX ,
&35. — Marché. Denrées. Règle»
eut dn fétiche , 36-
fFmrh ( ville du Rajpuutana ). En-
virons. Fortifications, t. XXXVI,
E. 501 • — Lépreux. Porte. Misérable
azar. Beaux jardins. Musulinans ,
302.
.H
Xj/uji<i. Voy. Jalapn.
Xaitteo ( |>rovinee du Mexique ^' ,
t, XIX, p. 476.
481
TABLE GÉNÉRALR
^««•(«(payt dn HaontM, Soadao).
Cannibaliune. t. XXVII, p. BM.
Yak. Boaf k qneue ttfnffue. Sa
deMription. Soa utilité, t. XXXI,
p. 426, 428 et suir.
FcMio ou y»mbo (port du Hedjai.
Arabie ). Histoire. Ktat actuel , tom.
XXIII , p. 136. — Maisons de cam-
pagne des kabitana à Rnddna , 186.
— Ravagé par la peste, XXXII ,
p. 348, oâS- — Prescription de la
religion i son sujet. Raison de l'ab-
sence de quarantaine, 354. — Sacri-
fice d'une cbamelle à raison de la
peste. Situation de la ville , 857. —
Maisons. Habitans , occupations.
Mœurs, 358.— Commerce. Environs.
Puits , 360. — Climat , 362.
YmmiHn (ville du Bambara). Bel
aspect, t. XXV, p 259.
YûnaoH ( ville du Bengale , Hin-
doustan ). Etablissement »ançais. Si-
tuation. Jolies maisons. Commerce.
Bayadères, t. XVIII . p. 436.
Yaiti (royaume de la Sénégambie).
Voyage dans le pays. Pisania. t. XX r,
p. 26 etsuiv. —Sol fertile, 28. —
Productions , 29. — Préparation de la
farine, 29.— Animaux domestiques
et sauvMges , 30. — - Inrisprudence.
Avocats , 37.
Yam-Marou (yïlle du Fouta-Djai-
lon , Sénégambie). Couleur des Labi-
tans. Mobilier. Vétemeas,t. XXVI II,
p. 302
Yahg-tte-ICiaHg (fleuve delà Cliine).
Beauté de ses rives, t. XXXIII, p. 402.
— Arbre à suif, 404. — Rocker cu-
rieux , 405. — Largeur commune. Iles,'
407. — Étendue de son cours , 478. —
Belle île. Cotun nankin, 479.
laouW (royaume du Bourgou, Sou-
dan). Voyage dans l'iqtérieur, t. XXX,
p. 181. — Cbatne de montagnes, 181.
— Iles, 185. — Productions, 186. —
Bornes. Gouvernement.' Armée, 212.
— Guada, 216. — Manière de conser-
ver le blé, 218. — Habitans cambriens,
219 et suiv.
Yaourt (capitale du royaume). En-
virons, t. XXX, p. 189. — Demeure
(lu sullau , 193, 2(0 , 213. — Recker-
cbe des papiers de Mungo - Park ,
194, 199.— Désir de retenir les voya-
geurs, 204. -r- Grande étendue de lu
ville. Industrie. Denrées. Maisons ,
212. — Arbres. Population, 214.
YarrilM ( royaume de Guiuée ).
Voyage dans le pays. Puka. Costume
du chef, t. XXVIII, p. 117 à 152.—
Belle campagne , 120, 182. — Labou.
Visite au chef, 120, 121.— Sculptures,
123.— Manufactbres, 124. — Émadou ,
126. — Assniah , 127. — Chaki, 130.
— Fleurs de l'arbre à beurre , 132. —
Atepa, 133. — Bornes. Arbres. Sol .
142. ■— Animaux. Productions. Gou-
vernement. Figure des naturels, 144.
— Religion. Funérailles. Mariages ,
148. — Homnjages des chefs au roi ,
150. — ■ KuRiWe de femmes du roi ,
279. — rtour, Uure des habitans, 280.
Autre voybjjn <\ans le pa>s, XXX,
48 à 123. —f Clhuix des délégués gou-
verneurs, 49- — Chew, 59. — Métiers
à tisser , 60. < — Oeuil des mères , 61 ,
66. — Jadon. État des veuves de chefs.
Lours privilèges. Co8tume,4 de natu-
rels. Hippopotames, 63, 64.— Produc-
tions, 6d, 80, 83. -r Dufo. Animaux
domestiques, 74. — Cbaadou, 75. —
Singulière coutume, 76. — Féticlies ,
77. — Chekki, 79. — Couson , Sft-
Maisons, 91 .— Célèbre marché d'Ée-
tcbu , 96. — Progrès des Félatahs
dans le pays , 108 et suiv. — Femme
à peau ronge, 1!4< — Acba, 115,
118. — Indice sur un barbare ujage
à la mort d'un chef. Superstition, 121,
460. — Léoùadda, 134. — Comparai-
son des naturels avec ceux du Bour-
gou , 143 et suiv. — Bajcbo,305,
306. — Lcechey. Résidence du chef.
Canots, 509, 310 -r Fameux mar-
ché de Bocqua , 387, 391. — Palaver
(conseil de guerre des naturels de
toutes ces contrées); 419 et suiv —
Mauière de faire le commerce , 427.
Voy. /ilquemi, Bohou, ancienne capi-
tale ; Egga , Jannah , Kakunda , Ka-
tunga, capitale; Kirri.
Ycletz (ville de la Russie d'Eu-
rope, t. XLIV, p. 460.
DES MATIÈRES.
48
Y*Mt (f iU« du Boaraon, Soudaa),
I. XXVII,p.lS6.
Y^tralMHêdmr (ville do Caaoaia ,
Ratùe d'Enrope ). t. XLIY, p. 439.
Coitame de princei rircassMa» , 440.
— Trétor public , 441. — Ruea m«w
maitoiu, ÉtabliMement de* Coiaques ,
442. — FortereMe, 450.
YémiM on Arabit Utyrtui», Voyage
le loDg de la c6te oueft,t. XXIII, p. 1 37.
— Konfoduh, 141. — iJecian, 145.
Figure, costume de« femmei. Par-
fums , 148. — Voyage dans le pays ,
XXXI , 239. •— Mouab : résidence
royale , 240. — Climat, 325. — Habi-
taus jtiifa, 327. Caractère. Foires, S28,
— Du la Tirginité, 381. — Hospitalité,
332. — Maisons , 835. — Provinces «
336. — Route de la caravane pour la
Mecque, XXXII, 194. —Pays que
traversent les pèlerins. — Costumes
de quelques tribus , 378 et suiv. —
Voy. Lohtia, Moka, Smm, capitale.
lAùkalê (ville du gouvernement de
la Tauride. Russie d'Europe ) , tome
XLIV, p. 434.
K#oii (rivière du Bournon, Soudan),
t. XXVII , p. llO.-r- Manière d'y pé-
cher , 315. — Forme des lacs, 326. —
Nasses pour les poissons, 346. — Ses
sources, 357.
Yeou (viUe du Bournou), t. XXVII,
p. 110.
Y*Md (ville et district du Kliorasaan,
Perse ), Sol. Disiriot floriaaaat, torac
XXXT, p. 418.- FortiaoatloBs. Po-
pulation. Desoeadans des Ghèbres ,
415. — Lieux remarquables. Climat ,
415.
York (Ile du Duo^d', groupe des
Gallapagos). Nommée par Co irley,t. I,
' Ferjl' ( Ile du Duo d\ Polyaésie^.
Découverte par Byron , t. III, p. 82,
— Figure des babluns ,%VI,<MO.
York (Ile du Dno-d' , arclupel de la
Nouvelle - Bretagne). Découverte et
décrite par Carteret, t. lit, p. 150.
York (Ile du Duivd', Polynésie).
Découverte par Edwards, tome XllI,
p. 425
York (capitale du Haut-Canada ).
Indiens des environ*. Leurs usages ,
leur conversion , t. XXXIX , p. 86 et
suivantes.
KofMiaaii^ (ville du gouvernement de
Kberson, Russie d'Europe). Colonie co-
saque, t. XLIV, p. 387.— Description
de la ville, 388. — Campagne , 389.
YoiA-Fang ( ville de la Chine ). Pa-
gode, t. XXXIII , p. 389, 390.
YouHg-fyutianu ( groupe des Iles
Caroline»), itteudue, t. XX , p. ^1.—
Naturels, 233, 234.
Yppa ( une des Iles de la Reine»
Charlotte, Amérique septentrionale,
ouest ). Ornement labial de* naturels,
t. XII, p. 109.
z
Zadoiuk (ville du Voronedie, Russie
d'Enrope) , t. XLIV, p. 460.
Zarothi ( ile du Niger ) , t. XXX ,
E. 319. — Aspect. Négligence des ha-
itans. Huttes. Canots , 332. — Com-
merce. Pèche. Manufactures. Autorité
du roi de l'Ean-Noire , 334. — Carac-
tère. Population. Étendue , 336. —
Canots, 339
Zag-ff^an (ville du royaume de Tu-
nis). Teintures , t. XXII , p. 194.
Zatre ou Coi^o (fleuve d'Afrique).
Remonté par les Portugais , t. I ,
p. 27.
Zalie (ville du Bourgon , Soudan)
Fortifications. Situation , t. XXX ,
p. 162.
Zamfra (province du Haoussa , Sou-
dan). Ville de Géosa, XXVII, 896.—
Zirmie , 396, 399, 426. — Ville de
Quarra. Campagne , t. p. 400, 402.
ZaHg*ia (ville du Haoussa, Soudan),
t. XXVII, p. 363,364
ZoHit ( Ile Ionienne ) , t. XLVI ,
203 et suiv.
Zaria (capitale du Zeg-Zeg , Sou-
dan). Murailles d'argile , t. XXVIII ,
p. 207. — Population. Fusils français
et poudre angluise. Beaux environs ,
208 — Femmes du sultan , 266.
Zegltrem (ville du Fezsan), Ses mai-
sons, t. XXVII , p. 20.
Ztg- Ztg ( province du Haoussa ,
Soudan) Voyage dans l'intérieur ,
t. XXVIII, p. 205. — Gnari, 205,
268. — Productions végétale* et
•f I
"1ll
4H6
TABLB GENÊHALK
ïit
■ukiMlM. B«MraM,308. >- Bgg*i>i« .
205. — BMTi, 370. — ioU villa da
Wawa, 373. Voy. Zagkim, capitale.
léltudê ( Nouvella- , arcltipal da
l'Auitralie). Vuy. Iles de Bait'ti , da la
C^Hnmrn* , Hip/m, Ikm-Ht'Mawl, Knight,
Longue , NoitvtU» ' 24lmnd* propre ,
Sti»art, Ta*ai-Pomaitom , Art Tr»i$'
lUii , Thitrra»Hi«, et canal d* la
ZMémtf propM (Nonvelle- ), ou tiet
lk»-»a-/Uami et Tap^i-PomaMOu. Dé-
oouTerle par Tatman, t I, p. S44.
— Surville y aborde, 111, 452.— Can-
pibaluine de* naturel! , 4t^. — Fo*
rét*de cèdres, IV, 408. — Force de*
iainlairet, A&J- — Leur horrible tralii-
MJu «oatre Marioa et «ea seu» , qu'ils
juastacrent et dévorent, 415 et suit.
•- Villages fortifiés , leur intérieur.
Artcaaux.Maisoui particulières, 422.
— Nourriture, 426. —' Coutume , ta-
touage, bijovx, 428. -~* lostrumens
de culture , de guerre, de musique,
430. — Constructions des pirogues,
433.» Occupations dos femmes, 434.
—Religion. Reconnaissance d*un Etre
snpréaM, 435.— Remarques générales.
Danses, deuil. Indiens blancs, noira
et jaunes. Aspect de l'Ile, 437. —
Ses produitious : marbre, agates,
rétrifications, arbres, légumes,quadru>
pèdes, oiseaux, 441. — Les Français
Î' sèment des graines. La nourelle-Zé'
ande reroonatt les leur devoir, 444,
440. -TV Cook y arrive, V,368, 571 —
Deiicription de la baio de Pauvreté et
des côtes adj.icentes , jusqH'nu cap
Kidnappera , 390 et sniv. — - Nourri-
ture des naturels , -414. — Jardini
potagers , 415. — Uabitans se pei-
gnent le visage , 416. — Rocher re-
marquable, 423. — Exercices mili-
taires , 423.— Uabitans mangent leurs
prisonniers , 425 — Pirogue remar-
quable, 427. — Forts et villages for-
tifiés, VI, 8, 26 et suiv.,93, 190. —
Repas, 23. — Comment on honore
les morts, 23, 100«104. — Assauts simu-
le», 31. — Armes, 33 , 185. — Des-
cription de la buie de Mercure , 35.
— BpiIu bois de charpente des bords
<le la Tamibe, 41. lôO- — Descriptiou
•lu cap Colwill,45 — Baie des Brèmes,
47. — Les insulaires combattent Cook,
GC. — Baie des Iles , 64. — Descrip-
tiea de la «Ait de la kala des Hts , au
canal Charlotte , 65 et luW. -~ Coif-
fure, M. — Anthropoplugie. 84, 86,
90, 158, 100. —Chant mélodieux des
oiseaux , 86 — Filet de péehe renar-
3 uable, 80,183.— Croix sur une tombe,
4. — Description du caualde la Reine-
Charlotte et de ses Uabitans, 105. —
Cap Palhser nommé par Cook, III, 115.
— Cap Sud, 128. — Baie de l'Ami-
roiraiité, 130, 142. — Dcncriptioa
générale de la Nou'elle-Zélandt,
143. — Climat, quadrupèdes, oi-
seaux, insectes, 145, 158 — Poissons,
148.— Arbres, végétaux, arbrisseaux,
idaute préférable au lin pour les
étoffes, 150. — Population, 155.
— Les naturels, 148, 156, 164.
— Nourriture et cuisine, 158, 176.
— Femmes non inaccessibles , 163.^
Tatouage, 105. — Vétemens, 167 et
kuiv. _ Parure, 172. — Habitations,
meubles, ustensiles, 173. — - Piro-
gues, pagaies et voiles , 170. — Ou-
tils, 182. — Agriculture, 184. —
Danse de guerre, 188^ — Musique
exécutée sveo goût, inMrumens, 188.
— Gouvernement , 102. — Religion ,
105. — Croyance générale parmi les
insulaires sur leui origine, 197.—
Langue semblable à celle de Taïti.
197. — Description d'une belle cas-
cade et du pays d'alentour , VII,
251. — Description de la baie de
Dusky, 176 à 289. — Naturel».
Proiititufion des filles. Réflexions à
co sujet, 318 — Talisman, pirogues ,
chiens, dani>e, 322 et suiv. ^ Natu-
rels SI' vendent point leurs enfans,
327 — Beau noir des étoffes, 231.
— Différence de situation des babi-
tans des deux grandes îles, 335. —
Chiens carnivores, 347. — Chanvre ,
lin, VIII, 110. " Antropophagie,
113 et suiv. — Naturels peu hospita-
liers , IX , 35. -^ Village Kotieghe-
nooce , ois. — Salubrité du climat ,
45- — Massacre de marins anglais,
135 et sniv , 238, 241. — Prompte
construction d'un village, 235. —
Perpétuel état de guerre , 238, 253.
— Détails sur quel([ues croyances
religii^uses , 254. — Polygamie , 256.
— Remarques sur les districts voisins
du canal de l'> Reine-Charlotte. Sol,
productK.nr,. Animaux, habitaus, etc..
[^
DES MATIÈRES.
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258 et iiiiv.— DidpoMliona gnerrirrn
de» liabitiia», 280— rhanionn, 283.
— TublcMU comparatif de l(*ur langue
avrc celle de Tuiti, 284. — Comment
la iiiénie nation sVit répondue de ce
tiayii aux Ile* Sandwieb , X ,' 333. —
■'■Kurc, iirraet, niteniile» , parure
di M natiirflt, XV, 141; XVIII, 161 et
tuiv. - Férocité, 151 , 152.— Formes
dei Icinme* G<*itiime», 152. — Ar-
mes. Polygamie. Travaux. Piroguea.
Cabanei, 154.— Industrie. Cliantt.
Religion. Mariages , 156. — Gouver-
nement, 158. — Historique de ces
parages, 245. — Missionnaires an-
glicans, 249. — Géograpbie, 250.
— • Fi,)ure. Mœurs des naturels, 2(J0
et suiv., 281. — Etat des personnes,
265. — Guerres, connaissance de
Bonaparte. Talion. Occupations, 266.
— Mariages. Funérailles. Coucbes ,
268,281 —Tatouage. Habitatious
diverses. Mobilier, 270. — Nourriture,
Habillement. Musique. Danses, 272
— Religion , 275, 278. — Tiibou. Re-
pas, 2/7. — Honneurs funéraires.
Anthropophagie. Saints, 278. — Lan-
gue. Animaux , 280. — Origine des
naturels. Huttes peintes, XX , 177. —
Vétemens. Cuisine. Ustensiles. Armes.
Anthropophagie, 177 tt sni?.— Aspect
général , l82. — Les femmes objet
de commerce , 185. — Utilité des mi>-
sionnaires, 187.— Leurs travaux, 188.
— Kiabiis»emoiit de la mission. Régir-
ment , 101 et suiv. — Figure. Formes
de» naturels , XXI , 430. — Sont e->-
core anthropophage». Leur aptitude
aux art» de l'Europe, XLIil, xiij. —
Crovance du dogme de la Trinité ,
xxiij. — Effets du tabou. Superstition»,
xxiv et suiv. — Pillages des l^iens des
chefs à leur mort, xxvij. — Orne-
mens, xxx. — Hiérarchia, sociale pres-
que nulle, 103. Voy. baie ûuikx.
Zirmi (capitale du Zamfra, Soii>
dan ) , t. XXVII , p. 306, SOO.— For-
tifications, 426
Zoolai ( tri'iu cafre ). Conquêtes et
renommée de leur roi Chaka, t. XXIX,
p. 120, 257, 310— Ont envahi le piiy^
des Maotatis, 132. 134.
Zow (oasis des Tibbuus dn Dilma —
Sahara), t. XXVII , p. 443.
Zouylah (ville du FeiMu). Maison».
Alentour», t. XXV, p. 428.
Zuiu (Ile de la Malaisie). ConverMon
du roi au christianisme. Mort de Mit-
gellan,t. I, p. 147.
riiN DE LA TABLE GENERALE DES MATIERES.