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TABLE
GENERALE
MATIERES
Cmtmats dam 'Us XXV dtmun Tmtt
* la BIBLIOTHEQUE
R'AISONNE'E.
AVZç J.A
TABLE
DES TITRES
De tout la Ouvrages dont on a Jomiéks Extraits
iam ces vingt-cinq derniers Tomes ^ C?,
ipiifetromentrangéspardaffes. ■'■-■..
Cttj J. WETSTEIM,
MDCCLIII,
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AVIS A» LECTEUR.
Après ce qui a été dit dans une petite Pr^
face qui fc trouve à la tête du précèdent
volume des Tablej^ (4) , ce feroit linc chofe fd»
perflue que d'appuyer fur lànéceflîté d'un pa^
içil fecours, fur-tout pour im Ouvrage aulji
varié & auQî chargé' de matières que.Teft k
Bibliothèque Raifônnée j' où l'on trouve le pré"-
cis de plus de mille Ouvrages' en tout çenre. '
De quelle utilité feroit en eflit une Biblio-
thèqu^e , compofée d^uîî auflî grand nombre
d'Ouvrages, u toys les Yo)u.mes fe trouyoïeqt
bêlc-mêle,ou entaflTés les uns-fur les autres au
hazard. C'eft rAo^*ÇÇ?nîeQt judicieux, ç'eft
un ndèle.CataJogue qur fait une partie de fon
mérite , puSfque /axis ce fecours elle oe poiif-
ifoitçtre d'aucun lîiage. Ceft précifément le
cas pu Von (t trouve i l*égard de ta Bikiothc"
qffe Raifonfffe. Cpoina^t touiller avec friyt
dans cette nuiltitude de Pièces qu'elle con-
tient , fans un guide qui indique d^qs l^inftaiit
tou,t ce qui eft difperfé dans un Ouvrage de
cinquante yôlume^^^^rf^^^ eft qïjefl;idnde
le côjifulter fur quflque lujçt que çc fbît. ^
Un Avis, comme celui-ci, îeroit un Hors-
4 œuvre , s'il ne le trouvoii; des perfonnes qui
(4) Ce Voliyjac jpmt en 17^1. Se rcnfomefùf les
XXV.frtmiers fûmes ûccèx Ouvrage, ce quifatt fecx^r
tçnu.de celui-ci fur les XXV/« itmim.
t
AVIS.
regardent une pareille clef ccxnme inutile & à
charge , & qui par conféquent ne manqueront
pas de témoigner leur mécontentement de ne
pouvoir fe procurer la dernière partie de cet-
te Bibliothèque (ans fe charger du Volume de
TMes qui Taccompagne. Ce font de ces Lee*
teurs dont la curiofité fe paife avec la nou-
veauté , & qui lifent plutôt pour s'amufer que
pour s'inftruire. Il ne feroit pas jufte que
pour leur complaire , TEditeur changeât de
Plan jufqu'à fe priver du fruit qu'il coit na-
turellement fe propiçttrç 4^ f<^s peines & dç
iês depenfçs. •
I^orfque le précédent Volume de TfAles pa-
rut , on laiffa à chacun la liberté de le prendre
ou de s'en paflfer ; mais maintenant qu'il s'agit
de terminer l'Ouvrage, ij a*y a point de Lec-
teur y quelque peu de goût qu'il ait pour les
Lettres, qui ne rçfufât dç profiter d'une pa-
reille liberté, quand mçme on la lui accorderoit
ervcoret II y a plutôt liçu de croire que ceux
qu^ ont ignoré jufqu'ici qu'on a donné un
pareil volume fur les X3iV premiers Tomes,
s'empreflTeront de fç le procurer , tant pour
completter leur Ouvrage , que pour s'en fer-
vir avec fruit , & fe rappeller par ce moyen
plufieurs faits curieux dont les traits comaien*^
f ent \ s'çffacçr de leur mémoirei
TA-
TABLE GENERALE
DES
MATIERES
Contenues dans les XXV derniers Tomes de U
Bibliothèque Raifonnée, avec Us Noms
des Auteurs qui j font cités.
Le Chiffre Romain , précédé d^un T , marque
le Tome , c^ le Chifre Arabe la page,
.A.
ABayîard, ou Ahehrd (Pierre,) Combien fcs Vers
amoureux étoient goûtés de tout le moude , iî
Ton cncToit Héloïfi, T. XXVI. 130. SiJeicn-
timcnt de cette fàvante Fille n'y avoit pas plus de part
que Tefprit. iSid* Si les Chanfbns amoureufès qu'il
cJiantoit pour Héîoïfe i étoient en Latin ou en Fran-
çois. T. XXX, 80. Grande réputation que la déli-
cateûè de fon efprit lui avoit faite parmi les femmes.
ihid. On envioit le bonheur qu'a voit Heloïfe d'êti*e
aimé d'un homme û fpirituel. ihîd* Lieu de la naif-
fànce à'AbnyUrd* T> XLÏI.383, Pourquoi il a pris
le nomder/»//*^/»»/. 384. Différens fentimens fur fa
nai {Tance. î^i^. WithiiiAoïa&ïSt.Benysih'td Trai-
té de calomniateur fur ce qu'il dit de TAbbé 6c des
Religieux de cette Abbaie. ^id, 8c 38 f. Son Traité
fur la Trinité, condamné par te Concile de Soiflbns,
fans qu'on lui donnât lieu de fe défendre. 3 8é
Ahddlê (Mulei) fc révolte contre MuleiHametDeby.
, A R«i
r/
S TABLE. GENERALE
Roi de Maroc. T. XXX. 196. Il eft mis en fuite &
obligé de Te cacher, ièid. Il monte furletrôae. ^oo«
Il marche contre les Alarbcs révoltés , Ôc eft défait.
301. Cruautés qu'il exerce fur les habitans de Fez.
ô/V. Il marche contre les Montagnards de Tetouan,
s'engage par imprudence dans des montagnes, où il
perd la plus grande partie de Ton Armée. 301. Autre
y malheur qui lui arrive dans une expédition qu'il fit
^ contre les Peuples de Tafilet. tSid» Il trempe Ces maini
dans le fàng de fa mère , à qui il étoit redevable du trô-
ne, iéid. Il perd la Couronne, i&id. Et remonte en-
fuite fur le trônr. 303. Il fait rafer la Citadelle de Mé-
quinrz, & couper la tête à toute la Gamifbn. 304. Ne
pouvant payer aux Noirs une fomme qu'il leur avoit
promifè , il fe fauve dans les moncagnes', avec là mè-
re , fon fils , fcs tréfors. 305*
Abdallah , Khalife , difpute la Couronne à Mervan. T.
XLII. 138. Déroute de fes Adhérens. ibid,
AbdalméleCi Khalife j fa grande puifïànce. T. XL il.
139. Il ajoute l'Arabie à fès Etats, ihid* Ses autres
conquêtes, ihid* Sa mort. U^id* Ses qualités. ibid.
Abdelmélec {MuUi) , fê révolte contre Hamet Deiy Roi
de Maroc. T. XXX, 297. Ses conquêtes, i^ii.. Ileft
défait, ôcefl oblige defefàuver. ibU. Une révolu-
tion le met fur le trône. 298. Sescruautés.299. Uefl
ainégé dans Méquiuez. , Se obligé de prendre la fuite.
Uid, IlferctireaFcz^oùileltairiégé, pris, & livre
à fon frère i£i;Me/Z>«^^, qui le tait étrangler. joo
Abeilles (les) fèmblent avoir eu en partage la connoiflàn-
ce de la plus fublime Géométrie. T. XXXl. 68. Ex-
trait de l'Hiftoire" Naturelle de ces Infeétes. T.
XXXIV. 127, é^fitrv. Auteurs qui ont travaillé fur
cette matière, iéid. Cooimodité des Ruches vitrées
pour voir en gros le tr^vdl dés Abeilles, leurs gâteaux»
leurs différensmouvemens. 1^1. Cette inveâdon re-
* gardée comme nouvelle, i^id* Cambienil y a onii-
nairemcnt d'AbeUIes dans uae Ruche. iti4. Leurs en^^
ploi?
DES MATIERES. ^
plois divers. îàid. Endroit où & tient la Reine. 1 31 .
A quoi cm donpe le nom de Rsivons ou gâteaux, i^id.
Les logemens , appelles Celluks ou Alvéoles. iSid,
Différentes ibrtes de Magazins. ibid. Il n'y a d'ordi-
naire qu'une feule Reine dans une Ruche, j^k/. Nom-
bre des Mâlçs qu'on appelle ¥/Mxh»rdcns , & des A-
beilles iàns fèxe» qu'on nomme Ouvrières, ibtd. ôc
133. La Mère- Abeille y ou la Reine- Mère , regardée
commç Tame d'une Ruche , & jpourquoi. ihid. At«
tachementSctendreflê des Abeilles pour leur Reine.
ibid . Exemple iingulier de leur fidélité pour elle. ibU.
Erreur de Mr.K^//»»aurujet de la Reine des Abeilles.
134. La ièule fondtionde la Reine eH de mettre au
jour une nombreufê poftérité. ijf. Saprodigieufe
fécondité, i^i^/ Comment on la di(lingue des autres
Abeilles, ibiâ<, Tems auquel on trouve ks Fauxbour-
donsou Mâles dans la Ruche. 136. En quoi leur vie
diffère de celle des autres Abeilles. ihU^Vis font cxemts
de tout travail. iSid, De quoi ils fè nouriflènt. ihid.
Occupations des Abeilles Ouvrières, ièid. Plaiiirs que
fè donnent les Fauxbourdons. 137. Parties qui \mit
manquent, ibid' Merveilles que renferment les Abeil-
les Ouvrières. î^ii. Defcription de leur tête. iSid.EC'
pèce de Brodé qui Ce trouve à la féconde & à la troi«
iième paire de leurs jambes. 138. Quelle eft la matiè-
re de la Cire des Abeilles , 8c fur quelle partie des fleurs
elles la ramafTent. ièid. Commuent elles & chargent
de cette matière pour la porter à la Ruche. 139. Où
elles font la récolte du Miel, 140. Defaiption de l' Ai-
guillon des Abeilles , arme redoutable , & dont les ef-
fets font pernicieux, ièid. Veflie qui contient le ve-
nin. 141. Comment la bleflfureque fait l'Abeille lui
devient fotale à elle-même, iàid- Expériences qui
prouvent que la liqueur limpide, qui fort avec l'ai-
guillon des Abeilles, eft un véritable venin, &.que
c'eft ce qui rend les piqûres fi douloureufes. 1 41 . Re-
jnède contre les blcfiures de l'aiguillon, i^id. Erreurs
Al o«
TABLE GENERALE
où les Ancieijs font tombés au fujet de la naifïànce
des AbçiUes. ièid. Expériences qui font voir que leur
propagation fe feit de la même manière & par les mê-
mes moyens, que celle des autres Animaux. 145. O-
vaires delà Reine , & combien ils contiennent d'œufs
vifibles, lorfqu'ellc eft toute prête à pondre, ièid- Sa
grande fécondité. 144. Les Abeilles ouvrières font
neutres i6id. Expériences qui prouvent que les Faux-
bourdonrffont mâles, i^id. Détail curieux de ce qui fe
paflc dans les tranfports amoureux de la Mèi e- Abeille.
145-. ér» fuiv. Hommages & refpcéls que les autres
Abeilles lui rendent. 147. Comment cette Reine va
d'Alvéole en Alvéole , pour dépofer un œuf dans cha-
cun , & y femer , pour ainlî dire , fà poftérité. iM. A-
beilles dont elle eft accompagnée , lorfqu'elle s'aquittc
de cette fonâ:ion, 1 48. Combien il y a de merveilleux
dans tout ce qui fe paffe àcctteoccaiion. 149. Com-
bien la Reine pond d'œufs en un jour, i fo. Dcfcrip-
tion de ces oeufs . 1 j- 1 . Pourquoi les Abeilles ne laif-
iènt qu'un feul œuf dans chaque Cellule. 1 5*2. Ce que ,
"c'eftque les Cellules Royales, ôc pourquoi la Reine
n'y met jamais qu'un fèul œuf. îèid. Defcription du
Ver qui fort de l'œuf, ihid^ Matièredont ilfe nourrit.
If 3. Et comment les Abeilles lui fournilTent cette,
matière. 1 5*4. De quelle manière elles ferment , au
bout d'un ceijain tems , la loge du Ver. if f . Com-
ment le Vertapifïè ion Alvéole de foie, iSid» & i f6.
-Son changemenc en Nymphe , puis en Mouche, ièid.
Devenu Mouche il perce la cloifon de fa CeUule & fort.
ièid. Exaéiitude avec laquelles les Abeilles ouvrières
nettoient la Cellule qui a lèrvi de logement au Ver , &
où s'cft faite iàmétamorphofe. ièid, L'Alvéole, re-
mis dans fa première propreté , peut fervir à élever
fucceffivement d'autres Vçvs.ièid, &: i f 7 .Les Cellules
des Reines ne fervent jamais qu'une fois: dès qu'une
Mére-Abeille en eft fbrtie, les autres Abeilles vien-
Qentk détruire, ^ n'en laiflèntque les fondemens ,
fur
DES MATIERES. 5
ûir krquelsclles bâtiflènt des Cellules hexagones. î&U "
Efpècc de Réiîne dont ks Abeilles fc fervent pour
boucher ks fentes des, Ruches . iSU.
AheUrd. Voyez Ahaylard.
jihgare. Roi d'Edefïë dans TOfroène. Préfens qu'il fait
Icrajfus. T. XXXIX. 115-
jt^oTidance. Utilité d'une Compagnie d'Abondance,
compofée de tous les Négocians du Royaume qui
voudroient y entrer. T. XL IX. 129
Mouhecre^ hcm-i^rcàcMah&met y efl déclaré Khalife
après la mort de ce faux Prophète , & reconnu pour
ion légitime Succeflcur. T.XLII. 131. Il défait les
Arabes révoltés, & réduit leurs enfansco efclavage.
ihid. Il meurt lejour delà prife de I>/»»»4j. 134. Ses
belles qualités, ihid. Trait de fa probité. ihid.
é^oulfaruge. Calculs qu'il a fûts ièlon l'uiàge des Ma-
. hométans. T. XLVl. 280
Ahrt^êm. Quand Dieu appella ^^4^/»;» il ne lui prei-
crivit rien de nouveau , -outre le culte de Dieu & l'a-
mour du prochain, que la Circonciiîonk T. L. • 3
Abrtx* Si l'on doit faire de ce mot un limple furnom ,
indépendant de tous les fèns qu'il préfente. T.XX VIT,
137. Exemple qui fcmble le perfuader. tbid*
Ahrtx {Juliarufs Bellorix) s'aquited'un voeu fait à ^-
follm* T. XXV II, 137. Conjeéiure fur ceperfon-
nage. i6id. ,
Ahforbt^nfi, Incommodités qu'ils peuvent caufer. T.
XXXVI. , \ 328
Ahfiinmce, Exemple fîngulier par lequel on fait voir que
le Corps humain peut fc conferver longtcms en vie
fans manger ni boire. T. XXXIX. 247 , ^fmv.
Abfiraâions L'article de VAbflraBwn efl de toute la
Métaphyfîque le phis nécelTairc & le plus négligé. T,
XLIX. 102. La faculté d'abflraire regardée comme
un don de Dieu, quidiftingue évidemment l'Hom*
me de k BItc. ibid> Divers avantages de l'Abftrac-
tion. 103
A 3 Abk'
\^
t tABLE GENERALE
Ahudiicneijofifh), Extrait de fon J^Sfiovrt de^Jacdiites
mCofhttSy &c. T. XXVIIL 417
Acacius (le Patriarche). Combien de tems il a fiégé.
T. XXVI. 115
Académie 'Branfdfi. Plan de cette Académie T. XXX.
m
Académie Imfériale des Sciences de St. Tetersbomg. Ex-
trait du Tome I. de {es Noféveaux Mémoires foar les
années 1747 & 1748. T. XLVI. 145. Temsdela
fondation de cette Académie. 144. Sommçemf^
yée pour fbn entretien. 145'. Cette Académie divifee
en deux corps. iSid Rang que tiennent (es Membres.
i6id éi*/mv. Académiciens Ordinaires & Honorai-
res, Scieurs fondions. 146. Les A joints. Mi^. Loix
de l'Académie, & fcs privilèges, ièid' & fuiv. Ce
que c'eft que les Nmveoftx Mémoires, & pourquoi
ainfi non^més. 2j'4.
Académie Bfivale des Sciences de Taris. Divers Extraits de
cetOuvrage. T. XXVll. 316. T. XXVIII.431.
T. XLI. • 4fi
Académie Reyale des Infcrif tiens ^ Belles-Lettres depuis
1731, julqu'en 1733. Extrait de cet Ouvrage. T.
XX VIL Jojy&Jkiv.
Accem, Combien il eft difficile de bien expliquer lesAc-
cens. T. XXIX. 384. Cinq fortes d' A cccns, le pro»
fodique , l'oratoire , le mufîcal , le national , Timpri-
mé. ibid. Ce que c'eft que les Acccns que les Granw
mairiens' appellent l'aigu , le grave , & le circonflexe.
.3.^1'
Accurjè. Circonftancc qu'il raporte touchant l'origine
de l'Imprimerie. T. XXVII. 14
Acheri {DonLt^ /). Pape dont il aramalTé les Bulfes,
T, XLI. 105.
Achéron. Remarques fur ce nom. T. XXXVÏI. ifj
Achivus (St.), troifîème Abbé d'Agaune. Fait qu'on
trouve dans fa vie. T. XXXVI. 437
Achride. (Sonjeaurc fur cette Ville. T. XXVL 114
) ACB'
DESMATIERES. ?
JLtêlutlms {André) publie en Turc le Prophète Abiiês.
T. XXVI. aoj
Aconit (1*) àflmr bltm. Plante ainfi nommée , Se con-
nue ordinairement fous le nom de Napel T.
XXXVIIJ. 9. Regardée comme très vcnimeu/è
dans le Climat d'Up^ande. ihid^
i4^rell (Mt,)j Chirurgien, Auteur d'un Livre fur /«
PUies fratches. T. XLI. 27. Sa manière de traiter
une Fièvre maligne accompagnée de Bubons. i6U.
8c 2S. Tumeur dont il dcmne la defcription. i^id.
ABum. Ceque c'eft ({M'unç A^im jkfie. T, XXVIII.
9. & une ABicn religieufe. ibid.
AatgM t)c?hvt). Sa relation intitulée , elMarspnm §
AmazoMs , regardée comme uqç compilation in-
forme. T. XXX VI. iï6
Ada , nom d'une Dame qui réclame le tkre de Reine
de Carie. T. XXXV. 88. Prélcnt qu'elle fait à A-
lexandre. ihid.
Adam, Son étonnement 6c celui d'Eve ù, femme à la
nai (lance de leur premier Enfant. T. XXXIII. 371.
. Diverses reflexions fur les connoiilànces qu'on lui at-
. tribue. 415", &jMiv, Coniidérc comme k premier .
inventeur des Lettres. T. XXXVIIL 36. Sa Vie.
T. XL. 474
Addifon ( Mr.) a parcouru l'Italie , fbn Virgile à la main,
pour confronter le Païs , les Rivières , & les Villes,
avec la deicription du Poète. T. XXXVI. 541. Ju-
gement fur les produdtions de cet Auteur. T . X LI . f
Ade (Mr. de Caumm d') époufè une des filles àiThéo'
dareAgriffttd-AHbigne. T. L. ^i^
Adgilîe, Roi deFrife. T. XXVIIL iix
Adlerfèld (Gnfiave) , Ciiambellan àe Charles XII , Roi
de Suède. Pourquoi VHiftoire Militaire qu'il nous a
donnée de ce Héros mérite qu'on ajoute foi aux faits
qu'elle contient. T.XXVII. 175-. Il polfédoitles bon-
nes grâces du Roi. T. XXXIII. 39;. Journal exaâ
qu'il tint de tout ce qui s'étoit paifé dans l'Armée ,
A4 de-
% TABLE GENERALE
depuisTamyoû jufqu'à 1709. U cft tué à la bataiHo
dc^ultowa, d'un boulet de canon, à côté du Braij-
card du Roi. 394. Son Ouvrage traduit de Suédois
en François. iAid. Idée générale qu'on en donne. iUd,
Evénement énigmatique qu'il développe entière-
ment , ce que perfonne n'avoit fait avant lui. 411
Adlerfeld (Charlei'Maximilim) » fils unique deGuftavê
Adlerfeld,y traduit de Suédois en François VHiftoire
Militaire corn pofée par fon père. T. XXXIII. 3 94
Molphe de Najfan. Tems auquel il flit'proclamé Em-
pereur. T. XX VII. 3^6. 11 eft dépofe, & pourquoi.
iSid.
Adm. Fait qu*il raporte touchant un Décret d*£/0i»/^/&^
rim, T. XLiy. ifS
Adrets (le Baron des) fait fauter du haut des inurailles
du Château de M ornas , deux cens Catholiques , que
fès foldats recevoient en tombant fur la pomce de leurs
piques. T. XLVII. 409
Adverbes . Leur origine & leurs fonâdons. T. XXXIX*
Adultère. Manière fîngulière Se barbare dont on punif^
. fbit autrefois en Pologne les Adultères & \i^ Fomi-
cateurs. T. XLVL f%
Afriq$ée. L'intérieur de ce pais n'cfl pas encore bien
coimu. T. XLVIII. 37t
Agar . Si la condi^ite que tint Sara à fon égard peut fèr-
vir d'apologie à ceux qui perfécutent les Sectes. T\
" XLV. .387
Agathias e(l de tous les Ecrivains Grecs celui qui nous
donne le plus de connoidànceshiUoriques des Perfès
Seconds. T. XLVI. 391
Age d'Or , Age d'Argent, Pourquoi l'ancien tems efl
ainfi nommé. T. XXXIV. 372. Coutumes de ces
premiers tems. T. XXXVII. 38, 43
Agen (Mr. l'Evêque d*). Extrait de fà Lettre^ contre la
Tolérance des Huguenots en France. T. XLVlIt.
443. Réponfè à la Lettre de cet Evêque à Mr; le
Coq-
DES MATIERES; |
ControSeur-Général contre la Tolérance des Haguê*
sots. T. XLIX. 141. Reproche au'on lui fait de
démentir Je caraâèred*£vêque, entonnant letodin
contre des Compatriotes. 14^. £n voulut noircir
les Reformés , c'cft-k Catholicifme même qu'il flé-r
trit. 144
Jlg^o {Siunm)^ Manufcrit d'une Hifloire ancienne de
Dannemarc qu'il a compofée. T - XXV 1 . 1 j-y
Agis 9 RoidesJ^cédémoniens. £ fFet de ^jaloufie con-
tre ^/d^Wf. T. XXVI. 9
Aff^emms de la Campagne. Extrait d'ua Ouvrage qui
porte ce titre. T. XLIV. 446
Agricola. Trait dont Jfe fcrt T/i^ir/ pour le caradériicr.
T. XLI. Il
Algriculture. Métkode des Suédois pour donner de la
fertilitéauxTcrres. ,T. XXKVl. . 294
Agriffay l'un des Minières Se des ConEdens de l'Em-
pereur .4i«;^»^e, confeillc à ce Prince d'abdiquer, &
pourqubi. T. XLV. 83, 84. Son mariage avec
Jdàrcella, . ^f
Agriffiney petite-fîllc , four, femme, &mère d'Emr
pereur , deshonore ces auguJftes titres par tous les vi-
ces 8c tous les crimes dont une méchante femme eil
capable. T. XLVII. 400. EUe perd fit dernière relr
fburce en iritannîcttsy que Iflérm avoit fait empoifon-
ner. i^ij. EUeeUaiTaflmée dans fon lit par ordre de
2<î^a» ion propre fils. ihid. Mémoires de fà vie qu'el-
le avoit compofés. 401
Aiguille aimantée» Obfèrvations £ir £sl déclinaifbn. T.
XLI. 19, Voyez Aiman.
Aman* Eâètsfinguliers de divers Aimans artificiels. X.
XXXYIII. \6f. Moyens de perfedtionner les Ai-
mans naturels. 166, Obfèrvations de ^r.Knight
furlesPolesdcrAiman..T. XXXIX. 19. Phéno-
mène qui paroît confirmer une tradition , qui pofc
un Foie magnétique à quelque diftance du véritable
Fokaraiiquc. T. XUI. 15-, Expériences fur l'Ai-
là' TABLE GENERALE
manpar Mr. Kmght, T. XLIII. 1^8. Ëxtndtâ'u-
ocMéthâde pour faire un Aiiiuin artificiel fans le fè-
cours de rAiman naturel. T. XLVII. 113. Voyez
Aiguille aimanfée.
^ir. Sa fluidité. T. XXX. 3fo. Saréfîftance.i^û/. Sa
gravita , ou fon poids particulier , n'efljamais le mê-
me, 8c pourquoi, iàtd. Son élafticite. 35*1. Di£F&-
rentes fortes de corpufcules étrangers qu'à contient.
i^id' Ni les Animaux , ni les Végétaux nefàuroient
vivre dans un aîr renfermé & qui n'eft point re-
nouvelle. îHd* Exception à cette règle, i&id. Makr
dies qui peuvent être caufées par un air trop chaud,
^fi. Jufqu'à quel point il peut être condenfiÉ. T.
XXXIII. 71. RaportQu'ilyaentrel'Air&laFlftm-
sne. 71. Obfervations iur \ts Inftrumens qui font
propres aux expériences de l'Air. T. XXXV.4fo.
Moyen de le renomvexler dans les Hôpitaux , les Vaif^
ibux,&c. T. XXXVIII. FârtM. 87.V0ye2.Ve»-
tilateur. Quelles conditions doit avoir Tair que nous
refpirons, 98, d^/kiv.
4ifiulfe eft mis fur le trône par les Lombards . T . XXX.
46. Jaloufie que fa puifTance donne aux autres Prin-
ces v ibid» Ses expécUtions. 47
Alacoque {Marie). Sa vie écrite par l*Ëvêque de SoiffTons.
T. XXXII. 398
Albe {leI>Hcd') eft^voyé en Flandre par Philifpt IL
pour réduire ou pour exterminer les Mécomens. T.
XLIII. 81. Son portrait, ièid. Ses belles qualités.
Bz. Par quelendroit il a terni Téclat de Tes talens Se de
fès vertus. ' , 83
Altère (Erafme), AxttemàtVAlcorandésCerieHers.T.
XXXII. 289. Lieu de fa naif&nce,.&tems auquel
il vivoit. ibid' Tiaduâion de ce Livre Allemand en
Latin ce en François. ibid.
Aideront (le Cardinal). Origine de fa fortune. T.
XXXIX. 283. Par quel endroit il fe rendit recom-
maodabk aux Ë^gools, Hid. U travaille au mariage
d>.
DES matières: W
fflîîxjêMftarnèfiwccPlnUfpeV Roid'Erpagne.
284. Il eftfait premier Mini(tre du Roi d*£fpagne,
188. Il eftaéé Cardinal, iùid. Ileftdilgracie, exi-
lé du Royaume , Se pourquoi. zpkg
Albert I, Empereur , eft tué par un traître. T. XXVII.
Alkert II, dit h Brave & kMdgnanimêy eftélu Em-
pereur. T. XXVII. 35-9. Il obtient en une année
trois Couronnes, iâid. Temsde fàmort. 360
Al^* Eleveur de Brandebourg, fumomméYAehiHê
& Vul^ffe. Tems auquel il parvint à la Régence. T,
XLV. 6^, Bellesaâions qu'il fitlorfqu'il n'étoitque
Burgrave de Nuremberg, i^d. Il tait la guerre à
Lmù le Barht , Duc de Bavière , qui devient fon pri-
fbnnier. iùid. Il gagne huit batailles contre les No*
rembergeois. ibid. De quelle manière il s'empara de
laVilledeGreiffenberg ibid. U gagne k prix dans 17
Tournois fans jamais être defar^onné.i^i^. Son Trai-
té de Confraternité avec les Maiibns de Saxe & de
Hc£k. îhid* Il partage û fiicceffion entre fes trois
fils. iSid. «c 70. Il abdique. iSid.
Albert , Duc de'Mecklcnbourg , Fils d'Ëuphémie Prin-
ceflè du Sang Royal de Suède , eft appelle à la Cou-
ronne de Suède. T . XL V. 366. Il perd la confiance de
iès Peuples en leur préférant des Allemands, ibid. Il
fe brouille avec le Clergé & la Nobleflc. iSid, Il eft
défait par Marguerite (k panemarc. ièid. Il fort de
fàprifon. 367
Alberti (^/m). Extrait de fon Edition du Lexique
d'Hefychms.. T. X^^ÎWIII. 6f. é" fuiv. Secours
qu'il a eus pour faire cet Ouvrage, 7 o. Divers échan-
tillons de les Notes. 71. Voyez He/ychius.
A^mus fuccède à Feftus dans le Gouvernement de la
Judée. T. XXXVI. 407, Sa conduite. ibid.
A^uni* Voyez Angleterre.
AlUzi (fiarthelemiyyoyeT. Vife (Barthckmi de)
^Ihm, Roi 4^ Lombards » bk k conquête de l'iu-
^ TABLE GENERALE
lie , en eft proclamé Roi , & &it ià réûdence à PâVÎeJ
T« XXX. 41. Tems auquel & fit cette proclama-
tion, au.
AUret ( le Maréchal ^'}. Ses efiRifions de cœur pour
xMadame Starrm- T. L. ;ii
Aîimcafis, S'il étoit Médecin ou Chirurgien. T.
XXXVII. 411
, Al^uerque {Aîphonfe d')i Conquêtes qu'il fait dans les
In jes Uricntaies. T. XXXVIII. 200
Akala {le Duc d*) cft fait Viccroi de Naples. T.
XXXI II . 2 00. Troubles qu'il appaifc, 10 1 , (j^fuiv.
Il empêche qu'aucune nouveauté ne s'introduilë dans
Naples pendant fbn Gouvernement. 108. Sa mort.
109. Sa grande capacité. iSiJ.
Alcatraz, « Oifèaux d'Amérique qui font une efpèce de
Cormorans. T. L. 311
Alciat. Remarque fur un paflàge de cet Auteur. T.
XXVI. ni-
Alcîhiaie. Guerre entreprife par les Athéniens à fà fol-
licitation. T. XXVI. 8. Avec qui il en eût le com-
mandement, ihid. On l'accule d'un complot ihU,
Arrivé en Sicile , il reçoit ordre de revenir à Athènes^
pour fc défendre contre cette acculatioû. tbU: Au-
tre acculàtion intentée contre lui , fur ce qu'il avoit
célébré dans (à maifon les myftères de Cérès. ibid. Il
fè fauve en chemin , 8c fè rend à Lacédémone. 9.
Avis qu'il donne aux I^acédémoniens. ibid- Il con-
tribue à faire révolter les Villes d^Ionie, tributaires
è!4îhtM5, iSid. Les l^acédémoàiens cherchent à je
faire mourir, ôc pourquoi. iMd. Il le retire auprès
dcTiffafhernii Satrape de D/irzi^. 10. Conlèil qu'il
donne a ce Gouverneur, ihid. Secours qu'il rend à
£ Patrie pour s'y ménager un retour, ihid. Ses intri-
gues. iSid Se 1 1. Il efl: rappelle à Athènes par T^ta-
Jyùule , un des Officiers de l'Armée 14. Réponiè
qu'il fait aux Députés d'Athènes, i^id é^fiàiv^ Il
cft rétabli par le Peuple, qui lui donne, conjointe-
ment
D E s M A T t E R E Sr xj
. j|iemavec7)b'/i/x^/es le comixiandement de toutes
les forces de la R^épublique. if
jilceran des CardelUrs (V). Qui eft l'Auteur de ce Li-
vre. T. XXXII. xSp Voyez. Aléh'e (Erafine)
Alcycn , ou Martin-fêchmn Où cet Oifeau paflè Thi-
ver. T.:XLIV 59;.
Aleman (Nicolas), Conjedhire de cet Auteur, T. XXVI. .
Alembert (Mr. i/') Idée générale de fon Traité dcDy-
namyque. T. XLI, - 141
Alemhic d'une nouvelle invention pour échaufer les ap*.
paitcmêns. T. XXXIX. ly
Alenfon (Mr. 4/') 9 Gouverneur du Comte de Saxe. Son
éJoge. T. XLIX 371. Sa mort. ibid.
Alexandre le Grand. Traits curieux concernant ce Prin-
ce. T.XXXI. 37 i,6»/i*ii;.Soncaraaère.T.XXXV.
78, 79. Son Gouverneur, ibid Ses premières in-
clinations. U?id Pourquoi il étudia Homère . 80. Guer-
res où i\ £c trouve engagé en montant fur le trône.
iSid. éi*fmv, Sts premières expéditions. /^/</. Marque
de fà vanité. 81 , 82 Règle qu'il donne pour exciter
Tappétit. 88. Viéèoirequ'il rem porte lur Darius à la.
bataille d'Iffus. 89,90. Profit qu'il tire de cette vic^
. toire. ^ I . Rélolution qu'il prend de châtier les Juifs^
& pourquoi, i^ii. Preuve de fa cruauté. 93,94. Il
défait les Perfes , ÔcpourfuitD/in^ij. 94. Traits qui
Icfontconnoître. 9f. Différens jugcmens qu'on en
a porté. ^. Quelle eft la plus grande Se la plus dan-
gercufe de toutes lès extravagances. 97 Ce qu'en
a dit Montagne iâid. ér^/uiv. Et Plutarque. 99
Alexandre, Evê<^ue de Kome^ T.XLIV. 148. Grand
nombre de Villes qui prétendent avoir des reliques
de ce Pape. 149
Alexandre III , Pape. Amitié particulière qu'il lie avec
• Cmllaume Roi de Sicile. T. XXX. 511. Il eft re-
connu pour légitime Pape par tous lesChrétiens , fi
l'on çn excepte l'Empereur Frédéric, 6c quelques
Al-
jy TAÎLE GENERALE
JiBemandst>bligés de fume ion parti. )2i« Ilferâul
à Venifc, & conclut k paix avec rEmpeceur. 315.
S'il eft vrai que la Mer Adriatique appartient aux Ve«
nitiens en vertu d'une concemon que' ce Pape leur a
faite. 314
Jiîexandre V. (le iPape) empoifonnc parle Cardinal
Balth^zjir Cojfa. T. XXVII. 15-4.
Alexandre VI, Bulle dq ce Pape qui contient les Indul-
gences qvi'il accordoit aux Chapelets ou Grains qu'il
béniffoit. T. XLVIII. 197
Alexandre (rEmpcrcur), Succeflêur d'Hé/û^^^/i/f , re-
gardé comme le plus indulgent te le plus ïkvorable
aux Chrétiens. T. XLIV. 167. Ce fait contredit
y2JBaronms* 268
Alexandrie, Situation de cette Ville. T.XXX VIT. 1^0.
Son origine/ Scfes révolutions, ibid» Caufès natu-
relles qui ont concouru à changer ûiituation, £c à
détruire (es montimens. ifi
Alexis {Frère Guillaume), omU bon Moine de Lire > Piè-
ces de Poëiies qu'il a compofées. T. XXVI. 144.
Paflàges qu'on en cite. ihid.
Alford, Hidoire abfurde qu'il de1>ite dans fès Annales.
T. XLIV. 25-9. Sa trop grande crédulité. 241*
Alfred le Grand , rétablit en Angleterre les Loix de Ùl
Nation. T. XXXVI. 76. Il fait un iK>uvcau parta-
ge du Royaume en Provinces féparées , dont il nxe les
Bornes, avant lui incertaines Se arbitraires. îM. Sub-
diviiîon de ces Provinces qu'on appdlf C^nir^^. 77,
11 s'applique à faire fleurir le Négoce dans fes Etats,
6c invite des Savans 2c des Ouvriers étrangers à venir
s'y établir. 78
AlgarctH (Mr. le Comte); Son mépris pour les Philo*
fophes François. T. XXXIV. 81. Ses plaintes au
£1 jet d'une prétendue Traduâion de fbn Congrès de
Cithere. T. XLlh 220
Algèbre. Traité d'Algèbi^e de Mr.Mac^Laurin. T. XL.
) AU
DES MATIERES: «f
dlgtr. Boxnesde ce Royaume. T. XXXIL 412. On
prouve que c'eO: rancienne Numidie. 41 j. Reniar-
. ques fiir TAir qui y règne. 416, Récoltes qu'on y
rait. ibU. Son Gouvernement. 43 9. Voyez Algerwu.
^gifims (les). Leur ignorance en fait d Agronomie*
de Navigation , 6cc. T. XXXII. 4x8. A quoi iè ré-
duit toute leur Chimie. z^iJ. Leur manière de comp«
ter. 419. Leurs forces deXerreScdeMer. 439. c^
fuiv. Leurs revenus, ihid. VaifTeaux qu'ils envoient
tousks cinq ou iix ans au Levant pour y faire des Re-
crues. 441. Leurs Alliances avec ]cs Princes étran-
gères, ibid. &f»k/. Voyez Alger,
Ali ) quatrième Khatife. Son règne rempli de troubles
3c de diviûdns. T. XLIL 136. Il eft airatTiné dans
la Moiquée. iHd. Ses femmes , ion lavoir , £ès Seâa*
teurs: îbîd» é* fmv»
Alife. Où cette Ville étoit autrefois fituéç.T. XXXJX.
nj. Elle eft alTiégée par les Romains. iAi</ Armée
nombreuse qui vient à Ion fècours. ihid* Evénen^ns
de ce fiège. 1 ii6. éffi^iv* La Ville fè rend. 1 18
Ali fis . Quels (ont ies Vents auxquels on donne ce nom .
T. XLÎ. 370
Alï[os ou Alm» Rivière qui porte ce nom. T. XLV, lof
AlixÀtr, Uikge qu'on fai t de fon écorce pour augmen-
ter Jepoids ôc le volume du Quinquina. T. XXVIII.
449. Queleft le goût & la couleur de cette écorce. ibid.
Alkèndi. Trait lîngulier de ce Juif, qui profeflbit l'Af-
troiogie Judiciaire à Bagdad. T. XXXI. 386, é^fuiv^
Alhmand ( Mr.) . Obfcrvations exadtes & curieulès qu'il
a faites fur les Bouteilles, de Bologne. T. XXXIX-
10, 1 1. Découverte qu'il a faite lur l'Electricité. T.
XL. • . 185
Allemagne. Pourquoi on eil .obligé d'y aller à k chaflê
des Cerfs & des Sangliers. T. XXXVII. 45-. Ex-
trait d'une Hiftôire générale d'Allemagne. T.XLIV.
a9. Défauts de cet Ouvrage- i\,(^f»iv, Tems au-
quel les commodités de la vie y ont été portées par les
Ré-
W TAFLE GENERALE
Réfugiés Fran9ois. T.XLVIII. 3x2, 3f 3. Vojei
Allemands*
Allemands, Difpofitdon qu'ils ont pour k Mu£quc. T.
XXXIIl. 299. Voyea Allemagne.
Alfnagefte de Ptolcmée, La plupart des Traités d'Afbo-
nomie , publiés (bustes règnes de Franfeh l, 6c de (es
Succef&urs , regardés comme de iimples Extraits de
VAlma^efte de ptolomêê , traduit de T Arabe ou fur des
Manuicrits Grecs. T. XL. 272. Grand cas qu'on fai-
(bit alors de cet Ouvrage, i^id. Pourquoi on t'atta-
cboit fi fort à ce Livre d' Alhonoroie. i6id. Ce qu'il
renferme, iàid- Traduit de l'Arabe en Latin par or-
dre de TEmpereur Frédéric 11,27 3 . Idée de cette Tra-
duction , & de celles qui l'ont fùivie. i^id.
Almanach, Explication d'un Almanach fingulîer , trou-
vé au Château de Coëdic en Bretagtie T,X XV I L 1 4 1
Almeida {Jtmn ierrero </'). Son Nouveau Teflament.
T. XXXIl. 274.
Alouette de Mer. Courfès de cet Oiièau. T. XLIV. 39 c
Alphmfe y Roi d' Arragon , hérite , en 143 f, du Royau-
me de Kaples , & inflitueà Naples même un Tribu*
nal confiderable. T. XXXI. 206. Maître des Ro-
yaumes de Naples 8c de Sicile > il fè fait nommer Roi
de l'une 8c de l'autre Sicile. 207. IlalTure lafuccef-
. fîon de la Couronne de Naples à fon fils naturel , Fer-
dinand d'Arragon. ihid. Sa mort. 208. Combien Tes
belles qualités le firent regretter. ihid..
Alface, Pour quelle fbmme la Souveraineté de ce Pais a
été vendue à la France. T. XL VIII. 33a
Alfiroem (Mr. Jcnas) . Brebis 8c Chèvres qu'il a fait ve-
nir des Pais étrangers pour en peupler la Suède. T,
XXXVIII. Tart, II. 67
Alvakédi , Auteur Arabe qui s'eft le plus étendu dans.
l'Hiftoire des quatre premiers Khalifes éleâifs depuis
Mahomet, 8cquiapoufré celle des Ommiades, Kha-
lifes héréditaires , julqu'aux derniers Princes de cette
Dinaftie. T. XLVl. 380
dimand
DESMATIERES. 17
Armand (St.). £aux minérales de ^^^;»/izm/ en Flandre.
T. XLÏ.4j'6. Combien elles font aujourdhui accré-
ditées. iSid. Trois Fontaines différentes qu'elles ren-
ferment. 45-7. Examen de ces Eaux. i^jd,
Amaurofe, Maladie ainli nommée. Voyez Riie(Mr).
Amazones (la Rivière des), ouk Maragnon. Par qui el-
le a été reconnue. T.XXXVI. iif. Son cours. i^iV.
Ambe, Ce que c*eft que l'Ambé d'HifpiUcrMe, T,
XXXVll. ij-p, Per ifeaionné par Mr.LeCat ibid.
Ambiorix , Roi des Ebu^ons ou habitans du Pais de Lié*
ge , détruit une Légion Romaine & cinq Cohortes.
T. XXXIX. 112. IlibulèveksAduatiquesfesYoi-
fmsy & engage les Nerviens à attaquer Q^ CUérm »
ihid» Il tente, mais inutilement, d'emporter le camp
des Romains. 11^
Ambition. Jugement fur cette Paffion. T. XXVIII.
88, 89
Amboife {faques d*) , Cliirurgien du Roi au Chatelet , fc
fait recevoir Doàcur en Médecine. T. XXX VI I.454.
Ambre jftuni (1') ne doit {>asfbn origine à la Mer 3 elle
vient de la Terre. T. XXIX. 35-. Ce que c'eft. T.
XXXVll. 15-8. Il s'en trouve fur les rivages de la
Scanie , & dans l'intérieur du pais. T. X L VII . 5 91
Ame, Dans quelle fuppofition on pourroit regarder l'A-
me immortelle , ians être obligé de la regarder com-
me une fubftance fpirituellc. T. XXVll. 166, Ex-
trait d'une Lettre fur fon immortalité. 167. Examen
de cette queflion : Si l'Ame humaine n'eft qu'un ac-
^ cident du Corps vivant & organifé , oufîeUeeft une
Subfiance. 169 , éi*fuiv. Quel eft le parti le plus fàge
que l'on puiffe prendre dans cette Difpute. 173, 274.
Sa différence d*avecl'£j>rîr. T. XXVIII. 142. El-
le a , au premier inftant de fon exiftence , les princi-
pes du mouvement Se de la vie , &c. 143. Son com-
merce avec le Corps. 144. Si les Ames de tous les
Hommes ont été créées à la fois avec celle d*Adnm'
B ' T. XXIX.
j8 TABLÉ GENERALE
T. XXrX. t^^9&Jutv, Nature de l'Ame, iot^
^fuîv, 214. Examen des preuves de fà fjpiritualité
& <:e fon immortalité. T. XXX. 89 , ér fuiv^ Si
Defcartes a bien prouvé la diftinâion des deux Sub-
ftances.9'2. SirAmederHommeauneefpèce d'iîijP'
tina. T. XXXII. 1 1. Si elle eft une Etre diiHna
de la Matière : preuve qu'on en donne , 8c examen de
éctte preuve. 44 , éi*/ulv. Si elle a une étendue par-
. ticuliere , quoiqu'elle foit une fubftance IpiritucUe.
5-4, (^/hvv. Si fà diftinélion d'avec le Corps eft dé-
montiée. 329, éi* fuiv. Inconvénient qu'il y a de
lui donner un véhicule, une envelope. T. XXXV.
SS ^ &fi*v^' Si elle eft le Lieu des Corps. 71. Quel
eft Ton liège. 191 , é^fuiv. Idées diftérentes quV)n
«'enformc. T. XXXVI. ii^y^fuiv, Sielfepeut
être immortelle en la fuppofànt corporelle, iiy. De
l'An^ des Bêtes & de cclk des Plantes. 137, 13Ô.
Siège de l'Ame humaine. 141, 142. S'il y a deux
fbrtesd'Ames dansTHomme. \^^,éi* fuiv, Syftê-
me fiiivant lequel l'Ame de l'Homme n eft qu'un E-
tre purement paHîf , qui dépend du jeu des Organes 3t
desimpieffiensdu Corps. T.XXXVllî, 341. Ef-
fiii d*ana)yfc de l'Ame humaine. T. XL. 474. Sur
les tiois hypothcfèsde l'union de i'Ame & du Corps.
T. XLl. 72. Combien il eft difficile de connoîrre
cette union. 74. Son origine n'eft point encore con-
«uc. T. XLÎV. 137. Lettre fur ton immatérialiié.
12 1. Eft-ce l'A me, eft- ce le Corps qui agit le pre-
mier au moment de leur union. T . XLlï. 14 1 . Va-
cuités qui lui font propres. T . X LIX. 97 . Selon Mr.
de Maupcrtuis les argumens dont jufqaMci on s'cft
icrvi pour&cofitre k préicncede l'Ame des Bêtes ,
font également fbibles. 434. Le fentiment du Soi
eft ce qui eonftituc l'Ame. 'U>îd. Différence des A-
«ïes. ibid, Voyc^ Atm des Bhes.
^tnedes^éUs, Extrait d'une Hiftoire critique de l'Ame
dcsBétesp«Mr,©#fr. T.XLVIII. io«. Ignoran-
ce
£>ES MATIERES. 19
ccoùToneft fur la nature de cette Ame. t6td. Si le
prindpe qui fènt & qui connoît dans les Bêtes , eft i^i-
rituel & intelligent, ou s'il ne leftpas. zio. Senti*
ment des anciens Sages à cet égard . 21^,213. Corn*
bien il eft difficile d'aflcoir , fur ce que 1* Ecriture nous
apprend , un jugement fixe de ce que les Juifs ont
penfe de l'Ame des Bêtes, iéid. Ce qu'en diientAf(?i/9,
Je Prophète Royal, & quelques autres Prophètes, ihid.
Sentiment dcplatm* n^. Wdrifiote, 217. P/ôw le
Naturalise admet non feulement de la connoiffance ,
mais même de k Religion dans les Bêtes. 221. P^-
^^yre leur donne une Anae raifonnable 6c intelligente.
ihid. Auteurs qui ont cru que les Bêtes ne font que
è^s Automates, ibid. é*fi*iv» Expofition & réfuta-
tion du fentiment du Miniftre BoHllier. 212 , ^fmv.
Voye-z Avje,
AnndeVXJnvvers, Voyez Jiîtn.
tdméricains . Caraébcre de ces Peuples. T . XXX VI . 219,
f^fuiv, Uiàges bizarres de quelques-uns d'entre eux.
220, fii*Juiv, Leurs fîèdies empoifonnces. 221.
^îmérh[tie. On exagère lorfqu'on dit que les Efpagnols
l'ont dépeuplée d hommes. T. XLII. f6. Efifetquc
produitle climat de ce pais fur l'efprit. T.XLl V . 407
^min. Calife, deshonore k Trône par fa vie molle, (a
fainéantife 8c Ta lâcheté. T. XLVm. 121. Trait»
qui font juger de fa grande indolence, i^d, ^fuvv,
idnns . Quelles font les qualités que doivent avoir de bons
Amis. T. XXVIII. 84.. Un Prince doit avoir des
Amisdepîaiiîr, & quels doivent être ces Amis. T.
XLIX . 127. Comment il doit fc conduire à l'égard
des Arais intimes, ou Amis de cœur. ièj^. A quoi il
doit employer fcs Amis utiles. Wià, fie 1 18 Pour-
quoi ne us n'avons proprement des Amis que parmi
les pcrfonnes de notre état. 4.o€. Voyez Amitié,
Jlmitié, Idée outrée que les Anciens s'en formoient. T.
XU. izXmfiihde l*4mhiê.'Exmiix d'un Ouvrage
B 1 qui
ao TABLE GENERALE
•
qui porte ce Titre. 346. Eloge de ce Livre, i^id. Vo-
yez Amis.
AmmlenMarcellm. Ce qac cePayen nous apprend delà
ponip« qui accompagiioit de fon tems TEpifcopat.
T. XLIX. 446 e Ccnfure qu'il fait delà fbmptuoiîté
de la table du Pape Déimafe . 447
jtmoj (le Prophète). Pourquoi il déclara que fàCom-
miiîionétoit extraordinaire. T. L. 14
Amour. En quoi î* Amour diffère de la Galanterie. T.
XXIX. 377. Quel eft l'objet de r A mour.i^/W. L'A-
mour fe plaît dans les diBicuités. 378. Il y a toujours
de la bonne foi dans l'Amour , mais il eft gênant &^
capricieux, ibid. L'excèsle fait dégénérer en jalou fie.
Ufid, Pourquoi il ne meflied pas aux filles, ibid. li
donne du ridicule aux femmes. 379 Jugement lùr
cette fçnfation. T. XXXI. 311, é* fuiv, Deior-
di es que caufe cette Paffion T. XXXII. 3;9. L'A-
mour met tous les rangs de niveau. T. XXXIX,
175*. L'homme ne fauroit vivrelongtems fans aimer,
îSid» L'Amour eft rapenagc d'un cœur tendre 8c'
plein d'humanité. T. XXXIX. 45-1 . Le Sens de l'A-
mour doit être regardé comme un fix ième fens , dif-
férent de celui du Toucher & de tous les autres,
T.XLI. 263 , 164. L'Amour efl la plus forte de tou-
tes les affediions. 279. Elt de toutes les Pallions la
plus dangerepfe , la plus agréable , la plus néceflàire,
3fi. Combien il y a de points en Amour, fùfvant
Marot. T. XLII. \ .119
Amcur (la 'Famille de /'). Defcriptibn d'une Sedie ainâ
nommée. T. XXXVÏII. 26. é'fuiv.
Amour de Dieu* Comment on fait voir que toutes les
ptrfeàicns de Dieu , dont il ne réfulie rien pour no-
tie avantage, peuvent bien nous cauferde l'admira*
tion , 8c nous imprimer du refpedl , mais qu'elles ne
peuvent paî5 nous imprimer de l'amour. T. XLI. 276.
S'il cftpclTible que Dieu foit aimé par une Créature
dont
DES MATIERES. at
éontk vie cft pleine de mifèrcs 8c d'infortunes. 177.
Parallèle de l'Amour de Dieu avec cet autre Amour ,
que les Dévots appellent prophane, & à qui nous (bm-
mes tous redevables de notre exiftence, i6id. . Juge-
ment fur <x parallèle. 178. Si on ne fauroit aimer
Dieu fans contrarier tous les inflinâs de h Nature.
179
Amour'fr<fre. Gequcc'eft. T. XXVIII^ gi. S'il eft
le grand mobile de nos aéiions & de celés des Ani-
maux. T. XXXII.^3î7, é*fmv, Ileft la rcglede
rHonnête-hommeSc du Fripon, 8c avec quelle dif-
férence. ^4;. Ce que nous dicte 1* Amour-propre bien
réglé, i^id. Il n'y a pcrfbnne qui ne s'aime, 8c on doit
s'aimer. T. XLII. 14,4.
Amfuéro (la Famille </'), établie à Lima, laquelle tire
fon origine des TTwr^j ou Rois du Pérou. T. L. 304..
Prérogatives dont elle jou ït . ibïd .
Amfterdam. Combien il fortoit ci-devant de Vaiflfeaux
du Port d' Amfterdam, fuivant le Chevalier Temple. T,
XL. 3 jo' A combien fe monte Je fond de ù. Banque.
371. Avantage queproduîtlecréditde cette Banque.
ibid. Idée générale de la beauté 8c de la magnificence
d'Amfferdam. i6id. Eloge qu'en fait un Poète, ibid,
jùiabaptlftes (les) traités de Fanatiques, T. XXXII 46 3 .
Leurs difputes avec Zwingle. 464. Conférences qu'ils
ont avec ce Réformateur. 465*. Malédiction qu'ils
prononcent contre la Ville de Zurich. 466. Ils ibnt
perfecutés. tbid. Examen dçs raifbns alléguées contr»
eux. 467 , é^/ulv Voyez Zvp'm^le,
AfMcleti ou Clet, Evêque de Rome, appelle par les
Grecs Anencletos . o\i irrepréhenfièle. T. XLIV 17,
28. Erreur de l'Eglifc Romaine qui a fait pendant
longtems deux Papes , 8c même deux Saints , deGlet^
^AmcUt, ibid. Combien detems iV gouverna l'E-
flife. ibU, En quel endroit on prétend qu'il a été in--
lumé. ^ ^ ihid.
An^ftafe , le Moine , fumommé le Bibliothécaire , Sé-
B 3 crt-
» TABLE GENERALE
ccetaire 6c Chanceliet dePEglifede Rome* Tefasm^
quel ilAorifToit. T, XLIV. 8. Jugement fiir ibn
Hiiloire des Fzjpos. Und,
AMtomie. E-xetn^ks par lefquels on prétend prouver
que rétûde de T Anatoinie a été dédaignée par les {^us
excellens Médecins de tous les ilècles. T. XLI. 4^7.
Ce que les Anatomiftes font à la Médecine. 4; 9 . Ex*
trait d'un Ouvrage intitulé ^otéMAux iUman â^Ar
iiatomie. T. X LUI. 443. Diveriès Ob&rvations A*
natomiques. T. XLVÎ. j/j
jîncus Mt^rius , Petit-fils deN»W , & Icquatrièràc Roi
de Rome. Ce qui fèpailàdç plus remarquable fous le
rèçne de ce Prince. T. XXXIX. 177. Il eft le pre-
mier des Romains dont les vues fc fbient portées par-
ticulièrement vers la Marine. T. XL. 35"6, 3/7
yéinderitumy Tlled'Houat, fur la Côte de Vannes. T.
XX VIL 134
Afuierfcn (Jeun) , Premier Bourgucmaître de Ham^
bourg. Extrait de fa Defcription de Tlslande , du
Grocnlande& du Détroit de Davis, T. XXXVIIL
75-. Lieu de fà naiflànce. ibU' Son panchant pour
THiftoire Naturelle, ilnd. Charges auxquelles il par-
vient, ihii, éffi^i^- ^^ afïifte au Congrès de Bade.
76. Ses études favorites. ihià»
Andes (Ccrdelières des) . Nom qu'on donne en Améri-
que aune fàmeufe chaîne de Montagnes couvertes de
neige. T. XXXVI. »i7
Andecide , Tun des fameux Orateurs d*Athèacs. T.
XXVI. s
André (J.) , Do£fceur en Médecine. Ouvrage de cet
Auteur. T. XXXVIL 484
Andry{W*) ExtrdtôçCon Orthopédie. T. XXXI. 482
Ane de Vérone, Relique ainfi nommée, qu'on promène
par la Ville, &quo^ honore- T. XXIX. 35-
AnéfWifiofet ou Inflrument qui ièrt à connaître la di-
rcaion&la force du Vent. T. XXXVIIL 164
A»-
DES MATIERES. if
^np (Michel). Nudités dont il aremplikCkapeScda
Vatican. T. XLI. î8x ,
^tmes. Comment on fait voir que le mot Grec iy/Oicç^
qu'on a traduit par celui d'An^t, fignifieaudi unEf-
pon. T. XLVIH. i7f , 176
jil^hiîkerty Gendre de Chartemagne^ eft choifî par ce
Piince pour àlkr recevoir le &aieat de fidëlité des
Romains. T. XXX. 49
^jb^ktare. Extnât d'un Ouvrage intitulé cAr^m^^e^e^
Bmd^JngleMrre^ T. XXXJ. 341, é^fmv. Jugement
fi(r cet Ouv:}s^e44}, é^fifkv^ Extrait du Guide d'An-
fltf^ewe.T.XXXtV. xo^^^fuvv. Idée defonGou-
VCTncnwnt. T.XXXVIII.^^/.XT. 183. Abus dans
]*£leâJon àsi% Membres du Parlement, Se m-ryen
d'y remédier. 1&4 , ^fmv^ Con^fcendance du
Piment pous le Ministère. 191. Idée générale
d'une nouvelle Hi<€bokie de ce Pais. T. XL. 116,
0.17. Sur quel pié y eftU Religion. T, XLI. 500.
Extrait de rHâbotiie du Parlement d'Ao^leterre T.
XLJUX. i^ro^ Cofflaueautseébisfbuslenom àtAlbion^
&en£Qiteibu£cdiii deSir^4^xie. ifj^. Ignorance où
Von eft&T l'origine de fès Fondateurs de de £bs pre-
miers Conquérans. ibîd. Elle tombe (bus le joug des
Roœains. ibtd. Ses Provitioes méridionales devien-
nent la proie des Pi£bes 8c des Calédoniens . i f j*. Les
Bj»too3 appelieot^à leur i^coucs les An^orSaxons ,
qai iè fendent ma!ti«s du pais, Se en forment ièpt
Royaumes. ihU- Tems auquel le nom de Bretagne
fyXchM»gé'Cac€hi,d^An§htem.U>id. Aq^elgouver»
nement les A ngloisTaportenbl 'origine <fe leur Parle-
ment, iifid, h&è ào) gouTsmement des Anglo-S»»
XOQS , £c combien de tems M dura, ièid. Le (ceptre
de% Saxons pftfib dans les mains des Princes Danois 8c
. JKpAilè dans cdles^des Saxons. ifâ^yîje&privi]èges<ies
Attigicôs 9néaotkfbiis GuiHàiuBe le Conquérant. 15*7 .
!>' A«Mositë Elc^ak dégvadée Ibus le Tègneèe^mfans
2hsm« qiiiitecordela^iin^ Charte if9, &jHiv.
B 4 Le
f
k4 TABLE GENERALE
Le Parlement s'ctablitfousle règne de Henri lU. 1 6tl
i6z, 163. A quelle époque il faut remonter pour
trouver la fource des fleuves defàngqui ont inonde
l'Angleterre. 164. Sous quel règne les Députés des
Communes, qui étoient choiûs par le Roi, commen-
cèrent à jêtre choiiis par leurs Villes & parleurs Pro-
vinces, iéid* Le Parlement a toujours profité desdî-
vifions pour ruiher l'Autorité Royale. 168. Sous quel
règne la Chambre Bailè a commencé à jouir de k
Puiflànce législative. 171. Les Communes s'empa-
rent de toute l'Autorité fouveraine fous Charles 7.
iSid. é'fierv* PermifTion aux Seigneurs d'aliéner
leurs terres. 173. Le Parlement devient plus abiblu
que jamais. 176. L'Angleterre connue autrefois fous
le nom d'Albion. T. XLVIL 16^. Faulïc idée que
• s'en formoient les Anciens, ibid» Nations différentes
qu'elle contenoit. ibid. Conformité des habitansdes
Côtes de cette Ile avec les Belges, ibid. Ces Peuples
regardés y^t Horace coinme inifociables. ibid. Leurs
moeurs, leurs habitations, leurs coutumes, leur ma-
nière de vivre. 164. Quel étoit leur commerce, ihid.
En quoi confîfloit la principale force de leurs Armées.
ibid. Leur gouvernement, i6f. Idée desexplois de
Céfar dans cette Ile. ihU* Comment elle fut toumifè
aux Romains, ibid» & 166. Ce païs fut plus formi-
dable que jamais fous la domination de Cr^i^ve/. T.
XLVIII. 31^. Son Gouvernement fcmble réunir les
plus grands avantages. T .XLIX .126. Voyez Anglois,
Angleterre {la Smvflle). Farine qu'on en tire pour la
Jamaïque. T. XLVIII. 148
Anglois. £n quoiconfîûe kar bonheur. T. XXXIV.
207 , 223. Ils donnent Ibuvent dans l'excè». T.
XXXV. '37, 38. ExtnitdcsBjscherchesfurVmgine
: JelaConftitutmAngloi/e. T. XXXVI. fa. Carae^
têre des Anglois. T. XXXVIII. Part. U.iSi. Cau-
fe de leur humeur mélancolique. 182. En quoi con-
iiileleur Liberté. 187, ^fuiv. Si les Anglois font
plus
DES MATIERE*- if
plus fibres qne les François. 189, (^/uiv, Caraâère
des Petits-msdtres Anelois. 199, (^fuiv. En quoi
les Angbis doivent céÀcr le pas aux François pour les
prodnâîons de Tefprit. 101. Commerce qu'ils fài-
loîent autrefois. T. XL. ^71. Siles Auteurs Anglois
méconnoiilènt l'enjouement 8c les grâces légères cul-
tivées chez leurr Voiiîns. T . X LI . 914.. Les A nglois
ont envenimé leurs Guerres civiles. T. L. 5-8. On
voit à peine deux de leurs Rois ^ qui n'ait fini par quel-
que cataftrophc jufqu'à Henri IV. ibid. Ils n ont ja-
mais ufë de politique avec leur Roi- ^9. Comment
les diviûons feformenjt parmi eux. i^i^. Voyez An^
gleterre.
^tigmlefme {Ifnheau d*) eft enlevée par Jean fans terre à
Ion Epoux le Comte de la Marche. T. XXXIIL f.
Voyez Jean fans terre,
^guilles. Obfcrvation fur de petites Anguilles ovipares*
T. XL. \^f. Faculté qu*ont les Anguilles de mon-
ter perpendiculairement. T. XLIII. 185'
4nicet. Erreurs répandues fbu^ fon Pontificat. T XLI V .
ifl, Ilrefiiiè de fè conformer à la coutume de célé-
brer la Pâques le 14. jour de la Lune du premier Mois,'
conformément à k coutume des Juifs, ni que ceux
qui dépendoient de fà jurifdicStion s'7 conformaficnt.
2f 4» Ordonnances 8c Décrets que quelques Ecrivains
modernes lui attribuent, mais dont les Ancien^ ne
font aucune mention, i^-f. Auteurs qui prctendcitt
Îu'il mourut pour la Foi. ibid. Sa tête donnée aux
éfùites de Munich , quoique le lieu de ù. fépulture
ibit incertain, ikid» Tems auquel on trouva le refte
de fon corps , qui eft donné pr Clément VIII . au Duc
d'Ataemps , qui le Ait mettre dans la Chapelle de fon
Palais à Rome. ihid»
Amcim {Juftims). Médailles qui portent ce nom. T.
XXVI. 114
^imaux. Auteurs qui ont écrit leur hiftoire. T . XXX.
410 » 4% U Route qu'on a priiè pour les mieux con-
iii TABLE GENERALE
soitre. tùid* Pourquoi de tous les Amœaxus lesFotP
fons ont été les moins connus. 421. Ce quç c'eil que
leur inffinâ:. T. XXXU. 9, 10. S'ileft vwii guc
Je defir qu'ils ont de s'unir &it limité i certaines
Saiibns de l'Année dans pefquie tous ]c$ animaux.
ZSii&fuiv. Voyez. Hùmme. Expériences hydrau-
liques faites fur des Animaux vivans. T. XXXIV.
116, éi*Juiv» Leur origine. ^79. Empire derHom-
me fur les Animaux. T. XXXVII. 48. Pourquoi
cet empire doit s'étendre jufqu'au pouvoir d'en feirc
là nourriture, t^/i. Les Animaux tranfportéa dan^des
païs étrangers dégénèrent à la féconde ou troiiiéme
génération. T. XXXVIII. Fart. 11. 68 S'ily adc
la cruauté de la part des Hommes à tuerks animaux •
T. XLI. i^, 14. Plufieurs Animaux tranfportés
d'un climat dans un autre , cliangent preiquç toujours
d'efpèce. T. L. i%i
dnjou (Chfiirles d') , Comte de Provence, Çq frèrç de
St. Louis Roi de France. T. XXX. 551. iUft feit
Roi dekPouilleâcdelaSiciJe. 3^6. Il s'attache pa^r
de grandes largefïês divers Barons. T. XXXl. ^^91.
Il engage pluneurs Seigneurs François à fixer leur de-
meure dans le Royaume. i^ùS- Il fe rend formidable
à toute l'Italie, Se eft regardé comme un des plus miif-
fans Rois de l'Europe. i6id- Il rend tributaire le 9.0-
yaumc de Tunis. i^U. Sa mort. ï95
dnjm {B^né d')- V oy qz Bmé d'Anjou,-
,4nne> Reine d'Angleterre. Son caractère. T.XXXÏ.
4érme l-namwm > Ducheflê Douairière de Curiapde.,. fe-
coiide fille du Czar Iwan Alcxiéwits , frère^e^ Pierre
le Grand, favoriiè & protège le Comte de Saj{^ contre
les Mofcovites. T. XLIX. 390.. Mais elle change de
conduite à fon égard, par la faute du Comte. iStK-
4w»^i^. Ses expéditions contre ks Rosajû^. X*
XXVUI. H4* Moyens qu'il mettait eftHÛge jîpur
ébran*
\
DES M ATI ERES: »f
■^s^tùsiWaims. 146. Il va ièpoftcr près deCaanes.
2f ^. Il y lemporte fur les Romains use viâwiiie
complète, tf^. S'il fit une faute en négligeant de
marcher droit à Rome après cette viâoire. iSid. &
JUiv. Ses autres expéditions. 162, e^yMK/. Siibnfé-
jour ï CapouiB fut ^nefte à fon Armée. z6^ , (^/hiv»
Il eÀ battu devant ^k»le par M/irr^///M. i^S, 169,1!
yafè prélènter devant Rome. 173. 8c eft obligé de
fe retirer, iâid^ Viéloirc qu'il remporte {wrès de la
ville d'Hcrdonnée. T. XXIX. 6, Son entretien a-
. vec Sdfim. 18. Son çsLTstékève & ion parallèle avec
Sciptm.'il7,&Jkiv, Son éloge. 340 . Ses vices. ^41,
342. Pourquoi les Romains en ont dit beaucoup de
.. mal. Uijm
^imâkUaHm* Auteur qui prétend que pendant les deux
ou trois premiers fièclesduChriftianifme, 1* Annihi-
lation des Pécheurs impénitens étoit k Doârinc gé-
néralement reçue. T. XLI. 3^70
JbfUmeenSi oupurs^ims. V oytz Airims^
^ixfaldus. Extrait de fbn Ouvrage intitulé, ielaTra^
ditio» des FrmcifesdeU Loi Naturelle . T. XXIX. i>77
Anfibares , Peuples de Germanie , occupent une Con-
trée que les Priions avoient été obligés d'abandonner.
T. XLVII. 405. Dilcours que leur Chef tint aux
Romains qui vouloient chafTer ces Peuples des Terres
. où ils vcnoientde s'établir, ibid, Réponfequekd fit
k Général Romain. 404. Les Aniibaresibnt entière-
ment exterminés. ±0$, Leur nom retrouvé quelques
fîècles après parmi les Peuples qui compoibient la Li-
gue ou Nation éi&s Francs. ibid^
A^m (Mr. Geûrge) , Chef d'Efcadre de ià Maj. Britanni-
que. Premier extrait de k relation de ion voyage au-
tour du Monde.T.XLL^ç. Second Extrait, g^z. Qui
font ceux qui ont eu part à cet Ouvrage, 40. Départ
de l' Amiraïavec ion E icadre. 41. Son arrivée à Ma-
<)èi^e* 4J. & àrile de Ste. Catherine fur k Côte du
Bréiil.i^M. Idée decette lk.i^i. li relâche à St. Ju-
lien
%t TABLE 'GENERALE
fienPortdekPatagonie. ihid* Maux auxquels il fut
- expofé après avoir pafle le Détroit de le Maire. '44.
Il prend la route de V lie de Juan Femandès , o\i il ar-
rive après s'en être écarté. 4^, 46. Il fe rend maî-
tre de Paita. ffy é*fmv. Son arrivée à rile de Qui-
to. 5*7 . Il quitte les Côtes de T Amérique , 8c prend
la route d'Aiie. 6;. Troifîème 8c dernier Extrait de
fon Voyage. T. XLII. 47
JbaKhrifi' Remarque de Mr. le Profeflcur Wctftein fu^
♦ TAntcchrifU T.XLIX. 411. Comment on prouve
que l'opinion que le Pape eft 1* Antcchrift de T Apoca-
lypfè, e(l plus ancienne que Luther. 41a
Antmw (le Sépulcre d*). T. XLVIII. 300
Anterus, CombicndétcmscePapcafiégé.T.XLV. 164
AtttropolÀtres. Nom que les Apolliaariftes domioient
aux Catholiques , 8c pourquoi. T. L. a 20
Antie^ jeune fille qu'on avoit achetée pour étrcprofti-
tuée. T. XXVI, 18
Anti'Lucrèce, Poème Latin du Cardinal de Polignac. T.
XXIX. 119 Hiftoire de cet Ouvrage. iiiJ, Ce qui
a donné lieu à fà compbfîtion. 210, Sur quoi il rou-
le. i6id. &fftiv.
Jlntmhe Schifme opiniâtre qui déchire cette ville fous
Je règne des Empereurs Julien U, Jovim. T . XLIII .
107
Antîphon eft un des dix Orateurs Athéniens qui portè-
rent le talent de la parole à un fi haut point de perfec-
tion, qu'après eux le goût de cette forte d'Eloquence
s'aflfoiblitpeuàpcu. T. XXVI. 7
Antoine livre à oàavien, pour la tête deCicêrtmy celle
defonOncleL.C^yir.T.XLIV.iô^.Laguerreluicft
déférée. 167. Son caraôère 8c fes qualités. 169. Vic-
toire qu'il remporte. 174. Il envclopc Brutus, qui
fè donne la mort. 176, 177. UpifTe eii Afie. 178,
Les riche (Tes 8c les plaifirs de cette délicieufc Contrée
le plongent dans la débauche. 180. Sa paflion pour
CUofatTi, 181. Il lui envoie ordre de le rendre au-
près
DES M AT 1ER ÇS: 19
près de hii pour fè laver du reproche d*aroîr ^vorifé
le parti Républicain, Uid, Avec quel fafte & quelle
jjiagnificcnce il reçut cette Princefïè. ièid. &Jkiv.
Il ne peut réfiiter à fès attraits* i8i. Et devient, pour
ainfidire, fon efclavc. U^id^ IlrebuteO^w fonE-
poule , & entreprend de réconnoître CUofatre , dont
il a voit eu des enfans , pour fbn Epouiè légitime. 1 8 3 •
Avec. quelle pompe il en fit la célébration, iùid. è*
/ttiv. Il a£fe<âe d*oublier les mœurs & les maxime»
des R omains. 1 S4. ] 1 le brouille avec OBavien ■ 1 8f «
Quelle étoit k domination d'^;?/^/;^ 6c celle d'OHa-
vien. ibid. Antoine livre un combat naval , & eil dé-
fait. ^ 186, 187.
Antoine (picolas), brûlé à Genève en 1631. Relation
hiiloriciuedelavic&de fon Procès. T. XXXVIII.
^9,éi*fuiv, Lieu de là naiflance. 5'i. 11 fç faitPro-
teftant. ibid. Il embraffc intérieurement le Judaïfme,
& pourquoi, ibid^ Onrcfufe de le. circoncire. 5*2. 11
devient Précepteur des Enfans de N4r. DiodatL ibid.
Il obtient J'Egli/c de Divonnc dans le Pais de Gcx.
J3. Sa mébncolie dégénère en folie, ibid, Ileflmis
enprifonàCenève. 5*4 . Lettre du MîniftreF^rry en
Ùl faveur, ihid. Et de Meftrezat Miniftre à Paris, fj.
Requêtes que préfente Antoine au Confeil de Genève.
fS, (^fuiv. Sa Confeflion de Foi. 62, ^fuiv. Il
efl condamné à être étranglé 6c brûlé. 64. Teneur de
k Sentence. . ibid»
Afion. Voyez Motfe,
Afosakffe, Jugemcntfiir les Commentaires faits fur ce
Livre. T. XXVIII. 321. Syftêrae de Mr. le Pro-
felTeur Wctftcin fur ce Livre du Nouveau Teftament.
T. XLIX. 415- , (^fuiv. C'eft de tous les Livres de
r Ecriture Sainte celui qui cft écrit avec le plus d'art , ôc
où 1 on a pefé chaque parole. 4^ 3 > 4^4
Apollinaire , Evêque de Laodicée en Syrie , eft condam-
ne par unrConcile tenu à Rome en 5 7 7 , T La 1 7 . Ses
talens , & fon grand favoir, ibid. Il lie une amitié é-
tioi-
\ù TABLE GENERALE
troîte avec St. ^hanafe. tàid. Il cil excommunie par
vnEvéque Arien i^d, Ilcft perfécuté & envoyé en
exil. t6id. Il explique les Stes. Ecritures à Antioche.
^i8. II compofe un Poème contenant Thiftoire des
Juîftjufqu'au tems de 5*«7, qu'il diftingue comme
Homère, Y^v les.14 lettres de l'Alphabet. ï^/V, Autres
Ouvrages qu'on lui attribue. iéU. Jugement fur fà
Paraphrafe des Pfèaumes en Vers hexamètres, qui eft
le fèul Ouvrage entier qu'on ait de huiéid. Secours
qu*il tira de la Poe fie pour accréditer fon héréfie.
Ùid. Il eft nommé à TEvêché de Laodicée en Syrie.
219. Sentimens erronés qu'on lui attribue. Hfid,
Ccmdamnant publiquement ce qu'il favoriibit fous
main , ihrompe la vigilance de St. AfhoTutfi , qui en
réfutant fes erreurs, ne le nomme point, & ne pa-
roît pas même ravoir Ibupçonné. 120, 211. On
condamne fcs erreurs à Rome , lans faire mention de
loi. îHd' 11 établit des Evêques de fàSeéle, qui fai-
fbient des AfTemblées féparées , & avoicnt des Can-
tiques de fà compofitibn, 223. Il eft condamné par
un Concile , & dépofé avec fès deux principaux Dif^
ciplcs , Vitalis ■& Timcthée. 224. Regarde comme
millénahre. 226. La Sentence du Concile de Rome
prononcée contre lui 2c»contre fès Difciples , fcft con-
firmée par un autre Concile oecuménique afïcmblé à
Conftantinople cq 381 , 8c par le Concile d*Antio-
che en 379. 226. Il meurt, 8c perfévère jufqu'a la
fin dans les fènti mens, 6c dans tous les dehors d'une
vie fàinte & exemplaire. 227. Voyez AfoUinariftes .
Apollimrijies. Leurs erreurs. T. L. 219, 220. Pour-
quoi ils fe partagèrent en deux différentes Sedtes,
220. Tems auquel commença leur Héréfie. iùid,
Queftions embaraflàntes qu'ils fàifbient touchant Tln-
carnatton. 223. Ces Hérétiques i quoiqup condam-
nés & dépofés par tous les Conciles, tiennent bon ju£^
qu'à ce que T Autorité civile s'enmêle.^ 226. Loi pu-
bliée par T)&*«></i7/e, par laquelle il' leur eft défendu de
tenir
DES MATIERES. it
tenir des Afïèmblées, d'avoir des Eccléfiaftiqucs, & de
demeurer dans les yiUes. iSid^ Les Chefs du parti
font exilés Se relégués dans les défèrts , & bientôt ré-
duits à un très petit nombre, ixj. Voyez Apollinaire,
Afollonie {k "Dent de St.) . Relique honorée d une Ch»
pelfe j^ticulière à Vienne. T XXIX. ,37
Afoflexie. Quelle forte de mouvement refteàThommc
dans rApoplexie. T.XLIX.pi. Un homme dans TA-
poplexien'a pas la moindre idée d'aucune chofe. ibid*
Atotres ^Ics) n*ont jamais été accuses ni par \ts Juifs,
ni par les Payens , d'ufiirpcr l'office de Sacrificateur,
T« L. 23. Regardés par les Juifs comme des Ra*
bins , & par les Payens comme des Philofbphcs. ièdd»
Appel (/') , dans les procès , regardé comme un remè-
de contre Tinjuftice. T.L. 191. La voie d'Appel li-
mitée dans certaines bornes. 19t. Terme accordé
dans les £iats du Roi de Prufie pour proâter du droit
d'Appel. ibU.
Appien, Défauts que l'on trouve dans cet Auteur. T.
XXVra. îfo
Aprh deMannevillene(Mr.d*)f Lieutenant de la Com-
pagnie des Indes 6c Cerrefpondant de l'Académie
Fitnçoîfe, Ses Cartes des Côtes & des Mers des Indes
Orientales & de la Chine , avec des Mémoires fur ces
Côtes ôc fur ces Mers, &c. T. XLL 139. Grand
nombre de correâions ou'il a faites aux portions de
divers points important de cette partie de la fùr^ce du
Globe, i^iiv Pian de l'Ouvrage qu'il promet fur cette
matière. 140
Aquila. Tems auquel il a vécu. T. XXXII. ^06
Aquitains {les). Leur reflcmbkncc avec les Espagnols.
T. XXXVIL 79
Aquitanie. Sa fituatioft. T. XXXVIL 79. Voyei^-
quitains.
Arabes (les) ont des Poèmes rimes qui font beaucoup
plus anciens que Mahomet. T.XXVL ii6. Marque
qu'ils doniKnt de leur charité & de leur hofpitaliré.
^ T.
àt TABLE GENERALE
T. XXXIL 409. Idée de leurs Tentes. 410. A quoi
iè bornent leurs Sciences. 428 , ^ fuiv. Leurs Bâti-
mens. .130, é^fuiv. Leur faînéantifè. 437% Com-
ment ils reçoivent les Etrangers. 4^8. Leurs vices.
439. Ai-abesqui occupent la plus grande partie de la
• Haute Egypte. T.XXXVIL 174. Comment ilsfe
gouvernent, i^id.c^fitiv, Lcurcaradlère. 17^. Ex-
trait de THiftoire des révolutions des Arabes par ï'Ab-
hé de Marlgny . T. XLVL379. Idée générale de cet
Ouvrage. i^U. Les Arabes regardés comme les in-
venteurs de la Science dts Calculs , Se des figures
qu'on appelle les Chifres Arabes. 381. Leurcaraâè-
re. iSid. Diverfes Sciences auxquelles ils s'appli-
quoient. ièid. Etat des Arabes lorlque Mahomet ex-
cita parmi eux la plus grande de toutes les révolutions.
386, 387. Secours qu'on peut tirer des Hifloriens
Arabes pource qui regarde Ta fie. 391. Ouvrages des
Savans de cette Nation. 394. Quels font les beaux
fiècles de TEmpire des Arabes, ilnd. Combien THif-
toire des Arabes eft curîeufë & intéreflànte. f^id, é*
39f. Leur ftile& leur manière d'écrire. T. XLVII.
471. Extmitdelafuite de l'Hiftoire des Arabes fous
le Gouvernement des Califes. T. XLVIII. .114,
Voyez Arabie.
Arabie. Etat où fè trouvoit ce païs lorfque Mahomet
commença à y caufer la plus grande de toutes les ré-
volutions. T. XLVI. 386. Voyez Arabes.
Araignée que l'on nomme hTarentule. T. XXX. 163,
Combien fà morfure eft dangereufè. ibid. Et com-
ment on y remédie. ibid.
Arbres. Oblervations fiir les feuilles des Arbres. T.
XXX V 1. 34f. Arbres troutrés fous terre dans de l'ar-
giUe , & dont toutes les branches n'étoient qu'une es-
pèce de Bol de couleur brune. T. XXXVIII. Part. 11.
49. Arbres de la Côte d'Or, nommés Kafots, qui
pounoient couvrir vingt-mille hommes de leurs feuil-
lages. T. XLIiI.23» 24. Quels font en Hollande les
meîl-
meilleurs Fonds pour les Arbres. T, XLIV. 4/0. Lei
' Arbres plantés en plein air , 2c qui font expofes de tôui
côtés au vent & à ii pluie , font plus robudes » viVeac
phxs longtems. Se font un bois plus dur^, plus coinpac-
te,que ceux qui font plantés à 1 ombre ou dans des en»
droits trop reiferrés. 41*3 . Pourquoi les fruits de$ Ar-*
bres de lluiute tige font meilleurs 8( plus agréables,
que ceux des Arbres nains, ièid. & 4^4. Les fruits
des Arbres nains , plantée en plein air , font aufll meâ>*
kurs que ceux des Arbres qui croiflêntoa contre des
doifons ou contre àcs murailles. Uid* Arbres qu'on
Voit fouvent mourir prefqûe fubitement > ùm qu'on
puiflè connoître la caufè de leur mort. i$id. Pourquoi
les Arbres fàuvagcs , qu'on defline ou pour le dui&«
se ou pour la charpente , foul&ent toujours beaucoup
lorfqu'on les tranfplante, fur- tout les gros 8c les vieux.
ibid. Ce qu'il fiaut faire pour empêcher que les Ar^*
bres qu'on reçoit de loin , ne fe dcfféchent trop , ou
nefe gèlent en Hiver, 4/j. Di£R^rence qu'il y a en»
treles Arbres maies & ks Arbres femelles. iéÛ, Les
Arbres qui croifïèât vite, & dont le bois efl plein de
grands pores , vivent d'ordinaire beaucoup moins
que ceux qui croisent lentement. iMd, L'Oranger efl '
celui de tous les Arbres francs qui vit le plus longtems;
i6iJ. Vie des autres Arbres, tUi.
4râHthMt(Mu).OMvneic deceDoâeur.T.XLl. 481
^chtvéques. Ce titre n e;^ qu'un ûmple titre d*hon-^
neur. T. XLVIL ^ Ȕ
^chtrjiiV^ndeccax qui avoient été exilés d'Athènes;
T. XXVI. 24. Propofîtion qu'il fait au fujet de
l'Amniftie ftipulée par k Traite avec ks Lacédémo-
niens. i^i^. Ordonnance qu'il fsdtcaflcr.af. Influen-
ce defès confeilsSc defon crédit pour la formation
d'un nouvel Alphabet. 33
jSrchiteâture. Ce qu'il y a de remarquable fur l'Architec-
ture des dificrentes Natiods. T. L. 7*. Pourquoi
l'Architeaurc moderne de l'Orient mérite déporter
fi ^ ^.
94 TfABJLÇ GEMERAIfK
|e qq:aâ:èrq de Cpuyemeine^t dçfippti<^ue. 7t. Ar-^
çhîte<S^u|-e dç la Chine, ikid. Celle des P^is du Gn^d-
Scjgncur. iiid. L'Europe ne nous préfente <jue ra*
rement Ie$ mbnuiifiens d'immortalité de Tanaen O-
rient, ièid, Degré^dc haidieilè & de fcience où elle a
porté les Edifices clrils , Içs Conflruâions maritimes,
& rArchitedh^re n^ilitaire. i^id» Ce ^ue la France a
fait debeauôcçJ'utiTeàcet ^ard. jj^û/.
^ckgnholtx» (Mr.) , Auteur des Mémoires concçrnant
Chrifimt, Reine dp Suède. T. XL VI. 312. Sour-
ces où il a puiie. 31}
Jfrdarm (Mr.). O^fervations qu'il a feitesfur lesPoif^
'fons, par lefçjuellcs il prétend prouver que ces Ani-
maux lont privés de Touie. T. XLVL 35-8. Sa às£-
cription à^ Cavernçs voifines dç Norwich , que Ton
trouve dans des Collines de craie* 2 64.
4yMM$t^* Ruiqe de cette Ville d'Amérique par un trem-
blement de terre. T. L. 307
dretin (Bened.). Diiloguedçcet Auteur. T. XXV L 189
gdCr^^i;» (L/(?t5.). Jugepiéntqu'bncn porte.T.XXVL 190
^Ar^mcfif^ Origine de cçmot. T, XXVU. 134.
yirjff;?/^^?». Origiûc^çcqm9t.' ibid.
4rgemn. Pifiginc dç cç mot. "^ i^U.
^^entim* Voyez Jrmjtûr/$ttm>
iir^gj^^i^ii/»» . Queflé eu 1 Wgine
4r^««r<?w«w,mot Celtique ou Gern;iaia. . i^/3l
if^^mtoriff,t^m i Ville no(nn;iee ayjçuidhui, Strkskçiifig.^
cfl; un mot Celtique ou Gçrmain , coihpofé de ^pux
autres. *\. XX VU. 133. De ce mot lies Romans
Qnt hxt^g^mtmfi,. ^34
^g<mjïlU (Mr. £) , Maître de la Chambre des Côp^p-
tes de Paris. Extrait dé fbn Hiftoirt natitr^le d^s JRj^-
res éf des Cot^illagis . T. XX XL 1 3 «^u j u^giemcnt ijgir
cet Ouvrée. {4^1
Àr'^mfme^ lœe des Chrétiens qui £Mfoieiùpi:of<;i&eQ de
'"*"*''* • ^ . • ' •- ctd^
T. XI.VII. 24f , LePapcii^erîi^cliciçfcc Jcurbiçn-
veill^çe* xfp. Leurs e^orts pour fairç cond^innef
St,Mhanfifi. x6\. £véques qui étoient 4 k tété de
la Fa^oQ Arienne en Occident. 171. Lihprîfu acçu-
ie d'avoir ûgné & embrafle , du moins en apparence»
PArianiiine» & le Semi-Arianifme , Tun à Bér^,
l'autre à Sirmium. 273. Le Pape Feiûir communique
avec les Aiiens. 276. Principal argument des Axî^,
en faveur de leur Dodhine » contre \cs £vê<}ues des
Gaules. T. XLVIII. 378. Les Anoniéens , ou p^r$
Ariens, conieiHenti l'Empereur C^^j^jK^d'^mUer
deux Conciles , l'un «n Orient, Se l'autre e|i Occi*
dent. 381. Ces deux Conciles fixés l'un à Rimini , 6c
i'autreàSeleucie. 382. Ce qni s'y j>aflà iSid.é'J^*
Animofité réciproque des Anomeens Ôc des Semi- A*
liens. 392. Ces derniers condamnent conaçoehér^
tique 2c bkrphématoire la Doârine des Ànopéens.
iSU. Les Anomeens s'aflêmblent àConAandnople,
reçoivent ia dernière Confe^ioa di^ Sfrmiuxn, & coa*
damnent tous les autres Syi^bojes f^s ou à faire» 39} •
Us dépofeBt ceux du Parti Semi- Arien qui avoiefiC
le plus contribué à les dépofcr eux-mênieSy Si cn^-
gentl'Ëmpeteur aies exikr. i^i^. Qrdre dcrni|épar
Ccnflancii ScpubUépar tout r£mi]Âre,eii^Qig^^i
tous les Evéques de figner la Confenion de Sirmium,
feus peine de banmfTement 2c de perdre leurs digmt^.
iHd. Rigueur avec laquelle cet ordre f^tei^écuté dans
toutes les Provinces de l'Empire. 394, hss Aoû^aéeos
s'aflêmblent à Antioche, ou ilsdre^bi^ un nouveau
Symbole. 395*. Concile convoqué à Nicée en Bi-
tmnie. 396. Les afiaires cb^gen^ par la mojçt de
C09,/buire,àquifuc(^rEmpereur^M^.îi^^ Ra-
peldcsEvêques exiles, iifid- Jf^lm F^fofe 4^ ^çf^àxe
aucun paru dans ces difputes djC Religion. 397.
Concile d'Alexandrie aflemblé t^ ^t, 4fhamfi , 2c
queues en fesj'fe ftiiffîi, Wi à^Jmi h^ §r
f« -tÀBLE GENERALE
mî-Arîeils s'aflcmblentauffi enConcSe , condamnent
' unanimement le pur Arianifme avec la ConfefCon de
Rimîni » & lignent de nouveau celle d'Antioche , qui
ctabliflbit une parité de Subflance entre le Père & le
' Ftis. 40 1 . Ils ie féparent des purs Ariens , font fèâe
à part , 6C prennent le nom de Macédoniens. UU. '
• Cruellement perfccutcs par Vàlem , qui régnoit dans
rOricnt , ils implorent la protedHon de Valentinim ,
' en fe rangeant à la foi qu'il profefToit avec les £-
têques d'Occident. 401,403. Ils renoncent à leurs
erreurs, embraflènt la foi de Niccc, & £c fbumet-
tentà laicntencc du Pape. i&id. Ôc 404. Quelle étoit
leur croyance. iSid. L'Arianifmç cft banni d'Occi-
dent. 405". Concile affemblé à Rome, où le Pape
• Damajè examine & condamne de nouveau la Doctri-
ne d'Anus. T. XLlX.45-1. L* Arianifme triomphe
dans l'Empire d'Orient fous Vfilens .ennemi outic
de rOrthodoxie. 4/6, 45*7. Cruautés exercées par
' les Ariens. ilfid,
Ariobfirzane > Roi de Cappadoce. Particularités tou«
• chant ce Prince. T. XXXV. 35-4
Ariofte. Jugement fur cet Auteur. T. XXXV. i-j 3
Arlovifte, Roi des Suèves en Germanie, afTujettit les
Séquanois. T. XXXVII. 100. Arec quelle hauteur
il répond à C^ySrr qui lui avoir fait demander une en-
- ^ trevQC. ihid. 11 eft Iwittu par les Romains. ièid.&fHiv,
Arifiide\ Pourquoi on lui a donné le fumom de Jufte.
T. XXVIII, 371. Ses belles qualités. 372*. Juge-
ment ^u'ilporta de la propofîtion de ThémiftocU , qui
vouloir qu on brûlât les Vaifleaux des autres Grecs j
afha que les Athéniens fc rendifîênt pçir ce moyen les
maîtres delà Grèce. 37}. Il eft chargé par tous les
Grecs d'examiner les Terres & ks Revenus des Al-
liés, &d'impoferenliiite à chaque Républ. ce qu'el-
le devoit payer felpn fes forces. 3 74. Deiîntéreiîcment
avec lequel il s'acquitta de cette commiflîon. j6id.
Jyîfiotult regardé comme un des meilleurs guides qn oq
eût
y
1>ES MATIERE^ \H
fkAt aatrçfoîs pour rhifloirc des expeditioas à^Alt-
: xWre. T. XXXV. ' 70
jiriftocliey jeune fîlle achetée dès l'enfance pour £tre
proftituée. T. XXVI. . ' .28
jfrifiofhane. Eloge qu'en fait jPlaton. T. XLI. 6
Ariftote. Jugement fur fonHiltoire des Animaux. T.
X XX . jLxo, Il a très bien écrit des PoifFons. ibid. I-
dcc qu'il fc forme de là Chaleur. T. XXiCV. 49.
Q^el a été le but de ce Philofbphe dans fès Livres
Qu'on appelle mctaphyfîques. T. XL. 17. Idçe qu'on
ûott fe former de la Philofophie. T. XLII. 180.' Sa
Métaphyfique. Voyez Métafhyfi^. ,
>fr/f/ (le Concile i') ,^ convoqué par l'Empereur Conf-
tantin..T. XLVIL 3, Eyeques qui s'y rendirent. 4.
Canons de ce Concile . jr
jirmée. Caufès de la ruine d'une Arnvçç envoyée dans
un Paï$ loiittain. T ♦ XXVIÎI. id6 , à*Mvj, Voycx
. Milictf & Troupes.
Atm'mms 9 Chef d'une révolte des Germains , défait Té-
Jftç Qçs Légions Romaines commandées par Vsurus.T^
XLV, 109. Nom du lieu de cette défaite, de ou on
^' kplac«. i^fi. Tribun;^ qu'^;97i»Mi fait ériger^ au
^. pied duquel on lui amendes prifbnniers Roipaini
chai-gésde chaînes, & qu'il condamné tous à mort,
i^. Ignominie avec laquelle on traita le <:or}>s de Và«
rus qui s'étoit percé lui-njémc de fou épee/^.' Effroi
que jetta dans Rome la nouYêlle dé ce dei^reV- Uîd^
ArmwmsQaq)* S'ila4û(è fouoeméàjadodrioeiip»
/ ' ç'uedesCalviniftes,oùeardcrleiîlcnce.i'.XL,'lI. 3^
Arnatid (Mr.) , Doé^cur,3e Sorbonne» juâifi^ contre de
éiulires accuâtion's. Ti XXXIII, * 44^
^AnMuld de Bruxelles apporte à Kaples TArt de l'Iirf-
primcrie. T. XXXI. . ; '. . <M*
^nohe n'avoit qu'une teinture fuperficietfè du Chriftiit-
nifnle.T. XUL ]\ .; if4
^on., La Souveraine Sacrtficaturc n'étoit pas ïcfervec
MxfilsainçsdelaFamiHe d'ufrp». T. L. ' 1»
• ■ • • •• C'j ' ''*' J^',
f» f ABLF'Ôil^EftALE '
éSrrëim (Léùnard Bmù). Extraie de Tes JSfbn/: IT)
' XXVII.i4i.Tems6clieude£ii]aiiIàiice. i47.SaEi^
ifiiilei^. Aviùtûre qui augmenta fon ardeur poar let
Belks-Lettres. 148. Ilefl^evéparunParti deSol»
dats. i^U, De qui il apprit la Rhétorique 8c rEloquen-^
ce, ièîd. Son application à l'étude d^^rl/b^e. ij-o. 8c
i la Jurifprudence. î^û/. Il refufeun Ëvêché, 8c ac-
cepte UhCanonicat. ij-^. Sa fidélité iiGregmre X2Z*
md. II eft fait Secrétaire Apoftolique. 15*4. Il accep-
te k dignité de Chancelier 8c Secrétaire de k Ville de
Florence. iàU* Son mariage, tff. Compofè l'HiiV
toire de k République de Florence, i j'y . Sa mort, i j8^
Soncaraflère, fès ouvrages, if^, &Jkiv.
^rf^i'faix refté dans le <::or{)s d'une femme , à qui k
ûnté revmt malgré cet accident. T. XXVII. 3^5*.
Jugènlent fur ce cas. % 36
éhinglnh. Ce c^U'il dit d'un Cimetiète dont il eft &u-
* vent fait mention danslesMartyfologes.T.XLIV.167
drrcy (Bektan) , Doâeur de Sorbonne 8c Théologie^
• de TEglife de Lyon. Son Ouvrage fur FUfure. T.
XXX. 41 )
4rfltâi , fidèle aHîé des Romains , eft livré àk dircrétlon
de SàporPmçt cruel 8c vindicatif, t. XUÎI. loj
é^Jkciiis. iLeur Môûardiie s'élê^ contre les Rois âe-
leucideç.T.XLVI. 384. Viécbires defeurs Rois. HU.
4ffentc. Ëj^pétienceâ dé Mt. ].^9wd fur ce Minétal.
T. XXXIX. .90
^(ince efl mife ) mort par cUoPum & Sonr^. t\
Xtm ^ 18»
dfi. Ti^i fur l'Art. T XXXIV. 11 , &Juvc:
V(f^4[^4»IZ. Roi des Paithes , perd k vie 8c le trône. T«
XLVI; 3«4.
Sftiibé^^, Roi d'Arménie. AtiibàlTadeufs qu'il envoie
à CrijSW. T. XXXIX. II j
Artâxârti fondateur de k Monarchie des Artaxercides
ifu Paries , appcDés Seconds. T. XLVI. 384 , î»r
Mrtiàii iFUrriU Ardeur avec kqucUe il $'ieft livfé à
' ^ mift
ifmSèi^ ijÀdh-ËédesÉdtfctfe. T. XXX. 413. V-
né moitfaBëf^rbiUëve & là Aéurtjelbn i^. Uid. Il
a fait «âîb^b^e fiir k méûhàt tta'bn s'étdlt Mâée
pour les Foiffons , n'ayant épargné ni hè^ cfatifts ,- ni
'feséfi^^fèsi ^ifeshoins. ibii. llii'i^ûitiTiûçt^tCuXk
fraghittit imparfait du plan qu'il s'étoit Wnii$. mj.
' D'aà il à jrfis les cafadîèïfeî ^ PôllT^tis. /»il.>?*
papiers racnetés par Mr. CHffor^. +14. Fatticakrités
curieufes qtii lé cdncehiëntf. T. XXXII. 61 ; ôj*. â^
tnoH: tragique. iM. Dbteftiofts tôfttre fbrt S^èê-
jnc des Caradèrcs des Poifibn^. T. XXXV. ij,
Jtrtîtks findshèntakx de la Religion Chfétièhnè; ^-
ytz migim Chrétienne.
Arts. Projet d'utiiibUTOOdvrage foiisié titre àcçdm^
' m^cium fhilrffifhico^'hMi'ctim, ou dofiJmerct Tfdlçfa-
phtcfie des Arts hfliné kptffi^ior^Hér les àtterkis utilité
f . XL. ijo. Arts êc Métiers dtf t)téhrièrè néceffité
pourquoi peu eftimés. T. X LIX. «/•. Qûtit 0ft l'éj^
qiié prè'diè àch^ndépdkSixiii àcs Att^ deitméfi
ati luxe & au plaifir. T. L, yp. Arts férîéiix. feo.
Totislcs Àftsfttfèrit ifrvehtéîieû th/icht, ft de-Spa^
fèrcfttd^UQtêce, ehfnitçdaitérHâtHc. 1*. t. 7*
jira/^itès. Léôfsfotiiaîoiii. ï. L. " '18
Hsbifioi. Voyèi Uiîs amlàptUi.
AfmlMes. Oh dtnt i c* Peuplés le ftcfët #Mér Jà»
Vers^foié.T,5ttVl. 381. ïb{bntldf)^ènïîers qui
aienèfiimié dès Société*. AU. fcforiuAîttlsfetd^dfef-
tables de Ht gfsnde puiilânce ,de leurs MàttttMci , '.&
âekftia^£:ériéë^1éàrsÔtn^i^^^^ LeotsKè^
figions, iiid. & jâj. Ir&YCtAflè.
dfie, SéégrajM^atifltt^ftf lé^ autfes partiel A Fait^'
dcnC5>ntinent. T. XL.VI. 381. Regardée cotfttne
le bêrteiuduGéfte-lranrîiJÎ. iiU^ ÈciftHUimàià:
i^i. Grandes rc76latîôitsf de b. Haute Atié. 184.
• Terni aâqW l' Afié mUèniè ûe M ^ ùdfda ?Ate
C 4 du
liu iéu» parles armçs des^ GrecsScdes Pcr^-. ^Stl
Pourquoi ce n'eft ni des Grecs ni des Latins, que zkku
. pouvons connoitxerHiftoire de TAfie. 391. Yojcz
Afintujttis.
Afpingy petit Sçrpçnt auffi dangereux que les Vipères:
T. XLVIL 35^» 597
^fpiration* Remarques fur ce que les Grammairiens
appellent^j^îr4^i(w,. T. XXIX. 387
4fftfi (St' Fr^nfois d'h ^^^ M ^» A^ Traité des
Conformités de ceSamt Avec le Sauveur, T. XXXIl^
a79 » éî/»w. Voyez Ajhrga^ ^ ^ , ,
éSyriem . Leur Monarchie regardée comme la premiè-
re MoQ^rchie du Monde. T. XL. 2 5*0. Ses guerres
& fès révolutions l'ont rendu fameu&. ibid' La Na*
vigation n'eft pas l'endroit brillant de Ton hi(loirç«
Vnif HiniyerçgjLrdée corn me la feule Ville de Com«
merce^ •dontlafituationfafreprçfumerquçles AiTy-*
riens ayént çu quelque idée de la Navigation. iSdd*
Cauiçdç la chute du âoriflànt Empire àc^ AiTyriens^
\ 3f I , Monarchies qui iè formèrent des débris de cel->
le de ces Pçupleô. W%d*
4ft0f»' Comment les habitans de cette Ville avoient
irrité Içs Romains. T. XXIX. ao. Cruautés qu'ils
« .exercèrent fur eux-mêmes pour ne pas tomber entrç
^ 'ks mains des Romains qui les a(rtcgeoient.i^ii^7S»v
éfi^$(^. {fierrediAlv4i)» ReU^eux deTObfçrvancelJç
Auteur d'uQ nouveau Traité des Conformités de St.
. Ff4»pwavecle3auvçi4r* T. XXXII. 187. Idée de ^
. cet Ouvn^ge. 288, aSp, &fmv^
dfirehm» Tems auquel e]Ie étoit'Cncorç çq vogue à la
Cour&àlaVille. T. XXXIL 376
40rologie jttdiciaire. Riûfonsde ceu^ qui ]a nient. T^
L* 208,1051
^fironomte* Découvertes faites dans cette Science, ^
cpn^mcnt, T. XXXII. 84. Lettre fur l'origine Se
. fi^r les progrès 4c T Aftronomieparmi les Anciens. T,
XK^VI* aj2. Extrait dçs toOitutioQS ;iiftr9(^Qini^
pE s MATURES; Ht.
.; ipie&i ouLeçons éléinciitaîresd'Aftroiioiniede Mr.
JCtilL T. XL. t6f« Idée gshénk de cetOuvi^.
' iiid. & 166. Ëflid ùx l'liiftdre& fur le progrès de
rAfhonomie. xéj, A (^odpotatde perfeâion YAC-
, tronomie a été poitée jufqa'à préiènt. i^U. &fiiiv.
Découverte qui a^t changer de face à cette Science.
.a68. jugement fiir les Traités d' Agronomie pubïés
ibus les rè^es de frâmfou /. 3c de fès Suceilêurs. 172.
Agronomie Pliilolai^ue à'ifma'él Smillaud. 173.
Quel a été le grand objet des Aftionômes d' Alexan-
drie dans refpacc d'environ 200 ans. î^. Tab]esaP>
. trpnomiques conftruites par les Mathématiciens dt/*-
Im-Beigè.xjf, Quvmgesdes Aftronômes Aiabesdu^
' neuvième & douzième £ècle i^id* Combien le «c-
nouvellement 6es Lettres en Europe a été favorable
à r Agronomie, ihid. QudsfbntlesAftrcmômesaii
. nous ont laide le t^os d'oblienrations dans ce temsAà.
md. A qui l'oneftiedevabledcrbiftoiiede l'Aftro-
' nomle andcmip gc modeme. îMd' Vies de qadqurs
Aibonômcscomjpofêepar<S#j^Wi.î^i4/. Hiftoirede
rAftroQomie ancienne par Mr. Cajpm. iHd. Autce
biftoire par l'Abbé BêMUid^. ihid. Ouvrages compo-
içs fur cette même matière. îMd.^xjô, Découver-
tes & oblcrvations aûronomiques faites par GMliléf*
ibid. PaiMaatdnari. ijy^V^i^Lâ^gnims^ Héêelms,
Orimâldi , & BkâeU. 279. Par.PirW» C^ffid te
found' ^Si* Divçiiès Observations aftionomiques.
T, XLVL 371
idifinêc (Mr. J.). Ouviage de cet Auteur touchant ts
maladies des Enfaas. T. X^VI. i;6. Accufê Je
n'avoir fidt qupsredmfa les hypothèC» de Chiruc
fon Maître. T. XLI. 44 j
jitsemps (leDac/').Préiêntquelui£dt]ePapeC/^i9ye»r
VUIL du corpsduPapcwlwi^.T.XLIV. ajf
^hantkp (St.). Notes cuxieufès iiir ion Symbole. T.
XL. 307. Soncafaâère. T. XLIIL m. S'ilefl
^TasUag€tt][delilvd;a^lesEglifoiiba^y»l^pb qa> «
C f c«i*
m tÀBLË GÈfTfekAlË-
cauJë tantée funefles bitmiOènés danstbù^k^B^
denté. i^ô.Ueft enyoyccn exil i*rréFc$.t.XLVII.
244. Ueneft rappcHé par les Empereurs Cmftittfth ,
Cmflanciy 8c Cmfhns, 144*. Prêtres qu'il député à
Rome pour fejuftifier 2c prévenir les duotânies dont
jes enhemis youloient le noircir. Uni. 11 ft rend à
Kome à la réception des Lettres du Parw ftêUs. ±±f.
H eft dépofé parles Eufebieiis ailèmbiésa Antioche«
Uid. Il eft déclaré innocent par un Concife teiii; à
Rome. 9^. Ordre donné par Coii^4^e aux Ma^^
txiXs d'Alexandrie de faire mourir St. Athariafe , fins
BLUtre formé dé procès, pàr-tout où on pourroit le
(trouver , dans l'étendue 3e leur juridiction. ±f^.
Combien'de tems^i]^f»i/9 demeura à Naiftus dans
k riautc Dâcfe. ïWrf. Il effcrai^lléparCi>;WΫ^f^.lii^.
Il fient à Roihe prendre c6ngë de cette Éelifc&du
Pape Jules fbn grand proteéteur; îèU. kà5bn p6ur
laquelle C«»/î/i»f^ét6îtanitri6 contré ce frélat. ijS.
Le Pape JJberms cite Athanafe dé cômpàroîtte à ko-
mé , pour fè juftifier dés accùOttions gravés Intentées
contré lui , le menaçant de l'excommunication s'il
reftiibit d*obéit. Ij-^. S'il éfl: vrai que ce Pontife cher-
chant la bienveiflance des Ariens, 5c par leur nto^cn'
' cdle del'Ettipéréur , leur écrivit qu'il cdmmuniqiloit
àvéè eux , €c qu'il avoit retranché ^f^;^»i/r de è c0m-
municmStdecellpde fonEglîfè. ii^idi ôc i6ù, tîbe-
^iiKrleréadmet à (à communion , St entreprend mê-
îne vigoureufement fà défenfè. 261. L^Émpeiear
condamne àl'éxil tousçèifx ^tliféfuf^bientde fîgné^
h condamnation ^Athumfer ihid. te 1^4. Ce Frélat
éft condamné par prèfijùc tdus les E^êqùes d^Oéci-
dent. ihid. Définition qu'il donne de ce qu'ointtthn-
mtHéfê]fe. T. XLVIU. ifo. Son Symbole. i6f.
^près la mort de l'EïhpCTéur C&t^mcé il rcnttédans
Alexandrie comme en triomphe, où il aKèmbie un
Coûcilé dompdfé d'Évêques Cohfcfïêurs. 397
^ifs (les) di?tfê9^ <fea3tch«fe$.T,:JlXVL %iU^\
DE s M AT ÏËRÉÏi lt
' 0» Société d'Athées peut avoir des mœurs réguHè*
tcs,T.XXVlI. 290,e^yii'i;. Les Athées diftiiigttét
entrôi* clàïlès. XLVII. 461. VojtzAthéifme.
jùhéifmèx A combien de ckflcs on peut raporter r AthéîA
xné Dogmatique. T. XXVI. 371. Si l'A théifme ex-
clut toute Vcttu. T. XLVIl. 45*6. Voyez Mhéis,
éùhéniè. Ce qu'ilaaébiféaufujetdeLx/wij.T,XXVl:
' 17. Il fait mention d'un exemplaire dt Sophocle, de
k main de l' Auteur. 17 1;
i^hènes. Excellent génies qui s'y trouvoient pout les
ArbdekPaix. t. XXVI. 4. Dahs quel tems l'E-
loquence y prit nailîàûce. f. Orateurs qui y portè-
rent Je talent de là parole au plus haut pomt. î^W;
La %eilb des Lôix d'Athènes engagea les Romains à
les prendre pour modèle d*uti Corps de JurifpTuden*
ce qu'ils vouloiètit tbrmth: , 8c qui faille foiid fur le-
quel ce Droit a été bâti. ièid. Comfhencemi^t de
l'Oligarchie ijui s^établlt à Athènes, ti. Décemrirs
àommés pour régler ce qu'ils troureroiftit lé i^us
convenable au bieùdela Ké|)ublique. ti, ij. Ké*
§lemens feltsàcctte bccadon. iitd> Athènes ,^ alSé«
rfe pat terre & par mer , eft réduite i fe foumcfttïù
des conditions hontêuies. tf,t6i Cotifdl dei>îje
étàblîpour le Pirée, avec utt Cotifeil àttftrae -pont
h Vilfe. ièîi> Comtnericemeint heureux dugouvef*
lïsmcntdesTyente Tvram. ihid. Citoyens qu ils s'afr-,
fôciérciit, et qui li'éfoiént que leurs fàtjcllites fc tes mî*
niibes de leutfc cruautés. iSU, dataiges èc rapines
qti'ils exercèrent. 17. Les Tyrans fotit défaits , &
leur Confeîl eft çaffl. 11,11. Conftil de Dix établi
ilèurpkce. iùid. Les Chefs dès Tyrans font mis à
- JN&ort. 14 Fin dés troubles domeftiques dMthétles*
Md. Cariôère de fes ïnititutions. T.XLIX, Jof;
Différence entre les Ïnititutions d'Athènes &: celles
de Lacédémone. Uid. Pûteté 8c doucetli derEçole
if Athèâeii 30$^ Veytx ^hMm.
44 TABtE GENERALE
^himens. Vi€toiTcs parlefquelksils reiAirent toute, fai
Grèce en liberté/ T. XXVI. 4. Tems auquel ils ea-
Yoyèrcnt une Colonie à Syèaris , ou Thuryum , Ville
d'Italie. 6. Echec qu'ils reçurent en Sicile. 7. Tem«
auQuel ils déclarèrent la guerre aux Svracufàins , Se
qui en fut le promoteur.. 8. ÂmVaflàdeurs qu'ils en*
To vent au Koi Agis ^^oox traiter de paix avec les La-
cédémoniens. 14. FindelaGuerreduPéloponnèfè,
au grand préjudice des Athéniens. 15*. Voyez Athmtsl
Athenodort. Comment ce Stoïcien paflôit Ton tems a-
YtcCatond^UtUiue.T.lLlLlLV.. 36^
Àfilia, femme de Ctf/a»/l7i^'^>àquieflefait infidé-
lité. T. XXXV. 371. Elle eft répudiée. iàid.
Athns. Ce qu'il nous apprend touchant l'introduâion
d^ l'Imprimerie en Angleterre. T. XX Vif. 11
Atlas eft probablement un des premiers Grecs qui ob*
ferrèrent les Etoiles ^ Scies reduifîrenten Conftella-
tions. T. ÎCXXVI. 135
AtUs Cilefte qu'on premet de publier fous le titre d'CT^
ranografhieBrkfumtqm* T. XL* a3|
Atomes, Voyei Elémeiu des Co^.
Atticifme. Ce que c'cft. T. XLIX, . Jio
Attrt^Bion* Vers fur cçtte adniirable propriété des Corps.
. T. XXXII. 91. Sa définition. T. XXXIV. 113.
. Objeâions contre cette vertu attradive. i \^,érfwv.
Attrition. A quoi l'Eglifè Romaine donne ce nom. T.
xxxi. 4j:
At^enttm (Mr.)« Moyen qu'il croit avoir trouvé de com-
. parer les couleurs des Pierres fines par le fecours du
Prifme Se de l'image lumiiieufe qu il produit, pour
dénommer avecprecifion Içurs temtures Se en mar-
quer les idées par écrit. T. L. 178. Auteur qui pré-
tend que cette méthode eft imparfiute, Ihid.
Af^ffH {Théodere Agrippa d*) • Gouverneur d*Oleron
\y Se de Maillezais , Amiialde Bretagne , Se Gentilhom-
me ordinaire de la Chambre du Roi. T* L. 99» 314.
Regardé comme le Favori de 3^wwe4i*4/*rr/, Reine
, DES MATIERES. 4f
de Navarre, 8c Mère de Henri IV. laquelle l'époiH
fà en fcaet.i^U. Ses Ecrits lui attirent des eonemb:
3 1^. Il fè réfugie à Genève. iAid. Son rnariage avec
Kjmé BurUmaqui, iMd. Sa mort. Md, Enfàns qu'H
kiilà de ion premier mariage avec Suxjtnne de Lex^,
dckM^onâe Lufipum, ' ihd.
Auhigné {Confiant d') , Fils de Thiodm Agrîffa d'Asê-
bigné. Son mariage avec Madame dt Ncaulê , riche
Vçuve. T. L. 2 If. Accufc d'avoir tue fa femme,
qu'il croit infidèle, ileft pourfuivi, pris, & enfer-
me dans le Château Trompette, ibid. Il fè^£iuve a-
vec la fille du Commandant de ce Château. 316. Il
fè rend avec elle en Amérique où il l'époufê. Md. Il
revient en Franl^e, Sceft renfermé une féconde fois
dans le Château Trompette , d'où il e& tranfporté
dans les priTons de Niort* ihid» Il obtient (à lioerté.
tbid. Il eft remis en priiôil , 8c pourquoi. îAîd, Il
obdent ùl grâce , & retourne en Amérique. i^U.
Avantures de fon voyage* 317. Sa mort. iàid*
Juidpié {Charles d*). Fils de Confiant d'AuHgnS , de
frère de Franfoifi d^Aubtgnè > Marquife de Mamte*
non. Sa nsdfiànce. T. L. 3i5
Aubigné (Madame) , Femme de Confiant d^Aubignêy
& Mère de Jranfoife d'AuHgni Marquife de Mainte-
non. Sa fuite, fon mariage , les avantures. T. L.
316, ^/upv. Elle revient d'Amérique en France
après la mort de fon Mari. 317. Embarras o« eUe fè
trouve. i6U. &fitiv. Sa mort. - V^
Âubigni (Françoiiè /) , connue fous le nom de Mar-
quis de Maintenon. Sa généalogie. T. L.99. Temi
de fon mariage avec Scarron . 1 00 . Combien elle eut
à fbuHnrdu ftyle licencieux de fbn Mari. 100, 10 1.
EUe devient une perfonne très accomplie. iHd. Sa
vertu fait échouer quandté de perfonnes de la Cour
qui chcrchoiént à la féïUiiie. ibid. Eloge qu'en fait
Sorbièrt/éid, Bon témoignage que lui rendit ^r^irrp»,
lorfqu'ilfevit prêt de mourir. loi.Vojet Maintenon.
n
^
t$ TABLE :GE'Ni;RALE
^vtripu (Martial d*).kçcuQi\ qi^'il a fait des 4rréts d'^"
»aj*r/,avccunainpk Commentaire. T. XXVI, 1 33
fdveftgle-né auquel on à/oxim la vue. T.^XXI. 340
^Itères. £n(|uoicon{iitoientleuFsfon^iQns.T.L. 18
4ugufte (l'Empereur). Jugement qu'on en fait » &
critique de cemgcment. T.XXvlll.386, é^fuiv*
Connii ay^nt ton élévation à TEmpire fous le nom
dcC^yirO^^iWff.T.XLV.S^. Mefurcs qu'il pr^nd
pour rendre fbn Gouvernement aims^ble. ikU. fji*
Jkiv. Pourquoi ilfe fait appeller^i(gf(/fe. 8é. £ten«
due qu'il donne au titre à* Empereur* 8 7 . iChaiigepaens
qu'il mtroduit dans le Gouvernement. i6U. Bonbeur
dont il fait jouir ]a>!Iation.88. Defcription que fait
flûTOce de la félicité dont jouiâbient alors les Ro-
mains, & dont onétoit redevable à ce Prince, i^û/.
C^ fuiy* Honneurs déféi^s à ^ugufie par le Sé^t.
89 , Qf^fiiiv, En quoi ce Prince iaifoit confîftet là
gloire. 90. Il donne fa fille ^V^i^ en mariage à M^r-
tilluks. ikd* Sa conduite en qualité de Chef de l'EiQ-
pîre & en qualité de Citoyen. 91. Traits de (à mo-
dération & de fà clémence. 91. Accufé d'hypqcrifie.
93. p^s quelle vuejl yifite toute la partie Orienta-
le de l'Empire. 94. Àmbaffade qu'il reçoit à Samos
de la partoe deux Rois Indieqs. 9f
^4i^$Mfie (frédirich Roi de PologqeSç Eleveur de Sa-
xe. Rauôns qui le déterminèrent à déclarer h guerre
i Charles XIL Roi de Suède. T. ^XXIII. 399, Se
Toyap^ abandonné du Danneiiiarc , il demande la i^^-
diatipn de la Grande- Bretagne, qui ne l'accepte pas.
401. Il ofiFre la paix à C/?>»rSi XZI. quilarefufe.^oi'.
Autre démarche de ce Prince pour fléchir fon £mie-
mi. 407. Il fait arrêter P^rib«/. 409. llefl abandon-
né prefque généralement par les Polonois. ièid. Il
s'oblige de renoncer à toute prétention au trône de
Pologne , 8c de reconnoître Stanislas, 410. 11 accep-
te un Traité humiliant au oûlieu d'un Triomphe. 411.
CES MATIERES: lif
Ses voyages. T.XLIX. 373. Ses beUcs qualités «&
force , ion adreflê, Ùl honofi mine. UnX.& fyr^*
Grandeur 2c magnificence de fa Cour. 374. Soupaii-
chant à l'amour, ihid» Melle.de Keflcleftle pienaiar
ccueil qui fait échouer fàfidâité. nf. Il abaado^ac
cette piemière conquête, & s'attache à Melle. Am-
rore de Konismarc. ihid, ér fithi. Comment il sV
prit pour gagner le coeur de cette jeune Beauté. 376,
é^fitiv. n devient amoureux d'une jeune Dame,
mariée à un Vieillard caffé* 380. Il eft furpris dansle
tems qu'il £b livroit à l'amour avec cette iâ&dèk, g8 1
^Hgufiin {St.) y cité. T. XXX. 407. U a empoiy^
toute fk rhétorique pour çtablir le dogme ioienial
de l'Intolérance. T. XLII. Ij*4
.^%i(/MwitM«»>Atttun» eft b même Ville qpe]tîfr»#^.
Capitale des Eduéns. T. XLiV. 99. ^i*^p^ j ira-
blit uoe^oje, Stdes PtofeÂurs d'EJpqueacefc^ç
. Littmture. ièid> Pendant combien de tems cette
£(K>le % çté floriâàme. il4l^
T, XXVII. 934
j4vbus (l^ifims). Conicil qull donne auxFH&ns. T.
XLVn. 401. {lépoiijÇe dure qu'il Eût aux Anfibir
fes, 404. Prbn^i^ qu'il Élit à Qoiocaius Chef de
ces Peuples. iHd*
Avitus. Sef O^nes pi^bliécs patkPèr^SîrVMM. T*
XXXVI^4^a. Ce qu'on trouve de remasq«4^<l4m
une Hpmébe qu'il prononça dan$ VH^m d'AgéUh^
nfim,. T. XXXVI, «43^
4im (n> ^ Ls^in 4/wv(rs sVmployoit pour h oiyvOr
trui^fi des NaviroSr T. XUI. 100. Il, ^'eft plus
aujourd'hui d'aucun uf^ge pour h Maxine. iM.
4^9ç^yJ^rfimKmrsJii^^^9$. S'ileftnéceffiireqH'il
JE en ait. T. XXXIX. 45- j- ,.4j:$» Som k» E9 ^pc-
reurs Romains > les Avocats qui s'étoiedt reti rés,
n'ôâ>ient communiquer le (ècret de leur Art , 1 dans
1|^ quinte d'être acculés comme faâieuz.T^ XI .IV.
4S TABLE CEKiRALÉ'
441. Onkar abandomîoitksCînifcs abjeûcs&ttic*
pri^bles ^ ce qu'il y avoit de jplas important étoit tc*
favc au Tribunal du Prince. Md. Dcfordrequi rc-
gnoît dans la Plaidoirie Se dans ks Exercices. 441.
.V Injuftîces que la plupart des Avocats commettent*
• T. L. aSK>. Moyen de remédier à cet abus. UiJé
Leur nomlnc fixe pour chaque Cour de Juftice dans
les Etats du Roi de Pruflê. «Hi/. Quel doit être leur
Siaht. 191- Pourquoi il ne doirpoint y en avoir ckns
ks petites Villes ni dans les Bourgs ou Villages. iSid.
liars fondions. i9*>*95'
^Itirtns Bariaks en Groenlandc. T; XKXL 48. A
Londres en 1739. T. XXXVl. 349- ^ quoi on
doitksattribner. ^fo. Comment on peut imiter ce
phénomène, t. XXXIX. 94. Aurore Boréale vue
SCufco. T.XLV. ^ ^if
jittmrs. Extrait d*un Traite fur la mamçrc de lire les
Auteurs avec utilité. T* L. *^
^bàonuuhès. Extrait d'un Livre intitulé t là cafdciU
^ rémiui deVlE9tmdfmtB$ btuimm , démmstréedam
k céu txtréordÙMirt /'Antomathès. T. XXXIV.
. 449» &pi$^
Jbttkmdus. Piojet/qu- il formetvec CâHltM & Cn. fifm
dé tuia* les deux Qoo&J^Ctnê^TorqMtus dans le
S^tokmême. T. XXXV. l^^
jbaàn, Voyesi JbtgufiUmfm y &Biér4^é.
4u^iw (Mm^ld*) » Procureur au Parlement de Pa-
>. Ouvragcsdc cet Auteur. T. XXXVII. 50,31
^„Jjtnce, Evêque Arien de Milan. T.XLVIL 267
JxfUd (Mr.) perd fubitcmentruiâge de la parole; mat>
u3ie chute de cheval, qu'il fit quatre ans après, lui
iSndit la voix. T. XLVL 374
Jyrir (Mr.). Son amour pour ksBdks-Lcttresfic pour
riliûoiic. T. XLL ^5-»
!• BMkt
p ES MATIERES. v^
B.
BAal (la Rivière de). T. XXXI. 4^
Ba^iloniim (les) oût jette les premiers fondemens
del'Aftronomie. T. XXXVl. 133
f0con (Bû^er) c^ un des premiers qui s'appliquèrent à
la Science Hermétique. T. XXIX. 47
]^ac<m (Nicolas) , Grand-Chancelier d'Angleterre fbus
. ]a Reane EUzaèeth , père d* Antoine & de VrtMfois Ba-
con T. XLIII. 316
S4fo» (^R^oi»^)) Ëcuyerj'fils du Chevilicr Nicolas Biê^
. con , Grand- Chancelier d'Angleterre , & frère aîné de
Franf ois Bacon , aûfli Grand-Chancelier. T. XLIII.
3 » 5" , 3 1 6. Ses Lettres & Mémoires, i^w/. Ses voya-
ges dans le$païs étrangers, iàid. 11 fait connoîfTanct
avec Théodore deBèM* ibid- Son retour en Angle*
terre, ibid^ Commerce de Lettres qu'il entretint avec
ksrperfonnes de mérite qu'il avoit connues dans (ci
' voyages ibid. Il s'attache au Comte à*Bfix, quifè
iert de lui pour ménager une correspondance fècret-
^ teavec leRoid'£coifê.i^iJ.Samort.i^/i. Connoif-
fanèe qu'ilavoit dpsbeaux Arts, 317, Trait qui ne fait
pas honneur à fa mémoire. ibid*
façon (franfois)^ Baron déVérulam, Grand-Chance-
lier d'Aneletene, l'un des fils die Nicolas Bacon ^^vl^i
Grand- Chancelier, vouloit qu'on n'établît aucun Syf^.
téme qui ne fût fondé fur les expériences. T.
XXXIIL 374. T. XLII. 186. T. XLIII. 316
taek (Mr. Aèraham). Ses découvertes fur les Polypes.
T. XLI. 16
"Bafin (la Baye de). A quelles Mers on donne ce nom. T«
XXXI. "^ 39
Baguette divinatoire. Expérience qu'on en a £dte pour
trouver une bourfe d'or. T. XLVII. 39!
tat/ifean Antoine de) fut l'un des promoteurs d'une
Académie qui ^t établie lur la fin de l'amiée 15*70.
T. XXIX. 383. Tcms de & mort. ihid.
D Bêiek
qo TABLE GÉNERALC
Main àvapems, ou Hyfocémfittmy delà façon des Ro-
mains , découvert Ibus terre dans la Ville de Lincoln.
T. XXXVI. 5f I
Mâim d'Hitrcmk. Extrait deDifftrtadoiis fiir cesBainf.
T. XXXIIL ' 41a
Iskfr (Mr /2nrt). Son Uicwtfiùf rmUn fiêàk , &c. T»
XXIX. 4^7. Examen qu'il a fait d^ Mkrofeopes
de lAmwiwhêek , & jugement qu'il «t porte. T»
KXXVl. ;a4. Recommande la Geloc des Grofëil-
les noires pour les inflammations de la gcurge.* )3f
l«(e; (Mr« rAniiii) guérit une blcfTurc de b Cornée^
. T. XXXV. ^ j8i
9ii/e (7e#«). Sa Comédie de f$âm Bsfêijh > écrite en
Vers. T, XXX VL 146
9ÀU (k9 Peuple de) nefaifôient pas autrefois partie du
Cwps H^vctique. T. XXXVII. 97
l«/cmr. Voyet Ver SftrnMUfu.
JKi/fii pluf pcfioitea que le plomb > auffi dures que le fèr,
-qui partent plus loui , fie font plus à'tSùn. T.XLVII.
WâMrmo (ie BarsAde) » titre fbuslequel Mr. Elfhh^gs"
$m tut a^ Fav d* Royaume d* Angleterre. T.
XLIII. $aa
J«/a4^ Lrm« qu'il adiefTe àC#/W fur le» Oeuvres de
f^^f » grands ladcavx dont onic ftrc fur la Mer Paci-
fique. T. XLIY. 417
M» & 4nôn-èm. OuvrafcluT cette matière.T.L. 127
tmtA ^milU). Mmt imgoBèrc dt eette Comtefff.
T. XXXIX. 434, <^>ij,.
9»m0m ik9) ne mangent rien de cequi s^eu vie. 7\
XXXVII. 40
MMMr (Mu l'Abbo). Ses rqcbcrcfiet fiir les £mAr#-
femins du Um Vijkvt. T. XXVII. 109. 8e fur
le mé$ d'Ol^pk. Oiid. Sa Tiaduâioa des Meta-
m<^-phof«s fik'Ofide. T. XXX. 39^, Jugement a-
yintageux ds CfitOuna^. 397, Joûifié des impu-
tations
D^ES matières; ft'
^ tBLtions qu'on lui t fatcs d'avoir profité eu travail' de
. Mf. de^ BêammÊTchais, i^i^^
"Mnffèmê, Voyca B(ttéme.
JfcirM (Alfh). Ourragc de cet Auteur. T. TLLVin^oflh
Bir^ir. làéc dt la manière dont on voyage dans ce
Pîiïs. T. XXXII. 407, On 7 a coniiërvé k mêmq
mamèfc de bâtir qn^on y avok dès les ptemicrs
tems. 430. Defcrîption des Batimens dt ce Païs.
^èid.^ftttv. Marefeandiiics& Denrées qui s*y trou-
^«^t- 4jf , ^fuiv
'Urbeywic (Mr.). Exempfes qu'il raportepour foire voi
Qu'il y a pfaiîcurs actes dek juttice humaine qui ne
^uroieat convenir à Dieu , à caufè <fc l'excellence de
saoatiiFe. T. XXX. ii, Commciit, félon cetAu»
tf ur , nous nous fommes fait une idée de la Saintçté
de Dieu. 1 j. Sa Truài^JonduTr/itré Fh'tkfofhiqui
dès Lêix Natureîks y^ Bk^ard CmmBerland. T.
XXXII. 14t. Sagrandieérudfrio*. 144,145*. Pou-
fe d^Attêeurs qu'if cite dans fis Notes i!iir l'Ouvrage
àtCmmèerlaû. H^>i47
'Barbiers, Tcms auquel ik furent admis en France à P A- "
natbmiepar les Médecins. T.XXXVII.417. ikfi.
gnent un Contrat , ibu vent rcnpuveflé , par lequel
m rcconnoîflcnt ks Médecins pour leurs Maîtres ^
tandis que ceux-ci leur promettent de les inftruiïc
dans k Chirurgie. 418. Ik font des progrès qui k%
œctteat au niveau des Chirurgiens lettrés, 410,
Voyez Chirurpens.
W^rhtÇfoijties), k jeune. Son voyage au Nbuveau Ka-
labar, à Bandi & à Dopo. T.XLUI.. 7. Ses remar-
ques fur le Commerce & h Navfeation d'Afrique. 8 '
»rcUy (Mr.) , cité. T. XXXI.. 341
3wW#»ex cftfe pemicr des Auteurs d*Orient qui tenta
de profcrire k culte àes Imagçs. T, XXX. 44
JRWTî^f i« (ks) composaient les Vers que les Druides chan- '
t<>ient, 8c qui- fcrvoicnr à inltruirç fe Peupk de k
Rcligioo&dc k Morale, àcncOûtagerfesSordats au
P a comi3
5» TABLE GENERALE
combat, Ôcc. T. XXVI. nf. T. XXXVI. ff
J^dus , Roi des Gaules. Tcms auquel il vivoit. T.
^^XVl.i if .Regardé comme l'Auteur de la rime.i^.r
^rlffw (Mr.). Découverte qu'il a faire fur le fTontil'pice
de 1 kiglife ParoiiTiale deRumièydans le .Comte de.
; Hauts. T. XXXVI. ,334
Caromitre. Remarque fur un de fes défauts. T.
XXXIX 104
3arre (le Père). Défauts de fon Hiftoire d' Allemagne.
T . X L 1 V . 19, d^fuîv . Pourquoi il ne lui convenoit
pas d'entreprendre un pareil Ouvrage. B^ > 3 9-
lUirrtre (Mr.). Obfcrvation qu'il a faite fur une efpccc
de Ver qui vient à la langue àcs Chiens. T. X LI . i if
JBarri» (l' A bbé) . Succès qu 'il a eu dans fà tradu^on des
Elégies d'Ovide. T. XXX. ^ 395-
^rrow (].)> ancien Maître de Mathématiques à bord
àts Vailîcaux Anglois. Son Ouvrage intitulé : N*-
vigation Britanmque , ou Syftêmt complet de Naviga^
tion , dans toutes fes parties , ta»t pour la théorie qui
pour la pratrque ^t^c, T.XLIV. 480,4.81
'Bajile le Macédomm. Ouvrage de cet Auteur. T. L..,
3 17 . Pourquoi on a donne à cet Ouvrage le nom de
iBaJiltàues. 3x8. Ufagê important qu'on en fait au-
jourd'hui. 319. Fautes qui s'y trouvent. * 331
Jfafiliques. Ouvrage qui porte ce titre, T. L, 328. Vo-
' yez Bajîle le Macédonien.
Bajilius 9 flirnommé BulgaroBonus , 61s de Romanm h
'jeune', cité. T. XLVIl. 4x5-
^a/nage (Jaques), Lettres de Mr. Cuper à ce Savant.;
"T. XXX. îQ
IBafnage (Samuel) de Flùtemanville, cité. T. XXXII.
110, I 16, 124
Bas-reliefs, Manière d'appliquer aifément dés Bas-reliefe ^
en or fur l'Or & l'Argent. T. XLV. m
B'affardries (le FèrcCuillaume te Vaillant de la) , Jéfui-
tcdcsPaïs-bas. Idée de fa Nouvelle Science des fiom'
kres» &c. T. XLI. 13/ , 13^
DÉS MATIERES; Yf
^ftie (Mr. le Baron de la), cité. T. XXXV. 131
jifitailles. Pourquoi on Toit tant de relations , toutes op«
poféesles unes aux autres, d'unefèuleScmême ac*
tîon.T. XXX. 381, Si le gain d'une Bataille eft une
preuve delà protedion de Dieu. T. XLÏI. 1 3 j
'Bataves, Caraâère des anciens Bataves. T.XLIII. 7^.
Leur gouvernement ihU. Comtes par qui ils écoienc
gouvernés. ibU, Leurs femmes les fuivoient à h
guerre, ibid» Ils deviennent l'inflrument des conquê-
tes des Romains, ibid. Ils méritent la confiance de
Cf/ir, qui refpeâe leur liberté. 79. Ils Ibnt fournis
par les Francs , & leur pais devient partie du vafte Ro-
yaume de ces Confjuérans. ihid. Ils deviennent feu-
dataires de l'Empire d'Allemagne. î^ii. Leurs Com-
tes augmentent leurs petits Etats , & parviennent in-
ièniîbkment à fe rendre Souverains . ibid Leurs guer-
res avec les Nobles deviennent k caufè de leur ruine.
ibid. La Maifon de Bourgogne profite de ces divi-
sons , & engloutit la Hollande avec le refte des Païs-
bas. ibid,
ISatavia. Cette Ville regardée comme la plus belle de
l'Afie 8c le centre du Commerce. T. XLVIII. 314,
"Batavie . Pats qu'elle contenoit autrefois . T . X L V . 3 04
fiafême, Ëxtrattdu Livre intitulé : Recherches de Vanti*
«[uitéd^du fondement fcrifturuire du Batême des petits
Enfansy &c. T. XXVI. 35-4. S'il eft vrai que fé-
fas-Chrifi ait emprunté fon Batême de celui que \e%
Juifs admini (Croient , dit-on, à leurs Proielytes, y
compris \es Enfans en bas âge. 3^9. Comment on
<feit entendre un pafîàge de St.Clément d* Alexandrie^
qui parle des petits Enfâns qu'on tiroit hors de l'eau.
360. Le Batême des petits Enfans eft bien exprimé
dans un Traité deTertullien comme une cérémonie
ufitée dans l'Eglife Chrétienne. 361. Pourquoi vers
le milieu du quatrième fiècle pluiieurs perfbnnes ren-
voyoient fort tard leur Batême. 361. Si les Enfans
ibat dans un état qui réponde aux fins du Batême.363
D 3 JB^
jç4 -TABLE GENERA^L-Ç
JSatefM éhs Hérétimes. Famcufècmiteftalioii itxibîie
entre le Pape Eoeane & ^ Cypiiea. T* XLV. 1^4^
^tinupmr Us Mgrts. Comment on doit expliquer le
pafiàge de i'Ëpitre aux Corinthiens où il 'cft parlé
de ce Bttéme. T. XLIX. 447 ,418
"BAtes (fft€[),OMWx^càcctt Auteur.T. XXXVII. aga
Bâtiments < de pierres à furil. T. XXXIX. 26
Btutel {André) ^ Relation de (bnvoja^ au Congo 6c à
Angola. T. XLIII. 8
MMdoum^ Empereur de Conlhntioople » cherche du
fecours s^ Londres. T« XXXIIL 13
Baudâum (Wranfois) Temsauquelila publié ^Traité
àelaLlfiiAt[$iii$enne.,T, XLVIII. 128
Bavièn (la). Karagfes auxquels elle eft expoiee. T.
XXVH. 57J
Bavière (le Duc Lmis de) eA élu Empereur en même
tems que VrtéUtk d'Asttriche , fils d'AHert /. T.
XXVJI. 2f7. Viâroire qu'il remporte, i&id. U eft
excommunié par le Pape ^/mXx/Z. gj'B. U maiche
à Rome, fait dépofèr ce Pontife 6c éUre en fàpkce
NîcoIm V, ibid. Sa mort. ièid.
Bavure {lfabeméd9)* Tiait de cette PriaceiSè dénaturée.
T. XXXVII. Ijl*
Baume (Wi.de la). Extrait des tittres tdifmtes & tmr
rieufes fur la Viûte Apoftolique de cet Evêque d'Hali-
carnafTeà la Codiinchine en 1740^ &c. pour ièrvir
decontinuadoiiaux Mémoij?esHi(loriques du R. F.
2tfiîr^«r/ Capucin. T. XL. 76. Il eft choiâ par le Pa-
pe Clémerit Xîh en qualité de Viiitieur Apoftolique
des MiiBous de la Cochinchinc. 81. Son arrirée à
' Macao, Vilkdela Chine. 83. Uyeft «rrété&gardé
a vue par ordre du Gouverneur. 84. Les Jéfuîtes lui
prc^iènt de racheter ià liberté à force d'argeac» ou
de prendre la fuite, ibid. On le laifle partir, & il fè
rciidàKétha. 8f. Sa Lettre Paftorale aux Chrétiens
du Pais. ièid. Il fe farouille avec les jéfuites, & iquel«
le occafion.Sô , é^/uiv. On. tente de le£ûie périr.fB7.
U
CES UAtIÈkÈS. ^
/IlitncùFtédick^iiAqâelaiietufetitlesJéruites' 91
WBmme de Taulu- L'Arbre d'où il vient naît en quantitç
tiamk»ciinpagaeiiutôUr<kQfthAgâtie. *r.XLlV,
Mufle (Mr. Fierre) . kéfbtâdoil detc qu'il a atancé : ^u$
nênH'êmfiehèfêtim Société d'Athées n*»it dtsMœurt
firtrtgttlières, T. XXVIl. ±90, &fuh. Extrait
dekduquième Edition étÇaûDiBiâmMin Hffiai^ue
ii^CfiHfm- 4^4. Ce qu'il dit des Commentaires lur
V^pceftlyffe. T. XXVIII. 321. A mal entendu le
Sjiïèmc ds Sfino/k. T. XXIX< 13 1, 183. Com-
ment il parle de 5/»l0/«i* T. XXXII. 7. Accuféd'Ir^
ftligion, 0c pourquoi, jjol Vcf s pleins defid&d'a-
tottta tût contre ce Philofoplic. 3 3 1 . II eft placé dans
k Ciel. 470. Extrait des Btmêr^ues crk'uptejfuf fm
DiiïiMMUirt. T. XLII. 375*. Combien il eil màlttai*
té par fes ennemis, ihid. d* fi*^ • ^'^ ^ mécoânu
Tclprit de Ùl propre Religion . T . XLIII . 404
»XM (Mr.), cité. T. XXXIV. 13»
3éâtriM, femme ésCHfârûs d'AnJ9u , Comte de Pro-
vtmtfe. Conlèilqu'dle donne a fbn mari. T. XXX.
%l%. Voyet Anjm (Charles d').
^ÊHêmmrchtih (Mr. de) s'eft approprié les travaux df
l'Abbé Bouler. T. XXX. 397
^Mafi^ ic Lenfant (Mrs.) Extrait. de la Ttaduâlm de
leur N;ppt«il«i Te/fiijM^. T. XKVllI. 4! 1 . Eloge de
oetoe T^mietÛlm* iàid. &^ 4 v j
teaufUri (Afe.C.L. dt), Miniftre i BerUn. Ou^ra^
de cet Auteur. T. XLIX. 144
SrM|/Ueî/(k Baronne de) obtient en 1611$ des Lettrâi
wtentes pourl'oarertutt des Mines en t'rance. T.
SCLVIII. 4f f , 412. £Be parcourt petidam fix ans
toutesles Provinces de France pour safluitr des en-
drt)i« bù elle trouveroît à <mvrir des Mines, ièfî.
Mémoire i^ti'dle préfente i ce fujet. ihid. Cmrfage
qu'elle a fait imprimer fur les Mines. 413
tif^lihfH. Obèpnlàtrtï (w le dedans exttMrdimlfe
D 4 èe
p4 .5rAB:LE:GE;N:ERAtEr
. de la bouche d*un Eofimt tai Bcc-de-Lièvse. T. XLV
Becajpnes. Voyage que font ces Oiftaux. T. X LIV, jp»
Beccâri ifaques-Barthélémi). Mémoire de cet Auteur
fur des Phofphorcs. T, XXXV. j
BichtUn , Chevalier ainfi nommé qui écriroit en 1 1 20
fous Iç xègaedclouis lefeune. T. XXX. 78, Re-
gardé comme le plus ancien Poète que Ton connoiA
le , qui ait mis en Langue vulgaire la prife de J éruià-
lem. ^id*
Jiédmtn- Voyez MufiqÊêe.
Mterings» habile, Marin Danois, eft choifi par le Czar
Pierre Premier pour s'infopner des bornes de la Tar«
tarie au Nord-eft , 6c reconnoître fî elle ne fèroit pas
contigue à Y Amérique , ou fort voifinc T . X LIX.
3 2 3 . Jl emploie cinq ans à fon expédition . iSiJ. Il re-
çoit commifTion d'aller chercher à TEfl du Kamt-
chatka les Mers dont il avoiteu les indices dans fon
premier voyaee. 326. 11 échoue dans une Ile défèrtc,
8c périt de milere avec la plupart de (on monde. 327
BeUand. Raifon pour laquelle il fut arrêté & conduit
devant leJs Bour^uemaîtres d'Amfterdam. T.. XXX.
45-4. Il efb juge innocent. HU^
:gel (Mr.). Obfervation phyfique qu'il raporte. T.
XXXV. 377.37*
Bel-effrit. Si le Bcl-efprit n'cft pas trop répandu T.
.. XL IX. 63. D'où vient la vamté qu'on en tire. i^id.
fichier (Mr.), Obfervation de ce Chirurgien» T.
XXXl. 4^5
Méknmites. Leur defcrîption. T.XLIII. 183. Leuror
rigine. ilU. Ce que c'eft. 184* Raiibn qui donne
lieu de croire qu'eues ibnt une produ^ion de k Mer.
T. XLVI. 366
Bflges» Situation de leur Pais. T, XXXVII. 79. Leurs
moeurs. iOd. Regardés comme les plus braves de
tous lés Gaulois. iSid.
Zellâjf (fiuilloHnH dfi)i Négociations qu'^ £ût à Snial-
cal*
d"e;s matières. 57
'♦ Icaldcavcc Mf/r)^«r JEUw^iunp. T. XXVII. 91
^llefmd (Villâmlt de) Son voyage en Guinée. T.
XUIL f
JBelli'Jfli (le Maréchal de) reçoit de la Cour de France
• dci Pleins-pouvoirs pourttaiter arec le Prince Ci&i«r-
les de Lorraine d'un accommodement à l'égard de la
Bohême. T. XLIV. 70. Conférences qu'il tient à
ce fùjetavecleComredeiCtfWïjyefib. i^/V Ces confé^
rences deviennent infruéèucufes. 71, éf^furv. Il fc
défend dans Prague, ibid. Il reçoit ordre d'évacuer
cette Place. 8i. De quelle manière il s'y prit pour
exécuter cette retraite. iiid. é^Jûiv.
'Belles-Lettres. Extrait d'un MJfsi/Hr l'étude des Belles**
Lettres T./XLII. 33
3ellm (Mr. . Cartes Géographiques de fà façon. T.
- XXXVII. 170
Bellim, cité T. XXXI. 316. Erreur de cet Auteur,
T. XXXIV. 119
Bellffrix, Ce npm regardé comme Celtique par (a ter-
minaiibn. T. XXVII. 136. Ce quemarquoit cet-
te terminai(bo, ajoutée à quelque nom propre Gau-
lois. 137
'Belcis {Pierre) , Profeflêcr en Droit à Cahors. Ouvrage
Tde cet Auteur. T. L. -1^5
Bênêdà (le Colonel) eft blefle au fiège de Prague. T.
XLIV. 78
.fienévent. Origine du nom de cette Ville , 2c par qui
elle a été fondée. T. XLVII. 41 , 42
Beimet (le Doâeur C ) Corrections & Additions qu'il a
faites à un Ouvrage. T. XXXVI. 484
Bw/o» {George). Ouvrage decet Auteur. T. XXXI, 2 30
l^entmck ( Mr. le. Comte de). Maifon de Campagne de ce
Seigneur , où Mr. Tremble^ a fait iès expériences fur
les Polypes. T. XXXIII. 149, zff» Mémoirequc
ce Seigneur remet à la Société Royale de Londres.
T. XXXIX. 10, II
fintx^lkfs, Gnuid*Chancelier de la Couronne de Sue-
D j; de,
TABLE GENERAWîr
de, cité. T. L. f f0
Bmziiftûnm (Mn). Ses remarqua fiirqttdqucf Miiii»
d'Or découvertes en Suède. T. XXX VIII. 21
^cb (Mr )• Ses recherches ftr les pdkkft>édfiqaet dit
Laitages. T. XLI. »). Sob Mémoire nir k perte de
Bled qui fc fait depuis le fauchage jufqu'à ce qu'on
l'enroie au moulin. iM.
^iriwke. Son tride fort. T. XXXV. |4). Conduite
irrégulière de cette Princeflè. T. XLIX, 177. Se»
charmes. Uid» Elle plaît àTice,8ckfuitàRome a-
pès la priiè de jérufiOem. ^id* Tite » devenu Empe*
reur, ia renvoie malgré luL iàid»
Sérmger Ijaquis) , Médecin, On lui doit Tuidge du
Mercure. T. XXXVIL 431
IBéretts, cité. T, XL VIII. t^
Bifipgtm (S.). DilTertations decet Auteuf fur la Créa-
tion , le Déluge , h Tour de Babel, &c. T. XLV. 474
WerktUy (Mr. le 'DT.Gtorp)^ Evêquede Cloyne. Ex-
trait de Tes Biichtrcbts fir ksVtrtus 4$ VtMtà dtOmk
drm.T. XXXV. j6. Accufé d'étrt Egoïfte. 73.
Idées ûngulières de cet Auteur. ^9. Ouvrage con-
tre ctt Auteur. T. XXXVî. 133. Su'xès attribuée
à ibn Eau de Goudron. 47t. Idé6 généftle de (bu
Ouvrage intitulé k ^utfiwmtltt. T. XLIV. 477
Permet Village d' Egypte ainfi nommé, où l'on Ëdt
cclorre des Poulets. T. XLIV. 171
"BemacUs , Poifïbns qui fè trcnnem «iix rochers 8c ia
fond des Vaiflèaux. T. XXXIX. 4^. Manière dont
ils fè propagent. UU,
fenutrd (St.). Maux qu'il a caufés* t. XXIX. 107.
Regardé comme un faux Prophète. îM. Fetifitf
remarquables tirées d'une de fet Lettres à un Sei-
gneur. T. XLI. 387
jKirsf. Grand nombre de Manufcrîts biencom&iottnés
qui fc trouvent dans la Bibliothèque de cette Ville.
T. XXX VIII. P4r^ II. 18. Par qui 6c en quel tcms
«eue Villea été fondée. T. XLVIL 41, 43. Oii*
gine
DES MATIERES. f)
' fBmtèc figmficadoti de (ba nom. lUd*
^trnemlU {lAs,JmK)4 Profeâèur en Mathématiques à
Baie , Membre de prefque toutes les Académie! Se
Sociécés iafantes de l'Europe. T. XXXIV. 17^
. Tems de lieu de fa naiflànce. ibU. Il eft dediaé au
Ni^goce» mais des taieQsfupëricttrs rentndneot tux
^iences les plus fublimes. ibid. Il devient rëmule
de ibn frère Ju^ftu BefvmiiU nW. La décourerte
du Calcul latéral eil ^premier cdâi 177. Voya-
gtqu'ileatveprefid. 178. ScsDifcipks,i^id. Le^as
ou'il a données à Mr.kMai^uIs de r/TcfîM/. iM* Il
te marie en Suiilc , 8t s'y feit donner le titre de Doc*
teur <a Médecine. 179. Il eft appelle à Groningtt^
pour remplir k Cliaire des Mathématiques 2S0* Il
jpioc la Phyiique expérimentale à la Géométrie abs-
traite, iàid II découvre les Baromètres luKâns. i^id.
Sa renommée remplit toute l'Europe . iiid Difieren-
tes Vocations qu'on lui adrefle. ibid. Ueftte^u dans
toucet les Académies Géomètres de l'Europe • dC
rempoftedesprixT. M/. Son retour à Baie pour rem-
plir la Chaire de Mathématiques iHd' FameaxDijf*
dpks qu'il y re^t. ibid. liàéUcad k gloire de tjti6^
mtz.» 181. Il fe fou tient avec, dignité contre £bs ad-
reriàires. tM. Son heureufe vieiUeilê» Md. Ttkm
de festrois âis , Mêctias , DMmti , de Jtân. tbid. Ex-
trait de ion Ccmmerct di Lettres avec Mr. de Jjeiêf
nitx,. T. XXXVII. 178. Il ne s'eft jamais apUiq^ué
Qu'aux Mathématiques. iSi. Ses difierends avec loa
hère aîné ^M^ptts Benmdli. 1^88. Pourquoi on l'a
' taxé* quoique très mal^a-propos d'Irréligion & àtf
Socinia^me. 190
:»9nmiU (Mr. iiOttUs) » Profeâèur i Berne 8c à Pér
teTsbourg,&filsde7ir#»irfnMfi//i Profèfibur en Ma-
thématiques à Bâk. T. XX XIV • 181. Samort.i^ûC
ttnmlU (Mr. Dmml) » fik àcjem BermuiU Piofd*-
ièur en Mathématiques à Bâle , accompagne Cca frè-
re Hk^ àFipia:sbQurg>&€ârappeUéàBâle, pour
être
éo TABLE GENERALE'
être avec {on frère Jêany Collègue de (on pète. TJ
XXXIV. i8i. Mémoire de ce Philofophc. T.
XXXVII. 6c
J^ernmlU (Mr. Jeârf) , frère cadet de Mrs. NicoUs &
Daniel Berwmlli 9 devient Collègue de ion pèrejF^/u»
Bammlli , Profeilèuren Mathématiques à Bâle. T.
xxxiy. 18 c
BernvfPT , jeune garçon que le Roi Lmis ^. retira de
lacuifine, & qu'il éleva enfuite. T. XXXVII. 55-4.
9erfafélU (Bernard de) a compris prefque toute la Chi-
rurgie fous le titre de Afofiematièus . T . XXX VII .417
Bertoie (Mr ) , cité. T. XLVIIl. jof
Berwick (kDuc de , Maréchal de France) remporte fur
les AÛiés une viéèoire compîctte en È{}»gnc. T.
XXVII. 574.. Il eft chargé parle Duc d'Orléans,
Régent de France , du commandement dci Trou-
pes. T. XXXIX. 2(^5. U fe rend maître de Fon-
tarabie. i^id.
Whytey Ville de la Phénicîe en Orient. On ignore le
tems de la fondation de fbn Académie . T. XXX . ^
' Sous quel règne elle étoit dans tout Ton luftre. ièid*
' Privilège que lui accorda j^jlm/eo « qui lui donna le
nom de Ville des Loix. iàid,
Bétail qui périt toutes les années à Chridianftad , fans
qu'oneaaitpu découvrir la caufe. T. XLVII. 59©
Betes. Si elles ibuffirent les douleurs patiemment. T.
XLI. i8f, 18^. Leurs Loix naturelles T.XLIII.
204. Dans rétat naturel onne doit pas les tuer. T.
XLIX. 434. Voyez Ame des Bêtes êc Animaux.
Betis. Tourmens que lui fait fouffirir Alexandre, T^
XXXV. 9j
Bévan (Mr.). Obfèrvation quil laporte de ramoliflfè^
ment des Os. T. XXXVII. x6x
lÈeml (yeande)i Comte de Sancerre , attaque les Suif-
fès près de Bâle , Se les défait malgré leur vigou-
reufe défenfe. T. XXXVII. 3:9
Bèzi {Théfdere de). Son Traité î# U tonne frfin§nciatim
dfê
OES MATIERES. Cl
iu ^anfûù. T. XXIX. 383 Perfonnage ridicuk
qu'on lui fait faire dans l'entretien qu'il eut avec fran^
fois de SaU. T. XLII. 38^ , &/uiv. S'ilcft vrai
, qu'il ne reftoit dans fes erreurs que par. l'attaciiemcnt
^u'il avoir pour une Jeune fille .391* Conjeâure fiir
1 ufàge qu'il pouvoit faire de cette Belle, iiid. é^fiiiv»
Infufté avec aigreur , & à quel fujet. 398 , fjrfiàv.
Bianchini (Mr ) , cite. T. XL VIII. 303
Bianchini (le Vjofefh). Ouvrage qu'il a compofë fur
la mort de la Conàteilè Comélm BanJi de Câène.
T. XXXIX. ^ 434
iièle (laSte), ouïe Vieux (^/eN^t^4i»Tf/2^0!in^, d-
vec un Commentaire Littéral , tac. Extraits de cet
Ouvrage. T. XXIX. 30/. T. XXXI. 44a. T.
• XXXVII. 45-9. Sur quoieft fondée fon infaillibi-
litc. T. XLVII. 4f8
BihliotfîeciHelFranfoifi de lAt VkhhéGoujet. Extndtdes
Tomes 9 ôc 10 de cet Ouvrage. T/XXXVÏÎ. xi
Bi/iÀéç. A quoi on donnoit autrefois ce nom. T«
. XXXVIII. ^8
BibraBéy ou Jutun* Ville Capitale des Ëduens. T.
XXX VIL P9
Bidens , Plante aquatique. T. XXXVII. a<îo
Bielke (Mr. Sténm-Charles), Ses expériences fur une
nouvelle efpèce de Blé Saraxin. T. XLI. %%
Bien. Cequc c'eilque leBicn. T. XLIV.311. D'oà
vient la difficulté de comparer les Biens 2c les Maux.
311. Si dans la vie ordinaire la fom me des Maux fiir-.
pailc celle des Biens. iMd. & fupv. Moyens d'aug-
. nienter nos Biens Sa de diminuer nos Maux. 321,
Bienaife. Amphithéâtre fondé par ce Chirurgien. T.
XXXV II, 437
MiinveilUnce. Divers indices de Bienveillance» &juge-
, mentqu'on enporte. T. XXXII. 338, é^fuiv,
Bîgnm ^Jérôme), Confciller d'Etat ordinaire, Avocat^
• Général au Parlement dePaiis 2c père de Jean-faul
Bij^n, Abbé de St. Quentin, Sec. T, XLI. 146
Bi'-
éM TABLE GENERALE
fiS^M» (yemp-^a$êl) , AbVé êtSt. Quentin en WIc, êcc.
• Lectre&deMr.Ci»^ àcetAbbe. T. XXX. lo. Sa
aaiffiincc* T. XLI. 14^^. So» enfonce marquce par
. une ardeur infatigable pour k favoir . »^/^. Il enihraf-
fè l'Etat Ëcciefiaflique. 147. I) fè voue à ]a prc^i-
cation.!^/ Son éloquence ièid. Tems auquel il fiit
. icçu à l'Académie Fran^oiie. iàid. Il obtient PAb-
. baïe de St. Quentin. 14^. DeftfokConfèiUerd'Etatt^
2c enfuite Chef du Bureau des Aigres EccléiiaAiqttes.
. i^id. NonAioimfurtrlqu^lseft ^aitpar ht proreâion
confiante qu'il a accordée aux Sciences 8c aux Sarai^s,
& par le fameux lenouvellemcnt de l'Académie de»
Sciences dt de cefie des Belfes- Lettres. iM. Acadé*
. mi^ dont il étoit Menibre. iêid. Il rétablit le Jour-
nal dcfiSavans.iM. DdewntBiblsoihéeairedu Roi»
Uid. Livres qu'il fait venir de toutes les parties du
Monde pour en enrichir la Biblioibèque de ce Prin-^
ce. ièiéi. f^fuiv. Il devient Chef de l'Académie Ro-
jakdlfes Sciences , de le Dépefitake de toutes les grâ-
ces accordées aux Gens de Lettres. 149. Correiîpon-
. daaccs qu'i) eutretenpit daas tous les pAïs du Monde»
en faveur âcs Académies de Paris & des Province» ^ 5c
même par raportàux Aoadénaies étTHigéres. iSiid. Jl
& rétif» i ton Château de Tile-beie pès èe Meu*
lan. iBid. Sa moft. iàid. Papiers qu'ira htiflés. iàid.
MU (jÊw) , Evéque d'Ark«>fta. A quelle* condition i)
obdemlagfacedu RoiChrifha^in.T.XXVIL rof
^ch (7t^m0s), Maître es Arts, Membre de la Socié-
té Roj^e àc Londres., dtc. Extr^t de fon Biftotre
des Négociations entre le» Cours d'Angleterre, do
FrjACe & deBruxdleisdep«^is l'an ^ffi. lufqu'à l^aor
" 1617. T. XLIIl. J08. Extrait de Ion Sermon pré*
ckcctevant le Collège Royal des Médecins de Loik
dres. T. XLIV. 45-0
Hf^er, Fils de Magnu-s furnommé Z./i4^aJ > fucoèdee
KwxPèreau Royaume de Suède. T. XLV. jôi. H
t^oppofi» auxeatreprife* àxL Clefgé. iéid» ^t flpttuii
feÈS MATIEREiS. <j
\ Im^t fur leurs terres pour fubrenir aux beibînsde
• l^Etat. 0iJ. I! fait périr £cs Frères de faim dans uae
Tour du Château donc il emporte les cleft. 36a. Haï
• du Clergé & du refte de fes Sujets, il c& obligé de
s'enfuir de perd la Couronne. ^6^
TBirm (Duc de) eft blcflc au lîègc de Pragufc.T.XLl VjS
mtuituss Officier Gaulois. T. XXXV. j/9
Blakftarn (J .) . Ouvrage de cet Auteur. T.XXX VII. 1 34
Wlëncik). Son Traité des Monnoies de France. T;
XXVIII. 474
Blâne (Mr. YAhhéU). Ttadaé^ion Angloîiè d'un Ou-
vrage de cet Auteur. T. XXXIX. atf
WUmc, (Mr« Hkèert le). Ourrage de cet Auteur. T,
XX VH. 389. Cité. T. XXX x^B
Mkuebi (k Reine) . 0>mment on peut jmftifîer ce qu'oii
* dit des amours de Thikaut , Comte de Champa>
gnc, pour cette Princefie. T. XXX. 71 , 71. T*
• XXXVII. aj
"ÈUiuhifmf, Eréquc d'Orange, cité. T. XLIV. a47
fianchini ifo/eph). Ouvrage qu'il public. T. XXIX.
^ 4o.. Idée qu'on donne de /à,Logique ou manière de
rai&nnçr. T. XXIX» tfj, f^fuiv*
l^afcn. UtiHté de cette Science. T. XL. 131, 13a
9Ufte, Prêtre de l'Ëdiiê de. Rome, &it éclorre uno
pouveik Doûrinc. T. XLI V . 1 jfS. Livre écrit con-*
tic lui. i6id.
BU (le) n^ jamais voulu vexûr a biepfbusie 64. degré.
T. XXXI. 46. Méthode aifée pour k conicrycr.
T, XXXVin. Turt.lJ. 61. Pbn d'un Magazin i
Blé. T. XX XIX. lof
W'SarêxM'^ Ddcription d'uqe nouvelle efpèce. T.
XXXIX. 9/
BUttrîi (Mr. PAbbé it la). Ouvrage de cet Auteur.
T. XLUL ?«
Mleu de truffé. Moyens de le rendre plusfblidc àTair.
T. XLÏ. 4T«
MhndiCéfriJhfktk). JugementfUr ConArtd^imfrimer
dis
TABLE GENERALE
desTableauxm desEjIampejcoierées. T. XXXV. 197
Bod;at{MT Loysde)» Lieute liant- BallivaUc Laufanne.
Extrait de tes Mémoires furrHifioire ancienne de Ja
SuifTe. T. XL. 95" Autr<cs Ouvrages de cet Auteur.
i^. Ce qui a donné lieL\ de compofer ces Mémoi«»
res. 96. Autre Extrait de iies Mémoires Critiques fur la
Suîflc, &c. T. XLVII. 1^. Son Syftême, & fur
quoi il eft fondé. 37
iùC'Und 8c Folk land Cette didinâion des terres cxk
Angleterre auffi ancienne que les conquêtes des Sa-
xons. T. XXXVI. 66^ Explication de ce qu'on ap-
pelloit Boc4and ou Terre altodiale. ibid.
Hodines, Qui ctoient ces Peuples. T XL. -iS
Boeclems {Jeun-Henri), Avanture qu'il eut iUp&l, où
il étoit Profefeur. T- XLVL i^f
Boehmer (Mr, Charles- Au£ufte) y Directeur du Tribu-
nal de la BaiTe Siléfie • éri^é à Glogau par Frédéric JI.
T. XXXIV. 176
"Boehmer (Mr. Frédéric-Samuel) ^ ProfefTcur Ordinaire
en Droit , & Aflcflcur delà Faculté de Halle. T.
; XXXIV. ^^é
^oehmer {George Louis) / Vro^cffcsir Ordinaire &
Membre de la Faculté en Droit de Gottingue. T.
XXXIV. i-jS
Boehmer (Mr. Jufie'Hemtng) , regardé comme le Rcf^
taurateur du Droit Canon chez les Proteûans. T.
XXXIV. i7f . Temsde fa naiflànce. iind. Ses étu-
des. Testai ns. ibid' Ses divers emplois, ibid* Char-
■ ges qu'il refufe. i^iV. Ses Ouvrages. 276
Boehmer {Fhiliffe-Adohhe) , Profeflcur en Médecine à
HaUe. T. XXXIV. 176
Boerhaave (Mr. Herman), Son Eloge. T. XXVII. 338,
é^fuiv. Tems de fa naiflànce. ^14/. Sa Famille, i^ii^»
Ses excellentes difpofî rions, ibid. Sciences que ion
père lui enièigna. iiid. Attaqué d'un Ulcère malin à
lacuifTe, dont il fe guérit lui-même. 339. Progrès
qu'il fit dans lesCkifes. iàid. Il s'applique à kCéa*
* mé*
DES MATIERES. tf
ttétrie, quoique Ton objet principal fût kThéoIo-
fje. iSid» Il étudie la Médecine. 3^. Accident qui le
étermine à renoncer stuMiniôèreSc à la.Théofogie.
341. Accufe d*être Spinozifte. iéid. é' fiàv, Etoit
ton réguHer à certaines pratiques de piété. 34».
Tems auquel il fut reçuDoâeur en Médecine, ibîd.
Seigneur qui le foUtcite par de magnifiques promcf-
iês a venir s'établir chez fui à la Haye. 34.3 . Il devient
ProfeiTeur* ^44. Grand fiiccés dejfes Leçons. 345*.
Ses grandes occupations» ^id, Ju^mentfur ùlCU-'
mie. 346. Combien il fe rendit aimable à ièsDiici-
ples. 347. Ses înfiitutiom bifcsAphmfmes. 348. Eà
viGxé pair kCzar Fierté l, & \cDucdeL0rraine* $^1.
Il eft fait Membre de T Académie des Sciences & de la
Société Royale de Londres, ihid . Son caraélère. 3 f i .
Grands biens qu'il a kifTés. 31-3. Idée avantageufe
qu'il donne dsiVHifioire Vhyjtiiue de U Mer , par le
Comte de Marfigli, T. XXX. x 36. U r^;aTde com-
me probable le Syilêmede Leeuwenhoek iurkGéné^
tion. T» XXXI. ^8. Ce qu'il allègue fur cette ma?
tière. iéid. Son fèntiment liir TEpiderme. 177. Et
fur les objets du Goût. 31^* Lettres deceMéckciflu
T. XXXil. 215-, Eft l'Auteur de kTradudion La-
tine da Difcmrsfur U firuSturt des lUurs par Mr»
Vaillmt, 420. Jugement fur fa Phyûque Se fur ià
Médecine. T. XXXIV. ^4^ En quoi il fait coït*
fifbriraûion du Soleil. WU.&fuiv^ Son fenti*
ment fur k nature des Corps primitifs. 99, 100.
Et fur les Elémens des Corps. T. XXXV. 68 ,
C^ /!»v. Hiftoiredeià Vie Se de fes Ouvrages. T.
(XXX VU. 483. Extrait de &s Leçons ^sdemiquet,
XXXill. 3^4» é'fuiv. Ses talens. 36. Idée de à
fhypêUgie. ibid. &fuvv. Tems de fa mort. 40. Cri-
tiqué. 6 1 . U s'eft trompé fur ks d^és du plus gr»nd
froid Se du plus grand cnaud. T. XXXIX. 309. Er-
reurs dans lefquelles il eft tombé. T. XL. 197. Ac*
cufê d'avoir mis dans fàChy mie des opérations <|u'il
E n'a
TABLE GENERÂLK
n'a pas ùiÀtct lui même, ao8. Méprtic» que']»! re->
fsœktïJmmMim habile Chymifte. iM. Exemples
de qocIquesoUBs de les Sydémes mal fondés* aïo^
é^fimi. S^eftttopr^oTé, pourl'Anatomie, fur des
Auteurs peu âdèles , (c n'a ^taucun uÊigede quan-
tité de bons Autours originaux . lia. N *a jamais fait
dedijlèâjjoii iùivie du Corps humain. ihU, Erreurs
de ce Grand-homme. îM. é^fu^» juiqu*à a id« Ac-
cufé d^avoir débité des clûmères. T. XLI. 44^. A-
iseu modeAe qu'il i^t. T. XLV. 144. Idée, qu'il
donne de la nature de TEaudcdela Glace, ikià. é^
fuif^. Sa manière de traiter certaines mabdies chro*
niques. T. XLVI. ^5*, ^Jupv. Erreur de ^itou
l^MieUtombéauiujet d%inc maladie dont il fut at-
. ttqué. III, é^fiêiffK EmTmâ»&Mitk»dtJ'éf»dier
m Uiduinti ccHtigéâ ^ au^nentée par Mr. le ^o-
leOèur Ji»^. T. XLVII. m, é» fiêw. RecueU
de Lettres avec les Réprâ&s <k ce Médecin. T.
XLVIIL iSa
"Bmif^ iauviagesdp T Amérique. Comment on les prend
en inc. T. Xl^Il. 5"^
Wékémane», Peuples auxquels on dtmnol^ e« nom. T.
XLVI, 44
Btl^mknié Raiiba quf Wppvte à e0ib(i^0k h nouvel-
hS9&!Ê^ytmh$».t'>XhV. .71
m^hmê (Si^rafiit'ftèqm}. T. XXX. 416
Mpi$m (les). Origias iteces Peuples. T. XXXVII. 97
M&Hm^. VofSft Jh)fl$m» ^ '
Mr die quelque Animal ihc^nâmeux, trouvé dan» une
Rivim d^^k, lequel tenoi« à un Crâne, dt Re-
fait avec luijj^ de fti«ant»lcdix livres. T. XL.
18^. AutVQ mt encore plu» fogulier» i^id.
1^ 4ei Sipvici» Extrakd'ua Mémoke ft0^ tamgmeHta"
tim ék hfmt &Uh dm4$ de ce Bok, T. XX VIIL
4^8. Expérience qui prou vequêlp Bois dudefiusde
h tige d*un Arbre és^iftcé , mén^e avec des délluts
^a cdtt^saUos, cftphiapelàmlc phisfoitque
le
DES MATIERES.
le Bois tire du pied d'un tmtrt arbre non écorcé ,
ipii d'ailieurs n'arok aucun défitut* 44.0. QaeSe eft
k caufe Phyiique defoUdite 8c de force dans le Bois
écorc^. 441. Moyens decodèrver les Bois 8c deles^
rétablir. T. XXXL 461, ^fuiv. Bois îacombuf-
tible. T. XXXVIII. 11. Réflexions 8c experien*
ces fîir k force des Bois par Mr. du Hamel. T. .
XXXIX» 46^. Importance de cette matière pour
la conftruâioa des ËdîBccs , des Navires 8c des Ma-
chines. i6U. Par qui elle a été traitée, iâid. Princi-
pes ôeM^riotti 8c <ie jMmtz, adoptés par Varignon
ScFârmt. iSid,
BùismêU (Mr.i/e). Extraits defiwHîftoîre générale de
Ja Marine, T. XL. J45
Bpijfkt (FMrr«),de l^A<^miefnaçoifè,fufnommé 1 EJ'
frii. Ëfpèce de Sermon qu'il dt à k Reine Chrifime de
Suède , au-Ueu de k compHmenter. T. XLV. 437
Bêivm, cité. T. XLVIII. ipf
S^lw {Amu de). Voyc* Hmri Vin.
B(4eslas Chrç6n, Roi de Pologne, réforme les vtûtgss
8c les ]^éju^s de &s Sujets. T. XL VI. f^ . Avantages
que lui accorde ^Empereur 0^160» I. que & grande ré-
putation avoit attiré a Gfie&ie. iMd. Allianceentre ces
deux Princes, ibid. Belles adions de 'BoUJlâs. f 4
9$kfiMi 11, Roi de Pologne. Toutes fes vertus corrom-
pues par l^araour de k volupté. T. XLVI. fè. IleA
excommunié par StanisUs , Evéque de Cracovie 3 8c«
peur Si t>eflger de cePréltf , il le poignarde i Yavl»
tel. ièid. U eft excommunié 8c dqghide par k Cour
de Rome. t^V. Il k retireen Hongrie , oà il eft en-
core pourfuivi par le PoneHè de Rome. ff. Sa fin
xnalkettreufe. Md.
MesUi m. Roi de Pologne. Ses qualités. T.XLVI.
60. lîdivifis k Royaufliecattre ^ enfins. tèid.
MêsJlss JW> eftfÊiit Roi de Pologne après k déposition
- de Ibn frère uWi/e^j U. t. XLVI. ^1
S^Ak; V. &«ideFologae. invafion que ks Tartares
6i TABLE GENERAI^E
font en Polosie fous Con règne, & qui y mettêne
toutà feu te a fang.T.XLVI.64. Avantages qu'il
accorde aux Ëccléfiafliques, àid.
BolingSroke {Henri S.jFe^OiSeigneur Vicomte de). Ouvrai
ge de ce MiJord. T. XXXIX. 477. Extrait de fes
. Lettres /m- VEffrrt du ?atriotiJhe. T. XLII 1 .14} Elo-
ge de cet Ouvrage . iM* ér fuiv. Particularités de
la vie de ce Seigneur. 244. Regardé comme l'un des
plus habiles 8c des plus ingénieux Ecrivains de Con
. fiécle. T.XLIX. z^f. Jugement fur le tableau qu'il
trace des affaires de l'Europe depuis la Paix des Pi-
rénées jufqu'au Traité d'Utrecht. ibid Attaqué fur
k manière libre & peu refpeâueufe dont on l'accufe
d'avoir traité l'Hiftoire de l'Ancien & du Nouveau
Teftament. 469, é^fuiv. Mémoires de la vie & du
Miniftèrede ceSeiraeur, avec des repiarques libres
furies Ecrits politiques. 471. Idée abrégée de fa vie,
• de ion caraétère, de (es talens. ibid^ Ses S:ux paifions
dominantes 47 3 «Ouvrages où l'on attaque £t% Lettres.
T.L. ig4.I>equoibnlaccu{è. tjf. Sadéfenlè. 391,
Btf/oenf (Bouteilles de). Voyez Bouteilles de Bologne»
Boljec. Particularités qui le concernent., T. XXXII.
' 17 fi&fuiv. Raifon pour laquelle il fût mis enpri-
ibn. 446 , éi^fuiv* Remarques fur fbn différend avec
Calvin. T. XXXIV.4o8,e^y»iv. Voyez CalvkL
Boltenhagen (Mr. Gérard), Cruelle Efquinancie qu'il a
vue. T. XLI. ,3«
J3^»4re//i (le Comte). Jflg^ment fur un Ouvrage de.cet
Auteur. T. XXXV. •35' ,
Bonello (Mario) y homme d'une grande éloquence , tue
Majone , favori de CuilL Roi de Sicile. T XXX. 3 ta
Bonheur. Ce que c'eil. T. XXXII. 14. Traité fur le
Bonheur. T. XXXIV, ar, é^ fuiv- Ccq\4 f^tk
bonheur. T. XLI. 3/3. Si on n'efl malheureux que
par ià faute. ihid^ &fmiv,
Bonifaee IIL (le Pape) obtient du traître Phocas le «f-
crtpt qui donne la Souveraineté au Siège de .Rqoiq
DES MATIERES. ^9
l^ en oppofition ^uz prétendons du Patriarche de Con«
ftantinople. T. XLIV. 1^9 '4
Baim€'È/pér0nce (le Cap de% Par qui & en quel tems il
a été découvert. T* XXXVIII. 195"
Botmet (Mt. Charles). Extrait d'un Ouvrage de cet Au-
teur. T. XXXVI. 179
'BùfMêt. Obfervations infeâologiques qu'il a envoyées
à la Société Royale de Londres. T.XXXVII. i6t
Bmfé, Remarques ftir la Bonté.^ T. XLI. i%6
Ben tm. En quoi con(i fie hhm fan dans ceux qui ont le
plusd'efprit. T. XLIX, fç
Bmxjes de la Chine. Chaînes qu'ils traînent dans les mes,
en fe frapant la tête de toute leur force. T. L. 67
Bar dîng (Jaques), Son grand iàvoir. T. XXVI. 264
Bore (Catherine de), femme dcLuther, T. XLV. 7 1
Bûfe ( Mr .) . Ce qu'il a découvert lur k Vertu éleéhique.
T. XXXIV. f, 7, îo, i^.&fupv. 16, é^fuiv.
Ouvrages de cet Auteur. 19 , 20 l!.xpérience dont on
lui contefte la première invention, T. XLIV. 597
Bûfits. Erreurs ou il efl tombé au fujet de quelques Mé-
dailles. T. XXVII. 1*7,128
Boffe (Mr.), Miilîonaire Proteftant. T. XXXII. 173
Botal , regardé comme le Patron de la Saignée , a exer*
cela Medecincàla Cour de France.T. XXXVlï.435'
Bfftàmque. Son inutilité. T. XLI. 4^9
Botrus, Prêtre T. XLVI. 20
Botta (le Marquis de) eft tué au fiège de Prague. T4
XLIV. 78
IBoHchet (Mr. l'Abbé Bkher d»). Extrait de fonAfolo^
gie de Moïfe contre Apm, T. XL VIL 282, (i^fmv.
Autres Ouvragerde cetw^uteur. T. XLVIII. 338.
T. L 363
MouclierVotiftrovLvé enDauphinéen i732,T. XXVII.
1 38. Ce que c'eft. i^id
Bmcliers, Extrait du Traité d«s Boucliers des Anciens
ÎiTBlaife Cartophile. T. L. 34. A qui on a attribué
ur invention. 3^. Defcription du Bouclier Grec »
E 3 ap..
7* TABLE GENERALE*
appelle ArgêheusClfftm. )6. CltcK quds Pca^ 9
futcQu&ge. ibid. Réformé par TfMerâUf Genénd
Athénien. iM, Juiqci*àquel tems les Romains s'en
fèryicent. ièid. Et quel autre forte de Bouclier ils lui
fubfticuèrent. i^. Forme du Bouclier nommé £ni»«
tum* iiid* Et du petit Bouclier appelle P4tf»»/>. iéid.
Le Bouclier des AmaZ(ones. ièid. Celui des Gaulois»
fiid. Ceux des Germains, des Bretons» des Efpa-
gnols, des Scythe, de des Thébains. 17. Différeii"^
tes fortes de matières dont les Boucliers étoient faits.
Md. Pièces dont ils étaient compofees. ièid, Dfà*
gçsqueronfaifoit des Boudiers* 39. Figures qu'on
y gravoit. 40* Loix contre ceux qui vendoient ou
mettoieât en gage leur Bouclier. 41
BcHgÉUr (Mt). Extrait de la Relation de fon Voyage an
Pérou. Té XLIL lof, Diverfes particularités cou*
cernant la publication de fon Ouvrage fur la figure de
k Terre. T. L. 184, é^fi^iv. Objeaions qu'il fait
contreleLiyre deMr de hCçndâminif avec k^ré**
ponfès à ces ObjedîHons. ^9^ » & faiV'
Bimhier (le Préfident). Sesremaïquesiùr quelques Mé-
dailles. T. XXVIL 130, i^i. Ses travaux littérai-
res au milieu de fes autres occupations, T . XXX Vl.
4^5*. Ne rejQèmbloit point à ces Savans inibciables &
inutiles, qui négligent l'étude de leur propre Langue
pour fkvoir impar^tement des Langues anciennes.
45-6. Sa Traduâion du Poème de Pirr^Kftir la Guer-
re Civile, ihid. Sentiment où il étoit,que les Poètes
doivent être traduits en Vers. ihUL
lB<mhmrS' Jusem^tfurcet Auteur. T. XLI. lai » m
Bmjean (leP&e)» Jéfuitc, Auteur de l'*<f»«f^»»oïr P^i-
tofofhique /ht k UiJ^age des Bêtes, T. XLVIII. 111.
Sort qu'cutce Syiléme loi£]tt'il vit le jour. î^/,
Bêftillon (le Duc de), neveu du Prince d'Orange, eft
engagé dans kconfpirationr die Cinf-Mofs contre ie
Cardinal de Richelk». T. XXX. 4^9. Il obtient U
giacc»Sc à quelks conditions. > 4^<
Bh
D:ES MATIERES- 1%
mwmg (Mr.)» CiodUbt 4i hVlà&éa Px^oCtftmefeL-
' bliedansleTnagacbar. T. XXXU« «73
i^ulmwUiws (k Comte de) pfrtead <|ii'<m n'a pM«n-
core left^ë, Comme il Suit^ kSjMmc ésélfim/M.
: T. XXIX. no% 131
:$oHUm (Gilles- Fiii^Qis},Pi«mter AtK»tiqiiairt lia
Roi, Aâbcié (k TAcÂdcmie Royi^ ^^îciiccfi) 3(c.
Hîûoire abrégée de ià vie, T, XXXiX» 4(^4* Ses
Ouvrages. i^«/. ^a tm&ixt. iMx
iomliitr (Mr.), Cité. T.XXXIL ?i8. s^. Exttait
,ae fou Recueil de JHfi^t^tims ^4cri$$* T. XLVI.
if^y &f»iv. Erreurs où îl«fttx>iiiW à$ns fea^
ySii fur i'jâ>^ i/e/ i^lt;. 104 » »ôf . Amtoinie du S/1^
té me aflfez mal imaginç« $c fès. inal IbutAio de ce
Mimilre, Auteur de ÏEffai Vhiîoféfhkfufifr i^^ém dès
Bêtes.T.XLVllh aa^.Trak fréidmplMcta <k la Préi»
face âefotiEflài. iM. Réfutatioadc fes fo^fmes,
ftii f^f^fi^' ^^ ^^ revivrt W &aûmfP»t %bfurde dt
la Métempfycofe à Tégard des Bêtes 114, .i&|'. I^tre
. de ce Minkire iur k Ikjéymenfé T,Xt»I^. |l
Àv^w^, cité. T. XhVlîl. 9.!^S
BMriw (la Maîfiin de). Commci»t«lk $'t& dt&itefeu
à peu de tous {èsfWÛâSms V^GmU* T* KL. 4f
tmrcifUy , Archevé<|ue ^CantCN-b^/» eatrepreiidd'ia*
troduire l'Art de l'Imprimerie en Ani^ecerrc. T.
XX VIL tu Tems^h^i^l il piftiat aià Siège àc
Cantorber^. 11
^mérddigm (le Pète) lurfaîibît en Cbafav » & doooftit au
rabais dans le Tribunal de b PéaittoCf. T.XUV<|S I
fêurdil^j MiàeânàeCirti/iim Mgtàt Suède- ÇJ^C-
tiou qu'il Ëiità<^ue Priocpfltk T. XLV. 43^
^oitrdw <Mr. ii»)* fifteur où ce ^ti^ilire «ft tojUlbe.
T. ÎXXVI. 43|. Ueft k pi^micr ^ui aie attlqué
daxuksIbrmeskLégîopThébéeiUieé 439
Bmrgiut (Me.) £lQge defes^^c^nv/ P^/i^Mfi^^, 6cc.
T. XXVIl. ^50, Prcjttad que le Ftu ûpnilimc ac-
t w cllccaç m la Terre. tfÂ). OuvçifiidfmAtteiir^T.
1^ jL XLXX.
^t T^ABLE GÉKÈRALÈ
- XXX. ijo. Réponfb qu'il fait aune objeâionpro^-
pofée par Hartfieker contre le Sy ftéme du Développe-
XDentdesAjQimaux.T.XXXI.86,87. Confetlqu'a^
donne pourkconferiîon des Infidèles. T. XXXII.
%S^. lettre qui lui eft adreflee. T. XXXV. ^ff
"Bmngnm (Mlle.) ^igi^Sv^mmeréUm. T. XXX. 42 tf
BmffoU. DecouTCite lur les loix de la variation de la
BouiTole. T. XLI. 366, &f»h.
"BêUteilUs Je Bol^gm. Ce qu'elles ont de merveilleux 8ç
de furprenant. T. XXXIX. 10, 11. Conjeûuret
fur les phénomènes qu'elles produifènt^ ix
t&$tmni. Voyez Mârc9ttes,
BtfiMf (Mr.). Son Hiftoire des Papes. T. XLT. %%j.
T. XLIV. } & 143. T. XLV. 161. T. h. x^u
Voyez Pafes,
^(mes (le Chevidier) eft envoyé à Rome par la Reine
ZUxAbitht 2c pourquoi. T. XLIII. 31a
IBtyiario. Remarques fur ibn Poème de faiêni* T.
XXXV. 13a
"Bcyle (fiifhm) , cité. T. XXXI. 337. Extrait de fè$
Oeuvres, T. XXXIII. fi. Origine de fà Famille.
5*3. Ses premières études. 5*4. Il eft confié aux foins
de Mr. Mârcenées. ibU. Il fèrendà Genève, ibid^
Uv^Vageen Italie. iM. Son retour à Genève, où
il reue deux ans. f6. Il revient en Angleterre, ibid.
Il s'api^ique à la Philoiopffle expérimentale, f;. Et
àlaCnymie. îbU, Jugement qu'il portoit des diver-
iès Seâes de PhUoiophes. ^U. Sa modération en
matièie de Religion. îJi^. Il invente fà Pompe Pneu-
matique. 1*8. Pourquoi il refufè de s'engager dans
l'Etat Ecdéfiaftique. 60. Il i^tpartau Pubucdefès
découvertes. îHd. Corporation établie par fbn cré-
dit. 63. Divers Ourrages qu'il publie. 6±, é^ fuiv.
Il fè fait recevoir Doâcur en Médecine à C^ford. 66.
Il quitte Oxford pour venir à Londres , & paflè le re^
te de ià vie chez ui Sœur la Vicomtefle de Ranelagh.
ii.JXz uqe attaque de Paralyfie. 71. Ilétoitun de«
DTÊ S-M AtlERES. 7î
D!re%Qrs de la Compagnie des Indes. 77. Intérêt
' qu'il prend au làlut des habitans du Nouveau Monde.
âid. Aâe de Gl charité . 78 . Il eft attaqué de la Pierre.
' 8o« Il perd une grande partie de les Manuicrits.Si*. Sa
mort.S7. SonTeftament. iàU,^fmv.Sonrcfpe6k
pour b Divinité .88. Son. Oraiibn funèbre par l'Eve*
que Burnet. ibid . Son erreur fur la nature des Elémens
des Corps. T.XXXIV.97. Lettre de Ntwtm à ce Phi*
lofbphe. T. XXXV. if^. Découvertes qu'il a faites
furladivifibilité delà Matière. T. XLIII. 43^. Ses
autres découvertes en Phylîquc. T. XL II. 186
BoyUtku. Jugement fur ce Poète. T. XXXVI. 461,
Défauts de ce Poète. T. XLI. 193. Accufé de s'ê-
tre arrogé Je droit de médire impunément. îM. Les
Femmes fc vengent de l'outrage qu'il leur avoit fait,
294. Mauvais traitement qu'on lui fait. apf
'Bexji (Mr. lie). Secrétaire Perpétuel de l'Académie des
Infcnptions Se Belles- Lettres. Son éloge de Mr.Rp/-
ii». T.XXIX. 43f, &fmv. Sa Lettre fur une Mé-
daille antique de S inyme. T. XXXill. 169. Cité.
T. XXXV. If i
'Brachia B^alU» Miniftres auxquels ondcMiaece nom.
T. XLIV. fi
tr^gi^net (le Duc de), depuis Roi de Portugal. Son grand
crédit excite la jalouue desEfpagnols qui cherchent
à Je perdre. T. XXIX. 17. Les Portugais lui of-
frent la Couronne. 18
'Br^iî&ttgne (CMftfffhk-'Bemard Je) , Prêtre , Do^en de
Comte de TEgliie Royale de St. Julien de Bnoude*
Temsdeiànaiffànce.T. XLII. 202. Sa généalogie.
ihid. Ses premières études.!^. Progrès rapides qu'il
fsdt dans les MathépatiquesSc dans la Phyfique. 203 .
Il obtient une plice d'Elève dans l'Académie des
Sciences, jhid. Son Mémoire fur les Quadratures des
Courbes. Uiid, llfe coafacre à l'Etat Eccléfiaftique.
itU. Amis diftingués qu'il s'étoit faits, iàid. Il fa-
crific à ies devoirsTe charme de toutes ks ^sJ£oasMd.
yf TABLE GRNERAtE *
Il eft nommé à k ^hxx d'Aflbcic Ubrt dt P ACHlé-
mie. iSid. Son Traité des Lignes du quAtrième or-
dre, xo^. Sciences ^ver(ès lUx^udleK il s'étoit tp^
plsqué. iMd. Sa mon. Md^ Soncanâère. iàiéi»
PnUri» Réfîdent des Cttrkndois à Waifi>vie, caMge
le Comte de Saxe à accepter la Soaftrai&eté de Cur-
lande. T. XLIX. I89
Jkandt (Mr. George) » AffeUkas du Collège Métallique
de Suède. Idée de &s Ob(èrvatîotis C&miques. T.
. XXXVIII. 17. Mémoire de ce ChimiAe fur un
FofTiIe. T. XLI. 14.. Autre Mémcûre où il com-
pare la Potaffe avec k Soude. î^i. Cité» 17
Mrmtdé (Mr.). Découvertes de ce Chimiile.T.XLL 24.
MriUfdeèatrg. Extraicdes Mémoires pour ièrvir à THil^
toiredeBrandeboui^. T. XLV. 6^
l^tmdeèoterg-^Bârekh (Mme. k Margralrede) » Princef^
fe Royale de Pruffe. T. XXXIV. 8
Srandeèmirgeois. Mémdre qui traite de leurs Mcsttrs»
de leurs Coutumes, de leur Religion9&c.T.XL V^oé
,trMmm (J.>, cité. T. XLIV. |4f
Brëxjey (Mr. ie).Ouvragc de cet Auteur.T. XXXI Véioi»
"Btéis d'Isknde. ItiùmBt partitulief de ces Animaux
xKHirfc défendre du froid. T. XXXVili. 79. Cel-
les d'Egtptenefont pasphififurs portées par an. T*
XXXVIII. ^m^ IL 7f . BielMs d'Ëfpagne qu'on
a établies dans k Gothie» 8c kurt avantages. T.
XXXIX. 17a. Caufè d'une maladie épidémique de
ces Animaux. T. XLI» )f • Dfilènterie à kquefe
elles (ont iiiiettès en Sctnie. T. XLVIL 194
Bnlin (Mr.) donne le deflein d'un Moulin i bras* T.
XXXVIIL Pm.JL ft
"BnmmU {Mt.di). Sa réktion d'une Lime frapj^ dek
féucbe» te rendue mafioétîqtte par ce mofên eïtra-
ordinaite. T. XXXVI. 53»
ISremwd {ItMfpU de)* Hiftoire abré|;ée de A rie* T.
XXXIX^f 97.SesOuvragesi^i^.Ciuliède(à mort^içS
"Brudanaim (Mr^). S» naanuforits. TiXLL 2fi,afa
DBS MATIERES. >f
«Niiitl (MtO> cité. T. XLL %s%
MréfiL Fièvres dangeMU&s oui j îègnent. T. XLL $74,
Geqa'il produitoît aatrmis. T . XLIL f 9. Paî quà
jhazard oq j a découyert de l'or. i&id. Diamans qui
s*Y trouvent. 69
ISretatu (leà anciens) ibnt attaqués parles Piâes Se ks
Ecoflbis. T, XXXVL63. Pourquoi ils apoellèrent
: ks Saxons à leurfècoors. 64. A qui tombèrent ea
partage ks terres qu'on obtint d'eux, ou qu'on leur
arrâcna. 6f
9reyne (Mr.^ , deDantzic« Exempk qu'il fournit x!es
maux qu on peut s'attirer par trop de ibinde ià iàsté.
T. XXXVL 318
Brierme (Gautier de) , Lieutenant de Vridirîc 77. Secours
qu'il reçoit de Bickard de Comouaille.T.XXXlILTo
Brill. Nom qu'on donne en Angleterre au Camp de
Veffsfim , kirfaull débarqua. T . XXXI V . a 1 7
'Briftol (les Eaux de). Recherches fur les vertus médcci-
naksdecesEaux. T. XXXV. 471. T.XLÏV. 47^
tritanmcus. Sa mort. T. XLVIL 400
Brêdéms. Sci Notcfi far Lui^im. T. JCXXL 4
Broê (Franfois}y Profeflêur en Droit à Bourges. Ou-
vrage de cet Auteur. T. L. 14$
Brœderfen (Mr. Nicolas),. Extrait de ibn Traité fur l'c/'-
fftre, T. XXX. 399. Troupes dont il eâ: fait Gêné»
raliffinie. 405*. Son ék^ , fa profonde érudition. 41 S
Brœk (Fieter vandm)> Son voyage an CapVerd de à
Rufisko, T. XLllL s
Broglio (k Maréchal de) marche vers Prague» apr^k
Traité de Breilau, pour fè mettre à couvert lous k
canondecdteForterdlê. T.XLIV.é9. Pkt»*poai>
Yoirs quikdfimt envoyés, de même qu'an Maréchal
de Belk-Iile, par la Cour de France pour traiter a*
Tcc k Prince Ch0rks di totraUu , d'un accommode-
ment à regard de k Bohême. 70. Il défend Prague
contre l'Armée Autrichienne. î^. &/Hiv, Il prend
le commandement de f Armée Fraosotiè* 8 1
tc table genehale^
BrmfiUd (Mr. W.) , Chimrgien. Sa itUtion d'uiiS
GrofTefTc ycntralc. T. XXX VI. 3^8
Br^ffi. Divisions affireufes caufées en Hollande par les
fàâions KÂ4S icBr$od9 le&cs àes Houks & desC«-
^i//w««r. T. XXVII. 4
Br#ivjikmi(TÀ0m«j). SonDi^MffiMfreHîjfdri^detoii^
tes les Religions du Monde. T. XXXII. 472
Browall (Mr.). Ses remarques fur la fiimée qui s'élèire
des Mines de Vahlun. T. XXXVIII. 61
Bfw<»// (Mr.jFe^»), Doéèeurgc Profeflcur en Théo*»
logie à Abo» Botanifte 8c Pbrûcien. T'. XLl. ^è
Urtpvue (George) , Archevêque de Dublin , eft le pre-
mier du Clergé Romain, en Irlande , qui fècoua le
joug de la Suprématie du Pape. T. XL. 197. HiC'
toire abrégée de ù. vie. iàid^ érfinu,
trftmmg (Mr.). Ouvrage de cet Auteur fur la Méthode
de faire les différentes fortes de Sel commun. T.
XLV. 481
Bmcker (Mr.jF^Mej)» Minîftredu St. Evangile à Augs-
bourg. Ouvrage de cet Auteur. T. XXXI V. x6S
"BruM (Mme. la Comteflê de) •lEpoufè du Premier Mi-
nière du Roi de Pologne. T. XXXIV. 8
Bmneti, Italien réfugié en France, traduit la Rhétori-
que d'Ariftote. T. XXX, 79
Bnfm (Mr.) »Médecin'de Turin. Sesiexpériencesfurles
Bouteilles de Bologne. T. XXXIX. 10
'Brimen , Evéque de Toul » Allemand de Nation , def-
ccndu de Maifbn Royale , £c illulbe par Ton fàvoir 8c
par (à piété , eft élu Pape, & prend le nom de Léon IX,
T. XXX. 315-
Brmtpull (Mr.) , ConfeiUer de Cour de Sa Majedé Bri-
tanni^e, Profeflèur en Droit Canonique, 8c pre»
mier Profeflèur de la Faculté de Droit dans l'Aca-
démie deGoettingpi. Extrait de ibnHi^0ir#i/if Droit
t^ûmain'Germamque. T. XXVI. lof. Tems&Heu
de fà naii&nce. 107. Il eft envoyé à TUniveriitéd^Iè-
ne. io9. Sciences au^cqueiles il s'y appliqua, Scibus
quds
ÛES MATIERES; n
. quels Piofeilèurs. iM. Son retour dans fit Patrie,
où il exerce la Profe^ion d'Avocat, ièid^ Il accom«
pagne un jeune homme de qualité à l'UniTeriité d'Iè-
ne, où il prend le degré de Doreur en Droit. UU.
& 109. On lui donne l'Emploi d* Avocat ordinaire
de la Cour Provinciale de Saxe. iàid. Se obtient en-
fuite le titre de Profèilèur Extraordinaire en Droit.
iiid. Autres Charges dont il eft revêtu. îM. Tems
auGuel il fc rendit 1 Gocttingen , où on Tavoit ap-
pelle pour Profbflêur en Droit Canonique , & pre-
mier Profèilèur de la Faculté. î^/V. Sa. mort. iM»
• Ses Ouvrages. ^ 1 to
'BrmfHs , meurtrier de Cifary fbutient le paiti Repu*
blicain. T. XLIV. 1^7. Sa parfaite intelligence a*
vecC^^/. 169. Us partent runScTautre d'Italie,
comme de maUieureux exilés. îkid, Usiè revofént
. à Smyrne. îM. Cê§us vafoumettre ks Rhodi]ai%
. & Brutus va porter la guerre en.Lycie. 170. Ces
. deux Gétiérauxife rejoignent à Sardes , où leun Ar-
. mées reunies leur donnent Je titre d'Imferatgr. ikUk
. Ilspaflêot d'Aiie en Europe. 171. Ils tontàSefie Isî
revue de leur Armée, ibid. Leur rendec-vous géné-
ral dans la Plaine de Doriiqiié. ihid. Ils iè oampeat
prociie de la Ville de Philippes.. îkU* Defcription de
ce campement. Mi. Ils fe trouvent à la vue de 1' Aih
mée dû Triumvirs leurs ennemis, ibid. La batiaSle
. le donne. 173, &fHw* Déroute de T Armée de Bm-
tm^^Cê£m\ êc fort de ces deux Généraux. 174.
Imytri {Le), dié. T. XXXI. 437. Jugement fur la
critique .qu'il fait des Moeurs de nos jours. T.
XXXIV. if^
BtMt (le Capitaine du). Complot qu'on l'accufe d'a^
-, voir formé. T. XLIII. 9a
:Btêddms (Mr. Jeàt^Tranfns). Extrait de £onTrAiti dé.
l'Athéïfm &dela sdferfiiHcn, T. XXVI. 568
BMJfcn (Mr. df). Extrait éfunMémmn de cet Auteoc;
T. XXYIU. .4;8. aïoa .MéiAoire fur la CûH/êrva-^
7l TABLE GENETIALE
tm& liRlfMiffiment Jislûrits, T. XXXI. 461:
Autre Mémoire iixr la culture des Foréts.T,XXXIX •
44f» ^<^ hypothèiè for k fbrmatîcMi de la Terre.
T. XLV. 143. Examende cette lr)rpothèiè. «48,
^ fitfv. Autre hypotkèfc iiir k Génération des A-
nimaux. T. XLVI. 6y 9 fj^fiàv* Difiioïkés gai^
. sencontrentdanscette hypothèiè. 70 , <^ySMv. Sub-
fbince vivante 8c organique qu'il admet dans ks A*
nimauxdcdaaslesVég^étaMix.Si. SiibnSyftéme efl
dangereux pour k Religion. 8). Son jugement faux
. fîir ks Tabksde Mn. i»% Ce tkrgèkçêm , fur k du-
rée de k Vie humaine. T. L. 379
n»Jb ou métUm. T. XXXIL 41!
BH{«l^fm (7«ii») > l^ini^ & ProfefTeur à Witten-
. berg, faoc le Roi àcVtmosmaxCyChr^iym il/. T.
: XXVII. 1^
WuIpUos. Mom qnVm donne à des Goquiikges 4 pour-
pre, T. XLIV. 416. Ce «pie c'eft quece pourpre.
0(1/. Comment on lettre. iM.&priv.
Wimantf^ (Mf.)> cité. T. XLVIII. 304.
Murme (Mr.). Ouvrage qu'il a traduit fiir k Mufique.
T. XLI. 381
llwy^^,Grand-Tréfixrier d'Angleterre. SonDticours
•. intitulé VExèe$Êtkn4êUymfiî$$€nAaglêt. T.XLV.ic
B)irr/«ii»fMfM^|(Mr.}. Extrait de fesiVwirifex^li^jDrff^ M-
' t$frd. T. XXXIX. 314. Origtnoderafamilk.f^û/.
Rations qui l'ont porté à pubkeribcKDuimige.^i^'*
Jugement fiir cette produâioa* 338 , 339. Tradqc-
tion Angbi^ de fes frmeifis du l^^ît NfHwrêl , flcc,
T. XLI. 117. Extnit de fes r^mcifis d^DrmtPo-
Utiqm, T. XLVI. 508
BtvlamMfêi {tUnh) » ttasmàc femme xile Jhiêdort^j^
griffa d*A$i6igné, T. L. Jif
MmiiJ^, Diicours for le Styk buxieique de Sùmm.
T. L. 5M>
lhW9RM9 (feu Mr. Fiirr$ , ProHeâêur à Lefde.} tccm
u^k^piopos iât.4Sffier^ T. XXXLijr/P^rtiauk-
« .. lito
âiÊS MATIERES. 79
fité qui k concerne. T. XXXII. 66. Extrait de Von
Edition de Fïrgiie. T. XXXIX. ^±o.Voytzrtrpk.
Wtirmm, k jeant (Mr. Fkrre), Profeiieur en Hiièoiieët
en Bdles^Lettres à Amfterdsm , publie le Rtcueil de
Nicolas fftm/iw: Extrait de cet Ouvrage. T. XXIX,
75. OuTT^ de cet Auteur, T. XXXVIII. 254,
Extrait de fbn Oraifi>n funèbre fur la mort de Mr. 7^1-
^jwi/Orvi/ie.T.XLVIlI.ipi. Vojrei; Onnllt{dri.
Mmmet (le Doâeur) , Eréeue de Salisburi , regardé
comme un des ^usmortos ennemis duRoi%iMM^.
T. XXXVIII. iff
9mmê* {(Ji^ert)» Fik de PEvêque de Salisburi. Ourra-
ge de cet Auteur contre le Cheralier de St. George*
T. XXXVI. 1^
Bkrmt. Réfutation de Ion HypotKèfè d*un Océan ren-
Armé dans le fistnikkTenre. T. XXXVI. 7
'Bwrtm (le Doâeur) , Auteur d*ufle Hifloiie de k Vie
. de des Oumges de B^erhave. T. XXXVll. ^t^
Mtifelnm cDJIcign» «n 1499 les premiers élémeas de la
Langue Grecque « Leipzig. T. XXVI. «ol
\
K
G.
CÀU (m00la$). Ses expériences fur I'Eka»c%^.
T. XLIV. 396
CâSilliaux. Voyez Brctf/.
C0^ (Vùumi), Profeâèur en Tkak à Orléans 8t k Ton^
louft.OuTrag»decetAuteur.T.L. i4i.Samort. 141
CiAnU {f€èf0 Alifitrez}. Expé^tions de cet Amiral
Poitugais daasks Indes Orientales. T. XXXVtlI.
197. &Jkîv.
Cêe^liâMhmHm , genre de Plante- auqud on a domiK
cé^fMMtt. T. XXX. 419
C»cM$0* Remarques &r ce Poîfibn. T. XXXVIII.
Sf . Voye» Smfleur.
CAdMnfTB. Corps tcôuré entier & non tcorrompu à Sta-
' iwta*dft DérowKîre, au boutde 8i an^de^ul-
ture.
«0 TABLE GENERALE
turc. T. XLVII. *37
Cêp. Traité furie CafFé. T. XXXVI. ^ 48$
Cagua (Mr.). Détail que donne ce Ckirurgîen d'ime
fiadture énorme du Crâne. T. XXXVI. 322
ÇaillaHdiMx,)y cité, T. XXX. , 18
Caille (i*Abbé de la) , Auteur d'un Ménpioire fur la
Comètedc 1741. T* XXXIX. 4^8. SesEphemc-
rides des Mouvemens Céleftes. T. XLL 13B. Ses
Leçons élémentaires de Méchanique. 140
Cailles, Recherches fur les Cailles répandues dans le
Camp des Ifraclites. T. XXXVII. 461. Elles travcr-
fent la Méditerranée. T.XLIII. 187, OùeHesront
paflcr l'hiver. T. XLiy. 39»
Cailloux» Dans tous les lits de Cailloux on en voit plu"
. iieurs de brifés : remarque Air ce phénomène. T.
XLIII. 191. EnquoiconMè ru&gedesUt$deCail-
. loux. 193, Voyez Fierres.
Caire, Grandeur de cette Ville. T.XXXVlII.Piirf./I.
èz^Combien il y a de Mofquées.i^i4/.Seshabitans.|^i/«
Çams (le Pape) a été mis mal-à-propos au nombre des
Martyrs.* T. XLVI. 11
Calcul imé^aL Idée d'ufl Traité fur cette matière.
T. XXXIX. 187
Culendritr ï^mam. liiStohc de ià réfom!iation. *{*•
. XXXIII. nt.éfuiv.
CaUndrin {Mi,) , cité. T.XLVIII. » 23^
Calendrini (Mr. S»L.)» Profeiïêur à Genève, regardé
; comme l'Editeur des Principes de h, Philofophie de
Newton , commentés par les PP. k Smr & jaquier»
T. XXXVII. 5*9. En quoi il a cont];jibué à enrichir
l'Ouvragcdc ce Philofophe Anglois. ibid, & 6«
CaligulaiÇaius), Pourquoi il étoit chéri des Armées
, ^àcs Provinces, lorlqu'il monta fur le trône. T.
XLVII. r47. Maladie, qui eft l'époque fatale du
changement de fa conduite, 148. Traits de fàcraau-
, té. ibid, & 149. Ses excès à l'égard de fes Soeurs»
, i^îi. U n'épargne prefque aucune Dame^ Romaine.
DE S MATIERES. «k
•
'i^'O. U emprunte les noms de toutes les Divinités , 6c
s'en aproprie tous les attributs Se les omemens. iiid.
Ses folies pour fon Cheval. 15*1. Ses dépcnfes inièn-
fees. iàid* Sa maligne & cruelle jaloufîe. ifi. Pont
qu'il Ht condruire fur la Mer de Bayes àPou^&zoles,'
par un excès d'extravagance , 1 5*4. Sa ridicule expédi-
^ tion contre la Germanie & la Grande-Bretagne, x ^f .
Vexations ôc cruautés qu'il commit dans les Gaules.
1 5*6 . Projets horribles qu'il méditoit , lorfque la mort
le furprit. 1^7, Conjuration qui délivra l'Empire
Romain de ccTvIonftre . iùid^ ^fuiv. Traits qui font
connoltre fa perfonne , iès goûts , iks diipofîtion^
pour les Arts & pour Icsexcrcices du corps. i /S
Calixte (George) , Profeifeur en Théologie à Helmftad,
periecuté par fes Confrères. T. XXXV. 42%
Callao. Cette ViUe eft engloutie par un tremblement de
terre. T. L. ^ 308
Caîifte ou CaUxte\ quinzième Evêque de Rome. T.
XLIV. i66. Son corps' expofé à l'adoration publi-
que à Rome 5c à Rheims. 269
Calmar 9 Poiilbn d'une ftrudlurc fîngulière & digne d'at-
tention. T. XXXIX. 38. Sa figure. iSiJ. Son re-
fervoir plein d'une liqueur noire comme de l'ancre.
ièid* Ses dix Cornes ou Bras, tous garnis de fùçoirs
dontlemécanifme ed admirable, i^id. Defcription
de ces Bras , 6c matière dont ils font compofés. ihid.
Se 39. Aâion merveiUeufè du Calmar. 40. Nou*
Telles conjeâuies fur la manière dont fe fait la Gé-
nération « à l'occaiîon des vaiflèaux laiteux de ce
Poiffon. 41
CalmetXDom), cité. T. XXXI. 245',2fi, l63.Ëi-
timequ'ilapour Mr. le^Clerc. T. XLVIII. 6j
Calvin, Extrait de {es Lettres à Jaques de Bourgogne,
Seigneur de Valais é* de Bredam, &c. T. XXXII.
161. Utilitédeces Lettres. 165* . Portrait de Calvin,
166 , (^ fuiv. Conduite qu'il a tenue à l'égard de
Servet» x6S, ^jf^/niv* U fc brouiUeavec Mr. i/«F»-
F Mk|
t% TABLÉ GENERALE
Ists. 174, é»/»». Il perfécutcBoUcc, 17 f. Acax«
fé d'avoir voulu introduire à Genève une forte d'Ia-
quifition. 177. Son vice dominant. 181. Sa pauvre*
té. 189. Ses infirmités. 486. Lettre fur le Recueil
de fes Lettres à Mr. deT^Uis. '444. Fragment d'u-
ne de fa Lettres à FareL 45*2. Remarques fur {es
Lettres à Jaq^M dt Bourgogne, T. XXXIV. 407,
éi* fuiv. Combien il feroit nccef&ire que le Synode
des Provinces- Unies refondît fes Formulaires. T,
XLIII. ifo. Particularité touchant ce Convertie-
feur. T. XLV. 7*
Cfilvimftes. Reproche que leur fait TEvêque d'Agen
d'avoir feduit les plus grands Princes du Royaume de
France , & d'avoir été à la veille de priver ce Royau-
me d'un des plus grands Rois qui ait occupé le Trô-
ne. T. XLIX. 143. Combien il eft ridicule,de leur
reprocher d'avoir eu des Sedlateurs parmi les Grands
' du Royaume 144. Réponfe au reproche qu'on leur
fait au fujet des Guerres de Religion, i^id. Com-
ment on prouve qu'ils ne font point ennemis àes
Rois 6c oppofés à la Monarchie par principes. i4f«
Réponfe à l'accufation qu'ui forme contre eux à
l'occafîon des mouvemens des Cevennes. ihd» Et
au fujet des A {Temblées qu'ils ont tenues dans la der-
nière guerre. 146. Réâe:Kions fur le fameux Edit
de Nantes , Se fur fa Révocation. 148. Maux que
cette Révocation a faits à la France. 149. Combien
il y a encore de Réformés en France. iM, & i jo.
Trifle alternative où ils ie trouvent, iéid- Trait cu-
rieux par fà finguki^ité , & par l'excès où la fcéléra-
tefïê y cft portée , pour rendre les Réformés odieux*
i^i. Voyez Luthériens.
Calvirms (Bficius) , Chevalier Romain. Penfion qu'il
donnbit à un Grammairien. T. XLIV. 429
Caluffi, cité. T. XLVIII. ^ 303
Camiridge (Mt, BUh.Owtn). Son Poème héroïque.
T, XLVII. 47/
C4-
D E s M A T I È R E s. Sj
C/^mtrarîus {yoachim) apprend la Langue Grecque fous
leâchard Crook, T. XXVI. loi. Voyez Croûk.
Camille . Son vœu fait à l'occafîûn de la prife de Véies.
T. XXIX. 330
Campagnes. Les Agrimens de la Camfagn» > 6cc. Ex-
trait d'un Ouvrage qui porte ce titre. T . X LI V. 446
CamfbelUJem) , Auteur des Vies des Amiraux , 6c des
autres O Bi ciers de Marine Anglois , qui iè font ren*
dus fameux. T. XXI^. 234
Campemem. Voyci Trmpes,
Camphre. Soii ufage contre les Fièvres exanthéiAati-
qucs. T. XXXIX. ^ . pi
Camus (Mr.). PhénomènedeMÀranique qu'il propo--
fe & examine. T. XXVIIL 460
Canaan, fils de Cam. Pourquoi la malédiâion de Noé
tomba furlui. T. XLVIIL - fj
Canada. Genre de vie des François qui y demeurent.
T. XXXVII. 171. Leur Commerce, ibid. Leur
nombre. 271. Animaux du Canada. 287. Ses Plan-
tes. 2^8. Ses Forêts immenfès. ihtd, Cauiè du froid
exceCfif de ce Païs. ibid, £c 289
Cananéens, Si Tordre de détruire les fèpt Nations C^
nanêennes eft incompatible avec l'idée que nous avons
éc Dieu. T. XXVIIL i^, f^furv. Opinion qu'on
leur attribue. T. XLIV. 338. A quoi on doit at->
tribuer leurs défaites» leur exil» leur efckvagc. T.
XLVIIL 5-4
Canapé {Jean) 9 Médecin de Lyon. Sa Traduâion
Fran^oife de Calim. T. XXXVII. 426
C^w^ne/ (les Iles). Leur nombre. T.XXXVIII.P^rK
il. 121. Lear fituation. ièîd. Connues des Anciens
fous le nom à* lies "FcrtunieS' thU, EUes font oubliées
pendant plufieurs iiècles, après la chute de l'Empire
Romain, &de toutes les Nations de T Europe, ex-
cepté des Arabes Se des Mores. Wid* Elles ibnt de
nouveau découvertes vers Tan 1393. ihid* Le nom
de Canari$ donné à une de ces I|es par ftêlumée, 1 22.
F 2 Ctn-
TABLE GENERALE
Cannes qui y croi/îênt en grand nombre , & qui ctailt
prcflecs, rendent un jus couleur de lait, quipaffe
pour un poi/bn fubtil. i^id. Chiens qui s'y trouvpieflt
autrefois, & dont les habitans fe nourri ifoicnt. i6id»
Ces Iles peuplées d'Efpagnols 2c d^s relies àts an-
ciens habitans. iâid. Langage 2c origine de ces an-
ciens habitans. ièid. Leur Religion. 113. Rois par
qui ils éloient gouvernés. Uid. Droit fingulicr dont
jouifïbient leurs Rois. i^id. Couleur, figure, habil-
lement, nourriture de ces Peuples. 124. Leurs ma-
riages, ièid. Leurs guerres, ii^*. Leurs armes, i^ji.
Comment ils fepeignoient le corps, ihid. Leur agi-
lité fùrprenante. 116. En quoi ils faifoicnt confit
ter leurs divertiircmens2c leur gloire iSid. Comment
ils embaumoient les cadavres de leurs Rois 2c deleufi
grands-hommes, itid. Caves fcpulcrales qui fe trou-
vent encore dans l'Ile de Tcnérine . 117. Fertilité dts
Iles Canaries. 1 28. Leurs Animaux, i^i^. Comment
on fuppléeau défaut d'eau. 129. Fameufc Monta-
gne de rile de Ténérife , 2c quelle eft à- peu-près fà
hauteur, ièid. Ce qu'elle produit, iàid Autres par-
ticularités curieufcs touchant cette Montagne. iSuf»
Conjeâure fur ià formation, ibid, é'fuiv.
Cancer. Maladies aâreufes qui étoient l'effet d'un Can-
cer. T. XXXVII. 249
Cancres pétrifiés. Endroits où l'on en trouve. T.
XXX. 271
Cmigm* Expériences faites fur cette Montagne da
Rouffillon qui paife pour la plus élevée desPirénées.
T. XXXVIII. 16»
Cmofe (la Ville de) n'cxifte plus. T. XXX VII. if 2
Canuts dont fe fervent les Groenlandois. T. XXXI.
fo. De quoi , 2c comment ils font faits, j^ii. Vitefïe
avec laquelle on les fait aller. UtiJ,
Cans (Di^^o)trouvela Rivière de Congo.T.XXXVlII,
ipf.Sc* autres découvertes fur la Côte de Guinée-i^iV .
Câfaer {CuilUmM) a -traduit en Latin la Harangue de
DES MATIÈRES. <?
Tyfins contre Erêtoftktne 9 un des Trente Tjrrim. T.
XXVI. i8i
Canton (Mr. yean). Moyen qu'U a trouvé de faire un
Aiman artificiel. T. XLVII. ^ 115
Cantwell (Mr. André). Obfèrvation qu'il envoie à la
. Société ,de Londres. T. XXXV. ^ ^ 381
G*»»/- , Roi de Suède , tue Charles fon prédécefTeur.
T. XLV. .35-6. Il renonce à la Couronne Se meurt
dans la retraite. ièid.
Canut , fils de Valderame , Roi de Dannèmarc, va a-
vec un puiflàht fecours à TArmée des Croifés. T.
XXVIII. 114
Canut n. Roi de Danneniarc. Trait qui le concerne,
T. XXyi. 169
Cafoue. Siège de cette Place par les Romains. T.
XXVIlI.iyi. qui s'en rendent maîtres. 175'. Rui-
nes du vaftc Amphithéâtre de Vancicnne Capcue.T.
XLVIIÏ. 30*
Caper$nnier ijtofi), Profeiîêuren Grec à Paris. T L,3 30
Cafrées (Vile de), où ic retira Tibère 2i^vts avoir aban-
donne Rome. Sa delcription T. XLV, 315»
CaraBère, Çpque c'eft que les hommes fans caraâère.
T. XLIX. 63. Afpedts fous lefquels la dépendance
mutuelle de TefpritÔcdu caractère peut être envifa»
gée. 64.
Cardan. Son Commentaire fur unpaflàge deDémocri-
te. T. XLIV. 18/
Cardillaty Gentilhomme Bourdelois, & Commandanç
du .Château-Trompette. Sa fille procure la liberté de
Confiant d'Aubi^né enfermé dans ce Château, 6c fe
làuveavec lui. T* L. 3 f (J. Voyez Aubigne (Confia d*)
Carm (le Chevalier George), Extrait de la relation de
l'état de la France fous HfwiJT. T.XLÏII. 308. De
quelle famille ilétoit. 314. Hiftoire abrégée de fa vie,
i6id.à*fiiiv,
Cariens (les) regardés comme le premier Peuple qui ait
mis fon fàng fie fa valeur à prix. T. L. 38
^ F 3 Ca*
16 TABLE GENERALE
CmofhUe {Bkifi). Extrait de fon Traité des Bouclieré
des Anciens. T L. ^4,
Cfirîos (Don)' Fils de Finlipte V. Roi d'Efpagnc. Sa
milTance. T. XXXIX. 288. Il paiTe en Italie. i^B.
Il devient maître du Ro^mune de Naples. 299. Pour-
quoi il n'a pas époufé l'aînée des Arcniduchefles , au^
jourd'hui Reine de Hongrie, que la Reine d'Ëipa^
gne avoit fait demander pour lui. 300. On luiafiu-
re Naples 5c Sicile. i^id*
Carlos (pon) , fils de FhMtP^ ÏL Roi d'Efpagne , eft
invité à le mettre à la tête des Mécontens dans les
Païs-bas. T.XLIII. 81. Il paie de fa tête le confcn-r
tement qu'il avoit donné à une idée fi bifàrre. i^iéf,
Cameficco (Piefre) eft brulc vif par ordre du Pape , pour
avoir eu des liaiibns d'amitié avec les Hérétiques
d'Allemagne. T. XXXIII. 20^
Caron. Origine des Fables anciennes touchant Caron.
T. XXXVII. 1^7
Carfentoratum 9 Cérftntoraêle » ou Carfentras. T,
XXVII. 134
Carr (Bû6ert), cité. T. XXXI. jfj
Carrela Docteur en Théologie de l'Univerfité de Pa-
ris, cité. T. XXX, 415»
C^rti CéliftedeMï.d*H&ouville.T. XLI. 138. Cartes
des Côtes 8c des Mers des Indes Orientales &. de kt
Chine, avec des Mémoires fur ces Côtes 8c fur ces
Mers , 8c des iaftru6lions concernant les Voyages qu'-
on y peut faire, par Mx.àlAfrhdiMfttmtvilletti.ihidm
Okrthage. Fatale deftinée de cette Ville. T. XL. 35-^
CârthÂgène. Variété d'Hommes que le mélange des
Blancs avec des Femmes noires y a introduite. T»
XLIV. 466. Degré dechaleur qui règne dans cette
Ville. 407. Efïèt que cette chaleur y produit iùr k$
habitans. i^U, Maladie fîngulière qui y fait périr les
Etrangers. 40!
C^rthsginoû» Progrès qu'ils font contre les Romains.
T. XXVIII. 247. Leur Mwiflc. T. XL. 3^4
C4-
rStS MATIERES: î)
CSrmhiU(?), Extrait (fe {èsDiilèmtions furies Btihs
JfHereuU. T. XXXIII. 411
Céfchbtl (le) eft le Serpent àfonnettes.T.XLIV.4io
C^fimir, Sis de Micislaw II. Roi de Pologne , efl en-
Yoyé jeune à Paris pendsoic les troubles du Royaume.
T. XLVI. f6, Ilcntredatis l'Abbaye de Clugi)i où
il efl fâk Diacre. S7 . Le Pape rompt fes engagemens,
8c ce Prince (e rend en Pologne, où il fait cefïcr les
troubles. Md. Appelle le Refburateur pacifique du
Royaume. 5*8
C»Jpm (Mrs). Leurs expériences fur la figure de la
Terre. T. XXXIL 8^
C^Jjjms regardé comme le premier auteur de laconfpi-
ration qui fit périr Ckfar. T. XL. 345
CaftanééU (lùmanLoPh de). Ourrage de cet Auteur.
T. XXXVIÎI. i9|
Céftérfi (Mr. ii) nousa &it connoitre le Théâtre £f-
ps^nol. T. XXXV. 13^
Cifttrê (Mr. Duferrên de) , Auteur de la Traduâion
àeVHîflffire du Mont Véfuve, T.îiXIX. 344. Juf-
tifie Difcsrtis. T. XXXIV. 81
CMfiiglièM (Mr. jFm»)> Profei&ur deLauiânne, aen-
Toyé à la Société Royale de Londres les Equations,
ijui déterminent une Courbe ébauchée par Mr. Carré,
T. XXXVI. 34f
Câjlra (Don fean di). Journal qu'il a laifle du Siège
de la Ville deDiez.T.XXXVIII. xo%. Il emprun-^
te une îommc confidérable de la Ville de Goa fîir
l'hypothèque de iês moufiaches, ibid. Son gnnd
~ deiintéreilèment. ibidm
Caftro (skoîssfenmuUz de)- Ouvrage de cet Auteur.
T. XLVm. 13}
Cafuifiis, Faits qui font voir combien l'efprit desCa-
• fuiftcs flatteurs eft mépriCiblc. T.XXIX. çj^y&fuiv.
CM {Mr. Clmde'Sicolâs Le). Extrait de fi>n Traité des
Sens. T. XXXI. 304, Eloge de cet Ouvrée. i^iJ.
f^/mv. Critiqué, ^tf^ 317, é^fi^îv- ix^&fmv.
F 4 Voî
It TABLE GENER ALB
Voyez encore. T. XXXIV. no. Il commumqtxi^
à la Société Royale de Londres la relation d'une ma-
ladie caufée par des Hydatides. T. XXXVI. 339,'
340. Sa théorie touchant les Hydatides. iHd . O bfèr-%
vation curieufe de cet Auteur, &par Thiftoire chî-
rurgique de la maladîe,& parKhifloirephytiol^que.
iM, Deffeins qu'il a envoyés à k Société de Lon-
dres d'une efpèce de Hamac , deftiné au fbulagémeiit
des malades. T. XXXVII. ij-p» Gommait il a pcr-
feâionné l'Ambé à'Hifocrate, ihtd. Son fcntimcnt
fur la manière de faire l'opération de la T^le. T.^
XXXIX. 43 f , e^ fuiv. Vaiflcauxde verre qu'il a
inventés pour confcrver des corps curieux dans do
l'efprit de vin. T. XL VIL 476. Mémoire de cet
Auteur fur la Gangrène. 478. Extrait de ibn recueil
concernant l'opération de la Taille. T. L. 77. Atta-
qué par Frère C^we.iWi/. Témoignages en fa faveurs
78. Son éloge. 80. Comment il réfute (on Advcr-
faire. 84, t^fuiv. Faits qui prouvent la bonté de ùk
méthode de tailler e 87 , ^/uiv,
Céttpileffie, Exemple fîngulier d'une Gatalepfîe parraite.
T. XX VIL 352, f^fuiv, Obfcrvations curieufed
concernant une Fille cataleptique 6c fbmnambule eo
. même tems. T. XXXIX. 47 1
Catherine (llle de Ste.) n'eut autrefois pour Habitans
que des fugitifs & des exilés. T. XLIL f9
Cmli^ {L,Sirgius). Sa grande nobleiTe. T. XXXV.
364. Son caraâère. ihU. Paffion qu'il avoit de s'em-
parer de la République. 36f. Ses cruautés. 366. A-*
près là Préture il va gouverner l'Afrique , qu'il pil-
le , Se qu'il vexe. Und, Il eft accufé de concuffiom
ihîd. Il fe ligue avec X^^^^iiv; , dépouillé defaChar-
jB;e de Conlul , Se tous deux" s'afîocient Cn* Fi/m s
jeune-homme fa^ieux. ihid» Gomplot qu'ils for-
ment de tver les deux Gonfuls Cona 6c Torqmtui*
ikid. Voyez. Cf/àr.
Clitm 4'UPi^ue , Arrière-petit^fils de Cat^nkCenfeitr.
DE S MATIERE». S9
lieu de ik naiflànce. T. XXIX. 9. Comment il paf-
BiÙL\cuneffc,iéU, Sa Famille. 11. Comment il chtr-
cka a fè rendre recommandable. iàid* Il fait fà pre-
mière Cainpaene. ihid. Il fert en Sicile en qualité
de Tribun Legionaire. i&id. Comment il vivoit à
l'Armée. iBid. Il entre dans les Charges publiques
dans des tems pleins d'horreur & de confufion. T.
XXXV. 366. Soncaraâère. 567.* Son bon cœur à
Vé^d dcServiliusCéfioh fou frère, ibid. Exemple
defbn grand defintéreflèment. 368. Avidité avec la-
quelle il s'applique à la Philofophie Stoïque, pour 7
conformer fa conduite. ibtd> Prédile(fiion qu'il a voit
pour la fermeté dans la détcnfc de la J uftice , & pour
ctttt roideur inflexible , qui ne fe laifïê amollir ni par»
la faveur , ni par aucune coniidération des perfonnes.
ibid. Divers traits de (à conduite, ibid' & 369. En
quoi il fe rendit rcmarqual^lç, lorfqu'il partit pour la
Macédoine » : avec le titre de Tribun des Soldats . ibid ^
Son retour à Rome. î^Â/. Ses occupations, i^ii. De-
renu Queilcur, il oblige les Greffiers à la foumiffion
qu'ils dévoient à leurs Supérieurs , après avoir dé-
couvert les friponneries des uns , 8c convaincu les
autres d'ignorance, ibid. Sa fidélité à remplir Icsde-
voiri de Sénateur, 370. Accufé d'ivrognerie, ihid.
PJaifir qu'il fe faifoit de contrequarrer legoùtdefon
(lèdt dans les chofes les plus indi^Férentes. ibid. Il
fsdt inutilement la cour à Lefida , qui lui préfère M«^
tellus Scîfion» 371. llépoufe^î/i/», qui lui fait in-
fidélité, ^id. nia répudie. îAii/. ComparaiiQndeC^<9
far & de Cuton. T. XXX VIL 64, Innocence dc|
moeurs deCaton. ibid* Safévérité. ibid. Ses autres
belles qualités. 6f. Son difïerend avec Mfte/W. 68,
él^fuiv* Il triomphe de cet adverfàire. 70. 11 met b
Ville d'Utiquecn état de fe défendre contre Cifair,
T. XL. 334. Il refufe défaire foumiffion icéfrr.
33T* I^ prend la réiblution de (è &ire moixtir. ibid ^
ÎJijbpercçjkfonépée. 536,337, J.ugcpicntfurcet-
F f te
90 TABLE GENERALE
le mort. ibid,&fuw, H ne doit pas étrelfeére m ent
condamné pour avoir affiûé à des Jeux où u pudeur
étoit bkflee. T. XLI. ii»
C^f^ (M. Tordus), Coniul. Di&oursfàtirique qu'il a
fait contre les Dames. T. XXIX. 331. Echantillon
de ce Difcours. i^ii. ^fiâv*
Catrou (le Père). Jugement fur ù. traduétion de Vir-
gile. T. XXX. 39»
C/ittes ouBatàves. Leur origine. T. XLV. 303. Re»
gardés comme d'habiles Nageurs. 3 04
Çatulus. Acc^fàtion portée contre lui. T. XXXVII. 6é
Cave (leDoÂeur). Son Hiftoiredes Ecrivains Ecclé-
fiaftiqucs, T. XXXIV. 315-
Cavernes voitines de Norwich , que Ton trouve dans
• des collines de craie. T. XLVI. 364. Cavernes
d'Allemagne où Ton trouve des Crocodiles, desËlé-
phans, £s Baleines. T. XLVII. 39%
Caves. Moyen de donner de l'air aux Caves. T.
XXXVIII. Part. II. fj
Catifes morales, Ccquec'eft. T. XLÏX. 301
Ctymans Qits) infeilent les environs de Guayaquil. T«
' XLIV.417. Comment ils attrapent les moucherons.
- - ibiân File qu'ils forment pour fermer toute l'embou-»
. ^ chure d'une rivière,afin de prendre les poifïbns qui s'y
trouvent. 2^f^. Combien ils aiment la chair des Ani-
maux à quatre pieds. îbU . Moyen de les prendre ,{hiân
Cècilien, Diacre de l'Eglifc deCarthage, cft élu Evé-r
que de cette Ville. T. XLVI. ao
Cédemhulm {Mr. le Baron) , cité. T. XXXVIII. P^rf,
• //. Ses remarques furie Coucou. 17
Cellamare (le Prince) eft arrêté en France. T. XXXIX.
293. Ce qu'on trouva dans fes papiers. ibii.
Celjê. Voyez Origène.
Celfius (Mr.). Ses expériences fur le changement que
â>ufre la longueur des Perches de bois par la violence
du froid & par l'excès delà chaleur. T. XXXVIIL
S. Ses OUcrvatioos fur THiver de 1740*^ 17. £x-
1
DES MATIERES. 91
ices qu'3 a faites dans les Mines de Fahlun à
['aide du Baromètre. 18. Il détermine la longitude
d'Upfàl .20. Bons conièils qu'il donne pour régler les
Thermomètres. T.XXXVlU.TartJI.ff. Sadcf-
cription d'une triple Iris. f6. Son calcul de la diffé-
rence des Longitudes d'Upfal 8c de rUe de Bourbon.
fj . Il détermine la Longitude de Jorrico, 64, Com-
ment il a abrégé fcs jours. T. XXXIX. 96. Com-
ment il s'empéchoit de dormir. i^û/.
Cekes.hcMT origine.T .XXVIII. jfj.T.XLVIÏ. 4$-.
Hiftoire de CCS Peuples. T, XXXI. 390» é^fuiv.
Leurs mœurs. T. XX XVII. 79. A quel Pais on
donnoit le nom àc Celtique. i6id. Voyez Celtique,
Celtique (la Langue). Utilité de laconnoiiT^cede cet-
te Langue. T. XLVII. i9,&fuiv. Voyez Celtes,
Cène (Mr. Le), Son explication d'unpaflkgc du I>e«f r-
ronome, T. XXXI. 268
Centuple. Explication de la promclTedu Centuple dans
St. Matthieu. T. XLI. 201, é'/uiv,
Cecrh, ou Churlf, A qui on donnoît autrefois ce nom.
T. XXXVI. 66
Céfion {Serviliuf) , frère de Catm d'Utîque. Sa mort.
T. XXXV. 367. Fille qu'il laifTa. %69
Ceratinus {Jaques) enièigne les Langues 8c les Beues-
Lettres à Leipzig après la mort de Pierre Mofelhn.
T. XXVI. 202. Originedunomde cetAutfeur.T.
XXVIL . ; J9
Cérémonies de TEgliiè Romaine comparées i celles des
Payens. Extrait d'un Ouvrage fur cette matière.
T. XXXIII. 284, &fuiv.
CernuM , PoifTon qui n'a qu'un fèul aileron continué
le loiig du dos. T. XLV. 47
Cerveau. Cette partie du Corps hu main eft prefque en-
tièrement inconnue. T.iXXI. 167, &fuîv. Ex-
plication d'un phénomène iîngulier produit par fà
comprefTion. T. XXXIX. 185-. Obfervations fur
quelques parties du Cerreau. T. XLII. 4^5*
Ci-
9% TABLE GENERALE
Ciftif ifuU). Pourquoi le nom de cet EuipereuV'cft
moins odieux que celui de Catilms. T. XXVIII.
584. Son caraâ:èrc. T. XXXV. 78. Mis enparal-
lèle ^vecCataa. T. XXXVII." 64. Son inclination
bien^ûnte 8c magnifique, ihid* Il négligeoit iès in-
térêts, & s'occupoitdeceuxdcfesAmis. Uid. Son
ambition. 6j. Regarde comme un Citoyen dange-
reux, i^id. Pourquoi il n'eût jamais été Empereur,
s'il eût aimé la Juftice , les Loix & la Religion. U^id,
à*f»iv. Comment il obtint la Charge de Souverain
Pontife. 66, Il fe venge de Catulus , en Timpliquant
dans Tafïàire de la Conjuration de Cmlina, ihid. Si
Céfar eut lui-même pait à cette Conjuration. ibU. 6*
fmv . Comment il ûvoit s'accom moder au tems .67.
Raifons qui le portèrent à élever Pompée, ihid. Il
court lesrifquesdu cocuage, & répudie fà Femme
Tomféa .71,75. Son portrait . 9 1 . N ombre des V il-
Ics qu'il a prifes & des Peuples qu'il a fournis dans.{cs
huit Campagnes. 95; Moyen qu'il employoit pour
iè faire aimer des Soldats. Ufid. Infirmités auxquel-
les il étoit fujct. 9/. Ses «travaux, ilid. Sa grande
vivacité, i^ft^. Son arrivée dans les Gaules. 96. Il em-
pêche les Helvétiens de palier le Rhône. 97. Son re-
tour en Italie. 98. Il revient, atteint les Helvétiens
au paffagedela Saône, Scies défait entièrement, i^ii.
ï\ entreprend la guerre contre Ariovi fie. 99. Viftoi-
* re qu'il remporte contre lui. 100. Expéditions dcû
féconde Campagne dans les Gaules. 1 o 1 . J ugement
fîir fon expédition d^s la Grande-Bretagne. 101,
Ses belles qualités. T. XXXIX. 110. Sa fecondt
expédition en Angleterre, m. Ce qu'il fit enfuite
dans les Gaules, ihid. &fuiv. Quel eft l'événement
le plus mémorable de toutes les guerres qu'il fit dans
les Gaules. 1 14# Ses exploits en Efpagne contre les
Lieutenans de Pomfee , & en Grèce contre Vomfh
^i-môme. 119, A quoi tendoit toute là politique.
ikïd. Il défait fomté$ à la Bataille de Pbar&iç. T.
DES MATIERES. 93
XL. |2^ , f^/ujv. Il verfè des krmes à k rue de
la tête de fbn ennemi. 3 26. Ses gaknteries avec C/é^
f/ttrt, 318, 329. Viéèoire qu'H remporte fur Ftâ*
lémée Roi d'Egypte. 330. Il défait ^amace. Fils
de Mithriéiate, 331. Avantage qu'il remporte fur 5cî«
f i<?» Se yuâa près de Thapfus. 333. Il détruit tous les
refies du Parti vaincu. 339. Il triomphe quatre fois
dans le cours d'un même mois. 340. Particularités de
(on triomphe des Gaules , & de celui qui eut pour
objet k guerre d'Alexandrie, i^id. U force le FUs de
fomfitdehvçr le fiège d'Ulia. 341. Il ferendmd-
tre de k Ville d'Atégua, i^id. Il termine k gucirc
par k Bataille de Munda. i^fi. & fuiv. Honneurs
qu'on lui défère à Rome. 343. Son ambition luiat-
tire une foule d'ennemis, i^i^. Sa mort tragique. î^i^.
Ouvrages qu'il a compofés fiir l'analogie de U Lan-
gue Latine . T . XLl V . 434. Jugement fur fcs Com-
mentaires, ibiâ' Il auroit eu le premier rai^ parmi
les Orateurs , fi k paffion de gouverner feui l'Uni-
vers ne l'eût arraché du Barreau pour courir à k tête
des Légions. ^ii,
Chagrt (k Rivière de). Sa rapidité. T. XLTV. 414
Chuis (Mr ) , Pafteur de l'Eglife Wallonc à k Haye,
cité. T. XXX. 18. Extrait de fes Lettres Hifteriaues,
&c. fitr les fubiUs. T. XLVÎI. 167. Note de ce
Miniilre fur Te V^t, Commandement du Décalogue.
6y. Son Ouvrage furies Jubilés. T. XLVIIL 190
Chaîfe (le Fève de la). L'ahr dek Cour l'avoit gâté. T.
XLIX. 284
Chaleur. Quelle cû k cau/è de k chaleur dans les Ani-
maux. T. XXXIX. 479. Les degrés de chaleur dé-
pendent plus des circonflances particulière^ , que de
k proximité ou des Pôles ou de TEquinoxial. T.
XLII. 48. EUe eft quelquefois plus grande vers le
Cercle Pokire que vers les Tropiques, ièid. La mê-
me chaleur ne produit pas toujours k même iènfà-
tion & les mêmes efïets. fo. Celle que nous iêntons
n'cft
fi. TABLEGENERALE
m'efl que celle de la petite atmofphère dont notre
corps efl le centre. Uid^ Pourquoi dans les méme$
climats on n'éprouve pas une égale chaleur, fi . Ce
quec*eftquela Chaleur. T. XLV. 1/3, Caufcdek
Chaleur & du Froid. T. XLVI. ijr6
Chaloupe fingulière, faite de jonc marin 2c d'écorces
d'arbres, rencontrée en i^-of par un Navi^-e Fran-
çois qui côtoyoit le Nord d'Angleterre, & dans la-
quelle il y avoit ièpt hommes iàuvages , habillés de
peaux de poifibn , 6c tous marqués d'une cicatrice
bleue, &c. T. XLII. 97. Conjedlure fur le pais
d'où venoient ces Sauvages. 98
ChaméL , Coquillages ^ui portent ce nom . T . X L V . 4,8
Chamkim (le Sr.), Premier Médecin du Roi de Polo-
gne Jean SoèieskL Fait qu'il rapporte fur la végéta-
tion des Métaux. T. XLVIII. 41 S
Chamhort (Mr. de) explique quelques Paffàges d'anciens
Auteurs. T. XXVII. tiio
ChumeÎMgnmi où Myrtus Bralantica. Conformité de
cette Planteavecle Thé des Chinois.T.XXX VI. 483
Charnier (Daniel). Circonûances de la vie de ce Miniilre
Calvinifte. T. XLV. 391, c^>it/.
Champ. Inconvénient qu'il y a de mettre prefque tout
fon terrain en champs , comme on le fait en Allema-
gne , en France & en Angleterre , au-lieu d'en emplo-
yer fuâîfàm ment en prés pour nourrir les Bœufs ^ les
Chevaux. T. XLVII. 393
Champignon qui croît fur les Couches. Découverte de fes
Grains. T. XXXVII. 167. Obfèrvations fur leur
propagation T. XXXVIII. Tart.IL isS^&fuw.
Caufe des accidens qu'ont éprouvés diverfes perfon-
ncs après en avoir mangé, 1/7, îf8. Champignon
dont on fc fcrt pour faire périr tous les Inièâes. T.
XLVII. 397
Charnus, Ce que c'efl: que cet Animal. T. XXXII. 412
Chmcay. Ruine de cette Ville par un Trcmbkmcm de
terre. T. L. 308
ChaT»-
DES MATIERES. 95
Cinindii»gcr. Combien il y tombe de pluie. T. X LI V.
danjlms (les) ont commencé à paroîtreen Langue tuJ-
gairc fous le règne de Philiffe-Auiufte. T. XXX. 8 1.
Morceaux de quelques Clmifons d'autrefois. 8x
Chanvallcn {Htirlay de) . J ugement fur fa Traduâion de
r^rîre.T.XXXlX. 446. Différence qu'il y a entre
cette Traduction 8c celle de tAbUncmrt, 44S
Chapelle (Mvuirmand BoisèeleÂU de h) .Extrait d'un Ou-
vrage de cet Auteur. T. XXXVIII. 87. Voyez. Cultt
fuhlic. Lieu de fa naifTance* 88, liiè retire de Fran-
ce en Angleterre. î^ii. Son éducation, ibid. Il hit les
fonctions de Pafteurà 17 ou 18 ans. ibU. U va en
Irlande, ièid. Il efl appelle à Wandsworth £c delà à
Londres. iSid. Son mariage. Aid, U eft appelle à h
HayciSid, Temsdefàmort. 89. Idéedefoncaxac-
tère. ibid^ Comment on prouve par lui-même &paK
ks éloges qu'on lui dotme , qu'il ne (àuroit être l'Au-
teur du Livre de kNéceffitêduCuUe fuhlic, âcc. T.
XXXVlILP^r/.//. 202,103. Acculé de calomnies.
204, é^Jmv^ Sc^ brutalités , {es in veétives, & £cs con-
traditions.'! 14» iij*. Sts faux raiibnnemens. 215*
Chapelles. Pourquoi toutes les Boutiques d'Imprimeurs
portent le nom de Chapelles en Angl. T.XXX Vin^.9
Chapimm (J.j, Doreur en Théologie. Ouvrage de cet
Auteur en faveur de la Religion Chrétienne. T.
XXVL 227. T. L. 239
Chapny {Claude), cité. T. XLV- 117
Chardùiy dté. T. XXXI. 388
Charlatans, Différentes fortes de Charlatans fliivast les
Pais. T. XLIX, 301
CharUmagne s'arrête à Aix-la-Chapelle après avoir vain-
cu les Saxons, T. XXX. 49. Il y fait bâtir une fu-
perbe Eglife.i^îi/. U reçoit des Ambai&deursdex^^»
Uh qui lui font part de rcle6tion de ce Pape , & i'in-
forment de iès &ntimens. Und^ Léon envoie à cet
Empereur » comme au Patcicc de Rome» TËtendart
de
$6 TABLE GÉNÉRALE
de k Ville, avec pluficurs autres prcfeiis,fc prianrd'c^
voyer un des Seigneurs de fa Cour pour recevoir en
fbn nom le Serment de fidélité , que vouloit lui prê-
ter le Peuple Romain, i^i^. CburUmame y de Patrice
devient Maître, 6c exerce dans Rome les Droits de la
Souveraineté , y faifant adminiftrer la Juftice par fcs
Commiflaires, & par lui-même. ibid. ôc fo. Il en-
voie au Pape uiie grande partie des Tr'éfbrs immenfcs
qu'il avoit gagnés dans la guerre contre les Jiuns . îbid.
Il reçoit Z^^i^T» à Paderborn, 8c le renvoie à Rome a-
vec'un cortège fuperbe. ibii. Il fe rend lui-même à
Rome, 8c y prend connoiflànce des accufàtions qu'on
intentoit contre le Pape. Ufid* OnàoxmtïChurlem*"
m pour l'attacher aux intérêts du St. Siège, laqua-
Tité à* Empereur V^mmn. fi. Son Couronnement , 8c
ce qui ie padà à cette occafion. ihsd»
0[»^r/f^»i»reft élu Empereur. T. XX VII. 365. Tcm»
8c lieu de fa naiflànce. ibid. SesEdits contre Ltffher.
\ ibid. Il fe dépouille de iès Etats, 8c ic renferme dans
le Cloître de St. Jufte. ibid. Sa mort. ibid. Il renon-
ce au Gouvernement de l'Empire en faveur de Ferdi-
nand fon Frère, T. XXXIII . 196. Il envoie au Col-
lège Eleâoral ùl renonciation à l'Empire, ibid. Il Ct
rerire dans la Ville de Gand. ibid. Il s'embarque pour
l'Efpagne, 8c fe retire en Eftramadure. ibid. Sa mort.
ibid' Caraâère des Peuples qu'il gouvernoit. T,
XLIII. 79. Comment il étoit devenu l'idole dé (es
Sujets. 80. Bruxelles regardée comme le centre de fà
puiflànce. ibid.
Charles 1. Roi d'Angleterre. Lettre de ce Prince à un
Nonce du Pape. T. XXX. 213. Evènemens de fon
règne. T. XXXI. g f 4. Soncaraâère. jjrf. Samort
tragique. 35-7. T. XLIII. 176. Commentil fut con-
duit à une fin fi tragique. î^û/. Ses belles qualités, ibid.
Comment il mourut. 177. Ses Fils profcrits. ibid. Le
parricide commis enfà perfonne , quoique l'ouvrage
de la Chambre Bafll* > 8c dcfaroué par les Seigneurs ,
DES MATIERES. ^j
n*ctoit point étrangpr à Tciprit des Anglois , & teQoit
aux évencmens de leur Hiiloirç. T. XLIX. 308
Charles II, Roi d'Efpagne fuccèdc à k CouronDe. T.
XXXIII. i2i. Son Tcftament en faveur du Duc
d'Anûm. 213. Sa mcMt donne lieu à une guerre qui
embrafe toute P Europe, ihid^ Principaux événemens
de cette guerre. T. XXVII. îJ^y&fuiv.
Charles II , Roi d'Angleterre. Comment il échappa à la
pourfuite de fes ennemis. T. XXXI. 3^7, O'fi^iv.
Ses galanteries, ifç, Accufë de n'avoir point eu de
Religion. 360. Deux Ecrits de ce Prince par lefqueli
il paroit qu'il étoit Catholique- Romain dans le cœur,
T. XL*. i^7^&/uiv.
Charles IV. Tems auquel il fut reconnu Roi Ôc Empe-
reur des Romains. 1*. XX Vil. 3^8. Etend les fron-
tières de fès Etats, ibid. Sa mort. ibid*
Charles V, Roi de France , avoit appris les preniieri
principes de tous les Arts & de toutes les Sciences. T.
XXVI. 137
Charles VI, Roi de France. Son exemple fait voir qu'un
Roi incapable de gouverner eil encore plus pernicieux
à un Etat, qu'un Prince malheureux ou qui fait des
fautes. T. XXXV IL 334. Deibrdi es affreux arrivés
fous fon règne, i^ii. Sa mort. 33/
Charles VI, Empereur. Son mariage. T. XX Vlî. 374^
Il fait la paix avec la France. 378. Il prend les armes
contre le Grand-Seigneur. U^id* 11 Ipcrd les Royau-
mes de Naples 8c de Sicile. 380. Sa mort. i^d*
Charles VII , Empereur , & Elcdteur de Bavière. Ses
Etats ravagés. T. XXX VI. 3f^
Charles VU , Roi de France. Quels font les principaux
Poètes qui fe diftinguèrentibusfon règne* T. XXVI.
138. Il eft couronne à Poitiers , & pourquoi. T.
XXXVII. 335-. Son cajraftère. i^iJ. A quiildjitlsi
» conquête de fon Royaume fur les Anglois. i^u/. Maî-
treiïê pour qui il eut la plus forte naluon. î^i^. C^m*
bien ïl en tut aimé, ibid. Cabales ^ui divifoientla
G Cour
'^ TABLÉ GENERALE
Cour de ce Prince. 556. Ilfàitgraceaux Angloîs qui
Furent forcés au iîège de Moutereau. 337. Il Cçdc
à fon fils leDauphiné. 338. Il fait le iîège de Mers.
UfU. Sa mort. 34jr
Charles IX , Roi de France. Vices qui règnoîcnt à fà
Cour. T. XXIX. loi
Charles XI , Roi de Suède , a pouffé la Pui flànce Roya-
le jufqu'auDefpotifme. T. XXXIII. 396. Armée a
Taide de laquelle il foutenoit ce Defpotifme. ibid. Il
offre fa Médiation aux Alliés qui faifbientla guerre à
touis XW, ibid. Avec quelle rigueur il en ula à Te-
gard de la NoblefTe de Livonie. 3 98
Charles XII , Roi de Suède. Extrait des Bemafques d*H»
Seigneur Volonois fur VHifioire de ce Trmce,yaxMT,de
. Voltaire, T. XXVll. 174. Jugement fur ion Hi/?w-
fe Militaire par Mr. GuftaveAdlerfeld, 175'. Raifoa
qui porta ce Prince à s*abftenir de vin. 27 7 . Extr^t
delà Vie de cePrincepar G-Nortkrg, T. XXXIII.
393. Caractère de ce Héros. 39f. Tems de ià naii^
lance, ibid. Sentimehs extrêmement monarchiques
qu'il prit dans la Cour de ion père. 396. Ce préjugé
regardé comme la caufc de ics malHcurs 8t de ceux de
fon Peuple, ibid. Confeil de Régence que lui avoit
kiiTé fon père. 397. Troubles du Holftein qui don-
nèrent occafion à la première guerre qu'il eut à foû-
tenlr. iBid. Il débarque une Armée en 2?éelande , à
la vue des Danois retranchés fur le rivage. 398. Cet*
te journée regardée comme la plus gloneufe de ià vie,
& pourquoi. Ufid* Il abandonne des habitudes quil 6c
trouvoit pas conveijables à un cœur épris de la véri-
table gloire. 400, 401. Ambaflàde qu'il envoie au
C^^t fierté Z. 401. Il, force devant Nerva le Camp
" dcsUufliensayecutiepoigriéedemonde , 8cremï>or-
tcfur euxunevi^oire complette. iSid* Il défait en-
tièrement les Saxons. 403. Occaiîon qui lui ouvrit
VPôlogne. j^«/. Il entre dans la Lithuanie, 8c rem-
porte dimsavariialgés.iîJi/. il entre ûit^^iùtfdvk,
' mar-
\
DES MATIERES. ^
TXMû^chedioitzAmgufiei l'attaque, & ie àé&it, 404,
405-. Il refufe la |)&ix que lui ofïroit jiugu/h. ikid^
Dangers auxquels il s'expc^. ibid» Il tombe defbn
cheval , de fe ca^ k cuili^. 406. Ré]^oQ& qu'il fit i
un Moine Dominicain qui Tint lui faire ua mef&ge
de la part du Pape. ièU. Comment il re^ut Mr.R^
hinfm , Miniftre d'Angleterre. 407. ViâcMte qu'il
remporte à Pultowsk. Und* Il oâxé laCouroni:^ dtf
Pologne à Alexandre S^ieski. ihjd^ H&it élire 5t4-
nisUs, 408. Il tombe dans le courant d'une rivière.
410. Il force Attgufie de renoncer au Trône, & de re-^
connoitre Stamsks pour Roi de Pologne, ihd. Il é'^
puiièla Saxe par des contributions. 411. Ouvrage où
Ton donne Ja Vie de ce Prince. T. XXXVIII. 115*
t^Juiv, Idée de {es exploits militaires. ii^^é^fiUv,
Quelle fut la cauiè de la perte de Ton Armée à la Baïiail-
k de Pultawa. \xi. Traits particuUers de (à vie 9c de
Ion caraâère. 139. Son plus ^and défaut. 1 3 jT
Charles le Chauve aimoi: les Lettres 8c ù. Langue. T.
XXX. 76. Seigneurs qui iè révolteront Ibus ion rè^
gne. Ufid.
Chftrles {VArirhiJtéc)^ Roi deNa^s, lèrend de Bru-
xelles en Efpagne. T . XXXIII . 1 8<S
Charles, Prince de rie»»e, lie des intrigues avecles Na-
politains , pour les engager à le reconnoître pour leur
Roi. T. XXXI. fto3
Charles y F'ûsdeSuerker, montefurleTrAne deSuèdtf
en 1161.T. XLV. ^j^. Loi du ?3ife Alexandre IIL
à laquelle il refufè de fè foumettre. ^y6. Il e(l tué
par Canut fils de St. Eric. i^id.
CharUê-de Lûrraine (le Princè>pourfuit l'Armée Fran^oi-'
recommandée par le Maréchal de Bro^/io T.XLIV.
69. Il fait le fiège de Pra^e occupée par les François.
Mft/. NomW des Troupes qu'il commaadoit. 7 a
•C!l^4tr/ww*(lePère) de k Compagnie de y^yî*/. Extrait
dcfonHiftoire delà Nouvelle France. T. XXX VU.
1^. Jugement Air ^et Ouvrage, iiid* & fi^kf* A
Q % quek
ïôo TABLE GENERALE
quels égards il a ufë de maUvalTe foi. 373, é^fttw. Su
trop grande crédulité .177. Voyage qu'il a tait par le
Canada 6c la Louïliane. 2 84
Chartier (Alain). Tems auquel vivoit ce Poëte. T,
XXVI. 138. £toit encore plus connu par fon talent
pour THifloire que par fès Poëfies .i^id, J ugement def^
avantageux qu'on fait de fès Ouvrages. T.XXXVII.
17 . Baifer que lui donna la Dauphine Marguerite d*E^
ccjfty tandis qu'il dormoit. 340. Remarque fur ce
baiièr. 341
Chartreux. Vceu qulls font de ne jamais manger decbkin
T.XXXVII. 4i.Tout folitaires qu'ils font, retirent
mille avantages de la Société qu'ils fuient.T.XLI. 1 84
Chajfe (la). Ses avantages. T. XXX. i zf , é^/uiv.
Chaftekt (Mme. k Marquife i/ii) . Extrait de fes Inftïtu-
rw»jPihy/^«ej.T.X-XVII.433.Sonéloge.T.XXX.
188. T.XXXIV.U3.T.XLI.71. Sonfentiment
fur les bonnes Hypothèfes. T. XXX. 288. Citée.
T. XXXI. 331-
Chateaudun* Defcription des figures qui font fur la fa*
çade de TEgliiè de l'Abbaye Royale de la Magdelcine
de Chateaudun. T . XXV 1 1 . 1 40. Ces figures pa;roi^
fèntêtre antérieures aux dixième fiècle. ihid.
€:hatelain ( Mr. Henri ) , Pafteur de TEglife Wallone
à*Amfterdam> T. XXXII. 387. Extrait de fesSer-
mons. ihid. Tems & lieu de fa naiÛànce. 388. Ses
premières études. 389. Echantillon de fes talens pour
l'Art Oratoire, ibid. Il fè rend à Leyde pour s'appli-
quer à la Philofophie. ihid. De quelle manière il é-
tudia la Théologie, ibid» f^fuiv. Il donne fon nom
au Synode pour être reçu Propofànt. 390. Il pafleà
Londres , où il reçoit les Ordres de TEvêque de cette
Ville. 391. y eft choifî pour y exercer le Miniftère.
ihid* Liaifons étroites qu'il a avec Mr. 3^4^iM^C/«M/r»
au^i Pafteur de l'Eglife Françoife de Londres. 391.
Pièce qu'on croit être de lui. ibid. Il efl appelle à la
Haye pour y exercer les Fondions duMiniHèie, de
ac-
DES MATIERES. lot
accepte cette Vocation, 393. Ses Sermons y font ap-
plaudis.i^ii/. Infiances que lui font Tes Païens pour l'at*
tirer à Amftcrdam. 394. 11 accepte la Vocation qui
lui eft adreflee de la part de TEglife de cette Ville, ièid.
Art qu'il eut de fixer Tinconftance naturelle de fon
Auditoire, j^id. 11 eft univerfcUemcnt applaudi. 39 f,
Sa.grande patience dans fes maux. i^. Sa mort, iiid.
Ouvrages dont il eft l'Auteur. 396. Idée de fes Ser-
mons. 397, é^ fuvv,
ChateUt (Mr. Jtmdu)^ Baron de Beaufofcil & d'Auf-
fenbach , réveille la recherche des Mine^ en France*
T. XLVIII. 411. Sa difgrace, 412
Chateler. Voyez ChafielUt (Mine, la Marquifc du).
ChAhuilkment. Ccquec'eft, T. XXXI. 311
Chmfefiè (Mr.^f) Extrait de fbn Diâionaire- Hiftori*
que & Critique. T. XLVI. 436
ChaulUc {Gui de) , le Rcftaurateur de la Chirurgie, Cha-
pelain , Camerier 8c Médecin de plufieurs Papes, 8c
Profeilèur en Médecine de la Faculté de Montpellier.
T. XXXVil. 423
Chauve fmris. Adreflê avec laquelle éks ûignentaCar-
thagene les habitans pendant leur fommeil. T.
XLIV. 40^
Chauvreux{Claude) , ConfeiHer^eft mis au pilori 8c àeur-
deliie au front pour une feu&té. T . XXXIX . ^ff
Chaux. Bons effets de TEau de chaux.T.XLlII. 4.11
Chayla (Mr.ic Vicomte de)* Livre qui lui eft dédié. T.
XLI. 432
Chèque (yean). Manière dont il s'y prit pour deûbufcr
les Savans ilir la prononciation de quelques lettres
Grecques. T. XXVIL 32. Diipute qu'il eut à cet-
te occafionavec EPimne Gardmer, Evêque de iVm-
chejkr, 3<^> 37» B^
Chemins. Colonne miliaire qui étoit le centre de tous les
grands Chemins. T. XXIX. ^ f6
Chêne. Ouvrée où l'on apprend la manière d'âcvcr les
jeunes Chêne$.T.XXXlX.478.Ch£ne de ceatans,
^ j £xui
ïo» TABLE GENERALE
£ir hcpd on voyoit les maxt^ues certaiiies de fbs aa-<
nées, en comptant les cercles. T. XL VII. 300
ÇkenilU'à'hoJ/ê, Remarques fur la piodigieufe rnuki-
plication de cetlnfeôe. T. XXXI. 8a, é^/ukf.
Chemlles particulières qui firent beaucoup de mal i la
Suède en 1741. T. XXXVIII. TartM.fi. Che-
nilles qui font beaucoup de tort au Blé , Çc 00m-
ment il faut les détruire. T. XLI. ai, 13. ChenlMes
appcllées Bugues, Manière expéditive de les faire pé-
rir. T. XLV. 313. Remarques curieuies de Mr.
B«wii!# fur les Chenilles. T. XLVL 360
Çhtrvis. Mémoire fur 1^ graine de cette Plante. T.
XXXIX. 98
Çhefeaux {Jern Thiliffe de l^s d$) , petit-fils du célè*
breMr.^Cr<w^.T.XLIX.iio. Tems de fa naif-
ûnce. Ufid< ^cs diQ)ofitions heureufbs pour les Scien-
ces. i^iV. £t grands progrèisqu'ily fit. ihU, Son £P
£d de Dynamique. 111. Son Traité fur la force de h.
Poudre à canon. ibU* Autre Traité de h façon iùr le
inouvement de l'air dans la propagation du Son.ihid,
Ses Ohfervations fiir Saturne , danslefqueUes il éclair-
cit ce que Mr. Caffim ayoitinferé à ce flijet dans lesi
^empires de l'Académie Royale des Sciences, ibii.
B^aladie dont il eft attaqué. U3. Il découvre à kfim-
ple ?ue kuÇomète de 1 743 1 tao&dis que les perfonnes
tqui avoîenc les meilleurs yeux avoient peine àla voir
aveclelèooursdu T^kfcope. 213. Il trace., félonie
Syftême Newtonien , le chemin aue doit édre cette
Comète. 215'. Ses OWcrvations lur cette Cofootète.
iLi6. St& Ëlémens de Cofmographie 3c d'Afbono*
^ieri 1 7 . Son Introduâion à rHiftoire.î^^.SaThéo-
fie^sCçunètes , oùildosHie une nouvelle méthode
de calculer leurs Orbites, ilnd. é'/uiv. Divofespiè-
^xs de fà'fkçcm. a 18. CHifervatoire qu'il s'étoitiidt
daps fa Terre ètCh$f€Mx. 219. Ilfiiit uneCarte du
i^c de Génère, oùia figure de ceLaceiil: fortdi^-
iP80te de odlkq^'oQ hiU?4»iUttribuée jixiqu'a^^ iJM.
DES MATIERES. lo)
11 détermina la Longitude de Jéruiàlem. iip. Ses
travaux pour la défenfe de la Religion Chrétienne.
Uid, Se iif. Ses Diflèrtations critiques fur la partie
prophétique de T Ecriture Sainte- ihid- Il eft appelle
en Mofcovicpour être Direfteur de rObfcrvatoire de
Pétersbourg, Premier Profcfleurd*Aftronomie, 8c
Mena bre de T Académie . Ufid* Il rcfufe cette vocation.
212. Il eft mis au nombre des Correfpondans de
l'Académie Royale des Sciences de Paris, iifid, llçft
agrégea l'Académie Royale de Gottingen . & à cel-
' le de Londres ièid, SonczT^GtèTC.iùid,(^/téNj» Rai-
fbns qui le portèrent à faire un voyage a Paris. 224.
Soin qu'il prenoit des Païfans de fa Terre. 1 tf. Ses
fcntimens fur la Religion, iéid. Sa mort. 226.
C^/eUen ( Mr.) donne la vue à un Aveugle -né. T.
XXXL 340
Chevitffx. Nouvelle Edition de h Méthode de drejfer les
Chtyaux, T. XXX. 213. Remède pour kspréler-
verde la piqûre des mouches. T. XXXV. 194. pe-
tite Efpèce de Chevaux purticuliers à Tlslandc. T.
XXXVIII. 79. Invention qui fert à empêcher les
Chevaux qui ont pris le mords aux dents , de cau(er
des malheurs. T. XXXIX. 106. Pierre trouvée dans
l'eftoraac d'un Cheval. 42 1
Çhevert (Mr. de) remet Prague aux Autrichiens par une
Capitulation honorable. T. XLÏV. 84 , 85'
Cheveux rendus par le conduit de l'Urine, regardés com-
' me une fîmple matière coagulée, qui s'eft moulée en
pailànt par les filières naturelles des mammelons des
Keins. T. XXXVI. 339. Eloge des Cheveux noirs.
T. XL II. 113. Et Ats bruns, ibid. Les Cheveux
fervent quelvjuefois à loger l'amour. 1 114
Ç/?hjres du Pérou, Colonie des Chèvres originaires du
Pérou , établie auprès de Gujby. T. XXXIX. a?».
Qualités de ces Chèvres, iiidi Moyea deguérbr ks
Chèvres de leur envie démefuréecle grinjper, ajj,
Çhcvrc^ ^rî^rportécs par ^mt^ ^?Mndis | ^lc^^u^
O4 'Por-
W TABLE GENERALE
I
porte fon nom. T. XL II. 5-4. Combien elles s'y
multiplièrent. i^iV.
Çhtm{Geçrge)i Do6lcur en Médecine. SonEflTaiflir le
Régime, avec cinq DiTcours de Médecine, de Morak,
& de Philofophic. T. XXVI. 129. Sa Méthode ren-
rerfée des Fluxions peu eftimce. T.XXXVII. i8|-
Chien 4^ Mer delà Méditerranée, quiavoit iq pieds de
long & pefoit environ 3 o quintaux. T. XXXIX. 1 84.
Orgaqe particulier qu'on lui a trouvé , 6c dont les Na-
turaliiles n'ont pas encore domié la defcription. ihU,.
chiens. Leurs belles qualités. T. XXXII. 35-9, ^y«fi/.
Defcription d'un Ver qui vient à la langue des Chiens,
&qui les fait fouvent mourir. T. XLI. iiy
Ctimiffraco 3 Montagne d'Amérique ainfi nommée , qui
eft toujours chargée de neiges, T. XLII. 109
Chine . Si l'on peut trouver par le Nord un paflàge pour
aller à la Chine. T. XLÏl. 4, ^ fuiv. Prix propo-
fc par le Parlement d'Angleterre pour cette décou-
i^te. 10. Si Içs Traditions delà Chine tirent leur
origine de l'Egypte. Z71. Pourquoi le Luxe y eft
pernicieux. T. XLIII. 390, Le Gouvernement de
la Chine regardé comme un mauvais Gouvernement,
391, &fuiv. Remarqués fur la Chronologie des Chi-
nois. 426. Remarques fur leur Polygamie. T- XLIX,
14, If. Grand nombre de Religieux 8c d'Eunuques
qui Ce trouvent à la Chine . if. Empereur delà Chi-?
ne qui a donné le premier l'exemple de la Polygamie,
en prenant quatre fcm mes à 'a fois . 16. Nombre des
habitans delaChine i^iV. Et quelle eft la caufc de ce
grand nombrç. 17, 18. Voyez Chinois.
Cîfciww. Jugement fur leur Langue. T. XXXI. 294,
f^fuiv. Leurs Cicles. 301. Leurs Mois, leurs Jours,
iMd' LeurPoéfie. 302. Nombre des Livres Chinois
qui fe trouvent dans la Bibliothèque du Roi de Fran-
ce. i6id. Leurs plus beaux ouvrages ne £bnt que de
foiblçs copiesdeceuxduJapon.T.XLH. 66. Loin
4'étre inventeurs ils i^efàvem pas même imiter, iiiél.
i ' Excm*
DES M A^ T I E R E S. loj
Ex-emple que Ton donne de leur peu de curioiîté. iAid.
Idée peu avantageufe de leur Littérature & de Itfurs
Hiftoires. i^id' Leurs défauts. 67. Foiblefledeleur
Gouvernement. i^iW. VaifTeaux auxquels ils donnent
desfigufesdeSerpens.94. Leur fti!e6cleur manière
d'écrire. T . X LV IL 471,471. Leur Pais cft le Pais
delà Morale, 8c cepencknt ils font les plus fourbes de
tous les Peuples. T . L . y 3 . C'eft le bâton qui les gou-
verne. i6id. Ce que c'eft dans les Tribunaux que la
correâion appellee paternelle. i^i</. Pourquoi les Mif^
fionaires ont admiré les Chinois. i^i^. Voyez Chine,
Chinois nommé Hoan^ amené à Paris par des Miffionai-
res. T. XXXI 294. Sa mort. iâiJ.
Chirac. CaraélèredeceMédecin.T.XLL 44 j
Chjrimoyas y fruits de la Vallée de Quito, qu'on y regar-
de comme les meilleurs de tous les fruits des Indes Oc-
cidentales. T. XLIV. 42»
Chiron, Tundes ptemiers Grecs qui obfcrvèrcntlesE-
toilcs T. XXXVL 133
Chirurgie (h) a quelque chofè decruel.T.XXXI.iSp,
Nouveaux Inftrumens de Chirurgie. T. XXXVI,
J49 Extrait des Recherches Critiques & Hifloriqucfl
fur l'origine & les progrès de la Chirurgie en France,
T. XXXVIL 415. Inutilité de cette Science. T,
XLI. 445. Voyez Chirurgiens,
Chirurgiens (les) ne font pas en état d'être les Cenfeurs
des Ouvrages anatomiques. T. XXXI. 170. Ceux
de Paris n'ont pas procuré de grands avantages à l'A-
natomie. /^/V. Pourquoi la plupart des Chirurgiens ne
làuroient devenir habiles Anatomi/les. 273. Les Chi-
rurgiens de Paris font depuis plu fieurs fièclesauxpri-
fes avec les Médecins: T. XXXVll 41 3. Succès t-
vec lequel ils fe font employés à perfeéionner leur
Art. 414. Cequiacontribuéàcefuccès.4if. Dans
quels lieux , & en quelles occafions la Médecine eft
confiée aux Chirurgiens, ibid, L'Anatomie cultivée
p^ los Chirurgiens, ibid. Pourquoi k Médecine ne
10& TABLE GENERALE
fauroit être du reflbrt des Chirurgiens. 416, ^fitff».
S'il cft vrai que la Chirurgie , du moins eyi France ,
ibit plus ancienne que la Médecine. ^19. Pourquoi il
cft plus aifé à un Médecin d'être Chirurgien , qu à ua
Chirurgien d*être Médecin, ibid. A qui Ton eft re-
devable du renouvellernent delà Chirurgie de l'Euro-
pe. 41 1 . Qui font les Maîtres de la Chirurgie Françoi-
fc. 413. Tems auquel il y avoit en France cinq Sec-
tes de Chirurgiens .414. Qui font ceux qui furent ap-
pelles Chirurgiens de longue robe. 416. Epoque des
querelles qui (vibfiilent en France entre les Médecins
& les Chirurgiens. 427. Pourquoi les Chirurgiens
conièntirent de paver une certaine fbmme que la Fa-
culte de Médecine leur impofà. ibid* Terrafles par la
proteâion accordée aux Barbiers, ils s'adreflènt aux
Médecins pour en obtenir qu'ik ne vouluflènt plus
inftruire les Barbiers , êc promettent de ne plus écrire
de Recettes. 418. Si le titre de Barbier efl eilèntiel
aux Chirurgiens. 419. Procès intenté en i^io aux
Chirurgiens de Paris pour les obliger à fuivre les le-
çons des Médecins , puifqu'ils vouloient participer
^ux honneinrs de cette Faculté, ibid* & 4 3 o . Les Chi-
rurgiens appaifent l'orage , en fc reconnoiflànt les E-
coliers des Médecins, ilfid, La Chirurgie adoptée par
r Univerfîté , comme faifant partie de k Médecine , &
les Chirurgiens , en qualité de Lettrés élevés dans fes
Ecoles. i^zV. Grades de Licentié, de Docteur, con-
férés au X Chirurgiens, pendant tout le fèiz.ième fiède.
43 1 - Défenfe qui leur eft faite par le Parlement de re^
cevoîr des Maîtres en Chirurgie fans la préfènce de
quatre Dofteurs de la Faculté, ibid. Nouvelles diffi-
cultés en 1^76 , & a quelle occafion. ibij. On leur
défend de faire des leçons, ibid. Us rentrent dans la
carrière des Lettrés ibid. Etatdediflinâionoill iisfè
trouvèrent vers l'an 1609. ibid. & 431. Comment
onfàit voir que l'étude des Lettres a toujours été une
ch^Tjge V^of pefiinte pour ks Chiiur|;iens. 4;^ . Le
gros
DES MATIERES. lof
gros <ie leur Corps fcdet?u:hc encore de l'Univcrfitç*
des Ecoles des Médecins, 6c des Etudes, ibid* Ils fe rét
unifient aux Barbiers, ibid. Défenfc laite par le Parle-
ment aux Chirurgiens de iè parer déformais du titre
de Bacheliers , de Doâeurs , ^c. 4)6. Sous Louis
XIV. les Chirurgiens fe relèvent de cette efpèœ d'in-
famie. 437. Ikiè footea 1699 de nouvçÙ^i Loix»
qui raniment Temulation dans leur Corps, ibid^ Ils
obtienneqt en 1 743 un Arrêt , qui cafle leur union a^
yecks Barbiers, Scqui rend à laChii'urgieles hon?
neurs de la ^obe iQngue, &c. 498. Raiibus cm. prou-
vent que les Chirurgiens ne font point en état die fo
mêler de la pratique de la Médecine. Hid. é^fmv.
Voyez Barhierj^ Chirurgie.
Cbuhuly cité. T. XLVIII. ^97
Choc des Corps durs 3c élaâ iques. T . XLIX. 178
Om^iU. Traité £urleChocokt.T. XXXVI. 485
Chouettes (les) aboixdenten Ydandc.T.XXXVÏII. 80
CbnJiomathiM Grdca^ Petit Livre qui porte ce titre. T.
XXXL ' 34
C^rétims (les) e'toient licentieux & turbulens (ôusle rè-
gne de l'Empereur JV/Zw». T. XX VIIL I9h&fmv.
Regardés cotnme Perfécuteurs ^ Intoleraos. T,
XXIX. 10 j^ étfyvu. Maudii&nt leurs enaemis à
l'exemple des Juifs. T. XLIII. lof Ils iniukent à
Ja mémoire de rEmpcrcurJ^iilio». ibid. Fêtes qu'ils
célébrèrent en ajjpsenant ià mort . ikid> Fruits du fiiux
^èle 4cs Chrétiens de ce tems-là, qui , après avoir
été periecutés, devenoioutàlcurtour de cruels per-
sécuteurs. 1 10 » III. LesChxétieos peniènt bien , Se
exécutent fort mal, T. h- f g. Leur courage & leur
. flkéfcivité pour feirc.des Profelytcs. 7 1 . Pourquoi les
plu&grandes fojecesde la Million Chrétienne ibot ti-
rées desOrdres R.e]igîcux.iiM. Voyez VdiponChri'
,Çlmifi (fi mtkw» é^.UMort m^eftun gain. EclairciUê-
/i9cg|t/vi];.m çftmks de St. JPauL T.XLVII. »^8
Chnf<
lôX TABLE GENERALE
(Un^iflian d^Oldenhmrg , Roi de Dancmarc & de Nor-^
vege. T. XLV. 371. Il cft couronné Roi de Suè-
de. 373. Le Clergé fc révolte contre lui. ihid. Il cft
obligé de quitter la Suède. 374.. Il y rentre à la tête
d'une Armée , & eft défait en bataille rangée par Sté-
non au prè s de Stockholm . %'jf
Chrifiutn lîl , R oi de Danncmarc. Tems de fà naiflan-
' ce. T. XXVIII. 5-6. Ses voyages, ibid. Tour qu'il
joua à un Moine pendant qu'il prêchoit. ibid* EcËiiré
des lumières de la Réformation , il les communique
à ion père , & le defabufe des fuperftitions du Papifl.
me. SI ' Moyens dont il fe fervit pour augmenter les
progrès de la Réformation, ibid. Son mariage avec
Dorothée , fille aînée de Magrms , Duc de Saxe La*
wenbourg. f 8 . Après la mort de fon père il prend en
main radm.inidration des Duchés de Sleswic & de
Holftcin , comme Tuteur de fcs frères cohéritiers ,
qui étoient tous en bas âge. ibid. Il e(l élu Roi de
Dannemarc. 8f. Il communique ion éledtion à Q^
• tave. Roi de Suède, & lui demande du iccours con-
tre Ces ennemise ibid, U Mt le iîège de Coppenhague«
88. Il paiTe dans la Province de Schonen, ou il eft fo-
. Icnnellemcnt reconnu pour Roi par une Afïèmbléc
(générale dçs Etats , tenue à Lunden. ibid» U va à
Stockholm pour voir Gttftave , Roi de Suède. 89.
Traité qu'il conclut avec ce Prince, ibid. Il fc rend
dans le Holdein 90. U iè trouve à un Congrès tenu
à Hambourg , où l'on négocioit la paix entre le Dan-
nemarc & la Ville de Lubeck. 91. Il iè rend maître
de Coppenhague. 9f . Et fait fon entrée iblemnelle
dans cette Ville , accompagné de la Reine 8c du Sé-
nat. 96,97. Iliè faifit de tous les Biens Eccléfîaiti-
ques de chaque Diocèiè, & de tous les Monailères,
* 98. PerthilTion qu'il accorda aux Moines . ibid> H con-
voque l'A ffemblée des Etats du Royaume, dont les
Abbés , les Prieurs , êc les Ëvèques furent exclus, ibid»
Di&ours qu'ilûtlirefur un échafaut dans la Place pu-
DES MATIERE». loj
blîque deCoppenhague. ièid. &/mv. Confèil qu'il
avoît demandé a Luther i' avant que de prendre po^-
(eflîon des Bien^ £ccléiiaûiques. 102. Réponfè que
lui fit ce Réformateur. 105. Troubles en Norwège,
cauféspar l'Archevêque de Drontheim , qui vouloit
empêcher qu'on ne confirmât TéleéHon àeCMJiia»
dans ce Royaume. 104. Le Roi envoie une Flotte
pour aflléger Drontheim. iSid. Il fou met tout le Ro-
yaume de Norwège. 10 f. Il fait une trêve avec la
Gouvernante des Païs-bas. iàU. Il iè fait couronner
fblennellement. * i^idm
ChrifimnîVi RoideDanemarc, envoie des Vaiflèaux
en Groeniande. T, XXXI. 41
Chriftmn V, Roi de Danemarc , envole en Groeniande
un Vaiilèau qui eil pris par les Dunkerquois. T.
XXXI. 4*
Chrijiianifme, Ouvrage où l'on fait voir que le Chriflja-
mime n'efl pas fondé fur le Raifpnnement.T .XXIX.
4fi. Réponfèàc^etOuvrage.i^i^/ & T.XXX. a.;ii.
Pourquoi iJ n'efl: pas encore répandu par- tout, T.
XLI. îj^,(^/kiv^ S'il ell vrai que hors du Chriftia-
nifme on ne trouve que des apparences de Citoyea.
184. Confidéré comme unSylléme de Philofbphie
ducôtéderaMorale.T.XLIV.316, 317. Ses Dog-
mes réparés du Syilême de la Religion , font des mys-
tères incompréhenfibles qu'on ne peut admettre que
comtne révâés par des hommes inipiré?de Dieu.îi^iJ,
Si la Religion Chrétienne eft rigoureufement dé-
montrable, i^id- C^y^ïv. Défenie du Chriftianifme
fur le pied qu'il eft établi dans l'Ecriture. T. XL VIL
318. Les premiers Minières du Chriftianifme ai*
moicnt à pafTcr pour Philofophes. T. L. 1 3 . Ik nfont
rien afifeâé de ce qui appartenoit aux Prêtres. 14. De
tous les noms donnes aux Miniftres de l'Evangile
dans l'Ecriture il n'y en a pas un qui fignifie u n Sacrifi-
cateur proprement dit. i^ii^* VoycLCbrittins^RtU'
£m Chretinmi.
* Chrifi
rtô tABLË GËKËRALÊ
thripAnftad. Mal dont cette Vilte cft affilée. T.
XLVII. 390. Voyez Bétail.
X:hriftiem. Voyez Chriftian,
Chriftim , Reine de Suède. Médailles de fbû Cabuiet^
T. XXX. 64. Tcms auquel elle paflà à Vienne en
Dauphiné. T. XLV. 436. Manière extraordindre
dont clk étoît habillée. Hid» Pourquoi elle trouva in-
fipides tous les Difcours qu'on lui adreflâ fur ià rou-
te , excepté celui que lui fit le Doyen de Vienne, ^id.
8c 437 . Son cara6fcère. 438. Anecdote fingulière tou-
chant la caufe de la mort tragique de Monaldefchi *
que la Reine fit maflàcrer dans laGallerie de Fontaii-
nebleau 439, 440. Extrait des Mémoires concer-
nant cette Princeflè. T. XL VI. jai. Fait qui prouvé
qu'elle avoit Tame vindicative. 316. Si elle étoît ga-
lante. 327. Efprit qui brille dans lès Lettres. 318. E*
tatou étoît la Suède lorfqu'elle naquît. 330. Elle eft
proclamée Reine. 331. A qui elle fut confiée pen*
dant fk minorité, èirf. Précepteur qu'on lui don-
na. 331. Princes qui la recherchèrent en mariage*
J38. Raiibnde fbn averiion pour le mariage, ièid.
Son couronnement. 339. En quelle année elle forma
pour la première fois le deflèin d'abdiquer la Couron-
ne , & raifons qui la difpofèrent à hite cette dé*
marche, ihid- Sa vans étrangers avec lelqucls elle en-
^ tretint commerce de Lettres , ou qu'elle attira auprès
-d'elleen Suède 340 & 344. Grand nombre de Li-
vres & de rares Manulcrits qu'elle fit acheter pour fà
Bibliothèque. 340. Idée qu'elle fèformoit de kPhl-
loibphie. 346. Elle communique à Mr. Chanuty 8c en-
fuite au Sénat , la réfblution où elle étoit de quitter le
Trône. "347. Démarche violente à laquelle elle fc por-
te à l'égard du Minîftre de Portugal. 348. Elle cède
k Couronne à Charles -Cuftave, ièid, é^Juh. îllle
quitte la Suède. 3fo. Elle embraflela Religion <^a-»
Uiolique. 35-1. Conjeéhiresfiir cette dériiarche. ^ï</.
. Son arrivée à Rome. 3/3. Académie qu'efie établit
che%
DES MATIERES. lit
cicx elk. ièid. Chagrins qu'elle eflîiya à Rofflc. ^fy^
Elle fc rend en France & fait une entrée publique à
Paris. i6U, Elle quitte la France, va à Turin, àVc-
hilè, 8c rétourne à Rome. 35*6 , ^yj. Second Ex*
trait des Mémoires concernant cette Prlnceflé- T,
XL VII. 349, Elle fait màfïàcrerM(?»àWe/?^i: juge-
ment fur ce procédé, ibid. éf* fi^'f^' Raifon qui em-
pêcha cette Reine depafîèr en Angleterre. 35-3. Elfe
-quitte la France , 8c retourne à Rome , où elle reprend
le goût des Etudes, iff, Réfblution qu'elle prend de
retq^irner en Suède , après la mort de fbn Confia
Charles-Guftave , Roi de Suède. %s6. Comment el-
le fut reçue à Stockholm. 35*7. Mémoire qu'elle fit
remettre au Sénat. îbid^ Son long féjour à Hambourg»
lorfqu'elle eut quitté Stockholm. 35*9. De retoûif 4
Rome elle remet fur un bon pied fès affaires domefti-
ques, 8c le livre de nouveau à Tétude. 360. Elle en-
voie le Comte Galéazo Gualdo en AmbalTade à'plu-
fiçurs Princes Chrétiens , 8c pourquoi. îbid' Ses hbé-
ralités à l'égard de plulîeurs Savans .361. Elle fe inet
en chemin pour retourner en Siîède. 362 . Son féjour
à Hambourg, ibîâ* &Jkiv. Son retour à Rorje. J6(î.
Ses amufemens littéraires. 367. Remarques fur la
belle Letti'e qu'elle écrivit au Cheralier de TÇerlon , aà
iujet des perfécutions que la France falfoit aux Ré-
formés. 371, Elle va voir divers lieux d'Italie . J 7 3 4
Elle fe brouille avec le Pape , qui lui ôte la penfion
qu'il lui ftifoit de douze mille écus par an. i6id. El-
le s*unit avec la France pour l'afiàire des Franchi-
fes. 375:. Elle tombe malade > iè rétablit , retom-
be, 8c meurt. 379. Médailles frappées fous fon rè-
gne ou par fon ordre. T. XL VIII. 97. Jugement
lut les maximes 8c fentences de cette Prince fïe. i o i ,
à^fuiv. Ses réflexions fur la vie 8c fur les aâbions du
Grand Alexandre .106. La Pafiorale d*'Endymion a été
compdfée par /itexAndfeÛuÛi fur les idées de cette
Frinceffe» losir
ChriP
lia TABLE GENERALE
Çhriflofhle Je Bavière eft élu Roi de Danemarc , de Nor-
vège, & eBiuite de Suède. T. XLV. 371. îlfe fait
haïr des Suédois. i^id*
Chronique de Cologne. Particularités touchant les pre-
mières EditionsdecetOuvilage. T. XXVII. 11, 13
Chronologie. Idée d'un nouvel Ouvrage fur les Antiqui-
tés des plus anciens Royaumes, depuis la création du
Monde , pendant refpace de cinq mille ans . *t . XL! X .
476, 477. Nouvelle méthode d'établir & d'expli-
quer la Chronologie de TEcriturc. Hid. 8c 47 3
Chyfoloras (Emanuel) fait renaître à Plorcnce le goût
de la Langue Grecque. .T. XX VU. Jfo
Chryfoftome CSt.), cité. T. XXX. 408
Chubb ( Mr ). Ses recherches fur les raifons 8c les fondc-
mens de la Religion. T. XXVI. 217. Ses Difcours
fur les Miracles , confidérés comme des preuves d'une
Révélation Divine. 129. bt^ recherches touchant la
\ 'Eéiemftim, 8cc. T. XXX. 47 1 , 471. Accufé d'avoir
cuundeflein formé de faper imperceptiblement les
fondemens du Chriftianifme , dans fon Difcours fur
. les Miracles. T.XLI. ij"4. Attaqué fur fa définition
des Miracles. 15-6, 15-7 , ^fuiv. Il fe déclare con-
tre les Miracles. 1 75*
Chymie. Inutilité de cette Science. T. XLÎ. 441
Çicéron, L'Hiftoirc de la vie de ce célèbre Orateur , re-
gardée comme le morceau le plus curieux 8c le plus
ïnrérelîànt del'Hiftoire Romaine. T. XXVIIl. 1 fo.
Son grand amour pour la Patrie 8c pour la Liberté.
1^3. Pourquoi il a très fou vent vante la conftitution
de Rome , com mç le plus parfait de tous les Gou vcr-
nemens. iff. Temsde fànaiflànce. ifS. 11 eft fait
Quefteur ,'ou l'un des Tréforiers- Généraux de la Ré-
publique, ibid' Il eft choili Conful à l'exclu fion de
C Antoine 8c de Catilina.jhid. Ilfe condamne lui-
même à l'exil, pour le dérober à la violence de £c$
ennemis, ^id. Il eft rappelle avec honneur ibid. Sa
mort tragique. 1/9. Sur qui retombe tout ce qu'il
DÉS M A Tï ERES! xï^
y a d*odîeux dans ûl mort. 1 60. Témoignage que lui
rendit Attgufte, ibid . Eloges qu'on a faits de li^i. îbid.
Ce qu'en dit JBr/ï/?»e. 161. Portrait de Cicérm. ièid.
Comment il fortifioitfa fànté. ihid. Ses bonnes qua-
lités. i^U. Son caraâère. 161. Ses biens, Ôc com"
ment ilJes avoit acquis, i^id. Sa granderetenue à l'é-
gard du Beau- Sexe. 169. Sa pafîion marquée étoit
l'amour de la gloire, & la ibif des louanges. i6j.
Comment on tâche de le judifier à cet égard, ibid,
érfHiru\ Son grand fàvoir. 164. Jugement lurfès Let-
tres , dont nous n'avons qu'i^ne partie, ihid^ Ouvra-
ges qu'il a compofés , 6c qui le trouvent aujourd'hui
perdus. 16 f, (^elle forte de Philofophie il avoit ad-
optée, ihid, Sti fèmimens fur la Religion. 166. Sa'
Morale, ihid. Motif qui le porta à fixer Ton domicile
à Rome. T. XXXllI. 338. Accufé de vanité. 339.
Jugement fur ce défaut, ibid. Réflexion fur la re-
marque de ce grand Orateur , cjue le Veuf le Romain e-
tùitmoînsfenfiblek ceqmfrappoit les oreilles ^qu à c$
qui agijfoit fur les yeux, 341 ^ o*fuiv. Ce Grand-hom-
me efl celui de tous les Romains qui a rendu le plus
- de fervice à la Langue Latine & aux Belles-Lettres.
T . XLl V .435'. Aî^laudiflTement qu'eut fbn pre mier
Difcours public |)our t^fcius d'Amêrie. ibid. Voyage
qu'il fait a Athènes pour convcrfer avec les Savant
de cette fameufe Ville, ibid. Fruits qu'il en retire. i^zW.
Il paflc à Rhodes pour confulter le célèbre Molm. ibid.
Il traduit les deux Plaidoyers à*Bfclme^àt hémof-
thène -, & compofè des Traités fur la Rhétorique, ibid.
Ses Ecrits regardés comme la règle Scia manière de
bien penfer & de bien parler. 436, Grâce, douceur,
& majcfté qu'il introduit dans (à Langue, ibid. Son
grand lèle pour l'honneur de fa patrie, ibid, A quoi
il s'occupoitdans fon aimable folitude de Tufculm»»
ibid . Preuves qu'il a données de fa grande capacité Se
de fon érudition en divers genres de Sciaiccs. 437.
apologie en ik fiaiveur par l' Empereur Çlsudi. 439
H Gif»*
li^ TABLE GENERALE
iSintùflis 9 eC]pèce de Scolopendre , dont la morfôft«ft
foiîdangereufè à Carthagènc 8c à ia Côte deCoro-
jnandel. T. XLIV. 410
Cigale de la Chine. T. XLI. 23
Cigognes. SinosCieognes vont en Egypte. T. XLIV,
3 94. Quand on Tcvir fournit à manger , elles ne quit-
tent point nos toits, ibid' Leur demeure furies fron-
tières del'Aiîe. iM* On en a tiré delà Mer avec des
filets. Uid.
Ciguë. Dangereux e&ts de cette Plante. T.XXXVIII.
Fart.U. 1/8, if9
Cimèrie SavéMe (U). Extrait de cet Ouvrage. T.
XXXV, 416» o^fuiv.
Ciment quia'ariende cher ni dè.rare. T. XXXVIIL
fArt.lh. ^ fx
Cimetières. Pourquoi on devroit lesétablir à quelque dif^
ihnce des Villes. T. XLIIL 149
doq-Mârs. Tems auquel éclau fa coofpiratioa contre
le Cardinal de RlrAeficM. T. XXX. 45-9'
Circulation Jfê Sang (la) vue dansJa queue d'une SaJa«
mandrc d'eau. T. XXXVL 341
Cifieaux. Deicription hiftorique des principaux Moou-
. mens ou Tombeaux de TAbbaye de CiAcaux. T.
XXVn. 140
eiullo ouCielodalComo 9 Sicilien. Tems auquel il vi*
voit. T. XX VL la^
Clairaut (Mr.). Eloge de ion Traité de la Thieriedeh
figure de laTerre. T. XXXIX. 189, 190
Claproht (Mr.) joint les charmes de la Poéfîe Se du goût
à la connoiûânce parâitedela pratique du Droit. T.
XLI. 2fa
CAirid»j»Bolonois,enièi^een 1499 les premiers élé*
mens de la Langue Grecque à Leipzig. T.XX Vl.aoi
Clariffki ou l'Hiftoire d'une jeune Demoifislle de quali-
té. Extrait de cet Ouvrage. T. XLII. jaf
CUside (l'Empereur). Lieu de fa naif&nce. T.XLVII.
1^9. Cau&defàûttfidité. i^ii. Modération dont il
1
DES MATIERES., lif
ii£iIorfc|a'il iêvit élevé à la Souveraine PuiflâncciW.
Par qui il ièlaiflà gouverner. i6o. Sa libéralité à re-
gard de plufieurs Rois alliés de TEmpire Romain , £c
»ir-tout à regard d'jtpiffa , dont il augmente les E*
tats. i6i, La conquête d'une partie de la Grande-Bre-
tagne j regardée comme l'endroit le plus brillant de
fon règne. ièU. Il & rend lui-même dans cette Ue,
& retourne à Rome pour y célébrer les viûoire».
i6fi i66
CU$U$ ijtuifiis). Petit-fils de V'ûiuftrcyianClauéU.t.
XXXII . 3 91 . Sa mort à Lond. iéid. Ses Sermons^ UU.
Clandimi Evêque des Donatiftes, rebatifè tous ceux
qu'il pervertit. T. L. ' 229
ClavicHli (la) de h Science Hermétique, Extrait de cet
Ouvrage. T. XLVL a88
Ct/ytm (Milord Mert) , Evêque de Clogher. Extrait de
ik Défeniê de la Chronologie du Texte Hébreu. T.
XI/. 439
Clsyto» (Mr.) eâ fait Membre de l'Académie des Scien-
ces de Suède. T. XXXIX. 107
CléUnd (Mr.) . Sonde inventée par ce Chirurgien pour
faciliter l'Opération du Haut Appareil. T. XXX VL
349. Ses Aiguilles à Cataraâres. i^^V. Autres Inftru-
mens pour remédier aux maux de l'Oreille, ^fo. Mo-
yens qu'il propofè pour rétablir la membrane du
Tambour, lorsqu'elle a été déplacée par quelque a-
gîtation violente. ièij>.
Clémence (la) regardée comme la qualité difiinâive da
Souverain. T. XLIII. 38^
Clemens (Flavius), Gis de Flavius Sahims frèie unique
de l'Empereur Veffafien 9 ibufie k martyre foiis2)#-
mitien, T. XLIV, 244
Clément, {ucceffcux à' Jnaclet y le même que St, Flâul
nomme parmi les Compagnons de fès travaux. T.
XLIV • 243^ Témoignages qu'en readent ks anciens
Pères de l'Eglife. îbid, érfuiv. Par qui confondu a-
vec un autre Ciéf»e9^. 244. Divifign qui arriva A(^
Ha , n-
€iS TABLE GENERALE
]*£diiê de Corintheibus ion Pontificat, i^ij. Lettre
qu'uéoriyitàccttcoccafionaux Corinthiens.i^ï</. Ju-
gement fur cette Lettre. jSU. Pcrfécution arrivée fous
ion Pontificat. 24^. Temsdefàmort. ièid- Ce que
contiennent fcs Aétes , regardé comme fabuleux. z^^.
Pièces au'on lui attribue, mais dont les unes font fort
doutcufcs, & les autres vifîblement fuppofées. i^)</.
CUttttnt (St J , le Romain, Difciple de l'Apôtre St, fkr-
re. Ses deux Epitres tirées d'un Manufcrit Syriaque
du Nouveau Tefhment , & publiées pour la premiè-
re fois avec la Verfion Latine par Mr. JtanJsLe^uts
Wttftém. T, L, if8. Comment on prouve qu'elle*
Xbntautentîques. 161. Erreurs de quelques Auteurs
au fujct de ces Lettres, ibiâ, Raifons qui donnent
ieu de croire quelles ont été originairement écrites
en Grec, i6i. Ce qu'elles contiennent. îi(ïél.<^7«n;.
Pourquoi elles font refiées dans Toubli depuis tant de
fîècles. 165-. Quelle peut être leur utilité 168, 169.
A qui elles font principalement adreffées. 171. Extrait
d'une Differtation fur les deux Epitres que lui attribue
Mr. lé Profeflcur Pfètftein. ^ 363
Clément VI. Lettre d'unNgibliothécairc de Genève fur
une Difpenfefinguliére de ce Pape. T. XXXVIII,
Tart, JL 133. Seconde Lettre fur la BCille dé «e Pape, ♦
T. XXXIX. 48. Explication de la Bulle du Pape.
T. XLI. 97
CliePatre. Ses complaîfànces criminelles pour le fils aî-
oc4çF0npée.T!»XL. 317. Son caractère. 328. El-
le accorde II Ce far les dernières faveurs, 8c elle en a
un fils. 329,330, 331. Voyez Ftolémét- Excès où
cette PrincefTefeJaifre aller avec ^«^oi»e. T. XLIV.
iSi. é'fuiv. EUeeflreconnue.pour fbnEpoufe lé-
, gjtifne. 18 j
JCltrt (Mr. te) , Son commçrce de Lettres arec Mr. ÙU'
► : fi^. T. XXX. 20. Cité. T. XXXIL 69 . Anccdo-
. te par laquelle on peut juger du cas que l'Abbé Fra^
pêifrùdioix des OuVxages de ce Savant. T. XLVIIL
DES MATIERESj ïi>
é). Eftime qu'a pour lui hVèrc Cslmet, ibîd.
Clercs, Défenfc qui leur cft faite déporter ks armes. T,
L. 140. De donner leur fufïrage dans une ièntence
qifi emporte eâùfion de fàng. ièid- Comment ils doi-
vent fe couper les cheveux . iMd , Autres défcnfes qui
leur font faites. ' îbid.
Clergé, Projet pour le perfeâionncr en France. '^.
XXX. iio. PourquoileClergéabefoindefrein. T.
XLVI. 64. Le gros du Clergé, qui efl toujours le
moins éclairé, efl aufTi le plus entêté des vieilles opi-
nions . T .XL V III . ij- 1 , Defbrdrcs qui règnoicnt par-
mi le Clergé du tcms de l'Empereur Valentinien 2c du
PapeDamafe.T.XLIX.4j'z. Loi faite à ce fîi jet par
l'Empereur, ibid. Familiarité des Clercs avec les Da-
mes. 4f4. "Tours dont fèfcrvoient les Moines pour
ti'ompcr, captiver, 6ç piller les riches Veuves &: les
Vieillards. - 45*4
CUrvilU (Mr.), Auteur d'unDifcoursqui»remporté
fePrix. T. XLV. - 271
CUt. Voyez Amclet. - ^
Clifort (Mr). Son éloge. T. XXX. '^ 4r9
Climat (le) efl la cauiè fondamentale du Génie d'une
Nation. T. XLIX. 193. Ce que c'efl ouc Climat.
i^/V.c§'yî«i'.Changemensfurvenusaux Climats. 294
Cloches. Remarques furies Cloches, T. XLI. 388. Ef-
, fet du fon des Cloches fur la foudre. Uid . Phénomè-
ne curiçux caufé par une Cloche de Reims , 8c obfèr-
vé par le Czar en 1717. 390
ClodUn* Partie des Gaules qu'il joignit aux conquêtes
du Roi Pi^/ir/ii^W fon père. T. XXXI. 190
Clodius devicntSLmouTCVLX de Pompées, Femme deCl-
fétr. T. XXX VU. 71 . Soacara<aère. Uid, Plaifan-
te avanture à laquelle fès intrigues amoureufès avec
Tomféia donnèrent lieu, iàid, éi^furù: Cette zSaxrc
portée devant'lc Sénat. 73. CWmw* quoique chargé
de crimes , trouva moyen de fe faire abfbudre. iHi.
Ckm (Mr. vm) » Gouverneur de Batavia, lègue mil-
H 3 k
M TABLE GENERALE.
le écus pour une Miifion Proteibnte. T. XXXIlaop
ChfhuL Voyci 2dnm {Jean de), ^
Clovis n*étoit d'abord que le Général d'une Armée li-
fcôe . qui Tavoit élu pour la conduire dans des entre-
prifès y dont la gloire 8c le profit de?oîent être com-
muns. T. XXXVI. 71
Clyfem Jrgolicus. Bouclier Giec ainfi nommé, & pour-
quoi. T. L. ;6
Chtusy Roi dlllyrie » e& dé&it par Alexawdrê. T.
-^XXXV. 8a
Coati Mendit Animal de l'Amérique. Sa dcfcription. '
T. XLI. xf, 16
Cobden (Ed.). Témérité de ce Prédicateur.T.XLlI. 465-
CifccH» cite. T. XLVIII. 305
Cochenille. Ce que c'eft, & Ces différentes fortes. T.
XXXV. 441
Cocbem. Moyen d'empêcher les Cochonsde fouir la ter-
re. T. XXXIX. 273. Cochons originaires de la
Chine, dont la race s'eft confervéc autour de Chrif-
tianfbd, & quifbnt presque nud$« T. XI^VII. 398
Cachum (Patrick), Maïtre-es-Arts, Vicaire de Long-
Horûey dans k Province de Northumbedand. Ou-
vrage de cet Auteur. T.XLIV. 47^
Cêclmm» (Madame Catheme), Ses Oeuvres Théolo-
giqnes. T.XLVII. 473 9474. Idéedela Vie decet-
te Dame. iàid*
Cockman (le Dr.) Ses DiTcours Théolog^ques. T.
XLIV. 135'
Cockpits , Nom qu'on donne en Angleterre aux endroits
ou les Coqs fe battent. T. 3CXXIV. ai8. Voy.Ctfjx.
Ckm» . Fil d une longueur prodigieuiè que peut former
un Cocon de fiue «i.poios de &ax grains 2c demi. T.
XLIIL 434
Code Wrédiric , . ou Code de Droit pour les Etats de S.
M. Pruilienne, &c. Extrait de cet Ouvrage. T. L. 187
C^de Iheodojpm* Remarques fus en Ouvrage. T.
XXX. 33 , 0'/^^
Coi»
}
DES MATIERES^ tf>
CœUJms , Prtoe. T. XLVI. 19
Cœlins Aureîimmt. Sa patrie. T.XLVIL i ap. Tems au-
quel ii a vécu. î^îi^. Jugement fur Tes Ouvrages. 13^
Cctur. DécouTcrte aui tend à faire voir que le Cœur hu«
main n'eft qu'un ieul MuTcle continu , dont toutes lef
fibres font parallèles entre elles, 8cc. T. XXX VI«
336. Malade qui avécu 7 jours entiers avec nneplaie
quiavoit percé lecœur.T.XLII. 196. Extrait d'un
Traité de la ilruâuieduCœur, de fbnaâionScdis
&s maladies, par Mr. S^imk.T.XLIII. 32^. Idée
générale de cet Ouvrage. 314. Defcription du Péri-
carde, ihid, 8c 315*. Remarquesfùr les Artères coro^
nairesdu Cœur. 317. Etfiir Tes nerfs. iUd. f^fuiv»
Le Trou ovale. 328, 329. Foilèttes^crélèau qu'dn
trouve i la place dulVou ovale dans TAdulte. i^.
LeCceurfe racourcit dans la fyftole. 330. L'irrita-
tion regardée comme la caufe du mouvement dn
Cœur.î^. QuelleeftlacaufèquipoufleleCœurvers
ks côtes. îM. êc 231. S'ilyadesVaiflèauxquiver*
iènt du fàng dans les irentricules Se dans le» oreillet-
tes du Cœur. iM, Recherches fur la caufe du mou*
▼ement du Cœur. ièid. Combien il fort de fàng âa
Cœur à chaque pulCition, 332. SileCœurefl léfèul
agent de la circulation. 3 37 . Remarques furie potis.
3^8. L^inflammatiottdu Cœur fuit ibuvent la Plcu-
refie. 341
Ccntr (faquis). Particularités de fà vie. T. XXIX. 49.
Eftpiot^é parlaBelle.4^/5^e/. iàU. Amailê des
ridieilès immenfèsy 6c par qudle voies. iSU. Amen-
de à laquelle il cà condamné i il fè retire dans le Ro-
yaume de Chypre. ibU, éi*fiirv.
Cmu (G. U). Sermon de ce Minifht. T. XXXVI.
228, 3^11
CoU que fontles Lapons. T. XXXVIII. ' . it
{Joligni* Parallèle de P Amiral de Colispi 8c de Jr»ttf<ns
de Lffir^me. T. XXVIÎI. 300
Colifm49 trifm. l>eux Ouvrages fur cette maktHb.
H 4 Xî
%ao TABLE GENEllALE^^
T.XLVI. 37,38. Manière, delà traiter. T. XLVIK
Collines de la Cornouaille, Obfç^vatlons curieufes fur
ces Collines qu'on trouve fut prefque toutes les hau-
teurs de cette Province. T.XXXVI.jio. Ces Col-
lines ibnt l'ouvrage des anciens Habitans delà Grande
Bret. , &: doivent être regardées coname desMonu-
mens fépulcraux. iùid* OSèmens qu'on y trouvei^ïW-
Collinfon (Mr.) eft fait Membre de T Académie des
Sciences de Suède. T. XXXIX. 107
Colomefiatm. Voyez^Scaligirana.
Colon. Maladie de cet Inteftinçaufcc par la matière fter-
coralc qui s'y étoit endurcie. T. XXXVIII. P. Jl, 5-8
Combat. Différence qu'il y a entre la fignification de ce
mot&decelui de^atMtllê.T. XXIX. 374
Corne (St.). Comment on prouve que les premiers Chi-
rurgiens de St. Côme s'appelloient BurSiers*, T.
XXXVII. 419. Temsauquel la Mai&nde St. Cô-
me eut le titre de Collège, 432. Ses privilèges, ii^id.
Une partie de ce CoIIègciê réunit aux Barbiers,.6c cet-
te union eft rendue ^j^Qlique. 4; j*. Tems auquel
on* y fit revivre le ûtïlfc 4€\^ofcâcur. 438* Voyes
"Bariiers^ ÇhiruriH^Sf
Caiwe (Frère) publie un nouveau Lithotome caché, T.
L. 77. Mépris avecjequel il traite toutes les autres
, , -méthodes détailler. ibU, Il attaque Mr. Le C^^. 78.
Savans qu'il fait détlarer en fà favcurC ibii . Jugcmait
' qu*on doit porter, dç lui. 80 . Defcription de Ion Li-
\ , ^tQtoae.8 1 . Avantages que Frère Cerne attribue à cet
inftpment. 83. Ce qu'on doitpenicr de ces avanta-
gés. 84V c^T^^iv. Èfï'etsdes opérations faites par ce
Frère. ^p,0»fiàw. Rc^pr^Khe^ qu'on lui iak d'axer*
cc^^ /gn Art fiir les Femmes. 90
Çemegen „ forte de petit Aninaal qu'ott ne trouve qu'à
• Çaiftha&;ène , Se qui attaque toute forte detoÀcs, de
. 'Brocards, de draps, &c. T. XLiy. ? . 411
Çw»iff. -.Extrait d'une J&<^/r#>r il Qiff^< A .<! 74*- T.
>;" • XXIX.
\
DES MATIERE1S. iix
XXIX, 4.19. A quels dangers notre Globe féroit ex-
pofé fi une Comète s'en aprochoit de trop près. 43 a,
Tems auquel les Comètes ëtoient regardées comme
des Signes ou desCaufes de grands événemens. T«
XXXII. 376. Extrait d*nnTraitéde la Comète quî
sfamen 1743 ^ 1744.T. XXXIlI.444.,é»y«w.
Augmentation de ù. lumière. 448. Queues des Co-
mètes. 449. Les Comètes font des Planètes différen-
tes dès autres à pluiîeurs égaxàs, 4^ i . Extrait de k
defcription de la Comète <^i a paru au commence-
roentde l'année 1744. T. XXXV. 19. Si les Co-
mètes empruntent leur lumière du Sokil. 14. Ce que
c'eA que leur queue. 25*. Et leur atmofphére. 16.
Observations fur la Comète de 1 744. T . XXXVIII.
IPdrtM. 164. Obfèrvations fur la Comète quia paru
en 1741. T. XXXIX. ^f%,&Juiv, Idée d'un Ou-
vragede liïs.LeM(mmtr£vxh.ThearU des Comètes. T.
XLl. 137. Obfèrvations fur la Comète de 17 45. T.
XLII. Ce quec'eftque les Comètes, leur révolu-
tion autourdu Soleil. T. XLIII. 441
Commerfons (les). Combien ils font eflimables 8c nccef-
ûircs à l'Etat, T.XLIX. 61. Etendue de leur fcicn-
€c,iàid '. Ce qu'exige l'application de les principes.i^7^.
L'dfèimeque lesCômmerçans font de leur étatefl d'ac-
cord avecla Raifon.i^û/.Les Commerçansfont le pre*
mier reflbrt de l'abondance, ihid' Voyez Commerce,
Cm««rr«. EnquoileComnieice diffère du Négoce Se
du Trafic. T. XXIX, 375-. DansunEtaton nedoit
pas fê borner au Commerce intérieur , on doit ^u (H
<:ultivct'lc Commerce extérieur. T, XLIX, 119.
Commerce des Soies 5c des Laines, iàid. Divers pro-
jets furie Commerce. i6ul' &fiàv. Ses avantages.
2 30 . Le Commerce a pris naiflànce chez les anciens
Peuples , & (ait encore aujfourd'hui ï'eforit général des
Orientaux^ 304. Les Holkndois ont decore.cette prp-
feilîon de glorieux privilèges Undy oy, Cômmerfam*
Cmt9 (Ni^ël/iO. Tem$au($ÂelilécriTit..T.XXV|L «8
H s Cm-
%» Table générale
I. Ce qu'on cteit entendre par ce terraeen'papi
Itfitiks Plantes. T. XXXI. S6. CcncefHw txtrâ-i^
t^rim. T. XLIII. 4if
C^iÊtiiê eoQToqué à Conifauitiiiople en 38 1 par TËmpe-
tcaTTbêpdo/e. T. L. 241. Réglemeûs qu^oa y fit*
Uid. Autre Concile tenu^à Rome en ^81 , 8c ûirouoi
il roule. iSid. & 24.1. Pourquoi il eft înutikd'aflem-
Uer des Conciles. T. XXX. 96
CW«iii»ie(Mr deis). Extrait d'un Mi«i«<rv de cet Au-
teur. T. XX VIII. 442. Extrait de Ton Vo}rage dans
rintcricurde l'Amérique Méridionale. T. XXXVI.
210. Le mérite de cet Ouvrage, défendu contrôles
atteintes que quelques personnes ont youlu lui donner.
Uid* é^ fuiv* Ouvrage de cet Auteur , traduit en An-
glois. T. XXXIX. 22f . Extrait defon Suplément
au Journal hiftorique du Voyage à l'Equateur, & au
Livre de la Mefiire des trois premiers degrésduMé-'
ridien , pour fêrvir de réponfe aux objeâions de Mr.
IBouguer, T . L . 1 8 1 . J ugement fur cet Ouvrage. 1 82»
1 85;. Précis des réponics qu'il fait à Mr. Bos^tar. 1 9 1
Candétty ou St. Chude^ Abbaïe de Franche - Comté.
Son premier Abbé, T. XXXVI. 455-
Conditms de la vie. Il n'eflpasnécefiàire d'occuper les
grandes places pour étreutileau Public. T. XLI. 35-6
CmdHlUc (Mr. l'Abbé de). Extrait de fon Traité des
Syftémes. T. XLïy. lax
Cmfmnités dps CérémmUsfnoderms âvtcUs anciemm,
&c. Extrait de cet Ouvrage. T. XXXIII. 184, |^
Jkiv. Voyez Iduffard (Fitrre).
€>mfuciMs. Quelle eft la règle fondamentale de& Mo-
rale, T. XXX. 7
Cffngilat'wn* Si la congélation des liqueurs fè £dt par de-
grés, ou & elle eft inftantanée. T. XXXIX. 4. £z«
périence qui éclaircit cette queftion. ibid. ^fuhf*
CmjonBions. A quoi elles fervent dans leDi&ours. T«
XXXIX. \19
CtnfiSu. Ezem^qoi font voir combieo l'écrit Jde
Coiw
DE S M AT TE RE S. i^
Conquête eft pemidettx. T.yiXVllL^ç^ é^fuiv.
Cpnrâdbi eft vaincu par C/Mf/fx d*A»jm > & condamné
à lamort. T. XXX. 337 , 3 jS
Cmfeience. Combien elle efthilàne. T. XXX. 409
CofMrê^tum des Fmdres fous le règne de Jaques I . Roi
dr Angleterre. Ce fidt révoqué en doute » quoique très
bien prouvé par THiftoire . T . XL VII . ' 75
Confiântm le Grand. Portrait de cet Empereur. T.
XXVIII. 19U &fiàv. Son caraiftcre. T. XLIIÏ.
1 14 , 1 15'. Ne mente pas les éloges qu'on lui donne..
Uid. Convoque le Concile d'Arles. T. XLVII. 3.
Remarques fur là Converfion & fur fbn Baptême. 15*
Ccnfiantm ?ùrfbfrtiginttt » filsde£,^W le Sage, & petit-
nls de BafittHs Mêcedo. Ouvrage qu'on lui attribue,
peut-être mal-à-propos.T.XLVlI. ftf. 8c T, L. 3*7
Confiéroin Tcrfhyrogénèti U jeune » iîls de Bûmarms , & pe«
tit-filsde Cenfiantîn le Sage, Ouvrage dont il eftl' Au-
teur , Se que les Copiftes ont par ignorance attribué à
fbn grand-père. T. XLVII. 4Â6
Coornhett. Tems auquel il s'étabHt à Harlem en qualité
d'Imprimeur. T. XXVIL 18. Ce qu'il dit de k
première découverte de l'Imprimerie. îbid*
CùoH (k Prince de). Ses expéditions en Italiei T.
XXXVI. 35-8
Centinence* Réflexion fiir l'état de Continence. T.
XLI. Zf6
ContradiBwm de ce Monde* Exemples de ces Cohtradk-
tions. T. XXXIV. 196, (^ fmv.
Omttâyervtk* Ulàge de la racine de cette Plante. T.
XLII. 4i9
Cmtrcverfe (la) , regardée comme un Art dangereux.
T. XLI. 413
Cenvertiffeters, Sur quel principe doivent être fondés les
fjftêmcs des Convertifleurs. T. XLIX'. 315-. Ce
qu'ils devroient faire i l'égard àc ceux qu'ils veu-
lent éclairer. iMd^
Cwtmlfiims* Remède contre kâ Convûlâons. Voyez
«M TABLE GENERALE
<:tMtftUa. Cequ'ondoitentcwdrepar cetcrmeea'jttp»
laatdes'Pijntes. T. XXXI. 8â. Caaaftm extr»-»-
téritu. T. XLIII. 4iy
CMribcoaroquéàCoalbntinopleenjSi par l'Empe-
reur ïSéoi/o^, T. L, 141. Rcglcrartis qu'on y fit.
^id. AutTcConciletenUjàRDmccniSi.&rurQuai
il roule. î^ii/. & 141. Pourquoi il eft inutile d'aflem-
blcr dct Conciles. T. XXX. 96
Cmd*mvu{iAt deh). Ëztiaitd'unMfttwirvdecetAu-
1 Voyage dans
.T. XXXVI.
ndu contre lea '
uhi lui donner,
traduit en An-
bn Suplémeat
quateurt&au
oegiésdaMé-
^âiou de Mr.
Ouvrage. I Si,
.Beitgutr. 191
achc - Comté.
+ÎÎ*
d occuper kt
.T.XLI.îftf
foD Traité det
Ml. 184, ^
aie dcû Mo-
lle &it pu de-
XIX. +. Er-
itU. &fi^.
ïDifcours. T.
'i9
ka J'efprit Je
Cou-
DE S M ATIE'RES. iij
Conquête eftpemideuz. T. XXVIII. 194, ^^yiviv.
Conrâdm eft vaincu par C^b/ d'Anjm » & conckama
à kmort. T. XXX. 337 , 33S
Cmfcimce. Combien elle eftbifàrre. T. XXX. 409
CofMrêtians dis fmdres ^os le règne âe Jaques I . Rôi
d'Angleterre. Ce fait révoqué en doute > quoique très
bien prouvé par THiftoirc. T. XLVII. ' 75
Conftânfm le Oraod* Portrait de cet Empereur. T.
XXVIII. Î9Ï. &fiàv. Son caradkèrc. T. XLIII.
1 14 , 1 ij". Ne mérite pas ksélogcs qu'on lui donne.
i^id. Convoque le Concile d'Arles. T. XL VIL 3.
Remarques fur & Convorfion 8c fur fbn Baptême, if
Con/ianH» fûrPbyrcgenèti » fîlsde£.e«» h Sage, Se petit-
nls de Bafilms Mucedo, Ouvrage qu'on lui attribue,
peut-être mal-à-propos.T.XLVlI. ftf. & T. L. 3*7
Cùafinntin Pcrfi^ogénète Ujmm , fils de tUmams , 8c pe«
tit-filsde Cm^antm U Sage. Ouvrage dont il eft l'Au-
teur, 8c que les Copiftes ont par ignorance attribué à
fon grand-père. T. XLVII. 4^6
Cotnuhmt, Tems auquel il s'établit à Harlem en qualité
d'Irojprimeur. T. XXVIL 18. Ce qu'U dit de k
première découverte de l'Imprimerie. ibid.
QmH (k Prince de). Ses expédidons en Italiei T.
XXXVI. 35-8
Centimnci. Réflexion fiir l'état de Continence. T.
XLI. 35-5
ContradiBUms de ce Mwde» Exemples de ces Contradk*
tions. T. XXXIV. 196, é^ fuiv.
O/ntrayerva. Uifàge de k racine de cette Plante* T.
XLII. 419
Ckmsrwerfe (k) , regardée comme un Art dangereux.
T. XLL 413
€mverHffe$irs, Sur quel principe doivent être fondés les
fjflêmcs des Convertiflcurs. T. XLIX'. 3if. Ce
qu'ils devroient faire à l'égard de ceux qu'ils ved«
lent éclairer. Uîd»
C^iytmljms. Remède contre ks Convtdfîons, Voyez
12< TABLE GENERALE-
rie. T. XXVI. 463. Manière dont il fit cette décm^
verte. iMd. &Jkh.
Ceton qu'on tire en Suède d'une elpècc de Saule. T.
XXXIX, 101,102. Machine pour le monder, j^i/.
Manière de faire une efpècc de Coton. T. XLI. 35-
CottAy Conful. Projet formé contre lui fdxCétiUifM ^
Autromus , 8c C». Fifin^ T. XXXV. 166
Cmcoti (le) s'empare du nid de quelques autres Oi&aux*
T. XXXVIII. ^ ,7.
Couleur delà Peau. Voyez l^eaù*
Couleurs* Remarques fur les Couleurs accidentelles. T»
XLI . 4^0 . Démonfhation contre l'invariabilité pro-
tendue de toutes les Couleurs primordiales par Mr.
Gautier. T. XLV. ipi, f^fiiiv\
Ccuroyer {Mr. TierreFranfoisLe). Extrait de iàl)^/Ç»/i
deU nouvelle TraduStUm de VHifiotre du Concile de
Trente, b:c, T. XXVllI. 9 a, Jugement fur ksTi-
très qu'il fe donne. îbid. &fuvv\
Cmrhe d'égale preffion dans un Milieu xéùStmt, Problè-
me fur ce fujct, T. XXXIX. 187
ÇowUnde, Voyez Cur lande.
Cours d'Amours (les), Tems auquel elles ont été établies.
T. XXVI. 133. Ccquec'eftquelcsr«j/S»/ou7«wf
partis qu'on y propofoit. i^ij.
Court (Benoit le). Ouvrage qu'il a commenté. T.
XXXVII. * 31
Court'^Bar'on. A quoion donne ce nom en Angleterre»
T. XXXVI. 6p
Courville (Joachtm iMault de) , Muficien , fut l'un àt%
promoteurs d'une Académie qui fut établie fur la fin
de l'an 15-70 , pour travailler à l'avancement de la Lan-
gue Françoife. T. XXIX. 383
Ceufin (le Préfîdcnt) , Auteur du Journal des Savans.
T. XLL 148
Couftarde. Ce que c*eft que ce frulr.T.XLV.III. 1/5
Craèes changés en pierres, qu'on trouve fur la Côte de
CoromaOiH T«XXX« 171. Autres endroits où il y
9ti
DES MATIERES. iaf
mz^Ufid. Crabes dcVlkdcmgU. T. XL. iS6. Fa^
miiles ou Tribus qu'elles forment. 1 87. Combien d-
Icf pèlent, i^id^' Faculté qu clks ontikiê cafTer Icf
pâtes au beioîn , & d'en recouvrer de nouvelles. iM.
Guerre qu'elles fe font. 188. Crabe d'Amérique, a^
nimaJ courageux & entreprenant. T. XLIV, 41 1
€:racus , Duc de Pologne. T. XLVI. 46. Son âoge.iéîi/.
Cracovie bâtie par lui. j^ij^
Cr^^ms (Nicolas). E:itnitdcrcsAmiakjdiPHifi4fjredi
Bunnemurcy &c. T. XXVI. 245
Cramer (Mr. Gab.) . Ce qu'il à fourni pour enrichir l'Edi-
tion de Genève des Principes de Nwtm. T.XXX VII,
60. SonEIogehiftoriquc.T.XLVIII. ixf.é'/uiv.
Crâne ^ Belle cure d'une nature énorme du Crâne* T.
XXXVL 325
CrorfMuds, De quelle maniée ils s'accouplent, T,
XXXV . 188. Crapaud trouvé dans la profondeur d'un
Rocher d'une pierre fort dure. T. XXXVIII. x%
Oraffm. Son entêtement à faire la guerre aux 'Barthts.
T. XXXIX* III. Il part de Rome clargé d'impré-
cations, ibid. ReprocJÎc qu'il s'attire de lapartdeDe-
jttarus. ièid* Pourquoi il eut d'abord quelques fiic-
ces contre les Parthes. ibid> Mauvaifc conduite qu'il
tintdans cette guerre, m. Ambaflàdeursqu'il reçoit
de la part du Roi des Parthes , & dilcours qu'il tint,
1 1 5 . Il eft battu. 117,118. Confiance qu'il fit paroî-
tre loriqu'il vit les vainqueurs quidonnoientenfpcc-
tacle au?c Romains la tête pâle Se iànglante de fon fils
élevée en l'air. f^iJ. Sa mort. 121. On lui coupe la té«!
te 8c la main droite pour les porter en triomphe ào*
r«rfe en Arménie, tend. On préfente û tête en fpefta-
. cle dans une Tragédie, i&idy
4Srath de Malhs. Tems auquel il vint à Rome, 8c 7 on»
vrit une Ecdle de Grammaire , où il admcttoit à fès
leçonstoutekjeuneNoblefre. T.XLIV. 419
Qriaticn. Définitioa de la Création du Monde. T.
XL VIII. 87* Voj«z Moa4iàt:^è»fm.
Cri"
laS TABLE GENERALE
Crédit» Ce que c'eftque le Crédit, û nature, fèsiiriii*
' cipes, & Tes effets. T. XLIX. fS
Cremer (Mr. Bernard- S éêfaftim). ProfcAcur à Hardcr-
wyk. Extrait d'un Ouvrage de ce Théologien. T.
XLII. fo6. Idée générale qu'on en donne. iSid- (ji*
Jkiv. Son (avoir & Ton mérite peribnnel. i ii. Voyez
encore T. XXXV. 175
Créqui (le Duc de) , Ambaflàdeur de France auprès du
' Pape , fort de Rome pour un affront qu*il y avoit re-
çu. T. XLVIII. 33^ Satisfiiélion quele'Papc Ale-
xandre VIT. eft obKgé de faire à Lotêis XIV, 334.
Crefcens , le Cynique , nomme rempli de lui-même 8c
ennemi du nom Chrétien. T. XLIV. iff
Crtfcimbmi ( Mr. l'Abbé) a traité de l'origine & des pro-
grès delà PoèTie. T. XXVI. 115
Cntin {GuiîUume)- Ouvrages de ce Poète. T. XXVI.
145'. Lieudeiânaif&nce. i^d.
CrévMr (Mr.), Profcfïcur de Rhétorique au Collège de
Beauvais.Divers Extraits de fbn Hiftaire Bamaine pour
• fcrvir de fuite à celle de Mr. tiolHn j & de fon Hiftoire
des Empereurs Romains, T. XXX. ^ff. T. XXXII.
5-9.T.XXXIII.3i3.T.XXXV.33f.T.XXXVII.
61. T.XXXIX. 108. T.XLIV.164. T.XLVII.
147. Voyez Hiftoire Bûmaim.
Criftal qu'on tire de l'Islande. T. XXXVIIL 78
Critique, Ce que c'eftquela Critique en général. T.
XXVI. ^ 79
Cr(>f<?</i/w trouvés en Allemagne. T.XLII.I. 73
Crocus. Voyez Croek.
Croefe (Gérard). Circonftances de la vie de cet Auteur.
T. XLVIII. ^ ' 180
Croifades (les) regardées comme de folles 8c <febi{àrres
entreprifes. Jugement qu'on en porte. -T. XXIX,
icj», éi*fuiv* Guerriers qui y ont péri. T. XXXIII.
8. Quelques remarques générales fur les Croifades.
T. XL. 261, ^6%
CroixiMT.Smtvaiesdêlê). Extrait de foo Mémoire ^r
■ * ' quel*
DES M ATIERE5. laf
4|udques Plantes Tcnimeufcfi. T. XXXI. 477
tkùmpil (OlwUr), Soncaraâère. T. XXXI. ^fç. Pièce
contre lui. T. XXXIX.i6o,é»Aîv* S'il doit être
regardé comme un Tiran. 184. Fait la guerre aux
Hollandois. T.XLIII. 90. Gomment il arriva aux
honneurs. 91* Ses qualités. iM. Se£ûtrefpeâcr de
toute l'Europe. 117. Son portrait, i^f^. Sa difpute
arec le Pape Alexandre VI. fur lapréféanceenEnfin'.
T. XLV. iio,éi»fmifv. Comment cet Ufurpatew
aiTujcttit TAnglctcire. T. XLVIII. ^ gaf
^rook , ou Crocus (f^hârd) , Anglois , efl attiré k Leip^
lig en 1 f 14 , Se y obtient la permiflion de faire des
Leçons publiques de la Langue Grecque. T« XX VL
ao 1 . Succès merveilleux avec lequel il s'acquitte de cet
emploi, i&id. Les Caraâères Grecs introduits dans les
Frefics à Leipzig à ion occafîon. ihid. Il eft rappelle
en Angleterre par Henri 1717. i6U,
Crojfe des Evéques. D'où elle a été empruntée. T.
XXX III. a94
CrwM (Guilkume) , Doârenr en Médecine > & Membre
du Collège des Médecins , & de la Société Royale ds
Londres. Tems de ùl naiûànce* T. XLIV. 4^7. Il
prend le degré de bachelier es Arts. iSU. Il eft élu
Membre du Collège d'EmanueU Cambridge. î^t^. Il
«ft fait Profeilèur de Rhétorique au Collège de Grès*
bam, où il travaille à Tétabliflèment d'une Société
Royale qui s'y ai&mble , Se dont il c& fait Secrétaire.
êbîd* Il prend le degré de DoâeurenMédeckieiCam>
bridgç. iàid. U eHélu l'un des premiers Membres de
k^Sociétc Royale» î^M^. Uell choifi Leâeuren An»-
tomie par la Société des Chirurgiens. iM. U réfienc
biplace de ProfeiTeurau Collée de Gresham. 0i4.
Son mariage avec la iille de j^«o lorymer Ecuyen
▲68. Sa mort. IMd. Son hypothèfe fur la fbruc^ure,
decMufcks 2c kcaiufèdeleurcontraâion. i^U, Au^
très pièces de fa façon, i^id* Legs qu'il fait à la So-
«îete des Cturur^ns » au Collège des Médecins ^ de
I au
"1
»|é TABLE GENERALE
au Co&ège d'MmunueLièid, Leâuresou LeçoésdVAl*
gèbre fondées par fa Veuve. iM.
Croxji (Mr. Z^}. Lettres écrites à oe Savant. T.XXX< 19
CuchMrilh, L'écorce c[ui porte ce nom eft vraiièinbla-
blement k même que celle que oous oonnoiffons ibus
kflomdeO&M^i/ T.XXVIII.449. Mélange^u'on
en fait aveclc Quinquina pour en augmenter )e poids
&le vohme. ^ itid.
CuilUer d'ivoire devenue ibuple dans du Lait. T.
XXXIX. ^ 184
Cuiv r4 qui v^étoit par ks trous de les pores d*une vieil-
le poqtre. T. XXIX. 40
CuitMlU 9 maladie commune à Caùtbagène , ^ qui «eft
la même que celle qu'^ivkiïMie appelle l^ine deMédi--
m, T. XLIV, 409
€^l$é fuèUc^^ïM ks Chrétkns. Extrait d^un Ouvra-
. ge où Mr. de la C^/ipA/^ir-étahlit la néccifité de ce Cul-
te. T . XXXVIII. *7 . Lcttre^iux Auteurs de ce Joui^
nal au ièjet de ce Livre. Part. II 202. A qui on doit
tout Tai^pareii de ce Cake. T^ XLI. 181 ; Origine ât
ladiverfité du Cuke. iâid. Signes arbitraires par lef^
tpés on peut marquer ics fèntitnens de piété envers
Dieu. 181 . L'nnité:des Membtes de la Soolété, Tifm-
pue par la multitude des Cultes diâcrens. «83. Le
Culte extccîeur de k Rdigienconliftoit che^ les An-
ciens , en Fêtes , en Dan&s , Repréfentatioas fhéiba-
ks, âitrifices , Hymnes, 8c Feftins. T. L. ; 63
Cumberlmd (lcDo£^r). jugement fur ion Thsifi^^f-
'. hfefhiqu€d4sLâixN4attrêUes,i:.X\yilV. 477
OiiHgwn^. Mirack attdbué aù-mantetu de cette Im-
pératrice* T. XXIX. : g8
Cunnâ (S$nm9 di) fèrend mattre de Dîes , Pkce im-
portante 8c l'objet de tous les deiirs des Vice-Rois
Portugaisdans ks Indes T. XXXVIII. toi
Cufer (Mr. Qtsbm)y BourguemaitredekViikdeDe-
venter. Extrait de iès i>m'e/ ^ CrhîMUy diïÀttènk»
ttéri,Uc. T« XXX. i^. Tcœsde (a nai&ace.'iS.
Et
ES MATIEKFS- rji
lEtde&mort.iici/. SonasnStèie. UU. JûS^u'àquel
dsgréilpou&itrhumiHté.f^fi/. 2c 19. divans àc^ui
les Leàres font adrcfféci. iM. é'fiiiv. Ce qae ce^
LettravenfiermentdcpbsitDpoitant. 21. Enqu^
Langue elles font écrites , 8c quel en eft le aile. %f
Curlâmk (le Prmee ferditmnd di) ayant été attaqué d'u-
ne maladie très ierieu&> la République de rologne
fbnge à efifeâuer le projet qu'elle méditoit depuislong*
tetnsde réunir ce Duché à k Coun>niic.T.XLIK. 3^^
CiéfctUe. Surfbnadhéienceiuxatttrespiances.T.XLU.
41a
Cyéxari h ou AJJkirus I , troifième Roi des Mcdes.
Ses enfàns. T. L^ 3/7 « 3/8
<:yMxsre II. ou Affuims IL àitAfy^iSt vmid'sfiher
en fécondes noces» Se de Vafthi <£te Ariéne en pre-
mières noces. T. L. ^jS
Cjfclêïdi. Nouvelle démonftration à&i principales piv-
priétés de laCjdotde. T. XLI. 136
Cyrrbefti (Amlrmms). Beau Temple de la fajondccet
ArchitcAc, T. XXXVIL 409
Cyrm, RoidePerfe&deBab^rl* Combien de ttms il a
régné depuis qu'il détrôna^^^Sf «f Ibo ayeuL'I^X<3i'9
€ft4r(lt) IfkrrêfrmkrmlPrsftci. Extrait de TOuvrage
qui porte ce titre, T. XXVII. 389
iùLik > premier Duc des Bohèmes. T. XLVI. ^f
DAl (Mr.). Livres publiés par ce MiiEonairçPro*
' tdhnt. T. XXXIl. 168
jiacier (Mr.). Jugement fur (à Tradttâioa â^Ho"
râce. T. XXX. 3(4
Z>»g9kirt I. prend les armes contre les Skres, qnipor*
toient le ravage dans U Thuringe&rAttfbraue. T.
XLVI. 43
DâiUj {fknt), Chancelier deirUnvieiEfité depuis, Ë-
/
132 TABLE GENERALE
Téqùede Cambrai, Cardinale Légat àeJiânXHOtnL
auSiègedeConftanftinople, a été un des principaux
Poètes de fon fièck. T. XXVL 1 37
l>0ils trouvés dans des blocs dt marbre autour dePort-
^ mahon. T. XLVL 3^8
DâlemfWHs , nom fous lequel Mr. di la PUntéU^ de k
Société des Sciences de Montpellier , s'eft dégtiifé.
T. XLVÏ. 76
D4/«i(t;4»).Lcttrc8adrcflecsi ce Savant. T.XXX. 11
Dulin (Mr. oUus).^ Son Hiftoirc de Suède. T. XL, 24.
Pourquoi il a été choifi par les Etats de Suède pour
compofcr cet Ouvrage. iéU. Sources où il a puifë.
a/. Voye?. 5i»^/e.Extrait du fécond Tome de ion Hif"
t0ire dHRpyaumeJeSutdix^^XLV, 349. Sa réponlè
à la critique de Mrs. Wilde Père Se Fik , qui avoienc
écrit contre le premier Tome de cet Ouvrage. 55-0
jyâm^fi.O^ Pape) fupprîme heureufement le- Schifnfe
d'Urfinus. T . L, 1 1 f. Il fait condamner dans un Con-
cile laConfedlon de foi ambiguë par laquefle Vitalh
Tavoit trompé. 224. Fait qui prouve qu'on en peut
Impoièr au Pape en matière de foi. itU. & aif. U
eâaccufé d'un crime» & enfuite juftifsé. aiS.Conciles
qui iè. tiennent à Conibmtinople & à Ron:ie vers k
. nn de fon Pontificat. 24 1 . Ulàge nouveau qu'il intro-
duit, zfi^ Il prend la défenfe de Symmsqu^ , . Préfft
de Rome, & ennemi juré des Chrétiens, qui avoitété
accufé auprès de l'Empereur de les maltraiter. 25-7.
Tems de fàmort. Uid. Où il fut enterré, i^î^/. Dé-
crets qu*(mlui.attribùe* 21*8. Où vragesqu*bnhii at-
tribue, iàid, é^fuiv. Son caraâère. 161. Juiqu'où
il porta TAutorité EcdéfiaiUque. 261
Dstniette. Situation de cette Ville. T. XXXVII. 1/3.
Rendue fameu(è par les dermères Croiiàdes. iéid»
I>amnis (les). Voyez I.tif9r.
^amfîtr eft le premier qui ait fait cootioitre le Lion 3:
Tours marins. T« L. ify
1
nrs MATIERES. <j|,
^Ihnuéî (k Prophète). Comment on prouve qa*il n'eut.
^ucuM.paft à l'Edit àcCyms, T. L. 360. Temsde
iamort- ièîd. Combien de tems il aprophétife. ièfJ.
> Durée de fa captivité* iii^. A quel âge il eA moTUi^ùi.-
2)j»ie/(IcPère), critiqué. T. XXXVII. 178, Co^-
jedèure fur le fort que doit avoir fon Hiftgire. T.
. XUII. 311: Accde d'indolence & de parelTc. iSid.
PMnois. Ei^traitde V'Hiftoiredes laits & des M0mmen$'
des Dsaiois hors du Danemarc , ^c, T.XXVIIl.117.
Si les Armées innombrables qui fondoient autrefois
dû Nord dans les Païs Méridionaux n'étoientcompo-
ieesqufc de Danois. ti9*&fHÎv. Pélérina^sdeplu-
fieurs Rois de Danemarç (Hàus la Terre Sainte, x ao.
L^ùr defcente en Efpagpe., Se ravages Qu'ils 7 firent.
213. Leurs autres expéditions. 1 14 , o* fi*iv- Coti"
quêtes de ces Peqples. T. XL. 37 j. Combien ils ho-
noroient autrefois ks Marins, iiid. Leur puidance
fur Mer. 374. Voyez DannemMrc.
hânnemâir. Extrait des Annales de l'Hifloire de ce Païs,^
. T. XXVI. 143. & T.XXVIL ff. Comment la
Religioû y fut introduite. f6, (^fuiv. Vpyex Danois.
hanfe U^} doit iàpe^feâion» la France, pour avoir lu
. CQrrieer par fes bienféances les attitudes ioniques,
• c'cft-a-dirclafcivesdc l'Orient. T. XLIX. 301. La
Danfè ideshoânête chez les Orientaux , Se permifè
aux feules Femmes publiques , eft noble dans let.
Quiétiftes Afi^tîqucs. T. L, ^ 64
P/ijyre.Sc Pétrarque ontietté les premiers fpndemens de
lapCTfcéiion.dclaPoefieitalienne. T. XXVI. t37.
- TradufaiondcsOuvragesdcDante.T.XXXV. 131
jyantxÀc, Société qui s'y eft formée pour l'avancement
\ de î'Hiftoife NaturcHc. T. XLiv. 384
J^amjïlle (Mr.), Géographe ordinaire du Roi.T.XXIX.
, SS' Auteur des JEclatrciJfemem Gépgrafhiqufs fur l'An"
derme Gaule , Sec. ibid. Extrait de cet Ouvrage. iSid»
jparan ( Mr, Jaqms), Ôuvm^ 4e ce' Chirurgien. T.
XLIIÎ. ; i^Sf
I 5 J>»-
• y
f||; -table: GENBUALB*
r. Route qu^il tîiit, la retour de fcneXfiSsSmt
malheureufe contre k$ Scythes. T. XXVI. 9S» 99«
Voyez AkxMnJrt.
lg>énm» Tûsà^jj0Mfe. Armée sombreuièdè ce Prm^
ce. T. XL. 3f 1, Grand nombre de Vsûflèaux qv£i
compofbient fa Flotte. iM. Il n'eftpa» heureux dans
fbn expédition contre les Athéniens. i&id*
DarUêslfMUt, fécond fiUà^Ajfpertts h futkChefde»
meurtriers 6c le fùccefleuf^ S«^A«/fi«fbapetit>"iie*
veu. T« L. 3 j^. Coml^en de tems il a rè^ àBa«
bjlone. ^ f^iu^.
Vavezan (j^ean). Tems de la naHItnce de ce JunfiroQ«
fuite. T.L. iiS. Sous quels Maîtres il fitl^s études
i Touloufè. î^»^. Il obtient à Orléans une Chaûc de
^ Frofeflêur, qu'il rempMt arec réputation pendant plus
de 30 ans. ùid. Ileft appeKé à Paris pour y exercer
k même fonôicm. îM . Penfion qu'on luidonne. î^U.
Sa mort. 1^/4/. Notice de fcs Ouvrages, ii^f&fi^w.
David' Diflèrtation fur les imPrkatkm de quelques*.
unsdcfcsPlèaumcs. T. XXXV. 31^
Xhivid (Claude}. Ouvrage dte cet Auteur. T. L, 143,
S'efl dîflingué (kns la Proieilion d'^Avocatau Parle«
ment de Dijon. Uid.
i>0vifusy cire. T. XLVIÎI. 297
f pauff^, Cau& de la mort de cette Princeflè* T. XLI.
433
^icéUe, Ville d'Attique. T. XXVl. • 9
décoré (Mr.). Extrait de Tes E/ri»<w /s^ Stîitnets frm^
• dfahs. T. XLVIII. 68
I>iè0tvirte df la Vérité, &c. Ouvn^ qui porte ce ti-
^ tre. T. XXXVI. 3#)i
Bééjfe Syrienne (la). Sous quelle figure on la repréfètttoit
• en pluficurs lieux. T. XXXIX. 112. Sic'eftkDicu
', Dii^o;^ dont il ed&it nation dans FEcriture. iàid*
i>éfauts Théologiques, Voye* Théologie,
jyéglutidon. Extrait d'unOuTn^e &a£Vem}e(hementd0-
hj)égluti$im,T.%hVl.%s.QctXtxsaLlikXTè»fc^
con-
VnS MATIERES: tjf
, tMO^rurlç^ueUef FhifhMic de cette maladie c& fon-
. de». iPré^ySm/. Sc$ Oià&t t tsB fymjptàmts, ^« ^
yStftv. Sacuiatioa. p^» &fitiv.
M^i^s. Hxxmt d'us Dîicours fiir le Déifine* T.
XX^XIV. 193,194. rouiquoi les Déiftes n'ont ja-
mais caufè de tumulte, i^f. ËzpofédelearReligbn*
. T. XXKVI. 476. Leurs objections contre laR^i-
gîon Cbrédenoc. T. XLI V . 470 , i^Jmiv. Ce. qu'on
entend parle terme de Déifie. T. XL VII. 449 « Il
t'en trouve dans la Magiftiature, dans les Acmées».
dansTËglifib, anprèsdu'^r6ne, ficfuilcTrâne mé-
. me, daasies Académies , &c. T.L. ^s;^. Pourquoi
on ne doit pas parler d'eux avec un mépris affe6té.i^.
Ne doivent pas être traités par les Rénormésplus du^
.'lemcnt que les CadioUqups, iUd, Leur croyance^
400 Leur Religion. iMd.
^elm^ (le Do&iciax Patrick) ^ Doyen de Dowrnen k-
. }aiuk,&c. Ouvrage decct Auteur. T. XJXXV, 100
Dsfikmtffi. Extfiok d'ua P/if» JW Bfitifi^r U Déli^
catejfe. T. XLII. 68. Ce qu'onde entendis par. ce
tcrme.T. XLIL S|» 84. £aquoi.elkdt£Fère^rUs«
bamté. 8f . Ki^ «ar U^elle on doitfè conduise
dans l'afÉiire de la Délicattflê. &6. Combien on en
tiouve dans les Ouvrages de lbifibiëJ8c dé G»n{a. ^7.
La Nature itgaidée cd.mme la lèglcSc le juge de la
DélicateiTe.i^^. (^UèeftceQe^tfetifoa^e dapialei
. Mœurs, 8c quels eaSim les points les pluseflbmels.âl
jïUirt:. Effet unguHer de cette maladie. T. XLIIi. 41^
I)elifl» (Mr.). Lctti» de cet Ailxoiiôme â Mi. Caffini.
. T. XLL 47J
J>ilit. Cequec'eft^^ueleSecriBcepourleDélit. T.L.
7 . Diftérence enire le Dëït & le Péché. 8
Jiêkrme {Hx.), premicarGîou^rcnieurdttCamttedeSa-
. xe. T. XLIX. 381
W>ibi^ P^seuite debtéôjédeoiluLdofitifBciikisrenoue
1 4 don-
ijtf TABLE GENERALE
donnelacauiè 2c kddcdption.T.XXVfL i4fl as
T. XXIX. 433. Sapoifibîiité phjfiaue. T. XXX.^
ifôyf^fiùv. Objeâionscomre le Déluge univti&l,
loi , f^ffêiv. Recherches fût l'état du Monde avant
3e Déluge. T. XL. 474, 47^. Déluges qu'il y a en
furkTerre.T. XLIII.70. Refflar(]uesiur ce grand
événement. T. XLIV. 476
VirnsnieMifins. Ce que c'eft. T. XXXI. 31c
DémocrMii (k) regardée comme k forme de Gouverne*
. ment k plus douce 8c k plus convenable. T. XLIX.
125*. Ses defàvantages. iM.
Dimccrite- Méthode qu'il donne pour Êiise éclone des
Poulets dans dufumter.T. XLIV. 185-. Comment
CéiTéUn explique ce que dit fur cek JDfmocrité, T.
XLIV. a8|-
jyimûn (le). Voyez DiiAU.
J>€m€ns. Ces exprei&ons, cht^ffirUsjyimmst ^p^"
. rir /e'il^Me/ 9 font prefaue f)rnonimes. T. L. 17»
Dimêfihèm. Jugement quil Mbit à'Akxandn lo
Gnind.T.XXXV. 80. Reg^irdé comme un des plus
* grands ennemis dek Macédoine. 82. Magnifique é-s
dition de fès Ouvrages. T. XL. 468
Démours Obfervation de ce Médecin. T. XXXV. 188
JHnbigh (le Comte de). Son expédition pour iècourir
k Rochelle. T. XLIIL ^\f
iymdntej, EiM fur k formation des Dendrîtes , forte de
pierre» des environs d'Akis. T. XLV. 3^27
DeneJU. Ëxtraitde CcsrrepgisduTuàlic.T.liLl. 289
JDems (le Pape) envoie vers l*an 260 de grandes fbmmes
pour racheter plufieurs Chrétiens qiii avoient été me^
nés en. captivité. T. XLIV. 25-6. Son ékâion. T»
XLVI. 5*. Sa piété 5c (on (avoir, i^t^. Irruption que
font les Goths dans l'Empire fous Ton Pontificat.
ièid. Fameux Concik d' Antioche qui fè tint foiis fbn
Pontificat. 7. Sa mort. 8. Il doit être rayé ducatav
logue des Martirs. tiU*
^tms d'Alixandrk, dkltÇrsud. Fait tiré d'uaedeiès
1
DES MATIERES. £57
- I^ttrcsécrîte i Eticmie Evêquc de Rome. T . XLI V.
%f6. Ayant été dénoncé au Pape Denis, fe juûifie
d'une accuiàtion intentée contre lui . T . XLV 1 . 6
j}msUfelity cité. T. XLlV. 247
IHnt foliile trouvée dans la Province de Norfolk, qui
aroit quinze poucesde longueur , & fept pouces dans
ù, plus grande largeur. T. XXXIX. iS
JHfârcwix (Mr.). â Table des jprobabilités de la durée
delà vie humaine, conftruite fur celle de Mr. Halley.
T. L. l^^y 391
jyes'lâpreatêxXy^V^^)' Remarques fur la vie de ce fa^
mcuxDéifte. T. XLIL 39^
De/cartes. Si ùl fuppofition , que mt efiplem, cft fàufle,
T. XXIX. i^fy 136, Si ce Philo&phc a bien prour
vé la fpiritualité& l'immortalité de TAmcT. XXX*
p z , Jugement fur fbn Trdité de VHemtni* T. XXXL
• 170, &fuw. & T. XXXIIL 573, Juftifié. T.
• XX XIV . 8 1 . Jugement fur fon Sy ftême de la Gér
• nération. T. XXXV. 508» Idée qu'on donne de ce
Philofophc. T. XXXVI 586, Ses connoi (Tances &
fa Philofophie. T. XXÎQVII. ff. A bus qu'on a fait
de fes principes. 41, Ses erreurs. T. XLI I. 44. Hfc
croyoitfur dé pouvoir rendre £bl vie é«deàccllc dtit
Patriarches. TiXLVl. 297. N'eftpâsPinventcur.da
Syftéme des Automates. T. XLVIII. 221. ffeil
trompéfurPoriginedcsIdées,T-XLIX. 9|',9Ôv A
' quoi ilattribuela.formationdelaGkcc.T. XLV. »}9
Desfmtaiois (FAbbé). Son Hiftoirc de Polpgne. T.
> XLVI. 40
^efintértffnfmt. Pourquoi la mode d'être defintércfle
• ne viendra jamais. T. XLÎX. ' ' SI
Defir. Cequec^cft. T. XXXIl.' %f
pesUndis (Mr.). Obfervationdc cet Auteur. T^XXIX,
413. Voyez Marmê,
BêfffftïfiM. Signes du Defpotifitoc dans kcaraaèrc d'u-
ne Nation. T. L. ' SS
Véveliffemtnt» ObÇctVQ^onconXxc hSyikèitiCÀcs Dé*
I f velop-
«j« TAULE G^ ITERAI B
^Ic^^pemcns.T. XXXI.Sf . Répot^eà cette O^lc*:^
tk>n. 86. DëvtloppemcntdesGermcsirQaSenieQea»
99. Voyez CémrMiûo»
j>ivelopfer. Ce que c'eft qtiedérebpperun Cnjttjr.U.^
jywcirs entre les Amis« T. XXVIII. 84. £ntie les O^
puIoK&lesIiidigeiis. Sj*. £iitie les Supérieurs Scies
Inférieurs. Und. énfwvé
I>ivêti€n EfiEbrts de Dérotioii dans lesquels pluuean
font condfterle ChriiHnnifmc. T. XLL • 417
jyiabête Caufe de cette maladie. T. XXXIV. 441
jyiahkf. lïn'j en a plusaajourdliui, ^pourquoi. T;
.* XLIX. 2(14^ tôjT
jyUlUlU Cequec'cft. T. XXXII. %i
jyiamms. Leur gaLvifiéfpéctfiqae. T. XXXIX. ai
jHafhragmt trouvé décimé depuis k Sternum jufqu^au
. centre tendineux , àrouverture du corps d'une jeu*
a? Fille. T. XL- ' . ^ 405-
laiML {BturAiiemy Tems auqud il découvrit le Cap de
< Bonne-Efpérance. T. XXXVIIL lyj*
l^httBs de Pologne. Cmifufion qui (è troure dans ces
Ailmnblées. T.XLIV. $6. Quelle en eièkcaufe, Se
mof en d'y lemédier. f 6
J)km. L'idée de la RdigioB. fuppo&néeoifidrement œl-
. IcdeDicu.T.XXVIILf. Ses Attribvtts. 8. Com-
. ment on fait nok qu*f n'eft pobit l'iif «* is V.XJmvtrs.
91. Ré&itatiba de ceux quiprétciidoBt que Dieu, tef^
teroit oifif » s'il n'étoit occupé à ciéer chaque jour
deiiouve]les,AniesLT.XXlX^t44. DifGoursfuribt
cxiftence, T. XXX. 218. Tous les phénomènes na*
tiifekiô&«reîSttânmédbtdricma£tio«LT.^
46. Idée que les Magesiè formoicorde IDieu. fi. In-
convéniens qu'il 7 a âk le regarder comnift k Caufe
. %iuaédfôtede-tous.le9 e£bt&(k k Nature.. 5^. S'il 9
befbin d'un véhicule pour ag^r^p. di. Ouvrage oà
- Poit démoatre £oa cxtâcncc âc fb pcrfcâions:. l.
* XXXIX. ai6. Quel efl le vrai moyen d'en Jémon-
. trcrf exiteic«i T. XLU. i&t. Prcam dr&Oi exis-
tence
BES MATIERES. 139
' ItefiBttrée dés menrecUes de la ftraâure du Corps hu-
msàxu T. XLill. 4f u Si les preuves que k Méta^*
pbyfi^ue met en œuv» pour ëraJbllr rexiilence de
Dieu, iont inutiles; 8c s'iln-y^defbrcequedans cel«
les que la Pii^rfique expérimentale nous fournit. T.
XLIV. a 17 ,. a i9« Sa iageffe Se la 'oomé démbnt ée»
parkconfidérationde la manière dont THommeelt
formé flccompoie. ^^^fj^fuifu. Dieu regarde com<-^
me un Etre vjolent, defpotique, arbitraire, dans
certaine» ReHgîons. T. XLVH. ^6j , 4^. Si l'ar^
gument allégué par St. f4ii( pour prouver l'exi^lence
de Dieu, eftune preuve bien fondée. T. XLVIIL
xM^l^fmu, Belle preuve de ion exiftence 169. S»
l^on peut parvenir au Qonnoii&uceiàas le ftcours de
h N&tapnjâque 276, Ignorance oànôusfommes à
regard des qualités qu'on attribue communément à
k IMvinité. xfo. Vov^zi UAvimté,
Xik» (Mr. de)* Genre d étude dans lequel cet Auteur
s'ed diftingué. T. L. " 4.^1
B^by (le Ch^alier BOnaim^) , cité. T» XLVI. 297
J}igH» commencée par l^»fus Se achevée par P^tuMr ,
pour empêcher que le R:hin, au point de fà première
diviiion, nejettât trop d'eau d^uis le Vakir, de que
* par -là le bras drait de ce Fleuve ne &'apauvrft. T.
XLVII. ^9
X>ifMmiqui (Principe de^ T. XL, 202
Diodvre de Sicile , cité. T.XXXI.>87. ImprefiTion de
fès Ouvrages. T. XXXV. 219, Extrait d'une nou-
t«Ue Edition de fa Bî^/i«r^^^ Hi/^ifM.T.XXXV r.
104, Hifloire abrégée de k vie cbcet Auteur, ièid, <$»
fmv. Second Extrait de û Bibliothèque. 26f
Pkn CMjJmsCieeeértm, Extiait de ion Hii^ire RomaÎ!«
ne.T.XLTX. ifi. rdécabr^defàvie.î^ii^ J^-
gement qu'ondoie povcev de &i Hiftoire. i f^. El
qudk eAk plus grande utlKté qu'ony reconnoîn. iM*
En combien de Livres il avoit divifc fon Hiftotre , Se
combien iltousensofte^fff. CoaoèîeAilyenad'K»
ditions
X40 TABLE GENERALE
dttions cnGrec.i/^.D'où Ton a'tiré les FxagaitDsMUm
XHfciflhMm, Scène burlerquc qu'ils rcpréSntent aux
Proccflions. T. XXXllï. jof , eJ»ySblv.
jyîfcmrettrs, Caraûèrc des grands Diéouieurs. T,
XXXIV, . Î67, é'fupu.
Dtslœatim, Enjfânt qui fbrtitdu fein de fk mère a^ec
tousfèsos démis, T. XLIII. 41 j
Jjtfpttes Théologiques. A quoi elles aboutîilênt. T.
•XXXIII. ^ 289
I>vvm. Ce mot appliqué par les Romains à diverlès cho-!>
fes , de même qu'aux hommes. T. L. i 68
jyhoîMtun, Si cet Art pcutavoir lieu. T. XLIX. 458
Divinité. Explication de quelques pafTages fur VlmifS'
tien de laVivinlté, T. XXX. 3,^^it;. Pourquoi
TEvangilenous a fait un précepte de cette Imitation.
4. Vertus de la Divinité que nous derons tâcher de
copier, f. DiÔerence qu'il y a entre celui qui dou,te de
la Divinité, & celui qui k nie. T. XX VIL 165,
^64. Tous les Peuples ont cru qu'elle étoit flacséU ,
que les moyens de rappaiièr n'étoient point arbitrai»
res, de qu'elle devoitles indiquerelle-méme parune
révélation. T. L. ao. Pourquoi tous lés Légiflateurs^
. qui ont fait des Loix touchant les Sacrifices 8c les Ex-
piations, ont fèiat des conférences avec quelque Di-
' vinité. ûid. Pourquoi tous les Peuples fè font accor-
dés fur ce point, qu^oniiepouvoitpasappaifcrlaDiT,
'. vinité fans efiEufion de fàng. îHd. Plus on remonte^
vers l'Antiquité, plus les apparitions de la Divinité
font fréquentes. 60. Tems auquel elle ceflà de conti-
nuer fàprcfènce vifible, en fè retiiant dans les Ta*
bemacles & les Temples, i^id. Voyez Dim.
jyrvtfibiliti de la Matière. Expériences curieiircs fur qsl
fujet. T. XLIII. 434, 43J'. Voyez. Matière: .
Dix-mille (hRitraite des) . ou expécutionde C^jm cofi"
. trcArraxerxh. T. XXXIV. 331. A qui cfl.ducla
gloire de cette Retratte. j:j 5
J>ÎHgùfsi Hiftorien Polonais. T, XLVI. 40
0ES MATIERES: 14:1
t)9mîtUn 9 fécond fils de l'Empereur Verpaficn, eft pro«
ciainc Ccûr. T. XLIX. 161. Ses yices. xài. Do-
marches qu'il fait pour difputer TEinpire à Tke fon
frère. 176,
l>ûnMt , Eyéque de Cafés-noires en Numidie, porte quel-
ques Membres deTEglifè deCarthage à abandonner
Menfurius leur Erêque. T. XLVI. 19. 11 eft condam-
né dans un Condle comme calomniateur. 13. Vo»
yc2 Dmuitiftis.
J>0Mtifits.. Leurcîoysmce. T. XLIII. 108. JuDqu'où
on les accufè d'avoir poufle leur fànatiTme. ihU. Ro-
quéte qu'ils font préfènter à l'Empereur C«»/2«0ri».
T. XLVI. 21. Procédé de ce Prince à leur égard. Und,
Ils refufèntdefèfoumettre au jugement des Arbitres
qu'ils avoientchoifis eux-mêmes. 14. Ilsaccuiêntle
FzipcMelchiades , ou MikîMdes » d'avoir livré les li-
vres Sacrés, Se d'avoir offert de l'encens aux Dicux«
êhid. Malgré les Loix févères faites contre eux par
plufîeurs Empereurs, ils prennent pied en Italie; 8c
s'établiflêntjuiques dans Rome même 9 oùonlesap-
pelle Mcntanm/is, BiBufmfes. T. L. ai8. Leurs £•
• vêques. 129
' 7>offêîm0ytr (Mr.). Ouvrage de cet AUteurfur l'EJec-
tricitc. T. XXXIV. ao
J)9tt0nms (Geûrge) contribue à entretenir le goût des
Belles-Lettres à Leipzig. T . XXVI. 1 99
Vmlmr. Si l'on peut fè perfuader qu'on ne reflènt poinc
de douleur lorfqu'on fouffre cruellement. T. XLI.
DMre. Lumières nécef&ires pour parvenir à douter,
T.XXX. ij8- Réflexion fur le T>mu. T. XXXI.
B,?8. Juiqu^ù on doit pouflèr le doute. T. XLIL
4a . On borne trop nos doutes. 1 f i
D&»dÀll (Getrgi) , Archevêque d*Arma^ , fè déclare
en faveur du Pape contre la Supiématie de Henri
VIIL Roi d'Angleterre. T. XL. 304. ïlcftdépoua-
. . J^' du titre de Primat d'Irlande. 30/. U çA rttaUi. ibid.
\
S4a TABLE GENERALF
D^tmes (André). Ouvragequ'il public. T. XXVI. iM
^m» HinriFrMnfw le). Ëxtnit de Ton 3Ki»r^ m Bi*
fiexims tirées de U friftmte fier les Times d'Jbrmes h
FeM. T. XXVII. 58 r
J)rieè9rgen , Proftf&ur en TJwologie pumi les Rcœoii*
trans, cité. T. XXX. • 18
J)raUCrUlàiDrcitCMie»iNmveMmT^éfirdé). Extrait
de cet Ouvrage. T. L. }a6. AutceÔunage fiir cet-
te matière. T. XL VIII. it/
3)r(nt d!es Gens. Ce que C'bft. T. 3CXXIX. gijS
J>rifit Naturel. Extnit du Livre intitulé: 9echertiheno0*
velle de l'Ormne &desWmulemens du Droit de IsNa^
ture T. XXVIII. 75-. Si lesHommesen oht une
idée innée. T. XXIX iff, fj^fuiv. 190, fji* fieîvj
Diâeientes idées qu'on sjen forme. T. XXXII. 39»
40 . Extrait du D^âité Mtefa^kk^ue des Loix Naturel*
. Us ^Cam^eridnd, i^i 9 &fuw* Ce Droit déâgu-
ré. < 141. Auteurs qui ont travaillé fur cette mitkre*
144 . Ce qu'on devrait obièrver pour Téclaircir. ifi ,
^fidv. ExtrJtd'un Ouvr^ fur le Droit Naturel.
ibn Droit. 310. Cequicompofè le Droit futtetrelfre"
mer, ^kDr9itmturelfecmul..it6. Ce que é'eft qHe
le Droit Naturel des Gcns.i^î^. C^mmenton peut
. {avoir jurqu'où va k Droit delà Guerre» ic qudle
mefureon y doit garder. 3^7
J)rcitRoffminGermani^(}c). Son ulàge fùbfifte enco-
re aujourd'hui , plus ou moins » daaslàfdnptirt des E-
tats. T. XXVI. 106
'Dromepfâl (l'Abbé Je). Difcoursquilui a fait remporter
le Prix en 1703. T. XLV. 47»
Druides^ Nom des Philofophes 3c des Tbéol<^ien8 dps
. anciens Gaulois. T. XXXVI. 174. Autre nom^ue
leur donne Diodore de Sicile, ^id. Origine de leur
nom* xis. Fonâk>nsd»Dxaïdes pamutoC^uifeis*
SES Âf ATlSRElSr. ^
T.1S:XXVII. 8i. Leurgrana pouvoir. UU. Ils œ
& fouxncnoientpas aux Loix qu'ils impofoicBt aiw
autres. 8x. Pourquoi chacun s'empreflbit d'entrer
dans leur Corps . 8; . Leur Chef, îàid. Où ils teooieâc
leurs Aflèmblées généraks. «M.
DfMfy ikChevàHict) rà àÉi<été i Li&o de mené à Mid-
delbourg. T. XLVII. 78
Dm/us. Epoque des exploits dece grand Capitaine. T«
XLI. 99. UentteenGamame. 104. Iliubjugueles
Frifbns. ^of . Fort qu'il bâtit à l'embouchure de
l'Ëms. iàid* Sa féconde- campagne. i6id. Il porte k
Serre chez les Sicambres, êc s'avance jufqu'au Vc-
,Md. -Deux autres Forts qu'il bâtit pour tenir ks
ennemis en bride, iùîd* Honneurs que lui rend le Sé-
nat. iHd* Troiiîème campagne, i^id. Ses vîâoîns
£c (es conquêtes, ikid &fiiv* Le Camp où i^meurc,
appelle le C0mp fceUrMt. to6. Soncorps tranfporté
à Rome.îM. Dieux élc^s fumures en fon honneur.
^id. Il eft envoyé parXi^epour appaiferune lédi-
tion en Pannooie. T, XLV. 298. Heureux fuecès
de (ba entreprise. ^99
J)ucl9s (Mr.). Son Hîftoîre de tmis X7. traduite en
. An^ois. T. XXX VI. 480, Avantage dccctte traduc-
. tion.iAii;. Extrait dccctOuvragc.T. XXXVII. 517
I>$^uet04qiiiS'yûfifh) . Ouvrage qu'on lui attribue. T.
XXVI. 419. Voyez f^râfit (le Père Arsh» de).
J}mL L%(àge barbare du Duel apporté en Europe , i
ce qu'on crcHt , par les Nations du Nord. T. X L V2II.
1 jo. Pourquoi il faut en excepter l'Efpagne , où cet-
te brutale coutume eft fi ancienne , qu'il e(l impoûi-
ble d'en indiquer l'originei ikU^ Son ufàge reprimé
par l'Excommunication. i^id,
ïhtmmixy Général desËduens. T. XXXVII. 98. Il
cil battu par les Helvétiens. iéid»
Dmmffufy Profeflcur à Rotterdaqi , cité. T. XXX. 1 ^
J>êtfleix ( Mr. ) , Gouverneur dfc ia Nation Fran^oifè
•uz Indes Orien«ides, ExpérifioeesdePbyfique qu'il
a fai-
V.
>
<44 _ TABLE GENERALE
a faites. T. XLIV, 34* , é'Jjétv^'
Vufré di St. Mnur (Mr.)* Sa Table des probabilités de
Ja durée de la vie humaine. T. L. gB6, 391
Durée (la). Ce que c'ell. T. XL* 19
Dureté des Corps. Sa caufe. T. XLV. ifx
D)namique, Traité de Dynamique par Mr. d^AUméert,
T. XLI. 141
DyffenttrU, Préparation àt Verre d'Antimoine pour
cette maladie. T, XLV4 317
É.
EA%, Combien il eft difficile d'en doâneru&r défi*
nitionexaâc.T.XXVl. i^"!, if%. Ses proprié-
tés. 1 5-4 , é^fuiv. Ëâèts de la Chaleur & du
Froid fur l'Eau. 1 fA, Sa pcfantcur. 1 s^ . DifFérens mé-
langes qu'on en fait. 1 58. Elle a toutes les propriétés
qui ioptcommiflies à tous les corps, ifp. Combien
çjle cft néceflkire à la Vie. 1 60. Si les Planètes pn font
pourvues. 162. D'où viennent les Eaux, dont la
furfàcedelaTerre eft fi richement ornée. 168. Eau
qui ic trouve dans les Animaux & les Végétaux .171.
D'où vient le Mouvement des Eaux en général. 17 a.
^ & en particulier. 1 7 55 * & par le moyen de l'Art. 1 7f .
Pourquoiles gouttes d'Eau font rondes. 177. L'Eaa
regardée comme un excellent diflblvant. T . XXXII.
380. Vertus qu'on lui attribue mal à propos. T*
XXXV. 39. Ellenefauroit fe changer en Air. 6y,
éi'fuiv^ Eau quieild'unechaleur extraordinaire. 378»
érfuiv\ L'Eau diftillée du Cériûer à feuilles de Lau-
rier, regardée comme ùnpoifon violent. 179. Si la
quantité d'Eau qui fè trouve fur la Terre 'diminue in-
iènfiblement. T.. XXXVL 300. La quantité de cet
Elément diminue. T.XXXVIILP*ft.II.6i.. Siel-
le change de nature. T. XLVI. m, ai a. Sur quoi
efl fondé l'opinion de ceux qui aoyeat que l'Eau
feule fuffit pour nourrir les Plantes* 361
I4»
t)ES MATIERES, 14J
ÊM0 de GattdrM. Extrait des tacherchts fiir les Vertus de
cette £aù par le Doâreur Birkelty. T.XXXV. $y\ Kc*
gardée mal à-propos comme une Panacée. 41
Mi»jêx minéritles àc8i.Amémdcn¥hQâtcs,T.XLl.j^f6
Cellesdu Mont-d'or. T. XLII. 410'
JEAi*/^:Ptfm/).OuvragedccctAuteur.T.XXXVin.
Farf.ll. ,18
Etcléfiaftiqttes (les). Comment ondok les conlîdérer«
T. XXiX. 87. Tems auquel ils ont commencé à
ibrtir de k (implicite des premiers iièdes. T. XXX4
36. A quoi ilsdoiVâitfè borner. T. XLII. 31. Ils
doivent être fbumis aux Magiftrats. Uid, Ih neprê^
chent que la pauvreté, tandis que plufîeurs d'entrd
eux regorgent de biens. T. XLIV. 4^. En quoi ils
font confifter leur vocation, iàid. Projet de les £iixt
. confèntir à une répartition équitable dé leurs revenus
pour établir entre cAx qui lont trop riches Sc'ceux
qui font dans Tindigence, une £ige égalité. 46. A-
vantages qui réfulteroientde cette répartition, iàid*
, é^'Jûiv. Loi obtenue par les Eccléfiaftiques Suédois^
par Jaquelle ils étoient afranchis de toute Juridiâioa
Lïque. T. XLV. 35-4. Les EccléiiaiHqaés doivent
dépendre du Souverain. T . X L V 1 . 3 1 6 , (^finv* La
Hiérarchie Eccléfiaftique formée &. établie fous le
Pontificat du Pape Sylveftre Se fous les aufpices de
rEnjpercurConftantin.T.XLVn. 9, é;>iv. Or-
drés qui compofoient le Clergé dans les trois premiera
fièdes. 10. Quelle étoit alors Tindépendance de cha*»
queEglifè. 14. Change mens qui fe firent dans la fui-
te relativement à cette Hiérarchie. 1 f , c^ fiàiv. Les
Eccléfiaftiques ne doivent pas & mêler de l'éducatioa
temporelled'un Princesse pourquoi. T. XLIX. 1x7.
Combien il feroit utile d'en diounuer le nombre , le
de ne -leur donnée qu'une honnête fùbiiâance, ea
s'emparant de tout le refte du temporel pour Tem*^
ployer à divers ufàg^. ^ 129
MchinitfQixi^ quelque cho& de remarquable. T. XLIÎI.
i8^« K Mchi^
f
i4< TABLE GENERALE
jip/tfr. Si c'cA en détrui&nt l'air dans ks poumons qu'il
toeles Animaux. T. XLVIII. 461
Mcî^fif. Defcripdond'uneMachinequî repréfcnte ks
Ëclipiês» & iea rend extrêmement fènfibks. T.
• XXXVI. 34^. Nouvelle métliodc pour calculer les
Eclipfesdu Soleil & des autres Afhes. T. XXXVIII^
,Tart,n. 161, f^fuiv.
Eeùk de PHcmnii y Sec. Extrait de cet Ouvrage. T,
XLIX. 466. Jugement qu'on en porte. Hid*
'£fol$s où les Prophètes de l'ancienne Loi étoient âe-
vés. T.L. 15
Bcm0M hknfmftktii. Sa définition. T. XXVflI. 369
ScmMiii dtt rigne ammal , &c. Extrait de cet Ouvrage.
T. XXVII. 41a
Bepffi. Extrait d'un 5in»wpr6ché à l'occafton de kRe-
. bellion d'Ecoffe. T. XXXVL 33. Ode (ur la Re^
bcUiond'Ecolfe. T. XXXVIL lai , &fuiv.
Zerivêins Utiereiou . Peniees pour & contre les Ecrivains
«mécréans. Extrait de cet Ouvragé. T. XLIX. 311
TLerûuelUs* Remède pour les guérir. T- XXXV JI.
MdmmUis (ThuMu) » Chevalier , Ambafiâdeur en Fran-
ce & à Bruxelles , & Trésorier de l'Epargne fous les
*ïlois Jaques L £c CUrles L Extrait del'hiâoirede
.{es Négociations. T. XLin. 308, &Jkiv. Particu-
larités concernant la vie de ce Chevalier. 311. ^fieiv.
St& Mémoires . T. XLV . 3 . Extraitde fès Mémoiies
manufcrits. T. XLVIL 73. Combien il étoit efti-
3 mé dans là patrie. / ièid*
Sdmard /. Roi d'Angleterre. Son expédition dans la
Terre Sainte. T . X LIIL 1 64. Il e& rappelle en Euio*
pe 6c placé fur le tr6ne aprèsk mort du RoiHmn ion
père. j6id. Il impofb des Subildes extraordinaires . i6f.
Il affîize aux Communes leurs ufttTpations.t^Â^. Son
caraâère. iM.
JLdmard II. Roi d'Angleterre. .Traits vîokns contre ce
Prince. T.. XXIX. 98. Son caraÛèic, T. XXXL
H7.
1
DES MATIERES. ftuy
347. Son règne regardé comme plein, d'hoireon 2c
de cataâroji^^stragiques. XLIII. 166. Sa trop gnft-
de complailance pour Sss Mignons. i^id> L»')ft.e^ iè
révolte contre lui & fe joint k\xf. Faâieikx. 1 ^7 , I2î eH
pris , enfermé , dépoie , 6c la crainte de quelque ré-
volution fait hâter iainort« iéU.
Edouard lïU Roi d'Angleterre. Belles qualÂtés de ce
Prince.T.XXIX. 99. Jûgementqu'ottdoftûnpor.
ter. T. XLIII. 1^7 , 168. Ses fils regardés conlme
la ruine de fes Etats & de l'Autorité Royak après fa
mort. îèU.
idmardlV. Roi d'Angleterre. Amoarettff de ce Frûi^
ce. T. XXXI. ifo. De quelle manière il parvint au
trône. T. XLIII. 170. Privilège qu'il accorde à la
, Chambre Badè. 171. Ses amours, îM. Il époufè JE-
lizMbeth VodwiU qu'il n'ayoit pa corrompre, ihid.
Troubles que caufà ce mariage. ihid.
JSdouardV. fils deHmriFIII. Roi d'Angleterre , re-
gardé par les Protelbuis comme leur Apôtre, 8c par
IçsCaÀaliqaes comme un Fanatiquc«T.XLIIL 174.
Injufticè par laquelle il flétrit Ton règne. iéij.
^Xducatim- Quelle eH la meilleure. T. l&XVni. ^6^.
Utilité d'u»e bonne éducation. T . XL. 1 1/. Lesdes-
ordres de la Société doivent êtreattriboiéftau défaut
deTEdDcation Und^^élifuiv. Pkn d'une bonne E-
ducation. T. XLI. i^y y é^futu, Pourqmii on ne
devreit pas confier l'éducation des Ënfans à des Com-
munautés ReUgieuiès. T. XLIX. 131. Anteor qui
voudroitquelesPareas ne fufSmt pas ks mattres de
décider du genre de vie de lo^nsenhifis , mais que les
' 4nrpeâ:eurs des Corps Académiques chqâfiâeiMi de
tems en tems ks meiUeur« Sujets » fidis égard à k naii^
fànce , pour ks rendre pk^nese à rempiu} dignemaftt
àc$ places dans la Ma^ftr9)cufà âc dasar E^fei^On
a tropdeflëchéles méthodes de l'Edùcaiioti que l'in-
duftiie des Anciensavoit rempHe dfagj^mens^^o^t. A-
vantages àc l'Education Fram^cifie; iUà. Déâuits de
s: a cet-
r4^ TABLÉ GÉNÉRALE
-w cette Educatkm. T. L, 47
-Mgede (Sans). Extrait de Gl mmvelU Defcrîptîân de Van-
* #ifj«ieGrMfiW»^T.XXXI. 37. Moayemens qu'il
iè donne pour obtenir les moyens d'aller convertir les
Grocnlandois. 42. U s'embarque, après avoir pcr-
fîiadé à ià femme de le fûiv^e. inà. Converfîons qu'il
fait dans ce Pais. 63 » 64. Son retour en DanemarC.
îbii. Peines qu'il s'eft données pour faire la Pierre Phi*
' lofbphak. iSf. Urefteperfùadé de la réalité des Adcp-
. tes. 66. Progrèsde fà mifUon dans la Groenbnde. T. •
XXXII. 188
%glîfi dt Jéfm-Chnfi {Traité de P) . Extrait de l'Ouvrage
qui porte ce Titre. T. XXXV. a8. Définition de
. cette Fglife. 3 a
Eglife Anglicam. Moyen d'y faire fleurir la Religion.
T. XI4III. 124. Extrait d'un Ouvrage fur cettema-
ticre. ibid.
'Bgoïfiîs. Piûlofoplies auxquels on donne ce nom. T.
XXXV. 73. Leurs fèntimens. Und. ^fuivm
l^fte. Idée générale de ce Pais. T. XXXVII. ly©.
Extraitd'un Voyage fait en Egypte. T. XXXVIII.
. fart. II. 6ç. S il eû\ vrai qu die fbit extrêmement
fertile.' 71. Les terres n'y produifênt pas deux recol-
. • tes comme on l'a cru. iètd. Maladies qui y régnent.
7e. Orotes fêpulcrales qu'on trouve dans les Monta-
gnes de la Haute Egypte. 77. Combien il y avoit de
^ Villes habitées en Egypte du tems d' Amafis. 78 ,^ 79.
Défauts de fon Gouvernement. T. L. fi. N'étant
pas guerrière elle ne pou voit guère fe fbutenir. ièid.
. Corruption de fès PeupLcs fùbjugués. i6id. L'Egrp
. te a donnérexempledu fubHroé a toute la Terre à l'é*
garddel'Architeâure. T. L. 7a. Voyez égyptiens.
IRfffttem» En quoi confiftoitleur Médecine. T. XXX).
. a88. Ils ne font pas les inventeurs des Lettres & des
- Arts. T. XXXVIII. 36. Quelle eft leur nourriture
ordinaire.i>iirr.II. 73,74. Les Egyptiens fbntpeut-
éti&lesfeuls Peupks qm mettent en pratique l'art de
1
DES MATIËHES. t^»
§sâxt éclorre des Poulets, fiais £ure couver 1er* •œafs
par. des Poules. T. XLIV. 171. Voyez E^j^/e. •
JErenfiirvett (Mr. le Capitaine). Sesexperiences iur le dif-
férait d^é de force de h Pbudre^que Ton prépârç
dan&lesdiâei^nsPaïs de l'Europe. T*XXXvm?8'.
Il propofc une nouVelle manière de fe retrancher. T.
XXXVIII. P4r^ ZJ. . . 66, 6r
MUfiicifé, Mémoire de Mi.Defiiguliers fur ce phénomè-
ne. T. XXXV. . • rô<J
•MkBmrs. Ori^nedes Ekâeurs de l'Empire. T.XXX.
EleikicitL Hiftpire des nouvelles Découvertes 6ûiresrur
cettematière. T.XXXIV. 3 jé^T^w. Auretrrfi^ui
. ont fait des expénences pour la découvrir. iSiJ. Nou-
velles expériences de Mr. Defàguliersiùr TEleâMbi^
té. T. XXXVI. 3ÎÎ, '353, 33f , 33^. Oumge
fur cette matière. T.XXXVlII.x33.iHommepa-
ralitiqueguéri après if ou lo éledbifîcatîôns* i^nf^
é^Juiv . Mémoire fur fes nouvelles découvertes qu^sn
â raites par rapport à l'Eleâricité. Part*> JL 104. Ti-
tres de divers Ouvrages£ir l'Eleâricité. i ¥4 ;^fitiv*
Nottvellesdécouvertes iûr^ette matière. T.XXXIX.
: S. Ouvrage où Ton donne un détail circonftancté des
expériences publiées jufqu'à préfent fiir cette matière,
& de plufieurs nouvdks, avec des direéHons «pour '.les
pouflèr plus Ipin. T. XXXIX. 230, 131. Qbfèrva-
dons tout-à-fàit ûngulières Se curieufes quiontsap»
port à cette matière. T. XXXIX. 43 3 ,&fitiv. Mé-
moires ofièrts fur cette matière à la Société Rô}ralk de
Londies. T. XL. 181» 181. Saignementde neiSc
autres effets fîngulierspix>duitspàr T'Eieâricité; f83 ,
184. Dérangement qu'elle caufe aux Bottâbles; 184,
i8f. Expériences curieufes Êdtes par Mr. Sr^MWrflir
TEleâricité. T.XLI. 34. Escplicationdefesphénôf'
mènes. T. XLII.461. Expérience quifemble faire
voir que ion progrès eft inâantané. T.:XLIiI\ ij^
Jhxa quelle proportioa elle iè co!nxhu.inqùe..ai2K
K j colps.
^9cr TAffLI'OENERALE
siquéç^u'àdcfi côrps plaûés fur des furoorts ëleâri-
2ucsd^eux*mèines.ife4*'fl^ i^o* Expériences ëâcs
\t des Plantes. i^/«/. 6il i8 1>; , Diveriès expériences fur
ce phëaoniène. T. XLIV. 99^. é^fuiv. Linbcte
•tuceiiir fe cdamp^soucavoir été placée ibus un tu*
yau qu'on éledirriibit. 40 1 . Quelles font les caolès
de rJElo^cité AitaiH: Mi. rAbbc lilolUt. T^XLV.
^ li}^y &/mv» La force électrique ttienéek long d'un
, : ial iTatChal à iii76'péedsdr.diftaûcc.T.XLVL 166.
Caajeâuire fur la nature de la matière éleôrique. 367 .
;. Expériences fur les coitrans d'eau ékârifés. ^6S» La
tcanfpûatioa augnoeotée par fEleâridté. x68. Les .
aoraâions & lesrépulfions expliquées par les exha«
^ iaifojis des corps ébébifés. ^69, Laine miiè êa feu
par J*fileûricité« UU. Etincelii^ éledbriques de dlÂe-
festtefiicoulears; ^ ' , 370
ZUmeiu dn Cerfs. Expofitkniides iêntimens de quel-
: <i)ucsFlii]oib|mesiîunae€£léfnens« T. XXXIV. 91,
Mtefhi^ pétrifié trouvé dans une Montagne du Land-
gravùi::da Thurû^.T.XXX.iyd. Ëxplicaâoiide
ce phénomène Udd. ^fim, Compandibn totre un
Ver Spermatique 8c ufi£lppfent,<|ui pefokcinq mil-
le livres Romaines. T. XXXL 87. Grandeur des £lé-
pfaaflSi 1}. XLL 26 . Juliiu'a quel âge \\%cto\^tkt.ihid.
MleMtbhi derient ErêqUe de RofiM apr^ avoir été Dia-
<te^)cette Egliic. T. XLII7.. xfj. S'ileft vrai que
^ÉMiiMs Rot d' Angletene lui écrivit pour le prier de lui
cnreyer des perionnes capables, de Tinllniire dans la ' '
, f oi Chrédenne. if^. Pièces c}tt^E>n lui attribue fàufr
femenc, iM. .Son corps adoié en plufieurs endroits ,
qDdque le Uea de & fépukure ibit inoextain. iùid*
Jiif.(]ePropliète). Jugement fur l*efprit Vengeur dont
'. i iîit animé. T. XLIl. 39/ . Ecole fàmeuib où Uen-
ieigéûic. T. L. 13. Nombre de (es Ecdiers^ 14
MUzâfih, Hcino d'An^etorse. Ses l)e]ks9ia&tést T.
'*•/' o r 'i XXIX.
1
OES MATIERES. tfi
XXIX. 91, loo. Ëlogede cette Priiioeflê de defixi
règne, T. XLIII. ijf. Relation de la dernièiema-
. kdie Bc dekinort de cette PrincelTe. T. XLV . 4 . c^
fuiv, Cauiè de fà mélancolie. 11, la, 15. Piéuves
convaincaofes de fa grande avarice, i f , f^Jhiv . Coa-
noi (lance qu'elle avoit des Langues. 10. Savans qui
floriâbient fous ion règiie. ièid. Talent qu'elle ayôic
dans la converfation. ièid. Pancfaant iniurmontabie
qu'elle avoit à la coquetterie, 8c qui ne k ouitttjs^
mais. iBid, Si on doit k regarder comme Ptrfecutrice.
21. Habileté de £ès Minimes, ièid, De(criptioiide1à
peribnne. ^±,&ffiw.
^kxJe, Remarques fiir Taâion de ce Prophète , qui
maudit ks Enfâns de Bethd pour l'avoir appeMÂt
chMîivi. T. XLVIIL ^flf&fiifh.
Eller (Mr.). Ses découvertes fur ks Elémens ou pre-
miers Principes desGocps. T. XLVI. 109
TlUs (Mr. Henri). Ouvrage de cet Auteur.T.XLlL- )
Xl(^es de placeurs Ecrirâins de n^trc téms. T.
XXXIV. ay
Eloquenct (V) , ou ks txMff^tis au cerf h regardées com-
me une cfao4fe naturcQe aux Petples de rarient & du
Midi. T. L. 64. Deux (brtes d'Ëloquence cbèÉ les
Orientanx. 74. Rapport marqué qu'a kurEloqiisdce
avec leurs organes. ihU. Eloquence des Peuples tsd^
dernes. iM. Idée avantageufè de l'Eloquence des
Françds. . lO/.
Ehtms (Mr.). Ses ObTervations fur k rapidité des Ri-
vières. T. XXXVIII. 19. Sa Diflèrtationfur te ef-
fets des Machines à eau. PartJL p. Son Mémoire
fur ks Chaînettes. '69
IBmtraude. Propriétés particàSires de cette Pierrcfl T.
XXXVIÏI. ?ên. 11, 10
^nAlè {¥ml) eft^Coofid.T.XXVIII.i^r. fiite:-
tien qu'il a avec F^mx. iM. &fiiiv.
Smftreurs Bûrnuku- Extrait du Tome IV. de k«f Hif-
toire par Mr. Cnvitr. Tw XLVII. ffS
K 4 ;Ewr
î5» TABLE GENERALE
IBmfire. Tranflation de TEmpire des Italiens aux Aie*
mands. T. X-XX. fi, &Jkivn
fmphiquii • Combien il eft dangereux de fe liner àeux.
T. XXXIX. 273
Smfir IJérime) contribue à entretenir le goût desBel*^
les-Lettres à Leipzig. T. XXVI. 199
Enchs (Nimm iiV)* Cette Daqie vantée par St, Evre^
ment. T. L. 97. Compagnies nombioaies que iès
charmes attiraient chez elle. i^û/. Epicuréifme décla-
re qui fe reconnoit daps ïcs Lettres. Md.
Mmêiidi de l^trgUe» Voyez Virgile,
ftfans. Danser qu'il jade les emmailloter d'une ma-
nière trop ferrée. T. XXXVIII. Tm. U. 101
JSjrftr^ Incertitude touchant la nature des peines de l'En-
fer. T. XXVI. 403. Deux fortes de peines, les af-
flié^ives Se les privatives. 405*. Si les peines àts Dam-
nés feront étemelles. T« XLI. . 169 , 270
fnfcnunmt de terrein près de la Ville de Norwich. T«
XXXIX. 13. Conjeâuxe fur ce phénomène. 14
JS^el (Mr. Ssmuii) , Membre du Confèil Souverain de
la République de Berne > Sec. Ouvrage qu'il publie.
T. XXXVm. Farf. 11. 18. Voyez encore T.
XXXVII. 138
Vxàgmex^ Jugementfurl'artdelesdéchifrer.T.XLI. 8
Jmûc, Explication de ce qui efl dit ^*Snoe dans le Chapi-
tre XI. de YEfitri mx Hébreux. T. XXVII. 184
fntendement (Y) humain n'a point d'idées innées. T.
XXVIII. 144. Sacapacite £c fon ^tendue démon-
trée dans un même cas extraordinaire. T. XXXIV,
449 > &fidv» Ce que c'efl: que cette faculté de l'A-
me T. XLVIII. 81. Queleftl'objet total del'En-
leodemcnt. 84. L'Ente^moit paffif n*t& fujet i
aucune erreur. T. XLIX. 93
l^mhouJUfine* Dans quels Païs l'Enthouiiafme a été le
kng^ de la Religion. T. L. 6%
Edmts, Poète. T. XXVL loo
ffât^let. Moyens dont on doit fe ièrvir pour qu'elles
r foiei^t
DES MATIERES. 153
foieiittelks qu'cDcs doicnt être. T. XXXI. 419
!Pphémères. Obfèrvations fur des Ephémères appellées en
Anglois May^l^liisovLMiHclHsdeM/ii, T. XL. ipf.
Stupidité ^cs Mâles, qui attendent patiemment que
les Femeiles les viennent agacer. i^S
^f'irure jufHfié contre {es accufàteurs. T. XLI. 110
Efileffit des Enfans. Caufè particulière de cette ma]a«
die. T. XXXVIII. P^M/. S%
Equinoxes, Tems auquel on a découvert que le mouve*
ment des points équiooxiauxeft fu jet à quelques iné-
galités périodiques, qui paroiilènt dépendre d'une
caufè que la nutation de TAxe terreftre. T. XLV. J17
^JEric le Bègue ou le Beiteux eil &it Roi de Suéde en
1122. T. XLV. '^fj. Son amour pour les Sciences.
ihid. Il ed défait Scchaile du Trône. ibU. Il défait
ion rival 2t remonte fur le Trône, ibid. Il cdn&rme
les prérogatives du Clergé. if%. Les mariages des
Prêtres entièrementabolisfousfbn règne. ibîd.
'lErrem. Combien il eftiâcile d'y tomber. T. XXXII,
f. Sources de l'Erreur. 12. C'eft quelquefois un bien
dereûerdans Terreur. T. XLII. iif , ix6. .Qrigi-
ne de la plupart des Erreurs dans les Sciences & d^ns
la ReUgion. T. XLIX. *t8
JErudits. Services que cer Ibrtes de Gens de Lettres ont
rendus au Public. T. XLIX. 62
Efcalopier (Mr.l'j. jugement furfàTraduôion del'-rf-
minte du Taffe, T. XXXV, 134
EfcarhoucU, Merveilles attribuées à cette Pierre. T.
XXXVIII. Vfirt. Il, 9 , 10. Ce que ks Anciens en-
tendoient par ce nom. ihid.
Bfck'ues{h. Côte des) ,Païs qu'elle comprend.T .XLIII.9
Efdras, Tems auquel Efdras ai Néhêmie ont rétabli les
"ïnursdc la Ville de Jérufalem, en vertu de l'Edit d'^-
taxerxès tonguemain, T. L. 361
Efpi^ce. Cequec'eft.T. XL. 19. A quoi on doit attri-
buer les fentimens difFéfens qu'on s'eil formés de \*eC»
pace. T. XLVUI. 6. Di ver&s remarques fur l'eTpa-
Yi S ^ ce.
\
IS+ TABLE GENERALE '
ce, i&iJ, lér fuvvn Voyez Vuide.
' 2^^"^ (J^lixAbtthVarnèfe Reine//'). Vovez. Farn^fe.
jijfa£Hols. Commercequ'ils faifoient autrefois. T. XL.
367. Progrès de leur Marine, ê^id^&fuh^ Leur goût
pour le merveilleux . T . L. 6 1 . Leur paiïion pour k
Pèlerinage , les Légendes • 6c les Traditions peu coa«
formes alamajeflé de Tfaikoire de la Religion, i^ij.
'JEjfrits (ies) ibnt les vraies caufes des effets delà Natu-
re. T. XXXV. 5-1. S'ilyadela diflFcrence entre les
Efpritsde la même efpèce. T. XLVIIL 25-4. Au-
teur qui prétend que tout l'efpace eft plein d'Ëiprits .
2ff Sentiment de Platon, des Juifs, 6cc. qui crp-
yoknt que Dieu a établi des Ëfprits ou des Anges pour
gouverner le Monde. Voyez Ame>
JEfprUs âmmmx. Gonjeé^ures de leur nature. T.
XXXIIi. H», 345
J&fyuimtuéx.YoTtxm de CCS Peuples. T. XXXy IL t97.
Remarques fur cette Nation. T. XLIL 11. Corn-
ment ils fegaranôiïèntdu froid, ii. Leur genre de
vîç. . 16
t/màttonck cruelle. T. XLL 38
Zff0is de Critique, l.fur les Ecrits de Mr^KoWîn, IhSur
lesTraduBeurs d*iiétt>dote, IIL SurieDiBimmire
Céographiqtie & Critique de Mr* Bruzén de La Marti-
nière. Extrait de cet Ouvrage. T . XXV L7 7 . Conjec-
ture fur fon Auteur^ 101. j agement qu'on en porte.
104, lOj-
Effencu Double eficnce de chaque chofe , Videâle > 8c
ïextraïdéale. r.XLVIIL73« Les eflènces des cho-
ies ne doivent pas être confondues avec leurexiDsn-
ce. 83. Comment on connoît que les eilènces des
. dkofès (ont étemelles , invariables » 8c incréées. 87.
En quel iènsles Ei&nces des choies iont invariables.
T. XLIX. 99
:^Jirékks (le Comte d'). Extrait de &s Lettres, Uhuoi-
m & tUgêcuttim* T.. XXX. 445. Abrégé de &
vie.
I
DES MATIERES. içf
vie. 45*0. V07CZ encore T. XXXI. lofy^ fuiv*
%tnm^ ^xXT^kà'MwMémoirt furcc Métal. T. XXVlïI.
431. Quelcft le meilkur Etain. T. XXXIX. 98;
Comment on peut découvrir fbn poids fpécifiqtie.
ibid. Expériences qui découvrent de l'analogie entre
rEtain 8c le Zinc. T. XXXIX, 460. L'Etain de
Comouaille faifbit déjà autrefois le principal com-
merce de la Grande-Bretagne. T. XLVIL 164
Etang prcfque entièrement couvert d'une grande Prai-
rie. T. XLV. 116
Stendut (1*) , dont on a fut Telfence des Corps, n'c-
xifte que dans l'Ame. T. XLIX. 433
Mtna , ou Mônt-G/^e/. Dfcrîption de cette Montagne
. de Sicile. T. XXXIII. H4. Conflagrations les plus
remarquables qui y font arrivées. 1 1 j
Etofes, Remarques fur leur teinture. T. XXXV. 440.
Fabriques de différentes fortes d'Etoffes établies à O-
lingfos. T. XXXIX. 174
Etoiles. Projet d'un nouveau Catalogue des Etoile» fi-
xes. T. XXXIX. 188. Queftion curieufe fur Tap-
paritîon 6c la dîfparitioniie certaines Etoiles. T. XL.
179. Leur nombre, 8c leur énorme diftance,;T.
X tiIII 441 . Chacune d'elles doit être regardée coffl-
, me im Soleil 8c comme le centre d'un Tourbillon
peut- êlreaufli grand que celui que nous habitons. /^i<^.
Etrangers. Explication du titre 6* Etrangers & àcVe^ai^
geurs donne par St. Piçrrek ceux à qui il écrit. T.
XLT. 313, (^fiti-v.
Etre. Divifion de l'Etre en général. T. XLVÏII.84,8;
Etnde. Quelle forte d'Etude eft laplus recommandâble.
T. XlI. 361
Evangile renouvelle. Critique de cette exprcflîon. T.
XXXÏI. îfji Voyez Héfirmsitim.
Evangiles (les Quatre) de l'ancienne Verfion Latine,
&c. par JofifS Blancfmi. T. XLV. 41^ , é^fuiv.
Evarifte , quatrième Evêque de Rome. T. XLIV.
248. Ouvrage qu'on lui attribue. ihid.
Eu-
iji6 . TABLE GENERALE
^uchanfiti Lettres Philofbphiqûes contre la Doâriiie
dcrEglife Romaine fur l'Euchariftie. T. XLVn 59«
^Eugène (le Prince). Son entreprife fur Toulon regardée
comme téméraire & très mal concertée. T. XXVIII.
zfiyXj:i, Fut fur le point de réfigner fès charges en
17 19. T. XXIX. 38
Evidence (1*) doit- être la règle de la certitude de nos ju-
gemens. XXXII. 14. Jugement qu'on doit porter
du grand principe de l'Evidence établi par Def cartes,
T. XLIV. 131, éf^fuiv. Il n'y a que l'Evidence, ou
ce qu'on juge être évident, qui îaJSc naître railênti<;
ment. T. XLIX. gif
Euler (Mr.). Mémoire deccPKilofophe. T.XXXVIL
61. Difïcrtation de cet Auteur. T. L. 14.7
Zvremmt (Mr.dtSt,). Voyez TaJ/ms.
JEusUe. Faits mal fondés qu'on raconte de te Pape. T.
XLVL 17
Etéftache (Mahre). Tems auquel vivoit ce Poète. T.
. XX VI. 1 29. Eft Auteur du Roman deBry^ ou Brur
. ttfs. iiU* Idée de cet Ouvrage. * iàid^
^ftate , célèbre Archevêque de Theilâlonique , qui a
à bien commenté Homèn^ T. L. 38
Etoychun. Raifbns qui donnent lieu de croii^ que ce
Pape n'apasétémartyrifé. T.,Xl,VI. 10
Eutichms. Origine de leur Héréiie. T. L. » 117
Exercice du Carfs. Combien il e(! néceflàire pour lafàn-
té. T. XL. ,137
Exïftmce (T) eft le premier changement qui arrive aux
chofes. T. XLIX. 99
Exoftofe qui ayant réfîdé à tous les fècours de l'Art,
tomba d'elle-même quand on n'y toucha plu^. T.
XXXVIII. Tort. n. Sf
Extraits, Avantages des Extraits. T. XXVHI. 36*
F.
DES MATIERES. 1Ç7
F.
FA^ianus. ElogedccePape.*f.XLV. 164, idf
IPaéius cft cnoifi pour s'oppofer aux progrès
d'AnnièaL T. XXVIII. 245-. Sa prudence re-
gardcecomme une lâcheté. 24^, 247 , éi*fuvv. Trai-
té qu'il fait 3iVcc Anni^al au fujet du Cartel des Prifbn-
niers. 249, Jugement critique fur fà conduite. 25-0,
i j* I . H îftoire de la conduite qu'il tint à l'égard de Sci*
pion. T. XXIX. 13 , é^fifiv. Cette conduite fait naî-
tre contre lui de violens foupçons de jaloufîe 8c d'en^
Vie. T. XXIX. 27
Ts&les ou iâèliaux (les). Tems auquel elles commen*
cérent. T. XXVI. 133. Les Fables peuvent plaîre
fzm qu'elles contiennent aucune vérité. T.XXX.241
Vdrictm (Mr.), Miffionaire Proteftant.T.XXXII.175
WâàriciHs [jean- Albert). EittraitdefaT^fo^iei^ /'£/»»,
&c. T. XXVI. 149
Vàbrot (char les- Amiéal), Tcmsdcfanaiflànce. T. L.
139. Il eft fait Profeflcur en Droit à Aix en Proven-
ce. Uid. Il eft appelle à Paris à la requiiition du Chan-^
celier Seguier, pour travailler à latraduâion &à k
publication des Bafiliques. iiid. Peniion qu'on lui doq-
^e.' ièid. Sa mort, ihid. Gloire que lui ont aquisfès
Ouvrages. , ^ iSiét.
Tâdfts (Cuffius) eft envoyé en Judée en qualité de Gou-
verneur. T. XXX VI. 40 3 . Comment il fe compor*
ta pendant fon Gouvernement. î^/V. (jr juiv.
Taggot fMr,). A quel égard il propofc d'imiter la polioe
delaChine. T. XXXVIII. Part. II. ft
Taigaux (Mr.) , Pafteurdel'Eglifè Françoifedc Schwa-
&cb. Extrait de quelques-uns defes Sermons. T.
,XXXVm. ' ii4
faim . Ënfâns que le défaut de nourriture a empêchés de
croître. T. XXXIX. 104.
VtMn canine extraordinaire. T . XXXIX . 419,430
Valait &mf^5 de Bourgogne Seigneur de)* Lettres de Cal*
%in
i5S TABLE GENERALE
i^m àce Seigneur. T. XXXII. 161. Abrégé hifto-
rique de la vie de Mr. Je YaUti- ^7^» & fuw. Ecrite
au Clergé des Cantons Suiilès , 6c à des Amis q»^ 7
avoit » en faveur de Bolfec. 44.8, e^ fuiv . Ses Frèies
8cSoturs.-45'i, 45-3. Ce qu'il deTinta|>rès (à ruptu-
re avec Calvin* 45* 3. Occaiion du différend fur venu
entre ce Seigneur &C4/î/i». T. XXXIV. 408, ^
fuiv, Voyci Calvin.
fanati^. Caraâ:èred*un Fanatique. T. XL V.i 3.4» (3*
fuiv. Voyez lanatifme.
fanatifmt. Lettre contre le Fanatifmc,T.XLVII.43i,
. £fpèce de Fanatifme qui depuis qudques anniées &'cfl
introduit en Hollande fous l'aj^parence d'une Piété
fbmbxe , lugubre 8c difficultueuiè > aux Partiiàns de
laquelle on donne le nom de Fins. 438. Caraâères
du FanatiTme. 441 ^é^Juiv. Ses fuites fonefles. 443,
Sescau&s. i^nl. f^fuiv^ Moyens de s'en préTerver.
445* > & ff^iv. On ne doit point employer la perfécu-
don contre les Fanatiques, 447. LeFanatiime pris
pour le goût du merveilleux» eA rare en France. T.
L. 61. Voyez Fanatique.
TS^d (le) e(l en uiàge en France parmi les Coquettes»
& à Amftefdam parmi les Filles de joie. T . XLI 1 . 1 1 6
Ferrie MfJbe.Defcript. de ce Détroit. T.XXXIII .1 1 %
Taria. Ce qu'il a écritde l'Empire du Monomotapa. T.
XLIII. 9
Tamèfe (Alexandre) , Duc de Farme* eft fitit Gouverneur
desPaïs-bas ^fhiliffe II. T. XLIII. S/. Lecours
defèsexplois interrompu, Se comment. i^id.
farnèfe (EHzabcth), Reine d'Efpagnc Epoufe de Phi-
lippe V. Extrait des Mérooiies de cette PrinceiTe. T.
XXXIX. 281. Ses^ualités.184. EllcpalTeenEfpa-
gne. 186. Soa entrée dans Madrit 287. Ses grands
projets. 189 , éf^fum. Elle engage le Roi fon Epoux à
prendre le titre de ^gent de Irance .292. Elle propole
trois mariages au Duc d'Orléans. 294. Accufations
formées contre cettePiinceiTe. 298. Hi&oiie de iba
«rir
\
DES MATIERES. 159
.' origine. 301
F/iw* (Mr.). Ouvrage de cet Auteur. T, XL. 76. His-
toire abrégée de fà vie. 80 . Il fuccède i Mr. dtU Bau"
mt en <]aa£té de Vifiteur At)aftolique des Mifitons de
b Cochinciiiiie. 91. Il reclierche la proteâion du
Grand Mandarin contre les jéfuites. 93. Il part pour
l'Europe , ^ le rend à Rome. tf ii.
tmifi ou F»^ (Jaques) » Frère de jAp^i» Eim^, Impri-
meur de Mayence. T. XXXV. 141
Fauft ou Vtâft {Jmn) , Imprimeur de Mayence. Lettre
quileconceme. T. XXXV. 141. Son origine. Md.
O'fiêiv* Sa mort. 147. S'il eft le premier mventeur
de l'Imprimerie. T. XXVII. *o , &Jkiv.
Vauoç (le) en quoi il connue. T. XXV L 416 , é'fi^iv*
Wé^ {Charles trmfés de Ciftenai dit). Abrégé de &
Vie T. XXXI. iSf . Ses bdles qualités. 189. Dé-
couvertes qu'U a âitesiur rË]earicité.T.XXXlV.
S t &fuw.
tayt (Tki^eredè U}, Maître èsAiti. Ouvr^decet
Auteur. T. XXXI. 229
jicwUifi. Grande fécoindité de l'Orme. T. XXXI. 102,
^fuw . Exemples de la prodigieufb fécondité du Fro-
ment. XXXII. 417
"Bilix. S'il eft vrai que ce Pape ait fouffert le martyre ^ns
ia perfecution d'Aurélien. T.XLVI.9. Ucftmisau
nombre des Saints de l'Eglife Romaine» quoique re-
gardé comme un Hérétique , un Intrus , un Antipa*
pe.T.XLVIL 277. Stratagème auquel on a recoiurs
pou|lejuftifier. 278, é^fnh*
Jelix icUude) eft fait Gouverneur de Judée. T.
XXXVI. 405*.. Etat où fë trouvott alors ce Pais. ièid.
Femmes. Trait mordaotit contre elles. T. XXXII. 73.
LeursbeUesqualilés.T.XXXVljll.144. Comment
elles triomphent dés Homme». t4fc Loi qui permet-
toit aux Hommes de changer de Femmes. T.
XXXIX. 176W Avantagesde cette Loi.j^ft/. & 177.
Les Ei^ttimaoK dç même que les Irlandois & les La-
pons»
tto TABLE ^GENERALE
pons , offrent leurs Femmes aux Etrangers. T. XLIt.
i6. S'il excentre la Nature que les Femmes fpiei^
maîtreflès dans la maifon. T. XLIII. 391 y^fuiv.
Avantage que les Femmes de Guinée ont fur celles
d'Europe. T. XLVIII. 49. Les Femmes regardées
dans les Païs de la Loi Mufulmane, comme n'étant
])as d'une création beaucoup plus parfaite que celle des
Bétes. T . XLIX , 6. En quoixronfifle l'éducation qu'-^
on leur donne. ibU. Difgraces auxquelles elles font (u*
jettes dans un Serrail , lorfqu'elles- ont atteint l'âge dô
quarante ans. 7. Droit que les Eunuques ont fur el-
les . iMd' Les Femmes les plus diftinguées par leur ef^
prit & par leurs richeflès, font en poflèfHon de fè
montrer dans les meilleures compagnies ^ après avoit
même donné atteinte à leur réputation. 4.06
Igenelon (Mr^Ve), Archevêque deQunhrai. Avis qu'il
donne à Madame de Madntenon au fujet du mariage
. decette Dame avec Louis XIV. T. XLIX. 188
Yerdmand Z. fuccède à ^Empire après l'aMication defork
frère Charlequint.T, XXVIl. 363. Teins & lieu de
ù. nsdffincc.iâid. Son Couronnement. 364. Sa mort«
{bncaraâère. ihidm
Ferdinand U, Tems auquel il parvmt à l'Empire. T.
XXVIL 366. Son faux zèle pour fà Religion. Md*^
But qu'il s'étoit propofé de fè rendre dans l'Empire
beaucoup plus puifTant que De l'avoient été fes predé •
ceflèurs. ùid. é^fuiv. Princes qui s'uniifent contre
\xx\.ibîd* SaLmort.ibid. Soncaraâère. ibid.
Jerdinand IIL (l'Empereur) fait la guerre contre la Suè-
de&laFrance. T.XXVII. 368. Diète qu'ail convo-
. qua à Augsbourg. ièid.
Werrein (Mr!). Ses Obfèrvations fur de nouvelles Artè*
res& Veines limphadques. T. XXXV. 4f i
Teny (Mr.), Miniib-e Protefbmt à Mcti. T. XXXVIIL
fi. Voyez Antome (Nicolas).
Jifitts (Poriitts) fuccède à FéUx dans le Gouvernement de
k Judée. T. XXXVI. 406. G«ene Civile où les
I
D>B S M A T I E RE Si .i«i
» ' • . *
^ Juift fc trouvoicnt alors engages. ihid, é* fuiv.
%ti. Le Feu du Soleil eil la Caufe fubalterne dont Dieii
icfèrtpour produire tous les effets de la Nature. T.
XXXV. 48. SoneflScace, 65. Le Feu ne fauioit fc
changer en Air. 68. Si le Fc^u produit le froid au (fi
bien que le chaud, T. XLIV. 161. (^ fuiv. Feu ia-
cré & perpétuel , que les Guèbres adorent dans le voi-
iînagedela Mer Cafpienne. T. XLVL 365-. Singu-
larité de ce Feu. iéidj> Auteur qui attribue au Feu k
caufè de tout mouvement, & qui en metlafourcc
dans le Soleil. T. XLIX. 478
ÎPlefs, Jufqu'où remonte l'origine des Fiefs. T.
XXXV L 69. Voyez. Italie,
"Fièvre, On n*en connaît point encore la véritable caufe.
T. XLIL 464, Si les Fièvres qui régnent en Auton-
ne font caufées parl'ufige des fruits. T. XX XIX 467
fièvre maligne accompagnée de bubons. Voy. •Acrell,
fièvre militaire ou pourfrée. Manière de guérir cette ma-
ladie. T. XLVJI 2?8
fièvre Tétéehiale. Manière de traiter cette maladie. T,
XXXIX. 9}
fièvres futriJes dontriffueeft heureufe lorfque les Ma-
lades ont un flux de ventre depuis le commencement
delamaladiejufqu'àla fin. T. XLV. 32 i
fièvre tierce* Prompte mort d'une Femme, qui, fati-
guée d*unc Fièvre tierce, prit de la Poudre- à-canon
avec de l'eau de vie. T. XLL 32
filer. Defçription de l'Art de filer. T . XX XlX. 15-7
filet. Remarques fur la maladie des Enfâas qui por^e
ce nom. t. XXXlX. ^^f
finance* Ce que c'étoit autrefois que la fortune de Finan-
ce. T. XLIX. 60. Pourquoi la Finance ne doit pas
être méprifée. iéid* A quoi les Financiers doiveht
rapporter le décri où ils font. 60 , 6 1 . La plupart dc«
Financiers ne (ont que des canaux propres à la circu-
lation de l'art. ' ihid»
tmchiGHillanme), Marchand Anglois.Idécdefon Jou'r-
i62 TABLÉ GENERALE'
nalde la Rivière de Sierra- Lcona. T. XLÎIÎ. f
Jmlande . Remarques fur ce Pais 5c fur fes Habitans. T.
XXXV. iS^.é^fuiv.'
Jîns. Fanatiques auxquels on donne ce nom. T. XL VII,
438. Voyez Fanfitifine,
^Wifcher (f C)- Ouvrage qu'il public. T. XXVI. 368
Tifule lacrymale. Remarque fur cette maladie. T.
XLII. 41a
Tlaccus {CVttlmus), Dérèglement de fa jeuneiîc. T.
XXIX. 6. Il renonce à fes anciennes habitudes , &
prend une Charge de Prêtre de Jufiter, 7. Réâexion
fur cet événement. tèid ' éf* fuîv .
Ilamtl (Nicolas) , regardé comme le Poète le plus ceiébre
du lègne de Charles Kl. T. XXVI. 138. Richeflès
qu'il gagna par fes intrigues avec les Juifs. îéid,
¥lamen, ou principal Prêtre d'une Divinité. Combien
cette charge éioit honorable. T L. 18
flanelle. Etincelles que produit la Flanelle neuve qui **
été portée quelque tems. T. XLIII. 190
flèches empoifonnéesdes Aitiéricains. T.XXXVI iii
iF"W)p<?<?</,Evêqued'Ely. Son Traité furies Miia^$,ten-
dant à prouver que Dieu fcul en peut faire. T : L . 178
fUury (le Cardinal de). Son éloge. T. XXV IL 409.
Ecïit^MT, de Fontenelle, T. XXX. 11 a. Sonfènti-
ment fur le pro j et de paix fertétuelle de Y A bbc dç St .
f terre, ibid Lettre qu'il ecjit àcet Abbé, i i3./Ré-'
ponfc de l'Abbé. , ibid.
fleuves. D'où ils tirent leur origine. T. XXVI, 163
florus iCeJJïus) , le dernier 6 ouverneur de la Judée &
le plus méchantde tous. T. XXXVI. 407. Sestnau-
vaîfes qualités. ibid*
flottes. Jugement qu'on doit porter des grandes Flottes
qu'ar'moient les Anciens. T. XLII. 104
fluides, fraitéde leur équilibre & de leur mouvement.
T XLIL aoo
fluidité. Ce que c'eft. T. XLV. ijo
fàntfie {le Béron de) . Auteur de cette Satyre. T, L'. i r jt
©ES MATIERES. i«3
Woems monftrucux. T. XXXV. 45-4. Fœtus qui étoicnt
hors de la Matrice. T. XXXIX. 4x6. Voyez. Gw-
ration»
^ffi. Ce que c'eA que la Foi datu les chofès divines & dam
les choies hu maines . T XXVL ^83. Quels font les
/ objets de la Foi Chrétienne. 384. Notiop fort juftc
delà Foi. T. XX VIL iS^y&fuiv. Ce qu'elle a de
commun avec la Science & l'Opinion , & en quoi cl-
ic en diffère. T. XX VIII. 511. Nature & fonde-
mens de la Foi Divine. 3 1 z . La Foi dpit être fondée
fur révidence, & comment. T. XXXII. 15". Si la
Foi eft en contrariété avec la Raifon. T. XXXlX.
i6i,(^fuiv. Elle iàittairekRaifon.T.XLILii4,
Le Peuple pèche plus pour avoir trop de loi , que poui*
n'en avoir pas afTcz.. T. XLIX. t66
jolkes (Mr.), Préfidentdc la Société Royale de Lon-
dres, Expériences qu*il fait fur ks Polypes. T,
XXXllI. xsi*
fontaine brûlante découverte à Broièly en Shropshire.
T. XLIII. 181
Vontskines ( Mr. T A bbé des) . J ugement fur fa Traduâion
du Poème de la Boucle de Cheveux. T. XXXV. 1 3 8
Jontanges {^àà&mo\ifi^ de) s'empare du cœur de h^is
XIV. & devient rivale de Madame de Mmteffm. T.
L. 31 f. Elle meurt de langueur après fescoucnes. 316
"Ponte (BarrhtUmi de) t Amiral de la Nouvelle Erpagoe
Ôc du Pérou , & enfuite Prince du Chili. Lettre dans
laquelle ilrend compte de ce qu'il y a de plus impor«
tant dans ion Journal depuis le Calko de Lima au Pc*
rou , 8c de fes reche^hes pour découvrir fil y a quel-
que pailàge au Nord«ouëiî de l'Océan Atlantique dans
la Mer du Sud 8c de la Grande Tartarie. T.XLiX,3 31
Jontenelle ( Mr. de) . Examen de fon ^loge de Mr Sumin •
T. XXVI.3ii,|J»y«iv. S'cft demis de fa Charge de
secrétaire ferfttuel de l'Académie Royale des Scien-
ces^ T. XXV II. 3f9. Regardé comme Grand Sa*^
crificateur dansle SanAuâire de la Vérité. T/XXVII.
1(^4 TAFLE GENERALE
396. Lui ièul a la CU des Contrariétés, ibid. S*cfl jou?
delà Vérité dans des Dinlo^ms des Morts, ibîd. Le
CsLAr après lui avoir oôcit çnvain àts pieiens, lui don-
ne des louanges pour le raquérir. 397. Son cntreticîi
' avec le Czjir. ibid, &fuiv. Belle définition qu'il don-
ne de l'Hifloire générale 1 T. XXIX. m. Cité liir
l'accord des deux Loix </? 'Kepler dans le Syfième des
Tourbillons. 137. Eloge qu'il fait de Mr. Vfirignon 8c
de l'Abbé de St, lierre 149. Jugement qu'il porte
de Guy Patin. T. XXX. loi. Il écrit au Cardinal
deFleury. i II. Vers de fa façon. 119 Sonlcntiment
fur les changemcns arrivés à la Terre par de grandes
inondations. 129. Moyen qu'il donne pour empêcher
la Railbn de s'égarer. 237, 2 3 S. & pour trouver
la' vérité. 138. Ce qu'il dit du pouvoir de la Gloire.
270,271. Vers à fà louange. 341. A quoi il compare
le Corps humain. T. XXXL 161. Ce qu'il dit àcs
rapides progrès qu'ont fdts les Sciences. T. XXXl.
304, 0* fuvv. Son lèntiment iùr le Son 326. Cifé
T. XXXII. 4S, 1-0,68,74,79, ifS' Réflexion
fpirituelle de cet Auteur. 1 26. J ugement fur fon Hijp-
toire du Théatie François. T. XXXV. 139 , 140.
Son éloge. T. XXXV L 464. A très bien réuflî dans
le genre paft oral T. XLI. 29f. Piix qu'il remporte
en 1687. T. XLV. 273. Sentiment de ce Philolo-
phc fur le Tutéyemcnt & le Vouzéyement.T* XLIX. 3'7
Tonter.oy (la Bataille de). T. XXXVI. 363
YorMsker. Son voyage en Groenlande. T. XXXL 41
JForces vives. Mémoire où Mr. "^«r/» prétend faire ^oir
que les Forces vives ne font pas proportionnelles ^au x
quarrés des vitefles, mais qu'elles le font aux vitéfîèi
mêmes. T. XXXIX. " 24
Torérs . Il y en a moins qu'autrefois .T XXXVIL2S9,
Détruites en Suède, Stinconvéniens qui réfuîtetitde
leur dedruârion. T. XXXIX. 278, 279. Mémoi-
re fur la culture des Forêts, T. XXXIX. 36/. Vo-
yez Bois, ^
DES MATIERE S- i<Jç
S^Mf«y« Ses Sermons, T. XXXVII. ii8, 119. Son
fcntimcntrurrufàgcdur<7i &duK(7«/.T.XLIX. 39
E>r/2 (Mr.) , Officier Suédois. Faitlingulier qui le con-
. cprnc.-T. XXXII. 378
"E^twie. Diverfcs remarques fur les Gens de fortune. T .
XLÏX. 60
Jo0es* Remarques fur les Foffilcs. T. XXX. i-jf.
Leur arrangement. ^%^i éi* fuiv.
'B.ondrt, Lime frappée de la Foudre , 8c rendue magnéti-
que par ce moyen ex traordinaire. T. XXXVI. 331.
Effet fingulier d'un coup de foudre. T. XXXVIIL
. fart. Il, fo, f I. Autres effets Singuliers de la Fou-
dre. T. XLVI. ^ 373
"Ecuïne foirUe, erpçce de poiilbn qu'on déterre dans les fa*
blés près de Wéfel en Hollande. T. XLIlï. 189
Fculoa* Defcription d'une Mine de terre à foulon. T.
XXXVIII. P4rMI. 48
F^jy^Mff (Madame). Son amitié pour Ms^mc Scarron .
T» L- 3 il. Ses belles qualités. iùid.
IfiHrbin (le Chevalier) infefte les Côtes de Tlftrielmpé-
/ riale. T. XXVII. 371
fourmis. Remarques curieu&s fur ces Infeâes. T.
; XXXVIIL 16
iowrmont (Mr. Ut'wmt), Extraitàcù. Grammaire de la
LangHB Chinoife^ &c. T . XXXL x^\. Son éloge. 303
IPoHs (les) font très communs à Maroc , à Fez , & dans
TAndaloulie. T.XLIX. 297. Caraâère des Fousdu
Midi. ' ^ ^ ^ ibid.
IPox (George) pcrfécuté pour avoir déclamé contre les a-
bus du Clergé. T. XLII. . ii
JragHur (Mr. l'Abbé). Cas qu'il faifoit des Ouvrages
de Mr. Le Clerc. T. XLVIII. '65
IPranc (Martin) a été Secrétaire des Papes Véli^ç V, ôc
Nicolas V. T. XXVI. i3;9. Combien il aimoit 8c
cultivjoit la Poéfie. }6id
Jr/ro^r^.Caraâère générique de cette plante.T.XLI I -4.1 3 .
Jrancî. Moyçns d'augmenter, le Commerce çn France.
L 3 XXX.
i66 TABLE GENERALE^
XXX. io8. La Nobîcflè Françoifc méprife trop fé^
Négociant. 109. Projet pour le ferfeâiormement d$^
Clergé en France, 1 10. Forces de la France , & com-t
bien elle eft à craindre. T. XXXVI. 16 1, 161. Di-
Tcrfes obicrvations de Phyfîque & d'Hiftoire natu-
relle faites dans les Provinces méridionales de la Fran-
ce. T. X LU . 1 98 , éi^fuiv. Si la France a perdu par
rapport à fà grandeur relative. T. XLIIL 394.. Dcf»
cription géométrique de la France par Mr. CaJJmi df
Thury, T. XLV. ^xf^ Voyez Franfois,
Jruncis (PhiL). Ouvragedece Miniftre. T XXIX. 4,f4
Jranfois. Extrait du Tarallèle des Romains (^ des Tran*
/<?w. T. XXVIIL 189. Autre Extrait des .<f»;/^«2VM
de la Nation é* de UMonarchieVranfoi/e. 344 i^S^'^
mentfurles Philofophes François. T. XXXIV. 83,
La liberté des François comparée avec celle des An*-
gloiîT.T. XXXVIIl. Tart, IL 189 . &fmv.^ 199-
Defcription d'un Petit- maître François. 100. Avec
quel foin là Marine fut cultivée par les anciens Gau-
lois. T. XL. 377. Grand nombre de Ports qu'ils a*
voient fur Tune & l'autre Mer. i^id. Etat de leur Ma-
rine du tems dejule Céfar, 378. Quels étoient en ce
tems-là les plus célèbres Navigateurs parmi ces Peu-
ples. i^fV. Etat de la Navigation en France depuis h
première Race des Rois jufqu'à Charlemagne. 379.
Et depuis cet Empereur jufqu'à Lwis XiT- i^id. é^
Jhiv, En quoi conflue le fond de leurs Inftitutions.
T. XLIX. 303. Les premiers Françoiç tournés du
côté des Vertus guerrières. 307. Pourquoi k pro-
feifion des Beaux- Arts çft rabaiflec en France. 308,
Douceurs des Mœurs des François. 309. Jufqu'oi
ils ont porte la perfeétion de la Société, ièifl. Lapo-
litclïè 8c les manières Françoifes préférées à celles de
toutes les autres Nations. 310. lies François accufes
d'être inconftans, frivoles, 8c cependant aimables,
T. XLIX. 407, Quels font les défauts de leur édu-
cation, T. L. 47^48. Véritable étendue-dc leur car
rac<»
D-.E s MATIERES. iij
t. . .. » . '
. «adhère: i^isf Ils ont répandu les grâces dans toute
l'Europe. Ufid. Jufqu'â quel âge ils vivent dans un
mouvement incompatible à k Sageflè. i6id- & 49,
Gouvernement propre au génie des François, f 7 . A-
mour naturel qu'ils ont pour leur Roi. i^id. Parallèle
de leurs Guerres civile.^ éc de celles des Angîois. iôid.
Si les François peuvent Ibutenirla Liberté f 9. Eloge
de leur Eloquence. 74 Flexibilité de leur cara£tè:"e.
ièid* Les bienféanres font l'apanage de leurs Ecri-
rains. Uid- Leurs beaux Ouvrages corn parcs aux Sta-
tues incomparables de Rome. iéid. Leur bon goût. 76
Trun^isKefugUs, Trois Sermons fu»^ la véritaÛc Patrie
' des François Réfugier. T. XXX VL 1x6
Tranfois Premier, Koi de Frïncc. Motifs qui le détermi-
nèrent à porter la guerre dans le Royaume de Naples.
T. XXXIIL iSf. 11 cherche à s'acco iimoder avec
l'Archiduc Charles, Roi de Naples, & par fa mé-
diation avec l'Empereur i^id. Il perd la bitaille de
Pavîe, 6c eft conduit prisonnier en Efpagne. i36.
Traité qu'il conclut à Madrid, 6c protcftation qu'il
fit le jour nié nie qu'il figna la paix. i6id.
Trmçois d'AjpJfe (St.). Vovez Ajjljfe (St. François d*).
^ancs'Mafons {VOrdre des) , trM , &c. Extrait de cet
Ouvrage. T.XXXIV. ^t^&fuiv. Les Francs Ma*
çons écrafés. Extrait d'un Ouvrage qui porte ce titi-e.
T. XXXVIL 311
'Sriiiric i* Autriche , fils ô*Alhertl^ e(l élu Empereur en
mêmetcmsque Louis deB/tviére. T.XXVIL 35-7
Trédériç //. Empereur , Mt la guerre aux Suides 6c
palTe en Italie. T.jX\yih 360. Sa mort. ^61
Wrédiric IlL RddejDanemàrc» envoie un Valflèau en
Groenlande. T. XXXÏ. • 41
Jridéric ÎIU Ele£fccUr de Brandebourg Se premier Roi
de Pruiïc. T.XLV. 400.' Sa haine aveugle pour tout
ce qui étoit François.40 1 .11 donne du (ècoui^ à T Em-
pereur contre la France. 1^14^. Evénemcns de fon rè-
gne i^i^. é'fHivDihyxx.t 8c foibleffes de ce Pl-ince.407
L 4 Fr^-
}
i<« TABLE GENERALE
frUéric W. Roi de Danemarc. Miflîon qu'il étab^t,'
T. XXXIL 244,
"Prédérîc VI. premier Eleftcur de Brandebourg T.
XLV. 68. De qui & quand il reçut rinveftiture de
ce Pais. ihid,
Jrédéric'CutîUume i furnommé le Grande Elefteurde
Brandetiourg. Bel éloge de ce Prince. T. XLV. 76.
Ses belles aâions. 77 , 78, f^fuiv. Ambaïïàdeur vê-
tu de haillons que lui envoie le Karri desTartares de
Budziack. 80. Privilèges qu'il accorde aux François
Réfugiés qui viennent s'établir dans lès Etats. Ùfid.
Ce Prince mis en parallèle avec Louis XIV. 81
fridéric'Henri , troifieme Stadhouder de Hollande. Son
caraaère. T.XLIIL88. Ses qualités. iSU/
Frifons (les) quittent leur pais en corps de Nations pour
aller habiter des terres défertes voilines du Rhin, T.
X L V 1 L 40 1 . Députés qu* ils envoient à Ro m e à ce
fujet , & comment ils y furent reçus. 401. Les Pri-
ions font forcés par les R omains d'abandonner les ter-
res où ils vcnoient de s'établir. 403 . Réflexion fur la
démarche des Frifons. 4of , ci» /uiv,
Jroîd qui règne dans les environs de la Baye de Hudfon.
T. XLIL 13, 14. Cequec'eft T. XLV. 15-5^
TroiJJart [Jean) a été un des premiers Poètes de fbn Siè-
cle. T. XX VL 137. Jugement fur fes Ouvrages.
T. XXXVIL 2<i
Jroment. Sa prodigicufe fécondité en Barbarie. T.
XXXIL 417
Tulvius (leProconful Cn») eft tué dans un combat que
' luiUvre^»»i^i»/. T.XXIX. ; ^.
fumier. Comment on peut fuppléer à fbn défaut. T.
XXXVIII. FM II. j-8
funérailles tfes Gaulois,^ T. XXXVIL pi
funki (Mr.). Phénomène particulier qu'il trcmarqué.
T. XXXVliï. 18
fmtïère, cité. T, XXXX. 40;-
G,
G- ;
GAichUs (fcPère) dcrOratoirc. îdçe defes Ma^
. ximes fur le Miiiiftère de la Chaire . T . L . 4 1 f
Oiiléa reçoit la nouvelle de k mort de Néroi^
fonennemi. T, XLIX. 104., lof. Devenu £mpe«
leur , il fait mourir trois iiluftrcs perfbnnages. iàid.
Favoris auxquels il faut attribuer toutes les fautes qu'à
fît. ièid. Ses qualités. 106. Il eft rendu refponfable
d« la mauvatfe conduite de ceux qui abufbient impu*
' ncment de ion autorité, ihid» Il fait mourir desln-
tendansdc d'autres Officiers, avec leurs femmes 3e
leurs enfans. i6id. Il fait maflàcrer pluâeurs milliers
de Soldats de mai^ne , 8c remplit par là d'horreur (oq
entrée dans Rome. 107. Divers traits de ion avari-
ce, i^id. cJ» fuw. Moyens dont il fc fcrvit pour rem-
plir le Tréfbr pubHc. 108. Il £è fait haïr ôc du Peuple
& des Soldats. 1 oy . Raifon qui le porte à le dédgner
unSuccefïêur par la voie de l'Adoption. 1 10. Pour^
quoi il fc détermine en faveur de Pifbn. i&id. Il eft
■ tué .113. Son caraôèrc . 1 1 4 . C'cftle dernier des E nî>
pereurs qui ait été d'une ancienne noblelïè. i&id,
Çalères, Quelle forme avoient les Galères des Anciens ,
2c com ment leurs rames étoient difpofées entre elles.
T. XLII. 9^,&fuiv.
ÇaliUe. Ses découvertes , 8c conféqueQces qu'il en tire.
T. XUI. iSs
Gi^lium. Voyez Caréna.
ÇMlknde(M.,)?cnà\Ac de fon invendon.T. XXXII. J86
CumA {Vftfcode), Découvertes qu'il fait après a voir dou-
blé le CapdeBonne-Efpérance. T. XXXVIII. 195.
Il eft envoyé aux Indes avec la qualité d'Amiral à&g
Mers de l'Orient 8c une Flotte de 10 Vaifleaux fbuç
fês ordres. 198. Ses expéditions. ibid, (^/kiv*
Cand {Ufacificatim de). Traité d'Union qui porte ce
•" nom. T, XLIII. ^
fj0rcin{Mi.), Dodteuren Médecine, Son âoge. T.
L f XXX^
XXX. 170. Ses découvertes.Mû/. Lettre de cet Au*
teur fur r utilité générale des Infedes. T. XXXVII,
3. Dodûeen lui-même le fujct d*uxi exemple d'une
Faralyfie iingulièrc. T. XLI. . ' 131
Gardie (le Comte Magnus de la) cù. envoyé pàn la Reine
Chrijlm en AmbalTade à la Cour de Suède. J . XL VI,
)3f . Combien cette AmbaiTade fut brillante, i^id*
Gmrtnct i ou B$UnaTin^(frHm^ Efîèt que produit cette
Plante fur les Animaux qui en mangent. T. XXXI,
4f 7 . Différentes fortes de Garences.T. XXXV . 441,
Voyez encore T. XLI. 30
Carengeof (Mr.). Extrait de ù. SfUwhnQlogii 9 &c. T.
XXXI. i6^f^fmv* Jugement fur* les Figures de
cet Ouvrage. 174, 17 y. Critiqué, i^i^/* Ses difputec
avec MT.Heifter.Uid^ Erreurs qu'on lui attribue. 17^,
- &fi*ru. Prétend qu'on peut reflituer un nez entiè*
rement coupé 8c léparé : examen de cett; queflion,
& hifloireà ce fujet. 41^, f^ Juiv,
Cftveficn, Tun des Mignons d*Edmard IL ^o| d'An»
gleterre. T. XLIII. 166. Son caractère. iiiJ.
Gaulois, Peuples compris fous ce nom. T. XXXVII.
79. Leurs Druides. Voyez Druïdej. Le^rs Nobles,
& leurs fondions. 84. Services que les Romains ti»
Toient de leur Cavalerie, ihid* De quoi les Gaulois vî*
voient principalement, ihid* Comment ils Ce fortî*
fioient le corps, ibid* V iâimes hu maines q u'ils fàcri*>
Soient. Sf. Leurs belles qualités, iiid- Comment
fi'babiUoient les R ichcs 8c les G rands de la Nation, 86,
; Ce qu'ils pratiquoient pour appaiièr leurs Divinités.
. iiid. Si leurs Sacrifices de viâimes hpmaines étoient
l'effet de la malice du Diable 8c de la haine qu'il a pour
les Hommes. iSid- ér*fuiv. La Polygamie en ufage
parmi eux. 8.9. Dans quelle dépendance ilstenoient
leurs Femmes. 90. Ce qu'ils pratiquoient dans leun
Funérailles. 91. Voyez Fr4»/<>M.
Sauner (Mr.) , Penfîonnaire de ^a Majçfté Très Chré^
tienne. S^Çiâçrtatioafufj^sCbulei^rs, où ilcom^
' " ' bat
oés matières: if§
• !»t leSyftêmc de Newtcn, T. XLV. 192 , é'fulv.
5oiifentinient touchant les Couleurs des Pierres Bnes,
T. L. 1 78.^ Il attaque Mrt . dé Vlfle é* ^ Momier fur
k théorie du mouvement de la Lune. UU. Il ne croit
k fjrftémc de Newton propre qu'à retarder les progrès
de 1 Agronomie, i^i^. , Ses réHexions fur la Mulimie
• des Couleurs du Père C*/ff/. 179. Son jugement flir
ks Tableaux, ièid. Répond aux objeâions qu'on a
feitcsdans le Journal des Savam & dans Te JoanMl
Oecott0nUj[ue contre fovi nouveau Syftêmedu Monde.
180. Ouvrage confîdérable qu'il promet. ^idm
Gâurwr (Mr.) , Médecin du Roi en Canada. Obfèrva*
tions qu'il a fàitesàQucbec.T.XLV.5ii,(J»y&w.
Ginnt. Jeune Géant né à Willingham , vlUage près dt
Cambridge le 31 Odèobrc 1741. T. XXXIX. 9.
Mort d'un jeune Géant , qui , avant l'âge de 3 ans ,
avoit 3 pies 8c 8 pouces de haut, $c paroiflbit être
un homme parfait. T. XL. 478
GebMur {George Chrétien). Extrait d'un Ouvrage de cet
Auteur. T. XXXIIl. 3, ^ fuîv. Son éloge. 4
Ceer (Mr. de), ^s recherches fur les Infeâes. T.
XXXVIII. Il , 13. & T. XLI. Il
Celms (OBavien de St.). TcmsSclieu de ft naifTance.
T. XXVI. 146. Ses Ouvrages, i^îi. Vers de fk fa-
çon. f^id. Voyez eflcore T. XXX. 390
iSeUis (Mellinde)^ fils à'OStavîen de St Gelais, étoit plus
grand Poète que fon Père. T . XXV l . »47
Cendre (MT.CilBert Charles Le) 9 Marquis àe St. AttBin.
Extrait de fes AntUmités de la Nation & delà Monar*
ehieWranfoife.T.yilLvm. ^ 344
Oineration. Si le principe , qui a formé les Infèâes , tels
■ qu'ils font, réfide originairement en eux , ou s'ile*
« mane d'une Puiliànce étrangère. T. XXXI. 76. Si
tous les Anima.ux fe multiplient ^r la voie de la Gé*
néiïtion. i^iJ. éf^fuiv. La Génération des Plantes nt
diffère pas , à certains égards , de celle des Animaux.
T. XXXÏL4I9. Diicouxs oà Ton &it voir la fécon-
da»
^ TABLE OENfiRAtEl
. dation des Plantes. î^f^/. 6* /&ÎV. Ëxpoûtio&deSdîâ^
rens Syfkèmcs fur la Génération des Animaux. T.
XXXV. 505*, é* fiàiv* Auteur qui prétend que la
Génération iè fait par le moyen des V^rmifTeaux qui
iè trouvent dans la ièmence de l'Homme. 389, c^
fuvv* Idée du Syftéme de la Génération fuivant \ss
découvertes de Leeuwenhoek. T. XXXVI. ijj,
134. Animaux qui peuvent fè paflèr de Mâles,, fans
ceflcr de multiplier leur Efpèce. 1 86. Inicdies qui fimt
ovipares & vivipares, ihid. &fiiiv, Obfcrvationsqui
détruifent leSyftême du Développement. 187. Au-
teur qui prétend que les Animaux ôc les Végétaui;,
s'engendrent d'une matière informe , ou d'un Fluide
qui s'organijfè peu à peu , fuivant des loix qui nouai
K>nt inconnues . i S 9 . Conjeârures fur Ja manière dont
fc fait la Génération. T . X XXIX .41. Celle des Sau-
jQ[ions. 107. ËfFeu iifiguliers des Pouifières fèmina-
les de diverfès Fleurs. 4^0. Fœtus trouvé dans les
Trompes de Falhpe , Se autres Foetus déplacés. 4.16^
Si l'air eft rempli de petits Oeufs , qui , dépofës en
divers lieux, n'éclôfent que dans ceux qui peuvent^
leur convenir. T. XL. i8f , 186. Objfervation qui
paroît oppofëe à ce fyftême. iSid, Remarques qui
ont rapport au Syflême desVermilTeaux qui font dans
; la Semence du Mâle, & à celui des Développepens.
a 20, m. Propagation & fécondité delà Moufle*
400 , 40 1 . La pQuflière des Fleurs efl néceflàire à la
fécondité des Plantes. 401. Ce que c'eft que cettf
pouflière.402. Comment elle agit. i^i^/. Nouveaux
. doute que Mr. de MAuferttis répand fur la (généra-
tion des animaux. T. XLIX. 43Ç
Généraux* Combien ceux-là font blâmables qui criti-
quent 2c condamnent la conduite des Généraux. T.
XXX. :- 37<^
(jenève. Ce que c'eft que le Sermon de la Ofnirfg^tim
autrefois en ufage dans cette Ville.T.XXXU. 447.
Faux aèle des ProtefUns de Gençvc.T.XXXyjH.
■ •'■■■• ' »«'-"■" '
î>ïEi S M À t r E R rs. V^
T /o. Trortibcs qui paroiîïènt quelquefois fur le Lac
- de Genève. T. XXXIX. i8i. Son Flux & Reflux ,
• connu fous le nom de Seiches 5 & explication de ce
~ phénomène. ï^fi^. (jc/uiv. Voyez Génois . '
Génois, Combien ils fe font rendus puillàns autrefois.
• T. XL. jj-j*. Leurs conquêtes. i^i4/.t^y»za;.Voye3&
Genève*
Cenre-humnin. En combien de branches on peut le di-
' vifer. T. XLIX. 193
tiens à h rnsde. Caradièrede ceux à qui ce nom con-
vient. T. XLIX. S9
'Gentiane. Racine qui porte ceftom, & danger qu*iJ-^
- a de s'en fervir. T. XLVI. 361
Ceoffrcy ( Mr.), Membre de l'Académie Royale des
Sciences. Extrait de fon Mémoire fur VEtain. T.
• ^ XXVÏIT. 431. Ses expériences fur le remède de
• Mlle. Stephens pour la gucrifon de la- Pierre. T.
XXXL 179, &Mv.'
Céogr'dfhie, Extrait de VArt i'affrendre la Géogn^hie
fins battre y Sic. T. XXVIII, 190. Progrès qa^on
a faits dans cette Science. T. XXXII. 81 , (^/uiv.
Ouvrages forcette Science. T. XXXIX. 190,1^1,
Son utilité T. XL. 130. Livres néceflaires pour la
bien apprendre. 131. Moyen pour en faciliter Tintel-
lïgencc.T.XLlI.^o. Découvertes des Rufliené au
Nord-cil de TAfie.XLIIÏ. ^ ^^ï^y&fmv,
' Géçmétrk* 0\rtr2L%t dcftiné à défendre la Géométrie
de r infini contre les attaques tmpétueufes de l'Evêquc
• Berkeley. T. XXXVf. 133
George 1. Roi d'Angleterre^ Alliance qu'il fait avec la
France & Y'Empirè. T. XXXIX. 1^
George-CHillâiume , E\cckc\fr'^è Ennàchouf g. Guerre de
30 ânsqof deiola fes Etats. XLV. 74. Fautes capi-
tales que fit ce Prince dans ces tcms malhcureuxl 75»
'George {le Chevalier St). Voyez Prétendant,
Gerdes (Mr.). Profefleur à Grolûnguc. Lettre fuf un
Article <Jc fes Mifcellanea, - T . XXXly . 45-8^ - I*dée
gé-
1
fj^ TABtB GENERAL*
générale de l'Apologie qu'il a puUiée contre PAuteof
de l'Extrait de Ion Hiftoire de VSvtmgiU tmcttvtllL
' ibîd. Âccufé d'avoir attribué cet Extrait à une per<^
fonne qui n'y^ aucune part. 45*9. Combien ilefia»
▼ide de louantes, f^ii^. Il attaque mal à propos Mr. le
Profcflèur IVetfiein* 461. De quoi il accule les Au-
teurs de ce Journal, ibid. Lettre pour fcrvir de ré-
ponfe à ion Apologie. 4614. Injures auxquelles il are?
cours. 466* Divers défauts de ion Ouvrage. 467, tJ»
fuw. Examen de fon AfologU, 469, ^fiûv. Vor
. yez Milî (Mr.). ^
Cerike (Mr. Fierre) , Docteur en Médecine , Profeflai|r
en Chimie , êcc. Extrait de fon Traité de la Généra-
tion de l'Homme. T. XXXIII. ^6ç,(^fuiv. Exa-
men d'un ientimcnt propofé par cet Auteur. ^91
Cermains* Par qui ce nom a été donné à ces Peuples. T*
XLV. 100, Portrait qu'on en fait, leur caraûèrc ,
kurs mœurs , leurs coutumes, iiid. Comment ils é-
chaufoient leur courage en a^t à la guerre, loi.
Leurs Dieux, ibid- A quoi ils a voient égard dans le
choix de leurs Rois £c de leurs Généraux, ibid. En
quoi confiftoicnt leurs Richefles. 101. Leur nourri-*
ture . ibid- Point de Savans , point de Gens de robe ni
de finance parmi eux . ibid. Affaires d'importai^ce dont
ils traitoient dans leurs repas, ibid. Leur hospitalité*
ibid* Point de Villes parxpi eux i leurs Bourgades, leurs
Maifons . ibid. Leur Habillement, ibid 4^fitrv. La Po-
. lygamie inconnue che& eux. 103. L'Adultère puni.
; ibid. Leurs enfansfàns éfkication.i^n/. En quoi con-*
ûftoient leurs fpe^des. ibid.
Cermanictfs. Combien ce Prince étoit chéri du Peuple 8c
des Soldats. T . X L V . 300 . Il refufe l'Empire que lui
offrent les Soldats, 6c reile fidèle à iTibère, 301. Il ap-
\ paifè une fédi; ion . 30 1 . Son expédition contre les Cat-
tes. 303, éi*furv Sa Cavalerie roife en fuite par Ar^
minium, x oj . Flotte qu'il lait conftruire . 3 o 7/ 11 fait
k ver Icfi^ge du Fgrt^ la Lippe, ibid. Victoire figna-
6 ES MAtïlRËS. '^J^
Icc qu^il remporte contre Arminms . J 08 . Seconde Yic-
toire. ibid, é*fuw. Sa Flotte diiptrTée Se très mal-
traitée par une tempête. ^09. Il fait ravager le (>aïi
des Cattes 8c des Marfes. ^ 1 o. Il eft rappelle par 71-
hère, 311. Deicription de (on Triomphe, ibii. Sa
mort, ibid- Combien il fut regretté, ibid. Honneurs
que lu i décerna le Se nat Romain . 3 1 a ^
fermante Bornes qu'elle aroit autrefois. T. XLV . 1 00.
Bois Ôc grands Lacs dont elle étoit couverte. 1 1 . Les
Terres peu cultivées. ibid.
Germes Humains. S'ils fotit indeftrudHbles 8c impérifTa-
blés. T. XXXI V. 98, &fui^'
Cejher ( Mr.). Sa Traduâion de Lucim , & fes N otes fur
cet Auteur. T. XXXI. 4. Eloge de cette Traduéîion,
7. Tems auquel il a publié le thilcfatris avec une
Tradu<Stiondefafaçon,j^i^. Son commerce de let-
tres avec Mr. Hemfterhms, 8c à quelle occlfion. 9. Ae-
cufc mal-à- propos par feu Mr. Burman, i f
Ceffe, en L2LtmLathyrHs. Plante dont on mange la ra-
cine dans IcsPâïs-Bas. T. XXXIX. 98. Combien il
cft facife de la cultiver. ièid^
Ciannone. Extrait de Ton Hifiom CtviUdu Roj/sumi dé
mples. T. XXX. i6 , &ftéh. 8c T. XXXI. 18^
Cibel (le Mont). Voyex 'EfrU.
Gibraltar. Siège de cette Place par les Efpagnols en
ijij, T. XXXIX. 196. Comment ce liège fut fj,-
vorifé par la France. 197
Girard (Mr. l'Abbé). ExtriitÛefesTrmcipesdr Ulat^-
gmTranfmJè, T. XXXIX. 130. Autre Ouvrage ëe ,
cet Auteur. 131
^GUce bleue , verte , blanche , en Grocnlande. T . XXXf .
'48. D'o.ii vient cette couleur de la Glace, ibid- Si la
Glace formée de l'eau fàléede la Mer eft àoucc. t,
XXXVI. 34.6. Son évaporation. T. XLI. 10. Ma-
nière dont elle (c forme dans les grandes Rivières,
» 45*8 .^ Extrait d'une Dtjfertationfur laGlact^pis Mr,
di MmtM. T. XLV. 138, é^fuiv, £j(pofition èx
(en-.
«yi -TABLfir GENERALE
fentimentdcs plus grands Philofbphes fur la forfkia*'
don (ie la Gkce. 1 39 > C^ fuiv. Divcrfes Editions de'
cet Ouvrage de Mt, di MAirsn. 149. Ce qu'on doit
premièrement bien examiner lorfqu'on veut décou-
vrir la caufe lie la formation delà Guce. ifo. Détails
IntérefTant dans TOuvrage de Mr. de Muintn. 144.
, . Deux objediions contre Ion fyftêmc. 1^6 , à* fuiv.
, Glace inflammable. T. XLV. 21^
"Glacière, Plan donné par Mr. Lauraeuf d'une Glacière
' pour confervcr les viandesen Eté. T. XLI. 3 1. Au-
tre plan par Mr. H0rUma». ihid.
GUrean {Hem). Particularités qui le concernent. T.
XX VII. ^l.&fui^.
,CUfer (JhéfffUle) , Miniftre dcrEglifedçDiefdc. Ou-
vrage qu'il fait i mpi imer . T. XX VI. a 64
.Clijfon, Voyci Ltibnitx,,
Globe de J:eu vu vers la Rade de Toulon. T. XXXII.
375-. Autre Globe de feu qui a efirayé les Habitans du
ComtédeSuirex le 11 Décembre i74i> éclat qu'il
fit en crevant. T. XXXVI. 3^z
Ckire. Qucllceftla véritable. T. XXVIII. 363
Gmélin {Jean- George) eft fait Membre de T Académie des
. .Sciences de Suède* T. XXXIX, 108. Extrait de la
JDe/criftion des Plantes de la Sibérie, 304. Voyage dan-
, . gereux qu'il entreprend par prdie de T Impératrice die
Rulfie. i^i^. Preuyçdefàmodeftie. 311. Jugement
,', iurfbn Ouvrage. 311. Voyez encore T. L. 41
^Goa- /L'Imprimerie y eft' obligée. T. XXXII. 249
.Gûiiu (Rpbert), Son Poème intitule les Loufs ravijfans.
, T. XXXylL 31: But de cet Ouvrage. ibid.
^ Gcdefroii^aques), Son Commentaire fur le Code Tbéo-
dolien. T. L. . 33^
Godro» Manière de le Élire. T. XXXVI. 198. Voyez
Eau Je Goudron.
Cordon (Mr. T^.). Extrait de Tes Difcours Hifioriqi^s»
Crifiû^s& Politiques fur Tzcitc, T. XXVIII, 374
.€^i(Mr« At^oine François) achève parfes foins aigdus
TTKS MATIÈRE^ ijf
• 8c ion travail k Trêfir de More! , auquel il ajoute tnè-
. »e un grand nombre de Médailles. T. XLIX. ifj.
' Ses Notes fur cet Ouvrage. ^ 368 , érfuiv.
Gûfhehmrg, Avantages delà fituation de cette Ville. T*
. XXXIX. 276
G^hlandi (l'Ilede}.. Manière dont elle s*eft formée dûw
• lefeinderOcéan.T.XXXVI. 199. Remarque fur
' les Moeurs & les Coutumes des Peuples de Goth-
' lande. |oo
Coubert (Mr.)» ancien Officier de NIarîna. Ju||emenc
fur la manœuvre qu'il a cmplojëe pour retirer us*
• Vaiifeau du fond delà Mer. T. XXXIX. 19»
Gêuirtn. Voyez Godron*
Gmgh {StrikUnd). Extrait de fes Sermons.T.XLVI.299
Goukt (l'Abbé). Extrait de fàfii^/f^^^^iff Tranfififê > 8cc.
T.XXX.J86.TXXXV.124..T.XXXVII ai, 31a
GoiéUrd {Mr.). £k>ge de la Taille latérale de ce Chioir-
gien. T. L. 89
Gmjfet (Mr.), cité. T. XXXII. 11^
GoHi, Explication de cette Senfàtion. T. XXXI. 313,
^furv. Son objet. 31/. Fille née iâns langue, qu!
nelaiflbitpas d'avoir du goût. 3.1e
Goûts, Réflexions fur la variSé des Goûts. T. XLL 296
Gmtê. Ttaité hiftorique, critique &c. de cette Mak«
' die. T. XXX. 218. Combien il eft difficile d'enccù-
noitre k véritable caufe. T. XLII. 464.
GÊUvtmemmi.] ugement fur ce Principe : "Bififier sux '0^
hHs du Gcuvemement , e'ift affujfer U Gowvtrmmikt»
T.XXVIII. 389. Diverfesrétlexions fur le Gouvei^
nement.T.XLI.3'oo,c^j^fv.£n quoi confiée le mell*
kur.307, 3^*0. Les diveriësefpèces de Gouvememens
réduites à trois. T. XLIIL 206 , 207.Quele(lleplûs
confonneàlaNatttre.î^iJ. Définitions destroisprin*
cipauz Gottvernemcns. 208 , 209. Quelle eft la nature
du Gouvernement démocratique, ^id . Del'ariftocra'-
tique, ikid. & du monarchique; 2 1 o. Principes râatifs
àchaque Gouvernement, nz^é'/uw. Dsveiiès re^
t7^ TABLR PENERAtlEri
XQaK|ues fur le GouvcrçenieQt des Etats ptr. Mîiflrdf
içlinéroke. is^y&Jkiv, Qucik doit être TËducadoQ
dans les différentes Icrtes de Gouvernement. J7 J , tJ»
j'^i'i/. Avantage du Gouyenienîent Monarchi^e iiir
le Républicain, &: lu rie Derpotique;. 378. Pourquoi
la {everité des peines convient mieux Siû Gouverne-j
. ment DeTpotique, qu'à la Moi}archie & à la Repu-
. . tUqûe. }8i. Quelle eu la meilleure forme de Gàu-
^ vernement abfolu regardé comme le meilleur entre
.^fcs mains d*un Piinççfagç ôc vcrtucuy, T. XLVI.^
ji" Vjî I. Inconvénjens auxquels il eft fujct emm Jes
^ màîns d'un mauvais Prince. ij[>îd* f^fuiv* Inconvé-
hîens du Gouvernement populaire» 312., éf.fuw.^
^ .Grande avantages d'une Monarchie Iiixii|;iop. ^ 3 14.,
Ceux fortes de Gouvernemens arifh>cratiques.' g i^*^
ï f oâttjùoi il faut toiyours rabattre quelque ciofèdes
" '^ivântages des Gouvçin^rnens tempérés.. iW., R*k
, fbns qjii prouvent que la Souveraine Ajutorité ftr )es
! çhofes de la Religion doît'néccfTairtmcJit app^tenjr:
au Souve» ain. j 1 6 , étp^v^\ Rcponfè aux :ol>;<clk>9^
• 'qù'cii peut faire l^-deflps.'^jip^ &fph>\ Qûçdleefl
^ k meiJîcure forte de Gouvernement, T,;.X£âXi. 6^.
P'pù-rërukc 1» difficulté de former le Gc^7<q|fkicn[içj|i5
* ieplusparfàit. 67. Gouvernemens des^peii^f^ Répi^«>
^ j3ic^ues.,..&'leur génîc. T. L.^oj . pé&otsidcF Gou-
^ yîerncme'ns èc la pi^mière antiquité dai^^ja .MorldeSc
"^ciijs la- Loi Civile^ ;;fti. ,Lçurs défauts d^jj^^-t^bOn
^*pblitiques par rexçxaiJerde.l'Egyptc.fa?,^^^
_ ment dç la Cluiïe. ^^, ËTprit généraLd^^^ écs
^ Gouvernemens anciens Se modernes. 5-4. Lefancton-
nés Loix font plus fublimes , & convenables à a fbh:-
. cç'St à la fimplicité,4uMondenaiïïànt, les nouvel-
les font proportionnées à l'âge du Mornie ièid* Food
.. du ^'Couvcrnemcnt général cpnvenable.a^, génie àts
'Empereurs, 6c des.Peuples.fepteatrionau^yjfj. £)$£•
^féi^ Gouvâmeniens par rapport aux yq[$^8c ftiuc
tekiis. x:^, . > , ,. ... , -si^., .' •.
-.-.a
DE S M A: T * E R E S. i}f
Ht^ftw. 5ku«içta^de cePàï*. T. XXXVlïî.- tff
O'aiiU (Mr. de), Gentilhomme Savoyard. T. XXXil.
Cr^Unes Oblèryations {qï les Graines de diver^s fortes
de Plantes. T. XXXVllI. Tart. IL if9 , é'/aiv.
Çrainf. Sur k confervation dcsGi-ams, ëi l'ur-tout da
Froment. T. XLV. iii
Crarn/nâire des StkncH Vhhhfcfhu^s, Extrait de cet
Ouvrage. T. XLlll.. 4J*
Qramfhités, Préface où il rend compte des AnnaW dd
Dannemarcpar Cragius. T. XX VI, 244
Craiûle^Bretagni, Voyez At^kttrre.
Oranger (Mr.). Extrait de là relation d'un Voyage fait
. en Egypte. T. XXXVIII. fm.IÎ. 69. Pais qu'il d
parcourus. ibU^ é^Juiu. A quels égards on peut le
regarder comme vévit^blement Original. 7 c
Oranger (jGuiilattme) . Ouvragi^ où il pixni ve q«e les Mé-^
taux végètent. T. XLVUI. 417
Qrawvelle (le Cardinal dt) Te rend à Naple« pour pren-
dre k Gouvernement de ce Royaume. T . X X X II I •
209, Il eft rappelle en ETpagne.i^Â/. Il fait exécuter
dans les Païs-bas les projets & F/nliffe IL fous le Gôu*
vcïiiementàtUargHn'itt d'Autriche. T. XLIII. 81 «
Soncaïaâère.î^û/. Il s'alijèiiie tous les eiprits. i&iéL
Gra^huis (Mr. fem) > Doâeur en Médecine. Extrait de
&DifIèrtationfurla génératk>nduPus.T. XL. 143.
Jugement fur cette Pièce. 145*
eravute fur le bois (la) eii due à la Peinture. T. XX VL
203. La découverte en précéda de peu celle de Tiiiy
pdmetie. Hid* . Q^i io&t ceux qui en ostt fait les pre-
miers eflàis. ' ikidé
Cr^ (M.).Se^ expériences fur rElcéfcricitc.T.XXXl V . 4
GTÂy ijearm) n'accepte la Couronne d'Angleteric.que
malgré eÙe. T. XLIII. 374, 37^. Ellepaycdelbn
. iàng une Royauté forcée (k neuf jours., èc mcuit
glorieufêment fur un échafàut. Utid.
Qrf0ràlff. (Vêientm) » Charktait fanatitpcc > qui fe van-
M a t©ït
«■
«»o TABLE GENERALE'"^
toit de guérir plusieurs maladies par kfimpk alMJO'
chcmem. T. XXXIIL 66
Oreêsns {Amml) Chanoine de la Cathédrale du Mans»
. avoit entrepris de mettre en Vers ksAâes des Apô-
tres. T. XXVI. 138
Orchans . irère à^AmwlGr^i^ns 6c Secrétaire de C^«(f/fj
d'Anjou Comte du Mai ne, a continué un Ouvrage que
Ion frère avoit commencé. T. XXVI. 138, i3î^
Grecs- Leurs Navigations. T, XL. jfj
Grégoire Vil- (le Pape) anéantit la Rovautéen Pologne.
T. XLVI. ^9
Grégoire IX. .Conditioitque ce Pontife pxige pour fc ré-
concilier avec l'Empereur T. XXXIII. 10
Grégoire de Touts^ Corredion d'un PafÊige de (on Hif*
foire, T. XXVII. 134, ijjr
Grêle. Si les Tierres de Gréle, qui tombèrent fur les
Cananéens , étoient réellement des Vierres ou de W
Grêle, T. XXIX. ^9f,&fi*iv, Raifbns de ceux qui
prétendent que c'étoient efFedivement des Pierre*.'
. 397 >&fiiv. Objed^ions contre celcntiment. 409.
iécfuiv. On voh quelquefois en Suiflê àes grains ^e
Grêle aufli gros que des Oeufs. T. XXXIX 99
Grenouilles. Comment Mes accouchent. T.XXX V. 189
Gringorey appelle zuvttvatxixdeVaHdemoHt^Mhe'ffate.
Tems auquel vivoit cet Auteur. T. XXVI. 14JF
Grives. D'où viennent les Grives qui palTent par la Pru^
. fe dans un nombre prcfque incroyable. T . X LI V . 3 9 1'
ÙroenUnde. Nouvelle DefcriptiondecePaïs.T. XXXl>
37, éi^fuiv. L'ancienne Groenlande appartient plu-
tôt à l'Amérique qu'à l'Europe. 3 8. En quel endroit
elle efl; jointe au Continent de l'Amérique, iàid. Elle
n'eft point coupée par des Détroits. 39. Deux Ion*
Îrucs Côtes qu'elle préfente à la Mer. iSid. Mers qui
a baignent, iùid. La Côte orientale edpreique en-
tièrement inconnue, ièid. Iles déplaces qui la ren-
dent inaccedlble aux Vaiflèaux. iii/ Ces Côtes ont
été habitées autrefois par desCoIoniesdc Nçrvégiens*
\
DiÉf s matières; lii
' %ô, IPaf qui & quand la découverte en a été faite, i^ul*
Les Rois de Norvège y ont entretenu des Colonies^
• bâti des Ëglifès, Se fondé un Couvent le plus Septen-
trioaal de tous lesCouvens du Monde. î^. Décou»
vertes des Ruines des EtabliiTemens qu'y ont eus "ies
• Norvégiens . i^id. En quel rems ce vaftc Pais a ccflc
<l'être connu < i^U, La Colonie Norvégienne exter-
minée, iàid* On retrouve ce Pais fous Te règne d'£-
/ix^fr^ Reine d'Angleterre 41. Vaiffeauxquîyont
été envoyés parles Rois dcDanemarc iSU.à^fuiv.
Productions de ce Pais. 46. Nourriture des Habitans.
47. Vents 5c Froid qui y régnent- Md. Couleur de
Glace de ce Pais. 4.8. Aurores Boréales qu'on y voit*
Uid. Animaux qu'on y rencontre. 49. Comptoirs
qu'y ont les Danois 60, 6r. Miflîonaires 8c Caté-
chifles que le Roi de Danemarc entretient en Grocn*
lande. ^4. Ouvrage fur ce pais. T. XXXV. 109,
a 10. Voyei Creenlaniois, *
GromUndois. Commentils vont à la pê«he de la Baleinei
T. XXXL fo. Leurs Canots, ibid. Figure de ces
Peuples, i^i^. Leursmaiibns.fi. Leurs occupations
^'hiver. ibU. Leurs armes. iM^ Quelle ibrte defci^
ils font dans ieurs^ Cabanes, fa. A quoi ils paffent
leurs tems en Eté. f 3. Genre de vie qui abrège leurs
. jours. îbU' J ufqu'à quel âge ils parviennent tbU . Ma*
kdies auxquelles ils (ont fu jets, ibid* La Petite- Véro^
. le leur eft venue du Danemarc. ibid. Leur t^illr , leur
humeur , leur génie. ^4. llsn'ontd'airtres Loixque
celle qui eft naturelle à tous les hommes, ibid. Sor-*'
ciers qu'il y a parmi eux , 8c fupplices qu'on leur fait
foufïnr. ibU* Leur hofpitalité. ff. Leurs habits^
> ibid* Leur nourriture , leurs repis. 5*6. Combien ils
ont de femmes, ihid» Ils ne font pas infenûbles à la
: galanterie, f 7 , Defordres qui règnoient autrefois par«
xni eux. ihid. Comment le font leurs Mariages, i^.
fjSI^ fuiv» Leur amour pour leurs Enfans. f8. Leur
remède y lorfqu'ils ibnt'malacks.tôii^. Soin qu'ils oot
M j jic
4U T AB LE <5 ^HE% Alt [
de leurs morts.j-p, I^ems pkiQic, leurs jeiiiz. iiU. hmi
Poéiie. iM Leur Langue, do. Leur Coounèrce.iM.
Leur Religion. 6 1 , Leur Paradis , leur Enfer. îM. I*
4ée groiBère qu'ils ont de Dieu. i^i</. kétf^ Dénions
qu'ils reconnoiiïcnt. i^id. Fourberies de leurs Mdgi'-
ckns. 6x^ Connoiilànce qu'ils oqt des Etoiles. ^^;
Combien il eH ditHcile de converdr ces Peuples, iàid^
Comment ils fe gouYcrnc«t. T. XXXVllL 86. Vo-
yez GromUnd^'
Crqfiillis noires. Bon effet de la Gclçe de ces Grofeifes
pour les inHammationsdekGorge.T. XXXVLj.jf
Grojfejfe ventrale de neuf ans entiers T.XXXVL ^9
Croffe du Chien en Italie. Remarques fur les exhalailbns
cmpoifonnecsquicnforteat. T. XXXV. %tj , ^^y.
Explication des phénomènes qui la rendent célèbre,
T. XXIX. 33, 34. Renvvque fur cette Grotte. T.
XLV. , zijr
Grotte de Kilcamy en Irlande. Sadeicript. T.XXXV.39}
Grotte de Pirtnwt (la) eft un exemple nouveau d'une ysi?
rurfpécifiquemçnt légère, & par-là mên\c mortel-r
aux i\nimaux. T. XXIX. .34,
erottes de la Bafïê*T{iôbaidc. T. XLII. 177
Crottes de Scharztcld .& de Baumans-hoble. T.XLIIL;^
Çroulart (Charles) , Préiident de RoueA. Troduâiona
qu'on lui attribue. T. XXV L zSx
Grtéts. Voyages de ces Oifcaux. T. XLlV. ^g%
Qrtmikr (Mr.), Millionaife Pjrotellantdans \ci Indes.
T, XXXIl. i6+. 5a mort. 166
Çtiacas , ou Sépulcres des anci^s babitaos du Pirptt.
T. L. ^11
CfMm. Combien il y g encore d'Indiens dans cme Ile.
T. XLIL 6^
ÇiianÀès. Oi&aux d'Amérique ainfi nommés. TX. 3 1 %
GHéMr^k. Ruine de cette Ville par un TremUement de
terre. T. L. 308
Gu^aqiéiL Remarques fur cette Ville.T.XfLlV. 41 f
i*H^'Trfim> Ses Uimmis tr^tduits çn 4ogfeis.- T^
XXXI.
^tUf9s* Deicriptiott de deux fortes de Nids de OaSpes
de P^ikairie. T. XXXIX. ^^
diifftrâ.-Otf que c'eft que la Scfcnce de h Guêtre JT.
.\'XXXM; 34.4.. Pourquoi on ne trouve pas à rç^ire
.: qu'on ««(feigne publiquement la manière de fâirtî la
. . guerre. î^/^. La guerre regardée comme un ma! iné-
vitable &'néce (Tante 34f,*^j46. Si les Ouvrages où
. ronenfeigne TArt de laOuerre peuvent être utiles.
347* Pourquoi les hommes- ne ûuroient guère vivre
ians guerre. T, XLVIIF.. fo. Parallèle ècs Guerres
Civiles d'Angleterre & de France. T. L. 5-7. Voyei
. 'Xrsutes & Milices.
Ctéet (Mr. TAbbe </») a attaque le fentiment ordinaire
- qui recufe Tufàge de la Viande jufqu'après le Dilage.
T. XXXVU. ' 5-9. r»
Cttettaré (Mr.) , Médecin de k Facultcde Paris, Extrait
de fbn Mémoire fur les différentes manières dont on
peut fabriquer du Papier. T. XXXV. içf
CHi(éarMn,'T€msà€ÙL rnort.T.XXVIÏ. j^.ÇitéMiJ,
Giêïdï (AlexMrulre) . Idée général? de la vie & des Ecrits
• de cet Auteurl T. XLVIIL ' 10^, (Wuiv.
fîtefe»fx(Mr. de) . Ouvrage de cet Auteur .T .X LV II .46^
GuUlfUitne, Comte de Hollande & Roi d'Allemagne , eft
tué par les François, T. XXXlîI. 16
(Gmllautne le Conquérant , Duc de Normandie 8c Roi
•r d'Angletewe. Éxtpait<iefonH//î«Ve.T.XXlX.i77
iStttllaumeï. Prince d*prange. Soncara^ère. T.XLIII.
83 . Idée qu'il (è formoit de la Religion. 84. 11 fe rer
• tltedansfès Etats de'Naiïàu pour y tracer à loifir le
• pland* la révolution qu'il médite dans lesPaïs-bas,
i3id. ■ 11 gagne Teftimc & la confiance des Princes Pro*»
teftans d'Allemagne, ihûi. Secours qu'il reçoit de ces
Princes , des Proteftans de France , êc de la Reine
- d'Angleterre, i^id. A quoi on doit attribuer les mau-
1^6 (uccès de Tes premières entreprises. îHd, ïî fc
- ,retire en France après (ft détîpute , 8t trouve un appui
M 4 dans
ft« TABLE OEN'ERAtr
damrAminlif 0/1^.8/. Ilûifitrm&mtoèlesï&
mgnols étoient le plus odieox pour réuiiif contre eil9
Us Flamands. i6id. Il porte les Mécontens à renoncer
pubfiquement à l'obéiHàncc de rEfpagne» 8cà dre&
lerrAâede liberté. 86. Il eft au StadWder. iéid.
Il obtient les charges de Capitaine & Amiral Général.
iéid. Il eft aflàdiné. iàiJ.
Cmlkumi fl. Quatrième Stadhouder de Hollande. A
quel âge il fuccéda à fba père Frédéric-Henri. T.
XLIII. 89 : Ses qualités. iSU^ . Ses belles connoiiStn-
ces ièid. Sa mort. iéU.
Cuillêttme IJI. Roi d'Angleterre 8c Stadhouder de Hol-
lande. Idée de ion Gouvernement. T. XXXI. j5a.
Inclination que les HoUandois montrèrent pour luju
T. XLIII. 90. Les Etats réuniffeat i leur Souverain
neté les charges de Stadhouder , de Capitaine 6c d' A-
" mirai- Général, itsd' Le nombre des Partiiàns de ce
Prince augmente» & pourquoi. îM. Edit perpétudi
publié par les Etats , préjudiciable au Prince» 8c ligné
cependant par k Prince. Uid» H cil déclaré Stadhouder.
9/-. Il eil fait le lien dek Ligue qui iê forme pour k
Holkndc. iéid. Il devient Roi delà Grande-Breta-
gne. 96 Portrait de ce Prince, > 5* > > é* /»«^«
€mnée. Idée générak de ce Païs. T. XLIII. 9. Il en
eftibrti dans certaines années au moins foixante»dix«
milkEickves. 17. FourqucH ce païs eiliî peuplé. î^i/«
Conduite àts femmes, tbtd. 8c 18. Trois efpècei»
d'Or qu'on tire delà Guinée, ai. Extrait d'unnouy
Teau Voyage de Guinée. T. XLVII. }f . Inconibn-
ce des habitans des Côtes de Guinée» 8c révolutions
qui yarrivent.gô.Nations qui 7 trafiquent.î^fi(«PQur-
quoi il n'y a rien de ibbk p3ur le Commerce fur ces
Côtes. 1 7 . Raifon qui les porte à enterrer kurs Morts
m quatre ou cinq milles de kurs Vilks. 49. Pourquoi
ils regardent comme leur plus grand malheur d'avoir
étéviiitésprksChrétkns. ibid. Voyez CHinémsi
fymitus (ks), Raifonsquifemblent juftifier kurpaly
1
BES MATIERES. itf
-. l^mie.T. XLVIII. 45», é«./iivv Voyez Guinée.
,f^ifi (Franfmde Lorraine Duc de). Si le MêffAcre de
Vêjp fut un coup prémédité par ce Duc , ou û ce ne
, fut qu'uneiimple querelle fortuite. T. XLIL J97
CmUling {fMqtttj'Paulde). Idée d'un Ouvrage de cet
Auteur. T. XXXIII. 4, f
CHfiavt'Adolphe , Roi de Suède. Pourquoi il fit une in-
vafion en ABemagne. T. XXVII. 367
dmenherg ijtfni). S'il eft le premier inventeur de Tlm*
primérie. T. XXVII. 20. Il fc brouille avec 'Sumfl
fameux Imprimeur à Mayence, T. XXXV. ijj
Gisy fMm, Caraâère de ce Médecin T. XLI. 44a
Guyot de ftwins. Voyez Hugms de Bercy.
Ojflipfe commande les Troupes que les Lacédémoniens
envoyent aux Syracufains contre les Athémens. T.
XXVL 9
H.
H^Aiits. Si Pon peut appellcr Habit les feuilles dont
nos premiers Parens fe couvrirent. T . L. 145,
- Les Loix datent leur origine du tems où Tart
de travailler la laine Se d'en faire des habits fut inven^
té. iMd. Preuves qu'on eti donne. Md- éf^futfu.
Jùtiséoftrg (Bjfdolfke Comte de) a jette les premiers fbn-
demens de la Maifbn à' Autriche ' Htésbmr g. T.
XXVII. 3f 6. Temsauquel il fut élu Empereur. îAi^.
Il Êiitlaguerreà OttoCêre^oi dcBohême, ScledÀ*
fait, ibidé Sa mort. ièid.
ffâdock {BUéard) , im^iofteur , fiimomtxié IcTridicâtetUf
dermânt. T. XXXI. ^f $
ffiten (Mx.A. de). Extrait d'un Ouvrage de ce Méde-
cin. T. XL VI. if , &fitrv.
H0id (Mr. fMues)f Peintre 8c Graveur à Augsbourg«
T. XXXIV. 168
Jùikfina iAggàe\ Miniftre de l'Evangile de Wier. Extrait
d'un Ouvrage de cet Auteur fur la Genèfe.T. L. 419
Séilkr (Air. le l>oêtsmAlkm) . Profeâbur en Médftci-
M / ne.
iU T afee: ff ene beaxï
Mf &c. Extraif de Ain iUrêkgue mMiôdimuieslfUiilf*
■ Idée de fcs Remar^pips fur les Ij$f(ms derMr. BétThaa"
^quiafoit éciiapeà:d'l!iaîâlss Anatooiiftcs. 41^. Ex^
.^té^fi^kf. Idcegénlialedecet Ounagoi 17. Dfe^
cripdon de ces Figures. 2S , t^fiâw. Il dl fâk Mem-
- htt de rAcadémie des Sciences de Suède. T.
XXmX. 108; ËfTai d'une Traduâkxi en profe de
ib Poefies. ^89. £gards & méns^nnens qu'il a eus
pour Mn Boerhaatteûm Maître. T. XL. 208 , 109».
Ela^ de ce $av«ut. T. XL! . ^ f 9. Oblènritioas qu'il
' àMBBsdirdesCadaTres.T.XLlII. 41 f. Son élog^,
. T..XLVI. tajf 108. Ses idées fur-k formation de
V PHommeSc des Animaux. ao^, c^ySm;.
a% (Edmmul). Uifkdh abrégée de fa vie. T.
XXXIX. 194. Sa Table des proUbilités de la durée
de la Yie humaine. T. L. ' 38^. 391
Mtmel {Jttm Baf$îfti du) . Son fyftéme fur h formation
delaGkce. T. XLV, 14^
jteM» eft chargé parlé Sénat de Cartbage de faire le
iDorderAfriqueavecmie Flotte confidmhle.T. XL.
35-4» 3ff • Jufqu'où il pouflà & navigi^tion. î^îi.
MtK^SJaam (Mr.) aiàit voir que les 'DeatsdtMamouth
. fentdevéritabksDcQtsd'Ëkphant. T. XXX. 2;
M$râng(lp) eftlopIusfectUe&ieplusnombreuxdetbus
fcsPoi(rons.T.XLV.48. Ilyenahuitcfpèccs iàid.
Bàrdmm (h?ète). Epitre Ladne dans laquelle Mr. Q»«
fer relève vivement la témérité de eè Jéiuite. .T,
XXX. ai , é^fittv. £xtmitde Ton CoinnmtêWèJkr
bNmvméTefiament.T.XyiVlU »6^
fiUrfa», Si cette Ville dt la première où Ton a commeor
ce à imprimer des Livres. T.XXVIL f j^yî^w.
BàrmtniepréétaUii, Si-l'oûdoit condamner ceux qui adr
optent ce Syftéme Letbmcien. T. XLIt. «f 9» Si
€ec^hypothÂ&ddj:.9(»îrft eft iaplusprobobl^ d»toiw-
tcs.
«ES MATIEJIES. I8f
4, rfe pour expliquer le commerce du Corps zvtc T A«
,1 me. T. L. zi^
Bïin;tf/SesdocoÛ!vertesrurkCéiiérat.t.XXXlII.^^
aji^verannf ( Mr. Sigttnt) travaille à perfec^ioaner le
. Xr</^r de Morcl. T. XXIX, 35-7. Ses remarques fur
cet OuFragc. 364 , é*fitw^
Ufcqt^ (Mr.). Pourquoi 3 prétend que les Légumes
font pluscoarenablesque la Viande pour U faute, T«
XXXVIL ' ■ ^ 4j
Uigire» ou VEre des Msdianiétans. Tems auquel elle
, dom.mence.XLII. ' ii8
^tUeUwg, Tems auquel la Réformation 7 a été intro-
duite. T. XXXII. / . rSô
^infius (Mr. Cêdifm) , Proftilêur en Afbronomie de
rÂcadémie de Pétersbourg. fiictrait de fà Defcvip-
tiondc la Comète de 1744. T. XXXV. rp. Obfêr*
iwtion qu'il a faite à Leipz^ d'une £clipiè partiale
de Lune arrivée k 8 Août 1 748. T. L. 149
Mdpfius (Nicolas Je). Ëxtraltde Ibn B^cmU. T . XXIX .
73. Raiibns du retardement de PËdition de cet Ou-
vrage. 74. Hiiloire de la Vie de cet Auteur. 76 ^cJ»
fmv. Ses Ouvrages. Sf, CpmmiiTion qu'il reçoit de
la ReineC/rt/7»^ de Suède d'acheter des Livres peur
fà Bibliothèque. T. XLVI. 340
Jsfeifier attaqué par Mr. Gaien^sot. T . XXXL a7f , aSo
Heïlot (Mr.). . Sesremarques iur la Teinture des Etoffes.
T. XXXV. 440
jJghéHms Ces) foatvei^sdesGaQles. T. XLVIL 33.
Quel étoitleur Langue. 34- Etymol. de leur nom 46
iiemmmg ^NicpUs) , frofe^r en Théobste dans l'U^
niverfitede Coppenhague. Oraifbn funèbre qu'ilpro-
nonça le 13 Février ij^^, jour auquel on fàifoità
OttenfeelesfunéniUesdeChriftîanlII. XXViI.263
^mfterhids(MT.). SaTraduâiondeLfr^îm'T.XX^CI.
4. Tems auquel il a publié les Lmcisni ColloquUfe*
i$^0, 8. Soncomaierce de Litres avec Mr, Cefaer,
& à^uelfujct» . . -9
Bear
itt TABLÉ tîENERAXB
ffmri L RoideFcance» ayafieurirbesiaGoap deMI«
tes T. XXVI. ri9
Uotri IL Roi de France , fait unepsdx honteufe aree
rEmperean, dans le deffein de £ûre la guerre à iès
sujets. T. XXIX, 104
litigri UU Roi de France. Pourquoi perfbnne ne vou-
loit fèfîer à lui. T. XXIX. 101. Regardé comme
un grand diffipatenr . 9 1 . Se» autres mauvaiiès quali*
té%. 1 04. , f^fuiv. Extrait d'un Difcours adreflè aux
Cardinaux touchant l'ailàffinat de ce Prince, qui fut
poignardé par J^ues Climtnt Moine Dominicain.
T. XLV. 11^, &fuw.
Mari lîl. Fils àtftân I. Roi de Portugal, conçoit le
defictn d'enlerer aux Vénitiens le Commerce du Le^
vant pour lattirer dans fa Patrie.T. XXXVIII. 193.
Voyages entrepris par fes ordres fur les Côtes d'A^»
frique. 194.. Sa mort. iM«
JEtori UI. Roi d'Angleterre. Particularités qui le con-
cernent. T. XXXI. 346. Son cantâère. T. XXXIII.
7. Il e(l proclaàié Roi d'Angleterre à l'âge de r o ans.
T. XLIII. 161. Saminoriteregardéecommelaplus
belle partie de fon règœ. Unà, Son caraâère. UtiÂ.
Son mariageavec Eléwort de Provence. i6i. Ses Su-
jets fè révoltent contre lui, il leur livre bataille , la
perd, 8c tombe entre leurs mains. i6a. Ileft forcé à
créer certiûns Ofiders ibusletitrede Cnfirvateurs*
iUd. Raifbns qui font voir que c'eft à cette époque
qu'il faut rapporter l'origine du Parlement d'Angle-
terre. 165. Hmri trompe fès Gardes 8c fe fauve U>id.
Il livre bataille aux rebdles, 8c les défait. î^y. Il finit
dans la paix un règne paCTé au milieu des orages. 164
Sbnri JT. Roi d'Angleterre, connu auparavant fous le
nom deDucdeZ^NK«/?re, monte fur le trône d'An-
gleterre après la dépoûtion de Biehurd H. T. XLIIL
169. Pourquoi loué des Ëccléûaftiques , du Clergé ,
des Dcvpts 8c des jPQàtcs. iU*
MmrHy, Roi de France. Paroles remarquables qu'il a-
drct
&ES MATIERES. 99#
" ^reflèau Cardinal de Bmr^. T. XXVII. 393 , 394;
'. Belles marimes de ce Prince. T. XXIX. 96 & 100
ifriiri K. Roi d'Angleterre » regsdrdé par les Aifglok
/ comme vtnAlixaudret par ksFrau^cMS comme un
. Néron^T, XLIIL 169. A ^uoiil^iût la conquête de
: la France. iM.
JtJmrï VI, Roi d'Angleterre. Empire que prend fiir lui
> la Reine Mturgmriu d* Anjou » qui ne lui iaillè que le
' nom de Roi. T. XLIII. 169. Seigneurs qui le re-
•• Tohent contre lui. ibid, Ileiè pris & déÊût par le Duc
d' Yorc , qui fe h\t déclarer Proteâeur 2c Gou?er«
neur-Géneral du Royaume.. 170.- Il lecouvre iâ li-
berté. j^Â/. Il eft obligé de feiàuyer.î^/i. de finîtes
. jours dans la prifbn. 171
Btnri VI : (l'Empereur) fait marcher ion Armée vers fe
Royaumede Napks contre Tancrède qui vcnoitd'être
: élu Roi de Sicile. T. XXXVIU. fart, JI. 21. 11 fe
. rend maStre de foixante Villes murées, ibid. 11 échoue
. devant la Ville de Naples. ibid. Il tombe malade , 2c
'. eA obligé de iè retirer avec ion Armée, ihid. Il riv
- vient en Italie avec une nouvelle Armée , & met tout
à &u '2c à fàog dans la Campanie. a 1 . 11 envahit la Si-
cile à Taide d'une puilTaate Flotte, ibid. Coofpira-
tion qu'il découvre. a 3
Mmri F77r -Roi d'Angleterre , connu auparavant iôus
le nom de Comte de Richemctid» monte lur le trône, 2c
comment. T. XLIII. 172. Aâion qui donne lieu ^
' croire que « quoiqu'il eût du bon-fens, il n'étoit pas un
i Politique du prei^iet ordre. 17;. Ses qualités, ibid.
Jiinri Vîîî. Roi d' Angleterre* Trait comique concer*
nant ce Prince, T. XXXI. 35-1, Iicttrcsqu'il écrk à
' Annt de Uolen. T. XXXV III. 19 ^é^fuiv. Sicetre
infortunée Princeffe étoit coupable d*idîidé]ité : Let>L
• tre qu'elle écrivit au R>oi , 2c qiti peut répandre quel-
> que luu^ière .fur ce fujet. ) t » O'fuiv. A quoi ce
Princedikfa grande autorité. T. XLIII. 173, Illc-
- coue le joug ^ Rome. 174, Sob inconilance à l'é**!.
I9# TABLB OENERACB'
gBTdd«fès Femmes, Scdaostoate&côlè^. Hûft
Regardé comme un Prince impitojablt. Hid^'
Mntri de ÏMxemèmrg ell coiB-onné Eâftpereor. T^
XXVII. 3f 7. Il iè rend en Italie >& pourquoi. iM«
Sa mort, liid. Son caraâèie. . iHd.
SèfocUum. Ville qui ne le trouve plus. T.XXXVII. ij-x
HérMcféeiV^aaetiDsViJkd'). Véyci hirculuiieum.
ikffulaneièm . Extrait d'une I>eferipfim desfrnmèns àe»
toHvtrHs de cette ancienne Ville , retrouvée au près-'de
Portici.T.XLVII. iS4,£^j!Mii/. Ouviages qui trai-
tent de ce qui s'eft trouva dans les ruines de cette Vil*
k. ihid.érfmv, Conjeéèuies fur le Fondateur decct*
te Ville. 188. Autres Villes qui ont poxté k même
vota.ihid. Sespremiersliabitans,dcusré7oltttiQBs«
. 1 89. Tem^aûqud dk a- été engloutie par une érup^
. tion du MontVéiuve. 190. Defcripiioas f^^ nous
€fat\2L\fféc%jyi0»CtiJliHsdiFlme lejettmés Téruptioa
du Véfuve qui a renvârTéScengioud Hercmliàmm.
19396* ftéiv. Comment cette Vilk a été retrouvée*
• ail. Suite de kde^ptiein des découvertes de cette
ancienne Ville. XLVIII. 3. Comment eUe a été mi-
née. 4. Première preuvedémonfbratifc qu'oa a eue
. que k Ville découyinle étoit mrcmbmmm > & non |)as
Ffimfeia.ô. Chofès remarquables qu'on va tPouYees.
i^ù^. &fmv.- Qsielks. étoient ks maitons de cettA
Ville. aoj ai
Bh-jéjii. La plus grande & k plus daojgrttu&de toutes
; cft k manque dft charité. T. XXXII. 470. Ce que
. ç*«(t. T. XLVllI. 24S* :LaReligion Chrétienne a
. porté le nom d'Héréfib jufqu'à Conihmin.iA;i<.L'Hé«
• rétieci^ moins une erreur du jugement que de k vo-
lonté HiJ. En quoi clk conûfte. a/o
Uhétùpêi . Ce n'eft point une fauflè doârine quLcarac-»
. térifeun Hérétique T. XLVIII. a48
Hermaphrodite. Exemple qui £brt à prouver qu'il n'y ea
. a point. T. XXXVI. 197
Hehfimtii (ks) paféeittésenrUolhndepar k» Ecclâtal^
rh#S MATIBRBS: s^t
.i ?^<l«w » quoique tolercïpar lrSoQv«am.T. XLVII,
'416. Connus auirffom& fcs noms de Mimn^^ ^ de
r Zimemi^fiens.^i^. Parts|igés ai diffiâctiites clailc«»
454. En quels endroitscettç Scàe cft établie. 435-4
I Leurs dogme». 43tS , é'y&ij/. Pourquoi ils irâtMxit
, la Railon & la Philofophie.457. Libertéavec kqôd-
.. qurifeil&parlcatdcsdrgîiie^délaGéûéiation, duSe^
xcdes^mcs, du Mariage. 438, Voyez Zwsumhrf.
.fcfer»i^*, DilTertation fur les Herniei. T, XL. 479
^w»x. Voyageyçuefontcc^Oiicaux.T.XLIV. j9^
fient^^ft^Anài^r.), Doai?ur en Médecine. Décou-
vcrt^ qu'il a faite d'un Spécifique gosuck kSplkairê
où^Pirfisf. T. XXXJH. *««:,c^^v. Lettre c«'a
. cent , à ce fajet , à Mr. leJ>o<âkeur Xriwrf^». z3 1 . Mo-
^ tils qui devrqient rengagera communiquer â^nlle-
j riaedc au Public. 183. Voy^rSâlit^in.
Htjy<hms {UAkjifêed*) aroc des Notes, &c. £xtxairde
:detOuvrag€, T. XX^VUL^f, Si cet Auteur a été
Çhreti€n..d7^ Incertitudc'oùJ'iineftfurle temsau*
quel il aveuli. 68. \ofçfi,MtrH{jM).
léron «.Roi de S^raoïfe* Poivrait nu^gque de ce
Prince. T. XXVjn.^6î^, ^yfev. Ses lbi»s p^ur
_ augmenter lafeftilitédu'Païs; x%o, Piéftnt qu'il feit
; ai%x.lJliod^^,ajrètflôtiembleiheiit déterra qui arcHC
...m^%)m\\p< ... . : ..^ , 271
fiigkmt^' Ha'7^î*înaîseudeCondmtd*fltfAsB<r dans
..JeT;^CrtM&li'*io4nn?4u:*ï^4-XXXJ. . . %^
i^iram.Scs^}mts T.thtiV^zSMicmém..
Mn-mim^ OKèrvaçioi^ qui font roir qu'elles pài&nt
• J*^*^^^ouSlj9audé$ étang», dans un état d'imaiba
.' alftzrem^taWô àcfluld^$,Grij(àIidcs.T.XUV..393.
:: 04.«le«ft^eîkeût/en:b5«er.T:.XLVIIL 43.0iien
.« trouve fur nier à a4li^tt<y:(ktQioe. 44
mjMrr: Otigioedefonincertitucb. T. XXX. 18», sf
l'BiMre inCiemie peut èttu de qucjqac utilité. T.
%)^.^i^.^^i <jh^cîv«t I^^^ueiksaaJÛèl«oa4oif é«
ità crize
m TABLB
cm PHiiloiiv. T. XXXIV. igS, î9^
Vsfioiri Rmêwi. Voyez EûUin ^ Crhner.
Hifiêire Umver/elU defnii U commencement d» lâondejuf'
au M fréfent. Extraits de cet Ouvrage. T. XXIX.
III, 599. T. XXX. %if. T. XXXI. 364. T,
XXXllI. fio
Hiftoriens, Les Hiftopens Chrétien» blâment des abui
doatils font eux- mêmes coupables, mais qu'ils n'ap*
perçoivent pas. T. XLII. 1 1/. Défauts qu'ils doivent
éviter. T. XLIV. 6x^^fiàv.
Hiver. Année du grand Hher. T. XXXIII. 46^. D»
long Hiver, ibid. Ce qu'il 7 a eu de remarquable dans
' ces deux Années. ihid, éi^furu.
Hothes iJhomsf'). Expofition de fcs opiiiions. T«
XXXI l. 148 , f^fmv. Armes dont 'û le /èrt pour &
' défendre contre les Adveriàires. 1 5*0 , \f\. De quoi
onraccufe.333. Trifle figure qu'on lui &itfaife.}36«
* 11 pooflè quelquefois leschoiès à l'excès dans ce qu'il
dit de la nature de l'homme. 3 6d. Examen de iès loi»
timens. 367 , e^/l»h/. Réfuté fur ce qu'il dit de Dieu*
368 , é'Jkifv. Se fur ce qu'il donnek nom de lUi/in
& de F^/i» à ce qu'on doit regarder comme un Vite
ou un Crime. 370. Il dégrade trop l'Homme. 371.
Voyez encore le T. XLl» 110
Mêgfirom (Mr. 2iirre). Extrait de ia defcription de k
Laponie.T. XL. a/;*. Occaûon qu'il a eue de bien
- connoltrèceF^s- iM^
U»lUnde* Extrait d'un Tr^iti fourfrottver U nomire fro'
babledesBahitansde U Frovince de Hollande é* H^ifl^
fiife, tic. T.XXX. i8i,c^/»ix;. La Hollande eft
un exemple prefque unique fur la terre de ce que peu*
. vent l'amour de la liberté 6c le travarl in&tigable. T.
XLVill. 314.. Comment ellea été peuplée.îM. Son
Gouvernement ibutenu par le Négoce. iM^
Hollan^w. F>ur guerre contre les Anglois, T. XXXI.
1 15*. Combien il câ difficile de réunir ks Voix dans
fALjpicmUéedesEtau.ii^v Leurs dtvifioB^dfttemsde
te
ETES MATIERE5. i«
. k Guerre entre la France & TEfpagne. 133. Us fc laif^
fent gagner par les deux Fadtions. 137. Dangers aux-
quels ils fèroient expofés s'ils ne mettoient un frein à
la Mer par des travaux immenfes qu'ib font obligés de
réparer continuellement. T. XL. 369. Leur Marine
formée peu à peu . ièid» Grande étendue de leur Com-
merce. 370. Leur grand nombre de VaifTeaux. î^i</.
Holman (Mr.). Ses expériences fur la Congélation. T.
XXX IX. 4. Son calcul de k petiteiTc ôc du nombre
des Vermiflèaux auxquels tous les Animaux doivent
leur origine. 7. Ses expériences fur TEleârriciié. 8
Homars, Si ces PoilTons changent d'armure comme font
les EcrevifTes. T. XLV, 4di
Homicide. Si un Homicide doit être puni de mort. T.
XLL i86,é»Aw.
Somme. Quelle eftlarègle de Tes Avions. T. XXVIIL
6. Qtc^z c*c^f\}x*\m Homme de bien, ihid. Dieu lui a
donné des Facultés futHlantes , qui le rendent capable
de découvrir (es devoirs , tant envers Dieu , qu'en-
vers le prochain 8c envers foi-même. 13. L'Homme
efl » à plufîeurs égards , au-de(Ibus des Infeâes 8c des
plus petits Vermiflèaux. T. XXXL 67. S'ilal'avan-
tage de Tefprit. tUd. Quelle efl fa deÂination fur la
Terre. T. XXXIX. if^. Son domaine fur, les A-
nimaux. ijS. Les plaiiirs ne le rendent point crimî-
. nel. ifp. Os d'un Homme trouvés fous terre à une
profondeur confîdérable, 8c que Ton peut regarder
comme un monument ancien des premiers Hom-
mes. T. XL. 191. Si l'Homme efl de fà nature fait
pour imiter. T.XLI. 29 1 . 1] a été formé tel qu'il doit
être en effet. 298, 299. Petit Homme prématuré
entièrement ftupide , 8c qui n'ayant que quatre ans
paroiflbiten avoir fept. T.XLIL 191-, 196. Diffé-
rence des Hommes tirée de la diverlité des Climats*
T . XLI II. ^95* , ^ fuiv . S'il efl vrai que la Race hu-
maine déperiflc tous lesjours , 8c qu'il y ait mainte-
nant moins d'Hommes fur la Terre , qu'il n'y en avoit
N au-
lyf TABLE GENERALE
autrefois. 999, e^/iviv. Ënquoirefpritdel'llofniàe
àiàèrck plus de celui des Bétes. T,XLIX. 4;i,4ji.
II y a pour chaque Homme uneceruinefomme de
bonheur peu dépendante de la bonne Se de la mauvaifè
fortune, ihid* Kfîcts de la tranfplantation des Hom-
mes. 294.. Couleur 2c Bgure des Hommes des diâe»
rens Climats. 195*. Homme pétrifié qui vivoit da
tems du Déluge. Voyez Sc^elettt,
Hommes Ulufires, Nouvelle manière d'éairc leurs Vies.
T. XXVllI. i6f. Paiticularkes qui iatéreflcnt le
plus dans leurs Vies. î^m/«
Bfftiert (Mf,T,H»vitî% den). Voyez 5f/wfr«w(Mr.^/^.).
Hongrie. Riches Mines de k Haute Hongrie. T. XXIX.
39. Inquiikion de Hongrie « 6c corn ment on y tour*
mente les Prutefhns. 41. Perfbnnes qui y ont été
brûlées. i^id*
Hovgre^ii. Conuneat traités par la Maifon â^Autmhê.T,
XXiX. 19. Services qu'ils rendent aujourd'hui à
cette Midibn. iàiJ,
Hûfifal (le Chancelier de /*). S©n éloge. T. XXXV.ï*9
Hoquet (le) guéri par le moyen do Mufc.T. XL. 41 1
Uortut. Jugement fur ks Auteurs qui Tont traduit. T«
XXX. 393. Sur ies Odes. T. XLÏ. 191. Ce Poète
fe trouve à b bataille de Philippes en qualité de Tri-
bun légionaire, Se «ft obligé de pnnd^ la fuite. T.
XLIV. 178. Tem*defemort.T. XLV. i©8. Com-
bien il étoit eftimé à*Aupifi$, iiid.
Hêrlatsfs. TemsauqueleSesconsmcttcèrentàtoe con-
nues à Rome. T. XXVII. 109
Jfmblm* Mémoire fur k culture de cette Plant;?. T.
XXXIX. 94
Hwllle, Vapeurs dangereufes qui iortent des Mines de
Houille, T. XXXVIII. 14
Houtevilli (l'Abbé). Jugement fur fon Livre de k Re-
ligion prouvée parles faits . T . L, 3 96 . Faa-ticularkés
curieufês qui le concernent. Uid*
JhJfi» (^&mdQ).Uéodtcc Pati. T. XXX VIL»9<$
mi-
BES MAtlËRES. xff
Bttltres qu'on portoit autrefois du Port de Bizerta à Tu-
nis, mais dont le nombre a diminué, & pourquoi.
T. XXXU, 4tf. Haitres pétrifiées. T. XXXVI.
3 29. Reâ«mblance entre les Lits d'Huitits ti la Plan-
. tenomméeOfiwfii».T.XXXVÏlI. 169. Quelle ejft k
date des Bancs à Huititsdc Colchefter.T.XXXVIÏI.
J^rr. 11. 6f . Poiilbn quifè glilTe entre les coquilles
des Huitres pour les dévorci-. T . XXXIX. 95-. Tettis
auquel elks pondent leurs œufs. i^U, Leurs mala-
tiies îéid, Oùiê trouvent celles qui fouriiiflcnt de
belles Perles. T, XLÏL 5-3. Nègres înftruitB à plon-
ger pour cette pêche, ihd* PoiÛbns plats qui font à
craindre pour ces Plongeurs. • UiJ'
fhinMuîd {Trmçois--Jùfifh), Hiftoire abrégée defà vie.
T. XXX IX. 199. Ses Ouvrages. 100. Trait qui
fait honneur à là mémoire. ibid.
Hundt {Magnus) , regardé comme l'inventeur des T^-
hles Jinatomiqfies . T* XX VL 199
ffitHs, Hifloirc des Huns & des Peuj^es qui en (btit for-
tisjècc. Extïait dt cet Ouvrage. T. XLVIL 468
i^^/i/i^e/ attachées au Péritoine. T. XXXVL 339. Da-
me à qui un grand nombre d'Hydatides fortoient par
le Vagin, md. Relation d'une maladie caufée par des
Hydatides. ihid* 4l* fuvtf.
^drçgrafhie» Carte de la partie de FOcéan vers TÉ*
quateur , comprime entre les Contioens d'Afriqut 2c
d'Amérique. T, XLV. îij
^drcphpHe. Caufè de ce fymptûme de ]a Rage. T.
XXXV ^ . i6x
Hydroftfie. Maladie dans laquelle tix>is fortes d'Hydro-
piliefe font trouvées compliquées. T. XXX VU .xfi
Hjfgromètre quia plufieurs avantages fur ksHygrome«-
• très ordinaires. T. XXXVIIi. lôj
^pocamftum. Voyes; B#f».
Hypocûtidres. Voyei Méhncolie.
Hjpthèfii. Utilité des bonnes hy poîhèfes . T XXX . aSS.
" Leur mgiue.T XXX Vl. 4. Leurs ifico{tvé{>icns.i^i^«
Ni ï,
i^ TAELE GENERALE
JAcoBîtes oMCûpkts.Lcut HiftoircT.XXVIIL 417
Jallabert (Mr.). Explication qu'il donne du flux &:
réliux du Lac de Genève. T. XXXIX, 183
Jamaïcjut. Extrait d*unc Hiftoire de cette Ile. T.
XLVIII. i4i,eé'j^it/. Sa defcription. 141,145, 144,
Ses Villes. 146,147. Boiiibns les plus communes.i^idf.
Sorte de Pain qui s'y mange. 148. Nourriture des
Nègres, tbîd. Habillement des habitans. 149. Mau-
vsile éducation qu'on donne aux enfans. ihii* Bar-
barie avec laquelle on punit les Efclaves. ifo, i/i.
Ouragans ScT^remblemens de terre auxquels l'Ile cft
fu jette, f^i^. Maladies qui y régnent, ij-i. Produc»
tions du païs. ibiâ. Importance du Commerce de
cette Colonie. 1^4, if 5*
Janvier (le Miracle de 5^ . ) à Naples. Comment on l'ex-
plique tout naturellement. T. XXiX. 33. Liqueur
qui fait le même cfifet. ièid,
Jfifonois. On trouve chez eux des titres d'une Liberté
immémoriale, qui détruiiènt fout l'argument qu'ôij
pourroit tirer des formes defpotiques contre le fond
du génie de cette Nation. T. L. f )-. La Noblefle y eft
héréditaire, ibid^ Loix rigoureulcs par lefqueiles on
cfl obligé de contenir ces Peuples. ibÙ* Longue duréç
de leurs guerres civiles, ibid\ Ils lavent ce que c'efl
que le Point-d'honneur, ibid. Ils ne font efclaves que
par l'injure des eau fes extérieures, ibîd. Us trouvent
que la Mufique les divertit , & qu'il y a de l'indécen-
ce à fè préfenter devant Dieu le cœuraffiigé. ibU,
Jfiques J. Roi d'Angleterre. Evèncmens de ion règne.
T. XXXI. 35- f. &fHiv,
Jff.(lHis 11. Roid'Anglet. Soncaraélère.T.XXXI. 361
jraqtus V, Roi d'Ecoflè. Particulaiiic concernant ce
Prince. T. XXIX; 108, éj^iv.
fAf{ucs (Frère) , fameux Lithotomifte. Pourquoi là ma-
aoruyîeQtoitdangercufc.T.L, 86. Combien les Pa-
ri-
DES MATIERES. ly,
^ ^ficns furent enrêiés de ce Béat. i^/W. Reconnu cnfiu
pour un Lithotomiûe iàas méthode, téméiaiie, Bc
cruel. ibid.
^âqui:T (François), Son Commentaire furies Priodpcs
de k Phiiolophie de Newton. T. XXXVII. f^
iJée. Ccqueceft qu'une Idée. T. XXXV. 71. Belles
chimères qu*on a débitées fur les idées.T.XLII, 4;-8,
Ô* fuiV' Obftadcs que le préjugé des Idées innées a
mis au progrès des Sciences. T. XLIV. 130. Dans
quel Syftéme on pcutfè faire une notion çxaftedes
idées. 1 34. Auteur qui prétend que toutes nos idées >
même les plus abilraites, ont leur frototyfe dans la
Nature , & que ces frotatvpes font très réels. T.
XL VIII. 70. S^il Y a des idées innées. 81. Nos idées
ne ibnt point diftinguées de rEntcndcment comme
unecaule Teft de (on effet. 85, Idées uni vcrlèllesj
ce qu'on doit entendre par-là. 90 , 9 1 . Quelle eft leur
origine. T. XLIX. ^6, Ce que prçfentcnt les Idées
abllraites. 101
fean IL Roi de Portugal , fait bâtir le Fort St. George
delà Minafur la Côte deGuinée. T.XXXVIII. 197
yeanXXlI.{\c Pape) a écrit fur la Science Hermétique.
T. XX IX. 48. Connu avant fbn élévation au Sièg/^
Papal fous le nom de Bahhazar Coffa, T. XXVII.
1/4. IlempoironnelePape.4/e;cWre K. i^iV. 11 eft
dépofé par le Concile de Baie. i yy
y^/ï»,furnommé It Cicéron ♦ Electeur de Brandeb. Quel-
ques circpnllances de la vie de ce Prince. T,XLV. 70
jfean, fils dcSuerker^ eft fait Roi de Suède, fe croife
N contre les Eiloniens, gc fait en 1218. une malheu-
reufc expédition . T . XL V . 3 S7 • Grand nombre de
Couvens bâtis fous fon règne en Suède. ii^id.
' jfean , fils de Ghrifimn d'Oldnimrg Roi de Danemarc »
de Suède, &. de Norvègue , eft reconnu parle Clergé
du Royaume de Suède 8c par une partie de laNobleiTe.
T. XL V. 575'. Il marche à Stockholm à la tête d'une
Armée Allemande , & cil élu Roi de Stuède ; après a-
N 3 voip
ija . TABLE GENERALE
voir défait les Dalécarliens. îAid. Ucft dépofé. ^6
fnin- Sigifmenâ » Eleâeur de Enadebourg » épodè
l'Héritière du DuùhédefruflèScdela Saccei3&oa de
Clc»c&. T. XLV. 74
yunSans tetrt , Père de Bichard Comte de Poitou &:
de Cornouaille. T. XXXIIl. f. U monte fur ktr^
ned' Angleterre. T.XLIII. 15-8. Mauvaifès qualités
dece Prince, i^ii/. Les Barons iè révoltent contre lui.
i&id. Il eft obligé d'accorder la grande Chartre. ifp.
Il fè réconcilie avec le Pape lunocinP lU. qui le décbar*
ge des proaseilès 9c âts femens que lui avoit atra-
ciiés la violence. 1 60. Il porte le fier Scie feu par tou*
te TAngleterre. i^U. Sa mort. 161
Jtânnin (le Préfidcnt \ Ses belles qualités. T . XXIX. x 00
jeffireys. Portiait affreux de ce Juge impitoyable. T.
Xaxi, ^d 1,361
JtnkiHs a vécu 169 ans. T.XXXIX. )8o
JerufAltm, Siègcdecette Ville par Titus. T. XXXVI.
4i8,é«Aiv.êc T. XLIX.181 , 181. EUeeftprifc.
42 f . Tems auquel les murs de cette Ville ont été ré-
tablis par ^fdras 8c Néhémie en vertu de l'Ëdit d'Arta-
xtrxh Longuemain» T. L. . \ 361
Jéfuitcs. Réflexions fur leur conduite. T. XXX. 22.
Extrait de YHiftêin des tbtligieMX de i« Comfagnk d$
léfufi. T. XXVllI. 18. Pourquoi le Pa^ accorda
l'approbation de cet Ordre. 26. Difficuhcs qu'ikont
rencontrées pour s'établir en France. %g. Ils font ri*
chen^.ent établis par-tout où ils ont été rejettes, & s'y
maintiennent par une politique que prefque perfbniie
ne connoît .30. N'ont négligé aucun àc^ moyens qui
pouvoienc les conduire à leur fin. 3 2. Leurs intrigues
pour fe concilier la bienveillance de Pie /T. 3f. Leurs
conquêtes dans le nouveau Monde, ièid. Leur con*
defcendance à tolérer dans les Chinois le mélange de
leurs cérémonies fùperftitieufes 8c idolâtres avec cel-
les qui font autoriféesdans le Culte qu'on rend à Dieu
dans r£gli& Romaine. T. XL. 77. Bulle qm con*
damne
DES MATIERE», 19$
. ^mnecemêlai^c^ 8t porte cxcomiminication fna«
jeure contre tous ks contrevenans. S^. Les Jéfuires
refufeDt d'accepter cette Bulle i^û/. Vo}re^ IgMa.
yipiS'Chnft, Difficultés qui concernent 4à Divinité. T.
aXVI. 396, Remar<}ues fur Ton Hamanité 398,
39p. GMijedurcs fur TAmc à^Jifiis^Chr'^, 400, ^
401. Eciairciffemintfiér PlmittHim de Jéfus-Chrlfi^
éi^fitrctUedî Dim Itii^mémeqHt nom fnfcrit VEvan'
gile, T. XXIX, i^i,é*/uiv. En queffensil cftlc
icul Prêtre des Chrétiens. T. L. j». Pourquoi il cft
appelle SûHverain Sétcrlficatetir filon T^'drêdi Melchi*
fedec. ibid. Les préceptes de fa Religion ont une boo-
té réelle fondée dans les cho&s mênœs. iàîd,
yeux Floraux. Ce que c'cft. T. XXVL 1 37
Jles, Comment il s'en eft formé en Suède, T. X LUI 7 f
Jgnstce (St.). Offre de icnrice que lui fit le Démon. T.
XXVIII 24. Difgraces qu il elTuya. af . Pourquoi
il détruifit la communauté des Femmes defon Infà-
tut. a8. Voyez Jéfiiites.
ïpmpnfitkn. Examen da la force qu'on attribue a l'i-
mM;ination des Mères. T . XXX VI. 1 47 ; éf^fitiv,
ImhofiMx von) » Général des Indes , a fait à&s fraix d'u-
ne Imprimerie Cingaloife étabHe à Colombo. T.
XXXII. 27;
immortalité (!'} ne convient pas i l'Ame feule , mais
aulTiauCorps. T. XLI. afS, 11-9
Imprimerie' Extrait du Livre intitulé: De l* Origine é^
des Frcirh de fîmfrimsm dans la Ville de Leifx,ig» T.
XXVI. 193. Le troijihne Jubilé de l' Imprimerie 9
ou nélathnexa^e de ce noble Art, &c. T. XXVIL
4. Tems auquel elle a été introduite en Angleterre.
12. Ordre chronologique defon établHrement dans
les divers endroits de la Terre. 26. Diverses remas-
ques fur Torigine de l'Imprimerie à Mayence. T.
XXXV. i4i,e^/i«'y. Son origine. T. XXXVIII.
45" » àf^fitiv. Depuis combien de tems cet Art e^ en
u&ge à la C^e. 48. Par quil'Imprimesie a été ia-
N 4 tro"?
aco tABLE GENERALE
troduitc à Conftantînople. T. XLtI. 303
Imprimeurs OcsBoutïcmtsd*). Voyez Châfelks.
Incendies, Moyen d y remédier promptement. T.
XLVI. • ^ 377
Inerédulité. Réflexions fur les fourcesde rincrédujitc
réJatîvementà.la Religion. T. XLÎV. ±6^. Les In-
crédules ne fe convertiflènt guère par Ta leifhire des
Livres des plus favans Doreurs. T. XLIX. 3 1 1, Pro-
grès qu'ils ont fait en Angleterre & en France. 311.
Moyen de les convertir. 3 13, firjmv. Idée qu'on doit
fe former d*eux.3io.Motit qui les porte àkvcrtu.321
Ineruftation pîerreufë tirée d'une Source. T. XLV. 1 1 j
IndiensOrientaux» Remarques lur leursArts.T.XLn.175
Infini, De quoi un Etre a bcfoin pour être infini. T.
XL* 21
Inflammation. Quelle en eftla caufe.T.XXXlV. 1 17 ,
éi^fuiv. Inflammation dupié produite par une foie
de Cochon. T. XL. 419
Ingue^ élu Roi de Suède en 1075" , trop ardent pour la
Religion Chrétienne , renverie le Temple principal
d'Odonprès d*Uplàî, Sccilchaflepar fcs Sujets. T.
.^XLV. 35-1. Il remonte fur le Trône. Wid.
InjeSHons. L'art delesfairefcmblene vouloir pasfbrtîj:
de Hollande. T. XXXL 278
Innocent IJL Caraâèrede ce Pape. T. XLIIL 1^-9. Il
fe brouille &fe réconcilie cnÇmtcsiVcc ^ean fans ter»
re. Roi d* Angleterre. 160
Innocent IF, Cequ'ilexigedes Angbîs.T.XXXIiï.ij
Inondation, Obfervations fur l'étendue & la hauteur de
l'Inondation du Mois de Dec, 1 740. T. XXXV. 449
Infiriftion Romaine trouvée à Silchefter Ville de Hamp-
shire. T. XXX VIII. Part. IL , jy
InfeBes (Ttféolope des) . E xtrait d'un Ouvrage qui porte
ce Titre. T.XXXL66. Prédiledion du Créateur en
fiiveur des Infedces. ihid. Avantages qu'ils ont fur
l'homme même. 67. Leur efprit. iéid Leur éloge
par TemlUen, 71 j ôc par Pline. 71. Utilité des re-"
• cher»
DES MATIERES. aor
cherches & de l'étude qu'on en fait. 73 , 74., if. De
leur création /6c de leur généiation. ibid. & fithj.
Leur énorme multiplication. h 1 , é^fuiv*
hiftindl. Voyez Animaux & Ame.
hitefiins, Obièr?ation curieufe fur leur mouTementpé-
riftaltique. T. XXXVI. ^ 3140
Intolérance, Cequec'eft, d'où elle vient » &£ès mau-
vais effets. T. XLIX. ijj-
Jntolerans (les) ne traitent que trop fou vent l'erreur d'o-
pinidtreté. T. XLIX. 314
Joachim I. furnommé le Nefior, Eleéleur de Brande-
bourg, réunit à la Marche le Comté de Ruppin.T.
XLV. 70
y$achim IL EletSèeur de Brandebourg, embraflê la Re-
ligion de Luther. T. XLV. 70. Evêchés qu'il gagna
par la Communion fous les deux Efpèces. 7 3 . Poui^
quoi il tira l'épéc contre le Duc d*Albc, Ambaflâ-
deur de l'Em père ur à Berlin. ibid.
y oachim- Frédéric 9 Electeur de Brandebourg, fonde le
Collège de Joachimfthal. T. XLV. 74
yoachim (l'Abbé) . Ses Commentaires fur l' Apocalypfe.
T. XLIX. 423
Joè. Ouvragesfur le Livre dcyob. T. XLVII. 234
Job f on (Richard). Son voyage pour la découverte de la
Rivière de GaiSibra & du Commerce d'Or de Tom-
^ buto. T. XLIIL4. Tems auquel ill'entreprit. ibjd*
Jefefhe (Flave), Extrait du Becueil de dvvers endroits
de cet Auteur. T. XXVIIL 278. Témoignage qu'il
^ rend à Jéfus-Chrift, 282, Jugement fur cet Hîfto-,
rien Juif. T. XXXIV. 3 19. Ileft fait prifonnier par
les Romains. T. XXXVI. 412. Il efl: conduit de-
vant Vefpafien, &lui annonce qu'il deviendra Em-
pereur. 412, Réflexion fur cette efpècc de prédic-
tion, ibid O'fithj. Remarques fur le fameux paââge
de ce Juif en feveur de jF. C. T. XXXIX. 147
Jofué. Pourquoi il envoie des Efpions à Jérico , a-
près lemauTais fuccèsqu'avoit eu Moï& dans l'en-
N j vot
20Z TABLE GENERALE
▼oî des Ëfpionspoar reçoimoîtiie le PaïsdeCatManZ
T. XLIV. 191 , éi^fuiv. Remarques fur k Traité j
qa^il fît arec les Gabaonites. ^99 9 & f»iv, j
JmuTiaL Prç^et d'uo Journal Litéraire» qui foorniilb \
sBox Sarans toutes les lumières Se tous les iccours que
Ion peut efpérer de la République des Lettres. T. i
XXXIX. 101 , é^fiéiv. t
JfécaoMna, Sonécorce a plus de vertus que fà racine.
T. XXXIX. - 418
Iris. Triple Iris vue par Mr, Cflfits. T, XXXVIII.
Part. n. f6
IfiitlU, Femme d'MdmiOfd IL Roi d' Angleterre, fe re-
tire en France où elle conduit une intrigue de politi-
que Se de galanterie. T. XLIII. m66. Elle repaflc k
jiier,&f€ joint auxFaûicux, 167. £lle fait mourir
Spencer l'un des Mignons du Roi. t^id- Elle eft rei>-
lermce,&fes jours font avancés, i^û/. Regardé corn*
me le defh-uâeur de la Monarchie Angloife. iUd^
JsimuU, Idée générale de cette Ile. T. XXX VIII. 77.
Volcan qui s'y trouva. Md. Ses produ^ions. 7S , ^
fitv. Ses Aniojaux. 81 , é^fuiv- Wéc d< fcs Habi-
tans. 81. Comment s'y fait le Négoce, 8 j. C^elle
Religion on y profeflê. ibtd* Ses revenus. S4,
îfifp (Simm)* Tems auquel il a apporté en Angleterre
l'Art dlmprimcr. T. XXXVIII. 49
Ijrtf/ir. TemsdurétabliiTemeot des I^ettresen Italie. T.
• XXVI. 190. Origine des Fiefs en Italie. T. XXX.
4*> Origine de. la Langue Italienne. 43. Sous quels
sams elle étoit anciennement connvbc. T. XXXIX.
t68. L'Hiâoiredeiès ptcemier»hibîtanseft pleine de
iièks& decontzadidHons. 169 ,
Ualiens{]Ê$), Leur manière de réciter. T. XUX. ^98.
Jk n'ont pu iè garantir entièremcm: desapparences de
hSuperftidba» même au milieu de leurs plus beaux
jours. T. L. 61. Pourquoiils ièiblltaccoutunoésau
merveilleux. ^
3m» (D<»i) d'wiitfrk&e^filsnatuKl de Cktrkqmnt, eft
de-
DES MATIERES. 2^3
^fîgQjé GouvenoieuT-Gciiéiai des PaiVbsis. T. XLIII.
85*. Sa mort tragique. M//.
Juan {lim Oewge)t Coa»nandeur d*^2Mj« dans l'Or-
dre de Malthc. Extrait de foQ Voyage Hiflorique de
rAmériquc. T. L^ »98
Jt^ili célébré à Rome par Ba^^i/ xtv en 17^0. T.
XLVII. 167. A quel Pape pn doit Tinventioadu Ju-
bii^uiurerièL 169. Tenos auquel on a célébré divers
Jubilés, & ce qui s'eft pa^é à cette oçcafion. 175-,
éi*fuw. CérérnoDÎes obkrvées à Fouvetture du der-
nier Jubilé. i8o« Et à fa clôture, 18$
Juïda. Relation de ce Royautne* T. XLIII. 6. Soné-
. tendue. 9 . Regardé con» me comme une des plu <: dé-
licieufcs Contrées de TUnivers. ikid. Combien 9 cft
fertile iq. Idée de$ Nègres qui riiabitent. ibid. ëc 1 1.
Par qui il fut ruiné en 1717.. itid*
Juifs. Ce qu'ils difoicnt» dutems de St, ?ml^ pour
rendre pdicufé la DoOr ine de l'E vaagile. T . XX V 1 1 1.
48. DcquQitlilièglorifu)ieat.f3 Lqs juifs aqcufés
d*avoir. martiriK un En&atà Lincoln en i xs%. T.
XXXfll. 13, On les fauve d*un maûàcre g^a<ra}.
ibU. Pourquoi ils ont rçjçttc l'K.vaqgile. 89 , ^fuiv.
Les Juifs d'Alexandrie & du Caire y retiennent leurs
anciennes fuperfhtions^ T. XXXVII. 175'. Ils fc
vantent de conlèrver au Caire , un Manufcrit de la
Bible, écrit d^la mftin d*B)Slr4^. 'éU. Pourquoi ih
' font eux-mèoMes le Vin qu'ils boWent. ihià. Si , avant
StUommy ilsavoieméquipé<i<»VaiiVeaux. T. XL.
349. PourqiAoiDieg clûrg!^ l<u< Ci^te d*un grand
nombre de cérémonies. T. L. it
JulimtaxwomvskiYAtdfiat. Ël^gedecetEmpeieur.T.
XXVIll.35,a. Ses défaut^. 39J. U laiflc aux Chré-
lient, la liberté de croîre&de profeffei ouvertement
ce qu'ils youMeat* T. XLVIIX. 401
Junims, ou de Jonge {Adrien). Tem? Milieu de ikaaif-
fanc9. T. XXVIL 15;» i4. Ce ^u'il dit touchant lo-
ngine ds rin))iisAeûe* ih'id.
J^
2t4 TABLE GENERALK
'Jtmtus (TrMufols), ProJfeflêur en Théologie à Lcydc'
T. XXXll. 11^
Jwire rendu Hexible 8c tranlparent. T. XLI. 117
JafTter, Derinclinaifon de Torbe de ibntroifîème Sa-
tellite. T. XLV. ^2}
' Jufiitt. Quelle eftrorigînc de la Juftîce & du Ikoit^dc
Propriéré. T. XXVL 4KÎ
JufimUn (l*Empcrcur). Sentiment de quelques Auteurs
touchant Tannée & felieu de fa naillance. T. XX VI.
' * ? > &fi*iV' De qui il defcendoit. 1 14. Adopté par
Jttfim, fon Oncle , quiTaflbcic à l'Empire, iif.
Combien de tems il régna. iBid, Sa mort, ibid Sour-
ce de l'erreur de ceux qui ont prétendu qu'il ri'avoit
ancuncteinture des Lettres, iéi^. Sciences auxquelles
il s'étott appliqué. 116. Ses mœurs, i^id. Reproche
qu'ottlui fait d'avoir époufé XW^^^^ore , Comédienne
£c Conrtifkne de profeftion. 117. Mefures qu'il prit
pour donner une meilleure forme à la J urifprudence.
T. XXX, 3 6 , é*Juh . Ses expéditions militaires. 3 8
ymftnaL Motifdeûfatire. T. XLI. 430, 431
yfstilmcsts. Jugement fur la Tradu^ion du Poème de
cet Auteur. T. XXXV» 127
K.
KAeJbier, Rcponfc à fes pkmtcs. T. XXXV. 381
Kamtchatka. Eclipfes de Lune qu'on y a ob-
fèrvées , & qui ont fervi à déterminer la Ion*
gîtudc'dc cette extrémité orientale de l'Afie. T.
XLIX. 31^
Kftau'S0grhaave(MT, ABraham], Doéèeuren Médecine,
Extraitd'un Ouvrage de cet Auteur. T. XXXVI.
126, OWcrvation anatomiquede ce Médecin fur un
Muïcle extraordinaire de la poitrine , qu'il a trouvé
dans divers cadavres. T. L. 148
Xeîli (ytan). Nouvelle Edition de fon Aftronomie. T.
XXXI. 128 , 129, Extraitdc fes Inftitutioûs Aftro-
no*
/
©ES MATIERES. - aoy
'iiotnîques* T»XL. i6j;. Additions coniîdérabks Bû-
tes à cet Ouvrage par le Traduôcur, 266
Kéfler, Découvertes de ce Philofophe. T. XLII, 183
Knfeèoom (Mr ). Eclaircifrement fur fon démêlé avec
Mr. Struyk, T. XXX. 464.. Ouvrage de cet Auteur,
T. XXXIV. , , , 40*
Xeffel (Mclle.i/e) eft aimée de Frédéric- AuguÛc, Roi
de Pologne 6c Eleûeur de Saxe. T. XLIX, 37^. Sa
difgrace. ièid^
Xeyfer (feanOecrge). Extrait de fon V^Mgt éTAlltma»
£ne , de Bohême y JeHmgrîe>^c, T. XXVIIL ^99.
Continuation de l'Extrait de fcs Voyages.T ,XXÎX,^o
Kifte extraordinaire. T. XXXI. 177, é^Jûki.
Klein (faques Théodore). Extrait de fcs Mémoires four
fervir à Vuiftoire des Foîjfons. T. XXX. 418. T.
XXXIV. i«i. T. XXXV. 12, Lettre où Ton ré-
fute fès fcntimens au fujet de la Êiculté de TOuie 6c des
Sons dans les Poiflbns. T. XLVIII. 3 10 , e&» furv.
Klinkenftroem (Mr.) démontre la converfe d'un Théo-
rème de MT.Elvifâs. T. XXXVIII. Part. IL 54
Xïiolles (Mr.) fc rend aux Indes pour afiifterles Mîf-
, fions Proteftantes. T, XXXII. 169. Plantes qu'il
envoie en £urope« îbid.
Xoiéen (Pierre), Idée de fà Relation du dp de Bonne-
Efpcrance 6c du Pais des Hottentots. T. X LUI. S
Xonifmarc (Mc\k, Atsrore de). Sa grande beauté , fbncf*
prit, fès belles qualités la font aimer de Frédéric- Au-
gufte Roi de Pologne 6c Elc<aeur de Saxe. T.XLlX.
376. Fêtes magnifiques que ce Prince lu idoqnci^ii/.
érfuiv. Elle accouche d'un Fils , connu depuis fous
le nom de Comte de Saxe. . 579
Komfmarc ( Philippe de ) , jeuiic Seigneur Suédois. Sa
mort tragique. T. XtlX. 37J[
Kofiremskï [ Mr.) , Polonois. Relation d'un Fait lîngu-
lier qu'il envoie à Mr. iVinslaw, T, XXXÏL 378
Kùuli'Kan (Thamas), Ses expéditions. T. XLIl. 315
JKrafft (Mr.). Diifcrtation de cet Auteur fur les nom-
' btes
tùS TABLE GEKËRALfi
bnes amicanx. T. L. 147. Sd! expériiracec (ttfkfi*
f';tatioadesPkntes. 148. Autres expériences de ù,
çon. 15*0
Xrafchenmmihw (Mr.). Sa é^criDtîon de quatre noM^
velles Plantes qui ont ôeuridaûs le J ardin de T Acadé-
mie dePctersbourç.T. XLVI. 15-9. Sa DifTertation
fur un Erable à feuilles k>ûgues , oMrdées » 9c de formé
de icie inégales. T. L. 148
Kratzinftem (Mr ) a donné la defcription d'une Balan-
ce pour ferrir i l'ufâge de la Géographie Se de la Ma«»
fine , |iar le moyen de latjuelie il croitîqu'oti peut trou»
ver relcvâtion du Pôle lans Obfervatiotts Albonoini*
qucs. T. L. 148. Machine de Ion invention par It
moyen de laquelle il prétend faire avancer un Vaiilèaa
dansuntertiscaUne. ïf<5, ij-y
Xumrah , efoècede Mulet qui vient d'un Ane & d'une
Vache. T. XXXU. 4>i
L.
Ljféàe (Je Père). Injures dont il accable fesProteH-
tans. T. XXXI H. 43^
Laèmruge. Manière de kboum là terre dans le
Nordde l'AUemagne. T. XXXIX. 95-
Laboureurs. Pourquoi on n'a pas pour les Laboureur»
l'eftimcquela fccojinoiflaÀcc , lacompaffîon, l'hu-
manité devroicntinfpirer^ T. XLÎX. 6f
lAc. Combien de fortes il yena.T.'XXVI. 164, i6f.-
Communication des Lacs avec d'autres Eaux par der
Canaux fouterraîns.i^/i/. Lacfîngulier qui fe trouve
enPruflè dans la Contrée d'Iftcrbourg près dcKau-
tra. 167. Lac lingulier. T. XXXVI. -350. Il n'y en
a point fur les cimes des Montagnes. T. XLTII. 71
tac AfphMte (le) , ou la Mer morte. Sa longueur & fa
largeur. T. XXVI. idf
JLac de Cz.îremz, (h) , dans la Bafle Camiole. T- XXVl.
165-, 166. Sa longueur, i^ii. Tcms auquel ics eaux
s'écoulent. iêiJ%
DE S M A 1 1 E R E S. ao;
iac^ CamizJretb (le). Eaux qui le groffiflèat T.
xxyi. . 165-
Lâc deSicaragUÂ* Fleuve qui en fort, T. XXV L i6f
tMcéélêmom* Education qu'on y donnoit aux jeunes*
gens. T. XLIX. 304. Elle excelioit dans toutes kA
parties du genre auftère. 2oy. Beaux traits de détail
qui éclatent àâ^s cette R epublique. iéjj,
Ijuédimmtns, Secours qu'ils cnvoyent aux Syiacui^iis
contre les Athéniens. T. XXVI. 9. Ils cheicheaci
faire ïùGurir Alei^iadi, Transfuge Athénien^ ikîM
iMrêtiej (nie des), Galionqui y relâche.T.XLÏI. ^4.
tsît. Vieillard qui fervît de Nourrice à fon Enfant , <jui
en tira du kit. T. XXXVI* 347. Quel eftle poids
fpécifîque du Lait à celui de l'Eau. T.XXXIX. 10^
têfff^ (Mr.), Gouverneur du Fort Angloisde juidi.
Sa Lettre touchant le Roi de Dahomay ai &s Etats.
T. XLIII. 7
témèris. Avantage des Lambris àeû Romains, T.
XXXIV, îj-j
imv (G«)> D^^ur en Médecine, Jagensent fur ioa
ifmtédts Sens ^ des Taffiws , &c. T. XXXI. loS
lâade {Jai^Hes delà) , Gendre 2c Collègue de Jeu» IU«
.vexjto, tameux Jurifconfulte François. T. L. i jf . Sa
âaiflàace. iM, II obtient à Orléans Une Chaire de Pio^
ieâèur en Droit, qu*ii rempUt dignement penchant
plus d'an demi-fiècîe. iénl.
Zândskrm» La manière dont on bâtk cette VîQe va h
tetkàst une des plus finguliéres. T. XLVIL ^^4
l^nffr^. Cette Viueed une de celles de France oà l'on 3
tïOufé le j^us d'anciens Monumens.TXX VIL 1 jf.
Pr^autiof^ prifes par les Magi (Irats de Langres aa
£\i)ttàiô cesMbnumens. éid,
Umgrkh (Mr. 'Br^ne). Extrait de fes Expérîciices de
Médecme&ifesfar des Animaux. T. XXXVII. 10 j
Tangue. Filk fiée iàns langue , qui ne laiâbit pas d'à*
vdir da g^iôc. T. XXXL 316. Fille qui conferre k
• jpitok, affétf aroi^ peifdii 1» kngue. T« XXX VIL
2o8 TABLE GENERALE
xfi. Fille qui parle (ans langue. T. XLIII. ^i^;
Chapelain né avec deux langues. T.XLVI. 37^
Languedoc^ Obièrvations faites dans cette Province. T.
XXXV. 4+8,é»yS^iv.
Langues. Extrait d'un Livre intitulé : Bgcueil de Traités
de divers Auteurs fur la véritable frononciatim de la
Langue Grecque. T. XXV IL 29 , é'fuiv. Beautés 8c
avantages de la Langue Françoife iUrles autres Lan-
gues. T. XXXIX. 1^0, (^/uiv. Règles étrangères
qui la défigurent. 131. Toute Langue a des précep-
tes qui lui lont propres. 1 3 2, Ce que c'eft qu'on nom-
me ÏUfage dans les Langues. 133. Quelle efl la plus
elîcntiellc de toutes les différences »qui les diftingucnt
les unes des autres. iSid. Ce que c'elt que le Génie d'u-
ne Langue, i^ii. Quellcsfontles Langues qu'on doit
apprendre aux Enfans. T. XL. 119. Livres nécel^
dires pour les Langues Françoife 8c Latine, i^id* ér
fuiv. Les Grecs Ce les Latins failbient une étude par-
ticulière de leur Langue maternelle. T. XLIL 3^ J
Livres néceflâircs pour bien apprendre le Franfois.
ibid- <è» fuiv. Méthode pour apprendre le Grec 8c le
Latin» 3^. Sx un François doit apprendre la LangU9
Aagîoife, ^ , 37 «^^
Lafitt. Amours étranges 8c bizarrement afîbrtis d'une
Poule 8c d'un Lapin. T. XLIV. 3o6,é»>iv.
Lafis Lyncurius, Origine du nom de cette Pierre. T.
XXXVIIL Vart. IL 9
Lafponie. Voyage que Mr. de Maufertuis , 8c autres ont
t.\ii dans ce Pais, 8c pourquoi. T .aXX II , 87 . Utilité
de ce Voyage. 88, 89. Eaux Minérales d'une nou-
velle efpèce quiylbnt extrêmement communes* T*
XXXiX. 281. Idée afTreufè qu'on s*efl formée de ce
Pais. T XLé if6. Auteur quis'infcrit en faux con-:
tre une partie àt& taits qu'on en rapporte, ibid. Vitef-
fe fui prenante avec laquelle les Blés y viennent. i^/i/«
Bêtes fauves 8c autres efpèce» d'Animaux qui %'j
tfôuvent^ 8c dont ks foururesiToot d'un bon débit.
>
^
I^ E s M A T I £ R E S« 109
tfjrldétàçs Montagnes qui s'y trouvent. t&idZ A
^ucl égaicd toutes les Cartes de la Laponie fe trou vent
. tauires..x64. Voyez Zafms. .a
Xt^ftsU oMSames. Reinarques fur quelques coutumes de
ces Peuples. T. XXXV, içf. Leur origine, T. XL.
ifS^ De. quoi ils vivent. %fp» En quoi confilknt
.leurs richeifcs» lôo. Quelle eft la partie k plus indigen-
te de 1^. Nation. iSid, Leutshabitauons. iàid, I^urs
. voyages Uid. D'où ils tirent îe Sel dont ikfe fervent,
161. Leurs.truits. iii^. Leurs vkcs.i^id^ De quelle
manièreles Femmes, s'y font acheter , Se ce. qui fait
. leur ihénte. i^fi. Coutume des Lapons de ne jamaic
çl^jQ^r.d'habits,i62. Ils ne méprifent point une. fil-
le pour avoir donné'des preuves de fécondité préma-
turées . iSid» Leur, timidité naturelle, itid . Leurs mala^
dics. au. Leurs remèdes, aid, Q^el eft le Culte Re^
ligieux de ceu^ qui font encore, idolâtres » 163. £n
combien de ParoiUcs on a partage les Lapons bo^frtiies.
. 164. Voyez Ldpmi. - . . , ;
làrdner (Nathan,), Doreur cnThéologk SonOuvm?
gc de la Crédibilité de l'Hifloirc Evangélique. T. L.
%%6^ Extrait de ià Didèrtatibn fur les deux Epitres
^ attribuées à St. Clément. . 365
tatin (k) a'commencé à être banni des Aâes public!
fous St. Louis* T. XXX*. 78. Manière de l'appireiidre.
\ T. XLL ^ ■• .1 ... 194, &'fmv:^
X.ii/o^4^"*Ou.cèsPeup]esétoicntiitués. XXXVIL.97
Lauffar (Mr.), Profeifeuiî en. ReUes- Lettres à Beriie.
Hlogede fonHiiloifè de laSuiffe. T. XL..96. Dé-
. ^uiqn^'on y trouve. ihid.
LMura (Dmâ)^ lioarxiccà'Eii/aéétk Tsrnffo Reine d' £f-
(^ p^ne. Son grand oredicàla Cour aEfpagne. T.
XXXIX. 187. Son caraâère.' . ^ Uidl
XMtrkri^cmft. Qualités veiâmeufès^iie. cet Arbufte. T^
XXXVIL MO
tMurm iflaiiu Mac) . Extrait de Çàvîtxfojhim dis dêcçùr^
i/em^fUUffaphiqugj dtNèvt'm^T .XLU, 171. Tèms
ti^ TABLE GENERALE
. ^Jîeude ûnaiflànce. 171. Sa famille, i^ii/' Ses pre-
. jnières études, iàid, 8c fès premiers Ouvrages, iàid.
Il obtient une Chaire de Mathématiques à Aberdecn.
t UiJ. Ses liaifbnsavec quelques Philoibphcs. iéU, Il
devient Membre de la Société Royale de Londres.
17^. Il fait le tour de la France, i^id. Prix qu'il rem-
- vorte par deux Diilèrtations.i^ii. Il devient Profef-
< leur de Mathématiques à Edimbourg. i6id% Plan de
:• iès leçons. 1 74. Sonhiftoire de la vie de NewtoQ.i 75*.
* Il devient un des Secrétaires de la Société Plûlofophi-
^ que établie à Edimbourg. ièiJ. Regardé comme Ci-
i . toyenutiie 2c Proteâeur des Savans. ij6. Sa mort.
- 17-7 . Second Extrait de fon txfofitim dts âUonnfmrtîs
-' -de Nevtcn> 336
• lÀterme (Mi», jACjHes} , ProfcfTeur en Médecine dans
lîUniverfité de Montpellier. Extrait de fon Traité des
> Maladies inttmes de latête.T.Xhh^aS: Idéede cet
.^ . Ouvrage* i^f/r de de la pratique de TAuteuï. • ^i3
Leafor de Bracklty (Mlle.).Poéfiesdiver{cs.T,XLiy.i37
i^eeun^nhûék. Découverte au'il fait de petits Vers dans
. lléjSperme humain. T. XXXIII. 376. Examina des
. . Microfcopes qu'il a légués à la Société Royale- de
; Londres. T. XXXVI. 3.24
X^lfi^rf. Inconvénient de lire trop, ou trc^v vîte. T,
^ XLIX< 406. Laleâuirer^ardeeconimeleàTietlJeur
.-moyen de s'inflruire. T.L. 15-. Gombieii iréft né-
r^ceCIàîrè^ qu'elle foit^bien réglée. i6id. La ruanJese dé
■. biett lire réduite efi .'Art ^ £en quoi conflfle oètArt.
. £6. . Ce que c'elt que concevoir ce qu'oali t. Uid* Né-
.. ceifitéd être attentif à fà levure.- i^iJ/ Ktdefaifirce
qu'il y a d'éilèndeldaitis iin Livre. 17. Comment oil
Ipeut faire un abrégé xlec&qa'on a lu. . .^,1^
Légats du St. Siège, Vojex V^kair es des Papes.
l^UmThé&éimii. Lettre furie Martiie de cette Légion»
' T. XXXVI. ' 417
Lipfateurs* A\quoi lés premier^s Légiflatioits ont ré-
. tteitleuiistlnftitutiols, T. XLIX.. 30}. Pourqam^n
Lé-
^.£ S M A 1 1 E R E d. è»M
Lëgîûateur doit éttidjcr avec {bin le naturel àt fa Na-
tion. 3o4.Pourquoi les premiers Légiflateurs ne pour-
vurent point par des Loix propres U coiwtinabks à h
rcvojution des Mœurs & desEmpirçs. T., L. fi. Ils
étoient plus iàges que philoibphes , f4us plMloib{ihes
' que politiques. . , ii^L
Jjibuitx,* Examen des fèmimens de ce Philofophe4T.
XXyiI. 433 ,6» Aiv. 11 donne une pjaçè dans le Cid
àMr.B^nr/e^dansIetems métne qu'il écrivoitcoous
lui.T. XXXII. 470. Son femiment fur l'origine do6
Amcs.T.XXXllI. if j. Prétend qu'on ne tj^otuvo-
ra jamais deux feuilles femblables. 3 14. Fondement àt
fa Philorophie. T. XXXI V. 84. Son fcntimcnt fur
.les Atomes ou Monades. 94. Sa mefure des Forçât
. attaquée par Mr. H9£r»M« T. XL- »o. Accuféd!avoir
dérobé toute fa doârine de Mr. QîiJJon , qui ., daAs ibn
Livre de vit à JiHkturA , attribue à la Matière une. vie ,
ou une'efpèce d*efïbrt continuel, 1.3, SbnSvftèmé
ruine la liberté de Thômnie Scmémccelle de Dieu. T.
X LI. 7 6 . Philoibphes illu (1res quj o&t attaqué ce Syf-
tême.i^ïV. Idécqu*on don;ie de W.Uiknitz^ 77^
78, Expofitionde fqnHypothèilè, 6c critiqueiqu'oii
enfeir. 79,c^^h;. Principes qu'il établit. T. XLIL
. 1 88 , cJ» juiv^ Penfceç de cet Auteur qui ont été pci-
ièspour des oracles par desSeé^teurs trop tèlé^.T.
. XLIX. \IS
tMchiJtfHn Hénri),^ Extraitd'un Ouvragç de cet Auteur.
T. XXVL iP5
JJiftîg* Origine de Tlmpiimeriiedaûs cette Ville. Vo-
yez. In^'umru, . . .^ !-
hflmd (jem) , Doâeur eOiThéologie, écrit conts» les
Letttesdc Milord Bolingifoke.T. L. , . . 134 , ^lf
X/;i'^».Etxmblogiedunom de ce Lac. T. XL VII; 47
liinmrf (Mr.Xoi»//). Extmitde fesdeuz premi^s Mé-
moires fur les Monftres. T. XXVIIL 4ft y.jc^yi^it;;
Sa naiflànce. T» XLl* 15*0. HiHoiredeia vie. Wid\
Umiiif (Mn Mrâhm) ,> Miniûie d!£mle;j^ Wilt's »
O i &
ix^ TABLE CEhrERALË
8c Chapelain du Duc de Portland. Ouvrage de cet
Auteur, T. XLI. tf j
gjmfimt (Mt.) s'cft trompé fur le fujct de Coluccip, T,
XXVII. 148. & fur celui d'^m». ièid. & Juiv.
Ses Ouvrages, ifo. Voyez Bet^u/oàrt.
lA^îet du Frmcy (Mr. l'Abbé) , Auteur de VHîfioîre dé
U Philofifhie Htrmithfut, Extrait de cet Ouvrage. T.
XXIX. 43. Cntiqué. 44,C^7&n;«
thnUPhiioJofht, ûls àcBnJtle le Macidonm^ Ouvrage
; de cet Auteur. T. L. 327
Leonims , ou ttmnus » Chanoine de St. Benoit Se enfui-
/ . te de St. Vincent , a donné fon nom aux Vtrs Lémins.
T. XXVI. 117
l^éûpûU» Tems auquel il fut élu & couronné Einpereur,
T. XXVII. 368. Guerrequ'ileutà foutenirau com.
. mencementde fon règne, i^id. Dureté avec laquelle
il traita les Hongrois. Uid. Il eft attaqué parlaFran*
ce. i6ç. Sa mort. 371
tèfn (la) très commune à Carthagènc, Ville d'Améri-
que. T, XLIV. 409
l9jczcx,ynski \?hlUffe\ Où les Seigneurs de cette Mai-
. fon ëtoient autrefois établis. T. XLVI. \^i
Ujftr. ExtïdtâcùiThéologiedesInfeBei.T.XXyil.'ôS
Lettres. Avantages qu'on retire des Lettres desSavâns.
T. XXX .17. Lettre fur Tcxplication de la plainte de
y/^j-C^ri/f fur la Croix. 197. SurunPaflage de 5f.
PmI iMX Corinthiens, T. XXXIII. 89. Lettre aur
Auteurs de cette Bibliothèque,toUcliânt un Extrait des
Lettres de C^/vl» ifaques de Bourgogne, T. XXXIV^
407, A Mr. F**, pourfcrvir de réponfeàla pré-
tendue Apologie de Mr. Gerdes Profeffeur à Cronin^
guc. 4f 8 . Lettre à ce Profcffeur , où Ton expofe Tin-
juftice des plaintes amèresSc mal fondées qu'il a for-
mées contre l'Auteur de TExtrait de £bn kift'oire ir
V Evangile rmaUvelU. 464* Lettre fur l'entretien de
féfus'Chift^vcc Marthe. T. XXX VIL 118 Lettres
<d'un Fraa^is« extrait de cet Ouvrage. T .XX XV 1 1 1 .
I>E s MATIERES. i<f
. fMTi, Il . 1 7 9 . Correfpondances de T Apteur. 1 80. Ma-
tières dont il traite, âid. éf^fuiv. Idée générale de-icet
■ Ouvrage. 181. Ëbges que mérite l'Auteur. 1 98. Let-
tre aux Auteurs de cette Bibliothèque au fujet de Mr.
de U Serre.T. XLI. 475*. Lettre à TEditeurde cet-
te Bibliothèque. T.XLIII. 45*9. Lettre ^Mx,de U
MettriiihTU}nTraîtè di la Vie heuteu/efar Senêque^f
&c. T. XLV. if. &fHiv^ Lettre Paftorale de Mr.
TEvéquede Londres fur la caufè morale d'un Trem-
blement de terre. T. KLVIIL 4f6, 4e; , é'/Hiv,
Lettres (les Gens de). Direrfes cla(&s de Gens de Let-
tres. T.XLIX. i6%. Qui font ceux qui font le plus
recherchés. Uid.
Lettres {ks Belles)» Remarques fiir leur décadence. T.
XLL ' 391.
Lettres* Leur origine ancienne. T. XXXVIU. 3^.
Leur invention regardée comme divine. 37.
Lévites. Leurs fondions. T. L. la
Leu/den (Mr. J.). Jugement Gît Ton Edition du tJffuveaté
TefiamentàcVsmi'jfî.T.^LVl. 224
Lexjtrds Mquatiqtets. Sur le changement de leur peau;
T. XLllL 193. Comment & fait ce changement. 194
Lianes, Nom qu'on donne dans les Iles Françoifès de
l'Amérique à certaines efpèces d'Oûers. T. XXXVI.
218. Uiage qu'on en fait. Md^
Lthstnius. Combien il fut affligé lorfqu'il apprit la mort
de l'Empereur Julien. T. XLI II. 104
Liberius, Traits qui concernent la vie de ce Pape. T.
XL VIL 257-. Pourquoi il eft difficile de définir fôà
caraûère. 2f 8. Ileft exilé. 266,267. A&éèionque
les Dames Romaines conièrvèrent pour lui. 268. U
cft rétabli dans fbn Siège après avoir iigné la condam-
nation de St. Athanafe. 270 , <^)Sm;.^ Accufé d'atoir
embrafîe,du moins en apjparence, l'ArianiTme 9c le
Semi-adanirme. 273. Il gouverne à Rome conjoin-
tement avec Ff/û^^quiavoit été élu pendant l'èxâde
Liberms. 27.^. U édtefpérer à TEmpeMur qu'il céuf-
O 3 fira
|i4L TABLE OE.NÏRAEE*
fira i abolir entièrement l'Orthodoxie. T.XLVIIL
;72. Samort.404. S'il faut lui attribuer la gloire d'a-
voir banni rArianifine d'Occident. 405-* Saclvtten'a
pas empêché qu'on n'en ait Êiit un Saint. 406. Ë^fe
qu'il a bâtifur le Mont Eiquilin à Rome, ikid- Ou-
vnges qu'on lui attribue. 407,
liberté. Pourquoi fans la Liberté il n'y auroitni Vice,
niVertu. T.XXXIV. 187. Chofesnécèflàirespour
la Liberté . T . X L . 2 1 . Liberté d'écrire fur jbs .Loix,
h Religion, le Gouvernement. Diverics réflexions
fur cette madère. T.XLI/299 ,t^y&ix;. Extrait de
ÏEffkifier ULiéerti iiefroduirejesfentimens. T.XLIL
XQ. Exemples qui font voir le danger que l'on court
endifant cequ'onpenfe.i^ji/. éf^fitiv. Comment oa
fait voir qu'il eft plus malaifé de modérer l'excès de la
. Liberté , que l'orgueil impérieux du Trôjie. T.
XLIV. 4», 41. Enquoielleconfiftc. T. XLVIIL
25*4. Signes de la Liberté chez les différeniK Peuples»
T. L. 5-6. Trois fortes de Liberté, la philofopMque, la
politique , & la naturelle. ibid,
thehen EtmgH folio. VcjvXs de cette Plante. Tl
XXXVIII. ^art, II. 6S, 6q, T. XXXIX. 97
làcmif. Renoarque fur cefc Animal ^buleux. T. XXX.
'• af.JS'Jl.jt a de tels Animaux. T. XXXVIIL S/
limGauloift, Ce que c*eft.T. XXIX. jS
{•iJIfMf . ! La^évoitte de la Ligue enprance, qui entraîna
' une partie très illufire dé la Nation , n'en étoit pas
moins oppdfée à ion vrai caraâère. T . X L I X • 3 08
lÀmayOMl^MHledesUaisï Tems auquel & par qui elle a
étéfondéA. T.L. 301. Safîtuatibn.t^. SaLatitu-
. de ^ faLor^itude. Uni* . Sa grandeur ', & fes ridbef-
[es imit^niès. iSid, éf^fttiv. MagniÂcence étonnan-
te desEgU&s^iii^.Spa différentes fortes d'hàbitans.
304. HabiUèmens £c atours deis Danies. ^05-, 106.
Caraâèr^v^oeursdckNobleire. i^ij. Trois fléaux
iqui a^b^entcette Ville, iéid- Tremblemens de terré
gn'oQj^^ébntisc&dificrcfUtcnvs.i^îJ. c^yifn/. Def-
V w crip.
DrES MATIERES; it|
' crîption de celui qui a ruiné cette Ville en 1 74.^. $07,
é/»fmv. Makdicsqui y font le plus de ravage. ^08,
éf^fnkf* Gtnauxcreuféspar ]esr;9r/»j pourarrpferlc(
terres. 340. Productions du Pais. ikU, Monuraens
d'antiquité qu'on remarque dans le voiûnage de la Vil-
le. 3 u , ^ Juiv. Lima regardée comme l'entrepôt
de toutes les marchandifes du Pérou. 313. Faâoicerie
fénérale qu'on j a établie pour le Commerce dont el-
) eft le centre. Ufîd,
timaci. Remarques fur une efpèce particulière de Lit
mace. T. XXXII. ' .373
Lin mr&mi»flièh. Remarques fur cette forte de Lin. T»
XXXyiII. 4.1 téi^fupv. Voyez Léipts amiâf^m* •
tindewr» (l'Amiral (^^^ji^e) yadeaxfoisenGrQcn]and&
T. XXXI. 41. îl en ramène quelques Naturels du
Païs qui meurent à Cçfppenhague.. : HbUL.
Zînndus (Mr.). Examen de Ton Sy ftême des ClafTes dç$
' Quadrupèdes & des Amphibies. T. XXXI V. aSï.
Jugemcntfurfbn Syftême de Botanique. TXXXV.
If , 16, 17. Extrait de fon Voj^ige d^s Iksd'Oelai^
d«& de Gothknde.T.XXXVI. 101. Elogie.de fcs
takns. 292. Son éloge. T, XXX VlII^f. rijeedefon
Mémoire fur .la manière delaireréuiOr les Plantes é-
trangères en Suède, ihid. Sa description d'une Mour
chçqui s'attache au;c Rennes. 10. Exan^n critique
de fès Calculs météorç^ogiques. 1 1 . Son hiftoire natu-
relle d'une efpèce de Rats. ix. Harangue où il fait
voir l'utilité de THiftoire Naturelle, if. Idée abrégée
de fon Hiftoire des Fourmis. T.X XX VIII. 16. Plan-
tes Médidn^s qu'il a'rangées félon la diyerfité de ^
cvilture. 18. Plantes qu'il a trouvées en Suède, 20.
SonhiftoireduLilion^iitè de?^ Indes à fleur rougç*
Fart. II:Sié ExtraitdcAnVoyage.de la Gq hieOc-
cid^tâdêtT.XXXlXài^.Ses: études ^vorires. %62,
Repris 4'^oir c<>ndain^malrà-propos VAf^iifj^ie,
169, Dcfcriptipn qiï'il ,dopQe d-nne Phûdte» idVsCIn-
fe^e» Sc|l*4if)Aiûm^.^J'Am a^.
O 4' Idée
%ti TABLE GENERALE^
» Idéede fbn Syftéme de Botanique. 440. Extrait de.
(on Voyage cnScanie. T. XLVII. j88
thns msriftf qui fe trouèrent à l'Ile deJaanFernandès
»cauCapdeBonfte-efj>cràncc.T.XLir.^i. Enquoi
- ils diffèrent dcis Veaux marins; î^û/. Leurdefcfiption*
itii. Leuf )ial<^iie. Ufid.^ Seitsdl de$ mâles. î^ii.' A qui
onefttederablede la première décbûrerte de ces A-
nimaux. T. L. ifj. Lcur'neflèmblance avec l'Ours
. marin, 8c en quoi ils différent. 15*4, tff
tiqumr éthérie. Ce que c'eftqUe la Liqueur cthérëe de
Mr.Trifi^enisfs. T. XXWl, j^-i
tîq$ndis. ExpëriencesfurleuTcvaporation.T,XLÎ. 19
ÏÀquidiiS, Ce que c'eft. T. XlV. i^-o, &Juv9.
Lire. L'art d'apprendre à bien lire en peu de tcms. T*
XL. iig
thtletm» Idée d'un Poème de ià'façon.T. XL. 137
Livre qui n'étoit ni écrit à la main , ni imprimé , fie
' dont les lettres 8c les mots n étoient d'aucune ma-
. tièrc vifîbte. T. XXVII. . 17 . 18
Livres. Combien l'ufiige des Livres eft ancien. T.
xxxvm. 35-
LM (J£dmârJ). Lettre<ie cet Auteur fur uneefpècéde
• Papier feit de Linincoml^ftiblé.T.XXXvm. 41
Lesnnette (Jules) eft brulc vif |Mir ordre du Pape, pour
avoir eu des liaifbns d'amitié avec les Hérétiques
d'Allemagne. T. XXXIII. io6
Le6en (la Comteilè de). Son mariage avec le Comte de
' Saxe. T. XLIX. tS6. Ce mariage eft caiTé d'une
' manière fort fingurière. ièid.
LM ( Mr. JhépfL). Son Traité touchant les Dijf^hâns
V#/4Pâw,8cc. T. XXIX. .461
Lecke prétend que nous n'àVoAs aucune idée innée du
V Droit naturel. T. XXIX. i Js? » é'fiàv. Son fcn-
timeht fbr la divifibilité de la Matiereà Tinfini. T.
XXXI V. 5j8. A quoi ce Philofophe a réduit toute
' la fofidesChrétie^.'T;ilJïi 170. Rega)ràé comme
- ^iuîf^i».'4'«XJUIL4i •^Ottdoisime ^çfrémemenfdMty
1
ÔÈ s MATIERES. iif.
gwrtuxy 8c pourquoi. 44. Examen des fèntimens de
t« Philofophe. T. XLIV.ijôjé'^w. Safagacité,
îbtd^ SoumettoitlafoiàfkraiTon.'ig?. N'arienvôu»
lu décider fur la nature de TAme. îhià. Il entre dans
" de trop longs détails , & convient lui- în ême de ce dé?
faut fins s'en corriger. 138. 11 a profité des lumières
étUaUbrfUtche, ibid. Sa prévention contre les Fran-
çois, ibîd. Il a prouvé par i^n exemple qu'on peut
l&ire de fort longs di(cours fur ce qu'on ne comprend
pas ibi même. i^iV. Pourquoi on prétend qu'il raik>
ibnne avec beaucoup de jufteiTe. 139. Pourquoi il
' jugeoit bien dies chofès communes, i^i^/. S'il inftruit
^hsqnc MaUbranche.ièid. Idée qu'on donne de ion
Efai/ur VEniendfment Humain. T. XLVIII. 80.
Si tout ion travail aboutit à trouver l'excufè de nos
erreurs. T. L. 207
ZockmsH (Mr.). Ouvrage qu'il va publier .T .XXIX. 4f4
Locufik'fiéUx . In(è(fte qui porte ce nom . X XX VIII .2 1 .
' Ecume qu'il produit fur les feuilles au Primeras, ibîd,
L0gtq$M€n forme à'Entretîins. Extrait dé cet Ouvrage.
T. XXXIV. 384. Utilités de la Logique. jSf. A-
vantagcs de cette Sciaicc.T.XL. 133. Livres néccC-
ûires pour l'apprendre. 134. Principe (impie et natu-
rel qui fait le rondement de la Logique, T. XLVIIL
89. Définition de la Logique. ' $.3
toi CértmmlèlU. Explication de ce qu'en dit St VauL
' T. XXXVm. P^fM/. a4,6>w.
L01X, DivifiondesLoixdeMwj/^.T.L. f. Le malheur
' de tous les Peuples de l'Orient 8c du Midi fiittou^*
jours l'aboiidance àt% Loix cérémonielles dans la So-
ciété Se la Religion , 8c la diiètte des Loix civiles 8c
politiques. f%, Â'ileft utile de changer lesLpix éta»
Uies par un long ufàge. iSj ^f^fuiv,
toix Naturelles S'il y en a. T. XXX. 409, &fiâv.
Cequ'eri ditMûntagm. ibid. Loix Naturelles 8c Civi^
les. T. XLÏ. 349 , 3jrc). Voyez Droit NatuffL
. Lombard {Fiirrt). Rien n'a fait naître j3us d'Héréfies
O S V*
ftiS TABLE GENERALE:
que rinoovadoii de cet Auteur , qui en rédmiàtt k
Théologie en art , introduifit Tufage de la traiter fyfr
tématiquement & fuivant les règles fubdies de la Dia-
lectique. T. L. 14^
jMmmpm (Mr.). Sa Diilèrtation fur la cauiè de la Cha-
leur & du Froid. T. ^LVL if6. %t% obfervationS:
furie mouvement de TAir dans les Mines. • 15*7
jMptiUts fmMer. Mr. deMauptrtuisnede{c;fpèrepas
qu'on ne parvienne à la découvrir .T.XLIX. 457
Lwgûiards* Fondation de la Monarchie de ces Peuples.
T. XL. . 41
Z4fris {Guilîtume if). Lieu defà naiilànce. T.XXVL
i;4. A commencé \chmçux'Rêmttnde.U^ft' ibid.
tonne {Markn de) , vantée par St. Evrcmont. T. L.
97* Compagnies que les charmes de cette Dame atti-
roient chez elle. i^i^. Son goût pour Kvolupté. ièid.
latter (MelcUor) eft le premier Imprimeur de Leipzig,
qui , refervant les Caraâères Gothiques pour la Lan-
gue vulgaire , employa les Lettres Romaines pour les
Livres Latins. T. XXVL xoo. Il en fait l'eflài fur une
Comédie deLécnsrdAntin, Se porte fon deflèin à la
perfeâdon dans une Edition qu'il donna des Epitres
d*HârMCi.i^id» Autres Ouvrages qu'ila imprimés.f(û/.
Z^Hches, Moyens deguérirlesJLouches.T.XXXI.429
Lfiuis (St,)» Roî de France. Guerre inju (lie qu'il fait au
Roi d'Angleterre. T. XXXIÏI. 1 1* Poètes galans 8c
même licentieux qui vivoient fous fon régnée, T.
XXVI. ^ 151
Louis (Dm) , Prince des Afturies, monte fur le trône
d'Ëfpagne par l'abdication du Roi P^i/i^^e£bn père.
T. XXXIX. I9f, Sa mort. ièid.
Iww FIII*^ s'empare de Londres. T.XXXIIL^, 11 eft
défait à Lincoln. iSid.
Lomis. X. Pourquoi il eft appelle Hutin. T.XXX VII .19
Lûuis xr« Roi de Fratice. Extrait de l'Hiftoire de ce
Prince par Mr. Duclos. T. XXXVII. 317. Traits
xcmarquables de ù. vii.privée. 35*^
Lmk
DES MATIERES. ftt«
Zouis X7I. Réponfè que fit ce Prince lorfqu'il ap{»rit qu V
on le jouoû fur le Théâtre à cau(è de ion airarice. T •
XLIX. ST
iMâû XIIL Roi de France , traité ayec peu de ménage-
ment. T. XXIX. 98, f^ fuiv. Portrait qu'en feit
l'Abbé de 5f. Vient. T. XXX. 99
ILouis XÎV. Monumens de fa grandeur. T. XXVII. 400»
ci» Juiv. Portrait affreux qu*on en fait , 6c critique de
• ce Portrait. XXVIII. 390, é^fuïv. Traits viofens
lancés contre ce Prince, içs'yé^fuiv, Juftifié. 397,
Ses grandes dépenfès. T. XXIX. 93, f^/tiiv. Ne
devoit pas prêter l'oreille aux inilnuations du Marquis
de Louvois , Se pourquoi. 108. Eloge de ce Prince. T.
XXXVI. 467,<J»>w. Satire contre lui, T.XXXIX.
2,fi. Il porte la guerre dans les Pais- Bas Autrichiens ,
& par quel motif. T. XLIII. 93. Il déclare la guer-
re aux Hollandois , Se envahit leur Païs . 94. . Le StècU
dece Prince, T.XLVIII. 307. Etatde TAllemagne
avant {barègne. 311. De rEfpagnc. 313. Du Por-
tugal. 314. DclaHolIande.ï^i^.DerAngletcrre. 325',
t>elaCour de Rome, i&id, Durede de l'Italie. 314.
Des Peuples du Nord. Md. De l'Empire Ottoman.
317. De la France. ièU, Quelles étoient les moeurs
4c ce tems-là . ièîd. Minorité de Louis XIV. 319. Son
nmizgcavcc Marii^lhérèfi 9 Ihfanted' El pagne. 331.
Il gouverne par lui-même. 331. Il encourage les
Arts Scies emploie à £1 gloire Se à celle de la France.
i^U. Il humilie l'Efpa^eSc la Cour de Rome. iéid.
(6»yÎMv. Il augmente Ion pouvoir Se fait bien admi».
niftrer les Finances du Roy au me . 3 3 4. Il fait la con-
quête de k Flandre, t^id. Et de la Franche-Comté,
3 3f . Il fe rend maître de la Hollande, qu'il cft enfui-
te obligé d'évacuer. 3 36. Seconde conquête qu'il fait
de la Franche-Comté, laquelle refta annexée à la Fraiv-
ce. 337. Egarcmens de ce Prince. T. XLÏX. 84.
Son mariage avec Mme. de Maintenon . 187
têuis XK. Relation de iès Campagnes en 1744 Se 174^ •
toé TABLE GENERALE'
T. XXXvr 35-1. Il tombe malade à Meti. jfR
. Belles qualités de ce. Prince. 468 , ' f^futw .
1^9t^€ marine. Auteur qui en a le premier fait mention.
T. L. If). C*eft le même Animal dont l/Utrcgravk
a parléibuslenomdcLoutre.duBrézil. iff. Sadef^
cnption. ikU. & if5
Xr0X/i ouLoja, Tems^où, Se par qui cette Ville a été fen^
dée.T. XX VIII. 441. C'efl aux environs de Loxa
que fe recueille le Quinquina. 443
Loxodromie, Traité de la Loxodromie tracée fur lame-
ntable fuf face, de la Mer, T. XLIL 4 1 8
Lpyw' (Je Père), Jacobin. Son voyage à IfTmi furlaCô-
. ted'Or.T.XLIIL 6. Elogequ'onen fait î&id.
iMckn. Extrait d'une nouvelle Edition de fes Ouvrages.
. T. XXXI . 3 , (^fuiv. Grands foins qu'on apris pour
cette Edition. iSU, Jugement fur ce fameux Ecri-
vain, f. Diverfës Editions qu'on ea a données, ii.
Exemples des nouvelles Notes faites fur cet Auteur.
i6,e^ yS^iv. Il fe moque du M/Hère delà Trinité.
T. XXXI. 1/4,
iMcme affranchie destoîx d» Concours , &c. Extrait de
cet Ouvrage. T XL VI. a j-j
tMcrhce. Jugement fur cet Auteur. T. XXX. 389. Ac-
cufé mal-à-propos d'Athéïfmt. T. XLI. 120
JJêcrece. Sx on lui ravit fk vir«;iité de force & contro.
fon gré , ou fi elle fuccomba par le plaiûr que Tar-
quin]ui6t goûter. Tk XXXIX. 180. Pourquoi elle
fetua. âW. Versàcefujet. ibU.bii^i
Zjtlîe (tUtimand) . Particukrités touchant ce Philofophe .
Hermétique. T. XXiX. ' 48.
LulU, Jugement fur faMufique.T.XLI. 380. Accu-,
fé de n'avoir eu aucua néfoeâ pour les Mœurs. ;8 1
Lulofs (Mr.7f4»), Profeflcur en Mathématique , icc.
dans rUniverfitéde Leyde. T. XLV. 433. Ouvra-
ge de cet Auteur fur le Globe terreftre. iM.
iMipière. Remarque, touchant fon mouvement. T,
XXXIX. 9f ., 96, Elle eft diihibuée dans toute.ia
Na-
ï) E s MATIERES. fti«
• Kature , & reçoit des Aihes non fon eut, mais fèi
déterminations, T. XLIV. ^^f
lune. Ce qu'on doit petifer de l^Dpinion qu'ont les gens
de ia Campajgne , que dans le tems de la MoiiTbn k
pleine Lune le lève pendant quelques jours à peu prèi
à k même heure, è. d'abord après le coucher du So-
leil. T. XXXIX. 118. S'il eftYrû que fur k Lune
il n'y a jamais de nuages ni de pluies. T. XL. 278.
- Sur le mouvement de cette Pkaète. T.XLIIL 42z
%ufècty Capitale des Paiiiiens. T. XLIIL 11^. Petite
lie qu'elle occupoit du tems de l'Empereur Julien.
^îd. Particularités touchant cette Ville 0c iès ancien^
habitans. ibid. 2c I17
Xiyf^mfff/.Défiqu'onleurifàit.T.XLIL 15-7. De quoi
ils accufcntlesCdvinifles. 15-8. Jugement fur les dijt^
• fèntions des Luthériens Se des Calviniftes . 1 67 . Leur
ieparation regardée comme contraire à k Charité. 165
l^Hxe . Idée qu'on doit s'en former. T . XXXIV . 3 j-^. ,
&fHiv. Pourquoi les Prédicateurs en ont (buvent fait
leiujetdekurs déckmations exagérées. XLIX. 136
ï^uzMc (Mr.£ii^); Extrait d'une Diûèrtation de cet Au«
tcur. T. XLV. . ^6Sj&fûiv.
tycurgue. Les Loix de ce Législateur partagées en d6u^
ze Tables. Précis de chacune de cts Tables. T.
XXXI. , 404, iérfuiv.
i^yoïmet (Mr.); Ses remarques fUrkDf^é^/of je i» Infec
tes de Mr. le/er. T. XXXI . 66. Ses Talens. 68 , 69.
• ILexamisefî tous les Animaux fe multiplient vat k
▼oie de k Génération. 76, éi^Jinv, Il fè renrerme
dans le doute fiir cette queftion. 77. Point d'Hiftoi-
re Naturelle fur lequel il ne veut rien décider, fans
l'avoir examiné lui* méraç.. 79, 8b. Ses Remar^ûËB
furlePolypode. ibid. & fur k prodizicufc multipli-
cation 'iùlkChéhille'k'ériJfe- ^i,& ySw. Objeaion .
qu'il fait centre le SyftêmcdesDéveloppemens. 85-.
' Réponf& I cette ob)eôion..86 , é* fi^i^» Il attaque
ieS.yiléme de tn^vfff^eitr touchant k Génération par
le
»% TABLE GENERALE
le moyen des Vers Spermatiques. 88 , (^ fiéiv. Rie-
ponfès à fès principales objeiûions fur cette niatièrc.
b^ià^/uiv. Il s'd^e de fe divertit aux dépens de ics
Adrermres .91. Comment on lui fait voir que le fu-
jet de fbn triomphe eft mal fondé. iM, On remorque
contre lui-même fes argumens. 91. Syllo^me de
ià façon. 91 , 9). Réponfè à ce Syllogifme. 93. Il
cite envain SwsmmerdMmenùi faveur. 94, Nouvel-
le objeâion qu'il forme. Se que l'on peut encore re-
torc^uer contre lui. tooff^/mv. S^ grande inquiétu^
delurlefbrt dQs Ames des Vers Spermatiques. 104,^
lof. Son éloge. T. XXXIII. a^o. Son ienriment
iùr la Génération. 379, 389. Réponiè qu'il fait à
Mr. My/ijw,&c. T. XLV. . 44^
tyfchémdtr, Miniftred'un Village en Sedaxrfç.T. XXV I.
a4f. Jugement fur fon ûvoir. ikid.
tffiêu Entrait àe:&Har(tngu€stfiàtsVrngmm$ qui nous
rcflcnt de cet Orateur. T. XXVI. 5. Tems 8c lie»
de fà naiifance. 4 , 5", Il eftenyoyé par les Athéniens
iSy^aris, our/wriw». Ville dltalic. 6, Rhéteurs
ibuslefquels il fe forma à l'Eloquence. 7. Il cil banr
ni, 6c obligé de retourner dans ià Patrie, i^id. U fê
. rend à Mégai-e. 20. Son retour à Athènes. 24. St
mort, 26. Pour qui il a compoijc la plupart de fès Ha-
rangues, iiid. Ses amours. 27 , 28. Second Extrait
. de Ss Har4ng»fs.i7 1 . Tradu6i:ion d'une de Ces Ha-
rangues , par laquelle on tâche de donner une idée dii
caraâère de fonjéloquence* 290 ,t^ fuiv:,
M.
MAc^Laurm (Mr.). Son Trfiiti dit Jlmctém.
T. XXIX. ^îl
Mitcédoine, D'où pouvoit vesdr h quantité
. prodigieufe de Chevaux qu on trouvoit dans ce Pais
fous fes anciens Rois. T, XXXIU. 121. Voy. A^<i-
Manitns*
\
DES MATIÈRES. àaj
Milâcidmîens. hSc^kïoa qu'ils avoient pour leurs Rois»
T. XXXIII. 113. Education dé leurs £n£uis. 1x4.
Leur ignorance en fait de Manne, & d'où elle pro-
yctioh.ihid. Leur Difcipline Militaire. iiSi&fuvù.
■ Voyex Mucedmi. -
Macbûvil, Extrait du Livre intitulé : Ai^ÀMK^eilUp»-
àtifam défendu centre VAnti-MMchiâvtlr &c. T.
XXVIIL zoo. Comment on tâche de le }uftifier.
20^. Injuflicequelui firent ces mêmes Concitoyens.
209. Juftiiîé contre raccuâition d'Athéiûne. 210
Mâc^vtl m Médecim. Voyez iinihfi.
'Mt^chiavel VjéfHàlicam , à^c,' L'Auteur de cet Ouvrage
Hollandois accufë d'un plagiat énorme. T.XXX.466
èdoMnes, Diverfès fortes de Machines & Inventions •
. fàvoir y JinBrife'glaee , une léAchim-hydraulu^e , une
Machinepour doubler les Soies 8c leur donner le tors»
ut^antografhB ou Singe pouc copier le trait de toutes
fortes de Deiièins&de Tableaux, une Horloge d'u-
ne démi*niinute. T. XLL 141., 142. Machines di«
verfès , ou Inventions approuvées par l'Aca^fémiè
Royale des Sciences de Paris. T. XL IL 201», T.
XLV. 224. Machines de guerre. Voyez Troufes.
Mj^ons.Vojczlratiei'Màfèns,
idadr'efores. Rivages de k.. Mer qui font entièrement
. .formés de Madrépores. T. XXXVL 1^^
Mages (les). Idée qu'ils fe formoient de Dieu. T.
XXXV. yi
Magkigme d*Endor. Voyez SauL
Magie (la) efl un Art fortancien > 8c dont l'inventionap*
partient aux Orientaux. T. L. 64. Les profondeurs
de cette Science recherchées par les Italiens des der-
niers ûècles. &f.. Peuples qui ont desTradicnashé-
féditairissde JVkgte. ^ii. Collèges des MauiesWEf-
p^;ne, où Ton enfeigneât la Magie fucceâivénuait à
toute la I^eûnefiè delà Nation, i^id» Chaires de Ma-
gie dansfes Uniiwrikéffde Fe^ , de Tunis , 2c de Tri-
ipoli. iSid* Cette ridicule. Science cmbraffdn avidement
I par
h2^ TABLE GENERALE
, par toas les Peuples .iguorans. WUL
Mitgifirâts. Qualités qu'Us doivent avoîr.T.XXXlX.
45*3 . Exemples de divers Magiftrats punis fë? èreinent
. par le Parlement db. Paris pour leurs malver{àtion5.i.f 5-
MapMs 9 fumommé Lsdulos , Tun des plus grands Rois
qu'aie eii la Suède. T. X LV. jf y . Par ion Gouverne^
ment ferme il rétablit la fUreté daès Tes Buts, ikid» Il
renouvelle les Privilèges du Clergé, ièid*^ Les Moines
le prennent fous leur proteâion. ibid. Il donae-aux
> . Jemmes de Warend, Canton de la Smolandé, le piivi-
lège d'hériter avec leurs frères à portions égales , & dfe
feièrVirdetaiiabours & de trompettes à leurs noœi.
ibîd. IlibumetlaLaponie à la Suède. ;6o. llfèfert
des Etrangers, Se en encourage rétabliilènlent en Suè^
. de.i^Â^. £;llcs Loix qu'il iâit. ibU» Sesreveniis. ^6f .
Udonneàfes Sujets le fpeâade desTouraois. ihid.
-MMgtms i fiimommé Smek , Filsd'Erir , unitJa Notvè*
- ge à la Suède, & donne des Loix à l'idaûde 8c à la Fin-
lande. T. XLV,. J65. Il rétablit la fiircté publique.
laid' UcréedesCheyaliers.i^fi/. Subsides que. lui ac-
. cordenties ËccléfiaAiqaes pour faire la guêtre, ^6^.
. Il offèhfele Clergé , & s'attire les foudres du Vatican.
iiid* Il perd fes Etats. f^y« Il eil relevé dé l'excom;
munication. ^6f. Il remonte fur le Trône, i^j^/. II
. eft dépofë. ièî^^
.jfdahMdU Calife. Traits curieux qui font l^onneur à Ift
, mémoire de ce Prince. T. XLVIII. i if , é^fuiv,
àdahamet. Comment il a pu duper tout un Peuple. T;
XLII. 11^. Tems &Heu^ ià'naifiànce. 126. Soii
éducation, ihid* Son expédition cbntreles Kénanites.
.ihid' Son mariage, iéid. I1& donne pour Propliète
infpiréde Dieu. 117. Qlf^el eÂlefqnddeiàdoârine.
au. Pourquoi appelle daniplofîeurs endroits de l'Ai-
Coran ItPr^hhe ignare &ni>n lettré, ii8. Perféquté
> k la Mecque il prend la fiiite avec fes Difcipks. âid.
' Son Afctnpm. ibid. Il crée douze Apôtfies. éid^M
fuite eiWl'EredcsMaiiométani. ibhd. Uiaiciecefroir
•■— rjBT-
>ES MATIERES. aaf
'^ tloârineparla yoie des armes. 119. Après la prifè
de la Mecque S s'en fait reconnoître iSouveraîn tem-
porel 8c fpirituel. Md. U reçoit de difiFérens endroits
de l'Arabie des Ambaflàdeursqui £e fbumettent au
nom de leurs Maîtres à ià Loi^à Ton Empire. 130.
Sa mort, i^id» Rapidité Se étendue de &s conquêtes.
Uid. jugement fur £imiifion. i)i. Miracles qu'on
lui attribue, itid. ^fuiv. Circonftanctsde la vie de
cet Impofteur. T. XLVI. 387
idahoméuns. Il y a peu d^exemples de converfion par*
mieux. T.XXXII. ij-i. Rien n'égale les tranfportt
& lesexpreflîonsde leur foi» ni même leur ardeur à
faire des Profelytes parmi les Chrétiens établis dans
leur Pais. T. L. 71
iéajtfii. Ce titre donné à des perfbnxies diftinguées pdr
leur rang, ScfurtoutauxEvêques.îf.XXXVIL 33
if 4ûie (le Duc du) , fils de Lmis XiV. Se de Madame de
Idonteffén. Belle réponfë qut fit ce jeune Prince au
Roi (on Père. T. L. 3 2 3 ^ Recueil de fè) Thêmes.3 14
%iâimtnm (Madame dt)^ connue auparavant fous le nom
àciranfûifid'jùéhigne, Tems defà naiffimce. T. L.
316. Ses avantures, (on éducation. î^ij.<^ Ah;. Son
mariage avec Scurfàn. 319. Ses belles qualités. 310.
Eftime Que fkifoit d'elle la Reine Chnfiwe de Suède.
312. ElEe renvoie au Surintendant tonquit un préfènt
confidérable qu'il lui avoit fidt. ièid» Incident qui
dérange k projet qu^elle avoit formé de qqitter là
France. iUa. Elle obtient une penfion du Roi. 313.
On lui confie l'éducation des enfans de Madame tfe
àiontefpan. ibid. Lonis JQF. lui fait préfent de cent mil*
le francs, ibid. Combien elle eut à fouffrir des mau^
vaifès humeurs de Madame dt MaateJ^M. ibid» Va-
peurs auxquelles elle devient fujette. x 14. Edimc que
Lmts XJV. avoit pour die. itid. Achat qu'elle fait de
laTerredeM/iî»ri7M».f^k/. Elle prend le titre de Mar-
quifè de Maintmm.Uid, Bien <^u*elle faitàfà&miile.
^'W. Eik &it imprimer un petit recueil des Thèmes
f du
ti6 TABLE CE^ERÂLÉ^
du Duc du Mawe. îhti. ConBanceque le Roiatoit
' en die. 31^. Elle deriem Tune des Dames d*atour de
' Madame la Dauphine. ibid. Beau rôle qu'elle joue.
316. Voyez Astài^né {Franfoifi d*) ,
Mal. Ce que c'eft que le Mal. T.XLIV.311. Si le Mal
abfolu eft impoflible. T. XLVII. 4j8. D'où le Mal
tire Ton origine. T. XLV III. ifj
Ualabisr, Chrétiens de la Communion Syrienne qui fe
trouvent établis dans ce Pais depuis plufieurs uecles.
' T. XXXII. , ij^f
tAfilttdies caufêes par certains habillemens 8c certaines at*
titudts.T.XXXIlI. 4j6. Par une courfc troprio-
Icnte.T. XXXVIII. 19 ,
'MMlebranche (le Père). Remède dont il fc ièrvoit pour
ics infirmités. T. XXXVII. 184. Accuféden'arofr
produit que^des conjedhires. 191. Examen critique 1
de quelques-uns de fes principes. T. XLIV. 134. c^ l
fuîv. Ses grands talcns. 136. ComparaifondecePhi-
lofophe Se àcLùcke, iiid. Sa raifonobfcurcieparfa
Théologie. 13/
Malheur, Voyez Botthtur,
Mallet(MT,). Extrait d'un Poème de cet Auteur:- T.
XXXIX 67
Idalmek (Olaits), Ses remarques furies Perles delà Suè-
de & de la Laponic. T . XXXV III . Fart^ IL f6
Malfighi. Ses Obfcrvationsfur TOrigine & la Forma*
tionduPoulct.T.XXXL O^y&Jkvu.
Malus (le Sr. dé). Son Ouvrage fur les Mines des Py-
rénées. T. XLVin. ii6
Idamo», Progrèsque firent les Sciences fous le règnfe de .
ce Prince Arabe. T. XLVHI. ni. Dépenfcs prodi-
gieufes qu'il fit pour attirer dans fcs Etats les SaV^ans
étrangers qui avoient le plus de réputation, ibld. Eco-
les publiques qu'il fitconftruire , ôc où Ton pratiquoit
des logemens commodes pour les Gens de Lettrei
qu'il deûiuoit à donner des leçons fur les Sciences de
toute efpèce.i^irf. Académie qu'il cubUt. »id. |^if-
tinc«
i
ftïrS MATIERES. «7
' iinâions qu'il accordoît aux Savans. 1 29. Sciences
qui devinrent l'objet de fesoccupations. i^ii. Rccom-
penfès qu'il afTigna à ceux qui le diftinguoient . ihid»
Auteurs illuftres qui répandirent au loin la gloire de ce
Monaraue. 1 14. Exemple qui prouve fa douceur 2c
fà modération. 1 1|' , 1 1^
I/Ummth (les Dents de) font de véritables Dents d'Elé-
phant. T. XXX. ^ 23
MaMt. Auteur qui prétend que les pierres qui portent Ce
nom, font les mâchoires de la Vache marine.T .L. i j'4.
MandevilU, Examen de fonopinon, ^w toutes Us Taf'
fioiis font des vices i ficc.T.XXX. 114. Accu fé d'avoir
tiré des conclufîoiis très fauflès , de Principes moitié
vrais, moitié faux. iif. Conféquences que l'on tire
contre fon fyftême. 117. Accule de s'être attiré un
grand nombre d'ennemis. ibid.
'MandriU Defcription de cet Animal (îngulier , qu'on
trouve en Gumée. T. XLVIII. * 39
MarfrédiiEuftachio). Abrégédefa Vie, T. XXXI. 180
•èiMgey (Mr. Thomas) . Extrait de fa nouvelle Edition de
PÀi/<?». T. XXXII. 299. Secours qu'il a e\xs»Uid éf
fuiv . Fautes qui fè trouvent dans cette Edition. 301.
Critique.. • ,301» &fmv.
'BdamUi Capitale derile de Liiçoa. Son commerce. T.
XLII. 62 , t^furv,
J^nne^Obiervatîonsfur la Manne. T. XLII. 309I. Man-
ne du Brandebourg, ce ^ue c'eft. T. XLVII. J9^
léAMéce (Aide) eft le preihiei^ qlii ait fait imprimer ce
qui nous relie de Lyfias. T. XXVI. 277
IdanuftiSlures. Diminution de celles des'Nations mari-
times, & quelle en eftk caufc. T. XXXIX. 274
Marbre blanc , trouvé près <k Carlsbâd en Bohême ,
dans les fentes duquel végétoit un arbre d'argent très
pur à plufieurs branches. T. XLVIII. 419
Marbres d*Ar»ndel. Parallèle de la Chronique des Mar-
bres de Pàros , dits les Marbres d'Arundel , avec celle
■ ë'Egypte.-T-.XLV. • . . . 42!
P » Marf^
2af TABLE GENERAtB
MarC'Berardi , Chef de Bandits dans le Royaume dtf Ka-'
pics. T.XXXIIL lou Troupes qu'on envoyé con-
tre lui. , ^^'
IdarcellM (le Pape) , accufé de s'être laifle perluadcrpai
Dioclétiçn de délivrer les Livres Sacrés pour être bru-
lés, 8c d'offrir derencens auxDicux.T.XLVI. ii ,
. II. Raifons qui prouycnr la fauifcté de cette accufîit
tien, ihid. Son martyre regardé comme douteux. 14
Uarcellus i Neveu de l'Empereur A»i»fi€ , époulè J ul^
Fille unique de ce Prince. T. XLV. 90. Il aneurtrc-
gictté du Peuple. Md. Elo^ qu'en fait Virgile» 91
MArcgrAvt eft le prepiier qui ait parlé de la Loutre ma-
rine. T. L. ls^
Murchm {Jean). Ouvrage decet Autcur<T.XXIX.45-5'
Marcottes, Méthode pour faire reuflir les Boutures &
Içs Marcottes. T. XLli. ^of
M^rdentts {Uoife) eft le premier qui a donne à Vienne eç
I fff une Edition Syriaque du Nouveau Teftament,
T. L. 160. Ses Lettres écrites en Syriaque à Andri
Uafius , imprimées & publiées à Bcriin en i6j 3 :ièii^
Marguerite d'Autriche , Ducheflc de Parme ,• fille natu-
relle de Charle^Htnfj eft faite Gouvernante des Paitf - bas
^xfjhilifp II.T.XLIIL 81. EUch'eftpiopremcnt
dcftinée qu'à rcpréfenter.y. . . ;-. ' . .' iHi*
Mariage, S'il peut avoir lieu entre des peffonnes de la
. même Famille & du même Sang. T. XXVIlt
83. Avis pour ceux qui veulent entrer dans l'étaîdu
Mariage, T. XL. 141, 14*. Dialogue entre deuif
jeunes Demoifellcs fur le Mariage, où elles propo-
iènt un A<ae de Parkment en faveur du Maifâgp
pour l'égîdité des Paires, & pour taxer les gjcns non
mariés j & où l'on fait voir combien le Célibat eft prcf
iudiciabîe à une Nation. 313, &fuiv. Quidcsdçux
fait le plus de tort à la Soçicré , ou de celui qui débau-
. che la temihe d'autrui , ou de celui qui voit unc^pcr*
fonne libre , & qui évite d'affurer l'état des enfans par
ua engagement régulier. T. XLL i8f. Vaincs çn-
tr»-
DTE s MATIERES: 929
?%cpnfcs de ceux qui décrient le Mariage. T. XLII.
148. Mariages dérendus aux Prêtres Suédois par le
Pape. XLV. 35-3. Entièrement abolis. 33*8. Extrait
àcL4MûnûgénHe,aêUm*éd4nsJeMariage.T.XLVlL
s 29f. Auteurs qui ont examiné fila pluralité des Fem-
mes cfï pêrmile.ii^z^. Incooréniens qui nailTent d^
- l'abolition de la Polygamie. 117 > c^ fyiv. Raifbos.
' qui comba^ttent la Polygamie. 303 ,c^yî*«;. Voyez
Marin (Mr.). Extrait d'an Ouvrage de cet Auteur. T.
XOX.. 40a
Marine- Ouvrage fur k Marine de l'Angleterre. T«
XXXVI. 237. Extrait d'une Hiftoire générale de
k Marine. T. XL. 343. Avantages d'une Marine
bien cultivée. 34f . De k Navigation àes premiers
Peuples. 346. Des Grecs. 353. Des Carthaginois. 3 f4.
Des Empereurs d'Orient. 3f9. Des Turcs, i^ji. De
celles qui ont été faites au llijet des Croilades. ^61^
Des Vénitiens. 36a Des Génois. 367. Des Ëipa-
gnols. 366. Des Portugais. 367. Des Holkudois.
369. DesAnglois. 372. Des Danois* 373. Des Sué*
dois. 374. Des François. 3 76. Extrait d'un Effai fur
h hùtrine dis Anctens\ Ô* particulurement fur leurs
Vàiffeaux de guerre , par Mr . De f landes . T . XLI 1 . 8 9,
Les Auteurs anciens ont parlé de k Ma/ine uns k bien
connoitre. 92, 93. Détail des progrès de k Marine. 95*
Marius. Avanturesfurprenantes dek fuite de ce Ro-
main. T. XXXIIL 313 , &fyiv.
Uarlbor<mghi)c\y\xcde), Sesexj^loits.T, XXX(. 36»
Marmoffe, Cet Animal dépouillé du merveilleux qu'on
lui attribue. T. XLVL IS9
Maroc, Extrait de k Réktion de ce qui s'eft pafle dans ce
Royaume depuis 1727 jufqu'en i737,T.XXX.294
Harolles (1* Abbe </f ).Sa plume regardée comme trop pe-»
' fante.T.XXX. 390. Sa demangeaifon d'écrire. 391
idarot {Jean). Lieu d; fa naii&ace. T. X}CVI. 147*
. 5on Itilp. T. XXXVL 4f9
ijo TABLE GENERALE'^
Marsham (Mr.) , Auteur du Cam» Chrtmeus » juftité
contre les accufations de Mr. Pltêcki, T.XLIV, 340
M^rjfgli (le Comte de). Ingratitude dont on a ûfé à foa
égard. T. XXIX. 34. Eloge de Cou Hipire Thyfi^
qui de la Mer. T. XXX. 136
Martin. Lettres de Mr, 0»f ir à ce Miniftrc. T. XXX.i i
MArttn (fofias) . Lettre qu*il écrit à Mr . </e Voltaire à 1*00-
cafion des remarques de ce Poète fur les Quakers dans
fcs Lettres furies Anglois. T. XXVL 130. Nourcl-
▼elle Edition de iàlf^repour défendre les ^uakerX
contre Mr. de Voltaire, T. XXIX. 45-5*
Martin (Mr.), Médecin 8c Profcflèur en Botanique à
Cambridge, publie une Edition des Géorgfques, T.
XXXVII. a29
Martin F. (le Pape) fuccèdcà fean XXJLquc le Conci-
le de Bile avoit dépofé. T. XXVII. ij-j. Chanfoa
faite contre lui. Hid»
Martimère ( Mr. Brux.en de t^) .Critique de qudques Arti*
clés de fon Diétionaire Géographique. T. XXVI.
102 , éi^fuiv. Recueil où il a cherche à raflcmbler les
Traduâions des meilleurs Auteurs du dernier Siècle.
T. XXX. 39J
Mafcaron. Trait hardi de ce Prédicateur. T. XLIX. 284
Mafos ou Maslawy Ech^nfondt Miacislaw IL Roi de
Pologne, s'empare du Païs qui porte encore (on nom»
2c qui forme aujourd'hui le Palatinat de Mazovie. T.
XLVI. fô. Ilefl défait dans une bataille, £c expire
fur un gibet. f 8
Maffie» (l'Abbé). Extrait de fbn Hiftâire de la Toéfii
Vranfoife, avec une Véfenfe de laPoéfie.T.XXVl. 11 j
MaJfon{lAhhé) . Ranu: de ion inrention , dont on pour-
roitfcfervirfurlesVaiifeauide guerre. T. L. iff
MaJfuet{MT, Fierre). Son Hidoire&s Rois de Pologne,
T. XLVI. 40'
Maflricht. Relation d'une tempête arrivée dans cette
Ville &aux environs de la Meufc en i/fo, &c. T*
XLV. A^9&f^'
D£S MATIERES^
• •
%fmft II n'y en avoit qu'un dans les Bâtimens des An«
. ciens. T. XLII. loi
idathunajtus 0c)yO}iChîf'i*miwr9d*unlacmmiê* Quieil
l'Auteur de cet Ouvrage. T. XXXU. . 4
idathimutkues. Comment on doit étudier cette Self n-
'ce» T. XL. 1,31
JUatihe. Sielleeftdivifiblei l'infini. T. XXXIV. 88,
& /mv. Cette divifibilitc ne fàuroit avoir lieu, &
pourquoi. " 1 05- , ^ fuk/, Eclairciflcmeat fur k Di vi-
fibilité dç k Matière à rinEni. T. X L. a i-
M^^i^e.Obfcrvationfurunc doubleMatrice.T.XLl.i 18*
MsnhîAs eft clu & couronné Empereur, T. XXVII.
l6f. Adopte l'Archiduc Ferdinand, i$id. Chagrins
que lui caufàk guerre de Hongrie. 366
MtMfertuis (Mx.dej, Exlnit de ^s Ouvrages divers, T,
XXXII. 77, o»fuiv. Vers à fa louange. 94., Fai%
' voir le peu de rapport qu'il y a entre l'apparition d'une'
Comète & quelque grand événement. 376. S'offre
pour faire k voyage au Cercle Pokire. T. XXXV,
a8o. ScsElémens de Geografhie, T. XXXIX. iço.'
Idée de cet Ouvrage. 191. Ejjiii de Philofofhie Ma*
raie qu'on lui attribue. T. XLIV Jio. Ou il aoit
. qu'on doit chercher k preuve de l'exiftencedeDieu.
T.XLV. m. Remarques critiques fur IcsEcldr-
çifTemens qu'il a donnés de fon Ejfai de fhiUfophie
Morale. T 4 %LVl. \\x^&1uiv. Extrait de (on JE/-
fai de Ccfmol^ie* 461^ Réflexions fur iès Lettres*
T. L. 10+, &fidv.
iiofire blanc vu à Paris, & jugement fur cette eipece
d'Homme. T- XXXIV. 191, 19^
Maures deÈarbarie. LeurMufique. T. XXXII. 419.
Leur Architeârure. 430
idanfoliei Collines de pierres qui tenoient autrefois lie^
de Maufolées dans les Pais du Nord. T. XL. 47
Mmve» Nombre des graines d'une, efpèce de Mauve.
T. XXXVII. ' afS
idanx* Jugement fui les maux attachés i^éparab'ibr
P 4 ' * ' " ' xnent
aja TABLE GENERALE '
ment i k Nature humaine* T. XLL 285^
Uâxime , clit /e C^îjive, regardé comme un homme
perdu de réputation. T, L. 149. Il fe fait ordonner
& inftaller Evéque de Conftantinop]e« i^id. Il eft cha{^
fê honteufëment de la Ville. %fo. Il a recours aux £«
véques d'Italie , qui l'admettent à leur Communion ;
Sclereconnoiflènt pour l'Eyéque lé^time de Conf^
tandnople. ihi4. Il ç& abandonné par ces mêmes E-
Tèques. ijT»
fiâximilief^ I. (1* Empereur) eft le premier Prince de h^
Maifon à*lùbsbwrg qui ait porté la oyalité à^ArM*
due d'jùt(riche. T. XXVII. 361. Il déclarç la guer-
re aux Suifiès. ibid. Il convoque une Diète à Augfr*
bourg, où il lait comparoître Xi^ÀfT. 3(11. Sa mort,.
Uid. Ses qualités. md.
UétximUm IL Tems de la naif&nce de cetEmjpereur.
T. XXVII, 364. Principaux événcmcnsdçlon rè-
gne. î^Mf. Sa mort. iéid»
àiMyence. Si on 7 2^ fait la première découverte derïm*
primerie. T. XXVII. ao , érfmv^
Jiéazarm (le Cardinal) ayoît en mourant plus d'argent
comptant que le Roi fbn Maître. T. XXX. 103.
Douleur qu il témoigne de la mort du Cardinal de
fâehilim. 463. Ricl^cflès immenfes qu'il poiledoit.
T.XLVIII. ^331
^tnd (Mr. nichard)» Dodeurçn Médecine , Sec. Ex*
trait de fon Ouvrage £ut les Poifibns. T. XXXIV,
417. 8c XXXV. ijf7. Ses Avis^Friaftes dtUi^
dîcine. T. XLVIL x^é
Mécanique, Ex^m^ d'un phénomène de Mécanique a&
fèxfurprenant.T. XXVIII. 46o.Leçons élémentai-
res de Mécan.par Mr.!' Abbéi^e U Caille. T. XLl.i^^
Mkhu, Minifbre & Confident de l'Empereur Augufit.
Confeilqu'ildonneàcePrince,T.XLV. 83. Ses bel-
les qualités , fèsYoibleflès , tems de fà mort. 1 07» 1 08.
Son amQure:^ce(nf pour k vie^ Vôrs à cefujet.i^i^.
^idéilki de |;iand 0c de mojen bronie du Cabinet de
'S; «r
SES MATIERES. 233
•^lâRdne Cbrmne. T. XXX.64.. Manièiçaifee d'en
tirer rimprcffion. T. X XXVI 1 1 . fdrt. //. 1 76. Mou-
les de Médailles anciennes déterrés en Shropshire* T«
' XLIII. 43 r
%didecms (les) ont de'grands avantages fur les Chinir-
giens, & à quels égards. T. XXXI. 171. Médecins
Indiens : leur manière de traiter les maladies. T.
XXXV. ^84. Sciences à l'aide defquelles ils peuvent
€c faisé valoir fie réuflir dans leur profeflion. T . XLI.
4^9&Juiv, Poiitiquedes Médecins entre eux.' 447^
^t avec les Malades. 449. Par rapporta la Religion.
4fo. Dangersauxquels fbntfbuventexpofés les Mé*
decins des Grands Seigneurs en Periè. T • XLII . 3 1 1.
Voyez Mf4^eme-
tdédecine (la) l'emporte de beaucoup fur la Chirurgie.
T. XXXI. 190. Etataôueldek Médecine dans les
Colonies Efpagnoles. T. XXXVI. 113 .^fuiv* iX
' Médecine Dogmatique doit jetter les premiers fonde*
mens de la Métaph^fique , fur- tout pour ce qui re*
garde la première opération de l'Efprit. T. X4«IXi
91. Incertitude de cet Art, ficcaufe decette incerti-
tude. 437, Voyez Uiitcvfis,
fieermân (Mr. Gérard)^ Peniîonnaire de Rotterdam.
Extrait de fon Nouveau Tréfir du Droit Civil &Cm*
nomque. T. XLVII. 164. Ouvrage de cet Auteur.
T.XLVin. 117. & T. L. 331
tdiUncolie (la) guérie^ la Mufîque. T. XXX. 2^9.
Tourmens , inquiétudes inexplicables de ceux qui
ibntfujets i cette maladie. T.XLI. 3 14» 3 if . Dif-
ficulté de connoître la vraie caufe du Délire mélan-
colique. tfiV. &fuvo.
tiikngo mrlijfen. Extraits d un Ouvrage qui porté ée
titre, t. XXXVI. 143. T. XXXVIII. 13. T.
XXXIX. 143. T. XL. 183. T. XLVI. 40^
fdtlUrftad {Martin) regardoic la Poéfie commis le jpriiv
cipe , l'origine , 6c le fondement de la Théologie. T.
^XVL 199. Il aicaque Simon Hftorim. ièii.
P f Un
an TABLE GENERALE^
MimM'i. Défaut de Mémoire afièz Singulier. VT^
XXXIX. lo^. Pourquoi la Mémoire fecTiax^ (dif-
ficilement des Noms propres & des Subftantifs. ièid.
La Mémoire ne diffère |>as de rimagination. T.
XLIX. 90. Terme énergique dont & font fèrvis kf
Anciens pour exprimer k Mémoire, iiid. Ce qi^e c'eff^
qu'une grande Mémoire, iiid. Pourquoi les Vieil«
lards manquent de Mémoire. Md* Si la Mémoire nous
fait plus perdre que gagner. T. L. xo^
lUenies. Longueur & krgeur du Lac qui porte ce nom.
T. XXXVIIL Tart, IL ^ 8}
MenJozM {fohâmis SuMrtx, de). Précis de (à vie avec une
idéedefes Ouvrages. T. XLVIIL , ii8
MautTuler (Mr.). Son calcul touchant le nombre des
arpens de terre qui appartiennent k la Suède. T\
XXXVIII. fart II. 6>
^lUmumUs » appelles d'abord Ambêftîfits. T. XLVII.
4;9.D*où leur vient le nom deMennoiiites.i^iJ.Com-
. bien ils ont d'Egliiès dans les Provinces-Unies, i^id.
Mtr. Sa profondeur. T. XXVL 160. Diverûté de k
nature du fond qui kfbudeht. ibid, Obfervations.qui
femblent prouver quck Mer perd infènfiblcment.T*
XXXVI. 299» 300. ProduâionsdelaMêr, qui a-
. voient été mifcs au nombre des Pknteis , & quifbnt
rouvraged'unefortedMnfe(aes.T.XXXIX.467.0b-
: fèrvations qui prouvent que la Mer pnend 6c cède à k
Terrede5eipacesconfidérables.T.XL.i89, 190. Fa;^
^i fèmble donner lieu de croire que k Mer & retiré*
T. XLII. 5*7 . Agitatbn extraordinaiie de k Mer au
Port de k Vera-cruz , & ce qu'elle produifit. 193 • £-
tinceHes ^ui fè découvrent fur k furtace de laMer . 9.80
Mfr Eûugê» Comment les Hébreux la payèrent; T.
XXXI . 4f 3 . Son eau beaucoup mçins falée que^^elfe
au autres Mers. T. XXXVIII. T^rt. IL 8^
Jlervwrr. Obfervation du palTage de cette Planète dt-
; vant le difque du Soleil. T. XLL ., 4.07
^dtrcure. Cçmbien les Mines de Merqirie d^ Fjîppj ç>u*
toienc
PC 9 MATIERES- t^
r fefeat aatrefois i TEmpeieur , & combien elles lui
coutentàprérent.T.XLVtlI. 410. Profit qu'on ea
retire. iiU, é^fuiv. Maladies que contraâent les Ou*^
vriersquiy'traTaillenj. ihUl
MéridwnMfx. Caraâèredeces'PeupIes.T.XLlX. 30%
Mervtilleux (le) efl le caraéitèie des premiers iiècles. tJ
60. Le Chriitianilme fait diminuer le merveilleux 4 1
HervilUrs (le Père de) > Jéfuite* Sa Traduâion des ^«
Ugies d'Ovide. T. XXX. ^ ^ 397
Mérjf (Mr.) n'a &it aucune découverte importante ei|
. Anatpmie. T. XXXI. 171, Il a introduit des Sy ftc-
mes ou très douteux» ou entièrement £iux. 171
Mefchmt (7m;9), Gentilhomme Breton, eft TAuteu^
de rOuvrage intitule /« Lunettes des f rinces. T.
XXVI. ^ 14JJ
T^ejfe. Scène plaifknte qu'on fait repréfcnter aux Prê-
tres qui difcnt la MefTe.T, XXXIII. i^fiàF/uiv.
Métalkrgii , ou l'Art de tirer 2c de purifier les Métaux*
Extr.d'unOuvrage fur cette matiere.T.XLVIÏI.408
Metufhyfique, Les Ecrits à^Ariftote regardés comme 1^
fburce de cette Science. T . X L . 17. Avantages de la
MétapHyfîque.i 8. Erreurs des Phllofbphes moderpes
fur la Métaj)hyfique, T. XLIÎ. 44. I4 Métaphyfique
a été mal définie par les Anciens oc par les Modernes.
T. XL VIII. 70. Sur quoi elle roule, ibid. Elle in-
flue fur toutes les Sciences, Se intervient dans tous
nos raifbnnemens. 8 1 . Définition qu'on en dotme. 8^
Métaux .Expériences faites à Quito & ailleurs fur la dila-
tation 2c la contraâion que ibuffirent les Métaux par le
chaud 2c parle firoid. T. XLV. 311. L'ârtdelespu«
. rifier eft prefque audl ancien que le Monde. T.
XLVIIL409. Succès avec lequel les premiers hom^
mes s'y font appliqués. î^iJ. Pourquoi nous n'avons
des anciens Auteurs aucun Ouvrage fur cette ma-
tière, ibid, Tems auquel on commence à trouve^
quelque^ traces de cc& fortes de purifications, ibid»
Clxflo^nances de piofîeurjt V^9\& de Fxioce fiir le fâjp
des
%it TABLE GÉKERALB
éesMines.iMd.&fiPV* Mines de Hongrie. 417.' I5i
• les Métaux végètent. Uid. ^Juhi.
Uhéoroliigiques (obfervatiotts) faites en 1 743 . T. XLI.
469. Et en 1744. T. XLIL 419
lâgttrît (Mr. ie U) regardé mal-i-propos comme PAu*>
tcar des Tenfées TUlcfofhîfues, T. XL, 113. Autres
Ouyragesqu'onluiattribue.îM. Extrait de (on Dif^
cours fur le Traité de la Fie i&fivrM(/i par Senèque. Ti
XLII.183 .11 avoit les vertus fbciablcs.T.XLIX,; 19.
Mmn (Jeandé) eft le continuateur du E^/i»ie UBûfe.
T. XXVI. 134, i3f.Lieude&nai(Iance.l^ii.Pour«
quoi appelle aulTiC/tf^Iffe/ ibid. Ses talens, ikU^
ddicromkre. Application du Micromètre au Microcoi^
pe. T. XXXIX. 6
UicrofcffPes (Traitédes). T.XXX^ ai8. OuvragcdeP-
tîné a en rendre la connoiflânce aifée.T.XXXVi;-
*35*. Progrès qu*a fait Tart de fc fenrir du Microfco-
pe depuis LeeuwenHoek. 31^. Nouvelles découver*
tes&itespar le fècQursdesMicro{cope8.T.XLIX476
IdidiUtm (CétJfm). Extrait de Ùl VU de Cicérim. T.
XXVIII. i47,Jugeincnt fiircct Ouvrage, i^ii/. Let-
tre de cet Auteur. T. XXXIII. 184. Extrait de fe<
Antiquités, T. XXXIV. 143. Et de fon Traité fur
ie Sénat Rofnsin. T. XL. 3. Ouvrage de cet Auteur,
' T. }tLII.4ai. Aveccombienpeude ménagement
il traite l'Evéque de Londres. T. XLIV. la^ , aa7.
USiiCtsU» , Roi de Pologne , (e fait Chrétien. T. XLVI.
/o . Il fè fait refpeâer , 6c le Pape féconde Tes projets»
' ft. Grand nombre d'Eglifès fondées fous fon règne.
Uid» Idée générale des guerres qu'il eut avec d au-
tres Princes. fii&Jinv*
Miedsîa'mlh Roi de Pologne. Ses vices k -font haïr de
its Sujets. Té XL VI, ff. Son mauvais Gouverne-
ment , 8c defbrdres auxquels il donne lieu ibid*
Miictsla-m IIL fouille le trône de Pologne parfès màu-
vaifèsmosurs. T. XLVI.61. Il eft dépofé. iàidn
iûfraine caufée par du Vin qui fomenté, lie qui fè
ter»
DES MATIERES. ^^j
; fnrtnine par un grand écottkment de lanaes. T,
XLVIL 394
Migrêticns. Raîfbns des Migrations des Peuples du
; Nord, T. XL. 37» 38
Util (Mr.). SarepHqueàun Artickînrérédansiejptn>i
ml appelle Sermum Antiquarium. T. XLV. iiy.
Plaintes au'il forme contre Mr. Gerdes. xxS
Mille' ^eUè eâ la longueur d'un Miile Romain. T.
XXIa. f6y él» fidv*
Mmirumxt Combien de temsils durent.'T.XXXIX.^So
Minifin. SiunUoi doit rëcompenièr un Premier Mi-
niilre&fesParens. T. XXX. 100, é^fuw. Poui^
quoi les. premiers Miniibes lavent ordinairement fi
bien remplir leur bourfe. 103
WnoripH^ Ob&rvations fiir les Maladies epidémiques
qui ont règne dans Tlle de Minorque* depuis Van
, .i744iurqu'en 1749. T. XLII. xxj
MtrMcUs. Cequec*eft.T.XXXIX.i4i. Jugementf]^
les Miracles de l'Évangile. 14a » <^ fim. Traité iur
. les Miracles. 474 » 475*; Ouvrages fur les Miracles.
^ T.XL..aa8, 469, 470. Réponfè auxobjeûions
que font les Incréduks contre les Miracles. 284, ^
; juw. Auteur qui prétend que la ReUjgionCmétienne
ne peut aéhiolement être embrailee iàns miraclc&
. 474^ Extrait àts recherches Ukres fur Us denf mSract^
Im» que l'on fuppofe avoir fubûfté dans l'Eglifè
Chrétienne durant pïufieufs fiècles après k mort
des Apôtres. T< XLII. 411. T. XLIIIl 284. SI
ce don a continué après k mort des Apôtres. HuT^
é^fitw. Si les Miracles ont été continues depuis les
Apôtres. T. XLIV. 116, (J» furu. Ce ^u'on doit
en juger , entant qu'ik ont rapport au génie des Peu^
pies modernes. T. L. 61. Re^iirdés comme ksfymp^
tomes certains d'une Seâe mourante. î^. La Re-
ligion des Seâes Idolâtres , ou Mahométanes , oii
Schifmatiqucs , eft inondée de faits prodigieux & dé
.flaerveilks ridicttks, 6a. Examen de ces deux quef^
uons
S3« "i-AÔ LE GENERALE
• tions importantes, i. Siles Mîrack^ittpportés ju»
rEyangilCjfbntefFecliyementtelsdeleur'iUituro, &:
• prouvent évidemmdat la DÎTinité idè la miïlîon de
Jê/m-Chrifi. 2, 5'ils ont été réellement opérés de la
manière que les Hifîonens Sacrés le diiènt-, ou fî Ton
peut compter fur la vérité & l'autenticité de THiftoire
qui les rapporte. T. L. 177 , (&• A"'- ^^ ^^^^ étant
• ' r Auteur àss Loix delà Nature, il n'y a que lui qui
• puiflê les changer , ou en fuipendre & en reoverfer le
• cours. 178. Pourquoi le cas des Magiciens 4f£gfp(b
' a tant cmbarafle les Théologiens. 18 1
Tfiiroîr (k 6 pieds en quarré qui brûle de PËtain ï i^%
piedâ, de l'Argent 'à fo , & met le feu à du bois é-
• Joigne de 100 pieds. T. XLVI, 377
^iffm (Mr.) infulté mâl-à-proposau&jet àtYAne Je
' Vérone. T. XXIX. ;, . 35»
"UithoÎQgîe. Lettres^fiir lâMithologîc.T.XL, 471
iîoavie l, premier Khalife<ïe la Maifbn à'ommîah, à-
• voit été Secrétaire ètU/Uxmet, T. XLII. 1 37. Ses
• belles qualités. iBid^- Eaft le premier Khalife qui éta-
' bKtiie^ Chevaux.de Poftc lurles routcis. • 1 38
%ioavi9lh huitième Khalife,, renoncé au gouverne-
ITtcnt, 8c pourjiïot: T.* XLII. 138
^0dts\ Auteur qui prétend démontrei* que les modes
*. ' dès ctiôïçs^lbht les chofès mêmes , confîdérées d*u-
' «c manière incomplettc. T. XL VIII» 71. T.
XLIX. ,^. . p8, 100
iiœurs. Gônfidératibns^ fur les Mocurs^c ce fiècle. T.
• •-XLIX. fi. Ce qu'on doit entendre jpar- lé terme de
*: Mœurs, fi» Chct- quels Peuples fc trouvent les
• Moear^: (impies & févères. SI
Môgols. Ufages 8c mccàrs des Dgmes MogolsV T.
XLIL i7f
idomO^T.Le). Ouvragedecet Auteur. T. XLII. 411
idoîMAU de Laponie qui change les couleurs de ^n plu-
mage avec les faifons. T. XXX VIII * IX
%toms. Néceâité qu'il 7 a de ramener ^ Me^^s à
VÇ3
b^É MATIERES, '23)
•'^Tétàt de fîmplcs Laïques. T. ^LIX. 13^
/hvv. Mojren dont on prétend qu'il s'eft icrvi poiït
donner plus de force aux Loix que les J uifs dévoient
• fuivre. T. XXXII. 29. SonS7â;êinede kCréaiioù
< regardé comme le plus conforme à la Raifon 8c à
. rExpérience.T.XXXIV.384. ElogedekPhyûquc.
T. XLII. 4f , 46. Il n'eft point iufpeâc d'avoir é-
critpour flatter à Nation. T.XLIV. 332.Ilaeutous
ks fecours néceflàires pour s^nfbruire del'Hiftoirè du
* Monde. ihU» Les évènemens qu'il rapporte font con-
' datés par des monumens autendques. 334. Jufiifié
' contreles accufationsd'^^ia». T.XLVII. 282. Rai«
ion qui donne lieu de croire quefbn hiftoire de l'ori-
gine du Monde eft véritable. T. L. 10
tdoltère. D'où il a pu tirer la plainte idée d'une leçon
< qu'il fait faire par un Philofophe à ibn Bourgeois Cm*
tilhomme. T. XXVII. '33
§âolières (Mr.fofeph'Prîvatde) a expliqué mécanîque-
-^ xnent dans le Syiléme du ?lem les Loix Aftronomi-
' quesdesViteiTesdans leurs Orbes. T. XXIX. 135.
' Hiftoircabrégéedcfavie.T.XXXIX. 198, Ses oui
▼pages. 199. Soncaraôèrc. iiidé
gioller (fean) . Extrait de ùiCimàre Suçante. T.XXX V.
: 416. Hiftoire delà , vie de cet Auteur. 417, éf^ furu*
tdomie, Deicription d'une Momie de Cambridge, 't.
XXXIV. 264
Monarchie. Voyez Cotwernemeia.
Monde. Difiercntes opinions fur la Création du Monde.
- T. XXIX. 124, è*>ïv. Si le Monde vieillit. T.
XXXIV. 373. Le Monde regardé comme un Ani»-
mal par les Stoïciens. T. XXXV. fo. Divers fettti-
mens touchant fon origine. T. XXXVI. 134 ,d*
fuw. Du Sjftême du Monde dans les principes de la
gravitation univerfelle. T . XLV . 3 2 3 . Comment on
entreprend défaire voir que le Monde écoit quelque
chofc avant qu*il cxiftât. T. XLVIIl. 83
n
>
240 TABLE GENERAL!
Momner (Mr.Le). SAlheifriedesComèns.T.XLl.f^j^
Expér. qu'il a faites fur rEkâricité. T. XLIIl. 179
Moni^amie. Voyez Mariage.
MoMthélites. Origine de leur Héréfic. t*. L. 127
idonfires. Extrait de deux Mémoires fur ksMmfires. T.
XXVIII. 45-1 , & fuiv. Syftêmc de Mrs. (f'inf/w
& Limery iur l'origine 8c la formation des Monfbes.
T. KXXn. 377. S'il y en a plus en Afrique qu'sul-
leurs . ^16. Monftre humain. T.XXX V. 4/4. Monf^
tre quiaVoit Tair d'un Singe. Comment on fait voir
que ce prétendu Monlbre n'étoit qu'un Enfant ordi-
mire. T. XXXVI. ^41. Si les MonfbrsSc certii-
nes difformités peuvent étrerefifètde l'imaginatioa
des Mères. 1^7 »& fuiv. SilesMondresneibnt ja*
mais tels que parles accidcns qui arrivent au Fœtus
dans le feindc la Mère, ou s'ils viennent quciquefoiit
d'œufs Se de germes monâxueux.t.XXXIX. 461»
érfuiv* Remarquesfurles Monftrespar Mr. ^«u*
lo». T. XLI . 461-. Petit Chien monfbneux.T.XLIL
1 94* Veau mort-né ix>onflrueuJc. ihid. Enfant mon{-
trueux. T. XLV; , aao
Montagne, cité* T.XXX.4or >4oj,4o9. Sonfenti-
mentfurla Loi Naturelle. 410. Jugement qu'il fài»
' àUUximdre le Grand. T.XXXV. 97. £tdeCc/4ir,
T. XXXVÎI. ^ ci
MaaagmsXklks qui font le plus élevées pibduifènt prti*,
que dans tous les Climats du Monde les mêmes Plan*
tes. T. XXX VIII. 6. Montagne formée par étage»
où l'on découvre une nouvelle preuve de la formar^
tion fucceffive des Pierres. T. XXXIX. 170 , 27 1
Monte/fan (Madame ^/f), Maitreflè de Louis XIV. con-
fie 1 éducation de fes enfans à Madame Scarr^ depuis
Marquifè de Matntmon. T. L. g 2 3 . Brouillenes de ces
deux Dames-i^ii/. Soupçonnée mal-à-propos d'avoir
empoifonné Mademoifelle Igntanges fà rivale. $16
Mimtefquiiu (Mr.lePréfident).Sone]oge.T.XXXVI.
462 . Ses Obfovations fur des Picnes^T. XXXVlII.
DES MATIERES. Mt
tf^. Découverte qu'il a fidte d'ude Plante aquâdquft
qui n'avoit pas encore été décrite. 16 1
Monf faucon (Je Père), critiqué. T. XXX. 24
Mmtrei, Di&rentes fortes de Montres.T.XXXIX.i 9)
MoniyêUm {Mftde) , Confèilkr au Parlement de Pro-
vence. Idée de fon Mémoire fur cette partie de la
Muûque théorique Se pratique qu'on appelle Tf/79»^-
r Amenât &qui traite de la proportion des intervalles
des Tons Se des Accords. T. XXXIX. ipt
Moffes* Le Secret des Moffes révélé^. Extrait de cet Ou*
ge. T. XXXIV. 61, &fiéPV.
Morale. Les principes de la Morale ne doivent pas être
rapportés a de amples conventions. T.XXXIX.iif.
Dans quels Livres on peut puifer la bonne Morale. T.
XLII. 121» lia. Ce que c'eft que la Morale. T.
XLIV. 310. Quel cft le vrai principe delà Morale*
T. XLVIII. 279. Négligo^ce avec laquelle on a
traité cette importante qucftion. 2B0. DeuzSyftê*
mes généraux auxquels on peut réduire toutes les
méthodes différentes qu'on a employées pour établir
les vrais principes delà Morale. 281. Inconvénient
du Syflême de ceux qui prétendent fonder les devoirs
de l'ilomme fur le lèul intérêt. 282 , (^Juiv. Le
Syflême qui fuppofe une différence naturelle 8c pri«
mitive entre le Ju fte & l'Injufte , l'Ordre Se le Defor»
dre , doit être regardé comme le vrai Syftême^des
principes de la Morale. 287 , (jf^/uiv, La Morale regar*
dée parles Payens, Se même par les Juifs» comme une
afibire de Pouti(}ue , maigre les peines que les Pro*
phètesfe donnoient pour reâifier leurs idées.T.I^. 1 1
hdarand (Mr.). Ses expériences fur le remède deMUc.
Stefhens pour la guérifbn delà Pierre. T.XXXI.i79«
é*fmv. Extrait de &s Obfervatkns fur lu Sun^ui*
469. Obièrvation qu'il communique à l'Académie*
T. XXXIL 38^ Son Mémoire iur les Remèdes de
Mlle Sfephens pour la Pierre. T. XXXIIL 460
Mgruves.Vojez U&nhutes.
Q Mmll
ft4i tABLE GENERALE
idêrell (André) a ddliné de giavé k fameuiè Colonne
de Trajan. T. XLVII. 580, Trait qui prouve iba
habileté, i^f. Voyci Trsjan {la Colonne de).
Morgan (Mr.) , Auteur du Fhilofofhe Moral ^ ^ qud*
ques autres Ouvrages, T. XXVI. 467. Idée dk &
Théologie Naturelle, otiDi/quifition Morale i^Fhilo*
fcphique toHchara la Nature humaine ^ Us Avions li'
hrej,le Gouvernement Moral <^ la Provid» Divine. iSid*
Morgan (Henri). CirconAances de la vie de ce fameux
Pirate. T. XLVIII. 1^-3, 1^-4
Mort^ Raifbns qu'on peut donner de cette coutume û
fénéiale des Romains de iè donner la mort. T.
IXWUl.ijf .é" fuiv. Extrait de hDiJfertationfur
l'incertitude des fignes de la Mort, &ic, T. XXX. ^06.
Dans quel cas on peut rendre la vie à un homme mort.
T. XXXlX.4it , t^fuiy. Jugement fur la mort de
Caton. T. XL. 3 57 > <$• fuiv. Pourquoi les Romains
mépdibient la mort , & pourquoi nous k craignons.
^30. Si Ton doit condamner le defir qui nous porte
à ibuhaiter qu'on iè fbuvienne de nous après notre
mort. XLL p. Quel eft l'âge auquel il meurt le plus
ou le moins de monde. 37. La plupart de ceux que
nous voyons mourir à k fleur de leur âgç, meurcQt
par leur faute. T. XLVII. 419
Jf^^e.Comment onla prépare enIsknde.T JXXX VIII.
81. Remarque fur ces Poifibns. T. XLV. 46
Mofcovites. Idée de leur puiilànce fur Mer. T. XL. 376
Mofellan (Pierre) eft appelle de Trêves à Leipzig » où il
fait fèrvir (on rare iavoir dans les Langues 8c dans les
Belles - Lettres aux matières Theologiques. T.
XXV I. 101. Comment il fraya le chemin àkRé»
formation, i^id. Grand nombre de Difciples qu'il a-
YfÀt,ièid. Leçons qu'il donnoit fur St. .^^»j?y».i^i.
Mo/elle. Projet de joindre par un Canal la Saône & k
MofeUe. T.' XLVII. 409
Mosheim (Mr. J. L.) Extrait du Commentaire de cet
Auteur fur k première Ëpitrc àtSt.Paul^^^n Corin-
. . thiens.
DES MATIERES. 243
thicns. T.XXX.^-ôjé-yiiv. Extrait de fit Traduc-
tion du Traité de la vérité de la Religion Chrétienne
fzxOrigène. T. XXXV. 395»
l/Loteux {Le). Ses remarques fur iU^etiw.T .XX VI. igf
Moules vivantes qu*on trouve enfermées dans des blocs
deMarbre.T.XXlX. 36. Remarque fingulière fur
les Moules des Marais de Penfylv. T.XXXVIII. 1 68
Moulirat {Jean). Poème qu'il a traduit en Profe. T.
XXVI. 156. Tems auquel il vivoit. ibid. Versfin-
guliers de fa façon. Und.
Uimlm (Mr. mlfgang du) , Pafteur de TEglife Wallo-
ne de Leide. Extrait de fon Livre intitulé Lu f^ltgîm
. rêvèUe. T. XXXI. 1^0. Idée de cet Ouvrage, ibid.
Mmjfe mouvante dans la Province deLancaflre. T.
XXX IX. 12. Sur la propagation delà Moufle, T.
XL. 400. Sa grande fécondité, 401
Idmvement (le) n'eft caufè de rien , 8c ne produit rien.
T. XXXV. 48, 49. Extrait d'une Nwve/ZeT^fVie
duMoêêvement.T.XLiy.i^Sff^/Hiv» Cequec'eft
que le Mouvement, i jro. Si Ion principe eft immaté-
riel, ifiy ^fuiv. Et û ce principe exerce fon ac-
tion (kns un point. 1/4 > ïf^
Mouvement perpétuel. Si on a démontré ibnimpoflibi-
Ktc. T. kxXIII. 44f
Afiȏ>.Exemple d'un Muet qui peut chanter.T.XXXlX.
10g. Homme qui perd fubitement la parole, & qui
la recouvre de même. T, XL VI, 274
Mufti (le) a confervé le titre d'indépendance, quietoit
dans fà création j mais le Grand- Seigneur ledellitue
par un coup d'autorité. T. L. 68
Munchhaufen (Mr, de)^ Minière d'Etat de Sa Majefté
Britannique pour l'Eleâorat d'Hanovre. Ses travaux
pour le progrès des Sciences, T. XXXIII. 5*
Mufc. Sa vertu contre la Rage » lorfqu'on le donne en
fuffifante quantité. T, XXXVIII. 184. Succès au'il
a dans les Convulûons. iSid, En quoi il reffemble à
rOpium» quoique moins dangereux. i8^, Maniè-
0^1 ic
I
'%j^ TABLE GENERALE
re dont il agit. 186. Expériences qui confirmait fct
bonse£Ects. Ûid. &fuiv. & T,XL. 411
XfKr/f/w.Rcmarques iur leur mouvem . T.XXXIX. 4.39
lâufiqM (4a). Avantage^qu'ellcprocure.T.XXX.Hj-.
Eclairciflcmens fur les Inftrumcns de Mufiquc dont
on fc fervoît autrefois. 8i. Admirables effets de la
Mufiquc. ifS^é^fuiv. Principe de tous les Accords
dcMufique.T.XXXI. 314. Mufiquc des Oifeaux.
318. Mufique des Bédouins, en quoi elle confiûe.
T. XXXII. 429 Celle des Maures. i6id. Et des
Turc*. 430. Jugement fur Tufàgc de chanter dans
l'Eglifc en Mufique. T. XXXIII. 297, é* fuiv.
Cctufàgc condanmé par un Proteflant. ihid. Si on
peut le jullifier par l'exemple de David y pr celui de
Bèzi 8c de Marot , qui ont traduit les Plêaumes en
Vers , que Ton chante aujourd'hui en Mufiquc dans
les Egliics Réformées. 298,299. Traité fur la Mn-
iîque. T. XXXlV. 21 , &/uiv. Obfcrvations fur
les genres & les efpèccs de Mufique enufàge chez les
Anciens. T. XL. ^ aoj
MuJJkrd {Pierre) , Auteur des Conformités des Cérémo-
nies modernes avec les anciennes. T. XXXIII. 187.
Tems&lieudefa naiflàncc, ièid. *Ses talens. iSid.
Uujfchenbroek (Mr. P/(?rrex;4»). Idée qu'il donne del'Z/^
pace. T. XXIX. 187. Preuve qu'il donne de Tlm-
matérialité de l'Ame. 203. Cité. T. XXXII. 48.
Traduâion Angloife de fes Eîémens de FhHofophit
Naturelle. 11^. Sonfcntiment furies Atomes ou U*.
nités. T. XXXIV. 100 , loi. Expérience fînguliè-
le qu'il a faite fur l'Elcdricité. T. XXX VIII. P/irf,
n. 110. Reproche qu'on fait i ce Philofophc. T.
XLI. 443 . Particules frigorifiques qu'il établit pour
la formation de la Glace. T. XLV. 147
Myjîwx, Pièces ainfi nommées. Tems auquel elles pa-
rurent en France. T. XXVI. 147
Myfiere. Origine de ce terme. T. XXVII. 244. Re-
marques Sir les Myflères. T. XLI. 412 , 4ï3- Ce
qui y^ a donné lieu. T. L. ^f
DES MATIERES. Mi
N.
NJiatheew, Lolx 6c Coutumes des Nabathéens
enArabic.^. XXXVI. xU
Nahucgdonofor , Roi àc Babylone , efl le pre-
. xhier dont les exploits maritimes méritent une place
dans THiftoirc. T. XL. 3^1. Prifc de Tyr par ce
Prince. iSid.
Kêijfilncts, Le nombre des Filles qui naiflènt à Upfal
iurpaflc celui des Garçons. T. XXXIX 100. La n^-
fancc.des Garçons fie des Filles eft à peu près égale. T.
. X LL 3 7 . Le nombre des M aies prefque toujours fu-
pcrieur àcclui des Femelles. T, XLVL nf. KepÇ*
^ très qui prouvent que dans des Contrées de l'Aue il
naît beaucoup plus de Filles que de Garçons. T,
. XLVn. 308, ^09. S*îlnaîtplus de Garçons quede
^ f'û^s. T. XLVlir. ,, 48
Humes (l'Ëditde) étoit irrévocable, ficderroit être ré-
tabli. T. XHV. 20/
J^^e/. Remarque fur cette plante. T. XXXIX. lof.
Voyez Aconit,
ffsplffi ékndfe , Napbte notre. Leurs iburces. T,
:.XLVL 365- . ^66
Naplfs* Combien les Femmes publiques y caufènt de
defordres. T. XXIX. Ji, 31. Extrait àcl'HifiM'i
de ce Royaume. T. XXX. 26,ci»>w. 310, &T,
XXXIIL 184
mrwhal Defcription de cePoifibn. T.XXXVIIL 84.
T. XLV. 49
JSlatwis {VE/frit des). Extrait de cet Ouvrage. T*
XLIX. 291. Combien il eft difficile de bien juger du
véritable efprit des Nations, ibid. Ce que c'eft que le
Géniedes Nations. 293. Quelle eneftla cauTephy*
iîque* ibU.
Rature. Accord de différentes Loix de la Nature qui
ont para jufqu'ici incompatibles. T. XLIL 416.
Cenjeéhire fur les forces 8& ks reilburces de la Natu-
ic. T- XLVIIL »77
0.3 »t
^4^ TABLE GENERALE
Nature (lcDroit*dek). Voyez lyroit Naturel.
Nature Hufmine Extrait du Traite fur la Nature HumaU
M. T. XXVI. 411
Navigation* Diicours hiftorique fur l'origine & les pro-
grès de la Navigation. T. XXXVII. 113 , é'fmv.
Ouvrage fur cette importante matière. T. XLIV.
480. Voyez Marine,
Navire. Extrait du Livre intitulé Scientia Navalis pat
Mr. JL. iMler. T. XL VI. %6f
Nazaréens, Ce que c'étwt qucks Nazaréens chez les
juifs, T. L. u
Neal (l'Ëvéque) .Mauvais confeil qu'il donna à Jaques I
Roi d' Angleteirc. T. XXIX. %} , ^6
Néant. Voyez Rw».
Needham (Mr. T.). Extrait de fes Nouvelks nécâuver-
tes faites avec le Microfcope. T. XXXIX* gf
N^gr/t blanc,, Ext^aitd'une OiiTcrt. phyfique fur un Nè-
gre blanc.T. XXXV. :%o2. Nègre bknc né en Amé-
rique d'un Nègre & d'une Negrcflc. T. XLII. x 9 j»
Nègres. Couleur de leur peau. Voyez, l^eaué •
Neige. Moyen d'empêclier que l'éclat de k Neigé hè
nuiiè. T. XLII. , 1 1
Nenci (Mr.) , Florentin, Sa Traduûion Italienne de
l'Art Poétique d'Horace. T. XXXV. ii6
Néfonmc (f, de) , fameux Saint en Bohême. T . XXIX.
4 1 . Médaille gravée à Ronie fur fà Canonifationi^Â/.
Nércn. Beaux çommenccmcns de fon règne.T.XL VI U
399. Soncaradère. ibid. &fiiiv.
Ntmilant (Madame </e). Soin qu'elle prend de l'éduca*
don àc^anfoifed*A3iBignêy depuis M^quifc^/e Aâ«i»-
Hnon. T. L. 3,7, 3ï8.
NeummiUr.), de Berlin. Liqueur de fon invention
qui feroit, en cas de befoin , le même miracle que St.
>»w«y'à Naples. T. XXIX. 35
Neures. Ce que c'éft queces Peuples. T. XL. 28
Newtm. Difficultés auxquelles eft fujette l'explication
qu'il a donnée de k Création. T. XXX. 138. Deux
con-
DjES MATIERES; i^f
conjeâUres de ce Philosophe réfutées. 167 , éi^fuiv.
Sonfentijnent fur la nature des Corps primitifs. T.
XXXIV. 96. Lettre qu'il écrit à Mr. BoyU. T.
XXXV. I f 4. Examen de fon Syftême fur la Lumic-
le Scies Couleurs. T. XXXV I. 386, (^/î^w. Pro-
jet d'une ExPofition âesDecotwîrtes de ce Philoibpbe.
T. XXXIX 119. Idée peu avantageufe qu'on don-
ne dçfon Syftême. T. XLI. 197. U n*a fait que fub-
ûituer le Vuide&rAttraâ:ionà la mitière fubtile &
au Plein imaginés ^axDtfcartes, T. XLII. 4.^. Ju-
gementdçfon Hypothèfe de T Attraction. T. XLIV.
146. 147. Défaut de fon Livre de la Pbilofophie m-
„ txtçlkf T. XLV. 3*;. U aeu une idée nette de la
(àincMéraphylîque. T. XLIX. 103
X«c. DilFormitésdeNez.T. XXXI. 413. Si le man-
que d;e Nez eft une diâbrmité répaïuble. 414, (^fuiv.
Ce que c*eft qu'un Nezi pointâlé , ôc comment on
peut y remédier. . 417 > 6" fuw*
mavhXS^l) contribuer éntretenlr.lc goût des Belles-
Lettres à Leipzig. T. XXVI. 199
Jflicée (le Concile de) , affemWé fousle Pontificat de Syl-
veftre. T. XLVII. 6. Députés .que ce Pape y en-
.voya. ihii. Harangue qui y fut faite à l'Ëmpereor
Conftantin, 8c par qui. 7,8. Remarque importan-
te, qpe c^ premier Concile Oecuménique fut con-
Toqué , non par l'Evêquc de Rome , mais par l' Em-
pereur. 9. Autres chofes remarquables qui iè pa(Fi-
rentdans cette affemblée. ^U* &fiéiv,
NicMls {Jean) , le jeune , Membre de la Société des An-
tiquaires. Ouvrage de cet Auteur. T. XXXI. ix8
miU (la). Ce que c'eft. T. XXXV. 39*
Ni^wf^.Effctidangereux de cet Animal. T. XLÏV,4ii
^imphidm ftfpirc au Trône , 8c commence par s'empa-
rerde toute l'autorité dans Rome après la mort de
Néroû.T. XLIX. lof. Ses mcfurcsfontrompues
par Antoaitts-Honoratus, Tribun d'une Cohorte Pré-
torienne. iSid. U eft tué , Se fbn corps environné d'un
0^4 grU-
Ht TABLE GENERALE
grillage , eft cxpofé tout un jour en fpeâade.
^inivi. riatedehniinede cette ville. T. L. ^f6
fiifihe. Les habitans de cette ville obligés de révacuer
pour être miiè entre les mains des Perfes . T . X LI I L
io6. Comment les Romains la perdirent pour tou-
jours., ikid. ^Jkîv,
JUimmentyf {Bernard). Son (èntimcntfur la RâTumc-
tion. T.XXXIV.98. Réfuté. 107. Jugementfur
cet Auteur. T. XXXVII. 185-
^emlU (Madame dt), première femme àtCmfiâm'm
d*Auè^gné.T,L. 315*. Son trifte fort. iM. Voyez
jiuMgné (Confiant d*).
Jj^c^Uffe. Extrait d'un Mjjkifur l'Educâtic» de U No^
hkffe. T. XL. 122
Nêmkque 4térienni. Ce que c'eft. T. XXXIII. 79
iJ&é. Sit après le Déluge, lesEnfàns de Soi iè parta-
gèrent la Terre pour la peupler. T. XL. 34.7
JSfoix pétrifiées, trouvées dans la terre à 30 toifes de
profondeur. T. XXXIX. iS^, i8f . Ce qu'elles ont
de remarquable. î^/V/.
Nâllet (Mr. l'Abbé). Extrait de Ces Lefons de fhyfiqttê
ZxfêrîmentaU. T.XXXIV. 80. T.XLV. 117
J^omeres Arabes Qe^ £bnt plus anciens qu'xinne le croit
communément. T. XXXVI. 3 34 > 535*
Nomenculator, Conjedtares fur la fignification de ce
mot quiiè lit dans les Pandeâes, T. L. ' 330
jilorbert (le Père) , Capucin de Bar-le-Ehic , de k Pro-
vincede Lorraine, MilTionnaire'Apoftolique dans les
Indes Orientales , &c. T. XL. 7 7 . Son féjour à Pon-'
dichéri j^ïi. Son Oraifon funèbre de Mf.deVifde-
jou , Ëvéquede Claudiopolis.îi^ii/. Les Jéfliites cher-
chent à le perdre en Europe. 78. Il quitte fàMilfion,
Bc (t rend au Port de l'Orient en Bretagne , pour trsk-
vailler à £1 défenfe. i^ji/. Ses Mémoires hiftoriques
décriéspar les Jéfuites. 79. On cherche difttenter à
û vie , & il eft' obligé de fe cacher. ihU, Son féjour
à Rome. / ^id.
Nor-
ÙES MATtÈREft «49
fifordenèerg (Mr.). Confcil qu'il donne aux pauvres gcn$
du Nord pour leur faire trouver leur fubliftancc. T»
XXXVIII. lo. H donnci le deflèin d'une nouvelle
Balance Kydroftatique* Tart. II. 5"»
Nûriqtte (le). Ce que c'eft quece Païs.T. XXXVII .97
Nortéerg (Mr. George) , Dodteur en Théologie , &c.
Extrait de fa Vie de Charles XII. Roi de Suède. T.
XXXIII. 393. Plaintes formées contre lui par Mr.
dé Voltaire. T. XXXIV. 189. Jugemientfur fon
Hi{k>ire. 191
^arthumberhnd (le Comte de) eft envoyé prifoimiet à
k Tour. T. XL VII. 83. Il eft relâché. %f
Iflortwyck (Mr.) , Doâeur en Médecine^ entreprwid
de venger Mr. vMn Swieten fon Beau-frère , & fe por-
te en même tems pour Ib Défenfèur de Mr. Boerhaavt
contre Mr. Haller. T. XL. 206, 4^f^
Norwich. Quel eft le premier Livre qui y a été im-
primé. T. XXXVIII. 4f. Norwich avancée pr^
lentement dans les terres pailè pour avoir été autrefois
un Port de Mer. T. XL. «90
iJotâires. Voyez Avocats.
Uovat, Prêtre de Carthage, réfugié à Rome. Coofeil
qu'il donne à Novatien qui avoitété excommunié,
t. XLV. iyi
Kovatien , Prêtre de l'Eglife de Rome , refufc de re-
connoîtrele Pape Corneille , & fait un fchifmedans
l'Eglife.T.XLV. i68.Examen de cette affeire.l^ii.
Uovatiens. En quoi confifloit leur héréiîe. T.XLIII.
108. PaiïànsNovatiensqui taillent en pièces quatre
Compagnies de Soldats. iSid.
Novenian{Philipfe) publie à Leipzig en ifio fcs Elé-
mens Hébreux , mais en Caradères graves fur le
bois, T. XXVI. ICI
: Nourriture des premiers Hommes. Lettre ^r cefujet.
T. XXXVII. 35
Nouvelles Italiennes. A quoi on donne ce nom, 8c leur
origine. T. XX VI. 133
ifé TABLE GENERALE'
Kf^r/. Obfcrvations fur les Noyés. T. XXXV. 1^4
ift^ké{h). Si elle eit contraire à lamodeflie&àlaver-
< tu. T. XLV. roj
Nuée. Caufede la chute des Nuées & du Tonnene.T.
XXIX. 41a, é^fiékf.
H»m09 SuccefreurdeR0j9»i^bj« s'applique à l'étude de
Ja Sageflc.T,XXXlX. 176. Comment il prodta de
la Cupidité du Peuple, i^id* Permiiïion qu'il donna
aux Maris de'prêtcr leurs femmes après en aroireu
des enfans. i^id. Réflexion fur cette Loi. ièid. Idée
duxègne de ce Prince. 177
NMmen. Signification de ce terme* T. XXVI. 1 16
l^midie. Voyez Alger.
O.
OBiUfqut. Conftmââon d'un Obélifquc. T.
XLI. 4.67
OckUjf (Mr. Shnon), Ouvrage de cet Auteur. T.
XLII. 113, Et jugement qu'on en porte. 1x4.
O^Mve prend les noms de yi^/^-C^f/ir Ton Père adoptif»
& fe fait appeller C. y$àlius*C4far Oâiavfaîms.T.Xh.
3[iT. Son portrait. Hid. Il trompe Ciciron qui £c
fie avec lui, 2c ne felaiflè point ébranler par les in A
tances de fa Mère qui l'exhortoit à renoncer à la
fuccefTion de Céfàr. i^id. Il s'attache k Multitude.
; 21. Il devient le plus grand ennemi d' Antoine foo
Conipétitcur. îèid.
Odorat. Remarques fur cette Senfation. T. XXXI ^19
Oedème univerièl de la Jambe » appelle le Pied d'Elé"
' ph/tat. T. XLVII. 394
OeiuMthe. Efièt pernicieux que produîfît la racine de
cette plante fur des prifonniers François qui en a*
voient mangé. T. XL. 40)
Oeufs. Petit Oeuf trouvé dans le blanc d'un autic. T.
XXXIX. 186. Moyens de confbrver pendant des
années 9 des Oeufs aufE frais que s'ils venoient d'ê-
tre
DES MATIERES- iyr
trc^ncbs. T. XLIV. 305*, é^fwv. Oeuf renfer-
ine dans un autre Oeuf. T. XLV. 216
O^îerle Danois.Faits qui le concernent. T.XX VIII.i 21
Oie/ûuvages (les), regardées comme les plusgrandet
vo3»ageuiès de tous les Oifeaux. T. XLIV. 39»
Oignon, Expérience faite fur un Oignon fufpendu en
. Tair « & qui germe de (bi-fxiéme> lans aucune humi*
dite du dehors. T. L. ij-a
Oifeaux. â'ils ont du plaifir lorsqu'ils chantent. T.
XXXL 34jB. Ouvrage ^r THiftoire Naturelle des
Oiièaux. T. XXXIX. 233. Oiièaux de pai&ge : re-
marques fur leurs tranfmigrations. T. XLIIL 187.
Pourquoi il 7 en a qui nous quittent en Eté pour re-
tourner dans leurs froides habitations. 188. Art de
faire écIorredes-Oiièauxen toute fàiibn.T.XLIV.
269. Remarqiies curieufesfur les Oiièaux de paiHè>
. ge. 389. Railon qu'il y à de croire qu'ils ne vofya-
gent que de proche en proche, fcque TEurope^eft
• ' afièz grande pour eux, 5c les climats aflëz diverfinés.
- 390. Moyens fîmples propofés par Mr. de Réaumur
. pour les feeher. T. XLVI. 360
Ol'mgfoss Voy&L étoffes,
Olharez, (le Duc/). De quelle manière il vouloît qu'-
on traitât les Portugais. T. XXIX. 14. Il gagne la
: confiance dc^philipu IV. Roi d'Efpagne.T.XXXlII .
a 18. Hauteur 6c nerté avec laquelle il (è comporte.
' ai9« Plainte contre lui. thid. Il eH difgracié. 220.
Sa m^'t. 221
Olivtt (l'Abbé /). Extrait de fon Traité de hTrofidie
Franfoifi, T. XXIX* 370. Lettre de ce Savant fur
quelques particularités qui concernent la conduite de
Mrs. SMurin & Eûuffean. T. XXVI. , 342 , ^ fuiv.
'Oliviers, Tems auquel on a planté les premiers Oliviers
au Pérou. T. L. 3*0
Omar y fécond Khalife après UUhomet.T, XLII. 134.
Ses grandes conquêtes, ibid. Sa grande charité. i^i«f.
Om-ethEray. Remède qu'il propoic pour préferver les
Che-
9T3 TABLE GENERALE
Chenaux de la piqûre des Mouches. T. XXXV. rç^
OférMim CefarUnm faite grofTièrement par un Bou-
cher y êc qui eut un heureux fuccès. T. XXXVI . ^48
Ofimm. Cequec'cft. T. XLVII. 464
C^wm. Conditions néceflàires pour qu'il devienne un
poifon. T. XXXV, 27 j
Ofulens. Devoiis entre les OpuknsScles Indigens. T.
XXVIII. ' 85"
Or,. Mines d*or dérdurertes auprès d'Adclfors en
Smolande. T. XXXIX. 103. Dans quoi cet Or fe
trouve. i^iéi.
OracUsm Sur ksprétetidus Oracles que rendent lesl>é-
mons, 8c fur le iiknce de ces mêmes Oracles. T.
XLIl. 274
,Orangî qui en renfermoit une autre. T , XXXIX. 1 07
OrAng9 {Henri Prince â*)» Inftraâion qu'il donne au
Comtt d'Efirtidn, T. XXX. 45-7
Ornngf (Guillaumg'Çharles-Henn'Frifi Prince d'). Ex-
trait de fonOraiion funèbre par tAT,,iVtffeHng, T.
XLyiII. 457. Combien ce Prince a été regretté.
ibid, Grands-hommçs dont il tirefbn origine. 440.
Sts études , 8c progrès^ qu'il y avoit faits, ibid. f^
4 fuiv. Ses belles quaStés. ibidi
Ortilles . Soin qu'on doit prendre des Oreilles pour qu'-
elles foicnt bien faites. T . XXXI . 4$ j
Orgétarix , le plus illuflre 8c le plus riche des Helvétiens.
T. XXXV II. 96. Deûr qu'il inspire à fa Nation de
qui ter le Pais qu'elle habitoit. ^U . Ses alliances, ibid.
Sa mort. 97
Orgîvfkl (Mr. Vhhhék Morne d'). Ouvrage de cet Au-
teur. T. XLïy. 414
Orgtuih Quelle efî: la méthpde ordinaire d'arbitrer le
mérite des hommes. T. XLI* 184, xZf
Orientaux. Tempérament 8c caraâère de ces Peuples.
T. XLIX.apS. Leurs divertiflèmens. goi. Us font
naturellement Philosophes àbid» Leur humanitéiM.
D'où vient leur cruauté. 301. Quelle eft l'éloquen-
ce
DES MATIERES. iayj
ce de ces Peuples. T. L . 74. Leur génie dans^â Pein-
ture 8c la Poéfie. ièid. Leur imagination regardée
comme trop fone pour les plus belles parties de la
Peinture. i^iJ.
Orighte. Extrait de la Traduébion Allemande de fbti
Traité de la Religion Chrétienne contre Ctîfe. T.
XXXV. 19S
Orîéiêns {Charles Dmc d') , ? ère àc Louis XIÎ. SesPoé-
fies, & jugement qu'on en fait.T.XXXVlI. 17 , 28
Orléans (le Duc d') , Régent de France, Raifbns qui
l'obligeoient à cultiver l'amitié de l'Angleterre. T.
XXXIX .291. Découverte d'un complot formé con-
tre ce Prince. 292. Il déclare la guerre à TEIpagne.
193. Sa mort. 294
t>rUans (UPucelU /). Son fort. T. XXXI. ?49» 35"®
Orme, Prodigicufc fécondité de cet Arbre.T.XXXL 101
Orthofêdietbic, Extrait de cet Ouvrage. T. XXX L
412. Signification de ce terme. 41^-
Orties (les; peuvent fervir denourfiture aux Vaches.
T. XLI. 3»
iyrville {Mt. Jaques d'). Elogede ce Savant T.XLII.
28 j . H publie les Amours de Cherté éi* de Câllirrhoi »
&c. Extrait de cet Ouvrage. T. XLV. 331 i&fmv.
Son origine^ ôcfanaiflance. T.XLVIII. 202. Ses
premières études . 29 3 . Ses voyages. 294. Il fréquen-
te le Barreau à la Haye, (ans y avoir d*inclination.
295'. Savans qu'il voit à Paris. Uid^ Groflc maladie
idont il eft attaqué. i^i</. Second voyage qu'il fait en
Angleterre où il lie amitié avec les plus Grands-hom-
mes de cette Ile. 296. Son retour en Hollande. 297 . Il
retourne en France, iéid. Il fe rend en Italie, 198.
D'où il paflc à Vienne. ^04. Son retour dans fa Pa-
trie. 30 f. n accepte une Chaire de Profèfïèur à Anif> ^ '
terdam. i^id, Difcours qu'il prononça à cette occa- ^
fion, & où il fit voir que le Négoce & les Etudes peu-
vent très bien s'allier eiifemblc. ièid. Son mariage*
joi. Il quitte & Chaire de PK>feiIcur pour s'appli-
quer
an TABLE GENERALE
quer dans la retraite à Tétude. i&id. Ses Omrrages.
i^id* Belle Bibliothèque qu'il pofTédoit. iMJ. Autres
produâions de ce Savant. 307. Projets qu'il médi-
toit. 309. Sa mort. 310
Os. Obrervationsfurlesfraâures des Os. T. XXXV.
44f. Os d'un Malade derenus entièrement mous. T.
XXXVI. 331. Grand Os foflîlc trouvé en Bouit;o-
gne , 8c qui eft fuivant toutes les apparences Tos d un
Eléphant. T. XLL ii6. Mémoires fur les Os. 45-9.
Delcription de deux Os inconnus. T, XLII. 414
Ofitis. £v6quedeCordoue. Sa chute regardée comme
une marque de la foibleffi: humaine au milieu des plus
émincnres vertus. T. XLVIIL 371. Tems &. lieu
defà naiflànce. î^fi/. Ses belles qualités. 373. U con-
voque un Concile à Alexandrie, lequel fous fà direc-
tion condamna i'héréûe de Stf^i/îf^. 374. Regarde
comme le Chef 2c le Conduâeur de tous les Conci-
les. 375*. Il diâeSc rédige le fameux Concile de Ni-
céciéÙ, Ueft envoyé en exil. 376. Il êfl enfermé
étroitement, demis enfuite à la torture, comme le
phis infâme des criminels. 377, Ilfuccombe, & com-
munique avec les Ariens. Hîd» Etonnement que cau-
iè ià chute. 378. Sa mort. 379
OftéocoU. Observations fur roftéocok par Mt.Beurer.
T. XXXIX. ai
Ofirogeths* Pais que ces Peuples habitent. T. XL. 39
O^id (le Moine). Tems auquel il vivoit. T. XXVI.
ia8. Eft r Auteur d'un yieux morceau de Poéfie in-
titulé, le Lwre di la Grâce. ilnd.
Othmân-Eàn'^ffan , troifième IChalifa , fait la conquê-
te entière de la Perfè. T. XLII. 136. Son mauvais
gouvernement. iàid<. Il eft tué dansiàmaifon. i^id.
Othm eft le premier des Gouverneurs de Province qui iè
déclare en faveur de Galba. T. XLIX. ne. Se vo-
yant fniftré del'efpérance d'être adopté par Galba,
il ne fbnge qu'à emporter par le crime , ce que l'a-
dreife 2c l'intrigue n'avaient pu lui faire obtenir, 1 1 1 .
DES MATIERES. d{$
Il prend leparti de lever le insdlque 2c d'attaquer Gal-
ba, i^i^. Galba eft tué, & Otnon mis fur le Trône.
1 1 1 , 113. On décerne à Othon la paiflânce Tribu-»
nicienne; le nom d'Augufle, 2c tous les titres de la
Souveraine PuiOance. 1 14. Sa bonne conduite trom-
pe l'attente de tout le monde, i&id. Avantage rem*
porté fur les Sarmates Rhoxolans. 11^. Ufe fait ai-
mer des Soldats. i6id. Ré fol ution qu'il prend d'aller
combattre Virellius , qui armoitadhiellement les Ger-
mains contre lui. iêid. Sa Flotte , quoique très mal
gouvernée, remporte divers avantages. ii<$. Ses
Troupes ayant été défaites à la batailk de Bédriac»
reconnoiflènt Vitellius pour Empereur, Sclui prê-
tent ferment. iéid> Difcours qu'il adreflà à fes Trou-
pes, lorfqu'il reçut la nouveue defbn malheur, 8c
qui exprime tout le fanatif me du Suicide. 117, Fer-
meté avec laquelle ilferéfolut à la mort. 118. Ilfè
perce de fon poignard, 6c meurt de ce coup. iùid.
Idée que Ton doit fe former de ce Prince. 119
Otttr (Mr.). Extrait de fon Voyage de Turquie & en
Perfc. T. XLII. 300
On'ms ( 7* ^' )• Ëxtiait d'un Ouvrage de cet Auteur.
T. XXVIII. 178
Ovaires dans lefquelson a trouvé des cheveux , des os
& des dents. T. XLI. 128
OvUi. Auteurs qui l'ont traduit , 8c jugement fur ces
Traduékions. T. XXX. 395-. Lieu de fon exil. T.
XLVI. 41. Belle 8c commode Edition de cçt Au-
teur. %xj
Oute. Remarques fur cette Senfàtion. T. XXXI. 311
Ours marin. Cet Animal change de demeure en cer-
tains tems de l'année. T. L. 15*4. Les Ours marins
des Terres de Kamtfchat paflènt. leur hiver dans la
partie boréale fous le m^me degré. iM.^ En quoi
l'Ours marin diffère du Lion marin. ïf^
Outhkr ( Mr.) , Prêtre du Diocèfe de Bei&nçon. Extrait
deibn Journal d'un Voyageau Nord.T.XXXV.i7p
a5« TABLE GENERALE
Oxmptrna (Axd) , Grand- Chancelier de Suède , cft
honoré de k dignité de Codite par la Reine Chriftine.
T. XLVI. 335
Oxford (le Comte i/')- Traités rares , &c. trouvés dans
ià BibHothèque. T. XXXVIIL 25 , &Jmv.
P.
P^^i^éro (le Cardinal) eft fait Viceroi de Napks a-^
près la mort de Don Pierre de Tolède. T.
XXXIII. 193
Tschéco, Expéditions de ce Général Portugais dans les
Indes Orientales, T. XXXVIII. 199
fggi (le Père). Son ièntiœent touchant le tems de la
naiflànce dérEmpereur Juflmen. T. XXVL 1 1 3
TMn^ Diverfes fortes de Pain que la mifère a fait invea*
ter dans le Nord. T. XXXVIII. Tm. II. S9
Taïs de Tromijpoa. Sa defaiption. T. XXIX. 416
Tétix. Syfléme de la Paix perpétuelle en Europe par
TAbbede Sf. Fierre. T.XXX. 1 11. Moyendccon-
ferver la Paix dans la Société. T. XXXIV. . 266
Faléografhie Franfoifi. T. XLI. 384
Falicon. Dcfcription de cette Ville. T. XXXIII. 1 1 9
Fallium* Tems auquel on a commencé aie porter. T.
XLVII. 27
Talmiers. Ces Arbres font mâles 8c femelles j & com-
ment les femelles font rendues fécondes par la fe-
mence des mâles. T. XXXII. 4'iS,'&/mv.
falmquift (Mr. le Baron i/r). Problême dont il donne la
folution. T. XLI. 15
fitméla. Critique de ce Roman. T. XXVI. 469. Ex-
trait de cet Ouvrage. T. XXVIII. 417. Jugement
qu'on en porte. 41^, 427
Tanama. Remarques fur cette Ville. T. XLIV. 414.
Perles que produit fbn Golfe. 415*
F^mhéiftes. Quelle c(t leur doârine. T. XXXV. 3 1 5
fâmomimes. Degréde perfection auquelon porta l'Art
des
DES MATIERES. 257
des Pantomimes fous le règne de Néron. T . X L VI I .
410. Cet Art cft dû à la Grèce. T.XLIX, 301
fafes- Tems auquel ils ont commencé à fc mêler des
afïàires d'Etat. T. XXX. 39. Premier exemple que
nous avons de la demande que les Papes ont faite
aux Rois de France de leur proteélion. 44.. Suivant
TAbbé de $t. fitrre , il eft inutile de recourir à l'auto-
rité des Papes pour terminer les difputes quifurvien-
nent entre les Théofogiens. 95* , 96. Projet d'une
nouvelle Hilloire des Papes depuis la fondation de Ro-
me jufqu'à préfent> par Mr. ArchihaU Bimer, T.
XXXIX. 475*. Divers Extraits de cette Hiftoire. T.
XLI;ii7. T.XLIV. 3. T.XLV. 161.T.XLVI.
3f. T. XLVII. 3 , 243. T. L. xify 241. Pendant
quel période leur prétendue Souveraineté a été incon-
nue , T . X Ll V . 6 . Cette Souveraineté regardée com-
me une ufurpation téméraire ôc impie. 7. Pourquoi
dans toutes les difputes qui fe font élevées entre les
Papes & les Conciles , la plupart des Théologiens ont
prif le parti des premiers. ibU. Jugement fur quel-
ques-uns des HiAoriens des Papes. 8 , 9. Faits qui
prouvent que les Papes ne Ibnt pas infaillibles. 12.
Choies qui ont le plus contribué a leur procurer leur
double pouvoir fpirituel Se temporel. 13. Comment
les Papes font parvenus à perfuader que la Souverai-
neté eA attachée au Siège Romain , 8c qu'elle des-
cend de St. Pierre en qualité de Prince àcs Apôtres
& de Chef del'Eglilc Univerfelle. 14. En quel tems
ils ont été revêtus de la flénitude de toute'pmjftnct
fpirituelle 8c temporelle , au-deilûs des Conciles 8c de
leurs Canons . j ^. Comment on fait voir que les An-
ciens ne font point d'accord entre eux touchant les
premiers Evêques de Rome, if, 26. Pièces qui prou-
vent que l'Ëvêque de Rome n'a voit autrefois d'autire
prérogative que le rang , en qualité dé Métropolitain
de tout l'Empire. T. U. 231. Dans le quatrième fiè-
cle le Pape dépendoit encore des Empereurs 8c du Ma-
R gif.
i5« TABLE GENERALE
gifbrat Civil, fans qu'il y eût la moindre dilUnâioa
entre lui & les autres Sujets. a ^ ^
T0fîas, Evêqued'Hiérapolis, tenujKHir Saint par !'&
glife Romaine , a avancé k premier Topinioa que
C/rf/re?iendroitlux la Terre, oùâ régneroit mille
ans fur les Fidèles ayant la fin du Moâde. T. L. 115*
fgpier de Mauve. T. XXX. 14. Diâerentes niaiiiè-
iesdontonpeutfebriqu^daFapier.T.XXXV.195-.
Origine du î^apier.T. XXXVilï. }« , é'finv. Pkn-
te dont onktircHt. 3^. Tems auquel cette découTer-
te a étéÀite. iHd. &ftièv, LesdifféitAtesfbrtesde
Papier aroient autrefois un nom pMticuHer. 40. £n
quel tems on a tiouvé en Europe lefbcret de fsâït du
Papier aiftc du vieux linge. 41. fifpèce de Papier fait
deiLinincombuftible. 41, é/^Jkru.
TMfUlM (ThûfJMs) , Avocotftu Parlement de Paris. Ou-
vrage ae cet Auteur. T. XLVIII. i 36
Vâfîn vient eu Anglet. T. XXXIII. So.Sa Pomjpe. îSid.
Taracenthèfe . Projet pour perfe Ak>m»r cette opération.
T. XXXVIII. 174
fâTâdis, Pkifirs qu'on y goûtera. T. XXIX. 17^
^tirt^^fie. Si la mauvais difp6fition des ËQ)rks aniihàux
n'en eftpas quelquefois k caufc.T.XXXIV. 434.
Paraly fie fans fentiment , qôoique les mouvemens de
la partie hifenfible ne foient point détruits. T.XLl.
129. Autre P»al]pfie de même tiafure. T.XLI. 130
furufa (fe ?èrc Arpm de) eft envoyé par TAbbé de k
îhi^e au Duc de Savoie, Viéterytmédée, pour condui-
re uneSfcnciefineMaifbnReligieufe. T. XXVI. 418..
Confiance que kDuc prit en lui. Uid, H porte jl^^-
tjlUiS'JûfefhTntgUttz comptofer un Traité des De-
voirs d*un grand Prince. 429
tarchemin. Origine de ce nom. T. XXXVIII. 39
Tarent(MT,). Obfervattondecd AûtKiif . T. XXIX^ia
•P/rm. Par quel Prince dii Ncftrd cdtteViMe fut allégée
en 886, fknspouVoîrêtre prffe, T.XL. 49
f^rïfitns. Leur ctfHKSIère.T.XLIX. si
\
DÉS MATIERES. aj^
turma. Nom d'aneérpèce de Bouclier. T. L. ^6
Farole (perte de la). Femme qoi ayant perdu k ptrole ,
la recouvre tout d'un cotof en fe mettant en colère. T.
XXVII. 335*. Rera^qoesfurce cas. 3^37
Tsrr {TfmMs) fut mis ea pénitence pour le péché de
Fomkatkmàrâgedeioo ans. T. XXXI. 25:0, jci.
Né dans la Paroiffe 4* Alberbiiry en Shropsmre , fan
1 483 9 môurt le 1 f Novembre «(jf > après avoir vé-
cu If 1 ans» neuf mois £c quelques jours T.XLV*
1 12 , il f . (^ /4^4i^. 1 1 i f /î^. 4 » tm-lim de 1/83 ;
/i/fz, 1483). Psuticukrités remarquables de la ^ieàc
ce Vieillard. 116, 117, ii8.
TarricUe . Pourquoi le Parricide eft un crime fi énorfoe.
T. XXVI, 419
Fa/cmI, Idée delà manière de raiionner de ce PUlofbpIie.
T. XXIX. 170
Téiffims, PaCagedeMr.de St. Zvremondy qui fakvoir
que )c Monde eft le rendes- vous de toutes ks Paifions, '
T. XX Vin. 79. Ce quec'eft que les Paffîons. T.
XKXII. 2f. Si on peut être fans Paflions. Te XLI.
35*1, 3^1 • Quelle ed la plus forte ,1a plu^ féduifànte.
î^à. Moyen de vaincre (ts Paffions. 35-4. Extrait
dTun Ejfaifur les V^Jpons é^fitr les Caraéthres.T.^ LU.
Tj9. Pourquoi on conserve toujours certaines paf»
fions. 14a» 142
T0fme y dpèce de malade Fort fingulière , qui rè^ie a
Lima & dans toutes les Vallées des environs. T. L.
%o^, ^^"^r&oti^tïfâfim cemmun^i^ffirtiêli bttn
v/fine mulmou d'arc, iéid. Sadefèrlp^ion. ëid.
fatmcty Discours fur la Patitnce Sc le vice qui lui «fl
oppofé. T. XLV. 17*
?Mm i^y)- Ce qu^ilditaulujet de quelqu^e^Ve^ qu'-
on vouloit faire afà louange. T. XXX. »02
fâtkid fè fkuvede Suède , Se vas'offrtr tîti-^okAi^ufie.
T. XXXIII. 3f8, 3^9. ir cft *oué p» ordre de
Charles iaï. Roi de Suè4e. T, XXXVIIL 117*
Comment oa lejuftifie. îM. à'fidv.
R t P/t-
2(o TABLE GENERALE
TMtriétrches. A qui on donnoit autrefois ce titre. T«
XLVII. 20. Droit qu'ils avoient. 2 1
Tutrices. Origine de ce terme. T. XXVL 88
TMvédisGiétns (le). Cequec*eft.T.XLVL 36;, 364
TmI (l'Apôtre 5f.). Difficultés qui fè rencontrent àeo*
tendre les Epitres. T 4 XX VI. 64 » di^fuiv,. De quel-
le manière on doit s'y prendre pour les furmomcr.
6f , &fuiv. Extrait d'un Commentaire fur fbn £•
fart âux Kmsim.T, XXVIII. 39I Cauicspartka-
lières qui jettent quelque obfcurité fiir cette Epitre.
41. OblèrvationsiuriaConverfion.T. XL. 24^
fsul Diacre. S'il eft l'inventeur de la Rime. T. XXVI.
1 16. Hymne qu'iia fait pour St.yean. iiU.
fayms. Il y avoit beaucoup de foible dans leur Monde.
T. XXVII. 197. Ufrcroyoient que pieu prend con-
noif&nce des aâions humaines. T. L. 19. Erreur où.
ikétoient en fûfànt confifter la nature des offienlês
dans la négligebce de quelque cérémonie, ihid- Dif.
tinâion qu'ils mettoicnt entre la Religion & la Mo*
raie, ne le^rdant cette dernière que comme une af-
faire de Politique. 2 1
TMyta. Cette Ville réduite enccnèrespar l'Efcadre du
Vice- Amiral Anibn . T . L. ^ i ^
TeAu> Caufê de la couleur de la peau des Nègres. T.
XXXVIII. 177. &(urv. & fur-tout 180. Plusks
Hommes ont k peau épaiilb, plus leur couleur s'écar-
te de la blancheur. ihU. Cauiç phy (ique de la contex-
ture particulière de k peau des Noirs, 181. Pourquoi
fous la même Zone on n'obfèrve pas la même cou-
leur. ,182, &/uw*
Tiche. Ce quec'eft quek Sacrifice pour le Péché. T. L.
7 . Dans quels cas ce Sacrifice avoit lieu . ihid. & fuiv.
Tous les Péchés» fous la Loi de Moïfe^ peuvent iê con-
sidérer, oucommedeibbéiâànces à Dieu, ou com-
me injures Eûtes au prochain . 9
P#f^éOrï^/,Ccquec'çft.T.XXXI.ij'7. Remarques
fur cette faute du premier homme. T-XLÏIÎ. ^6|
DES MATIERES. 261
Tetnes d*unt autre vie. Réfutation de la grande objeâion
des Incrédules , que ces Peines (bot incompatibles a«
yeclcsperfeâionsde Dieu. T. L. 263. Quçl cft le
but de ces Peines. i6j-. Leur éternité. i6j ^(ji^fuîv.
Temtres (les) devroiait étudier l'Anatomic , & diflè-
quer eux-mêmes des cadavres. T. L. 279. Voyez
Teintute.
femture. Traitéfur laPcinture. T. XXXIV. 11 , é"
fuiv. L*art de peindre fur le Veire n'étoit pas incon-
nu aux Romains, ifj* 25-4. Réflexions iur la Pein-
ture. T.XLl. 5S2. & fur la trop grande licence de»
Peintres, ibii. Quel eftle génie des Orientaux dans
la Peinture. T.L.74. Art de renouveller un Tableau
qui dépérit par vitufti , en le tran(portant fur un fond
nouveau. 173 ^éi^fuiv* Voyez Femtres.
Feirefiy critiqué fans fondement par les Journalises de
Trévoux. T. XXX. 42*
Telijfm condamne Tabus qu'on faifi>itde fbn tems du
Style burlefque. T. L. . 94 , 95*
Pe/r4. Nom d'une forte de bouclier. T« L. gdi
Tendule où le nombre des Roues eft moindre qu'à l'or-
dinaire. T. XXXII. 386
Fénélope ou Idachiêvel e» Médecine ,fu Mr»de hMet-^
trie. Extrait de cet Ouvn^e. T. XLI. 429
Tenitem» Scène qu'ils repréfententen £fpagne8cen I-
talic. T. XXXIII. xof , & fuiv.
IPenfees. Quel eft l'ordre le plus naturel a mettre dans
les peniëes. T. L. 33
Tenfées Thihfofhùpus. Extrait de cet Ouvrage. T. XL.
1 12. Attribuées (parerreur)àMr.i/eiiM«m'ie. 113.
Vérifies Chritiemas oppofées à ces tenféesFhihfipH"
qws 9 Se leur pandlele. , ^^^
Fepin force les Alpes» & met en déroute l'Armée de$
lombards qui s'y oppofoit. T. XXX. 48
Fercef tiens. Trois S]fftèmes propofés par Mr» de Mau-
pertuisfur la caulè de nos perceptions. T. XLIX 43 3
fères & Mires* Sur l'honoeur qu'on doit leur rendre ,
R j avac
262 TABLE GENERALE
avec une explication nouveDe de ce qui eft dit du cfn^
quième Commandement, Ëphéf. VL %,Honm'eton
Tïre ér ta M^e , &c. T . XLIX . 344 , &ffM. Sen-
timent de Platon fur TamouT^ le réfpeéè qu'il ycut
que Ton ait pour Tes Pères j8c Mères* 3^0
Pcr/i^ de h SuèdeSc dek Lapome. T. XXXV III. Fart,
II, ^6. Comment on pêche les Perles. T.XLll. 167
Tirm. Réisdotidu Vo/age fidt au Pérou pftr 4e9 Aca-
démiciens Fraaçois. T. XLIL to^j é^Jkiv,
ferrMult {Claude) , Doâeur en Médeqtoe de la Faculté
de Paris. Sonâoge.T.XLV. 14.1. Voûfyflême fur
la congélation. ibid.
Ttrroniana. Voyez Scaligerâna,
î^enyiCharki) ,' Doâeur en Médecine. Son Traité des
Maladies en gétieral.T. XXVL 228. Sa defiriptio»
du Levant y, àic, T. XXXL «^^
Tirféfolis regardée comme le plus grand deflèin qu' Ar-
chiteâe ait jamais coioçu. T. L. 72. Ce' qu'on y re-
marque de lurprenant. . . i^id»
fer/es. Difficultés qui fc rencontoedt dans leur Hiftoire.
T. XXXL jôj-. Diircrfes pérticulariâés conCetoaiit
cette Nation. 3^7 • éffuvu.
y^ylp^îii^e. Ccquec*eft, T. "XLIX* « f9
Wtfantews fféeifiqties de divers Corps» T.XLVL §70
ftftt dans Rome fousrËmpiredeTite.T.XLIX.a^ç»
tttit (Mr.) , le Médecin. Pourquoi fes décourertes fur
Ji Cataraâe 2c fur ks Veux turpaHênt tout ce que ks
Oculifles & les Chirurgiens ont produit fur cette ma-
tière. T. XXXL 274
fttit (F^anfolr fmtfourdu). Son ébgc. T. XXX V.i 98
tititî Vétoii. Voyez Viirpli (la Petite) .
fétrifications . Extrait des Ménmns pour fervîr m fHîf-
r9irè Uatufélii dit fitrifieatîms. T. XXX. 127. Let-
tres fur les Pétrifications qiii relTemblent aux Corps
marÎQS^. 148. Second j&xtndt de ces Mé^Mircf. 2^7.
Auteurs qui ont écrit fur ks Pétrificatioas. 290. En-
dn9it8desqti«ti« parties du Monde où Twieo trouvp.
D p; 3 MATIERES. a6i
191. Homme qui de 7 int prefquc entièrement petr i-
fié, & qui vécut 16 ans dans cet état. T, XXXVI.
347 . Petf ififAtioos d'un L^c d'Irlande. T . XL . 191.
Diâ&eQtes ibrtçs de Pétritiçs^ioiis qu'on voit près
d'Als^i*. T. XLT. 47©
TiiiHnitr (la C^rtc de) » rcjpirdéc comme un QuTragc
deUfindiiq^atrièpi^Sieçley ottduicpmraencemcnt
du ciaq^ième. T. '^^Vllh 347
Ttyrmk (Mr. ^e ^). ^ ot^riFatiQ^s fyr le iiège de
l'Ame. T. XXXV. ^ 191
Phallus. Ëfpèce de Pbalh^f pM>uve en Sn^olande, T.
XXXVIII. F4rt. H. ^ , 4f
Thsrfyh (1^ Bataille ^#) oùCé&r re^mport» une victoire
complète fur Pompée y & fè vit par-là piaître de P.o-
> me 8c de la pluprt des Etats fournis k cette Elçif^e de
rUnivers.T.XL. jii.Defcript. de cette Bataflle, 313
thUif {Mx^Otniêr deSt*). Ixttrfde cet Autçiu: au iu-
jctdc Conf^fief^iau^. T.XXVI. 237
Philiff^ , Pnneed' Eip^^ ^ ^nfuite Roi de cett^ Mo-
mirclûe fou^ le nom de FhHhp^ II* p^ d'Efpagne
pourrAjpgleterre. T. XXXIII. 194, f9f^ Soii ma-
riage avec hfarkf fille ainée de Henri VUh ibid. Il
fuccède ^ Çharlequint Ton père. 1 9<S .Cpmment il gpu-
verneiê^ £tats.î^f^. Upe^d la Reine ià Femme. 199.
Il fait la Paix avec Henri IL Roi de France. 200. Il
£Mt exécutxar les Pçgoetsdu Concile de Trente dam
tous Ces Royaumes. 204. Il abandonne le foin du
Gouvernement. 219. Saspiort. iii
pUliffe IIU Roi d'^fpagqe » néglige le ibin du Gouver-
nement de fes Etats. T.XXXIJI. ^i7.Samorti^xi*
Thilifpe IV. l^oï d'EQ^goe. Tcms d^ lieu de ù. n^ilTan*
ce, T. XXXm. xi9* Déc^pce de la Monarchie
d'Elpagneiôu^imrçfi^, 218. Sa mort. 122
Philips (Thomas). $a r^ÛQU du Royaume ^ Mda.
T. %Uil 6
fhihny Cité. T. XXXI. 261,262. Nouvelle Edition
desOuyn^$dcceJuif.T.XXXII. 1^99, Temsde
2(Î4 TABLE GENERALE
kmif&nce de cet Hiûoricn. 301. 'Pardcukrités qui
k concernent. jof > 306
fhilon {Lmis). Ouvrage qu'A traduit. T. XXVI. 568
Thilofophes Vaytns (les) ont tiré ce qu'ils ont écrit fur k
Morale , de leur propre fond , par la voie du Raifbn-
nement. T. XXVIII. 17, 18. Qui fontceux qui
méritent le nom dePhilofbphes.T. XLII. 90. Les
Philosophes fe propofoient chez les Payens le même
but pour lequel les Prophètes arment été établis chez
les Juifs. T. L, 18. Plufieurs d'entie eux regardés
comme d'excellens modèles de vertu. ibid.
Thiiofofhii. Recherches Philofophiques fur la néceffité
de s'afTurer de la vérité, 8cc • Extrait de cet Ouvrage.
T. XXXII. j
Thihfiphie Hermétique {Hifiom de la). Extrait de cet
Ouvrage. T. XXIX. 45
Thffhores . Mémoire fur un grand nombre de Phorpho-*
rcs nouvellement découverts. T. XXXV,. 3 . Progrès
des découvertes qu'on a faites furies Phofphores. ▲.
Diverfcs fortes de Phofphores. iSiJ» érjurv. Quels
fontceux qui brillent le plus. 7. Phofphores qui doi-
vent leur propriété lumineufê à Tart & à k prépararion.
8. Caufes de leur lumière. 10, éi*fmvm
fhyfaftés . Nouveau genre d'Infoâes ainfi nommé , éc
pourquoi. T. XXXIX. 90
Tkyfimomies. Extrait des Lettres Thihfcphiquesfiir les
Phyjtônomies. T. XXX VIII. 1 37. Jugement hazar-
défur lecaraâère de l'Auteur anonyme de cet Ou-
vrage, i j8. Comment on prouve qu'il y a des rè-
gles pour juger des Phyfionomies.. 140.* Conféquen-
ccs qu'on peut rirer duSyftêmende l'Auteur. 141.
Q^els font les traits qui caraâérifènt la Phy fionomie.
T. XL. 41 f, éi*fuiv* Païs où l'on trouve beaucoup
d? Fhyfionomies marquées. T. XLIX. 199. Remar*
qu.es particulières fur celle des François. 300. Voyez
Vhyficnomifies^ •
fkjjieiMmifies (les) font fujets à iè tromper. T« XXXI.
4xa.
D E s M A T I E R E s. 265
411, Voyei Vhyfionomh.
Thfque. Combien û refte de découvertes à hirc dans
la PhyîGquc. T. XXXIII. 45-f . Les Syftémes des
Philoibphes far k Phy^que regardés comme de purs
Romans phllofophiques. T. X LU. 44. , 4f
fiaft y Roi de Pobgne. Réflexions fur Thiftoire de ce
Prince. T . X L V 1 . 49 . Manière extraordinaire dont '
on prétend qu'il monta fur le trône. 5*0. Idée 'gêné*
raie de fbn Gouvernement . i6id,
IPicaut (Mr.) , habile Artiile. Eflàis heureux qu'il a faits
de renouveller les Tableaux qui dépériifent par vétui«
té. T. L. 175
Pi», neuvième Evêqucde Rome. T. XLIV. if i. Piè-
ces fuppofées qu'on lui attribue, ifj
Tiid. Femmes de Lima qui fe piquent d'avoir le pied
petit. T. L. ^of
Tied Grec, Quelle eft fa longueur. T , XXIX , fj
Tiermont (Irédéric Strate de) .Extrait de fà Ejscherche nou^
velîe de VOrigme é* des 'Pondemens du Droit de U N/»-
ture. T. XXVIII. 7f
Tierre (l'Apôtre .S/.). Explication des paroles de cet A-
pôtrc : Ltkfromejfe efi four vous éi" four vos enfêns ,
C^ même four tous ceux qui font éloignés , autant que le
Seigneur en appellera, T. XLIX. 6j ,(^fuiv.
fierre (Mr. l'Abbé de St.), Divers Extraits de fes Ou-
vrages de Morale é" de Politique,T, XXV lll, ^60. T.
XXlX. 147. T. XXX. 84. Fait qui prouve iâ gran-
de générofité. T. XXIX. 149. Examen de fou fen-
timent, que tous les Hommes ont naturellement Vidée
d'une aBumjufte , quoiqu'il ny ait aucune Loi pofitive
qui fait commune entre eux, iff , éi^fuiv. Examen
des Principes de cet Abbé. T. XXX. Sj», é* fuiv.
Moyen qu'il propofepour abaiflêr l'autorité du Pape.
9f > é*j»w. Lettre qu'il écrit au Cardinal de Flèury.
lia. Réponfe du Cardinal. 113. Autre Lettre de
l'Abbé au Cardinal, ihid, II recommande la ioie Se
k$ plaiiirs. iitt & fui'v^
R s Biet*
^66 TABLE GE.NERALE
Pîfirfiel#/fl5gw. Obfcrvat. for cette Pierre.T.XLI. 155
J^iirre Philofifhale. On ne fauroit prouver qu'eUe foit
impolTible, mais c*eft une folie d'employer {on tem«
àla chercher. T. XUX. 456, 457
f terres . Quelle eft leur origine , tc celle des Cailloux. T.
XXX. txi* Comment elles & font formées. 134,
Difficultés propoiees contre le Syihème par lequel on
prétend ex]^quer leur formation. 1 if , é^fuiv. Au-
tre oridne des Pierres, poûérieure à la précédente.
1 44 , 0'fmv • Comment s'engendrent lesjpierres dai^
le corps humain. 146. Les Pierres ne v^ètent pas.
T. XXXI. 143. Formation des Pierres fines. I4f.
Pierre fortie par l'anus d'une Fem<ne , ^pr«5 biçn d^
douleurs 8c des retentions d'urine« T . XXX VL $ 24.
Pierres de figures irrégulières, obièryées par Mr. le
Préfident#/f Montefquioié. T. XXXVIII. 1/9. LÏ-
vre de 7)b^o|^/i/ibliirles Pierres. FtfrMZ. 5. Vpye^
Théopbrajie. Deux moyens généraux que la Nature
paroît avoir employés pour ta formation àe9 Pierres.
6. Les Pierres des Mines tiennent plufieurs de leurs
propriétés des Métaux qu'elles renferment, 9. Pioç-
ic trouvée dans l'eftomac d'un Cheval. T. XXXIX.
41 1 . Pierres trouvées dans la VefHç , au nombre
de 60 j parmi lefquelles il y en avoit delagroitèur
d*uneMufcade.T,XLVlL 199. Voypz VégitMm
& Stefhms (MUc.)
J'wnes à Chamfignms. Ceque c'eft, T. XXIX. 30
Tierres kfufiU Leur dcfcription. T.. XXX. 284, e^
fuiv . Cantons qui en fourniiïènt presque &ns relâche
depuis longtems, & peut-être depuis l'inventipn de
la Poudre, T. XX VIL 331
TUrres figurées. Ce que c'eft, T. XXX. 149, é^fuiv»
On n'en trouve prefque point fur les Montagnes ex-
trêmemem élevées. T. XXXVI. 3 >6, 3 27
Pierre-Ponces vues fur la Mer. Conjeâurefurle lieu de
leur origine. T. XL'I. 114
Pin. Age extraordinaire d'un Arbre de cette efpcce. T.
XXXIX. iSc. Pi.
DES MATIERES, 26j
JîtMS» Pourquoi ce mot eftibuvent pris par les Poètes
pour fignifier um Bâtiment propre à Ja navigation.
T. XLII. loo
firaterii. Tems auquel a commencé le goût de k Pira-
terie. T. XL , 29. Combien cette profeifion étoit au-
trefois en eflimc parmi la Noble0è » les Rois mêmes
8c les Princes du Nord. i^ii.
firrhomms Quel eftleur premier argument T.X LIX.88
Tifétndre commande TArmée des Athéniens contre les
Lacédémoniens.T. XX VL 10. Projet qu'il forme de
rabdâèr la grande puidàncç qu'avoit le Peuple à A-
thèmes. iSid. Il fè démet de fon Gouvernement» &
va trouver Tijfaphemif Satrape de DsTius^Sifin de
traiter par fbn entremiiè avec le Roi de Periè. 1 1.
Son retour à Athènes, ii. Ses intrigues pour chan-
ger le Gouvernement. iSid.
fifm LkînianHS eft adopté par l'Empereur Galba , qui
' k déclare Ton SucceiTeur à V Empire- T. X LIX. 1 1 o
11 eft égorfféi 113
* Tithagore. Ou il avoit piifé fà doârine. T. XLII. 179
fithœêfM, Voye^ ScéUigerttna,
TizAiro (DonTranfois) bâtitlaVilledeXruxillo.T. L.
299. Et celle de Lima^ 392
Plagiat énorme & tout-à- fait fmgulier.T.XXX. 46f
fUifir. Ccquec'eftquelePlaifir.T.XLlV.jn, 314.
Remarques fur les plaiiîrs du corps. 3 20 . Les plaifirs
de Tame réduits à deux claiTes. 321
flanhes. Pourquoi elles n'ont point de queues comme
les Comètes. T. XXXV, 27,28. Idée des Hipothè-
les de Dtfcartes & de Ntwtm , qui fervent à expliquer
ic mouvement circulaire des Planètes. T. XLIV.
.146, f^Juiv. Méthode générale pour déterminer les
orbites & les mouveraens de toutes les Planètes , en
ayantégard à leuraâion mutuelle. T. XLV, 316
fiantes, Obfervationfùrles Graines des Plantes Capil*
laires.T.XXXVL 34}. Les Vapeurs contribuent à
)a ppurriturç des Plantes. T. XXXVIIL 7. Celles
^69 TABLE GENERALE
qui naiflènt entre les Tropiques demandent pour la
plupart beaucoup de chaleur, ^ul» Expédient pour
conièrver les Plantes des Païs chauds. lo. Sur les
glandes 6c les 61ets des Plantes , 8c les matières qui en
îortent.T.XLV. m. Plantes de Sibérie. T.L. 41. •
Expériences fur leur végétation. 14.8, ij-o. Pour-
quoi les racines des Plantes font toujours pouffêes
en-bas, tandis que les germes font dirigés en- haut.
If I. Quelle eft M meifleure nourriture des Plantes.
i^id. Voyez Génération.
TUton» Idée qu'il ic formoitdeTEfprit ou de l'Ame.
T. XXXV. fo. Ses Dialogues. T. XXXVI. 117.
Idée deiàdoûrine. T. XLII. '179
Tléminius (le Propréteur QJ eft chargé favScipion de
reprendre la Ville de Locres. T. XXlX.i;. Inhuma-
nité avec laquelle il en iraita les habitans. 14 . Mauvais
traitemens qu'il reçoit, if. Autres exemples de fa
cruauté, ihid. Il eft chargé de chaînes, Reconduit à
Rhège. 16. Conjedkures fur la manière dont il ter-
mina Ùl vie. 17
Tline, accufé d'Athéifme & de Spinofifme. T.XXXII.
77. Paflàgc tiré de iès Ouvrages, par lequel on le
prouve. ihid. &/uiv.
TîujUiFolonotfe de 109 pouces. T. XLIII. 415
Tlmht (Mr.). Extrait de fa Réyifim de VHiftoire du Ciel.
T. XXVII. 145. pbjeéiion qu'il forme contre les
Philofbphes qui n'admettent dans la création de l'U-
nivers qu'un certain mouvement . fans reconnoîtrc
aucune volonté (péciale d'un Etre fuprême. T.XXX.
14 , (^fuiv. Explication qu'il donne du Déluge, i f 8.
(^ fuiv\ Objedions contre cette explication. 161 ,
d^Jkiv. A quoi il attribue la facilité qu'a le Pourceau
à s'engraifler.T.XXXVlI. 50. Il préfère la Phyfi-
que de Moïfè à celle de tous les autres Philofophes . T .
XLÏI. 45*. Combien ilaime les paradoxes. 46. Il re-
garde l'hom me comme le maître de tous les animaux.
iSid. Extrait de fa Démmfiration Evangélique. T.
XLV. 276. FlHi$.
DES MATIERES. 269
"Pîme. Comment quelques endroits font dédommagés
du manqufe de Pluie. T. XXVI. lyz
Tlutarque. Problème qu'il propofc. T. XXVI. i^i,
ifi. Jugement qu'il fait d'Alexandre le Grand. T.
XXXV. 95^
flutfchêu (Mr. Henrï^ fè confacre à la converfion des In--
fidèles (kns les Indes arec Mr. Zie^e}9^«/^.T.XXXII,
ifo. Voyez Ziegenèalg. Son retour en Europe. i6z
Teèfii* En quoi conûftoit celle desGaulois.T.XXVI.
ixf. Quel eft le plus vieux morceau dePoéfîe rimée
qu'il X ait dans l'Europe. 1 28. Quel eft le goût des O-
rientaux pour la Poéfie. T. L. 74.. L'origine de k
Poéfîe cft dans l'Orient. 76
Toids des Hébreux. T. XXXI. 44f
sFoîls (les) des Animaux blanchiflènt en Hiver vers la
Baye de Hudfon. T. XLII. 15
Toint^ honneur (le) . D'où ila pris fonorigine.T.XL.ap
Vùifms, Explic. mécanique des Poifons.TÎXXXV. xjj
Toijfons qu'on fâifbit venir en les appellant par le nom
particulier qu'on leur avoit donné. T. XXVI. ij-/.
Poiiibns renfermés dans des Pierres » dans des Ardoi-
fès ^ &c. T . XXX .171. Mémoires pour fervir à leur
hiftoire. 418. Mémoire fur l'Hiftoire naturelle des
Poifibns. T . XXXV . î 1 . Poiffbns dorés & argentés
delaChine. T. XXXVIII. 14, EfpècesdePoiflbns
qu'on peut apprivoifer, Se qui fe ramiliarilènt avec
l'Homme. T . XL. 180, Lorfque l'eau eft fraîche , les
Poiflbns ne quittent guère le fonddu Vafc où on les
met , Se ne remontent que quelques inftans toutes les
heures , pour faire provifion d'air, ^id. éf^fuiv. Liai^
ions qu'ils forment entre eux. 181. Efpèce de petit
Poiffon dont la voracité répond à la force , Se qui en
attaque de plus grands que lui. ihid> Si les Poifibns
entendent. T. XLI. 461. Pourquoi les PoiiTons vo-
lans nefè trouvent pas à la même hauteur des deux
côtésdeTAmérique. T.XXLII. yi. PoiflTonsfigu-
résdupaïsde MansfeldScd'Ofterode.T« XLIII.72.
/
*70 TABLE GEKËkALË
' Si les Poiflbits ontk ièns de roaïe , & la faculté dâL
Sroférer des Tons. T. XLIV. ^86. éi^Jkiv. Extrait
•uncHiftoire naturelle desPoiflbm. T. XLV, 4f^
Auteur qui leur refufe l'ouïe , êc fîir <nioi il fe fonde.
T. X L V 1 . 3 f 8 . Gangrène fèche qui ait périr les pe-
tits Peifibns. 35-9. Poif!<m qui oommence par être
- Grenouille, nid. Si les Poiflons ont des organes pour
le ièns de Touïe. T. XLVIII.311. Etfile bruit que
font quelques-uns eil une réritable irodfératio». 3 1 2»
S'ils ont de l'odorat. 31^. Leur gnoide fenfibilité ,
répandue dans tout leur corps , fiipi^ à leur déBiut
d'organes pour l'ouïe. î^i
t(ntrine. Proportions qu^elle doit avoir pouc être bien
faite. T. XXXI. 417
tolhnm (Mr.). Son Mémoire {ur la force dumouv^<%
^ ment que produifent des roues que Teau fak agir. T •
XXXVIIJ. 19. Vucsqu'il fournît pour perfeâion-
ner les Armes à feu. P/irf.ZZ. 5*1. Son Mémoke fu:^
l'utilité des Lignes courbes. 5*3. Et fur les Rouages*
^4. Raporte quelques eirpérienccs Tue la force de la
Poudre, ièid* Propofc une invention pour tiî«r du
Vin d'un tonneau fans defcendre dans la cave. 6^. Sa
méthode pour jauger les Vaiflèaux. Cj
toltces. Si les anciennes Polices étoîeût auffi parfîmes &
aufïi (avant es, que les modernes. T. L. j*i
Yoîigmc (le Cardinal dt). Son Eloge. T. XXIX. 104,
C^y^n/. làécàtÇofiAntilucrètt. aip. Réimprcflion
de cet Ouvrage dont on prépare utte Traduâion An^»
gloifc. T. XL. 477
Tomms, Extrait de fbn Traité dt rorl^fme du Droit Di-
vin & de la Nature. T. XLV. 104 , ^jfcîi;,
Toliteffp. Commcntoftaquicirtlâ-Pctoeflfe.T.XL. 138.
Difficulté d'en donner unebonne définition. 139. E-
loge de celle des François. T. XLIX. 310. Ce que
c*c&i que la vraie Politefle. 464 , 40^
fohtique. Ce que c'eft que k Politique. T. XL. 141.
Dimcuhé de bieft apprendtt cette ^ieaeé. «W. ■ Cko*
DÉS MATIERES. àji
fés néccfiâires pour k <oiHfoîfSmce des intéfêts des
Priiiees. T. XLÎI. 41 , &fukf*
tQlopte* Extrait d'une Hlfitke générale deTahgne. T^
XLVi. i^fji^Jùèv. JvLjgsaxcnt (urcetOariage. jjii.
Voyea fekneis, ,
Tûlcims. IdeedeleurKbertc.T.XLIV,4i. S'il cft vrai,
coMïne qudque&-uiisiê rinsaginent, que ks Polo-
nois ne font pas faits pour fè renfermer dans des VîU
les. 4). S'il ne leur convient ^s de fè battre en batail-
le rangée. iHd. A vaEntages qu'ils pourrcnenc retirer des
allitfiçes des Princes qui ont les mômes intérêts qu'-
eux. 44. DcquelsPeoplesrilsdercendent.T. XLVI^
41. Origiaedeleurnom.44. Le)ars premiers Chefs.
Mnd' (^fiiiv. Ils fè mettent Ibus la conduite de dou-
ze Palatins ou Waiewodes. 4e. Voyez Toîogne.
Tâks, cité. T. XXXL i6i
Vokbt. Réflexion de cet Aiïteur.^. XXIX. 14
Voïygtunit (la) permise autrefois chez les Peuples du
Ncffd. T. XL. 37. Ses funeftes effets. T. XLIX.
I , r. Répond aux raifons principales alléguées en
faveur de la Polygamie. 8 , ^ ftêiv. Cas où l'on peut
la tolérer. 13. Si c'dft à la Polygamie qu'on doit at-
tribuer le grand nombre des habitans dé la Chine. 1 4
Ip9lyf9s * Idée géiïéï^e d'une des plus admiraWes proprié*
tés deceslnfeâes. T.XXXIII. 143 , eé^i^t'- Tcms
de leur découverte par Mr. TrembUy . a f y . Leurs di*
vc^fes Ëfpèces. i-yo , f^fmv. 26 1 , éf*Juiv. De quel-
le manièreils faifiilënt leur proie. 163 , é* fuil^. De
quoi ils & nourriilènt. i6y. Quelle eft la cauiè de
leur CbuliKUr. i6j y (f^ fniv. De quelle manière ils
mukipKent. 170. Gomment les jeunes Polypes (e re-
paient de tecrsMèws. 171. Ouverture de commu-
nication entre^l^^ftomac de la Mère & celui de fon Vc-^
t\t,4biè^ La peaâ des Petits n'eft qu'une continua-
tionxie celle de la Mère, êcces Petits ne fontquedes
efpèccs de Rejettdns. 271. Guerre emreks Petits &
k Mèfe» dam ktems même qu'ik lui fontencoteat-
ta-
^7* TABLE GENERALE
. tachés. îhid. Grande fécondité des Pdypes. itU. ^
fiiiv. Un jeune Polype, qui eft encore attaché à fà
Mère, peut avoir lui-même des Petits. 273. Mèip
quiportoitfàtroiiîème Génération, i^î^. Caufèsqui
contribuent à la fécondité de ces Infèâes. ibid. Ex-
périences faites fur des Polypes coupes tranlVeriàI&-
ment. 274. Un Polype peut être divifé en cinquante
parties , 8c chacune de ces cinquante parties peut de-
Tenir un Polype parfait. 275:. Expériences laites fur
des Polypes coupées longitudinalement. 276. Maniè-
re de former des Hydres à plufîcurs têtes Se à plufieurs
queues .277. Manière de retourner le corps d'un Po-
lype, tout comme on retourne un Sac, un Bas , un
Gant, enfbneque la fuperficie intérieure de fa peau
devieime la fuperficie extérieure, £cque l'extérieure
devienne Tintérieure .278. Comment ces Polypes re-
tournés fè détournent. Uiid, Les Polypes embrochés
avec une foie de Porc mangent & multiplient , com-
me il rien ne les incommodoit. îbid. En quoi on peut
comparer les Polypes au Solitaire ou Ver pUt. X79.
Voyez Solitaire. Polypes en bouquets j leur defcnp-
tion. T.XXXVIII. 170. Tolypes en entonnoir, ijx
Tolyfe du cœur , trouvé dans une Femme. T. XL. 407
Tolyfode. Remarques c^rieufcs fur cet Infcâe. T.
aXXL 80, ^fuiv»
Tomfe d'une nouvelle invention. T. XXXIL 366. Ufa-
ge qu'en'faifoient les Anciens dans leurs Navire». T.
XLIL loi
Tomfée (le Grand). Ses expéditions contre les Pirates
T. XXXV. 3f o. Et contre Mithridate. ij;% , <§•
fuiv* Et contre les Juifs, 362. Il perd laBataille.de
Pharfale. T. XL. 323 , é*fuiv. Il prend la fuite &
fc retire en Egypte. 32f . Sa mort tragique. 326
Pompée , Fils aîné du Grand Pompée , fè rend . à la Cour
d'Alexandre pour y xiemander du feœUrs. T. XL.
327. 11 fe déclare en faveur de Ftolemée contre cUo^
. faire Sœur de ce Prince. iSid* Il eft obligé de lever
le
/'
DES MATIERES. 275
k fiège d'Ulia. 341 . Il perd la Bataille de Munda.
Uid. &fmv* Son fort. 341
TûmféUy Femme àeCéfar. Voyez Cloims.
font flottant. Plan d*un nouveau Pont de cette eipèce.
T. XXXVIII. Fart JL 60
Ttmtidéra. Reproch|é qu'on luifâit. T. XXXI. 14, if
Tentianus. Remarques fur ce Pape. T. XL V. 162» 162
Ifontife (Qrand). Si^ avant Balbin^fufim^ quand il
y a eu enfèmble plufîeurs Empereurs Romains^ il
n'y en a eu qu'un qui ait été Grand - Pontife. T.
XXVII. ii6,éfuiv.
Tontifes. Quelles étoient leurs fondions chez les Ro-
mains. T. L. ^7
Tonttffîdaims {Eric), Extrait de fm Hifioîre des Faits &
des Mûnumens des Danois hors du Danemarc , &c. T.
XXVIIL 117
Tents de corde en Amérique. T. XXXVI. a 18
ftfe (Mr.). Extrait de (à Boiule de Cheveux enUvéè.T^
XXX. 437. Idée de la traduâionFrançoiië qu'on a
donnée de cet Ouvrage. 438 , é^fuiv. Sa mort. T.
XXXII. 478. Jugement fur fes Ouvrages. XXXV.
1 37 • Idée de u manière d'écrire. T. XLI. 6
Tofiel L Duc dei Pologne. Son caraôère. T. XLVI.
48. Il meurt chargé de l'exécration publique, ièid.
fefiellL DucdePobgne. Ses vices. T. XLVI. 48. U
iàdt mourir fès Oncles. ibU. Fable qui porte qu'il fut
man^é » lui » & femme , 8c iès ennins par des RatS|
tu réfutation de cette fable. tbid» é'/uiv.
' Têfwm (Mr.). Sa Diflèrtation fur la méthode d'obierver
iesEclip&s des corps éclairés. T. L. 149
tefralaine: Art de £>ire une nouvelle eQ>èce de Porce-^
laine. T. XXXI. 471 » é^fuiv. Remarques fur la
Porcelaine delà Chine. T. XLII. 17 1
Farfhyregefmkte {ponêantia). Extrait de fes deux Livrer
iur le Cérémonial de là Cour de Conftandnople. T.
XL VII. 410
fm'Mahen* Origine de ce nom. T. XLt 3f4
S f ^
i74 TABLE GENERALE
^atici près de Naples. Monumens anciens très codi-
dérables qu'on 7 a nouvellement découverts, T.
XXXVI. jit, T. XLVm, 4,5»
Vtrtohillù» Maladies qui 7 régnent, & combien l'air y
cft mallain. T. XLIV. 415
fartû-Rê, Fort ainfi noJtimé que TEmpercur Oktrfef
F/, fît bâtir pour la fureté de & Flotte. T. &X1X»
^^. Moules vivantes qu'on 7 trouva, enfermées dans
des blocs d'un Marbre de couleur brune. îSid*
TûTtugâis. Leur iituation avantageufc pour la Naviga-
tion. T. XL. 3^8. Comment ils fè font rendus puiir
fans. iàid» é^ffùv»
fèrtugnU Hifloire abrégée de la grande Révolution ar-
rivée dans ce Ro7aume{bus £ rèffoedcPiniiÈpe JV^
Roi d'Ëfragne. T. XXIX. 16
lifrtus (£i»iîe). Hift. abrégée de &vie.T.XXXVl.i 77
P«>/i»i«(laVillcdc) faccagée&bmlécT.XLVL S7
fêj[9j£êm in J^m^^ regardées comme des maladies po»
pulaires. T. XXIX. 17* > é» fiéirj.
Tijpèilitê, ' Ce que c'cft qu'un Corps poflûble. T.
. XL VIII. 5>i. Tout ce qui cft poifibleTa été éter-
nellement, comme ill'efl aâuellement. T. XLIX. 99
TûUiffe. Manière de la faire. T. XLVL 36a
fourceMê. Raifoa qui a porté Moïiè à mettre cet ani^
mal au nombre de ceux qui font impurs. T.XLIV.
l^^ Voyez Co^cm.
foudriiCmwn. Comparaîfos entre celle de Suède, 8c
celles de France & d'Angletent. T. XXXVIII. 8.
AvantagesdecelledeSuède.fM. d*A'v* E^cp^Rcn^
ces {ùr la force de la Poudre. 1 8
fragite. Particuhrités touchant cette Ville. T. XXIX.
41 Relation du £uneux (îège de cette Ville , fait en
. 1741 par le Prince Charles de Lorraine* T. XLIV.
69»<^y9»». Levéedeceiiège. 8a
frédi/hmâtym. RemarquesiîucedQgme.T. XLII. 164
ifédicMfeurs . Pourquoi on retire fi peu de fruit de leurs
; Sermons. T« XLIL 149» &fifi¥. Réflexions ^r
kurt
DES MATIERES. ^Jf'
leurs exagérations. T . L. 40a . Com ment on fait voir
que k Peuple aime qu'on lui prêche une Morale fé-
▼cre. ^ 416, éffrv^
ffipgisiufMic (les). Extrait d'un Ouvrage qui por«
tece tiue. T. XLI. 289. Mauvais effets des Préju*
gés. T. XLII. f 49. é'yiiit;. Laconviâiondes pré-
jugés eft plus forte que celle qui naît des chofes & de
k Raifbn même, i yo. Pourquoi Thomme ne forti*
ra jamais du labirinthe de (es préjugés. ii*!
frênwre (le Père), Mifiîonnaire de la Ç|une, envoie i
Paris une Grammaire Chinoiiè de la compoiîtion.
T. XXXI. 198
frtmiers-nis. Ce que c*ctoit chez les Juifs. T. L. 1 1
frémofaval (Mr.ie) attaque un nommé P/i;i/»;e qu'il
croit être Auteur du Livre des Mœurs, T. XLV.
44a 9 é*/uifVé Ouvrage de ci:t Auteur fur k Mawtgét"
mie. T. XLVII. i^f. Voyez Mftriage.
frtjper (Mr.) , Mii&onaire Proteflant d^s les Indes.
T. XXXII. id8
tritmdant (Le) 9 onle ChevêîUr de St. George» A quoi
]cs Anglois auroient dû s'attendre fi fbn entrcpf îfè eût
réuffi. T. XXXVI 37 , <► fuw. S'il eft le véritabfc
Fils du Roi Jaaues. iff , é*>w.
fretres. Six cens Prêtres Suédois qui prennent les af-
mes , Zc fè font donner l'abiblution avant le combat.
T. X LV . if^. Prêtres qui commandoient autrefois
ks AriiK^s. T. XLVIII. 317. Origine des Prêtres
en Egypte. T. L. 3 . Le caradêre des Prêtres chez ks
Juifs éc chez fes Pajens , étoit derepréfenter le Peu-
ple à Dku, faiiant, au nom du Peupk, l'expiation
dejfes ofko&s , pour k réconcilier avec Dioi. au
Pourquoi ks Chrétiens ne reconnoiflent point cP au-
tre Prêtre que le feul Médiateur , qui eft Jéfas-Chrifi»
11. £n quoi confiftel'eirence delà charge de Sacrifi-
cateur ou Prêtre Chrétien. 13. Pourquoi k mot de
Prêtre fep end parmi les Chrétiens pour un homme
quifitttdei Sacrifices. 14. Gouremcfiiens fondés par
Sx 4ef
^^6 TABLE GENERALE
des Prêtres, s^» Us ont toujours cherché, & cheiw
chcront toujours à dominer, y f. La jaloufîe des Mi-
nières de ]a R^ellgion Egyptienne r^ardée comme la
caufè puiflànte qui retint k Vérité captive pendant
plu s de quarante iîècles. 6f. Ceux de 1 Antiquité é-
toient feuls dépoiitaires de l'Hiâoire , de la Médecine»
de la Théologie, des Traditions» des Oracles, 2c de
la Morale. 66. Pendant un temsconiîdérable ils ^«
rent le Sacerdoce & la Royauté, ibid» Indépendance
des Prêtres chez les Hébreux , Se généralement ches
les anciens Peuples. ibid*
TrévifUim* Traits frappans fur ce défaut. T. XLII .149
frévçfi (Mr. l'Abbé), Aumônier du Prince deConti^
Jugement fur fà Traduâion de l'Hiftaire générale dts
Vtfjégts.X. XXX VIII. 104, c^>iv. Fautes qu'il a
commiièsL. 109 , (^ yitîv. Réponle aux plaintes qu'il
forme contre ks Editeurs de fa Traduâion de l'Hif^
toire générale des Voyages. T. X^t^VlII. 1 15
-^rurt. Remarques fur la Pnère. T. XXXI V.ij-p. Se*
conde Lettre fur la Prière , où l'on examine fon effi»
cacc. 19*» &fuw.
frimât. Evêques qui portoient autrefois ce titre. T.
XLVII. 19
frince. Extrait du Livre intitulé Infiituiîon tunVrwr
«, &C.T.XXVI.417, Quelles doivent être les Qua-
lités d'un Prince Souverain. T. XLIX. ia6. il ne
doit point fèlaiilèr gouverner par des femmes, ihii.
Soin qu'il doit prendre de l'éducation de fbn Succef-
iêur.î^û/. Quels doivent être fès Amisdepkifir. 127.
Et iès Amis de cœur, ibiâ* Récompenfès qu'il leur
doit donner. 1 x8. Comment il doitfe conduire a l'é-
gard des difputes de Religion. 139. Et brfqu'il eft
queftion de faire la gu^rrre. 140
frincipes. Quels font les Principes d'où fè forment tes
Syitêmes desPhiloibphes. XLIV. ixit&fuiv. In*
utilité de quelques-uns de ces Principes. txf
trlncifesdeUPidUfiplneM^âli* Extrait de cet Ouvra-
ge. T. KLyU. 447- frix.
DES MATIERES. 277
frix. D'où vient le prix réel des choies. T. XLIX^ 6f
Troèiti. Ccquec'eft, T. XLIX. ff
Uh^ocunuts (les) , regardés comme unepefte publique.
T. L. 196. Leur abrogation dans les États du Roi de
Pruflc. ibid.
Trffnk (Mr.). iDeflèins de fa &çon. T. XXXIII.. 14.^
Fr0»#;i»; .Pourquoi onles a inventés.T.XXXIX.i 36,1 37
Trofftgt^tUn» Voyez Génération*
frofhetes. Fondions des Prophètes de T Ancien Tefta*
ment. T. L. ii» 13'. Il 7 a eu une fucceâion conir
tante de Prophètes dans l'Eglifè Judaïque , depuis
A/tfiJ/ijufqu'à la Captivité, &méme depuis. 13. E-
cobBétabHes pour réducdtion des Prophètesi^ii. Ces
Ecoles étoient fous l'infpeâion des Prophètes les plus
célèbres. î^û/. Combien TEcoled'Elic etoit fameufcé
ibid* Comment les plus &meux Prophètes ont été
formés. 1 4. Différence entre leminiftère des Prophè*
tes 8c celui àts Sacrificateurs. i^ii. Les Prophètes fu«
rent les Prédicateurs de la crainte de Dieu 8c de la fain6
Moralejufqu'à la Captivité, & même quelque tems
aprèslerétabliilèment. i f . Temsauquel' les dons pro-
phétiques ceilerent.fM. Les Prophètes étoient inf^
pires de Dieu d'une Façon proportionnée à leurtem«
pérament. 61. Voyex frofhétiei.
^rcfhitks. Si elles ont plufiéurs fens. T.XLII. 119,^
juiv. Toutes les Prophéties , tout commerce avec le
Diable , fè feiibit autrefois en Vers par toutes les Na-
tions du Monde. T. L. 62 .Pourquoi elles étoient plus
communes chez les Orientaux, ihid, L'infpiration fe
xecevoit en dormant, i^îi/. Deux icvtes de Prophéties
dans k Vieux Teflament ^ les unes qui dans leur fèns
propre 8c littéral regardent directement le MeJJk , 8c
nepeuvent s'appliquer qa'iféJiêS'ChriJi j les autres
qui ont une double vue, dont k première marque
un événement particulier 8c procluiin, 8c Tautie un
cvènement éloigné 8c beaucoup plus important , qui
convient qu'aux tems de TEvangilc. 17 a > é^fuw.
85 Er-
a7« TABLE GENERALE
Erreur de ceux qui fondent d'abord le Cens dcsPxo^
phétîes furrautorité de y, C. confîdëré comme une
interprète infaillible» les aUèguenienfuite en preuve
de k Divinité de fà miffion. 17 f* Voyex frofhèfes.
Trfffriété (le droit de). Voyez Juftice.
frofelytifiru. Queleil refprit de Profélytirme dans kf
diâtrentes Religions . T • L. 7 1 . Grand zèle des Moi*
nés à cet égard, ibii. L'enthoufîafxne faitTame de
leur Miffion. j%
Tfrtfmché, Oratoireschez les Juifs qui portoient ee nom*
T. L. i<S
Vrofcdu fr4nf(nfe.Extmt de ce t Ouvrage T XXIX. 570
frcvmfaux. Si on leur eu redevable de la Rime. T.
XXVI. ]26
TrovUenee. Tous les Peuples anciens, tant Juifs que
Payens, ont cru une Providence. T. L. 19
frujfe. Grand nombre de Lacsqui fe trouvent dans ce
Païs. T. XXVI. léy
frujfe (le Roi de) .Ouvrage qui lui eft dédié. T.XXXII.
7. Eloge de ce Prince. îm. é* fuw. Il fait faire des
Vers, T. XXXIV. loi. Fragment d'une de fes Let-
tres, ibii* Paroles remarquables de ce Prince. T.
XXXVI. 366. Son éloge. 461
fftiutmes. Origine de la coutume de chanter ksPfiau-
. mes- T. L« 260
. ftolimii, FilsdeP/tfIrWeX»/^e8cFrèredehfameu*
fcCUêfatri. Son différend avec fa Sœur aufujet de
la fucceffi^n au Trône d'Egypte, T. XL. 326. Le
Sénat décide en faveur dcTtoUmii» J17. Ce Prince
chaiTe fa Sœur d'Egypte, itid* Cifmt fe porte pour
arbitre de k querelle , & ordonne au Pnnce & à la
PrincefTe de venir plaider leur caufè devant lui. 328.
C/^^4i/rffe fait porter dans la chambre àsCéfâTy &
kiaccorde les dernières faveurs. 929. Onenvientà
une guerre ouverte » 6c PtêUmpi ayant eu du de&us,
prend la fuise> 8c fe noyé dans le NU. 330. Voyes
DES MATIERES. 279
tuèlicîus ifaques) , Florentin , porte le goût de la vraie
Eloquence à Leipzig. T. XXVI. 199
^têCêllid'OrUM (U). Voyez arUM»s(UPucilUd*)\
FmiTfiHs. Hiftoire naturelle d'une £fpèce de Puceron,
T. XXXVI • 184, ^ /kiv. Bizarrerie découverte
dans les Pucerons du Châne. 1 8^.
Tuftndtrff {Efaîi de). Mémoire dans lequel il donne à
la Cour de Suède une idée tra&c du Miniftère Impé-
rial, tel qu'il étoit en 1 675*. T. XXIX. 9^ Sonfen-
timetit fur la toi Néttfnlk. ip9 » too
Tuits éloigné du Nil d'une bonne lieue, de dont l'eau
monte &de{cend dans la même proportion que celle
de ce Fkuvc. T. XXXVIII. Fart. IL 81
Turchajf, Ouvrage de cet Auteur. T. XLIIL 4
Tufy (Mr.D«»fe/). Ouvra^ de cet Auteur. T. XLIX.
316. Sonbon cara£bère. ièid,
T$u* Extrait d'une Diflêrtation fui^ la génération du
Pus.T.XL. 143. Voyez Grashuis.
Fii;^/ ( Mr.4Av).Pompe de fon invention. T. XXXII.jSi^
tphugvn regardé comme on des Giands-hommes de
l'Antiquité. T. XLVII. 4*11, 413, Reproche qu'on
lui fait d'avoir coavcrt ùl doÛrine d'un voile impé-
nétrable. ibU, Tufqu'où il a poude iès connoiflâoces.
î^îi. Se 4i4.Idee qu'a voient de lui les habitans de Sa*
snos. ihid. Ses qualités du cœur. 415:. Son extrac-
tion. ibU. Il quitte Samos la patrie, pour alkr fixç^
fbn fejour en Italie, ibU» Pourquoi il ne faut pas con»
fondre fèsfemimens avec ceux de fès Diicipies ibid.
Sa théorie de Médecine. 4té. Son gxand préoœte.
417. Pourquoi ila admis le dogme de la Tranuni-
ers^tion des Ames, 418. Et pourquoi il a orné ce
dogme de fables. ibU. Voyez ?ythâfmciint.
fytbiigorieiem. Dififéreace qu'il y a entre les Pythago-
riciens. T« XLVII. 41 f. IkaifiNcnt beaucoup plus
de cas du régime de vivre que des remèdes. 417.
Voyez Tyibugâri*
S4 Qft
2So TABLE GENERALE
AX Uadrature d» CercU. Pourquoi , félon Mr. cfe
\9 Maupertuis, il eft très inutile, de la diercher
^^^ davantage. T. XLIX. 437
^mker. Lettre ûngulièie d'un Qiiaker au Pape. T.
jCLV. 1X2, cr ptw*
^uéîc. Combien cette Vilk renferme d'habitans. T.
^kXXVIL 185»
^ueehelU ( le Père ) nienoit (es Ouailles à T^glifè i
grands coups de bâton. T. XXXI. 44
^enx, (Mr.). Ouvrage de ce Philofophe. T. XXXIV.
103. Combien il admet de fortes d'Etendues, ièidm
Son fbntiment fur les Etres infènfîbles. iâid. Idée de
fon Syflême fur la nature des Etres Qnritucis. T.
XXXV. 61
^e/ndi (Mr.) défend l'acidité de la Lymphe, qui s*ai-
grit d'elle-même. T. XLIII. , 339
^eftiûn ou Tcurtun qu'on fait fbu£Sriraux Crimindf.
^^. XLIII. 38/. Pourquoi elle n'eft pas néceflàim
par fa nature. ibid*
^UHftis de l'Afie (les) ne peuvent foutenirk con-
templation de la Divinité , fans tomber dans des con*
vulfions fàcrées. T. L. 64
>umMHt, Reproche qu'on lui £àit. T. XLI. 381
'uinquinM. Extrait d'un Mémoire fur le ^uîne^ànê»
T. XXVIII. 441. Sa vertu admirable pour la gué-
rifbn de diverfes maladies , 2c fur-tout des Fièvres
intermittentes. 441. En quels endroits on le recueil-
le. 443. Où aoit le meilleur, i^ii/. Trois efpèces de
Quinquina. 444. Quelles conditions il doit avoir
pour être bon, Md. Groflèur de TArbre du Quin-
quina. 44f . Comment on le dépouille, ibid. Pour-
Quoi on donne aujourd'hui la préférence aux plus
naesécorces. iUd, Dans quel tems l'Arbre doit être
dépouillé, ibid. 8c 446. Néceflité de faire perdre
Thumidité à l'écorcc» avant que d'être emballée,
Ufid.
DES MATIERES; *lt
Uid. Defcription àcs teuilles, des fleurs Se des &-
menées, iùid. Occaiion qui a ^tconnoitreles ver-
tus de Fccorcc duQuinouina. 437. Ce remède con-
nu d'abord fous le nom oe fmâre de U Camtejje , puis
fous celui de Pmdre desféfmtes , enfuite fous celui
de PmJre du Cardinal. 448. Combien il valoitau-
trefois. t^ii. Ëcorces étrangères qu'on mêle avec le
Quinquina pour en augmenter le poids & le volu-
me. 449. Le Quinquina recommandé par les Anglois
dans la Gangrène comme un remède fouvcrain. T.
XXX V . 38. J ugement fur cette pratique. i^id.
^irês (Dm Hyacinthe de) , ci-devant ProfefTeur en
Théologie à Rome , &c. Ouvrage de cet Auteur
contrefEglife Romaine. T. XLÏX. ' ajS
^ito. Belle fituation de cette Ville d'Amérique. T.
XLIV. 411. Printems perpétuel dont on y jouit.
ibid. Perfeûion avec laquelle y croiffenît les fruits des
cUmats les plus oppofcs. ihid. EflFet que; produifent
ks hautes montagnes dont ùl Vallée eft environnée.
i^id. Maladie qui y règne, 8c qui eO: une gangrène
du Beihim,^!!^ Quels fruits on y recueille. î^î^.Dif*
férentes couleurs de fès habitans. 413
R,
RManf Evéque de Mayence. S'il a voyagé en
Paleftine&en Syrie. T. XXXVI. iSf
2U^e (Mr.), Conlciller Privé duRoideDanc-
marc. Relation qu'il donne d'un tremblementde tcr-
xe arrivé dans les environs de ChriiHanfbd de Nor-
vège le 7 Février iTij-f. T. XLI. 37
T^elais. Nouvelle Edition de fesOuvrages.T. XXVI.
134. Avantages de cette Edition. ihid. &fuiv.
ti0cine (Mr.) le fils.Paflfage de fon Poème fur la Religion.
T. XXXII. 3 II. Il attaque B«y/e. 331 , Locke. 331.
Son Poème fur la Religion traduit en Vers Allemand»
avec des Remarques. T. XLI. 114. Jugement fur
iti TABLE GENERALE
ceiacTx9da€tioa.i6id.&fmiv. Fautes qa'oa 7 trlNi*
ve. m • ^ fuhf. Fort fujet à h, mâancoiie , &
plaiot lui-même amèrement des maux que cette ma-
Jadie lui fait fbufirir. 314» ^if
fi/ukilhafm. Oi&aude Smolaode qui porte ce*iu>m.T.
XXXIX. 97
Esdamx (les) tenoient peut-être lieu de Navires aux
premiers hommes. T. XLII. 96. En quoi ils con-
fiftoient autrefois, i^id. En quels endroits on s'en
ioToit . iàid- Radeau z compofês d'outrés joints en-
fèmble.fM. Quels font ceux dont on & fot iùr la
Mer Pacifiaue. T. XLIV. 4,17
imJziviL Fable rapportée par cet Auteur. T. XXIX*
422. Qualité meurtrière qu'il attribue à us Couvent
de Religieuiês. 4a}
lU^. Rapport qu'il 7 a entre le venin de la Tarentule
& celui d'un Chien cnn^. T. XXXV. 25^. La
Ueflùre d'un Chien enrage ne diffère d'abord en rien
deceUedetont antre Chien. 279. Exemples de per-
ibnnes devenues enragées un an de même plus long-
tems après la moriùre. Hid» Tems ordinaire au bou€
duquellesr7mpt6mes & manifeftent. Md» Et quels
font cesfymprdmes. i^id. di^fuiv. Le Chijp ne de-
vient enragé qu'après une violente fièvre. 26 1. Ef-
fets que produit la rage. iM. 8c 262. Ce qu'on re*
marque dans le cerveau des enragés, ibid* D'où vient
la Crainte de l'eau, ourHydrophobie. ibU. Pourquoi
le poifixa lefte quelquefois û longtems caché avant
que de &niaiiifefter. 26). Ce queacms a^rend Te-
xempk d'oa jeune Ecofibis mordu d'unÔhien en«
xagé. i6id,t^fitw. Exemples de perTonnes mordues
qui n'étoiem incommodées qu'une ibis le meus. 264.
Moyens qu'il Êint emplo7er pour prévemr k rage.
iM. <^ySiîv.Poarqu<ù la plupart des remèdes devicu-
nrst inutileslodque rH7drophoUe s'eft une Ibis ma*
mfeftée. %6p^ Doix cas d'H vdrophobie rapportés par
^Mr« AMnhKJt.a/o, Gàérifon d'un homme mordu
n
1>ES MATIERES. ati
• 3'imClikiienia|é.T.XXXIX.4»i. Remèdecon*
trc cette maladie. Voyez Mu/c.
W^gnar Lêdirok^€»i h Velu, Prince duNord,&us le*
quel la Religion Chrétienne jctta les premières raci-
stes dansb Scandinavie, T. XL. 48. Il erre par tou*
tes les Mers avec une Flotte redoutable, ihid, H pille
Rouen & Paris, £c répand la terreur jufques dans la
Mer Méditerranée, i^fd, A fbn retour il fe trouve
&ul Monarque delà Scandinavie. 49. Il va attaquer
. Ella , Roi de Northumberland ^ mais il eft vaincu ,
fâitprifonnier, & mis à mort. iMd. Ses fils lui fuc-
cèdent. , UiJ.
BMlvaU KMfhùfJki£ , Capitaine des Gardes , montefur
te Trône de Suède en 1133. T. XLV. 35-3. Sa
mort. ibid»
'B^guola-Nêicker , Prince Indien de ce nom , qui règnoit
en i6|'o. T. XXXIl. aao. Ses belles qualités, ibid,
'BAJanaikm, zèléCatéchifte Evangélique par les foins du-
quel rEvangilepénétraàTanja^ur.T.XXXII. 167
iUî»^// poilede Averfe la Normande avec le titre de
Comté. T. XXX. 314. Ce Comté lui eâ: confir-
mé par l'Empereur Cimradt qui lui en donne Tin-
veftiture. Uid.
tjnfm. Comment la Raiibn eft Juge du vrai fèns de
l'Eaiture. T. XXVII. 25-7. Siksîumièresdcla Rai-
fon fuffifentà l'Homme. T. XXVIIÏ. 13. Auteur
qui prétend que la Raiibn n'eft pas en état de nous
preicrire des Loix, ou des régies abfolues 8c obU-
fatoires» ni <te fixer l'eflence du Jufle& de l'Injuile.
o. Prérogatives de la Raiibn & de la Foi. 307. Ce
qu'on entend par ce mot, 310. Quel eft le plus haut
degré oà elle toit arrivée en 1740. T. XXIX. i7d.
Ouvrage où l'on fait voir qu'il ne convient point à k
RaLQ>n de juger des matières de Religion. 45*1. Ré-
' ponfè à cet Ouvrage. îMd* La Raiibn doit s'arréttr
quand eUene fidt quel chemin prendre. T. XXX*
a37« Ce que c'efk que la Raifon. T. XXXIL ^f
lUî-
at4 TABLE GENERALE
'Mfi» fufffâmê. Ce qu'on doit penicr de ce Priadpe
de LMnitx.. T. XXVII. 415-
J^ijjannemtnt. En quoi confifte tout Taitifice dtt iGii*
fonnement. T. XLVIIL . 90
"BiMkêcciQc Comte) a recherché Cbriftme , ReÎAe de Suè-
de, en mariage, T. XLVL ^38
VM^h ( fVâUbtr)» exécuté pour haate-trahifim. T.
XXXVIII. XI
Vjnm dont on pourroit & (ènrir (iir les Vaiflèaux de
guerre, par fe moyen de laquelkon iè procurèrent
une force quatre fois plus grande que cale qu'on £é
procure a^ec des Rames ordinaires. T. L. 157
^miâu. Mauvais imitateurs de {àMufique.T.XLI.}78
JUx»#/ éiil MânxAno (FrMuei/ctts). Oumge de cet Auteur.
T. L. ^;a. Tems & heu de ù. naiflàoce. iàul. Ses
premières études. Hid, U eft fait Profeflèur à Sak*
manque 3 ) 3 Sa grande réputation. 1 34. Il eft nus
par Philippe IV. Roi d'Efpagne, à la tête d'un Con<*
feil de Finance à Milan. iSU, Il eft fait Membre du
Confèil Suprême d'Italie , 2c enfuite de celui de CaA
tille. iSid. Il eft employé en idyp pour traiter dek
Paix a?ec la France ^ & du Mariage çk Marii Tbirèfi
avec Lmis XIV. ibid. U eft nommé Hiftorien de
Fhilifpe IV. Prélident par intérim du Conieil des
Indes, & enfin Précepteur de CW/fj II. i^m/. Ueû
difmcié, 8c pourquoi, i^id. éi^/sùv. Sa mort, &s
en&ns. 33/. Quel eft le plus conûdérable de fes Ou*»
mges. iM.
Bândom [Thomês). Ses avantures. T. XL* 136
"^nfmr^ Prince Suédois. T. XL. 47
'BjtntxjÊm (le Maréchal de). Sa mort. T. XXX. 4^0
V^nxAm iMtlchm) , cité. T. XXVII. 64
'BaouI Chef des Normands qui aftiégèrent Paris. Vo«
yez fMm.
BmmI di PrifliSt Avocat au Parlement de Paris, êcc»
devenu enftiite Eccléfîaftique » prenoit le titre de
C09fijfiur & rçHê dtêBfii Chârks ^.T.XXVLi38
M-
j
DES MATIERES. atf
9Apm (le P.) • Ses réflexions fur k Poétique & fur ks Ou«
vrs^s des A nciens & des Modernes. T . XX V IL 3 1 7 .
iUrff/. Pourquoi ks choies de première nareffité, tel«
ks que k pain & Teau , ne peuvent pas être lares.
XLIX* 6f. La rareté d'une choie iàns aucune ef-
pèce d'utilité ne peut mériter d'eftime. 66
fj^fummsky (Mr. k Comte di)t Préfident'de l'Acadé- .
mie de St. Pétcrsbourg, k Mécène & k Protecteur
des Sciences & des Beaux- Arts enRuffie.T.XLVI.
%6f. Ouvrage qui lui eft dédié. iàid.
fi^ts qui viennent des Montagnes de la Laponie. Rava*
▼âges qu'ils commettent. T. XXXVIIL ^2. Ratt
qir on dit avoir mangé ta dévoré des Rois , des Pré-
lats, 8cc. & réfutation de cette fable. T. XLVl48,4f
KAvMère (Mr.r£vêquei/e/i»). Ouvrage qu'il fait im*
primer. T. XXXVIL la
Baude , ou le Roux j Héros qui a fdtla découverte de
k Groenknde. T. XXXL 40
^éifvenne (jMn de), a eu dans fàjeuneflê le bonheur de
voir Pétrarque. T. XXVIL 148
"BAvmsberg de Cuick {Henri). Mémoire de cet Auteur.
T. XXVIL 44
^uraqstes. Alliances de ces Peupks avec ks Helvétkns.
T. XXXVIL ' 97
KAftvolf, Auteuf d'un Voyage du Levant en ij-jy. T.
XLIL 310
Baye monibueufè qui étouffe ks hommes.T.XLI V.41/
B/^l (Mr. l'Abbé). Extrait de fon H^iinre du Stad'
houderat. T. XLIII. 76. Extrait de {onHîfimedtê
farlement d'Angleterre, tfo. Idée générale de cet
Ouvrage. ibid. &fuvu. & 178
BMynstdiy cité. T. XXVIL ix
Baynauld {Oderic), cité. T. XXIX. 46 j
Bèaumur (Mr. de) fait voir ks avantages qu'on peut
retirer des recherches qui ont les Inieéles pour ob-
jet, y. XXXL 74» Tf^ Extrait de fon premier Mé-
moire fur Y Art de f^in une nmvelli effèa de Parce»
lain^*
%tS TABLE GENERALE
hÙM. 47 1« Ses expérieiices fur les ?cijpeÉ. TR.
XXXIII. ifx, 2f^. Extrait de Ton Artdefmireé^
€lem desoijfâux dMMfiiq$fes t Uc. T. XLlV.x^s^
. Extrait de là Pratique de TArt de faire édorre des
Podeu. T. XLIX. 243 , érjmvn
Wa^llùm d^Ecôffe. VojCL Ze$Jfi. ^
IBJ^cImbtrg {CimrUs'Ottê) 9 ?tokScut en Droit. T.
XXVL 108
Mechtrthet Ft^ûfafhiquis. Voyez Tbilâfifhii.
tiicomfmfes (les) Ibnt uo encouiagement à k reita.
T. XLII. i^ç
Bédemftffir. Idée qu'on doit iê former de h nature du
> Rédempteur. T, XX VL 397
Widoul, ou Ba»doc$y Plante auflî connue ibus le nom
àeCifriaria. T. XXXI. 477. CeU la même que k
B/ms Jjfvefiris de Pline y ou le BJmt nyrtifolia Mênf"
feliacM de C. Èmhm. ibtd^ Pourquoi on l'appdk
aufTi Ymrbt aux Tarmturs. iiid. Regardée comme
un poâbn des plus ûi^uliers , leqnelcaufb réplkrp*
fie aux Hommes qui mangent de £cs fruits , de k
▼ertige aux Ammaux qui broutent ics jeunes rejet'
. tons. ihid. Les fruits 6c les vieilles feuilles ibnt un
poifbn plus violent que ks nonvdks feuilles , celki-^
ci ne faifant qu'enivrer. 478. Ëxem^es qui prou-
vent k vioknce de ce poiibn dans ks Hommes 8c
dans les Animaux. iM. &fmv^
^formatim. Extrait de YlntrUtfBk» i l'Hifirin de l'S*
véMgile remmftlU , ou de hSUformativfi, T. XXXIL
4J4. Etat de i'Eglsfè Romaine avant cette épo^e.
iHd' éi* fuvo. Commencement de k Réformation
en Suiâè. 461. Jugement fur k Réformatiôn de
Luther. T. XLV. 70, 71. Pourquoi elle trouva
tant de Se6èateurs.fi^i/« 8c 72. Si les Réformés doi-
vent être tolérés en France. T. XLVIII. 443, fjh
fitiv» Accuiàtiotts portées contre eux par lËvéque
d'Agcn. ilfid. Les Réformés de France ont toujours
été rédaîu avec focilité depuis Taf ènement de Hen-
ri
DES MATIERES.
:• ti IV. au Trône. T. L. 5*8. Durée dé leur grand zà-
V k. iiid, L^Ëndioufiafme & les Prodiges regardés par
quelques-uns d'entre eux Gomme uiie reilburce. 6i.
Opération dangereufe danslaquelle ks Réformés ont
réuffi , en privant le Peuple en même tems , Se d'un
fêul coup, des cérémonies, des images ,.& des pôm*
pes de la Religion. 63
Kéfitgies. Vojtz 'Brtm^oU 'RiJugUs*
B/fggh^ Fabrique d'une eipèce de Soie brune des An«
ckns qu'on y a renouYcilée. T. XXIX. 30
tUfime, Ouvrafic intitulé Sffki fier le Uigime. T*
XXVI. ^229
IBiigime de vwreTythagmcUw. Extrait de cet Ouvrage.
T. XLVII.412. £n quoi confîfie ce Régime. 418
Bfgimm de Frum , Auteur du dixième £ècle , cité. T.
XLIII. 180, a8i
Begis {Fierre SilvMn) f Cartéûen. Son hypothèiè fiir la
formation de la Glace. T« XLV. 14.0
^pumUÇc P.).£xtraitde ù^Lc^ue. T.XXXIV. 384
^gne Animale Extrait du Livre intitulé EcencmU du
SfigneAmmah^cT. XXVIII. 134
^gmsurd (k Père Alexandre) , Jéfuite. Conférence qu'Û
eut avec des Miniûres delà Religion Réformée. T.
XLII. \ 393
Bikhârd (BmhéÙmih cité. T. XXVI. 108
9e$4 (Mr.)« Obièrvations de cet Auteur fur la Rage. T.
XXXVm. 186^. Et£ir ksManiaques. 187
Mi». Mémoixt pour icrvir à rUAoîxe des Reins. T..
XLIL 408
BâUkei Mr.).i;'raduâion dont il ed chargé, (k qui lui fait
mériter l'ébgc d'excellent Tradudcur. T .X L V . 3 3 7
Bfitx, (Mr.) , Reâeur de TEcok, Hiéronymîenne à U-
trecht. T. XXXI. 8. Eloge de fon érudition, iéid.
Partqu*ilaeueàknduyelk£ditiondeLMd«».9» 10
Kri/x (Mr. Charles -Cmnrêd) , Reâeur du Collège de
Gorinchem , frère de l'Editeur de JJécim.T. XXXI.
13. Ses Mi9 Cites de lf^iei^.{ ' i^id.
dSl TABLE GENERALE
IfMhmi, dté. T. XXXI. 4fs
Mfligim j &c. T. XX VIL 14S. Pourquoi les Hom*
mes s'accordent fi peu fiir les principes 8c les foode-
mens de la Religion. ft49,<^yyv. Tnité où Yoa
fait voir quel' Antiquité a'cftpas un Guide fur dans
k Religion. T. XXVIII. 119. Inconvéniens qu'il
7 a^ à craindre lorsqu'on fùppofb que chacun t& en
droit d'examiner la Religion. ^ 1 8 » } 1 p. Auteur qui
croit qu'un £tat peut être gouverné par des Hom-
mes qui ne font d'aucune Religion. 381. Erreur de
ceux qui font confîfter l'eflênoe de la Religion dans
des fpéculations arides 8c infruâueuiès de quelque
paquet 4e paroles myftérieufès. T. XXX. 11 6. Ex-
trait du Traité de la vérité de la Religion Chrétien-
ne par Mr. 7.^/f^wy«T«rrewî». T. XXXV. a 3 5-. Si
la Nation la plus tertile en révolutions edceUedont
k Religion n'a point de forme certaine, 8c qui, en
ks admettant toutes indiâeremment» avoue en quel-
que façon qu'elle n'en a point. T. XLI. 347. De*
tordre où ie trouveroit k Société fi l'on en bannif^
foit k Religion. T.XLIV« 319. Difcoursfiirlezè-
k de k Religion. T. XLV. 171. La Religion doit
itre foumife à l'Autorité du Souverain. T. XLVL
316, f^fuiv. C'eft le plus puiûànt motif que nous
ayons pour être vertueux. T. XLIX. 32a. La Re-
ligion connue des J uifs ibus k nom de Service ou dct
Culte de Dieu.T, L. a . La vraie Religion , qui com*
prend le culte de Dieu 8c l'amour du Prochain , eft
aulTi ancienne que le Monde. 3. En quoi conâftok
une des parties principaks du Culte extérieur chez les
Juifs. 10. Pourquoi il eft permis à chaque Peupk
de régler chez foi la forme extérieure du Culte pubuc,
pourvu qu'il n'y entre rien qui choque lesLoixDi*
vines. 4. La Religion regarda par tous les Peupkf
comme la méthode de plaire à Dku 8c d'attirer ùl
£iveur. T. L« £3, Queue eft l'autorité des Miniûres
de
DES MATIERES. aJ^
de la Religion chez les dififérens Peuples. 66 — 6ç,
Les branches fameufes de la Puiflance Eccléfîalli-
quesfont coupées dans tous les grands Corps de Re-
ligion. 68 . Ce que c'cii que ces bf anches. i^iV. Pour«
quoi les Auteurs des premières Religions avoient peu
de fujet de s'intérefîèr à la propagation de leur culte^
71 Voyez Thiologk,
Btligm Chrétienne. Extrait d'un Traité fur la Vérité de
cette Religion. T. XL. 3S3. On ne fàuroit déter-
miner ks' articles fondamentaux dek Religion. T<
XLIL ifi. Pères de rEgliië qui ont erre fonda*
mentalement. 1 1'4. Comment on fait voir qu'on peut
ener dans les fondemens de k Foi , & être en mêm«
tems membre de TËgliiè Apoflolique. iàid> Erreurs
àcs premiers Chrétiens , & fur^tout des Corinthiens.
I f f . Ce que c*eft qu'une erreur fondamentale. 1 f6 ,
13*7. Combi^ l'Écsiture Sainte eftobfcure fur cer*
tains myftères. 161. Lajleligion Chrétienne eft dé-
gagée de fy mboles 6c de cérémonies , 8c réduite à uil
i)ritémé9Eufbnnable.T.L.23« A quels chefs on peut
rapporter ce fyMmcJèid. Lorique h Religion Cluré*
tienne parut, elle impoià fîlence au bruit des Fétes^des
Pompes , rendit l'elprit de pénitencç général , 2c célé-
brâmes myftèresavec une nujeftueufè mélancolie.6t
^li^m Mâhcmitane. Réponfe ^ue font les Mahome-
tans au reproche qu'onieur fait de n'avoir établileur
Religion que par k voie des armes. T. XLIL 119 •
teligim naturelle. EiitmtdeV Examen des Fondemens é^
de UCffnnexhndelaRiligm Msturelleé'UiévêUe.T..
XXVIIL 3. dommentonfaitvoirquek Religion
eft un principe d' Avions juftes. 11.. Pourquoi oa
devroit apprendre aux Enfàns à bien juger de tout
& à raiibnner jufte , avant que de leur inculquer le»
Dogmes Se les principes de la Religion de leurs Itè-
res, ai j'y 116. Infuffiiànce dek Religion Naturd-
le. T. XXXL , ^ ifî
Sif lignes. Si ccic endroit d'//2»«, d^fetufêlem exeunt Kf*
T . iï-
290 TABLE GÉNÉRALE
Itquis 9 eft un texte précis en fâreur des Reliques. T.
XXXI. x6o
tmcrds. Ce que c*eft. T.' XXXII. 25-
fanârd arme. Obffrvation fur cet Animal des Indes.
T. XLI. 46^
Keipiri marin y ou Gaîeus^ diiTéqué par les Académi-
ciens de Paris. T. XXX. 436. Commencemens in-
formes d'un Animal trouvé dans les Oeufs de ce
PoifTon. i^id.
WitMrdswnrs, qui fe trou vent en Laponie, 8c dont les
peaux font d*unprix conûdérable.T. XL. 45-7
nnau (Mr. de), cite. T. XXXVII. 184
tim^ d*Anjm , Roi de Napics & de Sîdle , & Comte
de Provence, aimoit fort la Peinture & la Poéfie.
T. XXVI. 141. Conduite qui lui a fait perdre ics
Etats. îàid.
Mml (Mr.il»), cité. T. XXXI. 3^^
tiennes (les) percent la neige avec leurs pieds pour trou^
ver uno moufle qui leur fèrt de pâture. T.XXXI.49,
pëfcription d'une Mouche qui s'attache à ces Ani-
maux. T. XXXVIII. 10. Caraârère de ces Ani-
maux. T. XL. 25*9. Combien de chemîin ils peu-
vent faire en un jour. a6o
fentes k vît. Manière de calculer fur des Tables d'di>fe-
vations la valeur des Rentes à vie. T. XXXVIII. 1^9
'B/fus des Romains. Eclaircillëmens fîir cette matière»
T. XXVm. 177
MifuhliqMs des Lettres, Projet pour rétabliilementd'ua
éureau général de la République des Lettres. T.
XXXIX. 20X
liepues franches» Ouvrage aînfi intitulé du Poète ri//^.
T. XXVI. 141
tlepulfe-Bay. S'il a quelque communicati0n avec un
Océan voifin du Pôle , dont les eaux defcendent dans
Je Weltome , £c 7 produiiènt les Marées » qui neibnt
^jamais plus faautcf qu'avec les vents du Nord. T.
XLU. 18^19,
DES MATIERES. :29i
'RéfHtatim. Avec quelle facilité les réputations fc for-
ment ôc fe déttuifent. T. X LIX . ^6
B/tfcius {Mr.Bufger), Profefîeur en f^angue Grecque à
Louvaiu. T, XXVll. . 44
ReffûTts. Mémoire fur leur a^ion. T. XXXVIIL ijf
ftjtfiio {Ofilius). Son infcription à Thonucur d*Ep9M,
T, XUII. 269
Bifurreéiiân de J. C. Examen de ceux qui en ont été té*
moins. T . XXVI. 230. Extrait des Obfervationsfur
rhifloire & les preuves de la Réfurreâion de J . C. par
Mï, Gilbert Wefi, T.XL. 15-8. Dans quel ordreibnt
arrivées les diverfcs cîrconftanccs de cette réfurrec-
tion , rapportées par chaque Ë vangéHile .170, ^fuiv.
Retourner. £n quels cas on doit & Servir de ce )!irine«
T. XXIX, 37f
Rive {Jean) fi: démet de (à Dignité Eccléfiaftique. T.
XXV U. ^ ia6
Rivélaticfn, Preuve que la Révélation qpenous avons,
vient réellement de Dieu. T. XXVIII. 11. Sonu-
tilité. Und.&fmv. Elle ne nous découvre aucun nou*
veau Devoir , fi ce n'eft dans les cas où elle nous fait
appercevpir de nouvelles Révélations, ig. Com-
ment on fait voir qu'elle renferme plus de inottfs à
k Vertu que la Religion Naturelle. 14* Examen
d'upe Objediion contre la Révélation, if, é^ fuiv.
Elle fuppofè que nous fbmmes doués de railbn, T»
XXVIII.109. Du degré précis d'étidence quëdoi-
vent avoir les preuves de la Révélation. 313* Pour-
quoi il n'eft pas néceflàire que les preuves de la Jiévé*
lationayent le plus haut degné d'évidence morale.^ 14,
Preuves de la probabilité & de la vérité d'une Révé-
lation. 1 17. Si k Révélation qtie Dieu a accordée au^
hommes efl claire Se à la portée des efprits les. plus
iimples .318. Queftioh raiibniiaUe êc légitime qu'ily
. a à fairefur la Révâation. T.XLIV. « i, O^nion
générale où étoit l'Antiquité de la n6ct&xé d'une
Révélarioov'T. U.io. Ongine d'un principe û uni-
T a ver-
\
1
a92 TABLE GENERALE
TCiiêUeinent reçu. îMd- Preuves de là podibilhéy
tirées de la coniidéiation'des Dcrfcâkms de Dieu ,
& des circonftances £c desbckniis de rHoinmepé»
cheur. 271. Diicuflîoii des deux grands arsiinens
qui établifTeot la vérité de k Révélation Cnrétîca*
ne. - 171, X7X
J^eaif. Signification dece terme. T. XXIX. 37^
timfchms (f«w). cité. T. XXVL 196
Wi^uuU (le Père) , accuie d'être le Copifte tècret de
Mr. Iknwulli , dont il avoit appris quelque cJuife
chez Mr. de l'HafadUT. XXX VIL 185-
J^gms (fesn) , cité. T. XXVl. 196
tJBeedm (Mr. Je), cité.T. XXXII. aïoo
Bbâj^cbiU, Général de l'Armée de Charles Xll. Roi
de Suède, pourTuit les Saxons. T. XXXIII. 408
ShtMtms, Ouvrage qu'il6ûtimprimer.T.XXVI. 18^
tiketmqtte. Pourquoi il eft bon«de faire précéder Té-
tude de h Rhétorique par celle de la Géométrie A:
de la Philoiophie. T. XL. 136. Si on doit renfci-
gner en Latin. 137
t^m (le). Voyez Diitse.
MhtMcorura, Tems auquel cette VîUe a été bftde. T.
XXXVII. ' 15-3
iMcman, Remarque fur une traduâion faite par cet
Auteur. T. XXXVI. 268, 165^
iJms Syhefiris , Plante venimeufè. Voyez BadmL
Biht (Mr. EdoMri) » Médecin du Roi de Suède, (^ai-
ment il a réuffi à guérir une Amaurofè. ' T.
XXXV III. 9. Comment il traite k Petite* vérole.
14. Ses remarques fur les maladies ôks yeux. T.
XXXIX. !•!
tticcétrdï (pabritl), le Marquis. Ouvrage qui lui eft dé-
dié. T. XXVL 180
Vâchardi fumommé Ctxur de Lien, Onde âcBkhurd
Comte de Poitou & de Cdmouaille. Sc$ exploit!
contic les Sarafins. T. XXXIII. 9
fiUhsrd, Comte de fettc» 6c de CmMmiBt, Extrait
D E s M A T I E R E s. 295.
de la Vie <J» 4es Mts mémorables de ce Prince. T.
XXXIII. 3. (ji^ fuiv» Pemiant combien de tcmsiî
a gouverné l'Empire. 4. Son origine, f^ Ternis de
de fà naiflànce. 6. Il eft envoyé en Oafcogne, 5c pour«:
quoi ihid. Il bat les François au Siège de Riol.i^.
Il fè brouille avec k Roi ion frère. 7. Ufe réconci-^
hc.iSid. Ses mariages. î^ii. Son amour pour le Cler*
gé. a. 11 fccroiic, 2c part pour l'Orient, i^^. Son
arrivée à Ptolémaïs. 9. Il répand l'efiroi parmi les
Sarafîns. i&id. WsJXiHc Gautier deBrieime, tk lui re-
met A (calon. 10. llquittelaPalefiine, après y avoir
rétabli la Paix, ihid. Il fe rend en Sicile , £c pourquoi;,
iiid. Son arrivée à Londres, bc réception qu'on lai
fait. 1 1 . Il fait briller fes taiens dans une guerre con-^
trc les François. iâU. Il fonde l'Abbaye de Hftfles.
II. -Il épouiè 9 en fécondes noces, Sanche^ de Fro^
vente, ibid. ££Rrts de fa dévotion, i j. Sa niagnifi-
cence» Scies dépenfes ex^traordinaires. 14.. Souitret
de fès richtifes. ibid* éffuvu. Il eft nocpmé Ibégenf.
d' Angleterre pendant l'abicncc du Roifonfrère^ 16.
Il eft accufé d'avoir apauvri l'Ai^leterre. 18. Ilac«
cepte l'Empire, lo. Son arrivée en Allemagne, i^zV.
Tems auquel il fiit couronné à Aix k Chapelle, ibid.
Comment 11 récon^penfà çpi^x qui avoiçnt travaillé
ï fbn éleéHon. ibid. Son retour à Londres. 11. U
revient en Allemagne , oiï il convoque une Diète. %x*^
Il eft fait prifonnier dans uiie Guerre Civile en An-
gleterre. 14. Il recouvre ià liberté, ibid. Quatrième
voyage qu'il fait en Allemagne » & ce qu'il y ÇiK,%6l
Il devient amoureux de Béatrix de Ffttk&fieifk » ,jài fe
xnarieavec elle. 17* Dénombrement dc^ Princes qu^
ont rec<Minu 'Edclu^d pQUr Roi des Gerniaias. ^ t
fàchmrd II. Roi d'Angleterre, 'f Faits vio^ns contre cm
Priucc. T. XXIX. M> ^ 9?
tàfhard de St. Germain. Particularité rapportée pur cet
Ecrivain. T.. XXX. jiy-
fiehardfm (Mr.) envoie au Chevalier Sloai^ h relation
T 3 d'ù-
aj4 TABLE GENERALE
d'une grande piècedu Fémur » enlevée ^ la fuite d'ua
Abfcès avec carie « 8c rétablie par la Nature. T.
XXXVL 341
Bschekt. Nouvelle Edition de ion Di^i«?MWV à laquelle
on travaille. T. XLVl. * 216
tàchelieu (le Cardinal de^. Jugement fur ùmlifiamènf
l^ûlititjm, T. XX)î. 94, O'fiivv. Comment il gôu-
vtmeit le Roi I^mîi XIW 99. Sa Maxime au iujet
dé^ Négociations. 103* Il eft mécontent du Roi 6c
de la Reine d'Angleterre. 4^3. Il fait prendre le f è-
Tii Mônot. ^f6, Voyez-Monot* S2imon, 461
jaichelieH (le Duc de). Conièil qa'il donne à la Bataille
de Fomcûoi. T. XXXVI. 469
J^helku (Madame/;) eit faite Dame d'iïtour de Mada-
me kDattphine. T. L. 52^
Jdchemanf (Mr. le Duc de) a répété quelques expérien-
ces dcf Mr. Tremhley.'T, XXXVII. X64
fâcher (Mr.). Découvcrt^'de cet Auteur. T. XXXILS;'
RirAejT*/. Pourq'uoi il eft^inuiile-d'en prêcher le mépris
T. XLI. 360
fâchmam (Mr.) a donné la ootiUrtiéHon d'une Machine
hfcktxdatiquepfoprdà' mefurer l'évaporation deFcau,
de quelque températiîfe que ce foit.T; L. i47.Expé-
* riôace qu'il a faite a* Aijfeidi^ k' denfîtéde l'air. 149
fdchtfteeg {Mr.)y Miflionkiré Pfotdftant. T.XXXn.172
^hter ( Mr.) > Médecin , Poète , ÔC Uttérateuf , cite.
T. XLI. a^-a
mdmèr ,- 5*atrice qui difpôlbit comme 'bcfia lui fembloit
de l'Empae d'Occident. T. XLIII. 181
l^dicuU. Eflâifur le Ridicule. T. XXXI. 118
fi^et (Mr. y.C.)t Extrait de fon IntrâduOimàU Cou-
noijfarifedes Chofis mfuré(Us é" drti^iiUfs. T .XXX.
• 3 j«. Son éogc. :. r- - 34^
R«» (le), ou le N^fW. Si les propriétés du Vuidclui
cottvienncût.' T. XXXV. 7^. Cequec-eft, yt'
fmac. Signification de ce tcrine* T. L. 30*
9,ime» OpiidoQs difféîdmes fur -ft>n origine. T. XXVI,
1
y
DES MATIERES. .ajg
12 f .Quelle eftla plus commune de ces opinions. 1 26.
Uiage qu'ont tait IcsFrançois de la Rime qu'ils avoient
reçue des Maures par VElpa^ne. 1 17 . Auteur qui iè
déclare contre la Rime, T. XXX. 80. Les Poètes La^
tins ne font point dans l'obligation de rimer, i&id.
lUminL Concile qui yfutafTemblé.&ccqui s'y pafîà.
T. XLVIII. ' 383, (^fmv.
Biwnan (Mr.). Dcfcription qu'il adonnée d'une cfpè-
ce de. Serpentine qu'on trouve autour de Sahlberg,
T, XLI. 22. Etd'unecfpècc die Séleni.te phofpho-
rique , fort reflemblantcft la f icrre de Berne des Aca-
démiciens de France. iM4'
Rfp«» (fean-Thomas). Oraifon funèbre qu'il pronon-
ça. T. XXVI. . . 264
' ^f^ (fean*Tranfois), Elégie de ià façon , intitulée //efr
Irandcuni. T. XXVI. x66
Bifhat , l'un des fils de Gomtr, T . XXV IIL 3^3
t^éra {Antomo de) , habitant de Lima t ^ planté le pre-
mier Olivier qu'on ait vu au Pérou. T. L. g 1
VSvih^e {yiv.jMt^-Brutelde la), Paftcur de l'Eglife Wal- ^
loone à Amderdam. Extrait de Ces Sermons. T.
XXXIX. 17. Temsôclieude fàxnaiflànce. 28. Il ife
réfugie en Suiflè & enfuite en Hollande. {^Z^. Ses^-
tudes. i^i^. Il eft appelle, par l'Eglife de Vere en Zé-
knde , d'où il pafTe à celle de Rçtteidam , & enfuite
à celle d'Amflerdam^ 29. Sa mort. Tes enfans. ièuL
Son caraâère. i^i^. (ji^fuiv. Ses Ouvrages. 30,31.
Idée de fà manière de prêcher,3 2 . Ses Sermons.3 3* 34 '
'Blvières, Voyez Elvmf,
lUx. Manière de cultiver cette Plante. T. XXXII. 196.
197. T. XLI. 134
^ais {Marie-featme vm) , femme de Mr. Ji/mBruttl
de la Bjvière, Voyez Rivière.
, Mû^toaBuftert, Comte Palatin du Rhin 8c Duc de Ba-
vière , eft élu Empeieur.T. XX Vil . 35-9, Son expé-
dition en Italie contre J • GaUas. ihid^ Sa ;nort. f^iJ.
^erty Duc de Normandie 6c Pèic de QéillêHmf ^
T 4 , Con^
%^ TABLE GENERALE
CcnijuêrMnt , laifTc furprendre fbn cœur par ]es char*
mes ingénus d'une jeune Bpurgeoiiè nommée Hmt^'
Une, T. XXIX. 281 , 283. Cette Belle acxrouchc
d'un fîlsapquelon donne le nom de G^i//4Mf^. ihid»
Belle .éducation que lui donna ion Père. 2 84. A utres
cnfàns que "Rtiert eut de cette Maitreflè . ikîd. Ce Prin*
ce entreprend k voyage de Jéru^m pour s'y con-
(àcrer pendant quelque tems au fcrvice de la Reli*
gion. tbid. Ce qui mi arriva en traveriànt l'Italie.
28/. Ilpi^dlaCroix ï Rome, ^id. Son arrivée à
Jérufàlem. 287. Préfènt qu'il fit aux Pèlerins. »^i^.
Sa mort. ièid»
Mért (Duc de la Fouille & de la Calabre) fe rend, à Melfl,
où le Vs^Skûlas tenoit up Conq^ pour reprimer
la licence des Ecdéfilftiques. T. XXX/ 318. Trai-
té qu'il Élit avec ce Pontife , où il eft ûipulé que les
Normands (èroient abfous desExcoramunicatiens
qu'ils avoieat encourues, 8c qui avoientété pronon-
cées contre eux. ihid* Autros conditions de ce Traité,
iàid» Teneur du Serment que prêta ïiobtrt. j rp
' f^ert y Prince de Tarente , arme pour paifcr en Grèce.
- T. XXXI. 19^
l^oberti Moine de ce nom, qui le met à la tête des Hon-
grois, ^ s'empare du Gouvernement de Naples, T.
XXXI. 199. Il envoie folliciter£(^&. Roi de Hoa-
" erie • de venir prendre pofîèdion du Royaume de
Naples. ^ Hid
pillard (Mr. de) , fils du Profeflfeur de Mathémati-
ques de même nom aux Ecoles d'Artillerie de Metz,
Ses Ouvrages de Géométrie. T; XXXIX. 188
Bioèins ( Mr.) , Membre de la Société Royale de Londres»
Phyficien 8c Ingénieur , a contribué à perfeôionner
le Voyage de l'Amiral 4nfit» aut^^r du Monde. T*
XLL 40
9^/0/0» (Mr.), Minière d'Angleterre auprès de Cfeir*
lesXJL RoideSuède. T. XXXIÏI. 407. Manière
ii^guliàre dont ce Prince lai donna audience ièid.
DES MATIER ES. aof
BcBmfoniS.)^ Libraire, eft? Editeur du Homan inti-
tulé C/^ijj/i , &c. T, XLII. 31/. Autrç Ourra^
qu'on luiattribue. i^id»
Jtoche (Mr. Robert) ^ Expérience qu'il a fidte fbrrElec-
tricité. Té XLVI. ^69
fioche (Mr. de h) a traduit en Vers les Bucoliques de
VirgiU. T. XXX. 39f
Bûchers en Suède ^ qui (ont remplis de Coquilles , de
Coraux » de Madrépores , 2c d'autres produâions de
la Mer , toutes étrangères aux Mers de Suède, T,
XLVIL 391
ILùchfs (franfés Je). Second Extrait de fà jyéfenfe du
Chtiftianifmi, ^c.T,X\Vi. 377
Eêd^ard, Prince Suédois. T. XL. 47
Rodolphe Comte de wAsi^mrg. Voyez Hâhf^rg,
"Rudolf he I. & fait élire Roi de Bourgogne à St. Maurice
en VaUoisran888. T. XLIlLiSo. De quelle Mai-
fbn il étoit Ibr ti. ibid.
B^doiphe JI. Roi de Bourgogne. CefHonde l'Helvétie
Allemande qu^ lui fait Henri Voifeleut- T. XLIIL
183 . Bûdûlfhe donne à cet Ëmper. la Lênce Samte.iéid*
Rodolphe U. ^l'Empereur) redramt les Privilèges dea
Prote{hns.T.XXvn.364.. PrincitMiix éFènemens
de fbn règne. iM- A quoi il emplojoitla mdlleu*
re partie de fbn tems. 1 6f
Rpger y premier Roi de Sicile. Guerre qu'il fait contre
le ?^yt Innocent. T. XXX. 319. Il reprend toutes
les Villes qu'il avolt perdues , Se fbumct le Ducbé de
Naples 8c les Provinces des environs, ibtd. Il iàitpri*
• fonnier le Pape Innocent , qui lui accorde l'Invedi*
ture de Sicile, ibid. Son expédition en Afrique, j^i^/.
Sa mort» ibid.
RogerdeLoria. Sagrande valeur. T. XXXI. 194
JRoifan (le Cardinal de) apporte ji Paris un morceau de
Peinture à frefque trouvé fur le lambris d'une Voû-
te fbuterdne i Rome. T. XXXIV*. 247
f^hâttl^ s'accorde avec Defcartes fur la caufc de la for-
T f m9i*
1
•^ TABLE GENERALE
mation de la Gjace. T. XLV. 140
Rohfman . Découverte qu'il a faite. T . XXX VIII . 49
fjtUmb (k Baron) , Préfident du Conseil des Mines de
Suède, cite. T. XL. »f
jW/i (Mr.)- Sa Tradudion Italienne des Bucoli^aes de
. Vi^gik, T. XXX. * 124
^llln {Pierre), Maître CoutcKer à Paris, ôc Père de
. Charlis Rollin. T. XXIX. 45^
]S^//i» (h/h, Charles), TernsdefanaifTaiice. T.XXIX.
43^.11 efl dcàiûé à fuivre la profeiTion de Pierre Rûllin
ion Père. i^i^. On lui fait obtenir une BouHè qui le
met en état d'étudier. 436. Ses progrès, .^ii. Bien-
faits qu'il reçoit de Mr. le Teletîer. 437. Combien
il étoitdiftinguédu célèbre Mr. Herfin^ ibid. On le
détermine à être ProfeHcur de Secoo^e* ihid* Pouir-
quoi il ne pôuvoit fe revêtir du moindre perfoonagc
ctrangpr. 439. Idée de fes Harangue!} Latines, ibid.
Il ranihie l'étude du Grec , Scçn eft regardé cooi-
xne le véritable Reftaurateur ihU. U introduit Tuià-
iage des Exercices publics fur \ts anciens Auteurs
Grecs 8c iMns.ibid. Son zèle infatigable. 400. Cas-
qu'on &ifoit de fès Vers, ibid» Obligation que lui doi-
vent avoir quantité de gens de mérite qu'il a formés*
Ibid* Il i^ li^c entièrement à l'étude de l'Hiftoire an-
cienne, & ne retient defes fondions publiques que
celle de la Chairç d'Eloquence du Collège Royal*
^id* Il eft nommé Reârur par l'Univerllté ihid.
Se& deux Panégyriques du Roi regardés comme au-
tant de Ciiefs-d'çeu vre. ihid . Il accepte , comme mal-
gré lui, la Coadjutorerie de la Principalité duCoUè«
ge de Beau vais. 441. Il peuple & met en honneur ce
Collège , qui étoit alors uneefpèce de défert. ibid* U
quittecette Principalité pour reprendre plus tranqui*
lement le projet de £cs études. îbid' Ses travaux fUr
Smntilien. iHd. H pub^ fon Traité de la manière
. d'étudier &; d'enfeignei^es Belles- Lettres. 444. Son
HiHpiie aociçnne des Ëgyptieçc , des CarUi^gijiois ,
D.E s MATIERE S. 299
Sec ièid. Son Hiftoire Romaine, ^^f. Autres Ou-
. vrages de ià façon. i^ii.C^T^iv. Succès qu'ont eu fès
. pioduélions. 447. Lettres que lui écrivoit le Prince
Royal) îLujourd'huL Roi de PrufTe. 448. Avec quel-
le facilité il écrivoit. 4^0. Le Latin étoit comme fà
Langue naturelle, ihid» Samodeftie. i^id» Son dci^
intére0êment & ià piété. 4f i. Divers Extraits de
£onHifioireBfimiim$.r.yLXVlUzos. T. XXVIII.
245.T.XXIX.3,32^T*XXX.3f4.T.XXXII.
fç. Critiques de divers paÛàges des Ouvrages de cet
Auteur, T. XXVI. 8y, é'^iv. Jugement fur fa
Chronologie. y2. Comment il ie jûâifié.du repror
che qu'on lui &it d'avoir mal rendu le fèns de plu-
ficurs pafïâges de Livres Grecs. T. XXVIII. 203 »
20/. Réâexionsdecet Auteur. T.XXIX. 7, 14. 27*
SonE/(?feparMr. deBoze. 435*. Sa mort. T. XXX,
3^4. Son caraâère. ^f9
f^i^llm (Mr.5F.).Doaeur en Médec. cité. T.XXXVI.iy
^Ihn o\i Raoul » Chef des Normands', Pirate d'une
grande valeur, allîège Paris, & fè rend maître de
P Aquitaine & de divers autres endroits. T. XXX.
3(io. On lui abandonne la Neuftrie^ Province du
^ Royaume de France , dont la Normandie compofe
aujourd'hui une partie, 3 1 1 . Il époufè OifelU , HUe
ou feulement parente dt Charles le Simple y Roi de
France, i^id. Il embiaflè la Religioq Chrétienne , Se
reçoit le, Baptême. iSid. Il abandonne iovk premier _
nom, 5c prend cdui de Ro6ert, Comte de Poitiers,
qui avoit été fbn parrain, iùid. Les Normands fui*
vent fon exemple. iifid.
^iemaitts, Raifon qui les potta à prendre les Loix d'A-
thènes pour mcKièle d'un Corps de Jurifprudeace
qu'ils vouloient former. T. XXVI. j. Extrait du
rar4ll^le des'tUmiinsfj^dejFranfois.T. XXVllI.
289. Et de Vaiftoire des Révolutions arrivées Jans
l'Empire Romain, icc. 320. Les Romains ne purenc
îottmrir^près la mott de V<$muUtf * que 1^ Séuateura
tM TARLE GENERALE
(èievérinènt tour à tour des marques de la Royauté.
T. XXVIII..293. Quelle étoit leur grande maxime»
dans le commencement de la République, à Tégard
de la manière de traiter les vaincus. T. XXIX. if.
Extrait d'un Traité fur le Sénat Romain. T. XL. ;.
* De qui dépendoitle pouvoir des Sénateurs Romains,
Tf C'fi^îv. Leur Marine. ^f6. Progrès des Belles-
Lettres, Se cauiès de leur décadence chez les Ro-
mains. T. XLIV. 414. Les Romains en fe mêlant
avec; les Grecs, apprirent moins à difputer qu'à dou*
ter. T. L« 67
fiêmsn diURofe (le). Psu: qui il a été commencé. T;
XXVL 134. éc continué. iSU* (^ fiéiv»
BomanPhilùfipfnque. IdcedecctOuv.T.XXVn.167
Kifmaafi , ou Kiup^e'» nom donné autrefois à la Lan«
gue Françoiic. T. XXX. yf
B4fm. rrifedecetteVilleparL«iiw/4j.T.XXVn.i5-j', \
Menacée par ^nm^tf/. T. XXVIH. 144. Onla for-
tifie. i4f . Collège qui y a été fondé par AJrien »
pour enfeigner en public les Sciences & les Belles-
Lettres. T. XXX. ^o. En quel endroit de la Ville
cet Edifice fè trouve fitué. iSid, Agrandtilèment de
cet etabliflèment. 3 1 . Grande réputation de cette A-
cadémici^ii/. Siège de cette Ville. T. XXXIIL330,
<^ Juh. Carnage qui s'y fait. 3 34. Cérémonies par
lefquelleson céiebroit fa fondation. T. XLVIILi 31.
Magnificence de iès Bâtimens. T. L. 7 a
tifime (la Cour de). Ciequilui rede aujourd'hui de ion
ancienne puiffance. T. XLVIIL 315-. Eloge de la
conduite qu'elle tient. iéid.
Hamuald, Archevêque de Palerme. T.XXX. 311
Mamului a fondé ion Empire au milieu d'une paix pro-
fonde. T . X X V I IL 1 3 3 . Son Hiftoire 8c celle de Re*
mus y regardée com me un tifTu de fables. T. XXXIX .
170. Ik fondent enfèmblela Ville de Rome. 1 7 1 . R^-
mulus eft élu Roi après la mort de tiinms fou frè-
t^^iJl. Règlement qu'il fit. iiiû^. Comment il pro-
cura
DES MATIERES. joi
cura des femmes à Tes nouveaux Sujets. i^iJ. Sa tnort^
^ & combien de tems il a règne* 17^. II trouva icul le
véritable tempéramment âcs Vertus militaires Se re«
ligieufes. T. L. 67. Il fc fit Grand-Prêtre dans ua
£tat naiilânt, que la divifion du Sacerdoce & deTEm*
pire auroit trop afïbibli. iiid» Avantages que les Ro«
mains tirèrent de cette difpofition. i^U»
EmcaglU. Diètequis'y tint. T. XXX. 911
> Rffndean. Tems auquel a cqmmencé cette fbrte de Piè-
ce. V. XXVI. . 137
Eimnovp (Jaques) , Evéque de Rofcliild. Son acharne*
ment contre la Réformation. T. XXVII. 70. Fu-
reur du Peuple contre lui. iSid. Devenu plus modéré»
on le laiflè jouir paiâblement de (es Bénéfices. Md.
IRûok (l'Amiral) prend les Gallions d'Efpagne que Clia-
teaurenaud avoit conduits à Vigo. T. XXV il . 371
Bûques (MUe. Sofhit) , Fille de Mr. Roques Pafleurde
J'EglifcFrançoife àBâle.T.XLI. 71. Epitrequiluî
eft adre'fice fur l'union de l'Ame & du Corps . iàid,
Uffrik» Prince du Nord y commence une nouvelle Dv«
nadie vers Tan 900* T. XL. f o. Regardé par les
Ruflienscomme le fondateur de leur Monarchie .»^â/«
'Rûfchild. Priiè de cette Ville par le Comte d'Ôldra*
bourg. T. XXVII. 79. Ubdt prêter ièrment défi*
délité aux faabitans, au nom àcChriftiêm, . iM.
Rûfe'y Evêquede Senlis. ProcefiTion'burlefque à latète
de laquelle il fe trouva. T. XXXIII. 30&
fip/b (Mr.). Defcripdon qu'il donne d'une Fièvre ma^
ligne qui a fait beaucoup de ravages dans l'Armée
Suédoifeen 1742: T. XXXIX. ^3. Méthodequ'il
a employée pour la guérir. i^id> A vu des pièces de
80 pieds du Solitaire chafTées par des purges, faut
que le malade en ait été foulage. T. xLI . 3 1
B4ffes de Jèrico Nom qu'on donne à certaines fleuis
qui fe trouvent dans £l plaine de jérico. T. XXIX.
421. Propriétés extraordinaires qu'on leur attribue*
iifid» Auties endroits où l'on en trouve* ibid.
)oi TABLE GENERALE
'Ràfinfteîn (Mr.). Son Mémoire fîir la graine de Chervis«
T. XXXIX. 98
Jtûjfal (Mr.), Profeflèurà Groningue. Ouvrage qu'il
publie. T. XXVIl. ^ 4%
BûfM. Combien il yadcmondcdansçettellepour cul-
- river le Ris. T. XLII. 64.
BtiweiL L'Empereur FrriwrJK. entre en 1408. arec
fcs Troupes lur le territoire de cette Ville , qui avoît
été mife au Ban de TEmpire. T.XLV. 67
Emdoce, Voyez Redoul.
I^Jjea» , le Poète. Tems^ auquel il fiit accufé d'être
iVuteur de plufîeurs Chanfbns diâàmatoires. T.
XXVI. j4f. Il Te faitreleverdetetteaccufation par
lin Arrêt du Parlement de Paris. 346. Il accufè^«i»-
rin d'être l'Auteur de ces Chanfons, &le fait arr6«>
ter. ibid. Il eft cependant pourfuivi ^ 8c banni du Ro-
yaume. iM. Moyen qu' il propbfe pour fa juftiûca*
tion, ihid. éi*fuvv, 11 obrient toatjpouvoir de reve-
nir à Paris. 35" I. Il refufcd*y revenir, à moins qu'-
on ne lui accorde les moyens de (è juftifîer. M(i. Rai-
fbns qui prouvent vraifèmblablement fbn innocence.
95*1. Idée de Ibncaraâère. ihid. A quoi il doit fès
difgraces. 3 5-3 . Particularités qui concernent ce Poè-
te. T. XXVI. 311 ,é*fmv. Il veut être en liaifon
avec Mt. Roîlin T. XXIX. 448. Il fe rend incognito
à Paris, ihid. Il defavoue les monibneux CoufUu
qui furent l'origine de fès malheurs. ihid,
T^fftau (Mr. l'Abbé). Extrait d'un Ouvrage de cet
Auteur. T. XXXVI. 3fi
Mo»Jfeaf& (Mr.). Réfutation du Difcours qui lui a fait
remporter le prix à l'Académie de Dijon , & qui rou-
le fur cette queftion: Si le ritMiffemont des Science/'
ér des Arts » contribui k e furet les Mœurs ^ T. L. 41 3
TiJBuffet (Mr.), Ouvrage de cet Auteur. T. XXXVI.
iff. Edition qu'il donne de VHiftoiredu Stadhoude-
rat par MrJ'Abbé R4;r»»/.T;XLI1L 76. But qu'il
. «'eil propodlj^ en publiant cette £dition.77 .£xtraît«d'u-
ne
DES MATIERES. fô^f
ne de fcs Lettres. T. XLIX. ajS, 239
"Rfiux (/f). Vovex R«M/f.
R^fr (Mr.), Pafteur à la Haye, cité, T.XXX. i3
RtiSia TinBamm. Voyez Gartnct.
Buchat (AèrMham) , Profèilèur à Lauzanne. Ouvrage
de cet Auteur. T. XXXII. 232,1;^
BudSek, Antiquité qu'il donne à la Monarchie de Su^de.
T. XL. 2/. Où il place le Paradis terreftre. ifj
Bfidenfchiold (Mr.). Ses recherches fur les Sapins. T.
XLI. ^ 24
"Rudyard [Benjamn). Difcours qu'il a prononcé à la
Chambre des Communes, en 1642, pour récon-
ciliçr le R<m & le Parlement. T. XL. 284
2U€jf> Chirurgien Suifle. Ouvrage qu'il a publié fur la
Génération, t. XXXI. 282. S'il eft vrai qu'il ait
découvert la Circulation du Sang avant He^rvh, ibid.
Btrfus (^ Mirmcms) eft choiii par les Romains pouir
Générai de la Cavsderie dans la guerre contre ArmibnU
T.XXVIlï. 24f. Jugement qu'on porte de cetOf»
ficier. iSid. Un petit avantage qu'il remporte eft pu-
blié dans Rome fur le pied d'une grande viâoire.
249. Il eft battu par ^m'^^/ 9 8c cette déjfâite le por»
te à rentrer fous 1 obéif&nce de Fabisu. .2^3 . Haran-
gues qu'on lui prête. Uid.
Rt^nkenifis (David). Ouvrage de cet Auteur. T. L.3 32
Biêricrnsy nom du Général des Troupes de M^xenre. T.
XXVII. III. Appelle par d'autres Ptfwf?M»«/. iSidm
Remarques critiques fur cette queftion. iSid . ô*fmv.
Hujfel (Mr.) a publié une Métaphralè des Pièaumes de
D4t;i/ en V^rs Grecs. T.XXVin.482. Son Livre.*
fur l'ancienne Ville d'Hermlaneum. T. XL VII. iS6
"RHtenfchiold (Mr.). Defcription qu'il donne d'un Oi-
i^u qu'on trouve dans les Bois delà Smolande , Se
qu^bn y appelle. iUci^re/^*^». T. XXXIX. 97
Viagers (Ermegarde) , focur du célèbre yatms Butger*
Jius. T. XXIX. 7V
Bsiyfch fait la dtilèâuoQ d'une femme tuée par fon Ma-
ri^
|o4 TABLE GENERALE
^ . ri , qui Tavoit furprifc en adultère. T. XXXIII. 38^.
Ce qu'il trouva dans la Matrice & dans les deux
' Troinpes. ihid»
ty (lùéertde). Avanture de ce Sekneur.T.XXlX. 25^$
tjyer (Du). Infidélité de £1 traduâion FiançoiG: d'jBTr-
. r4^^$. T. XXVL loi
t.
SAèatief (Don Pierre) , Bénédiâin. Extrait de fês
anciennes Verfions Léftines de U Stê . Bihle , &c . T «
XLVI/189. Abrégédela Viedece Père. 190
Sacchiért (le P.). Partictrlanté reoaarquable qui le con-
cerne. T. XXXVIII. 408
Sacerd9ce. Différence qu'il y a entre le Sacerdoce Lé-
gal & le Sacerdoce Chrétien. T. L. 24
Sâoificdteurs, Ce qu'on entendott par ce terme chez les
Anciens. T. L. a. Ceux d'Egypte confervoient la
propriété de leurs terres durant la famine » pendant
. que le refle du Peuple vendoit les fiennes au Roi pou r
du pain. 3 . La Religion à'Abntham n'a voit pas befoin
de Sacrificateurs. 4. Pourquoi ils devinrent nécelËii-
res après la publication de la Loi. ibid. Quel étoit
leur office, ùfid^ & S' Définition des SaciiScateurs.
ibid. Quels font les trois chefs auxquels peuvent fè
rapporter toutes leurs fondions. tbU» Si les Sacrifia
cateurs de la Loi dcMoife étoient obligés parleur char-
1' ^ed'enfeignerlaLoi. 11. Paflàge qui femble établir
K Sacrificateur juge avec le MagiArat. iSid. En quoi
le Souverain Sacrificateur difFéroit des Sacrificateurs
ordinaires, ii. Ce que c'étoitque les Sacrificateurs
chez les Payens. 1 7 . Sentiment des Paycns fur la né^
' gligence d'une ièule cérémonie, t^id* Fondions àt$
. Sacrificateurs Romains, ife^. V oyez Sscrifices^Sé^
crificéOun* . ^
Sacrifices. Eflài fur la nature , le deflèin » & l'origine des
-' Sacrifices. T. XL.47^. Il n'y a pas toujours eu des
... Pcr-
D E s M A T I E R E s. 305
perfbnnÊs confaCTees uniquement pour faire les Sacri-
fices. T.L. 1. Dans les premiers fiècles du Monde
chaque Chef de Famille offîcioit pour toute fà mai-
fbn . ièid . Les Sacrifices regardés chez les J uifs com-
me la principale partie du Service Divin , &. de Toffi-
ce du Sacrificateur. 6. Quiconque n'étoit pas de race
Sacerdotale, n'ôfoit faire cette fonâion.i^ii. Qua-
tre fortes de Sacrifices ou Oblations. ihid* Ce qiron
doit entendre par le Sacrifice pour le péché. 7. Di{^
tinâion des Sacrifices pacifiques ou de profpérité. 8.
De quoi les Sacrifices de l'Ancienne Loi ^frsjxchîC-
foient les Hommes. iSid, Voyez Sacrific^tettrf Se Sa^
crificatftre,
SAcrificature. Eflâi touchant fà nature. T.L. i. L'or-
dre delà Sacrificaturçinflitué ^T Motfe. 3. Son ori-
gine chez les J uifs. 4. C'eft fans fondement que quel-
ques-uns ont cru que la Souveraine Sacrificature é-
toit refèrvée aux aînés de la Famille d*Aron, ibid. Vo*
yez Sacrificateurs 8c Sacrifices.
Sage (le) fe tait fbciété à lui-même. T. XL1X. 407
Sagejfe. Extrait d'un Livre intitulé, les Lêfons de la Sa*
gejfefurles Défauts des Hommes. T. XXXIV. 347,
érfuiv. Examen des difpofitions que ^r. y^^ii^jexi-
f; de ceux qui demandent à Dieu la Szg^&, T.
XXVL 195
Sagp* DifTertationdes Samàc l'Académie deCorto-
ne. T. XXVn. 138
Sahdy. Traits remarquable de ce Pbëte. T. XXXL 380
Sainteté. Ce que c'eft que la Sainteté à l'égard des cho-
fes. T. L. 4. Et-à l'égard des perfonnes. 5*
Sakis, Peuples d'Amérique qui portent ce nom. T.
XXXVIL 291
Salhherg ( Mr. )• Compofition d'un Ciment dont il van-
te fort la bonté. T. XXX VIIL TartAhS^^ Sesexr
périenccspour conferver le bois de.sBâtimens, gcen
empêcher la pouniture Se la vermoulure, f 8. Il a
trouvé que le Viuiol eil très utile à préièrvn: les roues
V d'u-
)e6 TABLE GEÏÏERALE
1
d'une pourriture prc(qae inéyîtabk 8c fort dangerén-
iê , qui les détruit , 6c entre dans les petits trous & ks
fentes des jointures. T.XXXIX. 91., Nouvel uûge
Î|u'il a trourédu Vitriol , pourchaflêr la Vermine,
ui^ tout les Punaifès. 99. Autre (ècret de fbn inven-
tion contre les Punaifirs. 1 00
SMliât {fierré). Jugement fiir une Traduâion de cet
Auteur. T. XXVI. iqx
SâlHer (Mr. l'Abbé), dté.T.XXVIL 31a. Sonfcn-
timent fur lefîijet du Dialogue de Flgtoa intitulé
LiThèdre.r.HXVÎl. 117
Sâiififte. Sa grande pénétration. T. XXVI. 45'4« Re-
gardé comme très capable de donner de grandes Tues.
. iéid. Ses Oeuvres traduites en Anglois avec des Dîft
cours politiques fur cet Auteur. T. XXXII. 482.
Nouvelle Traduâion Angioife de lès Oeuvres. T.
XXXVII. 219
SMlmânMffitr enlève les Juifs de leur païs , Se en met en
poflënion d'autres Peuples. T. XX^VlI. 474
Sâl^mm. Enquelfensil a pris la foi. T. XXVIII. i5.
11 eft le premier des Juifs ^ui réduiiît k connoîf&n^
ce de la Navigation en pratique. T. XL. 349. Ce que
rapportoient les Flottes de ce Prince, ailbciées avec
celles de Hiram Roi de Tyr. Utd. Combien il eft dif-
ficile de favoir dans quel Païs ces Flottes fe rendoient.
îéid. Idée d'un Commentaire fur fon Cantique. Tz
XLII. iio ,c^7bit;. Cequi Ta fait fuccomber. 113
Sêîwnm {^và Ben) '» Prince de Bunda. Par qui fes Mé-^
moires ont été publiés. T. X LUI. f
Sêlvfiges , nom qu^on donne à de petits Rocs fitués en-
tre ks Iles Canaries & celle de Madère.T. XXXVIII;
^art. II. m
Sâhius (AUer) , Chancelier dek Cour de Suède. Com^p
bien il étoit en faveur auprès de k Reine Chrifline.T.
XL VI. 336. Il efl envoyé en qualité d'Ambaflàdeur
au Congres de k Paij: générale dans TEmpirc. iiid.
Il eâ fax Sénateur de Suède, J38
D^S MATIERES.. 367
Sdlmtêti (doWfw), Cbancelier 8c Secrétaire clek Ré*
pubUquc de Florence, après avoir perfeâionné Pé-
trarque dans les Belles-Lettres » devint fon Proteâèur.
T. XXVIL i4t
Ssfis, Voyez Lafons.
g^mmn {U) de CaJecut, Tun des plus puif&ns Princes
denndeeni498.T.XXXVlII. 197. LesMaures
rindifpofënt contre Vafeo de GtmM , Amiral Porti^
gais, ibid^ Il permet à fedroAlvMrex. Caèrsl d'éta*
blir un Comptoirdansià Ville. 19S. Uchaflè les Por-
tugais de fes Etats , & en mailàcre une partie, iàid»
Ruine défit ViDe par C^éftfi.i^i/. Tâckéco, Généra
Portugais , met tout à feu 6c à fang dans les lieux de
h dépendance du Samorin 8t de ceux qui s'étoient 1h
gués avec lui contre les Portugais. 1 99
Samuel (le Prophète). S'il tua lui-même Agttg, T.
XXX. 144 , <^ fuiv. Conduite qu'il tint lorfau'il ie
rendit à Bethléhem pour oindre un des Fils à'ijMÏi la
place deSaill. i^f,&fmv. Il préfida à TEcole de
Nâioth » où Ton élevoit des Prophètes*. T. L. 15
Stmadm (le Père). Jugement fur fa-Traduâion éL*Ho*
race. T. XXX. 394
Stmchex, {Thomas), Ses obicénités. T. XLII. 400
SanBlficatim^ Ce ({uec'ciï, T,L. f
SanBorms . Expériences ^teis au fond de T A méri<^ue ,
qui répandent un nouveau jour fur celles qu'il a faites.
T. XXXVII. 163
Sandberg (Mr.) . Expédient qu'il propofe jpour procurer
une efpèoe de fouiage aux Vaches 8t aux Chevaux
dans le Nord , lorfqueces Animaux en manquent par
la longueur des Hivers. T. XXXVIII. if
Saadels (Mr.) a vu deux enfans que lamifère a empê-
chés de croître, 8c quifè font vus réduits prefque à
rien faute de nourriture. T. XXXIX. IQ4
Sonder us , cité. T. XXVII. a8
Sang. Commentlesçlobuks du Sang deviennent ova-
teloriqu'ilsftanchiiKmdespairages fort éttoits^. T.
V a XXXVL
/
.308 TABLE t3ENERALE
XXXVI. 341. £xem|»Ie qui prouve qu'uà vîoîleiit
fàififlëment n'empéchc pas le £uig de couler avec im-
pétuofité. T. XLII. 196
Sangfues^ Obfcrvations fur ces Animaux. T. XX XI.
469 , c^ yS^fv. Elles incommodent éxo^émementiâ
Poiffons dans les Rivières. T, XLI. aS , 29. Moyen
propofé pour remédier à cet inconvénient. Àid,
SAnnazur» Cenlèurfévère de* Ouvrais delbn tcms,
regardé comme un Poète avoue des Muics. T.
XXXV . ta 7 . Beautés qu'on trouve dans Tes OuTra-
ges. i^id. 6c ii8
Santé. Ouvrage qui traite de Tart de la con&rver. T.
XXXII. 478
Smatrts {Jean de) découvre rOr^^e/^MiiM »& le Cap
de Ste. Catherine. T. XXXVIII. 191'
Santeuil. Tradu^ion defes Poéfies. T.^XXV. 130
Safins. Combien d'années ces Arbres peuvent vivre. T.
XLI. 24. Sapins fofTiles que quelques Naturalises
jugent antérieurs au Déluge. 1 34, 1 35*
Sareolatrest ou Adorateurs delà chair. Nom que Jes
Catholiques donnoient aux ApoUinariftes , & pour-
quoi. T. L. 220
Sardaignt. Quels font les revenus du Roi de Sar daigne.
T. XXVIII. 406
Sarmates ou Sattromates* Païs qu'ils habitoient. T.
XLVI. 41
Sarraftns. Extrait d'une Hlfi. des Sarrafins.T .XLII. 1 2 3
SartvrUis (Mr.)> MliTiofiairePrdteftant. T.XXXn. 273
Safcérides {Jean) 3 Poènç Hollandois, & natif de War-
mcnhuys prèsd'Alcmaar.Oraifon funèl^c qu'il a fai-
te en Vers àcChrifiian IIL RoideDanncmarc. T.
XXV I . lèf. A y ant goûté la DoiShine des Réforma»
telirs , il eft dépouillé de ia Cure , 6c ie retire à Wit-
tenbci-g. iàid. Il e|t recommandé par Melanehton au
Roi de Dannemarc , comme un homme capabkd'en-
feigner la Langue Hébraïque dans l'Univerfité de
Coppenhague. ^ii. Ouvrages de & façon. i^Â^. A
DES MAtlEREiS. 30J
- quoi il s'eft le plus attaché dans tous Ces Ecrits, x66
S0jemA {Hoftiîm). Ouvrage où Ton trouve dcséclair-
ciffcmens fur cette Famfflç. T. XXVII. rp8
S^vmmsf Peuples voifiQs du Caoada, qui habitent un
pais ftériîe. T. XXXVII. 197. Ils fe mangent les
uns les autres lorfque la famine les preflè. ii^ld.
Savons, Dialogue fur lesSavansquiont fleuri en Ita-
lie. T. XXVI. 180
Savarm, Ses Notes CiiTSidommApollMris^T, XXX, ^^z
SaiiL Remarques fur ce qui lui arriva lorsqu'il confulta
la Magicienne d'Endor. T. XXX . 249 , é'fuiv. Vo-
yez Samuel (le Prophète) . Effet que la Mulique f)ro-
duifoit fur ce Prince. if^> &jUiv.
Satmaifi {Mr.de) Tems defàmort, T. XXIX. 85
Saumms. Leurmanièredes*acoupler.T. XXXIX. 107
Saumons gris dont la chair eft blanche . 47
Savoie. Revenus du Duc de Savoie. T. XXVIII. 406.
Ses Troupes, ibid. Combien la Nobleflc de ce Pais
• cft opprimée. 409
Savoie {Marguerite de) , DucheiTedc Mantoue , gouver-
ne le Portugal en qualité de Vicerebe.T.XXIX. 17
• 54«ri»(Mr.5^«w),cité.T.XXXI. 248.T.XXXII.
105, 110. T. XLII. 21
Saurin (Jofefh)^ de TAcadémie Royale des Sciences de.
Paris. Lettre écrite de Suifïc àYon fûjet. T. XX VL
311. Jugement fur l'éloge qu'a fait délai Mr. de Ton»
• tenelle. 312. Accufe d'avoir manqué de probité. 313.
Remarques fur fon changement de Religion. 314»
• &firiv. S'ifcfl vrai qu'on ne tâcha de le perdre d'hon-
neur en SuiJFcque pour avoix quitté le parti des Ré-
formés. 3 1 7. Comment on doit regarder fon F«r-
tum y où il maltraite Calvin & la Reforme. 3 2 j. Let-
tre écrite à un de fcs amis , où il fiiit un aveu complet
& fort bien détaillé dé fa mauvaife conduite. 316.
Son féjour en Hollande. 333. Un Synode Wallon le
^^cclarc indigne de (êrvir jamais aucune Eglife. ilnd*
. Il va en France changer de Religion, i^i^/. Ordre don-
V 3 né
^10 TABLE GENERALE
^ par Leurs ExcelleDcea de Berne de rarrôter.,})^;
Il K met en fureté. iSid, U enlève claodeiltaemea^
ibnépoufê enSuiflê. 337, Démarche qu'il fait pour
gagner le Minière Gonm, fbn ami . iHd. Vers qu'il ^
compofés pour &n ami de U Mme. 3 3 7> 3 3 B. Accufé
d'avoir compoiHdes Clîaoibnsdi&matoires» il eft
arrêté, puis déchargé de cette accuiàtion. 346. Di-*,
ver(ès circonDances de & vie qui déshonorent fàmé-
moise. Md* &fitiv. S'il eft véritablement rAuteur^
des Chanfbns di£&matoires. 3^j|
Santerelh de Barbarie. Tems auquel elles commienccnt
à paraître, T. XXXII. 413 . Leur fontc.ibid. Trou-
pes qu'elles forment, ihid. Leurs ravages, i^ii. Leur
métamorphoiè. 414. Versauels endroits eBes dii:i«
genc leur vol. ^if. Si elles periilèntdansla Mer. iàid»
Sauvage {Mx. de). Ouvrage de ce Médecin. T. XXXIV.
116. Il eft élu Membie d« la Société Royale des
Sciences de Suède. T. XXXIX. 107
Sauvages de la Crpix, Voyez Croix {Mx .Sauvages de la).
Sauveur (le Sieur de SmntY Sa IHflèrtation furTinA
cription du grand Portail du Couvent des Cordeliers
de Reims. T.XXXII. 284. Raifbnqu'ilyadecroi*
TC que yean-Baftifie Thiers eft l'Auteur dc-ccttc Dif-
fcrtatioii. aSjp
Sauz^t (Mr. du). Ouvrage qu'il dédie au Cardinal de
• Tmcin. T. XXVII. 16^
Saxe (le Maréchal de). Vidoirc qu'il re^funute, T.
XXXVI. ^9
Saxo» le Qrammairkn* Notes £ir cet Ai|tçi;ir. T.
XXVL %f4
Scaàieufi . Dçfcription de la graine d*anc eipècc4e Sca-
biçufe. T. XXXVIIL pW. U. 160
Scaliger ijofefh)* Recueil de ie& converiàtions. T.
XXVI. 36. VojczValfan (fean&Nk^).
Ssatigeranêi Thuana^ Perroniatta* JNthoeaaaf é^deU"
meftami^c. Extrait de cet Ouvra^f. T. XXVL 3^
Scoitdimvk» Peuplades de Scythes q|ai s'y font é^lies.
DES MATIER E 9. gu
Sciqueleoccafion. T. XL. ij » i8. Comment les
nouveaux lubîtans de ce pais fubvenoient aux néce{^
fîtes de leur TÎe fîmple ôc (àuvage. iâid. Colooiec
qu'ils formèrent cent ans avant l'Ere Chrétienne. ^9.
Premiers Rois de ces Peuples, iiid' Vers quel tems
ils comoiencçrent leurs piratories. i6id. Défaite. des
Scandinaviens fur la Dyk par Arnduld , Empereur
de la Germanie. 49 ,. 'Biom reile feul maître de la Scan*
dinavîe vers l'an 891. Und.
ScAnie. Courte dcfcriptioû de cette Province.T.XL VII.
. 388 , 389. Sable volant <jai défole ce Fais. 191 . Pour-
quoi les Villes de la Scanie font petices , tandis, que les
Villages ibnt nombreux & bien peuplés. ^94
^captéU» Général Romain, préfère une mort volon-
taire à une vie miTcrable. T. XL. 341
fc0ra6é trouvé fiir le NarciiTe > &ce qu'il a defîngu-
lier. T. XXXIX. 45-
Scarron (P/»»/). Jugement fur ÇoxxVirgikTravefii. T.
XXX, 391. Eloge qu'en fait Madame de Mainte-
non fa femme, T. XLIX.289. Extraitd'une nou-
velle Edition de ics Ûeuvif s. T. L. 9q. Lifte des piè-
ces de cette Edition. 91 , 9%* Epitre Dédicatoife à
Scoirm* 93* Portrait qu'il &it^s Poètes burlefques
de fba tems. 95". Tems 8c lieu de fa naiffance. 96.
Sa Famille, ihid- Haï delà Belle- mère il e(l envojré à
Charleville chez un parent, t^i^. Son retouv à Pa^is ,
où il achève fês études , & prend le petit-collet. Uid.
Af&mblées qu'il fréquenteau Marais, quartier de Pa-
". risainfînonMUC.i^y. Voyagcqu'ilfaiten Italie. 97,
Maladie cruelle qui attaque fes nerfs , & ^ui fe joue de
tout le&YoîrdesMédecin&^iixi^. Sa gaieté, malgré
&s infirmités . 98. Requèté'qu'il adref!â dtreârement
au Roi. i^id. Procès où il & trouve en^gé après U
mort dé (bn père.i^û/. tt^Bums qu'il pr&nta au Par-
lement aufujet de cetie^&lrc^ t^. Samaifôn fré«
quentée parle beau monde dé la pCis haute volée 99.
D'où il tiroit de quoi foumr ^ fa dépen£b« ibîl^ Son
y 4 «la-»
31* TABLE GENERALE
msiisigc^vecFrMnfûife fAubipU^ Se tems anqad 3
ic fit. iMJ.tx, loo. Tcmsdelamort. loi. Titre de
ion FaBitm, ou Requête, au fujet de ion Procès. 103.
Burlefque qui domine dans cette pièce, ihid* Por-
trait iîngulKr qu'il ùk de lui-même. 1 04. Article de
fbnTefbmentqulregardcfiL femme. loi*. Ses Let-
tres. 106. SaMazarinade regardée comme une vio-
lente fàtyre. i^. Son Roman Comique , & ce qui
lui en fit naître lapenfce. 1 07. Ses Nouvelles Tragi-
comiques. 108. Son Virgile travefti.i^. ^T**"'-
Son Typhon ou Gigantomachie. 1 1 1 . Ses Pièces de
Théâtre. II*. SesPoéfiesdirerfts. 113. Pièce qu'il
adreflê à Ces Vers . iSid. Sa première L^ende de Baur-^
icn i^id. Sa féconde Légende. 1 14. Son Adieu au
Marais, iif. Sa délation de tout ce quis'étoit paflç
en l'autre Monde au combat des Parques 8c des Poè-
tes. 116. Ses Requêtes 8c Placets. 117. SesEpitrcs^
118. Ses Satyres, iio. Ses Elégies 8c E^ithalames.
tbU. Ses Odes. m. Il demande un logement a ia
Cour en qualité de Makde delà Reine. 1 42, 125.
Ode à ce iùjet en forme de Requête. Ufijt. Ses Bakts
ScChanfbns. 114. Ses Etrennes, Sonnets 8c Ron-
deaux. Md, Ses Epigrammes , Madrigaux , Ejrfta-
phes. Billets, Caprices, Scc.i^. 8c liy. Son Avis
de dix Millions 8c plus au Cardinal Mazarin^ tfû^.Son
Cartel de Défi (ur les Sonnets de 'fob 8c à'UrMu . r i<S.
Voyez encore divçrfes particularités concernant 5f«r*
ton à la page 3 19 , &fuiv.
^chaftesbury (le Comte ifc). Principe favori fur lequel il
fonde ia principale batterie contre la Religion. T,
XLVII 231. Réfutation des Ûir^^^w de ce Sei-
gneur, i^ii/. Auteur qui prend fâ défenfe. 132
Schéth-Akmi détrône Afem/cMf Souverain del'Indof^
tan. T. XXXIL :l78
SdMffius, cité. T. XX VIII. 217
ScbeUon (Mr.). Tables qu'il a faites, où l'on vpit tout
d'un coup le poids entier d'un Vaiflèau de guerre,
• dès
DES matières: §iî
' dès qu^on fait le nombre àes Canons pour lesquels il'
cft percé. T. XXXVIïLio. Sa DiiTcrtarion furks
efifèts des Machines à çAM.ibîd, Tart.ll.fi* Ceqa'il
dit des Méthodes dont on. fe fèn pour trouver le
centre de gravité d'un VailTeau. i^id. 8c f J
Çcheîh&m (Mr.) réfuté. T. XXVII.149. Pièces qu'il
attribue fàuficment à ^rré^i;». if^
SchemnitK,(}t$Mm^ de). Combien on y emploie d'Ou-
vriers. T. XXIX. 19
^chepfiin fMr.) , Profcflcur en Hiftoire & en Belles-Let-
tres à Strasbourg, & Aflbcié Correfpondant de l'A-
cadémie Françoifè. Fait qu'il rapporte dans une Let-
tre écrite à Mr. de Bou touchant un Fragment de
Ttte-Live.T. XX VIL I2«
ISchetknd. Situation de cette Ile. T. XXXVIII. Vart. II.
167. Sa proximité & fa dépendance du Royaume
d'Écofte.i^ii. Longueur de fes Hivers, ^ii. Ses ha-
bitans. 168. Idée af&eufè qu'on donne de cette Ile.
Uid» Chaufage que la terre y fournit, i^ii/. Il ne s'y
trouve point d' Ani maux venimeux . iSid . Caraâère,
mœurs , coutumes des habitans. 1 69
Scheuchzer [Jean-JaciHes) . Monument fingulier 8c très
extraordinaire qu'il confervoit, &dont il donné la
defcription. T. XXX. 19%
Schiites, Nom que les Mufulmans , qui fe difent Ortho-
doxes , donnent au x Sefeteurs d'Ali . T . X LI L 137
SchUgel {(Chrétien). Ce qu'il a fàiipour perfedîrionncr le
Tréfor de Méciailles d'André Morel fpn ami. *r.
XLIX. 35*6. Sesremarques de commentaires fur cet
Ouvrage. gjS, é>/uiv*
SchUmm de Claufthal. Végétation curieuie de Cuivre
qu'il fait voir aux étrangers. T. XXIX. 4»
Schley (Mr. vander) , habile Graveur. T. XXXIII. 148
$chlichting (Mr.). Obfervations de ce Médecin, T.
XXXVII. iff
^chluter (Mr.^. Cuivrequ'ona vu chez lui végéter par
^ lu trous & les porcs d'une vieille poatrc.T.XXIX .'40
V s Schmaufs
fVir TABLE GENERALE
Sebmmfs (Mr.) . Rang diftingué qu'il dent entre les Pro-^
feflèurs du Droit Public , & entre les Hiftoriens de
l'Allemagne. T. XLI. ijx. Ses idées fur la confti-
tution de l'Empire. i^îd.
Scbmiul (Martin), cité. T. XXVI. io8
SchmUt (Erafine)* Ouvrage de cet Auteur fur la pro-
nonciation de k Lai^e Grecque, T. XXVII. 39
Schmiwke, cité. T. XXX. x\
Schoffer (Jean) f^sàcVUrre Schoffer. Dépofition qu'il
ffît dansdeux Ouvrages imprimés , l'un en i jri J » 8c
l'autrçcn iri(5. T. XXVII. 21
Schoffer (Pierre) . S'il fut premièrement le Serviteur , &
enfuite le Gendre de G^r^f^T^^er^ ou de F/Uift, à qui
l'on attribue l'invention del'Imprim.T. XXVII. ao
SchoromandeL Voyez CorcmandeL
Schrevelîm {Corneille) , Reûeur de l'Ecole Latine de
Leyde. Edition d'Oeficbius dont on lui eft redeva-
ble. T. XXXVIII. ' ^p
Schràetter, cité. T. XXVI. 108
Schudt (yaq.).Ou7T. qu'il fait imprimer. T.XX VI.^Si
Schultem (^T.Al6ert}y Profcflèur en Théologie & ea
Langues Orientales à Leyde. Difputes qu il a eues
avec Mr . T. H. van ien Honart , Profefïèur en Théo-
logie. T. XXXVIII. î7. Lcttrede ce Profcflcur à
Mr. Menken, T.XLIV.87. Ilcfl: attaqué par un de
. tes Difciples , à qui il avoit rendu des fèrvices. S9.
, Réponfe qu'il fait à cet antagoniile. i^id. Ëflài his-
torique furies Ouvrages. 344, é* fuiv.
S^hiéîtin^ (J^-)' Harangue où ce favant Jurifconfulte
défend Tribonîen contre plulieurs reproches qu\>n
lui (kit. T. XXVI. 119. Voyex Hotoman.
SclmUe (Mr.). Travaux de ce Miffionaire Protcftant •
. dans les Indes. T. XXXII. 166 , Mfuiv* U a pu-
blié les règles de Mr. Brandberg fur U culture des
. Terres. T. XXXIX. 104
fcbanm (ValtMtin) eft le premier Impâmeur qui donna
jies Editions de plus en plus eftimables en Qrec , vers
Taû
PES MATIERES. |tf
. l'an jfxitenj ajoutant ksAccens. T.XXVL aoi
Schifxir (Mr.) , Chmirgien, ^t une cure conûdéiaUe,
T. XU. 31
^clmi»ke{JAr.), Profcflcur àk Haye, cité. T.XX VII, 6
^df»fif. Quelle méthode on doiten^pbyer dans toutes
ks Sciences lorfqu'on veut y faire des progrès. T,
XLII. 147. Ce que nous appelions Sciences dépend
intitnement desexpref&ous de nos premières idées.
T. XLVIII. 74
Scifi0». Réponiè qu'il ^t auDiicours d'indièilù, T.
XXIX. a). (Voyez in^i^v). Samefintelligencea-
vec Fabius. 13. (Voyez F4^). Jugement fui le
Difcouf s qu'il tint à JnmkiiU > dans une entrevue qu'*
cufoot ces deux Générauj^ avant la bataille de Zamib
98 y éi^fuiv, Soncaraâëre»£( ion parallèle avec ^»-
n^aL in, i^fiiw.
Scifum (MM^i/iM) iè doime la mort » ea s'enfon^ant foa
épée dans le fein , pour ne pas «pnikber fous la puiHàn»
ce de Ckfiw. T. XL. ^^9
Scfffadês (les) n'étoient pas des Peuples, mais une Mai-
, ion ou Famille riche deTheilâlie, diftinguée par la
protedHon qu'elle accordoitaux Gois-de- Lettres. T.
XXVI. loa
gftrhit fnarm. Remarques fur cette cruelle Se fâcheu&
maladie. T. XLI. 374» érfiêtUM
Scm (Mr.Z)/niîf/).Ottvragedecet Aateur.T.XXXViIL
Fart. II. 141
Senàeri (MUc.). Diicours qtûlui a&it remporter le Prix.
T. XLV. ady
Scftim. Hiâoire de ces Peuples. T. XXXI. ^94» &
fmv.. Défaits par Fhili^ & par AhxMire , eftrayés
dans la fuite par les conquêtes de Pompée ta de Trajan»
ont qivc^é de tcms en tems à^^ Peuplades dans les re^
trdtess^aréos^de la Scandinavie. T. XL. 17. Si ces
s^igrations peuvent être démontrées à la rigueur, aft.
Raiioas qui donnent lieu de cooire que les Bodtaes 5c
ks Nc«i«ftfiif)t les Peuples ^ytbiens ijui dnt peuplé
* Iç
\
1
\if TABLE GÈNER4^LE
le Septetitnon.iàîd. Tribu de ScjtheSjCdnnae en Suè«
de fous le nom d'Afes , qui habitoit ibus le règne de
Trajsn fur les bords du Tanaïs ou vers le Gaucafè. 30.
Quelle étoit la Religion des premiers Scythes. 3 a. Et
comment cette Reugion fe corrompit. Hèid. i^fuvu.
Stcret (le) eft un des moyens les plus necefEdres pour fai-
re réuflir une entreprifè. T. XXIX. 338
Stdre (le), ou leGrand-Pontifêchez lesPeriès, eft le
Juge Suprême des Caufès Eccléfîailiques ; mais l'opi-
nion des Periàns eft que ce pouvoir vient de Dieu , 8e
par conféquent que Vlmtin eft fournis au Prince dans
Tes choies de Religion. T. L. 68
Sedulius, Ouvrage de cet Auteur. T. XXVI. aoo
Stei (Mr.). Prooe'dé chimique qu'il aperfeâiionné.T.
XXXVIIl. tm,îl. isi
Segatid(\e?èTc), cité. T. L. 414
Signer ( Mr.) . Controverfe géométrique qu'il a eue avec
Mr. mlf. T. XLI. zf^
Seiches . Nom qu'on donne si une efpèce de Fla^ 8c Re*
flux qui fe remarque au Lac de Genève. T. XXXIX.
1 8a . Particu krités touchant ce phénomène. i6id • c^
y^it;. A quoi on doit l'attribuer. 18 1
Seigneur (Grand)* Ce que c'eft qu'un grand ^Seigneur.
T. XLIX **. • ^j
Seiz {Jean Chrétien). Extrait de fbn Ouvrage intitulé
Le treifàrne Jubilé de Vlmffimrie,^X.yi'fiVh^fn^
Sel. Maux qu il produit lorfqu'on en mange trop. T.
XXXII. 379. Traité de l'Art de f^rc du Sel corn*
■ mun. T. XL. 478. CommentcertainsPeuplesOer-
mains tiroient leur Sel de certaine^ Sources fàlées.
T.XLVII. 407. Mémoire fur les Sels neutres. T.
XLII. ^\f
Seleucie. Concile qui s'y afièmbla l'an 35*9» & com«
; bien il %*y trouva d'Evêques. T. XLVIII. 391
Sembrador. Jugemefit fur une machine qui porté œ
nom. T. XXXVIIl. 13. Expérience qui prouve
qu'on ne fera jamaisxéùflir cette pefànte maciiuieque
dans
DÉS MATIERES. 5517
dansles terreins I^rs 6c fablonneux.'T.XXXIX . to6
Seffunas. Raifonqui prouve que tous les Corps orga&
niques doivent être formes de Semences. T.XXXV.
^4. Réfutation du Syftême qui fait réiîder les Semen-
ces dans le Feu élémentaire. 65*. Les Semences ou E-
lémens des Corps ne fàuroient être changés en d'au-
tres Ëlémens. d'une naturcditférente. 66, éi* fuiv.
Simer (Machine à) d'une grande utilité. T. XXXV III.
Part. II. S9
Semeur, Remarques critiques 6c morales fur la Parabole
au Semeur. T. XLVII. 97
^emilks. Ce que c'eft. T. XXXIL ^ 45-
Sêmiramis s'ouvre par la Navigation le chemin à de nou-
velles conquêtes. T. XL. 35'o. VailTeaux qu'elle fait
conftruire, ficfurlefquels elle fait voile vers les Cô-
tes des Indes 6c de l'Ethiopie . B 1*0 ' 3 f t
Senac (Mr.). Extrait de fon Traité de laflruâure du
Cœur. T. XLIII.jaj. Jugement fur cet Ouvrage.
314. Auteurs qu'on accule iVii. Senac de pourfuivrc
avec un defîr marqué de détruire leur réputation. 3 15-,
éi^fiiiv. Accufé d'avoir pris du 5é^if/r/vf/wi» àcBonet
prefque toutes fès obfcrvations d' Anatdmie pratique.
336. Ses obfervations fur les maladies du Cœur. 34 1 .
Remarque générale fur cet Auteur. 343 . Lettre au
fu jet d'un Ouvrage de Mr. Senac» T. XL V . 41-7
sénat de Pologne (le) a longtemsluifeul gouverné tout
le Ropume. T. XLIV. 5-3. Ordre qu'il conftitue
aujourd'hui. 2^. Prérogatives qui le rendent refpec-
table. 'éid. Jeunes-gens iâns lumière 6c fans expérien-
ce qu'on y admet aujourd'hui. ^4. Abus énormes
qui s'y trouvent. , ibid.
Sénat tomain. Traité fur cette matière. T. XL. 3. Fait
qui prouve que certains Magiftrats n'étoient pas les
ieuis à qui leur charge donnât une place dans le Sé-
nat. 9. Dans tous les tems delà République lesMa-
giftratures ouvrirent l'entrée du Sénat , 6c elles fuffi-
toient pour le remplir. 1 3. Par quelle raifon on peut
pré-
^it TABLE GENERALE
wâàmer que la iiâeduSàiatqaéâdfiNettt
leurs, ne dennoit ni n'ôtoit les droits à aucun
Membres, à moins qu'eBe ne fut confirmée oa par
k consentement tacite ou par le commandement ex-
près de tout le Peu]4e. ii. De quelle manière on
remi^flbit le Sénat dans les cas extraordinaires de
fuerre ou de pefte. i^îi/.. Quelle forte d'ékâioa eut
eu après la bataille de Cannes. la. Vojez Sénmtmfi
"Romains,
Sénateurs Uùmmns. Si les premiers de ces Sénateurs fu-
rent créés par les Rois. T. XL. f • L'exduiion que
les Cenfèurs donnoient aux Sénateurs indignes , n*é-
toit qu'une marque d'ignominie le {^us fbuvent pair-
iàgère, & jamais fans appel. lo. Loi qui ne permet-
toit aux Ccnfeurs d'exclure aucun Sénateur qui n'eût
étéaccufé dans les formes, & fur la condamnation
duquel ils ne fuflènt unanimes .13. Raifon qui prou*
ye que le nombre des Sénateurs ne peut avoir été
conftant. f^ri/. Les nouvelles Magiftraturesderenues
néceflâires, à mefure que Rome devint plus puiiiân-
te, durent augmenter le nombre des Sénateurs. 14..
A combien ce nombrefc monta fous Silîé, 'ML. A
quel âge on pou voit obtenir la Dignité de Sénateur.
md- Commentoniàit voir que fous ^^)fe le bien
étoit une qualité plus néceflâirè ^ue l'âge pour les Sé-
nateurs, ibià. La Loi qui rè^loit le bien nécd&ire »
regardée comme moins ancienne que ce&e qui rè-
gloit la naii&ncei^W. Quelles dévoient <ètre les mcenrs
& l'origine d'un Sénateur. îM. Vojez SinM fifimâin.
SiniMou Pâl^gnU de Virginie. Verms de cette Fiante.
T. XLIL 407
Senèque juftifié contre les accufàtions de BÂcme. T. XLL
120, m. Son Traité de la Vithntrmfiy avec un
Difcours furie même fujet. T. XLIL 1^3. Il eft exi-
lé dans l'Ile de Corfe , comme coupable d'aduhèrc
avec Julie, FiUedeGermankus.T.XLVlLi6i. Il
n'a pref^uepojnt d'ordre dsuis£bs penfées. T. L; 33
Sms*
^
i)ÈS MATIÈRES. ^fi
Sens» Extiaitd'uû TrtiUi des Stns par Mr. le Cat. f.
XXXI. 304. Chaque organe des Sens aune ftruéture
qui le rend propre à recevoir certaines impreflions,
dontileftfeul iufceptible, 8c qu'il tranfmet au Cer-
veau par le moyen des nerfs. T. XLIII. 4^3. Cor-^
refpondance qui règfte entre les organes des Sens ,
& ks objets qui doivent les aâeâer. 45*4
Sens mf entes, Fonâions de l'Ame auxquelles on donne
le nom de Sens internes. T. XXXV l. 144. Ces Sens
donnés en partage , non feulement à l'Homme , mais
aux Animaux même. iéiéi.
Senfittions. DifiFérens deg;rés des Senfétims .T.XLIX.300
Senfvrmm» Air de vraiièmblance qu'on donne au Syf^
témequi établit le iîège de l'Ame dans leSenfiristm.
T. XXXVI 141, Ce qu'il rcfte encore à découvrir
pour avoir une certitude entière fur un fujet fi dé-
licat, iiid.
Stntimens agriaèîes ({ueh Nature amis dans notre A-
me. Ouvrage fur cette matière, 8c quelle en a été
l'occafion. T. XXXIX. 404, é'/uiv.
Seftentricnaux, Quelle cUt la voix 8c k prononciation de
ces Peuples, T. XLIX. a^E
sépulcres àcs anciens habitans du Pérou. T. L. 311
Séftdture de Moïfe. Voye^ Ideïft.
Sèqueira {Diego Lapez de)» Portugais » 8c Viceroi des
Indes en ii-ii , tâche envain de fe rendre maître de
Diez. T. XXXVHL 201. Il forme un ctablifTe-
ment aux Mohiques. Uid.
Seruck (Baltazar)f Af&fTm de Guillaume de Nafiàu,
Prince d'Orange. T. XXJCVIII. 24
Smatula. Plante qui porte ce nom. T. XXXIX. 269
Sermons fftr divers Textes de l'Ecriture 9 par Mr. Chate"
Uin .T .X XXI 1 . 3 8 7 . Vo j , Châtelain . Sermons iuf les
Devoirs Sociables, Extrait de ces Sermons.T.XXXV.
99. Sermons fur divers fujets par Mr. Strikland
Cough.T. XLWh 298. Autres Sermons auffi fur di-
vers fujets. T. XLVIII. If 7. Voyct^édicateurs.
Ser-
4M .TABL2 GENERALE
Sirfm^ Eflâi d'une Hi/loire NàUtnlle des Sirpeiu. T ;
XXX. 219. Serpent ouc le C^Ar d'Eridi entretient,
êc que quelques-uns font pafièr pour un Ange, &
d'autres pour un Diable. T. XXX VIII. Part il. Si.
£iïets iinguliers que produit la morfiire d'un Serpent
à Sonnette. T. XL. 41 1 > &fiéiv. Serpens de dif-
férentes efpèces. T. XLIV. 409, éf'finv» Morfuie
d'un Serpent qui fkitfôrtirle iâ^ par les extrémités
des doigts Se des orteils* 410
Serri, cite. T. XXVIII. ai
Sertùrms (Mr.). Travaux d^ ce MiffionaireProteftant
dansles Indes. T. XXXII. 169
fiervet, brûlé impitoyablement à Genève par ordre die
ceux-là mêlnes qui auroient été bruies à Rome pour
la même caufe. T. XXXII. 168. Ce Médecin per-
fécuté par Calvin comme Hérétique , &; dénoncé
comme tel à un Tribunal d'iniquité > & peu différent
, alprs de celui de i'Inquifîtion. ièid. Dans quelk vue
on prétend qu'il fut déféré par Calvin au Syndic de
Genève, ibid. Comment on fait voir que ce Réfor-
mateur ne iàuroit être juflifié. 169 , à» futv.
Çirvim. Comment il çxcuiè le titre que ^ir^iie donne
à Circe 9 qu'ilappelle Femm^de Fic$u. T. XL. 6x
Servius Tullim» Ses belles qualités le font monter fur le
Trône. T. XXXIX. 178. Il défait les Hétnifques ,
( orne & agrandit Rome , fait de beaux réglemens , 8c
concilie aux Romains l'amitié des Sabins 6c des La-
tins. T. XXXIX. 178. Il abdique une parde de fon
autorité. i^Â/. Il eSt maflâcré par ordre de Tarquin
Ion Gendre. i^iJ. Combien de tems il a régné* tbid,
Sifofiris. VaiiTeau de bois de Cèdre que cette Princeflê
fit conftruire pour marquer ù, reconnoifTance aux
Dieux de la Mer. T. XL. 349, 3/0.
Sextus y fils de Tarquin. Outrage qu'il fait à l'honneur
de Lucrèce. T. XXXIX. 179
Sfme (le CardinaU/r/i^, cité. T. XXVI. 18»
fCravifandê (Mr.), cité. T. XXXII. 4^, 48. Réfie-
xion
DES MATIERES. jif
àcîôn fur (à preutre de rimmatërialité dé l'Ame. 1-3,
J'4> /S. Jugement qu'ë porte d'une opinion de
Mr. B0eriMive, T. XXXI V . 84 , 8 j-. Son éloge. T.
XXIX. loi. Sa preuve de l'Immatérialité de l'A-
me. îM, Tradu^ion Angloife de fts Elémens de
Phyfîque. T. XXXlX. 130. Preuves qu'il donne du
ipouvemeiit de k Terre. T. XL. 269. Ëlogede ce
Phiiofophe. T. XLII. 11 , 90. T. XLV.46. Son
fentiment fur la nature de l'Eau & de la Glace, ièid.
Schakespear. Nouvelle Edition de fes Oeuvres. T«
XXXI. Z26
Shaw (Mi. Thomas), Extrait de iès Voyages dans plu-
iieurs Provinces de Barbarie & du Levant.T.XXXII.
40 j*. Eloge de cet Ouvrage. 40i$. Supplément à fcs
Voyages. T. XXXVI. 47 j
Sheridan, cité. T. XXXV. 468 ^
Sherman (Mr. BexAléel), Cures confîdérables dont il
fait mention. T. XXXV. aSa
Sifort (Mr.); Deicription qu'il donne d'une maladie (kns
laquelle trois fortes d'Hydropiiie fe ibnc trouvées
, compliquées. T. XXX Vil. . %jj;
Short (Mr.). Reproche que lui fait Mr. W.KgrJfebom.
T. L. 391 , 391.
ShtéliHs (Rkhard) , cité. T. XXVI. iç6
Sibérie. Extrait de l'hift . des Plantes de ce Paï's. T. L. 4 1
Sicanes, Combien de tems ces Peuf^soat poifédé h
Sicile. T. XXXIII. 117. Us font défaits par lesSi-
cules , & obligés de fè retirer dans un coin de l'Ile iàid*
Skile. éaas quels noms cette Ile étoit autrefois con-
nue. T. XXXIII. III. Si elle tenoit au Conti-
nent de l'Italie* 1 12. Ses anciens habitans. 1 if , <^
fuiv . Extrait d'un Poème fur les troubles de Sicile 2c
liir ce qui s'eftpafle entre l'Empereur Henri VI* &
TsHcnède. T. XXXVIII. P/ir/. U. 17 y&fuiv. Vo-
yez Sicuks. . /
SkuUsfOM SiciUens. Temsauquel ces Peuples palISreot;
en Sicile. T . XXXJII. 1 1 7, Us enchafiènt les Sica-
X nesj
3M TABLE GENERALE
nés, 6c clongent l'ancien àointleSicinie en edn 4e
Sicile, md. Voyefi SicUe.
SlifrUy Angloisdc nation* Gon?erfion iju'il fait. T.
XL. fi. Religion deccttms-isL iéid.
Sigi/mml (l'Ëmpacur) tait tenir à Coniknceuû Conci-
le ^eral. T. XX VIL 3f9. Erige laComté de Sa-
vote en Duché. iHd* Reproche qu'on lui fut » d'avoif
fâdt condamner à mort ^, Hits , an préjii^çe da Suif-
condoit qui lui aroit été accordé. i£id. Sa mort« ikid.
êigogm (Ffémfés di) > Avocat de Poitiers. Manu£cm
qu'il achète, & qu'il confie à TtfiMifroy /e Rw. T.
XXVL 44
Sigùrgni (Mr^de). Son Mémoire fur i'impoffibiUté des
TourbiHons. T, XXXV. ^^
Sig^urd'Ormogs , ou Sig<mrdanxymx deSeffent , règne
dans le Dannemarc. T. XL. 49. 11 cominande l'Ar*
met qui th. raTsiger la France, Ce qui afliégea l^râ
£ins le pouvoir prendre en 886. Uid* U déÊiit Ar-
nouidËnrpereurde la Germanie, 6c met tout à feu
Bl à iàng depuis la Seine jufqu'à la Meu&. Mi. L'an
de (es defcendans fait la conquête de k Normandie ,
cmBraife le Ciniftiânirme , épouie nue BJkàt Clmr^
i$i k Simple , 6c devient le cKcf de cette Famillje des
i .. Normands qui doniia des Rois à l'Angietene 6c à
la Sicile. iàid,
iigmrd'Jliiltg faocède à tmfwar Roi de Suède. BataiJb
qu'il livrcàH»f*W IbaOïocle. T. XL. 47. Vidox.
, fc qu'il remporte, ièid. ii tait enterrer iHir^U éaxis
une cdline de pierre, qui xsaek aiors Ikti de Mxaùr
Iblée. Ufid^ Ils'aflbciedansl'£mpire EiftenSeH, fils
de H»r4ld, lui cède le premier mi^6&]e gouverne-
ment du pais , 6c va chercher k ^otrcdans les dan-
gers, iifid. Il attaque rAi^leterre avec fuccès , con-
quit leDaunemirc , f)ortie Tes armes dans k Finhn*
die, 6c fcs vues jufques dans roricnt.48.aa ïaott.Uid,
S^ k fière, mère d'xM^ fH^tf^iùimitg > Roi dtr
Suède. T. XL. .fz
Sigm
DES MATIERES. ^i|
Sigfné Lîjgtitti, $ic'étoient des Peuples qui habîtoient
au nord de la Ville de Marfcillc. T. XL, fj
Siickefter , Ville de HAmpshire. Infcriptioii Romaine
qu'on y a trouTec. T . XXXV I il • Fart» IL 177
SUks (AUretw). Deicriptioa qu'il donne de qudqucf
Pétrifications fîngulieres. T.XXXV. 3^1
SiUa 9 après avoir rempli Rome de fàng , s'aiTure unà
mort tranquille , en rendant eu Peuple ^s Privilèges^
T. XL. 13
Siltut (féan-Bitftiftt) , Tuif d'origine , Doâeuf Régent
de la Faculté de Médecine de Paris, Médecin Con-
iùltantdu Roi. Particularités qui le concernent. T.
XLin. 4fi
SUvefter (Tifftng), Ouvrage p#fthume de ceTHéoio*
gicn. T. XLIV. a 35'
Simien {^), cité. T. XXXIL 10 j
SimmUtt regardé comme un excédent Poète. T.
XXXIV. 313. Fragmens qui nous reftent de fes
Ouvrages, ii^ii. Lieu defànaiilànce.Mtt/. Udeyienc
fameux dan$ toute la Grèce, f^. Il réconcilie Hii'^
rtn^ Roi deSyracu^ avec Ihérm» Roi des Agri*
^ntins. iiiJ. Temsdeû mort. Md. Idée des con^*
iciis ^tt'ii donne au jr Rots. 3 14
Smffon (Mr.). Remarque de cet Auteur. T. XXX. 19^
Smâlslr (Mr.), cité. T. XXXIII. 73
Sw§es. Leurs différentes efpèces. T. XXXVI. 121,
ChakK qu'ils forment plufieurs enftmblepourpaA
£ûr k rîvièredeClift^e eh Amérique. T.XLIV. 4.14
Sifhen lâcrim^L Caufe de cette maladie, 8c moyen d'y
remédier. T. XLÎ. 468. T. XLII. 18
Sucte , fixième Evéque de Rome. T. XLI V . 15*0. Dé*
cretalefi qu'on lui attribue fauflèment. ibid. Ses reli^
ques dirperfées dans toute k Catholicité Romaine,
mais regardées comme feaifes. î6id.
Sbc$e ou Xtfii II. CkHnpbttfance louable de ce Pape. T.
XLVi. 4. 11^ décai^ott crucifié. Und.
SucH JF. connoifliuK rmeeccAce de fhHm, k prend
.: X a Cous
)
/
324 TABLE GENERALE
foas ÙL proteôîon, & le fait Kblk»chécaii« dm Vj>
tican. T. XLIV. 9
SkMTS , Capitale de la Gothi« , n'cft pias qu'une dteti*'
vc Ville, & pourquoi. T. XXXIX. xjx
Skira^ Prince du Nord, foumet la Ruflîe, &{è édt
Chrétien. T. XL. 44. Il fuccède à Unguar fur le
Trône d'Upiàl. iM. Soins qu'il fè donna pour ré-^
parer les chemins, &pour bâtir àcs ponts fur une
infinité de canaux qui coupoient alors la Suède, i^i^.
Skrillmges. Nom <^ks anciens Norrégiensdonnoieiit
aux Groenlandois. T. XXXI. fi
Shjtte (Mr. Charles) propofè de faire fcrvir les Tou-
pinanibours à la diiHliation du Brandevin % 8c d'é-
pargner par-là ks Bl4s> ù, précieux à ia Suède. T«
XLI. 37
Sloëne (Mr. le Chcralier }Uns\ ObTervations qu'il com-
munique à Mr. Geoffroy, T. XXXI. ^fô. Son iè-.
cietpour les inflammations & autres maladies des
Yeux. T. XXXV. 114.
Smdragduij Abbé de St. Michel» dans le Dioçè/è.de
Verdun. Tcms auquel il vivoit. T. XXVI. f»p. Ou-
vrage dont il efl l'Auteur. îhid.
Smith. Jugement ifur fon Traité des Vertus médicina-
les de l'£an commune T* XXXV. 3^
Smith (Mr.). Caûfe de la mort de ce Chirurgien. T»
XLVII. * 477.
Smith (Calet) propofè de fè fervir de verre att-lîeu«(k
métal pour ks Miroirs , catadioptriques de Knrtmt*
T. XXXV. ; :. . 3^1
Smith (Thomas) a travaillé à corriger la proooadation
commune du Grec, T, XXVI l. fx
Soarex» (Lofe), Portugais, Viceroi des Indes , eft em-
ployé k maintenir les conquêtes de lès Prédéceflèiirs.
T. XXXVIII. aoo. Il échoue dans plufieurs dcfès
entreprifes. i6id- Il fè rend tributaire le Roi de Co*
lumbo dans l'Ile de Cçjdofji^ , iû s'ouvre Tentrée des
Royaumes d*Siam^dek'Chiae. . . . iéid*.
DES matières: 32f
^êerate* Sa naïveté , Se excellence de la do6bîne qu'il
enfeigne. T. XXXI V. 3^4. Utilité générale de Ces
maximes. 335-. Sa mainèrede raifonner regardée
comme trèscaptieufe, propre à déconcerter un hom-
me , à le réduire au filence , ou à lui faire avouer qu'il
s'eft trompé, ièid. Exemples qu'on en donne 336,
é^fiiw. Sources de fes-paralogirmes. 341 , él*fuiv.
Sa manière de raifonner n'eft pas Ton beau côté . 34^.
Regardé comme un grand-*hom me du côté du coeur «
Uni, Jugement fur fa vie. i^. Magnifique portrait
qu'en fait hUmtagnt, 346, 347. Eloge de la doctri-
ne de ce Philofophe. T. XLII. 178
Sodérint (le Cardinal), cite. T. XX VI. 187
Soie. Augmentation du commerce des Soies de Piémont
T. XXVIII,4o6, Efpèce de Soie brune qu'on trou-
ve attachée aune Coquille. T. XXIX. 30. Cequ*^-
on en fait. ibid,
Sêkotoré I lie qui eft à l'entrée de la Mer Rouge.
Les Portugais s'en rendent maîtres en 1 j-oS. V.-
XXXVIII. 200
SoUiU Pouvoir qù*on lui attribue fiir le Corps humain.
T. XXXVll. 198. Auteur qui prétend que les for-
ces de cet Aftre réunies avec celles de la Lune élèvent
{pus l'Equateur la Mer à dix pieds 8c demi. 3 00 Com-
ment on peut expliquer ce qui eft dit dans l'Ecriture,
. que le Soleil 8c la Lune s'arrêtèrent dans leur couriè ,
afin de donner aux Ifraélites le tems de remporter une
viâoiré complette fur leur ennemis. T. XLIV. 197.
érr/urv. Voyez feu.
S#fe/: Nourriture de ces Poîflbns. T. XXXVIIL 16%
Solides. OuvragCL touchant la coupe des Solides. T.
XXXIX, i8t
Solknac (Mr. le Chevalier ie). Lettre qu'il a écrite au
fujetdel'HiftoircduRoi^w»«/4/. T.XXVI. 207
Soliman , Emp . Turc, eft dhaiTé de la Hongrie par VEm--
fcteaxChêrleqmat. T.XXXIII. 188. Puiflànte Flor-
in qu'il Ëdt équiper pour faire la conquête du Royaux
X 3 nue
i^ TABLE GENERALE
medeNafA». 189. Ses autres préparatifs de gyenpi
iUd. Il furprend les Vénitiens, en attaquant Tlle de
Corfou. 190. Comment le Rpjaume deNapksfiit
Sçlitsiri. Ver ffû porte ce nom, 8c qui croît dans le
Corps hufiqain. T. XXXL 78. Incertitude où1'<mi
cSt touclunt ùm origine, i6id. Ce qu'il a de commun
;ivec les Polypes. T. XXXIII. 179. Voyez Polypes,
. Conjeâures fbr fa formation. î^. Deux Lettres fur
un Remède fpéctfique pour détruixece Ver, Tune de
Mr, Troncin» êc l'autre de Mx. t^rrmfc/mâffd. a8o,
fjf Juh. Heureux fuccès de ce Remède donné par
^Mt.Hovîhs à deux Malades attaqués de ce Ver. au.
Solitaire ibrti par un abcès à l'aine. T. XLI. 3 3 . Con«
jeâures fur l'origine de ce Ver. iéU.
Sommeil extraordinaire d'une Femme. T. XXXI, 175
Se». Comment fe fak ù. propagation . T . XXXI. 3 1/.
Qjiel efpace il parcourt dans un tems marqué, i^.
Se»dts. Uia^cqu en faifoientks Anciens pour la Mari-
ne. T. XLII. loi , 10»
Setsgtf. Réflexions fur les Songes. T. XLVIII. 468,
Quels font ceux que l'Ecriture rapporte.!^. Règles
que les Anciens ont Toulu donner pour bien expli-
quer les Songes. 469, Songes dont l'effet ne âuioit
être révo(|aé en doute. 47 1 . Règle générale qu'on
p6it établir à cet égard. 471
Satâbes (les) ont bâti la Ville de Leipzig. T. XLIV.
|8. CesPeuplesont occupé une gna&panie de la
Saxe. . i^.
Serbure. Ekige qu'il Êdt de la Femme de Scmuto^ > cou»
nuedepuisfouslendmdeMA^oMf». T. L. 101
Senl {Afws) • ProteûiQn qu'elle accorda à y^ques Ceeur.
T. XXiX. 49
Strù^ (y.Cde}, ProfefleurenPàîloropliiedass lUni*
▼eriité de Pife. Extrait de ik&bifyutms de HU^
fine. T. XXVIIL aïo
j>#r/{/ff^i^i^)»Fu'cequiportecetitxt» Temsau^el
■ - ' * * • * ulte
DfBS M ATIERES. %2j
; ék fut )aaée , 8c qui «h eft T Auteur. T. XXVI. 147
$imlit{k?tttU cité. T. XLUL 417
4»$flet que la force de Teau fait agir. T. XXXIX. if
9mfiem , otxCêebtkht » forte de PoiiToA.TJCXXV. 187
f«i^fqu'on&eden8laiide.T.XXXVin. 78. ^^'
mère at&d'enextrsire l'Acide volatil. Piiit. ih ifa
Sml (Mr du)* Ses Notes fur j^^iea.T. XXXL 4. Tems
auquel il a commencé à travailler fur cet Auteur. 8
Sgurcils, Conditions reqiûics pour de beaux Sourcils* Se
mojensde remédier à leurs dé&ttts.T.XXXI. 410
Smfdt. Vo^reK Swcditi.
Smfr (M09sùldt FÊtUy). Ouvra^dc cet Auteur , qui
contient l'jiiâoire dflts Portugais ea Afie depuis Tan
1497 juiqu'ca if4o. T. XXXVIII.. 193
Spakùgit, Juged'Up&k» aûèmble des Loix, par or-
dre du Roi Ingiéld. T. XL. 4f
Sf^nierg (le Capitaioe) efl envoyé à la recherche du Ja-
pon» &part du Port de Kamtchatka en 1739. T.
XLIX. ^%7> Il abordeau Japon. î^m/. Carteoùl'on
voit la route qu'il tint* ètid.
Spânbtim (Mr.lefiarou dt\> Savante remarque de ià
façon fur le mot ¥<mtifix. T. XX VIL i ;o , 1 3 1
SfêiU (DJoîsi). Traité' de Fortification en Allemand
qu'il a imprimé à Stra«b.en 1^89. T. XXX VU. 486
Sf9B»eU$> Siks$pQâ^s£bntdj^ereux.T.XL.i$6
SficifUum Sêkuù. Par ^ui cet Ouvrage a été imprimé
. pour û première fbi$. T. XXVI. ao;
Sperme Ceti. Raifons. qu'il 7 a de croire que c'eft la
ginà& d'na PoU&mnommcCachelot » S( non pas £1
0*ve^..t!. XXXVIIL BjT
Sphlhri. Remarques furlaSphèrrafiranomiquedéa An*
dens. T. XXXVl. 34»
gphwdyiistm. Efprit^'ondîftille de cette Plante dans le
Xâmffilmtlu^tit(^Û9at]igaÀaii& ccG&matglacé de
)'e(pntdefinMnentScds Hean de vie qui. 7 manque.
T. XXXIX. f la.Uft^Bqà'onpottrroitâiicailkurs
dr Qcti» PlaiMsp* 313
X4 ^t^h
)i» TABLE GENERALE
Sfihiên (f$0n). Ulcère filhilenzqueliiiftToit fermé i
l'anas une machoice de PoiiKMi , & dont on le guénc.
T. XXXV. 382
Sf'ma ventûjs. Ceqoec'eft que cette makdie. T. XL.
41;, 4 14. Et comment on doit la gaérir. ML
Sfinêfs. Expoûtioxi du Syftême de ce PhiioA>plic. T.
XXIX. 119, 18). N'apasencoieété bien réfuté.
1^0, 184. Portrait qu'on en fait. T. XXXII. 6. I-
dee qu'il feformoitdeia Divinité. 15-. Dans ion Syf*
téme l'Homme Eût tout ce qu'il fait comme une H<»-
loge . qui marque les heures 8c ks minutes » les jours
du mois, Ikc. félon qu'elle a été faite. 17. Confë-
quences qui découlent de ibn Syflême. 18. Com-
ment on fait roir que ni fbn Syftême, ni cehiides
autres Panthéifles ou Naturalises , ne fàuroîent fi
ibutenîr. 41. Réfutation de quelques principes du
SyfbêmedecePhilofophe. T. XL. 383, 384. Ac-
cttfé mal*à-propos d'Athéiime. T. XLI. 120. Son
Syftéme regarde par tnhmtx, comme un Carréfianif'
meoutré.T.XLlI. 1 88. Ouela été l'objet de ce Phi-
lofbphe.T.XLIV. 141. S il a rempli les conditions
edènticUes aux démonfhatipns géométriqttes.i^ii/. ^
faiv. Ceux qui l'ont réfuté ne l'entendoient pas. 14a,
143. Voyez Spinâfifmi in S finofiftes.
Sfinêfifme, A la Chine l'adoration du Ciel eft un rrai
^ Spinoûfme , ou pur Matérialifme , dérobé au Peuple
parla pompe du Sacrifice. T. L.67. Voye^ Sfinojk
& Sfinofiftes.
-Sfm$fift$t (les) font forcés de foutenk que l'Homme
n'elt point un Agent libre. T. XXXII. lyv Voyeat
Sfmojk & Sftnojtfim.
SfHrmgX^^*) rapporte une cure faite entièrement par
' la Nature , & des plus confidérables. T. XXX V I|I.
TMirtM, sf, A TU mourir un homme dont le Colon
s'étoît rempli de madère ftercorale enduicie. j'8. Def^
cription qu'il donne d'une fùbftancegraflè, fèmbk-
Ue à duiuif I plutlégère que l'eau » que l'on tired'un
Uc
DES MATIERES: ^i|
LacdekFitdande, près de Narkoten. 60. Makdtt
fingulière dont il parle , laquelle fait de grands \rava-
ges parmi les enfans , & eit propre à la Finlande, i^id»
Gueriibn qu'il rapporte d'une femme, dont la ma-
ladie n'avoit pu être ai connue ni guérie. 69. Stcct
don Céârienne dont il a ¥U un heureux fuccès T.
XXXIX. 94. Ses conjeâures ûir l'origine du Ver
Solitaire. T. XLI. 3J
Spondi, cité. T. XXVIII. ai
JSforing a trouvé non feulement des coquilles de Mou-
les pétrifias , mais leurs Oeufs même , 3c V Infèâe
encore naiflânt changés en pierre. T. XXXIX. 106
Sqs^lette d'un Homme qiûyivoit du tems du Déluge,
trouvé dans une pièce de Marbre. T. XXX . 1 9 1 , é*
fitiv. Explication de ce phénomène il fingulier. ièid.
Squire {Samuel). Extrait d'un Ouvrage de cet Auteur.
T. XXXVI. j-i
«tfuifre du Cervelet. T. XXXVIII. 177
StM, cité. T. XXX. % 398
St0ckh0iifi> Son explication du Symbole ^es Apôtres.
T. XXXVII. 479
Stade. Quelle eft la longueur du Stade que les Hiftoriens
emploient ibuvent pour marquer des diflances. T.
XXIX n
stade. Villeprife par les Danois. T. XXXVIII. 128
Stahl (Mr.)., cité. T. XXX VIII. Fart. II. ifl
^ Stanhofe (Mibrd) confulte l'Abbé deVertot fur le Sénat
Jlomaia.T.XXXVIlI.aa8. Eloge de ce Seigneur.
T. XL. 4
Stanislas. Extrait de Ymfimnde Stanislas I. K^i de Tè-
logney &c. T. XXVI. lof. Jugement fur cet Ou-
vrage, ao6, ^fuiv.
Staffer (Mr. JeanVridiric). Ouvrage de cet Auteur.
T. XXXIX. 361. Quel eft le principe le plus fécond
dans ià Théolo^. )68. En quoi il rait confiner Tef-
iènce de la Religion. 376. Son attachement iavio-
jÛ)k à )a Goa&mon Hdvétique. ^%6
%\é TABLE OEKERALr
dek Suède. Bataille où il fediftiagne.T.XL. 47
iMr^/fwi. Ce ^ue c'cft que k9 Starmet « Pologne.
T. XLIV. 5-0
fMrrjf (Mr.G.). OwnmeedecetAotBir» quîtiaiie
dtkSdaior (lcsPxojeâ3es,dcinoiitiiée Àapj^oée
aux PioUèmes les phu utiles de PAstiUerie. T.
XXXV III. fgrt. IL ±zi
êmèret de C/ùquc. Qaeik éiolt leur valeur. T.
XXVI. 19
ftstiquÊ. OblènniiQ0sdeStatiaiie.T.XXXIX. 417
SPtfurm (Mr.vJs). Extrait de r Ouvrage qu'à & publié
fous ce titre : iujÊiUims dis Vs^ks fcétimus , êcc.
T. XXVIII. 181
SftMtctm de rOvatre trouTC par Mr. MUlhr. T.
xxxvm %j6
J|<^^i}^(Mr JeDoaeaT).£xtrait de iz Vtfnfê du Chif-
tuniffMj fur le pied qu'il eft établi dans f ËcritUBr.
T. XLVII. J18. T. L. 26a
Snllir{Mt.)y cité. T. XXXIX. 310. Diflèrtatea de
cet Auteur fur des Animaux marins. T. L. 148
Stmhêck f Général Suédois, remporte en Pomésanîe
^ielquesaYatttag)BS, mais qui attirent k guerre dans
cetteProvince. T. XXXVIIl. 114. Ilfaitrurpren*
dre Roftock» Ville neutre & impériale, le défim-
due par unsGamtfba Proffienne. ix6
£lmHl (le Comte) , Gendre d'^ftomi/ Roi de Suède » Se
adlié à k Maison Rojak, monte fur k trône de Suè-
de. T. XL. f 2
tiMM», Lksaenmt-X^ésénl; déftit OfnfiU» Rot de
' Suède. T. XLV. ^jf. Sa R^ence tzouUée par
ks Danok qui Teulent rentrer en pofToifion de k
Suède, tfii^. Ufaccombeanx«ftMrtsde7M», 6b de
Ckrifnéin. 0id*
Mtùtm (Mr.) , GrandrOnckdc Mr. mmtm. Idée de
fim Di/cmrsjm VAnatomiê du On;ai«».T.XXXL
1(67. £]oge qu'en £vtMr.ifi ïïmfmlk^iUd. U vioac
fin-
' DBS MATIERES. 49
fioeàrement qu'il ne ccmnoît rien à ramttmik du
Cenreau. $M.
Sfephanms (yiSu).Ssi.ConHmu^fmàcsAnmUesde l'uif-
iotre de DanoenMrk. T. XXVL 244- 1*«^ms de ik
nailSuice. if^. Ses voyages, tf 4. Ses Notes fur Sa»
xonliQrmnmAirim.îkid. SonStile.xn* Voyet en-
core T. XXVII. sf
Stephms (MUe.). Idéedefbn remède pour la gaérifon
de la Fièvre. T. XXXI. 179. T.XXXIII.460. Ef-
fets de ce reinède.T.XXXlX.i86, 187. T^XÙ-i^a
fttvmfm (Mr.)» cité. T. XXXII. 27»
Sttyertr (le Père)» JéTuite Autrichien. Critique fidte
par cet Auteur. T. XXXIII. f
^tkiftré (Jmi), Pafteur de l'Eglife Mennonite de Harr
lingen. Extrait de fa Uttn Pâfioralt «outre le Fanatif-
me.T.XLVII. 431. jugement fur cet Ouvrage. 43 j
Stîfhelms, cité. T. XXVII. 46^
^tokholm^Rcmasqaes fur cette Ville,T.XXXV.%8i»28t
$toïcitns. Dogme favori de ces PMojfephes. T .XXXV.
f o. A quoi f« réduit tout leur fyftème de Morale. T.
XLIV. )if. Ces Philofbphesmis en parallèle avec
ks Chrétiens. ibU» <^ fuw. Quelques - 19ns d'entre
eux regardés comme d'excellens Maîtres & des mo-
dèles de vertu. T. L. 18
^$tMms (GottlUù), Fro&i&ur en Hiftoire Littéraire.
T. XXVI. loS
^#i»ie(Mr.) a donné la génâatîoa & les propriétés de
deux Courbes dutroiuèmc ordre omiiès par tfnptmn
T. XXXV. J9£
Stttiy (Jean), gnndPerfifcuteur des Proteibns fous le
règne dek Reine iMMs en AngLT.XXXVIII. 14
l^pry (Miloid^^yf^i^), Evéque StKilmurî. Extrait de
(on Eflàâ touchant la nature de la Sacrificature. T.
L. 1. Sa modeftie. iM.
S$tfih (Mr. le Baron) , fameux Antiquaire» cité. T,
; xxvu. f4ip
S9tn^ififl^*QBtf^ cft la caufèordtnaîrtda Strabifmeou
%^ TABLE GENERALE
. des Yeu t louches. T . X Ll. 464. Comment on peot
dans certains cas diminuer ce défaut» ou même le
corriger entièrement. 465*. VoyeK Lmchs.
Strâàmt cité. T. XXVI. 173. Particukrité qu'il rap-
porte des Cimmériens. T. XX VIII. ^ff. Ce qn'fl
nous apprend de certains caraâères myftérieux. T.
XXXVII. i6{
Stradâ, cité. T. XXVI. i4§
Struede. Ori^ne de œ mot Danois. T. XXVII. 134
StTMit. OrigmedecemotFlatnand. T.XXVII. 134
Strslfttnd. Siège de cette Ville»<)uiétoit défendne par
une GamifonSuédoife. T. XXXVIII. 130. EUeeft
prifè , & la Gamifbn faite prifbnnière de guerre. iM,
StrângewMis{Mi G.). Relation du meurtre qu'il a com-
mis en la peribnne de Mr. J. luffel fon Beau-frèie.
T. XXXIX. ^43.» 244
Strasbourg, Voyez Argmtorâhim.
Strasèurgum. Origine dece mot. T..XXVn. 134
Strsjf. D*où vient ce mot Allemand. T. XXVII. 1 34
StratM f ou VU ftr/if s, nom que les Romains donnoient
aux Grands-chemins qu'ils conftruifbient dans les
pais où ils fëjoumoient* ou dont ils avoient fait la
conquête. T. XX Vil. 134. Mots qui ont été for-
més de celui-là. »M.
Strstûjûce, Ses avantages. T. KXXV. Xf6
Streéti Street. Origine deces mots Angl.T.XXVILi34
Stret. Originedecemot Anglo-Saxon.T.XXVII.i 34
Stroemer (Mr.). Exp^ient qu'il propofè pour confer-
ver IcsPlantesdesPaïs chauds. T. XXXVIII. 10,
Expériences qu'il a faites fur b force de k Poudte
à canon. 18. Et avec le Baromètre dans les Mines
de Norvège. P^r/ 77. 63. Défaut qu'il trouve à cet
loftrument. T. XXXIX. 104. Ses expériences fur
l'Ele<ariciié. T. XLI. 34. ComiAent il s'élcdrifc
lui-même. ibU*
itromek ( Mr.) Defcription qu'il donne d'un Infèâe qui
a fait beaucoup de mal à la Suède m 1741. T.
XXXVm./4r^77. ji. Strpx,-
DE'S. MATIERES. «3
Stroiczâ (FtMnfoh-TallMs)^ Epitres Dédicatoiresqui lui
rontadreflëes. T. XXVL 180
Struvius . ProfeiTeur en HiÂoireà Jène. T.XXVI. 108
Strusek (Mr.), convaincu de plagiat. T. XXX. 465*
Stuhly {Lmiis)t Vice- Amiral d'Angleterre. Sa Jufti6«
cation. T. XXXVllI, 14
Styrkion , Beau-fils d'un Roi de Dannemarc , eft défait
dans une grande Bataille en 983. T. XL. 5-1
Snaquer A quelle hauteur la Marée s'y trouve. T.
xxxvni. 211.
Sftccin Dequekendroitsonletire.T.XXXVIII.Piir^.
//. 1 1 . Sa vertu. Mék,
Suèiii,J£.xtTm des Tomes I tcII. àtMMimâiresdel'A-
caJémii Rd^ak desScimces tUSmdt. T. XXXVIII.
j. Origine de cette Académie. f^f^(^y»iv. Ses Pri-
vilèges , fes Membres » foi) objet principal. 4. Com-*
ment onpeut faire vi^loir Ibs produâions de la Suèdcii
ibid. Extrait de la Suite des mêmes Mem^tre^ pour
Tannée 1743. P«r^. //. 48. Quelle eft la quantité
de Blé qu'elle produit. ;é|'» Perte qu'elle a faites par
rapport a &s Mines dé Cuivre. 67. Extrait d'une
Hifloire de ce Royaume depuis Ton commence-
ment jufqu'à préiètit.T.XU. 14. Eloge de cet Ou-
vrage. Md. La Suède n'a; com mencé d'cxiiler qu'en-
viron quatre Siècles avant la naiflàncede J.C., ce
Pais n'étant ibrti qu'alors du fein de la Mer qui le
couvroit %% 9 1^« Preuves de ce paradoxe, ibid* Ori-
gine duiK>m de Suède, aS. JVpisde ce Païs. 38 , ^
Jkw. Grand nombre de Canaux qui coupoient au-
. trefoisla Suède. 44. Premier Roi de Suède qui fè fît
Chrétien. 5- 1. Extrait du ftc^nd Tome de ÏHifiop-
' rt du B^Mfmde Stêèdi par Mr. OUus D^lin* T.
XLV. 14^, Voyea Suédois.
Suedm. Leurs inclinations. T. XXXVIII. 197. De
quels Peuplesikdefcendent. T. XL. 17. Grandfoin
qu'ilsa^oientautrefois de la Navigation. 374. Leurs
VaiiT. 37/. Leurs Loixm^ntimeSf i^M^« Vqj.Suè^e.
Suen
\
I
ff4 TABLE GENERALE
ànB tei^Uwa eft âi Roi de Suède par les Saédo»
idolâtres »^ détruit le Chriftiftniûiie fur fes Mrres. T.
XLV. 3fi. Ueft tué ptr Ingae fonfirèiccjui ctok
Chrétien. iM,
Suirker , rumommé fUêlm , Roi de Suède , g^gne it$
Prêtrcspour gouverner en (ureté. T.XLV. 35:6. M
dcckffeie Clergé abibluinent libre detxmte Jortfiiic«
tion laïque, fie aâraochit foTores de tout impôt
envers la Couronne. iàid.
gukvnt revu par Mr. ¥.Ouitnd^»^c. Extrait decet
Ouvrage. T. XLVI. %$
^ïeide. Réponfeà une ^ Lettres Perfines fur le Suï-
dde.T.XXXVi. ^ô^,&/kiv. Le^Stitdde regardé
comme permis par toute une Nation. > T. XLV. ^
Suidai. Erreur i laquelle a doxmé lieu un pafiàge fautif
àtMdas. T. XXVI. iif ,
Sujet. Ce que c'eft qu'un bon Sujet daiistm Etat. T.
XXVIil. 6
êmfft' Comment laRéfiimiafion a'intmdutfit dans ce
Pais. T. XXXII. 46 1 . Extrait des Mémoijvs Criti-
- ques pour (èrvird'ddaiiciiftmentftirdiTers points de
i^HiftfiireMtreienmJe U Suiffê > et for les Monumens
d'Antiquité qui la concernent. T. XL. 9f . Dequelle
Nation étoient les Hdvétiens ^ui s'établirent en Suif^
fe.97. Commentas étoient divifés du tems de CéAif.
lot yt^Jkiv» Jugement fur rentrepriiè des Heivé-
* tiens, qoi donna iieui la ^erre que Céfiff leur fit. 10 j,
^ fuiv, A quelles «onditîons ils furent fofcés de ren-
- trer dans leur Pats. 1^7 . Engagement où k Sénjt Ro-
main entroitaveiceux, den^accorderkdroitdeBour^
geoifie Romaine à aucun de kurs Citoyens o9 . Ils iè
révoltent contre les Romains.i 09. 1)s tout réduits par
Ce far en Province Romaine , ^uffi-biâi que krefle
desCâules. ibid. Ofkièrsdtal^ifrdaasla SuifTe pariffH
fijk , pour y recevoir k Tribut que dévoient payer
VsB Habitans . i f o. Méinoîreç fur ee Païi. T.XLVII.
• ti. Voyes u^vé9m*% -
DES MATIE1t£l ^Sf
ifvftffMm. Extiaitii'unTniité£ir IiSaperftiàoii. Ti
XXVI. ^é8. Piourquoi U Superftition eftfidafige^
reuièdaiiBiuiPnaôefoible. XXIX.ioi^e^ySyjv. E-
accmpks ^i font voir que c*t ft à la Supetftilion ^'o
on doit attribuer tant de cruelles guertesqut ont dé«
. ùAi l'Europe. toj
Bimté^ Sa dcfcription des Mines d'Or découverte au-
près d'Addfors en Smoland*. T. XXXIX. ïo j
€wêmmiriim n*a rien entendu à la ttianière dont & fait
k Génération. T.XXXI^fi9é.£xan}cn de ToâTy^
têmc fur cette matière. T. XLVI. nf , <^jWiv.
^ivîrmi(Mr.<;iM}>DoaeartnMédectiie. Ouvrage <)è
cet Auteur» de jugement qu'on en porte. T. XXXIIL
45". Il eft élu Meihibre de k Société Koyde des
Sciences de Suède. T . XXXI^. 1 07 . Accufé d'être
nft peu trop attaché aux {êntimetis de Mr. S^erhanaje
£bn Ma&tre.T.XL. 106, Et de s'être emparé de l'hon-
neur dû aux vérités nouvelles contenues dans les he--
çita^Béerhâ^tvt.Md. A iHcor^cM^ lès découvert
tes dans ce\ksâe9^erhémv9'9 dont il a eficé le nom.
T. XL.4^. Et a confcrvé les Syftêmesde^ Grand-
homme, lors roéme'queren^ren étoit démontréet
. ^y. Exemple qu'on en donne, i^id. &ftdv» Vo-
yez B(f9rkwut y Hàlt&'i Bc iJortwyck,
Sydenkttm. Nouvelle TniduAion de toutes ^Oeovtes..
■ ^ T. XXX« ji^. Il dédieun OuvrageàMr.Bpf/e.T.
XXXin. 6S. L'efprit de VMeleil presque le Ibul
. remèdfcchy^ttîqttedontâibfmtfervi.XXXVILifdf
Syhip^(h Pape).£vinAâtvensarti^s ibufl(ônPontift-
. cat^T.XLVII. ^. Fau^édekDonjAiontantlrait'-
. téedc toute l'Italie , qu'on prétend kii avoir été &ite
eni j 14. par l'Empereur GonlHntîn. 1 ; » é^ fi^v^
Sylvms (£ïti0s) , devenu Pape feus le nom àcPUll, Ré-
poafe qu'M et à Ceux qui lui demandoient uo jour •
pou rquoi dans toutes les dîfputes qui s'élev<Hetit entre
les Papes 3c les Conciles , k ^upart des Théologiens
pctfooiem le parti du premier, T/XLiV. 7
]
S36 TAiP LE GENERALE
^pnfâtbiêt ou coneQxmdanceadiniiaUeqtti fetrouTe
cntK toutes les parties du Corps immain T.XXX VI.
14). Sjmpatme entre TËTprit de rHommc 6c im
Corps. 144- Sympathie entre les Hommes, tant à
l'égard du Corps (^u'à l'égard de TEfprit. 147. Entre
une Mère ëc TEntant qu elle porte dans fes entraiiks.
i^V. Comment on &it voir que la Sympathie oe iàu-
Toit avoir l'efficace qu'on lui attribue. 148, ^fuw.
Rien de plus merveilleux que les effets de cette Sym*
. pathie ii générale qu'on remarque entre les peribnnes
de difïçrens fèxes. 3 54
$jmgoffuX\ ne paroît pas quechc^ les Juifs il 7 ait eu des
Synagogues avant £/Vr#i.T.L. If. On ignore le tem s
où elles ont commencé, f^ii/. Leur deflination , & ce
ou'on y faifoit. 16. Combien il falbit d'Ailîftans pour
rormer une Synagogue. \bïÀ. La difcipline qu'on j
obfervoit.a été intioduite dans l'ËgUle Chrétienne,
autant qu'elle étoit compatible avec l'Evangile. 1 7
Syneelle, Examen d'un Manufcrit antique de ^>iMrZ/e ,
l'un des plus précieux de la Bibliothèque du Roi de
France. T. XLVIL 189, &/miv.
Syftémes. Réponfè aux objeâions qu'on Êdtd'orduiaire
contre les Syilémes • T. XXXV 1 f. Le Svûênie jda
Monde le plus impartit vaut nçiieux que le deibrdie
ftbâ^lu des Anciens, ièid. Les Sy ftémes les fdus arbi^
traires & les plus inlbutenables rendent àcs fervices
confidérables à l'Hiftoire Naturelle. 16. Exemples
» qu'on en donne. Md* Quels font le» trois Syilémes
iur la Génération qui ayent aujourd'hui des parti/ans,
. 305-. Extrait d'un Traité des Syftêrocs.T.XLlV.ii^.
Maux eau lés par les Sy ttêtncs des Théologiens. 1 23
Ce que c'ei^ qu'un Syflême. i^id. Trois fortes de
principes d'où iè forment trois fortes de Syilémef.
i^Ù o^finv* Infu(£ûnçedes Sy ftémes ahftraits. 116.
Abuà qu'on en fait. 128. Objc^kion contre le Ihii^r
des Syfiimes , &c. T. XLV. fS, é^fuiv. Les Syftémcs
- font de vrais malheurs pour le progrès des Sciences.
T.
f
r
\ DES MATIERES. 337
JK T.
XH ■ - ^
It /^TF^jUac. Vhntetio^xtméefacka'Shâfuck, qui elè
tf ■ excellente à fumer quand on la mck avec du
E0 -*- Tabac- T.XXXVIII. P^rir. If. 63
i TaàleâHX' Art d'imprimer des Tableau}ç. T- XXXV.
el 1^7. Belle Celleâion de Tableaux, qui appartient à
.^ M. du ChKtel. T. XL. 158. Tableaux qu'on a tirés de
SjT defTo^s les ruines d'HercftlamHm.T. XL VlII.ao, 2 1 •
i|i T/irfVr , regardé comme un Auteur pleîti de ièns & de
ij réflexions folides. T. XXVI. ^f^. On ne doit pas
le {uivre toujours dans ièsfbupçons, quelquefois in-
^ jttftes. iàid. Ce qu'il y a à apprendre de lui. i^i^. Ju*-
gementfurcet Auteur & ics Ouvrages. T.XXVlïf,
377» &fi^vv. Extrait d'une nouvelle Edition de les
Oeuvres par .itoe^r^f h HùuJfaye.T, KXXIX. 443.
Diffërens jugemens qu'on a faits de Tacite ■ 444 , <^
fmvr Et des diôércntcs Tradu6tions de ics Ouvra-
1 ' ges. 446. Jugement fur les Notes d'.ab»f/0^ 44.8
Taille', Succès de la Taille latérale. T. XLIL 197. Non*
veauxfuccèsiecetteopératioa. T. XLV.aip. Ex^
. trait d'un recueil de pièces concernant l'opération de
. la T^lle. T. L. 77» Voyez Pierres.
Tallari (le Maréchal de) ne dut le gain de la Babille dé
' Spire qu'à une méprife quiauroicjdû la lui faire per-
. dre. T. XXVIIL 2>-*
Tahja our, Richcflcsdece Royaume. T. XXXlI.iao.
' Jadoùfie du Roi à l'égard des Blancs qui pafTent fuir
• fes Tcwes. !/<>
Tapis de Barbarie. T, XXXIL i^s
• Tafrohane, Diffcrtation fur ce Païs.T. XXXIL 177
X4rw^»/e.Cequec'eft.T,XXX'. 261-. Fâcheux fyrap^ ^
tomes que produit Ùl morfure. 163. Remède uûté
dans cette occafion. ièU. .&futv^
Tarfarie. Defcription êc Carte qu'on promet de nous
i' ilonner decepais. T, XLVIL 473
Y X/if-
i
33S TABLE GENERALE
Jkrtero». Jugonent fur & Traduôiofi êtffêrêce. T*
' XXX. 394
TMft. Dcfcription de cet Animal. T. L. 177
Tâyler (Mr.), Maître- es- Ans, Membre du Collège de
St. yian à Cambridge , & Garde des R^ftres dcJlJ-
.iûver£té. Ouvrage de cet Auteur. T. XXVI, ^
Teint. Différentes iortes de Teints. T. XXXI. 436
TeittttêKe.àts Etofes. Mémoire fur la théorie chy inique
de la Teinture des Etofes. T. XXXIII. 45-8
timpêus. Ce qu'on doit penfèr de certains préAges des
Temi>êtes. T. XXXIX.^ io4fc
Tkmj' DiftinâionnéceiTaîreà/aire entre le Tems inter-
ne Sck Tems externe. T. XL, xi. Péûnition, du
Tems. UîJ.
îtiniriffe rFameuiè Montagne qu'on trouve dans Tlle de
ce nom. T. XXXVIIL Tsrt. Il, 129. Sa hauicar.
Uiid, Ce qu'elle a de remarquable. i^.C^jbit/. Rai-
^ns qui donnent lieu de aoire qu'elle s'eft formée
naturellement » & que l'Ile entière auta fiuité en i'air
par quelque embraiement. jja
Tenfims ou Jiux fartis. Vojez Cours d*jtmmt*
Terrêjft* Defcripûon des Tenaflcs qui fimtau haut àt%
Maiibns en Arabie & dans le Lerant^T. XXXII43 1
Tmé de Mtios. Ce que c'cft. T. XXXVIII. ?m. U.
16, 17.
Terre, Comment xm prouve que notre X^obç terreibe
eft rempli prefque par-tout de feux foutcrrainsqui le
minent inienfiblement 9 'Scie menacent d'un embr»-
fcment général. T. XXVIÏ. 3 29 ,<J» fmv. La Ter^
reeft unCorps organifé. T. XXX. 136, f^fuiv.
Comment elle peut étrerenverféeSc boukvcriee.i69.
Objeâionscontreoe bouleverièment. 281 , à^fiéu»,
Dinercntes f^ures qu'^nlui adonnées.T.XXXIl*
Sjr. Syftémefiir fon origine. T. XXXIV. 974, ré*
/mv. Utilité des découvertes qu'onaâdtos fur ia fi-
gure. T. XXX VIII. XX. l^«av.elieThéoiiedefaFi;-
£ure applatie. T. XL. .233. Plufieufsjtuiies .<^ k
Ter-
; DES MATIERES. 3^9
Terre nous font encore inconnues. 234. Pnuvec du
xnouyement de k Terre fii autres Planètes autour du
Soleil 268^ à*fitvu. £t de leur mou vendent diurne
ou de rotation. 271. Hypothèiè fur ùl formation.
T. XLV. 248 , 4^ faiv.
TiTTi dtLêmnûs, Ce que c'eft , foa ufàge > & comment
on Japrcparoit. T. XXXVlJI. P^rt. IL is
Ttrr^, de H^ùfdfâr qui a la ^ptxsifà^yér^ foutepir le;plus
grand feu ûn^ & Vitriâer. T. XJUilI. 191. Son
analyfc. ' ^192
TertuUen. Ëlôge qu'il fait des Infeâes. T. XXXI. 71.
Son opinion fur la natuse de rAme en dénruif<^it Tim**
miortalité. T. XLII. 15-4
Teftammt. Extrait d'une nouvelle Tradu^on 4u fim"
u€Au Teft^mint^ T . XX V III. 411. Et d'un Ouvrage
c^Qi^mx\xxcriE,ffr'udHÎ!imJ*m^Tffiémnfiii^^ Mr.
. mth, T .XI4I. 3f 7 . Ve df .a>^«im»^fuivaat ^Edi-
tionae^ue avec les V/Lriantos., .^c. par Mr. lePro-
feâêur Jean- Jaques W<tftaix(. ^tr^icde cetOo^rçi-*
ge. T. XLIX. 4Q5,^^iv*
Tefi^fuUs. Pourvoi off^/a d^ooc. T.XXXiU. ^.
^Si ces parties font chaudes ou frpides. iSié" i&fidv,
,Tif (Poulâ^rde). Sescauiè&.T..KU. i*i,é^Jkvu.
. 3^/U/ fu|::!^P^yé.povi¥ recuisillir les deniers qui j)ro-
, Y^fjvmuv àss ind\i^^ 20^, Trait
:de>^.âHi. impiété. .... i^id»
. ihmir-i^m)' public JftP^iiwe Fsfiéêltc Ï.Mp(hii^tim
aux Gmilsàt$idl^lflmi\^^^inrtEïfijfk^
; coHire^r. T. %%yj, . _ . : ,. / »po
Tk^ffus, Bataille qui fe donna près de cejtie^'VSSJÎp « t^ où
^^^iif4a».^3^ifA4â9'entii4f^^ JS;
Thé, ae8q^quesfvrcctti8p.lwWe.T.XWy, 478
. Théâtres rj^ Anciens AVO^ti^d^Ties^pl^ A^is des
. . .TJiPa^ç»j.jî»ritiçttliè|cippnt ^iUpFhlisi& #H«:culç.
T. XLVIII. . . - ; 10
!KWi/lc.Cç:q»ec'çft-T.Xi,yn. 449« #<
/ar«««/?^^^^b»igi5deAviç;ir. XXVHI,.gtô(^uSon
Y 2 ca*
340 TABLE GENERALE
caïaâère. 57*
Thèodvn (Flêcms). Copie qu'il a &ite dePrifcicnr. T.
XXVI.174. TcmsauquclîlTivoit. , iHJ.
Théolcgh. Extrait d'un Lirre intitulé , Examen des JD#-
fants ThéolqgiquiSy &c. T. XXXIIL 417. Réflexions
fur ks fentimens de l'Auteur de cet Ouvrage. »M. c$*
fmv . S'il eft facile de concilier les Catholiques avec ks
Piotefhuis. 418, ^furv. Quelle eft lai^gle de f<M
de9 Chrétiens* 41 1 . Quifbnt ceux d'entreles Chré*
tiens qui penièntleplus iàinementde leur Religion*
4ii.DéfautsThéologique9qui Tiennent dePétat pré-
icnt de TEfprit humain. 414, <^ybn; .Défauts qm ont
•leurfouTce dans les SjAémes PhiJofbphiques. ^x^.
Défauts par lesquels les jeunes Tiiéologfens rienoesc
à recevou* des Opinions pour Dogmes. 43 1, ^fuiv.
Reû de fondement des préjugés contre les Ecrits des
Proteftans. 437, é^fiiiv* A quoi on doit borner la
Théologie. T.XLII. 90. VojtzThhhgms.
Thêologk des InfiSu. Extrait d'un Ouvrage ainfi inti-
tulé. T. XXXI. 66
tbéoîotàB dt l'Eéêu. Extniit d'unOunâge qniporte œ
titre. T. XXVI. 149
ThioUgUm (les). Jugement fur la liberté qu'ils prea»
nentd'exiger des autres hommes une exaâe confw^
mité à Té^d des fentimens fur la Rdi^ion. T.
ICXIX. 89. Reproches qu'on leur ^t,d*ètrediTi-
fés, deconteflcr avecaîgteur , êcc. iHd\ é'fiftv. le
T. XLII. 108. Voyez JhéOcpi.
Théophile, Précepteur de l'Empereur IMim»» cité*
T. XXVI. 11}
Thermmètre. Obfènrations du Thermomètre faites en
1740, en divers endroits. T. XXXIIL 464» é^
Juiv Moyens de bien règJet les Thermomètres. T.
XXXVIII. FéÊTt.U. ff. Thermomètre de bronie.
T. XLVL / - 37^
2lU^«i»//, Comte de Champagne» 8c Amaât détlsré de
Bkfidie Reiflc do France ^ mère àcSt.Lmis- T.
XXVL
DES MATIERES. 341
XXVI. 131. Etoit toajoars environaé de Poètes.
iM^ £{bèce d'Académie qu'il ailèmbloit dans une
Me de u>n Palais, iêid. £ft le premier qui ait mêlé
ks Rimes maiculînes&féminines.i^ii/. Strophed'u-C
ne de fes Chanfons. iàid. Seij^urs du Royaume
qu'à eut pour rivaux en Poéfie. i^t 3
OSww^*^ (C/T^»),cité.T. XXVI. 1^6
J^mas (Chxétieas àcSt') étaUis dans le. Malabar. T^^
XXXII. 14^
jUfoms (Mr. le Comtcdi). SaRépoùiè àuneLettrede^
Mr. d$Bêti QiXMVB Médaille antiquedeSmyrne.T.^
XXXIII. 169, &fiêiv.
thm (Mr.]ePiiéndentif).Recueilde&sconverfations^*
T. XXVI. 36» 37. Par quel endroit il a rebuté une
grande portip de fès Leâeurs. T. XXVI. * 2 jra ^
fl[3&r4i/y^/« entreprend de délivrer Athènes delà tyran-
nie. T. XXVI. 21. Nombre de ceux qu'il s'aubciâ«:
îbU» U Te retranche à Phyle , le meilleur Fort de tbu*
te l'Attique. ibià* U met en fuite l'Armée desTv-
ia9s« iHd» Il s'empareduPirée. 12. Il eft rappelle.;
2 ) . U fidt pailêr ttoe ordoomoce» par laquelle le Peu-
ple donne à lyfiês le droit de Boargeoifîe. %s
%fmMns Voyez Sc^llgeranâ.
Jlhftrkns (les) iè révoltent contre Achènes,T>XX VI. j
Thuritm- Voyez Sybaris,
tihère achève par ordre de l'Empereur Augufie les expé^,
didons coQimepcées contse les Germains pr Dr»fuj»
T.^R.V. |o6. AprèsladéÊûtedeK^rivj il rétat^ la
réputation des Armes Romaines, iio. Faveurs «Se'
Privilèges que le Sénat lui accorde à k requifition d*-
A1tijufi9.HU. Son Triomphe. /^ii^. Mauvais carac-
tère de ce Priace. ^96. Ses talens. ihid H fait ti;er
Agrippa PoiUiume relégué dansl'Iiede Planaâe. 298.
Et £ait moiv'ir Semfrmus (^«r^ ^Mf ,quiavoit été con<^
4kmné à l'exil 1^ Augure, ^0% . Difgiaces' dont fà Fa-
mille efb accablée. ^12, ^ 1 3 . Beaux commencemens^
lie fon G^MVçatcmtnt.iMd. Bizarre réfolution qu'il
y j prend
34» TABLE GENERALE
pfend d'abandonner Rome pour nYplusiCTenir.314:
Il £é promène par toute la Canpame, 8c pailè enfin
dans l'Ile de Capcées. iàU^ De quelle manière il 7
Tit. jif. Rtfcompeniès qu'il donnoit à fès Compa-
gnons de débanche. ièU* fj^fttkf.
TthèTi'AUxundre , juif ÈCfàkxt r de Race Saterdotale,
eft fait Gottvemeur dé Judée. T . XXXVL 404
:Siàulk regardécomme un Poète galant & libertin. T.
XLVIII. ' aao
TOché^B^M. SfMmedecéPhaofiiphe.T.XLII.iSi
Tigrts d'une petite ei^ce qui fe trouvent autour de
Portobello. T. XLIV. 41;
Slilnv (Mr.). Découwtt qu^il ^ hîtt. T. XXXVIII.
49. Deicriptionqu'ii'donne d'un coup de foudre. 5*0
TRUmfon. Idée peu aVtantageufe de îk manière d'écriie.
T.XLI.6. AWgédôftift,dc{kVie.T.XLlX.475
TiM«ri^e,ËTêquedeBéryte enPhœnicie, ^ Diiciple
d'Apoiinairey eft cotidamifé Scdépofé par un Con-
cile. T. L. 114
Tmum En quoi c^nfiltentf las reftes d'édifices qu'bn
trouve dans cetre Ik, 8(qutont<icécon(lrûits parles,
anciens poilèfibur». T. XLlI. 6f
Tiffatheme, Satrape de DéiHm. T. XXVI. 10*
Tijfilmp (Mfr.) tâcKe- de peFfeâionner les foyers des
Forges. T. XXXVIII. part. II. f^
l^fios , Rhéteur Syracufiuh. T. XXVI. f
Toe-Lhg. Pa(&ge de cet Aut!eur , où l'on réfute l'inter-
prétation de denx' Ecrivains modernes . T .XX VI.8/. ^
Cb«^ d'un grftndcaraâère qui fë trouvent dans cet
Auteur .45-4. Gequ'on-doitj lire avec àttentton.iM.
Nouvelle Edition de cet Autcrur fat Mr. Am, DrMim^
hrih. T. XXX. 22f. Son-ftntimentiUrieclvinge-
meut dès Loix établies dan^un Etat. T . L. a88
TkVff. Etendue de ce ^eu« Vignoble. T. XXIX. 4«.
Grains d'Or trouvé&dans iès Geps 6c (es Raifinsi^,
"po^è. Dé qui les Romaini empnnitèrenc Hdée de leur
Toge; T. L. 144/ GommenfklrC^'aétéintrodm-
' ^ tç
DES MATIERES. 343
' te en Franee dans le Bareau Se dans les Ecoles . Uid,
Tolède (Don Pierre de). Marquis de Viliefirancheicftfîit
ViceroideNaplcs.T,XXXIIl. 187. Son départ de
Ratisbonne pour Naples; 18B. ApplaudilTement a-
▼ec lequel il eft reçu. i^id. Etat déplorable danr le»
qud il trouire le Ropume de Naples. iàid* Régies
meoB qull fait pour y remédier, ikid* Ilfe met en
état de éihnCecontn Soliman. 189. Uièrend àTav
renée pour attaquer Soliman par terre. 19c* Il (àuve
le Royaume de Naples. îM. Prudence dont il ufà
pour appaifèr la révolte que l'introduâion de Tin*
quifidon aToit fait naître, ii^û/. (5" A^'^-^^^^^-'^T*
' Son éloge, i^id. Il a pour fbn fuccieflèur le* Cardinal
TMchSco, i6id. Voyez PfKkéco.
Tolérance' Remarques fur la Tolérance, T. XLI. ^\i.
Examen delà Tolérance Chrétienne. T. XLV. iSè,
&fuiv. Quel eftrcfprit de Tolérance cher les diffé-
rentes Nations. T. L. 69, Pourquoi les Républiques
fb prêtent beaucoup plus facilement que les Monar*
chiesàrefprit de la Religion' umver^le. iéid\ Ràv-
fon de k Tolérance chez les Turcs. 70; Si k Tolé-
rance peut être un Principe politique, propre à être
«dmis dansPEtat, chez les Peuples rift, fubtils , pleins
desjaloufiesd*e{pries.î^. Ordre qu'avoient reçu les
<. Juifs, adorateurs d'un (èul Dieu, de pourfiiivre jul^
qu'à ladeftruâiontotaielesennemisderonnonl.7t
T«//(Mr.), M^tre-ès-Art». Ouyrage de cet Auteur.
T. XLVIII. 47«
Tonnerre. Voyez Sftàie.
TtfiMMÎo.LeChriftianifÎBe yeftdétruit.T.XXXIF.279
l^^tftmisJiAVL dont Ct iènroit cette Empoifonneufèpour
détruire un homméà l^heure-marquéc.T.XXIX. 3 1
Tomoé^. Defcription de ccttfc Ville. T. XXXV. 18^
Torpilles. Les effets qu'elles produifènt ibnt peut-être
plus violcnses Amérique qu'en Europe. T. XLII.
f 4. Difierentes Efpéces , 2c ce qui les diftingoc. i6id.
TortfêOt c^pècedetoit, formé par les Boudicrs que les
Y 4 Sol'
14* TABLE GENERALE
Soldats élcToient fur kurs têtes. T. L. 3^
Tortues* Où on les trouve. T. XUL f^
Torfienfim e(l nommé Gënéraliflipie de l'Armée Suédoi-
Ic en Allemagne -après là mort du Mi^échal Bémer.
T. XLVI. 335-
Tvuchir (k ^ins i/if). Comment ib fait le Toucher » ùm
objets &t. T. XXXI. , 308 , é»iS»ix^.
Tmrhts. Planres auxquelles convient le Terroir maréca-
geux qui produit les Tourbes. Tt XXX VIII f . Ter-
reau excellent qu'elles fonnent pour saniiuer les
champs T. XI^VII. 19}
Tmrnefort (Mr ) ^ mal-à-propofi attribué U végétation
aux Pierres T^ XXXI. 143
Tourreill (Mr. di)^ Auteur d'une Pièce d'Eloquence
qui a remporté le Prix. T. XLV. 2651
X^urter^lles. Combien elles multiplient dans les Iodes.
T. XXXII. |fa
Tof^JJaint (Mr.), Auteur du livre des Mœurs. Lettre acC*
xmée à faire voii qu'unautre nefifés lui, TXLV.^x
TrMJan {UCoUmn 4i) * repréiçntantl'hidoire des deux
guerres que cet Empereur fitauxDaces^&c. Extmt
3ecctOuviage.T.XLVII,38o.Deicription decet*
te Colonne. f?Â/.<^^'v. $avans qui ont faitcooaoî-
tre ce précieux Moqumeqt. 38}. Peintres qui ont
deiUné cette Colonne. ' " 384
Trsujfmigrêflms desPeuplçsdu Nord. A quoi on doit
les attribuçr. T. 5^LIX. 14
TrjmhUmens àe Terre. T. XXXII. 374, 37f. Trem-
blement deTerre arrivé aux envirpnsde Chriftiaqiànd
en Norvège le 7 Février 1745'. T. XLI. 37. T.
X L V .213. Autre Tremblement qui s'efl fait fentir
i Beziers 214 CQulidéradqns £ut leur Caufè phyiî-
que T.XLVIII.4f6. De&riptionde celui quis'eft
fait fentir à Liondres.45'7.. Expérience faite pour en
^écounir la caufe. ^f^^érfuiv. Expoiitiondecet-
fç caufe » & jugement qu'on en porte« 462 > f^fuiv»
Trçipblexpçns dç terre arrivés e^ 4i^ers tems à Umii
. DES MATIERES. 3>r
êc rayaçcs qu'ils 7 ont faits. T. L. 5oi,^jS»n;.
TrttaèUy (Mr, Jean) , Ancien Syndic de- la Garde de la
Rép^ue de Genève. T. XKXIIL. 248. Soa^
Trenéhf (Mr. A.). Remarques curieufes qu'il a faites
fur leP^/^,efoèccd*Infea:e. T. XXXI. 80. &
faiv» Extrait de les Mémoires four fervir à l*Hifiom
/mt Genre de PolypcsW'e*» dimee , &c. T. XXX LU.
HJ> &fiéw. Son éloge. >4^
fiente. Extrait de la Z)i^»/e i/e Ai Traduêio» de l'Hiftcire
dmCenctie dejyeme, par Mr LeCeurmer.T.^^VUU
91. Préludedecette Aflcmbléc. T. XLVIII. »oi ^
Trevif0tt (»rww4;).Lieud<;ûtoù{râncfc.T.XXlX.48;
A tDayaiUé pendant 60 ans à la recherche de la Pifiïre
Philoibphale, . î^^^
J>evwx, Remarques fur un Extrait des Auteurs des
Mémoires de Trévoux. T. XXXiV. 407, & fuHri
TrUfomen , Fils de Mscédmen. Où il naquit . T . XXV L
n8. Il eftcréé par l'Empereur premièrement Maî-
1 tredes Offices, puis Quefteur. i^id. lleft dépouillé
, de fes emplois, puis élevé à la dignité de Conful. ihid.
Lotte par les uns, & blâmé pîir les autres» i^id. De
quoi op l'acculé y & fi ces accufations font fondées.
^ . 9M. Livre compofé exprès pour le décrier. 119. De-
. fendu par Mr. Sctélting contre plufieurs reproches que
ImhkHotoman. ibid. Il a eu tort dcncpasdiftinguqc
• par quçlque marque ce qu'il ajoûtoit ou changeoit
aux fragmens des anciens J uriiconfultes, 1 a i , 1 1 1#
Autre reproche bien fondé qu*o9 lui fait. M4i
TriÙHMSéXf oujufticcs Supérieures. Réforme de ces
. Corps dans les Etats du Roi de Prufle. T. L. z9.ri
&fitw. Leur but. 193. Importance de leurs fonc-
tions. 194
Triewald. Son Mémoire fur la Houille. T.XXXVIIL
9.Recommande l'Antimoine pour certaines mak4ics
des Chevaux. 22. Defaiption qu'il donne d'une Mi*
' * fiç dçtcrrcàfp^loir^ jp*r^. If. 48. Cité- jTJ. Ses rc-
Y f miçt
94^ TABLE GEKERALB
marques fur les B^mcs à Huîtres de ColcheAer (6f,
Divers Mémoires de fit façon. T. XLL a.d » 29.
Tnmti (la) n'eft pcùnt une notion ahfblument myfté-
lieufè, quand onlaconfîdèretelle qu'elle fè tiouve
établie dans le N. T. T. XXVIII. 14. ExpUcatioii
de ceMyftère. T. XXXI. 15-3. Raiiierie qu'en £ût
LuctM. If 4». Extrait d'uà Ouvrage où Ton exami*
ne ladoârine de ce myftère. T. XLVIII. 143 ^-^
fuiv. Schifmes caufés à ce fujet. 244, Les F^jens
croyoient une Trinité. x6§
TriêUt, Tems de fa naiffiioce de cette £brte de Pièce.
T. XXVI. f'37
Ti^irimis. Defcription de ces Vaiflbur des Anciena,
T. XLÏI. ^5, é'fuiv.
TMmw (tdc.Latta), Son Mémoire fur rAgticulture*
T. XXXVIII. ?ar$. U. f$
Trombu qui oatparu fur le' Lac de Genève en 1741,
T.XXXIX. 181. Danger que courent les Vadf&aaxv
quand les Trombes viennent à tomber deflù^. T«
XLVIII. 40. Comment elles iè forment. «W. Mo-r
' yen de les diifiper. 41
'S^êncMn (Mr Theûd§re), Eloge dto ce Médecin. T,
• XXIK. 196, 197. SonfèntimentfurlaLtfiiel^T^-
• ture. ibid. Remède qu'il propoie contre leVerSo*
KtStttc. T, XXXII. 581. T. XXXIII. 280
TVm» Ot;tf/r, ou Tr0ifieBoi#/. Remarques (Ur ce Trou.
T. XXXIII. 47 , i^fiéivi Expériences de Mr. £•
C»/ for le Trou Ovale. T. XXX VT. 537
tmtbêâtanirs , ou Poètes Provençaux. T. XXXV. i jp,
Voyci Trcuvèns.
TUrcufes, Examen de cette queftion: S'il eUf plus avan-
tageux de pointer que de fabrcr.T.XXXIÏL 35-^.
Movens de conferver la lànté dans les Armées. 3 l'y,
^Âfv. Règles à fuîvre danfe le choix qu^on fidtdes
Soldats, 3f9, ^fuîv. Comment on doit mettre
une Armée à couvert des infiiltesderEnnemi. 36r.
' Minièie de- camper. 3$^, Machines qui ét<Mentaa-
DES matières; B+f
trcfbis en ulàgcpour l'attaque des Places. 364. U-
iàgesdes Mines. ièid- &fuiv.
"jyottvèref pu Trmbudmrs. A qui on donnoit autrefois
ce nom. T. XXVI^ 117
Trme, Voyez Cochon.
Truxiîh. Tems auquel Se par qui cette Ville a été bâ*
rtie. T. L. 299. Sa latitude. iibU. Sa fituation , Ton
port 9 fxm commerce. f^Â^. Seskibitans. 300. Fer»
tilité des terres voifines. ihid*
TuBerin {f.). Imprdlion de là MufithUde.T XXVl.xoo
TuBulèrm. Voyez Ifo'étos.
TuUdms {HgrmMn), Poète, cité. T. XXVI. ioo
Tunft^lL Sa Lettre 9Xl Dodleur Middiet^n^ où H criti*'
que k Vie de Cieirm par ce Doâcur.T.XXXI. xif^
Tttrcs, Leur Mufîque. T. XXXII. 430. Pourquoi W
Turcs ignofèrcnflongtems Tufàge de la Maritie.T»
XL. 3l5'9. Pourquoi ces Peuples font fi foibles fur
Mer » ayant tant de facilité pour y être puiilahs.
360 > 361, En quoiconfifle leur dévotion dans les
Teûiples. T. L. 64?
'Xkreime (le Maréchal de)iVro\t lesfourcilsgrosôc raf^
femblés. T. XXXI. 411
Turfiliantis (Petrotms), illuflre personnage, cfk mis à
mort par Galba. T, XLIX. tof
Turquie, Remarques iur le nombre des habitansdece
Pais. T. XLIX; ^ it
Tttrquoijks (les) ne font que des Os pétrifiés. T.
XXXVIII. Part. lî. 1 1 . Matière étrangère qu*cHes
renferment. 12. Tiilxjuoifes artificielles qu'on né
fàuroit difUnguer àcs naturelles. i j , 14
Turretin Vfeên Alfhmfe), Extrait de fon Commenrâ'm
Thhrétique é» Pratique fi& les deux Efitrer de StK
Paul Muxlhejfalmicieiu. T. XX VI. 61. Jugement
• fur cet Ouvr^. 62 , t^fuiv* Extrait àc{k& Lofons
Critiqués Jhhhgîques , ôcc. fur tEfître de 3t. ftiul
0UX t^ûmains, T. XXVIII. 39. Ju^mcnt fur cet
Ounage. îHd. Extrait de fon Tndte de la vérité de
34t TABLE GENERALE
la Religion Chrétienne. T. XXXV • ajf
7yr> Siège Ôc prife de cette Plice par Nahucûdonpfar.
T. XL. ifx. Date de ik ruine. T. L. ^jé
tyrâmùon. Comment il a corrige les Oeurres à^.Arif-
m$. T. XXVI. %7l
V.
VAcbis. Obfènrations fur leun makdies. T.
XLV. ai8
, Vscifej nuirmis. Leurdinfion en trois espèces»
T. L. 15*3. Elles fetrourent non feulement dans ro«
céan , mais aufTi dans di£Férens Lacs; ibiâ* Erreur où
Ton eil tombé au Tajet de ces Animaux. 15*4
VsilUnf ( Mr ) , fameux Botanifte. Son Difcours fur
la fkruâuredes Fleurs. T. XXXU. 4.10. Exaâitu-
de avec laquelle il a traité les Plantes qu'on nomme
coropoféesScaggr^ées. T. L. 4.1. Erreur oùileft
tombé. iàid.
VAkfeamx. Pourquoi lesVaifTeaux que la Mer pcMte ne
iauroient flotter fur les Rivières. T. XXVI. 15-8^
Moyen d'empêcher les.Vaiflèaux d'être rongpspar les
Vers. T. XXXVIIL P/irr. II. 101, lo;. Rcchcr*
ches fur la figure la plus commode des Vaiâèaux , par
Mr. FUmEhius. T. XLl. 3^
Vttijfttmx Chinois, Leur defcription. T.XLII. 170
Vitjfwtx deptene. Qui en ed le premier inventeur. T.
XL II. 98. Conjedhire fur leur former- ^ 199
Ksbi^ (le Baron de) Belle aâion qu'il fit , Scrécom-
peniè qu'il en reçut dcVi&ar Amédie , Roi de Sar-
, daigne. T. XXVlIt. 403, &f»ht.
VAlmtinim (l'ËJaperear) fbutient les Orthodoxes^ iàns
. pourtant perfécuter les Ariens , comme quelques fu-
rieux l'avoient voulu. T. XLVIII. 40f . Il fait une
Loi qui autorifè Y Evêque'de Rome à exanûner & ju-
£çr les autres Evèques, afin que les difputesconçer*
nantl'£gli/è 2c la Rdigpion, ne fuQem point àki-'
. dées
DES M A TIERS s. 34^
décs par des Juges fécuHers ou pro&nes, mais par
un Pontife de a même Religion , ^par fès Collè-
gues. T^. XLIX.44S9 449. Cette Loi reçue Se ap»
prouvéepar des ETêques affemblés en Concile, iàid^
Il fait deiênfe à tous les Eccléiiailiques, 8c à ceux qui
faifbient profeflion du Célibat de fréquenter les mai«
{bnsdes Veuves Se des Orphelins , Se de ne recevoir»
de ceux qu'ils viûtoient ious prétexte de Religion»
choie quelconque par voie de donation , Se déck-
fiant que tout ce qui feroit ainii donné ou accepté,
fèroitconfifqué pour le Tréfor public. 4^1. Il per-
met à UrJînHs Se aux Chefs de fon parti , qui avoieac
été rekgués en Gaule> de demeurer où ils voudroîent,
pourvu que cène fut ni t'Rome, ni dans les Pro-
vinces de fon diftriâ. T. L. ai/
VaIois {BenrideY Remarque de cet Auteur T XXVI.i^
VulvMfir {jùM Wncharâ) , cité. T. XXVI. f 66
Vauderan {Piem), Profeficur en Droit àLouvaîn, Se
iucceffivement ConfeiHer duConfcil deBrabaht, Se
Préfî(kntde celui de Luxembourg. Ouvrage de cet
Auteur, T. XLVIII. 1351I, 140
■r«ïge4Bre. Tableau de cette Paflion. T.XXXIV. 36^
YMnni. L'hiftoire de fa vie> de fès mœurs Se de fà doc-
trine, toute pleine de contradiâions. T'.XLIL 4«o»
&fMv • Jûftifié contre Taccufation d' Atliéifrae. 404
Vapeurs. En quelle quantité les Vapeurs de l'eau s'élè-
vent de la Mer Méditerranée. T. XXVI. 15^. Force
dek Vapeur dé l'eau chaude. T. XXXVI. 348.
Comment on doit expliquer leur élévation. T. X LI«
21. Vapeur mortelle d'une Futaille remplie d'eau de
Mer. T.XLV. 119
Vifrgiis {Bernard lierez, ie). Ohvrage de cet Auteur fur
la Métallurgie. T. ^ÇLVIIL 415*
ViiTrci (Cingojtim) , illuftre pcrfonnage , cft mis à mort
par Galba. T. XLIX. icff
VMrron a revules Comédieide Pkute. T. XXVI. 175
VêrrM (C. Ttrm$mt). Son extnaion. T. XXVIII.
/
^
çify TABLE GENÏRALE
Af4^ i/f. Charges dont il eft revêtu. fW. Il prend
la réfblutlon delivFer batailkàu!»»]^*/. 25-7
rsfcwcelhs [MicM) , Secrétaire d'£tat eaPortugal : ùm
. grand pouvoir. T. XXIX. i7- Ses intrigues pour
nîre naître àts haines Se desinimities entre ks Qiands
du Royaume. Md^ Sa mort tragique. 18
F«j^ t Siçur de Bead-Ue/mL Son mariage avec Fer-
rent rithouj Soeur de FUrr§ & de Vrungou Fitbm.
T. XXVI. 4/
Fîtj^;» ( 7/i>i» Se NiCûléu) , fils de r«j^» , Sieur de Rem>-
^ii^nU ^ commencent leurs^tudes à Genève > 2c vont
' , les achever à Lcyde. T. XX VI. 4.5'. Leurs entiedeos
familiers avec jcfefh Sc^Uger. 46. Recueil qu'ils font
des converûtions de ce Savant, ihid. Us abandon-
nent la Religion Proteftante. i^id,
ysuék i -cité. T. XXXI. 2é8
, Vml (Mr. di) prend la défenfè du Syftême de Mr. L^
nitx» contre MT.d€Cr9uxAs, T. XLI. 85^
Vaùdw. Leur iiiftoire, T. XXVIII. jz/, é'fuiv.
^4g^.£xtrait de £c$ Infiitutions Militaires. T.XXX1IL
344, é*furv. Eloge de cet Ouvrage pr le célèbre
IdùfiuoéatHi.t^^. ËtparJe Chevalier i^eF#l«rJ. 349.
Hemarques iur cette nouvelle Tradu&ton , & avan-
, tagp de cette Edition fur les précédentes. IS^* &
\ fuiv^ Particularités qui xçgardcnt Végèce. % ftifi^fuiv*
Végetâtiû». Fait qui concerne là Végétation des Pier«
. rcs. T. XXIX. 40
Vi^t4$iix. Quelle ed la durée decertains Végétaux^ T.
XXXIX. aSo
Vfiôf. Terre quijporte ce nom, achetée auts^fofs par
Mx, de laUii , Se poûedée aujourd'hiiî par un Cen-*
tilhomme nommé Mr.ifeGriii/i. T. XXXII. 4f;
Satines limfhatiqHes. Obligations fur ces VatiOêaux du
Corps ^umain. T. XXXV. 4^1
Jte((mrs qu'on fait à Tunis&à Alger.T.XXXJI. 435*
i^vdft, bjk deCracuSyeftpallèiiurletïôoê dePolo^.
T« Ki.VI. 4^« Elle &i|; Jajgiîen« à Ritigpr , Ennce
Ai"
1
DES MATIERES, 3$i
AlleoMod» quiraimoit.i^^. Elk& précipite dans
kViûule. 47
Vindimi {Bené-CuillcnJe). Traduâion qu'on lui attri-
. biie. T. XXVI. a8i
Viwidis. Qui étoient ces Peuples , & où ils habitoieot.
T, XLVL 41
Vinme {Nkcks), cité. T , XXXI. j 1 3 . T . XXXII . 3 3^
Fit»!» dopt fe ièrvent les Américains pour empoifisaner
. leurs Flèches. T. XXXVI. aa i • é» Aiv.
VmtmsM Leur Marine. T. XL. ^^a. Leur Etat rçgmr*
dé comme un des plus puifTans de la Méditerranée.
363. Soins qu'ils prennent ,poar faire fleurir la.M|.«
hne« 364
jyiMidim. Cupunms, Gouverneur de Judée. T.XXXV|.
404. 11 eft envoyé en exil , 2c pourquoi. 405*
Ventilateur par le moyen duquel on peut renouveller
l'air des Mines, des Priions , des Hôpitaux, des VaîI^
féaux , &c. Sa defcription. T. XXX VIIL . 87
Ventre Deicription du Ventre. T. XLIL 117
Vents (les) font un des plus grands refibrts de&mouve*
mens qui perpétuent la circulation des Etux. T.
XXVI. 174. Nouvelle Hypothèfe pour fovir à l'ex*
plication des Vents Se des Saifbns de l'Angleterre. T.
XXXVI. 326. Remarques £ut certains Vents. T.
XLL ^^i&fuiv. Vent brûlant qui tue fur le champ
ktfper&nues quilerer^Hrent. T.aLII. 307. Avan-
tages d'un Vent de Mer qui s'élève vers les neuf heu-
res du matin à la Jamaïque. T. XLVIII. 144. Ëâèt
qu'il produit^fur les eaux de la Mer. iàid. Pourquoi le
Ptupk/lui donne le nom de Médecin. 145:
.Vhms. Ob&tvationsûir la Planète de Vénus.T .XL. 197
Vemtfimfs {Jmms). Ses recherches fur les Antiquités du
Danoea^arc.T.XXVI. 24^. Tems àt&>wmx..ibidé
Ynmti (Mr le Marquis 4^} eft chaigé par le Roi des
Deux Siciles pour préûder aux Ouvriers qui ttavaiUent
4 la découvene à'UtfmUmeHm* T. XLVU. 1 87
VMi: Cequec'eftqn'WPVÀité.T.XX.XII. ip..é«
fuw.
rjfa TABLE GENERALE •
( farv» Efforts des Philofophes pcrar k troarer. 310.
vérités qui (t tnanifeûent comme d'elles-mêmes.
~ 311» Autres Vérités qui feront éternellement ca^
chées aux hommes , & fur lefquelles il e(t inutile
de faire des recherches. ihU. La Vérité ^ft la règle
des Aâions morales & des Aâions phyiiques. T.
' XXV III. 7. Comment la découverte de la Vérité
donne quelquefcHS lieu aux plus grandes révolutions*
T.XLII.. iif
Vemet ( Mr .)• Extrait de fês Lettres fur le Tutéyemeot«
T. XLIX. 16, é»>j»,
Vefjuy (Mr. du) . Examen de fbn &ntimeat fur ]w|A^n«
fhcs. T. XXVIII. 4f4, i$^^.
• Verwm (1* Amiral). Maladies qui ont fait échouer len ex-
pédition, T.XLIV. 408. U fè rend maîtie dePor*
to-Belk). T. XLVIII. 1^-4.
VèroU. Ejcemple terrible des pernicieux tâetsde cette
maladie. T. XXXVl. 336
irkoîe (la Petite). Manière de traiter cettcf maladie. T.
- XXXVIli. 14. Bon efïet que rufage du Quinquina
. ^ peut produire dans cette maladie. T. XLIII. 413»
é^fuh). Méthode de traiter cette nudadie par ^frcét-
bM FUcsim. T, XLV. lay i&fuiv.
.VersUmns. Voyez, Lémms,
ytri. Maladie ailëx Singulière caufee par des Vers. T.
XXXlX,4é7. Verquivientàlalanguede&Chîeiis.
• Voyez Cinens.
Virs'S-Scye, Si on peut en introduire l*ufage en Suède«
T, XLI. 29
Vers ypermatiques. Comparaifbn entre ces Vers Se un
Eléphant quipefbit cinq mille livres Romaines. T.
î XXXI. 87 j & entre ces mêmes Vers 8c une Balei-
.ne qui pefôit cent treûte mille livres. 88. Objeâion
coâtreleSyfléme de Leuwenhoek, qui a prétendu
Jue la Générationfe faifoitàTaide de ces Vers.î^û/.
)i*fuvv, Réponfes à ces objeâions. iSid.
Vtrt (Dmdi), cité. T.XXXL - .. • a^To
c
DES MATIERE S.j 35$
*
i^BTtnr (Y Ahhé de). Voyez Stênhope.
Vfrtu, Sic'eftpar le moyen de nos idées, ou de leurs
imprefTions , que nous appercevons de la différence
entre le Vice & la Vertu.T.XXVI. 416. Auteur qui
- fait Yoir , que quand on dit que la Vertu efi belle , c'eH:
une phrafe vuide de fens. T. XXVII. 300. DifFcren-
• ce entre l'honnête honmne&rhommc vertueux. T.
. XLI. 275". Voyez Vertus m
Vertunien (Fr«»/w),Sieuri/«J^4Hi, Médecin dePoî-
/ tiers. Ouvrage qu^on lui attribue. T. XXVI. 44.
Tems de ù. mort. iétd.
Vertus Eum4Mis.Ef\t. furleur faufreté.T.XXXIX.390
Vertus morales. En quel £bns lesPayens les exigeoient.
- T. L. 18. Voyez Vertu.
Veffafien eft nommé par Nirm» pour aller s^oppoièraux^
entieprifès des J uifs. T . XXXVI. 411. On lui pré*
dit qu'il deviendra Empereur. 41 3
Véfuve (leM^. Recherches iurfès embrafèmens.T^
XXV IL 109. Les pierres que jette ceVolcaa con-
tiennent des particules de fer. T . XX I X . 31. D'au-
tres (è couvrent d'une croûte vitriolique. ibU^ Ex-
trait de VHiftoire duMontVefuve. 344. Saûtuation.
T. XLVII. 190. Fertilité de la Plaine quirenviron-
ne. iSid. Defcription de cette Montagne. Md. 6"
. fmv . Ce que c'eu que ces torrens de matière enflamr
mée qu'elle vomit. 191. Ufage qu'on fiût de cette
matière, f^û/. Embrafement du Mont Véfuve, ar-
rivé fous le règne de l'Empereur Titc.T. XLIX.i8o
VUfiusVirms fe ^nnela mort. T.XXVIII. 174. Ké^
. . flexions iiir cette aâion héroïque, 275*, érfuvv.
Vkaires desfafes. Quelle étoit autrefois cette dignit^.
T. L.25'3,(^ySfh;. Ces Vicaires changés en Lé^i»//.
- ^SS' Abusdek grande autorité qu'on leur dQQOoit.
. %$C^ Cette invention à^B Vicaires 8c des Légats de
..Rome» regardée comme une manque de la politique
de cette Cour. Ùnd.
. Vices ^.Vertus* Si oa doit les <:o^ondre.T.XLL afi
554: TABLE GENERALE
ViBi^if humt^ms offeites par fe« Romains. T. L. 17
ViBùrAmUity RoideSardiigne. Ouaâèrcde.cePirbi*
ce. T. XXVIII. 401 , 40J
Vu. Cçquec'eftque le mouvement qui donne k vie.
T.XXXVI. ii7,ç^y&iv. iji.c^^Hr. Comment
on doit entendre la promeflëque Dieu a faite d^une
longue vie aux enfms qui s*aquiterment exaâennent
^ cp qu'ils doivent à ceux qui leur ont donné le jour.
•p. XLVIII. 5"o,é»An;. Mr. de M^upertuis croit
quelcfccretdc la prolonger n'eft pas împoflîble. T.
xiiIX. 436. Cp qu'il dit qu'on doit faire pour cela. î^.
Ywmt I dee ;\vantageufè qu^on donne de cette Ville. T.
XXIX. 3 7 . Rdiques & Images miraculeufcs qui s'j
trouvent. .ï^ii^.dyS^n;. Pourquoi cette Couï ne iàa«
roit figurer dans le Monde. 3^
Vierges, Combien de fortes de Vierges on diftinguoit
autrefois. T. XXVH. iix.^/ufv.
yigne {A^dre de la) , Secrétaire du Duc de Savoie , aea
-^ixtzxiVerger d*lmnewr i Ouvrage naèlë de Vtrs &
depppfe. T, XXVI. - 145
Vims âuvages, qu i portent des Raifins extrêmement
aigres, T. XLVII. 59*
^//efbuterraîne nouvellement découverte ï Portici près
dçNaplcs. T.XXXVI. ni
nih'Dieu (Ale;cAndre de) ^ de POrdre' des Frères Mi-
neurs. Tcms auquel û compoià fon DtMxkal en
Vers Lçqnins. T. XXVI. 104. Cet Ouvrage lu pu-
bliquement dans les Umverfités. âid,
Vilienss (Donna Philiffe deh HéroiToie decet(e Fea>-
mçPortugaife. T. XXIX. 18
nif^e (Mt. ci. ie), Miniftreà DubUo. Extfu^de
it^Oeuvres mêlées» T. XLVI. 100
I1/ftr^e(Mr.4/r}épou(èane des filles de Tt^Abre-v^gn/-
ta d'At^igne-T. L. 31^. Soin que {Mcodià f«mme
çt YidncstîoixéeFranfoifi J^AuHgni â mèce, d&t
^u^s^Ma^uifci/eM^Pinr^M^. 317
iitl'ars (F Abbé de), Srpa^oa centra* ceux qu'îÏMl-
te
1
IXnS M AT 1ER ES. 359
te d'Hérétiques. T. XXXIII. ^ 438
yUUny on ¥rânfâUC0rb0uUcGtdqt tous, les Poètes qoi
l'avoiem précédé. T. XXVJ. 1 59. J ugemcnt fur les
■ Ecrks.^ Uid' Donna de nouvelles grâces à la Balade 8c
au Rondeau . 1 40 . Lieu de fa naifiance. iSid- Ses pa-
ïens. Mt^ Son libertinage le fait mettre au Châtelet &
condamner à être pendu . ihid' Beau Vers qu'il fit dans
cette occafion.ii^ii/. Il obtient & grâce. 141. Ses prin-
cipaux Ouvrages, itid. Idée defes deux Teftémms»
ièid, 8c de quelques autres Pièces, i^^/. Jugement-
qu'ott fait de ce Poète. T. XXXVIL 30
Vins. Incommodités qu'ils caulèm loriqa*on en boit
• copîeuiement. T. XXXVl. 328
Vipumlle {Jaques de) j Confeiller de Dijon* Pourquoi
ilièqaalitioitC9»»^#.T.XXVI. aSi. Tradu£tionde
fâ fa^on. ibid.
Virêlm, Tems auquel a oommencccette forte de Pièce.
T. XXVI. 137
Vii^pk . Manufcrit dece Poète , le plu s ancien qu'il j ait.
• T. XXV î. 274. Nouvelle Tiadu^on Italienne de
• fes BHiêUques. T. XXX . s 24. Jugement fur les Au*
teursqui ront traduit. 390 . o^Juiv, £xtcait des Oeu-
iTïesdecc Poète par Mr, T. Btirms». T.XL.f3, é*
/uiv, Jugemensoppofés de Marklamf ^ ^^ ^^* ^^^
mst^ iur VEnéïdê de Virgik. fJr ^4. £xempks de
. Quelques négligences ou tmperfeâions de ce Poéme«
STr^fifiv- Virgile daigne à peine eiBeurer ehfsf'
ûnt le lyftême de l'Ame unirerielie , ou del'Aixfe du
Monde.T.XLVni. . xio
n^linifi. Anciennement la Profeffion de Virginité > 8c
nrebeptîottda Voâc r& Ënibûat dauoslemèmc tcms.
T. XXVII. ' m
V^rnmtmsf infoîpcidn oh faàticme ce mot > U ce
ga'il fignifie.T. XXVU, - jr39
mfigêr QudleB&otfâs dilicMiAit&.T.XXXL 431*
W^fSrim (Mr.», ETlqoedeClandiopoHs. T.XL.77.
U deiàprouve la Domne des MiiG^paires Jéâiîtesatt
Té % £ar
55tf TABLE GENERALE'
fujet des Cultes Chinois. , ' 7I
Yipm^ Explication de divers phénomènes concermnt
la Vifion. T . XXXI. ; 358, é^fithf.
Tffirs {les quarante). Roman éciit en Langue Turque
qui porte ce nom. T, XXXVII. .3»
VUaliem, Nom des Sedbteurs de Fi/zi/if , l'un despii^
ci^\çsd*Afollmaire.T.L. ixu \ oyez Vitalis, Pr^
tre de TEglife d'Antioche.
-rUdis , Prêtre de l'Eglife d'Autioche , & l'un des Difci-
pks à'Afollinalre, E?êque de Laodicée en Syrie.T. L.
111. Il enimpofeau Papepamaie.i^ii/. Renonçant
i la Communion àtlAélétius , qui lui avoit tonféic
les Ordres » il fe joint à Apollinaire , ta entraîne beau-
coup de moiide dans (on parti. i6id* IJ eiè fait £ véquc
par Afollmain.ibid. Il iàit.un voyage à Rome, 8c
donne au Pape Damafe une Confcffion defoi , fignée
de fit main , mais conçue en termes équivoques. iàiéL
Ilrefufedefoufcrire à une Confeflion defoi drcflcc
par un Concile , lève le mafque , ^ renonce publir
quement à la Communion de Damafe. m. Il décla^
re exclus de ià Communion quiconque croiroit que
3*. C. a une Ame humaine Se un Entendement hu-
main, i^y. Il eu, condamné & dépofé par im Concile
tenu à Rome. . 224.
VUalis if anus). Lieu de: £1 naiflànccT, XXVI. x8o.
Ouvrage qu'il a publiés. ^ j^.
Tlhmga{Mt.). Sentiment de ce Théologien fiir l'An-
techrîft de ]*Apocalypfè, T. XLIX. 415
Vrvant (Mr. le Chevalier de) . Extrait de ion Ouvrage de
hThéorU dm Mouvement. T. XLIV. 14S
Vladislas , Roi de Pobgnè. Caïaiâèrc de de Prince. T .
XLVI. '^o
VladUlas IL Roi de Pologne» devient odieux pparavc4r
voulu ailèrvir &s frères , 2c les dépouiller de leurs hé-
ritàees.T' XLVI. 60, 6r. Il s'enfuit en Allemagne
où il implore la proteâipn de l'Empereur Conrad*
j»â^.Oodirpc^edeibËtatc. iiid.
9U
D^E^IS M A:TIERESL 35f
f!!7f«# (bôm Antoine) . Extrait de ûl VUsktka hiftmqui diê
• V^tMgt de l'Amérique Méridionale* T. XLIV. 404.
' T. L. 29«
t/y»^». Signification de ce terme. T. L, 37
Univers {P Ame de)» Voye^ X)iw#.
^^iM^fe/î» {Brneft), fameux Imprimeur. T. XXVI, loi
F<7f /ei (les) 4çs Vaiflcsiux étoicnt autrefois de Lin » 6c fè
• V fâifoient en Egy pte. T.XLL ipi. A quoi fcrvoit la
différence de leurs couleurs. iSid..
VbifUre, cité. T. XXXI, 410. Il fc moque desPhy-
fionomiiles. 4^^
Voix de l'Homme Sa formation. T. XXXV. 45-3
Volante/. Deicription des Barques qui portent ce nom.
T. XLIl. 6^
Voltaire (MT.de) a un parti nombreux qui chante vic-
toire dès qu'il paroît dans la lice , Se un grand nombre
d'adverfàires qui ne Tepargnent pas.T. XXVII. 261 •
Accu fé d'avoir infulré la Religion en la perfonne de
fafcaLiàx. Si ce reproche eft bien fondé, i^i<i. Pré-
tend qu'on ne connoît point encore la luture de l'A-
me. %6f, l^crT\zx(\VLCsiar Ton Hiftoire de Charles XJL
Roi Suède. 174 , ^yf^iv. Communique un Extrait
des Inftitutions Phyjiques de MmcJa Marquifc du Chaf"
tellet, 43;. Jugement fur ion caiaâère&fès Ouvra*
gcs. T. XXVllI. 202.. Critique de ion ^ff^i;»/ifÂi4**
vol, 2 10, é^fiiiv* Cité,T. XXIX. 86, 87. A entre-
pris de rester fa/cal. 170. Abandonne le parti de
Locke, ai fiiT quoi. 20e. Attaqué au fujet de ce qu*i]
a dit dc& Quakers, 4,ff. Parallèle qu'ilôt d'^n Sei-
gneur bien poudré avec un Négociant, par rapport
à l'avantage que l'un & l'autre. peuvent procurer à
l'Etat. T. XXX. 109. Réfuté.269. Cité.T.XXXI.
1 7 f . Sur quoi il tourne les Anciens en ridicule. 5.0 f .
Traduôiori Angloife de "fon Mahomet. T. XXXïl.
478. Sentiment qu'on lui attribue fur la nature de
rXme.T.XXXUI. 136. Jugement fur une com-
paraii^ii de cet Auteur. T. XXXV. 374, Difçours
2. j . qui
Î5Ï TABLE GENERAL*:!
qa*il 3 prononcé à Gl réception dans l'Acad^oije Fitaïf
çoife. T.XXXVL4^4. Jagement fgn fjointrif^.
T. XLI. 195* , c^yMÎt/. Bon conlèil qu'il dgnne à un
Journalise. T. XLV. 148. SohOU?nge intitulé, k
Siècle di Louis XIV. T. XLVIII. 31S. Yoy. Ums
XJV. Nourellc Edition qu'il promet de cet Ouvrage.
T. XLIX. t jf » é^fifîv* i^éc des cbangemeos ^qu'il
fiût efpcrer. tiiJ,
Vty^es des premiers Hommes. T. XXXII«.Si. Re-
cueils de Voyages qu'on publie en Angleterre. 480^
^fuiv, ExtTslt dcl'Hifioiré générale dtsVt^Agif' T*
XXXVIIL 188. Idée de cet Ouvrage, ièii^; &fiàiu.
0c 103. Recueils de Voyages qui ont é(ép4bliéses
diâérenstems. 190. Second Extrait de J'Hiftoiredes
Voyages, ft^rt. IL 116, f^fuvv. Pourquoi il cft rase
de voir les François voyager pour s'inftruirç. T , XL,
139. Dans quel efprit on doit les iiaire T.XUI, |p^
Vffi^l. Remarques fur cette Ville. T. XXXV. a8a. Sa
Longitude. XXXVIIL 20
VfaiOc). Enquoiilconûftc.T.XXVL 4i6lé*>'V.
l/lr^ii», {èizième Ëvêquede Rome. FauQètédcs A<^es
où fon raconte de lui des choies merveilleufes. T.
XLV. . i6a
UràMnité. Signification de ce terme. T. XLIX. ) 10
Cfr/îw (la Princcflc 4^«). Son ExtraéHon. T. XXXIX.
a 84. Elle eil faite Gouvernante des Fils^e Fhiiippi V.
Roid'£rpagne.i^ii.Sadirgrace. aS6 , 187. Elle pafTe
en France & delà à Rome où die finit &s jours, éii.
Vf/irius, Diflèrution critique fur & Ciironolo^. T.
XLVIIL 358
Vfure, Extrait d'un Traité fur Vofitre. T. XXX. 399
W.
Wà^ther (Mr.). £k>ge d'une de Tes Diilèrta-
tions. T. XXXI. ^ i26
Wàldeek {le Comte i»). Idée peu avantageu*
iè que le Comte à'Efirades tâche d'en doonct. T.
XXXI. 13^5, é*Mv. mi--
DES MATIE REf. ,359
H^UNnétti Rt>i de Suède , efl iàrpris ^ &tc prison-
nier, T. XLV. gfp. Il meurt en exiJ. ' i^/V.
iVaUêrités ( Mr. Siceias). Ses expériences furies Bis que
l'on tord. t. XXX Vlll. 9. Et fur l'évapbration clans
. le Vuidc. Il, Son plan d*un Pont flottant. T.
JCXX V 1 II . 60 . Ses expériences fut Té vaporation des
Liquides. T. XLÎ. 19
Jfaiiin (G.) , Savant Suédois , tire l*Hiftoire de Josèfhe
.. delà Bibliothèque du Roi de France, T. XXVI. lot
Wtdther {Uv.)y MilïïonaireProteàant.T.XXXÎI, 175
H^arèurtffn (Mr.). Notes de cet Auteur fur les Oeuvres
de Mr. Pope. T, XLVlîL 473
Warburton {fedn)» Ecuycr, Héraut du titré de Som-
merict, & Membre delà Société Royale de Londres. '
Ouvragé de cet Auteur. T, XiîtL iip
Ifard (jian) , Profc{i*Jur en Rhétorique dans le Col-
lège de Gresham . Ou vr . de cet Aut. T.XX V 1.131
IVatevilU , AmbafTadeùr d'Ëfpagne à Londres , inful-
te le Comte d'Eftradc AmbaL^âdcur de France à la
même Cour. T.XLVIIL jp. Vengeance que tire
Louis XIV. de cette infulte. m
Wklhir (Mr.) regarde la Pi ê!e comme one lionne nour-
riture pour les Cochons. T. XXXVIII. ._ ^4.
lVmceÛasd9 Luxembourg eft fait Empereur. T. XXV 1 1 .
5/8. ïlcftdépoféj 6c pourquoi. ^ ihid,
îVertnfeh, Définition que donne xc Savent d'uitt er-
reur fondamentale. T. Xtll. ifj
Werkr (jHtus), Poète. T. XXVL - ... * . 100
Wéffellng (Mr. Tierre). Son Edition de la Bibliothèque
fïiûoriauede B/Wore de Sicile.T^ IStXXVI. 104,
16 f. Eloge de ion Oraiiba funèbre fur la mort du
Prince d'Orange. T. XLVIIL 437
mft (Mr. Gilbert). Voyez KêfiirreSiion. '
. WePeck. Machinedcfoninvcmion.t.XXXVnt. f9
Wéftminfier. Recherches fur le tems de la fondatioû -de
cette Abbaye. T. XXXL 119
mtfiein (Mr. ^em'Ja<{uts\ , Pfofcfleur en PhilofopWe
2. 4 . dans
ZjSo TABLE GENERALE
dans l'Ecole des Remonftransà Amûerdam. Lettre
qui lui eft adieiîée , fîir le Recueil des Lettres âe Csl',
vmzy/MuesdcBouTgogoc. T. XXXII. 444. Ildft
attaqué fans aucun fondement par Mr. Gerbes Profef^
ièur à Groningue. T. XXXIV. ^6oy(^f»iv^ Jul?-
tifié. 462. Il eft rappelle avec honneur dans ^Pa-
trie , mais il préfère de çonfèrver fbnpofle à Amf^
terdaîm. Lâg. Son élogie. 464, Extrait de ion Ëd^-
tion du N, Teftamenf, X L VII. 48 , ^ fuiv. De quel-
le manière il a exécuté fon plan. 6f. Extrait du To«
me IL du même Ouvrage. T. XLIX. 408 ; ^Jkvv»
Son.Syftêmefur l'Aporalypfç. -41^, éi* fuiv. Son
ièntiment flir ces phrafes, Vim manifeftê en chair-,
juftifiêeneffrk, fj^Dieu élevé dans U gloire, 424 ,
^'iff&fuiv, Etfîir le Bimeux pailâge des trois Té-
moins Çéleftes. 428. Il a enrichi fon Edition du M.
Tellament Grec de deux Epitrçs de St^ Clément, qui
n'avoient pas encore été rçndues publiques dans au-
cune Langue. T. L. i fS . Sa réponfe aux objedèioos
propofees par Mr. Lardner au fu jet des deux Epitrcs
qu'il attribue à St,Clément. T. L. 363:
IVètJlein {Mv,J.de)j Editeur de ce Journal. Lcttrequi
lui ell adreilée. T. XL. 45*4. Ouvrage magnifique
qu'il dédie à Sa Majefté Impériale l'Empereur ré-
gnant. T.XLVIII. 237. Il achète à grand prix le
Tréfor dç Merci , pour en enrichir le Public. T.
XLIX« 35*7
WetteTi nom d'un Lac de Suède qui rqçoit quarante I
Fleuves, 2c fè vuide inceflâmment par la Rivière '
Idotala. T. XXVI. 165-
JVhallef (P.). Ouvrage qu'il public contre les Lettres
de Milord BoUngbroke, T. L. 136
Wffel^ {Charles)' Ce qu'il nous apprend des mœurs Se
ét$ coutumes des Guincens. T. XLVIIÏ. 45*
TVhîthèad {Guillaume) , Membre du Collège de Clare à
Cambridge. SonEJJai/urleRidUule.TXXKl.iiS
WUmort {ficharé) » Maitrç-ès*Arts , Sec, Ses Reçjber-
chc«
i> E'S M A= 1r I E ,R E^S. '3«f
' chcs fôi- le tcms de la fondation de l'Abbaye de Wcft*
. min.ftcr. T. XXXI. 129
"VuUt. Prcuvedefonexiftence.T.XXXlI.41. Defi-
. nitiondu Vîiide. T. XXXV. 70; Si fcs propriétés
- cpnTÎenneiit^ au Néant, ièid, ' éf fi^vv- Wée diftinâe
' qu\}n donne du Vuîde. 7 1 , éi*fuiv. S'il y en a dans
''' ^la Nature. T.XLII. 400. Sur que! principe fe fon-
' dent les Philofophcs qui admettent le Vuide. T;
^ XLIV. 135
-mmbùrde ,' PApôtre des Frifons. T. XXXV. 4x0
'Wifnpina {Conrad). Difpute de cet Auteur où il entrait
beaucoup de paÀion. T. -XXVI. 199
Windêr{ïienri). Son Hifioîrt CntîeiUBy &c. dfàBjenoH-
vèliemer^iies Sciences. T.. 'XXXIL 480
f^inkler^Mr,) , Profèflcurèn Langues Grèquc & Latine
de rûnivcifité de Leipiig. Ses expériences fur TE-
le^fcricité.T.XXXIV.f, ii; Ouvrage de cet Aut. 19
Wml<m> (Mv.fMues-mi^)* Son éloge. T. XXVIII.
117. NouVcUe*' Edition de fon SxfofitionAmtomi"
que, Sic, f .XXX. iil». Extrait de f9i Dijfertatim
jur Vincertitudi des Signes Je la mort, 306. Extrait de
ianouvdle Edition de fon Exfofition Anatomîque. T.
X XXI . 1 6b. Eloge qu'en fait Mr. de Fontenelleàùid.
Son Syftême ^r la formation des Monfhes. T.
XXXII. 377. Mémoirede cet Auteur. TXXXIII,
4J-6. Trait curieux qui le regarde, T. XLI. 4^ i
Wit (Mr. y -de), Grand-Penfionnaire de Hollande. Exa-
men qu'il fait des Droits de Louis XIV. fur la Flandre,
T. XXXI. i»6. Fait qui prouve qu'il n'adoptoit pas
aveuglément tout ce que la Cour de France vouloit
lui faire adopter, m. Autre-trait qui fait voir qu'il
n'étoitpas au ffi dévoué à cette Cour, qu'on le prjé-
tend . 112,1x3, é^fuiv* Son caraâère. 125". Il tâ-
che de détourner L<ï«wXïK. d'attaquer lesPaïs^Bas,
133. Ses qualités . T . X LI 1 1 . 9 1 . Il ef): mailàcré a-
vçc fon frère Corneille. 9f
PVitteniâch^Tfmms) , Profeflèur à Tiibingue & enfuite
Z f à Bâ-
^ TABLE GENERALE
i BAlo. T. XXXIL J^ullfc déclare contre l'E-
glUè Romaine. Md.
Wrif. Ce qu'il à fait Toir dans faHaranguefur kPM#*
/#*<UrWeiami/,T.XXX.7.Cité.T.XXXIL 48.
Fondement de (à Phiiofophie. T. XXXI V. 84. Let-
tre de ce Philofbphe aux Auteurs de ce Journal. T.
XXXVIII. 136. Et à Mr. KMi»gr* IM.
.WoUkttae{L0 Belle), Ëx^rak de rOarragp qui porte oe
litre. T. XXvil. i6j
WalfiusiHitr.). Traité qu'il a mis à U t6te de &m jD^
mifibmi. T. XXXI. ^ }$
Wpodvêrd. Examen de fi>n Hypotkèie tXMichaat le Dë-
• luge. T. XXXVl. Tt&fmO'
Wiormius {oUiis), Lettrcqu'ilécrit às/î«w^3^«»5/»-
fhmum pour lui annoncer uneracature qu'il 7 avoit
dans r Académie de Sora « ^ la Chure de Profenêiir
en Eloquence. T. XXVI. a/4
A.
XlE.nfffhm nous a coafervé les noois des trente Tj-
rânsd*Athcncs.T.XXVL 1^. Recueil qu'il
a fait desconveriàtions deSocrate. ^7. Qiiel
e(V fon but dans fon Livre de l'Education de Cyrus* T.
XX VI. 4/4 Son Hi{(oire y plus vraifemUa^e qu^e-
xaâe pour la vérité, regardée comme une le^on
continuelle. 'éU. Extrait de trois Ouvrages de cet
Auteur. T, XXXI V. |Jo. Ce qu'il y a de remar-
qu«b}e dans fou ftyle .311. U a fait !(»> même Ton |^«
négyrique en nous donnant Thiftoire de la Mrmte des
dix milli. 21)9. Combien cetHiàoricnétoîteflimé
du Grand CuftMvt , Roi de Suède. Uid. Ses Ouvra-
ges. T. XXXVl. ai6, «7
:^xh « Fils de Darius* Grand nombre de Vaiflèaux
qu'il tait équiper. T* XL. jf}. Combien fba Ar-
mée de terre étoit nomhrcaik *iiid. Il devient le jouet
de la fortune. iMd»
Xifie II. Voyez Sixte.
XipiriMt. Deicription de ce Poiffon^ 7, XLV. 49
X •
DES MA T I ERES»* fS)
Y.
pijsrdoir .ce défaut. 4)0. Secret pour les maladies des
YCUX..T.XXXV. 214. Moyens de guérir difFéfea-
tes fiirtes de maladies des Yeux. T. XXXIX. ror.
YcUjc louches , ou Grabifme : moyen de guérir cet-
• te -incommodité. T. XLI. 464, érfuiv.
TitÀi % l'un' des Khalifes. Conquêtes des Muililmans
&UA ion règne. T« XLII . 1 3 S. Pourquoi les Auteuts
Periàns tie parlent de lui qu'avec horreur. Ufid.
TCcrk (la Ducheilè /).£ait de cette PrincelTe oik elle juf-
ti& ion changement de Religion. T..XL. 191
Z. *
ZAôrB • L«c d* Afrique ain& nommé » où pafTe le
NiL T. XXVI. 167
Zi^/«i(Mr.), Miflionaîrequi a travaillé dans les
MiiSons Pioteftantes. T. XXXII. 27 $
Zi^^Si Nom qu'on donnoit aux Juifs renftrmés
jdans Jérufàleai lorfque cette Ville etoit afTiégéepar
Titus » Se. qui ne refpiroient que la guerre , ne voulant
entendre parler d^aucun accommodkm. T. XXXVI.
415*. Repréièntés comnje des monfhqs Se des fcélé-
Ittts , qui fous prétexte .ud Religion commettoient
4e fkng froid les crimes les pkis horribles. I^ii. Ils fe
iaiiî(rentduTemple.iM.Ilsengagentdcs imoofleurs
à contrefaire les Prophètes. 41 1 . Leurs excès. ibU.
Ztwdms. Quelle étoit la doârinedeces Seifhiires. T.
X Ly III. 1 1 8. Traités avec rigueur par le Calife ff«-
duthii» Connus en France» à ce qu'on pretdHwl,
foqs le nom d' Albigeois. ibid.
Zenon. Tlimcitcviti Zenon fhr des matières de Médeci-
ne. T. XXVL 17^
Zifhfriny quftoriième Evêque de Rome. T. XLIV.
264. Grande perfécution excitée contre les Chrétiens
fous Ton Pontificat iM. Zèleayccbquclil s'oppole
aux Théodotiens.i^/J. Zïnc.
3^4 TABLE GEKERÂLE>&e:
Zmd. Mémoîie fur le Xinc. T. XLI. ^ 4f ^
Zi^aAêlg (Mr. BârtheUmi) eft envoyé aux Indes eo
. qualité de MiiTioiiaireProteibnt.T.XKXII. xfo.
Mojea dont il fê feit pour apprendre k Langae da
Pais. ifi. Ouvrages de. (à façon, ifi. Difficulté»
qu'il rencontre pour convertir les Infidèles* %fi »
2f4» i^6,éi*fmv. Ses travaux récompenfés. a,6o»
> ^juiv» Cette Miâôbniècourue parles Andoîs.idx,
. t 263. Son retour en Europe» 164. Il repafiè aux In-
des. a6f« Ses nouveaux travaux. îM. Sa mort. ^66
Zmxjtnâcrf (Mr. le Comte Nir^/^i-L^j^if) > Patriarche
desHemhutes. Principes danslefquels il a été élevé.
T. XLVII. 434. Société d'^^imf/ >;/^^/ qu'il forme
à Bertliol&dorfy Terre delà Haute Luz.ace, dont il
avoit fait l'acquilition. \biâ. Comment ce petit Trou-
peau s^cdaugmente.f^ii/. Zèle de ce Comte, 8c iè»
voyages. 43 f. On n'a pas befoin de changer de Re-
ligion pour être de les Difciples. 436. Artideeflêib-
ticl de ion Sydême. ibU. Voyez Himktàtis,
Zonart certifie le partage de l'Empire entre Juftimen 8c
TArWow. T. XXVI. 117
Zurm , ou Zurnms {JeM vân) , Bourguemattie de Har»
km. Tems de fa mort. T. XXVII. tj;. Ouvrage
qu'ilafàit fur l'originelle l'f mprimerie. i^U.
Zwingle. Son zèle pourU Réformation. T. XXXII.
461. Il renonce aux erreurs de TEglife Romaine 8c
prêche la Réformation avant que le nom èc Luther
toit connu en Suiffe, 8c lors même que celui-ci é-
toit encore dans le Cloître. 461. Ses diâerends a*
vcc ks Aaaitaptî/ks.^^. Voyez Anakapfiftes. 11 n'a
fait que fuivre d'autres Serviteurs de Dieu qui l'a-
voient précédé dans la prédication de l'Evangile. T.
' XLVIII. 101
Zwûiûah, Nom qu'on donne à des Soldats Maures , qui
ièrvent partie à chcval,8c partie à pied.T.XXXIl44*
fm de lé Taéh des Uàtîirei.
TA»
85?
TABLE
DB TOUS hZti
T I T R E S
DES
OUVRAGES
Dont on a donné les Extraits dans les
XXV. derniers Tomes de la Biblio-
thèque Raifonnée , & qui fe trou^
Tent rangés ici par Claf]i)&
'/
r"
ORDRE DES CLASSES-
LA PREMIERE CLASSE
; renferme
JpDithns diverfis delà BAle^ tantdmntux
^ qm dm Notiveau Teftament , en diffiremes
hanguet* Commentaires çjjr CrùiqnesjHr plf$^
Jtenrs parties de la Bible. Explications' des paj^
: fages de V Ecriture Sainte. Lettres^ J>ifirT
tétions^ ffr Recherches cnrieufes à ceJMjet.
- Sermonâ , Ouvrages des plus fameux Théo^
. logienspour la défenfi de U Religiên^ Dhtcrs
autres Traités en matière de Théologie , de
Morale , ou Points (k Controverfi ^ & de
^ Pbihfopbiei Pag< f
SECONDE CLASSE.
Ouvragés de Droit & Àe Politiqtee. . . ^19
TROISIEME CLASSE.^
Ouvrées k$ flui diftp^s en TbHofr^ekÇ
* AùubA»atique ^ ^ranomie^ Phjffiqiik\Re^
eborebet fier la caufi de différens Phémmc'-
' -nes^(Sr autres Curiofitéf de U NoÈur^i. r^i/^
QUATRIEME CLASSE.
Livres de Aéédecine , d^jinatomie , de Chirm^
if^x de Botanique y icc^ 34
*^ ' - ' Cl M-
ORDRE des CLASSES.
CINaUIEME classe:^
Ouvrages qui traitent des jérts, dés Sciences j deà
Découvertes , des Inventions^ des Travaux
Ingénieux^ & autres matières démette nata^
rè^& dont la connoijfance eji utile^ . 40
SIXIEME CLASSE.^/
J)hers Auteurs Grecs y Latins ; ou traJmtsl
FUifiesirs Ouvrages d* Antiquité , de Aie'
dailles y de Littérature y de Critique ^ ^ aur
très concernant les Belles^Lettres» ^6
SEPTIEME CLASSE* ^y
X'îvres d^Hiftoire tant générale que forticuU}^
re ; Mémoires , pies , & autres farticula^
rites. Nombre de Relations , & Defcriftions
de Vbjages fort curieufis. <î%
HUITIEME CLASSEev/^
pùvrages Mifcellauées en tout genre'; Roman^
' Pcéfies , Ouvrages d^Ejprit , Pièces Satjri^
' ques y Lettres fur plufieurs fortes de matn^
•^ -m. Eloges^ &c. Tl^
• à ^
I J
flTRES
T fDT R E S^
, . D Ë s
O U V R A G ES
*»• '
D E
THEOLOGIE c^)-
fisu Vêtus k^liiCa , £^ cœtcra fuot^uot in Codi»
cibus MJf..^ jÉntiquorum Libris reperiri potue*
Cejl'à'dife:
' Les Anciennes Verrons Latines de la Saijnts Bf«
BLE OU VAncwme haliquey & les autres Verfions,
autant qu*Qn en a pu trouver dans Ies.Manurcrits&
dans les Auteurs anciens , comparées avec la Vulga*
te Latine & avec le Texte Grec^.Qnyaajoûtédes
Fréfaees» des Qbfervations & des Notes, par Don
PxÉRKs S AB ATiiiR^ Rfiims en 1 743 « ep IIL Volumes ,
taliù.Xom. XJi^l<JRart. I. pag, 189, . ,
. £.4 Sainte Biblb«ou le Fteux&:\e Nouveau Tef»
iâmeni\ iycc un Coîhmemaire Littéral compofé des
fîotçs choifiesV^, tirées de divers Auteurs Anglois«>
3%vM//. contenftneJf-^r^mifr Livre de Mt^fe^ ou là-
Genèfe,4.. 1742. à La Haye.Tofa. XXIX. Part. IL.
.. Pu mime Ouvm^e Je Tom. IL première partie ,,
coiiteïi^nilâ' fécond Livre de Mdti't^ ou V Exode. Tom«
^fXXl Part. IL pag. .442.
(a)' P6ut WnageclVrpaceon z abrégé tes Titres t^m (ont
d'uae |prai»le fondue,. iÇ'èft au Leâeur^ oui fouhaite d'en
Jayolr aavaatàj|^i'c<»inùlte&le« T^mti ^u^nlui iadîqnt.
\
ft THEOLOGIE.
Du mifne Ouvrage le Tom. IL féconde partie , con-
tenant le troiltème Livre de Mt^fe^ ou U LévUiqug.
Tom. XXXy. P^rt. ILpag. 423.
Du mime Ouvrage le Tom. III ^contenant le qua»
trième ^ le cinquième Livre de Mdife^ Tom. XXKViL
Part. IL pag. 459*
Du même Ouvrage le Tom. IV. première partie,
contenant le Ldvre de Jofué. Tom. XLIV. FarL L
pag. 189.
♦ ♦ ♦
'H jcainh' ^ÎAeii'KH , Novam Teflamentotir
Graecum edUknis receptœ^cumUQioniUmsvariantibut
Odicum Mjf, ffc, Operà&fludioJ.J.W£TST£Nii»
Tom. L concînens quatuer Evangelia , AmfleL J 751.
Ceft'à^dire:
LrNouveao Testament fuivant Tédition reçue
avec les Variantes tirées des anciens MIT. des autres
Editions , des VerGons & des Ecrits des Pères de TE-
glife: accompagné d'un Commentaire «dans lequel
on explique l'iiiftoire & les façons de parler , recueil*
Ir des Ecrivains Hébreux, Grecs & Ltfînr,par Mr.
Jean Jaqubs WBTSTtiN. Tom. I. qui contient les
quatre Evangiles » à jtmfierâam 1751. fol. Tenu
XLVILPart.L pag. 48.
: Du mime Ouvrage le Tom. II. qui contient UsEpi^.
très de St. Fond , Us AStes des Apôtres ^ £f Us Entres
Canoniques avec rApocalypfe. Amfi. 1 752. fei. Toou
XLIX. Part. U. p9g* 409.
» * »
Le Nouveau Testament de N. S. Jesus-Christ,
nâduit en FrzTi(;cisfurPOri/rinalGRECfavecdesNù*
tes Littérales peur éclaircir U Texte^ par Mrs«DE Beau-
SOB&E (f Lenfant. NmvelU Edition, A Amflerdé
1741. II Tomes , 4.Tpm. XX VIH, Part. IL pag,4i |.
, ♦ ♦ ♦
.^vj^Q^hUÈXauguadrupkx iMisueFetfieirus ànH^
THEOLOGIE. 3
quœfeuVtt^îhlizXxzzt^mncprimim in lucem eàitun$
i9f Odicibus Manujçriptis aureiSy arg^teisy purpu*
teiSp aliifyue plufqtu^m milleruiria ami^Uatis à Jo^nr
mb Blamcuino, .Bx>maB.
Cejl'à-dire:
Les Quatre EvAxtiGiLES de Tancienne Fer/ton La*
tine^ JiomiDée Jfalifue^ tirés, de MIT. ayant plus de
looo ans d*antiquice» a écrits en lettres d*or&d ar-
gent, & fiir du velin pdarpré , &c. par Josfph Blan-
CHiNi , à Rome 1749* fyli»^ IV* Tom. Tom. XLV.
Fart. IL pag. 416b ".-■''
* * *
ViNDiciAE Canooiçarum Scripturarutn Vufgaté
Latins Bditionis. Seu vetera Sacrorum Bibliorum
Fra^enta juxta Grascâm. Vulgatàm , & Hexaplarem,
LatmamantiquamltaiaÎD, &c. HudioJ.BhANCHii^i.
Ceft-à'dire:
Dépense des Ecrits Cênoniques de P Edition Fulgate
Latine; ou anciens Ëràgmens de la Sainte Bible, tan$
filon la Ferfion Grecjui ordinaire (^ celle desHéxaples ,
fuejelon r ancienne ttaliqpie ^ (f la double Traduâton de
^Ptjirôme ; par lesfyins de J. Blanchini , à Romef
folio. Tom. XXIX. mU I. pag. 60.
- .♦ ♦ ♦
J. A. TuRRETTiNii ÇoMMENTARios Tbcoreticê'
PraSicus. in £piJio.l^,Pivi Pauh ai Thessaloxc i-
CENSES. Opus PoAhumuin.
' • - Ceji-à'dire: '
Commentaire Théorétique {f Pratique fur les
^^ix.Epitres de Sr. Paul aux THEssAtowiciEWs.
Ouvrage Pojibume de Mr. J. A. Turrettin, 8. A
Bâle, 1739. Tom. XXVI. Part. L pag. 6i.
• * * ♦
' Ejufdem ffi Pauli Apostoli ad Romands Epiftolm
CapitaXl. FrœleBiones Critic0 , Tleologica à Concio-
morieiyOpus polUMnom.'GrfMM» 4. Tom, XXVIIf.
Part. Lpag. a9» .. .
.:■ J Aa a Hee-
4 THEOLOGIE.
♦ ♦ » ^
Hermanni Venbma Diflertationes feleâs ad &•
cram Scripturam Veteris & Novî Teftamenti , &c.
Ceji'à'dire:
Dissertations choisies /ur l'Ecriture Sainte du
Vieax (f du Nouveau Teftament, dwa la première
partie du Tome L contient cinq Dijfertations fur la G£-
NESE ,à Leuwaarde 1747. 4. Tom. XLL Part. IL
pag. 243.
* « «
Agobi Haitsma; Curs Pbilologfco - Exegecic9
in Genefin, &c*
' Ceji'à-dire:
Explication des endroits les plus difficiles de
chaque^ Chapitre de la Genêfeypzv lefquelles, à l'aide
des Langues Orientales qui ont de Taifinité avec la
Langue Hébra^uCytc de là méthode de réduire les
mots compofésàleur origine, on éclaircit le Texte
Sacré , par Mr. ^ggée Haitsma , A Franeker 1 753. 4.
Tom. L. Part. IL pag. 429.
♦ ♦. ♦
Explication delà première Epitre de S.?AOh aux
Corinthiens. Par J.L.MosHEiM,èn Allemand, à AI-
tona , 1 741 9 4* Tom. XXX. Part. L pag. 5(5.
♦ ♦ ♦
Oeoipus Evanoelicus Sacrarum Antiquîtatum
ex Mofe, Prophetjs, & Pfalmis jEnîgmata Clavc
Cognitionis refolvens :
Ceft'à'dire:
Oedipe Evanoelique ^pour réfoudre les Enigmes
des Antiquités Sacrées . fuivant la Do&rine de Moife^
des Prophètes 6? des Pfeaumes. Par Mr. B. S. Cremeiù
Un Volume in quarto. A Amfterdam^ il^S* Tom.
XXXV. Part. L pag. 173.
♦ * ♦
• JoANNis HARDurNi,è Socîetate jEsUyCommen-
tarius m Novuif TfiSTAMENTuMywc,
THEOLOGIE- <
5^ • Oeft'à'dire:
Commentaire fur le Nouveau Te^t AyLEVTj par U
Pire H ardouin , de la Société de Jésus ; avec une Dif-
fertation divifée en deux Parties y dmt la première tend
éprouver que le Céphas repris par St. Paul , n*àoit pas
St. Pierre ; f^Tautre^à conferver à Vjîpûtre St. Jean
U PaJJafi^e des trois Témoins. A Amfterdam , 1741. foi.
Tom. XXVII. Part. I. pag. 163.
Du ml^me Ouvrage Second Extrait.Tom. XX VIIL
Fart. L pag. 166.
■ ♦ * ♦
. Explication <fere quiejl dit d'Evoc , dans le Cbap.
XL de TEpitre aux Hébreux , Ferf, 5. (f <j. Tom.
XXVII. Part. IL pag. 284.
^ # ♦ ♦- ^ ■ -'■
Explication de quelques Pajffages fur rioiitation
de U Divinité. Tom. XXX. Part. I. pas. 3.
« « ♦ ^•■
• Explication du Titre de Chef (f de Consomma-
teur DE LA Foi , i^ofm^i Jlsus-Chuist, Hébr^XU, 2.
Tom. XXXVII. Part.II. pag. 366.
♦ t «
• Explication de ce que St. Paul dk contte}es Or-
donnances Humâmes , Xoloff. //^ 20-23/ Tom.
XXXVIII. Part. II. pag. 24.
♦ ♦ ♦
Explication de la PromeflTe tfu Cjentuple.
Mattb. XIX. 29. Tom. XLI. Parc. I. pag. 201.
♦ • *
. Explication du 7ltr«.d'ETRANO£xs<6f <itfVorA«
OEVfis que St. Pieae demne àceuxàqui U écrit, i. Epi-
tre Cbap. IL vers. 1 1. Xom. XLI. r^Il. IL pag. 323.
♦ * *
;^ EDUCATION de cette Maxime ^Celuiquipicbe en
un point, de la Loi, ^ coupable de tous. Js(quesII. zi.
Tom. XLIV. Part. L pag. 104.
♦ ♦ ♦
.: Explication, de ces .paroles de St. Paul aux PhU
.: ... - Aai 3 lipp.
6 THEOtOÔiÉ;
}ipp. L.2I. Jesus-CiiRtsT êft ma })iâ^ff mourir nl^fi
un gain. Tom. XLV. Part. I. pag, 5a ^
#'♦ ♦ '
EcLAïucissEMEWT fur cu Paroks de St. Paul :
Çlirift eft ma vie , & la mort m'ell un gain, Philippe L.
21. Tom. XLVII. Part. I. pag. 228.
» * *
Explication i^r^^tt^ St. Paul dit du F. Comman*
dmeni,ErBLS. VI. z.Tom. XLVm.Part. II. pSg.422.
» * #
Explication de ces Paroles de Su Pierre : La Pro«
meflTe e(l pour vous & pour vos En fans, & même poiur
tous ceux qui font éloignés» autant que le Seigneur
en appellera, Actjss II. 39, Tom. XUX. Pan. !•
pag. 67«
» « *
Explication Nouvelle de ce fut eft dit du Fi
Commandement, ëphes. VI. 3^^ Tom. XLIX. Fart*.
II. pag. 344, . .
♦ ♦ # ,
Paraphrase du Difcouts de Jean Baptiste ,
Matth. in. 7-12. Avec fueiquts.StmarquesQritipêes.
Tom. XLIV, Psixtr II pag.;364.
* * * 1 .
EoLAiRCissEMENT/ttr rimîtaion de Jesus-Chsist^
(ffur celle Ue Dieu lui»mime ^"que^kwupeferit PSoên*
gile. Tttm. XXIX. Part. U. pag. 141. ....
« « »
EcLAihcisâEMENT/fir les?ÙA«tfiïKnsquiviHt9n$
âu Baptême de Jean , Matth; llk 7. Tom* XUib
Part. L pâg. 4^. • • • " i . »
« « #
tvrnïï fur P Explication de te pLAiirrB de JJC
Jkr hO&ix. iTom. XXX. Part. 1. pag. 197.
'♦*♦'....'
Lettre fur Pentmien de Jesus-Christ avec Mar-
the , Ute. X. 38*42. Tom. XXX Vli^ ?m. h pug.uS.
i*fcT*
arHEOLOGIlL 91
* Lettre /tff le PaJJage de St. Paul , % Corinth. I.
t2 ) 23 , ou ËCLAiRCissEM&NT/ttf h raifofi que dmm
cet Apêke de ce mules Juifs ont rejette r Evangile.
Tom. XXXUI. Part. 1. p^. 89.
» * *
Lettre i Mr. ♦♦♦ fur l'Oracle de yacob, Gen.
XLIX* 10. Tom, XXXII. Parc. L pag, 94.
♦ « ♦
Remarques /ttf la ?romeSé faîte au V« Comman-
dement ifi Décalogue.Tom. XLVIII» Part. L pag.50.
« » ♦
• Remarques Critiques & Morales (br la Parabole
du Semeur. Matth, XIII- Tom. XLVII. Part. L
pag. 97*
♦ ♦ ♦
Examen des difpofitions que St, Jaques exige de
teux qui demandent à Dieu la Sageffe^ Chap. 1. vs.
5^8. Tom. XXXVl. Part. 1. pag. 193.
^ ♦ « ♦ .
Eloob de la Morale Chrétienne fur PbiUppienf
jy. 8. Tom. XLV. Part. H. pag- 379.
• ♦ ♦ * . .
Dissertation /fir les Imprécations de qufftjues
pfeaames de DAViD.Tom. XXXV. Part. II. pag. 31^.
# # #
D R.BULLERII DiJJertatimumSacrarumSylloge.
Cefi'à dire:
Recueil de Differtations Sacrées par Mr. Boîd*
lier y à Amfterdam 1750 » 8» Tom. XLVI. Part. L
pag. 164.
. » » »
Spiritus Novi Testamewti ex Bi^ifmeCwkJS^
Tl » IMfl JOANNIS , &C.
Cejl'à'dirc:
L'ËSFRiT du Nouveau Teftamcnt cwtfêré par l0>
Baptême de Jesus-Christ .ffmnpar celtd de jèav*
Aft. YiY- 2 - ^. Dissertation de Mr. G. J*
Aa 4 Huth»
.T HrEOOXvOrCîI EL
HoTH, ProfeJfeuràErhmg. fj^. Tom. XUL Parti
ti.^g. 357. ' ' ''^''' " - ^^
» ♦ ♦ j . . .
• SEiiitON«)«r ij/var/ restexi^rBoirroAE Sairti ^
^ H. Châtelain > 8. 2 Voluiie^ T4>in« XXXIL
Part. Il, pag. 387.
♦ ♦ -p "■•'■' . . f • •
FiFTEBK SenMONs upon Social Dotiez bf' die
jimbor rf tbp Ufe rf David » &c.
Ceft'à'direi - ' .
' QomzE Sermons /ar les Devoirs focitàfler^ xrii
r Atttciir 4e laVieic David. 8. Z^w. Tom. ^XXV^
Part. I. pag. yp-
« ♦_# ■•■''' •
Sermon preached oa occaiion of thepreféntilEÂ^
BELI.I0K in $coTLANo , at tbis; ParUh Churcb , Ac-
Ceft^à.direi. :•;':;-
ScRMON fféclé à l'occnjtonde^ia ptijerte Çeùel-
LiOK en Ecosse, à l'EgfiJi l'/iroifflak de'&i.pqiwi
dans Wi^mi^ftèr , par rÉvêque </;Owoni> , A Imérts
1745.8. Toift.XXXVl.eart.I.,pag. 33. v; . ..^^
* * *
' 'CoHsotATTOws des RtFUGix\:.:Sepmon' p0iiîr i^
Jeuk£ Aivniyersaxre , inftituékaméMoiredtlaiténià
€atkTk de VEdit de Nantls , prononcé dans l'Eglifc de
JrPatente fw Soho , à Londres/^ iî d'Oêfebre^hJiS"
Par Gedem Le Cwfif,8.Londrcs.toœ. :{CXXV1. Part.
IL pag. 3II. . -' -. ji-L'-j-JI
Sermon d'AniRU, prononcé dans l'Egli^FrtOK
çolÇe ie Sckvoabacb par M?. "Sarattier. A Francfort 1
I?4^. Tom. XXXVIII. Part. L pàg. ^46: r ' 1 -'.
SermojTs /iir niA^ERs sujets fkportans de la Reli-
diow , /Tflf 'Mr. Paioaux Pafteur de :i'B^ifefV8mçoSfe
de Sckwabacb. A Framfm^ 8. 1 74.5. Tom. XXXVJIC
Pvt.I.pag. 214. . . .^ . . .X,,y .; ,,
• • * -, • -- S E It*
— . g.
•ï ♦ « ♦ • ' T
'Sermons fur divers Textes de TEcrifure Saîmej
par J. B. DB LA RiviEfiB , avec fan Eloge Hiftorique. A
AjDttllerdam . 1 74<J. 8» Tom. XXXlX. Part. L pag. îi7.
♦ * ♦ ' .i
Exhortation à la Crastëte', iSermon prêché dê^
jkmt le Kù\, dàns'la Chapelle de S. Jaques. Par £• *
dmard Cobdetk Cbapielainordinaîre de Sa Majedé» âV
Londres 1749. Tom. XLII. P^rt. II. pag. 465.
' ♦ ♦ ♦ ' ' ,
.THB0LO9ICAL LbCTIJKES Ot WESTMINSTER Ab^\
BEY. WkbcaihiHrpretation oftbe four Gosi^els , de* ^
, Oeft'à^dire^:-
* L EÇONS * ï HEÔLOGiE données à V Abbaye de Wèft- ,
mînfter : Avec unis. TraduQim des IV. Evangiles , &'
dçs DifctfU^sibpifis fur les principaux points de la Relî- ^
gîon réiÂéf^é. Par y. Heylyh ^ 4. Londres 1749W*
Tom. XLIIt Part., 11. pag. 34J. • ,^
The fVlsdom and Goodnefs of Ôah'pmved from tïier"
Ffûtneariï Coridftatton or Manr.iA'^i^on preachèd
beforethc Royal Collège ofPhyGciaOi, London ,-&cl
,' .. ^ :.- ÇefiHme^: _^ ,. ,
LÀ SAGESSP ÇT LA bontb' ftE uifiU démontrées par^
hconfidèratmri de ta maniéré dont tHomme eli formé ^^
compofé : Dans un fermon pri:.èé devant le Coll^^e /?o<
yal des Médecins de Londres , éc: Pàf TJjoMÀâ b{KCà«y
A Londres,^. i749.Tom^XJl.iy. Part. 11. pàg. 45g. ^
. SERJiPWSjpn the followînis fubieàs, ^c. ..\'Ta^
wbiçh U »<kiç<]<^ci\itTcal Dî%rtation i Cor. XL lov
&c. by S*DBi%L4MD' GouQH.
o .v./.w'j X^efi'à^dire.: - . ' .
. Sermons fur divers fujets. ,Auxq^eh on a joint une
DiJJertatiotf critiqua fur i Cqr. XI. îo. Ai Londres , 8.
Tom. ^Lyj^'V^KU II. pas; 298.
-* AV'S '^" Da
î.- 1.
Dnmimi Ouvrage fdtcmd Extrait Tom. XLVIQ;
Part. I. pag. 157.
* • »
.; R EMARQuis/ur /# Pkiere m/vffiii ^ Lettre. Tonw
XXXI V. Part. I. pag. 159.
■ ♦ ♦ ♦
. S&coNOB LcTTR£/ur /a FaiERSy oà l*(m exmmm,
ffn ^cace. Tooi. XXXIV. Part, IL pag. 292.
* * «
CHRisTiAiYiTt TusTiFiKo upoD thc Scr ipcure fouo«
dation.: Iking a tamaiary.view ofitbe Gootroverfy
be^weeo Chrilltanfi& Deiîls* In tvo Paru.» &c.
Cêji-à'dire:)
'DE;fZSSZDvCH}!asTiAmshLBfurle,pkdqu*ilefi i^
tàblî dans l'Ecriture » centenant un Examen abrégé de k^ .
Difpute entre les Chrétiens 6f les Déifies, ' Sermons fré'
cki; pQur la fondaciorl de Mr. Boyie dans les années
1747 9 17481 & t74i>^ mais àpréjent réduits en un
Traité fuivi. Par H^STJtBBiNO, Â'Lofk/rM, 1750.
8.TQflj.XLVa.Pait.H.pag, 3^< . ..
Du mtme Ouvrage Tecond Extrait, Tom. L.
Fart. IL pag.. 26a.
La Religion B>6»v£^e*£ , où Recueil de PaJJages de
ftcritute SainU fur tes Vérités'^ 'feirï^êvoirs du
Chriflianirine , à Pufage des Càtécbufàines. Par tf^. du
Moulin. 8. A Leide 1742. Tom. XXXL fart. L
* ■» » ♦
TaAiT£* de la Firité de la Religion Chrétien-
j4fi,tiré principalement du Latin db ftli-Mr. J. A«
ToRRËTTiN. Seftion V. (f f^L i. DtVÀmhettkké
des Livres du Nouveau Teftament, Et 2; eu QeraSira
des Fondateurs du CMft'iofdfme. A Genève. 8. Tom.
XXXV. Part. H. pag. 235. '
* Du même Ouvrage. Seûîon VH. prem. fl; fec. par*
lie, contenant la preuve de hDMtti$é defS/vançUa
- - turia
THE OL OGilï.
tlfie des Miracles qui en ont accompagné la publication.
Tôm. XXXIX* Farci, pag. 140. &Tom.XL.fart.
II. pag. 383*
♦ ♦ ♦
Exflmen des Fondemens ff de la Connexion de h
R£LiGioN Naturelle f^ de la Rëv elb'b , traduit de
VÂngkis de Mr. AsbltStses. i2.II.Tom. A Ani»
fterdam, Tôm. XXVIII. Part. I. pag. 3.
♦ ♦ ♦ . .
Observations on the G)nv£rsion and âpost-
LBSHiP of Se Paul, &c.
Ceft'à'dire:
OusKRVATfONsyiif iiConverfion& PApodoIat de
Se. Paul, en forme de Lettre adreflféeàM. GUbéft
Wèft , à Londres , 1747- 8- Tom. XL. Part. IL
pag. 243. ^
♦ ♦ ♦
Observations on the Hîllory and Evidences rfthe
Refurreâion (f]ksxis Christ. By Gilbert West.
Ceft'à dire:.
Observations fur VHiftoire & les Preuves de la
'Hejurre&im de J£Sus-Chhist. ?^r Mr. Gilbert WeJL
A Londres f I747. 8. Tom. XL. Part. I. pag. 1 58.
♦ ♦ ♦ ' • *
A Fbeb Inquiet In to the Miraculèus Powers , &e.
Ceft-à^dire:
■ Recherches Libres /ttf /« Dons Miraculeux,
'ffie Vonfitppofe avoir fubfifté dans fEglife Chrétienne
durant phèJieursSiicles après la mort des Apôtrt^. Par
CMroDLETôN. A Londres I74p, 4. Tom. XLIi
Part. IL pag. 421. & Tom. XLili. Part. IL pag. 284.
# # *
^ A Treatisë on Miracles, &c.
Ceft'à'dire:
• . Traite* /«r le/ Miracles , où Ton établît claire-
ment leur ^fature, leurs Conditions, leurs Caraâère^,
& leur Caufe immédiate , &c. Par Abrabam Lemoine.
A Londres, ij^J. 8. Tom.XLL ParLL pag. 153.
An
ff .T -HiEiDx no :g:i 2:
; Ah Appinivx to tbe fécond Dissertation zn^
flcx d to the DiscouRS£S on tbe ufe aad intent of
Propbeqr, &c
• ^ Cêfi.à.dire: .
Siim.E']mrr i lajtçmde Dissertitioït ta^/tV; à
UJune des Difco.ure fur raftge&Ies finsde la Pro-
phétie &c, ^«r TnQMAs Sfieçuocic. 1749. 8. Li«.
i<r«. rom. XLVL Part. I. pag. 124.
^ THEOLOCfE rftfx lNSECT£s, Dff Démm/hotim des
FeffeOtonsde Diev dam tM'ee ^ regarOe Us Insec
<T«, Far Mrl^Jfm.&Q.. II. Ton>«s, 8. ^léBaye
1742^. Tom. XXXI. P*rt;i.pag.i$<j.. : •
•♦ #• ♦
Théologie de l'Eâù ; hiiEffaiJur la Borné , h Sa-
geffe 6? la Puijfance de Dieu . man^efiées dms la Créa-
^mder£au;mim4eA'êi\\emfméé€UT.].A.¥A-
Brucios, &c. ^lajiaye, luu 8. Tom. XXVL
PaiL I. pag. 149; . .
♦ » ♦
*^^7^^ "^^J r^^^^î/i»^ £? //tf laSuper/ition.parfeu
&PMofopbî>iues.Traduu.en^vin(;ohparL. Philon.
^4:An^. 1740.8- Tom, XXVt Parjt^lTpag. 368-
« ♦ ♦
Défense ^«.Christianisme, 0^ Bré^atifem^
>re un Ouvrage intitulé: Lettj^e^/ut S^Religio»
ESSENTIELLE A L'HqMME. PtirF. 1)Ç RocHBS, &C
Tom. XXVL Parc. IL pag. 3,7 ?. ,' .
• * •
rw fxamffi^un tjvre intitulé, UtLkueioy essÉk.
' ♦ ♦ ♦
La NECissiTi' duÇvLTs. pujçuc banni les Chrb •
TIENS .établie & défendue ton tre. la. Lettre deMfé
D. L. F. E. M. fur les AfTemblées des Religioriaîres
en Languedoc. Par Mr. de la Chapelle, A la Hayci
i746.8.Tom.XXXVIIL Part;r.p&g.87. '
♦ ♦ 4
REFLEXiONs/ttf les Exagérations des Prédîcateiû:s»
Tom. L. Part. IL pag. 402.
♦ ♦'♦••
Examen de cette* Queflion » Pwrquoi le Peuplé
ëime la Morale févére. tbtdem pag. 416.
♦ * ♦'
• Ess Ai^ttr la FBLictTE* de iaVin à Venir, en Di alo«
gués. Par C.L.DËViLLËTT£,Grand8. ADubHn,
1748. Tom. XLI. Part. Ifi #5? 2^54.
♦ ♦'♦'■;'••. •
• Repi^xions /ur la rn^rt (/"Hcrode. jiSefXlL*
»o-23. Tom. XXXVL Pnrt- L pag^^yg.
» ♦ ♦
An Ess a7 cmcèming tbe Nature êfthe Prîeflhood.
Ceft-à^dire:
Essai touchant la nature de /a Sacrflîcature. Par
Miord Joseph Stor Y. ji Londres ij $2.8* Todï.L.
Part. L pag, u *
♦ ♦ ♦
^ Origenes ven der Wahrheit ifer Cbtiftlichen Re-
ligion nmder den Heiden Celsus.
• Ceft'à;dire: . - ^
Traite* de la Vérité de ia Religion Chrétienne ,
eumpojé par Origene confrèX^ELSE Ip Fbilefopbe^ita*
Suit en JlllemandparJ. L. Mo^hëim» Hambourg 174$.*
4. Tom. XXXV. Part. IL pag, 395.
..,.#♦»
Traite* de l*Eolise de jE$ub-CHRi&T < dans lequel^
on examine quelle e(l la mitïiré de cette Société jSajn-
ce, quels font -kaCaraélèrè^'donrelIè efl revêtue, &
quels font les Privilèges don^^He jouît, ^few .'^Contî*^
n nation du mêmeOitvrdgekeh toiitVL Tomes n^»
tom. itXIViParuL pagi^ïi* • .. • * ^^ ' " • - -
£XA«
^ THE OLOGIE^
♦ # ♦
EXAMEIff lfcX'D£FAUTS TU£OLO0lQU£S , oà fon tfl-
dique les moyens de les ré/ortner. Deux Tomes, I2«
An^lerdai^ , 1 744* '^otn. XXXIIL Parc. IL pag. 41 7.
» • «
. Lettre de Monfîeur *^9 i feu Mr. Bmrguet,
Contenant les Réflexions d^un Eccléfiaflique Jur la mo-
fiti^c d'annoneer la Religion Chrétienne aux Hommes.
Toou XXXV. Parc. IL pag. 45 5.
# # ♦
Les Leçons de la Saqessb /«r les De'fauts des
Hommes. llLTome$.i%. An^. 1745^ Tom.XXXlV.
Cart.II.pag.347.
» * *
Lettre de Monfîeur Vernede avec uneDéchït*
tioo du Sr. De la Serre. Tom. XLL Part IL pag, 475.
• » »
Abrège* delà Chronologie des Prophètes /utoaftf
rancien Texte Hébreu ^ïs, Verfion Crerfue des Sep-
tante, rancienne Vulgate Latine dite V Italique, la
Doârine des SS. PP. Grecs & Latins, &c. Extrait.
4tt Commentaire fur les Prophètes de Mr. TAbbé
Ricber du Boucbet, Tom. L. Part. IL p^. 339.
* « »
DujB EnsTOLS S. Clementis i^^Humî^DiTcipuIi Pe^
tri Apoftoli , ex Codice ManuGcripto Novi TeQamenr:
ti Syriaci nunc primiitn erut9, cum Veriione Latioâ.
Ceft'à^dire:
Deux Epitres de St, Qément le Romain , Difciple.
de l'Apôtre &. Pierre, tirées d'un Ms. S/riaque du.
Nouveau Te(lament,& publiées poqr la première,
fois avec la Verfion Latine par Mr. J.J.fVetJleint
Z752. Tom. L. Parc L pag. 158.
• « *
A Dissertation upon the two Epifties afcrihed t»
Clément of Rame, &c.
Cefi'à'dkei
' DissEETATiON/ttr ks deux EpiUes attribuées 4
- Cle-
r
I THROLOGIE. îj
Clément de Rome^ (f publiées depuis j^ par Mr.
WkTSTBiM , où l^on éke de grands morceaux de ces Epi*
très , ff où yen prouve qu'elles ne fent pas de cet ancien
Père » par Mr. Laréner Dr. en Théologie , 8. Londres
X753. Tom. L. Pareil, pag. 363*
* * «
J. F. Stapfbri iQlltcutiones TheoIogPsB Poleroîcf
Univerf» Ordine Sciemifico difpofîcs^&c. l^igurip
Ï743-1747. _ , . .
Ceft-à'diret
Corps complet if 1 Controverfes de Théologfe etg
ordre fciensififîÊe par}., E. $TA9iZK.Toau XXXIX»
ParL II. pag. 362.
* ♦ ♦ •
Free and candld >DisQoisiTt6iis relaOing to Ibê
Qiurch of £ngland , dcc !
Ceft^à'dire:
DiSQUisiTiONS libres &fincères taucbaat l'Eglifc
Anglicane (f les moyens d'y faire fleurir la Rciigiion»
adrenïes aux Ptiiilànces chargées du gouvernement de
fEg(^t(f de l'Etat , (f plus immédiatemeia aux doux
QfoaAres de Convocation. A Londres i749.8.Toak
XLIII. Part. I. pag. 124.
* ♦ ♦ ■ * ^ .
Lettre de Copenhague datte du 20 do Janvier
X749à Monfieur le Baron de Holberg, en répon*
fé â la XXXV. de/es Epitres. Toin. XLU. Part. L
pag. 152.
• ' ♦ * *
Onderzoek over de Oudheid en Schriftmatigbeid
van denXiNDERooop, &c.
Çefi'à'direi
: Reebercbes de V antiquité ff du fimdmgmfiripturaira
^ Baptême dospftits Enfans , rà l'onrifute Us ConQ-
aérations , (^ les DiOertacions , qui ont paru depuh
{eufurcofyjet.^ hldda 1740.fi. Tom. XXVt
^art. II. pag. ^54.
LsT*
t-
v
15 THEOLOGIE.:'
# ♦ ♦ . ^
Lettre Pastokale contre U Fanatifme adrejjii
MX Mennonites deFtikpar Mr. J. Stikstba. :/rfl-
Aûte du HoUandois avec quelqius remarques, & utiâ
Préface du Traduaeur ùù rmfatamnotfrç^k Hei nhur
tifme &? une nouvelle forte de Convulfionifme. A
Leyde] S. 1752' Toni. XLVIl. Part. IL pag. 432- ^
Lettres Philosophiques contre la.Do&rine df
PEglife Romaine/ttr l'Euchariftîe , adrejfée, «» J7Î5 .
MU P^re rfe TouRKKMiKE ,pflrAff» A. P. I- De Pre-
MONTVAL. jiLondrcs 1750,^. Join.XLVl.PaiU
ll.pag. 395* '"
♦ ♦ ♦
s ' Lettre de Ak. l'Evêque d'AGfeN è Mr. le Control-
leur -Général contre la Tolérance dés H^guem^s en^
France avec une Réfutationde celÉe Lettre. A la Haye,
«.Tom.XLVlll.Part.ll.pag.443* •
» « »
: Le Patriote FKAKÇois&liCTARTiAL,<?ttRépon.
•fcAia Lettre de Mr. TEvêque d'AoEM- A Lauzane
V j7<i. Tom. XUX. Part. I. pag. 142.
♦ * *
Histoire des Rl volutions arriviés dans TEniptri
Romain ^ tant dans fEtat que dans i'Eglife, defiiis
Constantin le Gmvd jufyu'à la Paix de Munlîer-
'^ Par Mr B*^. IITomes, 8. A Londres^ 174a. lonu
XXVUL Part. II. pag. 320.
♦ # ♦
jin EssAY on Spirit wheréîn the Dçdkrine oÇthe
Triniiy is confidered ip the lightbf Nature and Rea-
fon,&c. ^ « » ^.
Ceft-à'dîre: , .
^ EssAifur TEsPRiT , oùfonexfaininèlà D^tineit la
■Trinité f félon les lumières de la Nature (^ de laRaiJon^
*f? félon Vidée qu*en^avoient les anciens Hébreux»
§c.8. Londres, ^7SU^om. XLVIÛ. Paie IL pag.
THEOLOGIE. i?
'Réflexions Philosophiques ^wr TImmortali-
Te' de Vhwiz raifonnable. Avec quelques Rsmarqites
fur une Lettre , dans laquelle on foutient que la Ma*
tiêre penfe. Traduit de riVllemand, 12.A Ainfierdam^
1744/ Tom. XXXIIL Part. I. pag. 134.
♦.♦ ♦
EpiTdiE fur /w trois principales hypothèfesi^rU-
nion de rÂme & du Corps iM//^. Sophie Roques,.
Fille de Mu. RoQU£S^BasIe '.précédée d'une Lettrk
au Père , au fujet de cette Pièce aireffée à Mlle, fa Fille.
Tom.XLI. Part. I. pag. 72.
♦ » ♦ •
De Cultu^ Amore DEi;ubîagltur de Telluris.
. ortu , Paraoiso & Vivario , tum de Primogcnici fea
Adami Nativitate , Infantiâ & Amore.
Ceft'à'dire:
Du Culte (f de r Amour de Dieu; oà l* on traite de
V Origine de la Terre , du Paradis gp defon Parc ; de
la NcAffance d'AoKM , de fon Enfance ^ defon Amour.
Par Ë. Swedenborg. 4. A Londres ^ 1745. Tom.
XXXlV.Part.lI.pag.371.
* ♦ ♦
P£]|irsE*£8 Philosophiques. Pifcis hic non eft om*
niurh. Penseurs Chrétiennes mifes en parallèle , ou
en oppofition avec les PenféesPbilofopbiqueSt 1746.
Tom. XU Part. L pag. 11 s.
* » »
Principes de la PbHofopbie Morale , de Mr. D. D...
dédiés à fa T^nte,B.4Venifei7Si. Tow.XLVII.
Fart. II. pag. 447*.
« » »
Lettres de M. de Maupertuis. Nec mîhi fi aliter
fentias molefluin.St A Dresde 1752. Tom. XLIX.
Part. IL pag. 431. .
♦ ♦ ♦
Reflexions /tir les Lettres de Mr. de Mauper-
Xoxa* Tom. L. ran. I. pag 204.
Bb Ss-
itî THEOLOG I-E.-
« » *
. Essai de Cofoiologie par Mr. de MAmzRTVis^^.
A Leide. Tom» XLVi. Part.ILpag. 461. h
» » »
Essai de Pbihfopbie Morale attribué â Monfîeur
de M AUPfiRTuis» 8. A Leide 1 750. Tom. XLIV* Part.
II. pag. 310.
♦ » »
Lettre à I*Edtteur où l'on examine lesYdilTcifTe»
mens dont ]*Auceur de TEssai de Philosophie Mo-
rale a fnrîcH Ut nouvelle Edition qui s*en eft faite.
Tom. XLVI. Part. I. pag. 142.
« » »
P£NSs'£spocir (f contre les Ecrivains Mecreans »
à Voccafion de deux Ecrits nouveaux intitulés : l'un »
L'Homme Machine ; l'autre , Discours fur le Bon-
heur , 8. A Neucha:^el , I7S2. Tool XUX. Part. IL
p.ag. Ziu
» » •
Remarques fur TApologîe de Ut Métaphyfique ,
atc. Tom. XLIX. Part. I. pag. 83.
♦ ♦ ♦
P£RS£*£S Raisonnables, oppofées auKPBNS£*£S .
Philosophiques , aivec un Èiïai de Critique fur k Li»
vre intitulé les Moeurs. A Berlin , 8. 1749. Tom.
XI*1V. Part. L pag. 213.
♦ ♦ ♦
Lettre à M'^^^ur le principe ilu Mouvement dans.
!es Corps, &/ttrl'immat^ialité de Vhm^.f^ Kéfie-
étions aufuiet du Livre intitulé^ P£NS£*£S philosophi-
Qa£s. 8. Tom. XLIV. Part.!. pag. 221.
♦ ♦ ♦ .
A Treatise of Hum an NATURE,being an attempt
tû introduce the expérimental Method of leafoning
into Moral Subjecbs. Volume IIL
Ceft'à'dire:
. Traite' fur la Nature Humaine , dans kquelen
^Jpiyc d'introduire la Méthode de raifmner parExpés
* riencè
THEOLOGIE. 19
fienee dans les Sujets de Morale. T. IIL sivecunyip*
pendice qui contient des éclaircijfemens fur quelques en»
droits des deux premiers Tomes dont on trouve Tex*
trait au Tom. XXIV. A Londres, 8. 1740. Tom,
XXVI. Part. II. pag. 411.
* * »
Dr la Certitude des Connoissances Humai*
]^ES,Ott Examen Pbilof optique des diverfes Prérogati»
ves de la Raîfon ffdela Foi , &c. A Londres^ 174t.
8. Tom. XXVIII. Part. IL pag. 307.
' M ' A ' Hê ^i^'ïSHfc'&<fiH&»'ëHS''fefe'&'ëHl^'dHfi^ A'&'frëMSraHil'
r^^ ^^^ ^^^ ^w^ ^^^ ^^^ ^^^ ^V^ ^^r ^^^ ^V^ ^^^ ^^^^ ^^^ ^V^ ^^^ ^V^ ^^^ ^V^ ^W^ ^m^ ^w^ ^w^ ^V^ ^w^
OUVRAGES
D E
DROIT & de POLITIQUE.
DE JoRis Divini&Naturalis origine Caro*
Li PoLiNi , s. Martini Mbatis, Libri très.
Ceft-à'dire:
Dz l* Origine du Droit Divin (fdela Nature par
Charles PouNus, Abbé de St. Martin» en trois lA*
vres, 4, A Bre£pt 1 750. Tom. XLV. Part. L pag. 204,
♦ ♦ ♦
' Ouvrages de Morale S* J^ Politique, par Mr.
FAbbé de Saint Pierre. Tom.XIV. A Rotterdam,'
1 740 , 8. Tom. XX VIIL Part. ILpag. 360.
. Du même Ouvrage le Tom XV# Tom. XXIX. Part.
I, pag. 147.
Du même Ouvrage le Tom. XVI. Tom. XXX. ?W.
h pag. 84.
♦ ♦ »
Principes «(il Droit Naturel par J.J«.Buuama«'
'" ■ Bb 2 ^ui
fto DROIT KT POLITIQUE.
^ Qui.ConfeîIIer d"Et2t ff ci-devam Profeflèurf» Droft
Naturel 6? Ci viU Genève. 4. Toni.XXXlX.Pait.
U-pag.3i4-
» * »
Principes du Droit Politique par le mime, 4»
A Genève I7$i. Tom XLVI. Part. II. pag. 308.
* * »
Recherchs nouvelle de r Origine (f des Fondement
du Droit de la Nature, Par F. Strube de Piepmont. 8.
ji Pétershourg, 1740. Toro. XXVilL Part. I. pag. 75.
♦ ♦ ♦
De TEsprit des Loix^ou du rapport quelesLoix
dotvem avoir avec la Cmjtitution de chaque Gouverne»
ment, les Mœurs ^ l^ Climat, la Religion^ le Commerce^
(fc. II Tomes , 4. A Amjierdam 1 74^. Tom. XLIII.
Part. Is pag. 201.
Da même Ouvrage fécond Extrait. Tom. XLIII.
Part. II. pag. 373.
» « »
Code Frédéric , ou Code de Droit , pour les Etait
de Sa Majesté* le Roi de Prusse yfondéjur la Rai/on ,
&fur lesConflitutionsduPaïs; &c, -rfwcl'Expofî-
tion abrégée du Plan du Roi ^pourla Réformation de
la JuHice.par Mr. Formey, 1751. 8. Tom. L. Part*
IL pag. 287.
« « •
J. S. Brokquelli Hîftorîa Jurîs Romano-Gcr«
manîci , a prhnis Reipublica Romanœ atque Germanicm
WîtttSyf^C.
Cejl'à-dire:
Histoire du Droit Romain -Germanique, tirle
des Sources ^depuis le commencement (/^ ai République .
Romaine ff de TEmpire d'Allemagne Mqu'à notre
tems , par Mr. Brunquell^ &c. avec line Dijfertation fur
la néceffitéde joindre à l'Etude delà Jurifprudence'
celle des Antiquités , de ki Péihfopbie , & de VHiJhi»
rff*9. A ^«1/1.1740. Tom. XS VI. Fard. pag. 105^
, Noros
DROIT ïT POLITIQUE, at
'' ' « ♦ ♦
Novus Thésaurus JurîsCîvîIîs& Canon îd,&G«
êx colleSione (fmufeoG.MEEUMAJSitTomus I.]
Cejl'à'dire:
Nouveau Trésor de Droit Civil & Canonique , ott
Recueil de divers Ouvrages de Jurifconfultes ^/j&âr*
gnols & François 9 dont les uns n'ont jamais été impri-
mes » & dont ceux qui Tont été , font devenus fort m*
fcs. Vzr Mx, Gérard Meerman. Tom.I, A la Haye,
1751, folio. Tom. XL VIL Part. L pag. 134.
Du même Ouvrage t le Tome fécond. Tom. XLVIIL
Part. L pag. 127.
' Da même Ouvrage , le Tome troijtime. Tom«
XLVIILPart.ILpag. 355.
' Du même Ouvrage ^le Tome quatrième. Tom.L*
Fart. L pag. 127.
Du mime Ouvrage , le Tome cinquième. Tom.L«
Parc. IL pag. 326.
■ ♦ » »
DEUsuftxslicitis&iIlicitis,&c. Lîbri XILinqqN
bus omnla ordine chronologico pertraélancur, ac»
Autore Nxcolao Bboedeksen.
Ceft -à-dire".
" De /'Usure permife (f défendue Juivant le Droit
Naturel , Divin , Eccléfiajiique 6? Civil , 6? fuivant la
Pio&rine des anciens rères, des néologiens^ (f des
Jurifc&njultes ^ &c. Dlvifé enXIL Livres. Par Mr.
N. BuoEOE^sEN. à 2)^{/i^ 1743, folio. Tom. XXX«
Part. IL pag. ^g^
« « »
Comment ARius ad LegemDecemviralem de inope
Debitoreîn partes dilFecando , Autore J. Tatlor.
Ceft-à'dire:
Commentaire fur la Loi des Décemvirs » de la Dif
feSimiu JDébUeur infolvàble. Prononcé par Jean
fib 3 Tat-
t2 DROIT ïT politique;
Taylor. a Cambridge. Tom. XXX. Part. L pag. l^^
♦ ♦ ♦
£. Luzac Dijquijitio: Num Civis innoeens ira Hof*
tis , lonj3:e potenttoris JuJH ptrminipqffit^ ut excidiuwi
totius Civit0tis ivitetur^
Ceft'à dire:
Examen de la Quedion : S'il eft permis de livrer
un Citoyen innocenta TËnnemi , pour détourner la
ruine de tout l'Etat ALeyde, 8- Toa[i.XLV. Part,
U. pag. 4(^5. .
* ♦ ♦
Discours HiftoriqueSy Criques S* Politiques fur
rAciTE, traduits de J'Anglois de Mr. Th. GrORDOif^
Par Mr, D.S.L. Deux Tomes, ia.A /Imji.i 742.Tom.
XXVIIL Part.n.pag.375.
Dtt mtme Ouvrage te fécond Extrait. Tom. XXIX*
Part. I. pag. 86.
» * ♦
La Monogamie i ou TUnité dajis le Mariage. Ou*
vrage dans lequel on entreprend d'établir , contre le Fré<
j^gé commun , VexaS* ff^nrfAte cw^mité de? trois
Ifiix , de la Niiture , de Moffe , {f de JéfusCbrifi fur .
cefujet , par Mr. pk Premointval. Tom. L A la Hayt^
175 r. Tom. XLVII, Part. II. pag. 295.
Dà même Ouvrage , le Tome fécond. Tom* XI^IX.
Part. I. pag. 3«
* ♦ *
, Machiavel Républicain tegens den Anti-M4*
CHUV£L ve|[dedigt , &c.
* Ceft'à-dire: ' ; ■ '-
Machiavel Republicjaik défendu contre I^Anti-^
Machiavel.' Or^ya ajouté Machiavel Imfrimeuju
A Utrecbt 1 7.41 , 8. Tom. XXVIII. Part. L pag. 200, ^
♦ ♦ ♦ , • . *^- '^ - • «
;. Letters on fteSpîrit ©/"Patrjotîfm , &c,
Çeft-à-dire.: ^
J^t^TTï^zs Jur rE,$v^T du Patriotisme ifurVidée^
^ '^^ dm
DROIT ET POLITIQUE. §3
ri'ûn Roi Patriote :f?/ttf l'Etat <fex Partis, a r^rre/-
.fion du Roi GaoaaBl. Â Londres, 1749. 8. Tom.
XLIII. Part. IL pag. 243. '
♦ ♦ ♦
• La Voix libre du Citoyen , ou Obfervationsfur le
Gouvernement de Pologne, 1^49. Il Tomes, 8.
Tom. XLIV. Part. I. pag. 39.
^ ♦ ♦ *
An HisTORiCÂL VIEW of tbe Negotîatîofts hetween
^ibe Courts ofEnghnd , France and Bruflels ^from tbe
year 1592.10 1617. ExtraBed cbiefly fn^tbe Manuf-
cripcs State papers of Sir Thomas Edmondes, Kaighc,
"Enibairador» &c.
Ceji'à'dire:,
'•» Histoire des Négociations entre les Cours
à Angleterre ,àQ France & de Bruxelles ^ depuis l*an
1592. jufqu*à Tan 1617: Tirée principalement des
Mémoires manufcrits àxQhe^zViQïTbomasEdmondes^
Ainbaflàdeur en France & à Bruxelles, ^ de ceux
é* Antoine Bacon, A ouoi Ton a joint une Relation de
l'état delà France, &c. compofée par le Chevalier
George Carevs^i Ton retour de Ton Ambaifade de Pariff
tn 1609. par Tbomas Bircb j à Londres l'j 4g. Tom*
XLIIL Part. IL pag. 308.
Du même Ouvrage ^ fécond Extrait. Tom. XLV,
Part. L pag. 3. ' '
Du même Ouvrage , troifième Extrait* Tom*
XLVII. Part. L pag. 73.
*"' ♦ ♦ ♦
Memoiebs de Monfieur l'Abbé de Montgoit,
publiés par lulïDème ^ contenant Us différentes Négo^
Cautions dont il a été chargé dans les<}>urs de France ^
(ihfisPAGNB 3* (/tf Portugal ^(f divers événemens qui
font arrivés depuis Vannée i-j2S jufqu'àpréfent.il.Vm
Tpm. 1 749. Tom. XLIIL Part. L pag. 1 $•
♦ ♦ *•
LfiTTBRS , MEMOIRES ^ Négociations de Mon*
"^ ' Bb 4 fieur
M DROIT KT POLITIQUE;
Jteur le Comte d'EsTRADKS,wtfr les Répmfes duViot
éf du Secrétaire d'Eta$. 12. A la Haye , IX Tom. Tom.
\XXX. Paît. IL pag. 443.
Du même Ouvrage, fécond Extrait, Tom. ^XXL
Parc. ï. pag. 106.
♦ ♦ #-
Institution d'un Prince ; w Trahi des Quaîîtét 9
des Vertus g* des Devoirs d'un Souverain En IV To-
mes. A Leide, 173g. Tom. XX VI. Part. U. pag. 427.
* » «
Parallèle des Romains ffdes François par rj-
port au Gouvernement Par Mably. 8. A la Haye 9
1741. II Tom. Tom. XXVIII. Part.II. pag. 289.
OUVRAGES
D E
PHILOSOPHIE, ^PHYSIQUE^
de MATHEMATIQUE, &c.
RAtionalis Philosophije Institutiones :"S| ve
de emendandâ , regendâque Mente, de Soria. '
Cf/î - à ' dire : . . . -
Inçtitotions (/6 fBXLOsomiz pour reâifier (f dp-
figer rEfprit. Par J. G. de Soria , 8. A Amft. 1 741.
Tom. XXyUI. Part. I. pag aîio. ^
♦ ♦ ♦"
Uberîorîs ad univerfam Philofopbiamlntroài6tto^
ms , Ed. nova , Parj l. Logicam tradens , Q^c.
Cefk'à-dire:
iNtftODUôTioN à la Philosophie. Partie première ,
contenant la . Logique. Par Mr, Holman , Profeiïetit '
&c. 8. Tom. XXXVII. Part. II. pag. 355. ^ -"
Du même Ouvrage la Partie féconde, oiila WA«-
^*yy?2«^ Tom. XL. Part/L pafi. i^.
PHILOSOPHIE, PHYSIQUE, &c, m
P. CL Ansaldi O. p. dePrîncipîorum LegïsNa^
VJRALis Traditione , ai Carolum Poluîum &Maf
tint Ahbaiemy Libri IIL '
Ceft à-dire:
De la Tradition des Principes delà LoiNaTOt
v^r^J^'i^'' Ansaldus , 4. A Milan, 1742. Tom,
XXIX. Part. I. pag. 177., ^^
* * *
- Awtonii Genuensi$ Elemcntorum Artis Loôi-
co CRiTic« Libri V.
Ceft.à'dire:
Ele'mens de Logique, divif es en cinq Livres, p(â^
A. Gbkovesi, ProfeJJeur de Morale à Naples 1 753.^
Tom. L. ParLU. pag. 445. ^ ^
L'Art de trouver U FérUé, ou Logique en formé
Tom. XXXIV. Part. IL pag. 384.
_ ♦ ♦ ♦ ^
Traite* Philosophique des Loix Naturelles*
Far le DoQeur Cumberland , traduit du Latin par-
Jwr. BARBiiYRAC. Avec des Notes duTraduSew 4 A^
jîmjierdam,t7u. Tom. XXXIL Part. L pag. 141. .
Da même Ouvrage fécond Extrak. Tom.XXXIL^
Part. II. pag. 310. " ,
# ♦ ♦
Recherches Philosophiques fur la nicefftti dâ *
s'affwrer par foi - mime de la Vérité ;fur la certitude de
ms Connoiniances , (f fur la nature des Etres. Parua
Membre de la Société Royale de Londres , 8. A Rot»
tetdam , 1 743. Tom.XXXlI. Part. L pag, 3.
♦ ♦ ♦ «^ o •*
Histoire Critique de TAmb des Betes , contenanà '
les Semimens des Pbilofopbes anciens, (3^ ceux des mo» .
demesfur cette matière. Par Mr. Guer . 11 Tomes . 8.
1 749. Tom. XLVIIL Part. L pag. ao8.
♦ ♦ ♦
. Traite* des Systèmes MPonen dimlklesineorh
. **> 5 vénmt. .
U PHILOSOPHIE, PfiYSIQUE, &cl
véniens (f les amntûjges ; par I* Auteur de VEffai fur
FOrigine des Cmnoiffances Humaiw^ II Tomes, 8«
ÀlaHaye^ 1749. Tom. XLIV. Part«I. pag. 122.
■«: ♦ ♦
Exposition du Livre des Institutions Physi-
^t7E3 , dans laquelle on examine les idées dû Leibnitz ,
». ïoDtti XXVil. Part. II. pag. 433.
♦ ♦ ♦
. Sumini Polybiâorls G; G. Leibnizii Frotogaa, &c.
- ^ Ceft'à^dire:
Traite' de la Scruâure primitive de la Terre , £f
des veftiges de VR\Sïo'\tq des premiers iiècies, qu*on
tfeuvedansla^^iwxcmèmQ, Tiré des iVfanufcrics de
Mr. de Leibnitz » 4* . A Gottingue 1 749^ Tom. XLIIL
Part I. pag. (55. .
V. ' « » »
. G, .G. Leibitizii & J« Bernoulli Commerciam
Fbilofopbicum & Matbematicum>
Cefi-a-dire:
''Commerce de Lettres fur la Pbilofopbîe (f les
jSiatbématiques y entre Mrs. G. G. de Leibnitz £5^
ÎÊAN Bernoulli, En deuxTomes,4.Tom.XXXVLI.
^an. I. pag. 178.
' # # #
' LaBcLtE Wolfienne : Avec d^x Lettres Pjîi» :
IX)soPHiQU£S , l'une fur Vlmmortalité de lAme^ &
iVuire fur V Harmonie préétablie. A la Haye, 8. Tom.
XXVIL Part. II. pag. 167.
♦ ♦ » '
• Expose* cencemara r Examen de la Lettre Jtfifcfi*.
de LziBmrZt alléguée par Mr.leProfeffeurKoENîG^
à^joccafionduFt'mclp^ de la moindre Aétion. Avec le
Jugement de /' AcasemiëRotale de BEBUnfur cette
Lettre jB- A Berlin 1752.
*Aî»PEL au Public, duJvGBMtKr de rAcAùEuiz :
Royale de Berlin ,/wr un Fragment de Lettre//^
Mr. de'Lziumrz , iitépar Mr, Koeniû, S. ALeyde,
%j$%é Tom. XLIX. Parc. L pag. 1 73. Tas
.ftnLOSQEHIE, PHYSIQUE, &é. V
» » »
; Thb Works (ftU HonWc. Robjmit Botlb, &c
' Les Oeuvres de Robert Boyle , en V. Volumes i
*foHo , à latête de/quels on aplacé la Fie de VAuuur. A
Undres, 1744, roaï.XXXlII. Part. I. pag. 51. . '-
..■•♦♦».,-
"• Lettre 'rfa Chevalier Newton à Mr. Boyli^
Tom. XXXV. Part. L pag. .1 S4.
' # 4^ «
PHiLoso?Hii WATURAus Pdncipla Mathematioi
^jAuQore Is. Nbwtono , &c.
Cefià direz .
Principes mathématiques de la Phiîofophîe natui
relie, par le Chevalier Isaac Néwtojh, expliqués âf
commentés par les P.'P. le Seur & Jaquier. iVî « 1 iîmes
^ProfeflTeurs en Mathématique à Rome. A Genève,
4. m. Tom. tom. XXXVlI. Part. ï. pag. 54. ^
An Accwnt. of Sir Isaac NEWTONisPhilofophkral
Pîfçoveries. Jnfourbooks. By Colin Mac Laurut...
! Ceft'à^dir^: {
Expofition des Découvertes Pbilofopbiques du Cbevat
lier Isaac Newton. En quatre livres. Par Colin Mac
X.AURIN. Cki^rage publié fur les Manufcrits deVAu*
^eur^ par P. Murdoch. A Londres 4. 1748. Tom.
XLII. Part. L pag. 171.
'. Du mime Ouvrage fécond Extrcut. Tom. XLlI.
Tart; II. pag, 336.
. Nouvelle Théorie du Mouvement , où Pon donr
fielaraifondes Principes généraux delà Phylique, Q.
f^aris 1 749. Tom. XHV. Part. I. pag. 148.
« * *
Les Oeuvres de Mor\Reur de Maupertuis, à Dref"
i^ 1 752* 4* Tom. XLIX. Part. I. pag. xjS. ^
Ou-
1^ PHILOSOPHIE, «ÎYSIQÙE, &c;
* » «
Ouvrages Divers de Mr. Db MAUPERTms. EUà
mensdg Géographie. Difcmrsfur les différentes Fîgu^
tes des Corps Célejies. Difcours fur la Parallaxe de la
Lune. Et Lettre fur la Cemète^ 12. A An^fterdam
X744. Tom. XXaII. Part. L pag, 77,
« • «
Lettre /fir la Cometâ de 1742. Tom. XXUL
Part. IL pag. 42p.
♦ » ♦
Traite* de la Comète qui a paru en Décembre
^743 1 Éf ^ Janvier 9 Février Çf Mars 1 744 ; conte-
Bant , outre les Obfervatims de Vjîtitevr , telles qui ont
été faites à Paris par Mr. CaiEni, fgà Genéve^r Mr«
Caiandrioi>&c. Par J» P. Lors de Chlseaux, 8. A
£attsamie»i744. Tom. XXXIII.Part.il. pag. 444.
• • »
t Beschrexbung des A. 1744. erfchienenenCoMB*
Cejl'àmdire:
Description delà Comète qui a paru m commenee*
ment de P Année 1744. Avec des réflexions. Par G«
Heinsius, Profefleur en Adrouotnie. A Pétersbourg^
^744. fig. 4. Tom. XXXV. Part. L pag. 19.
* « «
Pièce qui a remporté le prix de TAcadémie deSt»
Pétersbourg propojé en i7S0.7ttrlaquenioo, Sitoute^
les inégalités qu'onaobjervées danslenfouvementdela
Lune , s'accordent avec la Toéorie Newtonienne ounmi
APàersbourgî'jsi.4, Tom. XUX^Part. II. pag. 395.
# » #
Institutions AsTR0Ni)MiQU£S, ou Leçons élé*
mentaires d' jiftr momie ^ pourfervird'fntroduQtonàlM
"Pbyfique Céls/le ,f$àla Science des Longitudes , aveè
de nouvelles Tables (t Equation corrigées, if c. 4. Parie
X746. Tom. XL. Part. II. pag. 265.
> * »
CoNiiOEiATiONs/fir la Caufe pbyfiquedes Ttemii
bl€»
PHILOSOPHIE, PHYSIQUE, &c. iff
blemens de T6rre,par Mr. Ha les , &c. A Paris 17SU
Toax. XLVIII. Part. II. pag. 456.
» » »
Histoire du Mont Vésuve , avec Vexpllcation des
Phénomènes qui entcmétume d'accompagner les embra^
femens de cette Montagne, f^e, la. A Paris, 1741*
Tom. XXIX. Part. U. pag. 344.
♦ • ♦
Inlsidino tôt eene Natuur en Wîskundige Be«
fchouwinge des Âardkloots , door Johan Lulofs.
Ceft'à'dire:
Introduction à une Théorie Pbyjtaue (f Mathi»
matique du Globe tefreftre , pour VinjiruBion defes
Cofopatriotes; par Mr. Jean Lulofs , 4. A Leide 1 750.
Tom. XLV. Part. II. pag. 433.
• ♦ • ♦
Dissertation /fir /a Glace » ou Explication phf^
fiqae de la formation de la Glace , ff defes divers pbU
fiomènes;parlAt. Dortous ^^Mairan» 12. KParis
1749. Tom. XLV. Part. L pag. i38.
• » »
Grammaire des Sciences Philofophiqaes , 0» A« ^
VALTSE abrégée de la Pbîlofophie Moderne , appuyée
fur les expériences ; traduite de l'Anglois de Bënj.
Martin, 8. A Paris , 1749. Tom. XLIIL Part. U.
pag. 43a»
♦ ♦ »
Ele*mens des Sciences Principales. Par Mn
Décore', 12. A Leide 17/^9. Tom. XLVIII. Part. !•
pag. 68.
• « »
Leçons de Phtsique Expérimentale, par Mr.
VAbbé Nollst, II Tomes, 12. jâmflerdam lUS*
Tom. XXXIV. Part. L pag. 8a
* » •
Dissertation par Mr. GAUTiER,/f#r la prétendue
réunion des Couleurs ou foyer des lentilles interpofées
awc Rayons réfroBit du Prijm^ffcomtrt tinbérence ,
9
30 PHILOSOPHIE, FEnTSIQUE, &c;
fg nmanMIki des Rayons colaiifi^tes. ToolXL V*
Part. L pag. 192*
• # •
4d£0«FASTOT Wr BPESIOY «fil T«f AieOK/li-
âA^ ; TasorHEASTOs '$ Hiftory of Stones » &c.
Cift à'dki:
' Le Livre de Theqpuraste /«rfexPiVfrex^accom*.
fagni d*uni TtaduBim en Anglou^ ff de Notes Critw
ûues ffPbaofaMuef.Par J&ajxHtlu&c. 8. A Lon-
dres a 746. Tom. XXXVIIL Part. U. pag. 4.
*•-* •
'D£ Crostacxx » < degli aUri Marini Corpi , &c«
Ceft'à* direz
Traite' ^' OquiUages, £f lif quelques autres Corps
tirés de la Mtf , fttf Ton trouve fur les Montagnes ; par
A.L.MORO. ÀFml/e 1740. K* 4- loin. XXXVI.
Part. I. pag. 3*
♦ • *
• MiMOiRis pourfervir à THistoire Naturblls
dis Prtripicatioms dans les quatre Parties du Mon-,
de. Avec i^£ur^x& divers Jndi^exaufli méthodiques
que nécel&ires , 4. A ^ Haye. Tom; XXX. Part. I.
pag. ia7.
Du niAfieOfiora£:e le fécond £xir4ft« Tom. XXX.
Pirt IL pag. 2^7*
• • #
L'Histoire Naturelle, icMreie dans deux de
Ses Parties fnneipales , la Lithologie, £f la Concbylio^
ioj^le 9 dont rone traite des Pierres &i'mixe âesQh
flttttfd^e/: Enrichie de Figures deifinées d'après Na-
ture. APaffV,4. Tom. XXXL Fart. L pag. I39*
VHnroïKz'SiLTfJKELLZ^ générale ffparticuUire^ '
avec laDefcription du Cabinet du Roi. A Paris 1749.
T. I. 4. Avea des Pkmhes. Tom. XLV. Part. IL
pâg- 243.
Du mtme Ouvrage le Hm/ymi* Tom* ZLVT^. .
Part. L pag. 6fc Or-
pmLOSOPmE.-PHYSItJUE, &c; 3^
(- Observations fur rHilloîre Naturelle , fur la
PhyfiqueÊfTttf la Pelntuve j avec des Planches imprH
mées en couleur , 12. A Panx 1752. Tom. L, Part. I.
pag. 173. .
♦ * *
Spectacle de la Nature» m Entretiens/«r les partie-
0ilaritésde THiftoire Naturelle. Tom. V. contemiui
rHiJioire de la Phyfîque Expérimentale, ïom,
XXXIX. Part. I. pag. 153.
Du même Ouvrage le Tome fixiim. Tom.XLL
Part. I. pag. 183.
Du mêfne Ouvrage le Tomefsptiême. Tom. XLL'
Parc II. pag. 376.
Du mime Ouvrage le Tome buttiime, Tom. XLIV»
Part. IL pag. 3^8*
Dtt même Ouvrage le TomebuitièmeyrecondEX'*^
trait. Tom. XLV. Part. U. pag. 276.
» * *
Dissertation Phyfîque à Voccafim du Negrk
ILANC. 8. Â Le^jde^ 1744. Tom. XXXV. Part. II»
pag. 302.
♦ ♦ ♦
De Générations HoMinis Liber Pétri Geruus»
Ceft'à'dire: î
Traite* rf^ /a Génération de /*Homme par Pier-^
RE Gerike , Doreur en Médecine , (^c. 8. 1 244* Tom*
XXXm. Parc. II. pag. 369.
* ■ ♦ ♦ ♦
Lettre de Mr. Lyonet , en réponfe â Mr. C. I!1y-*
Lius. Tom.XLV. Part.II.pag.446.
♦ ♦ *
» « Dissertation rà Ton examiné les principaux Sjfiê*
mes fur la Génération de i'HoMMs cf des Animaux.-
Pourfervir de Réponse à la LtTTKE de Mr. Ly-o-
XîfiT. Tom. XLVL Part. I: pag. ap(S. .
1 .; - 1%
3< PHILOSOPHIE, PHYSIQUE, &ci
« « »
' }. T. Klein, Hiftori» Naturalis Pifcium Miflùt
Primus^SecunduSf Tertius.
Ceft-à-dire:
Mémoires pour fervir à rHifitnre Naturelle des
Pûiffons , par Jaquls Theodoae Klein, â Dantzic.
1740. Toin.XXX. Part. II. pag. 418.
Du mime Ouvrage quatrième Mémoire contenant
lè premier ordre des FoiJJons à otOes découvertes , &c.
Tom. XXXV. Part. I. pag. 12.
Du mime Ouvrage cinquième & dernier M^oiV^t
oii il s*agit de la féconde ClafTe des Poijpms qui refpi'
ttnt tardes ouïes découvertes, avec des additions aa
U. UL & IV. Mémoire. Tom. XL V. Part. L pag. 46.
• » «
]• T. Eleik fumma dubiorum ciica daiïes Qua»
drupedum & Ampbibiorum Linmjbi ;
Cefi'à'dire:
Abrsob* de doutes fur le Sjftime des Qaffes iet
Quadrupèdes (f if j Amphibies, t^/ qu'il a àé formé
pv Mr. LiWNiEUS , &c. Par J. T. Klein. A Dantzic ,
1743. av^c deux Pkrucbes^^ Tom. XXXI V. Part.
IL pag. ^Z^.
• # »
' Haemastatique , ou la Statique e/fx Animaux :
Expériences Hydrauli^s faites fur des animaux vi*
tans, &c. Par Mr. Hales , 4. A Genève, 1 744. Tom.
ZXXIV. Part. L pag. 11 5.
#11' #
Lettre écrite de Neuchitel en Suiffe à Mr. de
Reaumur y fur Vutiliti générale des Insectes, par Mr.
L. Garcin. Tom. XXXVU. Part. I. pag. 3.
) . » « »
Mémoires pour fervir à VHifioire d'un Genre ââ
Polypes d*Eau douce , à Bras enferme de Cornes. Par
A. Trembley, 4. ALeyde^ 1744. Tom. XXXUL
£art, U. pag. 243%
PHILOSOPHIE, PHYSIQUE, &c. 33
« • «
Traite' d'Infeltolpgie , ou Obfervations fur lei
Pucerons, par Mr. Charles Bonnet, &c.AFarisJig.
Tom. XXX VI. Part. I. pag. 179.
♦ ♦ *
Xettii£ à TEdiceur, (^anj laquelle on réfute les f en»
timens de Mr. Klein , aufujet de la faculté de l'Ouïe fiT
des Sons dans les FoiJJons. Tom. XLVllX. Part. IL
pag. 310.
« * «
HisToiuE Naturelle des Abeilles , avec des
Figures en Taille douce. \\ Tomes , 1 2. A Paris 1 744.
Tom. XXXIV. Parc I. pag. 127.
# # #
LuciNA fine concubitu.
Ceji'à'dire:
Lucine affranchie des Loix du Concours. Lettre
adrejfée à la Société Royale de Londres : dans laquelle
on piouve qu'une Femme peut concevoir &accou»
cher fans avoir de commerce avec aucun homme; &
CoNcuBiTus One Lucina, im le Plaifir fans peine*
Réponfe à la Lettre précédente , à Londres 1 7 se Tonu
XLVl. Paît. I. pag. 154.
# * *
Oeconomia Reonï Animalis in Transaâionei
divifa.
Cejl'à'dire:^
Economie du Règne Animal partagé enTrant^
aSions, 21 eji traité dans cette première , au Sang , des
Artères^ des Veines (f du Cœur, conformément aux
principes de l'Anatomie , de la Pbyfique ^(fdela Pbi-
làfopbie. On y joint une Introdu&Um à la Pfychologie
raijonnable: ^. A ^m/ï^rrfam. Tom. XXVII. Part IL
pag. 411.
Dm mime Ouvrage kconde Partie, Tom.XXVIIL
Fart, L pag. 134.
Ce Du
54 PHILOSOPHIE, PHYSIQUE, &&
Du même OuvragthfuUe. Tom. XXXIIL FaïuL
fiag. nà.
# * *
Traits' des SenSf par Mr. LeCat , & c. 8. enrichi
défigures. A jimjlerdam^ 17^3. Tom. XXXI. Paît.
II. pag. 304.
« » »
Lettres Pbihfopbiques' (arlet Phy/mumi^s. Aie
Haye , 1 746. Toin. XXXVIII, ParL I. pag. 1 37.
« » »
RscBERCiiEs^r les ViiUTUs 4r/*EAU de Gou-
dron, où Ion a joint dês Réflexîons'^'Philofophi'qu'ê»
fur divers autres fujets importatis;trûdu\i de TAnglovs
du Dr. Berkeley, 12. A j^mfterdam 1745. Tom.
XXXV. Part. I. pag. 35.
* « »
Histoire de la Philosophie IIermrtiqué, a€com->
pap;née dm Catalogue raifonné des Ecrivains de cette
Science , avec le véritable Philalethe , 3 FolL 12. A
Farts. Tom. XXIX. Part. I. pag. 43.
♦ ♦ ♦
Glavicula Hermeticjk SciaNTiJE, <i& Hypet»
hotco<^odsimi)orisfubf8civiscalamoconfignataè
Ceft-à^dire:
La Clavicule de la Science Hermétîque , écrite
ptr unhiibUantduNotd^dmts fes heures de loifir. A
jimjierdam 17$^ 1 8. Tom.XLVI. Part.II. pag. 288.
O U V R A G ES
àe MEDEaNE , li'ANATOMIE, àe :
CHIRURGIE, de BOTANIQUE, &c.
TJErmanni Boerhaave Praeleéliones Academî*
*'■' t» in proprias Inftitutîones Rei Medicae.^Bdîdft
tt Notas addidit Albjbrtos Hall£R« Ce/i-
ME D E C I NE, &c. gy
Ceji:à-dire:
Leçons Acad£miqu£S de Herm^&n Boerhaatcs
fur les Injlitutions de la Médecine • écrites par lui-mê'
me. Publiées ^ accompagnées d» Remarques par Al«
BERT HALLER,Vil. Volumes 8. A G9Uingue'i'i^%*
1744. Tom. XXXllI. Part. L pag. 34.
♦ # ♦
CoNsvtTATiONKs MfiDicjE , fîve S^Uoge Epîftolàé^
rum cum Refpor\fis H. Boerhâ ave , &c«
Cejl'à'dire:
Consultations de Médecine ou RecueÙdeLeU
très avec les Réponfes (^^H. Boerhaavé, &c: * A Coj*
tinguex75Z , 8, Tom, XLVIII. Pari. L pag, 1Z2.'
• # ♦ ^
HermanniIBoerhaave , Ftrt Jummî fuique Pra*
§eptoris, Mcihod\is,Si\xd[i Medici,&c.
Ceft 'à-dire:.
Méthode d'étudier en Médecine par Mr, Hsit-
MAN BoiiRHAAVE. Corrigée (f augmentée pat Mr. oi
tîALLÉR, en II. Vol. 4. A Armlierdim X751. Toiii,
XLVII. Part. I. pàg. 121.
* ♦ ♦
Impetum faciens didlum Hippocrati per Corpus
confentiens » &c. .
. Ceji'i'dire; .
Du MOUVEMRNT IMPULSIF, ÙU du Tê/EfûfjbC^
d*Hii'POCRATE , (f de la Sympathie entre Us parties du
Corps. Le tout accompagné de Remarques phtlolopques
&pbyJiologiques;ave'c des preuves tirées detOiferva*
tkns (^ des Expériences. tarMr, AtKAAU-BflERHAA-
VE,é. A Leydeji7é^s* Tom. XXX VI* Part. I. pag. 126.
« ♦ * • ,
De Itoperio Solis âc Luna in Corpora bumanatSc
tnorbls inde oriuiidis. Au4^ore.R* Meap* ..
Ceji'à'dire:
Du P(KUVoir du Soleil f^dela Lvne Jur le Corps^
Hmc^fif & dés vtaladies qui en mi£m,. jP^ Mr.
Ce 2 .fil^AD^
5« MEDECINE, &c. ^
Mead, &c. a Londres t 1746. 8. Tom. XXXVIL
Part* II. pag. 298.
♦ ♦ ♦
A Aiecbanical Account ofPot/bfixloreveralEfrals.
By R. M«Ao«
Ctji'à'dire:
Explication mécanique des PoiTons , en divers Ef*
fins. ParMf.'bAEADj&c. A Londres ^ S. 17 ^S'T^obl
XXXI V. Part. II. pag. 427. r
. Du même Ouvrage £tcond Extrait. Tom. XXXV.
ParL II. pag. 257.
♦ ♦ ♦
A. Dx Haxn , de Deglutitiowe , vel DicLUTiTOi
RUM in cavum Fènêriculi Defcenfu impedîtis, DiJ*
fèrtatio.
Ceji'à'dire: ^ "•
De /'Empêchement de la Déglutition, ou des
tibftacles que rencontrerit les alimens lorfqulls defcen-
dent dans la cavité du Ventricule. A la Haye, 1750.
8. Tom. XLVI. Part. I. pag. 25.
» * »
Tractatus deMorbis internisCapitis^Âuthore
J. La2laice.
Ceft-à'direi '
Traite' des Maladies internes de la Tête » par Mr.
Jac. Laz£RM£,&c. On y a ajouté fur les mêmes Mals(«
dies quelques Confultations des plus célèbres Médecins ,
12. 1748. Tom. XLI. Part. H. pag. 308.
# # «
Tr A iTE* de la Struôure du Cœur , defoti aSion ff de
^es maladies ,par Mr. Senac , 4. II Tom.J^. A Paris
1749. Tom. XLIII. Part. IL pag. 323.
• * «
Lettre de /'Auteur de TExtraît d*un Ouvrage de
Mr. Senac, inféré dansce Journal T. XLIII. p. 324.
à /*Âuteur de /'Extrait du Journal des^Spavafis 71
CLIF. p. 129. (/erEditioii deliolhàn^t. Tom.XLV.
*art. lï. pag. 457. , / Phy-
j
.ïttE D E C INE, &c. Vf
Physical Experiments upon Brutes , &c. To
which is added a Courfe of Experiments with the
l«auro-cerafus , &c. ,
Çeftà^dire:
Expériences de MédQcine faites fur des Animaux^
f9ur découvrir une màbttde de faire des Injections
propres à dij[frudre la Pie&ee ;pour rechercher les effets
du Lauaier cerise «; (^pour déterminer lama*
niêre de nuire des Fuoiéçs de Soufre , par Browne
XjiNGia&H. ^ Londres^ I74<3. 8* Tom. XXXVII«
Part. I. pag. 103.
♦ # »
N L'ORTHOPEDiE^ott VArt de prévenir 6? de corriger ^
dans^les Enfans^ les4ifformtés du Corps, Letoutpairi
des moyens à la portée des Pères (^ des Mères ^èf die
unités les Ferfonnes tpui ont des Enfans à élever. Par
Mté Akdry. Avec Figures. II Tomes,8. A Bruxelles,
1743. ïom. XXXI. Part. IL pag. 412.
». * ♦ ♦
Du Régime de vivre Pythagoricien 4 ri{/îi^ff<i«.
la Médecine , Difcours (2'Ant.oine Coccai de Mugel*
Lp. Traduit de Tltafien , g. A Genève ^ 1750. Tom.
XLVII. Part. IL pag. 412. ' . ^
♦ ♦ ♦ ■ •
' Dissertation fur H^CBRTiTVjyz des Signes de la
Mort, £5* l* Abus des Enterremens^ £f Emboumemens
précipités , par Mr. WiNSLOw. A Farts , x 743. ïom.
ÎXX. Part. IL pag. 30(5;
» « #
• Introdoctio în notitîam Rerum Naturalium &
Arte faétarum, exponens MateriamMedîcam, feu^
I^iloriatu Simplicium , Medicamenta compofîta »
&C. ja.J.CRlEGER.
* ' Céft'à-dire: " '
Introduction à la connoiffance des Cbofes Natu--
fçlliS'i^ Artificielles ^ dont onjefert dwsPufageordi'
.. ., Ces w«ir«
I'
smrf de la Fie f (ffur^ttmfeff Médecine; où F m expê^
fe la H/tatièréMiéàkimîe , ùùfHifiWe des Simples » les
Medicamms ampofés ^ (fcJ Rédigé par ordre alpha*
bécique par Mr. J. C. Riegjui, II Tomes 4. A ia Haye^
Tpm. XXX. Part. IL pag. 338.
♦ ♦ ♦
Dictionnaire ufdvetfelde MBDEcnrE^c^eCHiRim-
eiz^de Chtmib, de Botanique, d*ÂNATOMie, de
Pharmacie, d'HiSTOxuE Naturelle , &c. Traduit
de V Anglais de Mr. James, par Mrs. Diderot, &c.
VI Volumes, /o/. Paris. 1746* 1748. Tom. XLVI.
Fart. I. pag. m.
♦ •♦♦'•
'Exposition Akatomique de la Stru&ure du
Corps Humain ,par Ja<^U£$ Bénigne Wijsslow ,de
VAcadéinie Ro*jÛt des bckfUi€s^ &€. Nouvelle £di«
tioD, corrigée êc enrichie de Figures. IV Tomes iz»
AAmJterdatny 1743* Tom. XXXI. Part. I.pag. 160^
« * »
IcoNUM Anatomicarum Partium Corporis huma«
mFafciculusLëill&c.
Cejl'à'din:
' Recueil' itf*Fl(3UREsANÀTOMiQ0Es, quirepréfen*
tem^différesaes Parties du.ÇorpS'Hwnain, N. I. conte*
nanc Us Dejffe^ du Diaphragme , de la Moelle de FEpi*
ne , du Vagin , à& fEtiplom ^ et de la Safe du Crâne. A
Gottingue^ 1 j43,/)/io, avec (îx Planebés. Et N. II.
contenant 7i?x Dejjeins de r Artère Maxillaire f de
r Artère Tbyr Mienne infirieure , de la Coelia^ue , £f du
Vagin avec Vlkerus. Par Mr. A. Haller. Tom«
XXXVI. Part I. pag. 24.
♦ ♦ ♦
' Nouveaux Ele'mens ^'Anatomie raifmnie. 8.
avec figures. A Paris 174p. Tom. XLIIL Part. IL
pag- 443.
♦ * «>
SPLANcmroLOoiE, tnà Mkatomib des Vifcères,
avec
T
M E:D/E' C I N E, &c. 39
*
gvec des Figures originales tirées. et après les Cadavres,
/mtU'ii'uiU'mjfertatioji fier Vorigirie de la Chirurgie ,
iar GareIngeot , 6cc. A Fàris , 1 742* 1 2. Il Volumes.
rtnn»v XXXL P«ru II. png. 269.
♦ ♦ ♦
Recherches ûritiques & Hifloriquesykr Porigi*
ne^Jur les divers états ^^ fur les progrès delaCm^'
jkVKùiz en France.' A Parir 1 744 , 4. Toin. XXX Vil»
Part. II. pag. 413.
» * »
cl Oi|$^VA!rioirs. Ghtrorgicates /ur je/^ Maladies ie
JfUiéiètG ^ traitées fuivant une Nouvelle Méthode par
Jaquls Daran. "ivouv. £<^i^. A Paru 17489 l^^
Xom. XLIII. Parc. II. pag, 455.
» ^ »
DiSS^RTATxo de Ceneracione Ruris , &c.
Oeji'à'dire:
Dissert ATioNr/ûr^a Génération tfu Pus » /a^ef-
Itf a remporté le Prix propofé en 1 746. par r^cadémie
Royale de Chirurgie, de Paris. Par Mr.T.GRASiiuis»
Doâeur eq Médecine, &c. 8« A Amfi^dam 1747*
Tpm. XL. Parc. L pag. 143.
» » »
^ Recueil </tf Pièces concernant Topération de la
Taille >&c.^flf Mr. LE Cat, 8.1751. Toiii.L.Paru
I- pag. 77.
« * «
Traite* ottRéflexion^tirées delà Tx^tlqaefurler
Plaies d* Armes à feu par H. F. Le Dr an, i2. AAmr
fierdam. Toin. XXVIL Part. IL pag. 381*
#' * #
. D* A. Haller Enameracia methodica Ji^ff:ps«ni
Belvettà indigenarunu
Cefi'à*dir9:
Catalooue Méthodique des Plantes qui naif
fera fans culture efL SuifTe , par le D. A. Haller , &c.
A Gottif^enj L742«ibUo^ % Tomss. Tom. XXTX.
Fart II« pag. 2<55, Ce 4 .Flora
1
46 M E D E C I N E, &c;
♦ ♦ ♦ ->
Flora Sibirica five Hifloria Plantanim Sibi&iac«
Ceft'à^dire;
Description des Plantes de la Smerie. Tome L
par J. G. Gmelin. A Pétersbourg,±. avec L. Planches.
Tom, XXXIX. Part, II. pag. 304.
Du même Ouvrage le Tome fecmd^ contenant
XCVIIl. Flancbes,^. A Pétersbeurg, 1749, Tonu
L. Part. I. pag. 41.
OUVRAGES
Qui traitent des
SCIENCES , ARTS , DECOUVERTES ,
des INVENTIONS , &c.
pHiLOSoraicAL Transactions y &c.
* Cefl'à-dire:
' Transactions Philosophiques , qui contiennent
des Mémoires , des entreprijes , des études 6f dès trà'
vaux modernes de perfonnes ingénieufesquife trouvera
dans différenspùHs^poMT les Années 1739, 1740. 4*
Jig. A Londres. Tom. XXXV. Part. IL pag, 372.
Le même Ouvrage pour r^n^^e I74i- Tom.
XXXVl. Part. II. pag. 319.
Le même Ouvrage pour les Années 11 ^^^ I743»
Tom. XXXVIL Part, II. pag. 243.
^ Le même Ouvrage pour V Armée 1744. Tom,
XXXVm. Paru L pag. ij8. ' * *
Le même Ouvrage pour V Armée 1744. Second
lifitrait. Tom.XXXVIILPart.II,pag. 15a.
Le même Ouvrage [toxaV Armée 1745» Tom.
XXXIX. Part. I, pag. 3. Le
SCIEÏSfCES ET ARTS. f»
• 'LemêmeOuvrage^arYArméeiy^'^' Second iî«-
$rait. Tom. XXXIX. Pardi, pag. 41 (5.
Le même Ouvrage pour V Année i-j0, Tom. XL.
Part. I. pag. 180.
Le mêm$ Ouvrage pour V Année 1 746. Second fix-
erait. Tom. XL. Parc. IL pag. 400.
Le même Ouvrage pour V Année 1 747* Tom. XLIII.
Part. L pag. 178.
Le même Ouvrage pour V Année 1 747. 'Second £«-
traiu Tom. XLlll. Parc. IL pag. 409.
Le mima Ouvrage pour V Année 1 748. Tom. XLVL
Part. U. pàg. 357.
♦ ♦ ♦
Histoire de TAcademie Royale des Sciences,
Année in^. Tom. XXVIi. Parc. U. pag. 326. L'Ex-
trait des Mémoires de Machémacique éf ie-Pbyfîque
^e cetre ACADEMIE pour la m^mff année iTS^.fe trou-
ve. Xom. XXVIII. Part. U. pag. 432.
Du même Ouvrage r-r^mi^^i739..pourri/(/?o/f*.
Tom. XXXI. Part. J. pag. 172. Ec pour les Aféwoî-
res. Tom.XXXLParc.il. pag. 456.
Du même Ouvrage V Année 1740. pour VHiJioîre.
Tom. XXXII. Parc. II. pag. 372. Et pour letf Mé-
moires. Tom. XXXIII. Parc. II. pag. 454.
- Dtf même Ouvrage V Année 1741. pour VHifloîre.
Tom. XXXV. Parc. L pag. 184. Et pour les Mémoi-
res. Tom. XXX V.Parc. II. pag. 440.
Dtt même Ouvrage V Année 1742. pour l'i/i/îoire..
Tom. XXXIX. Part. L pag. i8ï. Ec pour les iW^-
mQÎres. Tom. XXXIX. Parc. II. pag. 457.
Du même Ouvrage V Année 1 743. pour VHifloir»
Tom. XLL Parc. I. pag. 124. Et pour les Mémoires,
Tom. XLL Paie. U. pag. 456. Ce 5 Dti
4% SCIENCES HT ARTSi
. Dif même Ouvrage Vj^nnée i744» poui? ^Hîji^re.
ToiD. XLII. Parc. I. pag. -19a. ]£t pour les AMmmres^
Tom. XLII. Part. II. pag. 405,
D« môme Ouvrage V Année 1/45. pour VHifteirç.
Tom. XLV. Part. I. pag. 213. Et pour les Mémoires.
Tom. XLV. Part. II. pag. 317.
* « »
KoNGU-Swenska Wttensh^ Aeaimkns Hand*
lingar.
Ceji'à'dire:
Mémoires de ^Académie Rotale des SaENCE«
rfe Suéde. Stokbolm. Fi'smier Extrait pour les Tomes
Ifit lUquirépffndens aux Années 1739, 1740& 1741 »
a Tom. XXX ViJL Part. I. pag. 3.
Mémoires delamâme Académie pour les Années
1742. 1743. Tom. XXXVIII. Part. IL pag. 48.
Mémoires de la même ^at^^mtV pour les ^fw^
1 744 & 1 745. Tom. XXXIX. Part. I. pag. jk).
Mémoires de la même Académie pour les Années
1746 & 1747. Tom.XLL Part. Lpag. i9«
* * »
Versuche «nrf Abhandlungen der Naturfor-
fcheudeQ GeTellfcbaft in Dantzig.
Ceft*à-dire: '
Essais £f Mémoires de la Société des Amateurs
de VHiJlotre Naturelle ^ formée à Dantzig* Tome
Premier. AD/OTt2Î5i747.4. avecfig, Tom.XLIV.
Part. IL pag. 384.
» « »
Novi CoMMEwTARii Academis Scieutlarum loi»
perialis PetropoHtanse Tm. L
Ceft^à-dire:
Nouveaux Mémoires de l'Académie Impériale
des Sciences de St. Pétershour/r^ Tome h pour les Années
1747 & 1748. A St. P^ferj^oar^ 1750 4.avecxvii
Fkncbes. Tom.XLVLPart.lI.pag.243. . Dit
/
\
se TE NGES ET ARTS. 45.
■^ 0u même Ouvrage^ leToiTi.II, pour VAûnée 1749 A.
S'Cf FétersbourgM Toin. L. Parc. 1. pag. 146.
* ♦ ♦
SciENTiA Navalis , fcu TfoSotus de cmfiruendîs
acdirigeniiUmvibus. Fars prior ^nomple&cns theo-
riam univerfam de flcu ac motu aquarum. Fars pojle'
Wor,inquâ rationes ac prscepta navium conitruen-
darum acgubernandarum fufiùs exponuntur. Auétore^
Leonharoo EtTLERO. Indar fupplementi àd Tomum
L Novor. Qmmeraar. Academ, Scient. Mperialis.
Ceft-à-dire:
Traite* fur l'arc de bâtir & de gouverner lesVaif.
féaux par Mr. L. Euler, A St. Fétersdourg , 1 749. 4*
II Tom. ïom. XLVL Parc. IL pag. 265.
♦ ♦ ♦
Histoire des Nouvelles Découvertes faîtes de*
puis quelques années efi Allemagne ,/ttr i'ELECTRiti»
TE*. Tom. XXXIV. Part. I. pag. 3.
♦ ♦ ♦
Mémoire fur les nouvelles découvertes qu*on a faî-
tes par rapporcà PElectricite'. Tom. XXXVIIU
Part. II. pag. 104.
♦ * ♦
De quamplurimis Phosphoris nuticprimùm deteQi^
Commencarius*
' ' Cejl'à'dire:
Mémoire fur un grand nombre ie Phosphores
muvellemen$ découverts. A Bologne y 17^/^^ 4. Tom.
XXXV. Part. I. pag. 3.
♦ ♦ ♦ ^
Métallurgie^ ou l'Art de tirer (f de purifier 1er
Métaux, traduite de TÈfpagnol d'AbriiONSE Barbà,
&c. II Tom. A Paris 1752. Tom.XLVllLPart.II.
pag. 408.
♦ ♦ ♦
Nouvelles Découvertes /ditw flVffc le Microf'
çepe par T. Needham. Avec un Mémoire jwr hs-
44 SCIENCES KT ARTS.
FoLTFES à Bcuquetf ff fur ceux en fntoniMc r , PHt
A.TREMBLET, 12, ALfyrfei747- Tom. XXXDL
Farc. I. pag. 35-
♦ « *
Manuel Philosophique , ou Précis univerfel ies
ScieDces, 12. hUlUy 1748. Tom. XLli. Part il.
pag. 455.
« * *
Akt de faire éclorre i^ d'élever en toute faifon des
' Oiseaux Domestiques de toutes ejpêces^joit par le
moyen delà chaleur du fumier , fait par le moyen de celle
du feu ordinaire. Par Mr. de Rr aumlr , II. Tomes ,
i2.Avec figures. A Paris 1 749. Touj. XLl V. Part. IL
pag. 26p.
♦ ♦ «
Pratique de VArt de faire éclorre é? d'élever en tau»
tefaifon des Oiseaux Domestiques detouteii^jpéc^j-,
par Mr. ïîeReaumur, 12. A Pan-r, 1751. Tom.
XLIX. Part. II. pag. 243-
« « «
' Méthode pour faire un Aiman zrtlfide] fans leje-
cmrsde l'Aimaii naturel , communiquée à la Société Ro'
yole de Londres , par Jean Canton. A Londres 1751.'''
Tom. XL VU. Part. 1. pag. 213.
♦ * «
Defcription du VENTiLATtUR^parfemoy^n duquel'
m peut renouveller » facilement (f en grande quantité ,
rAir des Mines ^'des PnTons , des Hôpitaux ; des Mai-
fons de force (^ des Vaîflèaux : Où Vtm fait voir f on u-
tilité pour conferver toutes fortes de Grains d* humidités
(^ de corruption. Comme aujjipourfecber le Blé ^ la Drè-
che , le Houblon , la Poudre à canon , &c. Par Mr. E.
Hales, traduk de V Anglais ^ 8. A Paris , 1744.
Tom. XXXVIli. Part. II. pag. 87-
♦ ♦ ♦
L'Art d' apprendre la G eographir fans Maître; ou.
Méthode nouvelle d'étudier facilement t^ en peu de
tems
SCIENCES ET ARTS* 45;
tems la Géographie, 1 2. A Utrecbt 1 742. Tom. XXVIII.
Part, I. pag. 190.
* « *
Verhandf.lino toteenProevâf oniteweetendeprO'
hablemenigtedes Volks in de FrwintievanHoUanden
Wefifriejlandy 6f<?.
Cejl'à'dire:
s TRAiTR\fervafa d'effai pour prouver le nombtjepr (h
hable 4es Habitans de la Province de Hollande (^ IVeft"
frife , S'r, Second Traité/ttr le mimfujet , &c. Troî-
fièiiie Traité qui contient uneDémon/irationdelapro»
portion du nombre des Habitans avec celui des Naijjhn*
ees,(^la valeur des Rentes Viagères ^proportionnée aux.
Pbligacions rembourfables , &c. A la Haye t, 4«
Tom. XXX. Part. I. pag. i8r.
♦ « ♦
. Ebauche d'une recherche à faire fur h Ville de Ro^
jAE , pour établir la conformité 011' il par^ity avoir entre
les nailTances dans cette Ville , cf la proportion quiaéti
cofiflatée dans la Province de Hollande & deWeft-Fri-
fe,Éf par laquelle ilparottquele Nombre total du Peuple
y eji, entout tems autant de fois de 35 /Imes » de tout âge ,
qu'il y natt \JN Enfant vivant par an. Fat iVîr. W.Kers-
SEBOOM. Tom. XXXIV. Part. II. pag. 402.
« * .«
Du Rapport qu'a la Table du célèbre D. Hallet
enec les idées <^e Mr. de Buffon, pour fonder uneKè^
gle des probabilîcék de la durée de la vie humaine.
Tom. L. Part. IL pag. 378.
• ^ ♦ ♦ «
De OïiiGiNE & Incremencis TrpooRAPUiis Lxp-
siLNsiS, Liber fingularis , &c.
Ceft'à^dire:
De l'Origine 6P des Progre's de l'Imprimerie
dans la Fille de Leipzig, ^^vec un Supplément aux An«
nales Typographiques de Mr. Maittaiue, pour les
*JJvres irnprimés'dans le XV. Siècle. ^ Leipzig» 1 740.
^ Tom. XX VL Part. L pag. 193. Hbv
^x
4(î SCIENCES ET ARTS^
♦ ♦ ♦
H£T DERDf Jubbljaaa deruitgevondeoeBoEK-
imUKKOKST, &c
Ceji^à-dire:
Lb TfiôisiEMS Jubile' de L'iMPRutEBiB , ou liéia*
tîonexaSe de la découverte de ce nohUJirt^ defispré^
miersProgris.fjl les grands avantages que fm en a reti*
ris. Far Jean Chrétien Seiz. ':^jFr(irl^ffi,i746«8*
Tom. XXVI. Parc U. pag. 458.
Du mime Ouvrage Second Extrait. Tom. XXVII^
fart, L pag. 3.
♦ ♦ ♦
Lettie d'un Bibliothécaire de Genève fur Jeait
pAusT , Imprimeur de Mayence. Tom. XXXV. Paru
L pag. 141.
« « *
Ess Ai/ar la Marine des Anciens , (f paHiculiire*
ment fur leurs Vaijjeaux de Guerre parMr.DESLArr*
Dzs . 8. Avec Figures, A Paris 1 748. Tom. XLII«
Part. I. pag. 8y.
♦ « «
Institutions Militaires de VEOECE.UnVoIume^.
A Amfierdam 1 744. Tom. XXXIII. Paru II. pag, ^^^^
AUTEURS GRECS ou LATINS,
Ouvrages d'ANTIQUITE\ de LITTERATURE,
de CRITIQUE, & de BELLES-LETTRES.
AT2I0T r« ^tftynifavM. I«7SIJB Oratimes & Frag»
menta^ GraBce& Latine. Ad fîdem Codd. Manu*
fer. recenfuit , Notis Criticis^ Interpretatione Nova, ce-
teroque apparatu neceflario donavit J. Tayloe. Ac«
cedunc Ci^ Jee. Marelandi Conje&urœ. ■
Ceft'à'dire:
. Les Harangues f$ les Fraguiens juî nous reftent
ANTIQUITE' EtBELLES-LKTTR. 47
àerOratturhYsiAS.^ mGree(^en Lstin. NottvelleE'
dition , revue fur- les Mamfcrits , accmpagnée dune
nouvelle Verfion.t/tf Noies Critiques, (^ autres ^bofes
nécejjafres , par Mr. Tatlo'r , qui aujji a joint ici Us
Conjeftures (^crM*. Maukland , 4. A Lmdresy 1739.
Tom. XXVL Part. l. pag. 3.
Du mime Ouvrage fécond Extrait. Tonu XXVL
Part. IL pag. î^yi.
« ♦ «
Fhilonis Judaei Opéra qua reperiripoiueruntom^
nia. Textum cum MSS. contulity quam plurima etîaai
è Çodd. Faticano , Mediceo & Bodlejano , Scriptoribus
etiam vetuftîs, nec non CatentsGrœcisintàxtïSt^dL^
jecit , Intèrjiretationemque emendavit , univerfa No»
lis & Obferyationibus illuftravit Thomas Mangea.
Land. 1742. Enii, Volumes in folio. Tom.^XXXlJL
Fart. II. pag. 299.
* « #
. AlOàHTOrTOr SIKEAIÛTOT BifiXfBi^ç 'hcfi'
Cefi-à'dire:
La BiBLiotHEQUE HisTOEiQUE de DroDORE de Sr-
ciLE, avec la Ferfion de Laurent Rbodoma?i; le tout
.corrigé fujr Jes,MSS.parPxERKEWEssRHJVG, qui y
a ajouté les Notes de H. Etienne^ die L. Rbodotnan, de F.
Urjînus , de H. de Falois , de J. Palmier , & les ficrinès^
avec des Indices fort amples. En deux Toiles infpUo.
A Amfiefdant,} 745.Tom. XXXVI. Parc L pag. 1 04.
Du même Ouvrage fécond Extrait. Tom. XXXVL
Part. II. pag. 265.
« * *■
AOTKIANOT IIAMOSATfias AnANTA. LUCTA-
Kl SaMOSATENfric Oper^ cum novaverfione lUer*
Hemflerbufii & Jo. MattbiœGefneri, Grœcis Scholiîs»
ac noci» oianiuai'pioxîQM» edkîoois Coaunentata-
rum.
-4» ANTIQUITE' ET BELLES-LETTR*
rum. Addîtis Jo. Brodai, 7o.JenJti, Lud.Kufierî,
hamh. Bofti, Hor. Fitringœ, Jo. de la Faye» Ed. Leedes^
aliifque ineditis , ac praecipue Mofis Sohni diJ.M.
Gejneri. Prioreui operis partem ûinimo fludio cura-
. vit & illuftravit Tiberius Hemjkrbufius. Cetews inde
partes ordiûavit, notafque fuas adjecit Jo. Fredericus
JUitzms^ 4. m TomL Amfielod. 1743.
Cefi'à'dire:
Les Ouvrages de Lucien ^ avec laTraduBîonde
Mejfieurs Hemsterhuis fS Gesnlr , le Scboliafie
Grec ^ toutes les Notes de la dernière Eiition. On y a a-
joûtô les Notes de Brodâeus , JemsiuSi écc. avec d*au-
tres,qui n'ont pas.encore été publiées, fur- tout celles
de Meffîeurs du Soûl & Gbsnrr. 4. III Tomes» A
jîmfierdam 1743. Tom. XXXI. Part. I. pa^. 3.
« « «
'?nfp«K9 içuTtKSf hv/nfutruf ?iû'yêt Hi. Jacobut Pbilippus
d'Ûrville publicavit-, animadverûonefque adjecit.
Ceft.à'dire:
Les Amours de Cher^'e & de Callirrhoe' par
Chariton d'Aphrbdifée, publiés (^ enricbis de re-
marques ^^ir Mr. d'ÛR VILLE. A,Amfterdami7SO»4»
Tom. XLV. Part. IL pag. 331.
* ♦ ♦ -
Ceji'à'dîre:
L'histoire Romaine ie Dion Cassius Coccejen,
en deux Folùmes in folio ^ A Hambourg 1750. Tom*
XLIX. Part. I. pag. 152.
* « «
AucTORES Mytographi Latini, Cajusjulius
Hyginus , Fab. Planciad. Fulgentius^ La&anius , P/a«
cidus jllbricus Pbilofopbus, cum integris Commenta*
riis JacM Micylli, Jobannis Scbeff^eri^ & Tbotna
Munckeri, quibus accedunt Tb, PFopkenJHZmenâA»
tio^
ANTIQUITE' ET BÊLLES-LETTR. 49
tîones ac Conjeâurae» curznic jéugufiino vanStave^
ren^ qui & fuas Ânimadverûones adjecit. 4. Ainjtelc^
dami, 1742.
Çeji'à'dire:
Les Auteurs des Fables Poétiques , Hyginus^
&c. Par les foins & avec les noces de Mr.-njc^n ^ta'os:
reny 4. Tôm. X^VilI. Part. I. pag. 181.
* « #
' PUBLII VlROILII MaRONIS OpERA » &C.
C'eft ' à - dire*
. Les Oeuvres de Virgile avec les Commefitaîrescmm
plets if plus correBs de Servius , de Philargyrius 6f de
Pierius , auxquels on a joint les notes ^eFulvius Urfi*
nus, de George Fabricius, ^^ François Nanfius» de
Jean Mirfonîus »ieTanaquiI le Fèvre , ffdeplufiiurs
autres ; fur tout cellesde Nicolas Heinfîus qui n'avoient
point encore paru y àquoiFitLRjiiLBïJUMAxaajoûtifes
Remarques fur tout l'ouvrage , (f les variantes fur Ser-
vius; &c. Avec^des Indicestrès complets ff detrès jo*
Hes'Jigures.àAmderdsimy /746. IV. Vol. 4, Toin.
XXXIX. Part. IL pag. 340.
Du même Ouvrage Second Extrait. Tom. XL.
Part. I. pag. 53.
. Du m(me Ouvrage Troîfîème & dernier Extraits
Tom. XL. Part. IX. pag. 417.
« * *
NicoLAi Ei£iNsii,DA/i. fil. Adverfariorum LiM
IF, nunquam antea edici , &c.
Ceft 'à-dire:
. Recueil ^«Nicolas Heinsius, divifé en quatre Li-
vres ^ dans lef quels onacorrigéff expliqué beaucoup de
Paffages i^j anciens Auteurs » (ffur -tout des Poètes.
On y a joint les Notes du même Auteur fur Catulle &
, Properce t publiées à préfent pour la .première fois
par P.BuRMAN Junior ^^, A HarHnge 1742. Tom.
XXIX. Parc L .pag. 73.
Dd Ca.
^
50 ANTIQUITE' et BELLES-LETTIL
« « •
Cajus Sugtonius Tranquillu^ es recenfiooe
Francifci Oudendorpii , &c.
Cefl'à'-dirtî
C. SuETQïf Efrtw par Mr. F.Oudendorp,^' y a joint
Us variantâs, (^fes remarques^ parmi UfquelUs m trm*
ve celles de t. G. Grmvm^ffdeJ. Grbnovius, amme
auffi celles de Mr. Duker, à LMi 1751» 8. Tom.
XLVL Parc. I; pag. Zg.
« * «
Public VisGiLii Maronîs Georgicorum , £fc.the
C£ORGICKS Of VlROIL , f^C,
Ceft'à'dîre:
^ Les GsoÈGiquEs D£ Viroilb avec une TraduUion
Cf ieiATor^xAngloifes, par JeanMarttn, Membre
de la Société Royak^(^c. h Londres i^ ^6.%. Toin«
XXXVII. Part. IL pag. 441.
« * *
TtiOt&OwKAaEsdeXENOPBOv; le ptemier intitulé
Portrait de la Condition des Rois, traduit en Fran-
çois par Mr. Costa ; le fécond ^ la Retraite desDm^
Mille, traduit par Mr. J'Ablancourt ; (^letrùifiê-
ine , les Choses Mémorables de Socratie, traduit paf
iîr. CiaAi(^£]^Tt£it, avec là VhdeceFbitffefhe^ iZm
IL Tmes , A Amfi. Tom. XXXIV, Part. II. pàg. aicx
* ♦ ♦
Oeuvres àe Tacite, traduites en PraihfmSy anee
des Notes Politiques & HifiùHqnes,pàr Mir. AmelO*'
de la HoussATE. IV; Tomes , \i. Quatrième Edition.
hAmftérdam. 1 747. Tom. XXXIX. Part U. pâjg. 443.
♦ ♦ »
CoLUiyiNivTRA jANA , exhibens btfloriaiti utrkifqtte
^elii Dactciâ Trajmo Qtfirejiuguftùgeiïiz abAil*
DREA Morellio a^puratë ddineata & in aère înctfil,
nova defcrlptione & oKervationîbus iidoftrata , cura
& fludio ANTOini FiUNCisci Goi»!*
ANTIQUITE' ET BELLES-LETTR. 51
Cefi'à*dire:
La Colonne de Tb ajan , repréfentant rbijtoiredes
^eux guerres quç cet Empereur ju aux Daces : dejjinéç
i^ gravée par André* Morell , & enrichie d'une imi*
:velk defcription ff de, remar/fuespar Mr, A,1\Gorï 9
fiokffeixï à Fioxence. Cet Ouvrage eft omi d^ ailleurs
de divers Monumens d'Antiquité très précieux {y
jaccompagnés des Explications ^«xpiajftfnomm^x Anti-
quaires. A Amfierdam^ folio. i75ï« Tom, XLVII.
Part. H. pag. 380.
« ♦ ♦
Blasii Caryophili Opufcula de Maumoribus An-
Tiqyis. Pafcbalis Caryophili Differtationes de Ther-
jdis Herculanis & de Tliermarum Ufu.
Ceft 'à-dire:
Ouvrages de B. Cajiyophile fur les Marbres An-
tiques , auxquels on a joint des Diflertations de P. Ca-
RYOPHiLE/ttf les Bskinsd*Hi£YCix\et(j*furl'ufagedes
Bains, 4. A Utrecbt 1743. Tom. XXXill. Part. IL
pag. 412.
* ♦ ♦
De Feterum Clypeîs , Blasii Cariophili Opufcu-
lum y &c.
Cejirà-dire:
Traite* des Boucliers des Anciens par Blaisé Ca-
*iQPHHiE , 4. A Leide 1 7 5 1. Tom. L. Part. I, pag; 34.
« « «
Parallèle de la Ghronkjub des Marbres âcParos^
-dits les Marbres <f ARUNDEt , comparée avec celle
à^Egypteyqai en démontre les défauts,par Mr. Vj^bbi
RiCHfiRDuBoucHfiT. Tom.XLV. Part. IL pag. 42 S.
« ♦ ♦
- Antiquitates Mxddletonianje : Germana qua •
•dam Antiquitatis exuâ'im Monumerua ^ <imbu$ Rotna'
mrum veterum Ritus Varii tam Sacri qiiam PrOfanI,
tum Grmcênm ^iqMe ^Slgyftiorum nonnullî , tlludran»
4sur, &c i Ç. MiDDUTow. LomUnir 1745. 4. -
Dd a Cejh
S2 ANTIQUITE' et BELLES LETTR,
Cefi-à dire:
Antiquite's m iDDLBToMiiNNfis : Monutuens ûU'
thentiques de l' AntiquntJananZe , qui fervent à éclaifcir
'diverjes QmtumesUnt (ocrées que profanes des anciens
Romains , &f quelques-unes des Grées (^ des Efiypttens^
reeueillis autrefois en grande partie à Home , ffaccoM*
pagnes de DiJ[JertaSions particulières fur chacun d'eux.
Par CoNTEKS Mtddletom , &c. Tom. XXXiV.
Farc II. pag. 243.
* « *
Dpscbizione d'elle prime fcoperte d'eir anti'ca CîN
ti &Efxoiano, rîtrovata vicino a Fortici^ diflefadal
Cavalière Maxchefe Don Marcello de Fenuti , &c.
Ceff'à'dire:
DiSCBiPTiON des premières découvertes de Tan*
clenne Ville d'i/erruionettmjetrouvée anpiès dePor-
tiVt.MaifoD de plaifance de S. M. le Rot des deux Sici^
les ; rédigées par le Chevalier Marquis Don Marcel de
Venuti. A Fenize i749.Tom.XLVII. Part. !• pag. 185.
Duméme Ouvrage (ccond Kxtrais. Tom.XLVIIL
Part I. pag. 3.
« « «
Lettre deMonJiew.de Boxe fur uneMEDATLLE an»
(ifttf ieSMYRNE, du Cabinet de Moniteur le Comte de
Thoms . qui y a joint fa Répenfe. 4. A /« HajCf 1 744*
Tool XXXIil. Part. 1. pag. 169.
« « «
Thésaurus MoRfiLLiANus,^ve Chbist-Schleo^
LU, Sigeb.Havercampi, & Amtonii Franc. Gorii
CoMMivJ^TARiA f fi XllprioTum ImperatorumRoma*
VORUMNumifmata,ad ipfos Nummos accuratijfimê
delineata^ è celeberrimo Anttquario Andréa Morel-
Lio. jiccedunt CL Gonii Defcriptio Columnje Tr a-
jANJB,à MoRELLio itîdem eiegantiflîmè in es îocifse;
nec non Triftani^ Rubénii, zcHardutni^ interpréta-
tioacspretiçljâiiiioruin aliquot AntiquiutiiMprui-
r"
ANTIQUITE' ET BELLES LETTR, 53
Bientorutn^ Cum Prsfatione P^tri WiLSSuuvGii*
Fol. m. ToiD.
/ Cefi-à dire:
Le TR'cfOR de Mobel, ou Commentaires de
Chrétien Schlegel , de Siglbert Havêrcami» , 5f
i*ANTOiNE François Gori .Jur les Médailles d^or ,
d'argent , de bronze , de toutes efpêces, des Xlï. premiers
Empereurs KoMAivs,recueJllies avec beautoup defoin^
^ dfiffinées très exa&ementfur les Origiîiaux , par An-
dré* MouEL , très célèbre Antiquaim On y a joint la
defcription^ faite par Mr. GoRr, de la Colonne rfff
Trajan , que Morel lui même a gravée en bronze , (^
fut ejl d'une beauté parfaite. On y trouve encore les Re-
fnarques de Triflan , deBMbens ^ {^ d'H^rdouln ^ fur
V quelques-uns des Mimumens les plus précieux de VAnti^
quité. Avec une Pr^of^ de Mr. Pierre Wessf.lino.
En III Tomes, ¥o\\o^ dont les deux premiers renfer»
f^tt V explication des Médailles^ (^ le troifième les Plan*
ebes. A Amjierdam, 1752. Tom. XLiX. Part, II.
pafr 354.
* * •
NUMMOPÛTLAClUMREGINiE CHRISTINjgS, &C. CUM
Commentarlo Sigebbrti Havercampi/
C'eft'à'dire:
Médailles de grand & de moyen bronze du Ca«
binet de la Reine Christine , gravées exaétemenc
«d'après les Originaux par te célèbre Pietro Santé Bar'
iolo/ en 6'^ Planches expliquées par un Commentaire
de Sio. Havercamp , Folio 1742. KWHà'fei' Tôm.
XSX. Part. I. pag. 64. , \ .
. « ♦ ♦
Constantini Porphyrogenniti Tmperatorîs CW-
Jiantinopolitani Librl duo de Cerimonlls AulaByzan-
tinœ, &C «
Cefl'àdire:
Les deux Livres de TEmpereur Constantin Poe*
MT&Q6£NN&r£, fur le Cérémonial de la Cour det
* Dd 3 C$n*
/
54 ANTIQUITE' et BELLES LÏÏTTS:*
ConJIantinople; publiés pour la première fois en Gr»^
à. en Latin ^ & accompagnés de Commentaires de
Mrs. J. H. Leich, & J. J.REisKe, fol. TomeL A
Leipzig* Tom. XLVIl. Part. II. pag. 420.
* » •
SrLLooE altéra Scrîptorum qui de Likgua GnmCM
vera & re6bi Pronuntiatione Qnfimentûrios relipie'
funt; Ptdelicet^ D. Ekasmi, S. VïNTOsiMrsrs , J»
Checi, t. Smith , G. Martini , £f Ë. Schmipt,&c«
ÈdidU S. Hav£Kcampius*
Cefi'à'direz
Recueil de Traités de divers Auteurs fur la vérhAU
Prononciation de la Langue Grecque. Tome Su*
cond , qui contient ce qu'ont écrit là - dejjus , El^AS^E^
E. Gardiner , &c. A quoi on ajoint un petit Lit^e três^
• rare de G. PosTEL^r Us Lettres desPHEKiciENs,
ou/ttf l'ancien Caradlère àttLanguesGrecque fef Lott*
ne , &c. Par Mr. Havercamp', 8. A Leide 174CX
Tom. XXVri. Part. l. pag. 29. \pExtrait du Twu
premier fe trouve au Tome, XVlll.]
♦ ♦ ♦
LiNGUJS Sinarum Mandarinier ' Bîerôglypbicw ^
Grammacica duplex, <Scc. .
Cejl'à'dire:
Grammaire delà Langue Cbinoisï ; avec un Ca^
talogue des Livres Chinois de la Èililiotbêque du Rùîi
JPar Mr. E. Fourmokt, &c. AP«fiV,Fol. Tom.
XXXIL Part. IL pag. 294.
-' # * «
Hxrxior AEEIKON, HesVciiiIe I^îcoN,cora !&•
.*« Virorum doftorum integris^ vel editis,ve\ ineditis^
fuas Animadverfîohes perpétuas adjccitJ.AiAERT^, .
fol. Lugduhi Bâtavorum i i 46.'
Cejl'à'dire:
, Lexique i'HE'srcHius avec les Notes entières des
Sa vans 4 tant celles qutn* avaient jamais étépuhlîées^ que
celles qui VaôoierÉt déjà été , ^qu^é donne'préjerttemenà
plus
ANTIQUITE» ET BELLES LETTR. SS
plus corr estes f Par Jeon Alberti, To)neLFQli9.TovDu
XXXVIII. Part, i: pag. 6%.
* • *
T. MoLLE&i CiMBRiA Literata.
Ceji'àdire:
La CiMfiRiE Savante, ou Hifioire L^it^éraire des
Savons des Duchés de Sleiswk (^ de Holftein,;iuxqueli
PQ a ajpûcé quelques -^ns des Faïsvoifins. ParjËAir
MoLLER. A Copenbagtie I744t en trois Volumes FgL
Tom. XXXV. Part. IL pag. 416.
•' Du mime Ouvrage Second £x^faii.Tom.XXXVI.
Paru L pag. 172,
« • *
Pauli Co&t£su , de Homini^us D0CTI6 , Dialo*
{US) &&
Cefl^à'dire:
* Dialogue yur les Savans qui ont fleuri enltUle,
€«mpofé par le célèbre Paul Cortesi, avec quelques
Ejsmarques, ff la Fie de l* Auteur 9 &c. A Florence t
1734, 4. Tom XXVI, Part. L pag. 180.
# * •
H1ST0RIA Jacobitarum ,/tftt Coptorum inJ&gyp*
<Ot Lîbya,Nubia^ &c. Opéra J.A5UDACifi,Anno^
iationifcKis J. Nicolat.
Cjift'à-dire:
]Eiiçrptt£ dfs J ACOBiTÊs m Cqphtes , répandus en
Egypte, en Libye, en Nubie, en Ethiopie ^f^étor
une partie de i*Ilt ie Cypre ; par Josl^h Abudacve, né
ixtemphis; avec des Notes de JzAnNïÇifi^tS» Fubliéê
par Mr. S. Havercamp. â Leide, 1740» 8* Ton)*
XXVXIL PaiL II. pag. 427.
♦ # ♦
. Petbx â'EMVLO Carmen de Motibiis Slculis > &c»
Ceft'à'dire: -
' PoEME fur les troubles de la SicUe & fur ce qui s'eft
paffé entré l'Empereur Henri F7. & Tancrêde. Par
fh^f^Mf^» Ml^. $m.ntm4crst de laBibliotbèque
j Dd4 d»
56 ANTIQUITE' et BELLES-LETTR.
de Berne, &c. A Bajle 1746. 4. Tom* XXXVIIL
Part. II. pag. 18. '
♦ » ♦ .
Secmd Mémoire fur un aricf m Manuscrit f» Pa-
pier d'Egypte. Tom. ^XVIII. Part. IL pag. 465. Qe
premier Je trouve tu Tome XXIV).
♦ ♦ ♦
The Hiftory of the Life o/M. Tullius Ciceco;
By MiDDLETON.
Ceft'à'dire:
La Vie de Cicerow , par Cqnters .MiDDLETOir.
A Londres, 1741. 2 Vol. 4. Tom. XXVIlLPart.^.
P«g 147.
« * «
Dts AwriQUiTE's de laN ATiON^ &delaMoNAUf
CHiE Françoise. Par Mr. le Gendre ^H^arqui^ de
St. Aubin fur Loire. A Paris, 1741. 4. Tom. XXVIII.
Part. II. pag. 344.
« « «
« Mémoires Critiques pour fervir d'éclaîrccflê*
mens^ttr divers points de THIfloire Ancienne de Fa
Suisse , &fur les Monumens d'Antiquité qui la cm^
cernent; avec une nouvelle Carte de la SuiŒe ancienne.
Par Mr. Loys de Bochat , Tome L A Laufanne i -jj^i.
4. Tom. XL. Part. I, pag. 95,
' Du fn^mr Ouvrage (e Tome fécond. Tom. XLIIL
Part. IL pag. 268.
Du même Ouvre^e le Tome troijiême. Toau
XLVII. Part. L pag. ig.
« ♦•♦
Eclaïrcissemens GEOGRAi»HiQUis/tff Pj4ncienne
Gauleyprécédés d'un Traitédes Mesures Itinéraires
des Romains if delà Lieue Gauloise. Par Mr. Dan-
ville, Géographe ordinaire du Roi. h Pans ^
1741. 12. Tom. XXIX. Part. ï. pag. 55.
« « *
An Enquirt into tbe Foundation ^ibeENOLtsm
Çoiaftitution , &ç. , .. • . c^;
ANTIQUITE' ET BELLE s LETTR. f?
Cefi-à-dire:
Recherches /ur rOrigînè delà Conftîcutîon An-
gloire ,• ou EJfai Hiftorique Jur le Gouvernement An-
glo-Saxon , tant en Allemagne qu*en Angleterre. Par
Samuel Squiue. A Londres i-j^s.S^ Tom. XXXVi.
•Part. I. pag. 52.
♦ ♦ ♦
A Treatise on tbe Roma.v SENATE,Êfr.
Ce/l'à'dîre:
Traite' fur le Sénat Romatn, en deux Parties.
Far C. MiddleTon ,8. A Londres 1 747. Tom. XL.
Part. I. pag. 3.
» ♦ ♦ .
J, B. Ottii Spicïîegium ^five Excerpta ex Fla vio
JosEPHO ad Novi TeftamerUi illuftratîonem , curi S»
Havercampi.
Cefl'à'dire:
Recueil de divers Endroits de Flave Jos ep hë pour
iclaircir quelques Pajages du Nouveau Teftameot,
parj. B. OttIus. Pi;6/i^ par Mr. Ha yercamp, 8. A
Leide, 1741. Tom.XXVlU. Part. IL pag. 278.
♦ ♦ ♦ .
The Chrqnologt oftbe Hebrew Bible vmJira«
ted^&c.
Cefi'à'dire:
DiFENSE de la Chronologie du Texte Hébreu , o)k
Ton compare les faits qui y font rapportés avec lé»
Hiftoires Anciennes ^& oh on lève les diÛSlculcésoui
5*y trouvent , depuis te Déluge }{iÇK\\i'k la mort de Maî*
fe, &c. Par MUord Robert Evêque de Qogber. A
£é0ndresi7^T,/^. Tom. XL. Part. IL pag. 439.
» » *
Dissertation CRiTiQUB/iir fa Chronologie d'Us-
tERius,ttr^ du Texte Hébreu des Juifs modernes,
où l^on démontre .qu'elle ejifauje » nouvelle , contraU
re au Texte Sacré , &c. Tom. XLVIIL Part. IL
pag. 338.
Dd 5 L'A*
5« ANTIQUITE' «tBELLESLETTR:
♦ ♦ #-
L'AfOLOca ée Moïse cmOre A?ion , m Apion cên*
vmacu éfiwMfim-e par le Texte de Maoetbon , dota il
Mmye fùuffemefiX Us calomnies piU a débites contre
lioife tJuMe ivn Examen d'un MSS. antique de Syn-
celle, fer Mr. TAbbé Riches, du Bouchet. Toin»
XLVIL Fait. II. pdg. a«2.
» • •
Limtes de Critique» de Littesatoeb , &c. é-
crkesi divers Savans de l'Europe parfenMonfieur
tiiSBEBT Coter. Publiées fur les OriginauXy 4. A /fm-
ferdam 1742 , avec plufieurs Figures gravées en Taille
émue. Tool XXX. ParL L pag. 16.
♦ * *
Leoitaroi Bruni ARREnvi Epiflolarom Libri
THL ad fidem Codd. MSS. fupplcti , &c.
Ceft'à'dire:
LesEpttresdeL.B Anutivi ^ f^c. publiées par Wr,
Laurent Mehus , (fc. Première Partie. A Florence
1741 , 8. Tom. XXViL Part L pag. 142.
» « «
Alr. Scoultens Epiûola Prima zdF.O. Meake^
mum perfcripta, in quâ nupera receoûo Grammàti'
-OÊeEfpenUf&c. fitb examen devocatur.
Ceft'à'dire:
Première Lettrr de Mr. jûb. Scbukens à Mr.
Mtnken • dans laquelle on examine un Extraie bit de-
puis peu de la Graerniaire Arabe d^Erpemus. avec la
fféface , & les Pièces ajoutées d^Hamafi, 4. A Mde.
X74^ Tom, XUV. Parc. L pag. S7-
♦ * *
Essai HisTORiQuayùr les Ouvrages de feu Mr.
Albert ScHULTENs, ProfeiTeur en Langues Orienta-
lù$dans\lJnim[6iédtLeide. Tom. XUV. Part JI.
♦ ♦ ♦
Lettre iTim Bibliothécaire de Genève A^ le Mar*
îUedelaLEOK^TusMiÉNNX. Ton. XXXVL Parc.
J
ANTIQUITE' ET BELLES LETTR. 59
» * «
Lettre /ur le genre dç nouritare J^x prmkrs
Hommes. Tom. XXXVil. Part. L pag. 33.
« » *
Lettre d'unBibliotbécaire de Genève fur une Dif*
penfe ftngulière de Clément VL Tom. XXXVaJL
Part. II. pag. 133.
Seetmde LEfTRE far la Bulle de Clément VU
Tom. XXXIX. Part. L pag. 48.
* '« *
' Explication adm:U de la Butle de CleMêkt VI.
Tom. XLI. Part. L pjig. 97-
> . » « *
Recherches /ur la Sépulture diMoYSi. TomL
XXXI. Part II. pa^. 243.
Conformite's des Cérémonies Modernes avec Us
Anciennes , où Von prouve par des Autorités incontefm
tables^ que les Cér^onies de TEgltTe Romaine /«nt
empruntées desfzyens , &c. Par Mr. C. MmoLSTONt
12. A Amfierdam^ 1744. Tom. XXXIII. Part. IL
pag. 284.
» « «-
Dictionnaire Hi/^ori^tt^ {f Critique , par Mr.
Pierre Bayle. Gnquième Editionf revue ^ corrigée
f^ augmentée, Avec la Vie de l'Auteur^ par Mr.
T)es Maizeaux. IVVoÎI.Fo/. A Amfierdam. Tom«
XXVIL Part. II. pag. 464.
» * •-
Remarques CHtifuesfur le Dictionnaire d$
•Bayle. I>eUKVcilujncs,yWto,àPafîx, 1748. Tom.
XLIL Part. II. pag. 375.
» » *
Nouveau DrcTroNNAiREHîftorîquc & Critique
pour Jervir de Supplément ou de Continuation atiDic*
tionnaire Hiftorique & Critique de Mr. Pierre Bat*
t,E par Mr. }. G. dl CMAtTPEFiE'. II Voil. folio A Am-
fterdùm 1750. Tom. XLVL Parc, IL pag. 436. •
^
60 ANTIQUITE' ET BELLES-LETTR.
« » *
RzFLexTONs Critiques /fififverx %*tftx, 8. ii
Lmdres^ 1751. Tom. XLVIII. Part. II. pag. 166.
♦ ♦ ♦
Essais de Critique,!. Sur les Ecrits de Mr.RoL«
l.m. IL Snrkf Traducteurs d'HERonoT£. ULSUrle
Diélfonnaise Géographique & Critique de Mr. B.
L4 MARTiNiene. 12. A An^efdam\ 1740. Tom.
XXVI. Part. I. pag, 77.
♦ # ♦
Problèmes Littéraires ^fpo/éf/ aux Savans, otr^^
«n Projet ^our /'ËtabltlTement (f un Bureau Gbke*
KAL lie /a République des Lettres. Tom. XXXIX.
Twtu L pag. 201.
» • «-
Discours quî a remporté le Prix à V Académie de
IHjen en Tannée 1 750. fur cettç queftlon : Si le rétof
hHffenunt des Sciences iff des Arts a contribué à épurer
les meeurs^ accompagné de la Réfutation de ce D^
cours. A Rouen 1 7 50. 8. Tom. L. Part. IL pag. 423.
« » «
Discours prononcé par Mr. de Voltaire , le 9 de
IAm I746»â fa réception dans V Académie Francoife^
à ta place de feu Mr. le Préfident Boubier^ Tom.
XXXVL Part U. pag. 454*
» « »
* Recueil de Pièces d*£LOQUENCE , préf entées à /* A«
CADBMiE Françoise, pour les Prix qu'elle diftribue»
IV. Tomes , 12. contenant les Discours qui ont rem-
porté les Prix, 00 qfui ont concouru, depuis Tannée
J67 1 jafqu'i I*année 1 745. A Amjlerdam, 1 75a Tenu
XLV. Part. II. pag. 263*
• ♦ ♦
Histoire de TAcadémle Rojmie des Infcrtpttons
& Belles- Lettres, depuis TAnnée J7%i' infyues^
xempfist Amie 1*1^2* Tome Cinquième. Mémoires
de Littérature itirés des Régijires de la mSmeAcadé*
mie, &ç. Tome.XIlL XIV. & XV. A Awfierdm »
3741, Tom. XX VIL Part. L pag. 107. Co^r-
ANTIQUITE'-etBELLES-LETTR. 6t
♦ ♦ ♦
Considérations fur rori^ine (f les progris des
Bclles-Lettres chez les Romains , ^ Us caufes
de leur décadence. Par Mr. V/^bbé le Moine (J^Orgi*
VAL. 8. hAmfterdam^ 1750. Tom. XUV.Part.IL
pag. 424.
« » »
Essai fut 1^ Etude «^f^ Belles-Lettres » 8. Farîs
1 747. Tom. XLII. Part. I. pag. 33. '
♦ ♦ ♦
• TRAiTE'/tfV la manière de lire les Auteurs avecuti»
Uté A Farit.llL Tomes,l^^l^:om. L. Part. I. pag. 25,
Du mime Ouvrage Second Extraii. Tom. L. Paru'
II. pag. 542.
♦ ♦ »
Les vrais Principes rfe/a Langue Fbançoisb.oit
]a Parole réduite en méthode, conformément aux Loix
dePtJfage. Par Mr. T Abbé Girard, 12. KAmfier^
dam , 1 747- Tom. XXXIX. Part. I. pag. 1 30.
♦ ♦ ♦ '
Stnonymes François, leurs différentes fîgnîfîca.
tions , ^ le choix qu'il en faut faire pour parler avec
jujiejfe , par Mr. l'Abbé Girard. Et Traité de la Pro-
«ODie Françoise, par Mr. l'Abbé d*Olivet Nou.
velle Edition, 12. Ajimfterdam. Tom. XXlX Parc;
IL pag. 370.
♦ ♦ ♦■
Bibliothèque Françoise , ou , Hîftoîre de la
Littérature 'Frànçoire,&c. Par Mr. I'-^^ô^Goujet.
Tom. IIL & IV. [U Extrait des deux premiers Tomes fe '
trouve dans la L Part, du Tome XXV.] Tom. XXVlf.
Part. IL pag. 312.
T.^" «^Ottw^^ les Tomes cinquiime&ftxiimt.
Tom. XXX. Part. IL pag. 38<5.
Tom, XXXV. Paît, L pag, 12^^
Da
.»
I
I
Ca H I S T O I RE.
Du mime Ouvrage les Tomes neuvième & dixiê»
^me. Tom. XXX Vil. Part. I. pag.. 21.
OUVRAGES û'HISTOIRE ,
Soit générale , foit particulière , MEMOIRES ,
PARTICULARITE'S intérçflantes , RE-
LATIONS & VOYAGES.
Ntroductio in HiftoriamEvangelii&rtt/^XVT.
paffim per £ttr»/Mm rénovât! Ooârinsquerefor-
]Dtta,&c« Autoie Gerdejic.
Cejl'à-dire:
' Introduction à /'Htïloîr e de /'E vangice- renou-
velle en différens endroits de r£urope^(f delà Réfar-
matiMduiu^L Siècle. Onyz^ioÙKèdiversMommem
de Piété f$ de LitUrsture » qui fervent à éclair cir cette
Hijioire, Par Mr. Daniel Gerdes , 4. A Granàng^c
Î.744. Tom. XXXII. Part. II. pag. 454.
» » »
G. Çavé Scriptorum EcclefiaJUc4>rum Hiftoria Lite-
|aria.\Bû/«/«<», 1745.
Cejl'à^dire:
* Hijieiri des Ecrivains Eccléfiaftiques par le DoSeur
Cave JlTomtfx, folio. AiBû/lr. Tom. XXXIV. Part;
pag. 315.
Tbe HiSTORY of tbe PoPiiS .from tbe Foundation of
theSee of Rome to tbe ptefenttime. VolL ByARCui.
BALD BOWER Efq.
Ceft'à'dire:
.'. \ Histoire des Papes .depuis la fondation du Slèg^
' ^âcRome jufqu'à préferit Par^r. jércbibdd Bower,
ci devant P^ofcSear dans les Unîverfités àcRome,
* de Ferme & de Macerate , & en dernier Keu Avocat de
l'Im]uifitiQn^4. A Londres 1748.^ Tq«. XUV, Piart. I.
pas- 3. . -
Du
HISTOIRE. 63
. Du mime Ouwagt Second Extra^i Toau XLIV,
Part. II, pag. 243. ^
Du mêm Ouvrage. Tf oîfîème Extrait. Topi. XLV!, /
Part. I. pag. 161. '
Du n^ Ouvrage Quatrièmtï Èxirt^. Toou
XLVI. Part. I. pag. 3.
Du mime Ouvrage Cinquième Extraie. Toa,
XLVII. Part, I. pag. 3.
Du même Ouvrage Sixiéipe Extrait. Tom» XLVIt
Part. II. pag. 243.
Du mime Ouvrage Septième Extraxti Tont.
JCLVIIL Paît. IL pag. 372.
Du mime Ouvrage Huitième Extrait; Tom. XLIX.
Part. II. pag. 440.
Du mime Ouvrage Neuvième Extraie. Tom. L;
Pâtt. !• pag. 215.
Du mime Ouvrage Dixîèiûe Extrait. Tom. L»'
Part. II. pag. 241.
• * ♦ ♦
* Histoire universelle , depuis kemmeneernsnt M
Monde jufqu'à préféra , traduite de i^ Anglais d'une So-
.ciB'TE' (Jj GKJSf s rfff LfiTTjiEs , 4, A AnUterdoM. Tonu
XXIX. Part. I. pag. iir.
. DU mime Ouvrage le Tome Seceni. Tom. XXlXi
ParL II. pag. 389*:
. DU mtm Ouvrage le Tome Trei/Ume. Tom. XXX,
Part. II. pag, 235.
• Du mime Ouvrage le T3me f^riime. Toii "
XXXI. Part. II. pag. 26/^
\r^.T^ Otttyn^ le Tome OnfiUme. Tom*
XaXIII. Part, I. pag. no.
Du
64 HISTOIRE.
Da même Ouvrage le Tome Sixiimem Ton.
XXXV. Part. 1. pag. 77.
. Du même Ouvrage le Tome Septième. Tom.
XXXVI. Fart. 11. pag. 397.
Du mime Ouvrage le Tome IluUiime. Tom.
XXXIX. Part. L pag. 167.
* « «
W "W "W
* Histoire Romaine depuis la Fondation de Rome ,
iufqu'à la Bataille rf'Aftium : Cefi à-dire, jufqu'â la
ifo</tf /a République, Far Mr. Rollin. Tome Qua-
trième. A Amfierdam, 1741- Tom. XXVlLPart. L
pag. 203.
Du même Ouvrage le Tome Cinquième. Tom.
XXVIII. Part. IL pag. 243.
Du même Ouvrage le Tomç Sixième.^ Tom.
XXIX. Part. 1. pag. 3.
* Du mime Ouvrage le Tomç Septième. Tom.
XXIX. Part. I. pag. 325.
Du même Ouvrage le Tome Huitième. Tom^
XXX. Part. II. pag. 354^
Du mime Ouvrage le Tome Neuvième. Tom.
XXXIL Part. I. pag. 59-
Du mime Ouvrage le Tome Dixième. Tom.
XXXIII. Part. II. pag. 313.
Du même Ouvrage le Tomie Onzième. Tom.
XXXV. Part. II. pag. 33<5-
* Du mime Ouvrage le Tome Douzième. Tom.
XXXVII. Pan. I. pag. 61.
, Du mimé Ouvrage le Tome Treizième. Tom.
XXXIX. Part. L pag. 108.
. Du mime Ouvrage le Tome Qm^rzième. Tom-
XL. Part. IL pag. si 9k
Do,
. JH rsiroiRE. ûs
Du même Ouvrage: le Tome Quinzième & Seiziè-
me. Tom. XLIV. Part. I.pag. 164.
; ^ Histoire rf^x. Erap^iîeMrs Rom Ajjç^s ^de^uis Augus-
Te'jV^w'^ COaNSTantin. ParMjr.CRisviBR, r»», i
4L Aiifierdam , 1 759- lora. XL V!. Pari, J. pag. 82. .
Du mêmf Ouvrage le Tome fécond. Toni XLV»
ïiwt; H. pag. 295,
' Du même Ouvrage le Tome Troijtêmè. Tom*
XL VIL Part. I. pag: 147. " '
Du mim^' Ouifugê 1« Tome Qûàtnéme^ Tom.
XLVIL Part. IL pag. ^3i
^' Du même Ou^vragè le Tome Çînmèm'' Tom,
XLIX. Part. 1. pag. 104.. . \ . ' ' '
. Dji «ime OuvrAge\{^. Tomç Si^^Um^* Tom. XLIX,
Part. H, pag. 26q, •
ffisTOiRE fifejr Révolutions de /'Empira des A^
RABE5,par Mr, TAbbé dç Marignï. Il Tomes, Sii
ÀFàrisljso. Tom.XLVI. Part. ll.^ag. 37p.'
Le même Ouvrage. Tome Troîfième & Quatrième»
11. A Paris 1 750. TOtti, XLVIIL Pârt.'J. pâg. 1 14.
,4.' # ♦• ♦ , . ■ . • •
. Histoire //^x3àriusiijF5>, contenani le^spretnières
Conquêtes , ^ ce qu'Us ûnt fait déplus remarquable fous
kscmzi premiers Kàalifûs^ où Smceffeuts de Mshmet.,
Tts^émt de l'Anglois deSi^N Qçkleit* II Voliunes»
S. A Paris , 1 748. Tom. XLIL Parc L pag.:iA3. l
Histoire Oénéraie d*ALLQMAGXffi par. ie P. Bâbji
KE. Eux Tomes, 4. A i?Aw 1748. Tom. XLIV.
P!i|tt.. I/pag. 29. . ' '
Histoire Générale de Pologne par Mr. le Cbeva*
Ué^n^ Soi«i6NAP rVi ÏV«w, ISL. A>*lrt^. ï 75 1;. Tanu
XLVI. Parc. J* pag. 38, Ë e Su£â
V
<6 HISTOIRE.
SU£A RlKES HiSTORIA, &C.
Histoire du Rojraume de Suéde ^ depuis f on
mencemerajufpt'àmftems , écrite par ordre de S. M. R.
£f(Âpx Etats lie» Royaume ^ Olaus Dalin. Tome'
premier à SUkbolm 1 747 » 4. Tom. XU Part h
pag. 24.
Du m^me Ouvrage le fécond Tome,^ comprend
ks tems où le Nord a étéjujet à la Religion Romaioe ,
1750. Tom. XLV. Parc. IL pag. 349.
• » »
. NicoLAi CftAOït Anmdium Libri VI , &c.
' Cefi'à dire:
Annales de rHifloire de Dannemark , depuis U
mort du Roi Frioeric L & fous fin Succejffeur Chris-
TiAN.III. Pflf Nicolas Craoius. Avec laCotainua-
tionjufqu^à la fin de ce Régne « par Etienne ]b an Stc
»HANius,&c. Second Extrait. Tom. XXVLPart. II
pag. 243. [On a vu le premier dans la II, Fart, du Tome
aorr. p<^. 493.]
Du même Ouvrage le troifième Extrait* Tom.
XXVII. Part I. pag, 55.
* « »
GESTA& Vefligia Danorum extra Daniam^y prse*
cipuè in Orient, Italie ^'Hifpanid y Galliâ.AngM^
ScotidyJSibertiiâtBelgiOyGermanidf&c.' 1
Ceft' à-dire:
Histoire def Yzltsffdes Moonmens ipiDANOia
tors du Danemarc» principalement dans rOrieot, en
Italie,^ Efpagne.m France « en Angleterre, en E-
cofTe , en Irlande , dans la Belgique (f en Allemagne »
dont laplus grande partie eft appuyée fur lesTémoignages
mnfeulement des Ecrivains de k^r Nation^ mais en*
core des PtOs étrangers. En II Tomes., B:AlMpzig^
Tom. XXVIII, Part L pag. 1 17.
♦ ♦ #
.. liJsroJULd^Uvs^ffdesPtuplespêienfontfortis^
b 4 • • wW
HISTOIRE. . 6r
èâ i*d« tio«t Vorigine des Turcs, des Hongrois , des Mo.
fioifi É# ^«J Tatars , &c, A Paris 1751. ïom. XLVIt
Fart il» pag. 469*
, * « »
> Mémoires ^ottr /^mVirHisToiRE ^^^Europe,
JtfJ^tiix 1 740 jufqu'à h Paix générale ,Jignée à Aix-la-
Cbapelli lei 8 O&ohre 1 748. IV Tomes , 12. A Paris.
1 749. Tom. XLl V. Parc. I. pag. 62.
.♦♦♦'•
' Mémoires pour /(ffwr i /'Histoire de Brande-
bourg, de main de Maître, 1750. Un Volume, ti2.
Tom« XLV. Part. L pag. 64. -
Du mime Ouvrage fécondé Partie» Tonk XLV.
Part. II., pag. 399-
* «■ # .
• Histoire Civile du Royaume de Naples , tr»-
4uite de Vbaiien de P. Giankone , âv^ dfe nouvelles
NoteSjRéflexions, & lAéàz\\\ts fournies pâfVjiuUur^
&c. 4 Volumes, 4. A /a Haye^ 1742. Tom. XXX*
Part* I. pag. 2(5. .
Du même Ouvrage le T'orne Second. Tom. XXX.
Part. II. pag. 310.
, Du même Ouvrage le Tome Troifième. Tom.
XXXI. Part. L pag. 189.
Du même Ouvrage le Tome Quatrième. Tom*
XXXilLParc. L pag. 1^4.
' # # #
- Histoire de l'Empereur JôviEif , £f TraduSioH
de' quelques Ouvrages de F Empereur JxjLiSN.pzr Mr.
VAbhé de la Bleterie, II Tm. 8. A Paris, 174^.
Tom. XLIII. Part. I. pag» 9g. .
# # -4^
Richards Leben und Denkwurdige Tbaten durci
G» C. Gebauer.
Ceft'àrdire:
• La Vx£ £f Us Faits mémorables de Richard , élu
' Ee a* Empe-
6$ HiSTdiRrB.:
Empereur éies Romaînsv Cornu de Conumaille' & d€
Bokdfi. Par G. C. GxaAU^R. A Leipzig^ 2?44* 4«
Toih. XXXllL Part, i. pag. 3. .^. ..• .. .-
« « «
Histoire de Guii>14AUM£ j^ Cçhqueil^t, Duc
^de Nortnandic (^ Roi d' j^ngki^re. Far Mr. l'Abbé
t***ÀlTomcs,^ A Amjlerdmniij^ TTo». JtXIXl
fart. rr. pag. 272, . . 1 ,v. ..:,.' ^
« « *-
Histoire de I,ou|^ Z{f par M[r. D(JCLOç,rir r^ro-
<{é7/2/£ Adyoie des Belles Lewrei^. 1]I Tomes., 12. ^
Amfterdam \ 1 746. TônùiXXXV H, Part. U. p?&, 3a 7.
* Lcben Carl ii^ 2wô/ftefTi &<:.'' '
Ceft'àjdire:'
• ViB d« CiiARLW 3^tjè>Mfe Sttède,/)tff iQ, NTort-
BERG , enrichie d^un grand ne(9d)rp,de Figures, fie Plànf^
de Méd({iUes & d^autres orhemeni^ folio.. jTofn^ L .4
ffûen^otêfg . 1 74j4- TpŒ(. XXXai-.Çart. 11, pag; 393,
Du même Ouvrage Second MxtnaHi -Touk
x:^'}$;ym. Part l pagr.rn^; . a
* * * ^ ' • ' i, • ' 'J
Histoire de Stanislas I. Roi de Pologne, Cra«i*
Doc de Lîthuanie, Dnc^flftf Lorraifte'Êf tfJ»Bai','Ac
Par Mr. D. C. ♦♦♦. A Francfm, 1 ^4a 12/ i> /^/. ^f0toi
Histoire de rEmpeçéux pHAÉLES vf. ^'iesVi"
frmfs dtir4iuguftfi'MdyoT\d'AiiTMom\ -d^isl^Hf
pQLrjHp Çmfç //e.:JVMi^qT7R(h Se. Par M.X.. D, M.
flTom. 12. A-rfw^«:4«WHr.^pm*.XXyiI.iRa«,Il;
pag. 354- -t:- * .-
Histoire «^e Maurice , Comte (/i(.S/gQBi,jddRi;d2alt(
toutes les psLTticuhTi^éii^)4^J{^A^ depuis fa naijfance
Mqv:àfa fijoff ,. II Vplwnes ,,if^ A.^jSfV 4^^-
Toi».,XLIÎC, Part. U. pag.jap. Me-
J
HIiaT/O I.R. EU éf
r MKiiiOîR«S'^wif««wf«>CHKisTinrÉ;RjBme"de Suè-
de, pàurjervir d'éclairciffement à /'Hiftoitc de foli
Règne , .&4frificipalement de fa Vie privée &ffli4X évé^
nemens de fHiftidredtfm tems. Civile £? Litéraire, &c
rWL 4, A -^w/î*^! 7Si.Tom.XLVLPart. IL pag. 311.
-Duw^jWtf.Oaurû^i leTome &co»<i. Tom.XLVIIi
Part. H. .pag. ^9* ' . ^
* Du fnênieOuvrajre'TïoiCième ^ deruier Extrui^^
Tom. XLVlll, Part. L pag. 97. . . i
% •^. •».
. .PAmcujLâRiTE's fur tq Reine CamsTifiE» Tom.
XLV. Paru IL ^g, 43$. :o
Memoirs of Eliza^th Farnesio thé prejent
QvUeeaPowageK o^;Spaiiî^ôrtf ammg ber itOriguesi^Q^
Cefi'àrdire:
. Memoirss d*£;juizAB^7|i^ Farnese aujmrfbuii .
ReUipPaaailière 4!£;4>^ne,conren.ant/<?/ intrigues,
l^fes vues ambitieufe^^ depuis, il H *m\^}l^. ^i^f^. ^^
lippeV.Roid'Ëfpagheyji^t^'d /a mort deceMonar-
qw arrivée en\i 746 , &C. S. Â JUndrei , J 746. . :Tdnu
:pXi:3f,Pwt,lI.piig.^r.; .' '.
Histoire itt Parlement ^TAngleterre par Mr«
V^^^^.B.AYisA'*»^ i*'rA Londres 274.8* Toi». XUII.
FWt.tpag. 159;- ;;^, .;
. .• ♦ ♦
' Le Chevalier de St.' GEOîLGZfrâahUtti ians^d
Îmtité dé J a*ç[oes ïlt par ie nouvelles Preuves. Avec
s Relation bijlorigue des Suites de fa NaiiïcmcjfrÇ^^
HousseTjÏb; 174?s."Tôtt:XXXyL Part. Lpagp 155^
# # # ,.
Chronique i^xftoiÂW'AmLiTERRE , écrite en Ani
gkisfekn le fiUe:det ancitnr HtftoHens Juifs ^ par
NAfjEiÀv Ben SADpii^^Sç ttmlwee eu Français dam U
nUmeftile^ 8» A Londres, 1 743* Tom. ynXl B»r{' l^
9H' 343* Ses Lx
^o HISTOIRE.
♦ ♦ ♦
Lb Guide d^Avoleterre « ou Relation carte&fe
du Voyage de Mr.defi^. Qmfenam undétaUexa3
ée tmstee çtie k Campagne fsf les principales Fillesdc
ce Roioume ont de plus remarquakU. Avec une expofi»
tion fidèle du génie ^ ^ des coutumes delaN(aian;(f
une defcriptUm circonftanciée de la Fille de Londres ff
êes aimufemens des Eaux de Tunbridge (^ iTEpfoni;
enrichi d'une Carte Géographique pour inmelligence du
POs^S. AAmfterdmi7^. Tom. XXXIV. Paru L
pag. 104,
. ♦ ♦ ♦
Li SiECLB de LouTS XIV. publié par Mr. de Fr an-
cheville, 12. II Toik. A Berlin, 175L. Tom.
^LVllL Part. 11. pag. 31?-
* « »
Campagnes du Roi en 1744. 1^ 1745 • contenant
les yî&oires & les Conquêtes de Sa Majesté* , f^ celles
de/es Alliés, en Flandre 9 en Allemagne^ en Siléfie ^
en Italie. Par Mr. VAbhé Rousseau » 4. À Paris 1 745.
Tom. XXXVI. Part IL pag. 352.
♦ ♦ ♦
Relation de ce quis'eftpâffé dans le Royaume de
Maroc, depuis l'année 1 727 jufqu'eQ 1 737. A Ptsris.
Tppi* XXX. Parc. II. pag. 294.
♦ ♦ ♦
»
Histoire du Stàdhouderat depuis fin Origine
jufqu'àùréjent , par Mr. VAbbé R atital » revue , corri-
gée, (^purgée.de fis fauffnéspdi Mr. ROUSSET r8.
A Amfierdam , 1 749. Tom. XLIII. Part, L pag. 76. ^
' « » *
J)er gegenwirtîge ZaSànd der Gôttihoischev
Universitàet, &c.
Cefi^à 'disiez
Etat préfent de rAcAocMis de Gottihtgue , ^
deux Lettres. A GotHngue 1 748» 4# Tofli. XLL Part..
II. pag» »47*
r
HISTOIRE. 71
♦ # ♦ ■
RELATION véritable & remarquable àufujet d'une
furieufe tempête arrivée dans la Ville de Madricht ^
aux environs de la Meufe , au mois de Mai 1 750» &c*
A Paris. Tom. XLV. Part. IL pag. 444.
♦ * *
Histoire des Religieux delà Compagnie de Jesvs^
contenant ce qui s^eJipaTfé dans cet Ordre depuisjon éta*
blifjement jufqu'à préj eut $ pour fervir défupplémemà
rHiaoire ficcléfiaftiquè des XVI, XVII, Q^XVIII.
AVc/w. IITomes, 8. AUtrecbt. Tom. XXVIIU
Part. I. pag, 18.
« * »
. HisToiRB générale de la Marine, contenant fon
origine chez tous les Peuples du Mondes/es progrès ,
/on état afluei , 6P l^^ Expéditions maritimes anciennes
ff modernes. Sur des Mémoires rédigés par Mr.de
BoisMELE*. II Tomes, 4. AParisijj^ô. Tom.XL.-
Part. IL pag. 343.
♦ ♦ ♦ .
Recueil ^^'Observations curieufesfur les Mœurs,'
Irx Coutumes .,/«/ VÇzges.les différentes Langues, /e
Gouvernement, les Cérémonies, la Religion, ^
Médecine, le Commerce, la Navigation , i^x Arts,
01" les Sciences de différens Peuples de rA^iE^deVA-
FRigUE, 0^ de i*AMERiQUE. IV Tomes, 8-' A Paris
1749. Tom. XLïH* Part IL pag. 265. .
♦ ♦ ♦
Lettres EDiPUNTESf&cukiEUSES /ùrla Vîfite A*
^flolique de M..DB la Baume , Eveque d'jEfa/irarwr
fMjT'^i/aCochinchîne en l'année 1740; où Ton voit es-
voyc^esf^ les travaux de ce zélé Prélat , la conduite des
Mi(lK>nnaires Jéfuices Ëf ^ quelques autres ^ avec de
nouvelles Objervatims ^^c. 4^ AFenife 1746. Tom*
XL. Part* L pag. 76.
♦ ♦ *
Ausfuhrlicher bericht von der Trakksnbari-
scHEN Mission, . ■ ■ ■■ ^
^ . : Ee 4 .' Cejt'
7î H I S T Q I'.R K
. Relation eircmijftvnciée des MisMOirs ^ Trabc-
QUEBA&, 4« Avec cinquante^troû Continaattions;.
AUaUeiTiChi7^^.Enmitantdey(iktmeSy4. avécW*
gures. Touj. XXXII. Part^Lpag.i 88.
Suite de la Ritlation circmflmciie des Mis-
sions du Thanquebar. Tom. XXXIL Part. II*
pag- 243.
« « »
HisToiBB générale des Voyages , ou nouvelle CoU
leôion dttmaesle^Kthixotis di Voyages par Me» •A.
l?^rTcne,qui(mtétépubliéesJttJqu'àpréfent dans les
différintes langues de toutes les N acions coooiies ,'&c
7om.L& IL enrichies de cartes (^4efyfutes^ 4. A te
Hffje 1 747. Tom. XXXVIU. Paît, L pag. 1 S«.
Du mène Ovnrage le Toffie Tnnfième* Tenu
XXXVIIL Pan. IL pag. 116.
Du même Ouvrage les Tomes ^Mtriime^ Cinquième
& Sixième. Tom, XLIIL Parc 1. pag. 3.
♦ * ♦
Relation abrégée d'un Votaoe f4dt dans Vlnti-^
rieur de /*Amil*riquf. Méridionale» depuis la C4u
de la Mer du Suûjuf qu'aux Cétes du Bréûi (j' delà
Ouiatie , en défcendantlaKivièredes Amazones. Pai
Mr. imi'A CoNpAMiNi^ , &c. 8. A/*ms 1 745. Tôm^
XXXVI. Part.1. pag. lic.
Relation abrégée du f^cyage fait au Pérou pae^
MeJJîeurs de l Académie Royale des Sciences , pour me*
Jurer les degrés du Méri^enaux environs de i'JEçuo-
teur y ^ en conclure la figure delà 2 Vrre, par Mr.Boo*
cu£R. I\.taris. Tom. XLU. P^it. I. pag. nos-
Suple'ment au Journal Hiflorfqué du Voyage
à /'Equateurv^ au Livre de h Mefure^de^ trpis
. premiers Degrés du Méildieo >/(rn;(wt deréponje à
quelque!
HJiS'POIRÊl 75
qufiîques, obi^ions. Par Mr. de la CoNDAMisrc»4.
APûfrr, I7S2. Tom.L'.ParcLpag.iSi. * .
♦ '♦ ♦ ■••^
RELACioNHisToiiiCÂ^d Vi9gea/a America Me-
;Èià[onz\ie€bod€orden âfeSu MageClad.
Ceft'à^dire:
. Relation Historique du Voyage de rAmérîqttë
Méridionale fait par onlrede Sa Majefté Catholique
pour mejurer quelques degrés de /'Equateur , Ccc, Par
D. George Jk an , fif Don Antoine Ulloa; Partie
r.Tomel. A iMarfnt/ 1748. 4. ïom. XLIV. Part. U
pag. 405. . . ., ,^ ,
Du mime Ouvrage Seooxkà Extrait. Toin.L.Part»
♦ ♦ ♦
Nouvelles Découvertes êu Nord de la Mer du
Sttdfpar Ml. of L'Isle.) Suivi d'une Relation /dés
découvertes de l'Amiral /<ie Fonte dans la Mer du Sud^
ppur la recherche du paflage du iVorJ*Ou^. Toon.
' XllX. Part. II. pag. 322.
« * »
]. G.Keyslers Neuede Reife durch Teutfcblani,
Bëbmen , Ungarn , die Scbweitz , Italien und Lotbrm*
gen, &c. ^
Ceft'à'dire:
VOTAGE nouveau d'Allemagne, de Bohême, dé
Hongrie, de Suifle, d'Italie ^ de Lorraine, où les'
cbofes les plus remarquables de ces différens Paîs/ofit
éclaircies par le moyen de rUiftoire Naturelle , Littéral*
re^ i$ Civile f de la Mécanique^ de la Peinture^ 4e
VArcbiteBure Civilfi.de la Sculpture, des Médailles.,
fffdes Antiquités. Par Jean George Keysler. A Haz
fMWrff , 1741. II. Tom. 4. aveci'î^ttrw.Tom.XXVIIL
Part. IL pag. 400. «
Continuation de l'Extrait des Voyages de Kets-
LEA. Tom. XXIX. Part. I. pag. 30. >
£e s JoiuN»
74 HISTaiRE.
« « * .
JOBAKK AroERsoHiVâc*ncfe«ivon JJUmi^Grin'
land und der Strajfe Davis.
Ceft^à»dire:
Descrif TiOH de Vljkndc , Grœnlande , & da Dé^
iroit de Davis par feu Mr. Jean Anderson. A Ham^
^ourg , 1 746. 8. fig. Tom. XXX VUI. Part. 1. pag. 75.
♦ « ♦
Besxrifniho ofwer de Lapmarker.
Ceft-à^dire:
Dbscrvtion delaLAPomE.fujitteàlaCmronnc
iff Suède ^ Pierre Hôostrôm. A Stokbolm, 17 ±7.
8. Tom- XL. Parc U. pag. 255.
* # *
HAjfs £«EDE. . . Nacbrkbt von derGrdnlandifcben
WJfwL Hamburg, 1740.
O^-A-dîre;
RihAùm delà MJfim de Groenlande. ParHANsE-
«BOB, Miffionnaire en Groenlande, 4.
HanvEgede*. • • det garnie Groenlands nyeperîuf"
Cejl'à-dire:
Nouvelle Defcription de r ancienne Groenlande.. . ,*
contenant Jon Hifloire Naturelle , les Mœurs des Habi*
tans 9 la na^re du Commerce^ les commencemens ff la
ruine des anciennes Colonies ^&c, PaxHAWsEotOE,
À Coppenbêgue^i^/^i. 4. Tom. XXXI. Part. I. pag, 37, r
« « »
C. LiHNJBi Oelaendska ock Gothlaendska Refa. *
Oeft'à'Mre:
Voyage des Iles d*0£LANDE^ife Gothlande,
fait «i 174 î » par ordre des Etats du Royaume. Par
Mr. Charles Linnjels. Avec des remarques fur ,
Weconomie, VHilloire Naturelle,^ les Antiquités J-
1745. 8. Tom- XXXVI. Part. II. pag. 291.
* # #
CARLLiraÀiWâflgôtaRefa. . . i
Cejk
HISTOIRE. 75
Ceft'à^dire:
VoTAOB de la Gothie Occidentale ieJAr. Cha»*
LES LiNNJEUs 9 entrepris par ordre des Etats du Ro-
yaume en 1746. avec des remarques relatives â l'Od*
conomie , la Pbyfique , les antiquités • les Mœurs , &c;
.des Habitans , enrichi de tailles douces. A Stokbolm ,
1747, 8. Tom.XXXLX.Part. II.pag.267.
♦ * ♦
Carl Linnsi Skonska Refa.
Ceft^àdire:
VoTAGE en ScANiE fait par Mr. LiNNiBUS , par or-
dre des Etats en 1749. Avec des expériences & des
Remarques fur VOecmomie, VHiJloire Naturelle ^ le&
jintiquitist les Mœurs y & la Manière de vivre» A
Stockholm 1 75 1. 8. Tom. XLVII. Fart. II. pag. 388.
♦ ♦ ♦ ,
Journal d'un Voyage au Nord en i 736 fif 1 73 7 ,
enrichi de Figures en taiUg (^oftfe,par Mr.OuTHiXRy
22. A Amfterdam, 1746. Tom. XXXV. Part. IL
pag. 279. i
♦ ♦ ♦
A Description oftbe E ast, and fomeother Coun:-
tries. Volume tbcFîrft. Obfervations on Egtpt. By
R. Pocockfi.
Cejl'à'dire:
' DigscRiPTioN de i'ÛKiENT if de quelques autres
Paîs> Tome L cofïtenant des Obfervacions jur /'ëgtp*
TE. Par Richard PococKE. A Londres 17 ^3 9 folio.
Tom. XXXVII. Part. 1, pag. 147.
Du même Ouvrage le Tome Second. Tom. XXXVII.
J^art. II. pag. 393»
♦ ♦ ♦
A VoTAOE round tbe World , by Gsoao£ Anson.
Ceji'à'dire:
VoTTAGE autour du Monde, fait dans les années
1 740 » 1 , 2 • 3 , & 4. par George Anson Œef de l'Ef-
cadre de S. M. envoyéedans la Mer du Sud. A Londres^
A fis* 1 74>' ToiD. XLI. Part. I. pag. 39. Du
75 lilSTOiR:
Dtt mime Ouvrage Second Extrait, Tom. XLL
ïîtft: iLpàg. 3«2.
DÛ mime Ouvrage Troifième & dernier Extrdt,
Tom. XLIL Part. 1, pag. 47.
# # #
• Vot'AGES de Mr. Shaw , M. D. âansplufieursPra*
vmas delà Barbarie ff^^ Levant, concenant'dei^
Obfervatimis géographiques j pbyjiques 9 pbUologigues
& mêlées Jur Us Rbyaùmes cTAfgerîf (fc Tunis ,/ttr
id Syrie , fKgypte if i' Arabie Pétrée , avec des Cartes
& dt^ Figures. Traduits de rAngloîs. IlTome^,4.
A lu Haye, 174s. Tom. XXXIL Part.U. pag. 40 j.
» « *
A VOYACE tO HVDSOJSS Bay,
Ceft-à'dire:
Voyage à la Baye d Hudso» fait par les ValiTetiax
J}Ms Gally & Californie, en 1746 & 1747» pour h
décMUoerte d'un pajjage au Nord-Oue(i , avec une dej'"
tfipHwiexoBe des eûtes if un abrégé de Vbijinre natU"
relie du pais par Mr. Henry £llis. A Londres^ ^'fig*
1748. Tom. XLIL Part. L pag. 3,
♦ ♦ ♦ .
Voyage en Turquie 6f«i ?LJk%TLy avec une rélatîen
des expéditimis de Thamas KouliKan , par Mr. Ot-
TCR^Ii Tomes , 12. A Paris , 1 748. Tom. XLH. Parc
IL pag. 300.
» » «
Rr'latiow d'un Voyage fait eç ^EJ^^fpar le Sr.
Grangeu en Tannée 1730. Où l'on voit ce qu*ilya
de plus remarquable , particulièrement fur f Hfiloire
Naturelle. A Parw, 1745. 12. Tom. XXXVIU. Pari*
IL pag. 69.
♦ * ♦
, Nouveau Votace de Guine*e-j, traduit de VÀn^
fins deGmvL Smith,II Tomes, i%^ A^Paris, ;7SX*
•q», XLVm. Part.l. pag. 35. ' '^ o
MIS-GELLANE'ES: 77
♦ ♦ ♦
.HcfiTOiRC de la Jamaïque , traduite de V^nglois^
12. A taris iisi* Tom. XLVill. Part. I. pag. 141.
♦ » ♦ ■ -
' 'Hitroim^* (^Defcriptim générale de ia Nouvelle
France , avec le Journal bijlorique d'un Foy âgé fait par.
ordr^ du Roi dans /' AmériqaeSeptentrionale. Far ic
Pire Charlkvoix. A Paris 1744, III. Tomes, S|;fe.
Tom. XXXVil. Part. II. pag. 265^.
OUVRAGES MISCELLANETS,
■" Lettres, Efoëes,&c* ' '[
jr Es AgR^*mens de la CaMpagï^ç, ou Rej^quet
W ^ ' pàtticUlièrès fur la cortftrid&on des MÂxip'NS de
^^ Cam^agwe plus ou moins magnifiques ; des'jAk^
jyïvsiie Plaisawîe, (^ des. PlaNtaoiîs,^^^ iw orf\
nemens qui en dépendent 9 &c. 4. avec fig. ^A'^Leié^'
1 750. Tom. XLIV. Part. ÏI. "bag. 446.
Le C2LAÎ PrERfiE Pxemîep en France. Par IVIônfîeaF
HuBEKT JLe BL4JVC , Doreur en Dro/t. 2 Toipe»* 8.
A Afriflem^. Tara. XXVII. Part. II. pag. 359, y
. La Prince /fixDELiŒS rf^/CoEUics , ou Traité des
qtjafîtés d'un grand Roî, & Syftâme général d;uy tage
Gouvernein.en't ,11 Tomes, 8. AParis iisu tom^
XLIX.parc L pag. 124. ' ^ V„
L'Homme Aimable avec des Réflexions (f'deJ Psii*
fées fur dtversfujets. ParM».MAiaif,8. A Paris 1 751.
Tom; XtKt; Pan.^ n, pâg* 402. ' /^^
,♦•♦«»" "'^
. ' EssAt/tir r Edocat ion delà NoàLE ssé. II Tîftâèfl',
X»^i A Pfli^fcc, 1747* Twa,Xt..FarCi Lpag^ ïbÏ. ^ '
78 MISCELLANÈ'ES.
♦ ♦ ♦
Remarques d^un SeîgDcar Polonois /ôr rHiftoi-
re de Charlls XIL Roi de Suède, par Mon/inir nK
Voltaire , 8. A ia Haye. Tom. XXVU. Parc IL
pag. a74- *
♦ ♦ ♦
Révijhn de rHisTOiRsaci CTXLpcurJervvrdeSup'
pUment à la première Edition. Tom. XXVll. Paru II.
pag. 243. [On trouve deux Extraits de cet Ouvrage
éms le Tome XXIV. Part. l. Art. L & Part. II. Art^
Vi]- A Paris.
* * #
L'Ordrs des FrakcsMaçojss trahi, & le'Sectct
desMoM9S révélé. Un Volume, S. Ajimfterdam^
1745. Tom.XXX£V.Part.I.pag.6i.
♦ ♦ ♦
. Les Francs-Maçons icrafis. Suite du Livre inti-
tulé, V Ordre des Francs-Maçons trahi. Traduit du-
Latîn, 8. A ^m/ïeria», 1747- Tom. XXXVIL Parc
IL pag. 312.
» « *
L'Esprit dis Nations, II Volumes, 12, A 1%
Baye » 1 752. Tom. XUX. Parc. IL pag. 291.
* Du mime Ouvrage Second ExtraiL Tom. L. Parc
L pag. 47»
♦ ♦ ♦
L'Asiatique TOLERANT. Traité à Tufage de Zeo-
xiNizuL, Roi des Kofirans, furnommé le Cberu
Ouvrage traduit de rAfabe du Voyageur Bekriooli »
par Mr. de**^. 8. K Paris. Tom.XLlV. Paît. IL
pag. loi.
* » »
Défense delaNouvelleliï^éxxQAondeVBifioîre^
Concile de Trente jContrelesCenfures de quelques Pré*
lots (^ de pielques Théologiens. Par P. F. le Coura-
YEit,i2. A Affifter^ma. Tom. XXVIII. Part l.pa'g.9t»
Les
MISCELLANE'ES. 7^
♦ ♦ ♦
' Les Caractères , par Madame de Puisikux, 8« A
Londres 1750, Toîii. L. Paru IL pag. 437.
♦ ♦ <!•
REFLRXioNs/ttf les SoNOiiS. ToiD. XLVIIL Part;
IL pag. 468.
» « »
* The Harleian Miscellanv, or a CoIIeâion ef
Scarce^curiaus andentertaintng Pamphlets afu/Traûs>
as wel in manuTcript as in prin t found in tbe late ëarL
'ôf Oxford's Library.
Ceft-à'dire: ':
Mélange Harleten , ou Recueil de Brochures £f
Traités rares ^ curieux ëP amufans^ tant manufcrits
qu'imprimés ^trouvés dans la Bibliothèque Jf^^^rniVr
Cohue d'OxFORD. A quoi on a ajouté des Notes bijio*
Tiques t politiques ff critiques ^ Vol. L A Londres^
1744. Tom.XXXVLPart.ILpag.243.
Du mtme Ouvrage le Tome Seeendj:om. XXXVIL;
Part. L pag. 193.
Du mime Ouvrage le Tome Troifièmeé Tom.-
XXXVIIL Part. L pag. 23. /
' Du même Ouvrage le Tome Quatrième. TorsL
XXXIX. Part. IL pag. 243.
Du même Ouvrage le Tome Cinquiêmèé Tom. XL;
Part. IL pag. 283.
Du même Ouvrage le Tome Sixième^ Tom. XLL
fart. IL pag. 39^.
Du même Ouvrage le Tome Sixième > Second E»^
traita Tom. XLIL Part. IL pag 243.
'DiimêmeOuforagel^Tom^Se^ième. Tom. XLV*
Part. I. pag. m.
Du mime Ouvrage le Tome Huitiime & dernier^
Tom. XLVLPact. II. pag. 405.
! Oz\i4
8o Mise EL LAINE' ES.
« • ♦
♦ Oeuv&ES mble'es , donf Ifisfujetis font Ic^riu^ , le
Théâtre moderne ,/« Beau ^ le Qout. ParC-X,.
rftf ViLLETTp, 8. A Dubliii, 175Ô. Tôm.'3tLVr.
^ait, 1. pag. 100,
« » *
Famela, 0» /a Vertu récompenfée, traduit de l^jîn-
^JûM^, 8. hLMàfes^l^/^l, Tpm..?t:^VUJ,Pait,'U.
pag. 417*
♦ ♦ *•
Clarissa , or the Hijiory of a ymmg Lody^ conceir-
ning the moH important concerns of privace Iife,&c.
Cefi'à'dire:
Clarissa m THifloire i'»n£ jeune Demoifelle i$
qualité. , Oti y montre en. particulier le^. malbeurs qvi
frwiennerA des fautes que les Ptorens, (^ les Enfam
eommfttentfar rapport au Mariage. hJjmdres 7 voU 8«
tdin.XLIl.Part.il,pag.325. * ' ^
♦ ♦ ♦
/ 'ï^eCAPAcméMKxTBHTofSumnn Underflin*
ding exemplided in the extraordinary Cafeàf Aiito^
^àV^LS^ac • • . • .y < • ,v- , •
Ceft^^r^dir^;^' ^f.', .....,.,.
La.Capacite*0* /•E;rpNpu£ de /^ntendemqnt
KaiAâin ; iémontrie dans le cas'extf^rdfnaire d'i^u-,
TOMATHES,ffm,ayarK été aharMnné dâtisjon' enfan^-
^'4An$ wye Ùe '4éfyrtl^ y âvoit4»»iWri4ix:npif ans ,
Îrivé de toute Société humaine. A i$n4ru: ^7il5 i ^•'
bin. XXXI V. Paxtt IL p.^g. 449. .. .
*" ' ' ■ ♦ ♦ ♦ -,
Amtntor and Theobora , or ti^HCRâfl! , a^Poent
il three Gantos. - -. » ...^ r ,,t. , 7
Cejl'à'dire: • -j
^^Amintor 6f Théodore, ou rS^RMîTE, Po^«e*
fVtro/jCifln*x,*4. A Londres, 1T4J. 'J^oifi.X^^,
Part. L pag. (57. * ' ' '
Tfii^RT&EATiSEs.. Xh&HûikcmUiÊAvi?. Tbà
•'^ -^ feconi
M I s C E L L A N E' E s, 8^
fécond conceming Music,Paiwting, and PoETaY".
Jh€ÛÀïà€mictrmngUkPfi^ft%%, &yJ«H«
Trou TiAiTs*s. Ut prmierÀeVkwT. Ixjeami
1 744. Tom. XXXIV. Part* I. j^g, 21.
» * #
Les Poaiits du EoiieKArAJUtc, tvecdesA&tef
ft «n CUffmrs Françms • précédas 4e 1 'Hi(!oîre dcf
|iéfolutiofi3 de i« ùifigue Frânçmff^ 4epmB Cbgrkr *
mog-n^ ; d*ua Difcours fur VmicuaweLé des Omfms
Francoifes, &c. 2 vol, f2, A Panx, 1742. Tom.
XXX. Pire, f . pog. ^S.
# • #
deia Yoëâe.porfe» Mr.i'AèbéMhSiiEH. A Fâris^
f «, Tow. XXVI. Parc. i. pag* 1^3.
♦ ♦ *•
La Boucle de Clmm^^nievdf^ffiBmeHirfflCM*
we de Mr. Poi'K, Poêie jonglais y traduite en l^^erg
l^ranfiéis pêf Mr. 0.« . . . 11* A PaH$. Tom. XXX.
Pau. IL pi^ 437.
* ♦ * ♦
Die Religion SNT^wxirFCN von fffrrn Racine»
A& /» i<«f TeuiiPûlie ûberfepti t$Md mU eimftm Aa«
jaCTClpuaggin «ârmiér^
Ceft - <l - J/re :
La Religion, Poème ék fdr. Racins tradtùi en
' Vers AMemous aiwe des Remarques , ff le Teste Fran*
'^o«s i ci$é. A Frvncfeirt^ 1744. %. Ton». XLL T9su
I. pag. 114.
♦ ♦ #
• Oi>fiyfirl«R«B€t.t-fOwW««745. A£.«ilrw, 1745.
Tom. XXX VIL Part. I. pag. 222.
* ♦ ♦
Vas AI ^fmeTr^dtiftîon en ffétedes fotasxts (fe Mr.
llMULCft. Tom. XX&IX. Paît SLpsg.;}^.
82 MISCELLANE'ES.
Oeuvres de Scarron. Nouvelle Edition ^ revue »
corrigée 9 (^ augmentée de rtiidoire de fa Vie 6c
de Tes Ouvrages, d*an Dtfcoars fur le Style Burlef-
que, ffde quantité de Pièces omijesdans les Editions
trécédenus. En 7 Tomes, 12. A ^Én^erdasitiii^^.
Tom. L. ParL I. pag. 90.
* » ».
0£UVRES de Mr. de Voltaire. Tome Sixième,
conttnans des Morceaux très curieux fui rionS jamais
jufyu'à préfent 9 S. A Amfterdam^ 1745* Tom»
.IV. Part. I. pag. 18 r.
». ♦ ♦ ♦
La Découverte de la VtRjTE* , ép/^ Monde dk^
TROMPE* , à regard delà Pbilofopbie f^dela Religion :
jur'toutàrégarddela Pbilofopbie^ dont C Auteur donne
un Syftême entièrement nouveau^ &c. Traduite de T An.
glois , corrigée & augmentée par l'Auteur , le Cheva-
lier VERinicus Nassaviensis ,8. A la Haye^ 1745.
Tom. XXX VI. Part. IL pag. 368.
• ♦ *
Traite* de la Vie Heureuse, par S eneque» avec
un Difcours du TraduBeur fur le même fujet fil» A
Potxiom» 1748. Tom. XLIL Fart! IL pag. 283.
« • •
Lettre à Mr. D. fur fon Ouvrage intitulé Trax^
TE* delà FieHeureufeparSenèque. Tom. XL V. Part.
L pag. 25.
» * *
Ouvrage de Penelopë , ou Machiavel en Midi'^
cine^ par Aletheius Demstrius. U Volumes, 8*
1748. Tom. XLl. Parc. IL pag. 429,
♦ ♦ »
Défense de Milord Bollinobroke. Tom. L.
Part. II. pag. 392.
» « *
L^EcûLE de /*HoMME, ou Parallèle des Portraits du
Siècle & des Tableaux de rEcritureSaînte,&c. ». lU.
Parties. Tofli,XUX.?aft,ILpag.466. lÀs
\
MI s CE LL ANE' ES. 83
♦ ♦ *
Les Moeurs. Un Volume , 8. A Âmjlerdam , x 748*
Tom. XLI. Part. IL pag. 272.
« * »
Essai fur la LiBERTii' de produire f es fmtimenf^, 8.
>\u Paîs libre , pour le Bien public » 1 749- Tom. XLII.
Parc. I. pag. 20.
♦ * ♦
Lrs Pre'juge's du Fuulic t(Voec des Ohfervatîons y
par Mr. Denesle. II Volumes, 8. A Farts ^ 1747*
Tom. XLI. Part. IL pag. 289.
* «- *
Plan d'un Essai fur la Délicatesse» aver un &
chantillon de l'Ouvrage , en deux Dialogues. Far N.
Lakcastër. a Londres 1 748 , 8. Tom. XLIL Part. L
pag. 68.
* » «
Théorie des Sentimens agréables » oà après avoir
4ndiqué les règles que la Nacure/ufr dans la dif tribucion
^u plaiHr , on établit les Principes de la Théologie natu-
relle i$dela Philofophie morale. A Genève , 8. 1 747.
Tom. XXXIX. Part. IL pag 404.
* ♦ ♦ ..
Réponse à une des Lettres PERsiCNES. Tom.
XXXVL Part. IL pag. 303.
* ♦ *
Essai furies Passions (j^ furlèscaraSèresAlTO'»
mes, 12. A la Haye^ 1748. Tom. XLII. Part. L
pag. 139. ^
* « »
^ Considérations fur les Moeurs de ce Siècle. A
Paris ,1751. Tom. aLIX. Part L pag. 5 1.
* * *
Conseils </« TAmitië'. Seconde Edition, 16. A
Lym , 1 747. Tom. XLI. Part. IL pag. 346.
* ♦ ♦ '
SCALIOERANA , ThUANA , PeRRONIANA , PiTHOE*
ANA, ^CoLOMESiANA.'Otf Remarques HifioriqucSp
Critiques ^ Morales , (^ JJttéraires dejos. ScâligilR,
Ffa J.Auo.
(4 MISCELLANE^ESu
J. AuG. DE Tiîou , le CÊrdiml nu Perron Fp. Pi-
TWni^ff P, CotoMife's. A^xtks li^sieflvfieiir^
éSavans. En II. Tom£S, x». A^Amftwrdêm^ 174^-
Tom. XXVI. Part. I. p«g. 36.
» # *
R4înïQUE i« Mr. Mnx itm jf^ftie ^rrf^édatis !e
lournal appelle Scrinium Antiquariwm. Tobl XLV^
Fart. 1. pag. 225.
» » »
T.irmi^ rf'on {Seiûiîbomme JfUimtmi fur k LiV/«
Hollandoîs quîapout lltrç; Machiavel Republi-
CMM iJ^Wucénîr^^'Aiiil'UiAaiiAnEL» âic. I^lin.
XXX. FarC U. pag. 4(S((.
• » *
Lettres Hidorîques 6?ï)ogmatîquesyttrlftr Jsbé*
lés 6f Us Indulgences ài'occafim du Jubile' Univer-
«Ki.cé(ébr^â Ame^ar Sra€r KiK VAu r 7SC^^ ét^n-
éa i UMK le MottdkOir1ioi*q[«e*ftoniain ^en 1 75 1« pat
CHAfif.ts Cm Aïs, 3 Toines^ S. ÈLinibye^ I75i«
Tem. JCLVil. Fart. i. pag. 167.
BiimêmeOuvragBZtami Extrait. Tom.lXVin.
Parc I. pag. apo.
«- » »
Lettres rf« Calvin A Jaqijes j^Bourgogne , Sf?-
gjMur de¥éMsi^deBKeéMm^^iàfon^p49fe}oi,ÊLN»
i«£ flf«lfeEB£itôDX,i»pf1iM£«^/ttf toOr(^iRa«x , S. A
Amjierdam^ijj^\. Tom. X]!QCn. Part. I.pq^ \t^,.
* « #
LiTrR^i^âbie/^ i Mr. W^sTstsur Jîir Je Atneii
ies Lertrei; ^ Calvxw è j»Q«T£S jie BiMPRGMsiaii
Tom. XXXïl. Part. H. pag. 444.
« » »
LtTTRE4UtxEâlte»rs cie}a IMtioMqm Jmfmmè,
touchant un ExTr^tdesZjttnej^/^ Calvin i Jaques
D«aiMjaR}OâN& TMi.XXXlV.F)irt.iL|3i&407.
« « *
ijETTu i Ht. p,«..>r «ii^ciMtf ja«î(/^<ai^
fortuites de St, François <y Assise avec le Sauveur»
Tcwri. XXXII. P»t. If. p^. i79i,
« « •»
I,BTTR B de Afr. To»«$AiNT » Ai^tewT du Uvre âç»
MmmSx ctoftméeà (mire voir tfu^vu antrin'eftpni luL
A Leide 1 750 , 8. Totn. X LV. Paît. IL pag, 44^
• « «
LrrTRï è Mr. (!^rAr,aîi Ton «cpofc rîBJunîce
des pisibies acnères & mt\ foodées Qtd'i) a forméei
dans Ton y^/)o/o^îe contre l'Auteur de I'£xtr<»> du ZV
me XXXII , P/irt. Il , pajr, 454, è?/"'^- <^e cette 5«-
èihtbépte. ToRiv XXXiV. Fart. II. pitg 4(^4.
« <it #
Lettre à Mr. F**, au fujet de TArticle Vi T. du To-
me IV. Fafcic. ÎÎL des Mffeell&na^ de Gr«]s#i^,de
Mr. Gerd£S. Tom. XXXIV. Part. II. pag. 458. „
• ♦ ♦
. LiTTRade r Auteur d'un Ejttrait de la Bibliothb^
QUE R aisonne'e « attaqué dans la BiauojitSQUi^ 6kv
TANNiquE de Juillet, Août à, Septembre 17471^ a-
dreJpeàM.fFetfteîn Editeur dn premier de ce/ Jour*
naux, Tom. XL. Part. L pag. 905.
• # »
Seconde Lettre de i'Auteqr de f Aitîcîe inféri
dans la I. Partie du XXXUL Tome de ce Journal,
êdnffieàUuiViifi^ifL Tom.XL.PajrLlLpag.454*
* «> »
Lettre ds Mr. de Vil,lbttb à l'Editeur de ce
Journaf.- Tom.XLIIÏ. Part. II. pag. 459.
♦ .#♦.. *
Lettre de Mr. XAbU p'Ouvrt, de V Académie
Françoife\à Monsieur***, concernant Mrs. Rous*
6£Au&SAURnr. Tom. XXVL Part U* pag. 342.
♦ ♦ ♦
LETTREsyiir la cou$Ufm modtmed* employer le Vous
êU'Ueu du Tu ; ^Jur cH$6 fueftim : Doft-on bannir le
TuUytment de nos Verdons , particuIièreRient de eel^
les de la Bible, 8» A ta Hayt^ 175». Tom. XLIX.
Parc. I . pag, i6u F f 3 L£T«
85 MISCELLANE*E&
* » »
Lettre à Mejfuurs les AiaeuirsAt\ABibllotUqtte
Raifonnée au fujetdu Livre intitulé, LaNéceffitédu
Cttlte Public parmi les Chrétiens ^&c. &àl'occa(ion
d*un Extrait qui en a été donné dans ce ytrurmâ^
Tom. XXXVilL Part IL pag. 202.
* * •
Lettjies de À!r. Le B. de C ♦♦*. à un de fes Amis,
fur les Mémoires Jecrets de Ferfe. Tom. XXXIV. Part*
IL pag. 483* ^
« * »
Lettres d'un François ,111 Volumes. A Paris t,
1745. Tom. XXXVIIl. Part. IL pag. 179.
* * *
. Lettres «iy«;«rtf/SaBjECTs, &c.
Cejl'à'dire: *
Lettres du Chevalier Thomas Fitzosborne pu-
bliées fur fes Manufcrits. ALondres^ 1748. 8. Tom.
XLL Part. L pag. 3.
» » »
Lettres de Madame oeMaintbkon, 2 Tomes
12. A Nancii7S2' Tom. XLIX. Part. U. pag. 283-
Du même Ouvrage le Tome Troifième contenant fa
k)ie. ToDti.L.Part.lLpag,3i4.
# ♦ ♦
Lettre écrite de Suifje aux jouteurs delaWiblk)^
ihèque Raifonnée ,/wf rJÎLOGBdeMr. JosepïîSau-
ri n , ^f Vylcadèmie des Sciences dé Paris. Tom, XXVL
Part. IL pag. 311.
» ♦ ♦ ""
, Eloge de Mr. le Cardinal de Polignac , lu à l^Af^
/emblée publique de l'Académie Royée des Sciences^ dui
4 Avril 1 742. Tom. XXIX. Part. L pag. 204.
Elogs de Mr. RoLLiN,ftaf. Mr. de BozzSécre^
taire Perpétrtel de T Académie des Jnfcriptions l^ Belles*
Lettres, Mu dans VAJJtmblée piAliquedecetteAcadé-
MISCELLANE'ES.' 9?
mit le 14. Novmbrt 1741* Tom. XXIX. Paru JU
pag« 435*
« » »
Elogb de Mr. Bo£RHAAVfi. Tom. XXVIL Part,
n. pag. 338.
. Eloge Historique de Mr. De Ch£S£Aux. Tom.
XLIX. Parc. 1. pag. 210.
♦ * ♦
Elooe Histortoue de feu Mr. Cramer , Profef'
Jeurde Pbilofapbïe ^de Mathématiques dans YAcadé'
mie de Genève, Tom. XLVIll. P^rc I. pag. 225.
♦ ♦ ♦
P. BunMANNtJuNioRis Oratîo Funebrîs t fi oMtttm
Viri CeleberrimijACOBi Philipfi d'ÛRViLLE , &c.
Ceji^à'dire:
• Oraison Funebue de Mr. Pierre Burmanic le
jeune fur la mort de Mr. Jaques Philippe d'ÛRViL»
LE , Doftcur en Droit & Profefleur en Hiftoire, IClo»
quence,& Langues dans TEcole Illuftre à^Amfter*
dam y décédé le 13 de Septembre 175 1. Prononcée
daiis rEfrlife Neuve le 22 d'OStobre 1 7S i* ^ Amjterdam^
'Tom. XLVIIL Part. IL pag. 291.
» » «
Natalis Primus Hsreditarii totius Belgli Fœde-
nti Gubernatoris W. C.H. Frisonis Arausionis &
Nassavi-b Principis , &c. Nec non Natalis Cen-
tësimus Pacis WEStPH ALicA 9t AôademîflB Ducatûs
GfiLDRLS, Comitatftrque ZuTPUANXiB,Canticis Re-
gins Sponfas^cum Mulîcâ Sacra, celebratus à B. S.
Cremer , B. F.^
Ceftà-^dire:
Le Premier Anniveusaire de Son Altejfe Sérénif"
Jtme^ Guillaume Charles-Hëmri Frison, Prince
d'ORANG£& de Nassau , Gmvemeur Héréditaire des
Provinces-Unies , &c. Avec le Centième Anniver-
saire dfila Paix de WestphaLie , (i« l'UniverJîté du
Duebé de Gu&LDK&ffde la ComtédeZuTmsN^célé*
' ' Ff4 bti
«^ MrSCELLANE'ES;
Epoufe , de la Fierge Marie , des ^pâtres , de OéMgi ^
&c. Par Mr. Bt.RNAKD«S£lAmEM Crkmer^II Vo-
tif mes, 4* AHofâetwjk.ij^t. Tom. XLli. Part. U
pag. Jo6«
* » «
Itf OurtVM SerenfJJmi Aràof!onet)6am Ttfntipis
WlUlELMI CAKOLI-HENUlClf'KlSOMiS, ÀC.
CtU'à'dire:
Oraison Fonebïie Jwria iwrt rfc Son Aîteffe Séré*
nîflime GuiLLAuMii CrfAuLts H^i^ri Frison,' Prince
à Orange, Stadhôtidtfr , C:ip2tàiiie- Général & Amiral
de la Képubiique des Froviuces* Unies» prmiontée
par wàfe des Eutts de la Frevince ttUtrecbt par Mr«
FiLKRE WfissELiNG.c/arif ia grande Eglife dUtrecbi
Un. Février 1 752* Tom. XLvlU. Paie IL pag. 437.
» • *
PiKACOTfIicAScftll»t6ftUM nqftrd ata$êlÀtGtls H^
îuliriumm exhibent ltnaf{ines & Elogia.
Ceft-à-dire:
ft ÊCUEtL dé Portraits fif (TEIoges & ùlu/ieurs Ecrî-
tâltis ^« noj t^T. quifefQn^rendusiliuJtresfar kuà
érudition, Tom. XXXiV. Patt. II. pag. 2é7*
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Grecs ^ Latins, ScF^ah^is^
que J.de fVETSTEIN a fait imprimer^
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AucTOREs Classici fine Nais » Edit. Neioiff^
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A.
AViâSki Vaslie Hiftocis » ex EdttiMic Gmmvu » Gipcèi
de Latine, 4.nTomî.
Aknalovccn Interna Mova-Aadqtta • t.
Anacieontis Od« 5c Fragmenta » Gr. 8c lac cum Nods
■I ■ idem Charta magna , 4.
Antimachiavellus » five Spetimea DUqaifittoiiiim ai Zci»^
cipon MachiavelU » 9.
Antonini & alioium vetera Romanorum Itineratia ez £dt-
cimte ?. WclBslingii t 4.
■ idem, Cha|ta magna» 4.
Artes Jefuiticx in ruftinenois pcrtwâckct NoviticSiui, LazU
tatib«i<mc Soriopim ^ ia. ^
Ffi A««-
CATALOGUE
BnftoiCf Mytliocrqilii Latim cum ktegris ci _.
JCjcilli, Scbdten&Mimcked» &c cuiantevaa Stare-
tta p 4. cmn B|p»
t I iUcm Cil jAa magna, 4.
AilgnfttiiiCiMfclEoiiei&Meditatioiiet» 24.
■ ' Opefom Appesdix » foL
•MêédU TrUmfut iu is Prwî dente , 11. IV, T§m.
•ÂUiàiéum {UJemme) féorUAi. dtiSemet.^ 12. //. Tem.^
*AmUtiis^ ^Amêmrt et %> tmêmr ettes par Mr, Le Fetys » j 2.
•AMMnmê de U JttwStwn dm Cerfs - immuin pdr Mr. Winfie'w , ^
HeMvelte Editiem t»rrigte , ir enrichie defigteree , I z. i K. Tom^ '
\i4rt de emtferver in Séuns des Princes f 12* ^
•■— ' detriMter UYerhi 9 em Le^î^ en ferme d* Entretiens par
. ie Pér*%gpumit 9 I2.
\k4vmiums de Telétmtjme petrfem Mejjire Fr» de SaH^uu de ùe.
Mette Fenefmg emrtekie* demmitredefgnrts ^ &amreseme^
rnsenSf 4.
Blblîa Hebraicm Mannalia ad Hooghtianam 6c optimas
()iiasc|iic EditkMics icccnûca, ex l^ditionej. Simoiiis,
£c figans adoroata. t. 175 )•
BibUaGzscaexEditxMie» ficcum Vailamibiu Leâionibos
Millii j s. IL Tooi.
Boczhaave Methodns Stadn Medici ex Editîone ac cum No-
cif Albeiti ab HaUct, 4. IL Tom. fig. 1 7 5 1 .
B^erhaaTc Praxis Medica » s. T. Tom.
Xiumanni Spécimen AndMtogiz Latins , 4.
Bdehelier de SéUanuut^féor Mr. le Sége^écrit dmns legeut des ^A"
xnemmres de GilUéù^d» wsême auteur , i z. ///. Tem, fy,
Bsrêejrrae Hifieire des éncieus Traités depesit les tems les plus recm»
Usjmfqt^À CE tmp e r e tsr ClutrUtnMpte , fei,
Bétéulles de Cenfismin^ gnmies mdgnifiqnememenfixfetsillesqui
ferment demx grands Té^leattx»'
'ÉietU Milémffde H^ssMifÊUs fmr le* Dtjfertâtiens de Mr. T^
lemd^ t. —,
Bible avec des Explicattws ^ des %éfiexiens de Madame Guyen >
* t. XX»Tem,
Bilfliethéijue tl^feiméedes Ouvrages des S Âvems de C Emepe ^ t,
^ eemptet. LU* Ternes,
m Ch»ifieér^Awmfa>tte , ti, VI, Tem,
Eeerhaave Llémens de Chymie > 8. IL Tem.figf 1752.
C.
CAnîfii Thefannis Monumentocum Ecclefiafiicomm &
Hifioiicoram» &c. foL VIL Tomi.
*.. ' I idem, Ghana magna, fol.
Cafliaai Ope» omnia cum commentaxîis Gazatî » foL
CJicf.
I>£S OUY&AGES, Sec
^efaeinObfetvatioiiiim Mcdif amm i^ibn gniaque , £cBi
tioNova,4.
Clenci Commcntaiii in Vctot Teftamenomi compL foL
IV. Tomi.
!■■ icUm in Hagîogtapha dcProphetasiêparatim, fôL
II Tool
Colnmna Tiajana ab A. Moidlîo in xie indu & norâ Dc(^
ciiptione ac Obfciyationibus illw#fata A« F. Goni » folia
magnoj fig. 1752»
Cam^ Agnes Philojofhiqnesy tuHifiêtu deMr»de M»mcal , fé^
i* KAmtuT des îdcfmires d*Hn Homme de ^UéUtté^l 2. //• Têm, .
Chef 'd* Oeuvre d*itnInconttttf JLTom»
Chevalier des EJfars à" U CojMeJfe de Bergf , Hifioin rai^lh d^é^
vénemens interejfans^ 1 2. //• Ttm,
Ctnfeils de ta Sagejfe , 9U '^meil dès Maximts de Sdnmn 9 \%^
II, Tom»
Cuifidtratiêns fisr les Câssfes de U Grandtmr des %êméim ^ &dê
leur Décadence yHouv, Edit. M^metaie duDi^Ut^jsa de SjitéL, t.
■ ■ fiiftt* Origine à'U fr9grès des BelUfLcUftscbeg^Usl^
mains , à" Caujes de Utfr Décadence , t.
D. >
DIoddii Siculi Bàbliothecac Hiftoricje Libn qui ii^cxfiint ,
Inteipreteli. Rhodomanno, ad fiëonMSS. leceninîft
p. WeïTdingius , atque Stephant 9 Rhodomani » Urlîai ,
. Valcfii 9 Palmetii , Se fuas adnocack>nes , cum Indiôbi»
locupletiffîmis adjecit, fol. IL Tomi » Gi. flc Lat»
^1 ■ idem OpusChaita magna» foL
hiSlienaire HifioriqueyCrîtique^fTC deMr. BayU^ fêl, IV, Tom,
\ {noHvean) Hifiorique 4r Critique fmtfervif de SwffU^
ment au Diffionnaire de Bayie , fêl, Tem, /• JI, & lU.
Hifiorique , &c» de Mereri , nemfelle Edstiem âtÊg^
mentée confidér^lement , fel, VIll, Tem*
■— — — Françeis'xAnglois (Jr Ayésigiâis-Franfeit far B^yer^ JE-
ditien toute non vtUe & très^attffnmth » 4. //• Tom» 1752.
Franf ois-Flamand ^ Flamand'Fraaçùitfar Halma ,
//. Tom,
de ta LoftgHe FrOHfêtfefar ttjehelet » Editien Memeê".
le & confidérahlement augmentée jem preffle em //. Ternes y 4.
Ditton {Homfroi) L4 Tf^ligton Chrétienne démemréepar U "M^m
. reSfion de netre Seigneur J» C, traduite de C^Angleis^ IJâTTû
£.
EPîâeti Enchiûdium , cmn Ccbcdt Talmlâ » 8c& Gjrcc^
fie Latine , EditioniddîÂimaiine notis » 24. 1750.
BbAMctie des Loix tfeturelles^ & du Dreit primitif far F, H. Stern^
. bf de Piern^ont » 4.
Mio^edelaFolieparSr^fmef emrM dejfpireSf 9... . ^ - ^^
F. >
F^U dts K/Atillts , •« les Frtfns devemu HnmUn^tmyWM^
fâUés tlnifies tm Jtsliem & m Françêis par Vénérmi^
émfgÊmSr t-
WmÊhn mammmaat M^iéUffÊ» àês Mmn y ifo$€ de» Cmt9$ ^ fMês^
€Hmffésfit9 l*Edmcati9n d*nH Prince , t. //. TettK
•— EdmemimdnrUieSj iz.
frtfmÊÊevùLéÊS^deàpf^tmdmE/^kr^Fefts d^^Angteêem » nt
%em4fMuesdePhUHemkÊn de Lêrfiùg fm le £>$femr$deU
'M J éa n tdefmfer, 92.
G.
GOliMffetfrOpcM|afMica MiBen,fiireL!b<lti,Tnd«*
tus, Oiationes, flc OpuTcula raiiora & piaâaBtîoi:a,fbU
QfMÛvir |nt Belli ne Pacs cnn Nous Varionim ac Bat-
htjnti , f » II. Tom.
^timmtitt é» %e*s de ftmeê fmr Sémwéd , «mfkk^ts dtfigmrtr ^
12. ILTem.
Cmide d*^Mleterre9tmT^âtie»mn'e»fe du Veyage de Mr. B^'f «
et^m (iùuUme) tmtesfes O m 9 n» , t. XLV, Tem.
H.
HAiMnové&CkikaimNoivnmTcftaiiiciitgni, M.HU
Totuk r t^àk, opcmia.
Hcineccii Ekmcnta Jwis fea i »Aw i ofdLtncmPaBdcftafnn, t.
M l I ■ Milolbpl»«KatkMialbflcMoraKs,fiTcLo«ca,t.
n ObiarmoMOB FOliticaiiiiii , ûvt de Acpabiici >
libii dccCB, t»
■MA Opcra onntti Gibcc Se Latine^ accednot Ffa^mcMa
Gizca cz Edîtione ac\cifionc Sam. Claxckc,r2. ILToml.,
Odyffea r &r. Gt. dt Lit. (èptratifit , t z.
Bomnif tsL Kccttkùwat et cm Hotis at^uc Baimd^wwiftwia
. H» Biratteity 4*
Jioben Pofitiones Joxis » S.
H^éhw dm CemeiU d» Ttemt dt frs^P^mU » Tntdm&tem mm mei i m
pét9 lé Fére Le Cemwsjer , & sveefe* T( ^mMvf§n s , 4. Il, Tem,
■ I II là mimeOmmrégieemnmU pépier, 4.
■Il ée^tknfMiefide MtltkepemHr.dêVenm, il. K Tr-
M l ■■ 4» Emptnmrt l^ne^ms dtpmê ^AtigÊfte)etfjm*éi Cwftâm^
tin fi» Mr. Crevkr , la. VW, Tnmm,
"> de fEmphepm Heig^ cmimek ft^f^k-pttfem , & mg»
meméê de Notes Bijt firmes à" Politi^ues^ 12, YliL Tem,fy.
le »fW« Omri%e y df. ^i, Tm», fg.
D £ s O y V «. A G E s, «ce.
le même en grand pa^ft f 4.
MUitmft 4e Ihmies XIL^^i de Snede dtfmis Psn r^M.'
jufqu^à, la BatéiikéetmiÈtmt^ , pir Mr, Kinfi, utdkrftlèt^^r
enrichie défigures & deflam dt Baunilcs , 11. IV. Ton?»
MtOrke , pmim n it^^Anghis dt Èfr. Tew^e SiA^éà^
la. ili^Ttm,
tlmStMdémiékrat d^fmfftnihrgimfar Jtfr. ^^gmat , rf«
•M if« Tem fomtf wm f Enfmit trvnvt , tntdw^m de fJkt^U
4» Jir. BêddiHg , m IV, Twmes t, d* «nncèrp dtfg»
JOfcphi Opéra omm Gcsce fit Lstxnè es Sdioonc Hcfcr*
îtMupi , ml. n. Toni.
Jnflititutiêns Phyfiques de Madame la Marqmft énCbûaSm^ mri-i
^ImtdefgÊms^ «.
Militaires de Végéce , S« j%.
Jugemms des Savans£ar Baillet^ zx. iTf^^Ti
LlmcoHA A9CÎS îmcgris 8t e ! LCtqiûi Tanonm , ntc .naD^
ineditis alioium , cum F f rina^ ioi m Smn^ememis , Cft->
lante A. Dtakenboich , 4.TII. Tomi.
■> !■ ■ iéemOfKCkaitiifBtgfMi , a^.
Lommii Obfervationes Médicinales , S,
taciam S^m e CweHfi s Opeta «mnta Orrc^ fie I;aâiiè asÉk
sof^Â ^u^finte HciHRtilunî 8c Gnaciî , Orxcis SdhcfEis
ac Notis Varioium , additis ineditis, pnettpnè Jft.S4Aaai j
Gefneri , & He ui fté i fart S i , curl Kât2£, 4. f U. Tom«
• I' ■ idemOpwsCkaRaïue^giui* 4.
Lacretius Carn ieHoom JïtSpà tcmnNticîs Hbenâam^i^
Leti Vfta di Sixte V. Ji»fig» ///. TV».
Lettres Cobalt' fiiquee , •» 'CbimÊf^mdwme ^hPl^ijêrfiêe trOttî"
^mfÊT I9 Mi9r^s4r xAr^ms y 1. V7.Tvm.
I II de^tkdwnifmfmesdtBvter^oigieeà'itfim^^fm^e'fdlaÊtJt
de Brederode , irr^rimées fur les Origitumx^ H.
■M ■ de Crinfjem » ifo ijinénittm& ^fSJMte » ecnSr«i 2 dJ"
vers Savmm de-Pfytmfefm J&. Xhiftr mmfg, 4.
»— « Hi^mmf&CMhÊmrsymrMi, C^^ara.TTT. Tvw.
■ f />f>/ af j meilleurs ^mnàrjfur toutes fmesÂt St^ets^^
■ & Mémoires du Nonce Vifcomi , Minifin ffans#jw^»<>
m ■ deThêréfey eu Mémiitts d*mejmm 'I^m>Epffi rfc Fr»*.
wwr , 8, K/. parties»
I:
M
CATALOCUE
M.
Afâni Epiflolx cnm vîtâ Anâoixs à Majanûo confcilp-
ci 9 ac f rxtanooc Wcflêlingii » 4. fig.
» i4l.-mCliaitaiiiagDa. 4.
JMoicUi Thcfatuiu Kimufinanim Fanûliaium Komtnanuii
* diïigmriffiinr conquifitoimn & accuiatiifimè delincato-*
nm: acceduat Nummi MiftdlanciyUifpaxiici, Confulares,
. Cccami cnmmfntariw pcxpcciiisHavcrkampi»foLIl.ToiiiL •
■ ■ cio^dcm Tbcfamns Nnmiûnatum Impciatomm à J.
. Cz£uc nfqoe adPomttianiim abAudoie accuiatUfimc de-
lincatomm, cnm commentajus SchlegcUi,Havaicainpi, Se
Goiii,a£pisfanoiic P. Wcficliiigii,foT.Ill.ToiiL fig. 1752.
■ ■ ■ idan Opua Chaita magna , fol.
Mimêins 4*tm Hêtmtie'H^mmtféur l^xAmeur des Mtmêirts tTmm
Uêmmi de muUiti » t. //. Ttm.
■ ■ dm Mâr^uû de Fen^tûéreSf enrichis défigures if de PUns
deEMMilles^t lz.JV.Tem,
I ■ lemimeOmvtétge^ ^ft»
* ■ - deSuMdrtin^ Sieur de Châjpewville ^ t.
Mille & «M SuitfCèmts ^réhes fér Àtr. Galldnd yiz. XIL Tonu
iùmrs {les) uêmille Editiên , S.
O.
OYldii Opctt omnia cum Nous Vaiioram ac Bnmamû »
4.IV. Tom.
Oeuvres d* Hêmère Avu des T^oum^^s par Madame Dacier^ £*-
ditiem neuvelle augeeemée d^unjupplément , ^ enrichie defipy-^
res^ 12. VII. Tem.
fc II de FlatenfarDacier ,12. //. Tem,
I I de ^KAhhé de St, *Kl^ » neuvelle Editieu , augmemin
d^un Velsuue & enrichie défigures ,12. VI» Tem,
4 de Lsscréce enLâtiniren fraufois far Mr, le Baren d€
CetUuves 912. //. Tem.
\ de Mr. Le Pays , cemfl. 12. II. Tem.
mmm^Êm deTacite^troduites enFratifets ovcc des Netes peliiiques
tr hifieri^sfar Mr. %Amele$ de la Heujfaie , neuvelle Edi'^
tien y 12. IV. Ternes.
■ I Mfiées de Mad. du Nejer y iz.IILTem,
' de Mathématiques par Paardies y 1z.II.T9m»
Otsfvrages de Xénephen traduits du Grec « 1 2. //• Tom,
P.
PAïadifus Anlms Chiiftians ftudio 2c opefi Medo Hox-
ftli, t. fig.
l^etionii Satyiicon , &c. cum Notis Vaiioium » curante Bue-
manno » 4. IL Tom.
■ ' idem Ghana magna , 4.
PhiloûxatommOpccay Gxapc.6cLat.'01eaxu,fol.
—•idem
% -
'>
J
BES OUVKAGES, tici
idem Charta magna , fol.
^^^ f iéket Compendium ThcoLogix Chdftians , t.
% Plinii Epiftola; cum Notis Vaiionnn ex editioae Coidiflt
Longolii, 4<
YoUucis Onomafticum , Grzc. & Lat. foL
Piopeititts ex tditione » ac cum Kods Bcoukhniîi » 4.
Paméta , 91» la Vertu récompenfée , tréULutiê â$ i*%Angl9Ù , ^ tm^
rh'hii de figures y 11* JV,Tûm,
Paufani^ , 9» V9jage Hiftoriqut de U Grtttfâir P*.AkèéGed0jui
tz.lV.Tom,fig. *
PftoHnus de la Verfion de Genève , têut mufique , fetj$ fVi2.
Pufenderf Droit de la Nature isr des Gens ^ traduit far Mx. BaaF\
^ ieyracavecres%emar<^ues y ^IhTem,
*-— «» le même Livre en grand papier y 4.
Pietra del Paragone Polit ice di Baceaiini , fig. 24.
kUintiliani Inftitutiones Oratonx & Oxadones y ez Edkl
Buimanni , 4. III. Tom.
R.
Qllin Htjlotre %omaine depuis lafendaison de T(^me , NosH
velle Edition corrigée ^ à" enridiie de Plams 4t de Cartes Gém^
graphiques ,12. XVI » Ternes,
m du même Ouvrage la C^mimuuim , m» Hifioire dit £t»i
pereurs Ttomainspar Mr. Crevier , 12. VUL Têm*
» S. •
, JcephanasdeUibibus, G»c.&Lat.fbL
Scarron Oeuvre» y Edition toute nowUellê ^ ampuêntéedê flufieuéi
Pièces curieufes » enrichit defiguret , ér rédigée m VIL T§mêt^
12. 17J2.
■ le%9man Comique féparé y ILTontm
Sermons fur divers Textes par J. B, de la levier* , t,
Séthos , tiré des monumens de l^ ancienne Egypte » 12. //• ^Mll^
Souverains du Monde , 8. IV, Tom, figures,
Supplémem au Corps Diplomatique , fol, V, Tnu,
1 le même Ouvrage en graud papier,.
Synonymes François^ leurs différentes fignifications y &le€bot3Ê
qu'il en faut faire pour parler avec jufieffe y par Mr, P,Mé>i
Girard y avec le Traité de la Profodie trançaifepar Mn /**4^,
kéd*Olivety nouvelle Edition corrigée y 12.1752.
TEftamenttim Grxcum cum Varîannbiis Leâionibusflc
in eafdem Notis i accèdent Loca paxallda ftodio MU*
iiiScKuften, fol.
■I cum Vaiiantibus Leâionibiis ex pluribus MSS*
Codd. 6c anti^uis Vtfifionibi» coJkfts » ac Iiodii paxallç*
>U cuci Mafiiicht > f.
Q
R
S.
CATALOGUE, &c
_^. — - m quo ttun fclfi&i Yaùaili i^oo» i^uibiis fsmmcm
Mo^. Teftaai. «0cc» coatiacator , Aftcri£cis Bocanturi tumi
ti^timngmmmr , Auâoie J. LeaTdeii , £4itio aovà accu-
Mcmcnm Vcf€«K Ladai Aiic Maacam, E^lt-
î
Thnqrdîdcs de BcUo Pdopoaaeilaco, d ace ic Latine» «um
( AJauuiiaaliw âarpif H. Stcpàaai fc J. MadioBi i «x ce-
cenfionc WaiTe , ac cuiâ & cum animaèvafiaaibus Du-
kni, iflccfoL .
^Ibuttiiio E4saMic ac«nm NotM BfoeUMfii , 4.
tréits^ t.
ThéMfdeMf.ikUfêfi. tufg.
._. i^# Jlfr. de U Grattgt'Ci^ncel ,12. //. T»m,fil.
^ Àtt GntafMr B mm My , iz. 9^7. ruv.
Thétrie&PTéniqttednJéurdinégÊ, j^^twtcfig,
TtêMîi des Sent f^r Mr, U Cm , enrichi defi^unes , g.
^ àtUféUi^ fmriér.dsUiUm^ ftt.iy.Têm*
If Erheyen Anatonùa Coi^iMit HmaaoÂt &1I.TQn«£g.
'^fiigga Maf a aU Oaaa <w wawk JcqncoéaaioabgsCmH*
meataiik Sertii, Vhiftarf ynt* ncni. A cp a daa t yBfini , Ja-»
^ricii, Naniîi, Fabfi, ficalioriun, ac przcipuè Nioq|ai
Heinfii notx 8MK fOMSi «dft««ai
t nu«iaaaÉ,4.IV.TMÎ.
_ idcmOjpaaCibattâaM^a^ 4*
^— — I cum Notis Minclli , iz.
Voet Coinmentatk»ad«at4céka8 , M. II. T^m.
i Jans fuxtaicncai Baadeâ. f .
K^«<a CÊTdiiil Dm dki^Adum, 1 2. //. Tmm.
Yréûs Principes de U L étp Ê g ërémfife , mt U PtiMlU wéémUt -fn
méthtde €onfmmimm€ ém^Uixéê evfé^^fm Mr. e^ÂhU
ChéLrd^ 12.
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