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Photographie

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Microfiche

Séries.

CIHM/ICMH Collection de microfiches.

Canadian Institute for Historical Microreproductions / Institut canadien de microreproductiona historiques

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©1984

Technical and Bibliographie Notes/Notes techniques et bibliographiques

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GÉNÉRALITÉS PRÉLIMINAIRES.

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I/Europe n*a, comme Tont remarqué ailleurs Malte-Brun et plusieurs autres géographes, ni les imposantes dimensions de TAsie et de l'Amérique, ni la masse compacte de l'Afrique. Le caractère par- ticulier qui la distingue de ces trois autres grandes divisions continentales du globe, consiste dans les golfes immenses ou mers intérieures qui découpent son littoral en tout sens, qui, s avançant considéra- blement dans l'intérieur des terres, eu égard à leur étendue, facilitent les communications et sont aussi favorables aux progrès de la civilisation qu'ait développement de l'industrie et du commerce.

Sorte de dépendance du vaste continent asiati- que, l'Europe , qui n'en semble être pour ainsi dire qu'une péninsule, n'offrirait pas, dans presque sa totalité, un bassin assez large au Nil , qui cache sa

source vers les monts de la Lune; au Kiang, ce XLVI. 1

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1 VOYAGES EN EUROPE,

fleuve qui arrose de Touest à Testrempirc chinois; à rAmazone, qui descend du Pérou et coule entre les deux vastes Etats de la Colombie et du Brésil. Les montagnes de TEurope les plus gigantesques n'égalent ni en élévation ni en étendue les longues et hautes Cordilières de TAmérique, ou l'énorme plateau des monts Himalaya thibétains; toutes nos landes, nos dunes réunies n'augmenteraient pas sensiblement les déserts sablonneux de la Libye, ou le Sahara de l'Afrique, ou le Gobi de l'Asie; et nos archipels européens, d'ailleurs si rians, ne seraient remarquables ni en beauté ni en étendue parmi les labyrinthes maritimes de l'Océanic. Les productions des trois règnes de l'Europe, comparées k celles des autres parties du monde, offrent en général peu d'originalité, d'éclat ou de grandeur. L'Europe n'a que très peu de mines d'or, et ne peut nommer qu'une vingtaine d'espèces de quadrupèdes qui lui appartiennent exclusivement; encore, ainsi que l'observe Malte-Brun, sont-ce de petits animaux de peu d'apparence, tels que des rats et des chauves- souris. Notre industrie a perfectionné quelques es- pèces, comme le cheval , le bœuf, le mouton et le chien; mais nos meilleures productions naturelles semblent avoir été importées des autres parties du monde. Le ver à soie nous est arrivé de l'Inde ; la laine fine, de la Mauritanie; le pécher, de la Perse; l'oranger, de la Chine; la patate, le maïs et le la-

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GÉNÉRALITÉS. 3

bac, de rAmériquc; et, en dernier lieu, le fin tissu à chàle, du Cachemire, par l'introduction en nos climats méridionaux des chèvres du Thibet. Ainsi nous ne sommes riches que d'emprunts faits h des contrées en dehors de l'Europe.

Mais grâce à la puissance d une civilisation pro- gressivement persévérante, cette région Âpre et sauvage , que la nature n'avait dotée que de bois et de fers, s'est ornée, enrichie avec le cours des siècles sous les efforts industrieux de ses habitans. On n'y reconnaît plus les produits indigènes, la culture a changé les végétaux et les climats; aux rivages le castor élevait paisiblement ses huttes, brillent des cités populeuses et pullulent des milliers de ci- toyens; dans les contrées que foulèrent seules et si long-temps les bétes fauves, se sont établis des em- pires florissans, et l'indigence a disparu devant une fertilité laborieuse. L'Europe est devenue pour ainsi dire le centre intellectuel de l'espèce hu- maine et la législatrice du monde entier ; elle est présente sur tous les points de l'univers; un conti- nent lointain, celui de la Nouvelle- Hollande, se trouve peuplé de colonies européennes; presque tout le littoral nord, ouest, sud et est de l'Afrique est couvert d'établissemens européens; plus d'un tiers de l'Asie est soumis à la domination euro- péenne, et le vaste empire chinois est cerné tant au nord qu'au midi par l'industrie ou les armes de

VOYAGES EN EUROPE.

l'Europe. L'immense Océan est devenu le domaine exclusif des Européens ou de colons de l'Europe, et pendant que les peuples les plus policés des au- tres parties du globe osent à peine s'éloigner de leurs rivages, excepté peut-être les États-Unis dont les navires marchands commencent à sillonner la mer du Sud, nos intrépides navigateurs suivent d'un p6le à l'autre les routes que leur traça le génie de la science géographique. Non content de se sou- mettre la nature et d'enchaîner la foudre, les Eu- ropéens ont su par l'astronomie conquérir l'univers céleste et voyager au-dessus des nuages. En un mot, la science est le patrimoine, pour ainsi dire, exclu- sif de l'Europe, et l'Européen parait avoir seul découvert le secret d'en étendre et d'en faire pros- pérer les nombreux rameaux. j! L'Europe est comprise entre les 35* et 7V degrés de latitude nord, et entre les 12" degré de longi- tude ouest et 68* degré de longitude est. Si on vou- lait y réunir les îles qui dépendent géographi- quement de celte partie du monde, telles que la Nouvelle-Zemble, l'archipel du Spitzberg, etc., on aurait pour latitude 35 et 81 degrés nord. ;,. L'Europe est bornée au nord par l'océan Glacial arctique et la baie de Kara, subdivision de cet océan, commune également à l'Asie; à l'ouest, par l'océan Atlantique, et au-delà du cercle polaire par l'océan Glacial arctique; au sud, par le détroit de

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GÉNÉRALITÉS. Il

Gibraltar, la mer Méditerranée, la merde TArchi- pel , le détroit des Dardanelles, la mer de Marmara, le détroit de Constantinople, la mer Noire, ll^dé- troit de Gaffa et la mer d'Azov; à l'est, par }2 Meuve Kara, la chaîne principale des monts Ourals et le fleuve Oural jusqu'à son embouchure dans la mer Caspienne ; ensuite par une partie occidentale de cette même mer Caspienne, jusqu'à l'extrémité orientale de la chaîne du mont Caucase. Au sud-est l'Europe a aussi pour limites le cours du Terek, le Caucase et le cours du Kouban , accidens géogra- phiques qui lui sont communs avec l'Asie. Ainsi les monts Ourals et la mer Caspienne senties deux grandes séparations naturelles entre l'Europe et l'Asie à l'est, comme la mer Noire, le Bosphore, l'Archipel et la Méditerranée sont ses confins au sud, elle est séparée de l'Afrique, et l'Atlanti- que à l'ouest, elle est séparée de l'Amérique; enfin l'océan Glacial la limite au nord. * I

I^s points les plus extrêmes de l'Europe sont : au nord, le cap Nord, situé par 72 degrés de lati- tude nord et 22 degrés de longitude est, à l'extré- mité de l'une des îles dépendantes de la Norwége, et s'avançant dans l'océan Glacial arctique; à l'ouest, le cap Laroca, situé sur la côte ouest du Portugal par 30 degrés de latitude nord et 12 degrés de lon- gitude ouest, et s'avançant dans l'océan Atlantique septentrional; au sud, le cap Matapan, situé dans

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« VOYAGES EN EUROPE,

la Turquie européenne, et s'avançant dans la Mé- diterranée par 36 degrés de latitude nord et 20 de- grés de longitude est. Quelques géographes ont rattaché Tlslande à l'Europe; mais c'est une dépen- dance naturelle du Groenland, qui lui-même se lie à l'Amérique septentrionale. Évidemment l'Europe se termine au nord-ouest avec les îles Féroër.

Renfermée dans les limites que Ton vient de tra- cer, l'Europe a une superficie d'au moins cinq cent mille lieues carrées , de vingt-cinq au degré équa- torial , et une population de plus de deux cent vingt millions d'habitans. L'accroissement annuel de cette population est à peu près d'un million d'âmes.

La glus grande longueur de l'Europe est de douze cent quinze lieues, du cap Saint-Vincent aux monts Ourals, près d'Ekaterinbourg. De Brest à Astrakan cette longueur est de huit cent soixante lieues. Sa plus grande largeur est de huit cent soixante-dix lieues , du cap Matapan en Grèce au cap Nord. Sa largeur, qui vient ensuite, est, du cap Colon na en Galabre au cap Wrath en Ecosse, en partie sur l'eau.

L'Europe comprend au nord le royaume de Nor- wége, celui de Suède, la partie de l'empire de Rus- sie située en Europe, les îles britanniques ou le royaume-uni de la Grande-Bretagne; au centre, le royaume de Pologne, celui de Prusse, l'Allemagne, le royaume de Danemark, celui de Hollande, celui de Belgique , la France, la Confédération suisse et

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^1 GÉNÉRALITÉS, o^ 7

l'empire d'Autriche; au midi, le royaume de Portu- gal, celui d'Espagne, l'Italie en général, et la Tur- quie d'Europe. Varsovie occupe la position la plus centrale de cette partie du monde; mais le bassin de la Bohème est le point central physique , car il termine vers le nord le grand système de pays mon- tagneux qui composent la Haute-Europe.

Nous avons dit que les mers et les golfes carac- térisaient surtout la péninsule européenne : ces grandes masses d'eau interposées parmi les terres manquent à l'Asie, à l'Afrique, à la Nouvelle-Hol- lande , et même à la majeure partie de l'Amérique. Elles exercent une grande influence sur la tempé- rature, qu'elles rendent humide et variable, et sur le commerce dont elles multiplient les communi- cations, comme aussi elles influent sensiblement sur la destinée des nations, auxquelles, conjointe- ment avec les chaînes de montagnes , elles présen- tent des remparts naturels contre les invasions étrangères.

L'océan Atlantique qui borne l'Europe à l'ouest est appelé par quelques géographes océan Occi- dental. 11 s'appelle mer du Nord ou d'Allemagne, entre la Norwége, au sud du cap Slat, le Jutland, l'Allemagne, les Pays-Bas, la France, la Grande- Bretagne et les îles Shetland. C'est, comme le remar- que avec raison M. Balbi, une des méditerranées à plusieurs issues les plus remarquables de l'Europe.

« VOYAGES EN EUROPE.

Les empiétemens de cette mer sur les côtes d'Aile^ magne et des Pays-Bas y ont formé les deux golfes de DoUart et Zuyderzée. Un bras de la mer du Nord s'appelle Skager-rak, entre le Jutland et la Nor- wégc méridionale; quelques géographes le nom- ment mer de Danemark; il forme sur la côte de Norwége un enfoncement considérable appelé gfo//<? de Christiania. Un autre bras de la mer du Nord prend la dénomination de Cattegat, entre la Suède méridionale et le Jutland septentrional ; deux autres enfoncemens de la mer du Nord, beaucoup plus petits , forment les golfes de Bukke et de Bergen.

L'océan Atlantique au nord du cap Stat en Nor- wége, prend la dénomination de merde Scandina- viey le long de la côte de cette contrée. A l'ouest du Pas-de-Calais il s'appelle la Manche, entre l'Angle- terre et la France; il s'appelle mer d'Irlande ou même canal de Saint- Georges, entre l'Ecosse et l'Angleterre d'un côté et l'Irlande de l'autre ; il se nomme mer de Calédonie au nord-ouest de l'Ecosse; golfe de Gascogne le long d'une côte sud-ouest de la France, et golfe de Biscaye le long d'une partie de la côte septentrionale de l'Espagne. ^ ' '-^'"^^

L'océan Atlantique pénétrant dans le continent européen y forme de vastes mers méditerranées, l'une au nord , l'autre au midi. La méditerranée du nord , plus connue sous le nom de mer Baltique ou simplement Baltique (mot tiré du danois ou suer

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GÉNÉRALITÉS. ' 9

dois Beit, qui si^^iifie ceinture), et désignée sous le nom de mer O- niale par les nations Scandinaves et germaniques, est une vaste mer intérieure située entre le Danemark, le Mecklenbourg, la Poméra- r.ie, la Prusse, les provinces Baltiques de la Russie et la Suède. Elle offre plusieurs golfes, dont les principaux sont le golfe de Bothnie, entre la Fin- lande et la Suède; le golfe de Finlande, entre la côte méridionale de la Finlande et celle des gouverne- mens de Pétersbourg, d'Ësthonie et de Revel; le golfe de Riga ou de Livonie, entre la Livonie et la Gourlande; et le golfe de Dantzig dans la Prusse occidentale. Les détroits du Sund et ceux du grand et du petit Belt sont les trois issues par lesquelles la Baltique communique avec le Cattegat, qui est une branche delà mer du Nord. .. l

La méditerranée du sud, nommée mer Méditer^ ranëe ou simplement la Méditerranée, est comprise entre l'Europe , l'Asie et l'Afrique : le détroit de Gibraltar l'unit à l'océan Atlantique. Cette mer du côté de l'Europe prend le nom de canal des Ba- léares, entre la côte du royaume de Valence et le groupe des îles Baléares ; celui de golfe de Lyon, le long des côtes de Provence et de Languedoc; celui de golfe de Gênes, depuis la côte de Nice jusqu'à celle du duché de Lucques; celui de mer de Toscane, entre la Corse, la Sardaigne et la côte op- posée de l'Italie; celui de mer de Sicile, entre l'île

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19 VOYAGES EN EUROPE.

de ce nom et le royaume de Naples; celui de mer Ionienne entre le pied de Tltalie, la Sicile et la Grèce. Un bras de cette mer forme le golfe de Tarente vers la Galabre; un autre le golfe de Patras ^evê le Péloponnèse, et le golfe de Gorinthe ou de Lépante au-delà du détroit de ce dernier nom. Un bras de la Méditerranée, pénétrant par le canal d'Otrante entre l'Italie d*un côté et TÉpire ainsi que l'Albanie et la Dalmatie de Tautre , forme le golfe appelé mer /Adriatique. Enfin la Méditerranée y^vê le détroit des Dardanelles forme ce que les anciens Grecs appelaient mer Principale ou Archi- pelagos, et ce que les géographes modernes nom- ment Archipel. Get archipel, au-delà du détroit des Dardanelles , forme lui-même le petit golfe à plu- sieurs issues, nommé improprement mer de Mar- mara, entre la côte de l'ancienne Thrace d'un côté et la côte opposée de l'Asie-Mineure de l'autre. A S6n tour, la merde Marmara, ou la Propontide, communique par le détroit de Gonstantinople ou le Bosphore, avec ce qu'on appelle la mer Noire, limite méridionale de la Russie européenne. La mer Noire, nourrie par les plus grands fleuves de l'Eu- rope centrale, reçoit encore par le détroit de Caffa ou le Bosphore Gimmérien , les eaux limoneuses des Palus-Méotides, improprement nommés par \m moàGVï\G^\2i mer dAzof on Azov. ^

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GÉNËRALITÉ». 11

trémité septentrionale de TEurope, forme plusieurs golfes dont le plus considérable est nommé mer Blanche, qui est renfermé dans le gouvernement russe d*Archangel , et qui est , comme la mer de la Nouvelle-Zemble, exposée à de violentes tempêtes.

Quant à la mer Caspienne, qui baigne TEurope depuis l'embouchure de la Kuma jusquà celle du Jaïk, et dont le niveau est inférieur de cent cinquante-cinq pieds à celui de l'Océan, elle n'est, à proprement parler, que le plus grand lac du globe, et la plus grande partie de ses côtes appartient à l'Asie. -'■'.'• --.....-.>.-,—■-'•-—'■—

Le mouvement généralise la Méditerranée se dirige de l'est à l'ouest; mais la réaction des eaux contre les côtes donne lieu à plusieurs courans latéraux opposés. Les détroits donnent aussi nais'- sanceàdes courans locaux très variables, comme le phare de Messine ou la Charybdis des anciens, etl'Ëuripe, entre le continent et l'île de Nègrepont, Les marées dans la Méditerranée ne se font sentir que très légèrement; on a cru les remarquer dans le golfe Adriatique et dans le golfe de la Grande- Syrte qui touche à l'Afrique. ' - j. - *-•

Les mers que nous venons d'indiquer bordent le continent européen sur une ligne de cinq mille cinq cents lieues, tandis qu'il ne tient au continent asia- tique que par une ligne de huit cent quatre-vingts lieues. Ces mers sont, comme l'observe Malte-Brun,

12 VOYAGES EN EUROPE,

d'une haute importance pour l'Europe. En effet, au nord elles nous séparent des terres glaciales du pôle boréal ; au midi elles nous garantissent des chaleurs de l'Afrique; partout elles ouvrent un ac- cès au commerce et à la navigation des peuples.

La Méditerranée a une surface totale de cent trente-un mille neuf cent quatre-vingts lieues carr rées de vingt-cinq au degré; celle de la mer Noire avec la mer d'Azov est de vingt-trois mille sept cent cinquante lieues; celle de la mer Caspienne de dix-huit mille six cents lieues; celle de la mer Blanche de cinq mille lieues ; celle de la Baltique entière dedix-sept mille six cent quatre-vingts lieues, y compris le golfe de Bothnie, qui a séparément cinq mille cent lieues carrées, et le golfe de Fin- lande, qui a deux mille trois cents lieues carrées. La mer d'Allemagne ou mer du Nord , en la bor- nant par le cap Stat en Norwége, les îles Shetland et le promontoire de Lindesness, a trente -deux mille lieues carrées ; le canal d'Irlande a trois mille quatre cents lieues carrées; et la Manche trois mille sept cents lieues carrées. î *. ,. .' j ,..

La Baltique a cent soixante -dix lieues de côles rocailleuses, et extrêmement hautes et escarpées au sud et au sud-est de la Suède; cinq cent quatre- vingts lieues de côtes de moyenne élévation au nord de la Suède et d'une partie de la Russie, et trois cent quatre-vingts lieues de côtes, la plupart basses

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GÉNÉRALITÉS. 13

et sablonneuses pour le reste du littoral de Russie, de Prusse et d'Allemagne. La profondeur de cette mer est rarement de plus de cinquante brasses, et pendant les vents du nord ses eaux s'adoucissent au point de pouvoir servir aux usages domes' tiqueSt ' -'a*'*"^ >. ; < aln'iiî

La mer d'Allemagne ou mer du Nord est divisée par quelques géographes en deux parties; l'une por- tant le nom de mer d'Allemagne^ pour la partie q i s'étend du Pas-de-Calais à l'extrémité du Danemark, royaume dans le voisinage duquel on la nomme aussi mer Cimbrique; et l'autre portant le nom de mer du Nord pour la partie supérieure qui s'étend jusqu a l'Islande. Cette mer est sujette à de fortes ma- rées ; ses eaux, plus douces que celles de l'Océan, sont grasses et limoneuses; elles donnent vers le soir une lueur que les marins appellent morillo; elles se couvrent fréquemment de brouillards épais, retombant sur le rivage en une rosée amère et saline qui nuit à la végétation des arbres, mais qui donne aux plantes une verdure plus fraîche et plus belle.

Les amas d'eau douce que renferme l'Europe sous le nom de lacs n'égalent pas ceux de l'Améri- que septentrionale; cependant ils ont aussi leur importance. La région la plus remarquable en ce genre est celle se trouvent les sources du Volga au sud , la mer Baltique à l'ouest, et la mer Blanche

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H VOYAGES EN EUROPE,

au nord-ouest. La masse d^eau qu'elle comprend, si elle était réunie en une seule, égalerait presque le 0olfe de Finlande. Les principaux lacs de cette ré- (];ion sont le lac Ladoga, qui a huit cent cinquante lieues carrées, et le lac Onega, qui a quatre cent trente lieues; vient ensuite le lac Saima, en Fin- lande, qui a deux cent dix lieues. Les autres lacs ont des dimensions plus petites. ^ ^ '

La Scandinavie a aussi de beaux lacs, tels que le lac Wener, qui a deux cent quatre-vingts lieues carrées; celui de Weter, qui a cent dix lieues; celui de Mœlar avec une superficie de cent lieues. Les divers lacs de cette région occupent environ huit cents lieues carrées. Us sont, à un ou deux près, tous iplacés sur le penchant méridional et le pen- chant oriental de la chaîne de montagnes qui par- court la Suède et la Norwége. Tous ceux de la Rus- sie septentrionale sont au contraire sur les versans orientaux de cet empire. Au reste, les uns et les autres s'écoulent dans la Baltique, et Malte -Brun les regarde comme les sources de cette mer inté- rieure.

Les plaines au sud de la mer Baltique présentent aussi quelques contrées renfermant de petits lacs. La chaîne des Alpes en a de moins grands que les monts Scandinaves. Ceux des versans méridionaux sont le lac Majeur, qui a vingt lieues carrées; le lac Garda, qui a vingt-quatre lieues carrées, et quelques

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GÉNÊRALITÉS. 15

autres. I^ pente septentrionale offre le lac des Quatre-Cantons dont Tétendue est de treize lieues carrées; le lac de Neuchâtel de quinze lieues carrées; celui de Zurich de dix lieues carrées; celui de Cons- tance, de trente-huit lieues carrées ; et une foule d'au- tres peu étendus. Tous ces lacs réunis peuvent com- prendre une surface de cent quatre-vingts lieues carrées. 1^ pente occidentale des Alpes ne con- tient guère que le lac de Genève, avec une super- ficie de quarante-quatre lieues carrées.

Dans toute l'Europe occidentale, surtout dans le Portugal, l'Espagne, la France et l'Angleterre , on trouve extrénienient peu de lacs. En Irlande on en voit un grand nombre, dont quatre ou cinq ont une superfi^cie égale à celle du lac de Zurich, -nun

Considérée par rapport aux aspérités plus ou moins considérables de sa surface, l'Europe semble se par- tager naturellement en deux moitiés, c'est-à-dire en Haute et Basse-Europe, Depuis Londres et Paris j us- qu'àMoscouetAstrakan,lesterresontpeud'élévation; de Lisbonne à Constantinople s'offre une suite de terres hautes, avec une grande variété de coupes et de pentes, les unes exposées aux vents froids du nord, les autres aux vents chauds du raidi; presque partout des limites naturelles séparent les nations, comme des défilés, des baies ou des rivières à fran- chir. Au surplus, écoutons comment M. Bruguière, dans un ouvrage couronné par la Société royale

H VOYAGES EN EUUOPE.

de Géographie \ envisage lorographie ^ de l'Eu- rope. ^■'\^^ ttSi un observateur, placé à la cinoe du Mont- Blanc ^ pouvait embrasser de ses regards l'Europe tout entière, il verrait que le sommet sur lequel il se trouve est le point le plus culminant et presque le centre d'une longue suite de montagnes, qui corn* menée au cap Saint-Vincent et va finir à l'est et au nord-est, d'une part au cap Matapan, de l'autre, au bord de la mer Noire, et encore plus au nord près des frontières de l'Asie.

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i' « Si l'immensité de cette vue lui permettait de suivre toute la courbe que décrit la principale ligne, s'il pouvait en reconnaître les directions, et distin- guer en même temps ses sinuosités, ses ramifica- tions et ses coupures , il verrait que plusieurs an- neaux détachés de la grande chaîne, mais qui paraissent être son extrémité occidentale, traver- sent en divers sens la péninsule hispanique; qu'une barrière formidable s'élève entre la France et l'Es- pagne, et que cet énorme rempart, composé de sommités arides, aiguës et souvent inaccessibles, se

Bi-Mi:'

I Orographie de l'Europe. Un volume in-quarto, formant le tome III du Recueil de voyages et de Mémoires de la Société royale de Géographie.

* €e mot , qui signifie représentation de montagnes, vient du grer vros, montagne, et de grapho, je décris.

3 Le Mont-Blanc est, comme chacun sait, la plus haute cime del'Europe. >••(>)- '^' -....i i ^-•v-v^.,. ,. .- .^j..,,,. ^

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GÉNÉRALITÉS. 17

prolonge au nord -ouest de ce dernier royaume, pousse vers le sud dus contre-forts qui atteignent le Duero, et va se terminer au nord de TOcéan par les caps Ortégat et Finistère. 11 observerait que le tronc principal, prenant ensuite sa direction la plus générale, celle du sud-ouest au nord-est, étend ses branches sur une partie de la France, et couvre le sol volcanique de TAuvergne. 11 remarquerait aussi que les montagnes de la rive occidentale du Rhône s'abaissent considérablement au-dessus de Lyon, deviennent à peine visibles dans la Bourgogne, et se lient, près des sources de la Saône, à une rangée de hauteurs qui courent d'abord dans le même sens que le Rhin, le traversent ensuite au-dessus de Mayence, et vont se perdre en Allemagne. S'il jetait les yeux sur le bassin le Doubs décrit tant de circuits, il verrait plusieurs chaînons que leur situation paral- lèle au centre de la chaîne , leurs pentes adoucies vers la Franche-Comt4 et leurs escarpemens op- posés au lac de Geriève, lui feraient aisément re- connaître pour une dépendance de la masse colos- sale sur laquelle il serait placé. Dans la partie du système la plus rapprochée de lui, il le verrait sé- parer la France de l'Italie , couvrir d'aspérités la Suisse et le Tyrol, s'enfoncer au sud-est jusque dans l'Albanie, et former ainsi une des parois de l'Adrii*tique; tandis que l'autre mur de ce vaste

bassin, tel qu'il dut exister dans les temps reculés, XLVI. 2

18 VOYAGES EN EUROPE,

serait tracé par l'embranchement très remarquable qui commence aux sources de la Bormida et par- court ritalie dans toute sa longueur. Au-delà du golfe de Gènes, et dans cette même direction, notre observateur découvrirait deux grandes îles dont la charpenteestunechainedemontagnesquis'éloignent directement au sud, et que la mer coupedroitendeux parties inégales. Si, en se portant de ce côté, ses regards étaient attirés par le premier des volcans de l'Europe, il reconnaîtrait une continuation de la chaîne italique dans les deux rangées de hauteurs qui se croisent à Nicosia , et donnent à la Sicile une forme triangulaire. Sur la frontière méridionale de la Servie, et presque sous le parallèle l'archipel illyrien se termine , la chaîne se fourche : il en ver- rait une branche se porter vers la Grèce, tandis que l'autre se replie à l'est et au sud-est, jusqu'au bord de la mer Noire et de la Propontide. Au nord de ce dernier rameau, et sous le méridien du golfe de Salonique, il distinguerait une file de montagnes qui , se dirigeant d'abord perpendiculairement au coura du Danube, est coupée par ce fleuve aux en- virons d'Orsova^ et se courbe ensuite de manière à envelopper la Transylvanie, la Hongrie, la Moravie et la Bohême. A l'ouest de ces dernières hauteurs il apercevrait encore quelques groujj<^;s de petites montagnes disséminées sur l'Ai .tj;iic occiden- tale; mais au-delà de ces faibles érainences il ne

G£N£RALITf:S.

marquablo Ida et par- lu-delà du lion, notre Iles dont la i s'éloignent roitendeux e côté, ses les volcans lation de la le hauteur«i I Sicile II 1.x idionale de 1 Tarchipel : il en ver- tandis que qu'au bord u nord de lu golfe de montagnes rcment au ive aux en- manière à la Moravie s hauteurs ie petites occiden- nces il ne

verrait plus que de vastes plaines qui s'étendent jusnn'au bord de la Baltique et de la mer du Nord. Si sa vue pénétrait au-flelà de ces mers, il découvrirait les collines de l'An^'^H^^rc qui attei- gnent leur plus grande élévation dans le pays de Galles, celle de l'Ecosse dont la structure et la cous titution géognostique ' sont si remarquabi s; et, dans ni. éloignement plus grand encore, il cJistin- gu> : 't ]<**^ montagnes delà Scandinavie, blanriiics par des neiges perpétuelles, qu'elles doivent bien moins à leur hauteur qu'à leur proximité du pôlt boréal.

K Si l'observateur que nous supposons jouissait de ce spectacle admirable pendant les dernières chaleurs de l'été, quand la neige a disparu des hautes sommités elle ne reste pas toute l'année, l'éclat de celles qui n'en sont jamais dépouillées lui servi- rait à reconnaître les points les plus élevés. Il serait frappé de la blancheur que plusieurs sommets con- servent constamment sous le ciel brûlant de Gre- nade. Il apercevrait la neige dans la Galice et dans les Asturies; l'immense boulevard qui sépare l'Espagne de la France lui en montrerait aussi. Il n'en remar- querait pas dans l'intérieur de ce dernier royaume ni sur toute l'étendue de l'Italie; mais la partie cen-

' Geos, terre, et gnosis, connaissance, forment le mot géogno- aie, science qui explique la substance, la structure , la situation des grandes niasses de la terra.

20 VOYAGES EN EUROPE,

traie de la chaîne offrirait à ses yeux, depuis la source du P6 jusqu'à la Dràve, une multitude de montagnes dentelées ou à la forme pyramidale, dont les flancs sont recouverts de neige depuis le sommet jusqu'à treize ou quatorze cents toises au- dessus de la mer. 11 distinguerait encore le faîte de quelques montagnes de l'Albanie, près des sources de l'Aoùs, peut-être aussi quelques cimes du Balkan; mais en avançant au nord, il n'en verrait plus que de la Norwége, si ce n'est cependant vers la limite septentrionale de la Hongrie, il discernerait à peine la pointe d'un seul pic, qui arrive tout jus- tement à la hauteur dans ce climat la neige ne fond plus.

« L'observateur, auquel nous avons accordé la fa- culté d'étendre ses regards depuis les glaciers de la Savoie jusqu'aux confins de l'Europe, s'aperce-^ vrait que les montagnes de cette belle partie de la terre ne forment pas une ligne unique , qu'elles ne se rattachent pas à une seule et même chaîne. Il reconnaîtrait, il est vrai, que plusieurs coupures sont accidentelles et n'établissent pas une véritable solution de continuité. 11 ne considérerait point, par exemple, le passage que le Danube s'est frayé à Orsava, le délilé l'Ëlbe coule près de Schandau, et la séparation que le Rhône a faite au fort de l'É- cluse, entre les Alpes et le Jura, comme les points de départ de nouvelles chaînes de montagnes; mais

, depuis la altitude de yramidale, e depuis le s toises au- ! le faîte de des sources duBalkan; lit plus que TS la limite cernerait à ^e tout jus- la neige ne

cordé la fa- glaciers de ;, s'aperce-: partie de la qu'elles ne : chaîne. Il s coupures le véritable îrait point, 'est frayé à Schandau, fort de l'É- e les points Ignés; mais

GÉNÉRALITÉS. Et

quelle que puisse avoir été, dans une haute anti- quité, la. liaison des collines de l'Angleterre avec celles de la Picardie, ou des Apennins avec les mon- tagnes de la Corse, les brajs de mer spacieux qui séparent aujourd'hui ces contrées ne lui permet- traient pas plus de les comprendre dans les mêmes systèmes des montagnes, qu'il n'est permis de con- fondre les sommets de l'Espagne avec le Mont- Atlas, ou les ramiBcations de l'Hémus avec les cimes neigeuses de l'Anatolie. Nous croyons, par conséquent, que cet observateur reconnaîtrait en Europe sept principaux massifs ou systèmes de montagnes, dont celui du centre, beaucoup plus considérable que tous les autres ensemble, ren- ferme une grande partie des hauteurs de la France, celles de la Suisse, de l'Italie, de la Turquie, de la Hongrie et de l'Allemagne. On peut nommer ce massif alpique, parce que les Alpes sont le nœud d'où, dérivent toutes les branches qui le composent. Ce système aussi peut être divisé en cinq groupes, .et chacun de ces groupes est divisible en un cer- tain uombre de chaînes ou de chaînons qui sont jitousliés entre eux, mais que l'on désigne par des noms pai;ticuliers. Au sud-ouest du massif alpique, les montagnes de la péninsule en forment un autre, dont le centre est un dos très vaste et fort élevé qui supporte les cimes de la Guadarrama, les monts de Tolède et ceux de la Sierra -Morena. L'ancien

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22 VOYAGES EN EUROPE,

nom ^Hespérie, que sa situation reculée vers le couchant fit donner à TEspagne, peut être appli- qué à ce massif. La Corse et la Sardaigne, dont Fan- tique liaison n'est pas douteuse, et qui sont en quelque sorte encore jointes par le petit archipel de la Madeleine, forment un troisième système qu'on peut appeler Sardo- Corse ou Cyrnos-Ichnu- sique, mot composé des noms par lesquels ces deux îles furent connues chez les Grecs. Les anciens noms Cimmériens (les montagnes de la Grimée), sont évidemment un prolongement du Caucase; mais comme toutes nos conventions géographi- ques les font dépendre de la partie de la terre que nous habitons, nous en formons le msimf taurique. Au nord de celui-ci, et au centre de la Russie d'Eu- rope, un plateau vaste et peu élevé voit naître la Duna, le Volga et le Borysthène. Ce plateau et les monticules qui lui sont attenans au sud -ouest, sous le nom de monts fVolchouskit et au nord-est, sous celui de monts Schémokouski, sont générale- ment appelés monts Valdaï. Peut-être conviendrait- il de ne pas mettre ces faibles élévations au rang des montagnes; mais comme elles ont une grande importance, parce qu'elles établissent la ligne de partage entre les eaux de la Baltique et de la mer Blanche d'un côté , et celles de la mer Noire et de la mer Caspienne de l'autre , nous les considérons comme le centre d'un système que nous nommons

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GÉrfÉRALITÉS. 23

sarmatique. L'Ecosse, l'Angleterre et l'Irlande cons- tituent le Oàci britannique. En suivant le principe que nous avons posé , il faudrait peut-être classer à part cette dernière île, car le canal du ?Iord qui la sépare du Cantire a une largeur assez considé- rable, et si elle fut autrefois réunie à l'Ecosse, comme les observations géologiques permettent de le croire, ce ne peut être que dans les premiers temps de notre globe : néanmoins, comme l'an- cienne Hibernie a peu d'étendue, nous la joignons ici à la terre voisine dont elle dépend. Le septième et dernier massif se compose des Alpes Scandi- naves, c'est-à-dire de cette longue chaîne qui oc- cupe le nord-est de l'Europe, elle forme main- tenant une presqu'île, après avoir été probablement autrefois le noyau d'une île très grande. Nous dési- gnons ce massif sous le nom de système scandina- vique.n > ^

Le système hespérique se compose de toutes les montagnes qui couvrent la péninsule et de celles qui séparent l'Espagne de la France. 11 comprend trois groupes isolés, que l'on peut distinguer en groupe méridional , groupe central et groupe sep- tentrional. Le premier se replie fortement sur lui- même et décrit une sorte de S depuis les pointes de Roca et de Tarifa jusqu'aux montagnes de Tolède, en poussant un long éperon dont le cap Saint-Vin- cent est une extrémité. Le second est formé par la

U VOYAGES EN EUROPE,

chatne ibérique, qui descend obliquement de la •ource de TÈbre aux bords de la Ségura, et puis va se terminer au cap Roca. Le troisième contient la chaîne pyrénaïque dans toute sa longueur, depuis le cap Cervère jusqu'à l'embouchure du Duero: il comprend les montagnes de loccident de TEurope, autrement dites les Pyrénées^ et forme ainsi la fron- tière naturelle de la France et de l'Espagne , sur une longueur de près de cent lieues, c'est-à-dire d'une mer à l'autre. *;.; ; ,

Le système alpique a dans un groupe occidental les Cévennes, suite de montagnes que l'on peut considérer comme étrangères aux Pyrénées, bien qu'elles n'en soient séparées que par une coupure, le col de Narouze. La direction de ce groupe est d'abord droit au nord-est jusqu'au mont Pilât, l'un des sommets les plus remarquables du Lyonnais; mais à partir de ce point, la chaîne se dirige au nord jusqu'au canal du Centre , qui la sépare de la Côted'Or. La longueur de cette même chaîne est d'environ cent vingt lieues, dont cinquante -sept depuis le commencement des montagnes Noires jusqu'à la source de l'ÂUier, et soixante-trois depuis cette source jusqu'à l'extrémité des montagnes du Charolais. Le faîte des Cévennes sépare les bassins de la Garonne et de la Loire de ceux du Rhône et de la Saône; c'est-à-dire qu'il établit dans toute sa longueur la ligne de partage entre les eaux qui se

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GÉNÉRALITÉS. Ï6

rendent dans l'Océan et celles qui se jettent dans la mer Méditerranée. Les Cévennes sont par tribu- taires de ces deux mers à la fois, de la Médi- terranée par le versant oriental, et de l'Océan par le versant occidental. Les Pyrénées sont aussi tributaires de ces deux mers, mais dans un sens tout différent, suivant leurs pentes et leurs di- rections. ' ' ' ' * ' Le canal du Centre, au nord duquel se terminent les Cévennes , est dominé sur sa rive septentrionale par les collines de la Côte-d'Or, à la suite desquelles succède le plateau de Langres; puis viennent les Vosges, dont la chaîne a une longueur à peu près égale à celle des Cévennes , c'est-à-dire cent vingt lieues. Ces Vosges ont souvent une forme arrondie, oe qui leur a valu le nom de ballons. Les montagnes de la Côte-d'Or et le plateau vde Langres sont cou- ronnés de bois, tandis que leurs coteaux sont enri- chis de vignobles. Les Vosges ont de très belles forêts de sapins, et la végétation couvre ses plus hauts sommets. Les Vosges, ayant quatre pentes principales, versent leurs eaux dans quatre mers; celles qui coulent au sud -est, à l'est et au nord, sont conduites dans la Méditerranée par la Saône, ou dans la mer du Nord par le Rhin. Les rivières des pentes méridionales et occidentales vont se rendre dans l'Océan et dans la Manche. Quoique la neige se conserve une partie de l'année dans

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•5:

St VOYAGES EN EUROPE,

quelques anfractuosités des Vosges , les plus hauts sommets de cette chaîne n atteignent pas la ligne des neiges perpétuelles , qui serait à ce climat au- dessus de treize cents toises, tandis que le ballon des Vosges ne dépasse guère sept cents toises.

Quelques élévations de terrain dont la direction est du nord au sud, depuis Giromagny jusqu'à Montbelliard, établissent la liaison des Vosges avec le Jura. La partie du Jura la plus voisine des Alpes est aussi la plus élevée; il s'abaisse graduellement en s'éloignant de cette chaîne colossale. Vu du lac de Genève, le Jura se présente comme une longue muraille, dont la hauteur est d'environ cinq cents toises. Sur cette ligne, d'ailleurs peu ondulée, on aperçoit quelques éminences qui sont les plus hautes sommités de la chaîne; ce sont entre autres le Reculet, le mont Tendre, le Colombier et la Dôle, tous quatre points culminans. Le mont Terrible qui avait donné son nom à un ancien département de la France, est moins élevé, et il parait que le mot terrible est une corruption de celui de terri, qu'on dit être le vrai nom de cette montagne.

Le Jura se rattache par divers points à la masse centrale des montagnes européennes. Son extrémité méridionale au-dessus du fort de rÉcluse, ainsi que le remarque M. Bruguière dans son Orographie, a des couches absolument semblables à celles du mont Vouache : ce qui démontre que le petit espace

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^ GÉNÉRALITÉS. > 27

par lequel il est séparé de cette partie des Alpes est une coupure que le Rhône a foite. La réunion a également lieu dans le canton de Zurich , à l'aide du Legherberg et des montagnes qui coupent le bassin inférieur de la Limât; mais cette liaison se manifeste bien mieux encore dans le pays de Vaud, la petite suite de hauteurs , connue sous le nom de Jorat, se détache des Alpes calcaires, du Moles- son et du Jamau« court à l'ouest et au nord-ouest, et va se joindre au Jura près de la ville de Lassara. Cette chaîne forme, au nord-est , le bassin du Lé- man, et sépare les eaux qui se rendent dans l'Océan de celles qui courent vers la Méditerranée; caries pentes du nord versent leurs eaux dans la Broyé, qui va se joindre à l'Aar et descend avec lui dans le Rhin, tandis que les eaux du versant méridional tombent dans le lac de Genève. >v> ?<. ?, » -.i

Le groupe central de l'Europe est celui des Alpes, mot dérivé du celte alb ou alp, dont le sens est montagne. Ce mot a été souvent employé par les an- ciens pour désigner de grandes élévations. ' -^'

Les Alpes forment cette longue suite d'aspérités qui commence au bord de la Méditerranée, entre la Ligurie et le Piémont, sépare le bassin du Rhône de quelques affîucns du Pô, et s'étend à travers la Suisse, les Grisons et le Ty roi jusqu'aux sources de la Drave et de la Salzach. Au point ces dernières rivières prennent naissance, la chaîne se divise en

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il VOYAGES EN EUROPE,

deux principales li^fnes de montagnes. Celle du nord couvre le pays de Salzbourg, la Styrie et 1* Au- triche, tandis que la rangée du sud, après avoir séparé la Gàrinthie du pays vénitien, se subdivise encore près des frontières de Tillyrie en deux bran- ches qui renferment le bassin de la Save. La plus septentrionale des deux va dans TEsclavonie jus- qu'auprès de Brodi, et '*autre semble se terminer au fond du golfe de Quarnero et sur les bords de la Kulpa. Les montagnes qui, au-delà de cette ri- vière, se dirigent au sud-est vers la Dalmatie, ont été appelées par quelques géographes allemands Alpes dinariques. EWes font aussi partie du système alpique, et ne sont même pas totalement séparées du groupe central , mais elles semblent appartenir au mont Hémus.

L'étendue de la ligne courbe que forme cette longue suite de montagnes est de deux cent soixante lieiies environ depuis Savona jusqu'à Fiume, de deux cent quatre-vingts depuis le même point jus- qu'à Presbourg, et de trois cent vingt lieues jusqu'à Brodi. Sa. largeur est de trente à quarante lieues dans la Suisse et dans les Grisons, sous les mé- ridiens du Saint-Gothard et du Septimer; elle est même de soixante et quelques lieues dans le Tyrol.

Toute cette chaîne prend différens noms qui furent donnés par les Romains, et que les modernes

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GÉNÉRALITÉS. '* ' 29

ont conservés; savoir : Alpes maritimes, Alpes cot- liennes, grecques, pennines, helvétiques, rhétien- nes, nOà>iques, carniques et juliennes.

Les Alpes maritimes commencent à la vallée de Savona,6 degrés 13 minutes à l'orient de Paris, et se développent jusque dans le voisinage du mont Viso. Leur longueur est de quarante lieues. Moins élevées que celles de la Savoie et de la Suisse, elles augm'*n- -^nt progressivement de hauteur, à mesure qu'elles a/ancent au nord. La Sarsa Morena, mon- tagne située près de la source de la Stura, est dé- pouillée de neige pendant deux ou trois mois de l'année ; mais les hauteurs qui avoisinent le mont Viso atteignent la ligne des neiges perpétuelles. La Bormida, le Tanaro, le Var et le Verdon sont les principales rivières qui sortent de cette partie de la chaîne. ;;,:!) >n '^h'yHtmïxiuihvj ^jmoij ^jr.-ïi i^'y.

Les Alpes cottiennes, dont le nom vient de Oot- tius, petit prince qui avait sa résidence à Suze, au pied de ces monts, et qu'Auguste, maître des Gaules, maintint dans son gouvernement, partent du mont Viso et s'étendent jusqu'au mont Genis. Leur lon- gueur est de vingt-cinq lieues. Les rameaux qui s'en détachent vers l'est ont peu d'étendue; ceux de l'ouest couvrent une partie de la Haute-Provence , et du Dauphiné, sous les noms de Hautes et Basses- Alpes, et s'étendent jusqu'au Rhône. Le Pô, la Du- rance et la Drômc prennent leurs sources dans les

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30 VOYAGES EN EUROPE.

Alpes cottiennes, et la route du mont Genèvre eit

une de leurs merveilles. - ' "^ '

Les Alpes grecques, ainsi nommées par les Ro- mains, parce qu'ils croyaient qu'Hercule les avait traversées en revenant d'Espagne sont comprises entre le mont Cenis et le col du Bonhomme. Une grande partie des montagnes de la Savoie appartient à cette section dont la longueur est d'une vingtaine de lieues. Le petit Saint -Ber- nard en dépend, de même que le mont Cenis sur le col duquel passe la belle route de ce dernier nom. L'Isère est la plus remarquable des rivières qui sortent des Alpes grecques. ......

Les Alpes pennines, mot dérivé du celte* penn, qui signifie tête, se développent depuis le col du Bonhomme jusqu'au mont Rosa. Elles comprennent les trois points culminans de la chaîne, savoir: le mont Bl^nc, le mont Rosa et le mont Gervin. Les plus vastes glaciers de l'Europe entourent les bases de ces montagnes, d'où il ne sort cependant aucune rivière considérable. Cette circonstance tient k la proximité des deux vallées longitudinales dans les- quelles coulent le Rhône et le Pô; les cours d'eau que produisent les glaciers des Alpes pennines se perdent dans ces fleuves avant d'avoir pu acquérir de grandes dimensions. La distance entre le col du Bonhomme et le mont Rosa est d'environ vingt lieues. •:--ri-'\i' ' •" •'.<•? -^t :..•.< ^- --

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GÉNÉRALITÉS. ffl

Le mont Blanc, situé à Touest du Grand Saint- Bernard, s'élance comme une immense pyramide au-dessus d'un vaste assemblage d'autres pics et de glaciers. On évalue sa hauteur à deux mille quatre cent soixante-cinq toises. Six glaciers le séparent des montagnes voisines; ses flancs en offrent encore deux autres. A partir de sa cime jusqu'au quart environ de sa hauteur , une couche de neiges éter- nelles le recouvre, et laisse apercevoir à peine quelques rochers, si ce n'est sur la face qui re- garde l'Italie et qui semble taillée presque à pic. La cime du mont Blanc ne présente point un pla- teau, mais bien une espèce de dos d'âne ou d'arête allongée dans la direction de l'est à l'ouest, tellement étroite en quelques endroits que deux personnes ne pourraient y marcher de front, jj . ,i icjai* uwi Les Alpes helvétiques, nommées lépontiennes , du nom des Lepontii, anciens habitans de la contrée naissent le Rhin, le Rhône et le Tésin, sont comprises entre le mont Rosa et le Bernard ino, montagnes situées à vingt lieues l'une de l'autre. A l'est du Luckmanier, partie du mont Adule qui conamunique au Saint-Gothard, les montagnes qui entourent le val Blegno inclinent au sud et vont se joindre au Bernardino. La branche la plus élevée et la plus remarquable des Alpes helvétiques ou de la Suisse est celle qui, en courant parallèlement au faite, forme la paroi septentrionale du Valais,

32 VOYAGES EN EUROPE.

depuis le massif du Saint-Gothard jusqu'au lac de

Genève. ' ^*

Parmi les sommités les plus remarquables des Alpes helvétiques ou lépontiennes, il faut citer le Saint-Gothard, vers lequel le Rhône et le Rhin ont leur source; et le Simplon, sur le col duquel les Français ont ouvert, en 1805, une route qui étonne l'imagination. ""' "^

Les Alpes rhétiennes ou rhétiques couvrent une partie de Tancienne Rhétie, et se composent de montagnes des Grisons et du Tyrol. Elles commen- cent au Bernardino et finissent au pic des Trois- Souverains. Leui* longueur est d'environ soixante lieues. Dans ;a partie occidentale est la branche qui porte le nom d!Àrlbe)rg et de Forarlberg ; et le pro- longement de ces montagnes , qui couvre la con- trée située entre le Lech et le lac de Constance , est ce qu'on appelle les u^lpes d'Algau ou Alpes alga- viennes. Le versant septentrional des Alpes rhé- tiennes donne naissance à plusieurs grandes rivières : l'Iller, le Lech, l'isar et Tlnn, toutes tributaires du Danube. La pente sud voit naître TAdda, l'Oglio et l'Adige. '*=■'' ''' »' ' '=

Les Alpes noriques tirent leur dénomination de la province romaine appelée Noricwn. Elles se di- rigent à l'est vers la Hongrie, tandis qu'une de leurs branches, la plus remarquable par sa hauteur, court du snd-ouest au nord-est jusqu'à Vienne. Le

GÉNÉRALITi^IS.

83

[u'au lac de 1 ^^'^^ ^^ ^^^'^ Wgne de montaf^nes porte dans le pays

le nom de Tauern, qui veut dire tour. Deux rangées

{uables des aut citer le le Rhin ont

duquel les

qui étonne

uvrent une nposent de s commen- I des Trois- )n soixante ranche qui ; et le pro- vre la con- stance , est 4lpes a/ga- iVIpes rhé- Bs rivières ; lUtaires du , rOglio et

ination de nies se di- le de leurs hauteur, tienne. Le

de hauteurs accoinpa{;ncnt le faite norique, une au sud et Tautre uu nord. La première, qui sépare la vallée de la Muhr de celle de la Drave, fait partie des Alpes de Styric. Toutes les eaux qui sortent des Alpes noriqucs rentrent dans le Danube. La longueur des Alpes noriques est d'environ quatre- vingt-dix lieues.

Les Alpes carniques couvrent le pays des anciens Carni, peuple qui habitait au sud du Noricum. Cette chaîne n'est interrompue nulle part depuis le lac la Brenta prend sa source jusqu a Tarvis. Les Alpes carniques ont aussi une longueur d'en- viron quarante -cinq lieues, depuis Perine, à Test de Trente, jusqu'au col de Tarvis.

Les Alpes juliennes, qui font suite ou se lient aux Alpes carniques, tirent leur nom, suivant quel- ques-uns, de l'ancienne ville de Forum Julii, ou, suivant d'autres, d'un passage que Jules-César avait pratiqué dans ces montagnes. La terre se partage en deux branches dont la séparation a lieu au sud- est de Tarvis , et ces branches bornent au nord et au sud-ouest le bassin de la Save. Près du célèbre lac de Kirknitz, la branche du sud-ouest se subdi- vise en deux rameaux, dont le plus occidental se porte vers Fiume, tandis que l'autre se dirige à

l'est et se trouve séparé des Alpes dinariques par XLVI. 3

34

VOYAGES EN EUROPE.

le bassin de la Kulpa. La Save est la principale ri- vière des Alpes juliennes. Le revers sud voit naître le Lisonzo, qui coule vers la mer Adriatique.

Aux Alpes maritimes que nous avons d'abord nommées succèdent les Apennins, qui, à partir du col de Tende, en font un véritable prolongement vers l'Italie, et dans toute sa longueur jusqu'au dé- troit de Messine, leur extrémité la plus méridionale. Leurs cimes les plus hautes se trouvent dans la partie septentrionale du royaume de Naples; l'une d'elles, le mont Corno, atteint quatorze cent quatre-vingt-neuf toises au-dessus du niveau de la mer. L'aspect de cette chaîne apennine est triste; on n'y rencontre ni glaciers ni prairies verdoyantes; les pics sont le plus souvent nus et décharnés.

L'ensemble du système des Alpes offre, avons- nous dit, les sommets les plus élevés de l'Europe. Il occupe l'espace compris entre le 2* et le 13** degré de longitude est , et celui contenu entre le 37* et le 5 r degré de latitude nord: il recèle une grande variété de minéraux. A la hauteur de quinze cents toises commence une région stérile, couverte de vastes amas de neiges et de glaces éternelles, dési- gnées sous le nom général de glaciers. Ces glaciers se retrouvent dans des régions plus basses, dans le fond de certaines vallées la glace s'est accumulée par des éboulemens de neige nommés avalanches.

rincipale ri- 1 voit naître tique.

)ns d'abord à partir du olongenient jusqu'au dé- néridionale. ent dans la laples; l'une itorze cent i niveau de )ennine est ni prairies vent nus et •- "■■■■»»,«■

fre, avons- e l'Europe, e 13" degré le 37* et le ine grande uinze cents ouverte de elles, dési- res glaciers es, dans le accumulée ivalanches.

GÉNÉRALITÉS. ' 35

qui se détachent et roulent avec un horrible fracas des sommets supérieurs.

Les plus grandes vallées des Alpes courent dans le sens de la chaîne ou à peu près dans la même direction. Les vallées transversales sont moins lon- gues. La plus remarquable de ces dernières sert de bassin à l'Adige. La plus belle des vallées longitu- dinales est celle de la Drave viennent ensuite celle du Rhin et celle du Rhône ou le Valais. Comme le versant oriental et méridional des Alpes est en dé- clivité très forte, au lieu que le versant occidental et septentrional est en pente plus douce, il en résulte que, du côté de l'Italie, par exemple, les vallées des Alpes sont plus élevées que celles de France et d'Hel- vétie. Toutes ces vallées offrent, durant la belle saison, d'innombrables troupeaux de vaches, de bœufs, de moutons et de chèvres; au-dessus des pâturages et vers la région des neiges s'élèvent le bouquetin ou chamois et le lièvre blanc, ainsi que la marmotte et le grand aigle. -

On ne peut franchir les Alpes que par des cols ou défilés presque tous fort élevés. Les armées ro- Iraaines que l'on faisait passer de l'Italie dans les Gaules traversaient ou les Alpes maritimes le long de la mer, ou le col du mont Genèvre, ou celui du mont Cenis, ouïe Petit et le Grand Saint-Bernard, ou le Saint-Gothard , ou le Bremen ou le col de Tarvis. Dans les premières années du Xix* siècle.

30 VOYAGES EN EUROPE.

les armées françaises s'étant emparées de tous ces

passages, le génie de Napoléon y fit pratiquer de

magnifiques routes dont les plus célèbres sont celles

du mont Genis, du mont Genèvre et du Simplon,

la merveille des merveilles en ce genre. Voici les

hauteurs de quelques-unes de ces dépressions de

faîte. ■»,.

Jlpes maritimes.

Hauteur au-drssus de la mer.

Col de Tende, route de Nice à Turin 921 toises.

Col de Genestres, aboutissant au village d'En-

tragny ... 1174

€oI Longet, entre la vallée de l'Ubaye et celle

delaVraita 1618

s

Alpes cottiennes. <■

Col du mont Viso 1665

Col de Servière, au sud-est du mont Genèvre. . 1 197 ColdumontGenèvre, au nord-est de Briançou. 1013

'-. . . ' Alpes grecques.

Col du mont Genis 1059

Col du Petit Saint-Bernard 1125

Col de la Seigne entre le Petit Saint-Bernard et

le Bonhomme 1263

i-.' Alpes pennines.

Col du Bonhomme, entre la vallée deTArveet

celle de l'Isère 1255

Col Ferret, au nord-est du mont Blanc- 1 195

Col du Grand Saint-Bernard 1246

Col du mont Cervin, entre le Piémont et le . Valais 1736

Col

le tous ces atiquer de ; sont celles 1 Simplon, ;. Voici les ressions de

Hauteur au-drssas de la mer.

921 toises.

1174

1618

1665 1197 1013

1059 1125

1263

1255 1195 1246

1736

GENERALITES. 87

Alpes lépontiennes.

Col de Montemoro, entre le Piémont et le

Valais 1398 toises.

Coi du Simplon dito 1029

Col de Griès dito 1223

Col du Saint-Gothard, entre la vallée de la

Reuss et celle du Tésiu 1065

Col de Luckmanîer, entre la vallée de Levan- tine et celle de Medds... ^ 957 I

Col de Gemmi, entre le Valais et le canton de

Berne 1158

Col du Grimsel dito 1314

iCol de la Furca, entre le Valais et la vallée

d'Urseren 1363

à

|t Alpes rhéliennes.

Col du Bernardino , entre la vallée du Haut-

.| Rhin et celle de Misox 1097

Col du Splugen, entre la vallée du Haut-Rhin

et le lac de Como 1065

"Col du Brenner, entre la vallée de l'Adige et

j celle de l'inn 729

Col du mont Julien, entre les Grisons et la

Haute-Engadine 1 138

^ol de la Scaletta, entre l'Engadine et Davos. 1342

i " '

1 Alpes noriques.

Col du Tauern de Hadstadt 800

ICol duSoemmering, entre l'Autriche etla Styrie. 490

§ -

I Alpes carniques. .

Col de Calamenta 1049

€ol Grande 830

^ol deKadin-KoFel, entre la Carniole et la val- lée du Gail 1266

^

M

VOYAGES EN EUROPE.

Mpes juliennes.

Col du Predil , entre Lisonzo et Tarvis 600 toises.

ColduLeobel, route de Laybach à Klagenfurlh. 672

Après les Alpes, auxquelles nous avons cru devoir donner ici un peu de développement, viennent les montagnes de THémus, qui se lient à la chaîne di- narique, sous le 44" degré de latitude nord. Le mont Hémus proprement dit court vers l'est jusqu'au rivage du Pont-Euxin. Il a plusieurs branches qui s'étendent vers la Grèce, et que, par cette raison, nous pouvons désigner sous le nom de montagnes helléniques.

Les Alpes et les monts Hémus sont séparés par le bassin du Danube d'un autre système de mon- tagnes, que l'on appelle les monts Carpathes ou Kra- packs. Ce système est avant-terrasse des Alpes, et aficun de ces sommets mesurés, n'atteint neuf mille pieds, pendant que l'élévation générale est de quatre à cinq mille pieds, c'est-à-dire égale aux passages des chaînes alpines, mais il présente une grande largeur, et renferme de grands plateaux ou bassins élevés ou fermés, tels que la Bohème et la Transyl- vanie. C'est la chaîne la plus riche en or, en argent et en sel gemme; ces montagnes n'ont pas de gla- ciers ni de creux profonds comme les Alpes. Les principales parties de ce système sont les monts de

♦:;:

. 600 toises.

b. 672

ns CPU devoir viennent les ia chaîne di- 3rd. Le mont est jusqu'au )ranches qui cette raison, e montagnes

séparés par me de mon- uthes ou Kra- les Alpes, et vt neuf mille est de quatre Eiux passages

une grande IX ou bassins t la Transyl- >r, en argent t pas de gla- îs Alpes. Les les monts de

GÉNÉRALITÉS.

Transylvanie, appelés ainsi du nom d'une des pro- vinces de l'empire d'Autriche, et connus des anciens sous le titre d'Alpes bastarnrjues. Celte chaîne du côlé de l'est forme une limite entre l'empire d'Au- triche et la Turquie d'Europe. Peu de montagnes renferment un système minéral plus varié. Les monts Carpalhes proprement dits séparent la Hon- grie de la Pologne, tandis que les monts Sudètes qui en dépendent séparent la Silésie de la Bohème, et qu'une branche appelée les monts métalliques ^ court entre la Bohême et la Saxe.

Le système des Carpathes , compris entre le S^^et le 30^ degré de longitude est, c'est-à-dire à partir du ccurs du Rhin jusqu'à la source du Niémen, et le 44* et le 54^ degré de latitude nord depuis le cours du Danube jusqu'à l'embouchure de l'Elbe, couvre en longueur un espace d'environ deux cent soixante-dix lieues; la largeur des terres hautes varie de dix à quarante lieues. Séparé dans touta sa longueur du système des Alpes par le cours en- tier du Danube, le système des Carpathes vient s'y rattacher vers le nord, derrière les sources de ce fleuve par les montagnes de la forêt Noire. S'il le dispute à celui des Alpes par l'étendue, il est loin de rivaliser en hauteur avec lui. Les sommets les plus élevés sont dans les Crapacks et ne dépassent point treize cent cinquante toises. Cette élévation décroît rapidement à m-e^ure que la chaîne s'avance verj

40 VOYAGES EN EUROPE,

le nord ou vers le sud. Les glaciers, comme nous l'avons dit tout à l'heure, y sont inconnus, et les lacs y ressemblent à des marais. Ce vaste assem- blage peut être considéré comme l'avant-terrasse des Alpes. 11 forme ' ne limite remarquable entre la végétation de l'Europe du nord et celle de l'Eu- rope du midi; la vigne ne parait pas pouvoir la dépasser au nord ; la culture du riz et du maïs cesf.& en deçà ; le seigle est au-delà plus répandu que le froment.

Vers les limites de l'Asie se présentent les monts Ourals ; c'est moins une chaîne qu'un plateau, s'éle- vant insensiblement du milieu de la Russie, dans la direction est et nord-est, mais qui, étant couronnée d'une crête peu marquée , assise sur une base déjà élevée, paraît égaler dans son niveau absolu les montagnes de Saxe. Ce système n'arrive frak sept mille pieds au-dessus du niveau de la mer. Aucune des suites de collines et de rochers qui traversent la Russie ne lie distinctement les monts Ourals aux autres systèmes européens.

Le plateau de Waldaï, d'où descendent le Volga vers la mer Caspienne , la Duna vers la mer Balti- que, et le Dnieper vers la mer Noire, n'est qu'une plaine haute, couronnée de collines de douze à treize cents pieds au-dessus du niveau de la mer. Ce pla- teau même, ainsi que le remarque le savant Malte- Brun, s'abaisse du côté de la Pologne, tellement

omme nous mus, et les aste assem- ant-terrasse uable entre îlle de i'Eu- pouvoir Ja 1 maïs cessb mdu que le

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int le Volga i mer Balti- l'est qu'une ►uze à treize 1er. Ce pla- vant Malte- , tellement

GÉNÉRALITÉS. 41

que les sources de la Bérésina, du Niémen, du Pripetz se trouvent dans une p'aine sans pente sensible, et à peine élevée de deux cents pieds au- dessus des mers s'écoulent les eaux de ces rivières. ^'

Vers le nord-ouest de l'Europe s'étend la chaîne des Alpes Scandinaves ou dofrines. La direction de ces montagnes est du sud au nord, et la chaîne principale commence à l'extrémité méridionale de la Norwége, pour aller finir au cap Nord, qui s'a- vance dans l'océan Glacial arctique, à la partie du milieu les Dofrines propres olTrent le vrai carac- tère d'une chaîne. La Laponic et le sud-ouest de la Norwége sont deux plateaux couronnés de chaînes isolées. Les se ^imets les plus élevés de cette chaîne scandinavique n'atteignent que sept ou huit mille pieds. Une branche inféric ire sous le nom de monts Sèves entre sur le territoire de Suède et s'y termine en collines. Des hauteurs à peine sensibles traver- sent la Laponie pour s'unir aux collines rocheuses de la Finlande.

Dans leiî îles Britanniques se trouvent les monts Grampians ou Calédoniens, dont l'élévation ne sur- passe pas cinq cents pieds. H y a aussi les monts Cambriques dans le pays de Galles.

Indiquons maintenant les points culminans des principales montagnes de l'Europe, d'après M. Bru- guière et M. Balbi. , r. '

4 J^

42 VOYAGES EN EUROPE.

, SY.STÈME HESPÉRIQUE.

Chain» pceni-bettique ou Sierra-Nevada.

Gerro de Mulhaceu 1823 toises.

Pic de Veleta 1780

Çluitne marianique. .,.. ,y , .

Sierra Sagra.. 028 ' i ,.,;

Gumbre d'Aracena 860

La Foya 638 ''^ -

Chaîne oreto-hernicicnne ou Sierra de Tolâde.

Sierra de Guadalupe 800

Sierra de Portalcgre 333

Chaîne carpeto-vettonique.

Sierra de Gredo) 1650

Penalara 1286

Pierra d'Estrella 1077

Monta Giutra 300

Chatne celtibirienne.

Moncayo 1500,

Sierra d'Occa 850

Pyrénées gallibériques.

Maladelta ou pie Netliou 1787

Pic Posets 1764

Mont Perdu 1747

Le Ganigou 1430

Pyrénées cantabriques. '

Sierra d'Aralar 1100

Pyrénées asturiques.

Pena de Peneranda 1720 '

Sierra de Penamarella 1480

4a.

■1823 toises. 1780

928 860 638

ilâde.

800 333

1650

1286

1077

300

150a 850

1787 1764 1747 1430

1100

1720 1480

t .'. Vf

v; I

GÉNÉRALITÉS. U

Pyriniea gallatques. Pena Trevinca ^500 toise».

4 SYSTÈME GALLr» .ANCIQLE.

Cévennes. . ."

V\G montant. •. 534

La Lozère : 764 ,

Mont Metenc, en Vivarais 010

Mont Pilet «10

Chaînes des Vosges.

Ballon 734

Mont Tonnerre 348

Mont Afrique , près Langres 293

Montagnes d'Auvergne. s

Puy de Sancy, dans les monts d'Or. 973

Plomb du Cantal 953 .^

Puy-dç-Dôme 758 ^;

SYSTÈME ALPIQUE.

Alpes maritimes.

Mont Pelvo 1557

Montagne de Lure 900

''' Mpes cotliennes.

Mont Olan «163

Mont Pelvoux de Valouise 2102

Mont Viso.. 19C8

Mont Genèvre 1043

Alpes grecques.

Mont Iseran 2076

Petit Saint-Bernard 1500

t

4-1 VOYAGES EN EUROPE.

jélpet pennines.

Mont Blanc 2460 toises.

Moût Rosa 2371

Mont Cervin 2310

Mont Gombin 2209

Le Géant 2168

Jlpes lipontiennes. '

Simplon 1805

Saint-Gothard 1667

j^lpes rhétiennes.

Orseler-Spitz 2010

Monte deirOro 1648

Alpei noriques.

Oross-Glockner 1998

* jélpes bernoises.

lung-Frau 2146

Jorat 639

Le Jura,

Le Reculet 880

La Dôle 860

Alpes cantiques,

Marmolata 1663

Le Grand-Nabois 1600

Alpes juliennes. .,

Mont Terglou 1699

Monte Maggiore 715

Apennins.

Monte Gimone 1091 ; . . , .

Monte Cavallo ou Monte Corno 1489

Moi Moii

2460 toises. 237 J 2310 2209 2168

:l

V

GÉNÉRALITÉS. 45

Mont Amaro 1428 toises.

Mont Etna 1700

SYSTÈME SLAVO-HELLÉNIQUE.

Monte Dinars 1156

Balkan 1400

Mont Parnasse 900

Tamoros 1000

Mont Olympe 1000

MontiEta 800

Mont Cithéron 650

Mont Ida 1200

SYSTÈME CARPATHIEN.

Monts Carpathes.

Ruska Poyana 1550

Guiluripi 1500

Pic Lomnitz 1300

Monts Sudétes.

Le Kiesenkv.pe 825

Le Keilberg, dans FEIgebrige 661

Monts Kercjrniens.

LeFeldberg 731

Le Hohenberg 625

SYSTÈME SCANDINAVIQUE.

Monts Thuliens.

Le Sognefield 1123

Le Gousta 1012

Monts Dofrines.

Le Skagstlos-Find 1313

Le Sneehatteu 1270

Le Sulitelma 951

4fl VOYAGES EN EUHOPE.

SYSTÈME BRITANNIQUE.

Monté Grampiant.

Ben-Nevis 082 toinefi.

Iffonts Cheviots.

Le Lowlher 490

Chaîne centrale.

Le SnowdoD 556

Chaînons de l'Irlande,

Le Karran-Tual 534

Le Snieb-Dorin 402

Après avoir fait connaître les principales mon- tagnes de l'Europe, leurs chaînes, leurs déBIés et leurs points culminans, nous pouvons indiquer les principaux fleuves ou principales rivières qui en descendent, en rangeant toutefois ces cours d'eau d'après les mers qui les reçoivent

Malte-Brun établit neuf bassins ou réservoirs des fleuves; savoir: bassin de l'océan Glacial, bassin de la mer Baltique, bassin de la mer du Nord, bassin de l'océan Atlantique, deux bassins de la Méditer- ranée, un bassin de la mer Adriatique, bassin de la mer Noire et bassin de la mer Caspienne.

Dans le bassin de l'océan Glacial se rendent, la Petzora, qui descend des monts Ourals, et dont le cours est de c<ent cinquante lieues; la Metzen, qui descend de k pente nord du plateau d^ Russie et dont le cot««*s est de cent lieues; la Dwina, qui des-

082 toiflCA.

490

556

534 402

aies mon- défilés et dlquep les ■es qui en Durs d*eau

rvoirs des bassin de

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nne.

endent, la et dont le

etzen, qui Russie et

a, qui des-

■f-

GÉNÉRALITÉS. 47

ccnd du même plateau, et dont le cours est de cent soixante lieues; l'Onega, qui descend du m^me plateau encore, et dont le cours est de soixante-dix lieues; la Tana, qui vient du penchant nord-est des monts Scandinaves, et dont le cours est de cin- quante lieues.

Le bassin de la mer Baltique reçoit les eaux de quatre versans; 1" du penchant est des monts Scan- dinaves et ouest de la Finlai. Je, s'écoulent dans le golfe Bothnique, le Tornéo dont le cours est de quatre-vingts lieues; laLuisna, au cours de quatre- vingt-six lieues; laDala, au cours de quatre-vingt- dix-huit lieues ; T du penchant sud de la Finlande descendent vers le golfe de Finlande, la Neva, qui passe à Saint-Pétersbourg, et la Kymène, écoule- ment des eaux de la Finlande; du penchant occi- dental du plateau central de la Russie, viennent la Duna, au cours décent quarante lieues, et le Nié- men, au cours de cent cinquante lieues; 4o du pen- chant nord des Carpathes et des Sudètes, descendent la Vistule, au cours de cent quatre-vingt-dix lieues ; le Bug, au cours ée oent lieues ; l'Oder, au cours de cent cinqua«Kc lieues; la Wartha, au cours de cent dix lieuo*

Le bassin de la mer du Nord reçoit les eaux de quatre ve«Rans principaux: 1" du penchant de la Norwégr. de la Suède et du Danemark, s'écoulent: la Glovmma, au cours de quatre-vingt-dix lieues;

■II-

48 VOYAGES EN EUROPE,

la Gotha, y compris la Clara et le lac Vener, au cours total de cent vingt -cinq lieues; 3" du pen- chant nord des Sudètes et des monts Hercyniens, c'est-à-dire de FAllemagne septentrionale, descen- dent : TËlbe, au cours de cent quatre-vingt-dix lieues; la Saale, au cours de soixante lieues; la Sprée, au cours de soixante-quinze lieues; leWéser, au cours de cent lieues ;rEms, au cours de soixante-dix lieues; du penchant occidental de rAUemagne, septen- trional de la Suisse, et oriental et septentrional de la France et de la Hollande, descendent : le Rhin, au cours de deux cent vingt* cinq lieues; le Mein, au cours de cent dix lieues ; la Moselle , au cours de cent seize lieues; la Meuse, au cours de cent vingt lieues; l'Escaut, dont le cours est de soixante-huit lieues ; 4" du penchant oriental de la Grande-Bre- tagne, descendent la Tamise , au cours de soixante lieues , et le Trent ou Humber , au cours de soixante lieues.

Le bassin de Tocéan Atlantique reçoit les eaux de six versans : 1** du penchant occidental de la Grande-Bretagne, la Saverne ou Savern, au cours de soixante lieues; 2" du penchant occidental d'Ir- lande, le Sharnon, au cours de soixante-dix lieues; 3** du penchant nord-ouest de la France , bassin de la Manche, la Somme, au cours de trente lieues; la Seine, au cours de cent dix lieues; du pen- chant ouest de la France, la Vilaine, au cours de

5 Venep, au 3" du pen- Hercyniens , aie, descen- gt-dix lieues; la Sprée, au >er, au cours te-dix lieues; gne, septen- tentrional de ;:le Rhin, au le Mein, au au cours de le cent vingt ioixante-huit Grande-Bre- I de soixante s de soixante

oit les eaux dental de la m, au cours ndental d'ir- te-dix lieues; 5e , bassin de •ente lieues; du pen- au cours de

' (;ÊNERALITÉS.

trente lieues; la Loire, au cours de cent quatre- vingts lieues; la Garonne, au cours décent quinze lieues; l'Adour, au cours de soixante lieues; 5** et du penchant nord et ouest de l'Espagne , le

iDouro, au cours de cent vingt-cinq lieues^ le Tage, au cours de cent soixante lieues; la Guadiana, au cours de cent quarante lieues; le Guadalquivir, au cours de cent lieues. ^ ^ T<,>,r* »'itr' >' m'^ >■ li Le premier bassin de la Méditerranée, partie européenne, reçoit, 1" du penchant est de l'Espa- gne, rÈbre, au cours de cent vingt-cinq lieues; 2" du penchant sud de la France, le Rhône, au cours de cent trente lieues; 3" du penchant occi- dental des Apennins, l'Arno, au cours de trente- cânq lieues; le Tibre, au cours de soixante lieues; te Volturne, au cours de trente lieues, t'- îU-j-^u'. Le bassin de la mer Adriatique reçoit les eaux de quatre penchans : 1" du penchant oriental des Apennins, l'Ofanto, au cours de trente lieues; 2" du' penchant sud-est des Alpes, le Pô, au cours de ce^t ▼ingt-cinq lieues; l'Adige, au cours de soixante- quinze lieues; TAdda, au cours de cinquante lieues; 3* du penchant sud de la Dalmatie, la Narenta, au 0ours de quarante lieues ; 4" du penchant occiden«- tal du mont Hémus, le Dria septentrional, au cours de soixante lieues; le Vouioussa, au cours de qua- rante lieues. .. - ' ii.dKui )! ,nrni.

Le deuxième bassin de la Méditerranée, partie XLVI. 4

SO VOYAGES EN EUROPE,

européenne; reçoit les eaux de deux versans : 1" du penchant sud de la Sicile, de la Galabre et de la Mot'ée, rAspropotamo, au cours de quarante lieues; TAlphée et TEurotas, au cours de chacun trente lieues; du penchant est et sud de la Grèce, le Yardar ou Axius, au cours de soixante-quinze lieues; le Maritza ou THèbre, au cours de quatre-vingt- dix lieues; leStrymon , au cours de quarante lieues; le Pénée, au cours de trente lieues.

Le bassin de la mer Noire, partie européenne, reçoit les eaux de trois penchans : 1** du penchant est des Alpes et sud de Sudéla et des Carpathes, le Danube , au cours de cinq cent soixante-dix lieues; la Draye, au cours de cent vingt lieues; la Save, au cours de cent dix lieues; la Theiss, au cours de cent soixante-cinq lieues; le Maresch, au cours de cent dix lieues; le Pruth , au cours de cent trente lieues; du penchant naéridional de la Russie et de la Pologne centrale, le Dniester, au cours de cent soixante lieues; le Dnieper, au cours de trois cent cinquante lieues; le Sem, au cours de cent soixante- dix lieues; leBog, au cours de cent quarante lieues; le Pnepetz , au cours de cent lieues ; 3" du pen- chant sud de ^a Russie, bassin particulier de la mer d'Azof, le Don, au cours de trois cent soixante lieues ; le Doneth , au cours de cent quarante lieues.

Enfin, le bassin de la mer Caspienne, partie eu- ropéenne, reçoit du penchant sud de la Russie

rsans:l'du »re et de la rante lieues; acun trente a Grèce, le linze lieues; uatre-vingt- 'ante lieues;

iuropéenne, lu penchant

Carpathes, :e-dix lieues;

la Save, au ours de cent )urs de cent 'ente lieues; et de la jrs de cent e trois cent înt soixante- *ante lieues;

du pen- er de la mer ;nt soixante rante lieues.

, partie eu- e la Russie

GÉNÉRALITÉS. 51

centrale, et sud ou est des monts Ourals, le Volga, au cours de six cent quatre-vingts lieues; TOcca, au cours de deux cent dix lieues; le Wettuga, au cours de cent trente lieues; la Lura, au cours de cent dix lieues; la Cama, au cours de deux cent soixante lieues; le Wiatka, au cours de cent cin- quante lieues; la Bielaia, au cours de cent vingt lieues; la Saraara, au cours de cent lieues; et TOu- ral ou le Jaïk, frontière de l'Europe à l'est, au cours de trois cent quarante lieues.

Le climat de l'Europe offre un ensemble très compliqué; la distribution de la chaleur solaire en est la première cause, mais elle n'agit pas seule, et l'on doit tenir compte de l'influence qu'exercent prirc. s' ment à l'est le plateau de l'Asie, au sud, le di africain et l'océan Atlantique. A l'est, l'Eu- rope tient presque dans toute sa largeur à l'Asie septentrionale; ce voisinage nouveau devant l'est, qui à travers les vastes plaines de la Russie et de la Pologne apporte l'air glacial de la Sibérie. Les Alpes et les Apennins mettent l'Italie à couvert de ce froid, comme aussi les Carpathes protègent la Bo- hème et la Hongrie, et Cliristiania en JXorwége doit à l'abri des monts Scandinaves un climat plus agréable que celui de Berlin ou de Varsovie. Le libre cours du vent d'est dans les plaines de l'Eu rope orientale, rend cette partie plus froide que les régions occidentales sous des latitudes correspon-

62 VOYAGES EN EUROPE,

dantes. La Grèce elle-même, quoique protégée par le mont Hémus, y trouve aussi cette influence des vents de la Scythie, alternant avec ceux du mont Taurus. Quant aux déserts brùlans de l'Afrique, c'est par les vents du sud et du sud-est que l'Eu- rope méridionale en est échauffée; elle le serait bien davantage si les exhalaisons de ia Méditerranée ne rafraîchissaient à leur passage ces vents qui nous apportent l'air suffocant du Sahara. Le scirocco ita- lien n'arrête qu'au pied des Alpes sa chaleur mal- faisante, et un vent analogue appelé solano et venant de Maroc brûle les côtes de l'Espagne; le rideau peu prolongé de la Sierra- Nevada n'en protège que quelques parties. De so»^ côté le mouvement de l'océan Atlantique septentrional empéciie les glaces polaires d'approcher les côtes occidentales de l'Eu- rope , et rend dès lors la température moins froide en hiver. Cette influence de l'atmosphère océanique varie au surplus de caractère selon les latitudes.

Les phénomènes généraux des climats européens dépendent aussi de l'élévation du sol et de son ex- position par rapport au soleil. Dans les Dofrines, k 63 degrés de latitude, la ligne des neiges perpé- tuelles est à trois mille pieds au-dessus du niveau de la mer du côté du nord et du ncrd-est , les rayons solaires n'arrivent qu'obliquement, tandis qu'au sud et au sud-est l'action de ces rayons est plus forte, les neiges ne se conservent qu'au

rotégée par flucnce des & du mont ! l'Afrique, t que l'Eu- ; serait bien terranée ne ts qui nous icirocco ita- laleur mal- 10 et venant ; rideau peu )roté{Te que iivement de le les glaces iles de l'Eu- aoins froide e océanique latitudes. s européens t d'à son ex- es Dofrines, îiges perpé- s du niveau l-est, les lent, tandis I ces rayons rvent qu'au

I GÉNÉRALITÉS. 63

niveau de sept mille pieds. En Laponie, la limite est de trois mille trois cents pieds. Du reste, l'accrois- sement et le décrovssement des glaces se balancent d'année en année. Aux Pyrénées, la ligne des neiges â perpétuelles commence à huii. mille quatre cents

•pieds; elle est de neuf mille pieds au mont Etna.

Les principaux phénomènes climatologiques ont été de la part des physiciens l'objet de travaux cu- rieux; M. de Humboldt a essayé de les réduire à des formules par sa méthode des lignes isothermes, qui marquent la température moyenne.

Plusieurs savans qui ont étudié l'humidité de

ÇÏ'atmosphère croient pouvoir fixer à vingt -cinq pouces la masse des eaux pluviales qui tombent ordinairement sur l'Europe, au nord des Alpes, tandis que la quantité des pluies annuelles au sud de ces montagnes est de trente-cinq pouces. Il est vrai que la pluie cristallisée sous forme de neige rétablit l'équilibre, et que, toute chose égale d'ail- leurs, l'humidité esta peu près la même dans l'at- mosphère européenne. Chaque année il pleut en- viron cent cinquante jours dans le nord de l'Europe et quatre-vingt-dix dans le sud. Le plus grand

.nombre de jours pluvieux dans le nord fait que les petites gra'ïiinées, amies d'une pluie douce et fré- quente , entretiennent ces jolies pelouses que le midi ne connaît pas. Le sol généralement escarpé de f Europe méridionale fait encore que les pluies s'y

5J VOYAGES EN EUROPE,

écoulent plus rapidement que dans le nord; les terres moins fertiles du nord conservent du moins leurs couches d'humus végétal , çt sont partout éga- lement arrosées. Enfin l'atmosphère européenne est généralement plus pure que celle des autres parties du monde.

«végétaux de l'Europe subissent l'influence de v^rois climats dominans : sur les côtes occidentales prospèrent à de hautes latitudes certaines plantes qui périraient sous la même latitude dans une autre partie du monde. L'orge et l'avoine croissent jus- qu'au 70" parallèle en Norwége, tandis que sur les côtes américaines , vis-à-vis , on voit s'arrêter à 52 degrés de latitude toutes les cultures de céréales. Par- tout ailleurs qu'en Europe les arbres disparaissent vers le 60* degré. L'influence du climat asiatique fait que plusieurs arbres et plantes qui ne réussis- sent pas au centre de la Russie, prospèrent sous les mêmes latitudes en Germanie et en Scandinavie. Les vents secs et quelquefois brùlans qui soufflent vers les limites de la mer Caspienne empêchent les forêts européennes de s'étendre au-delà du Don, du Bas- Volga et de l'Oufa. La végétation méditer- ranéenne, par suite de l'influence du climat afri- cain, éclate surtout vers les côtes.

Les forêts de bouleau montent en Norwége sous le cercle polaire à près de quinze cents pieds au- dessus du uiveau de la mer; le sol herbeux touche

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GÉNÉRALITÉS. 55

presque aux neiges éternelles, et le bouleau nain n'en demeure éloigné qued'environ neuf cents pieds. Dans la Norwége méridionale quelques pins crois- sent encore à trois mille pieds au-dessus du niveau 4 delà mer, et plusieurs sortes de pommes mûrissent à mille pieds; l'agriculture ne cesse dans les vallées ouvertes au soleil que vers dix -huit cents pieds. Elle cesse à trois mille trois cents pieds dans les monts Sudètes. Les forêts des monts Carpathes se terminent à quatre mille deux cents pieds; le pin seuletnent y croit encore à cinq mille pieds. Dans les Alpes les forêts parviennent généralement jus- qu'à cinq mille pieds; le sapin croît à cinq mille cinq cents pieds; l'aune vert à six mille cent vingt pieds. Aux Pyrénées les grands arbres parviennent jusqu'au niveau de six mille neuf cents à sept mille deux cents pieds; le pin d'Ë)cossc arrive encore à deux cents pieds plus haut. La culture des céréales cesse à trois mille trois cents pieds, et celle de la vigne à dix -sept cents pieds. Enfin les céréales d'Europe occupent généralement les plaines ou les régions moyennes; mais c'est entre le 50* et le 36* degré de latitude qu'elles prospèrent le plus. Le maïs vient jusqu'au 50* degré, le riz à 47 degrés; la pomme de terre, que nous avons reçue d'Amé- rique •, est répandue presque partout. La vigne prospère jusqu'au 45* degré dans toutes les expost-

' Malte-BruD porte la dale de son importation à 1623.

50

VOYAGES EN EUUOPK.

tions; mais depuis jusqu'au 50'' degré, elle fuit le voisinag^e de la mer du JNord, et va dans Tinté- rieur chercher des climats plus constans.

Une ligne longeant les Pyrénées, les Cévennes, les Alpes et l'Hémus sépare les pays à lait et à beurre des pays à huile. Dans les premiers, la beauté des pâturages fait que les bestiau:: abondent, et que la viande étant meilleure est consommée en plus grande quantité. >

Parmi les arbres fruitiers , on a remarqué qu;j le cerisier et le prunier mûrissent en Norwége et en Finlande jusque vers le 60* degré de latitude, tan- dis qu'en Russie ils s'arrêtent au OO*" degré. Le pom- mier mûrit presque sous le 55^ degré; plus au nord la pomme n'a presque plus de saveur. La figue mûrit jusqu'au-delà du SO** degré; mais son véri- table climat est celui des extrémités méridionales de l'Europe. La véritable patrie de l'olivier parait être sur les bords de la Méditerranée et jusqu'à l'é- lévation de douze cents à deux mille pieds. Le vrai climat des orangers et des citronniers ne commence qu'à 43 degrés et demi, aux îles d'Hières et en Tos- cane. Le palmier et l'aloès ne réussissent ordinaire- ment qu'aux environs de Lisbonne, ou en Anda- lousie et en Sicile, au-dessous du 40*^ parallèle. C'est aussi la limite la plus septentrionale de la canne à sucre. Le lin et le chanvre appartiennent à la pres- que totalité de l'Europe; toutefois le lin prospère

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"î3

1 GÉNËRALITES. Ô1

davantage dans les températures froides. Le midi de l'Europe donne du coton et de la soie. Divers arbres du midi ont pu, à l'aide de culture, être transplan- tés vers le nord, comme le peuplier et le platane. Le règne animal de l'Europe est encore moins varié que le règne végétal. L'ours blanc et le renard bleu se montrent sur les rivages de la mer Glaciale. Le renne descend en Scandinavie jusqu'au 61" de- gré, et en Russie quelques degrés plus bas. La mar- motte fait ses migrations en ligne droite de l'est à l'ouest, entre le 55*' elle 65° degré de latitude nord. L'élan se tient généralement plus bas que le cercle polaire; il se montre en Lithuanie et même en Prusse. Les steppes ou plaines nues qui bornent la mer d'Azov et la mer Caspienne onî, quelques animaux communs avec l'Asie, comme le chameau, le chacal et le cheval tartare. Les plaines de l'Ukraine et de la Moldavie, du Danemark et de la Flandre nour- rissent les plus belles races de bœufs, de che- vaux, et de moutons. Les hauteurs de la grande chaîne montagneuse qui s'étend depuis les Pyré- nées,, les Cévennes et les Alpes jusqu'aux Carpathes etal'Hémus, sont habitées généralement parle bou- quetin, le chamois et la marmotte. Les régions mé- ridionales ont à peu près les mêmes animaux que les régions moyennes. L'àne du raidi de l'Europe vient de l'Asie-Mineure et de la Syrie. Le chat sau- vage et le lynx ne se trouvent plus guère que dans

-'w

ii VOYAaBS EN ËUUOPE.

les forêts des montagnes centrales d'Espagne et de la Scandinavie. Quelques forêts centrales de TRu- rope cachent encore le sanglier. Les ours se cachent dans quelques parties des Pyrénées, des Alpes et des monts Scandinaves» Le cerf, le daim, le che- vreuil errent dans les grandes forêts européennes, ainsi que Técureuil. Du détroit de Gibraltar au pro- montoire boréal de l'Oural , on rencontre de nom- breuses espèces de rats , de campagnols et de mu- saraignes. Un genre propre à l'Europe est le desmau (ou rat musqué de Laponie), muni d'une trompe longue et mobile. La taupe habite surtout le midi de l'Europe. Le blaireau, la martre, la fouine, la genette, le putois sont encore des animaux au- tochtones ou aborigènes des forêts européennes; dans le nord ils deviennent compatriotes du glou- ton. La zone polaire est réservée aux rennes , et les forêts orientales de l'Europe cachent l'élan que l'on retrouve au Canada. Les insectes sont très multi- pliés dans les diverses parties de l'Europe.

Suivant Malte-Brun , il existe encore en Europe dix familles de peuples bien distinctes, mais dont les rameaux semblent plus forts et plus puissans que les souches mêmes; indiquons -en seulement quelques-unes. Les Grecs, dont les Pélasges étaient une très ancienne branche, occupent aujourd'hui principalement la Morée et les îles de l'Archipel. Les Albanais sont les restes des anciens Ulyriens, mêlés

pagne et de les de TEu- B se cachent Jes Alpes et lim , le che- iropéennes, Itar au pro- tre de nom- Is et de mu- it le desmau une trompe tout le midi ai fouine, la ni maux au- iiropéennes; tes du glou- innes , et les Lan que Ton très multi- )pe.

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GÉNÉRALITÉS. ûî)

anciennement avec des Grecs-Pélasges, et plus tard avec des Grecs modernes. Les Turcs appartiennent à la même race que les Tartarcs disséminés dans la Russie méridionale , et qui est venue de l'Asie. Vers le nord-est de F'^urope se trouvent les Slaves et les Finnois, peuples qui ont occupé jadis la Scythie et la Sarmatic. Les peuples slaves comprennent les Russes, les Polonais, les Bohèmes, les Slovaques de Hongrie et autres. Dans l'ancienne Dacie sont les Yalaques dont la langue se rapproche du latin. Vers les raonti Balkans vivent les Bulgares, tandis qu'au nord se montrent les Finnois et les Lapons, et qu'à l'orient végètent les Samoïèdes, du côté des monts Ourals.

A l'ouest des Slavons et des Finnois, dans le centre et le nord de l'Europe , demeurent propre- ment les nations de la famille teutonique, dont les Allemands, les Scandinaves et les Anglais sont tes trois divisions principales. Les Allemands compren- nent tes Autrichiens, les Prussiens, les Saxons et quelqies autres branches; les Scandinaves com- prennent les Suédois, les Norwégiens et les Danois; les Anglais comprennent les peuples des îles Bri- tanniques. On cite encore comme souches de peu- vies les Celtes qui étaient établis le long des Alpes, et les Basques resserrés au pied des Pyrénées.

En général les peuples des climats septentrio- naux de l'Europe se distinguent par une poitrine

00

VOYAGKS EN EUROPE.

Jar^jfe et carrée, un teint clair et animé, de» yeux bleus, des cheveux blonds de diverses nuances. Les peuples du midi ont une taille plus petite, mais plus de grâce, de vivacité et de souplesse, la coupe du visa^re plus belle, et les formes ou proportions du corps plus élégantes. C'est en Grèce, par exem- ple, que les artistes vont chercher les modèles en ce genre. . -i .

Trois croyances religieuses se partagent l'Europe: le christianisme, l'islamisme et le judaïsme. La pre- mière de ces croyances se divise en trois églises, savoir : l'église chrétienne proprement dite ou le ca- tholicisme romain, ou simplement l'église romaine ou latine; puis l'église protestante et l'église grecque.

L'église romaine domine surtout chez les peu- ples du midi et de l'ouest, se parlent les langues d'origine greco-latine , et peut compter au moins cent dix millions de croyans. L'Espagne, le Portu- gal, l'Italie, les neuf dixièmes peut-être de la France, les quatre cinquièmes de l'Irlande, la Belgique, lu moitié de l'Allemagne et de la Suisse, les trois quarts de la Hongrie et de l'ancienne Pologne, professent le culte catliolique romain et recon- naissent l'autorité du pape ou souverain pontife.

L'église protestante ou évangélique domine chez leji peuples du nord, se parlent les langues d'o- rigine gothico - germanique ; le nombre de ces fk)èles est d'environ soixante millions. Cette église

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Ls de» yeux es nuances, pclitc, muis e, la coupe proportions , par exem- modèles en

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GËNfiR ALITÉS. 01

est divisée, conformément à son principe de libre examen, par quelques nuances de doctrines, entre lesquelles se distinguent, V le luthéranisme, do- minant dans les deux Saxes, le Wurtemberg, la Hesse et autres provinces d'Allemagne , comme aussi dans toute la Scandinavie, dans la Prusse et dans les provinces baltiques de la Russie; le pres- bytérianisme ou calvinisme, ou simplement culte réformé, répandu en Suisse^ dans TAllemagne oc- cidentale, en Hollande et en Ecosse; 3" le culte an- glican , qui règne surtout en Angleterre. On truuve aussi des chrétiens évangéliques en France, il en existe plus de trois raillions, en Hongrie, enTr.<n- sylvanie et dans les vallées du Piémont. '

L'église grecque ou orientale s'étend dans la partie de l'Europe orientale, se parlent les lan- gues d'origine slavonne ou grecque; on lui donne quarante-trois millions de prosélytes. Cette église, qui descend directement de l'ancienne église de l'empire d'orient, règne sur les Grecs, sur une partie des Albanais et des Bulgares, sur les Serviens, les ^sclavons, les Raitzes hongrois, les Valaques, les Moldaves, et dans presque la majeure partie de la Bussie d'Europe.

. L'islamisme se borne à la Turquie d'Europe, et compte environ cinq millions de prosélytes dan» cette partie européenne, y compris lu Bosnie.

Quant aux juifs, ils sont disséminés dans les dif-

ai VOYAGES EN EUROPE,

férens États de TËurope, et sur aucun point ils ne forment de congrégation assez importante pour que Ton puisse ou doive en rechercher exactement le nombre; quelques géographes Tévaluent à trois millions d'individus; il n'en existe pas en Norwége ni en Espagne ; mais on en rencontre beaucoup en France, en Pologne, en Hollande et en Allemagne. Les gouvernemens de l'Europe reposent aujour- d'hui sur deux principes dominans : la monarchie absolue, mais gouvernée d'après des lois fixes, et la monarchie constitutionnelle limitée par des assemblées représentatives. Le premier principe domine dans l'est et le sud de l'Europe; le second dans l'ouest et le nord. Parmi les monarchies ab- solues, mais tempérées par des lois, il faut citer l'empire d'Autriche, le royaume de Naples, celui de Prusse et l'empire de Russie. Parmi les monar- chies constitutionnelles se rangent la France, l'An- gleterre, la Hollande, la Belgique, l'Espagne, le Portugal, la Suède avec la Norwége. Dans l'Europe centrale les deux classes se mêlent: la Sardaignc, la Toscane, Rome, la Hesse et le Danemark sont des monarchies absolues paternelles, tandis que la Ba- vière, le Wurtemberg, Bade, le Hanovre et la Saxe sont des États constitutionnels. Le royaume de Hon- grie dépendant de l'Autriche a également les formes du gouvernement représentatif, comme l(^s avait aussi le royaume de Pologne avant l'année 1831.

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^ GÉNÉRALITÉS. 03

l'empereur Nicolas l'a violemment réuni à l'em- pire russe. Enfin, il existe encore en Europe un grand État despotique, celui de l'empire ottoman; chacun connaît le pouvoir du sultan, il est sans limite. A ces divers gouvernemens doivent s'ajouter quelques petits États républicains ou affectant une forme démocratique : tels sont le gouvernement fédéral des cantons suisses , les quatre villes libres de Cracovie, Lubeck, Hambourg et Francfort, avec le petit État de San-Marino en Italie, et celui d'An dore, dans les Pyrénées.

11 existe quelques limites naturelles et protec- trices entre ces différens Etats, mais les traités ont suppléé à ce qui manque sous ce rapport pour as- surer un état de paix durable. La Russie pèse bien sur la Turquie, l'Autriche, la Prusse et la Suède; mais il y a un contre-poids établi par la France et l'Angleterre pour empêcher le colosse russe de s'agrandir ou d'opprimer les Etats voisins. La Prusse est la contrée la plus ouverte; les monts Hémus et les Carpathes couvrent Constantinople et Vienne. Un autre contre-poids existe dans les Etats Scandi- naves qui, réunis, pourraient se défendre contre les attaques moscovites; et un troisième existe dans la Confédération germanique, laquelle avec l'Au- triche et la Prusse , forme à son tour une masse formidable de nations allemandes. La France a d'im- posantes limites aux Alpes et aux Pyrénées, bien

m VOYAGES EN EUROPE,

qu'elle ne domine la frontière d'aucun de ses voisins . si on excepte la Belgique. L'Espagne et le Por- tugal, devenus aujourd'hui des États constitu- tionnels, peuvent constituer une masse compacte favorisée par la nature , ayant les mers et les mon- tagnes pour la défendre contre les agressions du dehors. ,,., . •„, ., ,: . ,

Nous avons dit que la population de l'Europe est de deux cent vingt millions d'habitans : elle est sur- tout accumulée dans le centre, parce que se trouvent les pays les mieux gouvernés et peut-être aussi les mieux cultivés. Cette population tend chaque jour à s'accroître, mais cela tient aussi à des causes étrangères à celles que nous venons d'indiquer. Les Etats étendus qui renferment de grandes provinces d'une fertilité médiocre ont né- cessairement le désavantage contre les petits Etats fertiles. Toute chose égale d'ailleurs , l'Espagne a une population moins dense que le Portugal ; la Toscane, si bien administrée, est pourtant moins peuplée que les États romains. Un grand nombre de mon- tagnes resserrent en Helvétie et en Norwége l'éten- due du terrain cultivable. Certains Etats, comme la Pologne, sont plus exposés aux invasions et aux guerres; d'autres, comme la Turquie d'Europe, ont a lutter contre des fléaux pestilentiels qui dé- ciment la population. Au surplus , voici une échelle distributive de la population européenne dans les

voisins, le Por- constitu- om pacte les mon- ùons du

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f GENERALITES. ,. 65

divers Élals qu'elle constitue; celte échelle est éta- blie par mille carré. .'^ ,, s^, |^, ,, .^., > H hr,

Suède el Norwége 82 habitans.

Russie..... 181

Danemark 616 î '

Prusse 792 ( ; ,

Angleterre propre 1,457

Pays-Bas 1,829

5 Saxe 1,252 ^ -

^ Bavière 968 ,' ; ' , ' ,

Wurtemberg 1,502

Suisse 783

France 1,063

Hongrie 750

Lombardie et Venise 1,171

Royaume sarde 1,122

Lucques 1,122

Toscane 836

États de l'Église 1,043

Naples et Sicile 747

Espagne 64 1

Portugal 446

Iles Ioniennes 1,770

Turquie 324

^ Les cinq puissances principales de l'Europe, la Russie, la France, l'Angleterre, l'Autriche et la Prusse, possèdent les deux tiers de la population de cette partie du globe.

La population de l'Europe s'accroît en masse au paoins d'un million par année moyenne, de sorte C[u'avant l'année 1900 elle pourra être d'environ

XLVI. 5

00 VOYAGES EN EUROPE.

trois cents millions. CettP augmentation est plus

rapide dans le nord que dans le centre, le midi et

louest.

La Russie avec cinquante - huit millions d'habi- tans gagne annuellement cinq à six cent mille in- dividus, tiiadis que la France avec trente^deux mil- lions ne paraît acquérir tout au plus que deux cents mille inJiviuus. L'Autriche avec vingt-neuf millions d'individus gagne autant que la France. L'Italie et l'Espagne sont presque stationnaires ; la Turquie d'Europe semble même rétrograder. En résultat, il eât probable que les principaux Etats de l'Europe auront doublé leur population, savoir : la Prusse en vingt-six ans; l'Angleterre en quarante-deux ans; les Pays-Bas en cinquante-six ans et demi; les Deux- Siciles en soixante-trois ans; la Russie en soixante- six RRS ; l'Autriche en soixante-neuf ans ; la France en cent cinq ans.

Les Etats du nord de l'Europe, à une population égale, ont une valeur politique, militaire et finan- cière, double, triple ou même quadruple de celle des Etats du midi. La population du royaume de Naples, par exemple, tst quatre fois celle du Da- nemark, ou celle de la Suisse; son territoire a deux fois plus d'étendue, et vaut dix à douze fois le ter- ritoire danois ou suisse, en valeur agricole : mal- gré de tels avantages, le royaume de Naples ne pourrait lutter contre la Suisse et le Danemark.

est plus midi et

> d'habi- [nille in- eux mil- !ux cents millions /Italie et Turquie sultat, il l'Europe 'russe en eux ans; les Deux- soixante- a France

)pulatiou et finan- de celle aume de e du Da- re a deux ois le ter- oie : mal- ^aples ne anemark.

^^ GÉNÉRALITÉS. «7

Les peuples du midi, en général, supportent moins les fatigues de la guerre que ceux du nord.

Nous avons nommé les principaux Etats de l'Eu- rope : comme il en sera plus d'une fois question par Irt suite, il n'est peut-être pas inutile d^en indi- quer la position géographique. Dans la partie occi- dentale, on trouve à son centre l'empire d'Autriche, la France, la Prusse, la Belgique, la Hollande, la Confédération germanique et la Suisse; au sud, l'Espagne et le Portugal, ainsi que les Etats de l'Italie; et au nord la Grande-Bretagne, la Norwége et le Danemark. La partie orientale comprend la Russie et la Turquie d'Europe , la Grèce et les îles Ioniennes. i r . t

En résumé, l'Europe, en 1836, présente trois empires : la Russie, l'Autriche et la Turquie; une monarchie élective ecclésiastiqae , Rome; seize royaumes, sept grands-duchés, Uii électoral, douze duchés, dix-sept principautés, un landgraviat, une seigneurie et trente-une petites républiques. L'em- pire ottoman est aujourd'hui le plus ancien empire de l'Europe; son origine rfiinonte à la prise de Constantinople en 1453. L'empii'e russe date de 1721 , et l'empire d'Autriche de 1804. La monar- chie française est la plus ancienne des monarchies européennes; elle remonte à l'année 486. L'Es- pagne, le Danemark et l'Angleterre viennent im- médiatement après. La Toscane est le plus ancien

68 VOYAGES EN EUROPE,

des graiids-ouchés, et *d municipalité de Sau-Ma- rino, la plus ancienne des républiques modernes , en même temps qu'un des plus anciens États de l'Europe. Quelques cantons de la Suisse datent de 1308. Lcii principautés de Liohtenitein c;! dr Monaco et h. seigneurie de Kniphaiti^on %:;it les plus petits de tous les Etats de l'Europe. '• ^ 'i'>

Telles sont les généralités préliminrâres que nous avons cru devoir offrir -mr l'Europe, afin de nous conformer au plan que nous avons adopté pour notre Collection de voyajjes. Nous allons mvtjn- leuant donner un aperçu ou un« analyse ||>i js ou (îioiïss élendt^e des principaux voyages eifectués en E'irope jusqu'à la fin du XYllT siècle et dans le cwi-mencoment du XIX^ jm. .-. .'ii.iif.ti. 4 u>,i

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VOYAGES ANTERIEURS AU XIX" SIECLE.

Nous n'avons point le projet d'offrir une analyse complète de tous les voyages anciens et nouveaux effectués en Europe, le cadre restreint que nous nous sommes tracé dans notre Collection ne le per- mettrait pas ; nous ne remonterons même que vers la fin du XVI* siècle, et traverserons rapidement le xvii" pour arriver au XYIlT qui réclame plus d'espace.

SEIZIÈME SIÈCLE.

Le premier voyageur de quelque importance qui se présente dans la seconde moitié du XVl*«iècle est le célèbre Michel Montaigne, en 1533 dans le Périgord. Ayant appris le latin avant le français, il avait achevé ses études à treize ans. Ennemi de toute contrainte, il choisit une profession indé- pendante, celle du barreau, et il fut pourvu en 1554 d'une charge de conseiller au parlement de Bordeaux. Il sut se faire estimer de Pibrac et de Paul de Foix, ses confrères, et du chancelier de L'Hôpital. Un autre de ses confrères fut ce La Béotie, qui devin! son ami le plus intime, et dont Montaigne

î» VOYAGES EN EUROPE,

disait encore long-temps après lavoir perdu, car il lui avait survécu : « Nous étions dans tout de moitié: il me semble que je lui dérobe sa part. » Gomme il fallait un aliment continuel à son esprit, il se mit en 1572 à écrire ses Essais, dès Tun des pre- miers chapitres il annonce avoir atteint sa trente- neuvième année. La première édition de ce livre, dont lauteur un peu sceptique avait pris pour de- vise: «Que sais-je?» parut en 1580. C'est vers ce temps qu'il se mit à voyager en Italie et eu Alle- magne.

De retour au château de Montaigne en Périgord , il rédigea sa relation. Elle n'est guère qu'un bulle- tin de remarques journalières sur sa santé par les effets des eaux minérales dont il faisait usage ; on y trouve cependant des observations intéressantes surlesmonumens des pays il voyageait, sur leur histoire naturelle, sur les mœurs et le caractère de leurs habitans. L'imposant spectacle du site de l'an- cienne Rome réveille un moment le génie de Mon- taigne. «On ne voit rien, dit-il, de Rome que le ciel sous lequel elle avait été assise; ceux qui pré- tendaient qu'on y voyait du moins ies ruines de Home, en disaient trop; car les ruines d'une si épou- vantable machine rapporteraient plus d'horreur et de révérence à sa mémoire; ce n'était rien que son sépulcre. Le monde, er lemi de sa domination, avait premièrement brisé et fracassé toutr<5 les pièces

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SEIZIÈME SlJi:CLË.

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Pendant que Montaigne visitait Rome, le ba- ron de Busbeck parcourait la France et poussait SCS excursions jusqu'à Constantinople. Sa relation renferme d'excellentes observations sur la Turquie, Ferdinand, roi de Hongrie, l'avait envoyé en qualité d'ambassadeur; et sur la France, Bus- beck résida sous les règnes de Charles IX et de Henri lll, comme envoyé extraordinaire de l'em- pereur Rodolphe. Busbeck , profond diplomate, qui réussit à assurer la paix à la Hongrie, avait des vues et des lumières supérieures à celles de son siècle; cependant il lui échappa de temps à autre quelques traits de crédulité sur les matières physiques, et ces traits sont propres à laisser penser qu'il s'entendait mieux en politique qu'en histoire naturelle, il acheta dans un des bazars de Constantinople l'ou- vrage de Pline l'ancien et celui de Dioscoride, tous deux aujourd'hui existans à la Bibliothèque impé- riale de Vienne.

Voilà les deux principaux voyageurs en Europe qui appartiennent au XV i*' siècle ; il en existe un plus grand nombre au xvif.

Vi

VOYAGES EN EUROPE.

DIX-SEPTIÈMH SIÈCLE.

C'est encore dans la seconde moitié du xvil' que se montrent les principaux voyageurs aux dif- férentes contrées de l'Europe : tels sont Hegnard, Sclieffer et Ricault.

Regnard, l'un de nos meilleurs poètes comiques, à Paris en 1047, fils d'un marchand qui en mourant lui laissa une l'ortune assez considérable, se livra de bonne heure à son goût dominant pour les voyages. Ayant gagné au jeu beaucoup d'ar- gent pendant celui qu'il fit en Italie en 1C76 ou 1677, il revint en France, pour en repartir l'année suivante et retourner aux mêmes lieux le sort lui avait été si favorable. Ce fut aîors qu'il rencontra cette Elvire dont il devint épr's, et dont il a tracé un portrait si flatteur dans un petit roman intitulé: la Provençale. Embarqué avec elle pour la France, il fut pris par des corsaires algériens et conduit à Constanlinople avec la dame de ses pensées. Les deux amans souffrirent une dure captivité; mais à la fin, Regnard, qui était gourmand de profession, sut gagner les bonnes grâces de son maître en pré- sidant à sa cuisine, et il en obtint sa liberté et celle de la dame provençale, au moyen d'une somme de 12,000 livres que lui avait envoyée sa famille à l'ef- fet de le racheter.

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DIX-SEPTIÈME SIÈCLE.

73

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était sur le point de l'épouser, lorsque le mari , qu on croyait mort, reparut tout à r p, et le força de s'en séparer pour jamais. Déses()éré d'une perte si cruelle pour son cœur, notre voyageur prit la réso- lution de courir le monde. Il se rendit en Flandre, en Hollande, en Danemark, en Suède, et jusqu'en Laponie. Arrivé à ïornéo, il s'embarqua sur la ri- vière du même nom , la remonta de sept à huit lieues, parvint près d'une haute montagne, du som- met de laquelle il découvrit toute la Laponie et la mer septentrionale; il y grava une inscription la- tine avec la date du 22 août 1681. Après avoir par- couru diverses autres contrées, il revint à Paris, las d'errer et de changer, il acheta une charge de trésorier de France, et se mit enfin à composer ses comédies. Il mourut en 1 709.

Les observations de Regnard sont très superfi- cielles en ce qui concerne Ja Flandre, la Hollande et l'Allemagne. A l'article Copenhague, on trouve iin fait assez piquant à l'occasion de la tyrannie que la noblesse danoise exerçait sur ses vassaux Les bourgeois et les paysans étaient avilis à un tel point par les nobles, que ceux-ci pouvaient im- |)unément tuer un individu de ces deux classes, en mettant un écu sur la tombe du défunt. Frédéric II, îe même auquel les Etats déférèrent le pouvoir absolu, ne voulut pas enlever nommément à la no- t>lesse cet odieux privilège, mais il statua que lors-

74 VOYAGES EN EUROPE.

(|u'un bourgeois ou un paysan tuerait un noble, cg meurtre resterait impuni, à la char}; viailpinent par le meurtrier de mettre deux écus sut la tombe du noble bomicidé : on conçoit que ce règlement (ît cesser les violences des nobles.

L'origine que donne Regnard à la ville de Dantzi(r est vraiment curieuse. Ce nom est dérivé du mot allemand Dantzen, qui signifie danse. Des paysans s'assemblaient ordinairement dans le lieu main- tenant est située cette ville. Ayant dessein d'y bâtir, ils demandèrent un emplacement à l'évéquc, sei- gneur du territoire. Ce prélat leur accorda autant de terrain qu'ils en pourraient entourer en se te- nant par la main, et formant en rond une espèce de danse.

Tout ce que le voyageur rapporte du gouverne- ment de la Pologne n'a plus guère d'intérêt, surtout depuis le dernier partage; mais le petit nombre d'observations qu'il a faites sur les mœurs des Polo- nais et sur le caractère national a encore quelque prix, parce que les mœurs et le caractère des Polo- nais ont éprouvé des modifications depuis Regnard. La description qu'il fait de la mine de sel de Wi- liska dans cette contrée et de plusieurs raines de fer et de cuivre en Suède, est très attachante par la vive peinture des dangers qu'on court dans la visite de ces mines. Mais de tous les voyages de Re- gnard , le plus connu est celui qu'il entreprit dans

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DIX-SEPTIÈME SIÈCLE.

la I^ponie suédoise, sur l'invitation que lui en fît le roi de Suède, et d après les recommandations que lui procura ce prince auprès des gouverneurs des provinces qu'il fallait traverser. Néanmoins sa rela- tion, écrite avec beaucoup d'agrément, n"a guère d'autre mérite; elle est pleine d'exagérations et d'er- reurs, dont Acerbi a relevé quelques-unes dans son voyage au cap Nord. '•• ' "" 'ii'''

Vers le même temps que Regnard visitait Tornéo, un autre voyageur, l'Allemand Scheffer, parcourait la Laponie pour en tracer ensuite l'histoire et la description, avec les mœurs et coutumes de ses lia- bitans et les choses rares du pays. Scheffer est le premier écrivain qui ait décrit exactement ces loin- taines et intéressantes contrées, sous le double rap- port de la géographie et de l'histoire naturelle. L'origine des Lapons, leur religion, leurs usages, leurs travaux, leurs arts sont traités par lui dans un grand détail; mais, de même que les écrivains qui travaillent sur un sujet neuf sont plus disposés à se tromper, il a commis plusieurs erreurs, malgré les secours qu'il s'était procurés soit dans les auteurs lapons et suédois qui ont écrit sur la Laponie, soit {dans le pays même par les entretiens qu'il avait eus avec les naturels. Ces erreurs ont été relevées dans l'ouvrage de Hogstroem , qui a paru en suédois un jdemi-siècle plus tard, et dans lequel l'auteur sou- tient également que les Lapons ne sont pas d'une

VOYAGES EN EUROPE,

aussi petite taille que Tavait dit Regnard. Au reste, les mœurs des Lapons et la description du pays ont été l'objet d'un voyage tout récent, celui de Gapell Brooke, compris dans le XLV" volume de notre Collection, et auquel nous renvoyons le lecteur.

Un contemporain de Scheffer et de Regnard vi- sitait rOrient, tandis qu'ils exploraient le Nord: c'était le voyageur Ricault, secrétaire de l'ambassade britannique à Gonstantinople. Il parut de lui en 1 677 deux volumes sur l'empire ottoman, les mœurs, la politique, la religion et le Grand-Seigneur. Personne, a\ant Ricault, n'avait donné sur la religion musul- mane des notions vsi étendues. On remarqua surtout les détails qui concernent les différens officiers du sérail , la marine et la milice des Turcs. Néanmoins la plupart de ses aperçus manquent de philosophie et de lucidité. On ne les consulte plus que comme des souvenirs historiques; c'est dans les voyages effectués pendant le XVlll* siècle qu'il fa'ut puiser des notions plus certaines et plus nettes.

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DIX-HUITIÈME SIÉGLE.

' LABAT.

(1705-1715.)

Le premier voyageur qui commence dans l'ordre chronologique la série des nombreux voyageurs en Europe, au x\uf siècle, est le père Labat, lequel

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 77

de 1705 à 1715 parcourut l'Espagne et l'Italie. Ce qu il a écrit sur TEspagne se réduit à une assez bonne description de Madrid. Il s'est davantage étendu sur l'Italie; mais, à l'exception de quelques détails curieux concernant le gouvernement papal, sa relation ne peut plus être consultée après celles qui l'ont suivie. Labat, comme supérieur des mis- sions de son ordre, avait à la fin du XVIl^ siècle (car il était en 1663, et il mourut en 1738) visité toute la chaîne des Antilles, depuis la Grenade jusqu'à Saint-Domingue. Revenu par l'Espagne en 1705, il se rendit à Rome pour y veiller aux intérêts de la mission des Antilles: il passa dix années en Italie, et de retour à Paris, sa ville natale, il publia diffé^ rens voyages en Amérique, en Afrique et en Eu- rope, au nombre de plus de trente volumes.

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ANDERSON. TROIL.

(1730.)

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(1772.)

Le jurisconsulte Anderson, à Hambourg en 1674, visitait en 1730 l'Islande, et faisait de cette île septentrionale une description intéressante sous le rapport de l'histoire naturelle. Cette même île devait être revue quarante ans plus tard par l'évê- que suédois Troïl, qui eut le bonheur d'avoir pour compagnons de ses excursions deux hommes ce-

78

VOYAGES EN EUROPE.

lèbres depuis par leur voyage autour du monde avec le capitaine Cook; c'étaient Banks et Solander. Il fut en outre aidé de l'astronome Lind. Ce fut avec le secours de ces trois savans, et aussi de ses pro- pres observations que Troïl rédigea sa relation , qui peut se résumer à ce qui suit, i.oq u; >,!»■>* ' - L'Islande, dont les aborigènes sont à peu près ignorés, fut visitée successivement par les Norwé- giens, les Suédois et les Danois, qui y formèrent quelques établissemens et y tracèrent une sorte de gouvernement bizarrement mélangé d'aristocratie et de démocratie. Dans le xiif siècle l'île se soumit aux rois de Norwége , et elle passa avec ce royaume sous la domination des rois de Danemark, qui y entretiennent un grand bailli avec plusieurs offi- ciers sous lui pour l'administration de la justice civile et criminelle, la police, la perception des taxes, etc. Au tableau des anciennes mœurs des Islandais, qui étaient à peu près celles de tous les peuples barbares, Troïl fait succéder celui de leurs mœurs actuelles et de leur caractère physique et moral. Leur taille est moyenne et leur vigueur médiocre : les femmes d'une figure agréable sont rares; ce sexe ne supplée point par les agréraens de la parure à ceux que la nature lui a refusés: leur vêtement, leur coiffure sont d'un mauvais goût; les femmes riches ne se distinguent des autres que par la finesse du drap qui entre dans leur lia-

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DlX-HUlTlÈME SIÈCLE. 70

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billcment, et qui est communément noir, de même que celui des hommes.

En Islande , les maisons sont bâties grossièrement et très mal éclairées; la fumée s'en échappe comme chez les sauvages, par un trou pratiqué dans la toi- ture. L'occupation principale des Islandais est la pêche ; ce sont les femmes qui font sécher le pois- son. Dans l'hiver ou dans le mauvais temps, les hommes soignent les bestiaux, fauchent le foin, filent la laine. La libéralité, la bonne foi, un vif attachement pour la patrie, des manières aisées et alTectueuses caractérisent particulièrement les Is- landais. On ne connaît pas chez eux le vol. Ils sont peu industrieux, faciles à surprendre et mélanco- liques. Les dés, les cartes, les dames, les échecs sont leurs jeux favoris ; ils sont fort habiles dans ce dernier jeu. " ''''"' " ' ' ' " '■ '^- ■■''■

L'Islande n'offre presque aucun vestige d'anti- quités : l'imprimerie, au contraire, y remonte jus- qu'à la découverte de cet art ; elle y fut établie dès l'an 1531. La poésie av.àt été très ancie?^r.eraent cultivée en Islande, et antérieurement à l'art d'é- crire, qui ne s'introduisit dans l'île qu'au Xî" siècle; les vers se gravaient sur la pierre brute, sur les plafonds, les murs, les boucliers. Les sagas^ ou- vrages historiques des Islandais , qui nous ont été conservés, sont plus estimés que leurs poésies; cependant on ne peut les lire sans discernement,

80

VOVAGES EN EUROPE.

à cause des fables qui s'y mêlent à l'histoire. Les sagas sont presque les seules sources de l'histoire du Nord. Les Islandais chantent volontiers les par- ties de ces sagas, qui sont en vers. Un ancien ou- vrage, qu'on nomme VEdda, prouve que dans tous les temps les Islandais ont pris en grande considé- ration la poésie et ceux qui s'en occupent.

L*air de l'Islande est pur et sain , et ses habitans parviennent rarement à un âge peu avancé. Troïl attribue ce peu de longévité à la qualité des ali- roens et à la manière (Je vivre. Le pain des Islandais est ou du biscuit levé, fabriqué à Copenhague, ou une espèce de gâteaux faits avec de la farine de seigle, et du petit-lait fermenté : à cette nourriture ils ajoutent de la farine de lichen et d'orge sauvage; du beurre aigri; du petit-lait cuit, caillé, fermenté; du poisson; des viandes salées et famées. Ils mangent le poisson frais sans sel, et le préfèrent lorsqu'il commence à sentir; ils y donnent aussi les mêmes préparations qu'à la viande. Ils consomment toutes soiites de légumes peu succulens , beaucoup de poissons à coquilles et de champignons.

C<^ régime, composé de mets un peu plus choisis seulement chez les gens aisés, est, suivant Troïl, le germe de plusieurs maladies qui affligent les Islan- dais, telles que la diarrhée, la jaunisse, l'érysipèle, et surtout une fâcheuse espèce de scorbut qui leur est particulière : Troïl entre, à cet égard dans de

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I DIX-HUITIÈME SIÈCLK: 81

grands détails. Ceux que sa relation nous offre ::•.'*• les piiénomùncs du feu, en Islande, sont du plus grand Intérêt, mais il faut les lire dans l'ouvrage même. i\ous dirons seulement que cette île est sur- tout célèbre par le volcan encore en activité que l'on nomme VHécla, par des sources chaudes très multi[)!iées, par une immense chaîne de laves, de nombreuses colonnes de l^'isaltes, traces ef- frayantes et témoins irréfragables d'un grand nom- bre d'autres volcans éteints; c'est à la description de ces scèties importantes que Troil s'est le plus par- ticulièi'ement attaché.

JOHN MOORE.

(t7G5.)

Pen \nt que Troil visitait l'Islande, l'Anglais John Moore parcourait la France, la Suisse et l'Al- lemagne. Ses observations sur la France sont géné- ralement impartiales et judicieuses; il ne dissimule pas les défauts du caractère français, mais il en fait ressortir également les bonnes qualités. A l'oc- casion des mesures que prenait la police d'alors pour découvrir les auteurs de plusieurs pièces de vers satiriques qui se répandaient à Paris, lors de l'inauguration de la statue de Louis XV, Moore semble avoir prévu vingt ans a l'avance la pos- sibilité d'une révolution telle qu'elle s'esft opérée en 1780.

XLVI. 6

VOYAGKS EN EUROPK.

MAUPERTUIS.

(1740.)

Les actes de l'Académie des sciences font men- tion du voyage de Maupertuis en Laponie, il fut envoyé dans la première moitié du XYlil" siècle pour déterminer vers le pôle nord la figure de la terre. Cette entreprise fut exécutée en un an et avec un plein succès. La Laponie avait déjà subi de nom- breuses améliorations depuis Regnard, l'agriculture avait pénétré dans les vallées exposées aux vents du sud ; quelques Suédois commençaient à y faire des exploitations. Une ville nouvelle, TTammers- fgst, devait y être élevée trente ans plus tard. Capel! Brooke en parle avec détail dans son voyage que renferme le XLV volume de notre Collection. Au reste, c'est moins comme voyageur que comme savant que Maupertuis doit être ujiprécié.

LADY MONTAGUÊ.

(1720-1760.)

Dans l'ordre cÎTiroPiologique de cette revue sommaire de voyages, il faut nous transporter en Orient pour y suivre lady Montagne jusque dfins l'intérieur du harem du Grand - Seigneur, elle obt'.ùt l'insigne faveur de pénétrer. Les liaisons qu'elle parvi.i à établir avec la sultane Fatima et ses fréquentes \isites au sérail lui per

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DIX- HUITIÈME SIÈCLE. »3

mirent de donner des mœurs du palais du Grand- Turc une idée plus juste que celle qu'on n'en avait auparavant. C'est pendant son séjour en Turquie, vers l'an 1720, qu'elle eut la première connaissance de l'inoculation de la petite vérole, et qu'elle songea à introduire ce procédé en Europe' , son voyage, sous forme de lettres, ne parut qu'en 1763, c'est-à- dire un an après ia mort de cette femme célèbre.

Quoiqu'il y ait d'elle des lettres écrites des lieux elle s'est arrêtée, soit pour aller en Turquie, elle acompagnait son mari, nommé ambassadeur près de la cour ottomane, soit à son retour, et qu'elles renferment quelques observations assez curieuses pour ces différens pays et pour les ha- bitans, elles n'ont ni l'étendue ni l'intérêt de ses lettres écrites de laTurquie même : ce sont principa- lement celles-ci dont nous offrirons la substance.

A Belgrade, capitale de la Servie, lady Montaguë fut logée chez un etfondi (on appelle ainsi les doc- teurs de la loi), fîlh .un pacha, et qui avait reçu l'éducation la plus soignée. Cet effendi possédait parfaitement les langues persane et arabe : il inter- préta à lady Montagne plusieurs pièces de poésie

' L'inoculation, pratiquée de temps immémorial dans la Chine , tut aussi essayée en Circassie pour y conserver la beauté des femmes qui, dans un pays pauvre , sont encore un f^rand objet de commerce. Ce fut sous ia protection de lady Montaguë que le cliirur{Tien anfflais Maitlanf!, qui apprit en Turquie la méthode qu'on y employait pour inoculer, l'introduisit à Londres en 1722.

MÊÊlWL

M VOYAGES EN EUROPE,

dont elle trouva les vers très harmonieux et sus- ceptibles d'une bonne musique; lamour y éJait peint d'une manière vive et passionnée. L'cffendi avait une bibliothèque de livres orientaux bien choisis, et ne paraissait pas scrupuleux sur l'obser- vation des préceptes du Koran, puisqu'il faisait habituellement usage de vin. Tout ce que Dieu a fait, disait-il, est destiné à l'usage de l'homme. La loi qui défend le vin est cependant fort sage; mais, ajouta-t-il, elle n'a été faite que pour le peuple: l'intention du prophète n'a jamais été de gêner ceux qui en savent user avec modération.

\a religion dominante des effendis, et qu'ils tiennent secrète, est le pur déisme : loin de l'ensei- gner au peuple, ils l'amusent avec divers dogmes, suivant leur intérêt personnel; aucun d'eux ne s'a- vise d'afficher l'incrédulité.

En quittant Belgrade, lady Montagne vit avec dou- leur que les janissaires de son escorte ne payaient rien aux malheureux habita ns, ni pour le louage des chariots de son bagage et pour le salaire dos conducteurs, ni pour le dédommagement des che- vaux estropiés ou morts de fatigue. Ils ne se bor- naient pas à ces injustices; ils enlevaient chez le paysan tout ce qui se trouvait à leur convenance. Lorsque les pachas voyagent, l'oppression, dit-elle, est encore tout autre. Ils ne se contentent pas de tout piller, ils exigent une contribution qu'ils ap-

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DIX-HUITIÈME SIÈCLK.

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Arrivée à Sophia, capitale de la Bulfjarie, lady Montagne se rendit aux bains chauds de cette ville, renommée pour la salubrité de l'air. Elle y trouva deux cents femmes nues. La décence de leur lan- p,a(je et de leurs manières éloignait toute idée of- fensante pour la pudeur. Les unes se promenaient majestueusement, comme Eve dans le paradis ter- restre; d'autres travaillaient ou prenaient du sor- bet. ()uelques-unes se faisaient tresser les cheveux par de très jolies esclaves tle dix-sept à dix-huit ans: une partie d'entre elies se faisaient remarquer par l'élégance des formes; toutes avaient la peau d'une blancheur éblouissante, et de beaux cheveux par- tagés en tresses. Ces bains sont les cafés des dames en Turquie : elles prennent ce divertissement une fois par semaine, et y restent quatre à cinq heures toutes nues sans s'enrhumer, quoiqu'clîos passent brusquement du bain chaud dans une chambre fi'oide, elles reprennent leurs vètemens. A cette occasion lady Montagne entre dans un détail très curieux sur la parure et les a'.ti'aits des dames turques.

En général les oi'nemens sont prodigués pour la coiffure principalement : c'est une espèce de tur- ban dont l'étoffe varie suivant les saisons; mais eu

VOYAGES EN EUIIOI'

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attuche iiii |][land cl or, soit avec une rose cie Uia- mans, soit avec un riclic nriouchoir brodé; il est ordinairement surmonté d'un panachi» de plumes de héron, quelquefois aussi d'un fjros bouquet de différentes pierreries, les perle» j-acnt les bou- tons de fleurs, les rubis forment des roses, les to- pazes figurent des jonquilles. Les cheveux pendent par-derrière dans toute leur longueur, er M'esses ornées de rubans et de perles; jamais lad^ onta- guë n'en avait vu de si beaux et en si grande quan- tité; elle comptajusqu'à cent dix tresses à une dame turque, sans aucun cheveu postiche. Les beautés lui parurent beaucoup plus communes en Turq^iie qu'en Angleterre; il est rare, dans le premier de ces pays, de trouver une femme qui ne soit pas très belle. Toutes ont un teint éclatant et de grands yeux noirs; comme les femmes grecques, elles ont le se«M'et de donner de la grâce à leurs sourcils en meUant autour de leurs yeux une couleur noire qui les rend très brillantes à la lumière, et même à une certaine distance dans le jour.

Lady Montagne fait la description la plus riante des campagnes de la Romanie, est située An- drinople. Les bords des rivières sont plantés d'ar- bres fruitiers, sous lesquels les gens de distinction vont prendre le frais et le café au son de quelque instrument. Les jardiniers même se plaisent à marier

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au murniiire des eaux le son de leur chalumeau, qui dniis sa simplicité a quelque chose d'infini- ment jijjréable. \.<\ chaleur du climat ne leur permet pas de se livrer beaucoup au travail; inais la ferti- lité des terrains, le secoufs des arrosages y sup- pléent. 1-41 plupart d'entre eux sont de la nation jjrecque. La vente de leurs légumes et de leurs fruits à ta ville procure de laisance à la plupart. Leurs femmes et leurs filles, qui toutes ont de la beauté ou des agrémens, se montrent sans »iles dans leurs petites habitations situées au 'les jar-

dins, et s'occupent à faire de la ibre

des arbres. On retrouve tous les ih u uui«^ ns que nous représentent les antiques grecques et romaines. Les bergers y tressent encore des guirlandes de fleurs pour leurs béliers favoris, et, comme ceux deThéo- crite, ils chantent et s'amusent à différons jeux.

La poésie est un des amusemens des gens distin- gués. Lady Montagne rapporte la traduction qu'elle Ht de plusieurs stances de vers que le pacha Ibra- him adressait à la princesse sa femme, fille du sul- tan , avant d'avoir été admis à la voir : malgré la différence des idiomes, on démêle dans ce petit poème des beautés réelles.

Lady Montagne fut spectatrice de la marche des troupes qui défilèrent devant le Grand-Seigneur pour se rendre au corps d'armée qui devait se transporter dans peu sur la frontière. En tête était

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(716) 872-4503

88 VOYAGES EN EUROPE,

un effendi richement monté sur un chameau ma- gnifiquement enharnaché. Il lisait à haute voix le Koran posé sur un coussin ; il était entouré d'une troupe d'enfans qui chantaient des versets du Ko- ran. Venait ensuite un groupe Ton avait figuré toutes les opérations du labourage, puis les boulan- gers et les différens corps de métiers, et au milieu d'eux des arcs de triomphe portatifs, les difFé- rens genres de commerce étaient magnifiquiement représentés : ils étaient suivis par des musiciens et des danseurs. La marche était fermée par des vo- lontaires nus jusqu'à la ceinture. Pour exprimer leur dévouement au Grand-Seigneur, les uns avaient des flèches enfoncées dans les bras ou dans la tête, d'où le sang découlait sur leurs bras et sur leur visage; d'autres le faisaient rejaillir sur leurs ca- marades en se perçant le bras avec un couteau.

Par une distinction particulière, lady Montagne fut introduite, tant à Andrinople qu'à Constantir nople, dans trois harems de dames turques. La des- cription de ces harems, des Européennes de son rang et de son mérite n'avaient jamais pénétré, est nécessairement d'un grand intérêt. Le premier de ces harems, à Andrinople, était celui d'un grand- vizir, et n'avait aucune magnificence. La richesse des habits et le grand nombre de domestiques an- nonçaient seuls la dignité du propriétaire. La sim- plicité de l'ameublement s'expliquait par la dévotion

DIX-HUlTlÈMË SIÈCLE.

du vizir et de sa femme : tous deux empToyaient leur superflu au soulagement des pauvres. La femme, âgée de cinquante ans, et à laquelle son mari gar- dait une fidélité scrupuleuse, s'occupait unique- ment à prier Dieu et son prophète : elle n'en reçut pas moins ladyMontaguë avec une politesse franche et naturelle ; elle n'observa pas moins, suivant l'u- sage du pays , de faire encenser ses cheveux et ses habits par des esclaves, et d'en faire danser devant elle au son des instrumens quelques autres. Le re- pas, qu'elle fit servir plat à plat, n'en fut pas moins somptueux.

A Andrinople encore, lady Montagne trouva plus d'amusement dans le harera du kiaia, ou lieutenant du grand-vizir. Fatime, sa femme, lui parut une beauté telle que l'art même n'aurait pu l'imaginer, et que la nature seulement a pu la former. Le por- trait qu'elle en fait exprime vivement l'enthou- siasme dont elle fut saisie en la voyant , et qui , loin de se refroidir dans le cours de sa visite, s'exalta encore à l'examen détaillé des charmes de Fatime.

Tout ce que le luxe le plus recherché peut réu- nir en araeublemens et en parures était rassemblé autour de la belle Fatime; les danses que des es- claves charmantes exécutèrent devant lady Mon- tagne étaient légères et voluptueuses; la musique qu'on lui fit entendre lui parut extrêmement tou^ chante : elle ajoute, à cette occasion , qu'une dame

90 VOYAGES EN EUROPE.

grecque, qui possédait parFaitement la musique

italienne, préférait la musique turque. <

Le troisième harem lady Montaguë fut intro- duite à Gonstantinople, était celui de la sultane, veuve du précédent empereur. Ce qu'elle y trouva de plus remarquable, ce fut la profusion de pier- reries dont cette sultane était couverte , la magni- ficence de l'ameublement, la richesse de la vais- selle. L'affabilité de ia sultane enhardit lady Mon- taguë à lui faire plusieurs questions sur les usages du sérail : par les réponses de cette princesse, elle s'assura qu'il était faux que le sultan jetât un mou- choir sur celle qu'il honorait de son choix, et que celle-''! rampât jusqu'au pied du lit avant d'y être introduite ; c'est par le keisler-aga (le chef des eu- nuques) que le sultan fait annoncer à l'odalisque (femme destinée aux plaisirs du Grand-Seigneur) la préférence qu'il lui donne; il se fait précéder d'un présent. Les autres odalisques ont eu soin, après avoir complimenté cette favorite du jour, de la con- duire au bain, de la parfumer et de l'habiller ma- gnifiquement.

Lady Montaguë revit à Constant.. iople la belle Fatime: elle la trouva dans vn appartement d'hiver dont les murs étaient: incrustés en nacre de perle, en ivoire, en bois d'olivier : ceux de la chambre elle la reçut l'étaient en porcelaine, et les estrades garnies de riches cCuissins de brocart.

DlX-HUlTlÈMË SIÈCLE. Ul

Au milieu de ces descriptions voluptueuses se trouvent jetés des détails intéressans sur des points de religion et sur des objets de législation : en voici quelques traits détachés.

C'est une erreur accréditée en Europe par la Faute des anciens voyageurs, que Mahomet exclut les femmes de toute participation à la béatitude éternelle après cette vie. Lady Montaguë s'assura, d'après l'interprétation des docteurs de la loi, que Mahomet a promis aux femmes un paradis, mais séparé de celui des hommes : les vertus qu'il exige d'elles pour mériter un bonheur éternel, c'est de travailler de tout leur pouvoir à la propagation de l'espèce humaine. En conséquence de ce précepte, les filles qui meurent vierges, les veuves qui ne se remarient pas, sont considérées comme en état de péché mortel, et en conséquence exclues du pa- radis.

Lady Montaguë s'assura uissi de la réalité d'un usage extrêmement bizarre, mais fondé sur la re- ligion et sur la loi; c'est que, lorsqu'un mari a répudié solennellement sa femme, il ne peut la re- prendre que sous la condition de permettre à un autre homme de passer la nuit avec elle. Il se trouve, chose bien étrange, des maris qui aiment mieux subir cette loi que d'être privés toujours d'une femme pour laquelle leur passion s'est rallumée.

L'adoption est en usage chez les Turcs; mais elle

92 VOYAGES EN EUROPE,

est plus usitée encore parmi les Grecs et les Armé- niens. Gomme on n a pas en Turquie la facilité de disposer de sa fortune en faveur d'un parent ou d'un ami, et qu'elle n'est assurée qu'aux enfans, ceux qui prévoient ne point en avoir, ont grand soin , pour ne pas laisser tomber leurs biens dans le trésor du Grand-Seigneur, de choisir un enfant du peuple, et de le conduire avec ses parens devant le cadi, ils déclarent qu'ils l'instituent leur hé- ritier. Les parens alors renoncent à tous leurs droits sur lui, et en passent acte devant témoins. Celui qui a adopté l'enfant ne peut plus le déshé- riter, îjady Montagne a vu néanmoins des mendians donner des preuves de l'amour paternel, en refu- sant de céder leurs enfans à des gens très riches, quoiqu'ils fussent certains que communément les parens adoptifs ont une grande affection pour ceux qu'ils ont adoptés.

Aux lettres de lady Montagne nous ferons suc- céder le voyage d'un Français en Grèce , celui de M. le comte de Choiseul-Gouffier.

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CHOISEUL-GOUFFIER.

(1776.)

Entraîné de bonne heure par le désir de visiter la Grèce, le comte de Choiseul, qui prit le nom de Gouffier en épousant l'héritière de celte maison.

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 93

s'embarqua en 1776 pour la terre classique des beaux-arts, et en revint avec de précieux maté- riaux. A son retour en France, et après avoir été admis en 1779 membre de l'Académie des inscrip- tions et belles- lettres, il publia son Voyage Pitto- resque en Grèce. Nommé en \ 784 ambassadeur de France près la Porte Ottomane, il emmena avec lui l'abbé Delille, dont il fut toujours le protecteur et l'ami. Au commencement de la révolution fran- çaise, il allait se rendre à Londres avec la même qualité d'ambassadeur; mais apprenant qu'il était décrété d'accusation par la république, il resta à Constantinople, d'où il passa en Russie pour ne reparaître en France qu'en 1802. Voici quelques- uns des aperçus de son voyage en Grèce.

L'île de Cérigo, si célèbre autrefois sous le nom de Cythère, n'est plus qu'un rocher qui sert de re- traite aux pirates.

L'île de l'Argentière, ainsi nommée de ses mines d'argent, qui sont aujourd'hui fermées, est une terre stérile qui se refuse à toute autre végétation que celle de l'orge : on y trouve, comme à Milo, une terre connue chez les anciens sous le nom de terre de CimoHs. Cette terre est très recherchée pour le blanchissage du linge. Ses habitans, au nombre de deux cents .seulement, sont fort miséra- bles. Le vêtement des femmes y est excessivement ridicule.

94 VOYAGES EN ECHOPE.

L'ile de Milo, anciennement Malos, renommée dans les temps anciens pour son extrême fertilité, est aujourd'hui très malsaine : la plus grande par- tie de ceux qui riiabitent sont jaunes et bouffis, leur ventre est énorme, leurs jambes enflées. La cause de cette insalubrité se trouve dans l'abon- dance d'alun et de soufre qu'on y rencontre à chaque pas, et surtout dans les exhalaisons qu'aux entrées du port envoient plusieurs crevasses. Ces exhalaisons pestilentielles prennent une origine dans l'éruption d'un volcan nouveau qui, formant en 1707 une îie nouvelle, ébranla toutes les îles voisines. On trouve dans cette île une vaste caverne tapissée d'alun, qui parait devoir sa formation à des carrières.

L'île de Siphante, anciennement Siphnos, offrit à la curiosité de M. de Choiseul-Gouffier, un tom beau de marbre blanc chargé de riches sculptures, et bien conservé, quelques autres qui l'étaient beau- coup moins, et quelques faibles vestiges consacrés au dieu Pan. L'hospitalité des habitans lui rappela celle des anciens Grecs. Dans cette île, le ciel est toujours pur et serein , et la terre y est très féconde. On ne trouve plus k Siphante ces mines d'or et d'argent dont la dîme enrichissait les prêtres du temple d'Apollon. L'habillement des femmes se rapproche ici du costume grec.

Les habitans de l'île de Nio, autrefois los, ainsi

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 1)5

nommée de ce qu elle fut peuplée par une colonie d'ioniens, parurent à M. de Choiseul très hospita- liers. L'île de Santorin , autrefois Théra, et l'île d'Aproinsi sont un démembrement de l'ancienne lie de Caliste, qui avait pris ce nom de sa beauté. A Santorin les femmes sont très coquettes et tien- nentàêtre bien parées, de manière à ne point laisser soupçonner leur malaise intérieur. Tout le cMé de l'ile opposé au volcan qui y fait toujours quelques explosions , est fertile. Les terres couvertes de pierres ponces produisent de bons vins, de l'orge, du co- ton, mais peu de froment. > ;* . .. i. *;v. ^ •»> v; L'île de Naxia, autrefois Naxos, si célèbre par le culte dont on y honorait Bacchus, et par la célé- bration des Bacchanales, produit du froment, des figues, du vin, de l'huile, de la soie, dans de déli- cieuses vallées arrosées de mille ruisseaux et om- bragées d'orangers et de grenadiers. Il reste encore une porte du temple de Bacchus.

L'île de Tina, autrefois Tinos, aussi fertile que INaxia, est remarquable encore par les proportions élégantes et la beauté des traits de ses habitans. L'habillement le plus voluptueux couvre leurs fem- mes sans les cacher. L'industrie et le commerce en- richissent cette île autant que font ses productions. Les femmes de l'état le plus aisé ne dédaignent pas les détails intéressans de leur ménage : elles-mêmes recueillent la feuille des mûriers et filent la soie.

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90 VOYAGES EN EUROPE.

Les travaux peu pénibles qu'elles partagent avec leurs servantes permettent à celles-ci de conserver tous leurs a^^rémcns. Tina est Tune des îles les plus fertiles de l'Archipel. Les magistrats de cette île, quel que soit leur âge, s appellent vieillards : c'est un hommage que ces heureux insulaires rendent à la vieillesse.

De tant de monumens qui rendent File de Délos si célèbre, il ne reste que de faibles vestiges, tristes témoignages de son ancienne splendeur. Sur les bords de la mer sont quelques colonnes, quelques piliers de granit; plus loin, les ruines d'un portique que Philippe, roi de Macédoine, y avait fait élever. Onvoit encore quelques débris du temple d'Apollon. C'est dans l'île de Paros que Peiresc découvrit ces tables si utiles à la chronologie, et qui sont si con- nues sous la dénomination de marbres d'Àrundely parce que le comte de ce nom les fit transporter de Smyrne en Angleterre. M. de Ghoiseul visita les carrières d'où l'on tira ce beau marbre. L'île est couverte de riches débris, dont quelques-uns ont servi à la construction de chaumières.

L'île d'Antiparos, anciennement l'île d'OIiaros, est célèbre par sa grotte fameuse, et dans laquelle il est difficile de pénétrer. On descend d'abord, suspendu sur une corde , à douze toises de profon- deur : se trouve l'endroit plus difficile, et le seul un peu dangereux. C'est u > rocher arrondi surle-

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UIX-HUITIÈME SlÈi^LE. 07

quel Veau coule de toutes parts, et qui, sur la droite, est bordée de précipices : on se laisse couler à pic environ de douze à quinze pieds, en tenant forte- ment un câble. Cet endroit franchi, on descend par une pente fortraide, mais dans un passage plus large, avec l'intention de se jeter toujours sur la gauche pour éviter les mêmes précipices : la pente devient ensuite moins raide, et h la moitié environ de la descente, le secours d'un câble est presque inutile. Au fond de la grotte on trouve un gros rocher qui semble fermer le passage; on le tourne, et l'on entre dans la salle qui termine le souterrain. C'est qu'on admire les stalactites ou cristallisa- lions ramifiées, qui ont la forme de culs-de-lampe pyramidaux avec une large base qui les attache au rocher en contre -bas; et les stalagmites ou concrétions protubérantes en forme de choux ou de touffes, qui se trouvent sur la base du sol ou du plancher souterrain en contre-haut , à l'op- posite des stalactites. Les unes et les autres sont formées par les eaux qui tombent de la voûte , et goutte à goutte en charriant des matières pier- reuses. La plus belle des stalagmites a vingt-quatre pieds de hauteur, sur une base de vingt pieds de diamètre.

L'île de Scyros, quoique avantagée d'un bon port , ne fait qu'un petit commerce de vin et de fromage.

Le sol offre l'apparence de phisieurs cratères, et XLVI. 7

fi VOYAGKS EN KllROPK.

parait renfermer des mines de cuivre. L*ile de Lemnos, si célèbre dans l'antiquité, soit 'par un -volcan que Timagination des poètes avait converti en forges de Vulcain , et dont il subsiste encore des traces, soit par son labyrinthe dont il ne reste plus de vestiges, n'était pas moins fameuse par sa terre sigillée, qui, dit -on, guérit Philoctète, et qui a conservé toute sa prétendue vertu dans l'esprit crédule des Grecs.

L'ile de Metelin, connue dans l'antiquité sous le nom A'tle de Lesbos, a pris sa nouvelle dénomina- tion de Mytilène, la principale des cinq villes qu'elle renfermait. L'ilc Scio ou Chios possède un port très vivant. Une chaîne de montagnes arides par- tage cette île, mais les vallées arrosées par une in- finité de ruisseaux sont couvertes d'orangers et de grenadiers. Les vignes donnent un vin qui soutient encore son ancienne réputation. Une production particulière à Chios est le lentisque, arbre qui pro- duit ce fameux mastic ou aromate dont les femmes turques et grecques font un si grand usage. La na- ture a ici versé ses dons avec profusion.

L'île de Samos, le berceau de Pythagore, con- serve encore des vestiges de son ancienne splen- deur; mais sa population ne répond point à la fertilité de son territoire. L'île de Pathmos, très stérile, est fameuse par son couvent des moines de Saint-Jean, qui subsiste des tribus des îles voisines.

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DIX-HUITIÊMB 81ÊCLE. 00

L'Ile de Ces, qui partage la fertilité des autres tles, a un platane prodigieux, auquel les habitans ren- dent une espèce de culte : les branches de cet arbrf.' qui couvrent la place sont soutenues par de su- perbes colonnes de marbre et de granit, qni attes- tent l'ancienne magnificence du temple d'Esculape, si révéré dans cette ile.

L'Ile de Rhodes, fameuse dans l'antiquité par son commerce maritime, par les lois qu'elle établit pour ce commerce, par le grand nombre d'artistes qu'elle produisit, par son colosse et son temple du 1 soleil , dont il ne reste pas de vestiges , a été célèbre également dans le moyen-àge comme le chef-lieu de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, et par la résistance que les chevaliers de cet ordre opposè- rent à toutes les forces de l'empire ottoman. M. de Choiseul visita en détail cette ile, d'où il se rendit à Milet, dont les ruines n'offrent que des arbres mutilés; et delà à Ephèse, l'on voit encore deux aqueducs, mais l'on ne trouve plus aucun ves- tige du temple de Diane.

Puisque nous nous trouvons dans le voisinage de la Turquie, notons ici en passant quelques-unes des observations curieuses de l'Anglais Porter, qui visita ce pays à peu près vers le même temps que M. de Choiseul.

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VOYAGES EN EUROPE.

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(1768.)

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- Porter connaissait bien la nation turque; il avait été ministre plénipotentiaire à Constantinople, et il réunissait à l'avantage de pouvoir presque tout visiter, le talent de bien observer et de bien dé- crire. Porter a esquissé rapidement le caractère des Turcs: il les représente en général comme intelli- gens, réfléchis et d'une persévérance infatigable à suivre les objets d'intérêt et de fortune ; dans cette poursuite ils sont capables de tous les excès, et de sacrifier au besoin tous les liens de l'amitié et du sang. Hors de , dans le cours de la vie commune, ils sont obligeans, humains et capables même de reconnaissance; mais lorsqu'ils étendent jusqu'aux chrétiens la pratique de ces vertus, c'est toujours en vue de cet avantage. - -^

La passion la plus active chez les Turcs est celle de la vengeance. Porter en cite quelques exemples effrayans. En examinant la religion musulmane, il observe que, malgré la simplicité apparente du principe fondamental de cette religion , qui est l'is- lamisme, ou le dogme de l'unité d'un Dieu, il n'est pas néanmoins de religion dans le monde fondée sur tant de révélations, et aussi chargée de minu- tieuses pratiques. Comme ces pratiques, si indiffé-

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 101

rentes à l'ordre moral de l'univers , sont aux yeux des musulmans le seul moyen d'expiation et de salut, ils en contractent nécessairement une into- lérance capable de les porter, aux derniers excès contre ceux qu'ils quali&ent d'infidèles. Le seul préservatif contre cette fureur intolérante envei*s les chrétiens et les juifs qui vivent sous leur domi- nation, c'est la soif de l'or dont sont communément dévorés les Turcs. Ces étrangers sont pour eux une mine inépuisable, ils ne cessent de fouiller pour faire face aux besoins toujours renaissans du gou- vernement, ou pour rassasier leur propre cupidité. Cette considération si peu puissante, ne l'est pourtant pas encore assez pour réprimer Tanimosité des Turcs , qui s'exhale sans cesse par la dénomination injurieuse de giovar ou infidèle y qu'ils accoutument les enfans à balbutier dès 1 âge le plus tendre contre les chrétiens ou juifs qu'ils rencontrent. « 'xù-,-^

Le prosélytisme est tel en Turquie que les mu- sulmans ne rejettent pas le plus vil, le plus scélérat des hommes qui s'offre à devenir un vrai croyant, bien qu'il ignore entièrement en quoi consiste cette croyance. Porter dit cependant que quels que puis- sent être parmi les Turcs les dissentimens en ma- tières religieuses, on n'entend jamais parler chez eux de punitions et de supplices pour cause de culte.

Les muftis et les mollahs sont les dépositaires de

ÎOJ VOYAGES EN EUROPE,

la loi, et les imansles ministres du culte. Ces imans reçoivent une paye sur les immenses revenus des mosquées, employés à l'entretien et aux embellis- semens des temples, ainsi qu'aux frais des hospices et des écoles. Les imans qui font la prière, sont ce qu'on appelle en Turquie le clergé séculier. Il y a ensuite les derviches ou moines, partagés en quatre ordres, et qui ont à leur tète les scheiks, souvent redoutables au gouvernement par leurs prédications séditieuses. Ce ne sont, au surplus, ni les lois, ni les interprètes qui manquent en Turquie, mais c'est une bonne administration de la justice. Ces lois et leurs commentaires sont, dans des mains cor- rompues, un glaive redoutable toujours prêt à me- nacer la vie ou la fortune des citoyens , dont la sûreté, les propriétés ont beaucoup plus à souffrir de ce désordre que du despotisme même du prince: celui-ci trouve assez souvent dans la religion et ses interprètes des barrières qu'il ne peut pas franchir. Plusieuifà cours de justice à Constantinople ju- gent' les procès. Les cours inférieures sont celles des mollahs de Galata , et celle du Stamboul ef fendi ou juge de police. Les cours supérieures sont celles des cadilesquiers ou grands juges d'Europe et d'Asie, et le divan du grand-vizir. De ces juridictions sont affranchis les descendans de Mahomet, qui sont très multipliés dans l'empire, et qui ont pour juge le chef de leurs tribus.

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 103

C'est en Turquie nr- .and avantage pour le de- mandeur, d'avoir le d: jii de choisir un juge, parce qu'il commence à s'assurer de ce juge avant de faire son choix; mais assez souvent néanmoins, le défenseur, renchérissant sur les offres de sa partie adverse, fait tourner la chance; ou à force d'inci- dens et de chicane, s'il est le plus riche, il éloigne le jugement, lasse son adversaire, et l'oblige de souscrire à un accommodement désavantageux. Avec les mêmes ressources, il réussit quelque- fois, s'il ne peut pas gagner le juge, à faire ren- voyer l'affaire à un autre tribunal.

Tous les juges ont un naïb ou clam, qui dirige les décisions du magistrat, et reçoit les proposi- tions des plaideurs. Ceux-ci se munissent souvent de part et d'autre d'un fetfa du mufti : c'est une consultation qu'on obtient de lui sous des noms interposés, et qui, le plus communément, est ré- digée par ses commis. Lorsque ces fetfas sont con- tradictoires, ce qui arrive assez fréquemment, ils deviennent inutiles aux parties. .,..,. ., .

L'usage des témoins, qu'on emploie pour tous les genres de preuves, est une source d'abus révoltans : comme on en trouve toujours pour de l'argent, parce que l'or est la divinité des Turcs, et qu'on a certaines pratiques pour séduire ceux qui ne sont pas corruptibles, on parvient à embrouiller les questions les plus claires, et à autoriser les délais

iéé VOYAGES EN EUROPE,

de la part du juge, qui, de son côté, a des -gens préposés pour traiter secrètement avec les parties. C'est à la faveur de ces abominables reisources quon voit journellement réunir des demandes contre la propriété, ou des plaintes en dommages- intérêts, et qui n'ont pas le plus léger fondement.

L'or est le véhicule des dépositions, comme il en est la récompense. On ne connaît pas en Turquie de moyen plus légal pour contraindre à venir dé- poser en justice : la loi ne permet pas les assigna- tions, il faut que les témoins se présentent à leur gré. Suivant le Koran , les faux témoins devraient être rigoureusement punis; l'on en voit néanmoins peu d'exemples, si ce n'est au commencement d'un règne, où, pour signaler l'avènement du nouveau sultan, le grand-vizir fait saisir une douzaine de faux témoins. Toute leur punition se réduit à être promenés dans les rues, montés sur un âne, le visage tourné vers la queue de l'animal , avec une inscription qui les déclare faux témoins.

 cette corruption répandue dans les tribunaux, à l'arbitraire des décisions qui en émanent , si l'on ajoute le droit acquis au souverain de s'emparer de toutes les terres tenues en fief lors des mutations des détenteurs, et même de la totalité des biens de ses officiers après leur décès, on frémit des con- séquences funestes qui doivent en résulter pour le maintien des propriétés. Heureusement une déci-

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DIX. HUITIÈME SIÈCLE. tOi

sion du prophète a déclaré sacrés et inviolables les biens-fonds et les maisons qui se trouv^raient annexés à l'église. En conséquence de cette décision, le propriétaire donne tous ses biens à quelque fon- dation religieuse, sous la condition expresse que leurs administrateurs ne pourront en prendre pos- session qu'après l'extinction de tous les hoirs mâles du donateur : de cette manière il transmet sans contestation à ses héritiers la propriété utile de sa fortune, sous la seule charge de substitution.

Malgré l'esprit fiscal qui règne dans les tribu- naux, la police intérieure et les mesures qu'on prend pour la sûreté des individus sont excellentes en Turquie; les vols sont extrêmement rares, dans la capitale comme sur les grands chemins; les mai- sons ferment à peine , et le boutiquier s'absente en laissant sa boutique sous la garde de la bonne foi publique. Ces vols d'ailleurs seraient promptement suivis du châtiment sévère infligé aux coupables. Nous citerons pour preuve l'anecdote suivante, ex- traite d'un voyage tout récent à Constantinople ', celui du docteur Brayer, qui y a fait un séjour de neuf ans, voyage que nous avons analysé dans le Bulletin de la Société de géographie, cahier du mois de juin 1836. t

« Dans une de ces belles journées le Grand-

' Neuf années à Constantinople, par le docteur Brayer, 2 vol. iii-S"; Paris, 1836.

100 VOYAGES EN EUROPE.

Seigneur va se délasser à Kiahat-khana, charmante promenade la foule se rend aussi pour jouir du plaisir de la campagne et voir le souverain et son cortège, il se trouve, comme ailleurs, des vendeurs ambulans de pain, de fromage et d autres comes- tibles. Parmi eux était un enfant grec qui vendait du pain; un janissaire passe à côté de lui, prend un pain et s'en va sans payer. L'enfant se récrie, suit le janissaire et réclame ce qui lui est dû, deux paras. Le Turc, irrité de ce qu'un raïa ose exiger le paie- ment d'une si modique.'somme, l'injurie, et voyant parmi ses petits pains une quarantaine de paras, produit de la vente de la journée, s'en empare et continue son chemin. Le garçon intimidé se met à pleurer. Gomment paiera-t-il au boulanger son pain pris à crédit? Un officier passe et s'informe du sujet de ses pleurs; celui-ci raconte l'aventure et montre du doigt le coupable encore peu éloigné. L'officier va droit à lui et lui demande comment il a pu commettre un tel crime. Le janissaire pâlit, balbu- tie, ne nie pas, mais rejette sa faute sur la fatalité. Cependant il est saisi , envoyé à sa caserne ; on re- cueille la déposition de l'enfant. Le jour suivant il est traduit devant son chef. « Tu es accusé d'avoir pris un pain à cet enfant, de l'avoir injurié et de lui avoir volé quarante paras; est-ce vrai? La fa- talité l'a voulu ainsi. Est-ce que lu ne sais pas ce que dit le Koran en pareil cas? » Silence du coupable.

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DIX-HUITIÈME SifcCLE. 107

u Ne connais-tu pas la peine infligée aux voleurs par la loi ? Vous le savez mieux que moi. Que veux-tu que je fasse? ce n*est pas moi qui te juge, c'est le Koran. » Puis, sans autres formalités, le gé- néral en chef des janissaires écrit sur un petit carré de papier, dans le creux de sa main, la sentence de mort, et la remet à deux kavas pour qu'elle soit exécutée. î ' < «•.•(-.r^ .■ i >-.?.,- -m'?i>-'j-ir-r» _-t»M*

0 Les deux bourreaux et le coupable au milieu s'en vont à pied vers le lieu du supplice. Le délin- quant n'est pas lié ; seulement s'il est connu pour une mauvaise tête, l'un le prend par le collet de sa robe, l'autre par le châle qui lui sert de ceinture. A peine fait-on attention dans la rue à ces troi^ indi- vidus; il faut avoir demeuré quelque temps dans le pays pour se douter de ce qui se passe. Cependant quelques curieux les suivent à peu de distance. En s'avançant vers l'endroit fatal, les bourreaux et le condamné causent ensemble. «Que veut dire ceci, mon frère, que nous devions exécuter un ordre semblable? Que sais -je, cela est arrivé; mon frère, la fatalité l'a voulu ainsi , que puis-je y faire ? » Telle est la substance de toute la conversation.

« Enfin on arrive au lieu de l'exécution , ordinai- rement le très petit carrefour près Bach-Capous- sou. L'approche de la mort fait pâlir le janissaire ; mais il sait que, quand un coupable a fait ses ablu- tions, dit ses prières et subi courageusement le

106 VOYAGRS EN EUROPE, supplice qu'il a mérité, son crime et ses péchés lui sont pardonnes, et qu'il a droit à la félicité promise aux vrais croyans ; il se résigne donc. Le chef des bourreaux lui dit alors de se mettre à genoux; il s'y met ; l'autre , muni d'une poignée de sable, lui en jette à la figure ; instinctivement le condamné ferme les yeux et baisse la tête. La nuque est tenr due; l'exécuteur saisit ce mouvement pour lui assé^ ner un coup de cimeterre. La tête tombe; puis il place le cadavre sur le dos et pose la tête perpenr diculairement entre le bras droit et le corps du sup^ pli(Mé. Il attache ensuite Xç^yafta ' sur sa poitrine, et le laisse ainsi exposé pendant trois jours aux regards dupublic.» .;,. , ,. .. .,

Pour donner une idée djes mœurs des harems, M. Brayer raconte quelques-unes de ses visites dans ces lieux si rarement visités par les Européens^ et le voyageur Porter n'avait pu pénétrer. Nous rapporterons encore le fragment ci-après, qui sup- pléera au silence de Porter à cet égard, r «i rrrv

«Introduit par l'effendi dans l'appartement étaient ses femmes, je vis, dit M. Brayer, dans un des angles du sopha une femme très replète, âgée de cinquante ans environ. Appuyée sur des cous- sins, elle était couverte d'un chàle, mais pas assez pour que je ne pusse voir son visage tout entier. Â

' Inscription rie forme ordinairomcnl ovale, relatant le crinii' de l'individu, et quelquefois le texte de la loi qui l'a condamni^'

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CIX-H.UITIÈME SIÈCLK. ^U»

côté d'elle était une autre femme d'à peu près vingt- cinq ans, qui causait avec elle et lui montrait, avec beaucoup de douceur et de respect, différentes étoffes et autres articles d'habillement, «le la pris pour sa fille. ' * '

« L'effendi s'étant assis près de la dame âgée, et moi à côté de lui, elle m'entretint de sa santé. Elle se plaignit d'étouffemens, de vertiges, d'une diffi- culté de respirer et de marcher, de maux de tête et d'un mérac extraordinaire. Elle voulait que je lui donnasse des forces , et me demandait si je n'a- vais pas un secret pour dissiper tous ces maux.

«Vu les préjugés du pays, je donnai à entendre qu'une saignée copieuse, répétée de temps en temps, pourrait dimmuer la plupart de ces symptômes fâ- cheux; que la diète, la limonade pour boisson, un peu d'exercice lui seraient favorables. Le traitement proposé déplut : c'était un secret qui guérit tout de suite qu'elle désirait; je n'en avais pas, et me bor- nai à prescrire un remède insignifiant. En sortant de la maison, je trouvai au pied de l'escalier l'apo- thicaire qui, ayant appris qu'un médecin franc était venu chez son client, venait pour prendre la recette. Il m'informa que la jeune personne que j'avais prise pour la fille de la dame âgée était la seconde femme de l'effendi; que la première, se voyant arriver à un âge elle n'espérait plus avoir d'enfans, avait consenti à ce qu'il en prît une se-

110 VOYAGES EN EUROPE,

conde; que celle-ci rendait à Tautre tous les soins qu'une fille aurait eus pour sa mère, qu'elle en était chérie de même, et qu'elle avait donné le jour à deux enfens qui faisaient la joie de toute la famille.

«J'ai vu dans un autre harem les trois épouses d'un eFfendi. Toutes trois étaient dans un des an- gles du sopha, travaillant et causant ensemble de la manière la plus amicale. Je les pris pour les trois sœurs. Il était cependant évident qu'une d'elles était l'objet de l'attention et des prévenances des deux autres. Introduit par l'effendi, je crus à sa manière de parler avec elles qu'il en était le père, tant ses paroles étaient empreintes d'une douce gravité, sans aucune marque de prédilection pour aucune d'elles. Ce fut encore l'apothicaire qui m'instruisit qu'elles étaient ses trois femmes.

« Sans doute, dans les harems populeux des riches musulmans et des hauts fonctionnaires, il doit y avoir quelquefois des jalousies, des haines sourdes qui fermentent, des moyens odieux et criminels employés pour se délivi'er de rivales plus favori- sées; mais, vu le petit nombre de ces harems, on peut les regarder comme des exceptions. 11 est rare, à Constantinople au moins, qu'un musulman ait plus d'une femme, à moins de stérilité ou de grandes infirmités dans la première ou la seconde. Dans ce cas, la loi lui en fait presque une obligation. Père, mère, parens et amis, en le voyant marié

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DIX-HLIITIÈME Sli^XLK. Itl

depuis deux ou trois ans, étonnés que sa couche nuptiale soit stérile, lui font observer que : ttDieu commande, et la mère met au jour deux jumeaux de différent sexe, et qu'il rend stériles celles qu'il veut :•» et le musulman fait par esprit de religion ce qui quelquefois contrarie ses affections. Les oulémas, les employés près les ministères, tout ce qui est au service des (grands, les petits rentiers, les hizmet- kiars (serviteurs) retraités, les artisans, les ouvriers, les bateliers si nombreux, les portefaix, n'ont gé- néralement qu'une femme, et ces classes, quant aux musulmans, composent les trois quarts de la population masculine de la capitale.

« On a beaucoup exagéré les querelles et les ja- lousies qui doivent troubler les ménages turcs, lorsque le chef de la famille use de la permission d'avoir plusieurs femmes. Le musulman pense comme la loi, et se conforme à la loi. Il se croit supérieur à la femme; le Koran Ta dit, la nature le prouve ; il est bon , affectueux envers elle , mais sa bonté est grave, protectrice: c'est celle d'un su- périeur envers un être faible , nécessaire à son bon- heur. L'homme, regardant la femme comme le plus grand des biens que la Divinité lui accorde, la préfère à tout autre bien. Au lieu d'exiger d'elle une dot, c'est lui qui lui en donne une ; il fait des cadeaux aux parens de son épouse , au lieu d'en re- cevoir. Ses devoirs sont tracés par la nature elle-

fil VOYAGES KN KUJIOPE.

même : il est cliargé de rcxtérieur; il est tenu de nourrir, d'Imbiller, d'entretenir sa famille, suivant son ran(; dans la société et suivant ses moyens. S'il ne le peut, lepouse réclame le divorce el l'obtient; s'il le peut et ne le veut pas, elle l'y contraint par la loi ; s'il la maltraite, il est sévèrement puni, lia femme préside à l'intérieur; elle doit d'abord obéis- sance à son époux, puis elle est chargée des détails du ménage, de la préparation des alimens, de l'al- laitement et du soin de ses enfans. Si la médiocrité des moyens de son mari lui en fait une nécessité, elle emploie ses loisirs à filer et à tisser le lin qui lui est remis pour l'usage de la famille.

«Lors donc que le musulman juge à propos d'a- voir plusieurs femmes, puisque la loi le lui permet, l'épouse doit s'y résigner; mais cette même loi pres- crit au mari de les aimer toutes également, de les traiter de la même manière, de ne pas faire de ca- deaux à l'une sans en faire autant aux autres, de n'en embrasser aucune en présence des autres. Le Koran règle même la répartition des caresses con- jugales; la première femme conserve ses droits. Si l'harmonie du harem n'est pas troublée par la pré- sence de deux ou trois femmes, elles vivent en com- mun, et la première conserve la préérsîinence; si e.: es ne peuvent s'accorder, chacune «l'ellf's l'oit avoir un appartement séparé, une table à part, mais également fournie. Si , malgré ces précautions, une

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DIX-HUlTlfeMB 81ÈCLK. 118

d'elle», d*nn cnr«ic(ùrc violent o^'casione par aei vocil'érntions du scandale dans le voisinage, le mu- Kulman se hâte de la répudier, et In [)»i\ est rétablie dans sa maison, qui doit être un lieu d «Menée.

« Les Francs, habitués à ce qui se passe dans leurs pays respectifs, ne peuvent croire que, malgré toutes les précautions prises par les maris, il n'y ait pas à Conslantinople d'intrigues, de séductions, d'enlèvtr:iciis, ^omme chez eux. Les théAtres n'ont pas manqué d'c-cploiter les harems, au grand plaisir des spectateurs, charmés de voir que, sous ce rap- port au moins, les musulmans ne valent pas mieux que les chrétiens. Les Francs sont dans l'erreur; il faut avoir demeuré long-temps dans le pays pour en être convaincu , il faut avoir eu accès dans plu- sieurs maisons turques, non-seulement au sélamlik, l'on ne peut juger de rien, mais dans le harem, pour se persuader de la difficulté, je dirai plus, de l'impossibilité de ces intrigues. Le châtiment, d'ail- leurs, est si terrible et si prompt, que le Franc le plus intrépide en est découragé.

«11 s'est trouvé, dit -on, des étrangers riches et puissans qui, désireux de jouir de faveurs si diffi- ciles à obtenir, ont, non pas cherché à captiver l'af- fection d'une musulmane, mais chargé un des en- '''•meitcurs de Pér« de leur en amener une. Leurs vœux ont été remplis; ils ont passé quelques ins-

tans, une nuit peut-être, avec elle, enveloppés dans XLVI. 8

\

114 VOYAGES EN EUROPE.

Tombre du plus profond mystère et sous la pro- messe d'un secret inviolable. La vanité a, dit -on encore, proclamé cette bonne fortune; mais on a su bientôt aussi que ces faveurs chèrement payées n'étaient autres que celles de quelque femme raïa , mise dans la confidence, habillée à la turque, et qui s'était fait passer pour musulmane, chose très facile aux yeux d'un Franc nouvellement débarqué. tt 11 faut cependant le dire : il y a des Européens assez ignorans des mœurs du pays, et assez témé- raires pour vouloir choisir eux-mêmes l'objet de leurs désirs; et, à force d'or ou autrement, ils par- viennent à s'introduire dans la maison d'un musul- man en son absence: mais observés par les voisins qui veillent à l'honneur du harem de leur frère comme ils voudraient qu'on veillât à celui du leur, ils sont presque toujours pris en flagrant délit, et condamnés à mort, sans que la légation à laquelle ils appartiennent puisse intervenir. Il n'y a pas en- core long-temps, les journaux ont fait mention de deux Francs surpris dans un cas semblable. Les deux femmes furent mises dans un sac, et jetées dans le Bosphore; des deux chrétiens, l'un ne vou- lant pas renier sa religion, fut pendu; l'autre, dans l'espérance de sauver sa vie , embrassa la religion musulmane; mais à peine eut-il prononcé sa pro- fession de foi, qu'il fut conduit au supplice. Quel- quefois cependant, si la femme est libre, et si le

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE.

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ne raïa, que, et ose très îbarqué. iropéens ez témé- objet de t, ilspar- m TOUSul- es voisins eur frère li du leur, t délit, et à laquelle ^ a pas en- nention de niable. Les et jetées un ne vou- autre, dans

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séducteur embrasse l'islamisme, il arrive que ic mariage a lieu. ^" ' "• * *' > " '^^

« La police de Constantinople est cliargée de veil- ler non-seulement à la tranquillité et à la sûreté de cette immense capitale, mais encore à la conserva- tion des bonnes mœurs. Les plus sages précautions sont prises pour obvier à toute tentative de scan- dale. Les maisons sont construites de telle sorte, que nul œil indiscret ne puisse voir ce qui s'y passe. Les fenêtres sur la rue sont à petits grillages. Au- cun jour d'une maison voisine ne domine sur les jardins les femmes vont se promener. Si les murs de clôture sont trop bas , on y supplée par des planches posées verticalement, ce qui empêche circulation de l'air, et cause de fréquentes mala- dies. Les raïa ont généralement adopté les mêmes coutumes; personne d'entre eux ne cherche avoir le harem d'un autre pour que l'on ne cherche point à voir le sien. Aussi l'on entend très rarement parler d'intrigues amoureuses, d'adultères ou autres débordemens. Les mauvais lieux sont relégués à Galata et à Péra surtout, miniature des capitales européennes. Aucun Franc ne peut habiter Cons- tantinople; un raïa étranger non marié n'est admis à demeurer que dans les khan ou dans la famille à laquelle il est recommandé. »

Si la police turque est bonne , l 'administration civile ne l'est pas moins, et c'est mal à propos, sui-

ItO VOYAGES EN' EUROPE,

vant Porter, qu'on a cru que les fréquens change- mens de vizir et d'autres ministres accus'tient la faiblesse du gouvernement ottoman. Un usage sa- lutaire maintient l'uniformité , la régularité de sa marche : c'est le soin scrupuleux avec lequel, au milieu de tant de mutations, on conserve les subal- ternes dans leurs emplois, et l'attention soutenue qu'on a de leur procurer de l'avancement, toutes les fois qu'il survient quelque déplacement. Par cette double mesure, le vizir Azem, le kiaia, son lieutenant, le reiss-effendi et tous les autres mi- nistres, quelque étrangers qu'ils puissent être aux connaissances qu'exigent les places auxquelles ils sont rapidement élevés, sont promptement instruits par ces subalternes des formes et des ressorts du gouvernement; et lorsqu'ils sont déposés, la marche des affaires n'en souffre pas. , / >> ;;*r;i»*

Chaque département renferme un nombre con- sidérable d'employés et de sous-employés qui tra- vaillent avec une persévérance incroyable pour s'élever aux postes qu'ils ambitionnent; et cette émulation procure nécessairement aux parties l'ex- pédition la plus prompte. Porter affirme qu'il n'est pas de gouvernement européen qu'on puisse com- parer à la Porte, pour l'exactitude avec laquelle les différens postes sont remplis, pour la précision avec laquelle toutes les affaires s'y traitent, pour le choix que dans toutes les transactions diplomati-

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DIX-HUITIÈMR 81ÈGLË. 117

ques on a soin de faire des termes dont la signi- fication est la plus l'uvurable h l'intérêt de la nation. Pourvu seulement qu'on puisse indiquer d'iiné manière vague l'époque les actes de la plus an- cienne date ont été passés , on est sur de les trouver à la Porte, rangés dans le plus bel ordre. Du reste, la règle constamment suivie dans l'interprétation des traités faits avec les princes chrétiens, c'est l'exemple de ce qui s'est pratiqué dans les temps passés, et que les Turcs appellent /e canon.

En traitant des mœurs des Turcs, Porter observe que l'affection paternelle a la plus grande énergie chez eux ; qu'en retour de cette affection , les enfans ont pour leurs parens une soumission sans bornes, un attacheraenV inviolable qui emportent même en général la plus grande déférence pour les supé- rieurs, et la plus profonde vénération pous' les vieillards. L'habitude de ces senti mens et l'éloigne- raent rigoureux du commerce des femmes l'on tient les Turcs dans leur jeunesse, leur inspirent le plus grand respect pour ce sexe, et les maintien- nent dans une extrême réserve à son égard. Un homme qui rencontre une femme dans les rues détourne la tête : jamais un Turc ne se permettra, dans le plus violent accès de colère, de porter la main sur sa femme. Il n'est pas rare en Turquie de ^ voir ce sexe abuser son ascendant, et par une contenance ferme, des regards assurés, en imposer

tiê VOYAGES EN EUROPE,

aux hommes les plus courageux : il pousse quel- quefois Farrogance jusqu'à harceler, à insulter même sur leur tribunal les juges qui, pour s*en débarrasser, lui donnent souvent, à tort ou à droit, gain de cause; on conçoit qu'il ne s'agit ici que des >.* ' " femmes du peuple. < -i

Celles d'un rang plus élevé, et qui sont nées en Turquie , ont beaucoup de décence et de retenue. Plusieurs d'entre elles ayant l'esprit cultivé par la lecture des livres turcs et arabes , se forment des principes de morale et de vertu qui deviennent la garantie de la pureté de leurs mœurs. Quant à celles qu'on achète , on ne doit s'attendre à trouver chez elles que des talens agréables, tels que le chant et la danse. 11 est difficile, suivant Porter, de confirmer ou de nier les récits que les voyageurs ont faits des femmes turques. Toujours couvertes, dans les mosquées, d'un voile qui ne laisse d'ou- verture qu'aux yeux, elles sont impénétrables à tous autres regards qu'à ceux de leur père et mère, de leurs frères et sœurs , et de leurs maris. 11 est facile au reste d'imaginer que, pour peu qu'elles soient favorisées des dons de la nature, la vie réglée qu'elles mènent, le soin qu'elles prennent de pré- server leur visage de l'influence de i air, doivent leur donner un teint uni et animé. Les femmes grecques ne sont pas aussi resserrées dans leurs maisons que les dames turques ; elles ne se servent

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DIX-HUITIÈMË SIÈCLE. tl9

de voiles que dans les rues : la plupart ont de beaux traits, une physionomie attrayante; mais en général leur teint a quelque chose de terne. IjCS unes et les autres sont fanées de bonne heure par le mariage prématuré et le trop fréquent usage du bain de clialeur qui relâche lep fibres et altère les formes.

L'usage, en Turquie, est de marier des garçons de treize ou quatorze ans à des filles qui n'en ont que onze à douze, ou quelquefois moins. Cette cou- tume a lieu dans toutes les religions et toutes les sectes répandues sur la surface de l'empire. Les parties s'unissent sur la foi de leurs parens; elles n'ont pas la liberté de se voir avant la nuit conju- gale. Plus d'une fois il s'est pratiqué, parmi les Grecs et les Arméniens surtout, les tromperies les plus graves en ce genre; on a uni la beauté à la laideur, la vigueur aux infirmités. Sur les plaintes qu'on porte aux entremetteurs, ils répondent que c'est le désir de régénérer les races qui leur a fait commettre cette fraude, beaucoup plus fâcheuse pour les chrétiens, qui n'ont pas les ressources du divorce. Du temps de Porter, les filles grecques voulaient connaître ceux qui prétendaient à leur main, et se laissaient elles-mêmes furtivement en- trevoir : il leur arrivait aussi de disposer de leurs personnes en ne consultant que leur inclination.

Pour ne point mêler son sang avec aucune fa- mille de l'empire, le Grand-Seigneur ne contracte

120 VOYAGES EN EUROPE,

point de lien conjugal. Il n'honore de sa couche que de belles esclaves ou odalisques. La première qui lui donne un HIs jouit de toutes les prérogatives d'épouse et commande dans le harem. Les autres Turcs peuvent avoir jusqu'à quatre femmes. Le mariage se contracte devant un tribunal de justice. En déclarant que telle femme est son épouse, le mari s'engage*, dans le cas il la répudierait, à se charger des enfans, et à lui payer une somme proportionnée à ses facultés, qui, chez le bas peu- ple, est fort modique. Dans cette dernière classe il est rare qu'un homme ait plus d'une femme à la fois; mais il en change souvent. La femme répudiée, dans quelque rang que ce soit, n'en trouve pas moins un autre mari. < v .

»! Les femmes publiques sont rares en Turquie: on doit attribuer cette cause d'un côté à la faculté qu'ont les Turcs de se satisfaire jusqu'à satiété par des unions légitimes; et de l'autre, au dégoût, à l'aversion même que toute femme effrontée inspire à un musulman.

A ces détails, nous en ajouterons quelques-uns de ceux que fournit sur les mêmes contrées un autre voyageur, M. d'Ohsson.

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Turquie : la faculté atiété par dégoût, à ée inspire

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DIX-HUITIÈME S1ÉCI.Ë. 121

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D'OHSSON. V . V

' ' (1780.)

Mouradgea d'Ohsson était chargé d'affaires du roi de Suède à Gonstantinople; dans cette capi- tale, il avait pu s'initier plus facilement aux mœurs et coutumes de la nation turque. Aussi donne-t-il un tableau fort curieux du code musulman, il offre également des détails étendus sur l'agriculture, notamment sur le jardinage des Orientaux. 11 parle des manufactures en activité dans la Turquie. A l'époque il écrivait on n'y connaissait pas alors les fabriques de draps, ni l'art de construire des voitures de voyage. D'Ohsson dit que les Turcs ne se promènent guère que dans les barques sur le canal de Gonstantinople : c'est qu'ils aiment à déployer le luxe oriental. La barque du Grand- Seigneur est richement décorée. Les Turcs ne voyagent qu'à cheval : de leur passion pour les chevaux. Les pachas et les grands en entretiennent jusqu'à trois ou quatre cents des races les plus re- cherchées.

L'interdiction des images [)araît avoir été em- pruntée de la loi mosaïque par Mahomet; et c'est en abusant de la doctrine qu'il a fondée contre ritlolàirie que les Turcs se sont permis tant de des- tructions des ouvrages de l'art. Il est vrai que cette

113 VOYAGES EN EUROPE,

même doctrine a été la cause du progrès que les Turcs ont fait dans la peinture et la sculpture : ils exécutent en bois, en plâtre, en pierre, en stuc et en marbre des ouvrages qui ne manquent ni de précision ni de goût; ils gravent aussi des cachets d'argent et de cornalines.

La musique et la danse sont également proscrites par la loi mahométane ; mais ces défenses n'ont pas su prévaloir sur le goût immodéré que les musul- mans ont pour la musique, et qui leur a été transmis par les anciens Arabes. Néanmoins, nonobstant ce goût passionné, ils n'oseraient jouer d'un instru- ment ou chanter un air noté en société, et ils ne se livrent jamais h cet amusement que dans le parti- culier. Les Turcs ne connaissent guère d'autres instrumens que le violon, la guitare, le cistre, le luth, la flûte et le tambour de basque; ils n'ont aucune idée de l'orgue, de la harpe, du piano, du hautbois, du basson et de la clarinette. Les gens de la campagne ont la musette, la cornemuse et le chalumeau. Les instrumens militaires sont les tim- bales, les tambours, les cimbales et les trompettes. Quant à la danse , elle est abandonnée à des femmes du peuple. Les Turcs s'étonnent que les Européens puissent mêler les deux sexes dans les bals.

Les jeux sont interdits par le Koran : de point de spectacles, de fêtes bruyantes comme en Eu- rope; on permet l'exercice de l'arc et (es courses

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DIX-HUITIÉMB SIÈCLE. 123

à cheval. Les gens distingués jouent aux échecs, et le commun du peuple aux dames. Cette proscription des jeux publics est cause qu'il règne dans les rues de Gonstantinople un calme pour ainsi dire complet, qui n'est interrompu qu'à l'époque des réjouis- sances publiques, comme aux fétçs de Beyram, le jour de la circoncision d'un prince , ou à la nou- velle d'une victoire. Les femmes d'un rang au-des- sus du comD ne prennent part à ces réjouis- sances qu'à travers des jalousies ; ou , si on leur permet de se promener dans les rues , c'est dans des voitures garnies de treillis bien serrés, elles ne peuvent pas être vues; elles se dédommagent de ces privations dans les harems par des jeux et de petites comédies, elles contrefont les chrétiens et s'habillent en hommes.

Comme la loi déclare immondes plusieurs ani- maux qui pourraient servir d'alimens, il en résulte une grande gêne pour les musulmans sur l'article de la nourriture; des répugnances particulières y ajoutent encore des entraves; c'est ainsi qu'aucun coquillage, et presque jamais aucun poisson ne parait sur leur table : le gibier, le bœuf même, ne s'y montrent que rarement; le porc en est sévère- ment exclus. En viande de boucherie, le mouton, l'agneau, presque toujours hachés, sont la nour- riture ordinaire; la volaille aussi est d'un grand usage; mais on consomme beaucoup de légumes*

J24 VOYAGES EN EUROPE.

de fruits, de compotes, de pAtisseries sucrées, et

presque toujours hors du principal repas. '

La boisson dont on fait usa^j^e à table est com- posée d'un méian^çe d eau et de divers fruits cuits au sucre ; et dans les maisons opulentes, on y ajoute des eaux de rose^ de cédrat, de fleur d*orange, Ton jette, dans l'été, de In glace. Hors des repas, on consomme beaucoup de schorbach ; c'est cette liqueur que nous connaissons depuis assez peu de temps en Europe, sous le nom de sorbet.

Le vin, comme toutes les liqueurs spiritueuses, est défendu ai*x musulmans d'une manière si abso- lue qu'il ne peut pas même être employé compte remède, soit intérieurement, soit extérieurement; mais la transgression de ce précepte est très com- mune, avec les précautions convenables, non-seu- lement chez les personnes opulentes, mais chez les derviches même : il n'est observé que par les effen- dis ou gens de loi.

Quant à l'opium, on parvient, par une longue habitude, à en prendre trois ou quatre fois par jour des morceaux de la grosseur du pouce. Aux visions agréables et fantastiques, à la douce quié- tude que l'opium procure, succède un état d'hébé- tement, qui jette à la longue dans une langueur incurable. . Ç' .

Le café, pris même d'une manière immodérée, p'a pas des effets aussi funestes. L'usage de cette

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DlX-HUnikME SIÈCLE. 125

boisson, dont on attribue la découverte à un der- viche d'Arabie, en 1258, resta concentré dans ce pays pendant plus d'un siècle, ne s'introduisit que très lentement en Egypte, en Syrie, en Perse et aux Indes, et ne pénétra à Constantinople que sous Soliman. Deux grandes boutiques de café s'y éla- blirent, et l'affluencc y Tut prodigieuse: on y pas- sait le temps, soit à des jeux tolérés par la loi, soit dans des entretiens sur les sciences, les arts, les belles-lettres, sans jamais y mêler de discussion sur les affaires politiques. ». . - u ,"".'! «n

Li passion des Turcs pour le café est telle que dans tous les ordres de l'État, hommes, femmes, enfans en [>rennent dans tous les lieux et à toute

heure du jour. ''

L'usage du tabac à fumer ne s'est introduit en Turquie qu'en 1605 : il a donné lieu, comme le café, à beaucoup de controverses parmi les gens de loi; mais aujourd'hui l'usage en est universel dans tontes les classes, et il n'est presque pas de musul- man qui ne fume dix et même vingt pipes par jour. Il est du bon ton d'offrir des pipes aux survenansy et les salons des grands en offrent des rangs entiers. Les Turcs ne quittent pas la pipe , même en écri- vant; mais les inférieurs s'abstiennent de fumer devant leurs supérieurs. Le tabac à priser est moins employé. Les Turcs aiment aussi beaucoup les par- fums, et ils en mêlent à leur labac.

136 VOYAGES EN EUROPE.

Aux termes du code religieux des Turcs, les pa- rures en or et en ar(;enl, les étot'fes de soie, sont interdites aux hommes avec quelques restrictions: les femmes seules peuvent en porter. I^e chÂlc joue un (çrand rôle, il sert de ceinture aux deux sexes en toutes maisons; il supplée aux parapluies, qui ne sont pas connus dans le Levant. Outre ce cliàle, les Turcs ont le turban , et pour le porter ils se rasent la tète : laisser croître ses cheveux serait pour un Turc une véritable honte; ce serait s assimiler aux femmes. Tous les Orientaux ont pour la barbe un respect tout particulier : c'est souvent par leur barbe qi/ils jurent, et c'est la barbe qui est le prin- cipal objet de la toilette. ' ' '

Tout ce que Mourad£;ea d'Ohsson rapporte de la magnificence dans les harems est conforme à ce qu'en a dit lady Montaguë. Mouradgea donne des notions précises sur les différentes langues qui sont l'objet de l'enseignement L'idiome turc primitif est la langue du peuple; le persan est la langue des savans qui s'occupent de poésie ; l'arabe est la langue des théologiens et des gens de loi , le Koran et tous les ouvrages de jurisprudence étant écrits en celte langue. L'idiome turc, enrichi de tout ce qu'il a pu emprunter du persan et de l'arabe, est à l'usage de la cour et de tous ceux qui ont reçu une éducation un peu soignée. Du reste , ces trois langues ont le même caractère, le même alphabet, et on peut

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OIX.HUITIf:MR SIÈCLE. 137

apprendre en quatre mois ù les lire et ù les écrire. Un autre voyageur anglais, «lames Dallaway, a aussi visité Constantinople vers le même temps quo d'Ohsson ; il était chapelain et médecin de l'ambas- sade anglaise à la Porte. 11 a traité l'article de Cons- tantinople avec assez d'étendue; mais un voyage plus moderne, celui de Walscli, que nous avon» compris dans le XLIV volume de notre Collection, présente sur la capitale de l'empire ottoman une description qui nous dispense de rapporter celle de Dallaway. Le même ouvrage nous permet de négli- ger également les judicieuses observations du baron de Tott, qui avait séjourné plus de vingt années à Constantinople. Nous passerons donc à d'autres voyages et en d'autres pays. Le premier qui se présente à notre souvenir est celui de Townson en Hongrie.

TOWNSON.

(1777.)

Ce voyageur a parcouru les principaux lieux de la Hongrie, et recherché l'origine de ses habitans, qu'il croit descendre des Tartares Kalmoucks, du moins environ un tiers de la population, qu'il porte à sept millions d'habitans. Il a retracé la constitu- tion delà Hongrie, et les diverses productions ter- ritoriales qui, malgré beaucoup de désavantages.

128 VOYAGES EN EUROPE.

forment une richesse agricole et manufacturière

très remarquable.

La nation hongroise a retenu deux de ses anciens privilèges: celui de faire ses lois, et celui d'imposer ses taxes. Elle nomme en outre à la place de grand- palatin ou vice-roi, sur une liste de quatre candi- dats présentés par l'empereur d'Autriche. La diète de Hongrie est composée de deux tables , autrement dites chf^mbres. Dans la chambre haute entrent les aînés de la haute noblesse , les évéques et les ar- chevêques, les gouverneurs de provinces et les gardiens de la couronne. Dans la seconde chambre siègent les abbés et les députés des chapitres, ceux des cinquante comtés du royaume, à raison de deux par chaque comté, et les députés des villes royales libres qui ne peuvent envoyer chacune qu'un député.

Bude ou Ofen est la capitale de la Hongrie. On peut la considérer comme ne formant qu'une seule ville avec celle dePesth, dont elle n'est séparée que par le Danube. Un pont de bateaux favorise la com- munication des deux villes qui, prises ensemble, ont une étendue considérable, mais qui néanmoins ne renferment que trente-huit mille habitans. Les plus beaux édifices publics et particuliers sont à Pesth. Le palais royal est vaste et majestueux. L'hô- pital des invalides, destiné à en contenir quarante r^iille en cas de besoin , sert aujourd'hui de casernes.

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DIX-HUITIKME SIÈCLE. 129

la sévérité de la discipline est tempérée par beaucoup de douceur dans le commandement. Cet hôpital est très bien tenu; tous les autres hô- pitaux de la ville le sont fort mal.

L'université jouit d'un revenu de 500,000 livres. Outre les chaires communes à toutes les autres uni- versités, il y en a trois pour l'histoire naturelle, la botanique et l'économie. La collection d'instrumens de physique , et les modèles de machines sont d'un très bon choix. Le musée d'histoire naturelle est un des plus beaux de l'Europe : on en peut dire autant du jardin botanique, qui néanmoins a peu de serres chaudes. Les bibliothèques publiques, les livres modernes de sciences ne sont pas nombreux, sont peu fréquentées , malgré la facilité de l'accueil et celle des communications.

La salle de spectacle de Bude est fort belle; celle tlePesth assez mesquine. Les pièces qu'on y joue sont assez généralement écrites en allemand. Les diman- ches et fêtes, le peuple s'amuse, comme à Vienne, de combats d'animaux. L'hiver, il y a des bals dans la nuit du dimanche seulement. L'été, toutes les classes du peuple vont se divertir dans des maisons et des jardins agréablement situés aux environs de la ville : il s'y établit de beaux cafés qui sont très . fréquentés.

Les bains chauds de Bude sont en partie l'ou- vrage des Turcs, lorsqu'ils étaient en possession de

XLVI. 9

130 VOYAGES EN EUROPE,

cette ville. Les individus des deux sexes dans le bain public se baignent ensemble, les femmes avec un jupon, les hommes avec des caleçons : cet usage extraordinaire n'entraîne aucun inconvé- nient.

11 se tient plusieurs foires en Hongrie, et il s'y fait beaucoup d'affaires, comme dans tous les pays l'industrie et le commerce ont peu d'activitf*; celle de Pestli est la plus considérable, et dure dix jours. Les plus grands objets de cette foire sont l'achat et la vente des chevaux et des bêtes à corne.

Les Allemands portent l'habit européen, les Hon- grois l'habit national, qui, pour les nobles, est celui des hussards avec le sabre.

Le voyageur donne sur le vin de ïokai des détails fort intéressans, et dont voici à peu près la «ub- stance.

Le canton de Tokai, dont le chef-lieu est une petite ville fort misérable, ne produit qw'une por- tion de l'excellent vin qui porte son nom : il a eu la chance de donner ce nom à un district mon- tueux qui s'étend à trente milles vers le nord, sur ime largeur moins considérable, et qui embrasse dix -neuf villes et villages, dont le territoire pro- duit des vins d'une qualité tout aussi supérieure que celle du vin que l'on recueille dans le canton de Tokai proprement dit.

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Les vins connus sous le nom de Tokai propre- ment dit, sont d'une espèce particulière, dont les différens cantons de ce district ne font qu'une très petite quantité, et qui sur les lieux mêmes se ven- dent fort cher : on nomme cette espèce de vin ambruch ; on le fait au moyen d'un mélange de rai- sins à moitié secs, qu'on joint à des raisins ordi- naires. Le voyageur expose dans un grand détail le procédé de la plantation de la vigne et de la cul- ture dans le district de Tokai.

Comme il faut que les raisins soient extrêmement mûrs, on diffère la vendange aussi long-temps qu'il est possible, et en général jusqu'à la lin d'octobre. Si le temps est beau , on diffère encore, afin d'avoir une plus grande quantité de raisins desséchés, chose indisponsablement nécessaire pour faire de l'aus- bruch. Dès que les raisins commencent fi mûrir, on place des gardes dans les vignes, non-seulement pour empêcher le vol des raisins, mais pourchasser les oiseaux, qui en sont très friands.

Les vendanges, particulièrement dans le district de Tokai, sont la saison de la gaîté et des plaisirs. Tous les nobles qui y possèdoit des vignes, quel- que éloignées que soient leurs propriétés, y vien- nent dans cette saison, et invitent à leurs vendanges leurs parens et leurs amis; mais cette affluence est encore augmentée par le concours des mar- chands de vin, et par une ou deux foires qui pré-

132 VOYAGES EN EUROPE,

cèdent les vendanges. On a déjà vu que n'est aux raisins à demi desséchés que le vin deTokai doit sa délicieuse saveur; mais la quantité et la qualité diffèrent d'une année à l'autre. Quelquefois il n'y en a pas du tout, lorsque les gelées du matin sont prématurées et précèdent la maturité du raisin; mais ces mêmes gelées sont favorables lorsqu'elles ne viennent pas trop tôt. Quelquefois aussi, quand le temps est pluvieux et couvert, lorsqu'il faudrait aux raisins qui commencent à se dessécher un soleil ardent pour en purger les parties aqueuses, les raisins n'acquièrent point de qualité. Ceux qui sont propres à se dessécher sont toujours en petite quantité, comparativement aux raisijns ordinaires; et, comme on l'a déjà dit, il y a des années où, par la rigueur de la température , on n'en trouve pas.

I^es raisins à demi desséchés se foulent séparé- ment des raisins ordinaires. Le jus qu'on en exprime a la consistance et l'apparence du miel : on le mêle avec le vin commun, dans une proportion qui varie suivant les spéculations ou la fantaisie des pro- priétaires. Du plus ou du moins de ce jus précieux dépend la qualité du vin de Tokai.

La plus grande partie des vins de Tokai est en- levée par les nobles de tous les cantons de la Hon- grie. Il en passe beaucoup dans les cours de l'Eu- rope, et il se vend fort cher : c'est du vin de rois

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et ion n'est point surpris qu'Auguste, roi de Po- logne, l'ait préféré au nectar des dieux.

Voyons ce qu'un autre voyageur, l'Anglais Coxe, dit de ce royaume à l'époque il le visila. pour aller ensuite à Moscou et de en Suède.

COXE.

(1778.)

Le voyage de Coxe passe pour un des meilleurs qui aient été faits en Pologne, en Russie, en Suède et en Danemark. Les observations du voyageur sont remplies de justesse, ainsi que le lecteur en jugera par les extraits qui vont être mis sous ses yeux.

On peut, dit Coxe, diviser les habitans de la Po- logne en quatre classes, les nobles, les ecclésiasti- ques , les bourgeois et les paysans.

Par les lois de Pologne,Jun noble est une personne qui possède une terre libre, ou qui peut prouver qu'il descend de parens qui en ont possédé une , qu'il n'est attaché à aucune profession , à aucun commerce ni à aucune demeure particulière. Tous ces nobles, selon la lettre de la loi, sont égaux entre eux par la naissance , de manière que tous les hon- neurs et les titres qu'ils peuvent acquérir n'ajou- tent rien à leur dignité réelle, et ne donnent en particulier aucun drca de préséance. Par le moyen de leurs représentans dans les diètes, ils ont une

134 VOYAGES EN EUROPE,

part à l'autorité législative, et dans quelques occa- sions, comme aux élections des rois, ils s'assem- blaient en personne, chaque gentilhomme ayant la capacité d'être élu nonce ou sénateur; ils pouvaient même se présenter chacun pour candidat au trône.

D'après la loi alors existante, aucun gentilhomme polonais ne pouvait être arrêté sans avoir été au- paravant jugé et convaincu, excepté dans les cas de haute trahison , de meurtre ou de vol sur les grands chemins ; et méute alors il fallait qu'il fût pris sur le fait; enfin il ne pouvait être frappé de la peine capitale sans l'autorisation de la diète. On voit par que la noblesse polonaise est extrême- ment nombreuse. Aussi la multitude des gentils- hommes polonais a-t-clle toujours été une source de malheurs pour le pays.

Les ecclésiastiques sont tous hommes libres, et ont itiéme des cours de justice, l'on juge cer- taines affaires selon le droit canon. Le nonce du pape en a une aussi , qui est la cour suprême ecclé- siastique du royaume. Dans les cas de divorce, de dispenses pour des mariages et d'autres affaires de ce genre, on s'adresse à la cour de Rome, qui tire par ce moyen des sommes considérables de la Po- logne.

La* troisième classe de la nation polonaise est com^iosée des bourgeois ou des habitans des villes. Ils élisent leurs bôurguemestres et leurs conseillers

DIX-HUITIÈME SIÈCLE.

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servitude est d'ancienne date et a toujours été assez rigoureuse. I^ maxime reçue de tous temps en Pologne, qu'un esclave ne peut intenter un procès à son seigneur, est toujours en vigueur. Il y a des paysans qui appartiennent à la couronne et d'autres à des particuliers. Ceux qui appartiennent à des particuliers sont absolument à la discrétion de leur maître,

f On compte aus.si beaucoup de juifs en Pologne:

ils y sont entrés du tem,ps de Casimir-le-Grand, et ils jouissent de nombreux privilèges.

Coxe fait de Cracovie une description à laquelle on aurait peu à changer pour la mettre en harmo- nie avec l'état actuel de cette ville qui a été ancien- nement la capitale de la Pologne. Située dans une \astc plaine arrosée par la Vistule, qui est large et peu profonde, Cracovie avec ses faubourgs oc- cupe un terrain très étendu. La grande place qui est au milieu de la ville est Ibrt spacieuse , et l'on y voit plusieurs maisons bien bâties. Il y a plusieurs rues larges et belles; mais la ville brille surtout par ses églises. Les remparts portent encore des traces des boulets et des balles dont cette ville fut criblée lorsque Charles XII vir/ l'assiéger et la

136 VOYAGES EN EUROPE,

prendre au commencement du XYIII^ siècle. Ces remparts sont de hautes murailles de briques, sou- tenues de tours rondes et carrées, d'une construc- tion le plus souvent très bizarre, selon lancien style des fortifications.

I/université de Cracovie fut fondée et dotée par Casimir-le-Grand; elle était anciennement appelée la mère de la littérature polonaise, parce qu'elle fournissait des professeurs et des hommes savans à tous les autres collèges du royaume.

Au midi de la ville , près de la Vistule, s'élève une petite colline ou plutôt un rccher sur le sommet duquel est bâti le palais; il est environné de murs de briques et ressemble à une citadelle. Les salles en sont vastes et d'une belle proportion. Ce palais était anciennement la résidence des rois de Pologne, et lorsque Varsovie est devenue la capitale du royaume, on n'a pas moins continué de faire à Cra- covie tout le couronnement des rois. Des fenêtres de ce palais on jouit d'une vue fort étendue.

Le pays qui environne Cracovie n'est guère qu'une grande plaine sablonneuse. On remarque cepen- dant deux collines , dont l'une est appelée par tra- dition le tombeau de Cracus, duc de Pologne, qui fonda, dit-on, Cracovie l'an 700 de Jésus -Christ. Ces collines artificielles ont servi plusieurs fois à signaler la sépulture des personnages célèbres ou des héros.

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A quelque distance de Cracovîe on aperçoit forteresse de Landskroiie, située sur un roc, et dont soixante-seize confédérés Polonais s'emparè- rent lorsqu'elle était g^ardée par quatre-vingt-sept soldats russes, exploit qui est encore cité comme un des plus illustres dans les annales polonaises. .

Le passage souterrain par lequel les soixante-seize confédérés entrèrent dans la place était un égout ayant une petite issue du côté de la Vistule; il fallut se traîner sur les pieds et sur les mains dans un espace assez long, pour arriver couvert de boue dans rintéricur du palais et égorger la garde russe : on eut alors un exemple de ce que peuvent la per- sévérance et i'audace.

Les Polonais ont, suivant Coxe, une grande vivacité, et ils gesticulent beaucoup en parlai. î; leur manière de saluer est d'incliner la tète et de se frapper la poitrine d'une main en étendant l'autre vers la terre; mais quand un homme du peuple rencontre un supérieur il baisse la tête presque jusqu'à terre en remuant en même temps la main avec laquelle il touche le bas de la jambe de la per- sonne à qui il veut marquer son respect. Les hom- mes de toutes les conditions portent assez généra- lement des moustaches et se rasent la tête, à la réserve d'un cercle de cheveux qu'ils laissent sur le sommet. L'habillement d'un paysan en été n'est autre chose qu'une chemise et des caleçons de mau-

13» VOYAGES EN EUHOPE.

vaisc toile; il n a ni soulier ni ba», mais un chapeau rond ou un bonnet. Les femmes du peuple portent sur leur tête une espèce de voile de lin^je blanc, son» lequel leurs cheveux sont noués et pendent en deux tresses. L'habillement des personnes de qua- lité des deux sexes est des plus élégans; le sabre est une partie essentielle de celui des gentils- hommes. ^

Si l'on considère les traits, le regard, les cou- tumes et tout l'extérieur des Polonais, on trouvera qu'ils ressemblent plutôt aux peuples asiatiques qu'aux Européens. Leurs ancêtres ont été indubi- tablement un peuple tartare.

De Cracovie, et après avoir visité les mines de Wielitska qui en sont à huit milles, dans une chaîne de collines qui se joint aux monts Crapacks, notre voyageur se rendit à Varsovie, pour faire une description détaillée de cette capitale.

La situation de Varsovie n'est pas désagréable. Cette ville est bâtie dans une plaine, en partie sur la pente peu sensible, d'une colline qui s'élève sur les bords de la Vistule. Ce fleuve a dans cet endroit à peu près la largeur de la Tamise sous le pont de Westminster; mais il a peu de profondeur en été. La ville et ses faubourgs occupent une vaste éten- due de terrain. Praga, qui est le faubourg le plus grand, est situé à la droite de la Vistule; un pont tiebati. î'jx le réunit au reste de la ville, qui compte

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 180

environ cent mille habitans. Les rues sont grandes, mais mal pavées; les églises et les édiKces publics sont vastes et magnifiques; les hôtels ou palais sont beaux et nombreux; mais les maisons dans les fau- bourgs sont en général chétives et mal bâties. Le palais est située sur un terrain qui s'élève au-dessus de la Vistule, et Ton y jouit d'une très belle vue sur cette rivière et sur les environs.

De Varsovie, Goxe alla à Biclsk, dans le palatinat dePodlachie, s'assemblait alors la diète de la pro- vince. Il se rendit ensuite à Bialistock, ville propre et bien bâtie, ayant des rues larges, les maisons enduites de plâtre, et séparées les unes des autres à des distances égales. 11 passa de Bialistock à Grodno, ville devait être signé en 1793 le deuxième par- tage de la PoK'{yne, ainsi que l'abdication du roi Stanislas- Auguste en 1795. Coxe dut traverser d'a- bord quelques misérables faubourgs habités par des juifs, ensuite passer sur un bac la rivière de rÇiémen, qui est large, claire et peu profonde. Grodno est bâtie sur une émincnce ; c'est une ville grande et régulière, mais offrant un mélange bi- zarre de belles maisons et de misérables cabanes. Le vieux palais logeaient les rois durant les diètes est situé sur une colline sablonneuse et escarpée au bord de la rivière ; il en reste quelques portions de murailles; un palais plus moderne a été construit dans le voisinage.

HO VO YACKS EN KLIUH'K.

Ëii travc^rsant la Lithuanie, notre voya}j;eur l'ut frappé de la multitude de juifs qu on y rencontre. Demandez-vous un interprète, on vous amène un juif. Entrez-vous dans une auber£;e, Tliôte est un juif. Voulez-vous des chevaux de poste, c'est un juif qui vous les procure, et un juif qui les mène. Avez-vous quelque chose à acheter, un juif est len- tremetteur. C'est peut-être le seul pays de l'Europe les juifs cultivent la terre, si l'on en excepte quel- qu'^s parties de la France. Goxe trouva les chemins très négligés, et ce ne fut pas sans peine qu'à tra- vers les forêts il atteignit la ville de Minsk , assez grande et assez bien peuplée. Elle avait alors un couvent de jésuites. Les bàtimens de cette ville sont presque tous en bois.

Notre voyageur partit de Minsk pour Borisow, et traversa la Bérésina, qui était alors la limite natu- relle entre la Russie et la Vologne. On se rappelle que cette rivière est depuis devenue fameuse par le passage de l'armée française à la retraite de Moscou. On était au cœur de l'hiver de 1812, Napoléon avait avec lui six mille hommes de sa garde, que suivait le reste de l'armée ; le passage fut extrêmement périlleux, et il y périt des milliers de soldats français. Eni^n l'armée parvint à l'effectuer, et il y eut ensiMU inc bataille dirigée en personne par le maréchal %ey, el dont les résultats sauvèrent les débris «le la ifrande armée, qui regaj^na la Po-

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logne et alla se reformer en Saxe, le prinlrnips .suivant elle battit «le nouveau les Russes. On sait qu'alors toute rAllemaj^ne se tourna contre nous, et (pi'il fallut céder au nombre.

Des bords de la Bérésina, notre voyageur se ren^ (lit à Smolensk, grande et belle ville située aux rives du Dnieper, sur deux collines et dans la vallée qui est entre elles deux. Les murailles qui l'envi- ronnent ont trente pieds de haut et quinze de large. Le bas en est de pierres, le haut est de bri- ques. Les murs suivent les contours des collines, et ont trois milles trois quarts de circuit; il y a en dehors un fossé profond , un chemin couvert, un };laci.s, et des redoutes construites à la moderne. La cathédrale est bAtie sur une éminenceau milieu de la ville. On a de son faite la vue la plus pittoresque de cette cité, qui dans son enceinte renferme des jardins, des bosquets, des champs et des prés. La plupart des maisons sont de bois et à un seul étage. Une large et longue rue p^^vée coupe la ville en ligne droite; les autre* rues sont la plupart irré- gulières et couvertes «»? i^lanches au lieu de pavés. Les murs de la ville s élèvent ou s abaissent avec le ♦errain, ets'étendont jusqucs auxbordsdu Dnieper: leur architecture antique, leurs tours bizarrement construites, le^ aiguilles des clochers élevés au- dessus des arè»res, qui cachent par leur multitude la plupart <4«s maisons, les champs, les prés qui y

142 VOYAGES EN EUROPE,

sont épars, tous ces objets forment le contraste le plus singulier. Au-delà du Dnieper, fleuve qui prend sa source dans la forêt de Wolkonsky, près de la source du Volga, à cent milles de Smolensk, est une espèce de faubourg composé de cabanes cparses, qui tient à la ville par un pont de bois. Smolensk, au temps de Coxe, renfermait environ quarante mille habitans ; elle n'a plus guère aujourd'hui (1 836) que de quinze à vingt milles. Elle fut en partie incendiée en 1812 à l'approche des Français, qui remportèrent devant cette ville une grande victoire sur les Russes, victoire qui ouvrit aux vainqueurs le chemin de Moscou.

Coxe partit de Smolensk pour Moscoq, en pas- sant par Viasma, ville qui se présente d'une ma- nière imposante, avec ses dômes et ses clochers au travers des arbres. Elle occupe sans régularité un terrain très étendu ; ses bàtimens sont la plupart de bois ; un petit nombre en briques sont dus à la munificence de l'impératrice Catherine. La princi- pale rue, semblable aux grandes routes de Russie, est couverte en partie de troncs d'arbres couchés en travers, et en partie de planches comme le plan- cher d'une chambre. Elle contient plus de vingt églises, nombre étonnant pour une ville si peu peuplée. A une certaine distance, le grand nombre des clochers et des dômes qui dérobent la vue des cabanes voisines pourraient aisément persuader aux

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Près de Viasma, Coxe entra dans la vaste forêt de Wolkonsky , laquelle s'étend de sans interrup- tion dans un espace de cent cinquante milles , pres- que jusqu'aux portes de Moscou. C'est dans cette forêt immense que sont les sources des principales rivières de la Russie européenne, la Duna, le Dnieper, le Volga.

L'aspect de Moscou se révéla au voyageur à six milles de dislance par les pointes des plus hauts clochers. Deux ou trois railles plus près, en mon- tant sur une éminence, il put jouir du spectacle de cette capitale, dont les innombrables églises avaient leurs clochers ou leurs dômes blancs, rouges, verts, dorés par les feux du soleil. La forêt arrivait jus- qu'à un mille des remparts, et cet intervalle était couvert par des prairies. Il traversa la Moskowa sur «ne sorte de radeau ou de bac , et put alors entrer dans la seconde capitale de la Russie.

Moscou, que les Russes appellent Moskowa ou Moskua, à cause de la rivière de ce nom, et à la- quelle se joint la Neglina , est moins ancien que No- vogorod, Kiov, Wolodimir et Tver, les souve- rains de la Russie ont fait leur résidence avant que cette ville existât. Le terrain occu|)é aujourd'hui par le Kremlin n'était qu'un bois el un marais, au mi-

144 VOYAGES EiN EUROPE,

lieu duquel il y avait une petite île contenant une seule cabane de bois. C'est en 1304 que le grand duc de Wolodiinir vint s établir à Moscou, que son fils Ivan agrandit. Son petit-fils Demetrius, en 1367, enferma le Kremlin d'un mur de briques, ce qui n'empêcha pasTamerlan de s'en emparer en 1382. Napoléon y fit son entrée le 14 septembre 1812, à la tête de sa grande armée qui venait de gagner la g/ande bataille de la Moskowa. Peu de jours après l'arrivée des Français, Moscou fut incendié par les ordres du gouverneur russe Rostopchin , qui avait fait préparer secrètement des moyens incendiaires. Peu de quartiers échappèrent aux flammes. Néan- moins, l'armée française s'y maintint plus d'un mois. Le Kremlin est détruit le 22 octobre, et l'ordre de la retraite est exécuté. Moscou fut rebâti en peu d'annérs, et c'est aujourd'hui une ville toute moderne.

C'est pourquoi nous nous dispenserons de rap- porter ici la description que notre voyageur a faite de cette grande ville. Nous dirons seulement avec lui que le Kremlin a pris son nom sous la domina- nation des Tartares, du mot krem ou krim, qui signifie yb/'/<?rewe. Il est situé dans le centre et sur la partie la plus élevée de Moscou, au confluent de la Moskowa et de la Neglina qui en baignent les deux côtés; sa forme est triangulaire, et sa circon- férence est de deux milles. Les hautes murailles de

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DiX-HUITiÈME SIÈCLE. I4h

pierres et de briques dont le Kremlin est entoura ont été construites en 1491, sous la direction d*un architecte milanais. Le Kremlin renfermé l'ancien palais des tzars. ' '''

De Moscou notre voyageur se dirigea vers la ville de Tver, dont la situation est magnifique, sur les bords élevés du Volga. Elle date de l'an 1 182. Elle se divise en ville vieille et en ville neuve. -> *

Ses rues sont larges et longues, et vont aboutir à une place octogone qui en est le centre. Les mai- sons de cette place et celles des principales rues isont bâties en briques et enduites d'un stuc blanc, ce qui leur donne une très belle apparence. Il se fait un grand commerce à Tver, et le Volga et la Tvertza sor verts de bateaux. Par le moyen de la Tvertza on a établi une communication entre la Neva et le Volga, ou , en d'autres termes, entre la mer Baltique et la mer Caspienne. Tver est dans une vaste plaine parsemée de petites éminences , trop peu élevées pour mériter le nom de mon- tagnes. Le pays produit en abondance du blé, du seigle, de l'orge, de l'avoine, du chanvre, et toutes sortes de végétaux. On trouve dans les forêts des chênes, des bouleaux, des aunes, des peupliers, des frênes, des pins, des sapins, des genévriers, etc. A quelque distance on rencontre des élans, des ours, des loups, des renards, des chèvres sau- vages, etc. Le Volga est très poissonneux; il fournit XLVI. 10

140 VOYAGES EN EUROPE,

le saumon, le sterlet, la tanche, le brochet, la per- che et quelquefois l'esturgeon.

De Tver noire voyageur alla saluer Novogorod , surnonamée/a Grande^ pour ladistlnguer des autres ville jui portent le même nom. Elle parait dater du milieu du v" siècle; elle fut quelqre temps si puissante qu'on disait d'elle en proverbe : « Qui est- ce qui peut résister aux dieux et à la grande Novo- gorod? » Aujourd'hui elle n'est plus que le chef-lieu d'un gouvernement du même nom. Elle est située sur les deux rives du Volkof, rivière belle, pro- fonde et rapide. Coxe en quitta les bords pour se rendre à Saint-Pétersbourg.

Il a décrit avec détail la nouvelle capitale des tzars, bâtie sur les rives de la Neva, près du golfe de Finlande, et en partie dans des îles qui sont à l'embouchure de ce fleuve. Ce fut en 1716 que Pierre-le-Grand jeta les fondemens de la ville qui porte son nom. Cette ville étant bâtie dans un ter- rain bas et marécageux, est sujette à des inonda- tions qui ont failli parfois la submerger enticre- ipenl. Ces accidens sont occasionés par des vents de sud et de sud-ouest qui, soufflant directement du golfe, arrêtent le cours de la Neva et en font refluer les eaux. On communique d'une partie de Pétersbourg à l'autre par un pont de bateaux sur lequel on traverse la Neva. Mais quand elle com- mence à charrier des glaces, on le lève, parce que

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DIX-HUITIÈMË SIÈCLE. 147

les grands glaçons, entraînés du lac l^doga par un courant rapide, ne manqueraient pas de le détruire. Alors on est pendant quelques jours privés de toute communication jusqu'à ce que la riviè»'e soit prise au point de pouvoir porter des hommes et des voitures. La JNeva est d'ailleurs trop profonde pour qu'il soit possible d'y bâtir un pont de pierre.

Parmi les monumens de Pélersbourg, on cite la statue 4questre en bronze de Pierre-le-Grand. Elle est de fjrandeur colossale, et c'est l'ouvrage de Fal- conet, célèbre sculpteur français. Elle fut élevée aux fixais de l'impératrice Catherine II, en 1782. Elle repose sur un énorme rocher d'une seule pièce qui a été amené des environs de Pétersbourg. Au- cun monument romain n'offre une pareille masse. Au milieu d'une île est la cathédrale de Saint-Pierre et Saint- Paul, qui a un clocher de cuivre doré, et élevé de deux cent quarante pieds au-dessus du sol. Le palais d'hiver, qui est la demeure ordinaire de l'empereur, est un bâtiment immense, mais d'une architecture lourde- et défectueuse; une galerie le met en communication avec un autre palais fort beau, dit t Ermitage, bâti par Cathe- rine II, dont il était le séjour favori. Le palais de la Tauride , remarquable par l'élégance de l'archi- tecture, par ses vastes galeries, par son jardin, fut construit tout exprès par le prince Potemkin , à loccasion d'une fête qu'il donna à Catherine II. L'hô-^

148 VOYAGES EN EUROPE,

tel de rAcadémie des beaux-arts, la Bourse, THôtel- de-Ville, sont de beaux monumens. Ce qui frappe surtout à Pétersbourg, c'est la largeur, Talignement et la propreté des rues; c'est l'élégance et la régu- larité des édifices; c'est la beauté des quais en granit î bordent la Neva. Pétersbourg, à cinq centt« iJtaes nord-est de Paris , avec une circonfé- rence de six lieues et demie, renferme aujourd'hui (1836) plus de trois cent mille habitans. '

L'autocrate russe a dans les environs de sa capi- tale de vastes palais , il aime à passer quelques jours de la belle saison ; les principaux palais sont Sarsko-Zelo , Oranienbaum , Peterhof et Schlussel- bcurg. Sarsko-Zelo est à quinze milles environ de Pétersbourg; il fut bât; par Elisabeth : il est vaste et pompeux. Oranienbaum est situé sur les bords de la mer, à vingt-cinq milles de Pétesbourg; il a été bâti par Menzicof , lorsqu'il jouissait d'un degré de pouvoir et de grandeur auquel il est rare qu'un sujet parvienne. Peterhof est à sept milles d'Ora- nienbaum, et à vingt milles de la capitale; il fut commencé par Pierre l" et terminé par Fjlisabeth; il est bâti sur une éminence d'où la vue est su- perbe. On découvre de Cronstadt, Pétersbourg, le golfe et la côte opposée de Carélie. C'est dans ce palais que se trouve la montagne des traîneaux. Schlusselbourg est à quarante milles de Péters- bourg , en suivant les bords sinueux de la Neva.

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 14»

Schlussel en allemand signifie clef, et Pierre-le- Grand nomma ainsi ce lieu, parce qu*il le regardait comme étant par sa situation la clef de ses con- quêtes.

Les détails que le voyageur donne sur les diffé- rentes classes dont la nation russe est composée ont encore aujourd'hui à peu près leur application. Ces classes sont au nombre de quatre : celle de la grande et de la petite noblesse ; le clergé ; les mar- chands, bourgeois et autres personnes libres; les payuins. Dans les trois premières classes sont pres- que tous les sujets libres de l'empire, et dans la deriière tous les serfs ou esclaves.

Aux nobles seuls appartient proprement le droit d'avdr des terres; ils servent dans l'armée et sont obli^s de fournir des recrues proportionnellement à l'étendue de leurs possessions. En Russie, comme dans tous les gouvernemens orientaux, il n'y a presqie d'autre distinction de rang entre les nobles que ctlle qui dérive des emplois et des grades que leur infère le souverain : qu'ils soient pnnces > comte ou barons , c'est une distinction qui n'a pas une g'ande valeur sans l'appui de quelque emploi civil <u militaire. Mais les nobles ont dans leurs terresune autorité presque illimitée, et disposent de leu*s serfs sans aucune restriction.

Le Jergé a pour chef l'empereur, qui préside le sacré ynode, lequel a pour vice-président un ar-

160 VOYAGES EN EUROPE,

chevéque métropolitain, avec un certain nombre de conseillers et d'assesseurs. Le clerf^f^^ se compose de réfjuliers, qui sont les moines, et de séculiers, qui sont les prêtres ou curés. La plus grande partie des richesses de Téglise est concentrée dans les monastères. Tous les dignitaires son^ tirés de Tordre des moines : ce sont les archevêques et évéqiies , les archimandrites ou abbés, et les igoumens ou prieurs. Les curés sont désignés par le titre de papas ou popes, mot qui signifie père. On ne per- met pas aux moines de se marier, tandis que cela est ordonné aux prêtres comme un prélimiiaire indispensable de leur ordination. Tous les ecclé- siastiques russes portent de longues barbes, et on les distingue des laïques, parce qu'ils laissent croître leurs cheveux très longs et les portent flottais sur les épaules; ils ont un bonnet carré et une bngue robe noire. l

La troisième classe est intermédiaire entrela no- blesse et les paysans; elle se compose d'honmes libres qui s'occupent des arts, des sciences, de la navigation , du commerce, ou exercent des nétiers. Les marchands sont subdivisés en plusieurs «lasses. Les bourgeois peuvent devenir marchand, s'ils peuvent avoir un capital au-dessus de 2, 500 Francs. Ils jouissent de plusieurs privilèges que n'mt pas les paysans; mais ils sont au-dessous desmanhancis pn ce qu'ils paient la capitation, et peuveit être

ï

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. lot

enrôlés pour Tarmée et pour la flotte. Viennent en- suite, après les bourgeois, les esclaves affranchiis^t les enfans de tous les sujets libres de l'empire.

La quatrième et dernière classe est celle des paysans ou serfs, qui peuvent se diviser en paysans (le la couronne et paysans appartenant k des parti- culiers. I^s premiers habitent dans les domaines de \(*. couronne, et ils forment environ la sixième partie des paysans russes, en y comprenant ceux d«s terres de 1 église, qui appartiennent aussi à la couronne. Ils relèvent immédiatement des officiers irq[)ériaux ou des baillis. Les paysans qui appar- tiement à des particuliers sont la propriété des pojsesseurs déterres, comme leur charrue et leurs troipeaux ; et la valeur d'une terre s'estime comme en Pologne, non par le nombre d'arpens, mais par cel|i des paysans qu'elle contient.

lie Pétersbourg Coxe se rendit en Suède par la Finànde, et arriva promptement à Stockholm, en tra^rsant la mer Baltique. Il fait de la capitale sué- dois une description intéressante, mais que nous «0 Reproduirons pas, puisque nous en avons déjà donié une dans le quarante-cinquième volume de note collection , en reproduisant le voyage de Ca- pellBrooke, qui est d'une date bien plus récente, ayait été effectué en 1820. Nous offrirons seule- meil, par forme de complément, les détails ci- aprè.

152 V0YAGE3 EN EUROPE.

Stockholm, cette capitale longue et de forme ir- régullèrei occupe deux presqu'îles, plusieurs lies, qui ne sont que des rochers épars dans le lac Mœiar, dans le courant par lequel ce lac se décharge , et dans une baie de la mer Baltique. On y découvre partout des points de vues variés et charmans, formés par une multitude de rochers de granit qui s'élèvent du sein de l'eau , les uns nus et escarpéf , les autres couverts de maisons , d'autres ornés ce forêts, {je port communique avec la mer Baltique ; l'eau en est claire comme du cristal, et si profonde que les plus gros vaisseaux peuvent aborder jvs- ques au quai , qui est spacieux et bordé de grances maisons et de vastes magasins. A l'extrémité iu port plusieurs rues s'élèvent l'une sur l'autre en amphithéâtre, et le sommet de la colline est ou- ronné par le Palais-Royal qui est un bâtinent magnifique. Du côté de la mer, à deux ou tois milles de la ville, le port se rétrécit, et n'est jlus qu'un détroit qui, se courbant entre des roclers, échappe à la vue, bornée au loin par des collnes et des forêts. La plus grande partie des maions sont de pierres ou de briques. Le palais , qui es au centre de la ville et dans le lieu le plus élevé, est d'une architecture tout à la fois élégarte et m^ni- Hque.

Coxe ne fit pas un long séjour à Stockholn : il visita Upsal, ville célèbre par son université elpav

i.

DIX-HUITIÈMK SIÈCLE. 153

son jardin botanique, professa Linné ou Linnœus, le 24 mai 1707 à Rœshult, dans la province sué- doise de Smolande.

D^Upsal notre voyageur alla visiter quelques autres villes de la Suède, et s'embarqua à Helsing- bourg afin de passer en Danemark, en traversant le détroit du Sund qui sépare la Suède de ce royaume. Il débarqua à Elseneur, ville sur la côte danoise, et se porta directement vers Copenhague, capitale du Danempirk.

Copenhague est située sur un petit promontoire de la côte orientale de Tile de Sélande. Le sol en est tout uni , bas et un peu marécageux. Cette capi- tale est la ville la mieux bâtie de tout le nord de r£urope. Elle est environnée du côté de terre de fortifications régulières, et elle a quatre à cinq milles de tour. Les rues sont bien pavées, avec un trottoir de chaque côté. La plupart des maisons sont bâties en briques et en pierre de taille qu'on apporte d'Allemagne. Le palais est un grand et vaste bâtiment d'une architecture élégante. Le mouvement qu'on observe à Copenhague annonce une ville commerçante; le port est toujours rempli de vaisseaux marchands. Les rues sont coupées par plusieurs larges canaux, au moyen desquels on peut décharger les marcliandises devant les maga- sins qui bordent les quais. Une partie de Copen- liajjue se trouve dans l'île d'Aniac, séparée de celle

t-

154 VOYAGES EN EUROPE.

(le Sélande par un très petit bras de mer qu'on

passe sur deux ponts. •' " ' " ' * '

En quittant Copenhague, notre voyageur passa le (]frand Belt , puis le petit Belt , et se rendit à Kiel, d'où il retourna en Angleterre, ''

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V.

(1708-1773.)

Le voyage dePalinsdans les diffc'Tcntes provinces de l'empire de Russie a une réputation justement acquise. Pallas, à Berlin en 1741, s'était fixé à Leyde pour s'y livrer plus facilement à l'étude des sciences naturelles. Catherine II l'appela à Pélers- bourg, et l'adjoignit aux astronomes qui, avec Gmclin , devaient aller en Sibérie observer le pas- sage de Vénus sur le disque du soleil. Pallas dirigea lui-même les voyageurs; et après avoir parcouru les parties méridionales, la Sibérie et la Tauride, il revint à Pétersbourg en 1773, avec une santé déla- brée par les fatigues. 11 retourna dans la Tauride en 1795, et y passa encore quinze années qui furent employées à continuer ses grands ouvrages. Mais las enfin de voyager, et las surtout de la Russie, il re- vint dans sa ville natale, il termina ses jours en 1811. Nous nous bornons à citer son voyage sans en présenter l'analyse , [lar'cc qu'elle formerait double emploi avec d'autres voyages postérieurs ,

DIX-HLITIÈMIi Slf.CLK. 155

notamment avec celui de Lyall , qui fi{];upe dans le XLIV* volume de notre Collection.

Par la même raison, nous nommerons seulement, l'Anglais Swinton , qui de 1788 à 1791 parcourut pour ainsi dire les mêmes contrées que le voyageur Coxe; 2" miss Wolstonecraft, qui visita, vers le même temps, le Danemark, laNorwége et la Suède; John Carr, dont le voyage, au commencement du xix" siècle, eut les mêmes contrées pour objet; 4" Erasme Nyrup, qui, à la fin du xvill" siècle rt au commencement du Xix", explora le Danemark, et en décrivit particulièrement la capitale; 5" l'Alle- mand Kùttner, qui vit de 1797 à 1799 le Danemark, la Suède et la Norwége; 6" l'Allemand Storch, qui h la fin du XVlll" siècle rctraçale tableau de la Russie européenne, ouvrage qui pourrait servir de mo- dèle aux travaux du môme genre sur d'autres pays. Nous offrirons seulement sur la Crimée quelques traits propres à compléter ce que nous avons rap- porté dans les voyages plus récens de l-.yall , Kla- proth et Gamba.

La Crimée ou Tauride, ancienne Chersonèse tau- rique, presqu'île de la Russie d'Europe, dau-; le midi du gouvernement de la Tauride, sur la mer Noire, a un climat sujet à beaucoup de variations. Quelquefois le printemps s'y annonce dans les pre- miers jours de février; quelquefois aussi les ri- i;ueurs de l'biver, qui a commencé vers la Ru

156 VOYAGES EN EUROPR.

d'octobre, s'y prolongent jusqu'au commencement d'avril : communément c'est au mois de février que le froid se fait sentir. Suivant Pallas, il est possible que la dévastation des forêts ait contribué à rendre le climat plus froid. Les étés sont aussi variables que les hivers. La température diffère qjelquefois dans le même jour de 10 à 12 degrés. Ils sont souvent très secs pendant plusieurs années consécutives, au point qu'on voit les sources tarir et les ruisseaux se dessécher dans plusieurs parties de la péninsule. On a remédié à cet inconvénient par une distribution de l'eau des rivières dans des canaux pratiqués avec beaucoup d'intelligence.

La saison la plus agréable et la plus salutaire est le printemps, qui règne d'ordinaire depuis le com- mencement de mars jusqu'à la fin de mai. Alors la campagne, entrecoupée de jardins, offre un coup d'œil enchanteur par le contraste d'une verdure naissante avec les nombreuses touffes de roses rouges et blanches et la couleur éclatante des fruits de toute espèce. Â ces beautés de la nature, se joint le spectacle animé de nombreux troupeaux qui descendent des montagnes ou paissent dans les plaines. Le ciel est constamment serein, et la beauté des nuits égale celle des jours.

L'automne, les fruits tombent en abondance, est la saison la plus nuisible à la santé. Les fièvres intermittentes y dégénèrent souvei|t en maladies

maïs ,

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DIX-HlilTIÊME SIÈCLE. 157

chroniques et mortelles. On y éprouve aussi, dès le mois de septembre, des froids, des gelées asseK fréquentes dans les nuits; mais ces accidens ne nui- sent point à la vigne, car le beau temps succède bientôt au froid, et dure quelquefois jusqu'en décembre et même jusqu'au commencement de janvier.

Le sol de la Grimée, généralement marneux, présente dans les plaines tantôt un fond d'argile sablonneux, tantôt des terres légères et desséchées: celles-ci ne se trouvent communément que dans le voisinage des montagnes ; la fertilité des autres est remarquable partout il y a assez de so'urces et de ruisseaux pour les arroser. La vigne et le fro- ment réussissent même parfaitement avec ce se- cours, dans les terrains pierreux. Chose singulière! la quantité prodigieuse de limaçons dont les terres sont parsemées , et qui est si funeste dans certains pays, procure à ces terres une sorte d'engrais mar- neux et en augmente la fertilité.

Dans les temps anciens, on exportait de la pé- ninsule une immense quantité de grains; sous la domination ottomane, elle était réputée le grenier de Gonstantinople. Les Tartares , avant la conquête , avaient enfoui des provisions de blé pour plusieurs années. Toutes les espèces de grains réussissent dans la Crimée, froment, seigle, orge, avoine, maïs, millet et pois.

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168 VOYAGES EN EUROPE.

Le lin et le tabac y prospèrent : la plupart des légumes de l'Europe y réussissent, quelques-uns seulement y dégénèrent. Les arbres fruitiers à pépin donnent de très bons fruits dans les vergers; ceux des arbres à noyaux sont médiocres : l'olivier et le figuier participent à cette médiocrité , parce que la plupart sont sauvages. Les mûriers de toute espèce s'élèvent avec succès dans toute la Cri- mée; le noyer y acquiert une grosseur prodi- gieuse. ,„ ,;... , .-. - .,..: ^ i .,, :... . ,„,

De toutes les productions de cette péninsule, la vigne est la production sur laquelle Pallasa donné plus de développemens. Après avoir observé qu'elle croît en abondance et presque sauvage dans la partie montueuse; que les Grecs sont les premiers qui en ont introduit la culture dans la Crimée, elle a été perfectionnée par les Génois dans la partie qu'ils en ont long-temps occupée. Il décrit avec beaucoup de détails cette culture, dont les procédés varient suivant la nature du sol et l'expo- sition. Il donne ensuite une longue nomenclature de (outes les espèces de vignes cultivées. Il termine cet article par l'énumératlon des obstacles qui s'opposent à une plus grande prospérité de la cul- ture de la vigne dans la Crimée : ces obstacles sont la cherté des ouvriers, résultante du petit nombre d'habitans; l'Ignorance et la négligence des Tar- tares , cultivateurs de la vigne ; la rigueur des sal-

dix-huitième; siècle. 1&9

sons, mais plus que tout cela, les variations de la température; les attaques d'une petite chenille in- connue ailleurs, et qui ronge le germe du raisin au printemps; enfin l'irruption que, depuis quel- ques années, font dans les vignobles des saute- relles à ailes rouges, d'une petite espèce connue en Espagne sous le nom de grillons d'Italie.

Les animaux domestiques de la Crimée sont les bœufs, les moutons à grosse queue, peu multipliés dans les parties montueuses, mais fort nombreux dans les plaines; les chèvres, répandues au con- traire en grand nombre sur les montagnes; les chameaux, dont l'espèce se propage très rapide- ment lorsque les hivers sont doux , et quelques buffles. Dans la Grimée on remarque une race de grands chiens lévriers, la plupart à oreilles et à queue pendantes , très recherchée pour la chasse du lièvre : beaucoup de riches Tartares en entre- tiennent de nombreuses meutes.

Leshabitans de la Crimée, dont le nombre s'éle- vait autrefois à plus d'un demi-million , se trouvent réduits, d'après un dénombrement récent, mais qui n'est peut-être pas encore bien exact, à cent cinquante mille individus des deux sexes de tout âge. Ces habitans, tous Tartares , se divisent en trois classes.

l^ première est celle des ISogais, auxquels il faut ajouter les Tartares du Kouban. Les uns et les

m VOYAGES EN EUllOPE.

autres habitent aujourd'hui leurs propres Villages , ils se sont fixés et fort enrichis par ragriculturc et l'éducation des bestiaux. Les traits de leur visage et la conformation de leur tète prouvent qu'ils des- cendent immédiatement des Tartares-Mongols.

La seconde cl is<ie est composée de Tartares qui habitent les pY^i^ne ou steppes de la Grimée, jus- qu'à la partie septentrionale des montagnes. Moins mélangés que les premiers , ils ont conservé beau- coup de ressemblance avec les Mongols. Quant a ceux qui se rapprochent des montagnes, et dont le sang paraît s'être mêlé davantage avec celui des Turcs, ils ne ressemblent que très imparfaitement aux Mongols. Comme les premiers, ils s'occupent de& bestiaux, ils labourent la terre, mais ils ne se livrent pas à la culture des jardins.

Pallas range dans la troisième classe les Tartares qui habitent les vallons méridionaux des mon- tagnes : cette race, très mélangée, lui a paru pro- venir de divers restes de peuplades repoussées de la Crimée à l'époque des conquêtes des armées mongoles. Cette classe a un caractère de physio- tiomie particulier, la barbe plus forte et les cheveux plus clairs que les autres Tartares, qui ne les re- gardent pas comme de vrais descendans de leur souche, et leur donnent le nom méprisable de tat, c'est-à-dire renégdt. Cette rade ^ qui habite des val- lor.s délicieux, véritable Eden de la Crimée, pro-

duit d'h tateurs par le < nombrei paître.

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DIX-rUlTlEME SIÈCLE. 161

duit d*habiles jardiniers. Ce sont de grands dévas- tateurs des forêts dans les pays de montagnes, tant par le dégât qu'ils font eux-mêmes, que par les nombreux troupeaux de chèvres qu'ils y font paître.

La physionomie des vrais Tartares tient beau- coup de celle des Turcs et des Européens. On voit parmi eux des hommes robustes et bien propor- t'onnés, d'une taille svelte; très peu tendent à prendre de l'embonpoint. La plupart des enfans et des jeunes gens ont des traits agréables et déli- cats. Peut-être cet agrément, joint à la vie séden- taire des femmes qui les tient éloignées des hommes, donne-t-il lieu à ce vice réprouvé par la nature, si connu chez les Persans et les Turcs. Les femmes tartares, quoique la plupart d'une taille peu avan- tageuse, ns manquent pas néanmoins d'agrémens.

Transportons-nous par la pensée dans une autre pa^^'S de l'Europe, et faisons connaître d'autres voyages dans leur ordre chronologique : parlons de ceux qui ont été effectués dans la péninsule ibérique, en commençant par l'Anglais Swinburne.

SWINBURNE.

(1775-1776.)

Swinburne ayant épousé une femme qui parta- geait son goût pour les antiquités et pour les beaux- XLVI. 11

162 VOVAilES EN ErîlOPE.

arts f se mit à voyager avec elle, et employa plusieurs années à visiter les lieux les plus remar- quables de la France, de l'Espagne, de Tltalie et de TÂllemague. Plus tard, ayant marié sa fil! «\ i\ alh s'établir aux Antilies dans l'île de la Trinité, ^W/ il mourut en Î803. Nous ne donnernns ici oue h substance de son voyage en Espagne?, traduit par M. de Laborde. ; i •: . i > . v

Ce voyage de Swinburne en Espagne contient des notions étendues sur la Catalogne et le royaume de Grenade. Les remarques du voyagei.r engénérc sont ium judicieusj's que fines. La pureté dt l'air que l'on respire à Barcelone, une température telle qu'on y îf'fenge dfîs petits pois toute l'antiée, excepté dans Je temps de la canicule, la situation de cette ville qui lui procure de toutes parts tes points de vue les plus pittoresques, en rendent le séjour très agréable. Du côté du nord les terres, en s avançant sur la mer, forment une superbe baie. La vue s'étend, du côté de l'est, sur la Méditerranée. Les environs sont couverts de feuillage, de maisons de campagne et de jardins, qui présentent la plus riche culture.

La forme de Barcelone est presque circulaire. Les murs de l'ancienne ville romaine sont encore visibles en plusieurs endroits. La mer s'est beau- coup retirée du port. Le môle de ce port, bâti en pierres de taille, est aussi commode qu'il est solide.

DlX-HUITlÈMli: SIÈCLE. 163

Au-dessous sont de vastes magasins et un large quai qui s'étend depuis les portes de la ville jus- qu'au fanal. Cts belles constructions sont dues au dernier capitaine général de la Catalogne, qui, suns ajouter de grands frais aux dépenses ordi- I t''res de la ville, et par les seules ressources de son génie et d'une économie bien entendue, a sin- gulièrement embelli Barcelone, par l'alignement d^s nouvelles rues, le nettoyage des anciennes, et la construction de plusieurs édifices utiles. En même temps qu'il l'embellissait par l'encourage- ment qu'il donnait à ses manufactures et à son commerce, il bâtit sur la langue de terre qui s'a- vance dans la mer et forme le port, une ville nou- velle qu'on appelle Barcelone, où, du temps de Swinburne, on comptait déjà deux mille maisons. Dans la belle saison, le rempart forme une très agréable promenade : il en est une autre les dames se montrent pompeusement dans de bril- lantes voitures.

Les principaux édifices sont : la cathédrale, d'une architecture gothique de la plus grande légèreté ; la Bourse, édifice, au contraire, fort lourd, et le palais du capitaine général, qui n'a rien de recom- mandable qu'une superbe salle de bal. La salle de la comédie est fort belle et bien éclairée.

Une police sévère, et la vigilance des alguazils qui, bien difféi'ens ici de ce qu'ils sont ailleurs,

104 VOYAGES EN EUROPE,

sont des gens de confiance, de probité et d'un cou- rage reconnu, suppléent, pour les habitans de Bar- celone, aux secours qu'ils pourraient tirer d'armes défensives contre les attaques des brigands, si ces armes n'étaient pas prohibées. Celte prohibition s'étendait même aux couteaux : il n'y a pas bien long-temps, dit Swinburne, qu'on n'osait en porter sur soi d'aucune espèce. Dans chaque cabaret, il y en avait un attaché à une chaîne pour l'utilité commune. Quoiqu'on se soit un peu relâché de ces mesures sévères, on peut se promènera toute heure de la nuit dans la ville, sans avoir le moindre ris- que à courir, pourvu que l'on soit muni d'une lu- mière afin de n'être pas exposé à être arrêté par les patrouilles.

Les loyers sont fort chers à Barcelone ; la viande y est sans saveur, le poisson mollasse, insipide, mais les légumes excellens. On porte communé- ment à cent cinquante mille âmes la population de cette ville, sans y comprendre même les dix mille habitans de Barcelonette.

Les antiquités romaines de Barcelone sont re- marquables, mais assez peu prisées dans une ville entièrement adonnée au commerce. Swinburne v vit avec douleur un sarcophage ?:ervant d'abreu- voir. Il n'est aucun pays, e.vcepté peut -être l'Italie, qui possède autant de monumens an- ciens que l'Espagne. Dans chaque province l'on

l'épugni dans lei^ avec uni de cheA plupart

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165

DIX-HUITIÈME SIÈCLE, trouve des restes de ponts, d aqueducs, de tem- ples, de théâtres, de cirques, d'amphithéâtres et d autres édifices publics, mais plus dégradés par les outrages des habitnns que par l'injure du temps.

Avant de quitter Barcelone, Swinburne fait quel- ques observations sur le caractère des Catalans , leur agriculture et leur commerce. I^ nature du pays, qui presque dans to iie son étendue est mon- tueux, lui paraît avoir une grande influence sur le caractère physique et moral des habitans. Avec une peau brune, des traits prononcés, une taille moyenne et rarement difforme, ils sont robustes, actifs, industrieux. La perle de leurs immunités, la honteuse prohibition du port d'armes, les taxes énormes auxquelles ils avaient été condamnés, rien de tout cela, dit Swinburne, n'avait pu abattre leur esprit d'indépendance et de liberté, qui se manifeste aujourd'hui avec tant d'énergie. .-!; (it>

Quoique les Catalans soient robustes et infati- gables, ils se soumettent difficilement à la sévé- rité de la discipline militaire, à moins qu'ils ne soient placés dans leurs propres régimes nationaux; mais ils sont excellens dans la cavalerie légère. Us répugnent à la seule pensée d'être domestiques dans leur propre pays, et préfèrent le parcourir avec une balle de mercerie sur les épaules. Loin de chez eux ils deviennent de bons serviteurs : la plupart des grandes maisons de Madrid ont des

1«« VOYAGES EN EUROPE.

Catalans à la tête de leurs affaires, comme aussi la plupart des muletiers et des conducteurs de ca- lèches en Espagne sont des Catalans, tous probes, exacts et tempérans.

Le peuple de la Catalogne est moins superstitieux que dans les autres parties de l'Espagne, et il est aussi industrieux qu'infatigable. Les principaux objets d'exportation dans cette province consistent en vins, eaux-de-vie, sel et huile. On tire beau- coup de grains de la Sicile, parce que la Catalogne ne récolte pas assez de blé pour nourrir ses habi- tans plus de cinq mois. ÏJk Catalogne fabrique beau- coup de drap et d'étoffes de laine ou de toiles peintes. ■''■»''» "■' •• ' ^' -w.'i.fîov; r.^i-y <

Swinburne décrit la province de Grenade, en commençant par faire un rapprochement de l'an- cien royaume de ce nom et de sa capitale, avec ce qu'ils sont dans leur état actuel. Voici un aperçu de ce qu'il en dit.

Avant la conquête de Grenade par les Arabes, l'agriculture dans ce royaume était parvenue au plus haut point de perfection. Les nombreuses ruines qui 3ont éparses sur les montagnes attestent que ces parties froides et aujourd'hui stériles, qui occupent les deux tiers de la province, étaient anciennement couvertes de plantations d'arbres fruitiers, de moissons abondantes et de belles forêts. I^ plaine, plantée en mûriers, donnait une grando

DIX-HUITIÈME SIÈCLR 167

abondance de soie. Les mines de cl'^> montagnes étaient ouvertes, et l'on en tirait beaucoup d'or et dargent. Jamais peuple policé n'entendit mieux que les Maures la méthode des irrigations pour fertiliser les campagnes.

Dans la ville de Grenade il n'y avait pas une maison qui n'eût sa conduite d'eau, et toutes les rues étaient arrosées par des fontaines.

La population répondait à la richesse du pays. Chaque Maure avait une portion de terre qui lui était assignée et qui lui suffisait pour son habita- tion, sa subsistance, son entretien, et pour la nour- riture même de son cheval, car chaque homme était obligé d'en avoir un. Plus d'une fois les rois de Grenade ont fait passer en revue jusqu'à deux cent mille hommes, et la soûle ville de Grenade, peuplée aujourd'hui de quatre-vingt mille àmeâ , pouvait mettre sur pied trente mille fantassins et dix mille cavaliers. On recueillait une quantité pro- digieuse de fruits. Les fêtes, les danses, les chants annonçaient de toutes parts la prospérité des ha- bitans; l'éiéganre et la richesse dans la parure des femmes ajoutaient à leurs charmes naturels.

Quant à la magnificence des édifices, on peut en juger par les restes de l'ancien palais des rois de Grenade, XAlhambra, mot arabe qui signifie mai.fo/t rouge, dénomination qui lui avait été donnée à cause de la couleur des matériaux. Cet édifice, sur

Km VOYAGES KN RUROPH.

les ruines duquel Charles^Quint en Ht élever un autre, est situé sur une haute montagne qui do- mine Grenade; et il forme par son étendue une véritable ville. C'est un assemblage immense de colonhcs, d arcades, de galeries, de voûtes la plu- part de marbre ou de stuc, chargé d'orncmens de la plus grande délicatesse. Les plus belles mo- saïques, de riches dorures, des peintures qui ont conservé toute leur fraîcheur, décorent une mul- titude de salles destinées à divers usages. Une pro- fusion d'eau distribuée avec la plus grande intelli- gence, des plantations d'orangers, des groupes de fleurs, des points de vue ménagés avec art, achè- vent de faire de ce palais un séjour enchanteur: c'est à peu près tout ce qui reste à Grenade de son ancienne magnificence. » / ,^;'>ii «rii f ■?! ■( ^o- Quelque dégradation qu'ait éprouvée cette grande ville, la pureté de l'air, la douceur de la tempéra- ture, l'abondance de l'eau qui dans plusieurs mai- sons passe par de petits canaux jusque dans les chambres à coucher, rendent le séjour de Grenade extrêmement agréable. Ses environs sont rafraî- chis par une infinité de petits ruisseaux, et sont parfumés par les délicieuses odeurs que ses vents frais y apportent de tous les jardins distribués sur la pente des montagnes voisines. Des promenades formées sur les bords pittoresques du Xenil ajoutent leurs frais ombrages aux charmes naturels du pays.

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Les femmes ont la carnation plus belle, la peau plus fine, les joues colorées par une teinte plus brillante qu*en aucun endroit de TEspap^ne, et leur manière de s'babillcr concourt encore à les rendre infiniment piquantes. . ,, .,.'■'

De Grenade Swinburne dirigea sa route ven Antequcrro, assez grande ville, située dans une plaine très fertile, cl il arriva, par un pays entière- ment dépouillé de bois, h Malagn, dont le séjour, à cause de sa situation au pied de montagnes nues et raboteuses, devient presque insupportable par Tex- cessive chaleur qu'on y éprouve. La rade et le port de cette ville sont assez sûrs, et la cathédrale est un édifice imposant. Le vin ambré de Malaga est re- nommé dans toute TEurope.

A Swinburne succède un autre voyageur dans les mêmes contrées et dans plusieurs autres pro- vinces de l'Espagne, telles que Murcie, la Nouvelle- Castille et les Asturies : c'est le voyageur Peyron.

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(1780.)

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Le voyage de Peyron annonce un observateur judicieux et éclairé; nous n'offrirons qu'un rapide aperçu de ce qu'il dit de Carthagène dans la pro- vince de Murcie, et de Cuença dans la Nouvelle- Castille. ' ' ' ^ '^^

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170 VOYAGES EN EUROPE.

La province est située Garthagène est la plus petite des provinces espagnoles; elle jj-'ournit une quantité considérable d'oranges, de citrons, de cédrats, de figues et d'autres fruits à toute la Cas- tille, à l'Angleterre et à la France. On y fait égale- ment beaucoup de soie. Les montagnes y sont cou- vertes d'arbustes, de plantes odoriférantes , de bons pâturages et d'une espèce de petits joncs qui ser- vent à fabriquer des ouvrages utiles. La capitale, qui porte le nom de la province, est située dans une plaine aussi étendue en longueur que la pro- vince même , sur une lieue et demie de largeur seu- lement. La Segura, qui baigne im des côtés de la ville, a un beau pont et de superbes quais. La ca- thédrale a une façade riche d'ornemens et une tour très élevée. 'M:; t.; 'sr 'rlyr^: ;-: --li-ui'sii. '/■•■

Garthagène fut pour les Romains ce que le Pérou et le Mexique furent pour les Espagnols. Dans les environs il existe encore des mines d'ar- gent et de piomb très abondantes. La campagne de Garthagène se nommait autrefois Campo Sparterîo, à cause de ce jonc fin et creux appelé par les [an ciens spartum, qui y croît en abondance, et dont on IVisait des cordes et des câbles, des nasses et des vêtemens pour les pauvres. Dans les guerres des Goths, Garthagène fut entièrement détruite. La nouvelle ville est défendue par une montagne: le port est si profond quo les navires arrivent jus-

î

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 171

qu'aux quais. Ce lieu est abrité par des coteaux contre les orages, et l'on ne connaît point de port quilui soit comparable pourla régularité et lasûreté: c'est ce qui faisait dire à André Doria, fameux doge de Gênes, qu'il ne connaissait dans le monde que trois ports qui fussent sûrs. Juin, Juillet et Garthagène. ^'arsenal de cette ville est immense : un vaisseau de ligne est facilement équipé et armé dans trois jours. Au gré du constructeur, la mer vient remplir les superbes bassins qui servent de chantiers, et le vaisseau une fois construit va de hii-méme s0 rendre dans la Méditerranée. Chaque navire â dans l'arsenal son magasin particulier. Une source d'eau vive que la nature a ménagée sur le bord de la mer permet aux vaisseaux de faire aignade.

La ville de Cuença est la troisième en imp6r^ tance dans la Nouvelle -Castille, qui compren<i Madrid et Tolède. Sa cathédrale a une forme go- thique imposante. Cuença est le chef-lieu d'une province et compte neuf mille habitans. Elle fait un commerce de laine considérable. La campagne est très favorable aux abeilles, qui donnent un mîel excellent. ' ' * ■= " '

Ni Peyron ni Swinburne n'ont décrit la Galice, les Asturies et la Navarre : ce soin était réservé ru voyageur Bourgoing, qui a vu aussi d'autres pro- vinces. ' .V .

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172

VOYAGES EN EUROPE.

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BOURGOING.

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(1788.)

. Après avoir franchi la Bidassoa, rivière qui sé- pare la France de l'Espagne , notre voyageur entre dans la Biscaye. La partie de cette province es- pagnole qui touche immédiatement aux Pyrénées semble être une prolongation de ces montagnes. Pendant les trente lieues que l'on parcourt depuis la Bidassoa jusqu'à Vlttoria, qui est la limite de la province, on aperçoit à chaque instant un village ou un hameau. Bilbao, capitale de la Biscaye, peu- plée d'environ quinze mille âmes, entretient un commerce considérable en laines. "; >• m

De Vittoria l'auteur s'avance dans la Vieille-Cas- tille, pays nu et aride, dont la principale ville est 3urgos, ville industrieuse, peuplée d'environ dix mille âmes, et offrant une cathédrale qui passe pour un chef-d'œuvre d'élégance gothique. Les environs de Burgos, embellis par des avenues et des promenades, sont fertilisés par le cours de l'Alarçon , rivière qui arrose de vastes prairies. La Vieille-Castille compte aussi parmi ses villes celle de Ségovie, qui offre une belle cathédrale et un château appelé l'Âlcazary qui fut jadis habité par des rois Goths. Celle ville offre encore un aqueduc, ouvrage des Romains, qui réunit deux collines sé- parées par une profonde vallée.

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 173

En s'avançant de la Vieillo-Castillc vers la pro- vince de Léon, le voyageur rencontre les villes de Medina-Rio-Seio et de Medina-del-Campo. La pre- mière, jadis célèbre par ses fabriques, est réduite , d'une populatiofi de trente mille âmes, à celle de quatorze cents feux; l'autre, jadis la résidence de plusieurs monarques, le lliéâtre d'un grand com- merce, et alors peuplée de cinquante à soixante mille âmes, ne contient à présent que raille feux. Ainsi, dit Bourgoing, ce que le ravage des siècles accumulés et des guerres a opéré sur les villes de Persépolis, de Palmyre et de quelques autres villes célèbres, deux siècles d'incurie et de mauvaise ad- ministration l'ont amené pour les deux villes de Médina, et tant d'autres cités de l'Espagne. On peut en dire autant de Léon , capitale de la province de ce nom, qui n'a guère que deux à trois mille âmes, mais dont les environs sont embellis par de belles plantations.

La ville de Salamanque, qu' n'occupe que le se- cond rang dans la province de Léon, est bien sli périeure à sa capitale : elle doit cette supériorité à la réputation de son ancienne université, et beau- coup plus encore aux quatre grands collèges qu'elle renferme, sur sept r^ui portent ce nom en Es- pagne. Une foule d'édilices de toutes les époques et de tous les styles l'ont fait surnommer par les Espagnols lapetîteRome. Elle a sur leTormès un pont

174 VOYAGES EN EUROPE,

de vingt-sept arches, dont une moitié est de cons- truction romaineet l'autre du temps de Philippe IV.

L'Aragon, qui confine à la Vieille -Castille, et qui est une province en général œontueuse et aride ou mal cultivée, a pour capitale Saffagosse, laquelle n a conservé de son ancienne magnificence que ses deux vastes cathédrales. L'Ëbre la partage en deux parties réunies par un pont superbe , dont une des arches a cent quatre-vingts pieds d'ouverture. Son université est la troisième de l'Espagne pour le nombre de ses étudians. La population de Sara- gosse dépasse quarante mille âmes.

JNous avons eu déjà occasion de citer Cuença, ville de la Nouvelle-Castille, et de dire que Madrid et Tolède sont les deux autres principales villes de cette province. M. Bourgoing fournit sur ces deux villes quelques détails qui trouvent ici leur place.

Tolède, autrefois la capitale du royaume de Cas- tille, n'est aujourd'hui que la seconde ville de la Nouvelle-Castille. Ses rues désertes, étroites et tor- tueuses, l'absence presque absolue de l'aisance et de l'industi'ie, ne répondent guère à son ancienne splendeur. La cathédrale de Tolède, édifiée sur les ruines d'une mosquée, est l'un des monumens sa- crés les plus précieux qu'il y ait eus en Europe. L'Al- cazar, palais résidait les rois maures, et qu'avait encore embelli Charles-Quint, est aussi un bel édi- fice. Cette ville renterme quinze mille habitans. et

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DIX-HUITIÈMË SIÈCLE 1T5

se trouve sur un monticule près de la rive gauche

du Tage. ... »

Après avoir passé le Mançanarez, on urrive par une belle route plantée d'arbres à Madrid, la capi- tale de toute l'Espagne, sur la rive gauche du Man- çanarez, au milieu d'une plaine sablonneuse et stérile, entourée de montagnes et presque au centre du royaume. Elle n'était autrefois qu'un bourg ap- partenant aux archevêques de Tolède. Elle a de beaux édifices et de nombreuses églises. Le Prado est une des plus belles promenades de l'Europe. Parmi les quarante-deux places de Madrid, on cite la Plaza-Major, la Plaza-del-Sol. Le nouveau palais du roi est une maj];nifique résidence. Madrid compte environ de . ». cent mille habilans.

Trois résidences royales existent dans ses envi- rons, savoir: l'Fscurial, Saint-Udefonse et Aran- juez.

L'Escurial est situé sur le versant méridional de !a chaîne escarpée et aride des monts Guadarraraa. La masse du bâtiment est imposante sans avoir rien de magnifique, excepté le beau portail de l'occident, (jui ne s'ouvre pour les rois d'Espagne et le:^ princes de leur maison que dans dei.x occasions solennelles : ia première fois, lorsque après leur naissance ils sont portés à l'Escurial, et la seconde lorsqu'on va y déposer leurs cendres. On admire à l'Escurial le magnifique monastère que fit construire Philippe U,

170 VOYAGES EN EUROPE.

après avoir gagné la bataille de Saint - Quentin

en 1557.

Saint-Udefonse est situé beaucoup plus loin sur le versant septentrional du Guadarrama; c'est la plus somptueuse maison de plaisance des rois d'Espagne; elle est environnée de montagnes d'où descendent de nombreux ruisseaux limpides qui répandent partout la fraîcheur et la vie. Cette ab< n- dance des eaux et la situation pittoresque de Saint- Udefonse en rendent le séjour délicieux en été.

Aranjuez est situé sur le Tage, près de l'embou- chure deXarama, dans une charmante vallée^ les plaines arides de la Castille ont disparu, l'on ne marche plus qu'à l'ombre de grands arbres, au bruit de cascades, au murmure des ruisseaux : îa végétation la plus brillante annonce le voisinage du fleuve qui vivitit et féconde ces lieux. Charles-Quint fit bâtir Aranjuez, moins pour une habitation royale que pour une jolie maison de plaisance.

De Madrid , notre voyageur se dirige vers la pro- vince de Valence , en trar-e.rsant une chaîne de mon- tagnes. La ville de Valonce, grande et belle, est située sur le Guadalaviar, au milieu d'une cam- pagne î?ussi 'délicieuse que fertile. C'est aujourd'hui une des ville<< les plus industrieuses de l'Espagne; elle possède un grand nombre d'établissemens pu- blics, et son université est très fréquentée. Elle compte environ soixante mille âmes. Elle a dans

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 177

son voisinage la ville de Murviedro, bâtie prè» de la mer, sur les ruines de Tancienne Sagonte, dé- truite par les Romains après la plus vigoureuse ré- sistance. Quelques inscriptions puniques et quelques statues mutilées sont les seuls vestiges que Ton retrouve de la domination carthaginoise dans cette partie de l'Espagne. Celle des Romains s'annonce par quelques restes d'antiquités, sur l'emplacement de la nouvelle Sagonte.

Notre voyageur visita aussi Alicante, la ville la plus commerçante de l'Espagne après Cadix et Bar- celonne, et dont le territoire produit, outre ses vins renommés, des eaux-de-vie, des amandes, de lanis, du safran, de la sparterie, du sel, et une grande quantité de l'espèce de soude appelée baritla.

En quittant Valence pour revenir à Madrid, notre voyageur traversa la pro^ * -ce de la Manche, qui renl-erme de très vastes plaines , Cervantes a placé la scène des exploits et des amours de Don Qui- chotte. Après avoir franchi la chaîne de la Sierra- Morena, M. Bourgoing entra dans l'Andalousie, la plus grande province de l'Espagne, la plus riche en {ijrains, en mines, en bestiaux, et qui produit une race d'excellens chevaux. Il visita d'abord Cordoue, ville ancienne et célèbre, qri vit naître Sénèque et Lucain, et qui, pendant plusieurs siècles, fut la ré- sidence des rois maures. De Cordoue il passa à Sé-

XLVI. 12

178 VOYAGES EN EUROPE,

ville, grande cité assise aux bords du Guadalquivir, au milieu d'une campagne superbe. Séville est une des plus anciennes villes de TEurope; on aperçoit encore dans ses environs les ruines d'italica, anti- que cité romaine, patrie de Silius Italicus. La cathé- drale de Séville est remarquable par sa |][rande étendue, par son orgue, et surtout par le fameuse Giralda, qui est la tour la plus élevée de toute la péninsule. Séville compte environ quatre-vingt-dix mille âmes.

De <îtte ville, notre voyageur fit une excursion à Cadix, l'ancienne Gadcs des Phéniciens. Elle est bâtie au milieu de la mer sur une batte de sable, à l'extrémité d'une péninsule de l'île de Léon, dont l'isthme étroit, long et demi-circulaire, forme sa rade immense. Belle dans son ensemble, cette ville ne présente guère que deux ou trois bâtimens re- marquables. La nature et l'art ont fait de Cadix une des plus fortes villes de l'Europe; elle est le pre- mier établissement de la marine militaire de l'Es- pagne, et elle est peuplée d'environ cinquante mille habitans.

De Cadix, le voyageur Bourgoing retourna, comme nous l'avons dit, dans la métropole de l'Es- pagne, d'où il repassa en France. Un autre voya- geur, l'Allemand Fischer, a donné une suite à la relation de M. Bourgoing.

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DIX HUITIÈME SIÈCLE. 17i)

FISCHER.

(1797-1798.)

Ce voyageur n'a eu pour objet, en visitant l'Es- pagne, que de recueillir quelques détails oubliés par les précédens explorateurs. 11 a jeté dans son récit un grand nombre de particularités intéressantes et neuves sur It; clinnat, la population, les établisse- mens publics, la littérature et les arts; on y trouve aussi des observations sur les mœurs et usages des Espagnols, et en particulier sur la Biscaye, petit pays en quelque sorte républicain, et qui voudrait toujours se régir par lui-même. Voici quelques traits relatifs aux Espagnols en général.

La malpropreté de l'Espagnol tient au défaut de linge. Le pays, à la vérité, fournit du linge t^rossier, mais il est très cher. Le beau linge l'est à propor- tion, et se compte parmi les articles de grand luxe. De cette pénurie plus ou moins grande de linge, suivant la différence des localités, il résuUe que la classe commune du peuple ne change de linge que tous les mois. De les maladies cutanées, et la mul- tiplication excessive de la vermine : elle est telle que, dans les villages, les petites villes et les quar- tiers des grandes villes habités par les gens les moins nisés, les hommes mariés ou les voisins sont dans l'usage de s'er' débarrasser mutuellement en public.

180 VOYAGES EN EUROPE.

Quand ce service se rend réciproque naent entre Icn gens mariés, c'est une preuve de sûre intimité. Au surplus , il y a dans les grandes villes des pe,v sonnes qui se chargent spécialement de cette besogne, et qui en font met!'". Elles vont régulièrement dans les maisons pour rendre ce service à leurs prati- ques; et elles en reçoivent d'autres dans leurs ch mières construites de nattes, dans les places, de\ i: les maisons, etc. Le climat, l'usage des réseaux et l'abondance des cheveux concourent à multiplier une génération d'insectes qui ne respectent pas les plus belles têtes. Cette malpropreté s'amalgame avec le luxe et le faste. On trouve souvent ces in- sectes dans les palais les plus magnifiques. Tandis qu'on en respecte l'extérieur, personne, jusqu'aux femmes ; ne se fait scrupule d'en salir le vestibule et l'esealittr de la manière la plus choquante. A ce genre de malpropreté, il faut ajouter celui qui résulte du défaut de lieux d'aisances.

A l'appui de ce que Fischer dit de l'ignorance to- tale des arts mécaniques, de l'industrie domestique et de l'économie publique, il observe que, même dans les plus grandes villes l'on serait à portée d'avoir des ouvrier;? habiles, on cherche en vain dans beaucoup de maisons plusieurs meubles d'usage; et que dans les petites villes, les bourgs et les villages, on manque presque entièrement J'une Infinité d'ustensiles d'un usage commun dans

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DlX-HUlTlÈME SIÈCLE. INI

l<;s moindres endroits de rAlleiiiagne. Outre que les prix de ces objets sont trop hauts, les occasions de se les (irocurer sont très i-ares, à cause de réioignenient. '

De ces circonstances, il suit que les Espagnols (les classes communes du peuple, bornés dans leurs idées, restent indifférens sur toutes ces jouissances, et s'en tiennent au plus strict nécessaire. ^' in- tiil'terence s'étend aux ustensiles les plu? i ^

lie l'agriculture et de l'industrie. L'hal tout ce qui est ancien exclut toute cornbuiaison , toute idée d'amélioration. Ainsi la fabrication de certaines étot'fcs communes, la préparation de cer- tains alimens, la manière d'élever des abeilles, de planter des arbres, étalent pn^sque entièrement ignorées à l'époque du voyage de Fischer, et ne sont jjuère plus connues de nos jours.

Notre voyageur fait, du reste, l'éloge de l'hospi- talité espagnole; il a trouvé chez cette nation un sentiment naturel de justice, une très grande hon- nêteté, beaucoup de générosité; et quant à la gra- vité ou fierté castillane, il l'explique d'une manière avantageuse pour ce peuple, travaillé depuis quel- que temps par les dissensions intestines qui le font sortir de son caractère ordinaire. Fischer ajoute qu'on rencontre chez les Espagnols moins de cérémonies et plus de véritable politesse, moins de morgue et une plus grande égalité entre les di

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182 VOYAGES EN EUROPE,

verses conditions , moins d'orgueil chez les grands et plus de mépris pour les préjugés de la naissance, que chez les Allemands. 11 faut excepter peut-être le préjugç religieux, car les Espagnols sont intolérans et ne souffrent pas d'autre religion que celle du pape. '

Les Espagnols, en général, ont le teint livide et basané, mais ne sont point laids. Les femmes sont très sensibles, pour ne pas dire très passionnées; elles ont la taille svelte, la démarche majestueuse, la voix sonore, l'œil noir et brillant; la vivacité de leurs gestes et tout le jeu de leur figure annoncent la trempe de leur âme. Leurs charmes se dévelop- pent de bonne heure, pour se faner très rapide- ment : le climat, les alimens échauffans, l'excès des plaisirs, tout y contribue. Presque toutes les Es- pagnoles ont la lèvre supérieure velue; cette parti- cularité explique la force de leur tempérament. Mais presque toutes ont les dents gâtées par l'usage immodéré des sucreries. Toutes leurs sensations sont violentes; avec une imagination fougueuse et des désirs brûlans, elles ignorent les charmes et l'illusion que le sexe emprunte de la délicatesse: ainsi, les expressions les plus libres et les regards les plus lascifs n'ont rien qui fasse rougir une Es- pagnole. On serait cependant trompé, si, sur ces observations, on allait fonder le succès de certaines vues; l'Espagnole s'explique dessus avec une li-

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 183

berté mâle. Ses lèvres, ses yeux, n'ont rien de chaste, mais son orgueil lui défend d'aller plus loin. Les entreprises qu'un homme tenterait vis- à-vis délie manqueraient leur but, et cest elle qui vaut dominer; elle ne veut pas être choisie, c'est elle /qui veut choisir : voilà pourquoi l'homme timide et froid fait plus souvent fortune auprès d'elle, que l'amant le plus entrept-enant et le plus passionné. Gomme l'orgueil la préserve de toute bassesse, l'énergie de son caractère la tient en garde contre l'esprit de légèreté : l'Espagnole est donc fidèle et constante dans les engagemens illi- cites. Rien de si onéreux que la gène attachée au titre d'amant d'une femme mariée; c'est une série non interrompue d'attentions et de soins minu- tieux. . , , .

Nous ne suivrons point le voyageur dans les dé- tails qu'il donne sur le Corteja , autrement dit le Sigisbé, ou amant en titre; la mode espagnole est à peu près la même que la mode italienne; il n'y a entre les deux nations que de légères nuances à cet égard. Fischer attribue la rareté des bons mé- nages en Espagne aux vices de l'éducation des femmes, qui se réduit communément, en effet, à quelques pratiques religieuses, à l'exercice de la danse, aux jeux de la guitare, à la broderie. La danse la plus voluptueuse est le fandango ; il y a aussi le boléro. La première, dit-il, étourdit les

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184 VOYAGES EN EUROPE,

sens, la seconde les transporte; le fandango peint la jouissance, et le boléro la tendresse récom- pensée. 'iii';f" ■'fi5':,t,>t, *W . ' . -'.) - .,:- ,L :.

Le même voyageur visita aussi la province de Valence, et il dépeint dans les termes suivans le caractère des Valenciens.

Le Valencien semble réunir tous les avantages des habitans du nord à ceux deshabitans du midi: il a les forces des uns, la sensibilité et l'irritabilité des autres. Il est dur comme un Norwégicn; ar- dent , fougueux comme un Provençal. Il en est de même des femmes. A la beauté de leur teint, à la couleur de leurs cheveux, à leur charmant embon- point, on les prendrait pour des femmes du nord; mais leurs grâces, leur sensibilité, leur éclat, tout leur ensemble les ramène dans le midi.

Le climat influe également sur les formes mo- rales. Les hommes ont une gaité franche, cette vigueur de santé et cette surabondance de vie qui distinguent les pays méridionaux; les femmes, cette aménité enchanteresse, ce tempr ent ar- dent, impétueux, ce caractère enjoué, qui torment le plus doux lien de la société.

Les deux sexes se distinguent également par la propreté et l'élégante coquetterie de leur ajuste- ment. La couleur favorite est le bleu. Les étoffes les plus communes sont les indiennes et les toiles; mais dans leur grande parure, les hommes mettent

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 186

un gilet de velours noir ou bleu; les femmes, des corsets de cette même étoffe, ou verts, ou roses. Mais ce qui rend le costume des Valenciennes si attrayant, ce qui l'approche du beau idéal, c'est cette grâce, cette vivacité, cette tournure méri- dionale qui semble si naturelle aux plus simples villageoises.

Nous ne quitterons point la péninsule ibérique sans faire une excursion dans le royaume de Por- tugal, et pour cela, en observant toujours Tordre chronologique, nous nous aiderons du voyage de l'Anglais Murphy, qui visita ce pays vers la fin du xvill' siècle. ' .

MURPHY,

■' (1798.)

Murphy visita le Portugal à l'époque la prin- cesse du Brésil, montée sur le trône, venait de dis- gracier le ministre Pombal. Le voyageur décrit l'état physique et moral du pays, les mœurs, lois et usages des habitans, et les progrès des sciences et des arts.

L'air du Portugal est en général pur et tempéré; un vent rafraîchissant, qui rend le climat très sain , fait supporter les grandes chaleurs de l'été, pen- dant lequel il est très rare qu'il pleuve, surtout dans la partie méridionale. Les hivers, au contraire,

VOYAGES EN EUROPE, sont très pluvieux; mais quoique le froid dans cette saison soit quelquefois assez sensible, on ne connaît l'usage des cheminées que dans les cui- sines. Le plus grand fléau du Portugal, ce sont les trembleraens de terre, dont le foyer paraît être immédiatement sous le sol de Lisbonne.

Le Portugal a de beaux fleuves, dont les plus grands viennent de TEspagne; les autres prennent leurs sources dans ses propres montagnes. Le Minho ne fait que toucher la frontière septentrio- nale, de même que la Guadiana longe la limite orientale; le Douro ou Duero sépare plusieurs pro- vinces ; le Mondego traverse les grandes plaines de Coïmbre; le Tage entre dans l'Océan au-dessous de Lisbonne.

Six provinces forment le royaume de Portugal. Celle A' Entre- Duero-e- Minho t est ainsi nommée, parce qu'elle est située entre les deux rivières de co nom. Ses habitans sont généralement d'un beau sang, braves, robustes et plus endurcis à la fatigue qu'aucun autre peuple du midi. Us cultivent le plus beau lin de l'Europe. La province de Tras-os- Montes, ainsi nommée parce qu'elle est séparée de la précédente par des montagnes, est le pays le plus aride et le plus montueux de tout le Portugal. La province de Beira offre de belles plaines, dans l'une desquelles fut planté le premier oranger venu de la Chine. La province de l'Estramadure est la plus

DIX -HUITIÈME SIÈCLE. 187

peuplée et la plus fertile des six; elle comprend Lisbonne. La province d'Alentejo a de bellâs anti- quités; et celle des Algarves, qui a conservé le nom de royaume, bien que très petite, est assez fertile.

Murphy entre dans de lon|];s détails sur les mœurs dépravées des couvens d'hommes et de femmes portugais, sur la constitution qui existait alors pour le gouvernement, sur les lois en vigueur. Le temps y a du apporter de notables changemens, surtout après la révolution opérée sous Tempereur don Pedro. La religion catholique est encore la seule permise en Portugal; mais il n'y existe plus d'in- quisition. Suivant le voyageur, le peuple portugais est très arriéré en tout , particulièrement dans les arts industriels, agricoles et manufacturiers. Ce peuple est généralement laid , petit et basané ; les Portugais sont vains, présomptueux, vindicatifs, railleurs, jaloux et ignorans, sauf à Lisbonne, et sans doute à Oporto ; lesgrands du royaume passent pour orgueilleux et insolens.

Murphy traite assez favorablement les femmes. Elles ont, dit- il, une belle carnation, les dents blanches, des yeux noirs pleins d'expression, les cheveux très beaux et bien fournis; mais elles ont de vilaines jambes et le pied fort large. Leur démarche est lente et sans grâce, et elles s'habillent d'une manière peu avantageuse. Avec beaucoup d'esprit , elles ont peut-être plus de vivacité encore

188 VOYAGES EN EUROPE,

que les hommes. En galanterie, elles l'emportent tiur toutes les femmes de l'Europe. Elles ont dans l'expression cette tendresse séduisante qui appelle et promet le plaisir. Le téte>à-téte conduit presque infailliblement au succès; mais on n'obtient pas toujours aisément ce téte-à-téte, à cause de la ja- lousie du Portugais, l^es rendez-vous se donnent aux églises; c'est pour les empêcher le plus possible que presque toutes les maisons opulentes ont une chapelle. Les dames d'un certain rang s'habillent à la française; les hommes portent le manteau et l'épée. Le Portugais, avide de tout ce qui peut rïatter les sens, se livre avec un vif emportement aux plaisirs de l'amour, qui influent sur ses mœurs, ses habitudes et sa santé. La licence des chansons et celle des danses répondent à la corruption des mœurs; c'est surtout dans la danse appelée \difossa que se peint celle du peuple portugais.

A l'époque Murphy vit le Portugal, ks sciences y étaient négligées, surtout les sciences exactes ; elles le sont moins aujourd'hui, et la littérature est assez cultivée. ; . . >

Un autre voyageur, l'Allemand Linck, a visité et décrit le Portugal vers le même temps que Murphy. Il y était entré par Eivas, place forte, la première ville portugaise en venant d'Espagne. Il passa direc- tement à Lisbonne, dont il trouva les rues infes- tées, le jour, de chiens affamés qui inquiétaient

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 189

les passans; et la nuit, de bandits qui exerçaient leurs brigandages avec d autant plus d'impunité qu alors les rues n'étaient pas encore éclairées. 11 vit que le Portugais n'aime point la promenade, bien qu'il y en ait de charmantes sur les bords du Tage. A Lisbonne, le luxe consiste surtout dans le grand nombre de domestiques, parmi lesquels on re- marque beaucoup de nègres.

L'Opéra italien parait être le seul qui mérite quelque attention. Les Portugais se plaisent autant que les Espagnols aux combats de taureaux. L'Aca- démie des sciences de Lisbonne se distingue par ses mémoires et par l'érudition de ses membres. Lisbonne, capitale du Portugal, bâtie en amphi- théâtre sur plusieurs collines le long de la rive droite du Tage, avec un dos plus beaux mouillages de l'Europe, compte environ deux cent soixante mille habitans. Oporto ou Porto, seconde ville du Portugal, bâtie sur deux collines, non loin de l'em- bouchure du Douro, contient soixante-dix mille habitans. Linck , dans son ouvrage , s'est plus parti- culièrement occupé d'objets scientifiques, surtout de géologie. .j

Transportons-nous maintenant dans un autre pays, sans sortir du XYlll^ siècle, et suivons le voyageur Pilati dans l'intérieur de la Hollande.

101)

VOYAGES EN EUROPE.

,.\,'>,*,Ui- PILATI.

^l

' (1777-1779.)

l/unit'brmité que présente l'aspect des villes et de la campagne, en Hollande, est une singularité qu'on ne retrouve nulle part ailleurs, et qui ne manqua point de frapper le voyageur Pilati. Les villes ne diffèrent des villages que par la grandeur; la construction des habitations est à peu près la même partout. La passion pour les fleurs en Hol- lande est poussée à rextréme; ce sont surtout les jardiniers de Harlem que Ton cite pour ce genre de culture.

De toutes parts la face du pays annonce l'aisance des habitans. Les villages, très multipliés et fort rapprochés les uns des autres, sont pour la plupart aussi grands et infiniment plus propres que ne le sont dans le reste de FËurope les villes du second rang. Les maisons des paysans sont presque toutes riantes et bien entretenues. De tous côtés l'œil se reposeavec complaisance sur des prairies immenses, couvertes de troupeaux de vaches, de moutons et de chevaux.

La frugalité, l'économie , l'adresse à saisir les oc- casions de faire un gain quelconque, et par-dessus tout cela le bon esprit des villageois qui les porte à ne pas sortir de leur état, sont pour eux les sources

DIX-HUITIRME SIÈCLE. 101

do cette aisance générale qui s annonce é(;alemcnt dans l*habiilcracnt des deux sexes. *

En Hollande on voyajje beaucoup par eau; les Hollandais n aiment pas à voyn{][er à pied ni en voiture. Toute la Hollande est entrecoupée de ca- niiux dont les uns servent a transporter les homme» et les marchandises, tandis que les autres conduis sent les fruits, les lé(];umes, le blé, la paille et le foin des campagnes à la ville. Les barques établies sur les canaux et sur les rivières sont très multi- pliées : elles se succèdent sans presque aucune in- terruption.

Les provinces les plus exposées à la fureur de la mer sont la Frise, la Zélande, la Hollande propre- ment dite, et Groningue. Presque tout le terrain de ces quatre provinces est an-dessous du niveau de la mer, des lacs même et des rivières. En appro- chant des côtes on se figure voir la cime des arbres et la pointe des clochers sortir du fond des eaux. Cette disposition du sol a obligé, comme on lésait, d'élever en différens temps des digues prodigieuses ,

0

dont Tentretien, suivant Piiati , coûte autant à TËtat que celui d'une armée de quarante mille hommes. Ces digues, qu'un étranges prendrait pour des col- lines, sont si larges, surtout dans la Zélande, que deux voitures peuvent y marcher de front. Comme elles ne suffiraient pas encore pour empêcher les débordemens, les Hollandais ont imaginé diverses

102 VOYAGES EN EUROPE.

espèces de moulins ou machines pour mettre à sec

les prairies inondées par les eaux.

Les inondations et les gelées de Thiver ont en Hollande leurs avantafjes et leurs inconvénient. D'un côté, elles engraissent les campagnes et font mourir les insectes; d'une autre part, elles ren- dent le froid plus piquant. De temps en temps il souffle des vents du sud et du sud-ouest qui échauf- fent lairet fondent les glaces, même dans le fort de l'hiver; mais il s'en élève des vapeurs qui for- ment des brouillards épais et incommodes, au point d'empêcher de voir et de respirer. C'est à ces venls et à d'autres qui soufflent vers la fin de l'automne et qui donnent lieu sur les côtes à tant de nau- frages, qu'on doit attribuer la salubrité de l'air en général, tout marécageux que soit le sol, en en qu'ils le dessèchent un peu , et qu'ils balaient sur- tout les vapeurs; mais en même temps la varia- bilité des vents devient le germe de beaucoup de fluxions et de rhumatismes , si familiers aux habl- tans de la Hollande qu'ils semblent ne s'en inquié- ter guère.

Pilati eut à admirer l'extrême propreté des Hol- landais. Tous les sameclis, on lave les vitres, le perron, le plancher de toutes les chambres, les escaliers, les meubles de bois et de métal, comme on lave ailleurs la vaisselle et les autres ustensiles de table. Tous les coins de lappartement sont rem-

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plis de crachoirs, les nattes sont prodiguées au dehors. Les rues des villes* des bourgs, des villages mônic, si Ton en excepte quelques-unes des plus fréquentées, telles que La Haye et Auisterdani, sont tenues dans un état de propreté extraordinaire : on a soin de Tentretenir dans les étables rnéme, en suspendant au pluncher avec des cordelettes la queue des vaches pour einpùchei' qu'elle ne se sa- lisHC. Cette propreté est portée à un tel point au village de Broeck dans la Nord-Hollande, que les rues de ce village, pavées de briques, sont non-seu- lement lavées fréquemment, mais recouvertes d'un sable blanc sur lequel on trace des figures de toutes sortes de fleurs. Ce goût de propreté a pris son origine dans l'air épais et humide du climat, dans la nature marécageuse du sol. Cette humidité et l'épaisseur de l'air ont sans doute produit le tem- pérament flegmatique des Hollandais, auquel les gesticulations en parlant sont aussi étrangères qu'elles sont familières aux Italiens. Ils ont l'immo- bilité des Orientaux en fumant leur pipe.

Cependant les gelées et raî*)ect de la glace pro- duisent chez eux une singulière métamorphose. Ces êtres massifs, pesans, raides et presque immobiles pendant tout le reste de l'année, deviennent tout à coup dispos et agiles dès que les canaux sont pris. Les hommes de toute condition, de tout âge, cou- rent, dansent, sautent sur ces canaux avec des pa-

XLVI. 13

194 VOYAGES EN EUROPE,

tins. C'est de cette raanière que les paysans viennent à la ville et s'en retournent chez eux; c'est en se livrant à cet exercice que les élégans et les dames même, avant l'heure du dîner, cherchent à gajjner de l'appétit. Du reste, les Hollandais sont tempé- rans et surtout polis et hospitaliers.

Pilati déclare qu'il ne connaît point de pays l'âge et le mariage amènent dans le sexe tant de variations qu'en Hollande. Les filles conservent d'ordinaire jusqu'à dix-huit ans la blancheur de leur teint et de vives couleurs. Le mariage amène une prompte dégradation, qui n'est pas uniquemcnl: l'effet du climat, mais qui tient aussi à l'usage de l'eau chaude et à celui des chaufferettes. Dès qu'une Hollandaise est mariée, elle renonce à tous les plai- sirs pour se donner tout entière à son ménage : il serait difficile d'être njeilleure mère de famille.

Les assemblées réglées dans les grandes villes n'ont jamais lieu que pour les hommes : ils y pas- sent le temps à fumer, à boire très modérément, à jouer un fort petit jeu, à lire les journaux et à parler politique. Les visites sont fort rares, excepté parmi les parens. "''• ' ^

Nous ne suivrons pas plus loin le voyageur Pilati dans les détails qu'il donne sur la Hollande et sur les Hollandais; nous allons porter nos regards vers une autre contrée, dont nous n'avons pas encore eu occasion de parler, c'est-à-dire vers la Sicile,

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 195

qui fut visitée par le voyageur Riedesel , en l'an- née 1771.

RIEDESEL. ,, ,1 ,,o,î ;>!ïl

■;' (1771.) . .• 'i Kk '(up invy^i

Ce voyageur est le premier qui nous ait fait con- naître les vastes monumens de la Grande-Grèce, et en particulier de la Sicile. En décrivant les ruines des villes, des ports, des aqueducs, des temples, des théâtres, des arapliithéàtres répandus sur tous les points de la Sicile, Riedesel, avec le secours des notions éparses chez quelques auteurs de l'anti- quité, rappelle sans cesse l'ancien état de ces mo-^ numens du goût et de l'industrie des Siciliens, dans les temps de leur antique splendeur. ■■.■. ?'Mà

Syracuse, qui renfermait dans ses murs trois villes importantes bien distinctes, ne présente presque plus de vestiges de ces édifices dont la magnificence frappait le regard de tous les étran- gers. De tant de temples qui décoraient cette grande cité , il ne reste plus que quelques colonnes ; de tant de théâtres qu'elle renfermait dans sa vaste enceinte, il ne subsiste du plus grand, taillé dans le roc, que la partie destinée aux spectateurs; la scène est entièrement détruite. Tous les embel- iissemens des trois ports, les aqueducs, les fon- taines ont entièrement disparu. Ainsi, par une fa-

\ ,

m VOYAGES EN EUROPE.

talité inexplicable, la plus magnifique des villes de

l'ancienne Sicile est la plus déchue. '" "' '

Les ruines de Sélinus permettent de distinguer les trois temples qu'on y avait élevés. C'est à Gir- genti que les débris de l'ancienne Agrigente offrent les monumens les mieux conservés. A Tauremi- nium, aujourd'hui Tavormina, il existe encore un ancien théâtre , avec une scène dans son intégrité. Le voyageur a donné la description de cet édifice et de plusieurs antiquités de la Sicile non moins im- portantes et non moins curieuses. Il a également fait connaître la fertilité extraordinaire de la Sicile et le caractère moral et physique de ses habilans. La fécondité du sexe est, dit-il, analogue à celle des terres, outre que les Siciliennes sont très agréa- bles et très belles. Les physionomies s'y remarquent en assez grand nombre, surtout le long des côtes. A la différence de Naples , Riedesel observe que la Sicile en général offre plus de beauté chez les femnies que chez les hommes. Il accorde à ceux-ci beaucoup de finesse, de pénétration et de lalens; mais un penchant irrésistible pour la volupté et une extrême vivacité ne permettent pas aux Sici- liens de donner à leurs productions un certain dejf^ré de perfection.

Les observations du voyageur sur la Grande- Grèce, et particulièrement sur la Calabre, laissent quelque peu à désirer. Dans le canton était située

UIX- HUITIÈME 81ÈCLË. 11)7

rancienneSybaris, dont i' r ^ste plus aucun vestige, Riedesel éprouva les effet» de cet air épais et doux qui plongeait ses habitans dans la mollesse, et ne leur donnait de l'activité que pour la recherche des plaisirs. A Tarente , il remarqua aussi beaucoup de penchant pour la volupté, une rare beauté chez les femmes, et une grande jalousie chez les hommes. A Gallipoli, ville bâtie sur un rocher, et qui est creusée en dessous, il observa que toutes les cavités sont remplies d'huile que la chaleur du rocher fait fermenter et dont elle opère la purification. Cette huile est lobjet d'un commerce important. Lecce parut à Riedesel la plus grande et la plus belle ville du royaume, après celle de Naples: son territoire est d'une fertilité extrême; mais ses habitans sont très stupides.

Brindes, si célèbre du temps des Romains par son port, l'on s'embarquait pour la Grèce, n'a rien conservé de son antique splendeur. Ses envi- rons sont très fertiles, mais en été l'air de ce lieu est réputé le plus dangereux de toute l'Italie. Dans les environs de Cannes, Annibal défit les Ro- mains, les habitans montrent encore à l'étranger le terrain appelé le champ du c.irnage, il campo del sangue. A Bovino, situé au pied de l'Apennin, en se rapprochant de Naples, notre voyageur éprouva, le 6 juin , un froid aussi vif qu'à Rome en dé- cembre.

198 VOYAGES EN EUROPE.

. La Calabre a été aussi , quinze ans après Riedesel, visitée parrAllemand Barteis, qui a donné de cette partie du royaume de Naples une description très détaillée, mais qui se trouve en abrégé dans les géographies postérieures.

Franchissons l'Adriatique, et allons sur le rivage opposé à la Calabre chercher encore rancieniie Grèce, eu commençant par les sept îles Ioniennes, que Saint-Sauveur a vues en 1781. . , -^ ,,

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SAINT-SAUVEUR.

(1781.) '

Saint-Sauveur, alors consul de France à Corfou, a donné sur les îles Ioniennes un voyage historique, littéraire et pittoresque, auquel nous n'emprunte- rons qu'un petit nombre de détails géographiques.

La plus considérable des sept îles est Corfou, jadis connue sous le nom de Ccrcfre, et célèbre surtout par la description qu'Homère en a faite dans son Odyssée, il lui donne le nom d'//t; des Phéaciens. Elle a soixante lieues environ d'étendue, avec une population de soixante mille âmes seule- ment. Le climat de cette île est doux et extrême- ment variable : elle est sujette aux tremblemens de terre, mais les secousses sont modérées et causent rarement du dommage. La mine de charbon de terre qu'on y a récemment découverte, une mine

DIX-HUITIÈMB SIÈCLE. IDO

de soufre anciennement connue, sembleraient in- diquer que le foyer de ces commotions est dans l'ile raûmc; mais on a remarqué que ces secousses étaient presque toutes de relation, ayant leur direc- tion du nord-ouest au sud*ouest. -^ it^

Saint-Sauveur reconnaît avec d'autres voyageurs l'insuffisance des productions de l'île pour les be- soins de ses habitans : ils ne récoltent du blé et du vin que pour trois ou quatre mois. C'est avec le produit de leurs builes, dont ils fabriquent année commune deux cent cinquante mille jarres, avec celui de leurs salines, dont le rapport est aussi de quelque importance, avec la dépouille enfin du gros et du menu bétail, dont ils font des exporta- tions pour environ une somme de 50,000 livres, que les Corfiotes se procurent chez leurs voisins tout ce qui leur manque. : r

L'article des huiles serait susceptible d'un ac- croissement considérable, si les opérations de la nature étaient secondées par l'activité de l'industrie. Indépendamment de la pénurie de grains et de vins, Corfou est dépourvue de bois, de prairies; et l'art du jardinage y est très borné. Le gibier de terre y est fort rare, le gibier d'eau et les poissons sont plus communs. ...

Le caractère que le voyageur a reconnu aux Cor- fiotes n'est» rien moins que flatteur, et paraît un peu chargé. Il les dépeint comme superstitieux par

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200 VOYAGES EN EUROPE,

religion, ignorans par orgueil, indigens par indo- lence, ennemis du travail par indigence, cruels par inclination, perfides et faux par faiblesse : il ajoute, à la vérité, que ce peuple redeviendra ce qu'il était autrefois, lorsqu'un gouvernement sage et éclairé le guidera; ce qui pourrait avoir lieu sous la do- mination britannique. Une éducation dépravée, plutôt la nullité de toute éducation sont les causes auxquelles le voyageur attribue en grande partie les mauvaises qualités des Corfiotes.

Les femmes, étroitement resserrées autrefois, étaient parvenues h jouir d'une grande portion de liberté. Le luxe, les plaisirs de la table s'étaient in- sensiblement introduitsâ Corfou. Cette observation s'applique particulièrement à l'unique ville que contienne cette île, et qui en porte le nom. Les for- tifications en sont très considérables, et exigent une forte garnison. Les couvens y sont très nom- breux, et elle manque d'hôpitaux. Les processions y sont très multipliées. La superstition exerce d'au- tant plus son empire sur les Corfiotes, que le clergé est de la plus profonde ignorance : il s'occupe beau- coup de misérables peintures, dont l'objet est d'entretenir l'aveugle dévotion du peuple. Les plus superstitieuses pratiques se remarquent dans les cérémonies des mariages et des funérailles.

Les îles de Paxo, de Bucintro, de Parga, de Provosa, de Venizza, de Sainte-Maure, n'offrent

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 201

lien do plus remarquable. Celle de Provosa seule- ment serait susceptible d'un commerce considé- rable avec les provinces turques.

L'île de Thiaqui , connue dans l'antiquité sous le nom à' Ithaque ou de Dulfchium, attire surtout lattention pour avoir été le théâtre des événemens décrits avec tant de charmes dans XOdyssëe. De toutes parts elle est couverte de rochers dont les intervalles, soigneusement cultivés, donnent en i;rains d'une mauvaise qualité une quantité plus que suffisante pour la consommation des habitans. Le surplus fournit un article d'exportation assez borné pour les îles de Géphalonie et de Zante. On exporte aussi à Thiaqui cinq à six milliers pesans de raisins de Corinthe, et un peu d'huile d'olive. Les vins qu'on récolte suffisent aux besoins des ha- bitans : le jardinage se réduit à une petite quantité de légumes et de fruits.

Le gibier est rare, la pèche abondante. La vo- laille réussit singulièrement; on élève des dindes d'une grosseur remarquable. Les tremblemens de terre, à Thiaqui, n'ont pas de suites plus fâcheuses qu'à Géphalonie et à Zante , dont elle est voisine. La population se borne à sept mille âmes répandues dans quatre à cinq villages.

Avec la même étendue que l'île de Corfou , celle de Céphalonie ne lui est pas comparable. Elle est très montueuseet assez stérile; la récolte des grains

202 VOYAGES EN EUROPE,

n'y fournit que quatre ou cinq mois de substance aux habitans. Six à sept millions pesant de raisins de Gorinthe, des huiles en assez (grande abondance, procurent, par l'exportation . de quoi suppléer aux productions de première nécessité. L'ilc trouve aussi une ressource dans une certaine quantité de coton et de soie d'une très bonne qualité. Les vins de liqueur et de table se consomment dans le pays, il n'en passe chez l'étranger qu'une très petite quantité. . w. ,:.'>-.• ... m,

, On fait à Céphalonie des liqueurs de diverses espèces fort estimées; mais la plus gi'ande partie de ces liqueurs, sous l'administration vénitienne, était employée en présens, et ne formait pas une branche d'exportation proprement dite.

A Céphalonie, comme à Corfou, l'art du jardi- nage est encore dans l'enfance. Il faut excepter de cette assertion la culture d'une certaine espèce de melons d'hiver, d'une qualité supérieure à celle dec melons de Malte : la forme en est très différente ; ceux-ci, parfaitement ronds, sont d'un vert tirant sur le bronze: ceux de Céphalonie sont d'une forme ovale et d'un très beau jaune, la chair en est blan- che. On les conserve long-temps, en les tenant suspendus.

Le voyageur indique la manière de les cultiver; elle suppose une industrie qui s'applique à tous les fruits et à tous les genres de légumes. Le Céplia-

DlX-IIUlTlÈMË SIÈCLE. 203

loiiute y réussirait d'autant mieux, qu'eu général il est très persévérant dans ses projets.

A ce caractère, il joint beaucoup de finesse et

un penchant décidé pour l'intrigue. On a toujours

reconnu chez lui une grande habitude pour les

sciences en tout genre. Il a couru, en divers temps,

la carrière des lettres avec distinction, plus d'une

fois même il a fourni à l'étranger des hommes

d'état et des militaires distingués; plus hospitalier

que les autres insulaires, il est très vindicatif. ^

L'ile de Zante, qui n'est séparée de Céphalonie

que par un canal peu considérable, n'a qu'une

étendue de quatre lieues de largeur sur six à sept

de longueur. Dans un espace si borné, elle donne

des produits considérables, surtout en raisins de

Oorinthe et en huiles. Le premier de ces produits

s'élève jusqu'à neuf à dix millions pesant.

Le voyageur expose la méthode de cultiver la vigne qui produit ce raisin précieux , dont les grains sans pépin n'ont que la grosseur de ceux de gro- seille. C'est un peu avant sa maturité qu'il est agréable à manger, parce que sa très grande dou- ceur est corrigée par un peu d'acidité; on le donne dans cet état aux malades. 11 se fait de ce raisin, dans l'île de Zante, plusieurs espèces devins, soit d'ordinaire, soit de liqueur. La plus grande partie se consomme dans le pays, le reste est enlevé par l'étranger : il se conserve long-temps, et on le ré-

2U'I VOYAGES EN EUROPE,

pute très stomachique. plus grande partie du raisin se sèche, et en cet état il n'est pas plus gros que des grains de poivre. 11 forme un objet d'ex- portation très considérable.

On ne cultive pas plus de grains à Zante que dans les autres iles; mais le produit de ces raisins et de ces huiles lui procure abondamment tout ce q'/i lui manque et dans ce genre et dans plusieurs autres. Cette ile, outre des cavernes d'où il s'exhale en grande abondance une graisse d'une odeur fé- tide, renferme deux sources de goudron, des eaux minérales, des salines plus que suffisantes pour la consommation des habitans.

Elle est dépourvue de bois, et, ce qui en est la suite ordinaire, on n'y trouve point de rivières. Les sources d'eau douce sont très communes, mais toutes placées entre des rochers, et trop éloignées pour qu'on puisse les employer à l'arrosement. L'art du jardinage est beaucoup plus avancé à Zantc que dans les autres îles : on y est désolé par des in- sectes, qui y sont très multipliés; le voyageur en cite deux comme très venimeux, et dont la piqûre est réputée mortelle si l'on n'y apporte pas un prompt remède. L'un est une chenille dont la mar- che est très rapide, qu'on appelle galera; l'autre une araignée de l'espèce des maçonnes , et de la grosseur d'une noix. Entre les lézards, il en est un dont la blessure, dit-on, donne la mort; celle que

niX-HUlTlÈMK SIÈCLE. 20.'>

fait le scorpion n'est point morlelle, mais elle pro- cure une fièvre violente, et on la {jiiérit avec une herbe du pays. L'ile est très riche en plantes sa- lubres.

La ville de Zante, située au centre de Hle cl défendue par une forteresse, est peuplée d'environ douze mille âmes, parmi lesquelles on compte den\ mille Juifs. I^ population totale de File s'élève à quarante-cinq ou cinquante mille habitans.

L'ile de Céri^^o, si célèbre dans l'antiquité sous le nom de Cythère, l'on rendait un culte particu- lier à Vénus, a huit lieues de longueur sur cinq h six de larfjeur. Avec la même étendue que celle dn Zante, elle ne lui est comparable sous aucun rap- port. Couverte de rochers en grande partie, elle a des produits très bornés, et ses habitons sont peu aisés. Leurs récoltes en blé et autres grains excèdent néanmoins les besoins de la consomma- tion; le surplus s'exporte dr.ns les îles de Zante et de Céphalonie. On recueille aussi à Cérigo assez d'huile pour les besoins du pays , un peu de lin et de coton; et à l'exception des vins d'ordinaire, que les habitans sont obligés de tirer de la Morée et de Candie, les Cérigotes , pour les denrées de pre- mière nécessité, sont moins dépendans de leurs voisins que les autres insulaires. Parmi les lé- gumes et les fruits qu'on recueille dans l'ile, on distingue une espèce d'.ognons très petits, mais

206 VOYAGES KN F.UROPK.

d'un iifoiU exquis, et des olives éfjaiement fort petites et très reclierchécs. On fuit à Cérigo deux sortes de vins de liqueur qui sont en grande répu- tation.

Pour terminer la liste des voyages effectués pen- dant le XVill" siècle nous irons, avec M. Pouqueville, jeter un dernier re^^ard sur quel(|ues points de cette Grèce antique si souvent explorée, et qui offre toujours quelque chose à glaner sous le double rapport de ses sites pittoresques et de ses merveilleux souvenirs. ' ' ^\^»v\' > iib ff ' |.>:,i«' -f.' i^'-r'/ii"! !■..('' wl (,''«■ î. nui. f ù'.'i\

M. Pouqueville, envoyé depuis en qualité de consul général de France aux mêmes lieux qu'il avait d'abord parcourus, a eu pour but principal dans son premier voyage, de faire connaître la Morée, jadis célèbre sous le nom de Péloponèse; l'auteur ne laisse rien à désirer pour la parfaite connais- sance de cette péninsule. Nous lui devons aussi aie description très exacte de l'Albanie, autrefois l'Enire. "»'.'i-'ii» •- .•.•■i,« viun. i ,.'ï uni ir

M. Pouqueville avait quitté la France en quai» de métidcin, faisant partie de la comraisr'.in <1{.'- sciences et des arts destinée à passer en Orient. A peine .arrivé en Egypte, sa santé affaiblie l'obligea

DlX-IUlITltMK Slf:CLE. 2U7

(le revenir en Italie. Dans la traverst'e il tut pris par lin corsaire . conduit on i\lor(';e. On le tl< harcpin h ^Hvarin, ou ses connaissances nu'diciu.'R Nii pro- curèrent aii|irès (lu hey 1rs moyens dV'Xj)loit '■ In pays et <le se procurer des notions sur 1rs liabi- liuif. iNons présenterons le sommaire de ses re- inaniues.

Le port c'o .Ni»varin est le plus spacieux de toute la Mon'e . il u puis de trois lieues de prolonj][e- ment 8<ii' ' i "ôte, et a bien une lieue de protbndeur. Il v'-\. fermé au midi par deux éciieils, et par l'île de Sjihakterie On y trouve trois passes, dont l'une est la plus fréquentée, parce que les (;ros vaisseaux peuvent y entrer. Une autre n'admet que de petites barques. La troisième est très difficile et protéjjée piu' un fort. Ce vaste et supiîrbe port pourrait con- lenir les armées navales les plus nombreuses. C'est dans son enceinte qu'en 1827 l'escidrc turque fut dévorée par les boulets que lui lancèrent les vais- seaux de l'amiral de Ri{^;ny et de l'amiral anglais Codrington, chargés tous deux de proléger les Grecs renaissant de leurs cendres, et soutenus éga- lement par les vaisseaux russes de l'amiral Hciden.

Le Péloponèse, qui au temps du Bas- Empire perdit ce riom pour [>n«ndpe celui de Morée , com- jMtind l'Argolide, la Corinthie, la Laconie, la Mes- sénie, l'Élide, l'Achaie et l'Arcadie. Parmi les golfes de la Morée est celui de ïiépante, si fameux par la

208 VOYAGES EN EUROPE,

bataille de ce nom. Trlpolitza, principale ville de lu Morée, est formée des débris des anciennes villes de Mégalopolis, de Tigée , de Mantinée et de Pallan- tium, sans être située précisément sur l'emplace- ment d'aucune de ces villes. Tripolitza est abreuvée par quatre fontaines bien entretenues.

La narration de M. Pouqueville conduit le lec- teur à Patras, l'ancienne Aroë, célèbre dans l'an- tiquité par ses édifices, tels qu'un Opéra (Odéon) et plusieurs temples. De Patras on passe à Corinthe, qui n'offre plus aucun vestige de son antique spien deur. Pour monter au cliàieau bàîi sur l'emplace- ment de l'ancienne citadelle d'Acro-Corinthe , il faut employer environ une heure. Tlièbes, aujour- d'hui Tliiva, montre encore quelques ruines, ainsi qu'Argos et la fameuse Olympie. Mistra est bâtie sur les ruines de l'ancienne Sparte, et offre de toutes parts des vestiges précieux d'antiquité.

M. Pouqueville dépeint les Laconiens, aujour d'hui les Maïnotes, comme des guerriers accou tumés dès leur enfance au maniement des armes endurcis aux fatigues, familiarisés avec les dangers et toujours prêts à s'aller mesurer avec les Turcs Leur courage, qui dégénère souvent en témérité prend surtout sa force d'une connaissance parfaite de leurs défilés et de l'amour du pillage, ou si l'on veut de la liberté sans frein. Les femmes des Mai- notes, non moins courageuses que les jeunes coin-

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 20î)

battans, partagent souvent leurs dangers. Elles sont le noodèle des mères après avoir été l'exemple des filles.

Nous ne suivrons point M. Pouqueville dans son voyage à Constantinople, puisque nous avons eu plus d'une fois l'occasion de parler de cette capi- tale; nous nous reporterons de préférence vers l'Albanie, le pays couvert de montagnes, et dont les habitans déploient un courage porté quelquefois jusqu'à la férocité. Les femmes qui donnent le jour à ces hommes extraordinaires, partagent en grande partie la vigueur de leur organisation. Les bonnes qualités de ces femmes n'ont cependant pas pré- servé les Albanais d'un goût infâme désavoué par la loi première des hommes.

L'Albanais s'abandonne à ce genre de dissolution sans paraître soupçonner l'énormité d'un tel vice, et c'est peut-être à cause de cette passion brutale qu'il est si peu jaloux de la conduite des femmes. Ce peuple conserve avec obstination la langue es- clavone , et aime peu à parler le grec.

Les Albanais doivent incontestablement, en grande partie, leur caractère très belliqueux et fé- roce, à la nature de leur pays élevé et hérissé de montagnes. La température y est sujette à des chan- gemens brusques et fréquens , qui varient suivant les lieux et l'aspect des vallons. Le ciel de l'Al- banie est pur, et les grandes sécheresses y sont XLVI. H

210 VOYAGES EN EUROPE,

aussi rares que les pluies dévastatrices. Ce pays éprouve des hivers extrêmement rigoureux, qui couvrent la terre de neige, et font geler les rivières et les lacs. Mais la rigueur de cette saison n'excède guère deux mois. La température de l'été, qui de- vrait être insupportable dans les gorges, est tem- pérée parles brises qui sortent des montagnes et du fond des bois , et qui arrivent chargées des odeurs aromatiques des coteaux.

Pour compléter ces renseignemens sur la Morée et lieux voisins, nous emprunterons quelques dé- tails aux Excursions en Grèce de M. Lacour, ac- complies durant l'occupation de la Morée par l'ar- mée française en 1832 et 1833.

Le Maïnote, vagabond et impétueux comme la nuée qui roule le tonnerre et crève au-dessus de sa caverneuse retraite, ou comme le torrent qui se gonfle, écume et se précipite à ses pieds, se lève avec les premiers rayons du jour; et déjà, dit M. Lacour, ses regards affreux, qui \oudraient percer les épais brouillards du matin, cherchent à distinguer les champs qu'il a vus la veille couverts des plus belles moissons... et son cœur bondit de colère!... Il découvre au loin de gras pâturages et de nombreux troupeaux, et, par un mouvement involontaire, il porte violemment la main sur ses armes... Il ne remarque point la distance qui le sépare de leurs gardiens... Son œil rapide qui ie$

atteint, à l'insti Ente; santé; < aussi ei cable, à pond;

« VoiL c'est dai lui éten( réseaux « Attac vils et pi leurs fen leur blé, «Et, î devant t( la beauté mes, l'a < l'autel... pénétrab avait dan elle te sa gneur et «En fat vincible donné la 'iien... pa

DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 211

atteint, s'il était cha*" de la foudre, les en aurait à l'instant frappés

Entend- il des cris de joie? Sa lèvre est frémis- sante; des vœux et des saintes prières?... Et lui aussi en a adressé, mais à une divinité impla- cable, à la vengeance! Et le génie infernal lui ré- pond:

«Voilà ta proie, voilà ton bien... Gomme 1 aigle, c'est dans les nues que ton front s'élève; comme lui étends tes ailes, et qu'elles te servent de vastes réseaux pour envelopper plus sûrement ta victime.

«Attaque, disperse, tue ces hommes encore plus vils et plus faibles que les rouets et les fuseaux de leurs femmes... Leur or, leurs coursiers, leur vin, leur blé, tout t'appartient... tout!...

«Et, fier d'un plus grand trésor, fais marcher devant toi cette jeune Messénienne dont on vante la beauté... Sa mère, orgueilleuse de tant de char- mes, l'a couronnée de fleurs et doit la conduire à l'autel... Elle est à toi; qu'elle oublie dans ton im- pénétrable demeure le trouble, l'amour qu'elle avait dans le cœur, et qu'au retour de la lumière elle te salue, en souriant, du doux nom de sei- gneur et d'époux !

«Enfant du Taygète, le sang, le pur sang de l'in- vincible Spartiate coule dans tes veines; je t'ai donné la force et l'audace, voilà ta proie, voilà ton bien... pars !... »

/

1.^

212 VOYAGES EN EUROPE.

Cette sombre allégorie semble être facilement appliquée par les mœurs, les habitudes et les fré- quentes excursions des Maïnotes. Pour long-temps encore ils vivront dans l'état sauvage et barbare des premiers humains; car ils sont dévorés de cette cupidité audacieuse et féroce qui enseigne la ra- pine, la violence et le meurtre; et jamais peut-être les bienfaits de la civilisation ne viendront les adoucir et les désarmer.

Il est juste de faire remarquer que leur pen- chant au brigandage et à la piraterie résulte de la sécheresse et de la pauvreté de leur territoire , du peu de ressources que leur offre la culture. Privés de toutes les ressources qu'apporte la constance des efforts et de l'industrie, il y a souvent pour eux nécessité absolue de recourir à des moyens coupables pour se procurer les douceurs et les cora- modités de la vie.

11 est juste également de dire que, lorsque l'é- tranger aborde loyalement et sans crainte le Mai- note, en réclamant l'hospitalité et sa protection, rarement il a à se repentir de son abandon ; mais si une semblable démarche est faite pour quelques voyageurs réunis en armes, ses politesses sont promptement accompagnées de précautions hos- tiles qui révè'ent bientôt sa méfiance, son avarice et ses inquiétudes. Il sert de guide, il protège dans les limites de son Pyrgo; mais au-delà, à moins de

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DIX-HUITIÈME SIÈCLE. 2i:{

sacrifices pécuniaires qu'il ne manque pas de rendre très onéreux, il vous souhaite le bonjour dans son idiorae.

Les rapines, l'assassinat, le mensonge et le vol, quon érigeait en vertus à Sparte, sont autorisés parles Maïnotes, pourvu que les désordres aient lieu en dehors des lieux qu'ils habitent. Les habi- lans de cette contrée ont toujours pour maxime, dit M. Pouqueville, l'adage du Spartiate Lysandre, {\\xil faut tromper les enfans par les jeux, et les hommes par des sermens. On doit , comme l'observe avec raison M. Lacour, plaindre un peuple qui, grand et terrible dans ses luttes pour la liberté, est condamné, peut-être pour des siècles encore» à être la terreur de ses voisins.

M. Lacour dit de Nauplie, capitale de la Grèce moderne, que cette ville ne présente aucun intérêt, ni comme antiquité, nipoar ses édifices modernes. Elle n'a du la gloire de devenir la métropole de la Grèce qu'aux deux forteresses redoutables qui la protègent et à l'étendue de son port, qui a pour- tant beaucoup perdu de son antique célébrité. Les rues de Nauplie sont étroites, mal entretenues, et deviennent des cloaques lorsqu'il pleut. Il y a ce- pendant quelques maisons construites à l'euro- péenne.

Comparée aux villes tristes, noires et délabrées du Péloponèse, Spezzia parait up prodige. Son

214 VOYAGES EN EUROPE,

port est bon ; les maisons sont remarquables et of- frent un coup d'œil agréable. Les Spezziotes font un grand commerce. Leur marine est dans un état respectable. ' . . -..i ».s.

Hydra, vue de îa mer, est une ville encore plus imposante que celle de Spezzia ; elle a beaucoup de ressemblance avec Alger, sous le rapport de son élévation pyramidale. Cependant il ne faut pas sortir de la ville, car tout est rochers , saillies, ra- vins et obstaeks; on marche sur un sot de fer, tandis qu'Alger est sur le sol le plus riant et le plus fertile de l'Afrique.

Ce qu'on doit le plus admirer dans cette ville,, c'est le sentiment qui lui donna naissance. On ad- mire l'énergie d'un peuple qui , choisissant une lo- calité inculte, d'un accès difficile et d'une nature sauvage, osa appeler la misère au secours de la li- berté; on assiste, en entrant dans ces mur», à la renaissance de la Grèce. Des rocs stériles, pas une source pour désaltérer un être vivant, pas un champ, pas un arbre; tout cela n*a point empêché Hydra de devenir par la liberté une ville riche et florissante, peuplée aiijourd'hui de seize mille ha- bitans, et qui pourrait en recevoir cinquante mille. Elle a de belles églises dont l'une possède un lustre d'or massif.

Rien ne répond mieux à l'idée que l'on voudrait donne" d'Athènes , que le passage de Cicéron cité

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I)I\-H(;ITIÈMK SifCCLE. 21A

par M. Pouqueviile. « Quelque part qu'on marche dans cette ville célèbre, on ne peut y faire un pas sans se rappeler le souvenir de ses (jranUs hommes, et sans rencontrer des monumcns de Thistoire. Les jardins de l'Académie sont pleins de la suavité de Platon. La Tribune aux harang^ues et le Pnyx rap- pellent les plus célèbres orateurs do la Grèce. On croit en parcourant les bords de la mer, entendre la voix de Démosthène qui apprenait à vaincre le bruit tumultueux des assemblées, en surmontant celui des Hots. »

L'étendue d'Athènes, d'après les traditions con- servées, n'offre pas la quatrième partie de ce qu'elle était anciennement. L'Acropole, comme citadelle et comme sanctuaire, a de tout temps renfermé et protégé tout ce qu'Athènes savante , riche, religieuse <'t guerrière possédait de plus précieux; et comme modèle d'architecture, elle a conservé presque en- tièrement debout le Parthénon, majestueux édifice encore plein de la divinité à laquelle il fut con- sacré. La lanterne de Démosthènes est aussi un mo- nument remarquable; il est en marbre et enrichi (le précieux ornemens. ' ' ' ' : '

L'illissus ou Uyssus coule, quand il reçoit de l'eau, à peu de distance du temple de Jupiter Olympien, qui fut construit dans la partie orientale d'Athènes. Ce torrent est à sec huit mois de l'année. La fontaine Callirrhoé ne verse plus qu'un petit filet d'eau.

* I

210 VOYAGES EN EUROPE.

Entrons maintenant dans le Xix" siècle , dont les trente-cinq premières années ont produit un si (rrand nombre de voyages. I^es XLIV* et XLV volumes de notre liibliothèqae universelle ont déjà fait connaître quelques-uns de ces voyages; l'es- pace nous manquerait pour en rapporter ici d'au- tres avec une certaine étendue; nous ne pouvons plus offrir qu'une analyse.

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DIX-NEUVlÉME SIÈCLE.

Parmi les voyageurs qui ont exploré diverses contrées de l'Europe, au commencement du xix' siècle, on peut citer d'abord Acerbi, pour ses explorations en Danemark , mais que nous ne de- vons point examiner, puisque déjà nous avons eu occasion de parler de ce pays. Viennent ensuite Boisjolin, qui visita l'ile de Malte, vers l'an 1800; Echasseriaux , qui parcourut le Valais, en 1806; Mangourit, qui vit le Hanovre et Vienne en Au- triche en 1805; Saint-Constant, qui vit Londres en 1804; Hooker, qui décrivit l'Islande en 1809 ; M. de Laborde, qui en 1808 commença la publication de son Foyage Pittoresque en Espagne ; et M. Marcel de Serres, qui en 1809 et 1810, accomplit son voyage dans l'empire d'Autriche. La relation de M. de Labordo ferait double emploi avec les dé- tails que nous avons précédemment donnés siii !a

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 117

péninsule ibérique; nous nous occuperons donc de

. préférence, avec M. Marcel , do rAutriche, pays sur

lequel notre collection n a jusqu'ici offert que quel-

ques traits épars et fu{^itlfs.

I f

MARCEL DE SERRES. (1809-1810.)

Le Voyage en Autriche de M. Marcel de Serres, dont la publication fut long-temps retardée par leffet des circonstances politiques , se compose de quatre volumes in-8". Nous n'extrairons de cet ou- vrage que ce qui a rapport aux considérations gé- nérales sur le pays et sur les habitans.

L'Autriche est, par sa position géographique ^ dans les conditions les plus Favorables pour l'ac- croissement de sa population et le progrès de l'a- griculture. Sa superficie dépasse trente-cinq mille cinq cents lieues carrées, dont la Hongrie occupe presque la moitié , la Gallicie un neuvième , la Bohème un dixième, et la Transylvanie un onzième. Les autres provinces sont plus faibles. La popula- tion de tout l'empire autrichien dépassait en 1809 vingt millions d'habitans, et elle approche aujour- d'hui de trente millions.

L'Autriche est, après la Russie, une des contrées de l'Europe se trouve le plus de peuples dif-

-*■*

218 VOYAGES EN EIIIIOPE.

férens. La plupart de ces peuples ou de ces races ont encore conservé leur langage, leurs mceurs, leurs habitudes et presque toutes leurs coutumes; ils ne forment point un tout bien uni, parce que leur agglomération n'est pas encore très ancienne. On peut ranger ces peuples en huit classes prin- cipales.

La première classe, qui n'est point la plus nom- breuse, ainsi qu'on pourrait le croire, se compose d'Allemands. L'Autriche proprement dite est la seule province entièrement peuplée d'Allemands; cette nation est aussi très répandue dans la Styrie et la Carinthie. En Bohème il y a peu de vrais Allemands ; on ne les trouve guère en masse que dans les cantons des cercles qui avoisinent la Saxe, la Silésie et la Bavière. En Moravie, ils occupent les conlins de l'Autriche et de la Silésie, ainsi que les districts de Zuaïm et de Briinn. La Transyl- vanie nourrit aussi beaucoup d'Allemands, quoi- que leur nombre soit bien inférieur à celui des indigènes. En Gallicie on ne trouve guère d'Alle- mands que dans quelques villages.

La plus nombreuse de toutes les races qui ha- bitent l'Autriche est l'esclavone, peu connue au- jourd'hui sous ce nom, à causede l'immense étendue qu'elle habite et de la diversité du langage- qu'elle parle. On doit regarder comme provenant de cette souche primitive, les Tscheks, les Slowaques, les

fr'

DIX-NEUVIEME SIECLE. il»

llaunaques , les Polonais , les Windes , les Croates et les Rasciens. Il est encore d'autres peuples qui tirent leur origine de la nation esclavone, tels que les Lusatiéns, les Carnioliens, les Wippaques, les Tschistsches, les Kraschauzes, les Morlaques, les Bosniques, les Dalraates, les Istriens et les Russes: mais ces derniers peuples n'appartenant pas à l'Au- triche, il n'y a pas lieu de les examiner ici. Les Slowaques habitent principalement la Moravie. Les Hannaques y sont aussi en assez grand nombre. Les Polonais peuplent la Gallicie. Les Croates, ori- jjinaires de la Bosnie, habitent su!*tout la Croatie et plusieurs comtés de la Hongrie.

Quant aux Hongrois, ils sont, après les Slaves et les Allemands, la race la plus répandue dans la monarchie autrichienne. Ils conservent encore beaucoup de traces de leurs anciennes mœurs. En général ils sont peu instruits et peu portés au com- merce. Les Allemands, au contraire, ainsi que les Esclavons, aiment tous les genres de spéculation , comme le commerce de détail. La Hongrie compte aussi les Czingares , race encore nomade ou plutôt vagabonde, répandue également dans la Bukowine, la Gallicie et la Transylvanie. Il paraît que c'est à tort qu'on leur a donné le nom de Bohémiens et d'Egyptiens, parce qu'on a faussement supposé qails étaient les descendans des anciens vagabonds d'Egypte chassés au commencement du XVl" siècle

220 VOYAGES EN EUROPE.

par le sultan Sélim, lorsqu'il eut conquis cette

province.

Les Juifs sont répandus en (j^rand nombre dans les diverses provinces de l'empire autrichien , à l'exception cependant de la Slyrie» de la Carinthie et de la Haute-Autriche : c'est en Bohême , en Mo- ravie, en Hongrie et en Gallicie qu'on en voit le plus. On trouve aussi en Moravie une petite co- lonie française que l'empereur François l" y avait fait venir de la Lorraine.

Les Arméniens font également partie de la popu- lation de l'Autriche; il en existe plus de onze cents familles dans la Transylvanie.

La réunion de tant de peuples divers dans une même monarchie amène nécessairement une grande diversité dans le langage, les habitudes ei la manière de se vêtir. Rien n'est plus varié que les costumes de ces différentes nations, et peut-être n'est-il point de pays , à l'exception de la Russie , l'on trouve plus d'idiomes différens. On y parle les dialectes autrichien , souabe et saxon de l'alle- mand, ainsi que plusieurs autres moins importans; l'illyrien, qui est un mélange du slave avec le grec et le turc, autant de dialectes slaves qu'il y a de races de cette nation; le hongrois, un latin cor- rompu, qui est fort usité parmi les nobles et les bourgeois de la Hongrie; enfin une multitude de patois, la plupart dérivés de l'italien.

Coi l'Autr élevés des pi; la pen à la h sont d de feri néral i Autricl la Boh( excessil de peu La n côtés pa atteigne cet emf le ceint barrière l'Autric sphère fleuves le Danu sur le te au-desso pour alli après av son cour

DlX-NEUVIÉME SIÈCLE. 22t

Oomme dans la plupart des conlrées de rEuropc. l'Autriche ne présente point de plateaux un peu élevés et d'une certaine étendue; on n'y voit que des plaines assez basses , ou de grandes chaînes dont la pente est presque toujours escarpée. C'est donc à la hauteur et aux irrégularités du terrain que sont dues les variations de la température et le peu de fertilité du sol dont le défrichement est en gé- néral très pénible. Ainsi les vallées de la Haute- Autriche, de la Styrie, de la Carinthie, et même di' la Bohême, éprouvent alternativement des froids excessifs et des chaleurs extrêmes, mais à la vérité de peu de durée.

La monarchie autrichienne est hérissée de tous côtés par des montagnes nombreuses dont plusieurs atteignent une élévation considérable. Cependant cet empire n'offre qu'une seule grande chauie qui le ceint entièrement vers le nord, et y forme une barrière insurmontable. Ces monts nombreux dont l'Autriche est couverte attirent les eaux de l'atmo- sphère et donnent naissance à des rivières et à des fleuves considéraulcs. Le roi des fleuves de l'Europe, le Danube, qui prend sa source dans la Forêt-Noire, sur le territoire du royaume deWurtemberg, entre au-dessous de Passau, sur le territoire de l'Autriche, pour aller ensuite déboucher dans la mer Noire, après avoir reçu quatre-vingt-seize rivières, dans son cours, que nous avons fixé à cinq cent soixante-

222 VOYAGES EN EUROPE,

dix lieues. Le second des fleuves de l'Autriche est l'Elbe, qui descend les monta^jnes des Géans, entre la Silésie et la Bohéoie, et qui va déboucher près de Hambourg, dans la mer du Nord. Il y a aussi la Vistule et le Dniester ou Borysthène qui descen- dent des monts Carpathes.

Jetons maintenant un coup d'œil rapide sur cha- cune des provinces autrichiennes et sur leurs ha- bitans. ;, i

Parmi les provinces septentrionales, la Hongrie est une vaste plaine sablonneuse, dont le sol est tantôt d'une extrême fertilité, et tantôt de la sté- rilité la plus absolue, suivant la nature desalluvions qui l'ont recouverte. Formée en grande partie , dit M. Marcel de Serres, par des terrains de transport, cette contrée est presque entièrement composée des sables et des limons que le Danube et la Theiss y ont apportés: ce n'est que vers l'est et le nord qu'on voit le niveau du terrain changer et le sol s'élever d'une manière bien sensible. Ce que la Hongrie a de plus particulier ce sont les vastes eaux salées qui recouvrent une partie de son territoire. La Hongrie présente quelque ressemblance avec l'Egypte, en ce qu'elle a, comme cette fameuse contrée, des plaines sablonneuses très basses et très étendues, et un fleuve immense qui parcourt la plus grande partie de sor; territoire.

Aucun peuple en Europe n'a de physionomie plus

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 22;î

caractérisée que le Floiigrois, et ne tient autant ù ses usages et à ses privilèges. Bien qu'une partie de ce peuple soit encore retenue sous le joug féodal , il est toujours prêt à se révolter chaque fois qu'on essaie d'ébranler ses institutions. C'est à ce même régime qu'on doit attribuer sa soumission et son penchant à flatter les nobles et les grands seigneurs. Le Hongrois, naturellement fier, aime la guerre et les aventures chevaleresques ; il ombrage ses lèvres par de longues et noires moustaches, qui donnent à sa figure un air plus belliqueux. En général, d'une taille svelte et élevée, il est plus vif que spirituel; il a le teint basané et les yeux d'un noir foncé. Il parle une langue particulière qui se rapproche assez du finois. Obligé souvent de passer les jours et les nuits en plein air, sur un sol tantôt humide et tantôt couvert de bruyères arides , il se garantit du froid et de l'humidité en se revêtant d'une pelisse de peau de mouton , sous laquelle il porte une che- mise et un pantalon d'un tissu grossier.

Ce que nous venons de dire ne doit s'entendre que du peuple; car, ainsi que partout ailleurs, les riches et les nobles se procurent toutes les aisances que la fortune peut donner. Le noble hongrois se distingue de la classe du peupîe par le sabre, qu'il porte sans cesse avec lui; il ne le quitte pas même lorsqu'il conduit la char* îie et qu'il cultive de ses niains le patrimoine de ses pères. On le voit éga-

224 VOYAGES EN EUROPE.

lemcnt presque toujours en bottes et en pantalon :

par un goût aussi bizarre que singulier, il en porte

souvent plusieurs , afin d'arrondir ses formes et de

donner à ses contours que' |ue chose de moins

prononcé.

En Hongrie on distingue aussi les Gzingares, que déjà nous avons eu occasion de citer; peuple nomade et sauvage, conservant depuis long-temps sa physionomie et ses habitudes; peuple fier, quoi- que pauvre, ne voulant jamais contructer d'alliance avec aucune autre race, quels que soient les avan- tages qu'ils pourraient en tirer; peuple enfin pré- sentant l'image de la saleté la plus dégoûtante, et une couleur basanée de la peau qui rend cette sa- leté encore plus hideuse. Généralement maigres et agiles, les Czingares se montrent adroits dans tons les exercices qui exigent de la force et de la sou- plesse. Leur physionomie est sauvage; leurs sour- cils arqués, du noir le plus foncé, donnent à leurs traits une rudesse toute particulière. Ils portent leurs cheveux très épais; et comme ils ont l'habi- tude de les dresser au-dessus de leur front, leur aspect a quelque chose de repoussant.

Si de la Hongrie on tourne ses regards à Test, vers la Transylvanie, on voit le sol s'élever d'une manière sensible et les montagnes se rapprocher de plus en plus; la Marosh baigne une portion de ce territoire; la partie élevée se couvre de forêts,

DIX-NEUVÏÈME SIÈCLE. 225

et l'ensemble du pays prend un aspect de plus en plus imposant. Les peuples qui habilent cette con- trée se ressentent autant de la nature sauvage du pays que de leur origine : on croit qu'ils descen- dent des Wallaques. Voisins de la Turquie, leurs mœurs se rapprochent déjà beaucoup de celles des Turcs. IViéfians, vindicatifs et paresseux, ils n'ont de l'antipathie que pour les autres peuples; ils igno- rent les arts les plus simples, et sont peu portés à la culture des terres; on peut les regarder comme une des nations de l'Europe dont la civilisation a été la plus retardée. Sans activité, sans industrie, ils passent nonchalamment leur vie à garder leurs troupeaux. On les vo»* plongés dans tous les vices qu'engendre l'oisiveté, contraste frappant avec l'activité des Saxons, auxquels \r commerce et l'industrie procurent l'aisance nécessaire au bon- heur.

Versle même côté orientalde l'Autriche on trouve la Buivowine, dont le sol est entrecoupé de monta- gnes assez étenduci'. et d'une assez grande élévation. Ces montagnes, qui sont des ramifica'ions des Car- pathes, forment les frontières naturelles de la Tran- sylvanie, sauf quelques plaines, d'ailleurs fertilisées par des eaux abondantes. Les habitans de cette contrée nous rappellent les mœurs des anciens pa- triarches, soit par la sobriété, soit par leur manière

de vivre. Uniquement occupés du Si.'n de leurs XLVI. iS

226 VOYAGES EN EUROPE,

bestiaux, ils mènent une vie purement nomade, et n'ont point en général d'habitations fixes; sembla- bles aux Tartares, avec lesquels ils ont quelque analo{;ie, ils transportent leur demeure ambulante dans d'autres contrées lorsqu'ils ont épuisé les nk- turages du canton ils vivaient. Il leur arrive souvent de quitter l'Autriche pour passer dans la Moldavie, car tous les pays sont indiFférens à un peuple pasteur; sa patrie se trouve partout la nature lui présente les moyens de fournir sans peine aux légers besoins de son existence.

La Galîicie, autre province orientale de l'Autriche, nest guère qu'une immense plaine sablonneuse, située au nord et au pied des monts Garpalhes, qui séparent la Galîicie de la Hongrie et de la Transyl- vanie. Des collines peu élevées et quelquefois d'une assez grande fertilité y varient le sol à l'inBni; mais ce sol ne s'améliore véritablement que près des bords de la Vistule; les récoltes sont très abon- dantes. Les habitans de la Galîicie sont générale- ment bergers ou agriculteurs. Vifs et spirituels, comme les Polonais, avec lesquels ils ne formaient autrefois qu'un même corps de nation , ils sont une des branches la plus intéressante de cette nation slave si répandue en Europe. Une tète large, des pommettes très écartées, un nez retroussé, des lèvres épaisses, et un corps robuste et fort les ca- ractérisent. On trouve aussi parmi eux les Gorales^

peuple lonais. Parn la Silés

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 227

peuple qui rappelle les Sai mates, ancêtres des Po- lonais.

Parmi les provinces du nord de i Autriche figure la Silésie, séparée par dcii chaînes élevées de la Hongrie et de la Moravie. Cette province, entre- coupée de montagnes, est sillonnée par des rivières qui en fécondent le territoire. Les habitans n'of- frent rien de particulier.

La Bohême est couverte d'un grand nombre de monts élevés qui hérissent presque entièrement son vaste territoire ; c'est surtout vers le nord et à l'ouest que l'élévation du sol devient considérable; presque tout le royaume est borné dans cette direction par les monts Sudètes. Les habitans de la Bohême sont industrieux et ont beaucoup de fabriques; ils ex ploitcnt les mines et les forêts; mais peu encou- ragés par le gouvernement et appesantis sous le joug impérial , ils sont quelque peu apathiques et entretiennent beaucoup de mendians et de vaga- bonds.

Parmi les provinces du centre de l'Autriche , la Moravie est une des plus industrieuses et des plus fertiles. Le terrain s'y élève par degrés à partir des confins de la Basse-Autriche, et des montagnes assez hauter^ en couvrent la partie la plus septentrionale. Ces montagnes sont des ra- mifications de la chaîne des Sudètes ou de celle *les Carpathes. La température change avec cette

:228 VOYAGES EN EUROPE,

élévation du sol, et la vigne, dont la verdure tapisse les rians coteaux de la Moravie méridionale, ne prospère plus sur les collines élevées des cercles situés vers le nord. Ainsi le sud de cette province est favorable à presque tous les genres de culture, et son sol varié offre Timagc de lu fécondité de celui de la Basse-Autriche. Cette bonté du sol con- tribue à raccroissement de la population. Les Mo- raves sont en général courageux et vifs. Plus rusés que les habitans de l'Autriche proprement dite, ils ont également plus d'activité. A la vérité, on ne retrouve plus chez eux celte simplicité de mœurs et cette bonhomie qui caractérisent l'Autrichien.

Si de la Moravie on vient dans l'Autriche propre, on trouve la vallée du Danube, considérée comme le jardin de l'Allemagne; elle réunit le sol le plus fertile à l'aspect le plus pittoresque. Cependant quoique la haute et Basse-Autriche offrent un ta- bleau si riant, le peuple y est grave, sérieux; et la prodigalité des dons du sol le rend en quelque sorte indolent et paresseux : une lenteur extrême carac- térise ses moindres actions. Ces légers défauts sont compensés par une grande loyauté, une sincérité sans bornes et une probité à toute épreuve. Les habitans de Vienne conservent en partie ce carac- tère, atténué seulement par les vices inséparables des réusions nombreuses.

En ^'éloignant de la Basse-Autriche , et portant

DIX-NEUVIEME SIÈCLK. JW

ses regards vers le sud, on voit, dit M. Marcel de Serres, la nature prendre un caractère plus grand et plus pittoresque. Des torrens impétueux rem- placent les rivières au cours paisible; au lieu de rians coteaux et de gras pâturages, on ne voit plus que des rochers souvent dépouillés de verdure et des forêts épaisses, retraite ordinaire des animaux farouches. La nature devient de plus en plus sauvage jusqu'aux montagnes du nord de la Styrie et de la Carinthie ; des plaines de neiges couvrent toutes les hauteurs, Tif et le sapin sont les seuls arbres qui élèvent leurs troncs monotones sur ces cimes battues par les tempêtes. Les habilans de ces con- trées, sans cesse obligés de lutter contre un climat rigoureux, sont t.'mples, hospitaliers et religieux, lis veulent être traités avec confiance; avec eux on ne doit jamais laisser rien percer dans son air qui sente la supériorité. Satisfaits de leur sort et bornés dans leurs désirs , par la douceur on obtient tout d'eux ; mais la violence les révolte, la méfiance les indigne et paralyse leurs bonnes et généreuses intentions. Ils ne veulent passer ni pour meilleurs ni pour plus mauvais qu'ils ne sont réellement. Leur langue est mâle et rude, et l'écho qui la répète sert souvent de signe de ralliement au voyageur é{»aré ou à l'infortuné que la pente rapide des mon- tagnes n'expose que trop à des chutes dangereuses. Si de la Styrie on avance plus au raidi vers l'A-

230 VOYAGttS EN EtHOPE.

driatique, le pays change d'aspect de luéme que lu physlononiie des peuples, l^ terre est plus fleurie, les montagnes ne vous entourent plus; au lieu d'une langue rude et dure, lair retentit des sons mélo- dieux d'un idiome plus doux; l'hospitalité des mon- tagnes est remplacée par l'activité avide du com- merçant. Ainsi, l'habitant de la Basse-Styrie et de la Carniole , comparé à celui de la Haute-Styrie et de la Carinthie, présente autant de différence qu'il y e 1 a entre une plaine riante et les vallons toujours rétrécis des montagnes.

A ces considérations sur les provinces et les peuples de l'empire autrichien , ajoutons quelques mots sur les Allemands en général. Us ont, surtout en Autriche, une sincérité et une fidélité à toute épreuve. Ils doivent autant ces bonnes qualités à leurs institutions qu'à la b3nté de leur cœur. Leur caractère paisible, leurs longs hivers les fa- milles se rassemblent dans des pièces d'une chaleur insupportable, tout les porte à des idées d'ordre et d'union dont ils ne°se départent jamais. Us aiment le travail, ils ont un penchant naturel à réfléchir sur tout, et ils conservent des sentimens très reli- gieux. La lenteur qu'ils mettent dans toutes leurs actions et rimporta#ice qu'ils y attachent, contri- buent à perpétuer ,armi eux ces idées d'honi:'''teté et d'hospitalité quils n'oublient jamais soit envers leurs compatriote»-, soit à l'égard de l'étranger : la

DlX-NËUVlÉMË SIÈCLE. Ml

bière qu'ils boivent auprès de leurs poêles énorn[)es, en fumant leurs pipes, contribue pour beaucoup à diminuer leur activité et à les rendre lourds. Les Allemands sont très révérentieux, et tiennent beau- coup aux titres de noblesse. Ils aiment aussi la mu- sique, et sont eux-mêmes bons musiciens. Ils se distinguent dans les arts mécaniques, dans les sciences, et surtout dans les ouvra^js d'érudition. En résumé, les Allemands sont (généralement sé- rieux et g;raves : leur gaité , lorsqu'ils en ont, ce qui du reste n'est pas commun , tient plutôt au carac- tère qu'à la tournure de leur esprit : ils sont gais comme ils sont honnêtes, pour la satisfaction de leur propre conscience, et souvent aussi , comme le remarque M. Marcel, dont nous empruntons les paroles, par une suite de la paix de l'àme, partage des êtres bons et simples. Les saillies leur sont presque inconnues, soit que leur esprit s'y refuse, soit que leur langue s'y prête ]j>l'u. En France, les bons mots sont, pour ainsi due, une chose vulgaire; en Allemagne, on n'aninw i^tuuais la conversation: aussi y est-elle bien moitis agréable qu'en France; n'y roulant jamais S4»r des matières aussi variées. Les Allemands disserteiit plus qu'ils ne causent. Ils portent dans la conversation la science qui est bonne dans les livres, «rtant aussi t3ut le contraire de ces Français qui Biettent souvent dans leurs livres ce qui convient au plus à la conversation. C'est à ce

231 VOYAGES EN EUROPE.

déFaut de tact qu'il faut attribuer la monotonie qui disparait dans la familiarité de leur intérieur. Lors- qu'on est assez heureux pour être admis dans l'in- timité des familles, on y trouve un charme que l'étranger ne peut jamais éprouver, parce qu'il ne voit les Allemands que dans des circonstances leur timidité naturelle et leur respect pour les usages paralysent la plus grande partie de leurs moyens. En les voyant dans l'intimité, on peut apprécier toute la bonté de leur cœur ainsi que l'étendue de leur instruction. Dans le monde les Allemands pa- raîtront ennuyeux, parce que leur esprit a besoin d'être tout-à-Faità son aise pour prendre son essor, et qu'ils manquent généralement de ces grâces et de ce vernis de politesse qui nous trompent sou- vent en France sur le mérite des individus.

Quant aux femmes, elles ont en Allemagne peut- être plus d'esprit que les hommes; leur lact et leur délicatesse les met, comme partout ailleurs, bientôt d'accord avec les mœurs de l'étranger. Générale- ment elles ont plus d'imagination que de véritable passion, et plus d'abandon que de sentiment. Beau- coup plus libres qu'en France jusqu'au moment elles se marient, elles se livrent aussi plus facile- ment aux impressions qu'elles éprouvent. L'amour leur paraît une vertu; en France il n'est jamais qu'une faiblesse. A la vérité, elles n'excusent qu'une seule passion; toutes celles qui suivent un premier

DIX-NEUVIÈMK SIÈCLE. 233

sentiment ne sont pour elles qu'un caprice coupable ou le fruit d'une imagination pervertie. Cette ma- nière d'envisager l'amour rend les femmes alle- mandes capables de bien des sacrifices pour l'objet qui a su les charmer, et elles s'abandonnent rarement au désespoir. Elles ne peuvent dans la simplicité de leur cœur croire qu'un homme d'honneur puisse feindre des sentimens qu'il n'éprouve pas, et qu'il se fasse un jeu de la plus noble de nos affections.

Dans leur intérieur, et une fois mariées, les femmes allemandes deviennent d'excellentes mères de famille. Elles gagnent aisément le cœur de leur époux par la manière dont elles remplissent leurs devoirs, surtout les Autrichiennes, qui ont peut- être moins d'imagination et plus de mœurs que les Allemandes en général. Dans la société les Alle- mandes sont aussi fort agréables, quoique moins spirituelles que les Françaises.

Sous le rapport des religions, l'empire d'Autriche en compte un assez grand nombre, et cette diver- sité de sectes influe nécessairement sur l'esprit comme sur les mœurs des habitans. On peut faire à cet égard une observation générale. Les peuples qui habitent le sud de l'Allemagne ont une imagi- nation plus calme et moins prompte à s'exalter que les peuples du nord de celte contrée. Aussi voit-on que l'esprit de cette secte y est beaucoup plus rare, et par conséquent les disputes religieuses moins

234 VOYAGES EN EUROPE,

communes. La seule province de TAutriche ron ait vu des guerres de religion est en Bohême. Voi- sine de la Saxe , du nord de la Baviè "e et de la Prusse, cette province semble avoir reçu l'impul- sion des habitans de ces divers royaumes; comme ces peuples, les habitans de la Bohême se sont laissé entraîner dans des disputes interminables sur des matières de controverse, qui ont donné lieu à des guerres d'autant plus terribles qu'elles avaient armé des citoyens contre des citoyens. Telles ont été les fameuses disputes excitées par Jean Huss et Jérôme de Prague , qu'on peut considérer comme les précurseurs de la réformation , de cette liberté de penser qui plus tard a fait tant de progrès dans le nord de l'Allemagne.

Les autres provinces ont évité les malheurs de la Bohême , soit par une suite du caractère des habi- tans, soit à cause de la protection modérée que les princes d'Autriche ont donnée à la religion qu'ils voulaient rendre dominante. De cette manière, les princes de cet empire ont évité les malheurs causés par le fanatisme, malheurs d'autant plus déplo- rables qu'ils ont porté un grand nombre d'hommes à regarder la religion comme une superstition mas- quée. Mais des exemples aussi illustres que réeens ont prouvé aux hommes les plus aveuglés, que la religion était aussi nécessaire à la prospérité des em- pires qu'au bonheur de l'homme isolé. En effet, ainsi

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 235

que Fa fort bien exprimé un des grands orateurs du siècle, la religion peut seule raffermir la gran- deur naissante, et consoler la grandeur qui n'est pas.

Il serait intéressant de connaître la différence qui existe entre l'Allemagne protestante et TAlle- magne catholique; on peut dire seulement que toutes les branches de l'industrie ont fait générale- ment plus de progrès dans le nord de l'Allemagne que dans la partie qui est restée catholique. L'agri- culture est plus avancée dans le sud que dans le nord. Il est vrai que la nature du sol y entre pour beaucoup. Les habitans du nord de l'Allemagne, vi- vant sous -an t » rigoureux et sur un sol peu pro- ductif, ont d L ■;' .igénier pour découvrir les moyens de s'assurer une subsistance que leur refusait une terre ingrate. C'est en effet du nord de l'Allemagne que sont sorties toutes les découvertes qui prou- vent l'esprit inventif des Allemands: Kepler et Leib- nitz virent le jour dans le nord de l'Allemagne. Les littérateurs et les savans du nord surpassent en- core aujourd'hui en réputation ceux du midi.

La religion catholique romaine est à la fois en Autriche la religion du souverain et de l'État. La plus grande partie des habitans de l'Autriche pro- fessent cette religion. C'est probablement le grand nombre de catholiques qui a porté pendant long- temps les empereurs à ne tolérer que cette croyance.

236 VOYAGES EN EUROPE.

Cependant Joseph II, voulant laisser les opinions religieuses entièrement libres, rendit un édit de tolérance pour toutes les religions. Depuis lors, les différentes sectes chrétiennes, le judaïsme et même le mi) )métisrae, y sont, tolérés.

L'archevêque de Vienne est le chef du clergé civil catholique de l'Autriche, tout comme celui de Saint- Polten se trouve à la tête du clergé militaire. Ce dernier a seul le droit de présenter à la nomination de l'empereur les sujets propres à remplir les places ecclésiastiques et militaires, comme celles des au- môniers des régimens et des villes fortes. Les ar- chevêques (erzbischof) et les évêques (bischof) des différens sièges de l'empire sont tous présidens du chapitre métropolitain. Lorsqu'un évêque ou archevêque vient de mourir, le chapitre a le droit ilt; proposer à la nomination de l'empereur un de ses membres pour remplacer celui qui n'est plus. L'empereur approuve ou annule cette nomination, sans qu'il soit nécessaire que le pape intervienne en aucune manière.

La population autrichienne compte à peu près les deux tiers de catholiques. Les protestans sont très répandus vers les frontières de la Saxe. Il y a beaucoup d'habitans qui suivent le rite grec dans la Hongrie, laGallicie, la Croatie et la Transylvanie. Le nombre des luthériens est généralement moins considérable que celui des réformés. En Bohème,

DLX-NEUVIÈME SIÈCLE. 237

les calvinistes surpassent de beaucoup le nombre des luthériens. £n Moravie, il existe ce qu'on ap- pelle les Frères Moraves, dont le premier établisse- men date de l'année 1457.

Les établissemens des Frères Moraves sont en quelque sorte les couvens des protestansv Leur culte est un mélange de protestantisme et de luthéria- nisme. Leurs associations, très libérales, ne sont gênée ' par aucune espèce de vœu ; tout y est volon- taire, cl tout cependant est en commun. Les hom- mes et les femmes n'y sont pas plus séparés que dans nos villes , et le mariage n'y est nullement in- terdit. Cette association, dit M. Marcel de Serres, présente cela de particulier, que le travail de cha- que individu qui la compose ne lui appartient point, mais bien à la communauté. La communauté pro- fite de l'industrie et des talens de chacun de ses membres, en leur donnant un traitement propor- tionné à leur degré de mérite. Long-temps ils ont mangé en commun; mais cette coutume s'est perdue en grande partie, à mesure qu'ils se sont étendus. Aujourd'hui, on voit dans ditierens Etats de l'Alle- magne, principalement en Moravie, en Saxe et en Prusse, des villriges entiers peuplés uniquement par des Frères Moraves. Tous ces villages se distin- guent par une grande propreté, ainsi que par l'ordre et l'union qui régnent entre tous les habitans. Us sont en général si paisibles, et tout s'y passe avec

238 VOYAGES EN EUROPE,

tant de silence, que Ton serait tenté de les croire déserts et abandonnés. Ces communautés sont diri- gées par des tieillards. '

Les deux sexes vivent séparés jusqu'au moment du mariage. Avant cette époque, les hommes et les femmes ht ent en commun , chacun de leur côté. Dansce&' ^.andes réunions, on a cherché à établir une égalité parfaite; jusqu'à présent on y a réussi. Quant aux dogmes des hernhutes, ils se rappro- chent beaucoup de ceux de la confession d'Augs- bourg et de la doctrine de Luther. On peut dire que la société entière est ecclésiastique : tout s'y fait du moins au nom de la religion , et uniquement pour elle. Une autorité invincible semble régir cette église qui n'a point de prêtre. Le vieillard le plus respectable de la communauté exerce les fonctions du sacerdoce; et lorsqu'il juge qu'un homme mérite mieux que lui d'en remplir les devoirs , il le prie au nom de ses frères de leur parler de Dieu. Lors- qu'on se trouve pour la première fois au milieu des Frères Moraves, on se croirait transporté aux pre- miers temps de l'Eglise chrétienne ; leurs mœurs sont si pures et leur genre de vie si austère, qu'on les prendrait tous pour autant de pieux solitaires. Une douceur sans égale et une bonté inaltérable les caractérisent, et, ce qui n'est pas moins extraor- dinaire, tous à peu près au même degré.

On voit encore en Autriche un assez grand nombre

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 230

de sectes différentes : ainsi en Transylvanie il existe plus de quarante-cinq mille unitaires ou sociniens. Ces unitaires y jouissent des mêmes prérojjativcs que les catholiques ou que les protestans. La plu- part sont Hon£[rois ou Szeklers.

Quant aux juifs, ils ne sont pas en Autriche aussi nombreux qu'on pourrait le croire; il ne s'y en trouve guère plus de trois cent mille, qui sont principalement répandus en Hongrie et en Gallicie.

L'instruction publique est assez avancée en Au- triche. Les établissemens destinés à l'éducation, in- dépendamment des écoles primaires, sont connus sous le nom de Gymnases et de Lycées. Les gym- nases existent dans la plupart des villes et ressem- blent beaucoup à nos collèges. Les lycées tiennent à la fois à l'éducation et à l'institution spéciale; on n'en voit que dans les villes il n'y a point d'uni- versité. Les universités sont des établissemens spé- ciaux pour les hautes études. Celle de Prague est très ancienne. Les élèves de ces universités jouis- sent d'une grande liberté dans le choix de leurs études et dans les actes de leur vie.

Nous ne suivrons pas plus loin M. Marcel de Serres dans ses excellentes descriptions de l'empire d'Autriche ; il a suffi à notre plan d'avoir fait con- naître les principaux traits de son ouvrage, notam- ment ceux qui avaient rapport aux mœurs et cou- tumes des habitans. Nous allons maintenant, et sans

V

240 VOYAGES EN EUROPE,

quitter pour ainsi dire le vaste territoire de lempe- rcur germanique > faire une excursion vers les limites orientales, au-delà de la Croatie et de la Dalmatie; nous débarquerons aux bouches du Cattaro, pour de pénétrer avec le colonel Vialla dans le pays des MonLCnégrinSi

V VIALLA.

(1810.)

Lorsque les Français , poussés par le génie con- quérant de Napoléon , s'avancèrent jusqu'aux portes de Castel-Nuovo en Illyrie, et de aux bouches du Cattaro, on entendit parler pour la première fois du peuple Monténégrin, qui, vers la tin de 1806, était descendu en masse de ses montagnes, à la voix révérée de Wladika, ou prince-évéque du pays, et que l'empereur de Russie avait attaché à sa cause. A l'approche des colonnes françaises vers Castel- Nuovo, dix mille Monténégrins, joints aux troupes qui débarquèrent sur la rive de laSaturina (torrent qui séparait alors l'Etat de Raguse des possessions turques), tombèrent inopinément sur notre armée et la forcèrent à la retraite jusqu'à Raguse, elle se rallia et repoussa l'ennemi. Les Monténégrins dispersés regagnèrent leurs montagnes, et les Russes se rembarquèrent précipitamment. C'est alors que le colonel Vialla se mit en route avec un soldat

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 241

pour pénêlrcr au milieu de ces nionta{Tnards, qui l'accueillirent avec empressement comme un en- voyé du grand Napoléon.

La partie du territoire occupée par les Monté- négrins est cette haute chaîne de montagnes qui s'élendent depuis la vallée de Garba, le long de l'Herzegowine, jusqu'aux confins du district de Castel-Nuovo du nord au sud , et sur toute la pro- vince de Cattaro de l'est à l'ouest. Le Monténégro tire son nom de sa situation et de son aspect même. Ses masses énormes, autrefois couvertes de sapins, paraissent noires de tous les côtés et sous tous les points; cetteteinte, d'autant plus sensible qu'il était tombé une assez grande quantité de neige, au- dessus de laquelle s'élevait leur cime, a dii détermi- ner sa dénomination chez un peuple guidé par la seule nature; on l'appelait en langue illyrienne Czernogoreou Czernogora, mont noir ou montagne noire: on devrait dire Monte-Nero, mais comme les Vénitiens en s'emparant du pays traduisirent le nom illyrien dans leur dialecte, on a dit Monté- négro.

Ce pays est situé entre le 36® et le 37® degré de longitude , et les 42" et 43® degrés de latitude. Il est borné à l'est par le cadalik d'Ântivari et la Zanîe supérieure; au midi, par les bouches du Cattaro, depuis le Pastrowichio jusqu'à la province de l'Her- zegowine; à l'ouest, par l'Herzegowine, comprise

XLV!. 16

242 VOYAGES EN EUROPE,

au viziriat Bosniatc, et par les montagnes supé- rieures de l'Albanie propre : il est par conséquent environné de trois côtés par le territoire turc, et du quatrième par TAIbanie cx-véniiienne.

Quelques rivières» prennent leurs sources dans cette contrée, partout entrecoupée de montagnes, et d'une situation à peu près semblable à celle des Alpes, mais en général d'un style plus sévère. Le climat est bien plus doux que celui de la Suisse, et peut se comparer à celui de la Macédoine. Le Mon- ténégro est le seul pays de l'Europe l'on ne voit aucune ville, ni même aucun assemblage d'habi- tations qu'on puisse y comparer. Les abords de ce pays sont partout difHciles et périlleux; aucun che- min tracé n'y conduit. 11 faut gravir plusieurs gra- dins en amphithéâtre en allant de cavités en cavités et en se cramponnant aux rocher^. Une fois sur la hauteur, on a un plateau assez étendu de terres à bruyères paissent de nombreux troupeaux. Le pic majestueux du Montecœlo se perd dans les nuages et se montre couvert d'une neige éternelle.

Les maisons djs Monténégrins sont isolées et construites grossièrement de branchages et de terre. Elles sont couvertes d'écorces d'arbres, lesquelles ont de vingt-cinq à trente pieds de long, et quatre à cinq pouces de large. On pose les écorces dans leur longueur, sur le cintre, d'où elles s'inclinent des deux côf.és sur les murs; et, placées l'une à côté

de l'auti des tuil De très à des ba »ure , afi sons n'o! loyer est en comn Gnégui verneur, considéra ordre offi Pt grande monts , et iefiet le proche. L mer qu'ur unes des ; dins; néan lables, pays. C'est Les mai •^'age, sont "ière, en ti 'Je soin; e flisposées "^ont îgnon ^'•«itecture,

DIX-iNEliVlfeMK 8I^:CLK. 243

(Je luutre un recouvrement Hlternatil'', à la manière des tuiles, elles abritent parfaitement la maison. De très grosses pierres sont fixées de chaque côté ù des barres de tra\er'-e qui contiennent cette toi- ture, afin d*ëviter les secousses des vents. Ces mai- sons n'ont, pour la plupart, qu'une pièce, dont le loyer est nu milieu : les bétes et les gens y habitent en commun. '•

Gnégussi, lieu de la résidence habituelle du gou- verneur, présente le plus bel aspect; un terrain considérable au centre de montagnes du troisième ordre offre un vaste plan circulaire; de nombreuses ot grandes habitations l'environnent au pied des monts, et, s'y élevant en amphithéâtre, produisent i'efiet le plus agréable. Cet effet disparaît à l'ap- proche. Les maisons, qui de loin semblent ne foi*- mer qu'un cordon continu, sont très éloignées les unes des autres, et la plupart environnées de jar- dins; néanmoins c'est un bourg des plus considé- rables, où se tiennent de fréquens marchés pour le pays. C'est le siège de l'autorité temporelle.

Les maisons, qui y sont presque toutes à un seul étage, sont aussi toutes construites de la même ma- nière, en très grosses pierres, taillées sans beaucoup (le soin; elles sont couvertes de dalles brutes et disposées sans régularité. Tout prouve que les arts sont ignorés ou tombés en désuétude. Point d'ar- c'iiilecture, point de règles, point d'ordre dans la

244 VOYAGES EN ELUOPE.

construction de ces maisons. Chacun y est son propre architecte, et lorsqu'il s*agit d^unc construc- tion de quelque importance, on a recours ù des maçons étrangers. Les couvens, les presbytères, sont bien bâtis; la maison du gouverneur et celles de quelques notables sont de ce nombre ; aussi of- Frent-elles un singulier contraste avec tout le reste. Nulle part ailleurs que dans les temples, on ne rencontre les traces de la sculpture; aucun genre de décor, ni à Tintérieur, ni à l'extérieur d'aucune habitation particulière; les meubles mêmes qu'on voit dans quelques endroits sont très grossièrement travaillés; et ceux qui réunissent à l'utilité quelques formes agréables y sont apportés de La Fouille, de Trieste, et plus souvent de Venise, par la province de Cattaro.

L'intérieur dés maisons est couvert de nattes et de tapis de lisières. Le feu se fait au milieu d'une pièce spacieuse; des pierres ou des escabelles de gros bois sont placées autour; on s'y assied en rond. C'est aussi que se préparent les alimens. Deux planches suspendues à des tringles de bois servent h placer le laitage et les viandes. Les habits sont accrochés à des chevilles dans un angle. Quelques coffres portatifs renferment ce que l'on a de plus précieux.

Les Monténégrins ont pour chef civil le gouver- neur, qui a au-dessus de lui le wladika ou prince-

DIX.NRIJVIKME SIÈCLE. 215

évoque. Celui-ci prononce en dernier ressort sur les affaires (graves. Cependant les homicides sont ordinairement vengés par la famille de la victime sur celle de Taj^rcsseur, si on ne peut pas le saisir lui-même. -

Leg habitans du Monténégro,' considérés en gé- néral, sont un assemblage d'hommes de la plus haute stature et des plus heureuses formes, dans les proportions de la belle nature. Aux traits du visage les plus réguliers ils joignent un regard as- suré, haut, superbe même, qui, imprimant à leur physionomie un extérieur sévère, semble au pre- mier coup d'œil justiBer l'opinion d'une dureté de cœur qu'ont accréditée les journaux sur de fausses relations; cette dureté n'est qu'apparente; ils ont le port noble, la démarche libre, mais fière, théâ- trale, et presque audacieuse. '•

Tous portent la moustache; elle est d'obligation , et le plus grand outrage qu'on puisse leur faire est de la toucher ou d'en parler avec dédain. Us tien- nent habituellement leurs cheveux rasés sur le front jusqu'à la moitié de la tête, dans la directinn d'une oreille à l'autre. «L'homme, disent-ils, doit montrer son front à découvert, s'il n'a point à rougir; et s'il a à rougir, il doit encore montrer son front à découvert, pour se corriger par l'ai- guillon de la honte. »

La plupart portent la barbe longue , ou du moins

I

2lfi VOYAGES EN EUROPE.

se rasent fort rarement. Jamais ils ne coupent leurs

ongles. .:,.,,.; ,.. r -ir*,.'.; ..-.v < -,,,. . ,. , rvA^^-:-

Ils sont remarquables surtout par la beauté de leurs jambes. Aussi sont- ils agiles, propres à la chasse, et en général à tous les exercices du corps. Ils saluent de la niain comme s'ils avaient les ha- bitudes du monde poli. Ce peuple compte environ cinquante-trois mille habitans.

Les Monténégrins sont tous d'une grande adresse dans le maniement de leurs armes : ils tirent avec la plus grande justesse et à une grande portée. On les forme de bonne heure à l'exercice de la cible. I ! *

Leurs habits sont d'une étoffe très grossière d'un gris blanc ou d'une couleur bleue. La casaque est à manches larges et s'agrafe sur la poitrine. La che- mise est sans collet. Les pantalons peuvent être serrés ou flottans et amples. On porte pour souliers des chaussons de peau de chèvre d'une seule pièce, qui prennent la forme du pied. Des pistolets sont passés dans la ceinture. Le fusil est en bandoulière. Les hommes portent ordinairement une espèce de havre-sac renfermant quelques vivres. Jamais aucun Monténégrin ne fait un pas sans être muni de toutes ses armes, et il a toujours à la bouche une pipe à long tube.

Les Monténégrines ont de belles formes, les yeux grands, pleins d'expression, de belles dents, une

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 247

physionomie avenante , un teint un peu basané , parce quelles sont assujetties aux travaux des champs; celles qui ne quittent point la maison sont très fraîches et très blanches. Toutes ont la poitrine large, et l'ont fort belle. Leur abord est aisé, leur parler agréable et insinuant; elles sont d'un naturel très souple, comme aussi d'une force extraordi- naire.

Leur habillement consiste en une longue et large tunique sans manches, sur une chemise encore plus longue à manches très larges et brodées à la grecque. La chaussure est la même que celle des hommes. Les filles ont pour ornement une grande quantité de monnaies ou de médailles, et portent une barelte de diverses couleurs.

La cérémonie du baptême est accompagnée d'une multiplicité d'aspersions abondantes; le pope à cet égard ne fait point grâce d'une seule goutte, et c'est pour le nouveau -né une véritable immersion. En plaçant les enfans dans le berceau on y met en même temps les attributs de leur sexe. Pour les garçons ce sont le fusil, les pistolets et le ganzard.

Les Monténégrines pendant leur grossesse n'ob- servent aucun régime et n'interrompent aucune- ment leurs travaux ni leurs voyages. Elles se char- gent des mêmes fardeaux, et accouchent au milieu des champs ou dans les bois, seules sans autre se- cours qu'elles-mêmes, sans pousser le plus léger

248 VOYAGES EN EUROPE,

soupir ni faire entendre la moindre plainte. Après s'être un peu remises, elles prennent l'enfant dans leur tablier, le portent au premier ruisseau ou à la plus proche fontaine, le lavent et l'enveloppent dans des haillons, pour le laisser à lui-même au bout de quatre mois d'allaitement.

Les Monténégrins ont des chiens de garde d'une grosseur extraordinaire, et qui font un horrible vacarme à l'aspect d'un étranger. Us ont la forme et la férocité du loup. Malheur à l'homme qui les aurait provoqués : c'en serait fait de lui!

Les filles des Monténégrins veillent sur leur con- duite avec un grand soin ; car si l'une d'elles devient enceinte c'est une calamité non-seulement pour la famille, mais pour tout le pays. Selon le voyageur Vialla, dont nous empruntons le récit, on fait des prières dans les églises, on s'en entretient partout comme d'une affaire d'Etat. La malheureuse victime de sa faiblesse ou de son amour est impitoyablement maltraitée, souvent même exposée à la mort. Chassée de la maison paternelle, personne n'oserait ouver- tement lui offrir un asile; elle est obligée d'aller se cacher dans quelque antre, «Ile finit par mourir de faim, ou périt dévorée par les bêtes leroccs. Quelquefoi elle s'expatrie; il en est aussi qui, pour ne pas survivre à leur honte , se sont précipitées des plus hauts rochers.

Une très belle fille de ce pays, connue sous le

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 249

nom de Nika, allait fréquemment à Cattaro, elle avait contracté des liaisons avec un sergent fran- çais; elle devint enceinte; long-temps elle cacha son état, mais une sœur l'ayant découvert en in- forma sa mère; ces deux femmes, subjuguées par l'opinion, entraînent cette infortunée dans les bois, l'attachent à un arbre, l'éventrent et lui arrachent l'enfant palpitant!

Heureusement, dit M. Vialla, ces scènes horribles sont très rares au Monténégro, il y a beau- coup de retenue parmi les femmes. On y connaît encore la timide retenue de l'innocence; les bonnes mœurs n'y sont pas en dérision ; aussi l'opinion pu- blique en est-elle la règle et le prix. D'ailleurs, les Monténégrines sont naturellement douces et d'une ingénuité touchante; elles sont sensibles et aiment avec constance; mais aussi sont-elles très jalouses et capables de se porter à tous les excès pour ven- ger l'humiliation d'un abandon coupable. En voici un exemple: une jeune Mor*" ^grine, d'une bonne famille, devint éprise d'un jeune compatriote; elle céda au sentiment qui l'entraînait. L'amant, après avoir tout obtenu, s'éloigna. L'infortunée, qui voit approcher le terme de sa honte, le cherche; elle emploie tout pour déterminer le séducteur à l'épouser. Elle pleure, caresse, menace, et toujours en vain. Enfin, indignée, elle lui dit : «M'épouses- tu , oui ou non ? Nous verrons. Explique-toi sur

i

IBO VOYAGES EN EUROPE,

l'heure. Eh bien ! je te le promets. Quand ? - Dans un mois. C'est trop tard; tu sais mon état, huit jours te suffisent.» Le jeune homme, croyant se débarrasser seulement de l'importunité de sa victime, lui dit : c Eh bien ! dans huit jours. » Maria lui présente aussitôt l'image de la Vierge : «Jure, dit-elle, jure -If ptr" la Madone. » L'aspect de cette image révérée, par laquelle les Monténégrins ne jurent pas vainement, découvre l'arrière-pensée de l'infidèle; il hésite : « Eh bien ? dit l'amante inquiète. Mais il faut... il faut... Il faut jurer. Je ne puis. Jures-tu? Non. » A ce mot, la jeune fille se précipite sur lui ; elle lui arrache son poi- gnard , l'en frappe au cœur , et se perce elle-même le s^'tn.

Nous venons de faire connaître la rigidité de raœurs des filles Monténégrines; indiquons quelques traits relatifs à leur hyménée.

Lorsqu'une jeune fille est recherchée en mariage, le père du garçon ou quelqu'un des plus proches parens se rend dans la maison avec laquelle il veut foriper alliance. On lui présente les filles, ci il choisit celle qui lui plaît, sans s'inquiéter si elle sera du goût de celui qui doit l'épouser. Rarement il éprouve un refus, car en ce pays on ne fait nulle attention à l'état ni à la situation ni à la fortune de l'époux, et il arrive souvent qu'un Monténégrin ac- cord 3 sa fille à son fermier, même à sou serviteur.

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 351

Le mariage convenu, le futur est amené chez la fiancée; dès qu'ils se sont vus et qu'ils ont témoigné le moindre désir réciproque de s'unir, le mariage est conclu sans qu'il y ait besoin de contrat, car les Monténégrins n'ont pas de notaires, leur parole suffit, d'autant plus que la femme n apporte jamais en dot qu'un simple trousseau. Le prêtre bénit l'union, après avoir confessé la jeune fille. 11 y a un banquet et des réjouissances qui durent quel- quefois plusieurs jouvs, pendant lesquelles l'époux ne peut approcher de sa femme que furtivement; on exige même qu'ils dorment tous deux séparé- ment jusqu'à la fin de la noce.

Chez ce peuple une femme u'ose appeler en public son mari par son nom , la première année du mariage; elle en charge une autre personne, mais toujours sans le nommer, se servant de l'expres- sion : appelle celui-là. Elle s'en fait un scrupule ^lors même qu'elle est seule avec lui. De son côté le mari observe la même réserve à l'égard de sa femme.

Si une demande de mariage a été rejetée , il ar- rive quelquefois que le jeune homme refusé se rend furtivement avec quelques amis à la maison de la fille, l'enlève bon gré, malgré, et la conduit devant le prêtre, qui moyennant un léger salaire les unit, nonobstant toute réclamation. Si cepen- dant un anneau nuptial avait été donné auparavant ,

h1

252 VOYAGES EN ErROPE.

il faudrait le restituer, avant de pouvoir contractet

un nouvel engagement. r ,. <•

Il existe encore parmi les Monténégrins des al- liances ii^.times ou fraternités darmes, qui sont inviolables. Ces alliances se font avec un csntuin appareil devant le prêtre, qui bénit les arru ;;î p«j. sées en croix sur le seuil de la porte Chacnn des deux amis y porte la uiain dcoile, tandis que la gauche touche le cœur, et dans cette attitude ot) se donne le baiser d'alliance , en jurant de vivre et de mourir l'un pour l'autre. Après ce serment, les îleux amis 1 ;v;)t i'^'change réciproque de leurs armes, et à la mor[ de Tiiin d\;ux elles appartiennent au sur- vivant. Vn î 1 pacte est rarement violé , il résiste à toutes ks épreuves. Les offenses faites h l'un sont communes à l'autre.

Les Monténégrins ont un grand respect pour les moris. Les parens du défunt lui parlent à Toreilie, pleurent etlui donnent des commissions pour l'autre monde, en lui attachant au cou un morceau de gâteau , et en lui mettant dans la main une pièce de monnaie, à la manière des anciens Grecs. Le corps descendu dans la terre, on donne un grand repas mêlé de chants bachiques et de prières. Les hommes laissent croître leur barbe en signe de deuil ; les femmes se couvrent la tête d'un mouchoir bleu ou noir pendant la première année du décès, si c'est un mari ou un de leurs enfans , chaque jour do fête

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 253

elles vont pleurer et déposer des fleurs sur sa tombe, en demandant à haute voix au défunt des nouvelles de i'autre monde.

Nulle part croyance aux revenans, aux -sor- ciers, aux malins esprits, n*est plus invétérée qu'au b'ontenegro. Les fantômes, les rêves, les prestiges, poursuivent sans ce^se leur imagination; mais rien n'égale la terreur que leur inspirent les cadavres \^es individus frappés d'excommunication, et jetés au hasard sans sépulture. Le sol qui les a reçus est une terre maudite à jamais; ils s'en éloignent à une grande distance; et si le lieu se présente à leur sou- venir , ils se croient poursuivis par des revenans. Enfin ces hommes , qui affrontent tous les périls , ne révent que sorciers et esprits malins; tous leurs discours peignent la terreur dont ils sont atteints.

D'autres croient voir les ombres de leurs aïeux planer dans les nuages et sur leur tête; ils leur adressent la parole dans le silence et les ténèbres; ils croient entendre leur voix; ils conversent avec les ombres, leur donnent des commissions pour d'autres morts; et, dans le délire de leur imagina- tion , ils se figurent être eux-mêmes en communi- cation ouverte avec l'autre monde.

En résumé, les Monténégrins sont hardis et in- trépides dans les combats ; rusés, irascibles , ils sont terribles dans leurs ressentimens. Ignorans et vains, ils sont superstitieux dans leur religion; avides de

254 VOYAGES En EUROPK.

nouvelles, ils sont d'une crédulité stupide. Ils sont intéressés dans les affaires , mais très exacts dans leurs relations commerciales; bons et hospitaliers envers les étrangers qui réclament loyalement lasile ; fidèles à leur parole, constans en amitiés; pleins de piété envers leurs pères et mères; très attachés à leur patrie, et surtout jaloux à Texcès de leur indépendance. Ce qu'il y a de plus honorable- ment remarquable chez ce peuple, c'est la pro- fonde vénération qu'il a pour la vieillesse. Lorsque les jeunes gens aperçoivent un vieillard, ils pres- sent leurs pas, s'approchent respectueusement de lui, le baisent sur la poitrine et s'inclinent hum- blement. Celui-ci porte la main étendue sur leur tête , et les baise au front.

Chez les Monténégrins la vengeance se trapsmct de père en fils, et ne s'éteint qu'après une longue série d'attentats réciproques, et en la rachetant quelquefois avec des sommes plus ou moins consi- dérables. Alors une réconciliation publique a lieu; il y a messe solennelle, les deux familles y assisf ent ; le kmeti ou tribunal spécial, composé de vingt- quatre vieillards , dont douze au choix de chaque famille, se réunit; le prêtre fait jurer la paix : le coupable ou les coupables sont à genoux; l'agres- seur porte suspendue au coa l'arme meurtrière qui fut l'instrument dti dernier assassinat; les dcu.: ennemis se tendent réciproquement les bras, se

DlX-NEUVIÈMË SIÈCLE. 255

serrent Tun contre Tautre; les assistans applau' dissent, et la réconciliation est définitivement ac- complie.

Traversons l'Adriatique et la péninsule italique pour nous rendre à Tile de Sardaigne, et en dire quelques mots , à l'aide du voyage de M. M imaut.

MIMVUT.

(1820.)

L'île de Sardaigne est située dans la Méditer- ranée, entre les 5** et 8" degrés de longitude est, et les 38" et 42*" de latitude nord. Sa longueur du sud au nord est d'environ cent quatre-vingt-cinq lieues marines, de 25 au degré, et sa largeur moyenne de quatre-vingt-deux lieues. Sa circonférev 'îe est d'en- viron cinq cents lieues marines. Elle a .'Espagne à l'ouest, la France au nord-ouest. Gènes au nord, la Toscane et Rome au nord-est , Naples à l'est , la Sicile et Malte au sud-est, Tunis au sud, et Alger au sud-ouest.

La mer qui sépare la Sardaigne des côtes de la Toscane s'appelle la mer Tyrrhénienne , et celle qui en baigne la partie occidentale, la mer Sarde. On donne le nom de Bouches- Bonîfacio au détroit de huit milles de large qui sépare cette île de l'île de Corse.

L'île de Sardaigne est divisée en deux parties à

25(i V;OYAGES EN EUROPE,

peu près égales; Vune au midi en face de l'Afrique, l'autre au, nord, 8«''parée de la Corse par le détroit de Bonifacio. La partie septentrionale est beaucoup plus élevée que la partie méridionale. Le sol est coupé par plusieurs chaînes de montagnes, séparées entre elles par des vallées. Le mont Genargantu est regardé comme le point culminant de toute Tile; mais ces diverses hauteurs ne passeraient ailleurs que pour des monticules ou des collines, ce qui donne à la Sardaigne un aspect moins sauvage que celui de la Corse, et la fait paraître de loin, en .mer, comme une surface plane.

A très peu d'exceptions près, le sol de la Sar- daigne est suffisamment arrosé, et compte un assez grand nombre de rivières et de ruisseaux d'eau vive. 11 n'est guère de monticule ou de coteau de l'île qui n'offre une source d'eau limpide et fraîclie. La plaine qui environne Cagliari, capitale de l'île, est moins bien partagée, à cause de sa situation basse au bord de la mer et de la présence des eaux saumâtres. On compte sept rivières princi- , pales, dont le Tirso ou fleuve d'Oristano est le plus considérable.

La Sardaigne jouit généralement d'un climat tempéré, et la partie septentrionale rappelle même assez habituellement celui des plus belles contrées de l'Italie. 11 est malheureusement altéré et déna- turé par des vices de localité ou par la constitution

DIX-NEUVIÈME Sl.ÉCLF 267

physique du pays. Nulle part on ne voit des varia- tions de température aussi fréquentes et aussi com- plètes. Ces brusques transitions occasionnent de nombreuses maladies, dont la plus fréquente est ceWc quon nomme Viritempérie. j, ;, ,

La Sardaigne a néanmoins beaucoup de cente- naires , ce qui prouve que la qualité de Tair et des eaux n*est pas la seule cause qui ait arrêté le pro- grès de la population. Elle comptait un million deux cent mille habitans sous la domination ro- maine , et elle était tombée au tiers de ce nombre sous la domination espagnole. Elle n'avait qu'en- viron trois cent vingt-sept mille âmes en 1720^ époque la maison de Savoie en prit possession ; et aujourd'hui elle en a environ quatre cent vingt raille.

Cngliari , capitale de la Sardaigne , est située k l'extrémité de la partie méridionale de cette île, au fond d'un golfe qui porte son nom. L'aspect de cette ville, en venant de la mer et à l'entrée du golfe, est imposant; mais vue de près, elle est gé- néralement laide. Elle s'élève en amphithéâtre de- puis le port jusqu'au sommet d'une haute colline, se trouve placé un fort. La rade et le port sont mis au nombre des plus spacieux et des plus sûrs qui soient en Europe. Cagliari a quelques beaux édifices et un grand nombre de monumens histo- riques. Cette ville est le principal lieu d'iraporta- XLVl. 17

258 VOYAGES KN ECHOPE.

lion et d'exporlation du commerce de la Sardaig..L>,

et ses liabitans, dont le nombre dépasse vin(];t mille,

sont plus policés que ceux des autres parties de

l'île.

Cette lie produit beaucoup de grains, de vins et de fruits. Elle nourrit de beaux chevaux et mou- tons, et fabrique du tabac. Elle a quelques mines d'argent et de fer; mais sa véritable richesse miné- ralogique est le plomb. Elle possède un grand nombre d'espèces et de variétés de marbres. Au- cune des îles de la Méditerranée n'est aussi riche en quadrupèdes, et elle n'a pas une seule bétc fé- roce. Outre les chevaux et les moulons que nou8 venons de citer, elle a des ânes, des bœufs, des vaches, des chèvres, des cerfs, des daims, des sangliers, et paraît posséder exclusivement laboc- camèle, espèce de martre intermédiaire entre la belette et l'hermine, qui aime beaucoup le miel; d'où lui est venu son nom de boccamèle ou bouche à miel. Nul animal ne s'apprivoise plus facilement; la boccamèle est de la maison dès qu'elle y entre ; on la régale de lait et de sucreries. Elle a un cri de colère et de joie, et par une espèce de gémisse- ment, elle avertit qu'elle veut sortir, bien diffé- rente de la belette, qui est toujours silencieuse et qui ne donne jamais de voix qu'on ne la frappe. Les enfans en élèvent, et des femmes en portent comme des bichons. La Sardaigne est également

DlX-NËllVIfilMESlfcCLfc:. 25»

riche en perdrix , en cailles et en grives ; mais c est surtout par ses céréales qu'elle est renommée; clic était un des greniers de la capitale du monde.

Les Sardes ont prouvé de laptitudc pour les sciences, les lettres et les arts ; mais ils sont (géné- ralement insoucians, paresseux et légers; ils aiment le luxe et les fêtes; ils sont doux, pacifiques et hospitaliers. Leur indifférence pour le travail est un effet naturel de la chaleurs du climat et de la fertilité du sol. Dans la vie ordinaire ils sont d'une rare sobriété. Ils sont extrêmement difficiles sur la qualité du pain , qu'ils veulent excellent et d'une blancheur éclatante. La jalousie est une des causes (les nombreux assassinats qui se commettent dans cette île; le moindre attentat k l'honneur des femmes et des filles est à l'instant vengé, surtout dans les villages et dans l'intérieur des montagnes : c'est que les femmes se cachent encore quand vien- nent des étrangers; elles ne se mettent point à table avec eux. Les montagnards sardes portent la pelisse.

De l'île de Sardaigne repassons sur le continent , et donnons un rapide aperçu de l'Italie, tel que nous l'avons retracé nous-méme en 1821.

2G0 VOYAGES EN EUROPE.

ALBERT-MONTÉMONT.

(1821.)

Dans notre Voyage aux Alpes et en Italie *, nous nous sommes appliqué à faire surtout connaître les principales villes de Tltalie supérieure et les prin- cipales routes des Alpes. Aucun pays n a été, peut- être, plus souvent visité et décrit; chaque année une multitude de touristes anglais le parcourent dans toutes les directions. L'Italie, paradis des sens, est encore aujourd'hui la terre classique des beaux- arts, et la France y envoie ses jeunes peintres étu- dier les modèles antiques. Notre Bibliothèque uni- verselle ne pourrait contenir, même en abrégé, les diverses relations publiées sur cette contrée tou- jours nouvelle, sur cette patrie enchaiîîcresse de Virgile et du Tasse, de Pétrarque et de Monti. Les Lettres sur l'Italie par Dupaty sont justement cé- lèbres; il en est de même de la Corinne de madame de Staël, et d'une infinité d'autres ouvrages qui sont dans toutes les mains; il suffit de les citer. Plus récemment un amateur de la peinture et des arts, M. Valéry, a décrit les richesses en ce genre; et M. Simon, voyageur consciencieux, a aussi re- tracé ses impressions en Italie, après avoir vu l'Hel- vétie et l'Angleterre. M. le marquis de Forestaa donné,

' Trois voluin(>8 in-18, troisième édition. Paris, 1827.

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DIX-NEUTIÈME SIÈCLE. 261

en 1825, des lettres, qu'il avait écrites en 1805 sur la Sicile, et M. Nervo les a complétées par un Tour en Sicile, accompli en 1833. Un autre voyageur, M. Bertolotti, a exploré en 1834 toute la Ligurie maritime *.

De l'ensemble de ces divers voyages et de quel- ques autres qui nous échappent, on pourrait tirer une description assez complète sur l'Italie. Nous allons seulement, d'après notre Voyage aux Alpes précité, et notre Voyage aux cinq parties du Monde ', indiquer quelques traits physiques et moraux de cette terre, si bien dépeinte par Filicaja dans un sonnet plein de sensibilité ^.

L'Italie a pour limites au nord et à l'ouest les Alpes, au sud-ouest et au sud la Méditerranée, et à l'est la mer Adriatique; circonscrite ainsi entre deux mers et les plus hautes montagnes de l'Eu- rope, elle s'étend obliquement, avec la Sicile, du nord-ouest au sud-est , entre 36 degrés 40 minutes et 46 degrés 40 minutes de latitude nord , et de l'ouest à l'est, entre 3 degrés 20 minutes et 16 degrés 18 minutes de longitude est. Sa plus f^rande longueur, des Alpes carniques à l'extrémité sud-

' fïaggio nella Liguria matittima, di Davide Bertolotti. Torino, 1834,3vol.in-8*». ' Six volumes in-18. Paris, 1823.

^ Italia ! italia ! o tu cui feo la sorte

Dono infelic»' di hollezza , etf.

262 VOYAGES EN EUROPE,

est de la Sicile, est de trois cents lieues; sa plus grande largeur, eu égard à la Savoie qui dépend du Piémont, est de cent quarante lieues jusqu'à Venise ; sa moyenne largeur, de Rome à Ancône, ou de la mer Tyrrhénienne à la mer Adriatique, varie de trente à cinquante lieues. Sa superficie totale est de quinze mille lieues carrée», et sa population d'environ vingt raillions d'habitans, qui se répartit de la manière suivante :

Italie supérieure ou septentrionale.

Royaume iombard-vénitiea 4,080,000 habitans.

Royaume sarde 4,145,000

Duché de Parme 400,000

Modène 380,000

Massa 100,000

Lucques 172,000

Toscane 1,500,000

République de Saiat-lVIarin 5,000

États romains ou de l'Église 2,360,000

Italie inférieure ou mérdionale.

Royaume des Deux-Siciles 6,800,000

19,942,000 Malte (pour mémoire) 90,000

Total 20,032,000

L'Italie , dont le climat varie considérablement du nord au midi, mais est en général très douxt présente des aspects extrêmement divers. Il est inutile de parler de ses monumens anciens et nin

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 263

dcrnes, et de la fécondité de son territoire; tout cela est trop connu. ; ,,

La chaîne des Apennins se développe comme un long ruban sur Tltalie, depuis le col de Tende elle commence, jusqu'en Calabre elle finit. Le lac Majeur, le lac de Côme et celui de Garda, sont les trois plus belles nappes d'eau d'Italie. Ses principaux fleuves sont le ou l'Éridan , le Tésin , l'Adige , l'Arno , le Tibre et le Voltiirne. Elle compte plusieurs volcans, tels que le Vésuve et Stromboli près de Naples, et l'Etna ou Mont-Gibel en Sicile.

Les Italiens, courbés depuis des siècles sous le joug d'une obéissance passive et monacale, ont contracté des habitudes superstitieuses; mais leur inteHij^ience n'est qu'assoupie, et elle se réveille souvent. Dans la classe éclairée on rencontre l'ur- banité et les manières françaises. On peint les Ita- liens comme vindicatifs et fourbes, mais la loyauté n'est pas plus rare chez eux qu'ailleurs, et souyent leur dissimulation est une néi^essité imposée par ^i nature de leurs gouvernemens. Les Italieunes ont de la grâce et delà beauté, une allure aisée, mais les mœurs un peu relâchées, aoit à cause du climat, soit à cause de la teneur despotique des lois du pays. Les Italiens sont passionnés pour la musique, et leur langue mélodieuse s'y prête admirable mont.

9

Tous les Etats italiens sont des monarchies ab

264 VOYAGES EN EUROPE,

solues; mais il en est de très modérées, comme en Toscane , les sciences et les arts sont dans une situation très florissante. 11 n'existe aucun lien commun entre ces divers gouvernemens. Le culte catholique est le seul toléré en Italie.

Jetons un rapide coup d'œil sur ces Etats et sur leur capitale, en commençant par le midi.

Le royaume de Naples ou des Deux-Siciles, jadis appelé la Grande-Grèce, doué du plus beau ciel, serait le plus agréable de l'Europe, sans le voisinage quelquefois dangereux du Vésuve et de l'Etna; les montagnes qui le couvrent y tempèrent la chaleur et alimentent de nombreuses rivières. La Sicile propre est le grenier de l'Italie, comme elle l'était déjà du temps des Romains, qui la nommaient Trinacria , à cause des trois caps qui la cerminent. Palerme en est la capitale, dans une plaine fertile et riante, sur un golfe auquel elle a donné son nom. Nous avons eu déjà occasion de parler de la Sicile, nous pouvons donc nous borner ici à la nommer en passant.

Naples , i'ancienne Parthénope , capitale du royaume des Deux-Siciles, est une belle et grande ville , peuplée d'environ trois cent cinquante mille habitans; elif est située sur le bord de la Médi- terranée. Sa magnifique rue de Tolède, ses trois cents églises, ses trois châteaux forts, notamment eelui de Saint-Ëlme sur une colline dominant la

DIX-NEUVIÈME SIÈGL'^. 266

cité , son port de cent milles de circuit, son théâtre Saint-Charles, voilà des merveilles que tout le monde connaît. '

Les Etats Romains ou de l'Eglise or ^ pour capi- tale Rome, assise sur les deux rives du Tibre, et prolongée avec une muraille, sur sept '^oUines prin- cipales, qui lui donnent un circuit de cinq lieues.

L'église Saint-Pierre avec son immense coupole, chef-d'œuvre de Michel -Ange, est le plus bel édi- fice de l'univers. Le Vatican a de magnifiques pein- tures et une précieuse bibliothèque.

Le Capitole est toujours debout. Rome, qui a compté jadis prts de quatre millions d'habitans, ne contient plui guère aujourd'hui que cent soixante raille âmes.

Après les Etats Romains se présente la Toscane ou l'Etrurie, pays fertile en fruits, vins, blé et mûriers, possédant des carrières de marbres, des raines de fer, et un gouvernement snge , qui réside à Florence, sa capitale, assise dans une plaine fé- condée par TArno, qui débouche dans la Méditer- ranée. Florence, peuplée de quatre-vingts milleâmes, a toujours son Académie délia Crusca, et sa fa- meuse galerie de peinture.

Après la Toscane viennent les Etats sardes , com- posés du Piémont , de l'ile de Sardaigne, de la Li- ffurie, de Nice et de la Savoie. Us ont pour limites au nord la Suisse vers Genève, à l'est la Lom-

2GG VOYAGES EN EUROPE,

bardie, au sud le golfe de Gènes, et à Touest la France. Le Piémont, qui prend son nom de sa po- sition au pied des Alpes, renferme d'excellens pâ- turages et récolte au-delà de ses besoins ; il est ar- rosé par le Pô, qui descend du Mont-Viso et va déboucher au-dessous de Ferrare dans TAdriatique. Sa capitale est Turin , la plus régulière de toutes les villes de Tltalie ; elle est bâtie sur la rive gauche du Pô, a ses rues tirées au cordeau, un palais clé- gant, un superbe théâtre, de vastes places, des boulevards, une citadelle, et cent dix mille habi- tans. On remarque dans ses environs le chAîeau de la Superga, le Saint-Denis des rois de Piémont.

Le pont sur le est une des plus belles cons- tructions du règne de Napoléon.

Dans la Ligurie, dont le territoire longe la Mé- diterranée, noiTS trouvons la seconde ville du royaume sarde, la superbe Gênes, pairie de Chris- tophe Colomb, ci-devant capitale d'une république, qui avait, comme Venise, un doge pour chef; elle est bâtie en amphithéâtre au fond d'un golfe qui offre un port excellent : c'est la ville aux palais de marbre, la rue Neuve en <;st bordée. Masséna sou- tint à Gênes un siège mémorable. Ses toits en ter- rasses sont cou ertb de fleurs. Elle réunit environ quatre-vingt mille habitans.

Le royaume lombard-vénitien se compose de la Lombardie et de l'iinoienne république de Venise.

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 2ft7

Il est borné au nord par les Alpes qui le séparent de la Suisse, h Test parle Frioul, au sud par les États romains et les duchés de Modène et de Parme dont le le sépare, et à Touest par le Tésin et le lac Majeur qui le séparent du royaume sarde.

Milan, capitale du royaume lombard -vénitien, est située dans une riche plaine, sur TOlona, entre le Tésin et rAdda,qui communiquent avec la ville par des canaux. Nous avons donné de cette ville une description très détaillée dans notre Voyage aux Alpes et en Italie. Le dôme de Milan , d'une construction magnifique, est tout en marbre; le théâtre de la Scala est le plus grand de l'Italie; la bibliothèque Ambrosienne contient plus de cent mille volumes. Milan est le Paris dn l'Italie, par ses cafés, ses hôtels, se*' restaurateurs, ses journaux, ses cabinets littéraires, son Champ de Mars, ses fiacres, ses boulevards, ^es bals, ses théâtres, et l'aménité de ses hab'tans, qui sont au nombre de cent cinquante mille : le long séjour des Fran- çais y a produit toutes ces métamorphoses.

Venise, dont notre Voyage aux Alpes contient aussi une description très détaillée, a pour mu- railles les flots, étant située à l'extrémité septen- trionale de la mer Adriatique , sur cent trente-huit petites îles qui communiqjent entre elles par plus de cinq cents ponts , et qui forment plus de quatre cents canaux de différente larjjenr, dans lesquels

208 VOYAGES EN EUROPE,

naviguent environ dix mille gondoles, espèce de bateau remplaçant les voitures, et qui, par leur couleur noire comme l'eau fétide sur laquelle on les dirige, ne ressemblent pas mal à des corbillards filottans sur des fleuves d'encre.

Venise a environ vingt-cinq mille maisons, toutes bâtis sur pilotis, parce que le terrain n'est pas ferme; sa population est d'environ cent cinquante mille habitans, distribués sur deux lieues et demie de circuit. La ville est partagée en deux parties égales p"r le grand canal de la Zecca, qui a cent pieds de Margeur, et traverse la ville de l'est à l'ouest en formant de nombreuses sinuosités. La place Saint-Marc , qui a trois cents pieds de long sur cent de large, est ornée de superbes édifices, parmi lesquels on remarque la basilique et l'ancien pa- lais du doge.

L'arsenal est un immense édifice du lU" siècle, placé sur une île ayant cinq milles de tour. La bi- bliothèque de Venise renferme plus de trois cent mille volumes. Enfin le pont de Rialto, jeté sur le grand canal de la Zecca au centre de la ville, est un très bel ouvrage en marbre, d'une seule arche très élevée , afin que les bàtimens à voiles puissent passer dessous. 11 a plus de cent pieds de longueur, et est orné d'un double rang de boutiques. C'est près de ce pont que furent jetés les premiers fon- demens de Venise.

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 269

Les Italiens, en général, pour résumer notre opinion à leur égard , cultivent les lettres plutôt par passion que par métier; ils suivent leurs études dans le silence de leur cabinet, et c'est qu'il faut les chercher pour les bien connaître. Malgré les entraves mises à la presse par leurs gouvernemens, ils publient un grand nombre d'ouvrages et de journaux o^.. recueils périodiques. Les préjugés ne pèsent plus guère que sur les feratncs , mais il faut convenir qu'elles en subissent cruellement le joug. Depuis le berceau jusqu'à 'a tombe, elles sont pla- cées dans une sorte d'ilotisme, par l'ascendant que les prêtres ont conservé sur elles, et par le régime absurde des lois ou les honteux usages observés à leur égard jusqu'à l'instant du mariage, et même après. , , .

Ainsi que nous l'avons dit dans notre y'oy^^'^ nux Alpes et en Italie , tant qu'elle n'a point trouvé de mari, une iille doit habiter la maison de son père, de son frère aîné . ou de celui de ses parens qui est devenu le chef de la famiUe. Elle est tïomme une pupille incommode; elle doit vivre, agir et parler sous la direction de la maîtresse du logis et sous la surveillance des domestiques, ou bien se retirer dans un couvent. Elle ne reçoit pas de dot, à moins d'un acte spécial de son père, ou bien d'être unique héritière , ce qui est rare dans un pays les propriétés foncières sont toujours laissées à la

270 VOYAGES EN KUUOPE.

branche masculine. La portion assi(;néc à une de- moiselle est a..)rs gérée par des curateurs qui l'ex- ploitent suivant leurs propres intérêts. D*mi autre côtéf les moines emploient tous les moyens pour faire prononcer ''^s vœux à une fille, et dès qu'ils y ont réussi , la jeune personne devient esclave de son serment, qu'elle ne saurait plus rétracter les parens portent quelque intérêt à une jolie p^.- pille sans fortiAie, ils la donnent, ou plutôt la vendent à un Iionime usé, à un vieillard, à con- dition qu'il la fera son héritière. Dans cette situa- tion, elle attend le jour il mourra, pour disposer des biens qu'il a promis de lui laisser. Si elle se refusait à un pareil accommodement, elle serait maltraitée, et enfermée tout de suite au fond d'un cloître, d'où elle ne pourrait plus sortir; et, Dieu merci, ks cloîtres d'hommes et de femmes ne man- nueist paf e:i Italie!

, Épouse, la jeune Italienne ne peut jamais s'oc- cuper du ménage , ni améliorer le bien-être de son mari; cela serait de mauvais ton. Le gouvernement de Napoléon avait essayé de détruire ce préjugé; mais les Français furent à peine rentrés dans leurs anciennes limites , qu il reprit tout son empire.

La femme italienne a cessé d'être ce qu'elle avait été un moment, la maîtresse de ses domestiques, et s'est rassise à table, comme un hôte invité, pen- dant que !e confesseur s est réinstallé dans la mai-

DIX-lNKl]Vlfi:MK SIÈCLE. tit

son conjugale pour remeltre les péchés qu'il lui plaîl, et pour exercer librement son avarice, sa sensualité et sa domination, qui sont en Italie, bien plus qu ailleurs, trois passions dominantes.

La femme ainsi établie, ou restée fille, a-t-clle acquis quelques talens brillans, et devient-elle, sous ce rapport, un peu marquante? Par jt on se moquera d'elle ; l'arme <lu ridicule irp. ^r^er jusque dans le plus humble réduit ^ et e! {jardée comme un monstre qu'il faui vitci à l'égal du démon. Voilà pourquoi les femmes cé- lèbres sont rares en Italie.

Il n'y a que les intrigues amoureuses qui puis- sent en Italie dédommager une femme de l'espèce d'interdit lancé contre elle. A peine mariée, comme son époux court les maîtresses et en entretient publi- quement, l'Italienne se dispose à devenir infidèle; entourée d'adorateurs nombreux, qui passent leur vie à visiter le plus de dames qu'ils peuvent, le matin dans leurs appartemens et le soir dans leurs loges au spectacle , elle jette les yeux sur un des postulans, et choisit d'ordinaire le plus traitable, celui qu'elle avait le plus long-temps rebuté; l'in- trigue devient un besoin pour elle, et ses passions un autre besoin de son existence. Le cavalier ser- vant est aussitôt un hôte d'habitude dans la maison de sa maîtresse, il lui sert à la fois de trésorier et d'intendant; lorsqu'elle est au piano, c'est lui qui a

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272 VOYAGES EN EUROPE,

l'heureux privilège de tourner le feuillet; il Tac-' compagne au bain, à la promenade, aux assem- blées, dans ses visites; en un mot, il ne la quitte jamais , si ce n*est de temps en temps pour pro- mener le petit chien de la belle. Le mari ne fait nulle attention à de pareilles assiduités; l'adultère en Italie est toléré comme un mal nécessaire, et qu'il n'est point possible de corriger. Ainsi, point ou peu de tendresse, ni conjugale ni maternelle: une femme voit son mari sans cesse occupé d'af- faires amoureuses; elle l'imite, et ses occupations ne lui laissent point assez de temps pour ses devoirs de mère; c'est une nourrice, une bonne, ou quel- que autre domestique qui les remplit. Voilà l'usage, voilà la mode parmi le beau monde; nulle Italienne n'oserait s'en écarter, de peur des quolibets de l'un ou de l'autre sexe , et tous les directeurs des con- sciences féminines les façonnent d'ailleurs à cette règle, au maintien de laquelle le célibat du sacer- doce lui-même est plus qu'intéressé. , ,j ; j, ,n; jRepassons les Alpes sans nous y arrêter, parce que nous en avons parlé dans les généralités mises en tête de ce volume, et traversant la France allons faire, avec M. Pichot, une promenade en Angleterre^ contrée dont nous n'avons rien dit encore.

DIX-NEllYlÈMË SIÈCLE.

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Le Voyage de M. Pichot en Angleterre et en Ecosse ^ est plutôt littéraire que géographique; mai» il renferme quelques détails de mœurs qui peuvent trouver ici leur place avec ceux que nous pouvons y réunir en les puisant dans d'autres ouvrages, comme, par exemple, le Voyage axfx montagne d'Ecosse, par M. Charles Nodier ^. , . :-»

Dans notre Voyage aux cinq parties du Monde , Dous avons essayé de caractériser les trois peuples de la Grande-Bretagne; savoir, les Anglais, les Écossais et les Irlandais; nous rapporterons ici ce que nous disions d'eux en 1828; nous y joindrons ensuite ce que l'ouvrage de M. Pichot nous four- nira pour compléter le tableau et remplir notre objet.

S'il fallait, disions-nous alors d'après une revue anglaise , et d'après nos observations faites sur les lieux, rapidement il est vrai; s'il fallait juger leca^ ractère des peuples des trois royaumes unis de la Grande-Bretagne suivant leurs actions, on pourrait dire que l'Anglais est guidé par l'habitude, l'Écos- sais par la réflexion , et l'Irlandais par l'impulsion.

' Trois volumes in-8». Paris, 1825. » Un volume in-8*. Paris, 1823. XLVI.

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274 VOYAGES EN EUROPE.

UAnglais est froid , repoussant dans ses manières « se lie lentement et difficilement d'amitié; il est poli, mais non cordial; sa figure, plutôt que son cœur, vous accueille chez lui ; il ne cherche point la corde qui vibre à votre oreille; il n'a en vue qu'une chose, c'est le moment il congédiera son hôte. 11 aime à se vanter de son pays, en même temps qu'il murmure contre les lois qui le régissent. Écoutez ses plaintes : il est réduit à la mendicité, il va mourir de faim; mais regardez sa demeure, c'est un palais, et, pour lui, il étoufte dans son embonpoint. S'il remplit tous ses devoirs envers sa famille, s'il esî, doux et poli envers ses domesti- ques, c'est moins par affection que parce qu'ils sont ses domestiques et sa famille.

En toutes choses perce chez lui l'égoïsme, le moi éternel ; et si l'Anglais parvient à guider sa barque, il s'inquiète fort peu que le reste du monde surnage ou s'enfonce dans les flots. Mais s'il ne sait pas aimer avec ardeur, sa haine n'a pas d'amertome. 11 paraît franc et loyal dans ses actions et b a- roles; aussi peut-il être souvent dupe. L'empire de l'habitude se remarque chez lui jusque dans ses plaisirs : il fréquente le même café, s'assied à la même place, boit la même sorte de liqueur, lit les mêmes journaux; semblable à cet homme qui, la première fois qu'on lui présenta une asperge, la mordit par le mauvais bout, et voulut depuis faire

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 275

toujours de même , si FAnglais avait eu le malheur de tomber dans une pareille méprise, il voudrait constamment y persister. C'est, en un mot, un être d'habitude et de formes, soumis passivement aux lois établies, plein de sincérité, d'honnêteté et de raison, mais opiniâtre dans ses opinions, et remar- quable surtout par son tempérament flegmatique.

L'Écossais, loin de se tenir à l'écart, de vivre in- dépendant des autres, et de trouver son plus grand bonheur à se concentrer en lui-même, comme le pratique l'Anglais, se porte en avant, et sa passion pour les autres décide de son amour ou de sa haine. La recommandation la plus légère lui suffit pour ouvrir sa maison à un étranger; son accueil est cordial ; mais il va disputer avec son hôte, l'en- tretenir de sa personne et de ses affaires dans les plus grands détails, l'accabler à son tour de ques- tions, et, à force de politesses et d'attentions, faire excuser une curiosité souvent impertinente. D'abord enthousiaste, il soumet ensuite votre caractère et votre fortune à l'analyse, dès que vous l'avez quitté; s'il y remarque un côté défavorable, il le note avec soin : tant que ia fortune vous sourit, vous ne trouverez nulle part un homme plus dis- posé à vous être utile, qui vous serve plus effica- cement. Êtes-vous dans le malheur, il prend aussi- tôt congé de vous et vous laisse sans cérémonie. Si on n'a pas à lui reprocher l'apathie commune aux

276 VOYAGES EN EUIIOPE.

Anglais, on n'a pas également à louer en lui la sincérité de celle-ci ; il est plus profond mais moins tenace. ' L'Écossais des montagnes , ou Highlander, avec son manteau de serge rayée , sa claymore , ses bro- dequins, ses jupons et sa toque, a une allure plus vive que l'habitant des plaines, ou Lowlander; l'un et l'autre ont été dépeints dans les romans de Wal- ter Scott *, qui se trouvent dans toutes les mains, depuis le dernier artisan jusqu'au monarque. Il est dès lors bien inutile que nous reproduisions ici des portraits universellement connus.

On a VU des Anglais être pris pour des Ecossais, et des Écossais pour des Anglais : jamais un Irlan- dais ne donnera lieu à cette méprise, et il ne res- semble qu'à lui -même. Si le hnsard vous le fait rencontrer, il est à l'instant votre ami; il n'est pas d'admiration qu'il n'éprouve pour votre personne, et il vous loue en face jusqu'à l'hyperbole. Mais qu'une autre idée, quelle qu'elle soit, effleure son esprit, il devient aussitôt votre ennemi. Il parta- gera avec vous sa dernière pomme de terre; mais, dit l'écrivain morose qui nous sert d'autorité, avant que vous l'ayez mangée, peut-être aura-t-il déjà enfoncé dans votre gorge le couteau qui avait servi à la couper: ceci, toutefois, nous semble exagéré.

Notre traductiOrTi en 30 volumes in-S" a eu, en 1836, les hon- neurs du stéréotypage chez MM.Firmin Didot , les premiers typu graphes France. "••'" ' '< •< ''•■• i

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DIX-NEUVIÈME 8IÊCLE. 277

; Avez-vôu8 envie d'employer Tirlandais, ajoute le même auteur , il possède toutes les coiiiiaissances, |)eut tout faire; son âme, sa vie, son bien , tout est à votre disposition. Si vous le mettez à Tépreuve, il fera à peine la moitié de ce qu'il vous a promis. Néanmoins il met tant de naïveté dans toutes ses actions, que, malg^ré Texpérience, on se laisse tromper de nouveau. Son amitié n'est pas franche comme celle des Écossais : c'est l'égoïsme de la passion , le besoin d'une bienveillance immédiate , sans aucun retour sur le passé, sans calcul pour l'avenir; il est victime, il est esclave de son en- traînement, etc'est à cela qu'il sacrifie amitié, hon- neur, patrie, succès dans le monde, tout enfin. Quand il vous jure un attachement éternel, vous ne devez pas douter de sa sincérité, mais il change malgré lui sentiment. Gai, brillant, agréable ^ dans ses manières, il semblerait partout devoir réussir; mais moins solide que l'Anglais, moins prudent que l'Écossais, et portant ses vues à des hauteurs qu'il ne peut atteindre, il fait des chutes continuelles. D'ailleurs l'ambition ne l'occupe pas long-temps, d'autres passions hii succèfh^nt promp- tement. Au surplus, pour bien juger un Irlandais, on prétend qu'il faut le surprendre à jeun.

En somme, l'Anglais marche droit vers le but; l'Écossais fait çà et quelques détours; l'Irlandais vole de côté et d'autre, se renverse avec fracas, et

278 VOAYGES EN EUROPE,

souvent termine sa course au point il l'a eoin- mcncée. L'Anglais est persévérant, mais tardif; l'Écossais, plus varié, a plus d'intensité d'esprit, quoique moins opiniâtre sur un même sujet; l'Ir- landais, c'est la légèreté du vent, mais c'en est aussi le vide. Un Anglais en pouvoir est hautain, froid, réservé; un Ecossais, intrigant, mais dans le seul but d'obliger les siens; l'irlandais oubliera ses in- térêts pour sa vanité, et quicoaquc saura le flatter en fera sa dupe. En Ecosse, un homme est banni pour avoir commis un grand crime ; en Angleterre, pour un crime plus léger; en Irlande, pour la moindre faute; d'où il suit qu'à Botani-Bay un Ir- landais peut devenir excellent homme, et un Anglais homme passable, tandis que l'Ecossais restera scé- lérat.

Ajoutons cependant, disions -nous déjà en 1828 dans notre Voyage aux cinq parties du Monde précité, et ce qui est bien plus vrai, aujourd'hui 1836, que depuis la paix de 1814, les individus des classes infé- rieures dans les trois royaumes, surtout en Angle- terre, ont plus de douceur, de politesse et d'amour pour le travail, sont moins sujets à l'ivrognerie, s'instruisent davantage, et lisent avec empressement les ouvrages qu'on multiplie et que l'on met à leur portée.

Pour compléter ce portrait sur les trois peuples de la Grande-Bretagne , nous emprunterons à notre

DIX-NEUVIÉMB SIÈCLE. 27»

Voyaf^e à Londres * le coramcncement du premier chapitre, nous avons essayé de caractériser som- mairement les peuples anglais et français.

«Le voya^veur qui, pour la première fois, passe des rivages de France aux riva(][es britanniques, re- çoit des impressions si différentes d'une contrée k 1 autre, qu'il lui est d'abord assez difficile de bien s'en rendre compte. Un liquide intervalle d'environ fiept lieues, qu'un bateau à vapeur franchit en moins de trois heures, suffit pour tout changer à ses re- gards et leur offrir une plage tout autre par ses aspects que celle qu'il vient de quitter. 11 n'y a qu'un moment de vastes plaines et de vertes col- lines à demi cultivées, des villages et des villes H) vie se déploie, mais l'opulence n'est pas le caractère, frappaient ses yeux : maintenant il aper- çoit des dunes blanchies par l'Océan , des coteaux en parfaite culture, des champs, des enclos ou vergers enveloppés de haies vives et éclatans d'une verdure délicieuse; partout des habitations propres et agréables, des villages peuplés avec une éton- nante surabondance, et annonçant malgré cela une aisance générale. Tout à l'heure son oreille était flattée de l'harmonie d'un langage clair, élégant et sonore; actuellement elle ne saisit plus que les sons durs ou monotones d'un idiome surchargé de con-

' Voyage à Londres, en 1834. Un volume in-8**. Pari», Prévost Grocius etDelaunay, Palais-Royal, 1836, seconde édition.

280 VOYAGES EN EUROPE,

sonnes et de monosyllabes. Enfin, naguère encore, il voyait folâtrer un peuple vif, aimable, léger, brillant, poli et quelque peu moqueur; au lieu qua présent le voici chez une nation grave et pensante, active dans son silence, froide, égoïste, vous regar- dant à peine, et tout entière à son objet, l'amour du gain. » ..■ i w , -. . .,

Rapportons également le tableau que dans le même ouvrage nous avons présenté de Tensemble de Londres; car, après avoir caractérisé une grande nation, il n'est peut-être pas sans intérêt pour nos lecteurs d'avoir une idée de sa capitale.

« Londres se révèle d'abord par de larges avenues garnies de trottoirs et bordées de commodes habi- tations composant des villages qui s'y agglomèrent successivement et en reculent les limites; il se ré- vèle ensuite par un immense dôme de fumée qui plane éternellement sur les toits en briques, d'un rouge sombre, de ses maisons basses et à petites fenêtres, déjà au nombre de près de deux cent mille; puis encore par les clochers d'innombrables églises, dont la plus grande, celle de Saint-Paul, est elle- même dérobée par ce vaste brouillard ou amas fu- mant, qui presque toute Tannée intercepte les rayons du soleil. Plus on avance, plus le spectacle devient animé, imposant, gigantesque. Ce n'est pas loutefois que la vue de ces bâtimens, composés de deux ou trois étages, noircis par la fumée de cliar-

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DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 281

bon et d'une construction triste et uniforme, attire votre attention; elle en serait bientôt rassasiée; mais vos yeux sont cbarmés par l'élégance de ces grillages en fer qui garantissent les quatre marches de la porte extérieure et les fenêtres du rez-de-chaussée de chaque maison et longent les trottoirs en dalles ou en bitume, comme ceux du boulevart des Italiens, près Tortoni, trottoirs de deux mètres de large, au bord desquels, de cinq en six mètres et demi de hauteur, sont les réverbères, dont le gaz éclaire les rues pendant la nuit et y jette une lumière presque aussi vive que celle du jour. Vous jouissez de cette admirable propreté et de ce luxe général qui distinguent l'extérieur comme l'intérieur des habitations; vous aimez cette activité prodigieuse de piétons s'avançant entre deux flots croisés, celui de droite qui occupe le côté des mai- sons, et celui de gauche qui suit le trottoir du bord et de la rue, les voitures se croisent elles-mêmes en s'évitant avec la même vélocité, la même adresse qu'autrefois les chars des jeux olympiques. Vous ne remarquez, il est vrai, nulle gaîté sur le front "des passans; ils semblent tous absorbés dans leurs idées de négoce; ils ne causent point, ou du moins causent peu, et marchent comme un seul homme qui cheminerait dans un désert. Il n'est pas jusqu'au porteur d'affiches qui, la planche derrière le dos, ou pour mieux dire sur les épaules, ne garde le

282 VOYAGES EN EUROPE,

même silence, interrompu seulement parles accla^ mations burlesques de quelques charlatans toujours à l'affût de Finstant favorable pour détourner ou tromper la vigilance du piéton provincial ,. et lui voler son mouchoir ou sa bourse. De loin à loin quelques beaux édifices vous apparaissent, comme afin de rompre le monotone aspect de ces avenues de vingt à trente mètres de large et de plusieurs lieues de longueur qui portent le nom de rues, au nombre d'environ douze mille, et dont par inter- valles les deux rangs parallèles de maisons se re- culent et dessinent environ soixante -dix places appelées squares^ à cause de leur forme assez or- dinairement carrée ; en passant de la rive droite à la rive gauche de la Tamise, pour arriver au centre de la capitale, une forêt de mâts qui vous déro- bent le fleuve, depuis les grands bassins ou docks jusqu'au premier pont de Londres, en remontant i<j uours de l'eau, vous donne enfin une juste idée de cette incomparable métropole.

«Londres, sans être insalubre, n'a point un beau ciel comme Paris. S'il a des rues plus belles et mieux alignées, les maisons qui les forment sont basses avec de petites fenêtres et des toitures dépourvues d'élégance, sur lesquelles planent une atmosphère triste et lourde. Londres n'a point de palais comme la Bourse et le Louvre, ni de boulevarts comme les boulevarts de Paris. Londres a pour lui son im^

DIX-NEIIVIÈMK ^lÈCLE. 283

mensité géométrique; sa pop .Aion de un million cinq cent mille habitans, sa richesse colossale, sa force industrielle, tandis que la métropole fran- çaise a ses beaux édifices, ses théâtres, ses boule- varts, son amour des arts et sa puissance intellec- tuelle et morale, avec une population d'un million d'habitans. Enfin, Londres, par ses grillages en fer devant ses maisons, par ses palissades et ses autres moyens de défense, et qui trahissent le désir d'une possession individuelle et exclusive; par le charla- tanisme de ses affiches et la barbarie grotesque de ses enseignes, révèle un peuple mécanique , machi- nal, égoïste et adonné par -dessus tout au lucre, tandis que Paris montre une sociabilité facile, un esprit de communauté qui l'emporte sur les intérêts individuels, un peuple communicatif , aimant à se réunir, non pour s'enivrer, mais pour danser : le Londonien ou le Cockney, comme on l'appelle, exerce le plus son estomac, le Parisien, son esprit et ses jambes; le Londonien est buveur, taciturne et lourd, et le Parisien sobre, expansif, babillard et léger. »

Transportons-nous maintenant avec M. Pichot dans la capitale de l'Ecosse et rapportons briève- ment ce qu'il en dit.

« A tout lecteur de Walter Scott , la colline d'Ar- thur's-Seat (le trône d'Arthur), qui domine Edimr

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284 VOYAGES EN EUROPE,

bourg, est une éminence presque aussi familière que Montmartre aux Parisiens. Ce rocher, de huit cent trente pieds au-dessus de la mer, offre une vue magnifique de TAthènes du nord , panorama le plus extraordinaire que puisse fournir aucune ville d'Europe. A l'est , la vaste étendue des flots se con- fond avec l'azur du ciel, et plus au nord, se rétrécit progressivement jusqu'à l'embouchure du Forth. entre les rivages du Lothian et du comté de Fife. L'œil se repose agréablement sur les îles dont le golfe est parsemé; et quand le soleil mêle les riches nuances de ses rayons à leur verdure, on peut les comparer avec le poète à des émeraudes enchâssés dans de l'or : emeralds chassed in gold. C'est Inch- Keith avec son fanal élevé, c'est l'ile de May, consacrée jadis à saint Adrien, et de laquelle un autre phare protège aussi les pilotes; c'est Inch- Colm, fameuse par un ancien couvent, fondé sous les auspices de saint Colomba; c'est Inch-Garvie, jadis fortifiée; au sud, sont les montagnes de BraicI et de Pentland. A l'occident est l'élégante éminence de Corstorphine, et au-dessous les cscarpemens de Saliibury's-Craings, semblables à une couronne murale. Toutes ces hauteurs et celles d'Arthur s-Seat forment l'amphithéâtre au milieu duquel s'élève Edimbourg avec son château assis sur une roche centrale de trois cent cinquante pieds, et une der-

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 285

nière colline à l'est appelée Calton-Hill, que sur- montent l'Observatoire et la tourelle monumentale érigée »\ Nelson-.» •. .. ..

De la cime d'Arthur's-Seat on voit, à gauche, se déployer la masse des bàtimens noirs de la vieille ville, qui, commençant au château gothique d'Ho- lyrood, est couronnée de l'espèce de tiare que forme le clocher de Saint-Gilles , et terminée par la citadelle; adroite, est la Villeneuve, toute régulière et d'une éclatante blancheur : Tune, fille austère et sombre du moyen âge, l'autre, fille élégante de la civilisation. La ville neuve a ses rues tirées au cor- deau, ses squares, la coupole de son église de Saint-Georges, sa colonne Trajane élevée à lord Melville, la brillante terrasse de Prince's-Street, les portiques du pont du Nord, sa magnifique rue qui descend jusqu'au port de Leidi; tout cela est digne de l'Athènes du nord; les sombres maisons de la ville vieille n'ont de loin rien d'exagéré dans leur hauteur, bien que quelques-unes forment jus- qu'à douze étages. On dirait que les architectes de cette étrange cité , ayant devant les yeux les monu- raens éternels du trànr. d'Arthur, et du rempart que figurent les Salisbury's-Craings, ont prétendu riva- liser avec ces édifices de la nature.

Au pied de Salisbury's-Craings, Edimbourg com- mence par le château d'Holyrood. De la cour de ce palais une longue rue mon le jusqu'au château; cette

280 VOYAGES EN EUROPE,

rue (High-Strect) que les habitans d*£dîmbour(r proclament la plus belle du monde, parcourt un espace de cinq mille cinq cent soixante-dix pieds, et dont la plus grande largeur est de quatre-vingt- dix : c'est qu'elle s'appelle High-Street (rue haute). Jusque-là, depuis Holyrood, son nom est Canongate. Au milieu de Canongate s'élevait jadis deux croix, dont l'une, Girth-Cross, servait à mar- quer la limite du sanctuaire d'Holyrood. Ce sanctuaire jouit encore de ses privilèges : les débi- teurs y trouvent un asile inviolable; ils y vivent soumis à la seule juridiction du gouverneur héré- ditaire du château. S'ils contractent des dettes nou- velles sur les lieux, ils sont poursuivis par leurs nouveaux créanciers, qui peuvent obtenir prise de corps contre eux ; mais vis-à-vis des créanciers de l'extérieur, ils sont en sécurité parfaite dans tout le faubourg et ce qu'on appelle le Parc du Roi, qui comprend dans son enceinte Arthur's-Seat et Sa- lisbury-Craings. ;. v -■.;,' r; .-,; ; :; .

La partie la plus élevée de la Canongate se com- pose de maisons fort anciennes et surtout fort mal bâties dans leur régularité bizarre; mais quelques- unes montrent encore des armoiries qui attestent que c'était dans ces hôtels qu'habitaient jadis les fiers barons écossais. Parmi ces vieilles habitations on rencontre aussi la maison du fameux John Knox, apôtre de la réforme en Ecosse, qui fit entendre

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 2«7

un langage si dur aux voûtes féodales d^Holyrood , en présence de Marie-Stuart.

Edimbourg, quoique plus particulièrement ville de noblesse et de procureurs, est aussi très com- merçante. Le port de Leith en fait partie, et l'on y trouve une population nouvelle, active, nombreuse et bruyante. Edimbourg est encore plus glorieuse d'être une seconde Athènes par ses philosophes, ses orateurs, ses critiques et ses poètes. Il se publie dans cette ville deux Revues S dont les articles sont lus et recherchés avec empressement dans le monde littéraire. ' '- ^

Les dîners et les soirées réunissent souvent le» coteries, et indépendamment de celles des libraires ou marchands, il existe celles des du Deffant calé- doniennes, où Ton discute sur les graves questions jour. De père en fils les Ecossais sont réputés, depuis long-temps, les argumentateurs les plus opiniâtres; en religion, en sciences, en politique, il y a toujours eu deux partis. Les dames d'Edim- bourg ont la démarche plus gracieuse en général que les dames de Londres; leur taille est aussi plus élancée et plus forte à la fois; elles ont en outre un pied plus grand, et l'on pourrait conseiller aux jeunes personnes d'Edimbourg l'adoption des minces pantoufles de nos Parisiennes. Du reste, la plupart joignent aux grâces de leur corps quel-

' Èdimburgh review; Blackwood magazine.

288 VOYAGES EN EUROPE,

ques talens agréables, surtout celui du la musique. L'espace nous manque pour explorer avec M. Pi- chot toutes les curiosités de la capitale de TEcosse, et pour décrire avec le voyageur le manoir de Walter Scott, situé dans le voisinage d'Edimbourg. Ces détails sont d'ailleurs presque généralement connus. Nous terminerons notre revue en nous transportant une dernière fois dans la Scandinavie pour parler du voyage de M. Daumont en Suède, et de celui de M. Twinlng en Norwége.

DAUMONT.

(1830.)

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M. Daumont prit la voie de mer pour se rendre en Suède. Il s'embarqua au Havre le 24 mai 1830, et six jours après , il était en vue de la Norwége. Il entra dans le Skager-Rack, bras de mer resserré entre lo Danemark et la Norwége, et qui précède le Catégat et le Sund. La navigation est assez dan- gereuse dans ces petites mers intérieures et étroites, parsemées d'écueils, de bancs de sable, que les tem- pêtes bouleversent et déplacent à chaque instant. La vue maritime du Sund est une des plus belles de l'Europe , après Constantinople et Naples. M. Daumont débarqua à Elseneur, ville danoise de douze mille habitans, puis il franchit le détroit pour toucher à Helsingborg, ville suédoise sur la

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DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. SM)

côte opposée, est peuplée d'environ deuf mille ^ huit cents habitnns. De ce point notre voyageur s achemina vers .ockho1m.ll remarqua dansle trajet que bs routes de la Suède sont partout u rnsées de distance en distance par des barrière , afin qu*" les bestiaux ne puissent s'égarer. Il avait se munir de papier-monnaie, ou billets de banque, la seule monnaie nationale de la Suède. H passa à Jœnkœping, viKi> ie à l'extrémité du lac Wetter, lequel a tr^.nte lie.u 4 de long sur sept à huit de large. Oettc ville, parfaitement bien bÀtie, a des rues il'uu aspect très gai, régulièrement percées et bordées de jolies maisons en bois peintes exté- rieurement. Sa population est de trois mille cinq cents hnbitans.

M. î)aumoT)t eut pour la première fois dans cette ville occasion de remarquer la petitesse des lits suédois : ce ne sont autre chose que des espèces de couchettes ou de canapés fort étroits, et par con- séquent très incommodes; il est impossible que deux personnes puissent y coucher : j'imagine, dit le voyageur, que le sanctuaire matrimonial a des lits d'une autre dimension.^^-» 'muf;i'» ,'»;jnfi t

M. Daumont gagna ensuite Linkœping, fort jolie petite ville d'environ quatre mille âmes, chef-lieu de la provinc*^ d'Ostrogouliie, et il remarqua dans sa rouie d'Helsingborg à Stockholm, trajet de près

de deux cents lieues, que presque tout le monde en

XLVi. ly

200 VOYAGES EN EUROPE.

Suède voyage en voiture; il n'y a pas, dit-il, un habitant, à moins qu'il ne soit tout-à-fait misérable, qui ne possède un chariot et un cheval. Loisqu'on arrive dans un village, si Ton se trouve obligé d'en- voyer un commissionnaire à la plus petite distance, il attelle aussitôt son cheval à sa voiture; jamais il ne part à pied. Au surplus, ces voitures sont lé- gères , bien construites , propres et agréables à la vue. Des relais de poste sont établis à quatre ou six lieues de distance sur toutes leç routes. Il y a dans chaque relais un maître de poste ou gestgifvare , qui tient toujours des chevaux prêts. A chaque re- lais on présente un registre il faut inscrire ses noms et qualités, et l'heure du départ; en cas de plainte on en fait mention. Les chevaux sont pleins de feu, petits, mais de formes élégantes. Rien n'égale la célérité avec laquelle on voyage ; les voi- tures filent comme l'éclair, et on relaie en une mi- nute. Les coursiers partent au moindre signe et au galop, sans avoir jamais besoin du coup de fouet. La manière de les exciter diffère de la nôtre , le postillon frappe fortement ses lèvres l'une contre l'autre, comme un fumeur qui aspire sa pipe, et pour les arrêter on crie prrr,prrr; c'est, comme on voit, un dialecte à part.

La Suède, dit M. Daumonl, porte tous les ca- ractères d'une grandeur et d'une majesté qui lui sont propres; il y a de la poésie dans ses sites d'une

DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 291

admirable variété; le talent de l'artiste serait im- puissant pour peindre avec fidélité les teintes tour à tour douces et sauvages , agrestes et sublimes de cette contrée. Il atteignit Norkœping, ville de douze mille âmes sur la Motala, qui se jette dans la Bal- tique deux milles plus loin. Notre voyageur observe ici que les villes de la Suède ont rarement des mo- numens durables; il ne faut point s'attendre à y rencontrer ces chefs-d'œuvre des arts qui décorent souvent nos grandes villes ; les maisons, d'une con- struction légère et ordinairement en bois, ont par- tout le même aspect, un peu monotone, mais d'une charmante recherche d'élégance et de propreté.

Norkœping est la première ville manufacturière du royaume; un bateau à vapeur est établi entre cette cité et Stockholm; M. Daumont en usa, il se trouva bientôt dans la capitale de la Suède, dont l'aspect imposant excita en lui une juste admiration. 11 en donne une description détaillée, que nous ne reproduirons point, parce que déjà il a été ques- tion de cette ville dans le voyage de Coxe et dans celui de Capell Brooke. Nous ne reproduirons ici que quelques traits de mœurs, et pour cela nous irons tout d'abord dans la province de la Dalécarlic;, c'est-à-dire au cœur de la Suède, avec le voyageur, qui lui-même s'est aidé du voyage de Forsell , publié en 1830.

Le Dalécarlien réunit la franchise, la probité à

292 VOYAGES EN EUROPE,

rintclligence, à la gravité qui distingue Thomme indépendant; il est en général fortement constitué. Son front est éievé, son regard ouvert, et sa dé- marche ferme et assurée ; ses réponses spirituelles contrastent avec son air rude. Content de ses pro- pres droits, il n'envie jamais les privilèges d'autrui; il supporte plutôt Tinsulte la plus vive que froide moquerie. Le paysan est ordinairement le maître de la terre qu'il cultive, et quelque faible que soit cette propriété, elle suffit pour lui donner ce ca- ractère fier et indépendant qui distingue toutes ses actions. A sa mort, son bien se partage entre ses enfans màles; il en résulte souvent des lots si faibles, que le nouveau propriétaire , ne pouvant tirer son existence de l'agriculture, est obligé d'y ajouter quelque autre branche d'industrie ; mais tel est son attachement pour le sol natal, qu'il n'en vendrait point la moindre partie. Le Dalécarlien tutoie tout le monde, et cependant il n'y a pas en Suède de contrée les autorités soient plus respectées. Lors- que le gouverneur de la province ou le juge de l'arrondissement est attendu dans quelque village pour y exercer ses fonctions , et que la nuit le sur- prend en chemin, les habitans s'empressent de venir au-devant de lui avec des torches de sapin pour éclairer la route. Cette marque d'empresse- ment respectueux est offerte sans servilité et volon- tairement.

DlX-NEUVlÊME SIÈCLE. 203

Le Dalécarlien montre beaucoup de présence d'esprit dans les circonsf<>'^ces graves et imprérues: habitué à lutter contre un climat dur et un sol ingrat, il apprend de bonne heure à bien combiner les ressources de son activité. 11 fabrique lui-même les ustensiles de son ménage et ceux de l'agriculture non -seulement pour son usage, mais pour les vendre, afin de suppléer par cette ressource à Tin- suffisance des produits qu'il recueille d'un sol in- grat et stérile.

Le Dalécarlien est extrêmement frugal : le pain et le gruau forment la base de sa nourriture; trois ou quatre sardines et quelques pommes de terre sont pour lui un repas somptueux. L*eau-de-vie et le beurre ne se trouvent guère que dans les maisons riches. En Dalécarlie, comme dans tout le nord de la Suède, on mange un pain façonné en grandes galettes très minces passées au four; ce pain est fait d'avoine ou d'orge , et quelquefois de farine de pois; mais les liabitans de ces communes pauvres sont souvent obligés d'y mêler une partie de farine d'écorce d'arbre ou de l'écorce moulue.

Le Dalécarlien observe encore l'ancienne hospi- talité du Nord; il partage de bon cœur ses minces provisions avec l'étranger; mais il faut bien se garder de lui demander son nom avant qu'il ait pris son repas, ce serait manquer à la civilité ; on prétend que cet usage s'est conservé du temps ori

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294

VOYAGES EN EUROPE.

les lois de riiospitalité prescrivaient de proté|rer tout individu qu'on recevrait sous son toit, et, dans la crainte de reconnaître dans Tétranger une per- sonne appartenant à une famille ennemie, on pré- férait ne pas lui demander son nom.

La couleur dominante des habits est le blanc ou le noir, et dans les grandes occasions, le bleu. Il y a dans certains cantons des costumes de femmes qui sont d'une grâce et d'une élégance extrêmes, à cause de leur coupe et des ornemens de toute es- pèce qui y sont prodigués. Les femmes attachent souvent un couteau à leur ceinture; à la mort de leur parens elles prennent le tablier jaune, et il est fort extraordinaire de reti'ouver ce signe de deuil des Chinois transporté dans la Dalécarlle. La coif- fure des femmes est un bonnet plat et blanc qui ne couvre que la partie supérieure de la tète; il a quelque ressemblance avec celui des Hollandaises. Les jeunes filles portent des bonnets ouverts pai- derrière, et elles laissent flotter les belles tresses de leurs cheveux blonds; mais cette parure cesse dès qu'elles se marient.

En Suède, la police et la douane ont quelques traits de ressemblance, elles sont aussi rigides l'une que l'autre; la première exige des passe-ports, et la seconde visite avec minutie les effets des voya- geurs. Du reste, la police a peu à faire pour les délits qui troublent la société, et les crimes qui y

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DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. 205

portent Teffroi : tout cela est presque inconnu en Suède, et Ton peut parcourir le pays de jour et de nuit dans la plus parfaite sécurité.

La vie isolée que mènent beaucoup de Suédois les rend méditatifs et observateurs. On accuse les Suédois , en général , d'être envieux et rancuneux ; mais cela tient au prix qu'ils attachent à leur petite propriété. Les Suédois sont très polis et très préve- nans; toutefois , il" r nt Fépine dorsale moins flexible que celle des Danois , des Allemands et des Italiens; leurs manières décèlent un peuple lier de ses sou- venirs et indiquent des hommes pénétrés du senti- ment de leur dignité. Le peuple est essentiellement bon et doux, sans manquer d'énergie.

Les femmes de la Suède sont renommées pour leurs attraits et les grâces de leur personne; rien n'égale, en effet, l'élégance naturelle de leur tour- nure, l'éclat de leur teint , la beauté de leur cheve- lure et l'expression de leur physionomie si douce et si animée tout à la fois; ce sont des modèles d'une admirable harmonie formes gracieuses et sveltes; leur démarche est remplie d'aisance, et leur taille ravissante; il y a dans leur maintien de l'a- bandon et souvent de la dignité : en un mot, il est fort peu de pays, suivant M. Daumont, les femmes soient aussi favorisées de la nature, et l'on dirait, ajoute-t-il, qu'elle s'est plu à répandre ses dons avec encore plus de profusion sur celles

2U6 VOYAGKS EN EUROPE,

(l'une condition inférieure. Du reste, les daines se mettent avec beaucoup de goût, et à Stockholm elles suivent les modes parisiennes. i . m -< ^ Terininons cette analyse nécessairement incom- plète, par quelques traits empruntés au Voyage de M. Twining. - '

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TWINING. (1834.)

M. Twining annonce dans son Voyage en Nor- wége et en Suède ^ publié en 1836, qu'il a eu pour objet de compléter, en ce qui concerne la Norwége, le beau travail de M. Daumont, dans lequel il est moins question de cette contrée que de la Suède propre. ''

M. Twining se rend d'abord à Copenhague, puis à Gothembourg, et franchit le Sund pour débar- quera Christiania, la seconde capitale de laNowvége. il fait une description très détaillée de cette ville, peuplée de vingt -un mille habitans, et dont le port est spacieux. 11 dit que la manière de voyager en Norwége est à peu près la même qu'en Suède.

En parlant des mœurs norwégiennes, M.Tvi'ining dit qu'elles sont encore aujourd'hui ce qu'elles étaient autrefois. Une coutume assez générale est de porter un couteau-poignard attaché à une cein- ture en cuir. Les femmes n'ont ordinairement pour toute coiffure qu'une longue et belle chevelure.

DIX-NËUVIBMK SIÈCLE. 207

tantôt réunie en deux tresses tombant par derrière, tantôt entièrement défaite et recouvrant les épaules de ses boucles épaisses. ;>,. ; ;;,. '

De Christiania, M. Twining passe k Bergen, autre ville norwégienne située sur le golfe du même nom, avec des rues étroites, mais régulières et scntrecoupant h angles droits. Les maisons en bois sont petites, mais d'un fort joli aspect; elles sont toutes peintes en blanc et entretenues avec une grande propreté; des ornemens sont prodigués avec goût aux portes, qui sont élevées de quelques gradins au-dessus de la rue, à la manière hollan- daise. Auprès de chacune d'elles est un tonneau rempli d'eau , dans le but de prévenir les incendies ou d'en diminuer les dangers. L'aspect des environs de Bergen est pittoresque, mais il annonce leur peu de fertilité. Cette ville réunit vingt-deux mille habitans.

Après avoir visité Christiansund, notre voyageur arrive à Drontheim, capitale de la Norwége, etqui, avec une population de dix mille âmes, occupe au fond d'un golfe l'embouchure d'une large vallée arrosée par le Niedelf, rivière peu considérable, laquelle fait presque le tour de la ville avant de se jeter dans la mer. Les maisons couvrent la plus grande partie de la péninsule formée par cette ri- vière; le reste offre des prairies parsemées d'arbres et d'habitations. La rue principale est formée de

208 VOYAGES EN EUROPE,

maisons fort belles, quoiqu'cn bois. On y remarque surtout le palais du gouvernement, regardé comme le plus bel édltice qui ait été construit en Europe avec de semblables matériaux. Drontheîm fait venir une grande partie de ses blés de l'étranger. A la fin d'août cette ville commence à faire usage des chan- delles dans rintérieur des maisons. Durant les jours les plus longs de Tété le soleil ne reste que quatre heures sous l'horizon; en hiver il ne se montre qu'environ deux heures, en partie à cause des montagnes voisines. Sous plusieurs rapports Drontheim a de la ressemblance avec Christiania. M. Twining s'est beaucoup occupé des sites et des costumes d^^ la Norwége; son ouvrage contient un grand nombre de vues et de portraits. Il re- vient de Norwége en Suède, dont h son tour il décrit la capitale; mais il ne lui restait que bien peu de chose à en dire après M. Daumont : aussi passerons-nous sous silence les détails qu'il pré- sente à cet égard. - r

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FIN DU QUARANTE-SIXIEME ET DERNIER VOLUME.

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MATIÈRES CONTENUES DANS CE TOLUME.

VOYAGES EN EUROPE. ^ Foyages anciens et modernes. I

Généralités préliminaires. /ù.

Seizième siècle. Montaigne. (1554.) Italie. > W Dix-septième siècle. Rbonakd. (1676.) Laponie. * 72

Dix-huitième siècle. Labat. (1706-1715.) Espagne. ?•

ÂNDER80N. (1730.) TnoiL. (1772.) Islande. 19

John Moore. (1766.) France. tt

Maupertuis. (1740.) Laponie. t2

Lady MoNTAOUE. (1720-1760.) Turquie. il>

Ghoiseul-Gooffier. (1776.) Grâce. M

Porter. (1768.) Turquie. tflft

D'OHssoN.CaSO,).»». 121

TowNsoN.(1777.) W», 127

GoxB. (1778.) Russie. 133

Pai-las. (1768-1773.)/*. IM

SwiNBURNE. (1776-1776.) Espagne. 161

Peyron. (1780.) Ib. 169

BOURGOINO. (1788.)/*. 172

Fischer. (1797-1798.) 7A. f76

MoRPHY. (1798.) Portugal. 166

PiLATi. (1777-1779.) Hollande. 190

RiEDSEL. (1771.) Grèce. 196

Saint-Sadvedr. (1 781 .) Ib. 198

PouQDEVitLE. (1 798- 1 801 .) /*. 206 Dix neuvième siècle. Marcel de Serres. ( 1 809-1 8 1 0.) Autriche. 21 7

ViALLA. (1810.) Monténégro. 240

MiMAUT. (1820.)Sardaigne. 266

Albërt-Mointémont. (1821.) Italie. 260

PicnoT. (1824.) Angleterre et Ecosse. 273

Dacmont. (1830.) Suéde. 266

TwiNiNo. (1834.) Norwégc. 206

FIN OR I.A TABLf.

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TABLE GÉNÉRALE

ANALYTIQUE ET RAISONNÉE

DES MATIÈBES CONTEWUÏS DANS LBS «0ARAI»TB-SIX TOIDMES

DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE

DES VOYAGES.

Nom. Cette table a été rédigée par M. LoDi» DEMist4TRiE.

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TABLE GÉNÉRALE.

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Aba*** (liabitaus de TAbazie, pro- vince de la Russie d'Asie). Leur pays , t. XLV, p. 438, 439. Leurs mœurs, leur costume, 438, 441. Belles fem- mes ; vente d'enfans , 439. Vente du père par le fils; éducation des cnfans des princes; piraterie; respect pour les croix , 440. Restes de la religion chrétienne, 441, 445. Ignorance, 441. - Caractère, 442. Traits gêné, raux de mœurs et d'usages , 444 à 451. Voyez Caucase.

Abbassabad (village du Khorassan , Perse ). Origine singulière, t. XXXV, p. 167- Fort, caravenserail, 168. Habitans mécontens de leur sort, 169.

Abtrmale (une des Iles Gallapagos), découverte par Cowley, 1. 1, p. 3-55. Ses animaux, XVI, 59.

Ahyssinie ( grand pays de l'Afrique orientale). Voyage de Bruce, d'Ar- kééko à Gondar, t. XXIII, p. 193- Arbres et plantes du pays, 197, 203 à 213, 216, 252, 374, 402. Carac- tère, costume des Sliilios, 198. Ani- maux, 206, 209, 218, 241, 254, 260,

337, 467 Mont Taranta, village

Halai, naturels, 207 à 209. Dixan, 211. Péages donnés à ferme, 219.— Fleurs, 222, 237.— Ruines d'Axum, 233. Tableau géographique des provinces, 322. Le Begend. % 326, 328. Les Gafats, 331. Usages du p.iys semblables à ceux de In Perse, 335 et suivantes.— Couronne élective dans la famille, 335, 3Î1, 368. Sacre, couronne , occupations du roi, 336, 362. Conseils, 338, 347. Mi- nistres divers, 298, 338, 350, 362, 463. Attributs et privilèges de la royau- té, 338, 348, 351, 362, 463. -

Adoration du roi , 342. Origine du nom de Prêtre Jean, 347. Orne-

men» royaux, 348. "- Prince» dif- formes se peuvent être rois, 349

Pains d'Abyssinie, 351 .— Récompen- ses, 353. Supplices, 355. Mariage du roi , 368- État des héritiers du trône , 368. Armée, étendards, 370-

Extérieur et intérieur des églises , 375 et suivantes. Moines , 377. Division du temps , 80. Provinre de Shoa , 392. Première église ca- tholique , 394. Fertilité du Bafi- Baha , 395. Marchés sous les arbres, 399. Charmes, 403. Rivière d'Assar, 404. Montagnes de la Lune , 416- ' Sacala : miel , églises , 420. 422. Sources du Nil, 424, 428-

Animaux de charge, 467. Voyez Agowt, Damot, Dembia, Gojam, Gondar, capitale, Gaanjock, Goutio, Hazortat, Kuarae, Latta, JUaitsha, Ras-el-Feel , Sirf, Taeazzi, Tigré, Woggota.

Abysiinient. Costume de chefs , t. XXIII , p. 175, 179. Ont le porc en horreur, 242. -*- Appellent les Eu- ropéens les Francs, 293. Usage» semblables à ceux des Persans, 335-

Usages singuliers, 345- Repas, 357, 36]- Mœurs et usages sembla- bles à ceux d'Egypte , 358, 367, 380-

Mariage et ses suites , 367. Cir- concision , 378. Blessures à la mort d'un parent 379. Vénération pour le Nil, 406, 424, 428, 451.- Vête- meus, 465. Religion, travaux , or- nemens des Kemmouts , 471, 472.

Aeapuloo (y'M.e du Mexique). Voyez Passim, t. II, p. 206 à 227, et XLI, p. 412.

Acba ( ville Felatah de l'Yarriba , Guinée), t. XXX, p. 115. Jolies femmes; caractère, 118.

^cA<vi(i ( royaimie de la Guinér). Voyage dans le pays , t. XXVIil ,

•a

304

TABLF^ GÉNÉRALE

p. 380 et snivautec. Sacrifices hn- tnains, 386. Dounqna , 388.— Fon- taine d'Éloquence, 394.— Riches cos- tumes, 399. Sacrifices de montons ont remplacé les sacrifices humains, 401 . »- Description d'un sacrifice hu- main, 402. Privilèges du roi, 4U6, 425, 429. Mœurs , usages » 407, 425, 430. Tradition sur la création, 408. •— Suicides; femmes dn roi, 409, 429. Tactique militaire ; chants po* pulaires; grandes fourmis, 410. Gouvernement, 424- Ordre de suC' cession, 425. Religion, épreuves, fêtes , 426- Occasions des sacrifices humains; jugemens, 428. Mariages; population ; commerce , 430. Musi- que, 432- Voyez CounuusUt capit.

Aclmim ( viÛe de la Haute-Egypte ). Habitans; canal; courent, t. XXIII, p. 86.

Aehrtf/on J7i/inij(y{ ville dn Mazan* 4éran , Perse). Ruines du beau palais, t. XXXV, p. 3139. Ancienne opulence, 340. Belles ruines, XXXVII, 319.

Açorti (lies de l'océan Atlantique). Origine de leur nom, retrouvées et reconnues par les Portugais, qui y trouvent une statue montrant l'Amé- rique , t. I , p. 24. Ont été décou- vertes par les Flamands, IX, 157. Résidence du gouverneur, ISO.— Fré- quence destremblemens de terre, cli- mat saluhre, 161. Détails sur la dé- couverte; volcaos, XX, 436 etsniv. Apparition et disparition de l'Ile Sa- brina, XLt , 1 71 et XLII , 389. Pro- bibition de l'esclavage, XLII, 384. Origine probable des Iles, 385. Voyez Corto, fqjral, Floret, Saint - George, Graeioia, Saitta- Maria, Saint - Mieh*l, Pieo, Tercere.

Acouan (une des Iles Aléou tiennes). Aspect, t. XIX, p. 282.

AoAirsoN. Son Voyage en Sénégam- bie,t.XXlI,p.60.

AdHatdt (lie. Terre de Graham, océan Antarctique). Aspect imposant , t.XXI, p. 462.

Adèle (Ile, Polynésie). Nommée par M dOIrville.t XVill, p. 306.

Adeh ( ville de l'Yémen, Arabie), t. XXXI, p. 239.

Ad-lergty (ville du Woggora, Abys- sinie). Cimpagne, rivière, hyènes, t. XXIII, p. 259,26a

Aâig* (rivière d'Italie), t. XLV p. 398. '— Ses sources, 404f.

A'ijimir ou A^mere (ville du Rajpnu- tana, Hindoustan). Aspect: forteresse remarquable, t. XXXVI, p. 325 Tombeau fameux, 326. Célèbre temple des environs , 327, 328.

Adowa ( capitale dn Tigré , Abyssi- uie). Ses montagnes, t. XXIII, p. 223.

Situation, 225 Églises, 226. Manufactures, 227, 230. Sol; ré- colte; bétail, 227, 229.

Adriatique (golfe). Navigation dans ses eaux, t. XLIV,p. 329. Ile Lis- sa , 330. Ile Grossa, 331. Golfes dangereux , 331, is32.— Ile Pola, 333.

Rovigo , 333 Côtes d'Istrie , 334 Trieste, 335. Venise, 336; XLVI,267.

Affagay (ville du Bournou. Sou- dan), t. XXVII, p. 139, 262.

Afghans (peuples du Caboul). Leur inimitié avec les Seiks , t. XXXVII , p. 56. Esprit d'égalité ,64, 68. Tribu de Momunds, 74 > 76. —Tribu de Khyberis, 77. Esprit de tolé- rance religieuse, 81. Traitement des chevaux , 82. Tribu de Ghiliis , 83. "^ Caractère ,85, 94. Langue, 94. Origine juive , histoire , 1(16.

Tribu remarquable deKaffirs, 109.

Montagnards huzaras, 116, 118. Afrique, Détails géographiques, for- me , étendue, t. XXK pi.—. Points extrêmes, limites 2. Déserts, 2, 7. Circumnavigations par les Phéniciens et les Carthaginois, 4. Absence de mer particulière , caps, 5. —Fleuves, grands lacs, lies, 6. Montagnes, 7. Découvertes des Portugais, 8. Découvertes des Anglais, 18 à 22 et 38 à 45-— Découvertes des Français, 22. Source de l'esclavage , XXV , 303.

Aghadèt ( vallée des Tibboiis dans le Bilma - Sahara ). Arbres , animaux féroces , t. XXVII , p. 83 , 442.

Agowi (peuple de l'Abyssinie), t. XXIII, p. 330. Leurs denrées de commerce , 399 , 457 , 459. Leur miel, 401 .— Leurs sacrifices au Nil, 433, 451. Etaler t autrefois puis- sans, 456. Clir.at, température du pays, 457. Tributs, 458,459. - Vêlemen.f, 458.

Agra ( province de l'Hindoustan).

DES MATIERES.

305

Voyage ilans le pays , t. XXXI , p. 70, XXXVl, 290. Ville kaiute de Binda- brund, 290. Muttra , révérée des Hindous ; respect pour les animaux , beaux édifices, 291. Campagne, 290 , -.^. - Villages , 292., 203 , 'JSI. -~ Ruinés , 293 , 290. Futthe- poiir, 29tf.' Qpnstructiott des ponts, 298. Voy. BamtaroH.

Agra (capitale de la province). Au- trefois très opulente, maisons, hazur, tombciux , t. XXXI , p. 70

Agrigente ( ville de la Sicile ) , t. XLVI , p. 196.

Aiglt ( lie de V). CAtes la Non-* velle-Galle du sud, découverte par Cook, t. VI, p. 347.

Attu (groupe des lies Radack,Pory- nésie), découvertes- par Kotzebn*, t.XVII,p. 206.

Airiele (lie: groupe Kawen, tle«Ra'- (lack, Polynésie). Découverte par Kot- zebne, t. XVII, p. 191. Visite a la reine. Pantomimes, 192.

Akootan ( lie des Aléoutiennes ). Ses hantes montagnes , t. XI , p. 44.

Alabama (un des Etats-Unis). ïleçoit' les Indiens Creeks, t.XXXlX, p. 343.

Jeux des Indiens , 348. Mont- gqmery, 356. Mobile : sa baie, 358t voyez Crtekt.

Al'-inie (province de la Turquie d'Asie). Voyage dans le pays, mœurs et usages, climat, t XLVI, p. ^9.

Albany[y'A\e du New- York ,^tats- , Unis). 5iège du gouvernement ; pros- périté, canal Erié, t. XXXIX, p. 36.

Législature , séances de l'assem- blée législative , sociétés , 126.. Séance du Sénat, 127. Rage élec- torale, 1S8 et suiT. Catial Erié , XL1,267.

Albatros (on mouton duQip). Des- cription de cet oiseau , de ses mœurs, t. XV . p. 332 ; XXI , éSS et suir.

Ai.BKRT-MoirTKiioirT. Description de l'Italie et de ses principales villes; mœurs et coutumes des habitans. . Italiennes , leurs conditions ou des- tinée, t. XLVI, p. 260 à 272.

AlbiHoty de la Sénégambie, t. XXV, p. 321. Elépbans et singes albi- nos, XXXIV, 160, 174, 281. Singes blancs de Célèbes, XLIII, Ikxiij.

>f{i(M (Nouvelle-. Amérique septen-

XLVI.

trionale) , découverte par Drakc, t. I, p. 181.— Aspect du pays, caps divers, X , 337. Exploration de la cAte , ses aspects. XIV, 141, 145, 147, 161, 170, 181 , 201 , ri27. - Pointe des rochers , 149. - Pointe et baie Saint- Georges, 151. Cap Oxford, 153.

Figure, formes, véteniens, piro- gues , armes , outils des naturels , 154 , 155, 184, 201, 207,218 et «uiv., 231 , 2J3. —Le cap Blanc, 158 : eap PerpeMa, 159; cap Oxford, 160.— Pointe Grau ville, tle delaDestructiuu, 164.— Montagne remarquable, 167.— Exploration dir détroit deFuca, 169 et suiv.'i— Poiute New-Dungeness , l)tf), 184. -Mont Baker, 180— Remarqfibs ' sur la cûte, 181. —Description du %|ivre delà Découverte, de ses ha- bitans et du pays adjacent, 189 et !>uiv., 21 1 et suiv. Port de Town- shend, 198. Pointe Marrovp| anse des Chênes, 199.— Pointe du Mau- vais-Temps, 200. Pointe des Noi- setiers) absence d'habitans, 203.— Canal de Hood, 210. Sol, 212, 216. •— Productions minéralogiques, 212. Productions végétales, 213.

Quadrupède», 214, 235. Oi- seaux, 215. Poissons, reptiles, 216. Règlemens publics , économie domestique, 220. Conjecture sur l'apparence de dépopulation, 221. Manière de disposer les movts , obser- vations , conjectures à ce sujet, 222 à 226. Fables débitées sur la barbarie des insulaires, 237. Voy. port de la Déeounrtê , port Grajr, rivière OtUm- bitt, port de la TrùuU.

Alboqdsrquk ( Alphonse ). Son prvmier voyage dans l'Inde , t. I ,

5. 81. Bat le zamorin de Calicut, 4 et suiv. Son nouveau voyage, 93. Mis aux fers par Almeyde, il reprend bientôt sa dignité de vice- roi, 102.— S'empare de Calicut, 103; de Goa , 104.— Ses lientenans décou- vrent les Molucques, 105. Il meurt. Décadence de la puissance des Portu- gais dans l'Inde , 106.

Al-Djezjrr«h ou Mitopotamit ( pro- vince de la Turquie d'Asie). Voyag.t dans le payl^; t. XXXII, p. 462 et suiv. Bir , 465. Orfah : danses , mos- qxi'cu et leurs oiseaux', intérieurs de maisons, bazars, 466 à 468. Mous-

20

300

if TABLE GÉNÉRALE

•el : cafés, bains, figure des naturels, vostumes et ornemens , 480 à 482

Alt»>»j» ( province de Portugal ) , t. XL VI , p. 187.

AUoutitHiui (tles. Mer de Beh- ring). Navigation dans leur» eaux, t. XI, p. 39 et suiT.; XIX, 280. - Ile de Coagalga, 282. Voy. AkùotM, Ootialla , OoHolathka , CcKemnk.

AUp (ville de Syrie, Turquie d'A« ftie). Portefaix, t. XXXII, p. 41. Mosquée, cafés, 400. ''

AtkXAirnRK. Souvenirs divers de ce prince dans l'Asie - Supérieure , t. XXXVII , P. 36 , 135 , 168, 343 , 344 , 378, 383, 412 , 415, 419, 455.

AUsaitdr* if" (arcliipel de la Poly- nésie), découvert par Belliughausep. Sauvages babitans, t. XXI , p. 441 .iV

Aleaaitdr* 1" ( île de l'océan Gla- cial antarctique), découverte par Bel- linglmusen , t. XXI , p. 446.

AUsmdnt (ville d'Egypte). Aspect déduisant, intérieur, t. XXII, p. 217, •128. —Ruines, 218, 4i29. Commerce, fortifications , 220. Importante sou6 les." Htulémces; (ia situation, 427. Citernes , climat , 429. Aspect «,. \. XXIII, p. 55. SesTpurts. Sa fou- dation , 56. ' Campagne stérile, 57. Antiquités, 58. Fortifications, 60. Belle rue, population, 61.

Altxandrina (lac de la Nouvelle- Hollande), découvert et nommé par Stnrt, t. XLIII, p. 334, 366.— Communication du lac avec la mer , 335, 336, 340, 373. Oiseaux de ses bords, 3)5. Se comblera avec le temps, 345 —Ne communique point avec le golfe Saint- Vincent , 368 Massacre du capitaine Barcker par les naturels, 374 à 378.

Alger. Son aspect, ses fortifications, t. XXII, p. 181 , 210. Intérieur, campagne, 182, 210. Arts, bains chauds, 188. Jardins, 196. Ci- metières, 212.

Atgéri* (col. franc, de l'Af. sept. ). ProducHons, t. XXII, p. 183, 189, 196, 203, 209. Oran , 182. Arzew, l83. —Ancienne magnificence de Sherbell , 184. Rt^cs antiques de Constantine, 185. salubrité du clima.t, culture, 195. Fertilité du soL 197. Mines , 197. Animaux, 196, 200. Manufactures , 203.

Denrées , 203. Rivières, provinces,

209. Habitans divers, 213 Boue,

XXIII , 26. Voy. Arob*$ . KoèiU. . Mauret.

AigMttu, Mœurs , parure Hes femmes, religion, t. XXII, p. 187.

Education , arts , 188. vCostiime 211. MaHages,2l2.

Algi ( ville du Kiama , Soudan ) , brûlée p; le moyen de pigeon.s, t. XXVllI, p. 152.

AU-Allahii ( secte de Persans ). Croyance , coutumes , t. XXXV , p. 123. et suiv.

« AlicoHt*, ville d'Espagne, t. XLVI. p. 177

, Alie (/a Nyi»ph*)y (le de l'Austra- lie , découverte par Bougaiuville , IV , 322.

Aligki, ville des Tibbous du Bilma . Sahara, t. XX VII, v 71.

AlloMbad (province de l'Hiadon- staii). Voyage dans le pays, t. XXXVI, p. 129. Nombre des mahométans , 133. -_ Ville de Seidpour, 139. Avenues, 140. Chunar, 156 (ii 158. ^ Mirzapour, 159. Campa- gne, 167, 176. Paysans armés, 168. Champ de tombes, 169. Caravanserais , 171. Villages, 174.

Cawiipour, 174. Voy. Binarit , Fmttehpour , Gliazeipour,

Allahahad ( capitale de la province}. Favorable situation , t. XXXVI, p. 1C3.

Tribunal, 164. Fête de Ra- mayuna, 165. <

Allard, général français au service de Rnnjeet-Siug, sa voiture à Lahore, y accueille Burnes, t. XXXVII, p. 14, 26. Son jardin, 433.

Allemands. Caractère des hom.nes et des femmes, t. XLVI, p. 230 et suiv.

Almetdi. Son voyage et ses exploits aux Indes, 1. 1, p. 91 et suiv. Son fils d4co;ivre l'ile de Ceylan, 92. S'empare de Daboul, 10O.

Almcrah (capitale du Kemaoun, Hin- doustan). Climat insalubre, t. XXXVI, p. 211. Route, rue, maisons des indigènes, 233. Propreté de la ville, aspect de l'Himalaya, p. 234.

Alor* (ville et antique royaume du Siudhy. Hind. ). Ses ruines, son his- toire , t. XXXVII, p. 376 et suiv.

.<^/«uarn Mlcs Saint-, Australie), nom- mées par d'Entrecasteaux, t, XV, p. 89.

DES MATIERES.

307

•roTiDces,

Bone, Kébilti ,

rare «Ioh , p. 187. Costume ,

Soudan ) , pigeons ,

Persans ). XXXV,

, t. XLVI.

le l'A\jstra- iigainville ,

s du Bilma .

I l'Hindou - ,f.XXX\I, ihométans , ir, 139. - lar, 156

Campa- ans arméi), tes, 169. liages, 174.

Bifnaièi ,

province^. LVI,p.l63.

He de Ra-

lis au service ■eàLahore, LVII,p.l4,

ishom.'neset

230 et suiv.

nés exploits

suiv. Son

|lan, 92.—

saonn, Hin-

^, t. XXXVI,

laisoDS des

de la tille,

m.

jroyaume du les , son bis* jet suiv. ltraUe>, nom- ft.XV,p.89.

Alpni. Dophrlnes on Scandinavei^ , t. XLV, p, 7, 93. BaTOroises, 359, "îgil. Tyroliennes, 362 à 402. Costume de paysans , 383. Le mont Brenner, 385. Aspect du pays, 385 et suiv.— .Villages, 388,391 et aaiv. L«, grand Glochncr, 391, 392.

Célèbre pasiîage de l'Ortler-Spitz , 402.- Le Mont-Blanc, XLVI, 16,31, 44. Massif nlpique et ses groupes , 21, 24,27.— Origine et signiiication du nom , 27. Alpes Dinariques , 28.

Maritimes , 29, 38, 43. Cottien- ues ,59, 38, 43. - Grecques , 30, 30, 43. - - Penniues, 3>),36, 44. Helvc- fiques ou lépontiennes, 31, 37, 44. Rliétiennes, 32, 37, 44. Noriqucs, 32, 37, 44.— Carniques , 33, 37,44. - Juliennes, 33, 38, 44.— Région des glaciers, des avalancbes , 34. Val- lées, 35. Défilés, 35.-— Hauteur des faites, 36. Alpes Bastarniques, 39. Dopbrines ou Scaod^iaves, 44.

Hauteur des principaux points, 43.

Hauteur des principaux points des Alpes Bernoises, 44.

Al que mi {^^^-ji dépendant de l'Yar- riba, Guinée]. Belle campagne, t. XXX, p. 42. Larro : félicbe du lieu ; co tume du chef, figure des naturels; progrès du pays, 43 à 46. Jenna , 47 à 58. ' Environs, cootume du cbef , 47. Barbares usages à la mort des chefs , 49 54 et suiv Dépopula- tion , 50. Industrie , nourriture dies naturels , usages divers , 52. Fem- mes dévouées à la mort, 54 et suiv; Tambonfs arlistement ciselés, 58.

Aliten ( île de la Norvège ). Rési- dence épiscopale, t. XLV, p. 128. C(s sept famonses i>iou<^agnes , 130.

AlUn ( goite , dislriflt , rivière , ville du Finmark, Norwége), t. XLV, p. 2()2 à 265. Animaux, 270. Fête à la réaparition du soleil, 274. Z<a ïi* vière, 298.

Altorm ou Alloun-Koupry ( ville du Kourdistan, Tur. d'Asie), t. XXXII, p. 484.

Antakota (tribu cafre). Dialecte, t. XXIX, p. 118, 126.— Contrée 125, 263.

Amapcndat (tribu cafre) , t. XXIX, p. 128.

Arxarapoura ou ^namapoura (capitale duBirjnan), t. XXXIV, p. 454. 45*— Fondation , situation , palais , maisons

sur pilotis , fort , population, pouvoir de l'emperenr, 474; ses gardes, sou costume, 476. Feux d'ar; "res. 477. Amargura (ile de l'arcbipei des Amis, Polynésie), découverte par Maurelle, sa stérilité, t. XIII, p. 138,237.

AmatK^foa (tle de!rai*tb-oel des Amis, Polynésie), t. VIII, p.320' et suiv.

Ainat/mba ou Tambookitt ( tribu ca- fre).^ Race. Dialecte, t. XXIX, p. 117, 118.— Sou territoire. Me forme pas un peuple, 126.

Amazizi (rivière et tribu du sud de l'Afrique), t. XXIX, p, 139.

Amazonei (fleuve des) ou Marognon ( Amérique méridionale ), Origine de son nom, t. XXXVIIl, p. 62. Se» affliien», 63. Son cours , 64, 68. .^ Rapidité du cc.irant, profondeur, 64. Phénomène du Prororoca, pois- sons, 6 j. Crooodiles , 66. Magni- fique aspect, XLII, 11. Radeaux, 12 Descente du fleure, 31 à 74. Canots, 34, 63. Mosquites, 37. Coufiuens, 40, 61, 67, 69. Les Urubus(vautours), 54. Les Amazo- nes , 56. Alligators, énormes serpens, 58. Villes, 60,6r,66, 67, 68.— VU- lages, 63, 69k . Plantations, 66. Le Delta , 68. Détails sur sa source et son premier nom, 77. Cours, largeur de l'cmboncburt; , 396.

Amboint, (ile d.s Moluques, Ma- laisie ). Comptoirs de son ressort t. IV, p. 379. Armée , 380. Cul- tnre exclusive du girofle, 384. Malignité du climat, tremblemens de terre , 387. Description générale : l'ile a peu «"'attrait, XV, 72. ; Carac- tère ^es naturels, 72, 73. Politi- que de la compagnie hollandaise , 73, 74. Mœurs des naturels, 73.

Épices, 74. —Décadence de la compagnie , 75. Population, Chi- nois seuls étrangers aiimis, leurs obli- gations, leur commerce, 77, 78. Religions , 78. Exportation des clous de girofle, introduction de la muscade, tremblemens de terre, 81.

Habitations , nourriture du peuple, cacao, café, gisement» de l'Ile, 82. ^ ' Religion , Xtlll, xxiij.

Amhrjrm (Ile des Nouvelles-Hébri- des, Australie), découverte pai- Cook , ^, t. VIII, p. 329. Naturels , 330 et * suiv. , Son volcan , '^48. Sa cir- conférence , 424.

308

^ STABLE GÉNÉRALE

Amérlq**. ÉUit en relation «Tec la ScandinaTie, quatre (ièoles avant celoi de Colomb, 1. 1 , p. 10. Généralités snr le pays , XXXYIII, 1. *— Limite boréale, 3. Superficie, 4. Mon- tagne!, 6. Rivières, golfes, 6. Mers intéricnr<i , détroits, 8. Caps , 9. Presque (les, 10. Lacs ,11. Savanes, llanos, 12 Déserts, 13- »- Climat, 14. '— Tremblement de terre, volcans, 15 —Productions, 16. -~ Animaux, 17. Mulâtres; ignre, formes des indigènes, 18. Variété de couleur, origine, 19. I^angnes , 20. Tableau statistique des Américains sous le rapport de leur idiome , 22. Religions , 23. Gouvernemens , 25. Constitutions, 28. —Comparaison de ses plaines aviÉ les steppes, déserts, etc.372,ctsuiv. Population , 388 , 390. Rapport de la superficie des différens États et de leur population , 393. Projets de section de l'isthme, 409. Influences do l'esprit démocratique, XXXIX, 204. -::. Traces du déluge, 206.

AmMqut mMdional*. LIanos, pam- pas (plaine»), t. XXXVIII . p. 12 , 69, 408. Gouvernemens, 25. Cou- fins, 6\. Superficie, 62. Mon- tagnes, 52, 406. Climat,. 55. Productions, 57. Animaux , 59. Fleuves , 61. Habitans , religions , population , 70. Voyage chez les Indiens k l'ouest des Guianes , XLl , 173. (Voy. Guiane anglaise) Ses, Pampas et leurs habitans, voy. c* n»m. Manière de tuer les bestiaux, 401, et,suiv.

Aménqut russe. Exploration ée la c6te , par Cook , noms donnés à dif- férens lieux, détails sur les naturels, t. X, p. 426 à 452. Reconnaissance de l'entrée du Prince -Guillaume. (Voy. et aoM.) Mœurs et usages des naturels, 439 à 452; et XI , 1 à 18. Suite de l'exploraUon de la côte, 18.

Rivière ou entrée de Cook, 23. (Voy. nom.) Exploration de !a côte ouest , noms donnés à plusieurs lieux, 47 et suivit Baie de Bristol, 48 etsuiv. Remarquable cap du Prince^ de-Galles, 53. -Entrée de Norton, 96.

Naturels ressemblant aux Esqui- maux et aux Groënlandais, 124. Marées, 125 Arbres, sol des mon- tagnes, nombre d'indigènes de la côte

sud, XIII , 304. Navigation le long de la côte , 335 et tiuiv. 345 et sniv. ; XVII, 81 à 105: XIX, 251 à 284, 430 et sui^r. ~- Description du port et des naturels de Clarence, 449, 451.

Voy. Chamitto , EUon , Etquimaux d* l'outst , eap du Prince -4»' Gallei , Grantley,'Hope , Kotzeiue , A/ulgrgft, Norton , Portlock , r^giont arctiques , Sl-Elie, Sarittekeff, Sitka, Tr fiutiky.

Amérique' septentrionale. Savanes, t. XXXVIII, p. 12. Gouvernemeu», 25, 51. Gisement, 29. Bornes, superficie, 29,30. Golfes, 31 . Dé- troits, 33. Système devoiontagnes, 34. Hauteur des principales , 35.

Bassins, fleuves et leurs cours , 36 et sbiv. Climat, productions , 48.

Animaux, 49. Religions, lan* gués , 50. * Variabilité du climat , XXXIX, 24. Diverses influences de l'espKt démocratique , 204 et suiv. Traces du dé'ige, 206. .Tentative» faites pour trouver un pnssage au nord. État de nos connaissances à cet égard, XL, xj, xxvj, xxxj. Voyages de Franklin sur les côtes de la mer Polaire , 477, 489. Rivière de Cui- vre, 481, 487.

Amhara. ( Prov. de l'Abyssinie ), Étendue, sol, habitans, t. XXIII, p. 328.

Amhkrst. Son ambassade à Péking, t„ XXXIII , p. 351. Différends sur le cérémonial , 352, 355, 362 , 365, 367, 371. L'Empereur fait con- gédier l'ambassade , 376. Séjourne a Nanking, 396. '— A Canton, 422.

Amidl^Amid ou montagnes de la Lune (Abyssinie) , t. XXIII , p. 415, 416.

Amirauté (tlei de /'). Partie de l'ar- chipel de la Nouvelle-Bretage ^ dé- couvertes par Carteret, toro. III, p. 1^1, 162. Pirogue de cinquante pied^et d'un seul arbre, 160. Description des habitans et de leurs armes , 161. Voy. Négros , Vtn- dola.

Amis (des des) ou Tonga-Tabou (sr- »:hipel de la Polynésie ). Pourquoi ainsi nommé par Cook, détails sur sa découverte , t. VIII, p. 73, 325. Comparaison des Iles et des habitaDs avec ceux de l'archipel de la Société et ceux de Taïti, 75 et suiv. Produc- tions , habitations, animaux, domes- tiques , poissons, filets, piroguesi,

DES MATIÈRES.

300

outils , 83 et »mt, > Naturels , leurs vétemeas , ornemens , ainiisemens , iostrument de musique, manière de Diiluer, caractère, S6 et suit. Cou* tûmes singulières : mutilation du petit doigt , 90. Gouvernement , 9*. Aisance acquise par le travail , 94. Keligion , langue , 95. Population , dialecte, moral, etc., des liabitans, 327.

Cook. reço it à bord le roi de ces lies , IX, 340. Disposition des insulaires au Tol, 342. -^ Leur opinion superti- tieuse sur l'Ile Toofoa , 348. Res- pect pour les chefs, 381 , 389. Plante et liqueur kava , 445. (^uis- Min des po^s, 448, 450. —Punition de l'infidélité dos femmes, X, 32. Articles les pluspropreaaux échanges arec les naturels, 39. Nombre et nom des fies, 41 , 42. ~ Voyages de long cours des naturels, 50. Leurs formes, teint, maladies, physionMfnie, 53 et suiv. Douceur de raœurf\ 58.

Ptachant au vol , 59. Cheve- lure , 61 . Tatouage , circoncision , vétemens, ornemeos, 62,63. - -Pro- preté, 64, 65. 'Occupatiop j des fem> mes , étoffes , 66. Occupations des hommes , agriculture très cultivée , 67 et suiv, Constructions des mai- sons, 70. Meubles, 71 . Outils, 72. —• Instrumens de musique, armes, 74.

Nourriture , cuisine , repas , réu- nions, 76 et suiv. Mariages, poly- gaopie permise anx chefs , 79.— Céré- monies funèbres, blessures en signe de deuil , 80 et suiv. - Croyances reli- gieuses , Être suprême , immortalité de l'âme, 83. Gouvernement res- semblant à celui de la féodalité, 85) 86, 93. Hommages rendus au roi, 87 et suiv. .— Bon ordre des assem- blées, 88. —Quelques privilèges du roi, 89. et suiv. Officier de police , 92. Remarques sur la langi^ 95 , 224. Sacrifices humains, 130. La connaissance des Européens a-t-elle été heureuse pour les insulaires ? 208. Mœurs semblables à celles des insulai- res des lies Sandwich et de la Société, 331.— Gomment la même nation s'est répandue sur toute la mer Pacifique , 333. Sol des Iles, XIII , 148. Les naturels se coupent les deux phalanges du petit doigt, 149. Conjectures sur le gouvernement et l'ordre de succession au trAne , XV,

173,178. PoUov, disposiUona des indigènes an vol , 177. Privilèges des chefs, mutilations en signe deul, voyages de long cours, 179. Natiirels peu belliqueux, 181. Voy, lUt Jlnamacki Amargura , Ammt- tafoa, Boteavik ^cot, K*péraite« ; F*ej« , Hamom , Hapnè* , groupe, JST*- tuvjr, Uon^ K»o, JLa*a^«too, Ktpptl, Middtlbourg^ Oghai», Tomga . Taîoti^ Tooj 6, Traftrm, Fatao.

Amman (ville de Syrie, Turgnie d'A* , sie) Ses ruines , t. XXXII, p. 416, 4t7.

ji/mof (ville duMaiandéran, Perse). Antiquités intéressantes; popolation, t. XXXV, p. 359.

Amr*tiir ou UmrUtir (ville du Pen- jab, Hindoustan). Grand canaU céré- monies du culte /eik, t. XXXVII, fti 453. Costume et caractère des Acalis, 454. Sel pour les vaches sacrées , 455.

.<^mroaA ( ville du Rohilcnnd, Hin- doustan). Mosquées, jardins, cannes k sucre, t. XXXVI, p. 255.

Amsterdam (Ile, mer des Indes), t.XV,

p. 14.

Amsterdam ( Ile de l'archipel des Amis). "Vo^, TongO'Tahou.

Amsterdam ( Nouvelle-, ville de la Guiane Hollandaise ), t. XLI , p. 229-

Aitaekoriies ( Ile , Australie), décou- verte par Bougainville, t. IV, p 319.

An-Am. Voy. Cochinchine.

Anamapoura. Voy. Amarapoum.

Anambas ( archipel de la mer de la Chine), reotnnn par Bougainville fils, t XVIII, p. 408.

Anamocka ou Rotterdam (Ile de l'archipel des Amis, Polynésie), dé- couverte par Tasman, 1. 1, p'. 348. Beauté du pays; hospitalité, costumes, maisons des natnrels, t. VlII, p. 316, 318, 324. Sol; étang intérieur, 323. Productions, 325. Habitans lépreux, 326. Natnrels, pirogues , disposition an vol, IX, 337 et suiv. -TT* Aspect, sol, productions, 344. Aspect des tlos du Nord, 347- Denils sanglans, XIII, p. 321. Prostitution, 426.

Anay (ville des. Tibbons, Sahara ), t. XXVII, p, 68.

Anehidites (Iles , cAte de l'Hindous- tan , ouest). Signification <^a nom , 1. 1, p. 59..

Andalousi» ( province d'Espagne ).

310

TABI^ GÉNÉRALE

*

Voyage dnui l'iAtcricur, f. XLVI , |). 177 et suiv. Curdoue, patrio de Sénèque et de Lucain , 177. Sérille, Cadix, 178.

Andanam (des du golfe du Bengale)

reDtit, 394- Aoutea; {ilateanx , 897. Régions des mines diverses , 397 et siiiv. Plaines du bas , 398. Le» «racM, 401,402.

Amdréussi fait la reconnaissanrc

Structure, sol, t. XXX4y, p. 2. Ile de l'ancien lit do Mil, tome XXII,

Narcondam , 4-

A»<itrtoii[\\e, merde Bebring), nom- mée par Cook, t. XI, p. 60.

AMUERsoir. Ses voyages en Europe,

XLVI, p. 77. r

Atdti ou CorJiliire, ou Cordilière dt» Aitde$ ( munlagaes de l'Amérique mé-^ ridiouale). Origine du nom. Maxi- ma des lignes dt faite, t. XXXVIII, p. 5. Volcans, neiges éternelles, val-

lées , 03. Hauteur des priucipaux sommets , 54. productions , régions de.s plantes , 57, Régions des ani- maux, 59. Itelation de la découverte del» mer du Sud, du haut des monts, par Vasco Nugnez, 248. Soi^ccs pour les deux vcrsans, XLI, 281 Voyage dans les montagnes (au Pérou), 342. Sol , 343, 350. Productions, 343, 353. —Ravines, 344; 381 . —Pos- tes, 314 Eaux tliermates, 345— Gorges , 346 , 356 , 358. Animaux , 316,355, Rocher8,347, 356,365 Belles vues , 347. Filons de cuivre , 319. Torrens, 355, 360. Por- phyre, 356. Huttes pour les voya- geurs , 361, 363, 365, 367. Oura- gans, 362. La Cambre (chaîne su- périeure), 365, 387. Ville nouvelle, 368. Passaj^e de la chaîne, XLII, 4 à 34. Villages, 6, IflJ 18, 31. Ancienne danse indienne , 6. Pas- ses remarquables, 7, 13, 17, 21, 23, 29. Vallées, 8. Productions, 8, 13. Sommets des monts , 9, 13. Seconde Cordillère ; sources ; magni- fique aspect du Maragnon, 11. •— •Ours , 16. Plumes de condors ; sin- guliers chiens de bergers, 19. La JUoiitagna ( district des bois ), 20. Prudence et agilité des mules, 21 . Abeilles et cire noires, 22. La Fentana, 23. Rivières , 23, 24.— Clôtures, 24. Sarbacanei des In- diens à lancer la flèche, Cas- cade, torrent for^dablc, 30. In- diens peints, 32, Considérations géuéraîes , 74- Les trois branches des Andes. dans la Colombie. Leur di- vision sous le rapp . •* de la tempéra- turc,. Aspect , climiit , 393. Saisons ,

P, 452,

Anirinopte (ville de la Roumélie, Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 257.

Belle campagne, XLVI, 86. Jardinier!» bergers vivant comme ceux de l'antiquité. Marche des troupes de- vant le grand seigneur, 87. Ha- rems, 88.

Angola (ville du Boumou, Soudan), courd'uue princesse, t X^II, p 239

Angt'Kioof ( vallée de la colonie du can de Bonne-Esipérance), t, XXIV, p. 104 et suiv.

Angtaii, Leur caractère comparé à celui Ides Écossais et des Irlan- dais^ t, XLVI, p. 273 à 280. Leur Égolmo, 274,280,283.

Aiigltleirt. Impression que ptodiiit ce pays, comparé à celle qu'éprouve le voyageur en Franoe, i. XLVI, p, 2711

Londres, 280 à 283. Angornou (ville du Bournou , Sou- dan), t. XXVII, p. 122.— Population, commerce, 127.— Denrées; habilaus, 128. Belles négresses, 177.

Anliinga, Oiseau à cou de serpent, t. XXIV , p 275.

Aunatom ( Ile ^cs Nouvelles-Hébri- des, Australie), Découverte par Cook. Naturels anthropophages, produc- tions, etc., t. VIII, p. 377 et suiv. Son aspect, XVIU, 303.

AnsQif Ses iuiques expéditions con- tre les Espagnols du Pérou et des Philippines,' t, II, p. 74 à 354. Après avoir essuyé plusieurs tempêtes, ar- rive à llle Juan-Fernandez, 132. S'empare de divers vaisseaux espa- gnolK^ 156, 170, 173.— Pille et brûle Paita dans le Pérou, 179 Est obligé d'abandonner successive- ment presque tout le butin, 221, 236 Risque d'être abandonné à Tinian , 259, 272, Relâche à Ma- lao,en Chine, 291. Obtient fort difficilement l'autorisation du vice- roi de Canton de se ravitailler , pour- quoi? 296, 308. Combat et prend un galion espagnol, 312.— Rela- tion de l'audience q><'il obtient du vi- ce-roi dte'CantoD, 339.

#

DRS MATIÈRES.

A»ttq»trro (ville d'Eit».). t. XLVI, |>. 109.

AnUgoû (Ile petites Antilles). Miiisuns , rues de la capitale , t. XLI , |>. 275.

Antilltt ( archipel de l'Amérique se|itentrionaIe ). Siognlière pro|frié- d'ua poison, t. XXXVIII, p. \9l.

Population des lies , 3Û0, 409, 410. Singulier caractère des babi- taas, XLII, 461.

AnillUi ( grandes ). DikwiiTertes par Colomb, t. XXXVIII, p. 100, 238- Voy. Cuba, Haui,la Jamttqut , Porto-Rieo , Tortui.

AnUH*i (petites). Dérouvertes par Colomb, t. XXXVIII, p. 164. 239, 241. Voy. Antigoa, la Barbadt , la Dçmimfuf , la Guadtloupt, Saintt- Lucie , la Martinique , les Saintet,

AiiUoeh* (ville de Syrie, Turquie d'Asie^, t. XXIII, p. 45.— Mai»uns, rues, bazars, mosquées, grotte de la Fécondité, gouvernement, divertisse- ments, XXXII , 458.

Antiparoi(\\e de l'Arcbipel). Grotte fameuse , t. XLVI , p. 96.

AoTouaou. Jeune Ta'ttien, emmené par Bougainville ,' s'ir.sa demande, t, IV , p, 231 Son séjour à Paris,

250. Meurt à Madagascar 231 ,

251 , 402.— Est le sujet d'une i; «sodé des Jardiné do Delille, 251. Avait des notions d'astronomie , 258.

Aoudh on Oud* (province de l'Hia- doustan). Voyage dans le pays, tom. XXXVl, p 176 à 205. Villages, 177, 197, 200, 201. 205. - Cam- I>agae, 179, 199, 200, 202. Gaze- tier, 180. Audience ■'u Tîawad , sa couronne, ses oeuvres scientifiques, 187 et suiv. Usage singulier, 191.

Anarchie de l'Eut , 193. 202. Fort Meiagunge , 197. Belgaram , 198. Fertilité du sol, 199.-: C^""- ricrs, poste, 201. Vieille forteresse de Suwmunuggur, 203. Voy. Lucknow capitale,

Apéi (Ile des Nouvelles-Hébrides), Australie, t. VIII, p. 339, 424.

Apsnniiu ( montagnes d'Itulic ) , t. XLVI. p. 31. Hauteur des prin- ripaiix points, 44.

A/)i,u<», Voy. Paoom.

Arabes, Extension de leurs ét^iblis- st mens sur la mer Rouge ; avaient , ai ix" sièrle, nn radi à Canton , 1. 1 ,

3H

r ■♦'

p. 0. Aiment les ebnveui long.* , parfumcat leurs habits ; oostnuio , figure de femmes , XXIII , 148. Leur race , XXXI , 19. Effets du lamitl , précautions, 326.— Noblesse , éducation , 327. Réunions , carac- tère , 329. De la virginité , 331 . Propreté , offire des barbiers , hospi- talité, saints, appartemcns , 332,333. —Taille, repas, visites, maisons, ra- reté des maladies , 334. Usages , jeua dans les cafés, XXXII, 26. Méprisent les Turcs, 43. Leurs pè- lerinages à La Mecque. Voy. La lu«e- (fue. Pèlerinages des anciens ido- Aires, 22(i. Délicatesse de l'odorat, 234. Superstition des matelots, 365. Coutumes de quelques tri- bus, 379. Voyage pnnni les tribus, à l'est de la Syrie, 385. Fipure, formes, XXXV, 15. Peuvent rem- placer l'eau par le sable pour leurs ablutions, XXXVII, 247.

Arabn-B^douint. Leurs huttes dans l'Arabie, t. XXXII, p. 13. Leurs

iirovisions de voyage, 36. - Elèvent es enfans des chérifs, 173, 175. Condition des enfans du chef ré- gnant, 175, 176. Délicatesse de l'odorat , 234. Leur costume ; for-^ ment une race à part, 314. Mé- prisent les artisans, 319. Leur race s'est conservée dans le Ncdjed, 383. Voyage parmi les tribus de l'est de la Palestine, 385. Campemens; 390, 419 et suiv. Vols , 393. Récits de veillées, 409, 411, 426. Tentes , 419. Souhaits à la per- sonne qui éternue , 423.

Arabti la Barbarir. Ignorance, t. XXII , p. 201. Musique , 202. Divertissemens , mari.-iges , 204. Leur» formes , XXVII . 21 . Ca- ractère, 22, 26. : Vêtemens, pas- sion pour lesvécits, 23, Hospitalité, 24 . 27. Lâcheté punie , 25.

Arabtt tït l'Egypte. Description des quatre classes, t. XXII, p. 245.

Arabes du Maroc. Leur vie nomade, t. XXII , 91, 162.— Costume , figure , tributs^ 192 à 94. Sont opprimés ; leur agriculture, 95. Chiens de garde ^.

Arabes viathahUts. Ne vénèrent point Mahomet , XXXII , 291.

Arabie, Etat du sol, climat, t, XXXI, p. 325. Vents cl leur» effets , 328.

4"-

312

TABLE GÉNÉRALE

V

Habitaot Julh , 327. Bel arbutta « kou utilité pour le* femme* , 343. HUtorjqua dei voyages effectué! daat le |iays, XXXII , l et luir. Voy. Oman, Arabii D^ierti, Voy. N*Jlj*J, ArûhU H«un»it. Voy. Y^tun. Arabie P4lr^*. Voy. //*<(/«. Araè(y'\\\t de la Hongrie, empire d'Autriciie), t.XLIV.p. 119.

Aragon ( proTiuoe d'Etpagr.e ). Caropagne , Saragotae , t. \LS I , p. 174.

Aranjuf ( rétidenoe royale. Eapa- gne), t. XL VI, p. 176.

Ararat (muot d'Arménie), t. XXXI. p. 205.

Arafuait0t (tribu du Cbili). Natu- rel* sont hardi» , agi(e«, féroce»; leur uspect ; (lart de* femme* dan» le* com- bat*, t. XVIII, p. 132 etiuir. —N'ont pas de villtis, sont polygames, t. XX, p. 82.

Arbogit . (ville de In Westmanie , Suède) , t. XLV, p. 15,29.

Arc {tl« (/« /'). Archipel Dangereux, Polyné*ie. Nommée et décrite par Cook, t. V, p. 89 et *uiT. Avait été découverte par Bougainville , XIX , ''1 77. —• Laideur de» naturel», 189. Etaient cannibales, 191. Polyga- mie, état de.', femme*, 192. Con- version au christianisme, 195. In- dustrie, population, 196.

Arehipil (mer entre la Turq.|d*Eur. , la /rèce et la Turquie d'Asie). Beauté du climat et de la mer , t. XLIV , P. 282, 289. Mytilène, 282. Istrate , Ipsara , Chio , 284. |— Smy rue, 285. Baie de Dourlaoh , 288. Iles diverses , 289. Aspect des montagnes de Morce , 290. L'Ar- gentiire, XLVI , 93. Cythère , 93, 205. Siphante , Milo , Nio , 94. Caliste et ses deux démembremen», Santorin et Aproinsi, Naxia, Tina , 95. Délos, ^aros, marbres d'A- tundel , fameuse grotte d'Autiparos , 98. Scyros, 97. Lemnos , Les- bos , Chios , Samos , Pathmoa , Gos , 98. Rhodes, 99. -

Aretiqutt (régions, ou rvlfimiti ci> pûle septentrional ). Navigatutui ». nord du détroit de Behring, «^mm» d'Asie et d'Amérique, découv«M», noms donnés à divers lieux, t. £1 . p. 64 et suiv. Découverte du 4iif|'

Glacé, 00. Champs de glace, ff7 .

Uetcriptiou de» chevaux marin» , 08 et suiv. Canards , 70. Ur- cou verte du cap Li»burn ,71. Mc- marques sur la formation de la glarr, 72. Découverte du cap Nord , 7' .

Aarrière» de glace», 3tt7 et »uiv.

Décourerte du détroit de Kolxe- bue, 103 Voy. e*Hom. Voyuge ^u nord du détroit de Behring, XIX, 236 et »ui;.— Glaciers, 240. Ex- ploration de la c6te américaine, 251 et suiv. Dérouverte du cap Thomp- son , 252. Hope, 255. -r- Beaufort, 257. Franklin, 259. Découverte du cap Barrow et de la baie Elsou , 278. Découverte du fleuve Mai- kensie , XXXVIII , 38. Saisous «t leur* phénomènes dans ces réglons, XL , ij et suiv. Hutte* de glace , iv, V. Étendue de la glac*, vj. Températures, vj. Animaux «t végétaux, vij et sniv. Méduse» , viij. Cétacés , x, 250, 265. Our>, X, 253. Historique des tentatives faites pour traverser l'océan Glacifl arctique , xj. Tentatives faites pnr terre pour trouver le passage au nurd de l'Amérique , xxvj. Etat de nos connaissances à ce suje*, xxxi. f^ojragci dm eapila'n* Roii, voy. nom, XL , 1, MonUgnes de glaces , 2, 256. Aspert des .glaciers , 2. rseige vue au microscope, 26. 2* Voy g* , 28. Découverte de U Bootliia, 'J6. Voy. tt nom. Animaux divers, 47, 59, 61, 122, 134, 18(i, 199. 281 , 312, 327, 337. Danger des tempêtes d'hiver, 54 et suiv. Evaporation de la neige par le vent , 58. Aurores boréales, 62, 74, 170, 305. —Oiseaux, 140, 143, 144, 180, 236, 265, 329, 331, 358, 417. - Voyage pour déterminer la position du'pâi^ Magnétique, 183. Sa po- sition, 187, 190, 247. Avalanches, 236. Premier foyagt Je Parry, 244. Voy. et nom. Baleines noires, 250, 273. Lits des ravines, 2ô9. Découvertes de baies et de caps, 262 et suiv. Baleines blanches, 263. Découverte de l'Ile Melville , 2;S2. Voy. ce nom. Divers effets

du froid, 301, 305, 313, 316.

Kffetî des exhalaisons de la ti-rrc, 322. royage, 373. Exi>lora. ;iun (le la côte est de la presque Hc

DES MATIÊUES.

313

t »uW.

ir le tent ,

74, 170,

44,180,

117. -

positiou

- Sa po-

aUnchtfs,

Parry,

es noires.

Des, 2Ô9.

de cap»,

blanches,

Melville ,

ars eflett

3!6.

lil tlTIf,

Explora- Cïipic lie

>I«l*ille , 391 et tulf. Trombe de «fige, 406. —a» y»r*K*. 440. 4* yv/'gt |>our atteiudre le pAlc nord, 461. Arci-cn-ciel, 470. Vojrmet de Franklin auK cdtet de la mer Pu- l«ire, 475. Voj. £$guimau», Grvtn- lami , 't'ithultkx.

Arctiqutt (hautes terres). Nomnéet par Rom. Aipect , prodiictiont, t. XL, p. 17. ^ Coitume des habitant , 18. Figure, formct. lU. Absence de religion , 20. -^ Sorciers , 21 . Habitutions , larape , 22. Alimeus , vbatsea, animoiiK , 23. Saleté des naturels , mariages , 24. Oonver- uement , 25.

Ard*l>il ( Tille do rAaerbvlidjao , Perse). Sa yaste plaine, t. XX XY, p. 37if. Population, mur d'en- ceinte , maisons, 874. Tombeaux remarquables , sfî. Climat , 376. ArgtHtièr* (Ile de l'Archipel) , tome XLVI, p. 03.

Argointit*$. Bat réel de leur expé- dition , 1. 1 , p. 3.

Argot (Tille de la Grjice), t. XLIV, p. 291, 2^,205; XLVI, 206.

AriJ0 ( tle , océan Antarctique ). DécouTerte par Marioa , tom. IV , p. 404.

ArimoH (Iles de l'AostraUe). Déoon- TertM par Lemaire et Schonten. Pro- ductions, Indiens, etc., t. I, p. 324; n, 67, 68. Appelées Iles Brûlantes par Dampier, 67. Arkangtl fNoaTeU), \oy.Silka. Arkétko ( port de l'^kbyssinie ) , t. XXIII, p. 172.

Arménit (province d'Asie, commune à la Russie et à la Turquie). Voyage dans l'intérieur, I XXXI, p. 202 et SUIT. Ville et proTince d'Ériven , 202^ 204. Mont Ararat, lOâ. Voyage dans l'intérieur, XXXII , 470 et suiv. Mardin, 472. Desoiptioa des Ujarbekr, 475 et suit. Djesan- reh, 4/3.

Arréoyt, Sociétés secrètes de «Jit- sieurs Iles de la Polynésie; Ie«ir b^pt immoral, t. V, p. 270 et sui».^ V1U, 263, 272, 274 et suiv.j XII 1,5^^ 317. Abolies par les missMMiaaires , XVII, 279.

Arrbyzaoa. DéToucDi<*«>: de cet au- mânier pour l'équipage (fo son v»s- seau, 1. 1, p. 157 et suir. AHMidu ( Iles de l'Australie ), f< »r-

menl l'arehipel Saloraon , déoouTert par Mindana, sont retrouTée» pai %vx' Tille, r. III, p. 420.450,494.

Aarriux. Son Toyage eu Asie , t. XXXI, p. 61.

Aivil (Tille du Konrdistaa , Turquie d'A»ie ). Aneltinu Arhilltt, Rues , t. XXXII, p. 483. —Population; chA- teau , 481.

Arg*m (Tille d'Algérie), Ruines ro- maines, t. XXII, p. 183.

Anobitpo ( Iles do la Malaisie ), t. XIX, p. 435.

Aiamagantary ( TÎlle dn Gaston , Afrique), t. XXVIII, p. 371.

AtraLiR. Sa k..tsion en Tartarie , t. XXXI, p. 30.

Atetntion (Ile au nord-est de Sainte- Hélène), déoouTorte par Gallego. Sa descriptlcn, t. IX, p. 151 et suiT. Affreux aspect ; étendue; sol, 152. XII, 40. —XVIII, 113, 213. Car- nison anglaise s améliorations ; climat, 186.

.^«A«nNSMia ( Tille des Tibhous du Bilma. Sahara), t. XXVII, p. 70.

Ali*. Est le berceau de la cÎTilisa- rion, t. XXXI, p. 1. Étendue, bornes, 2. Plateaux , monts , 8. ClimaU , 7. Hauteur des principaux aommets, 8. Bassin des fleuTot et des riTières , 9. Lac» , 13. Végé- tation ; botanique , 14. Mines ; ani- maux, 17. Races d'hommes , 19. Leur infériorité aux races européen- nes; leur caractère distinctif , 23. Polygamie; relisions; gouTerneroens; population,\, 2». - Langues, 26. Uistori ^u>. des rc* '<ons avec l'Europe, 35. ~ Uirerses opioioits des Asiati- que ««r l'Europe, XXXVII, 131 et »wx - Littérature do l'Asie centrale, 3W. Une caraTano eu Orient , 246. IVifférenccs dans l'ortograpbe des noms propres, 256. ('orrespondance épistolaire des Asiatiques, 380.

Athimounein ( Tille de la Hante- Égypte). Belles ruines , tora. XXIII, p. «S.

AsM^ (ville de la Syrie, Turquie d'V»ie).AHpect,t. XXXII, p. 400.— Costume, 401. Intérieur d'une naisun, 402.— Situation; population, 404. Château , 404, 410. Église, oruemens, cérémooies,405 , 406. Maisons , 407. Crédulité des habi- tant , 408. Récits de Toilléos, 409,

ê

314

TABLE GÉNÉRALE

411. —Figure des habitans, 411. Leur vie, 412.

Aiiar, ( rivière d'Abyssinie, affluent du Nil). Lit. Magnifique cascade. Fer- tilité desea bords, t. XXIll, p. 403 et suiv.

AuomptioH (Une des lies des Lar- rons). Son étendue, son aspect horri- ble, t. X(I, P..264. —Effets d'un an- cien volcan , 266. L'aspect n'est pas tii horrible. Cratère du volcan , XIX , 385.

Atiwàption ( tie de la mer des Antilles), découverte par Colomb, t. XXXVIII, p. 177.

Assomption (capitale du Paraguay), fondée par Mendoza, t. XXXVIII, p. 352.

Assulah ( ville de l'Yarriba , Gui- née), t. XXVIII, p. 127.

^**r<iJfl(i(prov. de la Perse). Beauté du pays, t. XXXV, p. 310, 322, 325.

Tour remarquable, 325 et siiiv,— Faisans, ^g. Maladies , 334. Costume de femmes, 338.— Usage de l'ail , 338. Coupole de Gount- buz-Kaous, XXXVII, 313. Climat; productions ; belle chaussée, 316.

Astrabad (capitale de la province). Fondation; éteddue, t. XXXV, p. 335.

Agréable aspect; maisons; rues; bazars, 336, 337. Fréquence de la peste, XXXVII, 314. Ancienne opulence; belle chaussée; commerce, 315.

Astrolabe ou Dekai (baie de la Nou- velle-Guinée), nommée par d'Urville. Villages, figure, armes, etc., des na- turels; productions et beauté du pays, t. XX, p. 386 et suiv.

Atbara (ville et province de la Nu- bie), paraît être la fameuse ile de Meroë. Ruines antiques, t. XXIII, p. 446; XXV, 452.

Atepa (ville de l'Yarriba, Guinée ), t. XXVIII, p. 133.

Atjia (ville de la Haute-Egypte). Ses environs, t. XXIII, p. 77.

Athènes (ville de la Grèce). Le Par- tiiénon, t. XLIV, p. 306. L«» Pirce, 307. Environs; intérieur; ruines diverses, 308, et suiv. XLVI, 214. L'Acropole,; la lanterne de Démos- thène ; l'Illii^su!. 215.

Atlas (mont de 1'. Afrique). Neiges t'onstautes. Animaux féroces, t. XXII, p. 124, Origine du nom; quelques

hauteurs, 160. < Tie, caractère, fi- gure des Chelluks, 163, 174, 178.

Atooi ou Aiouai ( Ile de l'archipel Sandwich, Polynésie). Découverte et décrite par Cook. Entrevues avec les naturels , t. X , p. 265 et suiv, Description des naturels , 268. As- pect de l'Ile, 269. Etonnement dvii insulaires sur le vaisseau, 270. Ai- guade, 275. Cimetière , pyramide, 276 et suiv. Tombeaux des chefs, idoles, 278. - Sacrifices humains, 280. Plantations, 281. Villa- ge, 282. Vétemens, 283. BeauK oiseaux , 285. Cannibalisme , 287.

Etendue , mouillage , 297. As- pect, sol, 298, 300. Climat, 300.

Productions végétales, 301. Oi- seaux, 302. Poissons, animaux domestiques, pers<mne des naturels, 303. Sont bons nageurs ; leur bou caractère, 305. —Population , 306. Vétemens et orueroens, 307 et suiv. Tatouage, 310.— Habitations , 31 1. Ustensiles; nourriture, 312.-^Cuisine, 313.— «Amusemens variés, 314.— Mv nufactures, étoffes, nattes, 316.-^ Us- tensiles, outils, 318, 319. Connais- sance du fer; d'où leur peut-elle être venue? 320 et suiv. Pirogues, 324.

Agriculture avancée, 325. Détail^) sur un des chefs, 327. Gouverne- ment, 328. Armes, 329. Mœurs et langue semblables à celles des iusulai- rcs des lies de la Société et des Amis, 331 et sniv. Sol, productions, XI, 246. Sol, vUlage, XIII, 292.

Champs cultivés, productions, XIV, 131 et suiv. Ouvrage remarquabln d'irrigation , 133. —Montagnes cou- vertes du bois de sandal, 139.

Auckland ( groupe de l'AustraUe). Bel aspect, beauté de sa 'nature, t,^XX, p. 158. Découvert par Auckland, 164.

Auckland ( ile du groupe d'Auc- kland). Sol, aspect pittoresque, forêt, t. XX, p. 164. Fertilité , végétaux, auimaux, 166. Coquillage, 169. Climat, 170.

Aaiijelah ( ville du Biirca , Tripoli). Est mal bâtie, villes de son territoire, t. XXV , p. 425.

Augsbourg ( ville de la Bavière ), Bel aspect, t. XLV, p. 342. Sa des- cription , 343 , 34 i. Ses environs, 345.

- I

t

DES MATIÈRES.

X1&

A^r (groii|ie de l'archipel Radack, Pulynésie). Dccourert par Kotzebue, t. XVII, p. 197, 205.— Naturels, 196. lie Stonbal , 201. Femmes prenaut part à la guerre , 203. Eteadde et population du groupe , 205.

AuRiBEAU ( d' ). Prend le comman- dement de l'expédition à la mort de d'Entrecasteaux, t. XV , p. 283, 287.

Aurore ( ile des Nouvelles - Hébri- des, Australie) , découverte par Bou- gainville , t. IV, p. 267. ■— Son gise- ment, sa surface , t. YIII , p. 423.

Aurore ( iles près des Maluuiues ). Leur existence est problématique, t. XX, p. 33; XXI, 238, 240.

Aurorei Australie , t. Vil , p. 227 ,

228; t. XXI, p. 459.

Aurores BorMu, Yoj. t. XL, p. 62, 74,170, 305.— Au cap Nord, et dans les environs, XLV, 223, 261,

284,291,292.

AaitraUsns (indigèacB de la Nou- velle-Hollande). Leur misère , t. I , p. 391. âe peignent le corps, vont entièrement nus, VI , 210, 212 , 388

Armes , manière de s'en servir , 215, 398, à 401. Formes, figure , 387. Ornemens divers , 388, 389.

Tatouage , 389. Nonclialance , 390. r Vie nomade , cabiines , 391 , 392. Mobilier, 393.— Ustensiles de pèche; nourriture, cuisine, 394,395.

Comment ils se procurent le feu ; observations comparatives à ce su- jet, 396 et suiv. Grossières piro- gues, leur construction , 401 et suiv.

Caractère, langue, 405.*— Mi- sérables huttes, XIV, 19, 23, 47. Réservoirs de poissons , 27. Vie errante, 46. Nourriture , 48. Incendies qu'ils allument, 49. Idée de la Tie future. Taille , figure. Mi- sérables huttes, tatouages, niutila- tions, XVIII, 222.— Habitations, mariages , état des femmes , couches, 224. Armes; vêtement unique, XXI, 332, 333.— Figures, formes, t. XLIII, p. xxi, 101 ,257, 298. Misérable état.xxij, 101, 259. Mariages, condition de la femme , xxxj. Le roi Boungarre, 9, 89. Race ^78.

Cannibalisme, 79, 94, 362?* Divers dégrés de civilisation , 82. Etat dégradé de ceux du Sidney , 83 à 86. Meurtre habituel d'uu ju-

meau , 84. Costumes, 84. Ca- ractère, 85, 101, 251. Naturels « du HawLesbury, 86. Du New- castle , 87. Intelligence , 88 et suiv., 101. Adresse; guerres, 91 et suiv. Vengeance, 93. Amour des enfans,95, 98.— Idées religieuses, supertitions , 97, 244, 259. Nourri- ture, 98. Saleté, maladies, 100, 251 , 271 , 326, 328. —Vie nomade, 101. Absence de hiéruicliie so- ciale, 103. Entrevues avec eux, 187, 191,193 et suiv., 212,228,

249, 256, 270. T.>mbeau, sculptu- res, 188. Pèches, 191, 209, 323.

Corps peints, 192, 251, 313'. Incendies qu'ils allument, 211 , 212,

250, 261 , 262. Huttes, 239, 248.

Village 248. Filets , 248. - Armes, 256,271, 299. Eue des - naturel de l'intérieur , 257 , 299 et suiv. Naturels du Darling, 257. Voy, ee nom. Des bords do la Mo- rumbidje, voy. ce nom, Chasse à l'opossum, 290. Naturels des bords de la Murray. Voy. ce nom.

Autriche (empire d'). Voyage dans l'intérieur, t. XLIV, p. 91. Fron- tière turque , 91, 92. Paysans par- lant latin , 104. Le banuat de Té- mcswar, 115. Voyage de Marcel de Strres. Heureuse situation de l'Autri- che, XLVI, 217.— Races diverses d'ha- bitans , 218 et suiv. Coup d'œil sur chaque province et sur ses babitans , 222 et suiv. La Bukowine et ses ba- bitans, 225. La Gallicie, 226. La Silésie , 227. La Bohême , 227 234. La Moravie, 227, 237. La Styrie, la Cariuthie , 229. Observa- tions sur les Allemands en général, 230 et suiv. Religions, 233 et suiv. Archevêques, évêques, leur élec- tion , 236. Sectes diverses , 238 et suiv. Juifs. Bon état de l'instruction piiblique , 239. Voy. Hongrie , Lom- bard-Fénitien, Trantjrlvanie, Tyrol.

Autriche (prov. de l'empire d'Autr.). Différence physique entre les Au- trichiens et les Iluligrois, t. XLIV, p. 129. Voyage dans la province, routes, loi. Beauté et fertilité de la vallée du Danube. Caractère du peuple , XLVI, 228. Religion , 235.

Autruislie. Description de cet oiseau, t. XXVI, p. 415.

A'ja ou Kava uu Y'aiia, liqueur forte

■t

,5 ' r

31G

TABLE GÉNÉRALE

«les Polynésiens; sa dégo&tante con- 4. fection ; ses effets, t. VIII, p. 31; IX, 393, 445, X, 230; XI, 257; XIII, 289; XV(, 218. Chants avant de la pren- dre, XI, 296.

ji»« (proTÎnce et ancienne capitale du Birman , Indo-Chine). Description tsoroparatiTe de la forme physique des habitans, t. XXXIV, p. 240 à 246. Sa décadence , 474.

Avril. Sa mission on Chine, t. XXXI, p. 61.

Awttka ( baie du Kamtschatka ). Sa description et celle du pays adja- cent, t. XI, p. 308. 391. Ville de Petropawlouski, 309. Vny. et nom, Pèche des saumons, 424, 426.

Axum (ancienne capitale de l'A- byssinie). Description de ses mines,

t. XXIII , p. 233 et suiv. NoAelle Tille, 236.

Aymon ( le père et les quatre fils ).

Mondrains du détroit de Magellan,

nommés par BougaiDville,t.IV, p. 136.

Azamore (ville du Maro^.), t.XXXII, pag. 146.

Aztrbaidjan. (province de la Perse). Voyage dans l'intérieur, t. XXXI ^ p. 205 et suiv. Le mont Ararat, 205. Voyage dans l'intérieur ; XXXV, 372 et suiv. Ardebil et sa vaste plaine, 373 à 376. Lieux di- vers, 376. Caravenserai , 378. Lac Ouronmia, 380 et suiv. Source du Tigre. Evéque catholique , 383. Sauvages descendans des anciens chrétiens, 384 et suiv. Voy. Tauris, cap.

Bab-el-Mandtb ( détroit à l'entrée de la mer Rouge). Signification de son nom, 1. 1 , p. 110. Aspect des deux côtes, XXIIL 152.

Babylone. Ses ruines dans l'Irak- Araby, Turquie d'Asie, t. XXXII, p. 493. Antiquités babyloniennes à Bagdad, 495. «

Baccalan (lie delà mer Rouge )r, t. XXXIII, p. 155.

Bachnpins ( tribu de Betchouanas. Afrique), t. XXVI, p. 400,470.— Vétemens, armes, 405. Hérédité du pouvoir, 471. Combats, 473. Ca- ractère, mœurs, 474, 478, 483. Commerce, législation, 474. Pu- nition des crimes; superstition, 476.

Déla.isemens, 481 . Occupations des hommes et des femmes, 481, 485.

Formes ; costume , 484 , 489. Mariages, 486. Coquetterie , 488.

Maladies; médecins, 491. Agricul- ture, 492. Langue, 494. Voy. Li- lakou, capitale.

BaJigiy (ville de la côte des Escla- ves , Guinée). Épreuve ^des bonnes intentions des voyageurs, t. XXVIII, p. 282. —Environs, XXX, 7. Visite au roi, 8. Costume d'un prêtre, 12.

Interprète, 15. Roy.iNité partagée entre quatre chefs, 16. Leur cos- tume, 21 . Fêtes et cérémonies de la fin du Rhamadan. Costumes , 24. Mallans du Haonssa, 26. Sol; pro-

ductions; roiusons; caractère; reli- gion, 30. Superstition, 4^.

Baebaegie ( ville du Kano-Haoussa, Soudan ). Situation , habitation du gouverneur, t. XXVIII, p. 210. Maison des femmes, construction des maisons, 212. Arbres, oiseaux, population, 214.

Baffin. Ses recherches du pas- sage au nord de l'Amérique , t. XL , p. xxiij. Ses découvertes , xxiv- xxix.

Bajyin (mer de l'Amérique septen- trionale ), découverte par Baffin. Ses côtes; ses phoques; ses communica- tions, fL XXVIII, 31.

Bagdad (ville de l'Irak- Araby, Tur- quie d'Asie). Aspect, tom. XXXII, pag. 487. Escorte du pacha ; res- pect qu'il inspire ; situation de la vil'.e; murs; intérieur, 488. Rues; palais; Mosquées; dômes; minarets: bazars, 490. Maisons; population ; âoes Ll'.ncs; ruines du palais de Nemrod; mosquée vénérée; tombeau de la femme d'Aaarouu-Al-Rascbild , 492. Antiquités babyloniennes, 495. Aspect de la ville à minuit. Etat de la littérature. Fréquence de^ crimes , 496, Intérieurs de maisons vus du han d'une tour, 497. Tatouage des femmes, 498.

Bngtchiterat (ville du gouvernemeut de la Tauride, Russie d'Europe ). Pa-

V

w

DES MATIÈRES.'

317

, 383.- anciens Tauris ,

du pas- e, t. XL,

xzir-

I«is des anciens khans de Crimée, t. XLI V, ,p. 4Q&. Description de la ùIIh, 410. ,

Bah-Baha (pays d'Abyssinie } , sa fertilité, t. XXIII, p. 395.

Baïkal (lac de la Sibérie ) , honoré des naturels. Sou étendue, t. XXXI , pas. 279.-

Bajiebo (ville de l'Yarriba, Guinée). Commerce, Huttes. Saleté. Gouverne- ment, t XXX, p. 305. Canots, 306.

Balab/a (ile de la Nouvelle-Calédo- nie, Australie), découverte et décrite avec ses habitanspar Cook, t. YIII, p. 427 et suiv., 440 et suiv, Voy. JVou- vtlle-Calédonie, Naturels sont doux et paisibles, IX, 3, 4,20. Ne méritent pas cet éloge. Sont anthropophages, XV, 194. 198. Natureismangent la terre, se fout la guerre, 201.

BalaUava (ville du gouvernement de la Tauride, Russie d'Europe), t. XLIY, p. 415.

Balanduco (ville du Timani , Séné- gamhie). Huile de palmier, t. XXVIII, p. 21.

Balajra (pays de la Sénégaiâbie). Bornes. Industrie. Yét<>:vf>Ttt , XXIX, 386.

Balbee (ville de Syrie ■. ir d'A- sie) Son temple du st'^'i, . XXIII, p. 48. •— La ville moderne , XXXII , 454.

B&LBOD (Vasco Nuguez de), premier Européen qui ait vu la mer du Sud (1513) , en prend possession pour le roi d'Espagne, 1. 1, p. 141 f note.

Baldivia (ville du Chili). Fondation. Hahitans , t. XX, p. 81 .

Baleines y leurs jeux, t. IX, p. 78.

Pèche de la haleine à Nootka, XIll, 372. Baleines des régions arctiques, XL, ix. Habitudes et pêche de l'es- pèce finner, XLV, 178 à 180.

Bal/rouch ( ville du Mazandéran , Perse ). Aspect agréable. Commerce. Population, t. XXXV, p. 354.— Der- viche, 355. '-- Anecdote sur un voya- geur européen , 357.

Balkan (chaîne de monts, Turquie d'Eur. ), Sites pittoresques, t. XLIV, p. 49. Animaux, 49. Villages, 50, 51, 57. Contruction des caba- nes, 50. Crète des monts, 54 à 59.

Passe magnifique, 55. Ponts, 56.

Danse déjeunes filles, .58. Beauté des forêts, 251. Bohémiens , 252.

•— VersaVit dn côté de la Ronmélir, 255.

Balhk ( ville du Caboul , soumise au roi de Bonkharie). Ancienne opu- ijlence, t. XXXVII, p. 153. Rnines. Antiquité, 154. Florissante sous Alexandre. Histoire, 155. Trône de Cyrn». Environs, 156. Fruits. Cli- mat, 157. Médailles antiques, 1^.

Baltimore (ville du Maryland, États- Unis). Société, t. XXXIX, 227. Sa décadence, 229. —Climat, 230. -Brl aspect. Monumens, 427. Costumes, 439.

Bambara ( royaume, partie en Séuc- gambie, partie dans le Soudan). Sa guerre avec le Kaarta, t. XXV, p. 128. Voyage dans le pays , 21 1 à 275. W'assibou. Culture du blé, 214. Mourdja : commerce de sel, 21 7.-^Am- maux féroces, 222, 236, 364.— Arbres, 231 .— Crocodiles, 237.— Somini,263. Saphis ou amulettes, 264. —Com- merce de sel, 265. Bammakou, 267. Kouma , 269. Atroce trai- tement du roi prisonnier, 381 . Cos- tume du roi, 382. Atroce coutume, 583. Voyage dans le pays. Kayaye. Naturels. Costumes. Danses. Musique. Autres divertissemens, XXVIII, 301 à 308. Voy. Djtnnf^ Koulikorro^ Santan- ding, Scgo, capitale.

Bambouck (royaume de Sénégambie). Mœurs des hahitans. Mariages. Fête de la Circoncision, t. XXII, p. 76, 77. £<iMiour (contrée delà Sénégambie). Voyage dans le pays. Satadou. Schron- do, XXV, 344.

Bamejran{v'Me du Caboul), Précipices des environs, t. XXX Vil, p. 120. Cavernes. Cité souterraine, 121.— 'Antiquité de la ville, 122. Idoles colossales. Traditions, 123. Bammakou ( ville du Bambara , Séné- gambie). Commerce de sel, t, XXV, p. 267, 295.

Bamuchart ( tribn de Betchonanas , Afrique), t, XXVI, 471.

Bananes, leur usage dans la Ma- laisie, t. VII, p. 67. Disposition de leur fruit, XV, 383, note ». Manière de les faire mûrir, XVI, 217.

Banaron (ville de l'Agra , Hindous- tan). Marque des purifiés dans le Gange , t. XXXI , p. 75. École. Cérémonie^ devautl'idole,76. Tom- beaux remarquables, 78.

V

*.:

318

TABLE GÉNÉRALE

Baïuitrilê (rille da Dentilla , Séné- ganibie), t. XXV, p. 343.

Banea (tle de la Malaisie), t. XLIII ,

p. Tiij.

Banda (Ile Molnqnes, Malaisie). Ar-tP mée de son ressort ou gouvernement, t. IV, p. 380. Postes ou comptoirs qui dépenùent de l'ile. Bois de saudal, 381. Muscade cultivée exclusive- ment, 384.— P'ants de girofliers ar- rachés par CI ■. des HoUanduis. 385 ; XV, 77.

Baukok (nouvelle capitale du Siam). Aspect animé, bazars flottaus , tom. XXXIV, p.122,226,228.-- Habita- tiops , 125 , 129 , 226. Costume d'enfans, 125. Secte de maurs, 130. Audience d'un ministre, bas- sesse des serviteurs,. 134 , 197. Audience d'unV»n<^e, 136, 207,210.

Voy. Finlayton, Intérieur du ]ia- lais du roi, 147 à 171. Soldats. 150.

Musique, 151. Salle du trône , richesse, avilissement des courtis.iD.s, 152 et sui/. Le trône, \55, 156.

Éléphans blancs , 160 , 281. Singes blancs, 164, 281. Temples, 165 à 170, 234. Dagoba (monu- ment sépulcral) , 166, 236. Pein- tures, bibliothèque, 170.—* Énormes canons, 171. Ambassade cochin- chinoise et française, mieux accueil- lie que celle des Anglais , 190 , 219.

Procession de barques royales , 193. Musique , 202. Translation du gouvernement de Siam , 224. Palais du roi, 225. Habitans , sont presque tous Chinois i, 227, '228. Métiers, 228 et suiv. Palais , tem- ples, 231. Innombrables sta- tues de Bouddha , 234. Habitans, 238.

Bakks. Naturaliste , compagnon de voyage de Cook , t. V, p. 3. Sa malheureuse expédition dans la terre de Feu , 52. Singulières cérémonies de Taïliennes qui le visitent , 155. Est chargé d'une fonction dans une cérémonie funèbre à Taïti , 183. Remonte le cours de la rivière, 219. Assiste à l'opération du tatouage, 245.

Trouve dans plusieurs îles de l'O- céanie un coffre semblable à l'arche d'alliance, et nommée Maison de Dieu, 330, 336. Son incursion à la rivière Kudéavour, de la Nouvelle Hollande , Vr, 303 et suiv.

Banlts (ile do la Noayelle-Zélandet, t. VI, f.. 120.

Bantwarà (ville du MalwL.^ ,>Hind.). Abominable coutume des Rajponts , t XXXV! , p. 356. Immense en- ceinte , visite au rajah , 357.

Baobab. Ailire prodigieusement gros , t. XXII, p. 62.

Bapitr, Description de cet arbre et de son fruit, t. XVI, p. 456.

Barbaeena (ville du Brésil). Situa tion, maisons, aspect, [^"oductions du sol, habitans , t. XLII , p. 300.

Barbue (Iles de la Polynésie). Pro- bablement découvertes par Saavedra, t. I,p. 163.

Barca (province du Tripoli). Voyage dans l'intérieur, villes de l'Audjelali, t. XXV, p. 425 et suiv.

Barcelone (Nneva , ville du Vene- zuela , Amérique méridionale). Popu- lation, climat, t. XXXVIII, p. 385.

Barcelonne (ville d'Espagne). Purefô de l'air, environs, baie , anciens murs, t. XLVI,p. 162. Embellissemens récei^ts , nouvelle Barcelonne , édi- fices , police, 163. Prohibition des armes, cherté des loyers, popula- tion , antiquités romaines , 264.

Baré , orpheline , botaniste , fait le voyage autour du monde avec Bou- gainville , t. IV , p. 278.

Bareilly{\\\\e du Bohilcund, Hind.). Ruines , beaux environs , caractère des Rohillas , t. XXXI , p. 210.

Barnaoul ( ville de la Sibérie ), t. XXXVI , p. 293.

Baroda (ville et État du Guzerate, Hindoustan ). iCsrorte de cavaliers , t. XXXVI , p. 369. Bues , 371 . Maisons, palais , église chrétienne, 372. —États, puissance du rajah, 372, 391.— Salle d'audif nce, cour du rajah, 373. Musique, danses, 376.

Barolongs (tribu i\'a Betchonanas). Race cafre , t. XXVI) , p. 471.

Baroche ou Broaeh (ville de Guze- rate , Hind. ) Charlatans indiens , t. XXXI, p. B6. Environs. Ruines. Bateaux , XXXVI , 393. Com- merce. Climat insalubre , 394. Hô- pitaux pour les animaux, 395.

Barra (royaume de la Sénégambie). Voyage dans le pays. DjcUifri, t. XXV, p. 23.

Barra-Cunda (ville du "N^oulli, Séné- gal) , t. XXVII F, p. 314.

#

DES MATIERES.

31»

Barrah (ville du Kanem. Soudan) , t. XXVII, p. 104.

Barrtah (yille dn GnKerate, Bind.), Costume des soldats. Position de la ville, t. XXXVI, p. 365. Ëtat dé-'* plorable , 366.

Barriugtoma, Description de ce bel arbre. Effet remarquable de son fruit sur les poissons, t. Vil , p. 428.

iSairow^tlede l'archipel Dangereux, Polynésie). Découverte par Beechey , t. XIX , p. 164, 166. Étendue. Ar- bres. Huttes , 165.

Barroir (poinf s derAmérique russe), nommée par B'jecliey, t. XIX, p. 278.

Batchjr ou Daihee (lies de l'archipel des Philippines.) Nommées par Uam- pier. Liqneni fermentée des habitans, t. III, p. 423.- -Naturels distinguent les métaux par .'i dorât, 424. Drs- cription des Ues , 425. Leur gise- ment exact, XII, 270. Origine de leur nom , XIX , 387.

Basil Uaj t. Son voyage dans l'A- mérique septentrionale , t. XXXIX , p. 1. Son voyage au Chili, au Pérou et au Mexique , XLI , 374.

B<rM(détroit de, Nouvelle-Hollande et terre de Van-Oiémen). Découvert par Bass , t. XVIII, p. 321.

Battes (archipel des Iles). Voy. Ar- ehipel Dangereux.

Batterg - Blanet ( enfans d'Euro- péens et d'Hottentottes ). Mœurs. Figure , t. XXIV, p. 190 et suiv.

Batavia (capitale de l'île de Java). Fondée par les Hollandais dans la province de Bantam , t. I, p. 119. Insalubrité dn climat. Belles rues. Leurs canaux. Population. Beauté de ses environs, III, 58 et suiv. Escorte dn - gouverneur. Carrosses, des habitans, 218 Beauté des en- trons, IV, 368, 370. Théâtres, 369. Intérieur de la ville , 371. Gouvernement ,373. Fonctions du sabandar, 375. ' Insalubrité du cli- mat, VII , 45, 54. Rues , maisons, édifices publics, 54. Forts déta- chés, 57. Havre , 59. Environs de 1p ville, 60. Fertilité remar- quable-du sol; description détaillée desproduc(.tn-ùs,63 et suiv. -r- Abon- dance de fruits aux marchés, 75. Descriptions des principales fleurs, 76 et suiv. Animaux des environs , 82. * Habitans , 85 et suiv. Ex-

travagante et sanguinaire coutume des Isalams , 92. Leurs singulières superstitions, 93 et suiv. Chinois habitant Batavia. Leurs occopations , '100. Leurs cimetière*, 101. Esclaves , leurs punition* , 103. Gouvernement ,' 106. Monnaies , 108. —Environs, XM". liv, Ixij.

Batta» (habitans de l'Ile de Suma- tra). Littérature. Anthropophagie. Arti- cles de leurs lots condamnant à être mangé vif, t XLIII , p. xij. Abomi- nables repas, xiij. Caractère, xUv, --Repas, xlv.

Batture de Diane (Ile , Aust.). Décou- verte par Bougainville, t. IV, p. 281.

Baudir. Son voyage autour du monde, t. XVIII, p. 3.

Bauman (lies delà Polynésie), décou- vertes p.ir Roggewin, t. II, p. 62, 64. Mœurs, teint , vétemens des naturels, 63. Ne doivent pas être confondues avecles lies desNavigateurs, XIII, 115.

Baur (Ile du groupe de la Révolu- tion), découverte par Marchand, t. XV, Étendue, p. 443. 446-

Bavarois. Fêtes d'enfans, t. XLV, p. 340. Respect pour la chambre matrimoniale, 342. Costume de paysannes , 344. Costumes , 346. Religion , 356.

Bavière (État de la Confédération germanique). Voyage dans l'intérieur, t. XLV,p 338à361. Lindau,338.

Campagne, 338. 341, 342, 345, 359. Wangen , 359. Leutkirch, 340. Routes, Memmingen , Miudcl- heim, 341. Loi singulière sur les voyageurs, 342. Villages, 342, 358, 361- Augsbourg , 342 et suiv.

Munich, 345 et suiv. Prix du travail et de la nourriture, 356 Plaines, l'Iser, 358. Beau lac Ko- chelsce et autres, 359, 360. Alpes, 359, 360. Mittenwald , 361 .

Bayadères. Éducation , vie, costume, réputation dans r'iindoustan, t. XXXI, p. 347 et XXXVI, 438.

Bay-Jah ( ville du royaume de Tu- nis). Commerce, t. XXII, p. 194.

Beari (ville du Zeg-Zeg , Soudan). Tente remarquable du chef, t. XXVIII, p. 270.

£eau/>r^ (Iles delà Nouvelle-Calédo- nie, Australie), découvertes par d'Eu- trccasteaux, t. XV, p. 190.

Bedi-Gima (pays du Haoussn, Son-

#

*sf

%.

320

TABLE GÉNÉRALE

duo). Habitani, prodnotioni, «grioal- ^ ture, t. XXVII, p. 338-. *^ Btd*r ( Tille du Hadjas , Arabie ). Maiiona,!^ XXXII, p. 343 Tliéàtre d'une battttle de Mahomet, 344. ->> Race deaJipbitaDa, 345-

3*dihdr0e\ ville du Haoussa , Sou-' dan). Demeure du gouTerneur, in- térieur des huttes, attribut de dignité; belles femmes,. t. XXVlI, p. 330,*— Amulettes, 332.

£/ii(M (tribu dv H >ussa, Soudan). Arbréii du pays, t. VU, p. 334. Religion, langne, wioUtique, mets favori, 341.

^KECHET. Sou Toyage autour du monde, pour aller à la rencontre du capitaine Parry, t. XIX, p. 1. Re- cueil des détails tr^s intéressans sur la révolte de l'équipage du capitaine Bligh, 23 et suiv. Fait connaître l'état de l'établissement à l'Ile Pitcairn , de l'équipage révolté , 58. et isuiv. (rund possession du groupe Gam- biei et en nomme les lies, 122. Ses entrevues avec les naturels, 101, 105, 113. À. -se le roi, 129 et suiv. Nomme les iles Wolfe, 150. Dé- couvre les lies Barrow, 166. Cock- bnrn, 170. Byam-Hartin, il découvre une petite colonie chré- tienne, 171 et suiv. Les Iles Mel- ville et Croker, 197. Ses entrevues avec la rein« et le roi de Taïti, 207, 212, 225. Nomme les caps Thomp- son, 252. Hope, 255.— Beanfort, 257. - FranUin,259.— Barrow, 278. La baie Elson , 279. Son voyage par terre à Monterey, 325. Ses en- trevues arec le roi Sandwich, 362 et suiv. Examens et interrogatoires qu'il subit à Loo choo, 397, 400, 410, 416. Promenades dans l'intérieur de rtle , 401, 405. '— Nomme les grou- pes Parry, 433. Burdet, 435. Découvre les ports Clarence etGrant- ley, 451.— Naufk-age de soa gr&nd canot, 452, 457.

Btere-Kathi/ery (ville des Tibbous du Gnnda, Soodan;^ t XXVII , p. 85, 440.

Begemder (province de l'Abyssinie). Étendue, sol, t. XXIII, p. 326.— Cavalerie , bétail, mines, 328.

Btgharmii ( tribu du Soudan ), dé- faite par le Sbeikde Kouka, détails sur la bataille, t. ;LXVII, p. 268 et suiv.

BapoM-SiniHOD. Eut, figure, ca- ractère do cette princesse binduut!, t. XXXVI, p. 262 et suiv. ,

£«Aar( province de l'Hindoustan). Voyage dans le pays,' t. XXXVI, p. 103 à 129. Village de Pir-Poin- tie, 103. Cavernes, 104. Campa- gne, 105,115,119,121.— Boglipour, 107, 114. Aspect animé, boutiques, forgerons renommés de Mongbyr, 116 à 118. Bijoux de femmes, 119.— Villes musulmanes ; punaises volantes, scorpions, beau pont, études detliéo- logie de Futwa, 120. Dinapour, 121.— Cbuprah,125.à 127. Buxar, 127, 128. Voy. /»«<««, cap.

Behring, Découvre les Iles Schuma- gin , t. XI , p. 5. Nomme le cap Serdze-Kamen, 80. L'Ile Saiut- Laureut, 83, 85. A très bien relevé la côte d'Asie , de la mer de Beliring, 86.

Behring ( lie de la mer de Behring). Tombeau de Behring. Son aspect hor- rible, t. XVII, p. 64.

B*hriug (baie de l'Amérique Rus^), nommée par Cook,t. X,p. 431.^ £.st^ce une baie ou une rivière? XII, 157, n.

Beira (province de Portugal). Pre- raiev oranger ^^pporté de la Chine, t. XL VI, p. 186.

Btlelter (ile du groupe Gambier, Po- lynésie). Village , singulière entrevue de deux femmes avec Beechey, t, XIX, p. 125.

BéUeiOt, du Niger), t. XXXj^. 312. Costume du roi de l'Ean-Noire et de sa cour, 315 et suiv.

Btlgaram (ville de l'Aoudh, B:>i- doustan).Ruines de la caserne, msisons musulmanes, environs, t. XXXVI, p. 198

B*lgi« Aiutralt, nom donné par Boggewin aux lies Malosines, t. II, p. 44.

Belgnd* (capitale de la Servie,Ta^ quia d Europe). Étang factice, t.XLIV, p. 10. Ruines d'anciens rénervoirs, 11. Aspect, 164. Les F/ffendis , leur reUgion, XLVI, 83, 84.

Btllt (Ile, mer de Chine), nom- mée par Laplace. Étendue, habitan;), t. XVm,p.450.

Belle-Nation ( ile de la Polynésie), découverte par Qairos, 1. 1, p. 262.

BELi.iirG8HÀiiSBir. Son voyage an-

^. J:-

DES MATIÈRES.

321

tonr da monde, t. XXI, p. 431. Déooorre l'Ile do Marqnia de Tra- vene , 432. —- L'arvhipel d' Alexan- dre l", 441. Les (les de Pierre I*', d'Alexandre I*', 446.

/?W««eA«« (tribu da Sindby,Hindoni«> tan). Costume et cortège d'un chef, t. XXXVir, p. 369. Éducation, 373.

£/«<ir4i(\illedel'Allnhabad, Hind). Son caractère oriental, t. XXXV (, |). 141. <— Maisons, mes, temples, 142. Maisons des Hindous; ani- maux sacrés, 143. —• Mouvement de la ville, 144, 146. Sa réputation de sainteté, l4â. Industrie, popu» Jation ,146. Maison d'nn riche ha- bitant, 147, 148. Célèbre vi-hra- gesar, 149. Observatoire, 150.— Ueanx quais. Sectairet) jains, 151, 323. Leur sanctuaire, 152.— Mosquée ; environs delà ville, 153. Sutteisuu sacrifices des veuve; suicides, 154. Collège hindou , 1 55.

Bendtr-Albatii ( ville du Kerman , Perse), Aspect , environs , pyramides, tombeaux, t. XXXV, p. 13.

fi<ajpa/<. (province de l'Hindoustan). Canaux, branches du Crangct XXXVI, p. 2, 45, 57, 64, 67, 70, 88, 92. - Villages, 9, 11, 15, 26, 47, 62, 66^ 81, 91. (Caractère des domestique», 23. Salpêtre, 26. Pagode», 27, 49. Établissement danois , 32. Poltronnerie des Bengalais, 42.— Cha- loupes, 43. Chinsura , 45. Ani- maux , 52, 55, 84, 442. Mendians cbantenrs , 55 Huile de moutarde , 56. Absence de rocs, 57. Cam- pagne, 60, 61, 68, 94, 98, 443 Taureaux sacrés, 60. Loutres appri- voisées , 65. Singulier esquit , 69.— District de Chittagong, 74. inon- dations, 80, 97. Lac , 87. Bergers, 89. Moisson du millet , 90. Manu- facture de soie de Surdah, 91 . Bog- waogola, 93, 443.— Hautes fourmiliè- res, 96. Antique splendeur; vastes raines dip Gonr, 98. Rajmahal, 99, 104. Montagnes et leurs habitons, loi et sniv. Superstition des indi- gènes , 443. Voy. Calcutta. Cliander- nagor, CommercoUjr. Daofa. Puharreis, Sibnitbashi, Yanaoït.

Bengassi (ville du Kaarta, Nigritie), t. XXV, p. 357.

XLVI.

BiiTiousu. Son Voyage an Kam» t4chatka. t. XXXI, p. 857.

B«Houm (ville du Ludamar, Sénégam- bie). Captivité de Mungo Park an camp voisin , t. XXV, p. 140 et •niT.— Tri- but annuel aux Maures , 165.

Btrèert on Kmbatlet (peuples noma- des da nord de l'Afrique). Lear ori- gine, leur vie, t. XXII, p. 163, 178, 213 Langue, 164, 213.— Leur indépendance, 213-

Berge» ( ville de la Norwége ) , t. XLVI, p. 297.

Bergh (groupe de l'archipel des Ca- rolines). Découvert par Morrell, t. XX , p. 207, 21^. N'est autre que le groupe Uogolen, 212, note. Voy. aan pour la tuite,

BergoHt (peuple voisin du Darfour, Soudan). Lear manière redoutable de combattre, t. XXV, p. 414.

Betg-Rieier (colonie du cap de Bonne-Espérance). Embouchure. Ro- seaux. Hippopotames, t. XXIV, p. 458.

BaairiER , compagnon de voyage de Taveruier dansl'Hindoustan,t. XXXI, p. 75. Devient médecin du Grand- Mogol , 75 , 85. Suit le prince à Cachemire, 85.

Betborough{\\9 de la mer de Behring), nommée par Cook , t. XI, 90. Pru- duc'ions , 90, 94. Hubitans, 91 , 93. Habitations de la c6te, 93.

Betehoucmat ou Biehuaaai ( peuples de la race cafrc ). Voyage dans leur pays , t. XXVI , p. 396 et sniv. -«• Campagne, 401 .— Autruche ; 415.

Tribus diverses , 470. Voyage dans leur pays, t. XXiX , p. 37 et suiv. Leur amour du tabac , 5i.— Lenrs formes; ils se graissent le corps, 53. Barbare conduite contre les vaincus , 110, 115. >— Dialectu, 118.

Assujettissemeut des femmes, 120.

Caractèr»»^, 121. Leurs progrès. Gouvernement, 122. Habitudes. 335. Travrrx des femmes. Indus- trie, 336. hepas du roi, 337

Superstitions , 353. Mœurs et cou- tumes des Machaons , 358. Indus- trie , bétail des Marontzis, 359.— Tribus diverses, 470, 471. Voy. Ba- ehajiiiu, Coranas, Gricqua, Mantchlapit.

Bejrla (jolie ville du Sennaar, Nu- bie), t. XXIII, p. 474.

Ùeyrout ( ville de Syrie , Turquie

21

'%

- I

322

TABLE GÉNÉRALE

d'Aiie). Situation. Forme. Mosquées. Parures, t. XXXII. p. 448, 450

Bhali (caste religieuse de l'Hin- doustan), t. XXXYI, p. 531 et suiv.

Bhtils ( tribu de 1 Hindoustan ). Leur vie. Leurs armes, t. XXXVI, p. 338< Leur pays envahi par les Rajpouts. Leur caractère, p. 347. Huttes. Formes physiques , 353. VUlages, 354, 360, 364. Se louent pour eacorter des convois, 362.— Leur état dans leGuzerate, 381.

Bhtilwara (ville du Rajpoutana, Hindoustan). Environs. Richesse du commerce , t. XXXVI , p. 334.

Bhirdjoun-Kain (villas et district du Khorassan, Perse ). Population. Pro- ductions. Manufactures , t. XXXV , p. 412.

Bialittoek ( ville du Grodno, Rus- sie d'Europe), t. XL VI, p. 139.

Bieltt (ville du Grodno, Russie d'Europe), t. XLVI, p. 139.

Biehe de mtr. Description de ce mollusque , et de l'apprêt nécessaire pour le Tendre , t. XX , p. 230 ; notes , p. 259 et suiv. , 326.

Biohuaiuu. Voy-. Btlclutuanas.

Bidattoa (rivière entre la France et l'Espagne), t. XLVI , p. 172.

Biddomaht ( tribu des environs du lac Tchad, Soudan ). Longs cheveux des homme». Ornemens. Figure , t. XXVII, p. 320 et suiv.

Bitfji* (vUle delà côte des Esclaves , Gainée). Musique, t. XXX, p. 37. Demeure et costume du chef, 39, 40.

Bigar {groupe de l'archipel Radack, Polynésie). Nombre d'iles. Croyance superstitieuse^ t. XVll , p. 213>

Bilbao (ville d'Espagne), t. XLVI, p. 172.

, Bilma (cap des TiUtous de ce nom. Sahara), t. XXVII > p. 75, 443. Costume de femmes. Danses, 76. Environs, 78. Voy. Tibbout.

Bindmbund {y'Me de l'Agra, Hin- doustan). Réputation de sainteté. Edi- £ces. ReUgions, t. XXXVI, p. 290.

Biugeh ( ville de la Cochinchine. Indo-ChineN. Fortifications, t. XXXIV, p. 337.

Bir (ville del'Al-Djezyreh. Turquie d'Asie,t. XXXlI,p. 465.

Bir-an^ar (riWe delà Hante-Egypte), t. XXllI, p. 103.

Bir-el-malha(hoh du désert de Lybie.

Sahara ). Le natron, t. XXV, p. 895. Birman (empire de l'Indochine). Ava , t. XXXIV, p. 240, 474.— Fleuvi-. Montagnes, 449 et suiv. Code lé- gal, 453. Puissance déchue. Po- pulation, 454. Armée, 455. Monnaie, 457. Maisons. Piigodcs,

458. Ameublement des maisuns,.

459. —Villes divcr.se8, 469, 472, 476.

Productions , 469 et suiv. Mines, 471. -Prome : ruines de fortifica- tions. Denrées, 471, 472. Puits do J^'aphta. Ectraction dv l'huile, 472. Pouvoir de l'empereur, 475. ' Sa cour. Son costume, 476. Feux d'ar- tifice, A77. y oj.Amarapoura, capitale, Pérou, province.

Birmans. Leurs formes physiques, t. XXXIV, p. 240, 242 et suiv. Langue. Code légal. Race, 453. Service militaire. Caractère, 455. Poésie, musique, 456. Physio- nomie. Funérailles, 457. Saleté. Costume, 459, 460. Occupatioas des femmes, 4(30. Mariages. Poly- gamie, 461. Religion, 461, 478,- Costume de fonctionnaires, 463, 476.

Usages de politesse, 464. Robes des femmes, 467. Leur conditioa. Prostitution. Epreuves judiciaires , 468. Ne mangent que les animaux morts de maladie, 47o. Divertisse- ment du dernier jour de l'année, 478.

Birnie (ancienne capitale du Buur- non, Soudan). Ses ruines, t. XXYll, p. 185.

Biscaye ( province d'Espagne ]. Campagne, BUbao, Vittoria, t. XLVI, p. 172.

Bisehur ( Etat de l'Hindonstan ) . Voyage dans le pays, t. XXXV, p. 470 et suiv. Serau : annimaux des mon- tagnes; corûes sacrées; pierres levées; sculptures, 4!77, 478. Voy. Bampore, capitale.

Biscoi. Découvre la terre d'En- derby , t. XXI, p. 460. L'île Adé- laïde, 462.

Bissaeott (archipel de la Sénégam- bie ). Découvert par Ça-da-Mosto, t. XXII , p. 18. Figure dés natu- rels, XXVIII, 441.

Bjornoë ( lie d». Finmarck, Norwc- ge),t.XLV,p.210.

BUme (mont des Alpes) , t. XLVI , p. 16. Hauteur, 31, 44. Glaciers. Cime, 31. . ,

DES MATl-ÈRËS.

323

Blioh. Bat de «on rojtm dans la mer du Sud, t. XKI, p. 309. Dé- coarre les Iles Bonnty, 518. Se- jonrne à T'aïti, 314 et soir. -«Est abandonné dans la chaloupe par son équipage révolté, 322. Est attaqué par les Indiens de Tofo , 325. Dé» couvre les lies de la Direction , de la Restauration , flu Dimanche , des Frères , du Mercredi , 329. Arrive à Timor, après une étonnante naviga- tion, 332. >Les révoltés sont arrêtés à Taïti, par Edwards, 420. Détails intéressans sur la révolte de son équi- page et ses suites, XIX, 23 et suiv.

Boeqaa ( fameux marché de l'Yar> riba, Guinée^, t. XXX , n. 387 , 391

Bodot ( port du Nordland , Nor- vège) , t. XLV, p. 154. Oolfe de Salten, 155. ~ Poissons rouges, )56. _* Monts voisins , gibier, trem- blemens de terre , 157. Botro, Burrou ou Bourou (Ile de* Mo- luqiies). Bel aspect de la côte, t. IV, p. o31. Gou. irnement des Hollan- dais, 335, 340. —Beauté du pats, abonde en cerfs , son étendue , 336. Détails sur les naturels , 337. Productions; gros serpens, crocodiloSi 558. —Le sultan, 353. Sol, lia- bitans descendans des Maures, XV, 295.— Bourg de Cajeli, 296, 299, 300. Jalousie des chefs entretenue par les Hollandais , 297.

BogUpour (ville du Behar, Hindons-

tan).

Ecole , t.

XXXVI, p. 107.-^

Agréable situation , sei-pens , monta- gnes des environs ,114.

Boghorcdosk ( ville du gouverne- ment de Moskou, Russie d'Europe ), t. XLIV, p. 461.

Boguiangola (ville du Bengale, Hin- doustan). Jolies habitation», activité , t. XXXVI, p. 93. Beaux environs, 443.

Bohém» (province de l'empire d'Au- triche) , t. XLVI , p. 227, 234 , 236.

Bohémiens (peuple nomade d'Eu- rope ). Costume d'une jeune fille , t. XLIV, p. 97. Origine, noms divers, traits, religion de ce peuple, 99. Caractère , chefs , 100. In- dustrie, aptitude pour la musique, langue, 101. Leur condition çn Transylvanie, 102. Horde» des Bal- kans de Turquie, 252. Voy. Ctingarti.

Bohoii ( ancienne capitale de ï'Yar-

riba, Guinée). Situation, triple en- ceiate, t. XXX, p. 85. Aspect, et> virons , marché , 86.

BolaMt (Ile de l'archipel de la Socié- té). Cook en prend possession , t. V, p. 323, 336, —Bon mouilUge, X,202. ''-Son étendue, histoire de. la con- quête d'Uliétéa et d'Otaha, 203 et suiv. Renommée de ses guerrier», 206.

Bolehtrtiik (ville dttKamtscbatka), Sa description « t. XI , p. 341. -— Ani- maux , maisons , 342. Danses rus- ses et kamtschadales , 345.

BologM (ville des Etats du saint- siége),t. XL|V,p. 339.

Bombai ( Ile et ville de la côte de Oman , Hindonstan ). Commerce , descripUon de l'Ile, t. XXXVI, p. 403.

Animaux , pavillons d'été , 404.

Ville indigène, habitans parsis, 405. Églises , 407. Iles voisines,

407. ' f Célèbre caverne cruciforme , de l'Ile A^EUphanla; trinité hindoue,

408. Ile de Sahetté , chaussée de jonction, 410 et suiv. Temples, cavernes bouddhistes ,415.

BoihAir (^ile du golfe du Mexique). Comment les Indiens se procurent le feu, t. I, p. S95.

Bonatitta ( ile du cap Vert ). Bel aspect ; description de la ville , t. XX ,

E. 110. Productions, 113. Ha- itans ; mauvais traitemens des escla- ves ; sol , productions , XXI , 206 et suiv. Ville de Nova-Cidade , 207. Boiutûu ( royaume de la Sénégnm- bie). Coifture des femmes, t. XXV, p. 39. -^Voyage dans le pays, 64 à 77. -^ Tallika, 64. Kourkarani; religion, 67. Vétemens', 69. Soobrodouka, pêche et préparation du pobson , 70 Blé, 71 . Fatte- conda, ancienne capitale, 73, 76.

Sol, commerce, habitans, 79. Ville de Sabi , XXVIII, 321. Bon- libani, nouvelle capitale, 328. "^ Etendue , gouvernement , religion , écoles, races, figure des naturels, 338.

Ornemeus des femmes, costumes des homme», 340. Equipement mili- taire , préparatifs de guerre , 542. Productions , animaux , 440. Voy, Foulah*.

Bone ( ville de l'Algérie ). Ruines } situation , commerce ; t. XXIII , p. 26.

«>

S24

TABLE GÉNÉRALE

Boni ( Ue de PapoM , Malaisie ). A*pect, uturalt. t. XYIII , p. 77.

Bo»/» (llei de 1* Blalaitie), t. XIX. p. 4M. ,

Bomn*'Etp^niiu4i]^eo\oni9 da cap de). DvconTeric ' du e«p par Dias, t. I, p. 28 ( et XXK , 12.) - Salubrité du climat, II. 351, III , 63, VII, 125.

Naturels , 128. Aipect du cap , XX, 120. Baie Saldanha, XXIV, 16. Baie Uout, 44. •— Eaux miné- rabei, 59. Animaux , 61 , 89, 92, 107. Baie de Saint-Blaiie , 71. Campagne, 82 , 86 . 1 19, 244. Baie Formose, 88 , 90. Rivière Kouga, 113. Buffle-ririer, 227. I)e«cea- dam des réfugiés français , 239. Mode de concessions de terrain , 241 . Trois classes de colons , leurs mœnrs, 246, 255. Leurkabille- meut, 25U. Nourriture , 253. Vie, 254. Saluts, 256. Educa- tion , 257. - La tête du liqn , 268.

Le Swartiand, 274. Embou- chure, roseaux, hippopotames du Brrg-Hivier , 458. Bornes de la colonie, XXVI, 15. Sol ; manière de voyager, 16. Villages , fermes, 16,64, 116,118.142. Habitans, détails historiques, 18. Cominerce et prix des esclaves, 21. Adminis- tration de la justice , monnaie; denrées, 24. Productions , climat . aspect du ciel, 26. Saisons, 28. Dunes, 39. Eaux thermales , 48 ,

' 68. Premiers missionnaires , 54.

Vallée Bosjeveld , 65. Hospi- talité, 67. Eglise de TuUagh, 70.

Paarl, 78 Chariots, 81. Tremblemcns de terre , 87 , 99. Autruches, 121. Voyage dans le

Eays, XXIX , 2 et suiv. Le Suevr- ergea, 7, Il , 13. Cochera afri- cains f 10. Chasse au lieu , 1? > Nievreld, 98. Incursions contre les Boicliimans, origine de l'animosité eontre eux , 147. Baie de Sainte« Hélène , 228. Relation d'nu séjour de quatre ans dans la colonie , 230 et suiv. '— Plaines , 237. Intérieur d'une ferme se fait le vin , 243.— Chasse au tigre , 245. Déprédation des tribus de la frontière, 256. Plantes, fleurs, 259. Corps de Huttentots gardiens des frontières ,. 273. Rivalités entretenues par les fermiers, 276. Oiseau curieux.

S13. Chaas* a«s élépbana , 315 et aniv. Sauterelles; UÎtenage ; effets de la guerre conlre les Cafres , 326. —Portrait d'une famille huUandaiM-, 327. Sa ferme , 329. Insiiiu> tiens moraves , 83?. Détails liistu- riques ; gouverneineiit, provinces , 3w. Taxes des c-tions , 370. Voy. Faho , Fmiueh-Htrt, Grat^fl - R^r- n*l , GUiudtHiiul , (iraham , Gmot- Bttg , HolltLHdt holUntot» , Abu/- Miq»4U, Marro, I* Cap, capi^'. le, Roggt. m«ld Karro, Suiiit-G*org*i , SltUtm- iûieh , Tablt.

Bonni-Eipéranet (tribus au norj du cap de ). Voy. Boêchimam , Bel- chouanat y Camininquoit, Glitittiguoit, Hotleniott f HoutouaiMt , Kabobiquat , Aptai , Koraquoit , IVa-naquoil.

Boitne-Obieniation (lies de la Poly- nésie ). Déc«>uvertes par Douglas , t. XIII, p. 377.

BomtutiH (ville et baie de l'Ile dos Célèbes),t. 111, p. 212.

Bonrouloir ( Iles de l'archipel da la Louisiade). Habitans, leurs arme», leurs pirogues , t. XV, p. 258.

Boothia (péninsule des régions arc- tiques). Découverte par Ross , t. XL , p. 46- Saie.Fear\vell. Rivière Lang, ibid. Plantes , 47, 52 ,159 Ani- maux, 47, 59. 61, 122, 134, 180, 199. Villages, huttes, 47, 50, 5», 87, 162, 172. -e port Lang , 49.

Intérieur des terres , 49, 60, 103, 111, 117, 135, 144, 171 à 181. >- Le ptirt Klisabeth, 51. Le purt Éclipse , 56' Lièvres blancs , 61 .— Entrevues avec les Esquimaux , 81 , 87,03, 103, 154, 162, 172, 196. - Lacs, montagnes, 128. 132, 136. 139, 142, 152, 177, 178. Baie Speooe, 138. RivièM Amitioke. 139. Oiseaux , 140 , 143 , 144. L'isthme ,142. Vue de la mer à l'ouest, 146. Cap Isabella, 147. Iles de Bererley, Matty, 149. Cap Abemethes, Sabine, Young, 150.— Difficultés des voyages en «té, 151.

Baie Parry, 152. Baie Richard- son. Golfe B<M»thia^, cap Félix , 155.

Cap Victory, 1 54— Baie du Shcriff, 168. Rivière Sanmarez , Hansti'iiis, 177, 179. Pâle Magnétique , 187, 19Û , 247. Mœurs. Usages , etc. , des habitans. Voy. Eiquimaux d* l'en.

Bon* (secte de l'Hindouatan). Leur

DES MATIÈRES.

326

rtligioa. Leur mauTNite ré|iatiitioD , t.XXXVI,p.B03.

Btritôm ( Tille du Min*k, Ruitti« d'Europe), t. XLVI , p. 140.

Bofn/o (ile de lit Malaitie). D^con- terte \>*r les Portugais , t. I , p. 107.

Production» direrses , XV, 383. _ Montà^oes , XLIII , TJ , lix. >~Hi- Tièrr», «ij , lix. Lac, viij , lis, Miae« précieuses , viij , lis. -J Pro- ductions , ix , lis , Isij , IxiiJ. •» Qiia- dru|)èdes , ix , x , Ixiij et suir. Ha- bitans Malais , sij, xr, Ixj. IIabi< tans Dayaks , xiij , xxij, Isj. Patrie dos Papouns , xviij. Religion , xxij, lxTiij.-~GouTernen>ent,xxviij, Ixij.— Industrie. Commerce, sxix.— Anthro- pophagie, XXX. État des femmea, ixxj, Langue, xxxij. Étendue, babiians, Ivig. Climat , lix , Ixij. -• Huîtres perlières , lis. Golfes , Ix. Figure , mœurs , habitations d(s différentes tribus , Ix et suiv. Sultans indigènes, Ixij , Ixix. Cam- pagne, Ixij. Le bois de fer, Ixij.

Chiens engraissés pour les repas, lerpens, IxiT.— Habitudes des singes, IxT et suir. Leur chasse, Ixti, •— L'orang-ortang, Ixtï. Giseanz, IxTij. Culte des crocodiles. Mé> tempsychose, Ixriij.

Bonna (ville du gouTernement de Tchernigor. Russie d Europe), t. XLIV, p. 372.

Boteaut» (lie de Tarchipel des Amis). Découverte p.ir Wallis, t. II(, p. 381. "N'est autre que l'Ile des Cocos de Lemaire , VIIT, 73. Habitans , 225.

Nom indigène de l'Ile , X , 44. Boschimaiu (tribu pillarde ..n nord

dn cap de Donne-Espérance). Vie. Armes. Art de fondre le cuivre. Cos- tumes des chefs. Mariages , t. VII , p. 130 à 132. Est fiirmée des va- pibonds des tribus voisines , XXIV, 449. Éducation de leurs bœufs, XXVI, 134. Voyage dans leur P'ys , 16J5 à 396. Taille. Couleur , 168. Ornemens ^,232. Ar- bres , 174 , 178. Kraals (villages), 178, 180, 184, 272, 303, 313 et suiv., 371, 411 Missionnaires, 181, 197. Productions , 185. Qua- drupèdes , 188, 245 , 334, 368. Pièges aux animaux , 224 , 237. Oiseau , 228. Costnmes , 230, 233,

517. Lao salé, 255. Ukteosilc», 23U, 323. Hippopotame, 245. Sol. Pays , 254 Poisson , 257. •— Fourmilières, 267. Musique, 275, 276. 312, 520. Repaies divirs, 281. Huttes, 516, 326. Ma- I iagos , 320. Toilette des femmes , T"*! Ablutions, 324. Habileté au tir, 325. Danse.s, 325, 827 et suir. Sale habitude, 330.— Chaste du rhinocéros, 330 —Armes, 372.

F.xcursion dans leur pays , XXIX , 144. Guerres contre les cohtn». Origine de l'animosité contre eux , 147. Numération , 158. Nourri- ture. Superstition, 163, 276,366.

Signiiication du nom de Bosrlii- mans , 275. Mœurs et usages , 365.

Voy. Garitp, rivière. Botjtntd (vallée du cap de Bonne- Espérance) , t. XXVI , p. 65.

Betphor* d* Thrae» (détroit entre la mer de Marmara et la mer Noire). Ses rives de Turquie , t. XLIV, p. 20. •— Départ périodiqu*-s de railles , 21 .

Amu damn^ti (oiseaux) , 73. Respect des Turcs pour ces oiseaux , 24. Chaloupes , 271. Magnifi- cence des rives , 372.

Boira (ville de Syrie, Turquie d'Asie). Ruinei, t. XXXIl , p. 427.

Bouu. Nationalisé ches les Arkao- us, t. VII, p. 11, note.

Boitam (ville du Khorassan, Perse). Fortifications. Population. Mosquées, t. XXXV, p. 152— Tombeau du fon- dateur de la ville, 153.

Botton (capitale duMassnchnssetts, États-Unis). A.npect, t. XXXIX, p 145.

Unitairianisme , 146. Édifice»,

149, 159. Commerce de glace,

150. Collège Harward, loi. Climat, 152. Gratid hôpital, 153.

Chantier, 159. -—Marins, 160. Écoles , 166. Bon naturel des ha- bitans, 172.

Botanique (lie de la Nouvelle-Calé- donie . Australie ). Découverte par Cook , t. IX , p. 14. Ses Grands pins , 15.

Botany-Bsy (baie de la Nouvelle* Galles méridionale , Nouvelle - Hol- lande). Lieu de déportation de I'Ak- gleterre ; pourquoi ainsi nommé par Cook. Sa description. Sa population enl833, t. VI,p. 229.

320

TAULE GÉNÉRALE

, BtIkiiN (proviDce do NordUad tné- doU). Voyage daoa l'intérieur , t. XLV, p. 820.

Botol-T«b0to-Xtmm (Ile de lit Matai- tie). Son étendue, lou hel atpect, vil- lagef, foréta, t. XII, p. 321 ; XIX, 392.

BotMiH (Tille du Tjrrol). Oétaili di- rer» , t. XLV, p. 366. Environa , 593. ARrrmen» de la ville , 304, Édi6cei,395. Promenades. Ruinât de Sigmuiidk-Cron, 39ti.

Btue (Ile du. Polyni^iie), Décou- verte par Kotcebue, t. XVII , p. 136, 144. —Tatouage, vétenient, oruo- mens, 138, 141. Productions, 143, 144.

Bouddha (culte de). Prières diverses, t. XXXIII, p. 19, 343. Péchés mortels , 45. Coffres des oriiiions , 139. Eau bénite, 144, note. Sépultures, 151. lie grand prêtre, 232. Figure du Bouddlia de Siam et de Ceylan, XXXIV, 118, 233. Temple de Packnam , 117. Tem- ples de Baukok , 165 à 170, 232. Différence du Daguba de Ceylan et de Siam , 166. Peintures obscènes des temples de Bankok ne sont

Itoint dans ceux de Cevian , 233. nnombrablet statues de Bouddha à Bankok , 234. Leur arrangement, leur pose peut servir de modèle , Ibid. Commandemens de Bouddha (texte siamois et traduction), 272. Si- gnification du mot Bouddha. Su- prême sectateur, 462. Description des temples cavernes bouddhistes de l'Ile Salsette , XXXVI, 413 ettuiv. /rf. deCarley,421.

BouoAiirviLLE. Part de Brest pour remettre aux Espagnols la posses- sion des Malouines, t. IV, p. 1. Effectue cette remise, donne quel- ques détails .sur l'histoire de ces Iles et sur l'établissement qu'il y avait fondé , 38 et suiv, Décrit les mis- sions du Paraguay et l'expulsion des jésuites , dont il fut témoin , 106 et aniv. A nne entrevue avec les Pa- tagons, 138. Nomme la baie Dn- clus , 151. Celles du beau bassin de la Cormorandière, l'Ile des Deux- Sesurs, la baie de la Cascade, 164 et suiv. Décrit les habitans de la côte de la Terre de Feu , qu'il nomme Pé- cherais , 163 , 172. Nomme les caps

Fendu , de l'ttoile et de la Boudeone , 191. Découvre les Iles de* quatre Facardins, desl^anciers, de La Uar- pe, et plusieurs antres, auxquelles il donne le nom générique d archipel Dangereux, 200 et suiv. Mouille k Tuiti, 211. Sa récepticiq nur les habitans , 213. Y sème differentei graines , 222. '— Emmène un Indien nommft Autourou , 231. —Découvre l'Ile d'Oumaitia , 258. Nomme l'ar- chipel ae Bourbon , 250. Celui des Maviffateurs, les Iles de l'Enfaut-Per- du , de la Pentecôte, de l'Aurore , de l'Étoile, des Lépreux, 267 et suiv,— Découvre l'archipel des grandes Cy- cladcs , 277. Petite découverte d'un autre genre , 278. •— Découvre l'Ile do la Bature de Diane, 281 , Le golfe de la Louisiade , 290. L'Ile Choiseul , 298. L'Ile Bouka, 300. ReUclie à la NouvelIcBrctagoe. Décrit et nomme le port Pra»lin,301 et suiv. Découvre l'Ile des Anaclio- rètes, 319. L'arcMpel de l'Échiquier, l'Ile des Deux-Cyclopes , etc. , 320,- Nomme le passage des Français, 327. •-» Sa navigation dans les Moluqiii-s, 343 et suiv. Séjourne à Batavia , 365. Rencontre le vaisseau de Car- terot , 399. Cook achète une de •es ancres à Taïti , X , 20t. Ré- sumé de ses voyages, XVllI, 20t.

BouoAiifviLLE fils. Son voyage au- tour du monde ^ t. XVIII , p. 394.— Sa brillante réception en CocLin- chine , 406, Reconnaît les groupes Anambas , 408. Érige un monu- ment à La Pcrouse, à la Nouvelle- Hollande, 315.

BougainviU* (Ile de l'archipel Salo- mon). Aspect de la côte occidentale , t. XV, p. 44. Sol montueus, XVIll , 142.

Bouguis (nation de l'Ile Célébra). Commerce. Littérature , t. XLIII , p. xiij.

BouJnourJ ( ville du Khorassan. Perse) , t. XXXVII , p. 304.

Bouka ( Ile de l'archipel Salomon). Découverte par Bougainville. Produc- tion , côtes. Description desh.ibitaa!«, de leurs pirogues , t. IV, p. 300 ; XV, 45 et suiv.; XVIII, 143; XX, 370.

Bottkfiara ( capitale de la Buukh.i- rie). Sa renommée. Est suruoinmée U

DES MATIÈRES.

327

SnitH, i. XXXVII, p. 171, 177, 'iOS.

Eavironi, 175, 2(i0 Le R^gUliia ou graud bniiRr. Etraugert, Cottumi!». Denrée» , 180 à 186. Uuge du thé, (le la glace, 185. Musquée*. Po- lice, 180. CuUéget, 187, 203, 205. Baiar ani e^cluvet, 187. Punition des infracteurs des lois inuAulmanei, 188. Etat des babi- tans iiinduus, 189. Bains à l'orien- tale, 192. Protection accordée au commerce, 195. Coiitunie, escorte, deroirs du roi, 196. Origine et biit- toire de la 'ville, 200, 204. Climat, 200. —Edifices. Canut, 201. Popu- lation. Maisons. Grande moiqueo , 202. Collège remarquable. Ddmes émaillés , 203. Détails sur les col- lèges, 205. Rigueur du inuhumé- tisme, 206. Littérature de l'Asie centrale, 209.

Boukliariê (royaume de la Tatarie iadépendante ). Habitans épousent les femmes do leurs prisonniers ,' t. XXXVn, p. 130. Voyage dans l'intérieur. Balkli, 153 et suiv.— Ma- nière de voyager, 160. Exactitude des descriptions de Quinte -Curce, 161.— Le désert des Turcomans, 162. Huttes, 161. Rivière Osns; manière de la traverser, 164.— Campagne, 164, 223. —Villages. Puits, 165, 167, 168, 172. Marche d'une caravane. Es- prit d'égalité, 166. Climat, 167.— Amazones La Kays. 168. Oasit , 169 , 172. ■— Lieu de naissance de Timour, 171. -Marchés, 172.— Caractère des ludigènes, 173. -~ Tombeau fameux, 210, 21 2. Ancienne capitale de Ti- mour, 211. Ruines de Kbojuoban. Momies antiques, 213.— Description du pays de Bukhara à l'Oxns, 223. ~ Énormes melons, 224.— État des Tur- comans, 225, 227. Esclavage, 229. —Ruines antiques, 231.— Commerce de peaux de moutons, 233. Bazars des Boukhariens à Macarief ,en Russie, XLIV, 468. Voy. Balkh, Bykund, Kar- lan, Xhurstjr, Samareand, Utbtki,

BoulibaiU ( capitale du Bondou, Sé- négambie). Population. Fortifications. Mosquée, Maisons, t. XXVUl, p. 328.,

Manière périlleuse de naviguer, 334.

Boundagia ( ville du Kouranko, Afrique), t. XXVIIl , p. 56.

BtnHtjr (tiei de la PoNnittoy, décou- vertes par Bligh, t. Xlli, p. 518.

Bourbon ( archipel, Polynésie ), dé- couvert par Bougaioville, t. IV, p. 259.

Bourbon ( Ile de la mer des Indes) , t. XVIir, p. 425 et sulv.

Bourgat ( ville de la Roumélie, Tur- quie d^Europe ). Routes , t. XLIV, !>. 38. Signification du nom. Aspect, E9. Belles poteries. Le haratch (capitation), M.— Aspect. Édifices, 458.

Boi7iiooiiTo. Son voyage en Espt* gne.t. XLVI, p. 172.

Bourf(ou ( grande contrée du Son- dan). Incursion des liabitans dan* l'Yarriba ,t. XXVIII.p. 133.— Voyage dans le pays, 152 à 188- Huttes, 153.— Fameux poison, 167. Triba des Cambrics, 184. —Gouverneurs, 188. Étendne. Rivières , 180. Voyage dans le pays, XXX, 123 et sniv. ^ Marclie d une caravane, 123. -Animaux, 126, 140, 163. Féti- ches, 127,— Parallèle entre les natu- rels et ceux de l'Yarriba , 143. Habitans felatahs, 145, 152. Leurs pillages, 158, 160, 162 -Zalcn, 162.

Manière de conserver le blé, 218.

Vie des chefs. Polygamie, 231. Liste des différens Etats, 247, 248, 251. Traitement des esclaves, 278.

Maladies. Médecine, 288. Voy. jilgi, Boutia, Buojr, Coubfy, Et-ff^ato, Ftlatnh, Kakafungl, Kiama , Niki ^ Wai»a , fFonjtryu^, Yaourt,

Boumou (contrée dn Soudan). Voya- ge dans le pays, Uurwha , t. XXVII , p. 109, 141. - Brcc, 131.— Yeddie, 136. Deegoa,138. RninesdeDag- waraba. 139. Birnie, ancienne capi- tale,185 Ruines de Oambarou, 186. Éléph.ins drossés, 188. Animaux,

192, 207, 208, 216, 232 Kabshari,

194. Corps armé do Kanembons , 19o, 200.— Caravane d'esclaves, 204.

Chasse au buffle, 220. Angàla, 239. Willighi, 246. Kussery. Huttes remarquables, 249.— Showy: jeux des filles, danses des hommes, 285. Rochers remarquables , 286.

Girafes, 301. Dcltago, 31'9. Objets du commerce. Deboriplion do deux beaux arbres, 334. Climat. Saisons. Population. Productions, Ani- maux, 456.— Belles négresses, 448.>-r

328

TABLE GÉNÉRALE

Décret sur le commerce des esclaves, XXX, 257. Voy. jHgonou, Kaium^ Kouka, capitale, Y«ou, rivière.

Bourneuvitns (habitaos da Boar- nou ). Cour , audience du sultan , t. XXVIl, p. 124, 192. Suite des chefs, 139,192.— Chansons guerrières, 140.— Mariage», 214. Observancij du rhamadan, 277,279. Pinition de ceux qui l'enfreignent, 281. •— Célé- bration de la fête de l'Aid-Keir, 307.

Costumes, 343. Polygamie, 437. Bourott, Voy. Qoiro.

Boushire ( ville de l'Oman. Arabie). Eaux thermales. Habillement des homme), t. XXXV, p. 10. Costume et ornemeus de femmes, 11.

Boushire ( ville du Dechtistan, Fer se), t, XXXV, 16.

Boussa ( ville et province du Son- dan). Murailles, t. XXVIII, p. 176.

Ile. Maisons, 181. Langue. Reli- gion. Nourriture, Armes, 182.— N'est point situé duns une île, XXX, 163.— Caractère. Costume da roi et de la reine. 166, 167, 169. - Le Niger, 166.- Murs de ceinture, 173. Productions. Troupeau. Étang salé. Animaux. Gou- vernement, 174. Est distinct du Bourgou, 247. Célébration d'une grande fête musulmane ; danses, mu- sique, etc., 259 à 268. Costumes, 262. Superstitions sur une éclipse de lune, 269. Chashe aux éléphans, 273. Traitement des esclaves, 278.

Maladies. Médecine, 288. Bouijole. Connue à Mozambique,

avant l'arrivée de Gama, t I, p. 36.

Boutait ( province de l'empire Chi- nois ). V(«yage dans le pays, t. XXXI, p. 420. Buxadeouar, 422. Suisons, sol, 425. Animiiux, 426, 428 et siiiv,

Confection du beurre, 42ô. Ha- bitans tarfares,450. Pout. Manière de traverser les précipices, 431. Frontière du Thibet, 432.— Comparai- son du Boutan avec le Thibet, 440.

Lieux de dévotions. Idoles, 442.

Vie des prêtres, 444. 447 et suiv. Temples sur les bords des chemins, 44 î. Collège des prêtres, 447. Leur influence, 448. Leurs f /roprié- tés, 449. Voy. Tattitudon, capitale.

Boutait ( indigènes du , ou D^- tiai ). Figure. Formes , t. XXXI , V 426, 428 et suiv. Armes, 426

Superstitions , 432. Religion, 441 , 44o et suiv. Opinion sur le sys- tème de l'univers. Idoles, 442. Pratiques de dévotion , 444 , 447 et suiv, Etat des personnes, 450. —Religion. Mariages, XXXV, 473.- Denil, 474. Funérailles, 475. Su- perstition. Querelles, 476. Polyga- mie. Polyandrie, Costume , 477. Religion. Origine, XXXVI, 235.— Fi- gure. Costume, 236.

Boutoun (ile de la Malaisie). Aspect de la .;âte ooest, t. XV, p. 302, 304.

Denrées. 306, 310. -* Ville de Bouton, 307, 310. Du souverain de l'Ile et de la garnison hollandaise, 308.— Faiblesse de la marine, 311.

BovADiLLA. Reçoit les provisions de gouvcraeur-général des parties dé- couvertes de l'Auiérique, t. XXXVIII, p. 182, Fait mettre aux fers Colomb et ses frères, 187. Les condamn« à mort, et les renvoie en Espagne, 190.

Sa conduite blâmée à la cour, 192. —Son odieuse conduite en Amérique, 195. Est remplacé par Ovando, 199.

Son naufrage. Sa mort, 203. BouvsT. Couk cherche vainement

la terre australe , qu'il dit avoir vue , t. VII, p. 215; IX, 118

Bouvet ( Ile de l'océan Atlantique ). Découverte par Bouvet. Son gisement. Son origine volcanique, t. XX, p, 35.

BowoiCH. Son voyagea Coumassie, capitale des Achanti ( Afrique occi- dentale),.t. XXVllI, p. 418.

Bradât ( ville de la Turquie d'Eu- rope ), t. XLI\ , p, 25.

Brahmines ou Bramet ( caste de l'Hindoustau). Elèvent les bayadères, t. XXXI, p, 348, et XXXVI , 438, Mariages disproportionnés , XXXI , 350. Mœurs dissolues , 351. Or- gueil. Habitations, 461 . Ornement distinctif de leur famille, XXXVI, 48.

Trait de mœu rs, 1 62. Soins qu'ils prennent des animaux , 395. Leur paressp. Leur ignorance, 468.

Brampour ( capitale du Kandeich , Hindonstap. ), Etoffes' renommées, t. XXXI, p. 64.

Brand (vallée du cap de Bonne- Espérance ). Ses Eaax thermales , t. XXVI, p. 68.

Braniska ( ville de la Transylvanie, empire d'Autriche), t, XLIV, p, 113.

DES MATIÈRES.

320

t avoir vue ,

Bnui (vlUe du Galabar, Gninée). Su- perititions, t. XXX, p. 460, 474. Est forinée de deux villes, 469. Ali- mensdes habi'aos. Eurirouii, 470- - Maisons. Cciunierce de sel Rançou- nement des voyageurs par le roi, 472,

Brara ( ile du Cap-Vert ). Produc- tion». Fertilité, t. XX, p. 117.

Bre0 ( ville du Bournou , Soudan ), t. XXVII, p. 131.

Bregenx ( ville du Tyrol ), t. XLV, p. 406.

/7r«i</<n ( ville du Sonderfields,Nor- wége ). Une ferme et ses curieux habi- tan», t. XLV, p. 69 et suiv.

BrÂil ( empire de l'Amér. mérid. ), Découvert par l'Espagnol Pinçon , t. XVHI, p. 53. Animaux, 54. Gouvernement, 56. Découverte de Pinçon : prise de possession de Cabrai, XXXVIll, 244, 339.— Premières colo- nies, 340.— Fondations des premières bourgades, 341 . Établissement des Français , 342. Détails historiques, 343.— Superlicie; population, 389.— Beaux oiseaux , XLI , 220. ' Villages, 222. Description des Pampas , 2iB0. Voy. et nom. Éfat des prêtres, 301 à 303. Manière de tuer les bestiaux, 401 à 40)..— Villages ou petites villes, XLII, 53, 55, 61, 69, 215, 249, 258,

280, 282, 289, 301. 303, 306^ 310, 521. Oiseaux divers, 54. 59, 240, 244i 331 et suiv. Les Brancot , 56, 74, 76. Qu.idrupèdes divers, 58, 240, 244. Alligators , 58. Serpen» et autres reptiles, 58, 286, 321, 347. —•Lacs, 59, 61. Sentarem, 67. Tigres privés, 70. Considérations gé- nérales, 74. Limites; étendue, 111.

Productions, 112, 211, 229, 231 , 246, 306, 331 .— l'-squisse, liictorique, 112, 132. -— Découverte du pays; reste de la colonie portugaise, 112. La famille royale s'y réfugie, 116. Améliorations dues à don Jean, 118 et suiv. Introduction de la vaccine, 121..— Le pays érigé en royaume, 124. —Érigé en empire, 131. Voyez Don Pedro. Bizarres pacotilles en- voyées par les Européens , 178 et .suiv.

Fruits indigènes, 211, 331. Voyage dans l'iutérieur, 213 à 325.

Multitude de crabe» , 213. As- pect» du pays, 214,243, 254, 262,

281, 318, 32^. Les quatre espèce»

d'auburges, 214. Insectes, 217, 254, 257, 330. Ferme»; plentation». 219, 233, 251. 281, 298, 311 à 316.

UAtelleries , 224. Convois de muletiers , 227, 322- Montagnes , 229, 234, 239, 252, 284. Forêts et leurs animaux, 229 et suiv., 240, 332.

Rivières, 235, 241, 248 269, 281, 298. Le vampire , 238. Rats et chauves-souris, 238, 244. Savon du pays, 241. Magnifiques bambous, 246. (>oix.sur les bords des che- mins, 247. Petite vérole, 249. Les Qimpos, 253. Voy, ee nom.— Mines , 269, 285. Rivière aurifère, stérilité de ses bords , 269. Cochers, 271. Kx^mple des déplorables ré- sultats de l'esclavage, 274. Les vendas, 282, 285, 288. Le serpent corail , 286. Topaze» , 290. Ca- vernes de Villa-Rica , 295. Dan.ses de village , 304. - hnoniie bomhax, 306. Célèbre route d'Estrella , 323.

Progrès, 327. Climat, 329. Araignées extraordinaires, 330. Palmier à chou , 331. Oiseaux re- marquables , 331 et suiv. les Aganot, 334. Les Senxallas, 346. Voy. Bar- baeena, Egat^ Ftrnamhoue , Fernando^ NojoiJia, ùurupa^Sainte-H^line, Pantj Parahiiaj Rio-Janeiro, capitale ; Saint f- Catherine , lie, Santo-^oao^ Saiitojoté, Saint-Sahador, Falença.

BritilitHi. Religion, t. XVIII, p. 56.

Funérailles des riches, des enfan» et des nègres, XLII, 101, 205 et suiv.

Usage à l'occasion des repas, 104.

Costume de postillon , 133. Peu de soin pour les restes de» proche», 161, 206. Maladies les-plus fréquentes , 162. Remèdes bizarres, 166. Superstitions, 168. Manières des divers rangs, 186 et suiv. Coutume des vœux , l89. Singulière confu- sion d'état» ; les barbiers , 190. Vé- nalité des juges, 200. Alimens, 210, 214. Dîner brésilien , 215. VAve Maria, 237. Costume de dame, 243. Goitres , 249. Ablu- tions de punch, 261. Bizarres no- tions des Brcsilieus de l'intérieur sur la chronologie et la géographie, 264.

Répugnance pour le mouton , 273.

Fécondité des femme»; mariages disproportionnés d'âge ; naissances extraordinaires , 276- Caractère gé-

330

TABLE GÉNÉRALE

néral, 32S et shIt. Caractère des jeunes personnes, 350.

Br^iil ( Indiens du ). Longévité ; culte; canot»; vétemens singuliers; tatouage ; se brûlent tout le poil d«i corps: Pain de moelle d'arbre, t. I, p. 227 et suir. Danses et jornemens , XLII, 47. Combat contre les tigres, 50. Les Brançoi, 56. Cannibalis- me , 57. Effroi à la vue d'un téles- cope, 62. Villages, 63, 324. -r. Fé- roce tribu des Bote Cudot; essais de civilisation , 120. •— Indiens civilisés de Yalenca , 240.

Br/sil (nègres du). Travaux aux- quels ils sont employés, leur état, leur traitement, t. XVII, p. 35; XLII, 97 à 103. Régiment nègre, 99, 103.

Nègres marchands, 100. »- Prê- tres nègres, 102. Les quatre con- ditions du nègre au Brésil, 103. Leur sort amélioré par don Jean, 122. Nègres affranchis, 184. —Commerce de nègres mutins, 203. ' Enterre- mens, 207 Marchés, 242, 334. Usage du poison; vengeances, 274. > Vénération pour les cavernes , 296.

Passion des liqueurs fartes, 314. Achat et vente de^i cargaisoa». Les Ciganos, 334. Instrumens de musi- que, 336- Amour de la danse, 338. Gouvernement patriarcal , princes , 339. 340. Désir de recevoir le baptême, 341. Fuites fréquentes, chatimens , 342. Violente horreur de leur condition ; infanticides causés par amour pour l'enfant, 343. Grand nombre de noirs et de mulâtres libres, 345. Liberté donnée aux femmes le mercredi saint, 353. Leur logement, leur traitement dans un navire négrier, 376 à 382. Comme ils se battent pour une goutte d'eau, 379.

Bretagne ( royaume uni de la Grande-). Comparaison du caractère des trois peuples du royaume, t. XLVI, p. 273 à 280. Londres, 280. Edimbourg, 283.

Bretagne (Nouvelle-). Contrées de l'Amérique Septentriooak', Observa- tions générales sur la vie, les mœurs, les formes physiques , le gouverne- mont, les unions, etc., des Indiens de la côte ouest, t. XIII, p. 179 et suiv. Voy. Canada, NoweHe-Albion , Nou-

rttU ' ConomUlUif NoM*»Uê - Géorgie, Nowtfle-Hwtorr» , Labrador, Nouveau- JVor/olk.

Bretagne ( Nouvelle-, Archipel de rAustralie), Voy. Iles de l'Amirauté^ Nouvelle ' Bretagne propre, Dampier, Nottvtlle - Hanovre, Nouvelle Irlande, Man, La Mire et les Filles, Portail, Saniwioh, fillaumez, folcan, York,

Bretagne propre (Nouvelle-. La plus grande ile de l'archipel de la Nou- velle-Bretagne). Découverte par Dam- pier, t. I ^ p. 453. Habitais jau- nâtres. Pays très fertile, II, 66. Découverte et description du détroit qui la sépare de la Nouvelle-Irlande , III ,149 et suiv. Description du port Piaslin. Nommé par Bougaiuville. Quadrupèdes , sol , insectes , co- quilles del'ile, IV, 301 et suiv. Description de quelques habitans , 315. Fait partie du groupe Salo- mon , découvert par Mindana , VII , 144. Aspect agréable de la côte sud, XV, 272. Productions , XX , 372 , 377.

Brindes (ville du royaume de Na- ples), t. XLVI,p. 197.

Brisaxt (pointe de l'Amérique sep- tentrionale, ouest). Nommé par Mea- res. Gigantesque maison du chef d'un village , t. XIII , p. 347. Repas du chef, 349...

Bristol (baie, mer de Behring). Nommée par Cook , t. XI , p. 46. Son étendue, 48.

Britannia ( Ile du groupe Loyalty), t. XVIU,p, 305.

Brixen (ville du Tyrol), t. XLV, p. 366 , 387.

Broaeh. Voy. Barotch.

Bronu* ( Iles de la Polynésie), tome XVII, p. 465.

Broughtoh. Séparé de Vancouver par un ouragan , t. XIV, p. 68. Découvre l'ile Knight , 70. Les lies des Deux-Sœurs , de Chatam , 71 . Est rejoint par Vancouver à ïaïti , 85, Découvre l'archipel Broughtou, 310. Reconnaît la rivière Co- lombie, 368.

Broughton (archipel, côte ouest de la Nouvelle-Bretagne, Amérique sep- tentrionale). Découvert par Brough- ton Nommé par Vancouver, t. Xlll , p. 310.

DES MATIÈRES.

331

Browitb. Sun voyage au Darfour , Afrique centrale , t. XXY, p. 392.

BnucK. Son voyage aux sources du Nil , en Nubie et en Abyssinie. Notice biographique. Préliminaires au .voya- ge , t. XXIII , p. 1 à 52. Son Sé- jour à Alger, 18. Explore la Bar- barie, 27 Décrit quelques ruiner , 29, 31, 39. Visite la Cyrenaïque, 40. Palmyre. Balbec , 48. L'E- gypte , 55. Remonte le Nil, 67. Son excursion dans la mer Rouge, 114 à 170. Y donne son nom à une île, 124. Ses aventures à Masuali en Abyssinie, 175, 193. Sa route d'Arkéeko à Dixan , l93. De Dixan à Adova, 213. A Siré, 225. A Addergey, 244. A Gondar, 264.— Arrive à Gondar déguisé en Maure , 299. Obtient audience d'un roi , 309. Est nommé commandant de la cavalerie noire, 311. Obtient audience du ras , 313. Il a une violente querelle , 317 et suir. Dé- crit les mœurs d' Abyssinie, 335. Est nommé gouverneur d'une pro- vince, 382. Ses tentatives pour découvrir les sources du Nil , 391. Y arrive, 423. —Est bien accueilli par les Agows, 448. •■— Revient à Gon- dar, 462. Son départ , 470. Ar- rife à Sennaar, 480.

Bruce (î}e, mer Bouge). Nommée par Bruce, t. XXIII, p. 124.

Brûlantes (iles). Voy. Artmon,

BucKiNGHAM. Sou Toyago parmi les tribus situées à l'est de la Pales- tine , t. XXXII , p. 385. Décrit Damas , 432. Visite lady Stanhope à Mar-Elias , 443 , 444 et suiv. Son voyage en Mésopotamie , 462- Visite Arbelles , 483. —Bagdad , 487. Babylone , 494.

Bueklani (Ile du groupe Burdet). Nommée par Beechey, t, XIX, p. 434.

Bude (ville de la Hongrie, empire d'Autriche) , t. XLIV, p. 127, 128.— Sa communication avec Pestb, 136.— < Dames , 137. Forteresse. Beau quai, 1 39. Aspect, 140. Sa com munication avec Pesth. I^.difices , XLIV , 128. Université. Établisse- mens divers. Théâtre , amusemeus. Bains chauds, 129.

Buéno$-Ayret (capitale de la Plata). Sa fondation, t. IV, p. 18- '—Maisons , édifices , population , 19. Théâtre

d'acteurs français , !21. Bnvirons abondant en chevaux et en bœufs , 23. Mendians à cheval, 25. Fondée par Mendoza. Signification de son nom, XX, 69; XXXVIII, 349, Disette. Ëpisode de Maldo- nata et de la lionne , 349 et suiv. . Description de la ville , 352. Cli- mat. Humidité , XLI , 286. Sup- pression des couvens , 301 . ~ Désa- grémens de la ville, 304. Mai- sons, meubles. Société, 305. Iso- lement des dames , 306. Marchés , le Guacho (approvisionneur) 306, 307.

Abattoir, paies à bestiaux. Mata- dores , 308. Principal cimetière , funérailles, 309 à 314. Postillons, relais, 319.

Bu/falo (ville du New-York, États- Unis), t. XXXIX, p. 74. Beauté des environs , t. XLI , 268.

Buffle , description de cet animal , t. XXIV, p. 89; XXVI, 386. Sa chasse par les Shouas, dans le Sou- dan, t. XXVII, p. 220.

Buffle-Rifière (rivière de la colo- nie du cap de Boane-Espérance ) t. XXIV, p. 227.

Bukharest (capitale de la Valachie. Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 75. Aspect des rues, firillans équipages. Boyards, 76, 79. Situation. Popu- lation, 77. Costumes. Églises, Khans, 78. Maisons. Dissolution des mœurs, 79. Métropolitain, 90.

Bukkur (île, forteresse du Khyr- pour, Hindoustan), t. XXXVII, p. 367.

Costume et cortège d'un chef be- louche, 269. Situation, 374. Cheveux de Mahomet, 376.

Bukomiie (province de l'empire d'Autriche ), t. XLVI, p. 225 et suiv.

Bulgarie (province de la Turquie d'Europe). Voyage dans l'intérieur, t. XLIV, p. 45 à 67. —Villages, 45, 48, 50, 60, 65, 67, 219. - Monts Bal- kan. Voy. ee nom. Construction des ca- banes de village , 50. -rrVarna. Chonm. las, 62, 63. Rasgrad, 66.- Ternova. Ancien État des Bulgares. Selymnia. Industrie. Bon caractère. Costume dtis Bulgares, 67. ~- Costumes, ornemens^ travail des femmes, 68. Ignorance générale, 69. Ville de Routchouk, 70,229. Vidin, 207 Costume, Salle d'audience d'Hussein pacha, 211 à 214. Intérieur d'un oaffiué , etc. ,

332

TABLE GÉNÉRALE

220 Klutns, 22a, 224. Le Nar- gillé (pipe}« 222. Isolemeot et re- traite deu femmes, 222. Nicopoli,225. .-.Sistow , 228. Jeunes filles , 246. Bohémien», 248. Sopliia. B<>ins uliaods des femmes , XLVI, 85-

ficbn'iCK , son voyage aa Mexique, t. XLI, p. 1. Décdurre à Mexico une antique statue, 135.— -Achète une mine «l' Argent à Themescaltepec, 1661 i?u//uJMr/iur (Tille du Delhi, Hinde )• tan), t. XXXyi, p. 285.

Bultmm ( État de l'Hindonstf^. i i , t. XXXV, p. 467.— Costume du -<tia 468.

£umi«^ (ville du Rajpontana, Hin^ doustan), t. XXXVI, p. 330.

Bunaita (ville du Rajpoutana, Hin- donstan).Situation. Environs. Costume du Rajah, t. XXXV 1, 333.

Buojr (province du Bourgou. Gui- née ). Singulier tribut. Chevaux, t. XXX, v. 251.

BURCBKI.L. Son voyage dans l'inté- rienr de l'Afrique méridionale, t.XXVI, p. 1 . Itinéraire jusqu'aux frontières de la colonie du Cap, 80 à 163. Préparatifs pour l'excurkion , 80. Iti-, néraire à travers la contrée des Bo- cliismans, 163. Arrivée ches les missionnaires, l97. Excursion an Ky-Gariep,et retour à la mission, 221. Obstacle à la continua. tion du ▼oyge, 282, 289 Itinti-aire de la mission à C-raaf-Reynet, 300.— Chasse du rhinocéros , 334 et suiv. Rési- dence à Graaf.Reyuet, 345.— Retour la mission , 556. Rencontre de bêtes féroces, 368. Itinéraire de la mission à Litakou , 581 . Voyage chez les Biciiuanas , 396. Arrive à Litakou , 420. Est un objet de cu- riosité. 426, 48, 435, 458.

BuRCXHARDT. Notice biographique, t. XXXII, p. 3.- Son voyage eu Ar.n- bie, 5. Se fait passer pour musul- man pour visiter la Mecque, 58,61 . - Prend le costume nécessaire an pèle- / rin, 69 et suiv. —Arrive à la Mecque, 76. Visite la mosquée , 77 à 85. Décrit la Mecque , 85. Sa vie dans cette ville, 98. Décrit la mosquée et la Kaaba, 102. Fait le pèlerinage d'Arafat, 204 à 231 . Décrit Médine, 363. —Visite le tombeau de Mahomet à Médine, 263, 277, 283. Ses re- marques sur la ducction des monta-

tagnea de la vallé du loardain , 266.

Buritt (groupe de la Polynésie^. Nommé par Beechey fies Buckland. Hapleton, t. XXIX, p. 434, 435.

Burgoi (viUe d'Espagne), t. XLVI. p. 172.

BvHMis. Son voyage à Bokhara, t. XXXVII, p. 1. —Est bien accueilli à Labore par Runjeet-Sing et M. AI- lard, 10, 14, 17, 24, 26. Prend le costume des Afghans, 29. Est reçu amicalement à Pichaouer, 57 à 72. Visite le chef de Caboul, 88. Sa détention , 139 à 148. Recueille des médailles antiques, 158, 213, 420,

Arrive à Bokhara, qu'il décrit, 1/,^.

Audience du vizir, 177, 194, 216.

Entretiens avec des princes per- sans, 287, 500. Est présenté au shah de Perse, 329. Est charge d'explorer l'Indns. Son voyage, 339.

Est présenté à l'émir du sud, 558.

Revient à Lahore, 432, Eut pré- senté à Runjet-Sing, 431, 44'<. Ca- deaux qu'il en recuit , 451 , i58.

Burron, Voy. Boèro,

Burwha (ville du Bournou. Soudan). Fortifications. Huttes, tom. XXVIl, p. 109.

Biàtari'Bay on baie d^'Oa(aivf«](baie de la Nouvelle- Galles méridionale, Nouvelle-Hollande).Ses fourmis vertfss. Description du pays, t. VI, p. 245 247.

Buxadiouar (ville du Boutan). For- tifications. Maisons. Origina du nom , t. XXXI, p. 422 tt suiv,

Buxar (ville du Béliar, Hindoustan). Mosquées. Basars, t. XXXVI, p 127. Citadelle. École. Costumes, \m,

Bj-am-MarUn ( lie de l'archipet Dan- gereux ). Découverte par Beechey, t. XIX, p. 171. Petite colonie chré- tienne de 'l'aïti n •ufragpo à cette île, 172 et suiv. Son histoire, 179.

Bykuni (ville de la Boukliarie, Asie). Antiquité. Ruines. Histoire, t. XXXVIl, p. 231.

Byroit (le Commodore), but de son voyage autour du monde, t. II, p. 555.

Parcourt et décrit dans toute son étendue le détroit de Magellan, dont le premier il a dressé uac carte exacte, p. 397 à 409, 427 à 455. Découvre les iles de Désappointement, III, 9, 15.

Les îles du Roi-Georges, 15. —Du Prince-de-Galles ,28. On Danger, 30. L'Ile Byron , 54 Mouille à Ba-

tavia, .

XVIII,

B/r»

D^% MATIÈRES.

883

uria , 50. Rétniué dt tes royagea, Tcrte pir Byroa , t III, p. 34. Det« XVIII, aOO. cripdon des habiUn*, 36 ; XVI, 443.

Bjrr»» (ll« de U Polynésie). Décou- » CanoU, it.

Cabot. Découvre îe. tles Saint-Ga- briel daos le Rio de la Plaia, et aomrae le fleure, t. IV, p (7 ; XXXVIII, 345, 347-. DécouTrt l'Me de Terre-Neuve, XL, xj.

Caboul nu Afghanittem (royaume d'Asie ). Voyage dans le pays , t. XXXVII , p. 55 à 126. Cam- pagne , 58 , 73, 78 , 80, 93. Vil- lages, 58, 73 , 80, 81 , 83, 84 , 113. - Rivières, 73, 82, 115. Com- bats de cailles , 68. Radeaux à outres gonflées, 73. Hautes mon- fagnes, 76 , 79, 116 , 117 et suiv. Le Simoun, 78- Uescription de Djelalabad, 78 à 79. Greiiades sans pepiu. Vignes, 80 —r Autres productions , 81 , 101 , 102 , 115. -< Anciens relais des empereurs Mogols, 83. Prunes renommées, 102. •— Fête de l'Aid, 105- Histoire, 107.

Anciens kabitans, 109. Com- merçans hindous , 110. Ancienne capitale. Jolie vallée de Sirchusma, 1 15. Bameyan , 120. Cavernes , cité souterraine, 121. Idoles co- lossales. Traditions, 123. Balkb , 153 à 158. ^ Costume, cour des ex- rois du pays, 460. Voy. Ajghattt, Chisni, UindourKouth, Pts/iaivur.

Cal- (capitale du royaume). « apect. t. XÀXVII, p. 76, 86. Visites au chef, 89. Beaux environs , 93 , 102, 106.— Ricbes bazars, 95. Denrées, 95, 96.— Libraires. Derviches. Rues, 96.— Maisons. Origine de la ville, 97.

Beaux jardins, 99. —Climat, 100.

Vins , rhubarbe , mûres , et autres fruits renommés, 101. Citadelle. Influence des Persans , 103. Fêtes, 104. Marchands hindous, 110.

Cabra (port de Tembouctou , dans le Soudar Afrique). Cases. Maisons, t. XXJX , p. 397. Population. Mar- ché. Port, 398.

Cabrai,. Son voyage dans l'Inde, t> 1 , p. 63. - Découvre le Brésil, 64.

Etablit un comptoir à Calicot , 67.

Fait alliance avec k roi de Co-

cbin , 70. Sa découverte du Brésil XXXVIII, 339. Voy. Pinson.

Caehalot. Quelques détails sur ce poisson , t. XXIV, p. 20.

Cachemire (un des Etats des Seiks, et ville capitale de cet état. Hindous- tan). Fable sur l'é:at primitif du sol. Campagne. Gibier. Eaux, t. XXXI, p. 100. Fertilité. Productions. Mai* sous, 102. Lac. Jardin ùu roi, 104.

Caractère des habituns. Indus- trie. Châles , 106 Figurr des habi* tans, 108. Tremblemens de terre, XXXVII, 15.

Cachena ou Kashna ( province de l'Haoussa, Soudan), t. XXVII, p. 396, 427- Pains de îiulta, 430.

Caehena («^Rpitale du Cachena). Rési- dence du gi'uverneur. Fruits. Mar- chés. Industrie , t. XXVII , p. 427.

Ça' DA-Mosio, donne les premiers renseignemcns sur Tembouctou , t. XXIÏ , p. 12 , 17. Découvre les îles du cap Vert , 12. Découvre la Gambie et Tarchipel des Bilsagots, 18.

Cadix (ville d'Espagne). Sa fonda- tion , 1. 1 , p. 3. Es', située sur une lie. Sa descriptiûi: , t. XX, p. 445 i XLVI, 178.

Ce^jrttie (contrée du sud de l'Afri- que). Fertilité du sol. Beauté de la campagne , t. XXIV, p. 204. Triba d'origine européenne , XXIX , 128w

Emplacement des kraais, 265. Montagnes. Rivières , 279. Cam- pagne. Animaux, 280, 286 Mis- sionnaires , 282 , 295. Bœufs dres- sés, 296. Fruits empoisonnés , 300.

Intérieur d'une hutte, 303. Voy. Hinta, K«Xy fFeileyvUlt.

Ca/ret, Leur haute taille, t. XXIV^ p. 195— Armes, 196, 208. Mœurs, 197, 2<X), 211. Conservent le lait dans dt s paniers, 197. Vétemeus. Or- nemens , 199. < Occupations journa- lières. Cabanes , 202. —> Idées re- ligieuses. Circoncision , 206. Gou- vernement, 207, 2(^. Polyga-

334

TABLE GÉNÉRALE

mie, 210. .Musit|ne, 210. - yille , 420. CbarlaUnt. OanMnrii.

Succeisions , 210. FonérailKn , 211. Vêtement, XXVI, 160. <• Remarques générales sur lea tri- bus cafres. XXIX, 116 et sniy.«— Ori- gine et signification du nom, 116, 263. —Pays qu'il» occupent, 117. ■— Leur état moral, 123.— ^>oat plus humains queles fietchouanas, 124.— Leur N'iiir- riture, 133. Caractère, 261.— Occu- pations des f em-iueset des liorame.<),6!ii3. Arts. Aspect d'un naturel Religiou, 264. Danses, Ornemcns ùës femmei^. Distinction des chefs. Belles figures , 266 , 277, 284. Leur inimitié pour les Uottentuts entretenue par les eu- ropéens, 276. Poét se religieuse, VS5.

."tuperstitions, 286 et suir>— Circon- cUion.Funérailles, 289. Caractèrp , 292.— Valeur des femmes, 308, 310.— Usagp du cheval , 3C3. >— V'>y, Anut' ko'.tj Amapondas, Amalymba, q«(- (?4o«aK(i«, Maalatit , Zoolas.

Cagkla.i (cii^tiaic de l'Ile dc Sar- daigne). Ses \t>virnnr. , t. XLVI , p. 256. Son a.iper-î , va a Je, etc., 257.

C'AiT.tiAtJD. Son vcvc^. àiixCosit;, t. XXV, p. 438. -• A Senn.ar, 444. A Clieudij 451. A Meroê, 552.

Caillié. Détailà préliminaires sur le voyageur, t. XXIX, p. 371. Il arrive an Niger, 387. Décrit Jenné, 391 . A) rive à Tembouctou , 398- Receuille de.s renscignemens sur la mort de LaiD,<; , 406 Traverse le Sahara , 409 à 425. Précautions de voyage , 417. Ouragan, 419. Effets du mirage, 421. Reçoit Je f^rand prix de la Société de geogra- |.Iiie, 429 Observations sur son voyage, 430.

Caire (capitale de l'Egypte). Etat du peuple , t. XXII , p. 263. Des arts, 271. Commerce, 271 , 420, 423.

Commerce des Francs, 283. Ancien nom , 285. -* Situation , 286,

415. Intérieur. Maisons , 286 ,

416 , 418. Population , 288 , 419.

Maladies : perte de la vue. Ses causes, 290- Petite vérole et autres maux, 294. Bains chauds , 297.— Peste, 300 Adresse de quelques artistes, 374. Cimetières , 417. •>■ Mosquées, 418. Historique de la

Courtisanes , 421. Portefaix XXXII, 41.— Usure. 316.

Calabar (royaume de la Guiuée su- périeure ). Voyage dans le î:ny.> , t. XXX , p. 460 , et suiv. Descrip- ti.in de Brass, de ses habitaus, lie^t.» environs , 460 , 469 , 470 , 472-

Ctthlozo (ville du Vénézué*:* Âme* rique méridionale). Poissons «riectn- que»,t. XXXVIlI,p.376.

Calabré (province «lu royauix-o île Maples). Voynge d.*t>ï l'intt jcut , t XLVI , p. \m et suiv.

Calidonia (Nouvelle-), archipe! 'c l'Australie). Ta >;rande ile droouverte i>w Cook, t. Mil , p, 427 et IX, 19, BWabéa", VIJI, -127, 441. Pays s!é- rile , 427, 450.- Cab;iu -s , 428 , 455, 417* Habit.iPJ ne c<)nn!*)iS(-nt ])a» de quadrupèdes , 429 , 441 Leurs orneinens , 430 431 , 433, 4. i5. In- ter '.«lir de l'Ile , 436. -- L><!»<îriptioii des linbitans, 445. Armes, riutiU, maisons , ustensiles , 446 et suiv. Mourriture des naturels , 449. •— Pof pulation, 450. Productious, 451.

Tombeaux , pirogues , 452. Outils de pêche , 454- Côte sep- tentrionale , IX , 3 , 20. Douceur des habitans, 4. Gouverucuient, 6.

Ile des Pins, 12. Dé. vjuverte de rtle de la Botanique , 14. Aspect de la côte occidentale, XV, 36. —Ses récifs, 39. Ile Beaupré, déouu- verte pir d'Entrecasteaux , 190. Naturels ne méritent ]}as les éloges de la relation de Cook. Sont anthropo- phages, 194, 198. Détails de (N^tte horrible cérémonie, 299. Naturels mangent la terre. Letirs guerres, 201.

Éceuils du nord-ouest do l'ile, 221.

Calauita (capitale du Bengale et dc toute rinde britannique). Approche de la ville par terre , t. XXXVI , p, 12. Forteresse , 14. Nom- breux domestiques d'usage, 15. Quartier de Chowringhey , 16. Maison de ville. Hôtel du gouverneur. Cathédrale , 17. Situation de la ville. Environs , 18 , 26. Prome- nade. Ablutions des indigènes , 21.

Querelles. Crimes communs aux, Hindous, 22. État des dome.> tiques, 23. Riche jardin botanique.

3|.

mission.

^Vv*..

DES MATIÈRES.

335

Établitiomens philanthropiques. Pau- vreté des Européens , 24. Villages des environs , 26, 28 , 32. Pagodes, 27. ^ Éléphans exclus de la ville, 5J. —Parc d'artillerie, 32. Cé- rémonie du Sttttey, Ob.survations sur cette coutume, 31 à 38. Stupides au térités des Hindous, 38. Misé- r I <>!e apparence des boutiques, bazars, 40. Mosquées , 41 .

(.'.•■'eut (ville du Malabar, Hindons- itan .. ^ ionné son nom aux toiles du Le- %:*.<ii.i. «pelées Calicot, 1. 1, p. 38. b:i>r: l'état le plus puissant de la côte , 41 . Gama y arrive , 46. Cabrai y établit un comptoir, 67. Est canonné par Cabrai , 69. Par Gam:\ 79. Arme contre le roi de Cochiii, ami des Portugais , 84. Sa flotte est battue par quelques Por- tugais , 85. ^ Prise et brûlée par Alouquerque, 103.

<Jat(fornie (État de l'Amérique sep- tentrionale). Découverte par Cortez, t. XXXVIH, p. 316. Description du pays , des productions , XII ,< 231. Naturels , 233. Fonctions des caciques , récompenses , abolition de la polygamie, 234 et suiv. Vête- ment, 240. Mœurs des Indiens indépendans, 241. ■— Leurs jeux, 242. Plantes et roches , 247. Langue des environs de Monterey, 249. Descriptions des natu- rels, XIII, 174; XVII, 121. Transpirations forcées, XIX, 320.— Paebloit ou villages habités par les Espagnols, 325. —^ Costume d'un dragon Californien , 327. Descrip- tion du port San-Francisco et de ses naturels. Voy. ce nom,

Californie (missions de la). Détails historiques , t. XII , p. 230. État des Indiens, 234. ■— Utilité de ces missions, XIX, 297. Bâtimens delà mission, 298. —Butdes missions, 300. Éducation des convertis. Leurs tra- vaux , 301 et suiv. Entretien , 304, 308. Enfans des deux sexes sé- parés. Amour des'Indiens pour les mis- sionnaires, 306. -— Concessions de terrain , 308. Offices , 316. bonté des missionnaires , 318. -— indolence des convertis , 320 , 322. Terrains dépendant des missions, 322. Agriculture , 324. Voy. Mouttrey^

Sauta-Clara , Sa»HhRo*a , Sam Carlo* , ^M DUgo , Sam Francisco , Sam Joii, Caliite (Ile de l'Arcbipel),XLVI,95. Callao (port de mer de Lima , Pé- rou], t. XVI , p. 39, XLI, 338.

Cambrieiu (liabitans du Uaoussa et des Iles du Niger). Leur état miséra- ble, t. XXX , p. 219. Caractère. Tributs qu'ils paient au sultan d'Yn- ouri. Ornemens incrustés dans certai- nes parties de la figure ,' 220, 221 Huttes. Armes, 222.

Caminouquois ou Kamimou-Koii (tribu au nord du cap deBonne-Espérance). Sontbienfaisans,t. XXIV,p. 189. Ijcurs armes , moeurs, habillcmens , etc. , 330^ t*iiits salés, et auimaux de leur pays , 332 , 333.

Caupbell. Son voyage dans l'A- frique méridionale, t. XXIX, p. 335.

Campèch* ( ville du Guatemala ) , t. XLI, p. 5, 167.

Campot (région du Brésil). Bel as- pect , t. XLII , p. 253. Enormes fourmilières, 254. Migrations des fourmis, 255. Superstition des nè- gres à leur sujet, 256. Les Arma- dillos, 257 —Villages, 258, 280, 282, 289.— Ecole d'Uhéos, 259.— Absence totale de couteaux dans les maisons, 260. Ablution de punch, 261. Etendue des Campos, 262. Bizarres crevasses, 277. Colho d'Agoa, 281. Rivière Parahupeba, 284.— Mine, 285. -—Le serpent corail, 286.

Canada (contrée de la Nouvelle" Bretagne. Amérique septentrionale ). Haut-Canada, Lac Ontario, t. XXXIX, p. 67, 77, 81, 100, 206.— Le Welland et autres canaux, 75. Lac Erié, 77, 80, Cl, 206. Voyage dans le payi», 84. iTork, capitale , 86. Usages, mœurs, costumes, religion des In- diens, 87 et suiv., 90. Chaussées de bois, 89. Présens du gouvernement anglais aux Indiens. 90. Prédications daus les forêts, 93. Emigrans irlan- dais, 95. Observations sur les émi- grations, 98. Kingston, 100, 102. Ile et ville de Montréal. Voyageurs du pays, 106. Traces dn déluge, 206. Caractère des liabitans, XLI, 2l6ld.-~-f^«iyagedatt*l«Bat-Camida,Qué- bec, XXXIX, 107. Campagne, 111. ' —Paysans français, leur mobiUer, 110 et suiv.~-Indiens, 113. —Traces du

330

TABLE GÉNÉRALE

déluge, 206'— Caractère de« liabitau^, XLI. 289. VoT. QuAte.

Cmariu ((les, cAte d'Afrique), re- connues par des Génois, des Catalans, des Français ; découvertes par les Portugais, 1. 1, p. 11. Esquisse de leur histoire, Vil, 176 ; XXII, 11.

Canfisb. Ses deux voyages autour du monde , il amasse de grandes riciiesses en pillant les Espagnols, t I, p. 184 et suir.

Ctinnet (ville dn royaume de Na- ples), t XLVI, p. 197.

CoMtoH ( port de la Chine ). Les Portugais le visitent ; ayant violé les ordres de l'empereur, ils sont massa- crés, t. I, p. 107. Audience qn'An- son obtient du vice-roi, IT, 339. Jolis bateaux de la ville, XI, 4K7. Etendue. Population, 468. Rues. Maisons; 469; XHI, 401.— Prostitu- tions, XVIII, 444. Détails sur les deux villes, 445.— Intérieur. Popula- tion, 416- Aspect favorable^ Maison de plaisance. Cochons sacrés, XXXIII, 422. Climat, XXXVIII, 420. Voy. Â/acao, Tigrt.

CAPXtL-BROOKE. Son voyage en Suède et en Norwége, t. XLV, p. 1 . Visite et décrit le cap Nord , 218 et suiv, Passe un hiver dans ces con- trées, 225.

Capul ( ile de la Malaisie). Barbare coutume des habitons, t. I, p. 191 .

Caracas ( capitale du Venezuela , Amer. mér.). Population. Situation CUmat,t.XXXVni,p. 364;1XLII, 431. Caraveaterait. Origine , description, différentes sortes, noms divers de ces établissemens, t. XXXI, p. 198 et suiv.

Caravenserais divers, XXXV, 129, 137, 139, 168, 181 ; XXXVI, 396.

Carinihit ( province de l'empire d'Autriche ), t. XLVI, p. 229.

Carjàvai., évéque de Plaisance. Equipe à ses frais une flotte pour faire le tour du monde, t. I, p. 151.

Résumé de ses voyages , XVIII , 191.

Carltoi (île de la Norwége). Les lem- uings, t. XLV, p. 183. Plantes ma- rines. Zoophytes, 186. Gorgones , 189. Grande profondeur de l'eau, 190.

Carlstatt (chef-lieu du Wermeland. Suède), t. XLV, p. 3t.

Caina» ( ville de la Hante-Egypte ) Belles ruiBps, t. XXIII, p. 91.

r<ii7ia(/e(État de l'Hindonstan). CAte de Coromandel, t. XVIII, p. 397. Figure, caractère, rei>as des naturel» de la cAte, XXXI, 338. Droits des militaires, 347. Les masuli et les catamarans ( embarcations ), XXXVI, 429. ^I ien du martyre de saint Tho- mas , 433. Ruines de Maba-bali- Ponr, 436- Sadras. Education. Cos- tumes. Bayadères , 438. Voy. Madran, capitale, Pondichiry.

Caroline (ile de la Polynésie). Aspect. Etendue. Productions, t. XVI, p. 435.

Carolim du Sud (un des Etats-Unis). Emigrations et retours périodiques, t. XXXIX, p. 283. Colombia, 291.

Une plantation, 307 et suiv., 515.

Rizières, 310. Travaux des nè- gres, 311 et suiv., 318.— Culture du riz,316. Etat intellectuel des nègres, 318. Leur ventepour les contrées du nord de l'Amer., 320. Voy. Charltttown.

Caroline du Nord (un des Etats- Unis ). Voyage dans l'intérieiir , t. XXXIX, p. 283 et suiv. Emigra- tions et retours annuels , ih, Pa- resse générale , 287. Fayetteville , 288. Montpellier, 289.

Carolines ou Nouvelle» Philippinet ( archipel des , Polynésie ) , décou- vert par Padilla , t. II , p. 27. Manière de saluer des habitans, (X, 297, note. Lenrschants et leurs dan- ses nocturnes, 3f>7, note, 405. Leur respect pour leurs chefs , 389 , uote. Leur propreté, X, 64 , note. Oc- cupations des hommes et des femmes, 67, note.— Pluralité des femmes, y est un honneur, 79, note. Cérémonies funèbres, 81, note. Revenus >1'.:3 chefs , provenant du louage d'outils en fer, 323, note.— Détails sur les re- lations de file avec Guham, XVII, 241. Chansons uatittnales, 243. Grou- pes qui composent l'urchipel. Produc- tions. Naturels. Vétemens. Supersti- tions, XV11I,80. Polygamie.Travaux des deux sexes. Cimbat contre la baleine, 82. Can> > ' s. Gouvernement, 84. Croyance au dogme de la Tri- nité, XLIII, xxiij. Etat des femmes, xxiij.Voy. iles Faitakid^ffogoleu, Mac' Asktl^ Martyr» ^ Natutulouk^ Noagouor, groupe ; OiiaMM , Oitou» , Ollata ^ Pt-

DES MATIÈUKS.

337

If»; groupe Radich, arcli. ; Rahch, ar- cLipel; Sludky^ Tamalan, Urrille, Yoang,

Carpathes ( chaîne do niontiif^uctt , Kurope), tom, XLIV, pag. 81. Animaux, 89. Hauteur, largeur, riches mines, etc., XLVI, 38 à 40. Hauteur des principaux points, 45. Région des grands arbres, 55.

Carpiit. Sa mission chez les Tar< tares, t. XXXI, p. 28.

Carr. Ses voyages , tom. XLVI , p. 155.

Carteret. Son voyage autour du monde, t. III, p. 65. Séparé de Wallis , qu'il accompagnait , i1 arrive à Masafuero (85) qu'il décrit, IQl. Corrige plusieurs erreurs sur le gise- ment de la terre de Davis, 105. Découvre l'Ile de Pitrairn, i07; l'tle de l'Evêque-d'Ôsuabruck, 109; les tirs du Duc-(le-Gloucester ; 1rs lies de la Reine-(Jbarlotte, 114, 135; de Simp- son, de Carteret, 136; de Sir-Charles- Hardy, de Winchelsea, etc., 140 et suiv. Découvre et décrit le détroit qui sépare la Mouvelle-Bretagnc de la Nouvelle-Irlande, 149 et suiv'. Dé- couvre les lies de l'Amirauté , de Du- rour, de Matty, de Stephens, de Frec- will, etc., 162 et suiv. Ne peut obtenir de mouiller à Macussar, 190. Revenant en Europe, il rencontre le vaisseau de Bougainville, 225. Résumé do ses voyages, t. •XVIII, p. 201.

Cartier. Ses voyages pour trouver un passage au nord de l'Amérique , t. XL , p. xiij.

Carihage (ancienne ville d'Afrique). Sa fondation, t. I, p. 4. Fait cxplo» rer les eûtes d'Afrique, 5. Ëmplace- Qjent. Ruines, XXII, 190.

Carihagène ( ville de la Colombie, Amérique méridionale ), Port nommé par Rodrigue de Bastida, XXXVllI , p. 20Î. Beau port. Aspect lugubre. Population, XLII, 431.

Carihagène (ville d'Espagne). An- cienne et nouvelle ville. Environs, t. XLVI, p. 170. Immense arsenal, 171.

Caiysforl ( île, archipel Dangereux, Polynésie). Découverte par Edwards, f. XIII , p. 419. Est très basse , XIX, 166.

Cascade (baie , Tti de Feu). Nom-

XLVI.

niée et décrite par Bougainville, t. lY , p. 166.

Casherpcur (ville du Kemaouu, Hin- doustan ). Lieu de pèlerinage de« Hindous, t. XXXVr, p. 250.

Cama ( port du Pérou ). Aspect. Sol, t. XVI, p. 409.

Caspienne (mer entre l'Europe et l'Asie). Beauté des campagnes méri- dionales, t. XXXV , p, 310, 322, 525.

Voyage sur les cAtes, 334 et suiv.

Port d'Enzellé , 368. Voyage à travers les Turcomans de la mer-Cas- pienne, XXXVII, 303. Voy. Turco. mnr , Beauté des campagnes mé- riaionales, 342. Vaisseau. Niveau des eaux au-dessous de celui de l'O- céan, 318. Son niveau, XLVI, H.

Rivières qu'elle reçoit , 50. Yoy. Arlrabad^ Mazendèran , Ghilan.

Cnstille (Nouvelle-, province d'Es- pagne) . Vayage dans le pays ; Cuença , t. XLVI, p. 171, 174.— Tolède, 174. Madrid.L'Escnrial. Saint-lldefonse. Aranjuez , 175, 176.

Cnstille (Vieille- , province d'Espa- gne ). Voyage dans le pays. Burgos , t. XLVI, p. 172. Décadence des deux villes de Médina, 173.

Castor marin , sa descrip., t. XXXL p. 394.

Costiies (baie de la Mantchourie, empire Chinois). Nommée par La Pé- rouse, t. XII, p. 390. Sa descrip- tion , 394. Village tartare. Bonté des hubitans, 395, 399, Cabanes, 397. Pèches , 398 , 400. Tom- beaux , 399 Distinction de for- tune dans les tombeaux , 401 . Ten- dresse poi'r les enfans , 402. Fi- gure , saleté des naturels , 403. Vêtement , 404. Conjectures sur la religion, 405 Utilité des chiens, 407. Productions diverses : coquilles, oiseaux, plantes, 411 et suiv. Pays boisé. Description des naturels, XIII, 196. Vètemcns, 199. Maisons d'été et d'hiver. Maladies, 201. -— Respect pour les morts , 202. Ta- bleau comparatif de la taille des na- turels et ce ceux de l'Ile Ségalien , 204.

Castro (don Juan de). Son entrée triomphale dans Goa,t. I,p. 115.

Sa mort. Notice sur sa vie , 1 16. CasuaritiOf utilité de cet arbre pour

22

■t^:

M

338

TABLE GÉNÉRALE

Ici Indien t U mer dn Sud, t. XV, p 383 , note 3.

CatalogHt ^province d*E«pagne). Voyage dant le pays, t XLV[, p. 162 et «lÙT. Barcclonne, 162.— Fi- gure, caractère, coiumerco de* cata- lans, 165, 160.

Cathirintiiboaru ( ville de la pro- ▼ince de TohoUk, Sibérie). Origine , fonderies, t. XXXI . p. 243. Mai- sons. Fortifications. Kglise. Foire, Ob- servance du dimanche, 244.

Ctucaia ( gouvernement de la Rn»* sie). Voyage dans le pays , t. XLIV , p. 436. Commerce de sel. Cam- pagne , 436. Postes ; stations , 436 , 437. Temrouk , 437. Tours de guet, 438. ^Le Kopil Yekaterinodar, 439. Établissement des cosaques , 442. Village, 443. Stavropole, 444. Géorgievsk , 445. Colonie écossaise, 446. Le mont Bechtau , 447. -^ Eaux minérales, 448.— For- tifications de Koustantinogorsk, 448.

Mozdoc. Yckaterinograd , 450.

Le Terek, 451 . Taganrock, 454. Cauetiit (chaîne de monts entre la

mer Nuire et la mer Caspienne), t. XLIV, p. 447. Habitudes des tribus du versant de la Circassie, 449.

Voyage de Klaproth. Antiquité du nom, XLV, 409.— Divers noms. Tra- ditions mythologiques. 410. Détails historiques, 411 à 413. La chaîne des monts, 411 à 416. Habitations. Vallées. Forêts. Mousse ,417. Ani- maux, 418. Lacs. Habitans dn Caucase. Réfutations de l'opinion sur la race caucasienne, 419. Mceurs. Usages. Religion , etc., etc., des six grandes classes d'habitans. Les Les- ghis , 421 à 424 et 451 à 455. Les Kistes , 425 à 426. Les Ossètcs , 427 à 428. Les Circassiens , 429 à 438 Les Abazcs , 438 à 442. Les Géorgiens , 412. Peuplades turques , 444. Traits généraux de mœurs et usaj^es , 444 et suiv. Vé- nération pour le tonnerre, 445. ' Devins. Vénération pour les étoiles tombantes , 446. Caractère singu- lier du serment , 447' Manque de l<»is. Assemblées, Hospitalité , 448. . Vengeance , 449. Les Immiré- tiens, 450, Commerce des Cauca- siens f 451. Voy. Kouban,

Caf*rnt ( Ile de l'oréan Antarcti- que). Découverte par Marion, i, IV,

Caviu (port de l'Ile de Luçon). Son état ancien et récent. Sa population. Sa décroissance, t. XII, p. 294. Description du village. Marché illu- miné, XVII , 249.

Caicm^our (ville de l'Allahabad, Hiu- doustan). Population. Musquées. Cli- mat, t. XXXVI, p. 174.— Boutiques. Importance, 175

Caxamnrca ( ville dn Pérou ). An- cienne danse indienne , t. XLII , p. 6. Environs, 9, Palais inca. Riics^ 10.

CiiyêHM (Ile de la Guyane Fran- çaise, Amérique méridiounale). Peut rivaliser avec les Molnqnes pour la

culture des épices , t. XV, ]>. 78.

Oiseaux , XLI , 182. Iles voiùnes, 224. Aspect du continent; du ha- vre de la ville. Roc. Constabic , 224.

Détails historiques. Décadence de la colonie. ProAictions,'225. Des- cription d'une plantation , 227. Oiseaux-mouches , 232.

Célibei (île de la Mal.). Découverte par les Portugais, t. 1, p. 107.*— Par- tagée en districts, 111 , 205. Ville et baie de fiunthain, 212. Produc- tions, 214.— Productions diverses. Incursion tau lac intérieur, XV, 383 XVin,348. Campogne, 550, 355.

Villages, 351, 357,360. —Lai- deur dos femmes. Religion. Divina- tion semblable à celle de Rome. Gou- vernement, 352. Forêts , 355, 363.

Hiéroglyphes , 357. Lac, 358. .^ Sculptures, Etendue , rivières de rtle , 360. Climat. Mines. Ports. Arbres , 362. Productions. Fleurs. Animaux , 364, 367. Commerce. Figure des naturels. Gouvernement. Langue, 366. Montagnes , XLIll, p. vi , Ixx , Ixxj. Lac , viij , Ixx.

Mines , viij , Ixxj. Arbres , ix, Ixxij. Qnadrupèpes, x, Ixxij.

Tribu Bouguis , xiij , xxij , xxxj , Ixxj, Ixxiv. Ressemblance de races, xvij. Race igocoté, xix. Reli- gion , xxij. Gouvernemcot, xxviij. Industrie. Commerce , xxix, Ixxiij.

Piraterie. Esclavage, xxx. Lan- gue , xxxij. Superficie. Baies. Vol- cans Rivières, Ixx. •-« Climat. Terri-

DES MATIÈRES.

339

Arbres ,

Xj Ixxij.

cij , xxxj ,

de races,

Reli- ât, xxviij. ix, Ixxiij.

Lan- laies. Voi- lât. Terri-

toire liollandai». Villes principale*, Ixsj. Singes blancs. Reptiles. Phos- phorescence de la iner, Ixxiij. Po* pulation, Mopurs. Usages , etc., des principales tribus , Ixxiv et siiiv. Vuy. Maca/tar, Manado.

C/phalonie (Ile iooieooe) , t. XLVf, p. SOUet suiv.

CVran (lie des Moluqiics, Malaisio ). CAtes. Hautes moutagin's. Knt fort peuplée, t. IV, p. 328, 32*J. Expor- tation des épices, XV, 78. Postes hollandais, 79.

Ceriffa ou Cythère ( Ile iouienne ), t. XLVI , p. 93, 205.

Ceuta ( ville de l'empire de Maroc). Les Portugais s'en emparent, 1. 1, p. 18; XXd, 8.

Cévenntt (montagnes de France) , t. XLVI, p. 24. Hauteur des prin- cipaux sommets, 43.

Ceylan (ile de la mcr du Bengale). Découverte par les Portugais , t. I, p. 93. Belles forets. Éléphiinx quel- quefois très redoutables , XVIII, 429.

différences de son a|-t religieux d'avec celui de Siam, XXXI V, 118, 166 , 233 , 236.

Ch, Chercher à Seh et à Teh les noms que l'on ne trouverait pas à Ch.

ChaaJou ( ville de l'Yarriba, Gui- née ). Occupations. IVIosurs. Trou- peaux, t. XXX, p. 75,76.

Chabrol ( lie du groupe Loyalty, Nouvelles-Hébrides). Nommée par D, d'UrviUe.t. XVin,p. 304.

Chanhapojrai ( ville du Pérou ). Environs. Intérieur, t. XLII, p. 16.

Chaki (ville de l'Yarriba, Guinée) , t. XXVIII , p. 130.

ClmmistoQle, mer de Behring, Amé- rique russe). Découverte par Kotze- bue. Son aspect, t. XVII , p. S5. Sa hauteur. Son aspect, XIX , 246.

Saluts, alimens des naturels, 266.

Tente.», 268. Connaissance géo- graphique, 269. Vie nomade, 273. -r- Pipe commune à toute la famille , 275

Champlain ( lac du Canada ). Dé- couvert par Champlain , t. XL , p. xix.

Chanal ( île, groupe de la Révolu- tion , archipel de» Marquises). Dé- couverte par Marchand , t. XV , p. 444.

OiandtUur ( Ile» de la , extrémité snd de l'Amérique). DécouTertea par Cook, t. IX, p. 114.

Chamlemagor (ville du Bengale, ' Hindoustan), t. XXXI.p 457. Commerce , 458. Aspect. Maisons. Rues. Misérables boutiqaes,t.XXX VI, p. 32.

CItankoaaiî ( ville de la Chine ). Ré- siste il Cengisklian, l. XXXIII, 1>. 1S5. Ruines de ponts en mar- .rc , 180.

Chnn>ibonJ ( province du Siam ). Histoire , beauté , productions , mi- nes d'or et de pierres précieuses du pays, toni. XXXIV, p." 274. Popii- lation. Chrétiens indigènes. Rvéque français. Gunverneur, 276. L'agila (bois odoriférant) , 277 à 279.— Elé- phans. Singes. Daims. Buffles blancs, 281. Autres animaux, 282.

Charbonnier. Description de cet oiseau, t. IV, p. 9.

Chardin. Notice biograph., t.XXXI , p. 168. Son voyage en Perse ., 171. ^

Charjouejr (ville de la Tatarie indé pendante). Bac surl'Oxus, t. XXXVII, p. 235. Fort. Population. Marché. Marchandises, 238.

Charles (Ile , archipel Gallapagos). Nommée par Cowlty, t. I, p. 355. F,»t montagneuse et boisée , XVI , 49. Aventures extraordinaires de Patrick Watkins, 51 et sniv. Ani- maux , 79.

Charles'Hardy ( Ile de Sir-, Poly- nésie ). Découverte par Carteret , t. m, p. 140.

Chartei-HardyQles de Sir-, côte de la Nouvelle-Galles méridionale ). Nom- mées par Cook, t. .VI. p. 361.

Charletton (ville de la Caroline du snd, Etats-Unis)^ Agréable situation. Beaux arbres des rues , t. XXXIX , p. 293. Galeries. Habitations, 294.

Aspect du port , 295. Marché aux esclaves , 296. Courses de chevaux , 298. Bal. Esprit mercan- tile , positif et égoïste , 299, 300. Institutions diverses, 301,303 et suiv.

Moulins à ri/,, 302.

Charlotte (canal de la Reine-, N.m- velle-Zélande ). Rivages. Naturels. Villages, etc. , t. VI , p. 78 et suiv. VII, 289,307 et suiv.; VIII, 102.

é

■**

340

TABLE GÉINÉHALK

Climnt , 106. Filets , 110. Coi tume de combat.AnthropopbuKie, ii'2 et tuir. Aspect du payi, IX, 25H.

Sol fertile. Climat iigréiible, 250.

Arbres , 281. l'Uutes , 262.— Oisroui, 265. Poissons des i-Ates, 268. Rurhors. Insectes , 269. Minéraux , 270. ncHi-riptiuii de» habilans, 271, 278. VtUeinens. Or- neiueus. 'i'uton.ige , 272. Habita- tions. Ameijblenient. Filets do pt^rbe, 274. Outil» , 275 , 270. Piro- gués , 270. ' Cuisine , 277. Leurs dispositions guerrières, 280. Armes,

281.— Préparatifs de combiit, 282

Cbnnsons. Langue, 283.

Charlottt (détroit de la Reine-, entre l'Ile de Qiiadra, In 'Nouvellc-Unnovre et lu Nouvelle-Géorgie , Amérique septentrionale , ouest), Exploré et uommé par Vancouver, Noms don- nés à divers lieux , t. XIV, p. 108 à 521.

Charlottt (Ile de la Reine-, Polyné- sie). Découverte et décrite par Wallis, tom. III, p. 297. Outils. Canots et tombeaux des insulaires, 299.

Charlotte (lie: de la Reine-, Améri- que septentrionale , ouest). Décou- vertes par La Pérouse et nommées par les Anglais, t. XII , p. 142 et suiv.; XV , 462 et Kuiv. Description des babitans , 466 et suiv. Lac inté- rieur, XIX, 158. Voy. Y/ipa.

Charlotte (Iles de la Reine-, groupe de l'urcbipel Santa-Cruz). Découvertes par Carteret, t. III, 114, 133.— Des- cription des babitans, 115. Villages fortifiés, 128, 129. Voy, Iles Edgcomb, Uome^Ktppel, Oary, Portlandy Touboaa, Tretamon , Follan,

Chatam ( groupe d'iles et tle princi- pale à l'est de la Nouvelle-Zélande^. Découverte par Drougbton, t. XIV, p. 71. Pirogue», filets, bois, 72.

Naturels. Vêtement , ornemens. Oiseaux, 80.

C/iatam (île, Polynésie). Découverte par Edvrards, t. XIII, p. 425.

Chatam (Ile du groupe Gallapagos). Rocber remarquable. Veaux roarinti. Poires sauvages, t. XVI, p. 116. Sol. 119 —Aspect, 120,

Chais marini. Leur description, leurs mœurs, t, XXXI, p. 390 à 393.

Chajrmat (tribu de la Colombie).

Figure. Aversion pour les vétemem t. XXXVIII, p. 361. —Mariages; usages, 362. Occupations des tem- me» et des bommes , 363.

Chtkhi (ville de l'Yurribii , Guinée ), Costumes. Carautènt, t. XXX, p, 78, 79.

Chelliihi Hinbitans do l'Atlas). Leur vie, t. XXII, p. 103, Caractère, forme», 174, 178.

ChenJi (villo et province do la Nu- bie), La ville autrefois comuicrrante ; maisons; belle» femmes, t. XXIII, p. 492. - Habitation», XXV, 451.— Curactèro des naturels ; sol , produc- tion» , 452.

Chequaian ou Seguatnneo ( port du Mexique ), Sa description rt celle de» environ», t. II, p, 210, 220.

Chertoiiise Taurique , voy, Tauride. Cherry (Ile, PtUyuésie). Découverte par Edwards, t. XIII, |i, 427-

Chevaux malins. Leur description, t. XI , p. 68. No ressemblent en rien à un cbeval , 70. Leur affccti<)i> pour leurs petits, 309, poids do leurs dents, XXXI, 387. Habitudes, XL , 252

Chiens (Ile des, Polynésie). Décou- verte par Le Maire , t. I, p. 287, Est peut-être celle nommée Douteuse par Kotsebue, XVII, 44.

Chiens marins. Femelles dangereuse» quand elles font leurs petits, t. II, p. 15.

Chiens marins (baie des , Nouvelle- Hollande ). Nommée et décrite par Daropier, t. I, p. 408, et suiv. Ani- maux , XVIII, 47. Arbres chétifs. Sol aride. Animaux, naturels, 60.

Chili (république de l'Amérique mé- ridionale ), Détails sur la guerre de l'émancipation, t, XVI, 390, et suiv, Salubrité du climat, XVIII, 133.— Baldivia, XV, 81. Surface. Popu- lation , XXXVIII, 389 et suiv. Villa-Nueva ; plan des nouvelles villes, XLI, 368 et suiv. CUmat, 370. Mauvais état des routes , 384. Manière de tuer les bestiaux , 401 à 404. Mines de métaux, 405, 406, 407. Voy. ^rou onos^ Chitoe,Conceptioii^ CopiapOf Guasco, la Serena, Mocha, Santiago, capitale, Falparaiso.

Chiliens, Effets sur leurs mœurs de l'introduction des cbcvaux et des

^»r

DES MATIÈRES.

341

liauf*, t. XII, p 78.— Figure, formen, XIII, 173. Le> fvrnmctttat riubitude de fiimor, XVIII, 133. Maur* et u»aget,XLI,401,405.

Chilkiah ( rillo du Kemiouo , Hin« doustan). Enrinia», t. XXXVI, p. 248.

Aspect uiinérublo de la Tille et don Imbitaot. Cabauei. Foiret célèbre*, 249.

C/i(70f (urchipcl du Chili). A.ipect dot Iles ; productioQi , t. XX. p. 70.

ChUoè (Ile de l'urcliipcl de CUiloë). Ktendue, arbres, productions, »(d , climiit , population, villes, t. XX, p. 72. Description do .San-Carloi , /3. Religion; ciiractère. Ilabilicincnt des dames , 74' Occupations; aiuu- «eniens des bahitnns, 70 et suit.

Chimboraço (pic des Andes). Sa hau- teur, t. XXXV IH, p. 5, 53, 54.

Chin«, Signe de deuil en usnge en Chine et en Suvdo, t. XLVI, p. 204.

Cliin* (partie de l'empire Chinois). Mission d'Avril, t. XXXI , p. 01. Frontières de la Sibérie , .280, 203 et suiv. Voyage dans l'intérieur, t. XXXIII , p. lOf et suiv. Gigan- tesque montagne, 175.— Couvent, l77- Chan-Kouan, 185. Plaines de Put- chy-ll, 187. Jëuux thermales, 200.

Chevaux, 358. Canal impérial, 590, 475 et suiv. Oiseau péchcu r,394.

Jardins , 390. Les rois de l'enfei^ 401. Arbre à suif, 404. Peintu- res sur verre , 410. -— Population n'est point exubérante, 414.— Diver- sité des d.enrées des boutiques , 415.

Truffes , figuiers , 416- Arbre à vernis ,418. Temple taillé dans le roc , 420. Population. Uniformité physique et morale, 425. Produc- tions diverses , 434, 439, 400, 474, 480. Inoculation de la petite vérole, usitée de temps immémorial , XLVI , 83. Voy. Canton, Eu -ho, rivière; Gwt- King-FoUf Ho-Tchoiv, Kalgan, Kang- Tchou-Fou, KaonUngze, Kiming, JVan- leingjlVaHg'Ttihang-FoUj Ptiho, rivière; Uo-Yang, lac; Sang-Yutn. Siuan-Hua- Fou, Tien-Sing, Tong'Oioi», Tong'Kou, Ton - Tchang-Fou, lang -Tte- aiangj You'Fang,

Chine (empereur de la ). Ses che- vaux, t. XXXIII , p. 110. Ses chas- ses , 1 19. Usage à la cessation du deuil de sa mort , 181. Ses sorties

dans Pékiug, 108, 243. Set devoirs, set futtctiout. lUU, 231, 254, 207. Nomt donné* aux annéet du règnt, 213.— Ses femme*, 213. 'Renouvelle- ment de l'anuée , 237. Funérailles , 2.'î8, 200 Hommage à l'inventeur de lagricnlture, 207, .%8, 300, 451. Hommage a Confuciu* , 2U0. Sa- crifices MU ciel , 808. > Son despo- tisme dominé par celui de* coutume* , 380. Est victime du cérémonial , 401. Appel* nu jugement du pou- pie, 424. Nom qui lui o*t donné, 430. Secuur* aux pauvret , 445. '- Hommaget i l'été , a l'hiver, 452. Audience accordée à Macartncy. Son costume, 400, 4(i7. Eunuquet d<f sa cour, 409. Sort do tct femmes a ta mort , 470.

Chili* (muudarins dolaV Costumes, t. XXXIII, p. 353, 305. Cartes de ▼isite , 355. Habits de cérémonie , ' 305. Vie efféminée , 402. Aiment les plaisirs de In table , 433.

Chiiuii, Sont très peu curieux des chotet élrangèret, t. II, n. 280. Distimulét , trompeurs , 320. '— Ob- servations sur leurs manufacturet , leur peinture, littérature, morale, gouvernement; no tnéritent pas Ich éloges qu'on en a faits, 344 et suiv. Leur commerce avec Ict Européens , leur fierté, XIL 274. Visite au poste de la frontière de Sibérie, XXXI, 205. Leur camp, 208. Exposi- tion des enfant , 436. Saints , XXXIII, 80. Ne t.enneat pat aux fenêtres vitrées; indifférence pour le verre , 178. Usage à la fin ilu deuil de l'empereur, 181 . Costumes, 207 à 210, o80.— Astrologie, astronomes, chrétiens , 211. Vénèrent le cor- beau, 238. Phoulsa, ornement de distinction , 243. Religion , 255. Figure , 279. Pieds des femmes , 280. Comédiens , 303 à 307. Mœurt, 311. —• Conclusion de mar- chés , 319. Exercices, 320. Réu- nions , jeux , 321, 322. Repas, 353.

Puanteur, 356. Saleté, 367. Querelles , 379 ■-• Ne mangent point de bœuf, 381 > Puissance piter- nelle , 382. Convois funèbres 583, 384. Idoles , 585, 386, 305 595, 401,443. Supplice du p«a/f« 287.

Salut militaire 413. Alimcns

.^

.*

312

TABLE GÉNÉRALE

boissons , 451 et suiv. Respect pour le trône, 453. Achat des jolies filles , 474. Sacrifices au fleuve Jaune, 477. Sur leurs colonies , XXXIV, 15,68, 71, 73.— Mœurs, caractère, usages , 67 à 76. Lour- deur de leurs jouques, 73 à 76. Insolence envers les Européens , 85, 102. De leurs émigrations en Siam, 178, 180, 227. Formes physiques, 240 à 246. Livret de navigation , XLIir, liij.

C/iinoit (empire). Son traité avec la Rus.. ■, pour l'établissement d'une missi n à Péking, t. XXXIII, p. 1 et suiv Officiers divers , 5. Con- .leurs sacrées, 14 Longueur du H, 59, 170. Graude muraille, 161, 163, 182, 184. 461, 465. Almanach\ impé.ial, 211, 427, Perséculian contre les chrétiens, 212. Édit contre le ministre d'un empereur, 214 à 219. Armée, 224 et suiv. Re- erutemeut, costume, exercices, fai- blesse, 226. Marine, 228. (Soldat français, 228). Renouvel- lement de l'an , 237. Liberté de religion , 255.—- Religions reconnues, 256. Capitales, 265, 269 et suiv. Classes des princes, 291. Canal impérial , 390, 475 et suiv. Dispo- sition du Code criminel au sujet des inouraus , 392. Salut militaire , 413. Subordination hiérarcliique ; appels au jugement du peuple, 424. ■■ Pn'-liraiuairc hi.>>toriqne de l'ambas- sade deMacartuey, 426. Nom douné h l'empire, 430. Ab.sence de postes, 440. Impôts en nature, 441. Voy. iioutaiij Corée, Tatarie ou Maatchourie et Monj^oUg^ Thihet,

<h!o{i\e de l'Archipel), t. XLIV, p.284;XLVI,98

C/uns:ira (ville du Bengale, Hindous- tau), t. XXXV 1, p, 45.

Cliitpour (ville du Gu7.erate , Hiu- doustan). Toiles peintes ; lions appri- voisés, t. XXXI, p. 69.

Chuiagong ( district du Bengale , Uiudoustan ). Chef-lieu, caui])<igne , rontt-s, climat trop loué, t. XXXVI, p. 74.

Ckoba (ville du Darfoiir, Soudan). Carrière de craie , t XXV, p. 400.

Choiseul (île de l'archipel Salomon). Découverte par Bougaiuville. Descrip-

tion des habitants , de leurs pirogues à bas-reliefs et de Icpr» armes t IV p 290, 298.

Choiseul-Gouffier. Son voyage en Grèce, t. XLVI, p. &2.

Cholula (ancienne ville du Mexique). Population, rues, temples, décadcuce t. XXXVIII, p. 309. Situation! maisons, envircus, XLI, p. 45.

Chou cai:aïbe. Sa description, son

goùt,t. VI, p. 526,333.

Choumaguine. Voy. Sehumagine.

Chou jialmisle. Apparence et savetir de son fruit, t. III, p. 142. Dis- position du fruit , t. IX, i>. 26.

C/toumla ( ville de la Bulgarie , Tur- quie d'Europe), t. XLIV, p. 62.

Cl'Oiv (ville «de l'Yarriba , Guinée). Croyiinee sur les habitudes des bhiucs. t. XXX, p. 59. Environs, métier à tisser, 60.

Christiania (l'une des deux capitalps de la Norwége). Aspect, tom. XLV, p. 51. Détails divers , 53. Anéai - tissement du commerce, 53. A.s- pect du moût Mastberger, 55. Po- pulation , port , XLVI, 296.

Chunar (ville de l'Allali^bad, Hiu- doustan ). Poste anglais, édifices, t. XXXVI, p. 155. Sanctuaire ré- véré, 157. Demeuredes Eiircpécns. Population ; environs; ours et loups, 158.

Chuprah (ville du Béliar, Hindous- tan), t. XXXVl, p. 125. Maisons. Hindou en prière, 126. .Boutiques flottantes, 127.

Chypre (ile, mer Méditerranée), Le bois, abondant autrefois, y manque aujourd'hui.' Animaux, tom. XXIII , p. 54.

Cincinnaii (v\\\f. derindian.i , Etats- Unis), Son étonnant accroi.sscuieut , t. XXXIX, p. 381, .399. Sou beau port , 305. Diverses particularités sur la ville, 396 et suiv. Incivilité, esprit mercantile, 400, 406. Ferme dans les bois des environs, 401. Domestiques, 403. Ennui des soi- rées , 406. Marché, 407.— Mu- séums d'histoire naturelle , 408. Absence d'amusemens. Églises, 409. Influence du clergé , 410. Km-i- vement, 411. Écoles , 413. Fiiiui- liarité des villageois, 415. Sort dc>

If

DES MATIÈRES.

343

paysans, 418. Absem-e de charité, 420. Fierté des pauvres, théâtre, 421.— Pruderie, 422. Saisons, 423. Bal. Séparation des deux sexes, 424 et suiv.

Circassie (contrée entre la mer Cas- pienne et la mer Noire). Montagnes , t. XLIV , p. 437. Costume de princes, 440. Eaux roinéralps. Village, 448. Intérieur d'une mai- son. Vie des hordes du Caucase , 449. Le Terek, 451. Inocula- tion rie la petite vérole , usitée pour con rver la beauté des femmes , XLYI , 83 , note, Voy. Caucase,

Ciroassiens ou Tcherkesses.- Ancien nom. Ont^dcgcnéré , t. XXXI , p. 175.

Pays qu'ils habitent, XLV, 429.

Noms divers. Etat de» personnes, 430, 431. Gouvernement, 431.^ Usage des présens au prince. Privi- lège du prince et des nobles , 432. Se nourrissent de cliaire de cheval , 433. Influence des vieillards. Ad- ministration de la justice. Assemblées singulières , 433 , 434. Voleur adroit non puni. Hospitalité. Usages divers. Punition de l'adultère. Di- vorce , 435. Éducation des enfans du prince, 436. —Figure, formes. Costume. Maisons, 437. Chevaux. Agriculture. Langue , 438. Traits généraux de mœurs et d'usage , 444 à 455. - Célèbrent le premier jour de l'an, connaissent la pâque. Vé- nèrent le tonnerre , 445.

Clapperton. Son voyage en Afri- que , t. XXVII, p. 1. Voy. Denham.

Son excursion .i Sackatou , 325.

Entrevues avec le gouverneur do Katagoum, 347, 349, 353, 358, 364. Séjourne à Kano, 368 et suiv.

Entrevues avec le gouverneur , 37* . Arrivé à Sackatou , 405. Eui -evues avec le sulran , 406 et suiv. 411 , 420. Son voyage dans l'Afri- q'ip septentrionale, XX VIII ,113. Entrevues avec le roi de l'Yarriba , 137 et suiv. Ne peut obtenir de voir le Niger, 141. Visite le roi de Kiama , 154 et suiv. La reine <!c Niffé, 191. Lacune dans son journal, 219. Assiste à un combat, 22t. Ses visites au sultan avec qui il se brouille , 224 , 231 Fin de sou journal , 237. Voy, Lamler

(Richard). Ses derniers momens. Son enterrement , 243

Clarence (lie du Duc-de-), (Polyn.). Découverte par Edwards, t. XIII, p 425. -~ Productions , figure et vêtement des naturels , XVI , 437.

Clarence (port de l'Amérique russe). Découvert par Beechey Sa descrip- tion. Naturels. Armes. Vétemens. Huttes, t. XIX, p. 449,451.

Clerke (lie, mer de Behring) t. XI, p. 101 , 377

Clerke. Prend le commandement des vaisseaux de Cook après l'assas- sinat du capitaine, fiéclame le corps de Cook , t XI , p. 201 , 205 , 222.

En reçoit une partie , 209. Ses soldats incendient le village de Ka- kooa, 217. II obtient le reste du corps de Cook , 223. Touche an Kamtschatka , ce qu'il y fait, 316 et suiv. Excursion dans l'intérieur du pays, 323 et suiv. Voyage en traîneau , 330. Réception amicale à Bolcheretsk , 337, 348. Envoie à Saint-Pétersbourg , à l'ambassadeur anglais le journal de Cook et le sien , 553. —Essaie vainement de traverser les glaces au nord-puest,- 368, 371. •— Sa mort Son éloge, 379. Ses funérailles à Petropawlowski , 382 , 384. La Pérouse fait graver une inscription sur son tombeau , XIII , S9i— Voy. Gor^

Clermont-Tonnéfre (fie de l'archipel Dangereux^, Ejéiuuverte par Dupcr- rey, t. XVIII , pi38. Couleur des naturels , XIX , 152. Canot , 153.

Langue. Étendue, sol, 154. Coagalga ( une des îles Alcouticn-

r.es). Etendue. Xspect,t. XIX, p. 282.

Cobbé (capitale du Dar-Four, Sou- dan). Situation, t. XXV, p. 397. Etendue. Habitaus , 398, m Éftle», 401.

Cobi (désert de Mongolie) Tra- versé par Timowski , t. XXXllI , p.'157à«149 —Sol. Aspect, 138, 143, 'Animaux, 138. Puits, 140, 144. —Lacsalé, 140. Monts, 141. 142. Chevaux de l'empereur, 141.

Obo ou autel de pierre , 149. Sel. Absence d'insectes, 323. (-em- paré aux plaines d'Amérique, etc.,. XXXVIII , 373. Voy. Mogoh-Sou- nitet.

«

341

TABLE GÉNÉRALE

#

Coohin (ancien royaume de l'HIn- doustaa dans le Malabar). Le roi fait alliance avec Cabrai , amiral portu- gais , 1. 1 , p. 70. Le roi , dépouillé par le znmorin , est vengé par Al- bnquerque , 82. Et par Pacbeco , 84.

Coch!n (capitale). Situation. Habi- tans lors Tarrivée de Cabrai , t. T, P- 70. Gama y établit un comptoir, 79. Prise et brûlée par le zamorin à cause de son alliance avec les Por- tugais, 81.

Cochinchine ou Anam méridional (royaume de l'Indo-Chlne), Bambous, f. XXXIV, p. 329. BiDgeh , 337.— Côte, 351. Montagnes. Fertilité du sol. Iles, 352, 440. Tribu de pécheurs , 354- Inférieur du pays , 368 Armée , 372 et suivantes,

Beaux canaux, 377, 440. t- Vi- site au mandarin des élépbans , 383 ei suiv. Mandarins français , 383 , 438. Acteurs chinois , 384 , 426.

Supériorité due aux Français, 398. 40l. Influence française ruinée, 398 et suiv Population, 421. Visite au Tacoon ou nradarin des étrangers, 424 à 434. Beauté du pays , 440 , 442. Lac d'eau salée, 441. Con- trée granitique. Excellent état des routes, 446. Fleuve. Montagnes , 449 et suiv. Langue, 453. Voy. Fu Kok , Hué ^ capitale; Saigon, Turon.

Cochinelii'nois, 'Smrme physique , t. XXXIV, p. 24Ih 246, 322 Tendance à l'obésifé. Caractère. Ha- bitations, 323. Leur beau teint, 323 , 334. AppartemcDs , 344. Costumes, 324, 372e*tsuiv. ,411, 412, 423. Costume de rameurs, 32G. Mœurs, 334 , 417- Infériorité des femmes , 340- Barc^ues , 353. Tribu de pêcheurs , 354. Costftnc des soldats, 372 et suiv, Armes , 374. Mandarins français , 381. Supériorité due aux Francis, 398, 401. - Petitesse de taille ,'407, ^fOi). Formes. Figure , 409, 410. ReU- pion ,413. Effets du despotisme , 415, 416. Bonnes qualités, 417.

Saleté, Mofurs des femmes , 417, note, Culte des .incêtres , 418. Servitude militaire, 419. Costume de la saison pluvieuse , 423. Goût

pour le» œufs pourris, 431; Palan- quins et porteurs , 444.

Cockburii (île, archipel Dangereux'). Découverte par Becchey. Déserté. Stérile, t, XIX, p. 169, 170.

Cocot (île .des , archipel des Amis) Découverte par Le Maire et Schouten, t. I , p, 295. Avidité des habitans pour le fer et la verroterie, 296.-^ Ils veulent s'emparer du vaisseau de Le Maire , 299. Est l'île que Wallis a appelée Boscawen , VIII , 73 ; XIII , 114, Naturels se mutilent le petit doigt, 149.

Cocox (île des, mer du Sud, côte d'A- mérique). Son aspect, t. XIV, p, 467.

Productions. Arbre remarquable, 468- Poissotis , oiseaux , 470!

Cocos { île des Noix de, Australie). Découverte par Cartcret. Produc- tions , t, III , p. 142 à 148.

Cocotier. Sa description , son utiUté pour les Indiens , t, VllI, p. 220. Ses racines , 398 , note, Récolte et plaiitatifm du fruit à l'île ?}ouki - Hiva, XVI, 213.

ColchiJe. Voy. MingréUe.

Coi-OMB ((!liristophe\Nofice sur s,i vie , t. XXXVIII , p, 72. Expose ses projets au prieur de RabiJa qui lui fournit assistance, 75 et suiv. Promesses et frais d'Isabelle , 80. Vaisseaux qi.i lui sont accordés , 82

Met à la voile , 83. Murmures on séditions à aon bord , 84 , 88. Découvre le Nouveau-Monde, 01, 92.

Prend possession de l'île San-Sal- vador,94. î.^écouvre les îles de la Conception, Ferdinandine , Lsabelle, Airena , Cuba , 100. Nomme la mor de Nnestra-Senora , 104. Martin Pin/.on se sépare de lui , 105. Dé- couvr'» les îles d'Haïti ( Hispauioln) , de la Tortue, 106. Perte de sou vaisseau. Hospitalité de.? •jsulaircs , 110. Échanges de di\Brs objot.s contre de l'or, 112. Laisse une colonie à Haïti et part pour l'iv.- jMgnn, 115, 116. Échiqipe .inx Portugais des Açores , 120. lii»-'» reçu pdr le roi de Portugal, 123. Arrive en Espagne, 125. Sa lé- nfj)tion à la cour. Ses récompenses , 128, 241. Bulle de déainrcatiou , 120. Repart ])our le Nouveau- Monde, 131. Trouve sa coloim-

^

DES MATIERES.

345

d'Haïti niioéc , 133. Fonde la ville d'Isabelle , 138. Découverte de mines, 143, 163. Fonde le fort Saint-Tliotnas , 143. Découvre la Jamaïque, 146, 211. Découvre Siiinte-Marthc , 147. Fst aban- donné de Margiiarita et Boyl , «pii le desservent eu Ksp:igne , lof, 159.— Ruse par laquelle il se rend maître d'un cacique ennemi de »a colonie d'Isabelle, 152. Bat l'armée in- dienne , 155, Tributs exigés , 156.

Subit l'examen d'un commissaire royal, 160. Vient plaider sa cause en Espagne, 162, 166. Découvre les îles de Marie-G;dante et de la Guadeloupe, 164. Bien acceuilli à la cour. Nouvelles mesures, 166, 242. Sou troisième voyiif,'e. Découvre le continent et l'île de la Trinité , 175.

Les îles de Gracia , de l'Assomp- tion , de la Conception ,177. Ca- lomnies répandues contre lui en Es- pagne, 179. Est remplacé par Bo- vadilla , 181. Est mis aux fers, ainsi que ses frères, 1 87 et suiv. Les trois frères sont condamnés à mort, et renvoyés en Espafjne , 190. Sont délivrés par le roi et la reine, 192. Entreprennent de nouvelles décou- vertes, 194, 201, 215. P.iuvreté de Colomb. Sou désir d'aller à Rome , 205. Est obligé de faire échouer ses vaisseaux à la Jamaïque, 210. Mu- tinerie de son éqiiip;ige et ses suites, 212 , 221 , 223. Annonce une éclipse aux Indiens et en obtient des vivres, 217. Déloyaux procédé. d'Ovando à son égard , 219 , 224. Son frère bat les révoltés , 222. Ils reviennent en Espagne , 225. Mal- heur qui les y attendait , 226. Mort de Cbristopbe. Sa famille. Sa figure , 228. Son caractère , 229 et suiv, ^ Ses sentimens religieux , 235. *^on imagination ardente, 237. Ses idées sur sa découverte , 238. Ré- sumé de ses découvertes et de celles de ses compagnons , 259. Clirono- iogie de ses voyages et découvertes , 2Î0. Ses cendres portées à Cuba , 415.

Colo'A'iia (rivière de la Nouvelle- Albion , Amérique septentrionale). Reconnaissance de la rivière. Son entrée , t. XIV, p. 368 , 369. - Ri-

vière d'Young, 569. Baie de Gray. Ile Puget , 370, Rivière Swaine, Iles Baker, 371, Pointe Slieriff. Mont Coffin. Rivière Kniglit , 372.— Rivière Rusleigli. De Cnll , ,373, Rivière Manings, Baring , 374. Prise de possession parles Anglais, 375. Ses pius magnifiques, XXXVIII, 17. Son cours. Clarté de ses eaux, 37, 39.

Colombia (un des Etats-Unis). Sa formation. Son étendue , t, XXXIX , p. 242. Veut(>, d'esclaves à l'en- chère , 263 à 270. - Voy. H'as- hinglon,

Coli m'iia l'chcf-lien de la Caroline du sud, États-Unis), t. XXXIX, p, 291.

Colombie (république de l'Amérique méridiouale). Tombez. Habitations de la cann)agne et de la ville, t. XVI , p. 92. Gouvernement, XXXVIII, 26. (Constitution , 28. Décou- verte par Colomb , 175. Voyage dp Huinboldt dans l'intérieur, 556. Piqûres des insectes , 382. Surface et |)opulation , 389. Productions , 597 et suiv. St. Régis et autres ])etites villes, XLIl, 'il et suiv. 64. La guarann fliqucur) , 6J. Voyage dans riuférieur, 591. Ses deux contrées , limites , superficie , 592. Productions, 395. Rivières , 395, 396, 407. Régions des mines , 597.

Lacs. Animaux malfaisans. Ani- maux domcst'ques , 398. Plaines. Population. Hèibit"..^ , 3i)9 , et suiv,

Agriculture, ^'06 , 407. Cojn- merce n!.---itim' . Liniformité de la températiiic, 40u. Gonverni'mrnt Armée, 421 Chambres, 422.

Chambres des rcpré^cutans e^ conditions de leur éligibilité. Leurs droits, 422, 423. 425. Sénat et conditions requise.» jniur être séna- teur. Droits , 424 , 425. C'^nf^rès , 426. Pouvoir exécutif, if:.. Pouvoir judiciaire , 427. Disposi- tions diverses, 427- Principales vdies, 428 .i 431. Voy. Chaymos , Gtiaqiiil , Ahidos , Orénoque , Pnnama , Qicto^ Rio-Megro^ San'a-te'd,- Bogota, capitale.

Colombie (Indiens de la). Tribus diverses, t. XXXVlil, p. 379. Femmes n'aiment point devenir mères, Meurtic de l'un des jumeaux ,

\.¥

34C

«■

TABLE GÉNÉRALE

379. Breuvages abortifs , 381 . Figure.. Taille. Caractère, XLH , 400, 401, 412. Les Bravos (sauvages) , 401. Vie et caractère des ludions (les plaines et des moutagues , 402 , 407 et «uiv. Sauvages, 408 à 412. Choix du cacique , épreuves aux- quelles on le soumet, 4087 409. «^ Protection de la propriété nationale. Guerres, 410, 411. Sort des pri- sonniers, 411. Anthropopliagie , 412. Intelligence bonne, 412 Idées religieuses, 413 et suiv., 417.-^ Culte d'un génie malfaisant. Méde- cine, 414. Polygamie, 416. Funérailles des diverses tribus, 416, '■8. Croyance à l'iminortalilé de l'Ame ,417. A l'âme des hétcs, 418.

Absence de vètcmens. Tatoua'j;e. Oruemeus. Maisons , 420. Arm'.-s. Canots, 421. Voy. C/taymas, lit' dieiu de Terre-Ferme , et des rives de l'Ort'noque,

Colombiens. Horrible maladie endé- mique , t. XLH , ji. 399. Figure ; teint, 399, 403. Soutimeus reli- gieux. Condition des femmes. Ma- riages. Funérailles , 403. Carac- tère , mreurs, 404, 40.5. Noncha- lance. Dissimulation , 40Î. Igno- rance. Respect i>our les i)arens. Siiluts,

405.

Cfiloml'ie (nègres de la). Leur pa- trie, leurs formes, t. XLII, p. 400.

INègres célèbres, 402. Coiiituirscin (Ktat de l'Hindoustan ).

Costnnie et habitation du raua , t. XXXV, p. 457. Temple remar- quable, 458. Corruption et civili- sation, 464.

Comme rcol/jr (ville du Benj^iile). Fac- torerie pour la soie, t. XXXVI, p. 441. Nattes roma. ;iuables. Pa- latines de plumes d'oistauK, 442.

Compagnie (île de la) Découverte par lesUoilnndais, S()uaspect,t. XII, p. 431, 437.

Conran (partie de la c(^te ouest de rHindi)usfaa).Vill.iges()ii petites villes, t. XXXVl, p. 417, 418. Mon- tagnes des Gattes, 418. Habitaus II aliarattas , 421. Sol. Climat, 427. Voy. h'ie'p/iaiifa.

Conception ( Ile de la mer dos An- tilles). Découverte par Colomb , t. XXXViH, p. 177.

Conception (la , rillc du Chili). Sa baie, t. XII, p. 70. Ancienne et nouvelle "ilie , 71. Tremblemens de terre. Population. Extrême ferti- lité, 72. Maladies. Rivières auri- fères 73. Parure des femmes , 74, 76. Convens, 74. Naturels, 75.

Rues alignées , maisons ba.ss><s XVIII, 131. —Climat salubre, 133.

Cundore (île, mer de Chine). Sa description. Ses productions, t. XI, p. 470. 'Climat pestilentiel. In- sectes venimeux. Habitnns , XVIII , 439. Productions , 4 1,0. Aspect , XXXIV, 309. Végétation. Produc- tions, Roches, 310. Quadrupèdc.î, 3i2. Village, 313. Habitans , 314, 316. Population, produc- tions, 315, 317.

Congo ou Zaïre, Fleuve d'Afrique remonté par les Portugais , t. I , p. 27.

Coimecticut ( un des Etats-Unis ). Voyage dans l'intérieur. Remarqua- Mer» établisscmcns publics, t. XXXjy, p. 174 et suiv New-Haveu , uue des capitales Inconvénient des deux capitales. Collège. Cimetière, 176.

Consolation ( île de ). Déeouvertu par MaurrelJ. Ses productions. Ses naturels, t. jk.111, p. 266.

Constance (lac de la Suisse), t. XbV, p. 338.

Constantine ( ville de l'Alf^érie ). Ruines anticpics, t. XXII, p. 185. Ses anciens noms , XXIII , 31.

Constant inoplc (capitale de l'empire Ott( man). Histoire des Juifs de cctie ville, t XLIV, \i. 5. L-eurs de- meures, Itnr costume, liiiine que l'on a pour eux, 6. Leur langue. î'outs. 7. Citernes, étangs fac- tices, 8. Piliers hydrauliques, 9. Lac souterrain ,12. Situation de la ville, 13 , 274. Ses murailles , 13, lî. Ses ruines, 13. Porte par entra Mahomet, 14. Brèche tomba Palcohigtie. (Irand cime- tière , 15. Prophéties sur t!on- stantin(q)le , 16. Tombes d'Ali et de ses fils. Eglise des Poissons, 17.

Eglises ji;reeqnes, 18. -hd impérial, 19. Envions déserts, 19, 263. Palais de San-Stephano. Dé- part périodique des cailles, 21.— Sauterelles , 22. Ames d.fmuecs,

.*

Ï)KS MATIÈRES.

347

23. Rtiiiicsd'anricns ponts. Cbaiis- st'f, 263. Vue do !.'i ville au soleil levant , 204. Son heureuse situa- tion , 265, 206. Cimetières, 207.

Péra , 208. Convois. Tolérance re- li{i;ieusc des autorités, 209. tlauses d'insalubrité , 274- Uécliu du fa- natisme , 276. Le Moniteur otto- man , 278. Administration de la justice. Sa vénalité, XLVI , 102. Police. Rareté du vol. Sa prompte et terrible punition, 105 à 108. E\é- ciition à mort , 107. Mœurs des harems , 108 et suiv, Rareté de la polygamie, 110. Rareté des intri- gues, des séductions, 113. Puni- tion des coupables, 114. Bonne police. Disposition des maisons , H^.

Administration civile, 115, liO.

Rareté des fêtes publiques , 123.

Premiers cafés , bsagc de fumer, 125. Langue en usage à Li cour, 126.

Contrariétés (île des, arci'ipel Salo- mon). Découverte par Survii'e , t. III, p. 435. Pirogues élégante i. Orne- mens des habitaus, X •'^ 244.

CoDR.. Notice sur vie, t. V, p. 1.

Sou premier voyage, 2. Ne peut obtcuir à Rio-Jaueiro la permission de débarquer son équipage. Pourquoi, 22. Son avis sur les passa;;es dans l'océan Pacifique, par le sud de l'A- mérique, 80 Découvre les îles du Lagon, du capThrumb, de l'Arc; les Iles Grou|)es, des Oiseaux, de la Chnîuc , 87 et suiv. Son aTivée et sa réception à Taïti, 95. Expédition dans l'île, 108. Y construit un fort, 116, 132. Uressc un observatoire, 130. Détail de différentes aventu- res, 137 et suiv. Observe le pas- sage de Vénus sur le soleil. 173, 176. Navigue autour de l'île, 190 et suiv.

Quitte Taïti emmenant an insulaire, 23 (. Décrit les îles voisines de Taïti, 525. Découvre les îles de la Société, 327. 355. Trouvailles re- marquables, 330, 336. Découvre l'île d'Oteroali, 358. Arrive à hi Nouvelle-Zélande. lucidcns divers, et description du pays, 571 et suiv. Fait le tour de Tlle Iki.'u.i - Mawi. lueidens divers, VI, del à 115. Fait le tour de Titvai-PounamoTi, qui com- plète la circumnavigation de la Nou-

velle-Zélande, de 115à 113. Décrit' la Nouvelle-Zélande, de 143 à iol.

Sa navigation défavorable à l'exis- tence d'un continent méridional, 199.

Sa traversée jusqu'à Rotany-Day, Il nomme un grand nombre de pointes cti,de baies, et "crit les eûtes , 201 et suiv, fd. jusqu'à la baie de la Trinité , 232 et suiv. Id. jusqu'à la rivière Endeavour. .Situation dan- gereuse de son vaissra", 274 et suiv.

Station à la baie J'^ndeavour, 286 à 332. Navigue jusqu'au nord de la Nouvelle-Galles du sud. Découvre et nomme plusieurs pointes, liaies, Iles, 332 et suiv. Prend po.sses.sion de lu Nouvelle-Galles méridioûalc, 368. Décrit le pays, 372 et suiv. Arrive a l'île de Savu , 423. Repas, que lui donne le roi , 433. Décrit Savu , YII, 1. -^ Mouille à B.itavia pour ra- douber son vaisseau , 38. Décrit Batavia, 53 et siii/. Décrit l'île du Prince, 109. Jetic l'ancre au cap de Bontte-Espérance , 120. Préli- minaire de son second voyage. Sou but. Ses résultats, 141. Cook part d'Augleterre. Ses.nstnictions, 151). Va à la recherclie du continent aus- tral , 200. Découvre des Iles de glace, 204. Ne trouve point la terre que Bouvet dit avoir dérouverte, 215.

Arrive à la Nouvelle-Zélande, et a ])liisicurs entrevues avec les inturels, 237 et suiv. Est visité par des Zé- landais , 257, 338. Laisse dans l'île des animaux d'Eirope, et sème des des graines, 268, 270. Les Zélan- dais prostituent leurs filles à son équi- page, 318. Aborde a Taïti, 353. Entrevues avec les habitaus, 354 et suiv. Visite le roi, 594 , 4l2 . 422 , 427. Le reçoit a bord, 41 ", 420.

Découvre l'île d'Hervey, VllI, 36.

Décrit les îles d'Amsterdam et de Midd.lhourg, 82. Revient à la Nou- velle-Zélande et s'as lire que les habi- tons sont anthroj)ophages, 98, 113. Décrit [une plaine de neige, 131. Relâche à l'île de Pâques, et fait in- cursion dans l'intérieur, 139 Arrive aux îirs Marquises, 189. Dé''ouvre les Iles Palliser, 224. Assiste à une grande revue navale de Taïti, 228 et suiv., 256 et suiv. —Découvre l'île Palmersfon , 308 L'île Sauvage, 312.

348

M^

TABLE GÉNÉRALE

*

«

Les Nuiivcllcs-IIûbrides, de '329 à 427. Fëcarmoiiclie avec les insulai- re», 357, 3G1, 368. Dérouvre la Nouvelle Calédonie, 427, et IX, 19. L'Jle des Pius, IX, 12. L'Jle de la Uotauique, 14. L'île do Norfolk, 2Î. Revient à la NouveUf-Zélande, 28. —Nomme le cap Dé.s.ointiou , à la Terre de Feu, 49. Le Lavre et les tles du Nouvel - An, à la Terre des États, 88. Découvre l'île WilUs 96. L'ile PitkersRill,102. —L'île de Géorgie, 104. La Tliulé mistrale, 111. L'île Snuuders, de la (Chandeleur, 114. La terre de Saodwicli, 115. Récapitule ce (|u'd a fait dans sou se- cond voyage. Son opinion sur le con- tinent austral, 120. Développe la formation des îles de glace, 122. Arrive au cap de Bopne-Kspcrance, 130. Massacre de l'équipage de la chaloupe de YAvcn'ure par' les Zélan- dais, 135 et suiv. Décrit les Açores, 157. Son troisième vojrnge, Son but, 164. Nomme les îles diïPriuce- Edouard, 184. Reconnaît la terre Xerguelcn, et nomme plusieurs haies, caps et îles de la côte, 187 et suiv. ~ Apprend à la Nouvelle-Zélande des détails sur le massai re de ses compa- triotes , 238, 24J, 248. Découvro^ l'île Manpia, 289. -L'île Wattcoo , 297. L'île de Wenooaelte, 318. reçoit à bord le roi des îles des Amis, 340, 388. ' Céréttionial de sa récep- tiàn aux îles Hapaee, jeux, danses , 354 et suivantes Assiste à un repaj d'u" chef de Tonga-Tabou, et en visite plusieurs autres, 394 et suiv. Est invité à une grande fête: danses, mu- sique , combats de massue , danses de nuit, 411 et suiv. Fait ui;o pro- menade dans l'intérieur de Tlic, 439.

Assiste à u'ie cérémonie funèbre , 442, 451. Observe une éclipse de soleil, 457. Mouille à Middelbourg, X, 26. Cite les objets les plus pro- pres aux échanges cans l;t me r du Sud. 39. Décrit l'archipel des / .lis, s> .; habitans , son gouvernement, <'^c. , 41 à 96. Arrive à Taïti, 103. A une entrevue avec ievoi, 112. Dépose aux îles ,d>R [la Société des volailles, et y sèmo des graines, 114. Est témoiu d'un .sacrifice humain, 116 et suiv. Voit le corps etnbaunit d'un ciu'f,

1 42. - - Voit un combat simulé de deux pirogues de guerre, 149. Apprcud de son lieutenant les cérémonies ])ra- tiquées pour célébrer la paix, 156 et suiv. - Fait des observations sur Ivi, échanges qu'il ^it à Taïti et la mo'ta^e doDtd y fut reçu, 166. Donne ^I- ques renseigncmens sur les voy.igcs des £spagn(ds à Taiti, 168. Fait une petite expédition contrç Timéo, à l'occasion d'uu vol, 174. Mouille à Huahcine, oti il établi l'iusulairc Omaï qui l'avait suivi à Londres, 1/7 et suiv, Instructions qu'il donue au capitaine Clerke , 197. - Compare l'état il voit Ulietea avec celui il l'avait trouvée, 200. Achète à Bolabola une ancre de Rougainvillc, 201. Examine si la connaissance des Européens a été heureuse pour les in- sulaires des îles de la Société, 208. Découvre Tile de Noël , 258, 20'1. Retrouve les îles Sandwich, 266, '-"•"). Cérémoniesde sa réception à Atii.^i, 274. Fait nue incursion dEj; . l'île, «t décrit un cimetière, 276. R.?itiai'qiio la conformité de mœurs et de laugjij^jc aux îles Sandwich, des Amis, de la Société. 331. -T- Remarque qu'uuc même nation s'est rép.^ndne sur tout l'océan Pacifique, 333. Arrive eu vue des côtes d'Amérique , 336. Nomme le cap Grégoire, 357 ; le Mp Flattery, et autres pointes, 337, 340. Arrive à l'île de Nootka, 345, 362. Comment les naturels abordent ses vaisseaux, 348. Fait la reconnais- sance de l'île, 353 et suiv. Est visité »;ar une tribu. Cérémonies de la pré- aCutation , 358. Donne des détails surf; ■Jfte l'irtie de l'Amérique. Fait une description générale de l'entrée de Ncotl.3, 362 et suiv. Recherche d'où provii^ntle fer qu'ont les habitans, 415 et sui/.— -Poursuit la reconnaissance de la côte d'Amérique, 426. Nomme plu.si'3urs baies et pointes , 429. Découvre l'île de Kaye , 452, 434, Reçoit la visite des ujiturcls du pays, 410, 445.- Nomme, sur la côte d'A- ïnérique, 1 -^ îles Vertes, 451 ; l'entrée du Prince-Guillaume, XI, 1 ; le cap Elisabeth, Saint - Hermogine, les îles Stériles, etc., 18 et suiv.; la rivière de Cook , 23 ; les caps Greville , Bar nahas , des Deux -Têtes, l'île de la

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11»^

"è:

DES MATIÈRES.

t 3A\)

Trinité, 30. Cap de la Trinité. Cap Uromeux. Ile Nébuleuse. Pointe des l'ours, 32. La pointe des Rochers, la pointe Halibut ou de la Plie, l'Ile de la Plie, 31. Nomme la baie do Dristol, l'île Roâde, etc., dans In incr de Behring, 44 et »uiv. ; l'^g Auder- .son, 50 ; les ilus du Traiuen|H| King, le cap d'il Prince-de-Galles^B2. A une entrt'vne avec les Tsi'hinfschy, et décrit ces peu pies, 55 et suiv. Nomme le cap Nord, 76. Longe la côte d'A- sie, et revient à la côte d'Amérique, en nommant plusieurs caps, îles, 77 et .suiv— Découvre Movvée et Owliy- lién, deux des îles Sandwich , 128, 132. Cérémonie» de sa réception à Owhyhée, 148, 153. Est visité eu poiApc par le roi, 157. Se méfie des insulaires, 173; eu est atta({ué, 179. Est tué, 187. Détails de ses ser- vices, 188. Suites de son ass.issinaf, 189. Sou corps est réclamé, 201, 205. Déférence de la l'Vance pour ses vaisseaux, ]iendaut la guerre contre su patrie, XII, 24, note. 11 fut im- prudent à Owhyliée , 130, note. Voy. Battis, Clerke, Oedidèe, 0-maï, Tupia,

Cook ( rivière ou entrée de , Amé- rique Russe ) , explorée par Cook , t. XI, p. 23. Naturels; leurs armes, 'ïl, Marées, 28. Pays montagneux. Vi'iues de charbon. Naturels , XIII , 282. N'est qu'une baie, XIV, 4-58.

Copenhague ( capitale du Dane- mark ). Sa description , t. XLVI , 1). 153.

Copinpt ( port du Chili \ Tremblc- mens de terre. Mines de métaux, t. XLI,p.407.

Copies. Anciens Egyptiens, t. XXII, p. 2Î7. Religion. Etat. Origine du nom et de la nation, 248. Déca- dence de la langue, 253. Leur état politique, 558. Croyances et usages religieux, 380.

Corail (description d'un banc dé). Aspect au flux et au reflux, t. XXI, p, 106.

Cor.-nas ou Coronas ( tribu des Bet- diniianas, Afrique ). Un de leurs kraals, f. XXIX, p. 90, et suiv. Cos- Imiii's. Mœurs.]l.icc.i>i,'jrriture, 92.— Condition misérable d'une horde, 170. l'roupedc rlias.seurs,183. Origine liottcntote. Gouvernemeut , 191.

Vie nomade. Langue. Race. Fabri- ques, 192. Mariages. Maladies, 194. Religion. Funérailles. Alliance» avec les Griqua», 196. Mœurs et usages , 362. Exposition de» vieil- lards aux bétcs féroces , 364. Voy. Garifp, rivière.

CuituËH (de). Sou voyage autour du monde, t. I, |i. 220. Institue l'ordre du Lion déchaîné ; but de cet orlre, 225.

Cordoue (ville d'Espagne), t. XLVI, p. 177.

6Wtfe (province de l'empire chinois). .\s])ect, fortifications, habitations du la côle est, tom. XII, p. 332; X\l, 2, 13. j Entrevue avec les naturels , 14, 26, 49 Ntimbreuses îles de la côte, 42, 53. Intérieur d'uue mai- son, 44. Animaux, 52. Produc- tions, XXXJII, 260.

Coréens, Costume d'un chef et de .ses serviteurs, t. XXI, p. 11, 18. Ba- teaux, 41. Femmes écartées des étrangers, 52. Présens de vasselage a l'empereur de la Chiue, XXXIII , 237. Figure. Costume, 259.

Cor/ou (île ionienne), t. XLIV, p. 326 et suiv. ; XLVI, 198 et suiv.

Corinthc •( ville de la Grèce ). L'isthme, t. XLIV, p. 312.— L'Acro- pole, 313 Elcmeus de prospérité, 314 Environs, 515. F.imeux rai- sins, 316. Le château, XLVI, 208.

C^ uaille (Nouveau, Non.-Bret. , An .uc septentrionale). Rc'counais- soc-'.e en canots Ju canal de Portiand, Aspects de la côte, t. XIV, p. 430 et suiv. passim.-— Armes des uatiirels, 437, 439. Langue, 457. Vêtement de guerre, 440. Horribles incisions à la figure, 417. f-c pays reçoit de Vancouver le nom qu'il porte, 452.

Coronupdel, Partie du Carnatic , province de l'Ilinduustau. Voy. 6'ar- natic.

Coronns. Voy. Coranas.

Corté-d'Ai'gisli ( ancienne capitale delà Valachie, Tiiiquie d'Europe). Sa description, t. XLIV, p. 81.

CoK.ÉREAL. Nomme le Labrador , t. XL, j). xj. Dérouvre le fameux détroit d'Aman, xij.

CoHTtz. Sa ciiuquête du Mexique, t. vXXVUI, p. 20f>. Sescommeuce- mens, (*. Préparatifs de son catre-

«

350

TABLE GÉNÉRALE

prise, 268 et sulr. Arme défeiisive qu'il donne à ses soldats, 270. Bat les Indiens du Tabasco , 275, 277.

S'empare de Tabasco, 276. Com- mencement de la faveur de la Mexi- caine Marina, 279. Reçoit des am- bassadeurs et des présens de Monté - zuma , 2S0, 286, 2^)3. Inoiste pour voir l'empereur. Inquiétude des am-

•bassadcur», 282, 286, 294. S'idlie avec des caciques rebelles, 288, 292.

Fonde Vera-Cru/., 292. Détruit sa flotte. Forées de son armée, 295. Marche sur Mexico , 296. Bat les Tlascalans , 302. Remporte sur eux une grande victoire, 303 et 8uiv, S*allie avec eux, 307, 309. Entre daus Mexico, 31 1. Bat Nar» vaëz, 312. Mont-'/uma est tué. Sa retraite, 313. '', empare do Mexico,

. fait prisonuic urii.ttimozin, 315. Se rend à Ma-'.'id 315. Découvre la Califorp'j, 3 % Meurt dans la disgrâ e, 317. - Ses cendres portées à Cu'ia , 415. Voyea Montituma,-

Cuno (île des Açores). Découverte par les Portugais. Son étendue, Sa po- pulation, t. IX, \. 157, 158.

Cos (île de l'Archipel ), t. XLVI, p. 99.

Cosaques du Don ( gouvernement de lu Russie d'Europe). 'IVibiis diverses, t. XLIV, i>. 442 Voyiige dans le pays, 452 à 454. Aksiiï, 452.— "Vieil et nouveau Tcherkask, 453. Popu- latiou dugouvernement. Observations diverses, 454.

Cosaques de la mer IVoire. Descen- dent des Cosaques de l'Ukraine. Leur établissement dans le Caucase, t. XLIV, p. 442.

Cosaques de ^Ukraine, Villages , t. XLIV, p. 373. Tribu de Vosne- sensk, 387. Sout une des deux grandes familles de Cosaques, 442.

Cotchoun ou Kouchan (ville du Kho- rassan,Perse).Cliniiitsalubre, t.XXXY, p 282. Productions des environs , 283. Demeure du khan . 285- Chant , 286. Soufisme, 287 à 295.

Fortifications. Bazar, 297. Magnifique Coran. Son histoire , 298. Tempéiature , 299- Assiégée et prise par les Persans, . XXVII, 294, 297.

Cotiea (province du Haoussa, Sou-

dan ). Uabitans je Fullindnthic Tont tout nus. Leur saleté, t. XXVIII, p. 255,

Coubeabia (ville du Dar-Four, Sou- dan), Fameux marché, t. XXV, p. 400.

Coubijr (ville du Boiirgou, Guinée), t. XXX , p. 156. Fortifications.

Grai|i|159.

.Counum^ (capitale de l'Achanti, Guinée), .'Visite au roi. Richesse des costumes, t. XXVIII, p. 397 et suiv.

Chansons populaires. 410. Am- bassades des Anglais, 418 et suiv.- - Tortures. Cour du roi, 423-

Courant ( île de la Polynésie). Dé- courerte par Cirteret, t. III, p. 169.

Couronne (lie delà, Nouvellc-Zé- laade ) , découverte et décrite [)nr Dampier, 1. 1, p. 454.

Cousou (ville de l'Yarriba, Guince\ La caravaue de Ha no , t. XXX, p. 80.

Couiumassa (ville du Pérou). Beauté des femmes, t. XLII, p. 7.

CuviLHAM. Premier Portugais qui ait navigué sur l'océan Indien , t. 1, p. 29. Obtient les premières notions sur rilc de Madagascar, 30.- '

CowLEY. Son voyage autour du monde, t. 1, 352. .— Découvre les îlfs du Rdi-Charli's, du Dnc-d'York, de Korfolk , d'Alhcmnrlc , de Marlbo- rough, de Cowlpy, 355. Résumé de son voyage, XVIII, 197.

CovvPKR-KosE. Rilation de so« sé- jour au cap de lîonno-Espériitu-e et les environs, t. X\[X, 230. Chasse aux éléphansj 314 et suiv.

Cox. Sou voy^ige dans l'empire Birman, t. XXXIV, p 449. Reçoit audience de l'empereur, 476.

CoxE. Son voyage on Pologne, en Russie , en Suède et en Danemark, t. XLVI, p. 1.33.

Cracaioa (île de la Malaisie). Eten- due. Climat, t. XI, 473.

Cracovie (ville delà Pologne}. Sa description , t. XLVI, p. 135. L'u- niversité. Le palais. Environs. Tom- beau du fondateur, 136. Fortlands- Krone, 137.

Cranganor ( ville dn Cocliin, Mala- bar, Uiudoustan ). Situation. Produc- tions du pays, t. I, p. 70. Prise et brûlée par Pacheco, lieutenant d'Al- bukerque, 87

Création. Sa tradition conservée,

f

DES MATIERES.

351

inaiti dénaturée à Taïti, t. X, p. 212. Conservée dans l'Adianti, XXVIII, 408.

Creeht (Indiens des Ktat-Unis). Se retirent dans l'État d'Aliihiima , t, XXXIX, j). 343. Leur détresse, 547. (Iraode partie de liiille et se» préparatifs, 348, 352, 355 Leur» rénuions. 349, Danses, 350. Luttes, 352. Toilettes, 353.

Crillon (cap de l'Ile Ségalien). Nom- mée par La Péronse, t. XII, p. 418 Naturels, 421. Leurs vétcmcns, 423. Leur origine^ 424. Connais- sances géographiques , 425. Vil- lages, 427.

Crimée ou Chersonèse Tauride, Signi- fication de CCS noms , t. XXI , p. 172. Voy. Tauride et Tataret.

Croissant (île de la Polynésie). Dé- couverte par VVilson, t, XllI, p. 440; XIX, 97. Habitans , cabanes, 98.

Croker (île de l'arcliipel Dange- reux), décrite par Beechey, t. XIX, p. 197.

Croyère (îles de la mer du Sud, côtes d'Amérique septentrionale). Recon- nues et nommées par La Pérouse, t. Xll, p, 218. La Pérouse découvre iiu Kamtscliatka le tombeau de l'of* licier de ce nom, XlII, 39.

Cuba (île, Grandes Antilles). Décou- verte parColouib, t. XXXVIII, p. 101.

Hospitalité des insulaires, 102. Animaux, 103, 425. Croyances re- ligieuses, 148- Population, 390, 409,413. Surface, 409, 428.— Heureuse situation, 412. Produc- tious,412, 421, Température, 418.

Pins, acajou, 421. Archevê- que. GouVerueur. Instruction, 422.

Tableau du rapport des produc- tions, 425. Exportations, 426. Montagnes , 428. Rivières. Villes priucipales. Habitans, 429. État des personnes, 430 -et suiv. Des monteros, 431. Des esclaves, 435 à 411. Vie. Usages. Habitudes de.» Cubanais, 441. Usage général du tabac. Calèches, 442. Figure, cos- tume. Education des femmes, 444. Mœurs relâchées , 445. Caractère

national, 447. >— Desccndnns des An- ciens Indiens. Législation. Justice, 448. Revenus , 449. Traite de» noirs, XM, 170. Voy. Havane.

Ciicnçn (ville d'Kspagne), t, XLVI, p. 171,174.

Cumana (ville du Venezuela, Amé- rique). Situation , faubourgs, popu- lation, t. XXXVIII, p. 357. Euvi- rons , 357 , 360. - - .Singulier phéno- mène de la plaine, 358. Usage gé- néral du bain. Port, 359 Tribu» indiennes de la province, 360. Im- portance de la ville. Singulier bain des dames, XLII, 431, 432. Plaine des environs. Saison des chaleurs, aspect de la campagne, 433.

Cumberlnnd (ilc,|,Polynésie). Dccou- Trt-te par Wallis , t. III, p. 303.

Cumlierland {^An^ Australie). Décou- vertes et décrite» \y,ir Cook , t. VI, p. 26f Aspett. Arbres, XXI, 393. Cumbcrland- Uouse, Établissement anglais de la mer d'Undson , t. XL, p. 477. Environs, 478. Indiens Crées. Mariage». Cacactères , 479. Superstitions. Sorciers, 480, 481.

CuNNiNr.H.«M. Son voyagea la Nou- velle-Galles du sud, t. XLIII, p. 1.

Curaçao (île, mer de» Antilles). Dé- couverte par Ojcda , tom. XXXVIII, p. 243

Cutiup ou Luttup (ville et province du Soudan). Vaste étendue de îd .111 .. Productions. Femmes du sultan libres, t. XXVIII, 257.

Çyclades (archipel des Grandes, Aus- tralie). Découvert par Vougainville, Coup d'oeil sur le pays, t. IV, p. 274, 277. Vu par Qniros, VIII. 135. Compris par Cook daus l'avchipel des Nouvelles-Hébrides, 421 XX, 198. Voy. Gromngue', Thienhoi en,

Cyclopes (leï deux, îles d'Australie). Découvertes par Bougainville , t. IV, p. 321.

Cytlière OU Csng'o ( île ionienne ), t. XLVI, p. 93, 205,

Czingares (tribu nomade de l'Autri- che). Ont été à tort appelés Bohémien» et Egyptiens, t, XLVI, p. 219. Ca- ractère , saleté, physionomie, 224.

;onservee,

«

TABLE GftNÉHALK

* '

,.s ■.

Uaeea (villo du Béu^iilp, Hindous- tan). Éti'ndur. Miiixiiis. ]'',^'lise d(!ii Au^ufttins , t. XXXI , |>. 80. Belle» ruines de» envirom, XXXVI , 70, 71.

Splendeur pasiice, 72. Hubitiiuf, l'opuliilioa. Climat , 73. Vi'isscaux du port, 74. 'rroinblenii de terre. Keurie» d'éiéplian», 75. £o- .scinhlc du lu ville. Alentour. Larrosne du nnw.ib, 76. Son levenii. Son costume, 77. Sa demeure, 78.

IJagelel (lie, mer dii Jiip.iu). Nom- mée par La Péruusc, t. XII, p. 533.

Son aspect , 334.

Dagwamba (ville du Bournou, Sou- dan). Ses ruiue», t. XX VU , p. 159.

Dahalac (île, mer Ruiige , ouest). Sol. Arbres. Citernes , t. XXIII , p. 158 Animaux, 158, l(i8. Occupation des liabitans , 16U. Figure. Caractère , 102. Monnaie de verre. Décadence du commerce , 164. —Langue, 169.

Dam.away. Son voyage à Cons- tautinoplc, t. XLVI, p 127.

Dalécaiii* (province de la Suède). Caractère , ligure de» habitans , t. XLVI, p. 291. aespcrt affec- tueux pour les .'iiicorités, 1Î92. ■— Présence d'esprlv , ifKlu.-'trie , friiga- litu , ijospiialité &■• Diiiécarlien. Piiin fait en piuM-e t'.'i'.iyrrc ji'arbre moulue.

293. - -- Cosi^^ume:. .Signe en Dalécailie et

de deuil eu eu Cliiue ,

usage 294.

Damàrat (nation et pays du sud de l'Afrique). Origine.Productions du sol. Troupeaux. Métaux. Gouvernement. Armes, t. XXIX, p. 316. Bornes. Richesse. Industrie. Mariage. Funé- railles , 342 et suiv.

Damai { ville de Syrie. Turquie d'Asie). Portefaix , t. XXXII , p. 41.

Aspect. Belle rue , 452. Grande mosquée, 434. Mosquée des der- viches. Faubourg , 436. Plaine dé- licieuse , 437. Cimetière. Chambre du palais, 418. Rues. Boutiques. Idiot courant les rues tout nu , 439.

Cafés, 440.

Damghân ( v'ile du Kbor.is.san, Perse). Autrefoi.s importante, i. XXXV,

p. 141. Population. Monv, ^rnt re- marquable , 142.

Damot (province de l'^i f.ilnie\ Étendue, t. XXIll , p. 330.

l)\MriKH. Ses voya^e.s autour du muudu , t. I, p. 363 Décti» K.

{tremicr avec détail la INouvcllc-lid!- aude, 390 et »uiv. Montre qu'on a débité des eonte.t sur l'autliropo phagie, 401. Nomme et décrit baie des Chicris-Moris , dans la No. vclle - Hollande , 408. Les ih.s Romarin, Pulo-Sabuda, Gai'ct I)C' nis, etc., 415 et suiv, Découvre les îles Oragcu.se , Mathias, Lou^iin , de la Couronne , 438 et 454. Dé- couvre et nomme le i>ass.igc de .son U(mi , nomme la Nouvellc-l'iretagui! , 452. Accrtjnpagne Roggurs dans son voy.tge autour du monde , II , -1

Dampier ( île de rarchipel de la 1S< u- velle - Bretagne ). Naturels. Anucs. t. XX, p. 579.

/>aii«^^oo (ville du Funda, Guinée). Fétiche, t XXX, p. 401 , 405. ~ Costunlc du chef , 403 , 404. Reli- gion , 406 , 408. Réjouissaufps publiques , 406. Rues. Huttes. Co.s- tumes. Ornemeus, 408. Travaii.x des naturels. Denrées, Animaux do- mestiques, 410. Kst formée de plusieurs villages, 413.

y>nHe/Hrt;7.-. Langue danoise comparée à celle de la Norwége et de la Suède , t. XLV, p. 98. Voyage dans le pays, XLVI, 153.

Danger (îles de l'Australie), Nom- mée» par Byron , t, III , p. 51 .

Dangtieux , ou des îles basses ou Pomoioii ( archipel , Polynésie), Dé- couvert en partie par Schoutrn ot Roggewin, t. II, p. 55, 57; et VIII, 214. En partie par Byron, III, 27, et VIII, 222. En partie par Kougainville , IV, 204. - Iles peu fertiles. Forme générale. Naturels rraintifs, VII, 351. Lvur aspect agréable, VIII , 215. Grosseur des arbres, ,luprès du cocotier. Chiens icphyo]>lMigcs , 220. Bancs de co- lail, 221i Difficulté de naviguer dans leurs Cjiux , XVII , 264. N^'-

l)ES MATIKIIKS.

3.13

tU'c'ii l>ca cominiiuicatifs, 274' Siuiilitude de liinguc et de rnligioii . Dif- ivreuru dniii le» traits , XIX , lOH. Conjectures mit lu manière dont il n été peinilé, 199. V«y. Ile* j^rc, iir- t'Ilipcl Itarrow^ Byam-lUavlin, Carysfort, Cltrmont Tonnerre , Cockburn , Uou- teuti, Egmont, Gambitr, groupe; du Hoi- Georgt, groupe; Gloucttitr, groupe; Groupes , Harpi , La/tjrrinlk* , groupe ; Lagon f Laneierif LoiMnge, Hr/elvillt , IHoller, i$(t/#, Noël, Pern cieutes, lU- solution, Tiookea, ffol/e.

DaniMÏg ( yille de» I^.tats de la Prusse), Son origine d'après Regiiiird, t.XLV[,p. 74.

Danube ^^(leiive d'Europe). Se» eiinx. Ses bord», t. XLIV, p. 7i —Villa- ges, 72, 181. Vo\age de Quiu sur le fleuve, 133 Le paquebot, 134 , 14î , 217. Moulins a farine , 140.-— <<raud nombre de sinuosités, 141, 167, 175, 206. - Aspect de» rives, 112, 150, 156, 161.105, 170,

174, 205. Ile de UatO(;kovi, 149.

Trou|ieaux , 150. Tolua , 151.

Peu de profondeur du fleuve, 151, 216. Champ do bataille, 158. Vuckorar. Kamcnitï, 161. IN'eu- sati et Peterwarden , 162. Bel- grade , 164. Scmondria .165. Arbres , lies diverses, 1C6. Oiseatix, 166 , 225. Rama , 167. Moi- dava , 170. Chaînes de montagnes bordant le fleuve, 171. •— Ruines d'un château. Gorge pittoresque, 174,

175. Rapides, 176. Rocs remar- quables, 177. Établissement d'une route sur les bords ,182. La fa- meuse porte de fer, 200. Ruine» du pont de Trajan , 203. Vidiu , 207. Zitera-Palanka , 219. Son cours, XLVI, 221.

Daoudpoutra (État de l'Hiudoustan), t. XXXVII, p. 362.

Dar-el-Beida (ville du Maroc), t. XXII, p. 145.

Dar-Four ( royaume du Soudan , voyage au ), t. XXV, p. 392. Si- guification du nom , 393. Wadi- Massouck, Fourmis blanches, 395. Principales villes, 399, Carrière de craie de Choba. Fameux marché de Coubcabia , 400- Ecoles , 401 . Saisons. Arbres, 401 , 404. Ani- maux privés et sauvages, 402. Mi-

XLVI.

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;jo.—

□éraux, 404. CfouvoraiMuent. Cou- ronne hércditairo, 405, 4 1 ô Kéroltc, Lu roi cultivateur, 40f> ■"- Origine de» hahitau'- Areiiiteel' irc, 407.— Mœurs. (Jarartère, 408. Polygauiic, 409. Travaux des femmes, 411. Tribut, 413. Manière redoutable de combattre des Dergon», 414.— Circoii- citiou. Excision , 414. Kuuucpies , 415. Voyez Cobbé, capitale.

Dahiis Lieu de ton meurtre, t. XXXV, p. 127.

Varling (rivière salée de la velle-lloli.iude). Kxplorée en noinuiée par Sturt , t. \ ' '' 255. Superstitious d( 214, 259. Goftt do SOI. 217,271. —Villages, 2^5 drupèdes de ses bords , 2.. .seaux, 2.52. Sources saléi Sou étrange, 254.^ Figure, cou- tumes, véteineus, etc., des naturels, 257. Conjectures sur ses sources et sou cours, 259, 275. 279. Affluens : le Castlereagh, 2(57 a 271 , 3t)4 Embouchure présumée daus la Mur- ray. Preuves , 321 , 322, 324, 563 et suiv.

Darling (|)> it de la Nouvelle-Galles du sud), t. XLlII,p. 25, 170.

JJassen-Eyland (île , colonie du ciip de Bonne'- Espérance). Uiseaiix in- nombrables, t. XXIV, p. 20 et suiv. Dahmont. .Son voyage en Suède, t. XLVI, p. 288.

Davi.s. Découvre les Malouiues , t. II, p. 420. A exploré le détroit de son uom,XXXVIlI, 33. Re- cherche le passage au nord de l'Amé- rique, Se» découvertes, XL, p, xv et suiv,

Davis, détroit de (entre le Groen- land et i^umberland ). Découvert et exploré par Davis , t. XXXVIII, 33; XL, XV.

Deehistan (côtes du Farsistan, Perse), pays plat, t. XXXV, p. 16, Choléra , superstition au sujet de cette maladie , 6, 18, 24. Bouschire , 16. - Campagne, 21 , 22. •— Kaz- roun , 23.

Découverte ( port de la Nouvelle- Alhiiin , Amérique septentrionale ). Dcscrintiou de l'île de la Prutectiou , nommée par Vancouver, tom. XIV, p. 186, 190. Description du havre,

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354

TABLE GÉNÉRALE

nommé par Vancouver, 188, 189. Arbres, 190. Pays, 191. Mai- sons, figurp, armes, pirogues, etc. , des naturels, 191 , 193 , 218 et suiv.

Autre description du port et de ses environs, 211 et suiv. Sol, 212, 216>— Productions minéralogiques , 212. Productions végétales , 213.

Quadrupèdes , oiseaux, 214, 215.

Poissons , reptiles , 216 Ma- nière de disposer les morts, 222 et suiv.

Dterèi ( câtes de la Nonvelle-Hol- lande)-. Aspect. Nombreux kanga- rous,t. XVIir, p. 18.

Deegoa ( ville du Bournou , Son- dan). Murs. Population, t. XXVK, p. 138.

DeioUa (ville dn Rajpontana , Hin- dottstan), t. XXXVI, p. 331.

Dtitay, Voy. Atlrolafte.

Dekkan (partie de l'Hindonstan). MontHgnes des Gattes et leurs Labi- tans ,. t. XXXVI, p. 418. Habitans maliarattas. Caverne célèbre. Temple, 421. Plaine de Carley, 423. Des- cription du Ponnab , 425 à 426. Crabes, 425. Sol. Climat, 426.

Dtlhi (État de THindousUn). Palais impérial de Jannabad , tom. XXXI , p. 72. Voyage dans le pays , XXXV, 427, 429. Beauté de la vallée du Doun, XXXVI, 262, 456.

Résidence de la Begum-Sumron. Détails sur cette princesse, 262. Costume de cavaliers, 264. Cam- pagne, 265, 285. Ruines. Four- mis blancbes , 284. Bullumghur, 285. Sikre , 287 , 288. Fameuse foire d'Hardc uar, 453 et sniv.— Voyez Mtirut.

Delhi (capitale de l'État). Vastes et magnifiques ruines, t. XXXVI, p. 266 •t suiv. , 270. Beaux monumeus , 266. —Maisons, 266, 447, 449. Mosquée célèbre , 266 , 452. Pa- lais du grand Mogol , 266, 269, 446.

Tombeau d'Humaioun , 267, 272.

Détails historiques , 270. Canue detiroze, 271.^Mouvelle ville, châles. Bijoux , 271, 273. Présentation à l'empereur. Sa résidence, 275. Sa cour, 276. Salles d'audience, 280, 282. Jardins. Beau pavillon, 281.

Rues , 283 , 450. Remparts , 283. Décadence, 445.'— Poussière.

Moucherons, 446, 450. Grande rue, 447. Mouvement intérieur de la ville, 448,450. Décorations des maisons, 449. Commerce , 451. Visites d'étiquette, 451. Tombeaux, puits, 452.

Délot (Ile de l'Archipel ) , t. XL VI, p. 96.

/^e/otf (ville du Mandara . .ioudac). Population. Sources , productions des environs, t. XXVII , p. 142.

Deltago (ville du Bournou , Suu- dan). Denrées. Nourriture des ani- maux , t. XXVII , p. 329.

Déluge ( tradition du , au Kam- tschatcka) , t. XVII , p. 389. Ses trac r s en Amérique, XXXIX , 206. Ses traces à la Nonvelle-HoUande XLIII,366.

Dembea (province de l'Abyssinie). Productions , t. XXIH , p. 332.

Demerari ( rivière de la Guiane ) , t, XLl ,J p. 173. Poison wourali.

Voy. ce nom. Ses rives, 174, 186. Rocs ,175. Différens as- pects journaliers de ses rives , bruit des animaux , 186. Demeure d'In- diens, 187, 192 La grande chute et ses abords, 191.

Dendera (ville de la Hante-Égyptc). Sa situation , t. XXIII , p. 87. Cru- codilcs , 88.

Deitham. Son voyage dans le nord et le centre de l'Afrique avec Clap- pertou, t. XXVII, p. 1. Arrivé à Mourzouck, 10 - Visite le sultan de Grhaat, 50. Traverse le Sahara, 59 «t suiv. Arrive au grand Ihc Tchad , 99. Visite à des cheiks , 117,121, 131,252.— Au sultan de Bournou , 124. Est un objet de curiosité, 129, 133, 154. Fait partie d'une expédition contre les Felatahs, 141. Kntrevues avec le sultan de Mandara, 142, 144. Assiste à un combat , 159 et suiv. Est fait prisonnier. Dépouillé, 166.

S'échappe. Rejoint les siens , 166-

Fait partie d'une expédition contre Ip Muuga,195. Séjourne à Kouka , 209. Son entrée et sa réception à Loggun , 252. Fait partie d'une expédition contre Mendoo, mais n'ar- rive pas jusqu'à l'ennemi, 276, 288 , 296.

Dentilla ( royanme de la Sépé-

DES MATIERES.

355

V '

gambie ). Voyage dans l'inténear. Banaserile , t. XXV, p. 342.

Déota (ville du Radjpoutana). Belles reines. Fête et foire du Pfutun>i , t. XXXVI , p. 308.

D^regi (Ile , mer Ronge , est ) , t. XXIII, p. 141

Den-oud (ville du Khorassan, Perse\ Jardins , t. XXXV, p. 203. Passe dangereuse , 204.

Désappointement (Iles de, Pulynésie). Découvertes et décrites par Byron ,

t. in, p. g à 15.

Disiri (port de la Terre de Feu). Sa description et celle des environ* , t. II , p. 371 et suiv.

DeuxSaurs (Ile des , groupe CLii* tam). Découverte par Broughton , t. XIV, p. 71.

Dei/a (ville de la Transylvanie, em- pire d'Autriche) , t. XLIV, p 112.

Dtarbekr {yille d'Arménie , Turquie d'Asie). Kues. Bazars. Fortificationfi. Aspect. Population , t. XXXII , p. 475 et suiv.

Dibla (ville du pays des Tibbous du Bilma-Saliara) , t. XXVII, p. 82.

Diego , Alvaret ou Gough (Ile de l'océan Atlantique méridional). Dé- couverte par les Portugais. Sol. Ro- cher remarquable , t. XX , p. 153 . 154.

DiLLOiT.Son voyage. Renseignemens qu'il obtient sur le naufrage de La Pérouse , t. XVIII , p. 369 et suiv.

Dimanche (Ile du , Australie). Dé- couverte par Bligh, t. XIII , p. 330.

Dina (ville du Lndamar, Sénégam- bie),t. XXV, p. 135.

À<nayK>iir(villediiBéhar,Hindoust.). Poste angbis. Casernes, t. XXXVI p. 124.

DinJing (lie, détroit de Malaca). Bois. SoL Productions, t. XXXIV, p. 35 , 36. Plante magnifique , 36.

Structure, 37.

Diomide (Iles, mer de Behring), t. XIX, p. 271.

Direction (Ile delà , Australie). Dé- couverte par Bligh, t. XIII, p. 329.

Direction ( Iles de, côte de In Nou- velle-Galles du sud). Découvertes par Cook.t. VI,p.350.

Dirkee [yiÛe des Tibbous du Btlma- Sahara). Danses, t. XXVII, p. 72.

Situation ^ 73. Maison», 74,

Dieo (Ile , mer de Baffin). Aspect , t. XL, p. 39.

DifkuUa (ville des Felatahs, Haoui- sa , Soudan). Brûlée par l'armée man- darienne. Combat, t. XXVII, p. 160.

Diu (ville du Gucerate de 1 ancien royaume de Cambaye , Hindoustan). Prise par les Portugais , t. 1 , p. 109. •— Assiégée par les Turcs et le roi de Cambaye , 1 11 . Le fort est glorieu- sement défendu par les Portugais, 112.

Dixan (ville d'Abyssinie). Situation. Deux sortes d'habitans, t. XXI (I , p. 211,212.

DiXON. Voy. PORTLOCK.

DJ. Chercher kj les noms que l'on ne trouvera pas à Dj.

Djallaeoiia (ville du Tenda , Séné- gambie) , t. XXV, p. 326 , 335.

Djebliel-AttaU, Montagne de Syrie, les Arabes croient que se trouve le tombeau de Josué , t. XXXII « p. 398,400.

Djédideh (ville du Hedjaz , Arabie), t XXXII , p. 258.

Djelalabad ou Julalabad ( ville du Caboul , Asie). Environs. Le Simoun « t. XXXVII, p. 78. Bazar. Popula- tion. Montagnes de neige, 79.

Djemma on Jumnt (rivière , affinent du Gange). Aspect de l'Himalaya à sa source, t. XXXV, p. 482. De- meure des esprits. Sources d'eau chaude , 483 , 488. Bain des divi- nités , 484 , 486. Respect supersti« tieux pour sa source, 485. Temple, ataut - coureur de la rivière , 487. Lieu des ablutions , 488. Source chaude, XXXVI, 461.

£>/«Me ( ville du Bambarra , Sou- dan). Situation, tom. XXV, p. 243. Étendue. Maisons, XXIX, 391.— Rues. Environs. Mosquée. Popula- tion. Résidence du chef f 892. In» dustrie. Religion. Polygamie. Nour- riture. Mobilier. Costume , 394.

Djtzan {port del'Yémen, Arabie). Antfefois commerçant. Caractère des babitans, t. XXIII, p. 145.

Djexireh ( ville d^Arménie , Tur- quie d'Asie) , t. XXXII, p. 479.

Djidda ou Jidda (ville de l'Hedjaz , Arabie). Sa rade , t. XXIII , p. 137 ; XXXII, .5,9. —Situation. Fortifica' iionsj ll.~--Quais. Ports. Fanxbonrgf».

35G

TABLE GËNÉRALK

Maisons, 12, 14. Intérieur desinni- suDs ,14. Rlians. Citernes, Envi- rons arides, 16. Commerce, 17, 21. Marché. Cimetières , tombeau d'Eve. Population. Buces diverses , 18. État des chrétiens , 20 , 161.

Marine , 20. •— Caravanes. Bouti- ques et notice sur tous les États , 22 à 41 et sniv. Cafés , leur consom- mation, etc. ,22, 24 et suiv. Pipes. Tabacs , 24, 34. •— Café au beurre, 27. Fruits , légumes , 28. Dro-

fuistes . 35. Ventes de vétemens , 7. Barbiers, 38. Portefaix, 41. Mendians. Gouvernement. Mé- pris des Turcs, 42. Aemurquc sur les habitans, 141 à 168. Teint. Tatouage. Vêtement. Modes, 142 à 147. Habillement des femmes, 147.

Éducation, 148. Caractère, 158.

Climat. Maladies , 183. Cou- cours de pèlerins, 200. Bavages de la peste, 356-

Djilli/ri (ville du royaume de Barra , Sénégamï ' \ Son commerce, t. XXV, p. 23.

Djinbala ( royaume de la Séné-* gambie). Sol fertile. Habitaus, t. XXV, p. 246. ^

Djoubtl (Ëtat de l'Hindoustan). Sa capitale , f. XXXV, p. 447. Tribu sauvage , 447, 448. Dieux domes- tiques , 449. Soin des fontaines , 450. Costume , figure du rana, 451 .

Temples remarquables de Baïn- gurh,452.

Djoun, Voy. Oxui.

Djulifunia ( ville du Tenda , Séné- gambie),t.XXV,p. 342.

Dnieper (fleuve de la Bussie d'Eu- rope), t. XLIV, p. 374 ; XL VI, 142.

DecHAKD. Son voyage dans l'A- frique occidentale , t. XXVIII , p. 285.

IfomiHiea ou Oh'va-Hou ( tie de l'ar- chipel des Marquises) , t. VIII, p. 189, 199. Sa description d'après les An- glais et les Espagnols, XV, 3^6.

Dominique (la , tle des Petites-Antil- les). Bel aspect Belles plantation*. La capitale , t. XLI , p. 276.

Don (Cosaques du). Voy. Cotaquet.

DorH ( havre , Nouvelle-Guinée ). Situation, t. XVIII, p. 311. Katu tels , 312. Dépend de Tidore. Vil - lages, 313.

Douglas. A découvcrtles ilcs John-

ston et de Bonne-Observation , Good-' Look-Ont, t. XUI , p. 376, 377.

DouUt-Abad (ville du Khorassan , Perse ). Caravenserai , t. XXXV , p. 139. Défense contre les Tur- comans. Fontaine merveilleuse , 141.

Dounqaa (ville de l'Achanti, Gui- née). Maisons. Nourriture. Occupa- tions, jeux , t. XXVIII, p. 388.

Douteuse (lie , archipel Dangereux). Découverte par Bongaiuville , nom- mée par Cook , t. VII , p. 550.

Douteuse (Ile , Polynésie). Nommée par Kotzehue , et peut-être découverte par Schouten, t. XVII, p. 44.

Dovrtfrieli ( chaîne de la Nor- wége). Ses approches , t. XLV, p. 72.

Olstad-Dovre-Tolfle, 73. Les quatre auberges, 73, 74- Aspect du pays , 74- Le gigantesque Sneehat'3n, 75, 80. Merles noirs , abondance depluviers.[Ëlans. Bennes, 76. Fogstuen , 77. Jerkin. Dan- ses, 78. FielJ-Faret, 82. Dif- férence d'aspect des deux chaînes, 83, 84. Comparé au Sepi-Sauh , 130.

Draxk. Son voyage autour da monde , t. I , p. 171. Découvre les Elisabéthides, 179. Son caractère haineux et rodomont, 171 et 180. Découvre la Nouvelle-Albion, 181.

Bésumé de ses voyages , XVIII , 192.

Droniheim ou Trontheim (chef-lien du Drontheim , dans le Nordenfields; nouvelle ou seconde capitale de la Norwége), t. XLV, p. 83. Aspect et description , 86, 88. Environs ,

89, 97. ^ Bétes sairvages des forêts,

90. Magnifiqu- >édrale , 96.— Population , 97. - urs des habi- tans. Ils parler, i. ^..oup l'anglais, peu le françai.'t, 98. Fréquence des inceuiiies. Gardes de nuit, 99. He de Trtveroen. Édredon, 102. Le fiord, 106. Population. Situatioa. Enviions, t XLVI, p. 297. Beau palais en bois du gouverneur. Sai- ■ions , 298.

Ducie ( Ile - lagune , Polynésie ) . Découverte par Edwards. Ce que c'e.st qu'une tle - lagune , t. XIII , p. 419. Sol. Lac bordé d'arbres , XIX, 18.

Duclot (baie dn détroit deMiigeilan).

i

DES MATIERES.

357

Nommée par DongainTÎHe. Sa des- cription, t. IV, p. 151.

Duero y Minho (Entre , province de Portugal), t. XLVI,p. 186.

D»fo (ville de l'Yarriba , Guinée). Animaux domestiques , tom. XXX, p. 74

Dunâat (tie, Nouveau-Cornouaillc, Amérique septentrionale). Nommée par Vancouver, t. XIV, p. 434.

DuPERRET. Sou voyage autour du monde, t. XVIII, p. 109. Dé- couvre l'tle Clermont-Tonnerre , 138. L'île Lostange, 140. Découvre les Iles qui portent son nom, 178. Découvre l'île d'UrviUe, 179.

Duptrrey (îles de la Polynésie). Dé- couvertes par Duperrey, t, XVIII, p. 178. Habitans, vétemens, ta- touages, lèpre, 197.

DuperMf (Iles de la Malaiaie). Nom- mées par Laplacc, t. XVIII, p. 451.

Durion. Description do ce fruit de l'îlede Java, t. VU, p. 71.

Durour (ile de , Australie). Décou- verte par Carteret,t. III, p. |63.

Duskx (baie de la Nouvelle-Zé- lande). Décrite par Cook : environs sauvages, forêts impénétrables, ar- bres, arbustes , sol, cinq espèces de canards et autres oiseaux, insectes malfaisans, habitans, t. VII, p. 276 et suiv, Incontinence des femmes, 321. Est probablement la baie des Assassins, découverte par Tasman , IX, 35 Pays voisin. Plantes , XIV, 52,55.

Dxroë (île de la Norwége). Ses montagnes remarquables, t. XLV, p. 171, 172.

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Ebo* (ville et pays de la Guinée supérieure). Environs. Jolies maisons, t. XXX, p. 433. Palais du roi. Statues, 434, 441. Costume de rois, 436 , 444. Habitans , 439. Importance commerciale, 440, 452. Le roi rançonne les frères Lander, 444 , 447, 45|. Les certificats euro- péens , 445. Inhospitalité. Vin de palmier. Réunions des habitans , 450.

Figure. Espèce de tatouage, 452.

Soins des femmes pour leurs dents, 459. Exorcisme du roi , 466.

Eaarowa. Voy. Middelbourg. Echiquitr (archipel de l'Australie). Nommé par Bougain ville, t. IV, p. 320.

Kst le même que celui des Mille- Iles, XIII, 214, note.

Eeottais, Leur caractère comparé à celui des Anglais et des Irlandais, t. XLVI , p. 273 et suivantes. Écossais des plaines et des montagnes, 276. Sont d'opiniâtres argumentateurs , 287.

Edgcomb (ile du Lord- , groupe de la Reine-Charlotte). Découverte par Carleret, t. III, p. 134. Est la même que l'île Ourry, et doit être ap- pelée Touboua , XVIII , 385.

Edimbourg (capitale de l'Ecosse). Le tràne d'Arthur, t. XLVI, p. 283.

Environs. Aspect du golfe. Ses îles,

284. Holy-Rood , 285, 286. - An- cienne et nouvelle ville. Édifices ,

285. —La rue^High'Srreet. "Maisou de Knox, 286. Commerce. Culture des lettres. Réunions. Détails sur les dames d'Edimbourg, 287.

Edouard (îles du Prince-, au sud de l'Afrique). Découvertes par Marion , no imées par Cook , t. IX , p. 184.

EoWARos. Découvre l'île - lagune dcLord-Ducie; les îles deLord-Hood, Carysfort, t. XTII, p. 419. -- Arrête à Taïti une partie de l'équipage ré- volté de Bligh , 420 et suiv. Dé- couvre les îles du Duc -d'York, du Duc-de-Clarence, Chatam , Otutuelah , 425. Les îles Howe , Granville , Mitr?, Cherry, Pitt (Vanikoro) , 427.

Son naufrage ; se sauve sur la chaloupe , 428. Découvre les îles Plumb, Laforey, Hawkesbury, 430.

Arrive h. Timor, 432.

Eetcho (ville de l'Yarriba , Guinée). Célèbre marché. Denrées. Taxes , t. XXX, p. 96.

Egas (ville du Brésil). Les Brancos. Cannibalisme , t. XLII, p. 56. —-Qua- drupèdes, serpcns immenses, oiseaux , ô8. Population. Maisons. Indus- trie, 60.

368

TABLE GÉNÉRALE

Egga fnlle de l'Yarriba). Impor- Unt marcué, t. XXX, p. 62. Ren- feignemens sur cette ville, 366. Etendue. Canots, 360. Popula- tion. Sol. Productions. Hyènes , 362. r— Curiosité des Liibitans , 364 , 368. -~ Hues. Étoffes, 368.

^/^/^«^{«(villeduZeg-Zeg, Soudan), t.XXVIII, p. 265

Egmont (Ile d', archipel Dange- reux '. Découverte par Wallis , t. II(, p. 302. Productions, XIX, lf>2, t63.- Naturels, 164.

Egypt*. Foyagt it Foluty^ t. XXII, p. 215. - Aspect du pays, 222, 303. —Sol, 225 , 243 , 303, 306. Car- rières , 226 , 347. Lacs de Natron , 226- ' Vents et leurs phénomènes , rosées, 230. Vent chaud ou kam- sin , 234. Climat. Air, 239. Ba- ces d'habitans , 243. Etat politique, 259 , 266, 304. État du peuple , 261. État des arts, des esprits, du commerce, 270. Caravanes, 272, 278. Du projet de couper l'isthme de Suez, 274. Ville de Suei , 279.

Douanes, impôts, 281. Com- merce des Franc» , 283. Popula- tion , 288. Maladies : perte de la ▼ne extrêmement iVéquente. Causes , 290. Petite vérole, et autres maux, 294. Bains chauds, 297. Peste, 300. Le pays n'est peint pitto- resque, aussi il manque de poètes , 306. Ruines et pyramides , 309. Exp/diiionfrançaitt. Événemens mili- taires, 320. Objet schiutifique, 331.

Division des travaux , 333. Avantages sur les voyageurs anciens , 340. Température dei'Égypte. Sé- cheresse. Bosées, 353, 376. Popu- lation. Races d'habitans , 356. Es- claves noirs, 363. Gouvernement despotique des Turcs, 366. —' Mab- dies , 375. Productions , 402. Harems, 406. Lois sur les es- claves, l'usure, l'adultère, le vol, 413. Catacombes, 430. Histo- rique du commerce avec l'Europe «t l'Inde. Canal de jonction, 456. Vopif^e de Bruce. Animaux , XXIIl , 63, 72. ~ Sol, 64. Pyramides d'argile de Metrahenny, 71. Atha,

77. Productions. Cannes à sucre ,

78. Ruines d'Asmounein, 82. Monfalout, 84. Siout, 85.

Denderah, Diopolis-Parva , 87. Furshour, 89. Buines deLouxor, de Carnac, 91 . Buines d'Esné , 9^.

Travaux des géomètres grecs, 96.

Birambar, 103. Legeta, 104

Marbres, 105,107, 109. —Port de Koseir, 112. Bel arbuste. Son utilité pour les femmes, XXXI , 343. ^ Exphcations de l'usnge des cham- bres des pyramides , XXX( V , 2Z6 , note. Voy. Alesamiri* , Arabes , le Caire, capitale; Copttt,F*UohtMaremi, Mamloukt, Rosette, SjreHn", Tkibet,

Egyptiens. Leurs premières naviga- tions, 1. 1 , p. 2. Étaient éloignés des entreprises maritimes. Sésostris triomphe de leurs préjugés, 3. Ac- croissement de leur marine , ibid. Intéressés à ce que l'établissement des Portugais dans l'Inde ne réusiitt pas , 90 , 99. Sont soumis par les Turcs qui s'opposent aux progrès des Por- tugais dans l'Inde ,110. État poli- tique, XXII, 259,261,266,304.— Maladies, 290, 294, 375. ^l- sence de poésie, 306. Apathie ap- parente , 365. Imagination , 367.

Passe-temps, 367, 369. Res- pect pour les vieillards , 371. Mœurs et usages, 371 , 372 , 405, 410. -r— Musique , 373. Mœurs et occupations des femmes de diverses classes, 377 et suiv. . Mariages. Leur célébration, 382, 390 à 397. Occupations de la mère, 384. Mom donné a l'enfant. Sa circoncision , son éducation, 386. Facilité du di- vorce , 397. Frugalité. Nourriture. Cuisine, 400, 403. Vétemens , or- nemens, 404. Vie ordinaire , 405, 410. Harems, 406. Vie des Égyptiennes, 407 et suiv. Saints, 409. Jeux, 411. Respect pour les morts , 412 , 432. Les femmes se teignent la paume des mains , la plante des pieds , etc. , XXXI , 343 , 544. Pèlerinage à la Mecque, XXXII, 1U2. Deuil des femmes, 329.

Eilden (province du Nordenfields , Norwége) , t. XLV, p. 108.

Eimeo { tle de l'archipel de la Société). A deux bons havres, t. X, p. 170. Cook décrit la personne du chef qui lui rend visite, 175- Prodnctious, aspect, sol de l'île, 175.

DES MATIERES.

359

EiiiiMi-K*x ( vUlage de Perw). Eninet antiques, t. XXXV, p. 125.

El-Araoua* (ville des Tuariks , Sa- liara ). Commerce. Rues. Maisons. Puits des environs , t. XXIX ^ p. 414, 416.

El'iourt (mont de la chaîne du Cau- case). Origine volcanique, t. XXXV, p. SI. Ses hrancheit , 93. Lieu du meurtre de Darius, 127. Ruines antiques, 127, 130. As- pect de montagnes, 131. Mines de turquoises, 193. Montons sau- vages, 196' Passe dangereuse, 204 Belle vallée de Tilar, 324. Détroit par lequel Alexandre pour- suivit Darius , 325. Aspect , XLIV, 448.

El'Drah (contrée du Maroc). Pro- ductions. Charrue, t. XXIX , p. 423.

f/^AiA(a(ile, cAtedeConcan) Sol. Buis. Énorme éléphant de pierre, t. XXXYI, p. 407. Célèbre caverne cruciforme. Sculptures de la mytho- logie hindoue. Représentation de la Triuité, 408. 410

Eltpluun. Leur chasse en Afrique , t. XXV, p. 307; XXIX, 314 et suiv.; XXX , 273. Kléphants blancs , XXXIV, 160 à 281.

Eléphant marin. Est le même que le lion marin , t. XXI , p. 216. —> Description de son corps , de ses moeurs, XX , 49 et suiv. ; XXI, 262 et suiv.

Eléphant ( pointe du détroit de Kot- zebue). Nommée par Beechey . Couches de glace sur les montagnes , t. XIX, p. 249 —Habitations, 251.

EUpkantine {\\e da Mil). Sa beauté, t. XXII, p. 450.

Elf-Kartebx (port de la Suède), t. XLV, p. 334.

ff-fî/ime/i (ville de Syrie),t. XXXII, p. 428.

El-Farib (ville du Maroc). Com- merce. Costume. Religion. Travaux des femmes, t. XXIX, p 422.

Elitabeih ( Ile , Polynésie). Etendue. Aspect. Rochers. Sol. Productions , t. XIX, p. 20,21.

EUsahéthides (Iles, Polynésie , côtes d'Amer, septentrionale). Découverte» par Drake, 1. 1, p. 179.

Elseneur ( ville du Daoemarck ) , t XLVI , p. 288.

i

El ton ( bat* , Amérique russe Nommée par Beechey , t. XIX , p. 271

Et<;n (Ue de la Nor/vége), t. XLV, p. 114.

£'/H<a<0' (ville du liedjaz, Arabie)., EiLux, thermales. Forêts de dattiers. Ermite grec, t. XXXII, p 374.

El-ffata (ville du Niffé, Guinée). Hautes fourmilières , t. XXVI II , p. 189.

Emadou (ville de ITarriba, Guinée),

t. XXVIIL

126.

Emfrai (ville du Gondar, Abyssinie). Aspect. Maisons, t. XXIII, p. 388.

Endtavour (rivière ,. Nouvelle-Gallea méridionale , Nouvelle Hollande ). Cook y fait radouber son vaisseau (^l' Endtavour) et lui donne son nom , t. VI, p. 286, 332. Ses habiuns, 310. Leurs pirogues et leurs armes, 315. •>- Description de la rivière on baie : animaux, arbres, 332.

Endtavour (détroit del', nord de la Nouvelle - Hollande ). Nommé par Cook, t. VI, p. 371.

Enfant-Ptrdu (Ile de F, Polynésie). Découverte par Bongainville , t. IX , p. 265.

Enganki (province de la Gninée. supérieure) , t. XXX , p. 224, et suiv. ' Garnacisa. Cours souterrain dn Niger, 225.

Enikalt. Voy. Yt-nikatt.

EifTRECASTBAUx (d'). Préliminaire» et résumé de soc voyage à la recher- che de La Pérouse, t. XV, p. 1. Nomme le port dn Nord à la terre de Yan-Diémen, 18, Découvre le ca- nal qui porte son nom, 25 et suiv. Reconnaît la côte occidentale de la Nouvelle-Calédonie et ses i-écifs , 35 et suiv. Les Iles de la Trésorerie , Choiseul , Rougainville, Bouka, 42 et suiv. Les iles de l'Amirauté, 52 et suiv. Nomme l'Ile Saint-Alouarn, 89. Séjourne à la terre de Nuyts , y nomme la baie de l'Espérance , 92. —Nomme l'archipel de la Recherche, le groupe de l'Est, 101. A une en- trevue avec les naturels de la terre de Van-Diémen , et décrit leurs mœurs , 110. Découvre l'ile Raoul, 144. Séjourne à Tonga-Tabou, 145 à 170. Cherche les traces de La Pérouse, 170 , 229, 233. Découvre les Iles Beaupré , 190. Ses gens sont att%-

m)

TAHLE GÉNI^:RaLE

qiiés à la NonveUe-CHlédonie , 196.

Découvre l'Ile de la Recherche, 224. Recoiinait l'urrhipel Snlo- iiion, 257. Partie «le la Lousiade, 2.51. Y découvre les Iles Jiiricn ot Trobriand , 266. Reconnaît en partie la Nouvelle-BretiiRne, 272.— DécouTre l'Ile Mérite, 273. Le» Iles Française, Villauraez , Raoul , Gric- quel,' 274. l'Ile du Portail. 276.— Est attaqué du scorbut, 279. Meurt, 283. Son éloge. Ses ser- vices, 284. Voy. d'Auiibeau.

Entrteat'.taus (canal de d', terre dnVan-Diémen). Découvert par d'En- trrcasteaux, t. XV, p. 25 et suiv.

Eooa. Voy. Middelbourg.

Epreuret. En usage cliez lesjalofs, l. XXII, p. 46. Épreuves des dispo- kitinns d'une personne, XXV 111, 282. .— De l'accusé de vol à Achanti, 426'

Épreuves par l'eau et par les cier- f;ps dans l'empire birnian , XXXIV, 468. I^j>reuve du feu on Perse, XXXV, 124. Décision d'un cas dou- teux par l'ouverture du Knran, 158.

Epltite (ville de l'Anatolie, Turquie d'Asie), t.XLVI,p.99.

Epidauri (ville de la Gpèce). Ses mines, XLIV, 304, 312.

Ertgup (groupe, Iles Radack). Dé- rouvert par Kotzebue. Entrevues in- téressantes avec les naturels, t. XVII, p. 166 à 178. Son étendue, 181.

Erekli (ville de la Turquie d'Eu- rope). Maisons, port, environs, tom. XLIV, p. 29.

friV (canal des Etats-Unis). Paque- bots, t. XXXIX, p. 40. Activité de» communications, p. 46. Chutes de Trenton. 51.— Villages, 52, 64. ]''.xtrnordinaire accrois<iement du vil- lage de Rochcster , 61 et suiv, Écluses remarquables, 64 Lon- gueur, écluses, coût du canal, 65. .Ses communications, 78; XLI, 267.

Erié (lac du Cauada). .Sa glace, XXXIX, 77. —Rivière Grand. Es- siis de défricbemens, 80. Aspect du lac, 81. Traces du déluge, 206.

Etivan ( ville et province d'Armé- nie, Turquie d'Asie;. Situation. For- tprcsse, t XXXI, p. 202. Églises. Climat. Lac. rélcfirc monastère. Mont Ararat, 204..

Ermites (île des, Australie), Pioui-

mée par Maurelle, t. XIII, p. 216. Ont été découvertes par Bougiiin- ville, t. XV, 63. Bel aspect , 03 Naturels, 64.

Erromango ( Ile des Nouvelles-Hé- brides). Decouyerte parCouk, t. VIII, p. 377.— Son gisement, sa circon- férence , 425.

Erronam (Nouvelles - Hébrides] f. VIII, p. 377,379.

Eiolavei (c6te des, Guinée supé- rieure), Dadagry, t. XXVIII, p. 281 ; XXX, 6 et suiv. Animaux, 7. Wow. Crânes humains servant d'or- nrnicns, 35. Denrées. Sagbu, ca- ractères magiques, 36. Ville de Bidjie, 37, 39, 40.

Eshilsluna (ville de la Sudermanic, Suède), t. XLV,p.25.

Etné ( ville de la Hautc-Égypte ). Ruines,t. XXIII, p. 92.

Espagne (voyage dans l'intérieur), t. XLVI, p. 162 et suiv. La Ca- talogne , 162 et suiv. Province de Grenade, 166 et suiv. De Mur- cie , 1 70 et suiv. Castille-Nouvellç, 171, 174etsuiv.— Biscaye. La Vieille- Castille, 172. Province de Léon , 173. L'Aragon, 174. Province de Valence, 176, 184. Manrl.e, Andalousie , 177. •— Malpropreté des £!ï|)agnoh. Abondance de vermine, 179, 180. Ignorance des arts mé- caniques, de l'industrie, etc, 180. Leurs Mœurs , leur caractère , leur teint. Détails sur les Espagnoles, 182.

Les amans en titre. Éducation. Danses, 183.

Espérance (Ile de 1' , PolynésieVDé- couverte par Le Maire, t. I, p. oOO.

Espérance (baie de l', terre de Nnyts). Nommée par d'Entreeas- teaux. Sa description, t. XV, p. 92.

Productions, animaux, 100. Esquimaux de l'ouest (tribus de l'A-

niérique russe). Entrevues avec eux, leur figure, ornemeus de leurs lèvres, Uiiage dn tabac , nourriture , etc. , t. XVIT, p. 81 à 104. Ornement labial, XIX, 241. Pelleteries. Us- tcnsiles. Sculptures. Armes , 242 Figure. Canots recouverts. Habita- tions, 251. Figure, vétcmcns, etc., 255 Ornemcns. Huttes, 2ii4, 265.

Vie errante. Fiicilité d'établir une nouvelle demeure, 272- > Clochettes

DES MATiÈRËS.

901

Miiis lei vétcmen*, 274. l'ipe ccim- mune à toute la famille, 275. >— Ar- mes. Ornemens, Huttes. 449. Rap- ports avec d'autres trinus. Sont un peuple pêflicur, 462- Huttes. Vil- Inges gurdés pur les femmes durant la !<aisovde la péclie, 464. Occu- ltations de l'hiver. Religion, Figure. Caractère, 464. Hoipilalité. IJsage dn tubac. Urnemens , 468. Amu- semens. Industrie. Langue, 470.

Etquimaux de l'egt ou dei terres Je Baffln, de Boothia, du Groenland, du Labrador, de la presqu'île Melville. Des terres de Baffîn et de Bootbia : villages. Huttes de glace. Tentes. Tn- térieur, t. XL, p. iv, v, 87, 101, 363, 3G6, 450. Entrevues avec eux , 5 et Miiv. , 81, 87, 93, 103 et suiv. , 154 et sniv. , 162, 172, 196, 360. Véte- mens, 82, 85, 365. 404. Cannes, couteaux , 331 , 368 , 404. Taille , «giire, 85, 363, 403, 445. Figure et vêtement des femmes, 89, 97, 366.

Chasse au renne , 90. Fiançail- les , 95. Danses , 98. Voracité, 115, 127, 165. Traîneaux faits avec des poissons gelés et autres corps, 105, 195, 423. Opinion sur le vol, 110. Superstitions, 115, 413, 417. 460. Chusse au bœuf musqué, 121.

Magasin de provisions, 124, 129.

Détails sur l'état civil, 126. Sin- guliers usages matrimoniaux , 133. Kcmédc aux maux de dents , 141. Kcliange de femmes, 158, 174. Gu- lieux détails sur le mariage , 173. Pèches. 178, 199, 415. Réflexions sur le sort des Esquimaux, 195. Leur galiinterie, 196. -r- Nourriture, 368, 416, 424. t:anots, 367. Chiens, 368, 423, 434, 452. Disposition au vol, 380, 405, 454.

Esquimaux du Groenland. Hutte de glace, t. XL, p. iv, v. Entrevues avec eux, 5 à 16. Saints, 10. Traîneaux ,14. Nourriture , danses, 15. Chasse de l'ours, 254.

Esquimaux du Labrador. Haj^aks (ca- nots d'hommes ), t. XL, p. 377. Oumiakt (bateaux de femmes), 378, 381.— Dispositions au vol. Voracité, 379.— Trait de mœurs, 380.— Jouets, ornemens , 382.

Esquimaux de la presqu'île Melleville et des lies adjacentes, Êntrerues avec

eux, t. XL, p. 402, 409, 424. Taille, figure, formes, 403, 445. Tentes, M,4\{), 422, 450. - Dis- ]>ositions un vol. 405, 4.>4. Chants, 410, 411, 415, 434. Sorciers, 413, 417, 460. Dépècement de veaux marins, tombeaux, 416. Manière de mesurer le temps, 419. Chasse au walruB, 421. —Manque de respect pour les morts, 423. Chiens, 423, 434, 452. Hospitalité singu- lière, 424. —Danses, 425. Funé- railles, 430 , 433, 460. Doutes sur une barbare coutume, 431. Che- velure, 446. Vétemcns, ornemens, 447, 448, 449. - Tatouage , 449. Ustensiles, .irmcs, 450, 451. Leurs voyages, 451. Hospitalité, état des femmes , 455. RelAcliement des mœurs , 456. Fréquence de l'adop- tion , vieillesse peu respectée. Ab- sence de chefs , 457. -^ Divertisse- mens, 458. Famines, 459. Et.it des idées religieuses , 460.

Esiequibo (rivière de lu Guiaue an- glaise). Ses bords, leurs animaux, leurs arbres, t. XLl, p. 193, 195, 261. - Cataractes, 196, 260, 265.— Belles montagnes, beaux oiseaux, 197.— Caïmans, 262.

'Est (groupe de 1', côte de la terre de Nuyts), Nommé par d'Entrecas- tennx, t. XV,p.l01.

Estaing ( baie d' , Ile Ségalien , mer du Japon ). Nommée par La Pérouse, t. xn , p. 378. Naturels, 378. Cirque , productions , 380.

Éstramadure ( province du Portu- gal), t. XLVI, p. 186. Lisbonne, 188.

Estrella (port du Brésil). Belle route , t. XLII , p. 323. Bel aspect des environs. Le Tillagc indien , 324.

Etals-Unis (rép. de l'Amer, sept.). Gouvernement, t. XXXVIII, p. 26.

Constitution , 28. Progrès de la population, 386. École militaire de West-Point, XXXIX, 33. Mi- lice nationale, 37. Traits caracté- ristiques des habitans, 41. —Leur présomption, 42. Absence de pos- tes. Extraordinaires (voitures), 45.

Domestiques, 50, 403.— Général usage de la glace, 51. Indiens, 53, 347 et suiv. Réprobation des-nègros, 57.^Baretédes sonnettes , 58. Cler-

3B2

TABLE GÉNÉRALE

gé, 60) 410.— Extraordinaire accroin* nemeot de villet , 61 et «iiiv. , 881 , 399. Toilette, 66. D^boucliés de» marchandises jusqu'ii l'Océan ,77 et »niv. Lac» divers ,114. Sour- ce* de Saratoga , 1 15. GouTerne* ment, 119. Hage électorale, 128 et «uiT. Ravage» de l'excès des linneuri fartes, 138. UnitairiHni»mo, 146. Commerce de glure, lâO. Marin», 160.— E»prit mercaatile, positif et égoiite de» uummes. Délais- sement des femmes, 162, 300, 400, 406 , 420, 425 , 440, 449. Déplo. rable état de l'éducation publique, 168 il 171. Esquisse du gouver- nement, 181 et suiv. Voy. ffaihing- ton ). Pouvoir législatif : chambre» des reprcsentans , 181. Sénat, 182, 189. Congre», 181 et »uiv., 201, 202. Pouvoir exécutif. Election du président, 186 à 195. Ses droits, 195.^ Ses devoirs , 196. lies États-Unis sont une démocratie plus qu'une république, 198. -— Di- verses influences de 1 esprit démocra- tique, 204.— Trace du déluge , 206. De la librairie , 219. Tombe de Franklin, 220. Dégradation de»

aentimens, 221.

Chaussure en

gomme élastique, 224. Le Ches- terfield américain , 231 . Sale» ha- bitude», 231, 430. Système judi- ciaire , 232. Cour suprême , 233 , 240. FHne»tes effets d'un prin- cipe radical en matière judiciaire, 236 et suiv. Juges, 238. Compo- sition du tribunal, 239. —Appels, 240. Ridicules exigences et sus- ceptibilités républicaines , 245 , 403.

Ventes d'esclaves aux enchères, 263 à 270, 296. Canards du Poto- mac , 270. Tyrannie contre les nègres, 276. La loi défend l'af- franchissement, 289. Faiblesse des seatimpDs d'amour paternel et filial , 303 , 304. Rizières , 310. Culture du riz, 316. État intellec- tuel des nègres. Commerce intérieur dont ils sont l'objet, 318, 320. culture et préparation du coton, 326 et suiv. Tâche des esclaves , 329.

Leur nourriture, 330. Leurs vétcmens , 331. •— Aspect d'une ville nouvelle, 341. Mieux traités dans l'intérieur, 342. Loterie de terre»,

343. Embryon d'nne ville dans les forêt», 345. Climat, 367. Le» squatters , 372. Radeaux, 370,

Mariage» prématuré» , 404, 419

Le ravifmint, 411. Sort des paysans , 418. Absence de charité,

420. Fierté de» pauvres , 421.

Condition de la femme, 440 à 413. Cuisine. Mets, 444. 446. Costume, 447. Formes physiques , 448. Cupidité des habitans, 449. Voi- tures, l'A. Littérature sans noblesse, 450. —Beaux-arts, 451. Mohlente abolie. Loi sur les religions, XLII, 427. Voy, Alabama , CaroliMt , Colombia, Crttkt, Indiens ; f/anV/*, G/orgi», lUinoii , Indiaita , Kentukjr , Louitiant^ Maryland , Mastackutulis , N*»-York , Pensylvani* f firginii , R^athington, capitale.

£'a-Ao (riv. de Chine). Tombeaux. —Convoi funèbre, t. XXXIII, p 384, 385. Cadavre» flottan» , 385. Ville de Sang-Yuen. Café de» aveu' gle», 388. -Ville de YouFang, 389. 390.

Europe, Supériorité de ses races sur celle» de l'Asie , t. XXXI , 23. Historique de ses relations avec l'Asie, 35 et suiv, Diverses opinions des Asiatique» sur l'Europe, XXXVII, 131 et suiv. Différence d'habituden d'avec les Turcs , XLIV, 53. Coofi-

Îuration. Caractère particulier, XLVI, et suiv. Mont.ignes , 2. Pro» ductions , 2 , 54 , 56. Miues , 2, 38. Quadrupède», 2, 57. Sa supériorité intellectuelle et indus- trielle , 3. Bornes , 4. Poiuts extrêmes, 5.— -Superficie. Etats, 6. Golfes. Mers , leurs limites , leurs niveaux, leur» marée», leurs surfaces, etc., 7 à 13. Lacs, 13, 14. As- pérités du sol ,15. Orographie, 16 et suiv. Aspect général , état des monts, 16 à 21. Sept principaux massifs et leurs groupes : massif alpi- que, 21, 24, 27 à 36. V. Alpe; Massif sardo-corse. Massif taurique, 22. Mas!>if sarmatique. Massif britannique. Massif scandinavique, Massif hespérique,23. L'Hcraus, les Carpathes , 38. L'Oural, le Wal- dai , 40. Hauteurs des principaux points , 42 à 46. Système hespé- rique, 42. Système gallo-franci»

DES MATIÈRES.

303

que et «Inique , 43 , 44. Système tlaTO-beUénimie , «aqiathien et «can- diuarique, 45. —Système britanni- que , 49. Bassins , fleuves , 46 et suiT. De l'océan Glanial , 46. Ue la Baltique. De la mer du Nord, 47. De l'Atlantique , 48. De la Méditerranée, 49. —" De la mer Noire ; de la mer Caspienne , 50, Climat ,51.— Pliénomincs généraux, 52. Mas»e des eaux jtluviales , 53. Sol, atmosphère, 54. Végé- taux et leurs régions, 55. Puys à lait, payn à liuile, 56. Arbres fruitiers, 56. Règne animal , 57. —I Familles de peuples , 58 , m. Religions, 60.61. ^Guuvernemens, 63, 67. De l'équilibre, 63 Po- pulation totale et des divers Etats. Sou augmentation , 64 à 66. Cbro- nolugie de l'origine des Etats , 67. Voyages dans l'intérieur , xvi* siè-

cle. Montaigne, 60.— Busbeck , 71.

XVII* siècle : Regnard, 72. Scbeffer, 75.— Ricaulr, 76. xviii* siècle : Labat, 76. Andorson. Troïl , 77. John Moore , 81 . Mauper- tuis, 82. Lady Montagne, 82. Cboiseul-Goufifier,02.— Porter, 100. Swinburne, 161. Peyrou, 169. Bourgoing, 172. Fischer , 170. Murphy, 185. Linck, 188. PiUti, 190. Riedesel, 195. Si-Sauveur, 108. Ponqueville, 206.

Lacour, 210. xix« siècle. 216.

Marcel de Serres, 217. Vialla , 240. Mimaut , 255. A. Mun- témont, 260. Picbot, 278. Dauroont, 288. Twining, 296.

Evang^tiitu, Ilots près la Terre de Feu , t. IV, p. 194.

Evéqu» d'Omabruek (Ile de 1', Poly- nésie). Découverte par Carteret, t. III,

p. m.

Faeardini (Ilots des quatre , Poly- nésie). Découverts par Bongainville , t. IV, p. 200.

Fa'aba ( capitale du Sonlimana , Guinée). Jeux militaires, t. XXVIII, p. 8, 81 à 89. Chants de guerre dialogues , 84. Serpent apprivoisé , 92. Tributs au roi. Cérémonies de l'acquittement de l'un deux, 93 et Kiiiv. Latitude. Dévotions du roi , 99.

Falklattd ouest ( Ile, Malonïnes). Étendue. Abonde en gibier, t. XYIII, p. 117. Étendue, n'a plus autant de gibier, XXI , 242. 245.

Falkland'est (Ile, Malouines). Plus petite que Falkland- ouest, t. XXI, p. 243.

FaUo (baie, colonie du cap de Bonne-Espérance). Étendue. Maga- Mus de la (Compagnie. Poisson , t. XXIV, p. 44.

Famini (port du détroit de Magel- lan). Sa description et celle de la câte adjacente, t. II, p. 404. -~ Une coiouie des Espagnols n'y prospère pas. Ses productions, III, 278.

Fanadik (tie, archipel des Caro- Unes). Productions. Naturels , t. XX, p. 228.

Faniroet (ville du Haoussa, Sou« dan),t. XXVII,p. 395.

FARNiiro. Sea voyages dans le* mers du sud, t. XXI, p. 449. Découvre les Iles Washington , 450. - Du mont Pisgah, 452. De PaU* mer, des Princes, de Willey, de Nuèl,454ot455.

FanniHg (Ile»), Nommées par Fan- ning, sont les Iles Shetland du sud, t. XXI , p. 452.

Fa ning (lie , Polynésie), t. XVIII, p. 390.

Fanti (État delà Guinée). Etendue. Religion, t. XXVIIl , p. 380. Ha- billement. Usages. Aspect du pays, 382. Toilette. Cannibalisme , 384.

Fartis'an (province de la Perse). Voyage dans le pays, t. XXXV, p. 16 et sniv, Tribus de vagabonds , 26 , Û\. Ses qualités , 39. Pro- ductions , 43, 45. Voy. Deehtiitan , Schiraz,

FatUcondx (capitale du Bondoi^, Sénégambie). Maison du roi , t. XXV, p. 72, 73. Son harem, 76.

/Vya/ ( lie de» Adores). Découverte par les Flamands, t. IX, p. 157. Sou étendue, ses productions, 158; XX, 443.

au 4

TABLK 6li:Nf:RALR

FuytttifiHi ( Tille de la Cernliue du nnrd, IttiitiUDit) , toin. XXXrx, P. 288. Uiglanders de» «nvironi , 289.

/>*/«• (Ile de l'arrliipcl de* Ami»), tton ginement. Ses luliitan» «ont re> doutables pour leur* Toiniui , t. X ,

St. 47. II* «ont antliropopbage* , 18. Leur induitrie, 40.

Ftlataht (habitaus du Ilouasa , Sou- dan). Couleur. Rcliginri , t. XXVII , P' 146. Combat. Victoire »i)r les Arabes et les Mandarieus , 159 et suiv. Musfeia , UiskulU , 160. Armes, 205. Ressemblance avec les Marocains, 540. Figure. Cos- tume, XXX, 88. Leurs progrèsdans l'Yarriba, 108 et suiv. —Jolie» femme» d'Acbu. Caractère, 115, 118. Lois concernant ceux du Bourgou , 145. Leur bistoire , 152. Description de leur capitale. Voy. Sackatou,

FttJrioh {yille du Tyrol), t. XLV, p. 406.

Ftilaht. Laboureurs égyptiens , maltraités par les Turcs, t. XXII,

C. 245, 269, 369. Sont eudurcis à fatigue, 370. Renlicrcbent la graisse des animiiux, 403.

F*l9upi (peuple de la Sénégambie). Leur commerce , t. XXV, p. 24. Religion. Esprit vindicatif, 34.

FtrhaSad (ville du Mazandéran , Perse). Autrefois résidence royule , t. XXXV, p. 352. Ruines du pa- lais de Scbah-Abbas , 353.

Fernambouc (ville du Brésil). Son origine, t. XXXVIII, p. 341. As-

5ect. Harre, Population. Climat, XI, 217. •— Tristesse de l'intérieur. Rues. Maisons, 218. Le fort. Le palais du gouverneur, 219. ■— Collège des Jésuites. Jolis environs. Produc- tions. Animaux, 220. Jeu. Envi- rons, 222.

Fernando'Noronha ( lie , cAte du Brésil). Découverte par Améric Ves- puce, t. IX, p. 155. Son gouver- neur portugais. Ses productions, XVI , 13. Était nu lieu de dé- portation du Brésil , XX , 67.

Ftmando-Po (tle , golfe de Guinée). Aspect, t. XXX, p. 481. Histo- rique. Etablissement anglais , 482. Huttes , caractère , formes , ornemens , vétemeni des naturels , 484 à 488.

Nourriture, Vin de palmier, 480. Kffft» du liarmnltani (veut) , 4',)0,

F*M (ville du Maroc), Situatiou. Moulin» à eau. Arc de triomitlic. Mui- Hoiis, Fabrique*, Marché», Moiqiices, t. XXIX, II. 4^1. Fortifii'iitiun» . 428.

Ftttan ( Étal de l'Afrique «pplnp- trionale ). Voynge dau» rinléri<-ur. Zouyiab , t. XXV, p. 428. Met» le

Iilu» recherché. Partie cultivée. Nom- tre do villes, 429. Climat. Pro- ductions. Commerce, 430. <>ou- verncnient. Population , 432. U»- billemcnt. Boissons. Maison». Nourri- ture, 434' Voyage dans le piiji, XXVII, 3 et suiv. , et 44ti nt siiiv. Sorkna, 5. Costume de femme» , ({.

Noces, 15. /.pglirem, 20. Tcs- souwa , 29. Voyage dans la vnllée deCrurby. Productions, 30 a 37. Karnik , ol. Germa, ruine» ro- maines, 31 , 32. Oratoires de carn- pagnc , 34. Vallée de Siiiati , 59 il suiv. - Ville neuve, 41 à 43. < Ver- recherchés pour la nourriture , 41. Traghan. Tapis, 55, 56. Beauté des nuits, 57. Gatrone, 57, 110.

Kasrowa , 59. Voy. Mowzouk , ca- pitale ; Teghery,

Ficanii (liorde cafro). Leurs incur- sions. Sont le» mémos que les Mau- tatis, t. XXIX, p. 138.

Fidallah (ville du Maroc), t. XXII, p. 144.

Fidgi ou fiti ( arcb. de la Polyné- sie). Naturels cannibales, industriels, t. XV, p. 182. Détail» sur quel- ques lies. Figure des naturels, XVIII, 299. Anthropophagie, Pirogues. Gouvernement, lleligion, Mariagc.s. État des femmes. Tatouage, 300. Usage» féroce». Ornemens, Monnaie. Vétemens, 302.

Finlande (prov, delà Russie). Bains de vapeur, t. XLV, p. 322. PcUo, 325. Aspect du pays , 324 . 32C.

Intérieur des maisons, 325. Turtola, 326. Tornéa, 327. Lacs, XLVI, 14. Arbres frui- tiers, 56.

FiNLAYSON. Son voyage du Ben- gale en Siam et en Cochinchioe , t. XXXI V , p. 1. Découverte tic graines dans le plantain , 92. Ar- rivée à Bankok, cap. du Siiim, 122.

DES M ATI KR ES.

365

Aiidioiice iriiD nnuixtre, ISf, 141.

ViRite à un piiuitit , 13((, 2(»7, 'ilO.

N«|{»riiitu)iM inr lu trérénioulHl , 130, \\1. L'ambuMiide liont il fait |Mrtleierpnd jirooeMioDnclleuieiit au piilni», 143, 147. Oi»«*oiirii Inliu d'un ualurel , 145. Aiidieiiru rnjrnie , 15:2 à 15i). Vuite du |ia- Uin, IfiO à 170' ^ l'ulitique tiaiuoi»«, 17U , 180 il 100. Autre aiubasaude liion mifux reçue que celle des An- ^Inii, 100,210. FinlayMinest mandé au pillai» pour un cas de clialéra- moruu», 21U. Nul grand digui- Uire ne Titiie l'ambassade, 215. Klle n'obtient pas mémo uae visite de congé, 210. Arrivée eu Dochin- rliine, 32U. Audience du vice-roi do Saigon , 344 et suiv. Combat de tigre et d'éli^phaus , 347. Rigueurs l'uutre l'ambassade qui se rend a ta capitule (Uué), 303, 364, 372. Visite au mandarin des élépbiins , 383 et suiv. 437. Objet de l'umhas- «ade , 386. L'audieuce est refusée, 388, 300. Les prcseus même sont rejetés, 402. Visite au Taruon, 424 à 434. Réglcmens commer- ciaux, 426 , 430-

Finmark ou Lapante nonr/gitm» (partie de la Norvège). Attraits pour lu voyageur, t. XLV, p. 2. Rapide végétation, 56. Extrêmes cba- leurs , 57. Bas prix des peaux d'hermine, 02. Ëdrodon , 103.

Est peu habité, 131 , 104. Les aubergistes, 132. Aspect de la c6to, 133. ~^ Monts Tronen, Lovun- nen, 134. '— Bois d'Amérique jeté sur la côte, 177. ~ Grande profon- deur de l'eau sur la cûte. Protection qiiR lui prêtent ses nombreuses Iles , 190, 101. Voyage le long de la cAte, 104. Iles Loppen, 104. Absence d'agriculture, 107, Ile Soroè, 108 Qualoë-Seyland, 100.

Bjornoc ,210. Roc Uav-Hosten , 211. Ile Uavoë , 211. •— Maasoè ,

212 Le cap Nord, 212 et suiv.

Manque de bois, 214, 215. Iles Steplien , 216. Tableau , résumé du pays en été et en hiver, 225. Limites , 226. Bateaux , 230. Le Lapon du Finmark est le type de la race ,235. Troupeaux de rennes, 24-3. Un hiver dans le pays, 247.

Voy. H'-mnur/esl . Pliospliorci- cence de la mer l'ulnire , '.248. Effet prodiiit sur l'horizon par le so- leil au-dessous. Aurores boréales, 260, 'i84 , 201. Golfe et district d'Al- ten , '262. l^lcureuils , 263. - Oiseaux, 270 Observations sai climat du nord , 271. Détails sur la vie intérieure des colons, 270 à 284.— Principale nourriture des bes- tiaux, 284. Nourriture princiiitiU des bestiaux, 285. Fin d'octobre , disparition du soleil , 280. Beauté de l'hiver du nord , 200. Voyage en traîneaux , 206 et suiv. Pa- roisse de Kouto-Keino. Son presby- tère. Son église ,310,311 Clergé, 312.— Campagne. Mousse des ren- nes, 315. Lacs nombreux, 315, 317. Voy. Laponi du Finmark,

Fischer. Son voyage en Espagne , t. XLVI,p. 170.

Flattery (cap , Nouvelle-Galles mé- ridionale). Nommé et décrit par Cook, t. VI, p. 340.

FltiH (Ile de la Norwége\ Monts gigantesques, t. XLV, p. 141. Dé- paiwsence des animaux en été , leur nourriture en hiver, 142. Sol, 143.

Édredon, 144.

FUinvor ( Ile de la Norwége ) , t. XLV, p. 143.

J''lor»noe (capitale de la Toscane) , t. XLVI,p. 265.

Florei (Ile , Açores). Découverte par les Portugais, t. IX, p. 157. XX, 445.

Floride (un des États-Unis). Décou- verte par Ponce de Léon, t. XXXVIII, p. 248. Émigrations et r^toursi périodiques , XXXIX , 283.

Foa (Ile , groupe Uapace , archipel des Amis), t. IX, p. 350

Folden ( golfe de lu Norwpge ) , t. XLV, p. 115, 158. Le fameux gouffre de Maelstrom , 160.

Foosht (Ile , mer Rouge). S(d. Ani- maux. Habitans. Village , t. XXIII , p. 154.

Formate (baie, colonie du cnp de Bonne - Espérance), t. XXIV, p. 88, 00.

Formate ( île , mer de Chine ) t. XIII, p. 396; XIX, 388.

Fouladou (royaume de Sénégarobie). Manna. Fruit du nitta , t. XXV ,

360

TABLE GÉNÉRALE

p. 3i6> —Mines d'or. Albioos, 321.

Tambakounda , 324. -^ Mala- colla Huttes, 329.

Foulahi (peuples , habitant la Sc- négarabie et les contrées voisines}. Figure. Mœurs. Industrie , t. XXII, p. 48. Commerce du Vintain , XXV, 24. Religion , 34. Figure. Mœurs, 35, 79. Caractère. Gou- vernemen:. Industrie, 81. Emploi du lait, 82. Travaux des femmes , XXIX, 375. Villages, 376. - Costumes. Ornemens , 377. Carac- tère. Vêtemens, 383. Usage du tabac. Bestiaux, 384.

Fouta-Djallun (pays de la Séné- gambie , iiabité par les Fonlahs ). Bornes. Gouvernement. Religion. Cos- tumes Caractère, t XXVUI.p 300, et XXIX, 382. Ville de Yani- Marou. Costumes. Mobilier, XXVIII , 302.

Fouta-Toro (pays de la Sénégambie, habité par les Foulahs. Description du pays. Bornes. Arbres. Animaux. Maturelsy Polygamie, tom. XXVllI, p. 438.

Français, Font la première décou- verte dans les terres Australes , t. 1 , p. 121. Leurs découvertes eu Afrique avant le xix* siècle ,XXÏI , 22. Leur expédition en Egypte. Voy. Egypte. Notice sur leurs établissemens dans l'Inde , XXXI , 457. Ambassade de Louis XIV à Siam , mieux reçue que celle d'Angle- terre, XXXIV, 219. Voy. FiirLAYsow.

Leur influence en Cochinchine anéantie, 398 et suiv.

Français (port des , Nonveau-Nor- folk, Amérique septentrionale). Re- connu et nommé par La Pérouse , t. XII, p 159, 160. Naturels, leurs poignards, 161. Nat'irels apprécient becuconp le fer, 162. Loutres de mer, 164. Naturels portés au vol, 165, 179, 191. Description du port, 167, 170, 183.

Malheur qui y arrive à La Pérouse, 171 et suiv. Pèches , 179, 204. Moraï on cimetière, 180. Piro- gues, 182, 205. Climat , végéta- tion, 185. Végétaux, fruits, pois- sons, quadrupèdes, oiseaux, rochers, 186. Grossièreté des naturels , leur inriiniition au jeu, 189, 206.

Leurs arts, 190, 204. Villages , saleté des maisons , meubles , nsten- siles, chiens, 193. Ornemens in- crustés , vêtemens , tatouage , 196.

Deux opinions sur la beauté des femmes, VOO. Description des na- turels, 201. Armes, 205. Lan- gue, 207. Figure des naturels, XIII, 176. Ornemens incrustés, 177. Observations générales , vie, formes physiques , mœurs , gouverne- ment, unions, traitement des femmes en couches, 179 à 188.

Françaises (îles , Australie près de la Nouvelle-Bretagne). Découvertes par d'Kntrecasteaux, tie Mérite, t. XV, p. 273,274.

France. Impression que reçoit le voyageur de ce pays, com]>arée à celle qu'il éprouve eu Angleterre , t. XLVI, p. 279.

Fronce (île de, ou fie Maurice , mer des Indes). Belles forges, t. IV, p. 391. Hahitans, XVIII, 57.- Langue française est répandue, (.or- veriiement, 58. Bel aspect k ville de Port-Louis, 422. Regret des Français, 423. Cascade, Bo- cages de la campagne, Monumens, 424.

FRANKLiir. Sa tombe à Philadel- phie, t. XXXIX, p. 220.

Franklin (le capitaine). Ses recher- ches du pôle Magnétique, t. XL, p. 183, Ses voyages aux côtes de la mer Polaire. Préliminaires, 475.— 2* voyage, 488. Arrivée au lac du Grand-Ours, 492. Arrivée à la mer Polaire , 494. Découverte du cap Bathurst , 495.

Franklin (cap , Amérique russe). Nommé par Beechey, t. XIX, p. 259.

Fransche-Hoeck (canton du cap de Bonne-Espérance). Sol. Productions, t. XXIV, p. 46. Séjour des des- cendans des réfugiés français , 239.

N'ont rien conservé de leur ori- gine, XXIX , 238. Description de la vallée , 239 et suiv.

Frayer. Son voyage dans le Kbo- rassan, Perse, t. XXXV, p. 1. Reçoit audience de l'iman de Mas- cate , 7. Passe à Ispahan , 48. Séjourne à Téhéran , 53, 91. Rend visite à l'ancien ambassadeur d'An- gleterre, 55. A un poète lauréat ,

DES MATIÈRES.

367

à Philadcl-

56. A un gonvernenr, 149. A un khan , 198 et suiv. Séjour a Mèrlied, capitale du Kkorassan , 207 à 275. Visite le tombeau d'Aa- roim-al-Rascbild (216) , 233.—; Rend visite au vizir, 235. A de célèbres dervich?» , 244 et suiv. Au prinre. Conversation sur l'astronomie, 248.

Les Moullabs se révoltent à cause de son séjour, 253, 258. Il feint d'être musulman , 254 , 267. Re- çoit la visite d'un meudiaut fort arro- gant, 268. Est forcé de renoncer au voyage de Bockliara, 272. Rend visite au vizir de Cotclioun-Soufisme, 285 à 296. Visite une tribu de Turcomaos, 310. Voyage sur les côtes de la mer Caspienne , 334. Visite un prince à Sari , 342. Vi- site sa fi'mmc comme médecin , 350.

Sa captivité. Mauv.iis traitemens qu'il endure, 309, 371, 386, 393 à 408. Son voyage aux munts Hima- laya , 421 . Arrive aux sources du Gaage , 493. S'y baigne , 494.

Freaericksburg f ville de la Virginie, États-Unis) , t. XXXIX, p. 271.

Freetown (capitale de la colonie de Serra-Leone, Sénégambie) , t. XXVI II, p. 376.

Fretwill (îles de , Australie). Dé- couvertes et décrites par Carteret, t. III, p. 164 et suiv.

Fremona (village du Tigré). Restes du couvent des Jésuites , t. XXI II , p. 231.

Frères (ile des, Australie). Décou- verte par Bligli , t. XKI , p. 330.

Freycinkt. Son voyage autour du monde, t. XVIII, p. 50- Aborde à Itio-Janeiro , 52. A l'Ile-de- France ,56- A l'ile Bourbon , à la Nouvelle-Hollande ,59. A Timor, 62. Aux îles Vagag , 75. Aux Carolines , 80. Aux Mariannes , 85.

Aux Sandwich , 88. Fait nau- frage, est receuilli par un navire, 107.

Frobishkr. Ses tentatives ponr trouver un passage au nord de l'A- mérique, t. XL, p. xiv.

Frobisher (détroit de , au nord du

Labrador). Découverte par Forbisber, t. XL , p. XV.

Froides (lies , on lits Marton , océan Antarctique). Découvertes par Ma- rion , t. IV, p. 404.

Fuca (entrée ou 'détroit entre l'Ile de Quadra et Vancouver, et le conti- nent d'Amérique). Exploration par Vancouver. Observations, t. XIV, p. 169 et suiv., 177 et suiv. , \k6.

Fugeloe (île de la Norwége) As- pect. Manière d'y prendre le piiffin , t. XLV, p. 192. Restes de baleine sur le sommet du roc , 193. Aigles marines. Loutres, 193, 194.

Fu-Koh-, Phu-Kuollt ou Pau-Kok (ile , golfe de Siam). Aspect. Végéta- tion, t. XXXIV, p 99, 104. Pro- ductions , 100 , 105. Pêcheurs chi- nois et cochinchinnois, 100, 102. Forme. Ftendue. Maisons, 104. Animaux, 105.

Fuliindushie (ville du Cotira , Sou- dan). Habitans vont tout nus. Leur saleté, t. XXVIlI,p.255.

Funda (royaume de la Guinée su- périeure), t XXX, p. 391. Des- cription de Damuggoo et de ses habi- tans , 401 à 413. Voy. ce nom. Continence des femmes, 419.

FuRiTEAUX (le capitaine;. Son vais- seau est séparé de celui de Cook par» lu tempête, t. VIII, p 102, 109; IX, 131 Relation du massacre de l'équipage de sa chaloupe par les Zélandais , 135 et suiv. Cook ap- prend des naturels des détails sur le massacre de ses compatriotes , 238 , 241 , 248

Furshout (ville de la Hante-Egypte), Situation. Couvent, t. XXIII , p. 89.

Futleh/jour (ville de l'Allahabad, Hindoustan). Mosquée. Tombes des environs. Grand caravenserai, tom. XXXVI, p. 171. Mendians fliara- bouts ,172.

Fui lehpour - Sieri (ville de l'Agra, Hind.). Aspect. Murailles. Ruines mu- sulmanes, t. XXXVI, p. 296.

Futwa (ville du Behar, Hindoustan). Beau pont. Ecoles de jurisprudence et de théologie, t. XXXVI, p. 120.

/

368

TABLE GÉNÉRALE

6

Gafats, Nation da l'Abyssinie , t. xxni,p. 331.

C<i<<iM (royaume de la Sénégambie). Bornes. Climat. Habitans, Gouverne» ment , t. XXV, p. 82. -- Joag , 84.— Voyage dans le pays , XXVIII , 353 à 868. •— Tuabo , 3Ô3 , 358. Assem- blée des cbefs, 360. —Plaine d'Oury, 355. Mauvais traitemens des es- claves, 363, 366. Voy. Hourejr, S*raec leti.

Gallapagoi (lies , mer du Sud, près del'Am. mérid.). Découvertes par les Espagnols, t. I, p. 372. Énormes tortues des Iles, 373;n,il6; XIV, 473. Ces Iles sont d'origine volca- nique, XVI, 50» 119. Aventures extraordinaires de Patrick Watkins,. 51 et suiv. -^Détails sur leurs tortues, 103. Leurs animaux , 112. Iles principales. Signification du nom, XX , 59. Éruption d'un volcan , 85. V. Iles Albermalt , Charlei , Cha- tam, James, Narborough , Porter, /Fanam, Yorek.

Galles méridionale ( Nouvelle-, par- tie est de la Nouv.-Hollande ), lon- gée, nommée et décrite par Cook. Noms donnés à plusieurs lieux, t. Vf, p. 201 à 372. Les naturels se pei- gnent le corps et. vont entièrement nus, 210, 212. Leurs lances, 215.

Animaux, arbres, 219, 374, 378.

Description de Botany-Bay , 229.

Fourmis vertes de Bustard-Bay , leurs nids, 245, 380. Crabes re- marquables, 251. Fourmis blan- ches , poissons singuliers , 256. Description du canal de la Soif, 259.

Des lies Cumberland, 265. Description de la baie Eudeavour, 332. Description du cap Flattery , 340. ' Cook prend possession de la terre, à qui il donne son nom de Nouvelle-Oalles méridionale, 368. Description particulière du pays,de ses productions et de ses liahitans, 372 et s.— ri Untes, 377. Oiseaux, reptiles, insectes , 379. Quatre espèces re- marquables de fourmis. Description de leurs habitations , 380 et suiv. Poissons, 584. Habitans peu nom-

breux, quelle peut en être la cause? 385,404. Leur description , 385 et suiv., et 4)4. Leurs ornemcnsdu nez et antres bijoux , 388. Sout très indifférens , 390. Leurs cabanes , 391. Leurs meubles, 393. Leur nourriture et leur cuisine, 394. Comment ils se procurent le feu, 396 et suiv. Leurs armes, et ma- nières de s'en servir, 398. Piro- fues, 401. ^ Courans de la c(^te, 06. Histoire de l'établissement des Anglais , de ses progrès , de son état actuel, XVIII, 219 et suiv. Religion des habitans. Tatouages, mutilations , 222. Habitations, ma- riages, état . des femmes, couches, 224. Éducation des enfans. Su- perstition. Funérailles , 226. Etat et usages des habitans blancs , 227 et suiv. État de la seconde généra- tion, 233. Naturels. Végéta tic^n , XXI, 333, 337 —-Lézards, XLIII, xj. Configuration et aspect delà côte, 3, 6, 25 Montagnes, 4,32,

40. Rivières, 4, 28, 33, 37, 40,

41. Division de la colonie par comté , 20. Description générale , 20, 40. Comté de Cumberland, 20 , 23 , 32, 45 , 83, 175 Comté d'Argile , 20 , 34, 45, 177 Comté de Bathurst,20, 39, 45, 176, 180.- Comté de Camden, 20, 22, 31, 45 Sol, 22, 23, 32, 77, 171 —Campagne, 26, 37, 38 Villages et petites villes, 27, 28, 30, 39. —Les kan- garous, 28 , 55 à 58 , 60 Plantes, 31,36,47. —Oiseaux, 31, 36, 47, 49, 50, 59 à 65 , 182. Vallée de Bavragovang, 31 Fertdes districts, 32, 37 Forêt d'Éden. Routes, 34 Forêts, arbres, 34,42,45, 46 Lacs , 35, 177 Erablisse- meut de la rivière Hunter, 37, 59. Baie de Moreton, 42. Salubrité du climat. Température. Saisons, 43, 44, 45, 48, 51. Bois résineux, bois incombustibles, 46. Fruits, 47. Ecureuils volans, 50, 59. Epo- ques des semences et des récoltes, 51. Animaux domestiques, 51 a 54. Vases à lait, beurre, 52,

ife

y- M

DES MATIÈRES.

369

Animaux sanT«ge>, 51. Hennr ' ToUni, 58. On», 59. AV 59. Émns, 61* PeiTo<|k? 62, 64. Ouean remarquable . «.<<>.

Poissons , 65. Reptiles. 66 i 7a

L'homme anx serpens , 68. >- In- sectes , 70 à 76. Fourmis de diver- ses couleurs, 73. ~- Ravages des chenilles, 75 1 Minéraux, char- bon, 76. "-* Roches , argiles, minerai magnétique, 77. BUnes, 78. Divers degrés de civilisation dans l'intArienr, 82. •— Caractère, m«enrs, etc., des Currtiiex , ou de la popula- tion née dans la colonie, 101 à 109, 1 17. Histoire de la colonie , 109.

Améliorations , 1 1 1 . Manufac- tures, 115, 117. Commerce. 114f 115, 117. Convicts. Honnêteté des marchands, 114> Nuances delà société, 117. Susceptibilité des condamnés, 118. Etiquette, 119. Etablissement d'éducation et d'uti- lité publique. Meubles de cèdre. Cos- tume, 120. Journaux, cabinets littéraires, 121. Courses de che- vsùx, 122. Abus de la colonie, 122 et suiv. >- De l'émigration. Me- sures à prendre par les colons, 124 à 131. Concesûons de terres, 125, 130. Disette de femmes, 162. Observations générales sur le gouver^ nement de la colonie , >164> Com- pagnie australienne, 166. >-* Bornes de la volonie 169->— Son état pros- père, 169. ~~ Sécheresses périodi-

Îues, 175 , 178. ffistorique des éconvertes faites dans l'intérieur, 175 à 178. Etablissement de Wel- lington-Valley, 181.— V. Auitralitnt, Botéi^-Bof, DarliHg, Endtatour, Jaekton, Livtrpool, NtmcatU, Para' éatta, Sidney, Winitor.

Galléi wiiridionaU ( Nouvelle-, Con- victs, déportés de la). Costume, chatne dans les rues de Sidney, t. XLin, p. 11. Etat des convicts domestiques, 131 Travaux de ceux atuchés aux fermes, 132 et suiv. Coureurs de bois, 132.—' Singuliers voyages vers la Chine et Timor , 13& Evasions, 137 et suiv. Détails sur l'embarquement et la vie à bord du vaisseau de transport des hommes, 140âà 155. Logement, vétemens, nourriture, 141. Lits. SurveiUans,

XL VI.

142. Impudence, 144, 145. Leur habileté, >leur fourberie, 146. •— Littérateurs. Théâtre, 147. Assises, 148. ConvicU irlandais, 149 et suiv. ~ Convicts anslais, 151. Punitions du bord, lo3. Fa- veur abuûve pour eux ^ 154. » Dé- barquement, marque y> 155. Dé< tails sur l'embarquement et la vie à bord des femmes déportées, 156- Logemens. Snrveillans, ISS.— Eti- quette. Amusemens, 157. ^ Sensi- bilité die certaines femmes. Ses causes, 159, 160. ^^ Sort des femmes après le débarquement. Mariages, 161.

GalUt (cap du Prince-de-, détroit de Behring, Amérique russe }. Nom- mé par Cook , t. XI, p. 53.— Son gi- sement, 54. Son aspect imposant. Villages. Montagne remarquable. As- pect du pays, XIX, 446.

Gallei (Me du Prince-de-, nne des Iles de la Société). Découverte par Carteret,t. III, p. 28.

Galles (archipel du Prince-de', cAte ouest de la Nouvelle-Bretagne, Amé- rique septentrionale). Exploré et nommé par Vancouver, tom. XIV. p. 451.

GallieU (royaume on province de l'empire d'Autriche), t. XLVI, p. 226. 236,239. '

GallipoU (ville du royaume de Na- pie») , t. XLVI, p. 197.

Galttz ( lies don José-de- , Poly- nésie ). Découvertes par Maurrell , t.Xin, p.257.

Gaka. (VasGO de). Part de Bélem pour chercher la route des Indes, 1. 1, p. 32. Découvre le cap de Bonne- Espérance, 33. '— Découvre et re- monte la rivière de Los Reyes. -.- Découvre Mosambique , 36- n— Mé- liniie , 58. Découvre les Indes, 41. •>-• Rentre en triomphe k Lisbonne , 62. Revient dans les Indes, il éta- blit plusieurs comptoirs , 73 et suiv.

Gamba. Son voyage au mont Cau- case, XLV, 409.

Gambarott (ancienne ville du Bour- nou, Soudan). Ses ruines, t. XXVII. p. 186.

Gambie ( fleuve de Sénégambie ). Poissons. Animaux amphibies , tom. XXV, p. 25. Quatre classes de na- turels sur ses bords, 33 Des éta-

24

370

TABLE 6ÊNÉHALE

i-jgLit<^."

bliMeuMns earop jens et de leur coin- meroe, 43.

6ambi»r (Iles, archipel Dangerenx), Déconcertes parWilsoD, t.XIII, p. 440, XIX, 97, 140. -- Radeaux, pagaies, 100, 115, 149. EntreToes avec les naturels, 101 , 105, 113 , 129. -^ Fi- gure , formes des insulaires, 108, 144, 146. —Élégant tatouage, 108, 147.

SaluUtions, 111. Nourriture, 1 15. Iles du groupe, 122, 140. Momies, 123. Vétemens, 133, 134.

TamlMars, 134. Origine des (les, 141. Sol. Production, 143. Na- turels; mœurs, traits, taille, 144. Population, 148, 198.— Pèches, 149. Yoy. Iles Btleher «( Peard.

Ôamblx. Labsé par Porter àNouka- Hira , t. XVI, 355. Ses aTenlures, 371. Est abandonné sur un petit ▼aisseau par son équipage réroité , 378.— .Est fait prisonnier par les An- glais, 385.— Recouvre sa liberté, 403.

Gan- King-Fou (ville de la Chine). Environs. Rue. Enorme dragon , t. XXXm. p. 405.

Gang* (fleuve de l'Hindoustam). Son confluent avec la I>jemma. Marque de ceu^qui se sont purifiés dans ses eaux, t. XXXI, p. 75. —Sa sonne, XXXV, 493.— Singulier esquif , XXXVI, 69.

Voyage sur ses eaux jusqu'à Di- napour, 400 et suiv. Voy. Hougly.

Gangotri (village de l'Himalaya). Source du Gange. Temple, t. XXXV, p. 492, 493. Ablutions, 494. Élévation du village, XXXVI, 463.— Singulières cérémonies des Hindous à la source, 464.

Gurtt-Dtnit (Ile, Australie). Figure, moBurs, usages, vie des naturels, t. I, p. 441 et suiv. -

Gtiritp (rivière du pays des Boscbi- mans et des Coranas). Afflue^s, t. XXVI, p. 176, 226. Beauté du principal confluent, XXIX, 31. Voyage le long de ses bords, 179 çt suiv. x— Animaux, 182. Cataracte, 185 Difficulté de l'irrigation, 190.

Manière de traverser la rivière, 190. Commerce à l'embouchure devenu impossible, 218.

fioni'MWM (ville de l'Engarski, Gui- née). Remarque importante sur le Niger, t. XXX, p. 225.

Guttet oeeidvntales (monts de l'Hin-

donstan ). Belle roote de traverse ; . t. XXXVI , p. 418. Belles vues ; superbes forêts, 419. Villages, 419.

Montagnaru autrefois inbospits- liers, lenrs formes, 420. Caverne- temple, 421. Palmiers remarqua- bles, 427.

GatroM (ville du Fezzan), t. XXVII, p. 57. 446.

Gaudtoi ( babitans des Pampas , Amérique méridionale), t. XLI, p. 287.

Origine, 291. Caractère, 291,

298. 300. Vie, 291, 295 «t suiv.,

299. - Huttes, 291, 293. Parc à bestiaux, 292. Hospitalité, 294,

300. Intérieur des buttes , ustensi- les , etc., 293, 295. Éducation, 296 et suiv. Condition des femmes, 300.

Religion , 301, 303. Funéraille», mariages , 304. Approvisionnent les marchés des villes , 306, 330. Leurs attitudes à cheval , 307, 322. Craignent et haïssent les Indiens, 323, 337, 358.

6<u<//« ^/«M.Sa description, t.XXlV, p. 61. . >

£««z& (village d'Abyssinie). Sources du Nil ; campagne , t.- XXIII, p. 424, 429. Maisons, 451. Sacrifices au Nil ; vénération dont il est l'objet , 451 et suiv.

Geffle ( port de la Suède), t. XLV, p. 333.

Gènes (ville de la Ligurie , royaume de Sardaigne), t. XLVI, p. 266-

Genève (ville du New-York , ^États- Uni»), t. XXXIX, p. 56.

GnurrROY. Son voyage en Séné- gambie.t. XXII,p. 78.

George (lies du Roi-, arcbijjiel des îles Basses). Découvertes et décrites par Byron, t. III , p. 15; VIII, 222.

George (détroit du 'Roi-, Nouvelle- Hollande). Naturels , armes , ustensi- les, t. XXI, p. 418, 419. Vête- ment, figure, ornemens, 422.

George (port du Roi-, terrede Nuyts, Nouvelle - Hollande ). Découvert et nommé par Vancouver, t. XIV, p. 21.

État , aspect de la cùte, XVIII , 19, 20. Naturels; vétemens, omemeus, incisions, 22, 36. Conservation du feu, armes, huttes, 24. Campe- ment, nourriture, chiens, 26, 28. Usages curieux imposés par la disette, 30. Occupations des femmes. Po-

^^-

'•^\

DES MATIÈRES.

371

lygamie. Manières de' se marier, 82.

Couches faciles. L'un des deux idéaux est mis à mort , 85. Dan- ses. Médecins. Charlatans , 86. Sa- lutations. Combats singuliers, 38. Combats généraux, 40. ~ Funérailles. Idées religieuses. Idiome, 42. Fi-

Snre, nourriture, vêtement, cabane es naturels, 216.

George ( entrée du Roii, ou de Nootka, lie de Quadra et Vancou- ver ). Sa description. Ses produc- tions , etc. Mœurs , usages , formes , industrie, etc., des naturels, t. X, p. 3']6 à 424; XIII , 353 à 375. Pour les détails , voyez tle de Quadra et Vancouver,

Géorgie (un des États-Unis). Vente d'esclaves, t. XXXIX, p. 320. Sa- vannah. Environs. Arbres des rues , 321, 822. Campagne, 322 et suiv., 340. Fleuve Alatamaha , 324.

Villages, 324, 332. Iles de la câte , 325. Culture et préparation du coton, 326. Taches dps esclaves, 329-— Leur nourriture, 330. Leurs vétemens, 331. Voyage dans l'in- térieur, 331 et suiv. Reptiles, 3S2.

Maisous dans <les forêts, 338. Maçon, nouvellement fondée, 340.

Aspect d'une ville nouvelle, 341.— Loteries de terres, 342. Embryon d'one ville dans la forêt, 345.

Géorgie (province de la Russie d'A- sie). Voyage dans le pays. Fleuve Kour qui a donné son nom à Cyrus, t. XXXI. Maisons, 194. Roseaux panachés , XLIV, 398. Soumise par les Arabes , dominée au- jourd'hui par les Russes , XLV, 413. Voy. Tijlis, capitale.

Géorgie australe ( ile de la , océan Atlantique). Découverte par un Fran- çais, t. XX, p. 34; XXI, 231 Nom- mée par Cook, IX, 104. est inbabi- tflble, 105.— Productions Commerce des phoques, XXI, 230, 232. <— Ani- maux, 233 et suiv.

Géorgie ( lie de , mer de Behring ). Combats des Udns de mer, t. XVII p. 216.

Géorgie ( golfe de la , Nouvelle- Géoreie ). Nommée par Vancouver. t.XI^,p.248.

Géorgie (Nouvelle-, pays de la Nou-

velle-Bretagne, Amérique). Reconane, décrite et nommée par Vancouver, t. XIV^. 226 à 248. - Beauté du' pays, "in. Villages, huttes, natu- rels, 230, 237. Fables débitées sur la barbarie des insulaires, 237. Pointe Reittauration, 242. Anse de Penn et ses alentour j , 245. Entrée de l'Amirauté. Prise de possession du pays , 247. Golfe de la Nouvelle- Géorgie. Rade de Possession. Port (rardner, port Susau, 248. Voy. dé- troit de la Reine-Charlotte et détroit de Fuea,

Géorgie septentrionale (archipel des régions arctiques). Découvert et ex- ploré par Parry, t. XL, p. 275 à 296.

Géorgiens. Leurbeau sang, t. XXXI, p. 191. Caractère, 192 Cos- tume , usages , noblesse ,' religion 194. Costume, XLIV, 399. - Pays

Îu'ils habitent. Stature , traits , XLV, 42. Occupations du peuple. Fem- mes réellement belles , 443. -^ Traits féné^ux de mœurs et d'usages, 444 à 51 . Voy. Caucase.

Géorgievsk ( ville du Caucase , Rus- sie d'Europe, t. XLIV, p. 445.

Geosa (ville du Zamfra , Soudan ), t. XXVII, p. 396

Germa ( ville du Fezzan ) Ruines romaines, t. XXVII , p. 31. Nou- velle ville , 32.

Gkazeipour ( ville de l'Allahabad , Hindoustan ). Aspect. Ruines. Palais arabe, t. XXXVI, p. 130. -^ Climat salubre. Environs. Eau de rose. Pro- ductions des environs, 132. Snttey des veuves. Suicides, 134. ^Carac- tère, fanatisme , langue des habitans , 136.

Ghejrssiqvêis{'ç&iiA.e au nord du cap de Bonne-Espérance). Physionomie, idiome, vétemens, ornemens, etc., t. XXIV, p. 442. Femmes belles et retenues , 444. Scmi- castration , 445.

Ghilan (province de la' Perse). Voyage dans le pays, t. XXXV. p. 3^.

Lahadjan. Bazars, 363. —Villes di- verses, 366. Port d'Enzellé, 368.

Violation de le propriété, 410. Voy. Recht, capitale.

Ghirza (ville de Tripoli). Édifices peut-être romains, t. XXVII, p. 451 . Ghisni ou Ghusni (<rille du Caboul ,

872

TABLE GÉNÉRALE

Asie ). Pranes rencimmin, t. XXXVII, p. 102. Autrefoia capitale , 1 li.

Ghorian ( Tille et district dn Klio- rassan. Perse). Fort remarquable, t.XXXV, p. 418.

Ghraat (capitale des Tuaricks, SaLara). Costumes, t. XXYII, p. 49.

Belle source , «51 *— Environs. Mai- sons. Cimetière, 52.— Langue, 64.

Gibraltar (ville d'Espagne). Enorme Tooher du détroit, t. XVIII, p. 51.

Sss fortifications, 210. Signifia cation de son nom, XXIII, 156.

Giequtl ( lie près de la Nonvelle- Bretagné). Découverte par d'Entre- casteaux, t. XV, p. 275.

Gilhtrt ( archipel , lies Mulgrave ). Sa découverte. Iles qui le compo- sent, t. XVIII , p. 167.

GilUtkaat (lie de la T^orwége). Monts gigantesques, t. XLV, p. 140.

Animaux. Depérissance des trou- peaux en été , leur nourriture en hi- ver, 142.— Édredon , 144.

Girqf* tuée par Levaillant Sa des- cription , t. XXIV, p. 325. tieux que ces animaux fréquentent en Afri- que, 440.

Gtr^^ (ville de la Hante-Egypte). Est la DioipolU parra^X. XXIII, p. 87.

Girkv/a .( ville du Kano , Soudan ). Danses de l'Aid, t. XXYII , p. 432.

Giotn ( lie de la Norwége ) , t. XLV, p. 114.

Giurgero (ville de la Valachie , Tur- quie d'Europe), t. XLIV, p. 72-

Glaeé ( cap , Amer, russe ) , nommé parCook, t XI, p. 66.

Gitnadendal ( vallée du cap de Bonne-Espérance ). Etablissement des missionnaires, t. XXVI , p. 52. As- pect , 55. ^ Eglise , 56. Maisons, manufactures, 57 « 62. Popula- tion , 59. Mœurs et usages des na- turels, 59 , 62. Huttes, 60.

Gl9m*n (rivière du Sonderfields,

Norwége ) , t. XLV, P. 42, 45 , 47.— Flottage cie sapins , 49.

GlouettUr (Iles dn Ouo-de-, arrb. Dangereux), découvertes par Carte- ret, t. III, p. 109.

Gbieticf ( ville dn gouvernement de Tcbemigov , Russie d'Europe ) , tom. XLIV, p. 370.

Gmelik. Son voyage en Sibérie, t. XXXI, p. 243.

Gom (Ile et ville de Bedjaponr, Hindoustan). Situation, climat, ter- roir, histoire, prise par Albuqnerque, t I, p. 103. Beau port, XXXI, 81. I

Goddah (ville de la Mongolie, Tar- tarie chinoise). Beaux édifices, fon- taines, beaux environs, t. XXXI, p. 59.

Gojam ( province de l'Abyssinie ). Etendue Sol. Troupeaux Popula- tion, t. XXIII, p. 329

GoLBERT. Son voyage an Séné- gal , t. XXII , p. 68.

Gommier. Plante remarquable des lies Malouines, sa description , t. lY,

P 63.

.Goitaguûi* ( tribu botentotte). Le.i femmes se graissent et se poudrent le corps, t. XXIV , p. 129, 149, 15tf. —Episode de Narina et de Levaillant. Mœurs de la peuplade, 131 et sniv. —Figure Salut8,142, 187.-Habille- meus, ornemens, 142, 158, 167.-- Soins pour les vieillards , 150. tr Retenue des femmes, 155, 166, 186.

Huttes, 156. Soins des mères, 160. Mariages , couches, 162. Armes, 169. Animaux domesti- ques, 173 et suiv.— Légumes, fruits, 177. Funérailles, 179 —Danses, musique, 182. N'existent plus au- jourd'hui , XXIX , 5.

6oR(/<ir (province d'Abyssinie). Mont Laraalmon,t XXIII, p. 279. Cli- mat, 280. Péages, 281. Plai- nes et sources au sommet, 282. Voyage dans le pays , 283 et suiv.

Langue, mœurs des habitaus dn Lamalmon, 284. Emfras, 388.

Joli village d'Azazzo ,392. Ri- vière, 393. Première église catho- lique, 394 Pays de Gorgora, 394, 397.

Gondar ( capitale du Gondar et de l'ibyssinie). Aspect, t. XXIII, 289.

Fonctions de l'acab saat , 298. Entrée triomphale du roi, 305. Audience accordée à Bruce, 309, 313.

Situation. Maisons. Palais, 383. Bouffons , 464. Marchés , 465. Palais de la reine , 468.

GoNNEViLEE, Français. Découvre des terres au-delà du cap de Bonne- Espérance en 1503, t. 1,122.

GoRS. Prend le commandement du

DES MATIÈRES.

873

▼aiiiean de Clerk, qui remplaçait Cook , t. XI , p. 383. Longe la c6te du Japon . 4Sd. Découvre TUe de Soufre, 463.

GoM* ( fie voisine dn cap Vert, Sé- néffA ) , colonie française. Sol. Popu» lation, t XVIH , 420.

Gorgone Description de ce zoo- phyte,t.XLV,p. 189.

Gorgon» (lie, côte de Colombie^, nommée par Pizarre. Obscurité ne ses baies. Ses montagnes. Son climat t. XXXVin,p.321.

Gorgora ( pays du Gondar. Abyssi- nie ). Première église catholique. Cli- mat, t. XXIII, 394, 397.

Gonitki ( ville du gouvernement de Moscou, Russie d'Europe). Célèbre jardin botanique, t. XLIV, p 470.

Goroehoretx ( ville dn Wladimir, Russie d'Europe ) , t. XLIV , p. 470.

Gotha (la). Rivière de la Suède ) t. XLV, p. 8. .

Gothembourg (ville de la Gotbie, Suède). Sa ^scription, t. XLV, p 4 et suiv. Environs, 7.

Gothit (partie de la Suède). Voyage dans l'intérieur, t. XLV, p. 4 et suiv. Gothembourg , 4. Cam- pagne, 7, 9. Villages. Forêts de pins, 7 La Gotha , 8. Chute de Trolhatta. Lidkoping. Lac Wener, 9. '— Effroyable quantité de loups ,11. Helsingborg, XLVl , 288. Joen- koeping. Linkoeping, 289. Nor- koeping,291.

Goubtr (province dn Haonssa, Son- dan). Kalawawa, capitale, t. XXVII, p. 404; XXVIII , 222 et suiv. —Ma. geria,227. 228.

Gough, Voy Diego Alvaret

Gamnahbad (ville et district dn Kho- rassan, Perse). Importance. Popula- tion, t. XXXV, p. 96, 416.

Gounds (caste de l'Hindonstan). Mœurs. Occupations. Caractère , t. XXXVI, p. 411.

Gour (ville du Bengale). Son anti- que splendeur. Ses vastes ruines , t. XXXVI, p. 98.

Goutto (pays d'Abyssinie). Langue. Bétail Miel. Campagne, t. XXIII, p. 400, 409

GoMer (tle, Australie). Découverte gar Carteret, t. III, p 136. Piro- ues construites avec art, 138.

6nb^lI«/iM((viUage du Saeewberg, colonie dn cap de Bonne-Espérance). FertUité dn sol, t. XXVI, p. 845. Rues, tiglise^ 346. Productions dn •ol,348.

Gncia (lia de , mer des Antilles). Découverte par Colomb, t. XXXVIII, p. 177.

Graeicta (Ile , Açores). Découverte par les Portugais, t 17^ , p. 157. * Population, productions, l59; XX , 444.

Graham (ville de la colonie du cap de. Bonne-Espérance). État. Popula- tion. Arbres. Situation, t. XXIX, p. 247. ^ Famille de fermier, 249.

Chariots. Objets de eommerce avec les naturels des frontières , 250. Animaux divers. Chasse aux élé- phans , 254. Déprédations dea trilms frontières , 256

GraMpiUe (lie , Polynésie). Décou- verte par Edwards , t. XIII , p. 427.

Grantlejr (port, Amérique rus&e). Découvert par Beechey. Sa descrip- tion. Naturels : leurs armes, leurs huttes , t XIX , p. 449 et suiv.

Gray (port de. Nouvelle- Albion , Amérique septentrionale). Rivage , productions , naturels , pirogues , ar^ mes, t. XIV, p. 376, 378.

Gray et DocHARD. Leur voyage dans l'Afrique occidentale, t. XXVIII, p. 285.

Grebatof (v'ûle du Wladimir, Russie d'Europe), t. XLIV, p. 469.

Griee. Montagnes, t XLIV, p. 290, 322. Murailles de Tiryntho. Lac de Lerne , 295. Nouvelles mon- naies de même dénomination que les anciennes. Manière de voyager, 296. Raines et bois sacré d'Hiéron , 297. Ruines d'Epidanre , 304 Miel du mont Hymette Eleusis , 31 1 .

Mégare, 312. Élémens de pros- périté , 314. Campagne , 315 , 316, ol8. Vortizza. Fameux raisins. Pla- tane immense, 316 et suiv. Le Parnasse, 322. 325. Voyage de Ponqueville, XLVI , 206. Navarin, 207. •— Thcbes, Sparte, Spezzia, 213.

Hydra, 214. L'illissus, 215. Voy. Athénttj Corintho , Napoli >

capitale ; Patrat,

Grées ûHcient. Leur premières navi- gations, t. I, p. 3. But réel de

>^ V

374 .

TABLE GÉNÉRALE

l'expédition des Argonantm, tUd.

Grtes mmdtrMt. Leur caractère t. XLIV, p 293. Lenrs cafés , 520.

Leurs mariages , 322 et suiT. Mœurs guerrières des Malnotes XLVI, 208, 210 et sniv.

GrtKodi (-Tille et prorince d'Es» pagae). État florissant de l'ancien royaume Maure , t. XLVI , p. 166 et suiv. L'Alhambra , 167. Salu- brité du climat. Agrémens de la rille , 168. Antequerro , Malaga , 109.

Grtnadt (Nouvelle-, province de la Colombie ). Surface. Population , t. XXXVIII, p. S80.~ Productions, 807 et snÏT. Nombres des divers babitans, XLII, 402.

Griqua (ville et tribu de Betcboua- nas), t. XXIX, p. 37. - Agréable situation , 59. Climat, 40. ~ Qri-

Îine, progrès, état actuel desGriquas, 1. Conseil de guerre , 46. Ba- taille contre les Mantatis qui sont vaincus, 101 à 112, 136. Allian- ces avec les Coranas, \97.

Grijalva. Découvre nie Saint-Tho- mas dans la mer du Snd, 1. 1, p. 164.

Grodno (gouvernement de la Russie d'Europe). Voyage dans l'intérieur, Bielsk, Bialistok, t. XLVI, p. 139. Juifs, 140.

Groiwo (cbef-lien du gonvern.). Sa description. Le deuxième partage de la Pologne y fut signé, t. XLVI, p. 139.

Groenland (grand pays de l'Amé- rique septentrionale). Sa dteowerte. SignifioatioH de ton nom, t. Y, p. 10.

Saisons et lelTrs phénomènes, XL, ij et suiv. Température, vj. Côte de Londres, Hope Sanderson , lie des Femmes, nommée par Davis , xvij , 256. Verte campagne. Signi- fication du nom dn pays , 34. Mai- sons , 56. Caractère du Groënlan- dais. Productions , 38. Lits des ra- vines, 257. Animaux, 259. Voy Etquimaux, Holsteinbtrg.

Groningue (Ile de , archipel des grandes Cyclades). Découverte par Rogewin , t. II , p. 65; IV, 278.

Groot-Barg (rivière de, colonie du cap de Bonne-Espérance). Bac. Péage, t. XXVI, p. 106.

Gratta ( tle du golfe Adriatique) , t. XLIV, p. 331.

Groupes (Iles, archipel Dangereux). Découvertes par Cook. Description de» babitans, tV, p. 00, 93:

Grurby (vallée dn Fessan). Voyage dans la vallée, t. XXVII , p. 30 a 57.

Guat/a (ville de l'Yaouri , Guinée). Le Niger. Canots, t. XXX, p. 216.

Guadtloup* {\\t , Petites Antilles), Découverte par Colomb, t. XXXVIII, p. 164. Amaaones. Productions , 165. Aspect, XLI, 275. Pro- menade de la capitale , la Soufrière , 276.

Guanaqut. Description de ce qua- drupède, t. III, p. 241.

Guaiyook (bourg de l'Abyssinie). Bosquets, gibier, t. XXIII , p. 473.

Guarda (lac du Tyrol), t. XLV, p. 599, 400.

Guari (ville et province du Zeg- Zeg , Soudan). Ancienne et nouvelle ville. Situation , t. XXVIII , p. 204, :i05, 268.

Guateo (ville du Cbil'). Mines. Sol,t. XLI,p. 406. t

Guatimala (république de l'Améri- que septentrionale). Surface. Popu- lation, t. XXXVIII, p. 589 et suiv.

Compagnie pour la section de l'isthme do Nicaragua, 406. Cam- pèche, XLI, 5, 167. Indigo re- nommé, 108 Montagnes, 411.

Borues. Montagnes, XLII, 449.

Rivières , productions , 450 , 457. •— Habitans et leur nombre. Milices, 451. Population des principales villes, 452. Pouvoir législatif, 455. Caractère, \ie, usages, etc.; des Indiens valientes, 4ô6. - Récolte de la vanille aroma- tique. Projet de réunion entre les deux mers , 458.

Gualimala (capitale de la républ;- que). Histoire. Nooibreuses vicissi- tudes, t. XLII, p. 452, 453. Cli- mat. Maisons. Grande place. Église. Amphiihéâtre. Université, etc., 454-

Population. Chambre dn Sénat. Progrès de l'instruction publique , 455.

GnATiMOZiiT (empereur du Mexi- que ), Fait prisonnier par Cortcz, t. XXXVIII, p. 315.— Est mis à la tor- ture. Sa fiu tragique , 316.

Guaraquil (ville de la Colombie) , t. XLn,p. 431.

DES MATIERES.

m

G»fuim(ne, Marianne*). Décrite par Dampier. Prodnctioni,niaiioni, cha* loupes des habitans, t. I , p. 560 et suiv. Sa description par Roggers , M , 23. Description de la ville d'Agana, X\UI, 237, 246. Des- cription dn Tillage et des maisons de Massa, 288. •— Détails sur les rela- tion* de l'Ile arec les Carolines, 241 et SUIT. Aspect de la cùte orien- tale. Sol , 467. Productions , ani- mans, XVIII, 86.

Gmittiu (pays d'Amérique méridio- nale). Origine des établissemens fran- çais et hollandais , t. XXXVIII , p. 844.

Gt^yaiu tmglait». Voyage dans l'in- térieur et dans les déserts de l'ouest , t. XLI , p. 173. Poison mourait, ses singulières propriétés, etc. Voy. e* nom. —"Plantations, 174. Beauté dos arbres , grosseur de qnelqnes es

Îèces, etc., 174, 176, 193, 194, 98. Arbres croissant sur d'autres arbres , 178. -—Fertilité du sol , 179.

- Quadrupèdes , 179, m, 205, 281 . •— heparotteu*, 180. Magnifiques oiseaux, 181. 197, 196, 201, 203, 231 et suiv., 234. •— Vampires, 163, 237. Reptiles , 183, 186 , 250 , 241 et suiv., 256, 284. Poissons, 185, 198. Climat , 185. Insectes, 185 , 203 , 231,^40. Pays de Ma- cousbie, 198. Voy. ee nom. Gomme élastique, 198 Position de l'Eldo- rado , 200 , 202 , 204. Savannes , 201. Grandes fourmilières, 203.

Habitudes, nourriture, etc. , de l'oiseau - mouche , 231 et suiv. Grosses fonrmies rouges , 240. Chasse au serpent, 251 à 258. Chasse au caïman , 260 à 265.

Voy, Demerary, rivière ; Essequibo , ririère ; MacousIUs , Indiens; Stabroek,

Guiane française. Le coq de ro- cher, t. XLI , p. 228. Grosse four- mi rouge. Autres insectes , 240. Reptiles, 241 et suiv. Voy. Cayenne.

Guiane hollandaise. Voyage dans le pays. Paramaribo. Nouvelle-Amster- dam , t. XLI, p. 228 et suiv.

Guiantt (Indiens des). Meurtre de l'un des jumeaux , t. XXXVIII , ]>. 379. Veuvages abortifs , 381 . /eux , danses , XLI , 176. Cos-

tume, ornemens. 188, S46. Ta- touage , 188 , 246. Demenres , 187, 189, 192.196.202, 265. Tribus principales. Huttes. Meubles. Occnpanons, 244. Liqnenr ter- mentée, 245. Maladies, 246. Religion , 247. Caractère , 2^. Mo«fe de communication , 249. Amour de l'indépendance , 250, Voy. Mieouihit.

Guillaumt (entrée du Prince-, Amé- rique msse). Exphirée et nommée par Cook, t. X , p. 439 à 452, et XI, 1 et suiv.— Entrevues avec les naAirels,X, 440, 442,448, 449. - Costumes, ornemens, 440, 443. Chants, 440.

Pirogues, 441, 443. Passion des naturels pour les grains de verre et le fer, 444. Ils essaient de piller le vaisseau de Cook , 445 , 446. Baie du Réduit fermée, 448. Rai- sons de croire que l'entrée ne donne pas an passage an nord , 450. Ile MonUgn. Iles Vertes, 451, 452. Étendue de l'entrée , XI, 1. Figure des naturels , 2. -~ Leur yétemens , 3. •— ' Ornemens suspendus et in- crustés , 5, 7. Lèvre inférieure fendue , 6. Coloriage Je la fignrej 7. Canots , 8. Armes , instrn- mens de péclie et de chasse , 9. -^ Meubles , 10. Outils, il. Nour- riture , cuisine , 12. Idiome , 13.

Animaux , 14. ~^ Belles Â>ur- rures , 15. Oiseaux , 16. Pois- sons , métaux abondans , 17. ~ Vé- gétaux, 18. Reconnaissance des eûtes. Entremes avec les naturels , XIII, 292 et suiv. Formes physi- ques , 337, 339. Vie nomade. Gouvernement , 337. Cheveux. Ornement des lèvres et du nez Barbe, 538. Costumes. Productions du pays , 339. Animaux. Amour des naturels pour le ter et le verre. Nour- riture. Cuisine , 340. Sont d'une race sauvage et endurante, 341.

Guillaume-Henri (lie du Prince-, Polynésie). Découverte par Wallis , t. III, p. 303.

Guinée. Découverte par les Portu- gais , t. I , p. 11. Visite à réta- blissement des nègres délivrés k Sierra- Léone,et observations sur l'abolition de l'esclavage , XXVIII , 875 et suiv^ —Traitement des esclaves, XXX, 278.

37G

TABLE GÉNÉRALE

V07, In proriaoei JÊehmti , Âl- q»»mi , B»HiM, Calaèmr, C4l» d*» Mi- »lt»*tt Etoi, Mngankif FmH, FwUm, Ymrrtbm, l'tU Ftriuado-Po.

Giibtét (NoareUe<,ou terra des Pa- poDi, Auitnlie). Déoourtrte par l'Et- pagnol Saaredra , 1. 1 , p. 162. la- «uuire* noiri , et i dnquante lieues blaoci , tbid. Comment ils conter- vent le gibier, 430. Animaux de l'Ile. Figure , ornemens , pèches des Papous , 433 et suir. Font usage d'un feu semblable à celui de la poudre>à canon, YI , 413, 415. hahitans de l'intérieur et des cAtes , XVIII , 182. Description de trois races d'habitans , 812. ' Jalousie maritale , 513. Industrie. Nouri- ture. Musique. Maurs , 314. His- toire de la reconnaissance , XX , 883.

Baie Astrolabe. Naturels. Armes.

Canots , 880 Oiseaux de paradis.

Beauté du pays. Bois précieux , 888.

Productions, animaux , XLIII, ix.

Religion , figure , les Pr>pons , les Endamènes, xx. Voy. bavre JOer^, baie Aitroîabt.

GudbnuuJal. Belle et ricbe Tallée de la Norvège, t. XL7, p. 66.— Aspect des chaumières, population et cul- ture, 61.

Gmhmo (Ile du Niger), t. XXX, p. 85r— Etendue de i'Ue. Caractère des babltans, 854.

GunjM (Tille du BrésU), t.XLII,

p. 6a ^

G«rJUal(Et«t de TBindoustan ). Capitale. Théâtre prbcipal de Is my- thologie liindoae, t. XXXV, p. 478, 479 et suir.

CuMtrêt» (proT. derHindoustan\ Voyage dans l'intérieur, t. XXXI, p. 66. Autre Toyage. XXXVI, 361. —Animaux , 861, 896. Jhalloda , 862.— fiarreah , 865. —Arbres , 861, 866 , 377, 891 , 897. Charretiers, 862.— ViUsges, 868, 868, 877, 891, 892 , 896. Campagne , 364 , 877 , 390, 897. —Ville et État de Baroda, 869 à 376 Soldats, 865, 869 et suir. Provisions de foin, 87/.— Cos- tume, figures, etc., des Kbolis, 879 et suiv. Divers habitans , 880. Fertilité. Tabac. Sucre, 884.— Cli- mat désastreux, 886, 394.— Animaux venimeux, 388. --• Pierres précieu- ses, 889.'~>Rareté des palmiers et des bambous, 891.-^ Chefs de village, 891. Vaste caravanserai de Kun- Chowley,896. Voy. Barook*, Bhtili, Diu, OUtpour, KauÎJif Kholit, P»tU, Pittamt, Surat*.

H

naatm» ( Qe du groupe Hapaee , ar- chipel des Amis }, IX , 350.

OaarouK-at'BMehild, Description de son tombeau, t. XXXV, p. 217 et snir., 233.

HaiHOH ( Ile de la mer de Chine). Étendue, t. XVIII , p. 447. Forêts. Habitans. Productions , 448.

Haïti on NitpanMa ( Ue , Grandes Antilles ) , découverte par Colomb., t. XXXVIII ^p. 106.— Naturels. Caci^

2 ne , 108. Slasque d'or donné à olomb , 109. Echanges avec les matelots , 112. ' Colonie espagnole, 115. Sa ruine , 138.— Fondation delà ville /faM/«» 138, 144. Pro- vince Cibao, 142. Mines, 143, 163, 200. Fondation du fort Saint-Thomas, 143. Ruse par la- quelle Colomb se rend maître d'un

cacique ennemi de la colonie, 152.

Défaite de l'armée indienne, 155.

Tributs exigés, 156. Fondation de Saint-Domingue, 172. Bava- dilla remplace Colomb dans le gou- vernement, 181. Impût sur les mineurs , 200» Ovando remplace Bovadilla, 499. Perfidie d'Ovando contre les Indiens , 208. Dépopu- lation, 246. Atroces procédés à l'égard des Indiens, 255. Popu- lation, 409.

Halai ( village du mont Taranta , Abyssinie). Figure des habitans. Bé- tail, t. XXIII, p. 208.

Httifaia (ville du Sennaar, Nubie). Aspect. Étendue. Manufacture, tum. XXIII, p. 491.

Aa/f a«(tle, groupe Loyalty). Nom- mée par d'Urville, t. XVIII , p. 304.

DES MATIÈRES.

377

Hêlt (fUl« U BitUn^. Fanmiei mliiM Ml, t. XLY.p. 875 à 880.— Intérieur flo U tIH*. Manafaotura,876.

Hall. Son voyage de découverte à la côte occidentale de la Corée, t. XXIf p 1 . Vitite un oiief coréen , 14 et tuiT., as f 89. Arrive à Tlle Loo-Clioo, 59. Reçoit d'nn haut chef une vitite qu'il (ni rend, 87, 93 et suir, , 167. Fait un prome- nade Ji terre, 109, 121. 132, 162. Décourre et décrit le port Mel- ville, 132 il 143. Reçoit visite du prince, 167.

Hall ( groupe de Sir-James-, mer Jaune). Apect. Habiuns , lenrs véte- mens, leur naturel insooiable. Vil- lage, t. XXI, p. 1 et suiv.

HêUum ( Ile du Nil ), Souvenir de l'olivier de Strabon, t. XXtIl , p. 74.

Hamoa ( Ile, archipel des Amis ), t. X,p. 46.

Bawuur/ut (port de l'Ile Qnaloè'n , Norwége ). Maisons. Hospitalité . t. XLV , p. 200. Baie. Poissons, Habitons, 231. <— Soirées, chants, 232. Belles femmes. Toilettes, 234. Un hiver passé dans le pays, 247 et suiv. •— Phosphorescence de la mer Polaire, 248. -> Approches de l'hiver, 251. Départ des Lapons, 253. £ffet produit sur l'horizon par le so- leil au-dessous. Aurores boréales, 260. Etablissement commerciaux, 277. Population. Nature du com- merce, 278. •» Vie intérieure des colons., 279 à 283.

Hanmr* (Nouvelle-, Nouvelle-Bre- tagne, Amérique septentrionale ). Nominée par Vancouver, t. XIV, p. 451. Aspect du pays, 419. Fourrure d'un animal indigène. Mu- tilations et omemens extraordinaires des naturels, 420. Leur figure, 422. Ile Hawkesbnry, 429. V. Démit d* la H«iiu ' ÇhoHotl* ^ Arehipal de Pitt.

Hanovre (Nouvelle-, tle, archipel de la Nouvelle -Bretagne). Découverte par Carteret, t. III, p. 15d.

Haoutta (royaumedu Sondan).Ren- seignemens divers, t. XXV, p. 164, 245. Voyage dans l'iotérieur. Be- delurfie, XXVII, 330. Objets du commerce , 333. Pays et tribu des Bcdites , 334, 341. Arbres remar-

Îuablei, 884. Acrienltvre, 888, 46. Province de Bede Guna, 888. » Huttes, 841. Sansang, 842 1 844. —Yaeoba. CannibalUme, 856.

Campagne, 866, 895, 898. Cos- tnme et arme* des guerriers, 874.

Boxeurs, 884. Kadania, 804.

Faniroce, 395. Province de Cachena , 396 Voyage dans l'in- térieur à travers le Guari, le Zeg-Zeg, XXVIII, 183 àg67.— Kotoncora,a(n. Magaria, 222,227. Mœurs, usages et coutumes des Cambriens , XXX , 219 a 222. V. provinces on tribus de Btdtcti Cotica, F*lataht , Guari ^ Goubtr, Kam, Katagoum, Yaeoba, Zamfra, Ztg-Ztg.

Hauuia mipitale dn HaouHa), tom. XXV, p. 164, 245.

Hapaê* (groupe, archipel des Amis ). Reconnaissance et descrip- tion des Iles du groupe , t. IX, p. 8a0 à 388. Aspect. Iles qui le compo- sent, 850 Denrées , 351. Cé- rémonial de la réception qu'on y fait à Cook, 852 et suiv. Com- bats simulés partagés par les fem- mes, 855. Amnsemens nocturnes des naturels, leurs chants et leurs danses, 858 à 368. Femme ocu- liste. Singulier moyen |>onr raser les cheveux , 374. •-• Respect pour le roi, 381.Voy Foa^Hamto, Utolaiwa, L«fooga.

HapMon (tle,'gronpe Burdet, Poly- nésie). Nommée par Beechey, tom. yix, p. 434.

iSTara^ (ville dn Penjab,Hindoust.), Ses ruines, son histoire, t. XXXVII, p. 423.

Hardonaroxi HurduMr^rAle de l'Hin- donstan). Situation. Description de sa célèbre foire, t.^ XXXVI , 453 et suiv.

Harem. Appartement des femmes d'Orient. Le médecin est le seul étran- ger qui y soit admis. Précautions , t. XXII , p. 406. Détails sur les harems de Perse, XXXI, 230. Détails sur l'intérieur des harems de Turquie, XLVI , 88 à 90, 108 à 114.

Harp* (Ile de La , archipel Dange- reux). Découverte et décrite par BougainviUe, t. IV, p. 203. Est probablement celle que Cook nomina plus tard du Lagon , VII , 150.

Hartfoni (ville du Connecticut,

/^

S78

Étato-UoU ). ReaartniakUa 4tabii»M- mrni pabliri , t. XXXIX , p. 174.

II»»M0 ( Tilie dn Wogora , Abjui- nte ). Sitaatioii. Monti reOMrqaables, t. XXIII, p. 257, 258.

UwanM (tabula de l'Ile Cuba). Son heurense potition, t. XXXVIli ,

Ï. 411. Popalation, port, rue», 18. Bel aspect. Edifices , 414. AméUoratioiit. Ceodrei de Colomb et de Cortea, 415. EnTironi. Climat, 416, 420.— lotUtutiont divertet, 423. ^ Loterie, 441. Vie du Cubanaii, 442 et mi*. Belle promenade. Figure. Cottame. Education des fem- mes, 444. Meurtre. Lit de ihttt ^ 446. Aspect. Habitans, XLI, 168. —Jardin botanique. Palais épiscopal. Marchés, 169. Marché aux escla- ves. Climat. Rues. TliéAtre, 170.

Hwot (Ile du Finmark , Norwége), roo de Hœsten, t. XLY , p. 211. •— Talc, 212.

Hawatf Toy. Sandmleh.

Hamkubury (Ile, Polynésie ). Décon- verte par Edwards, t. XIII, p. 431.

^<i<rJl-Mi«i^(lle,IfouTelle-HanoTre. Nommée par Vancouver, tom. XIV, p. 429.

Hayiot (ville de la Roumélie, Tur- quie d'Europe), t. XLIV, p. 52.

HafHa* ( tribu d'Abyssinie ). Couleur. Vètemens, etc., t. XXIII, p. 202.

Hkad. Son voyage à travers les Pampas et les Andes, pour explo- rer les mines d'or et d'argent. PrcH- minaires , t. XLI , p. 278.— Franchi t la Cordillère, 342 à 869.

Hebhth (viU^e l'Irak- Akari, Tur- quie d'Asie). Dépravation des mœurs, t. XXXII, p. 486

HiBcn. Son voyage dans les pro- vinces supérieures du Gange, tom. XXXVI , p. 1. - Ses entrevues avec le nawab d'Aoude, 187 et suiv. Refuse une invitation de la célèbre Begum-Sumrou , 264. Est pré- senté à l'empereur de Delhi. Cérému- mes. Cadeaux , 275 à 282. Visite le rajah c BuUumghur, 285. Le na- wab t Sikre , 288. Le rajah de Baroda , 869, 373 Le nawab de Madras, 432.

HAridet (archipel des Nouvelles^, Austk'al.) . Iles Aurore, de la Pentecâte ,

TABLE GÉNÉRALE

Pie.de l'Etoile, t. lY, p. 207.-U«- crlt et nommé par Cook, Vlll,829, 421 . —Vilains babitans, 840.— Leur ooqit semblable k celni d'une fourmi, 841. •— Ornemens , armes , 542 Grut Igulers, 891. '— Voy. Iles Âmbrym, ^pé«, Èrf^mag», Ernmam, GranJtt

Cjr«lad»t, Jmmtr, Léprtu* , Lojralljr,

Îroupe ; MalUeçllo, Pa»«m, PtnUcél*, *t0-d*-l'EMU , Swtdmiek, SaiM-Bat^ thélHUg^f Sêphini , Ttumm, Ttm du Saint-Etprit.

H»4iit» «M Àrabtt PétrH ( province de l'Arabie).. Voyage le long de la c6te, t. XXIII, p. 181 à 187.— Beauté du pays. Mont Ruddua , 135. Voyage de burckhardt , XXXII , 5. Naturels sont portés au commerce, 17. État des chrétiens , 20, 161. Denrées, 28,82, 241, 246, 253.-

Portefaix, 41 Huttes k café, 45,

73. Montagnes. Vallées, 45, 52, St, 240. 244, 251 . 252, 258, 261 , im, 540. Naturels ne voyagent que de nuit , 46. Sol , 47, 237, 240, 251.

Arbres, 48, 55, 236, 259. Uhl ges des pèlerins, 51, 57, 09, 77, lia.

Ras-el-Kora, 55. Productions, 55, 243, 253, 307. Maisons du Hadheïls , 56. Costume du pèlerin , 69 et suiv. ~ Musique. Chants , 1(tô.

ftabegh , 246 et s«mv. Ordre de marche des chameaux, 243.— Puiti, 246, 250. Baume, 255. Voleurs, ?.')7. Ujedideh, 258 Remarque» sur la direction des vallées, 266. E.«inèces de dattes , 298. Volcan , 5(H).— Manque de chevaux. Moutons, 325. Torrent de Wady-Akik, 837.

Beder, 343 à 345. Aigles , 346.

(Croyances sur la peste, 349, 355, 357. Eaux thermales. Forêts de dattiers , 874. Voy. Djdda, la Mtcqat, Midin», Sinat, Su/m, Toi*/, Tor, fTa- di-Sfiiaa, Yembo.

Heibaîe f ville de la Tatarie indépen> daute).Cl)V>'*i>u de hx-iques, t.XXXVII, p. i^\S. Maisons. Costumes, 137.

Ht Iqelandt-f^ar {lies de l.t Norwége), t. XLV, p. 120.

Hellespont, ou d/troitdff I/ar">'<rnel>ei (entre la Turquie d'E» r.< "' j > 'i quie d'Asie). Aspect dt. t -, ;. XLÎ /, p. 281. /

Ileltingborg (ville de la Gotliic, Suède), t. XLVI, p. 288.

DES MATIÈRES.

87U

jy«M (villa de la Syrlv, Tvnnit (rAiie).Fortificatlont. Mal»oni. Mon- quéeii. Combnt^ •Imalét, t. XXXII, p. 4M.

Hémmi ( mont ), t. XLVI « p. 28. 58.

Wmif frille da KhoraMan , Parus ). Comparaola à Itpahan. Grande pla- ce. Basari. Moiquéa. PupaUtioo , t.XXXV, p.4t7.

UiaoMT. Se> opératiuDi aoi M ar> qniiet , t. XIV, p. 877. DéoooTre les Ile* TreTeoen et Sir-Beon-Martin. 381. L'Ile Robert, 884. Eit tué par les naturel» de Woabou , 887.

Hfrgtit f groupe •«' l'archipel des Marquiiet V 1 ;i)>ii>rM par Hergett , nommé pat >' .. >«<v - lies Riou, TreveovLi. Sir-II«ni. Martin, Robert, p.87Ua584.

H*rm„'<ta ' : ille de la Transylra- iiiR empire d'Antriche), t. XLIT, 7 S, 106.

liirmiM. Dc^icription de cet animal et de ses lub'^niles, t. XLV, p. 91.

UiRoiM>TE. So» Toyages, t. I, p.' 4.

Rtnty (lied*, ou T*rrongg»mon, Àlooa, Polyaétie ). Décuurerte par Cook, t. VIII , p. 56. Aspect. Na- turels, IX , 321. Leurs ornemens, leur idiome , lenrs pirogues , 823.

Ui/ron (ville de la Grèce). Ses rui« nés , son bois sacré, t. XLIV, p. 297.

aiglamitit (montagnards d'Ecosse), t. XLVI, p. 276.

Himaliya ( montagnes de l'Asie ). Voyage de Fraser, t. XXXV, p. 423.

Portion visitée, 425. « Aspect sauvage , 426. Végétaux. Animaux, 432, 478. Habitans, 433.— Teint, 434. Costumes, 435, 437. Fi- gare et état des fummes , 436. Ma- riages. Religion , 437. Castes , 438.

Polyandrie , 462. Maisons, 464.

Religions. Funérailles , 465, 466.

Cornes sacrées , 478. Sources de la Djemma , 482, 485, 486. De- meure des esprits. Eaux tliermales,

483, 488. Pic do Bender-Pouch ,

484. Théâtre des faits mytliulogi- queu hindou '^. Superstitions 485. '' ° is des divinités , 486. ~- Sources maintes, 488. Cérémonie du ghat, 490. Sources du Gange , 493. Climat pestilentiel du mont Almorah, XXXVI, p. 211. Aspect des monts dans le Rolulonnd , 213. Buifi dé-

sertés périoifiquament, 314. ^<>7*S* dan* les niooM du Kemaonn , 316. /fj^M ( brouillard ) Ses déplorablea rffets, 215, 318, 230 ~ Productions, 334, 335.— Al. im^>i« , 225.— Paysan» kbasyas, 236. - Ai^^cts dans It KemaouM, 339. do Gan> ghar, 329, ?^2, 248. H^^Xnm des principaux monts, 334. Arbres, 345. Jolies femn.r^ de Luckwarie , 457. —• Polvandrie, 458. TempU hindou, 459.— Établissement pour les eonvalescens européens. Effet '*s niq&res d'un insecte, 460, 468.-- Point de vne magnifique , 4iBl et suiv

Hommes filant , 46/. -~ Aspect des monts des rives du Sutledge , aXXVII, 4. /é. vues dn Penjab, 31. Voy. l^tmiM, Gimg0lri, Khatjai, Htmw, Théog.

HittJmhKoiuk ( mont» dn CabonI), t. XXXVII, p. 114, 116. Pasaa d'Hajeibeiguk. 117, 119. Mours, physionomie des montagnards, 118. >— Passe de Kalon. Précipices affreux, 120. Son aspect k Koundoui, 150

Uimlout, Peuples de leur race , t. XXXI, p. 20.— Caravenierais ,

65 Charlatxns , 66. Pagode de

courtisanes, 67. Manière de tra- verser les rivières, 68. Marque distinctive des purifiés dans le Gange , 75. Idoles , 77. Tombeaux, 78.

Chasses , 87 et suiv. Antique origine , 338. Sobriété. Repas , 839 Habillement. Ornemens. Fem- mes, 840.— Habillement et ornemeas des femmes, 842 et suiv. Vêtement des veuves , 344. Voyages , 346. Castes ou état des personnes, 848. Importance du mariage. Polygamie. Disproportion d'âge. Couches, 349, 350. Infériorité des femmes , 851 , 352. Règles do conduite pour les femmes , 353 à 356. Éducation , vie , costume , réputation des Bayadè- res hindoues , 348, et XXXVI, 438. Pèlerinages à la Mecque, XXXII, 198.

Formes physiques, XXXIV, 239 à 246.— Ablutions, XXXVI, 21.— Détails et observations sur le SutUx ou sacrifice des veuves , 34. 134, 154, 289. Ridicules austérités , 38. Consommation de l'huile de moutarde, ,%. Habitudes domestiques , 85. Bijoux des femme» ,119. Compas-

380

TABLE GÉNÉRALE

sion pour les animaux, 121, 227, 29(,. 395.— Suicides fanatiques, 135, 154.

Caractère, 136,322. Le persan, langue de commuDication, 137' Fête de Ramaguna , 165. Durée de la vie, 205. Casherponr, lien de pèlerinage, 251. -*■ Fête et foire dn Nu$wtd, 309. Esprit d'égalité des Hindous du centre, 322, 337. Houley ( carnaval ), 344. Trinité hindoue, 410. Superstitions , 443.

Hindouttan.yojage dans l'intérieur, t. XXXI, p. 62. Caravenserais , 65.

Pagodes de courtisanes, 67. Lions et léopards apprivoisés, 69, 87.

Idoles, 77. Tombeaux, 78. Chasses , 87 et suiv. Voyage de Sonnerat, 337. Bel arbuste. Son utilité pour les femmes , 343. Mai- sons , 345. Meubles. Voyages , 346. —Notice sur les établissemens français, 457. . Tours. Lieux divers , XXXV, 427 et suiv. Voyage dans les pro- vinces supérieures, XXXVI, 1. Shaddoc. Plantains (fruits), 2. Pre- mier établissement des Anglais , 6. Introduction de la pomme de terre, 8. Pagodes , 27, 149. Animaux sacrés, 60, l43. Scorpions, 120. —Avenues, 140. Célèbre vishvage- sar, 149. Sanctuaire le plus révéré de l'Hindoustan, 157. Caravanserais, 171. Ancienne manière de passer les rivières, 231. Confection de la glaee, 254. Cabanes des contrées supérieures, 257. Gypseys (espèce de Bohémiens ), 259. Jumna-Mus- jeed, le plus bel édifice musulman, 266, 452. Hôpitaux pour les ani- maux, 395. Caverne cruciforme. Trinité hindoue , 408 à 410.— Grande foire d'Hardouar, 452. Voy. Ghattet, monts.

Hindous tan (Etats ou provinces des contrés de 1' ). Voy. Adjemir, Agra , Allahabad, Aoude , Behar, Bengale, Beltum, Bischur, Cachemire , Carnatic, Coehin, Conean, Comluirseim, Daoudpou- tra, Dekkan, Delhi, Djoubel, Gurwhal, Guzerat», Kemaoun, Malwhoy Népaul , Penjab, Rajpoulana, Reuiain, Rohilcund, SinJhx, Théog.

Hindouttan (castes, tribus de 1' ). Voy. Bayadèret, Bhatt, Bhetls, Boras, BrahmiMtj Goundt, Gypteys , Joins,

Khasyas, Kolii, Partit, Puharheit, Raj- pouti, Seikt.

Hindouttan ( fleuves de 1'). Voy. Djemma, Gange, Hougly , Hydatpe ^ Indus.

Uinza (village de la Gafrerie). Mo- bilier d'une hutte, t. XXIX , p. 303.

Costume et taille du chef, 304.

Femmes cafres, 306. Usage du cheval, 309.

Hipalut. Mousson du sud-ouest ainsi nommé par les Romains, 1. 1 , p. 8.

Hippa (ile de la Nouvelle-Zélande) t. VII, p. 306.

Hippopotame. Description de cet animal , t. XXVI , p. 245. Est sen- sible à la musique, XXVII, 208.

Hispaniola, Voy. Haïti.

Hoapiniu {ile, iner de Corée). Son aspect , t. XII , p. 326.

Hobart-Town (capitale de la terre de Van-Diémen ). Ses maisons, ses rues, t. XVIII, p. 318, 324. Situation, 323. Port, monumens, 324.

^o^o/««(archipel)oudeBergb,olu le Torre, lies Carolines). Iles qui le com- posent. — Habitans, t.XVlII, p. 180. .—Nommé groupe Bergh par Maurell, XX , 207, 212. Bel aspect, 207. - Récifs , 209. Canots divers, voiles , 301 et suiv.— Ustensiles de pèche, deux races d'habitans ennemis, 304, 317. Figure des naturels, vêtement, belles femmes, oruemeus, occupa- tions , 306 et suiv. Mœurs louables, adresse, 312. Religion , 314. Mariages, funérailles, 316. Com- bats, armes, 318. Habitations, lits, 320. —Fertilité, 322. Produc- tions de tous les règnes, climat, 324.

Hollande. Conquêtes des Hollandais dans les Indes sur les Portugais, 1. 1, p. 119. Ont seuls, des Européens, la permission de visiter le Japon , XXXI , 111 , 132, 161. Leurs hom- mages à l'empereur, 138. -—Voyage et réception de l'ambassade, 150. Moyens employés pour monopoliser le commerce des épices.Voy. JÙoluques, Voyage dans l'intérieurdcla Hollande, aspect de la campagne , bonheur du peuple, t. XLVI, p. 190 —Canaux, digues, 191. Saisons, 192, Pro- preté des Hollandais, 192, 193. Leurs mœurs et habitudes, 193, l'Jl

Buddah, 188.

DES MATIÈRES.

3«1

■Hollande (Nonvelle-, on Australie). Découverte par Tasman, t. I , p. 344. Décrite poor la première foin avec soins par Danipier,d90, 426.— Manque d'arbres fruitiers , d'animaux, 391. *- Description du pays par Cook. Voyez No^vtlle ' Galles mMdionale. •— Re- cherche des causes du petit nombre de ses naturels, VI, 385, 404. Càte sud -ouest explorée par Van- couver qui nomme plusieurs caps, baies, etc., XIV, 14 et suiv. Ré- servoirs de poisson, 27. Remar- Sues sur le pays et les productions e la côte sud-ouest , 82 à âO. Climat, 40. Arbres, 42. Qua- drupèdes, 43. Oiseaux, 44. Productions marines, 45. Reptiles, animaux nuisibles, insectes, 46.— Dé- vastation extraordinaire produite par le feu, 49. Sol sablonneux, XV, 105.— Divisions territoriales, XVIII, 15. —Historique des reconnaissances XXI, 326. Remarques sur ce qui reste à faire sur les côtes, 428. Productions, animaux, XLIII, ix, x.

Voy.ige de Sturt dans l'intérieur , 168 à 276. Ses résultats , 276 et suiv., 279. Situation, température, 168.— Rivières, 169, 176, 177, 244.

Causes de stérilité, 171. Plan- tes, 171, 227. Rivages, 172, 173.

Belle végétation de l'Illawarra, 173. Oiseaux, 172 , 182, 252, 257, 297, 307, 332, 337, 346, 351. Sécheresses périodiques, 173, 178 , 274. Historique des découvertes faites dans l'intérieur, 175 à 178. Montagnes bleues, 175. État pré- sumé de l'intérieur , 178. Explora- tion du cours de la rivière Macquarie, 179 à 226. Arbres, 183, 185, 186, 188, 190, 195, 224,283.— Lac Baddah, 188. Sécheresse des en- virons ,190. Monts Harris, 198 , 199,225, 264. Mont Forster, 199.

Marais de la Maquarie, 202, 210 à 216, 218, 223, 261.— Incendies, 211, 212, 250,261,262. Pia- teaud'Oxley,217,240, 242.— Groupe d'Urban, 217, 241. Mont de New- Year, 220 , 230, 233. Campagoe, 226, 227, 235 , 239, 262, 273 , 302.

Mosquites , serpens, 227. Mou- che kangarou, 234. Contrée dé- solée, 235, 237, 302. Montagnes,

Violettes , 236, 269. —Taillis, 238 et suiv. Contrée fertile , 240. Rivière »alée , 244. - Voy. Darling. Village indigène, 248. Son étrange entendu dans la campagne , 254- Etangs de Wallis, 266. Étangs de Morrissette, 266. Rivière Castel- reagh,267à 271.— Melons savoureux, 275. >— - Expédition sur les rivières Morumbidje et Murray , 279. Rochers de quartz, 382. Plaines d'Yass, montagne Pouni , 283. Caractère du pays entre l'Undevaglia et la Morumbidje, 284, et suiv.— Plaine Pondcbadjeri, 291. Mirage, 301.

Lac (Alexandrina) se jette la Murray, 334. Baie Encounter , 336 , 379. Remarque générale sur l'intérieur. Traces du déluge, 36^ à 366. Observations sur le golfe Saint- Vincent et ses rives, 368 et suiv. 381.

Belles vallées du cap Jervis et des environs, 368 et suiv. Mont Bar- ker, 370. Port Américain, Port Lincoln, 380.

Voy. Australiens, naturels; Darling, Lachlan, Maeguarie , Nouvelle-Galles méridionale , Morum-bidje , Murray, Terre de Lewin, Terre de ijfuyts. Terre de fFilt , Jackson,

Hollande, hotlentote (province de la colonie du cap de Bonne-Espé- rance). Voyage dans l'intérieur , cam- pagnes, productions, t. XXVI , p. 40.

Lieux de repos , 47. Maisons de bains d'eau thermale, 48. Hôpital de lépreux, 51.

Holsteinborg{à.\itc\ct du Groenland), t. XI, p. 35 Maisons de Tiriéniak- Pudlet , 36.

Holy-Rood. Château d'Edimbourg , t. XLVI , p. 285 , 286.

Honevy ou Onevy (Ile, archipel des Amis ). Sa description. Ses naturels , t. IX, p. 446 et suiv.

Hongrie ( province de l'empire d'Au- triche). Ses plaines comparées aux savanes , tom. XXXVIII, pag. 372. Voyage dans l'intérieur; XLIV, 115 à 131.-^ Rançonncment des voya- geurs, 115. Villages et maisons , 116,117,120,122,124,126,150,158, 181. Rivières, 116, 122, 123, 164.

Couvent célèbre. Belle vue, 118. —Grandes steppes, 119, 120,123, 150.

Radua. Hyppa. Arad, 118, 119.

\

382

TABLE GÉNÉRALE

Costume, servitude, occupations des paysans, 121. Beau clocher de Saiut-Martin , 122. » Sibonrkatsoli , 125. Grandes roues borizontales , 125i Différence dans les formes physiques des Hongrois et des Autri- chiens, 129. Raab. Le pilori, 130,

Presbuurg , 136. Denrées , pro- ductions propres au pays, 139 , 146, 153.-_Vins de Tokai , 1 46. >— Brigan- dage des nobles, 148- Caractère, ha- bitudes des Hongrois,149. Troupeaux 150. Manufactures, commerce , 152 Tolna, 151, 154. Champs de ba- tailles, 158, 163. Vuckovar, Ka- menitz, 161. Petervardein. Prêtres grecs, 162. Semlin. Belgrade, 163.

Établissement d'une route sur les bords du Danube, 182. Orsova,183. ■^Abus criaus qui subsistent encore, 186. Aperçu de la constitution , 188. État des personnes, 189. La bulle d'or. Privilèges des nobles, 190, 195. •— Prérogatives royales, 191 et suiv. , 199-.— Dignité de pa- latin, 193.— Magnats. Leur costuiiie, 194, 208, VUles libres, 196.— Diite, 197, 198. Revenus de la cou ronne, 198. Armée, 199 Voyage dans le pays.^ Origine des Hongrois; XLYI , 127. Privilèges conser- vés. La diète, 128. Récolte du vin de Tokai, 130 à 132. Habitans di- vers du pays, 218 et suiv.— Les Czin- gares, 219, 224. Sol. Montagnes. Fleuves, 221. Coup d'oeil sur la province et ses habitans , 222 à 224. Sol, ses rapports avec celui de l'E- gypte. Eaux salées,222. Caractère, figure, langue, costume, signes dis- tinctifs du noble, 223. Religion, 236. Juifs, 239. Voy. Bude, Pesth.

Hood (ile, archipel des Marquises) , Nommée par Cook, t. VIII, p. 189. Son aspect, 205; XVI, 133. Son origine, productions, animaux, 415.

^O0<£ (lie de Lord- , Polynésie). Dé- couverte par Ldwards, t. XIII, p. 419, 440. Et non par Wilson , comme leditBeechey;XIX, 152.

Hoolaiva (tle, groupe Hapaee, ar- chipel des Amis), t. IX, 350. Sa description, 377 et suiv.

Hope (pointe, Amérique russe). Nommée par Beechey, t. XIX, p. 255.

Laideur des naturels , 256.

Ho-Tehov ( ville delà Chine). Rois de l'enfer. Théâtre, tom. XXXIII, p. 401.

Horeh (mont de l'Hedjaz, Arabie), t. XXIII p. 133.

i/ora( cap, à l'extrémité sud de l'Amérique méridionale). Découvi>rt par Le Maire , t. I, p. 285. Dange- reux et difficile à doubler, II, 110. Sou aspect, IX, 75. N'est point difficile à doubler, XII , 63, XV, 330. •— Son aspect imposant, XXI, 273; XLI, 374.

Horn{l\e de, Australie). Décou- verte par Le Maire et Schouten, tome I, page' 302, 312. Descrip- tion de l'ile, des habitans , de leun maisons. Singulières politesses et cé- rémonies du roi et de sa cour , 303 à 312.

HoRHEMANir. Son voyage du Caire à Morzouk, t. XXV, p. 416.— Repas du soir à la caravane, 419.

Uotlentots (peuple du sud de l'Afri- que). Connaissent l'art de fondre !e cuivre. Singulière bénédiction nup- tiale. Le prétendu tablier de chair des femmes, t. VII, p. 131, 132. N'eut aucune religion, XXIV, 51. Glou- tonnerie, 124. Retenue des femmes, 155, 166, 186. Vétcmens. Orne- mens, 158. Soins des mères, 160. Mariages. Couches, 162- Armes, 169. Ignorance de l'agriculture , 171. Usage du tabac, 172. Ani- maux domestiques , 173. Légumes, fruits, 177. Mesure de lianuée, 178. Funérailles, 179. Danses, 182. Instrument de musique, 183.

Occupations journilières, 186 Proportions du corps, 187. Mœurs, 187. Langue , 193. Du tablier de chair des femmes, 220. Descrip- tion d'une Hottentole, XXVI, 97. Jeu singulier, 138. Voyage dans le pays, 165 et suiv. Kraals (villages), 178, 180, 184, et suiv., 302, 381, 388.

Missionnaires, 197. Instrument de musique , 275. -^ Le kraal de Ramah, XXIX, 21. Voracité, 178.

Aspect. Laideur des femmes , 274. Sont ennemis des Cafros, 276. —Moralité, 277. —Armes, 278.

Missionaires. Éloquence, 295. Description du Sibilo, 388. Voy. Bas- tert-Blanei , Gonaquoit , Hollande hot-

DES MATIÈRES.

383

tenlotê , KleurwaUff Llly-Founlain , Maaaiut, Namaquai, Ramah.

Hoûgly ( branche occiat.-ui!;. da Gange). Ses rive», t. XXXVJ, p. 5, 7.

Première possession de» Anglais, 6. Promenade sur sa rive. Abla- tions, 21.

Hourey (district da Galam , Séné- gambie). Sa description,, t. XX VI 11, p. 355.

Haut-Bay{co\oxiw du cap de Bonne- Espérance, t. XXIV, p. 41.

Uotttniquas (pays du cap de Bonne- Espérance ). Beauté. Miel, t. XXIV, p. 72. Colons, 74.

Houzouanas (peuple au nord du cap de Bonne-Espérance). Redoutés de leurs voisins, t. XXlV,p 389,411. Mœurs, 408, 414. Taille , formes , 412. Huttes, 413. Vie errante, '114. Comment découvrent les sour- ces, 416. Armes, 416. Sont dis- tincts deS Boscluraans, 417. Bornes (le leur pays, 4l8. Masse de chair au bas du dos chez les femmes, 419.

Se graissent le corps, 422. Si- gnaux de nuit , 423.

How (lies du Lord-, archipel de la Reide-Charlotte ) Découvertes et dé- crites parCarteret, t. III, p. 133.

How (lie* du Lord- , Polynésie , près d'Otatti). Découverte par WalUs, t. III, p. 380.

Howe ( Iles, Polynésie ). Découvertes par Edwards, t. XIII, p. 427.

Howell ( ville du Massachussetts , États-Unis ). Importantes manufactu- res, t. XXXIX, p. 154. Mariages des ouvriers, 155. Établlssemeus divers, 158.

Hoaheine (lie, archipel de la Société). Découverte par Cook, t. V, p. 325. Productions Grauds haugars pont le» pirogues, 329. Coffre eutière- meat semblable à l'arche d'alliance et appelé Maison de Dieu, 330. Ha- bitans , 333. Description de l'île , VII, 443 —Chiens, 448. —Mauvais traitement qu'y éprouve un des com- pagnons de voyage de Cook. Belle cuuduite du roi , 449 et suiv. L'in- sulaire O-Maï s'embarque sur un des vaisseaux de Cook, 456. Arréoys, ou sociétés secrètes. Leur but immo- ral, VIII, 263, 272, 274.— Repré- sentations dramatiques, 267. Cook

à son retour y établit O-Maï, X, 177

et .suiv.

Hudikswalt ( ville de la Suède ), t. XLV, p. 333.

Hunsoir. Ses recherches du passage au nord de l'Amérique , t. XL , xxj. Découvre le détroit et le golfe ou mer de sou nom. Sa fiu tragique , xxij.

Hudsom (rivière des Etats-Unis). Son lit, t. XXXIX, p. 23. Beauté de ses bords , 32. Paquebots, 40.

Communications, 78.

Hudson ( mer ^' , Amérique septen- trionale). Découverte par Hudson. Climat, t. XXXVIII, p. 31 ; XL, xxij.

Aspect de l'île des Passages, 390.

Baie Repuise. Traces d'habitims. Animaux, 391 , 392. Baie havi- land , 394. Ile Burchnam , canal Hutd, cap Montargie ^ 395. Anso' Dackett , 397. Ile Vantittart , 399.

Établissement des compagnies, 477- Mœurs, usages, etc., des In- diens creeks, 479. —V. Cumherland- House , Southaïkplon.

Hué ( cap de la Cochinchine ). For- tifications de l'embonchiire de la ri- vière, t XXXIV, p 369, 370.— Bea^ix canaux de Ceinture, 377- Beauté des rives de la rivière, 378.

Propreté des villages cnvironnans,

379. Chevaux. Sol des environs ,

380. Citadelle de la ville , 381 , 393, 394. Portes, 382, 394. Visites au mandarin des éléphans, 383 et suiv. Mandarins français,'

383. Acteurs chinois. Musique,

384, 392, 436. Audience royale refusée à des Anglais, 392. V. Finlay- son, Bazars. Greniers publics , 395.

Casernes royales. Costumes , 396.

Arsenal d'artillerie, énorme canon,

397. Supériorité duc aux Français,

398 , 401 Influence française ruinée , 398 et suiv. Pauvreté du bazar, 404. Visite au Tacoon, 424 434. Tablettes et boîtes ornées de Mia, 424. Repas, 430. Canal hors de la ville , 440-

HuMBOLiiT. So^ voyage aux ré- gions équiaoxiales d'Amérique, toin. XXXVIII, p. 355 Son étude com- parative des savanes, steppes, déserts, 371 et suiv.

Hnrex-ka'Putlun ( ville du Penj.'ib,

384

TABLE GÉNÉRALE

Hindonstan). Bac. Hospitalité , tom,

xxxyii,p.&

HoTTOir. Son ambassade dans la pays des Acliantis, Guinée,!. XXYIII, p. 380.— Son objet, 385. Sa Tisite an roi , 397, 405.

UuttoH (tle> mer Janne). Aspect Naturels , leurs vétemens, leurs for- mes , t. XXI, p. 9 et suiv.

Hjrdatp* ou /«Inm ( rivière dm Penjab). Son lit Ses eaux. Ses cro- codiles. Bateaux des Macédoniens , tome XXXVII , pages 55 et suivan-

tes. Sa sortie des montagnes , 45.

Hydra (ville de la Grèce), tom. XLVI, p. 214.

Hjdnbad (capitale du Sindhy, Hindonstan). Présentation à l'émir, t. XXXVII, p 357, 358. La cour, 859. Environs. Iniui, 361 PopnU< tion. Demeure de l'émir. Fort, 362. Canot de l'émir, 363.

HypofUi, ou catacombes égyptien- nes admirablement décorées. Descrip- tion de ceux de Thèbes, t* XXII , p. 430 et suiv.

Unitak ( vUle de la Sibérie ). Bftti- raens publics. Convens. Caractères, t. XXXI , p. 275.

Ika-na-ma»i ou EaheiHomaui»* (l'une des deux grandes lies de la Nouvelle- Zélande ). Exploration des côtes par Cook, t. YI, p. 1 à 115. Situation de ses habitans 'différente de ceux de Tavai - Pomanou. Son littoral , XVIII, 256. —Etendue, XX, 175. Pour les détails , voy. NowelU- Zéland:

lUs-lagunet. Ce qu'est cette sorte d'Iles, t. xni,p 419.

Ilimsk ( ville des Tungouses , Sibé- rie). Vie des babitans, tom. XXXI, p. 284, 287.

///(no{f(un des Etats-Unis). Ses plaines , t. XXXIX, p. 380.

lUistut ou Ilissut (fleuve de la Grè- ce), t. XLVI, p. 215.

ïmao (Ile près de Taïti), t. V, p. 172, 176.

Immtr ( tle, archipel des Nouvelles- Hébrides), t. VIII, p. 401, 426.

Immirétiens ( peuple de l'Immirétie, province de la Russie d'Asie). Leur territoire. Leurs traits , leurs formes. Habitudes. Rivières du pays , t. XLV, p. 450. Productions. Vente d'es- claves, 451.

Indiana ( un des Etats-Unis ). Pays sans agrément, t. XXXIX, p. 380. - 'i Cineinnati,

Indo-Chine ( presqu'île au-delà du Gange ). Ses fleuves et ses chaînes de montagnes, t. XXXIV, p. 449 et suiv. —Inondations périodiques, 451 .—Di-

visions territoriales , 451 , 452. Langues , 453. V. Coehinchine , Ma- laea , Siam,

Indut ou Sind ( fleuve d'Asie ). Ex- ploré sous Alexandre, 1. 1, p. 5 Son état dans le Penjab , XXXVII , 52, 54. Sable aurifère , 55. Explo- ration de son cours, 339. -^ Man(;|ui* de renseigneinens sur le fleuve , 340.

Ses embouchures, 342^ Souve- nirs d'Alexandre, 345, 544, 578,383.

AUuvioBs du Delta, 545. Son état à Taltah , 554. Barques , ba- teaux, 555, 363, 578. Différens bras , 353 , 355, 375. Rives , 361, 563. CbAteau de Schwan, 366. rr- Ile. Forteresse de Bukkur, 375. Désert entre l'Indus et le Cbenab, 410. Voy. Selledg*.

Ingus Son voyage en Bavière et an TyroJ, t. XLV, p. 337.

Inktrman (ville du gouvernement de la Tauride). Ses cavernes, t. XLIY, p. 413.

Jnn (rivière duTyrol). Sa belle vallée, t. XLV, p. 362. Lieux remarqua- bles de la vallée , fameuses mines de sel de Hall , 375 à 380. Abbaye de Wilten, 575. Villages, 375, 580, 382. Scbwartï, 380. L'A- chensée , 381. •— Rives , 404.

Inaccessible ( ile du groupe Tris- tan d'Acunha) , t. XX, p. 147.

Inquazhilligee , Voy. R^onjerque.

Inspruek (capitale aa Tyrol ). Envi- rons, t. XLV, p. 563, 384. Jolis édifices. Aspect. Processions, 564. Bogers, 367. L'évation, 368.

DES MATIÈRES.

385

DivertiBsemens, drames ucr^i, 369.

Krmitago de Maximilieo. Détails liistoriquos, 370, 371. —Cathédrale. Tombeau de Maximilien, 372. Au- tres églises. Beaux tableaux, 373, 374.

Cimetière, Cabiuet d'histoire na- turelle. Galerie de tableaux, 374. Population. Température , 383.

ioniennet Hlcs, mer Méditerranée). Navigation daus leurs eaux, t. XLIV, p. 325 i et XLVI, 198. Itaqne. Cé> phalonie, 201. i Zante, 203. -^ Cy- thère, 205. Voy. Corfou.

Irak'Akary (province de la Turquie d'Asie ). Heblieb. Dépravation de mœurs, t. ;j:XXII, p. 486. —Bag- dad, 487 et suiv. Ruines de Baby. lone, 495.

Irhoutslc (ville de la Sibérie). Fon- datina. Situation. Maisons. Gouver- neur. Evéque. Police. Environs. Gi- bier, t. XXXI, p. 282.

frlanJaii, Leur caractère comparé à celui des 'Écossais et des Anglais, t. XLVI, p. 273.

Irlande (Nouvelle- , lie, archipel de la Nouvelle-Rretagne).' Découverte et descriptiou du détroit qui la sépare de la Nouvelle-Bretagne, t. III , p. 149 et suiv. >- Longues pirogues, 153.— Usages des naturels, 154. Naturels, leurs armes , nourriture , industrie , pirogues, XVIIl, 145, 146.— Pro- ductions de File. Naturels, XX, 372 et suiv.

Isabelle ( lie des Lucayes ). Décou- verte par Colomb. Animaux. Maisons. Jlamacs. Ornement d'un indigène, ;. XXXVIIl, p. 100.

Isabelle ( ville de l'île Haïti). Fon- dée par Colomb, t.XXXVlII, p. 138, 144.

Isolant. Indiens de Batavia. Leur

occupi^ion , t. Vif, p. 88. Leur nourriture , 89. "Toilette des fem- 90. Opérations que les detix sexes font à leurs dents , 91 . Extrava- gante et sanguinaire pratique , 92. Opinion absurde sur le diable et sur les couches des femmes, 92.

Iser (rivière de la Bavière et du Ty- rol),t.XLV,p.358,361.

Islande (lie, océan Atlantique). Dé- couverte par les Scandinaves, t. I, 10. Saisons et leurs phénomènes , XL, ij et suiv Est une dépendance du Groenland, XLVI, 6. Premiers établissemens d'Européens. Détails historiques. Taille, figure, vétemens des Islandais, 78. Maisons. Occu- pation des deux sexes. Caractère. Amusemens. Imprimerie. Poésie. Sa- gas, 79. VËdda. Climat. Nourri- ture. Maladies des habitans, 80. l'Hécla. Sources d'eaux chaudes Ba- salte, 81 .

Ispalian ( ancienne capitale la Perse ), t. XXXI, i>. 207. Médecin persan, XXXY, 46. Cupidité des Persans, 48.

Istrie (provincI de rillyrie, empire d'Autriche). Rovigo, t. XLIV, p. 533.

Aspect de la côte, 334.

Italie. Voyage de M. Albert-Mon- tcmont, t. XLVI, p. 260. Dimen- sions, 261. Division. Climat, 262.

Montagnes, lacs , fleuves. Carac- tère des Italiens , 263. Gouverne- inens. Religion. Coup d'rcil sur ses Etat set leurs capitales, 264 et suiv. Culture passionnée des lettres. Etat des femmes , 269 et suiv. Adultère

toléré, absence de tendresse conjugale et maternelle, 272.

Ithaque ou Thiaqui (ile Ionienne ) , t. XLVI, p 201.

/. Chercher à Dj les mots que l'on ne trouvera pas à /.

Jackson (port de la Nouvelle-Galles méridionale , Nouvelle-Hollande ). Sa description , t. XLIII, p. 5. Fonda- tiou de l'établissement pénal, 175u

Jadois (ville de l'Yarriba ). Etat des veuves du chef, t. XXX, p. 63.

XLVI.

Leurs privilèges. Costume des habi- tans. Hippopotames des environs, 64.

Jaffatien (ile, mer Rouge), t. XXIII, p. 131.

Joins, Secte de l'ouest de l'Hin- doustan, t. XXXVI, p. 151, 323.

Jalapa ou Xalapa ( ville du Mexi- que). Belle route qui y conduite Bel

3S

«»

380

TABLE 6ËNÉHALË

aspect de la ville, t. XM, p. 22 Soin ancica état florÏMant , 23. Maitnni. Églises. Costume dc« fenf mes, 24. Magazios , boutiques. MoBurs ot usages des liabitans, 25 et suiv. Repas, 27. Café, t07. Jalap, 108 Salubrité du climat, beauté des environs, 1ll.

Jalofi ( peuple de Séuégambie ). Figure, t. XXII, p. 45. Mœurs. Cérémonial. Epreuves judiciaires, 46. •^ Armes, 48. Beligion. Figure, XXV, 34, 35. Taille. Caractère. Case», XXY II 1,438.

Jamaïqu» ( Ile des Antilles ). Dé- couvtirte par Colomb, t. XXXYIII, p. 146. Premiers chiens lâchés par les Espagnols cu7ttre les Indiens, 211 «— Colomb annonce une éclipse aux Indiens et en obtient des vivres , 217. Première colonie espagnole. Forme, étend'ie, montagnes, climat de rué, XLII,459. -•■ Villes principales, 460. Remarquable caractère des habitans, 461.

Jambu-ejrti; Description de ce fruit, t. VU, p. 70.

James ( Ile, groupe Gallapagos) Ses tortues, t. XVI, p. 102. Ses autres auimaiix , 105, 107. Sol , 106

Jamuichtu/a (ville de Sibérie). Fa- meux lac salé . t. XXXI , p. 263.

Jamabad ( ville du Delhi , Hindous- tan ). Maisons. Palais impérial, tom. XXXI, p. 72.

Jannah ( ville de l'Yarriba ). Sculp- tures. Rues, t. XXVIII , p 123. Marché. Manufactures, 124.

Japon (empire du). Découvert par les Portugais, t. I , p, 108. Iles qui le constituent, XII, 333. Im- mobilité des coutumes. Préservatifs contre le froid. Gouvernement, XVII, 16. Les Hollandais out seuls des Européens la faculté de visiter le pays, XXXI, 111, 132, 161. Voyage daus le pays, 1 1 1 et suiv. Nom du pays chez les naturels. Iles qui le compo- sent. Superficie. Population, 112. Histoire. Gouvernement, 115, 125, 126. Histoire. Privilèges, etc., de l'empereur temporel, 115, 158. Histoire. Privilèges de l'empereur ec- clésiastique, 115, 126, 158. Climat. Terroir, 119. Tremblemens de terre. Mines. Végétaux. Arbres, 120

AgricuUare. Animaux, 122. Pro- ductions de mer, 124. Domaine de l'empereur, 129. Gouvernement des villes, 135. Voyage et hommages des Hollandais à la cour de l'empe- reur, 138,150. Précautions de voyage, 139. Grandes routes. Mil- les géométriques, 141. Mauona, villes, 144, 162 Postes. Hûtellerie, 146. Vivres. Voyageurs. Pèlerins. Men- dians Nonnes, 148. Armée, 159.

Boutiques , 163. Manière de voyager, 166. Voy. JMo, [capit. et ile Miako , résidence de l'empereur ec- clésiastique ; Niphon , Kiuiu , Sikolif,

Japonais. Habitations. Vêtement , t. XII, p. 336, 337. Peuple de race japonaise , XXXI, 22. Histoire, Il5, 125 Race. Religion. Supersti- tions, 116. Nouveau culte. Diffé- rences avec les Chinois. Frugalité, 118. Oiseaux d'augure, 124. Fêtes , 127. Couvens , 128. Mai- sons de débauche , 133, 150,159.

Punition des crimes ou délits. Funérailles, 136. Précautions de voyage, 139. Voyageurs. Pèlerins. Mendians. Nonnes, 148. Eucy- clupédie japonaise , 157. Sectes religieuses , 157. Caractèi^e, 159.

Hérédité des professions. Indus- trie, 160. Gouvernement. Concu- bmes. Fiançailles,164. Voyages,166.

/nrra (ville du Ludamar, Séuégam- bie). Situation, t. XXV , p. 127. Maisons. Habitans, 131.

Jaune ( fleuve, Chine). Sacrifice au fleuve, t. XXXIII , p. 477 , 478.

Java (Ile de l'Océanie). Décou- verte par les Portugais , t. I , p. 106.

Divisions politiques, IV, 377. Productions de l'île, VII, 63 à 79. Animaux domestiques, 80. Tigres, rhinocéros, 82, Description de Smarang, XIII, 433. Audience du roi, XXXI, 81. Cherté des enterremeus , 82. Montagnes , XLIII , vj , liv. Volcpns , vij.

Rivières , viij. Productions , viij,

liv. Animaux, x^ liv. Superficie. Population, liij. Détails divers sur la partie hollandaise , liv, Ivij. Climat , liv. Nids - comestibles , Iv.

Partie indépendante. Fertilité. Belle campagne, Ivi. Villes, Ivij.

V. Batavia , Isalam,

DES MATIÈRES.

387

JaraHoii. Fanatinn« des pèlerins. Enterrefflens, t. XXXI, p. 82. Ci- vilisation. Riche littérature, XLII1, sij. Religion. Pèlerinages i la Mecque, xxij. Industrie. Com- merce, zxix. État des femmes, XXX). Langue , xxxij. Formes. Teint, Iv. Maisons, Iv, Ivj. Polygamie, 1t, Dirertissemens , Wj. Meubles, Ivij. Costume, Wij. Caractère. Circoncision , Iviij. Jbbtl-Manouar ( tle , Egypte , mer Ronge), t. XXIII, p 120.

Jbbel-Sibergti (^ tle , mer Ronge). Signification du nom, tom. XXIII, p. 116. Puits, 11/. Coquillages, 118.

JtbbeUTtir (Ile, merBouge, K.). Si- eoificAtion du nom. Volcan, t. XXIII, p. 166.

Jean (prêtre). Nom donné en Eu- rope au roi d'Abyssinie. Son origine, t. XXlll , p. 347

Jedo ( Ile I*]iphon, cap. du Japon ) , t. XXXI, p. I'i9. Hommages an sultan , de la part des Hollandais , 158. Grandes rontes. Milles géo- métriques , 142. Situation , 155. Aspect Maisons. Palais, 156. Châ- teau impérial. Encyclopédie japonaise, 157. Jelum. Voy. Hyda'pe,

Jvnna (viflede l'Alquemi, Yarriba). Environs. Costume du chef, t XXX , p., 47. Barbares usages à la mort du chef, 49, 54 et siiiv. Dépopu- lation , 50. Industrie. Nourriture . Usages divers, 52- Femmes dévouées à la mort , 54 et suiv. .— Tambours ciselés , 58. '

Jerkin ( ville du Sondersfields, Norwé^e ). Danses , t. XL\ , pag. 78. —Le Dovrefri«-ld,79.

Jesso (ile , mer du Japon ). Coofu- sion dans les notions sur cette Ile, dis- sipée par La Pérouse, t. XII , p. 418 et suiv. Distinction d'Etat. Com- merce d'huile de baleine, XI ( 1,10-

N'était point connue des Basse.-i quand La Pérouse la découvrit, 13.

Bace des naturels, 15. JétKiUt. Fondent les missions du

Paraguay, t. IV, p. 107. Leur dé- vouement, 108. Comment ils gou- vernaient les missions , 111. Sont chassés d'Espagne et du Paraguay, 1 15. Leur première église en Abys-

sinie, XXIII, 394. Euient chargés de la rédaction de l'almanach de l'empire chinois, XXXIII, 210, 427. Jitttt- Maria (ile, Australie), Son aspect. Ses naturels, t. XV, p. 51 « 52. J«Xpour [^\\\\t da Rajpoutana, Hin- doMstan ). Environs , tom. XXXVI , p. 310. - Fortifications, 311. —Hô- tel de la résidence. Climat. Magnifi- cence de la ville, 312. Maisons. Tour. Population , 313. Magnifi- que palais, jardins, appartemens , absence d'escaliers, 318 à 317. Régularité des quartiers, 319. Ab- sence de politesse, 322.

Jhalloda (ville du Gnzerate, Hio» doustan ) , t. XXXVI. p. 362.

Joag ( ville du Galam , Sénégam- bie ) Population. Fortifications, tom XXV, p. 84.

Joenkoeping ( ville de la Gothië, Suède ). Petitesse des lits suédois, t. XLVI, p. 289.

Joggabath ( lie du Sharg, Soudan). Aspect. Gibier, t. XXVII, p. 242.

Johar ( tribu du Kaarta , Sénégam- bie ). Religion. Superstition t. XXV, pll4.

Johntton (détroit de , entre l'Ile de Quadra et Vancouver et la côte d'A- mérique). Découvert par Vancouver, t. XIV, p. 291.

Johttston (ile, Polynésie). Décou- verte par Douglas. Etendue. Aspect. Productions. Naturels , tom. XIII , p. 376.

JootsiSima (tle, mer du Japon). Son aspect agréable , ses édifices , t. XII , p. 339.

José-Basco (Don-, île, Australie). Découverte par Maurrell. Misère des habitans.Leur figure, t. Xllt, p. 217, 218.

jourd^ain (rivière de la Syrie , Tur- quie d'Asie) . t. XXXII , p. 389. Figure des habitans de la vallée, 395. Juan- Fernandez {lie delà côte ooest de l'Amérique méridionale). Décou- verte par Juan - Fernandez qui la peuple chèvres , 1. 1 , p. 370. Sa dcscriptioD : terroir fertile , arbres aromatiques , terre plus rouge que le vermillon, plantes, beauté des val- lées , race de?, clièvres détrn'tes par les chiens , abondance de lions ma- rins et de morues, II, 152 à 147.

'M

TABLE GÉNÉRALE

Cartèret la trouve fortifiée par le* Espagnols, III, 85. Voy. Mata- Futro, Stlkirk.

Juiftiu Maroè, Leurs bellesfeaiines, t.'XXn, p. 157, 179. Leur vie. Sont très méprisés , 164 , 160 , 173 , uute. Leur industrie , 167.

Julabad. Voy. Djtlalabad,

Jullind*^ ( Tille du Penjab, Hind.) Muraille. Rues, t. XXXVll, p. 457.

J»ra (moDtagno , entre la France et la Suisse), t. XLVI, p. 26. Hau- teur des principaux points , 44.

/nW«« ?tle de l'archipel de la Loui> siade). Découverte par d'£atrecas> teaux, t. XV, p. 26a

R

Kaaba. Voy. La Attcque.

Kaa4jaga. Yuy. Galam.

jlTaarra (royaume de la Sénégambie). Coiffure des femmes, toro. XXV, p. 39, Voyage dans le pays , 112 et snir. Tribu des Joliar, 114. >— Kemroou, capitale, 115. —Cour du roi, 116. Fruits du lotus. 122.

Guvrre contre Barabara , 128. Naura , blé, 211. Sarunsang, 356.

Beugassi , 357, Sobi , 359. Sandjarra : cérémonie précédaut la circoncision. Polygamie portée à l'ex- cès, XXVIII, 375.

Kabailet, Voy. Berbiri.

Kabanka-Pampana (rivière du Kou- ranko, Séoégambie). Bords pittores- ques, t. XXVIII, p. 50.

Kabou (pays de la Sénégambie) , t. XXVIII, p. 441.

Kabobiquois (tribu au nord du cap de Bonne-Espérance), C'ustume d'un chef, t. XXIV, p. 356, 3.'i8. Muti- lation dans le cas de maladie, 359. Idiome , 359. Ornemens. Véte- mens, 561, 369, 371. Bœuf de guerre, 362. Figure, 368. Re- tenue des femmes , 370. Mœurs , 374. Armes , 574- Chasses , 375.

Autorité du chef, 576. Son ha- bitation. Aridité du pays , 577. Ani- niSùx , 588.

Kabshari (ville du Bonrnon, Sou- dan). Ses huttes, t. XXVII, p. 194.

Kadania (ville du Haoussa , Soudan), XXVII , p. 594.

K^MPFER. Sa vie, t, XXXI, p. 109. Sou voyage au Japon , 111 à 157.

KaJJa (ville du gouvernement de la Tanride, Russie d'Europe) , t. XLIV, p. 418. Description, 432. Si- tuation. Fortification. Population. Maisons. Histoire. Terroir. Rude. Commerce. Climit, XXXI, 175, 174.

Kainth (villa do Guzerate , Hin-

doustan ). Habitation particulière , caserne anglaise , t. XXXVI , p. 385.

Climat désastreux, 386. Forti- fication. Maisons. Beau temple, 587.

Katr-fFan (ville du royaume de Tu- nis). Ruines antiques, t. XX If, p. 194.

kak{{fungi (ville du Bourgou , Cfui- née). Situation. Hospitalité. Danses, t. XXX , p. 148.

Kakunda (ville et province de l'I ar- riba, Guinée). Est indépendante. Gou- vernement. Naturels. Ornemens. Vé- temens, t. XXX, p. 375. Signe» distinctifs des naturels. Caractère. Huttes. Chasse , 581.

Kalav/cwa (capitale du Gouber, Son- dan^ , t. XXVII , p. 404.

Kalgan (ville de la Chine), t. XXXIII, p. 162. -- Rue , 164. Coups de cauon quotidiens. Cc'qu'ils indiquent, 166. Signification du nom. Les deux villes , forteresse , etc. , 168 , 169. -Environs, 170.

Kama (ville du Kouranko, Séné- gambie), t, XXVIII , p. 65.

Kamalia (ville du JÛanding, Séné- gambie). Séjour de Mungo-Parck , t. XXV, p. 283. ■- Fête de la cir- concisiqn, 291. —Écoles, 308.

Kamato (ville du Kouranko , Séné- gambie ). Funérailles d'un chef , t. XXVIII, p. 67. Population. For- tifica lions , 69. Escorte de l'un de» rois, 109.

Kaminou-KoU, Voy. Caminouquois,

Kamsin ou vtnt chaud, Voy. Simoun,

Kamtschatka (Rus.-;ie d'Asie). Des- cription de la baie d'Awstka et de la ville de Saint-Pierre et Saint-Paul , t. XI , p. 508, 309. V liage Kanit- chin, 328. Voyages ei. 'traîneaux , 550 et suiv. Chiens , 351, 418. Ostrog (village) de Na'.chéekin , 334.

Eaux thermales, 3!»5, 403. Des- cription géographique du pays, 394.—

*•

DES MATIÈRES.

»t)0

Rîrlèrcs , S96. ^ Sol , prodnctioni , 396. Climat, 59B. Volcans, 401. Sources chaudes, arbres, 403. Arlirisseniix plantes , 405 à 412. Description do la plante «a- rma , et de l'Atri* douât, 406 , 406. Ortie remplaçant le chanvre, 412. Quadrupèdes , 412. Oiseaux, 419. Ampliibics , 421 . Poissons , 423. Pèche, 429. Trois sortes d'in- Intaus, 428. Commerce d'importa- tion, 439. Trois sortes d'tiabita- tions , 443. K.oriuques , 456. Voyage au Tolcan voisin de Pétro- pawlowdki, XHI, 23 et suiv. Gou- vernement équitable '^^s Russes , 43. Résumé de lu Cl des Russes,

Ô4. ' Gouvernemeut usse , XVII , 25. ~ Détails sur les saisons , 382.— Attrait du pays, 385. Brebis sau- vage, 388. "—Oiseaux. Découverte et conquête , 387. Population en 1822 , 396. Voyage dans le pays ; XXXI , 357. Géographie , 357 et suiv •—• Montagnes. Rivières, 358 , 361 , 363. •—• Volcans, ^aux ther- males . 364. Productions , 367. Sol , 568. Climat , 570. Mé- taux. Minéraux. Arbres , 372. Ar- bustes. Fraits. Plantes, 374. Chiens. Renards , 576. Béliers. Zibelines , 579. Marmottes. Gon - lu. Ours, 580. Ruts : fables sur leur compte, 383. Sortes d'ani- maux amphibies , 586 à 394. Voy. Avitika , BolehtrtUk , P/Iropttm- lowthi , TseliuUkjr. ^

Kamt$chadalet. Vétemens , t. XI , p. 526, 447. Danses, 545. Chasse de l'ours , 585 , 416. Ce qu'ils doivent à cet animal , 588. Leurorigine, 428. A quelle époque connus des Russes , 450. Précis de leur histoire, 451. Leur état actuel , 458. ^— Ne sont pas portés vers l'agriculture, XIII, 29, 61. Leurs 'anses , 54. Sont portés vers les mœurs russes, 42, 61. Ont adopté la religion grecque , 48.

Commerce de pelleteries , 58. Bains de vapeur,, 60. ' Mœurs, 25.

Religion. Tradition du déluge , 388. Usages avant la conquête , 391. Mœurs actuelles, 393. Chasse à l'ours , 596. Effets j^e la oeiga sur la figure , XXX^ 5/ 1 .

Manteaux, nattes, etc., faits avec une plante , 576. Utilité du chien , 576. Chasses , 578 à 585. - Pêches, 588 et 394. Ressemblance avec les Mongols, Figure. Nourriture , 395. Véleraens , 597. Progrès du luxe, 399. Maisons. Meuble». Outils , 400. Canots. Traiucaux , 402. Manière voyager , 404 ,

414. Armes , 405. Grossièreté de mœurs. Courbes. Traitement des^ cnfans. Vieillesse méprisée, 406. Mariages , 409, 410. Modestie dos fummes. Occupations c'cs hommes et des ieiâmes, 411. Divertissemcns ,

415. Religion. Magiciennes. Su- perstitions, 417.

Kmtm ( pays du Bonrnou, Soudan). Voyage dans l'intérieur, t. XXVII,

£.'98 et suiv., 318 et suiv. Lari , i à 101, 518. Négresses kanem- bous, 99. Animaux, 102 et suiv.

barah, 104. Woodie, 105, 1»06. 522. Naturels, 106. Corps mili- taire de KAuembous, 196,200, 270.

Mendoo : défaite du vbeik de Bonrnou, 288 à 300.

Kangarou. Description de ce qua- drupède, t. VI, p. 292, 316. Est bon à manger, XVIII, 19.— Descrip- tion. Habitudes, etc., XLIII , 28, 55 à 58.60.

Knng(trou$ ( île des , côte de la NunveTle-UoUande ). Sel. Colonie de dépuriés , t. XLIII, p. 5. Stérilité Lacs salés, 580.

Kaniagama ( ville du Kouranko , Sénégambie) , t. XXVHI, p. 60.

Kankan ( ville et pays de la Séné- gambie ). Gouvernement. Religion , t. XXIX, p. 589. Propreté. Indus- trie. Arbres. Commerce, 590.

Kang-Tchou'Fou (ville de la Chine). Truffes. Figuiers, t. XXXllI, p. 416.

Bourse. Belle tour,417.

Kano ( prov. duUaousa, Soudan). Voyage diius l'intérieur, t. XXVII, p. 362 à 596 et 432. Girkwa . 452

Vovage, XXVHI, 210 à 216. Beabaegic,210à214.— Campagne,211.

Kano ( capit. du Kano ). Maisons , t. XXVII, p. 568. Entrevues aver le gouverneur. Sa demeure. Ses pri- vilèges, 371.— Population, rlimnt. Portes, 376. Maisons. Marché. Denrées, 378 Bonchcrip. Repas,

âuo

TABLE GÉNÉRALE

3ti0. Marché aux «toUTet , 382.

Joogleun, 583. Boxwr* , 384.

Arbre*. Pré|iaratioo du coton, 887.r-Teintttrflt. Nati*; 'U le teignvnt partis du oorpt. Jar..es , 688, 5W. Coitnine*. Barbierr . Mideoi la. Mala- diei,390. Murages. Funérailles, 302. RbaDiadan,431.

4tM*(lIe, archipel des A^tis), Sa forme, t. XIII , p. 143. i>.^a as- pect, 144.

Aaomimgs» (ville dt la Chine). Tour. Idule. Environs, t. XXXIIl, p. 394.

Kanui (ville du Caucase, Russie d'Europe ). Colonie écossaise , tom. XLIV, p. 446.

Kartuiou-Bnar ( ville du gonver- aeoieat de la Tauride, Russie d'Eu- rop;j ), t. XLIV, p. 429

Karilrarrit ( tribu de Betchouanas),

t. XXVI, p. 471.

Kanv ( Grand- , défilé de la colo- nie du Cap ). Voyage dans l'io té- rieur, t. XXVI, p. 121 à 140. Arbres, 124.— Belles routes, 126. Etendue. Signification du nom, XXIX, oo.

KatTo ( Roggeweld ). Voy. Roggf »*ld, kathr,a, Voy. Ca hena

Kairowa (ville du Fezzan'), tom. XXVII , p. 59.

Kation ( royaume de la Séoégam- bie). Coiffnre des femmes, t. XXV , p. o9. Voyage dans le pays, 04 à 112. Kouniakary, capitale. Au- dience du nii , 106. Armée, 109.

Voyage dans le pays , XXVIII , 368 à 372. Asamagantary, 371. Voy. Tissi.

Katagoum ( pays du Haoïissa , Sou- dan ). Cour. Audience du gouver- neur, t. XXV4J , p. 347, 349, 358 , 364. Limites. Armes. Productions, 354. Mourmour, 360.

Katagoum (capitale du Katagoum). Situation, t. XXVII, p. 346- For- tifications, 355. Maisons, 356.

Katunga (capitale de rVarriba, Guinée) , t. XXVII , p. 363. Le roi, sa demeure, son costume, XXVII l, 136, 147, 151. Ne veut pas Inisser approcher du Nigei*, 141. Situa- tion. Fortifications. Sculptures. Mar- chés, 146. Formalités av.iut d'en- trer dans la ville. Costume. Cour du

roi. XXX, 96, 99. Saints de courtisans, 100. Apathie. Mar- chés Denrées, 102, 108. Cou tume relative aux préaena, 104 , 106.

Discrétion au sujet du pays, 107. —Caractère. Progris desFelatahs,108.

Kara. Voy, ^¥a.

Kawen ( groupe , Iles Radack ). Dé- couvert par Kotzebue. Nombre d'Ilea t. XVII , p. 183 à 197. Ile Tjau. Bel aspect. Douceur de ses habitans 187. IleOlot, 189,196. Ile Airick, 191. Visita k la reine. Pantomine , 192.

A <iN>«N ( Ue de , groupe Kawen ), Découverte par Kotaebqe , t. XVII , p. 183. Oruemens du chef, 184,

' Kayny ( ville du Bambara , Sou- dan). Situation. Habillement. Danse. Musique. Autre Amusement , tom. XXVIII, p. 303 et suiv.

Kayt ( Ile de , cAte ouesf de l'A- mérique septentrionale ). Déco.-.erte par took, t. X,p. 432,434 -r^ou étendue, 434. Descripiioè da pays, 43& Oiseaux, 43'/.

KatrouH (ville du DechtisUc , Perse). Ancienne renommée, tum.

XXXV, p. 23. X«4<i. Voy. Oublia.

Kteshê* f ville de l'Yarriba, Gui- né<) ). Fortifications, p. XXX, 115.— Races d'Iiabitaas. Jolies femmex, 116.

Gouverneu', 1 19. -—Superstitions, 121.

X'W( rivière du snJ de l'Afrique), t. XXIX, p. 297 et suiv.

Kemaoun ( province de l'Hindoi's. tan ). Voyage dans l'intérieur , tom,

XXXVI, p. 211 et suiv. Aspect de l'Himalaya ,213, 229. Bois déser- tés périodiquement. 21 4^ 222. £»• tenee dt hibou ( brouillard ). Ses ef- fets 215 , 218. Hideux habitans , 215. Campagne, 216, 219, 220, 221 , 232,246 Invasion de Meir- Khan, 217. Jackals , 222. - Pro- ductions, 224. 225. Figure. Costume, Industrie des Khasyas, 225- 227.— Jo- lie vallée de Beim-Thal , 227. Lac, 227. Belle gorge de Ganghur, 229, 232, 248. Villages, 229, 237, 243,244. Ancienne manière de traverser le» rivière», 231. Arbres, 238. Caractère. Mœurs. Popula- tion, 239. Oiseaux. Quadrupède»,

DES MATIÈRKS.

3t)l

240, 241. Pain eitrAnemtDt grot- •ier, 244. Rii renommé. Tbé •aufigo, 217. ForAt* «poulané- ment inoeudiée«. Boa coii»trictor , 258. Voy. jilmorah, capitale; CaiKêf pour, Ckilttah , Khaijrai , Rud*rpoui;

Ktmmou (capitale du Knarta , Sé- D^arobie). Situation, tom. XXV, p. 115. —Cour du roi, 116.

Ktmmoult ( peuple d'ibyMÏnie ). Sa religion , t. XXtlI , p. 471. Om«- meas dei femmes , 472.

Ktmiuûky ( un de» Ëtatt-Unit ). Sa campagne. Se* ville» principales, t XXXIX, p. 894. Voy. LouiioiU*.

Ktpptl (tie de, arcbiiiel de la Reine - Charlotte ). Découverte par Cartcret, t. III, p. 134.

K*pptl ( Ile de , archipel des Amis). Décuurerle nar Wallif, t !II,p.881. N'est d'après Cuok autre que l'tle des Traître* de Le Maire , t. Vlil ,

Leur conipasiion pour lesanimaua, 227.— CarurUrc. Mceui* , 228. 281.

Kk*n0M ( gtiuveruewent de la Kut- *ie d'Europe ). Voyage dans l'inté- rieur, t. XLiV, p. 386 à 809. Steppes. Villages, 386. Stations militaire*. Colonie de Cosaques, 887. Postes , 389. Campagne , 889 , 397. Colonie militaire. Nicolaif, 395.

KktrtoH (chef-lieu du gouverne- ment). Environs Situation, I. XLIV , p. 807. Fondations. Edifices, 898.

Khctit (tribu de l'HindoniUa }. Costume. Figure. Armes, t. XXXVi, p. 379. Leur origine. Leur état dans le Guserate, 880. Courage. Vigueur , 882. Costdme. Armes , 88o. > Expéditions de ouirande, 884.

Khora$$aH ( province de la Perse ). Sa description. Limites, t. XXXV,

p. 73. HabiUns, 3?,5. '—Comment p. 91. Sol. MonUgnes, 02, 101.

appelée par les naturels , X , 44.

Ktpptl ( Iles de, cAte est de la Nouvelle-Hollande \ Uéconvertes par Cook , t. VI , p. 253.

Rbruuei,bit. a découvert les Iles Ronde et de la Fortune, t, VII, p. 222. Les Iles Croy, Roland, du Rendez- Vous , etc. , IX , 186. Lu terre qui porte son nom, 203 , et XX, 36. Son voyage au prétendu con« tinent austral , XII, 23.

Kerkouk (ville du Kourdisbm , Tur- quie d'Asie) , t. XXXII , p. 484.

Kerma Ue ( tle* de la Polynésie). Ho Macauley, t. XV, p. 143.— Ile Raoul, p. 144.

KtrHuk, Voy. Loggum,

E^routrt ( Iles , Amérique russe ). Reconnues et nommées par La Pé- rou», t. XII, p. 220.

Kershemc ( ville des Tibbous du Bilma-Sahara ), t. XXVII , p. 82.

Kertch ( ville du gouveruement de Tauride, Rusiiie d'Europe ). Tom- beau de Mithriddte , tom. XLIV , p. 433.

Kharaik (ville du Fexzan). tom. XXVII, p. 31.

Khasyas ( paysans de l'Himalaya , dans le Kemaoun, Hindoustan). Fi- gure. Costume. Ornemens des fem- mes. Industrie, t. XXXVI, p. 226. Se disent du pur sang Rajpout.

Désert de sable, 95. Désert salé, 96, 103, 142, 171. DUtrict qui le bornent, 96, 142. Tour- bet, 96, 416. Célèbres mines de turquoises, 99, 191, 193, 195.— Ha- bitans des montagnes , 102. Féro- cité des tribut des frontières, 104. Voyage dans le pays, 121 à 310. Situation des villages, 129 Cara- vanserai, 129, 137, 139, 168, 181. - Tombeau d'un coureur, 130. Dé- fense contre les Turcomans. Forts et tours de terre, 132, 135. 141, 168 Colonie syrienne, 135. Sol. Cim- pagne, 135, 143. 171 , 181 , 202, 276 , 300, 310. 320. Doulet-Abas, 139, 141. Ro.itam, 152.— Crainte qu'ins- pirent les Turcomans, 158. 170. Voyage d'une caravane, 162, 164, 177.— Colonie géorgienne, 167. Ruines, 173, 188. Coton. Mû- rier. Etoffes, 176. Fameux Cara- venserai, 181. Riipacité des chefs, 185. Extraction des tur- quoises, 195. Moutons sauvages, 196. _ Productions, 203, 283, 305,321, 412, 415 et suivantes. Jardins de Derroud, 208. Tom- beau d'Haroun-al-Rasciiihl , 216 à 223 , 233. Berceaux de voyage en chameau , 255 note. Crème salée, 271. -Lieux divers, 277,279.281,300, 302, SOC, 412 et suiv. Indifférence

302

TABLE GÉNÉRALE

religttuM, 1296 , 290. Magaiaqne Coran , 2K. (^bmc au MogUer, tlOè. y'Mt et dùtriot de Bkrdjuurn» Ka'hi, 413. «-^ Tombeau d'un célèbre poète, 418. ^ Etclave* des Turco* ■lant , XXXVII , 241, 263, 277. AipMt dei montagoei, 265. Plante i tnif, 266. Voyage dans le pay*. Tour* de la frontière de la Tatarie, 281. Lieur; diveri. 281, 286, 307-

Eaux thrrmales, 281. —Taren- tule, 284. Campugne , 296 , 305 , 807.— Climat, ^96, 805. Bou- JQOurd. Vallée de la rivière Attrok, 804, Vagabonds llytiU, 805. Voy. AbàaitalmJf Cotthowt ^ DamghtH , El- t*uft, Gonmihbad, Gliori/m, Htrat, Mteh*d, capitale; MgMiitoun, JVitcha- per«, S*vt*<rar^ Stmwun, Seftahroud^ T0ibtt, Tout, ancienne capitale» Turaornam , Yttd.

JT/tou/oMN (ville de la Tatarie, tndé- pendaute). Beaux environi. Pop da- tion. Caraventerai , toro. XXXVII, p. 138. FruiU,151.

Khurttr avilie et oaiis de la Bou- kharie, Tiisrie). Bal aspect, toin, XXXVII, p. 169. Population. Maisons. Lieu de naissance de Ti- Dour, 171* •— Etendue de son oasis , 172.

Kliyrpour ( Tille et Etat du .Sin- dby', Hindouktan ). Cour et costume de l'émir, t XXXVII, p. 371. Voy. Bukkur.

Ktama ( ville et Etat tributaire du Bourgou, Guinée). Costume et es- corte du chef, t. XXVIII, p. 154 156, 161. Latitude. Huttes. Cum- nierce. Religion , 158. ^ Population. Gouvernement. Saints. Dtnrées, 160.

Costume d'un chasseur, 162. Exif^ence du roi, 276. '-' Huttes, XXX , 129. Hutte du roi , 131. Vice des prêtres mahométans, 135 Figures en bois. Céi^monie du hé- knm-Sala, 136.— Courses dechevaux,

138, 141. —Cour du roi. Costumes,

139. Caractère des naturelu, 248. Kiekmi (Ile, golfe Persique). As- pect désolé. Dé<»dence. Population , t. XXXV, p. 12.

^"/ (gouTernr.ment de la Russie d'Europe ). Voyrige dans l'intérieur , t. XLIV , p. 375 à 386.— Campagne, 382 883,585. VassUkov, 382.

Bois. 883. Villages, 888, 884

HabitMus juifs et polonais , S8S. •^ Zvenigorodka. Uman , 884

Kt^f ( capitale du gouvernement deoenom). Son aspect, t. XLIV , pag. 575. Le kaout , 376. Desoriplion de la ville , 377 à 882.

Arsenal , 378. Monastère. Ca- taoofflbos , 379. Rfilises. Le vieux Kief. Le Podota, 881. Environs, 882.

Kim-ChowUx ( ville dn Guzerote, Hindonstan V Vaste caraveuserai , t. XX XVI, p. 396.

KimiHg (ville delà Chine). Envi- rons. Cuuveni, t. XXXIII, p. 176,

177. ~- Indifférence pour le verre ,

178. Temples , 346. Kinitakoitro ( ville des Mandingnes,

Sénégambie ) , t. XXV , p. 312.

KiNU. Expliire les cAtes de la Nou- velle-Hollande, t. XXI, p. 326 H 860, 368 à 418. -^ Nomme différent

Joints , 341 , 343 , 348 et suiv. , 371), 83 et suiv., 398 et suiv. , 412 , 425.

Ses entrevues avec les naturels , 4U7 , 421 . Remarque sur ses ruya- ges,428.

King (lie de, mer de Behring) Nommée par Cook , t. XI, p. 53.

Kiiig ( Ile de , cAto de la Nouvelle- HoUande), t. XLIII, p. 36. ' X'/iigJIra» (province] dn Bourgou, Guinée) , t. XXX , p. 248, 251.

KîngttoH (ville du Haut-Canuda ) , t. > XXIX, 100, 102.

Kiohn ou Alpes Scandinaves, (monts entre la Suèdr) et la Nor- wége), t. XLV, p. 7,93, 500 Le mont Solivara , 304. Chaîne de Chouis-Niumi , 307. Lac», 507, 308. Tempête de lueige , 508. Direction des monts, XLVI, 41.

Hauteur des principaux points, 45.

Région des glaces , 52. Kirklciii (ville de la Ronmélie ,

' Turquie d'Europe ) , tom. XLIV , p. 41.

Kirri ( ville de l'Yarriba , Guinée ). Marché, t. XXX, p. 415,419.— Palaver ( coniteil de guerre ) , 419 et suiv. Formes. Véteraens. Incisions dans la figure. Belles femrae.i. Signe distinctif de la cité, 424. Manière do faire le commerce auz "n'iroo», 427.

DES MATIÈRES.

393

KhtM (Tille dmTibboui du Bilma. Sahara),!. XXVII, p. W.

Kiit0t ( habiUna du Caucate). Mvtirt , utagn , etn., elo., t. XLY , p. 425 à 427 et 444 à 451. Voy. Cu». eai».

Kinnt ( Ua de l'eaipire du Japon) , I. XII, p. 355 { XXXI, 114. V07. /ItmgAUiti.

Jr7Min»M;«r («talloo de missioDoairet en Hottentotie) , t. XXVI , p. 197 , 283. BAtimeut, 201. Service divin, ^gliie , 202. Managei. Éoolet. Village . 204. Maiioni , 206. Naturel* , 207. Autorité de* chef* des naturel*. 208. •- Jar- din*, 210, 212. Blé. Légume*, 212. Habitations d<*. miuionnaire*, 214. Saison», 216. —Maladies, 218.-T Vétemeni,234.

Klatroth. Son Toyage an mont Caucase, t. XLV, p. 400.

Klautin (ville du Tvrul). Son Christ, t. XLV, n. 395.

Ktoof (kraal hottentot). Sa descrip- tion, t. XXVI , p. 180, 184 et SUIT. 296.

Knijght (Ile , Ncu?elle-Zélande , sud- est). Découverte par Broughton. Son aspect affreux , i. XIV, p. 69, 70. N'est autre que les Suares découvertes par Vancouver, 86.

Koehelit* (beuu lac de la Bavière) , t. XLV, p. 359.

Kolalrouha (ville du Kouranko , Sé- négambie^ , t. XXVIll , p. 69.

ICotor (ville du Woulli, Sénégam- bie). Singulière répression des trou- bles domestiques, t. XXV, p. 58.

XemaHgo. on Amango (Me , Poly< nésie), t IX, p. 336.

Komia (ville du Solilimana , Séné- gambie ). Étendue. Danses. Jeux , t. XXVIll, p. 76.

Koi{fodah (port de l'Ycmen , An- bie). Campagne. Climat, t. XXIII, p. l41.

Kenq ( montagne d'Afrique ) , t. XXII, p. 7; XXVIll, 113.

Kongsving*r ( forteresse , Sondcr- fields, Norwége), t. XLV, p. 42 à 45.

Kokkodongort (ville du Soiilimana , Sénégambiej, t. XXVIll, p. 79. Environs, 80. Vue de* sources du Niger, 105.

Konkodou (canton du Fouladou ,

Sénégambiej. Mina* d'or. AlUao* , t. XXV. p. 521.

A^onl'^l ( ville du Xouranko , Séné- gambie), t XXVIll, n. 57.

Koiutantim»gorik (ville dn Cancaie, Biussie d'ËuruDe), t. XLIV, p. 448.

Kootf» (ville du Nifé, Guinée). Très commerçante , t. XXVIll , T«. 195. Marchés. Population. État des esclaves, 196. •—> Caractère. Oc* oupation». Usages des naturels, 198.

Komi (tribu au nord de la colonie du cap de Bonne-Eitpérance). Véte- mens. Traits, t. XXVI , p. 100, 195.

Maurs. Usages. Pays, 192. Kraal (village), 296, 378.

Konquot» (tribu au nord de lu co- lonie du cap de Bunno-Espérance). Taille. Vêtement. Pays aride. Vie errante , t. XXIV, p. 352. Idiome , 559.

Koriaquet. Fixes et errans. Tribus du Kamtsoliatka. Leur état, t. XI , p. 453.

Kofokou ( province dn Rourgou , Guinée) , t. XXX , p . 248 , 251 .

Kottir (port d'Egypte). Fortifica- tions. Commerce, t. XXIII, p. 112.

JCoioHoora ( ville et province du ttaoussa, Soudan), t. XXVIll, p. 202.

Koioo (tie, archipel des Amis), t, IX, p 385.

KoTZKBDB. Son premier voyage au- tour du monde , t. XVII , p. 29. -^ Découvre les Iles Romanzoff , 45. -~ Spiridoff, 46. La chaîne de Ru- rick , 47. Le groupe Krusenstcrn , 48. '— Découvre les groupes Kutu- soff et Suwaroff , 62. L'Ile Rat- manoff , 75. L'Ile Saritschcff , 79.

Chamisso , 85. D'^^iouvre lo dé- troit de Kotzebue, 103. L'Ile du Nouvel-An, 127. L'Ile du Bouc, 144. Les Iles des Oiseaux, 146, 155. L'île Orned. Entrevues inté- ressantes avec les naturels , 150 , 161 , 168, 177, 229, 362, 370. Dé- couvre les diffcrens groupe» des Iles Radack, 164 à 209 , 254. Le groupe Legiep, 231. 2* Voyagt , 255. Découvre l'Ile Predpriate , 266. —Décrit l'État de Taiti en 1824 , 275 à 326. Est visité par la reiue, 305 et suiv. Décrit le» Iles des Navigateurs , 327.— Découvre l'île du Pécheur, 339. Ses rolatioos

304

TABLE GÉNÉRALE

nvec la reine convertie et lettrée de Sandwich, 435, 438, 444 et suiv. Découvre le groupe Rimski-Korsakoff, 463.

Kottebue (détroit de , mer de Beh- ring ). Découvert par Kotzebue , t. XVII , p. 103. Ornement labial des naturels, XIX, 241. Pellete- ries. Ustensiles. Scupltures. Armes , 242. Figure des naturels. Canots reconverts , 244. Couches de glaces sur les montagnes, 249. Pointe Éléphant, 249, 251. Habitations , 251 . Voy. Chamiito,

Kouban (Heuve du Caucase). Steppes de ses bords , t. XLIV, p. 386- $on cours, 435. Temrouk, 437. Tours de g^et et antres fortificitions, 438 , 443. Yékatériaodar, 439. Établissement des Cosaques , 442. Villages, 443.

Kottcfum, Voy. Cotcltoun.

Kouga (rivière du cap de Bonne» Espérance), t. XXIV, p. 113.

Kouka (capitale du Bouruon, Son- dan). Audience du cheik , t. XXVII , p. 117. Denrées. Vêteraeus, 118. _ Esclaves, 118, 216. Belles négresses, 177. Environs , 179. Caravane d'esclaves, 204. Séjour dans la ville. Usages. Mœurs, 209. Mariages, 214. Saisons, 215, 227.

Esclaves lutteurs, 223. Fourmi's blanches et noires , 228. Médecins. Charlatans, 230 Eunuques , 234.

Victoire contre le» Begbarmis , 268 et suiv. Observance du Rha- madan , 277, 279. Punition contre ceux qui l'enfreignent, 281. Célé- bration de la fête de l'Aïd-Kebir , 307.

Kowiknrro (ville du Bambarra , Sou- dan). Commerce de sel, t. XXV, p. 264. Habitée par des brigands , XXVHl, 357.

Kouliufa (ville dn Kotiranko , Sé- négambie) , t. XXVIII , p. 49.

Koum (ville lie Perse , proprement dite). Tombeau de Fatima, t. XXXV, p. 50. Population. Inhospitalité, 52.

Kouma (ville du Bambarra), t. XXV, p. 269.

Koundouz ( ville de la Tatarie indé- pendante), t. XXXVII, p. 142. Manière de prendre le tlié ,145.

Situation, 149. Climat insalubre. Population. Citadelle , 150.

Kouniakarx ( capitale du Kasson , Sénégambie). Audience du roi, t. XXV, p. 106.

Kour (fleuve de Géorgie, Russie d'Asie). A donné son nom à Cyrus , t. XXXI, p. 191.

Kouranko (province , dépendant du Manding , Sénégambie). Voyage dans l'intérieur, t. XXVIII , p. 43 à 74- Mœurs et usages des naturels, 45 et suiv. Campagne , 47, 50 , 56 , 59 ,' 64. Productions, 4<i, 72^ Kou- loufa, 49. —r Rivière de Kabanka- Pampana , 50. Sonbo-SqmbouDia , 51 . Ménestrels , 52. Boundagia, 56.— NynUh, Konkofil, 57. Neta- Kouta, 59. Rivière Tongocelle, 61 , 62. Kaniagania , 65. Funé- railles d'un chef, 67. Étendue, bornes , villes principales , 69. Res- semblance des naturels avec ceux du Tinumani et du Ma^iding. Costi^n-e de femmes , 70. Mariages , ocfcL- pation des femmes ,71. Maisons , 72. Renommée d'éloquence des naturels. Funérailles, 73. Juge- ment!. Gouvernement, 74. Ma- nière de traverser les rivières, 75. Sources de la Rokelle , 104- Es- corte d'un chef, 109. Voy. Kamato, Laing, Simera.

Kourdistan (province de la Turquie d'Asie).Voyage dans le pays, t. KXXII, p. 470, 471 et suiv, Comment les Kourdes dévalisent les voyageurs.Cos- ••umes. Armes, 471. Physionomie, 472. Divertissemens, 475. Ar- belles , 483. Altorm , Kerkonk , 484. Observation de mœurs , t. XXXV, p. 419.

Kouriles (lies , mer d'Okhotsk). Ile Paramousir , soumises par les Russes, t. XI , p. 449. Explorées par La Pérousc. Noms donnés à plusieurs lieux, XII, 419. Ile de la Compa- gnie, 431, 437. Figure, mœurs et coutumes des naturels, XVII, 18.

Kourkavan! (ville du Bondou , Séné- gambie^ Religion , t. XXV, p. 67.

Kricko (rivière de la Sénégambie). Son cours , t. XXV, p. 1 1 1 .

Krogoen ( île de la Norwége ) , t. XLV, p. 118.

DES MATIÈRES.

S»5

Krolio9êti (rille du gouvernement de Tcberoigov, Russie d'Europe). Palais du dernier hetman de l'Ukraine, t. XLIV.p. 371

KRCsEirsTERir. Son voyage autour du monde , t. XVII , p. 3.

Kntenttern (groupe , archipel Dan- gereux). Découvert par Kotzebue, t. XVII , p. 48.

Krusemlera ( Ile , mer de Behring). Nommée par Beechey, t. XIX , p. 237.

Ku«ra' ( province de l'Abyssinie) . Sol. Climat. Nègres païens. Pouvoir du gouverneur, t. XXIII, p. 332.

Xumi ( tte , mer de Corée ). In- sulaires, leur vêtement, leurs piro- gues, t. XII, p. 323.

X^fttein ( ville du Tyrol ) , t. XLV, p. 581.

Kuruma» (capitale des Mantchlapis , sud de l'Afrique). Situation. Maisons, t. XXIX , p. 48. Habitation des chefs. Rues , 50. Grand conseil , â5, 82. Service divin , 59.

Kuruman (rivière du pays des Mant- chlapis). Sa source, t. XXIX, p. 63.

Kuiattz (ville de lu Sibérie). Sa des- cription, Habitans. Travaux, t. XXXI, p. 270.

Kuttery (ville du Boumou , Sou- dan). Singulières huttes, t. XXVII , 249. Fortifications, 250.

KuTTiTER. Ses voyages , t. XLVI , p. 155.

ir«(B«0>7 (groupe , Polynésie). Dé- couvert par Kotzebue , t. XVII , p 57, 62. Canots , insulaires très doux , 58. Leur figure , 60.

I

/.

t.

Lab\t. Ses voyages en Europe , t. XLVI, p. 76.

/.<i£ott (ville du Yarriha, Guinée). Beaux alentours, t. XXVIII, p. 120. Visite au chef , 121.

Zafrra /or (Nouvelle-Bretagne, Amé- rique septentrionale). Nommé par Cortéréal, t. XL, p. xj. Voy. Eiqni- maux.

Lahy (ville du Tenda, Sénégambie), t.XXV, p. 341.

Labyrinthe {JXq» du, archipel Dan- gereux). Découvertes par Roggewio, t. II, p. 57; VIII, 214.

Lnchlan (rivière de la Nouvelle- Hollande), Communication présumée avec la Morumbidje, t. XLIIl, p. 303, 364.

Lacoiir. Son voyage en Grèce, t. XLVI, p. 210.

Ladrilleros. Son voyage par le détroit de Magell.in , 1. 1 , p. 151. Résumé de ses voyages, XVIII, 191.

Laforey (Me de la Polynésie), Décou- verte Kdwards. Indices de sacrifices Immains , t. XIII, p. 430.

La Guayra ( ville du Venezuela , Amérique méridionale), t. XXXVIII, l». 363.

Lagon ( île du, awhipcl Dauge- ronx). Découverte p:ir<Jouk. lJescri(i- tion des habitans, t. V, p. 86. Est

prabablement celle de La Harpe , que

Bougaiuville avait nommée avant lui, VII, 150. Son aspect, XIX, 159.

Belles formes des naturels. Véte- mens, 161.

Lagune (île). Ce qu'est cette sorte d'île, XIII, 419.

Lahajjan (ville du Ghilan , Perse). Population. Bazars, t. XXXV, p. 363.

Laliore ( capitale du Penjab, Hin- doustan). Environs, t. XXXI, p 86.

Antiquité. Situation, 92. An- cienne spleudeur, XXXVII, 13.— Fréquence des tremblemens déterre, 16. Fête du printemps, 22. Riche palais du Summum-Bourj, 24.

Aspect de la ville, 432. Présen- tation de Bornes à Runjeet- Sing, 434. Salle d'audience royale, 438.

Revue militaire. Commandcmcns en français , 438. Description de la ville, 440. Tombeau impérial , 441. Jardin de Shah-Jelian, 442. Voy, Ranjeei-Sing,

Laing. Son voyage dans le Ti- mani (Sénég.irabie ). Faits prélimi- naires, t. XXVIII, p. 1. Audience du roi de Timani, 11, A.ssiste à une assemblée publique, 13, 17. Voyage dans N? Kouranki», 43 et suiy.

lUeu reçu [lar des chefs , 50 , 57 , 79. (;oinplot contre lui, 63 et suiv..

396

. TABLE GÉNÉRALE

■~ Voyage dans le Sonlimana , 74. Assiste à une fête, 76. Assiste à des réjouissances publiques, 81 à 89 , 93 et suiv. Aperçoit les sources du Niger , 99 et soir. Renseignemcns sur son assassinat recueillis par CaiU lié, XXIX, 406.

La LouaÈRB. Son voyage à Siam , t. XXXI, p. 241.

Lamalmom (mont du Gondar, Abys- sinie). Voyage an sommet, t. XXHI, P. 279. Climat , 280. ~ Péages,

281. Plaines et sources au sommet,

282. Langue, mœurs des habitans, 284.

Lamanou (lie et pic de la mer du Jap.). Nommé par La Pérouse-, t. XII, p.359i

Laïuien ( Oe des, archipel Dange- reux). Découverte et décrite par Bou- giiinville, t. IV, p. 200. Nommée ensuite par Cook lie du cap Trnmb, V, 88; XIX, 162.

Landeek (vUle du Tyrol) , t. XLV, p. 405.

Larder (Richard). Domestique de Clapperton en Afrique , coutiaue son journal, t. XXVIII, p. 237. -Inhume ''lapperton, 243. Goftte du serpent cuit, 261 .—Aventures remarquables, 276, 282. Son voyage avec son frère John dans le but d'explorer le cours et l'embouchure duNiger, XXX, 1, —Notice biographique, 2. Rend visite au roi de Badagry, 8, 17, 20, 27.

A différens chefs , 35, 38 , 44, 48.

Au roi de l'Yarriba , 99, 113. De Kiam:<, 129, 131. Nomme le mont Cornouaille , 158. Visite le roi de Boussa, 164, 169, 228, 275.— Le Niger, 166. - Recherche îe» pa- piers de Mungo-Park, 170, 194, 199.

Visite le sultan d'Yaouri, 193, 203 . 211. Descend le Niger, 256 et suLv. Visite le roi de Ouaoua , 334. Assiste à une grande fête mu- sulmane, 259 à 269. Entrevue avec le roi de l'Eau Noire. Beaux costumes, 315 et suiv. Entrevue avec le roi de Kakunda, 376. Est attaqué et pillé, 416, 423 ^Visite le roi d'Eboé, 435, 441 , 444. En est rancouué, 444, 447, 454.

£<io« (province du Siam), t. XXXIV, p. 452.

Lapeuna (ville du gouvernement de Moscou, Russie d'Europe). Marché

da Dimanche, tom. XLIV, p. SS9.

LAPtACB. Son voyage autour du monde, t. XVIII, p. 4l9. Nomme les (les BtU* et Duperrey, 450.

Laponie nonv/gitnne, Voy. Fimnark. Ses différens noms , t. XLV, p. 226.

LopoiUt rutse (partie de la Finlande, Russie d'Europe). Voyage dans le pays, t. XLV, p. 317. Aspect du pays , 317, 320. Arbres. Lacs, 317.

Haltan, 318. Vie nomade des naturels , 320. ^ Rivières , 321 , 324.

Mnnioniska , 321. Bains de va- peurs, 322. Le Muonio , 323. Foire deKangis. Rivière Tornéa, 324.

Lapons du Nordlaud , t^ XLV, p. 168.

Lapons du Finmark. Sontle type de Li race, t. XLV, p. 235. Amour des liqueurs fortes , 175 , 268. Pê- ches de la baleine, 180. Singu- lières tabatières, 188. Taille , li- gure, formes, 194, 243. ^ Agilité. Force , 195, 243 , 273. Famille hi- pone , 202. Costumes , 203 , 204, 241, 242, 249, ^95 '^raiement des rennes, 205. Berceaux , 206. Préparation du lait , 208- Cabane, 218. Hiver passé dans leur pays, 225. Soirées , 231, 233. Chants nationaux, 232. Le Lapon du Fin- mark est le type de la race, 235. Cla.sses de Lapons , 236. Pourquoi ils fuient les forêts en été, 237. Émigrations , 239. Tente , 239, 2Î0.

Caractère, 241, 265, 267- Teint, Vie nomade, 244. Trou- peaux. Gloutonnerie , 245. Nour- riture. Cui.sine. Lait, 246, 247. Goût pour les couleurs voyantes, 249.

Magot du montagnard. Contribu- tions , 257. Familles , 258. Ac- couchemens, éducation des enfans , 258 à 260. Chasteté, 265. Ra- reté des vols , 266. Restes de su- perstition, 266. 269, 292, 293. - Bonuc santé, 267. Maladies, Mé- decine , 268. Armes. Chasses , 269.

Patins à neige , 272. Fête a la ré.'iparition du soleil, 274. Inté- rieur d'une gamme, 275. Lapon.'* marins, 276. Noces, 286 et suiv. Sieste , 289. Idétvs sur l«.>. aurores boréalïs, 292. DiCficiiltc de des- siner un Lapon , 293. Danse , chant , costume du montagnard . 294,

98àl01,31î

du climat , jari

DES MATIÈRES.

307

295. Traîneaux , 296. Sont ba- billards , 50t. Vie d'an prêtre lapoo. Cimetières, 311. Tente à rennes, 313. Pipes, 316. Pour leur pays , voy. Finmarlr.

Laroche (ville du Maroc). Descrip- tion de la yille et des environs , t. XXII, p. 90, 13».

Lari (ville du Kanem , Soudan) , t. XXVII, p. 98, 318. Huttes, 98 à 101 , 318.

Laroqce. iiou voyage dans l'Arabie- Heureuse, t. XXXI, p. 238.

Larro (ville de l'AIquemi, Guinée). Fétiche du lieu, t. XXX, p. 43. Costume du chef. Figure des naturels, 44. Progrès du pays , 46.

Lai^ns (îles des). Voy. Mariannet,

Las Casa.h. Ses commencemens , t. XXX V 1 1 1, p. 253. Peint les atroces procédés des Espagnols contre les In- diens , 255. £n instruit le roi, 256.

Ses plans pour exploiter les An- tilles , 258. Sa première colonie ne réussit pas , 260. Ses représenta- tions au noi sur le sort des Indiens -, 261 et suiv.

Latdjird (village du Khorassan , Perse). Fort remarquable , t. XXXV, p. 131, 132.

Lasta (province de l'Abyssinie). Habitans. Cavalerie, t. XXIII, p. 327, 328.

Latika ou Laodicét ( ville de la Syrie , Turquie d'Asie) , t. XXIII , p. 45.

Latte (île , Polynésie). Découverte par Maurreli, t. XIII, p. 232.

Laughlan (lies , Australie). Nombre, •aspect, t. XVIII, p. 307.

Lebeda ( Leptis Magna, ville de l'État de Tripoli). Ruines antiques , t. XXIII, p. 39.

Lk Brutn. Sçn v "âge an Levant, t. XXXI, p. 238.

Le Cap (capitale de In colonie du cap 'de Bonne-Espérance). Salubrité du climat , jardin de la Compagnie , t. III , p. 63. Bâtie par les Hollan- dais. Sa description, VII, 121, 193.

Climat, 125, 199. -— Animaux. Productions , 126. Jardin de la Compagnie , 127. Naturels du pays , 128. Quai ,133. Descrip- tion de la montagne de la Table , et du pays d'alentour, l94. Vins du Cap,

198. Aspect. Rues. Population , XX, 120: XXIV, 8. Poisson. Gi- bier. Fruits , 10. Effets du vent , 12. Maladies, 14. Pluies, 15.

Vignobles, 41. Boisson», 43.— Arbres , 46. Habitations voisines , 48. ■— Nègres affranchis , 49. Moutons du Cap, 175. Colons descendans des réfugiés français, 239.

Fripiers , 251 . Absence de jeux , 272. Bel aspect iutérieur de la ville, XXVI , 7. ; Maisons , 8. Climat , 8, 27. Églises et autres monu- mens. Fleurs, 10. —Fortifications. Plantes des environs ,14. Histo- rique, 19. Habitans. Commerce et prix des esclaves, 20. Première mission , 64. Chariots ,81. So- ciété, XXIX, 231.' Jardin du gouverneur. Danse des esclaves. Ma- riages , 232. Amusemens. Viiriété des costumes , 235. Équipages. Bals. Courses de chevaux, 236.

Lecee (ville du royaume de Naples), t. XLVI,p.l97.

Lee-Boo. Fils du roi des lies Pelew. S'embarque avec Wilson pour l'Eu- rope. Curieux détails sur les impres- sions que produisent sur lui tous les objets nouveaux. Son bon caractère. Son intelligence , t. XIII , p. 386 à 417. Arrive à Londres, 408. Sa mort, 416.

Leechee (ville de l'Yarriba, Guinée). Résidence du chef. Niger, t. XXX , p. 309. Canots , 310.

Lefooga (lie, groupe Hapaee, ar- chipel des Amis). Sa description , t. IX , p. 369. Son étendue , 370.

Femmes oculistes. Coiffeurs , 374.

Mondrain factice , 376. Den- rées , 351 . Cérémonie de la récep- tion que l'on fait à Cook , 352 et suiv.

Combats simulés , partagés par les 9 femmes , 355. Danse remarquable,

358. Description particulière des amusemens nocturnes des naturels, de leurs chants et de leurs danses , 359 à 368. Description de l'Ile. Sol. Cul- ture , 369. Maisons , 370. Tom- beaux. Mondrains factices , 370, 376. Étendue. CAte , 370. Femme ocu- liste. Singulier moyen pour raser les cheveux , 374. Pierre remarquable, 376.

Leoirtii. de l'A Barbiitais. l&oa

308

TABLE GÉNÉRALE

vuyàgc autour du monde, t. II, p. Sa. Est le premier circnmnavi- gateur français , 40. , Legeta (lieu de la Haate«Égypte), t. XXIH, p. 104.

Ltgiep (groupe, Iles Ralick). Dé- couvert par Kotzebue. Naturels , t. XVH, p. 231.

Leigh (tle de, Australie). Décou- verte par Carteret , t. III , p. 148. Gros crocodiles , XVIII , 307.

Ltkoë (il« de la Morwége) , t. XLV, p. 118,120.

Lk Maihk et Schouteh. Leur voyage autour du monde, 1. 1, p. 278. Découverte de laTerre des États, du détroit de Le Maire et du cap Horn , 284 . 286. De l'Ile des Chiens, 287. —De l'île Sans-Fond, 290.— De l'île de Watcrlaud, de l'île des Mouches 291.

De l'île des Cocos , 295. Des îles des Traîtres et de l'Esiiérance , 300.

Des îles de Horn , 312. Des îles Vertes, 514. •— De l'ile de Moïse, 320.

De l'île du Volcan, 321. —De l'He d'Arimoa , 324. Ile Schouten, 327. Arrivent aux îles de la Sonde ils sont arrêtés. Le Mairp meurt empoi- sonné, 331 et 278. L'Outong-Java découvert par Le Maire, XIII , 225.

Résumé de leur voyage , XVIII , 195.

Le maire (détroit entre la Terre de Feu e'; la Terre des Etats). Découvert par 1<; navigateur de ce nom, t. I , p. 284 , 286. Plantes de cent vingt pieds de haut . V, 47. ■^* Remarques de Cook. sur son gisement , 75.

Lemming, Description de cet animal et de ses habitudes. Singulière croyaucc à son égard , t. XLV, p. 92 à 96 , 183 à 185.

Leimot ( lie del'Arcliipel), t. XLVI, p. 98.

Leobadda ( ville de l'Yarriba , Guinée), t. XXVIII , p. 134.

LÉON (Jean Ponce de). Découvre la Floride, t. XXXVIII , p. 248.

Léoh (ville d'Espagne). Sa déca- dence, t. XLVI , p. 173.

LéoH (province d'Espagne). Voyage dans le pays. Supériorité de Sala- piauque sur Léon , t. XLVI, 173.

Léopards dt mer. Leur description , t. XXI , p. 215.

Lépreux ( île d«s , Nouvelles-Hé-

brides). Découverte par Bougainville. Description des habitans. Etoffes à dessins. Armes , t. IV, p. 271. Son gi&^iment , VIII , 423.

Lerma (ville du Mexique) , t. XLI , p. 156.

Lesghis (habitans du Caucase). Mœurs. Usages. Caractère, etc., etj*., t. XLV, p. 421 à 425 , et 444 à 451. Limite de leur territoire 451 . Fi- gure. Caractère. Traitement des pri- sonniers. Vengeance, 452. Puni- tion de l'adultère. Paresse des hommes, Occupntioûs des femmes , 453. Hospitalité. Habitations. Ustensiles, Meubles. Nourriture , 454. Reli- gion , 455.

Leutkirch ( ville de la Bavière ) , t. XLV, p. 340.

Levaillant. Notice sur sa vie, t, XXIV, p. 1, Son lef rofoge en Afrique , 7. Ses chasses d'animaux féroces, 18 , 50 Id. de bêles fau- ves ,61. IJ. d'oiseaux , 75, 275, 312 , 318 , 322 , 335, 384. —M d^- léphan.s, 92. id. d'hippopotames , 127, 311. 320. Id. de girafes. Leur description , 324, Id. de ga- zelles, 451. Ses collections per- dues , 25. Préparatifs de sa graudè excursion 52. Détail sur les ani- maux qui font partie de sa caravane, 64, 68. Dangers qu'il court , 77, 94 , 365. *• Aspect de .sa caravane , 111. Épi.sodedeNarina,131àl42. Sa visite au chef des Gonaquas , 146. Épisode des Caminouquois , 189.— ^$on yoyage , 233. Sou excursion chcs iesNamaquois, 290. Chez les Caminouquois, 529. Chez, les Kabobiquois, 356. Leur achète un bœuf de guerre, 362. Se reud chez, les terribles Houzouanas , 395, 404. Chez les Gheyssiquois , 442. 0 Leviin^cr ( ville du Nordenfields , Norwége). Foires , t. XLV, p. 105.

Lever (villt du Ouaoua , Soudan). N'appartient pas au roi de Ouaoïia , t. XXX, p. 294. Population, 297. Sa fondation récente , 298. Danses. Cb-ints, 301. Niger, 304. Lézard.' (île des, côtes de la Nou- velle-G<''ilcs méridionale). Découverte I»"- cook. Sa description. Ses huttes. Ses lézards, t. VI , p. 545, 346. -- Ses productions, 350.

DES MATIÈRES.

390

Lhasta (capitale du Ttiibet), t. XXXI, p. 419 , 421 . Signification du nom. Riche monastère , 451 . Couvens. Ualai-Lama. Crédulité, 452.

Lhkrmite (Jacques). Son voyage autour du monde , t. I , p. 332. Explore et décrit la Terre de Feu , 335 et sniv. Meurt , 344.

Liban (montagnes de Syrie). Cou- vent de Maronites. Grotte des Fous. Cèdres.t. XXXn,p. 452.

LiJhoping ( ville de la Gotliie , Suède), t. XLV, p. 9, 10.

Liem (ville du Tyrol) , t. XLV, p. 390.

Ligurie (province du royaume de Sardaigne). Coup d'oeil sur le pays. Gênes , t, XLVI , p. 266.

Lily- Fauniain .'village liottentot , Namaqua ). Fondé par les mission- naires. Habitans. Leur nombre , tom. XXIX , p . 223.

Lima (capitale du Pérou). Mœurs , habitudes , costumes des dames , t. XLI , p. 389. Route de Lima à Callao, 391. Environs. Arc de triomphe Églises, 392. Rues. Trottoirs , 393. Théâtre , jfe4. Voy. Callao.

LiNCK. Son voyage en Portugal , t. XLVI, p. 188.

Lindau (ville de la Bavière), t. XLV, p. 338.

LiNDENAU. Ses voyages à la re- cherche d'un passage au nord de l'A- mérique, t. XL , p. xix et suiv.

Liakoeping ( ville de la Gothie , Suède) , t. XLVI , p. 289.

Liant ou éléphant marins. Leur des- cription, t. II, p. 15. Plus d'étiil- lée , 142. Leur description, IX. 81. Leurs mœurs, 82. Leurs combats nch.';i:nés au temps de la co- pulation , XVII , 216; XXI, 316; XXXI, 387 et suiv.

Lion (tête du , montigne du cap de Eonne-Espérance ). Sa description , t. XXIV. p. 268.

Lion (faus.se tète du , montagne du (^ap ). Sa description , t. XXIV , p. 2G8.

Li/ipa (ville de la Hongrie , empire d'Autriche) , t. XLIV, p. 118.

Lisbonne ( capitale du Portugal ) , t, XLVI , p. 188, 189.

Lisburn (cap, Amérique russe).

Nommé pir Cook, tom. XI, p. 71.

Lissa ( tle du golfe Adriatique ) , t. XLIV, p 330.

Litakou ( capitale des Bachapins- Betchouanas , sud de l'Afrique). En- virons , t. XXVI , p 416 et suiv. 454.

Maisons , 420. Chefs. Réception de ^urchell , 421 et suiv. Usages

des piiissans, 430. Danse, 444

Étendue, 451. Intérieur de mai- sons , 452. Repas , 455 , 456 Peintures , 457. Forgeron , 459 et sniv. Gisement de la ville , 463. Étendue Population. Sépultures, ^.

Pâturages. Animaux domestiques , 467. Climat , 469. Abandonnée par les habitans. Son étrange aspect , XXIX , 69. Quartiers. Indus- trie de la nouvelle ville, 337. Vallée du Miel , 338. Ancienne et nouvelle ville. Canal des Mission- naires, 345.

Liverpool ( ville de la Nouvelle- Galles méridionale , Nouvelle-Hol- lande) , t. XLIII , p. 23 , 30. Ses plaines fertiles , 37, 39.

Livingston {i\e, archipel des Caro- lines). Découverte par Morell. N'est que l'île Ononn , t. XX , p. 21 4.

LoAisE. Son voyage autour du monde, t. I, p. 153. Dévoûment de son aumônier, 157. Meurt dans la mer du Sud, 159. Voy. Sa- lazar.

Loffoden ( îles de la Norwége ). Pêche , préparation , etc. , de la mo- rue , t. XLV, p. 145 à 152. Aspect des îles , 163. Golfe de Vest , 165.

Ile Hiudoën. Parties habitées. Fertilité. Ile Rost, 166. Marsouins, 167. Description d'un Lapon , 169.

Ile Scnjen , 169. Renards bleus, blancs, rouges , noirs, 169, 170.

Loggun (pays du Soudan). Mon- naie, t. XXVII, 255. —Race. Ca- ractèie des habitans, 256. Deux sultans, 257. Productions, 265. Industrie. Métiers , 266. Animaux. Epux stagnantes. Insectes , 267. Défaite des Uegliarmis , 268 et suiv.

Loggun ou Kernuk ( capitale du Loggun ). Population, "Teintures. Monnaie de métal tom. XXVII, p. 255.

Loheia (port de l'Yémen , Arabie), Aspect. Sol. Provisions. Gouverne-

400

TABL GÉNÉRALE

ment , t. XXIII , p. 146. Orne- mens des femmes, 148.

Lombard'F'MtitK ( royaume , pro- vince de l'empire d Autriche). Divi- sions , t. XLVI , p. 266. Limites. Milan. Venise , 267.

Londrtt (capit. du royaumenni de la Grande-Bretagne). Aspect de cette ville. Son intérieur, t. XLVI , p. 280 et siiiv. La ville et ses babitans comparée à Paris et aux Parisiens, 282, 283.

Long-Iiland ( lie du New - York , États-Unis). Sa formation. Traces du déluge, t. XXXIX, p. 208.

Long-lsland ( ile de la Malaisie ). Découverte par Wallis, t. III, p. 396.

Longue (t\e, Nouvelle-Zélande). Dé- couverte par Dampier, 1. 1 , p. 454.— Sa description, Vil, 310.

Loo-Choo (Ile , mer de Corée), Port Napa , t. XIX , p. 395. Costumes, 3S3. Interrogatoire des étrangers , 397, 400. Bouté des naturels, 402 et suiv. N'aiment pas à laisser pé- nétrer les étrangers dans l'intérieur de nie, 401, 403, 405, 409. Tom- beaux , leur intérieur, 407, 408. Campagne cultivée , 410. Capitale de l'île, 410. Monnaie, 412. Mouchoirs de papier, 415. Popu- lation. Figure et mœurs des naturels , 418. Instruction, Vétemens, Na- turels ont-ils des armes ? 420. Ré- pression des crimes, 422. Reli- gions, 424. Commerce. Manufac- tures. Connaissances géographiques , 425. Costumes. Canots , t. XXI , p. 62, 67, 70, 81, 195. Entrevues avec les naturels. Leur affabilité , 67, 74, 87, 93, 103, 136, 167. - Leur figure , 70, 145. •*- N'aiment pas à laisser débarquer les étrangers , 72.— 78, 80, 102, 120, Pont. Cimetière, 76,85, 177. - Festin, 96, 114, 156, 167, 179. Prêtres non respectes , 98, 198, Intérieur des terres, 109 et suiv 121. Intérieur d'une mai- son, 122. Temple, jardin, 126.

Description dn port Mel ville , 132 à 143. Tntouage, 145. Funé- railles, 147. Timidité des femmes, 163. Cérémonial , costume du prince, 167, 173. Religion, 187.

Cimetières , 188. Le roi seul a plusieurs femmes, 190. État des

femme», 191. |— Littérature. Armes, Justice , 192. Musique , 194. > Bétail, culture, manufactures, 196.— Fabrication dn sel , 198, ~- Gouver- nement, XLIII, xxviij.

Lepatka ( cap du Kamtschatcka) , t. XI , p. 456.

Z«/)p<ii(ile, dnFinn)9rck,Norwcge), ' «Lapons, t. XLV, p, 194. Ca- verne, 195. Étendue , sol., 196.

Lottange {i\e , archipel Dangereux), Découverte par Duperrey, t. XVIII p. 140.

Let-Rejr** ( ville dn Pérou ), Fon- dée par Pizarre , tome XXXVIII, p. 333.

Lougou ( province dn Bourgou , Guinéc),t. XXX,p, 248, 251.

Louis XIV, Son ambassade à Siam. Mieux uceonillie que ne le furent celles des Anglais, t. XXXIV, p. 219. Voy, Finlayton,

Louiiiade (archipel de l'Australie), Ile Saint - Aignan , t, XV, p. 25^. Groupe de Bonvouloir, 258. -1 .as- pect riant de la grande tle , 259. Naturels font des ornemens d'os hu- mains. Leur pudeur, 262, Combat de deux pirogues, 263, Nutrrels sont cannibales , 263 , 265. Bou- cliers , pirogues , 264. Iles Jurien , Trobriand,266.

Louisiad» (golfe de la , Est do la Nouvelle - Guinée ). Découvert par Bougainville, t, IV, i), 290 et prcc,— Beauté du pays , 284,

Louitiaiie (un des États-Unis). Usage de la langue française , t. XXXIX . P. 366, 386, 389. Aspect des forêts, 386. —Voy, NoweUe-OiUant, capitale.

Louit-U-Grand ( fie du détroit de Magellan) , t. IV, p. 189.

Loutres (Me aux i mer de Behring) , t. XIX, p. 281.

Loutre de mer. Sa description , t. X, p. 371; XII, 164, 244; XIII, 359, 372; XVII, 406. Est diiférente de la loutre de rivière , 407. Sa chasse , 408.

LouUville (ville du Kentucky, Etats- Unis) , t, XXXIX , p, 375. Beaux arbres, 376,394,

Loyaltf ( groupe, Nouvclle-Héb.). Iles Chabrol, Halgan-Tupinicr, tom. XVIII, p. 304.— Ile Britanuia, 305,

DES MATIÈRES.

401

Loyd (port de l'tle Peel). Nommé par Becchcy, t. XIX , p. 431.

Lucayts ( tics , Amérique ), Pre- mières terres découvertes pur Colomb, t. XXXVIII, p. 94, 240. Voy. Sun- Salvador.

LuekHOiv (capitale de l'Aondh , Hin- doustan). Gazetier, t. XXXVI, p. 180.

Entrée dans la ville, 181 et suiv,

Rues, 181, 182, 185. - Men- dians, 181, 190. Mosquées. Pa- godes. Bazars , 182 , 185. Carac- tère de. hahitans. Tombeau royal , 185. Collège musulman , 186. Beau palais, 186. Audience du nawab. Sa demeure. Sa couronne. Ses œuvres scientifiques , 187 et suiv.

Usage de reprendre les cadeaux , 191. Population. Ponts , 193. Chrétiens ; autres habitans , 194.

Luçon{\\e, archipel des Philippines). Désavantage du gouvernement des Es- pagnols, t. XII, p. 299. Extrême fertilité du sol , 303. Pirateries des Mores ou Malais mahométans, 305.

Garnison, 311. Tremblement de terre , port de Sisiran , XIII , 206 à 212 ; XVIII , 403. ^ .sion en paroisses , 440. Climat. Sol. Produc- tions. Objet d'exportation , XX , 217 et suiv. Habitans , XLIII , xiij , et suiv. Voy. Cavité , Manille.

Lwiamar ( royaume Maure de Sé- négambie). Voyage dans l'intcrienr. Coiffure des femn.^s , tom. XXV , p. 126. Jarra : maisons , naturels, 127, 131. Dina, 135 —Fabrica- tion de la poudre, 137. Musique , 138. Captivité de Mungo-Park au camp près de Benoum ,;140 et suiv. Armée , 182, Limites, 182. -- Voy. Maures de la Sénégambie.

Lugan (ville du Voronedje , Russie d'Europe). Grande fonderie de ca- nons , t. XLIV, p. 456.

Luleojas ( tribu de Betchouanas , sud de lAfriq je) , t. XXVI , p. 470.

Luioa (ville du Nordland suédois) , t. XLV, p. 329.

Lune (monts de la). Voy. Amid- Amid.

Luxor (ville de la Haute-Egypte). Belles ruines, t. XXIII , p. 91.

Ly\ll. Son voyage en Russie , t. XLIV, p. 354.

L^ke (désert de , partie du Sahar.^ Ses oasis doivent renfermer de cu- rieuses ruines, t. XXII, p. 319. Natron du bois de Bir-el-Malha, XXV , 395. Arbres pétrifiés, 421. Oum-£ssogueir : site, maisons , habi- tans , 422. Voy. Oasit de Syouah.

Lynx. Description de cet animal t. XLV, p. 90.

M

Maasoi{i\e du Finmark , Norwége), t. XLV, p. 212.

Maboum (ville du Timani , Séné- gambie). Composée de deux villes ti es dif£ér<înies , t. XXVIIl , p. 27, 43.

Mœurs et usage des Mandingues, 45 et suiv. Campagne. Produc- tions, 48.

Ma-Buitg (ville du Timani , Séné- gambie) , t. XXVIII , 23. Gri-gri (sorcier), 25.

Macao (île et ville de la Chine , en face de Canton). Autrefois très riche, t. II, p. 292. Fondée à quelle oc- casion par les Portugais , comment ils l'ont perdu , XH, 270. Fortilica- tion du fort, 277. Population, 278. Quelques privilèges des Chi- nois , 279. Gouvernement , 280.

Aspect riant de la ville, 282.

XLVI.

Portugais soumis aux Chinois, XVIII, 404, Aspect de l'île , 442. Mar- ihés. Maison du Camoèns, 447. Son buste , XXXIII , 423. Climat , XXXVIII, 420.— Voy. Tigre.

Macariej (ville du Nijni-Novogo- rod, Russie d'Europe ). Description de ces célèbres bazars, t. XLIV, p. 466 à 469.

Macartnky. Son voyage dans l'in- térieur de la Chine et en Tartarip. Préliminaire historique de son ambas- sade , t. XXXHI, p. 426. Arrive à Péking , 447. Discussion pour le cérémonial d'hommages , 453 , 464. Part pour la Tartaric, 458. Re- çoit audience de l'empereur, 466, 467.

Mac-Askill (îles, archipel des Ca- rolines). T-oductions, tom. XVIII,

26

402

TABLE GÉNÉRALE

p. 177. < Naturuls. Yétomeni. Orne- mens, 178.

Macaisar (ville de l'ile des (Jè)èbcs). $itiiatioa. EnTirons, t. 1(1 , p. 205 , 211. -r- Comptoirs do sod départe- iD«nt. Sa garoUon, IV, 882.

A^cauet ( peuple de la race Bot* tentote). Teint. Hahillemrnt. Armes. Superstitions. ]<hcndiie de leur pays. Circoncision , t. XX , p. 127 et suiv.

Meuaulax ( 'les Kermadec , Polyné- kie), t. XV, p. 143.

Machaou* ( tribu de la race do Betcliouanas , Afrique ). Mœurs et coutumes , t. XXIX , p. 358.

Mackbnzik. Ses reclierches du pas- sage au nord de l'Amcriquc. Découvre lu rivière de son nom, toni. XL, p. xxvij et suiv.

MaektntU ^fleuve de TAmérique septentrionale). Sa découverte. Ses trois bras. Son cours , t. XXXVIII , p. 57 , 38. Charbon de bois brû- lant sur ses rires. Terre mangée par les Indiens , t. XL , p 490. Produo- tions des rives. Indiens , 491. Lao du Grand-Ours. Fort Franklin , 492.

Mqcoh (ville de la Géorgie, Etats- Unis). Fundatiozi récente. Singulier aspect, t. XXXiX, p. 540 et sniv.

Macouthis ( Indiens de l'ouest de Guiane ). Leur pays , t. XLI , p. 198.

Leur fabrication du terrible wourali (poison) , 205 et suiv. Son iisnge à la chasse, 208, 212. Armes, 2U8 et suiv. , 210, 213, Costume de chasse , 210, 211. Ruses de chasisc, 212. Remèdes au poison , 214.

Maequarie ( ile de la colonie de la Nonv.-Hollande), lUorne aspect delà campagne.Colons, tom. XL11I, p. 116.

Maoquarie (rivière de la Nouvelle- Hollande). Sa découverte , t. XLIII , p. 176. Expédition pour recon- naître son cours , 179. Beoseigne- mens recueillis, l81. Rives, 183, 185, 192, 196. Arbres, 183, 185, 186 , 195. Affluens , 184, 186. Rapides , 185. -~ Beauté du Casua- rina, 185. Entrevues avec les n,i- turels, 187. 191, 193 et suiv., 212.

Lac Buddah, 188. Cataracte, 190. Marécages , 194 , 202, 210 à 218, 223 , 261.— Sécheresse, 196.— Le mont Barris, Ses alentours , 198 «t suivante». Roseaux , 201 , 205 ,

207. Excursions do Sturt, 202, 204 à 208, 210, 218, 222. Fin de la rivière , 205, 221, 226. Explora- tiun des marais. Son résultat, 210 à 210, 223. Inondations, 225.

Madagaiear. tremière.s notions sur cette ile obtenues par Covilham, t, I, p. 50.

Madirê (tle, océan Atlantique). Découverte par les Portugais. Origine de son nom , t. I , p. 20, Vins excellens , 11, 75. Bel aspect de l'Ile , V, 6. Pressurage du vin, 7. Productions de toute espèce, 10.

Description de la ville de Fun- cbal, 10. Population de Die , 12. Description de Funchal , VII, 165.

Gouvernement de l'ilc, 167. Descripticn des indigènes', 169. Description de l'Ile. Sol volcanique , 171, Culture de la vigne, 173,

Animaux domestiques et sauv,i- ge.s., 174. Origine du nom. Inccu- die des arbres , XXII , 9. Aspect de Funchal, XLII , 81, 86. Riie* Moyens de transport, 82. Bœufs. Origine. Costume des gens de la cam- pagne , 83. Figure et vétemen» des femmes, 84. Mendians. Maisonii , 85. Arbres des environ?, 86. Monastère de Motrc-Danic. Vœux des marins , 87. Marsouins , pois.sous volans , 88

Madibou ( village du Bambarn ). Poissons. Crocodiles, t. XXV, p. 237.

Ittadison. Voy. Naaka-ltiva.

Madrat ( capitale du Carnatic , Hiu. doustan.) Aspect intérieur , t. XVIIl, p. 435. Aspect. Les Mamli et les Catumarans , cmb.trcations , XXXVI, 429. Cathédrale. Maisons. Arbres, 431. Climat, 432. Parc d'arUlle- rie, 435.

Madrid ( capitale de l'Espagne ). Ses environs. Son origine. Le Prado, t. XL VI, p. 175. -^ Résidences royales des environs : l'Escuri.')! , Saint-lldefonse, ArauJTiez, 175, 176.

Maélstrom ( fameux gouffre de Norwége), t. XL V, 155, 160.

Malar ou Molar ( lac de la Suède), t. XLV, p. 15, 335.

Magaria (ville du Gouber, Haoussa), t. XXVllI, p. 222.— A été propij. fmcnt agrandie , p. 227. Prières des musulmans , 228.

DES MATIERES.

40S

Magdalenti ( Ile, archipel des Mar- quises ). Relation de «a déronvette, par Mindoua , 1. 1 , p. 107 ; XV, 3i)6, 068 et siiiv. Phy^Domie des .ta> bilans , 373.

Maoellait. Part de Soville pour arrirer eux Moluques pur l'occident, 1. 1, p. 123. Découvre l'Ue de» Oies, 128. Prend possession de la Patii- gouiu ail nom du roi d'Espagne, ITS.

OccouTre le détroit qui porte son nom et la Terre de Feu, 140. Nomme l'océaa PariBqiie, 141. Découvre les lies Malheureuses , 143.

Les Iles des Larrons, 145. Les Philippines , 146. Est tué dans un combat dans l'Iode, 147. Son équi- page continue sa route et arrive en Espague, 149. 11 est le premier qui ait fait le tour du monde, ii. Son vais.seau conservé comme un monu- ment de sou expédition , 150. Ré- sumé de ses voyages , XVIII, 190.

Magellan ( détroit entre Terre de Feu et Amérique ), Découvert par Ma- gellan ), t. I, p. MO .Ses dimeri- siou.% 155. Ses miirce.s. Se» rives couvertes d'une neige bleue, 156 ; IV, 154. Il y vente fort, on ne peut y ancrer, 1,175, 246. Parcouru et décrit dans toute son étendue, par Byron, II, 397, 409, 427, 452. Observations générales sur sa navigation, 448,453.

Détails snr les deux eûtes du dé- troit, 247, 277. Descriptions des principaux endroits de monillage.s, 277. Table des distances et de la situation des pointes du détroit , 286.

Traversé par Bougainville. Ob- servations et descriptions de mouilla- ges, IV, 133, 196. Sa longueur entière. Observation sur sa naviga- tion, 195. Quantité de biileincs , t. XII, 61. Voy. Uc Sante-Eliiabeth, port Famiat, Pilares, cap.

Mngtroe[\\e de la Norwége), tom. XLV, p. 131. Le cap Nord, 212. V. c* nom. Aspect de l'île Mouettes, 213. Rareté dn bois. Maisons, 214.

Habitans. 216. Cabane, 218.— Ouragans de neige, 222- ' .S.'ilubrité du climat. Aurores boréales, 225. Sol, étendue de l'île. Abaissement de la mer. Le Knivskiosmess , 224.

Maha-hali'Poitr {^y'iWe. Carnatic, llinduustau). Sos ruines. Rochers

sculptés. Allégories, tom. XXXVI, p. 436.

JUakarré ( rille du Tinutni , 8én<« gamiiie), t. XXVIII, p. 9.

Mttké ,' Ile , groupe Seychellei ) EnorroA 'tues, t. XVIII , p. 427.— Bœufs. Français ? sont regrttt^. 428.

MaXHottt on Ltuonl»n» ( peuple de la Grèce). Leurs mœurs gnerrière*. t. XLV I, p. 208.

Maitea. Voy. Otnabnelt.

Maitsha (province de l'Abysùnie). Production , t. XXIII , p. ?3l , 402.

Sol , 402, 416. Capitale, 461. lHakivUr$ ( tribtt de Betchouana* ).

tXXVI, p. 471.

Malabar ( Etat de l'Hindoostan ). Caractère des habitans, t. XXXI, p. 547. V. Calieut, Coehin, CaHgtnor.

Malabats ou Tamouh (naturels de la cAte do Coromandel). Sont de la famille Malabre, t XXXI, p 21.

Figure. Mœurs , usages , 338 et suiv.

il/(r/(i«a(presqu'tle de l'Indo-Cliine) . Soumis* par Albiiquerque, tom 1 , p. 104. Fort de Queda. Animaux. Sol. Plantes, XXXI V, 31, 32. Ar- bres , 35.

Miilaca ( capitale du royau 5 de ce nom ). Origine. Port. Soumise par Albuquerque, 1. 1, p 104. Enlevée par le.s Anglais aux Hollandais, XVIII, 393. Environs. Sol. Pro- ductions, XXXIV, 38 et suiv. Air de snlitude. Climat, 41.' Fa- milles ludlaudai.ses. Esclaves, 42.

Malaca ( détroit de, mer des Indes). Structure des lies. Pliénomènes de v«^> getation, tom. XXXI V, p. 13 à 47 Voy. Poulo Dinding, Poulo Peitang ^ Sin Capert,

Malacotia ( ville dn Fonladon , négambie). Huttes, t. XXV, p. 319.

Malais ( peuples d'/Vsie). Dur es- clavage de leurs femmes. Religion, t. XVIII , p. ^139. ■— l'èlcriiingps à la Nieeqiie, XXXII, 238, 24C. Gtrac- tère , mreiirf , usages , XXXIV, 76 à 80. l'aeo, 240. P'ormes physiques , 240 h 216. Teint. Nourriture. Re- ligion, X LUI, iv.— Dominent dans rO- céauie, aj Diversion des races.Idio- mes, sj. Sont d'habiles commercans. Leur littérature, xii , xv. Race. Fi-

401

TABLE GÉNÉRALE

t

gure, XT f t inir. Lieux ils sont éta- li». —Nourriture, xvj. Costume, ca- ractère , xvij. Langue, xxxij. Figure , forme* , chefs. Polygamie ,

Ixj"

Malàipti ( lie*, mer des Indes). Ne sont que récifs de coniit, t. XYIII, n. 428— Cacaotiers, XXXIV, 26.— Embarcations. Denrées. Naturels , XXXV I, 3.

Mai.donata, Son aventure extraor- dinaire à Buénos-Ayres, t. XXXVIII, p. 349.

Mallieolo (tle, NouTelles-Hébridcs). Découverte par Cook, t. VIII, p. o29, 838. Habitans , leurs ornemens , 330,334. Langue, 530, 542 Leurs arcs, carquois et uutres armes, 336. Cabanes, 338. Sul fertile. Animaux. Population. Climat, 343. Nourriture des Imbitans. Instrumeus de musique , 345. Se versent de l'eau sur la tête en signe d'amitié , 347. Aspect du pays, 415.

Malouinei ( Iles , vûte eut de l'Amé- rique méridionale) Découvertes par La Bocho ou Davis, toui. II, p. 43, 420. Nommée Belgie australe, par Roggewiu , 44. Leur description , 4l4 et suiv. Pourquoi ensuite nom- mées Malouines, 421. Les Frun^-ais qui en avaient pris possession les rendent aux Espagnols, reconnais- sant 'eurs droits , IV, 38, 45. Dé- tails I istoriques sur ces Iles , et leur établissement français fondé par Bou- gainville, qui croit ces terres décou- vertes par A. Vespuce, 39. Leur aspect peu séduisant, 56. Leur cli- mat égal, 59. Eaux. Terrain, 80.

Plantes, fruits, 63 et suiv. Plan- tes marines, 68. Coquilles, qua- drupèdes , oiseaux, 169 et suiv. Animaux marins et poissoo.s, 78. Diflérens noms qu'elles ont portés. Aspect monotone. Animaux. Tempé- rature, XVIII, 116. Tourbe, 119.

Abondance du gibier. Description des palmipèdes, 121. •>- Découvertes par Davis, 125. Une perfidie des Anglais, 127i XXT, 250. Sol , ani- maux, XX, 32. Voy SoUdad, Fal- kland, NeiJ^hland.

Malwha ( province de l'Hindons- tan). Etoffp . renommées de Seronge, XXXI, p. dO- Tribus diverses,

XXXVI, 548. Lieux divers, 549, 350, 351 , 352, 559. Champs de

Stavots, 550. Campagne , 350, 353, 155. Suc de fleur enivrant, 351, 359. Jus du pavot, 351. Villauf de Blieils , 353. Chariots, 355. Abominable coutume. Banswiini, 35(!, 357. Limite de la province , ô61 .

Mamlouhi. Leurs figure. Leur rarr est éteinte en Egypte, t. XXII, p. 258, 365. Leurs habitudes en Egypte , 372.

Mamora ( ville de Maror ), Buines portugaises, t XXII, p. 101.

Man (Ile de, Nouvelle-Dretagni' , Australie ). Découverte par Carterot t. III, p 150.

Manado ( port de l'tle Célèbe» ) , t. XVIII, p. 350.

Manche ( province de l'Espagne ), f. XLVI, p. 177.

JUandara (^l»ay» du Soudan). Voyage dans l'inférieur, t. XXVII, p. 141. -- Detovr, 142. Instrumens de musi- que. Garde du sultan. Costume. Cdur, 145 et suiv. Mora. Singulier us.ige d'étiquette, 144. Nombre des principales villes, 147. Mo.sgov. Costume de chefs, 148- Conihnt contre les Felatahs. Défaite du sul- tan, 159 et suiv. Chaîne de mon- tagnes , 175. Fer. Forges, 176. Belles négres.ses. Caractère, 177.

Maicdbvii.le. Son voyage en Ar- ménie, t. XXXI, p. 52.

Manding ( royaume de la Séoé- gambie). Voyage dans l'intérieur, t. XXVj p. 275, 295. Monda, 277, Mansia, 281. Climat, 286. Mines d'or, 505. Kinitatouro, 312. Voyage dans l'intérieur, t.XXVIII, p. 8. Manière de traverser les ri- vières , 75. Voy. Kamalia , Kouraiiko , Timani.

Mandingaei ( babitans du Man- ding ). Caractère. Traitement. Eu- fan.s. Distinction du prince, t. XXII, p. 49. Gouvernement, t. XXV, p. 56. Lois, 57. Caractère. Vê- tement. Maisons, 58. Maison commune, 40. Esclaves, 41. Contes, 48. Singulière répression des troubles domestiques, 58 Luttes. Danses, 60. Boisson, 62. Caractère, 288. Cir- concision, 291. Polygamie, 293

r)ES MATIÈKI^S.

406

Noms de* enfant, 2li5. DïTition du temps. Connaissances géogrii|iliii|iirs, 297. Religiun Funérnillcii. Miiiique, 'JS8. Auiuur du seh Arts, 500. Costume, XXVKI, 45. - Armes. Métiers. Uiàtinclioos de rangs. Mdu- calion , 46 Travaux des femmes, XX[X, 375. - Mœurs , 385.

Mangia ( archipel , Polynésie ). Dé- couverte par Cook.Voy. ff^atuto, !¥•- nùOMtt*.

Mangia (tle de l'archipel do cenom). Découverte par Cook, t. IX, p. 280. , HL Description des habitans, 290, 2w. Aspect agréable de l'Ile. Langue des insulaires , 295. Leur manière de saluer. Leur nombre en 1823,296,297.

Manglt. Sa saveur, t. VII, p. 66.

Mangouitan. Description de ce fruit, t. VII, p. 69.

Maniana ( ville et royaume du Son- dan). Habitans anthropophages, tom. XXV, p. 246.

Manille (]iort de l'Ile de Lnçon, ca- pitale des Philippines ). Population , beaux environs , maisons sur pilotis, son bel aspect, t. XII, p. 296 Dé- savantages de son gouvernement, 299. > Distinction des rangs. Impôt sur le tabac, 302. Beauté des en- virons, 3 10. Faubourg des Chinois. Usage de fumer immodérément chez les femmes, XVII , 250. Tremble- ment de terre , XVIII, 403. Com- bats de coqs. Eglises richement dé- corées, 441. —Kues. Maisons, XX, 218.

MohUUs ( ancinn nom des Philippi- nes). Conjectuij sur l'origine de ce nom, t. I, p 443. Voy. Philippines.

Manna ( ville du Fouladou , Séué- gambie ). Fruit du nitta , t. XXV , p. 316.

Manouaran ( une des lies des Pa- pous, M.ilaisie). Etendue. Naturels, t. XVIII, p. 77.

Mantia ( ville du Manding, Séné- gambie),t. XXV,p. 281.

Mantatis (horde cafre). Envahis- sent les pays de leurs voisins, t. XXIX, p. 44, 57, 71. Combat contre les Griquas, 101 et suiv. Perdent la bataille , 1 10 et suiv., 136. Figure. Langage. Co.^turoe. Ornemcu.'i, Armes, 114- Origine. Histoire, 152 et suiv.

-— Ruinés et chAHM'H de leur pays par les /oolas, 132, 134. Sont les mê- mes que les Ficanis , 138. Leurs progrès vers U colonie, 140 et suiv. Maniehiapti ( tribn de Betchoua- nas , Afrique sad ). Voyage dans le pays, t XXIX, p. 48.— Travaux des femmes , 52. Cérémonies dana lu conversation. Améliorations dues ank missionnaires, 54. Pitsho ou grand conseil , 55, 82 P^y*, 61.

Caractère, 119, 350. Man- teaux , 348. Plantes. Fruits , 349.

Cuisine. Amour du tabac. Indus- trie. As» cmblées publiques, 350.— Sa- luts, 3-50, 357.— Cruauté. Danse.Usa- ges. Superstitions, 352 et suiv. Cir- concision. Polygamie, 857. V. Kurumam.

MoHtehouri» ( partie de la Tatarie chinoise). Intérieur et extérieur d'un tombeau , t. XII , p. 351 . Plantes. Roches. Oiseaux, Coquilles , 353. Côtes peu habitées, XIII, 3. Doute sur la prétendue pêcherie des perles, 5. Pierres, plantes, animaux, 6.

Pirogues, 8. Voy. Caitrits, SuffrtH, Ttrnajr.

Mantehous. Saints, tom. XXXIII, p. 80. Leur conquête de la Chine. Leurs privilèges , 97, 231 , 238, 265, note, 271 . Costumes , 207. For- ment la première division dans l'ar- mée de l'empire , 224. Vénèrent la pie , 239, note. Religion , 255.

JUaouna ( Ile , archipel des Naviga- teurs ). Aspect , t. XIII , p. 84. Haute stature des insulaires, 89. Joli village , beau pays , oiseaux pri- vés , 90. Férocité .les habitans, 92 et suiv. Assassinat de Laugle, compagnon de voyage de LaPerouse, 100. Beauté du pays. Férocité des naturels, XVII, 331. Cheve- lure frisée et teinte , 335.— Tatouags n'est guère plus utile, 335.

Marrabou (ville du Bnmbara). Com- merce du sel , t. XXV, p. 265.

Makckl uk Skrre. Son voyage ea, Autriche, t. XLVI, p. 217.

Marchand. Son voyage autour du monde. Préliioinaircs , t. XV , p. 321

Relâche et séjourne aux iles Mar- quises , 535 et suiv. Édianges avec les naturels, 342, 346, 358. Est volé dans une descente, 355. Dé- crit les îles Marquises, (-t particuliè-

'%>

406

TA«»LE GÉNÉRALE

reiMot nu Sanu-Crittlnii, 863 à 482. D^conrro le* Ile* do la Béro- iDtioo Im tict Mari-liand, du l>i«, PIat«, 434 , 445. L'Ile Piiui. 443. •• Les ilri Ma»M>, Cbitool, 444. lemarqno» sur «un T|tyuge, 47â. liincoatioo lur soldécouvsrtcs, XVI, i84.

Mafokaiid(tle, groupe de la Rëvo- IbtiuD )■ Uéi'ouTerte pai Morclwod, t. XV, p. 434. Sun bol aupect, 436.— HabilaaaiembliibleR aui Mvn- docaiDt, 431) Frostitution furi-ée dci froimeii . 441. Arbrcn, 442. Eteodua , 446. ■— Diitcutùon »ur m découverte, XVI, 134.

Marco-Poix). Ci'lèbro Toyageur. A demeuré vingt ana k lu Cluoe, t. I, r 11, XXX1II,270. —Son voyuge on A <e, XXXI, 83. Eat atUcbé au ■ervice dn kbaa , 89, 46. Notice biograpliiqne, 47. E*t tait prbon- •1er parles Vénitiens, 47, 60.

Mardi» (ville d'Arménie, Turqnie d'Asie), t. XXXII, p. 470. urtico divin. Mariages, 472. •- MoHquéos. ^ns. Basars. Population , 474-

Mar-Eliai, Couvent grec , en Syrie, acheté par Udy Staubope , t. XXXII , p. 444.

Maria (lie, près delà terre de Van- Diéraen). Su description : arbros, oi- seaux, qup,4rupèd«s, t VII, p. 209. Huttea et . ustensiles des habitan», 800

MMiammi on <f«« Larron* ( (les, Po- lynéMc). Découvertes par Magellan. Habitans. Prodnctions. Cabanes. Pi- fogues, t. I, p. <43 et suiv. Sal.i- lar nomme l'une d'elles Borta, 159.

Les habitans adorent les os de leurs ancêtres. Travaillent le bois avec 1.1 pierre. Leurs armes, IGO, 214. Iienrs canots, 191,213, 249. Leurs funérailles, 215.— Décrites par Nuort, 247. Méritent leur nom, 248. Leur nombre, II, 275. —Description de leur pros ou bAtimcnf) reniarr]))»- bles, 278. Historique des diffé- rentes reconnaissances, XVm, 85.

Prodnctions. Anim»»»» !*■ Fi- gure des naturels. Noor^ini'^ V/te- men8,87, 88. Gouvef**«aM!at espn-

Sol, 846. MissioMMNres, XX, 9. Voy. AiitmftioH, timlum^ Se^-

P0tf milHaM^

MarifGalandt (U«, P«titea>ARtilleiV t. XL!, p. 276.

Mahion, Chargé de nimcnvr n Aoutouruu le Taition dans sa patrie, t. IV, p. 401. Découvre la terre d'Eitporance, 403. Les Iles Froides, Aride, Pritu de posucniion, 41)4.— Attère n la Nouveile-'/.élaude, 401). Sa confiance envers les insulaires , 410. Sa fin tragiqne, 413 et suiv. .Lu Nouvelle* /.élaude lui est rrdf« vable de plusieurs plantes, 444, 440.

Mariait ou t'roid*t ( Iles , sud l'Afrique ). Découvertes par Mitrio», I. IV.p. 404, VII, 224, IX, 184.

Muri¥*llt (lie des Pliilippiue»), Des- cription du village. Havages des Maures, t. XII, p. 288. Gouverne, ment, 289. Quelques animaux, 290.

Maroe (empire de). Voyage dans l'iutérienr, t. XXII, 89 et suiv. Laracbe, 90, 138. Tombeuux de pieux musuimnns. Superstition, V7, 140. Maïuura : ruines purtugai<k>i,

101. Fameux pirates de Siilé,

102. Rabat. Pirates, 103, 142. Fruits, 105, 118, 145. Mogadore, 112. Climat. Etublis.seinens des £un>pécns, 114.— Fid:illiiih,144. Azamore, 146. —Sol. 115, 150, 176.

Culture , 116. *— Mines, animaux, 118. Manufactures, 120. Mé- tiers, 121. Maisons , vcr^'ers, 122.

Tarudunt, 123. Tanger, 133 à 135. Dar-cl-Bcida, 145. Tett, 147. ~-Six classes d'habitans, 162. Gouvernement, 166. Chevaux, 172.

Voyage dans le pays. El-Harib. Commerce. Religiou. Costumes. Tra- vaux des femmes, XXIX, 422. W- Dracb. Prodiictious. (^jiarrue, 423. Mincina. Arbres, 424. Talilet: impôts, agrémens, industrie, 425.

Description de Fez, 426 à 4^8. Voy. Arabti. Btrbtrt, Chelluht, Juifs, Maurfs,

Maroc ( lapitale de l'empire). Sa plaine , t. XXII , p'. 151. Fortifica- tions. Palais du sultan. Mosquée», 153. Rues, maisons, 155. Dazar, 156. Quartier et vie des Ju).' 157. Jardins, 158.

Maroutzit (tribu de la race des Bct- chouanas , Afrique sud ). Industrie. Bétail, t. XXIX, p. 359.

DES MATIERES.

407

Mmqal» de Tra»êH* (llo do U terre de Sandwich ), t. XXI, p. 432.

Matiim'itt. Voy. Nonka-Hiva.

MniruMOHiMt (Iriliu de UoIrlioiiNanii, Afrique, «udj. t. XXVI, p. 471.

t. r, p. 4.

Munehall (arriiipel , partie des llcf Mulgrnves, t. XVill, n. 107. Martin ( Ile de 8ir-Hc

Icnn- , groupe

f{ergpi«t ou arrhlpcl des Marquiies ). Nommée par Uergcst, t. XIV, p. 381.

DisriiMiun »ur ut drcoiiverlc, XVI, 131. KRt rrio Nooliœrati (NoiiliH - Hiva). Voy. 6\t Jtrnitr nom jioutla tuile,

Martinique (la, Ile ùes Potitcs-Antil- les). Brnuté do la cHpitnlc , t. XLI, p. 276. Le roc diamant, 277.

Martyri (les, Iles de 1' arcliipel Ca- rolincs). Sont les lies Allnp, Fauadik et TiiniHtam, t. XX, p. 228 , note.

MarjrlanJ ( nu des États - Unis ). Voyage dans l'intérieur , t. XXXiX , p. 226 Baltimore. 227 a 230, 127, 419.— Climat, 431. -^ Deauté et viiriétc des fruits et dc.4 fleurs , 432.

Papillons, oiseauK-moucbes, vers hiisans, 434.

Masa-Fuero ou Petite Ile de Juan- Fernandez, N'est point stt-rile, abonde en chèvres, t. II, 154.! '^'^ pintiidcs, III, 97. —Sa forme, son ôtendup. .8a distance de celle de Ju.nn-Fcruandcz. Poissons de ses cAtcs, 101 cf suiv. Signification do son nom. Soi. Climat, XX, 00, 65.

Maseate (ville de l'Oman , Arabie). Pjilais de l'iman. Population. C'ostii me». MaiDons, t. XXXV, i>. 2. *^ pect, ^— environs , 4. Comme . < . pui.ssance de l'iman , 5, 6. ' lHr»<pr- tance des dattiers, 6. CostUMae àm l'iman, 7.

Matouah (Ile, Abyssinie, mo>- Ronge). Autrefois très commercanu^, ►. XXIII, p. 165, 171. Nomancie*. Fteudu;-, 170. —Costumes de cIk-K. 175, 179.

Cbiteau. Musique. irS. Mala- dies , 186. Autrefu» wsidence «lu Buharnagasli, 323.

Hmunchutetu (t'« 4esKtat.'<-r»i.s ). Campagne, t. XXViX, p. 43, 140, 144. -Villages, 43, 1«, 143. 145, 161. Quakers, 44. Voyage «'.ans le pays, 132. Esprit d'iudépuaiiiuuc £ , 135.

Concoari dos comités agricoles, 134. Uiage Immodéré Je» liqucuni fortes, 138. Beauté des ville» ou villngei, 140, 141, 113. Mont Ho- lyoke, 142. Collège Harward, 151.

Manufactures et ouvriers, 154. Concours deliateaui, 101. Condi- tion des femmes, 102 et suiv, Édu- cation publique, 166 et suir. Voy. Boston, capitale; Howell, Salem, Sloei' 6riJf(*.

M<utaâre (tlt!i du, Australie). Dé- couvertes par Morrcll, t. XX, p. 215, 200. Cimetière royal, 253. For- mes, Vé' mens des naturels , 256. Armes. Canots. Biclic do mer, 258.

llo.itililés contre Morrell. Bataille. Cannibalisme, 270 à 21M. tirouite iJentiqueau neuf ilesdit Cartrret,2ilO. Perfidie des insulaires, 32^).— Morrcll achète l'Ile Wallitro des Insulaires, qui l'attaquent ensuite, 311, 361.

Mati* (lie, groupo de la Hévolutiou), Décoiivcrtu par Marchand, t. XV, p. 444. Discussion sur sa décou verte, XVI, 134.

Massouafi (port de l'Abys^inie) Im - portauce de sou aucieu commerce , t. XXIII. p. 1(}4.

Atattlitrgei (moût du .Sondcrsfield , Norwége), t. XLV, p. 5.5.

Mnthiat (ilc, Austr.ilic). Découverte par n.impipr, t. I, p. 438; IV, 318 ; Xni, 219, 220.

Htaily (ile d'Austriilic). Découverte; par Cnrferet, t. III, i». 103.

Maupfbtuis. Son voyage eu La- V *.c, t \LVI, ^.. 82.

MAua. ..-t. Découvre l'île Vavao , t. XIII, p. 137, 138. L'île Auwr- iir.'i . 138. 231. Son voyage de Munille au Mexique. Préliminaire.^, 204. ^ Découvre les Iles de.s Fr- mites, des Moines, 216. Les lleii José-Bîisco , Saint - Michel, Jésus-M»- ria , Saint-Gabriel , Saint-R»i)hii<;l , Base, Dufour, les Trois-Ilois, 218. Un grand nombre d'autre» Iles , 222.

L'ile Latte, 232. Les îles de Ma- jorqua, il est bien accueilli, 233 à 250. Les Iles de G;dvcz, les Cou- leuvres, la Seule, Va.squcz, 257- les îles de Consolation , Muurclle, 260.

Malheur qu'il éprouve, 200. Se ravitaille à l'île Guham, 271. Ar- rive eu Amérique , 277.

408

TABLE GÉNÉRALE

Maurellt (Malaisie). Découverte par Manrelle, t. XIII, p. 267.

Maures de la Barbarie. [Sont forcés d'abandonner aux Portugais les eûtes de Maliibar et d'Ajan , 1. 1 , p. 92. Éducation, XXII, 200. Musique, 202. Occupations, 203. Ma- riages , 204'

Maures de la Malaitie, Ce qu'ils sont. Pourquoi ainsi nommés, t. XII, p. 305. Leur commerce , XV, 295.

Maures de Maroc. Figure, t. XXII, p. 125, 167. Vêfemens, 126, 168

Réception d'un étranger , 126.— Repas , 126 , 169. Messagers, 129. Saints , 130, 171. Usage du cheval, 131 , 172. Occupent les hauts em- plois, 162. Éducation, 167. Ca- ractère, 170.

v^ Maures de la Sénégamhie. Voyage

dans leur pays.Établissemens.Bançons des voyageurs, t. XXII, p. 78. Or- gueil. Figure. Vie nomade. Occupa- tions et traitement des femmes, 80. Education. Vétemens , 82. Langue Religion.Commerce,84. Hospitalité. Jugemens. Combats, 86. Forcent les babitans de TÏHsi à embrasser le mahométisme, XXV, 100. Leur figure. Origine, 132. Retiennent prisonnier Mungo-Park, 140, 200.

Exercices du cheval, 158. Fu- nérailles , 159. Noces, 160. Mœurs et habitudes, 173. Travaux des femmes, 178. Maladies, 179. Justice, 180. Gouvernement. Privi- lège royaux , 181. Changemens de station , 185. Voy, Ludamar.

Maw. Son voyage à travers le nord de l'Amérique méridionale, t. XLII, 1 . Descend le fleuve des Amazones , 34 à 74.

Mayorga (île, Australie). Décou- verte par Manrelle , t. XIII, p. 233 , 250. Son aspect , 233. Patates de quinze pieds, 234. Naturels, 255. Respect pour le roi. Sa cour, 237, 240. Jeux. Combats simulés, 244. Fertilité de la terre. Produc- tions , 250. L'ile avait été vue par des Européens avant Manrelle , 233.

Naturels se mutilent le petit doigt, 253.

Ma-Yotso (ville duTimaui, Séné- gambie),t. XXVIII, p. 26.

MazanJeran ( province de la Perse).

Arbres. Achreff, t. XXXV, p. 339. Beau pont, 341. Costume d'uu prince, 342. Teint des babitans. Barbes teintes, 345. Costume des femmes, 346. Ferhabad, 352. Ruines du palais de Schah - Abbas , 353. Balfrouch, 354. Amol: i^tiqnités intéressantes , 359. Belle chaussée , XXXVII , 316, 320. - Ra- vages de la peste , 322. Campagne. Climat. Maladies. Habitans. Animaux venimeux. Productions, 322. —Cos- tumes. Habitations, 324. Belle val- lée de TUar, 324, 325. Voy. Sari , capitale.

Meares. Ses deux voyages des côtes d'Asie à la côte d'Amérique, t. XIII, p. 335, 343. Découvre les îles de la Providence , de Tatée, 344. Nomme en Amérique la pointe du Brisant. ITomme le mont de la Selle, le mont Olympe, les baies Sboal- Watcr, la Déception, Quicksnud, Effingham ; les caps de Désappointe- ment, Grenville, Look -Ont, Bpalc, 353 et suiv, Décrit les mœurs, rou- tumes, vétemens, figure, etc., des habitans du district de Nootka , 357 à 376.

Meched ( capitale du Khorassan , Perse). Aspect, t. XXXV, p. 207. Morne silence, 208. Histoire, 210. Maisons, 21 3. Rues. Bazar, 214-

Edifices publiques. Belle place , 215. Portails. Mausolée d'Haroun- aURaschild , 216 à 223 , 233. Dé- tails historiques sur ce sanctuaire , 218 et suiv. Medressés (collèges) , 223, 228, 231. Bains publics. Palais. Population , 227. Moullahs, 228, 230. Objets d'étude des col. léges, 228. Commerce, 231. Manufactures. Velours renommes , 232. Visite de Fraser au vizir, 235-

A de célèbres derviches , 244 et suiv. Visite au prince , 248. Berceaux de voyage en chameau , 255 , note. Grand mausolée , 264.

Mendiant arrogant, 268. Crème salée, 271. Plante à suif , XXXVII, 266. Vénération pour la ville, 282, 289. Villages des alentours, 285.

Intérieur de la ville, 286. Rues, 289. Population. Habitations, 290.

Fameux tombeau de l'iman. Mu.s- qnée azurée, 291. Autres édifice)».

Détails histor

DES MATIERES.

409

Détails historiques , 292. lUamina- lions , 291 ^

Meeque (ville du Hedjaz , Arabie^. Portefaix. Porteurs d'eau, t. XXXII , ]>. 41 , 166. Costume du pèlerin , 69 et suir. Obligation de tout voyageur qui arrive , 76. Céré- monies de la Visitation de la mosquée, 77 à 85. Description de la ville. Ses titres , 85. Environs , 86 , 94.

Maisons. Terrasses , 87, 88 , 102.

Rues , 87, 89. -^ Absence de bâti- mens , 88. Citernes. Poste au lettres. Cimetière, 90 Ses quar- tiers et leurs bnbitans , 90 à 101. ^ Mendians, pèlerins, 91, 163. —Bain, 92. Eunuques mariés , 93. Le Grand-Château. Rues remarquables , 95, 97. Lieu des supplices , 96. Marché d'esclaves, 97. Femmes publiques, 100 , 156. Sermens , 101. Deicription de la mosquée , 102 à 128. Description de la Kaaba , 102 , 105 à 110 , 414 et suiv. Fa- meuse pierre noire , 106. Tombeau d'Ismaël , 108. Puits du Zemzem. Sa vertu, 111, 120. Empreinte du pied d'Abraham , 114. Croyances , supertitions au sujet de la mosquée , 114,117, 128. Chaire, 115. Prière du soir, 116. Écoles, 119.

Volée de pigeons. Portes. Mu- railles, 121. Ministres. Cérémo- nie», 122. Notice historique sur la Kaaba , 128 à 140. Description de l'ouverture de la mosquée , 138. Remarques sur les habitans, 141 à 168. Teint. Tatouage. Vêtement. Modes, 142 à 147. Habillement des femmes, 147. Éducation , 148, 164) 173. Esclaves. Concubines , 148. Exigences des guides des pèlerins , 150. Singulier office des delyls, 153. Luxe, 154, 157. Bepas , 157. Caractère , 158 , 160.

Saluts , 159. État delà science, 164. Musique. Chants, 165, 166.

Noces. Réjouissances pour la cir- concision , 167. Gouvetncment , 168 à 181. Histoire des schérifs , 168 , 172. Leur costume , leur juridiction , 170. Leurs cnfans élevés clic7. les Bédouins, 173 Loin- l'aractèrc. Leur religion, 175. Du kadliy et de la justice, 177. His- toire du kadhy, 178. Revenu du

schcrif, 179. Climat, 181. Ma- ladies , 183 , 234. —Du hadi ou piUn- nage, 185 à 335. Progrès de l'in- différence, 185. Caravane sy- rienne, 187, 201, 233. Pèlerinage de sultans, 188, note. Ordre de marche, 189. Caravane égyp- tienne , 192 , 202. Persanne , etc. , 192 et suiv. Pacotille du pèlerin, 196. Industrie des pèlerins nègres , 197. Pèlerins hindous , 198. Vie des pèlerins, 200. Pèlerinage des Caravanes à Arafat , 204. Devoirs des pèlerins, 205. 212 , 218, 230. Description de l'Arafat, 207. Ser- mon. Bannières, 212, 214. Re- tour, 216. Séjour à Wadi-Muna , 219. Cérémonie des pierres , 219.

Sacrifices. Fin du pèlerinage, 221.

Retour à la Mecque, 222. Preuves du pèlerinage, 230. —Dif- férences avec la mosquée de Médine , 293,294.

Médina (capitale du WouUi , Séné- gambie). Fortifications. Cour du roi , t. XXV, p 46. Population. Cos- tumes, XXVIII, 313, 314.

Médina-del-Campo ( ville d'Espagne). Sa décadence, t. XLVI, p. 173.

Médim-Rio-Seio (ville d'Espagne) Sa décadence, t. XLVI, 173.

Médine (ville du Hedjaz , Arabie). Caractère des habitans , t. XXXII , p. 158, 322. Obligations du voya- geur, 263 , 302. Situation , 2U6 ,

Jardins, 267, 296, 300, 323. Intérieur. Portes , 268. Maisons , 268, 296. Rues princi])ales , 269.

Monumens remarquables , 270. Fauxbourgs, 270, 29i6. Mosquées, canal. Puits, 272. Grande mos- quée , 274 à 296. Colonnades, 275, 286. Tombeau de Mahomet , 277.

Office des eunuques, 278, 286 , 288. F~ble répandue en Europe au sujet du tombeau, 280. —Tombeau de la femme d'Ali. Traditions, 281. Cé- rémonies de la visite, 283 et suiv. Lampes. Portes, 286. Service de la mosquée, 288, et suiv. Différences avec la mosquée de la Mecque , 293 , 294. Historique de la mosquée, 2^5. Fruits. Léfjunies, 2Î)7. Espèces de dates , 298. Tamarins. Éruption d'un volcan , 300. Cime- tii'res. Personnages remarquables iu-

î*

410

TABLE GÉNÉRALE

humés , 302. Montagne d'Otiond , S04, 506. Village de Koba ; son- vcoirs de Mahomet, 507 et suit. Remarques sur les habitaas, 510 à 329. Origine. Descendans de Ma- homet, 511. Costume, 513. Bédouins ,514. Commerce , 515. Manqne de denrées, 517. Défaut d'industrie , 518. ~ Vie , 523. Chiens exclus de la ville , 525. Fête de Monled-en-Neby , 526. Honneurs funéraires , 527. *— État de la science. Langue , 529. Gou- vernement , 550 à 554. Climat , 554. Maladies, 555.

MédUttrante (mer). Premières na- vigations qui eurent li#u sur ses eaux , t. I , p. 2. Bornes. Noms différons. Golfes , XLVI , 9. Courans , ma- rées ,^11.— Surface ,12. Fleuves reçus dans ses bassins, 49.

Altfdusa-villilia. Description de ce mollusque, t. XIV, p. 141, 144. Méduses des régions arctiques , XL , viij.

Jtf/gare (ville delà Grèce), t. XLIV, p. 512.

Meinam (rivière du Siam) Embou- chure, t. XXXIV, p. 108. Rives , 120. ""i Bazars flottans , 122.—- Inon- dations périodiques , 452

Meirut (ville du Delhi, Hindons- tan). Garnison anglaise. Yilic indi- gène. J!Aur d'enceinte. Eglise chré- tienne. Climat , t. XXXVI, p. 260.— Soldat de la Begum-Sumrou. Détails sur cette princesse , 262.

MéWid* (ile, côte de Z.'inguebar, Afrique). Découverte par Vasco de Gama , beauté et régularité de la ville , son commerce , sa religion , ses productions , t. I , p. 38 et suiv. Naturels tous gauchers , XXII, 13.

Mtlville (ile, archipel Daugcreux). Découverte par Becchey, t. XIX , p. 197.

Melvill* (port de l'Ile Loo-Choo). Décrit par Hall. Bel aspect des côtes. Description des villnges qui le bordent, t. XXI, p. 132;i l43.

MelviUe (île des régions arctiques , nord de l'Amérique). Sa découverte et exploration de sa côte sud par Parry, t. XL , p. 282 à 284. Animaux , 287, 519, 526, 328, 335, 337. - Sol. Charbon de terre , 287, 307, 331

Pointe Hou, baies Skene,. Brid- pot%, etc. , 282. Parti envoyé à terre, égaré pendant trois jours , 288 et suiv. Uiverna{;e du capitaine Parry , précautions, di^ertisscmens de l'équi- page , 295 à 34 '. Effets du froid , 301, 505, 313,316. - Aurores ho- réaies, 505,512. Exhalaisons de la terre, 522. Productions, 325, 325, 536, 340. Voyage à travers l'île, 324 à 558. - Étang , 525. Mon- tagnes, 526. Description d'uu renne, 5li7. » Découverte de l'îîe Sabine , oiseaux , productions , 329 , 331. Crique Buehnan, 334 Golfe Lidden, 336. —Cap Dvndaii, 351 .

MelviUe (presqu'île , régions arcti- ques ). Exploration de la côte est, t. XL , p. 391 à 427. Baie Répuise, trace d'habitans, 391, 592. Décou- verte et exploration du havre Lyon et de la baie Ross, 401 et suiv. Tentes , 404. Quartiers d'hiver de Parry, 406. Trombe de neige, 408. Dépècement de veaux iiiî- rins , 416. Tombeaux , 416. IV^<1 de cygues ,417. Belle rivière B.-ir- row. Sa cataracte, 420. Chasse an walrus , 421. Manque de respect pour les morts. Traîneaux, 423. Funérailles ,' 430 , 4u3. Voy. Es- quintaux de la presqu'tle MfiUùUe,

Mcmmingen (ville de la Bavière) , t. XLV, p. 341.

Memphis d'Egypte, Voy. Metra- henny,

Memphit (ville des Etats-Unis du Mississipi) , t. XXXIX, p. 391.

Mekdoca et MrifDANA. Découvrent les iles de Salomon , pourquoi les nomment ainsi , 1. 1 , p. 168 et suiv. Uésumé do leurs voyages , XVIII, 192.

Mendoça. Archipel de la Polynésie. Voy. Nouka-lfiva.

Mendoeia (cap , Nouvelle-Albion , Amérique septentrionale ), Son ii»- pect. Productions des montagnes , t. XIV, p. 147.

Mentloo (ville du Kiinera). DrfjiiU du slieik de Bournou , t. XXV II , p. 288 à 300.

MkîiDO/.a. Fonde Buenos- Ayrcs , f. XX, p. m-, XXXVIII , 319. Éi.i sodé de Maldouata , 349 et sitiv Fondn l'Assomption, 352.

DES MATIÈRES.

411

Slendoza (ville de la Plata, Amé- rique méridionale). Climat , t. XLI , p. 286. Pénitences générales, 302.

Situation. Rues , place , 527. Maisons. 527. Uabitiins, costumes, 328. promenade et promeneurs , 328, 531, 332. Nonchalauce du peuple, 329 , 333. Lîi sieste , 329.

Bains. Licence, 331, 343. En- virons, 343.

Mer, Sa pliosphorescence. Cause de ce phénomène, l. VII, p. 189. Dans quelles circonstances il appa- raît, tome XV, page 17, XXXIV, 34, 35.

MiroH ( ville dn Tyrol ). Maison d'André Hofer, t. XLV, p. 401, 402.

Mercredi (ile dn , Australie) DécoU' verte par BligU, t. XIII , p. 550.

Mire et les Filles (la , îles du Fin- mark , Norwége) , t. XLV, p. 216 à 218.

Mère et les Filles (la, lies de la Non- velle-Bretagne). Découvertes par Car- teret, t. III, p. 150.

Mérite (ile, îl»s Françaises). Dé- couverte par d'F' ■♦^ecasteaux , t. XV, 273.

Meroé {juïk'k' =: *meu8e île de la Nubie), Ses . . t'araît être l'At- bara actuel, t. XXIII, p. 446; XXV, 452.

Mert» (ville de la Tatarie indé- pendante. 'Asie). Ruines et villages des environs. Restes du fameux ro- yaume, t. XXXVII , p. 249. Sa ri- vière , 249, 256.

Mésopotamie Voyage dans le pays , t. XXXII, p. 462. Voy. Irak- dkarjr, Al-Djetyreh.

Mételin ou i[/e.-&M(ileder^rcbipel), t.XLVI,p.98.

Metrahenny ( villages d'Egypte ). Pyramides d'argile, t. XXllI , p. 71.

Est l'ancienne Mcmpliis , 72 , 74. Mexique (république de l'Amérique

septentrionale ). Gouvernement , t. XXXVIII , p 26. Constitution , 28. Conquête de Cortez,;, 266. Étendue et bornes de l'empire de Montézuma, 289. Origine de net em- pire, 290. Terrain , bourgades , histoire , gouvernement de l'ancieaue province de Tlascala, 298. Pro- grès de la population , 386. Bor- nes, étendue, montagnes , produc-

tions , XLI , 2. Histoire ,5,9. Poissons du golfe. Ile du Sacrifice, 5,7. Campagne , sol , 16, 18 , 20 , 30 , 33, 46, 162. Villages, 17, 19, 21, 31, 34, 147, 155, 158. Oiseaux , 19 , 34. Ponts . 20 , 21 . Productions, 30, 32, 102 et sniv. Fermes ou haciendas, 32, 96, 99. Mirages, 33. Cabanes indiennes , 83. Chevaux et cavaliers , 92 et suiv. 97. •^-- Mulets et carrosses, 96, 98. Anes, 98. Moutons , chèvres, co- chons, 99. Chiens, 101. Co- cyotie, 102. Agriculture , 102. Blé , orge , maïs , 103 Fèves , pommes de terre ,' fruits , 104 (.et 62).

Banane) , plantations et liqueur d'aloès, 105 (et 32). Sucre , café, coton , cacao , 107. Jalap , tabac , indigo, 108. Vanille. Climat, 109, 111. Vents, 112. Bois, 157, 162. Mœurs , usages des Indiens, 158 et suiv. Leurs dra- mes historiques, 159 et suivantes. Mines d'argent , 163, 165. Bon traitement des esclaves, 421. Cos- tume , armes d'Indiens du pays , 425.

Religion de l'État, XLII , 427. Voy. Acapulco , Boiiair, Chequatam , Càolula , Jalapa , P^rote , Puebla , San- Blas , Santa-Ctara , Tabasco , Thenies- ealtepee , Tepec , Tezenco , Tollitca , f^era-Craz,

Mexique (antiquités du). Ruines de Zampoala, t. XXXVIII, p. 291. Muraille, frontière de la province de Tlascala, 301. Population, rues, temples de Cholula , 309 , et XLI , 45. IliiJ. de Tezenco , de Istacpalapa , XXXVin, 510. Château de Ch.t- pultepec, XLI, 122, 155. Anti- quité» diverses , 130. Statti'.'s, hié- roglyphes, peintures, 131. Le gTJ'nd calendrier, 132. Pierre sa- crificialc, 133. Statue colossale. 135. Ruines de Tezenco. Son an- tique splendeur, 139, Son Pa- lais des caciques, 143. Ruines du Tescosengo, 145, 146. Le Imno de Montézuma , 144, 146. Ruines d'Huexotla. Pyramides , colonne , stuc, 147, 148. Célèbres pyra- mides du Soleil et de la Lune , 149 ;' 153. Voy. Ancien Mexico.

Meitco (capitale du Mexique). Alen- tours. Aspect , t. XLI, p. 48.

%.

t

112

TABLE GÉNÉRALE

Beûiité des rues , des maisons , 49 >■' 51 . Tutérieur des maisons , 52. La Plazu-Major, le marché et les den- rées, 52 , 68 à 73. Cathédrale, of- fice divin, 54. Autres églises, 55 , 60. Couveus. Hospices , 57, 59. Hôtel du gouvernement , 57. Mon- naie , 58. Ecole des mines , 59 , 131. Tombeau de Cortex , 60. Pair', de Cbapultepec, 60. Déc.i- dei"v; des arts, 61. Théâtre , 62.

l'romenades publiques , 64. Canal , 65. Jardins Jlotlans, 67. ■— La place du marché, 68 à 73. Hô- tels, 73. Boutiques, états, 74 à 79.

Costumes des différens rangs , 79 à 83. Cabanes indiennes , 83. Fabriques, 84 et suiv. État de l'instruction. Écrivains publics , etc. , 88. Exécutions publiques, 89 à 92.

Chevaux et cavaliers , 92 et suiv. 97. Mulets , carrosses , 96 , 98. Commerre de cochons et leur traiie- ment, 99. Climat, 112. Châ- »..*au de Cbaipultepcc, 123, 155. Musée d'antiquités , 131. Le grand calendrier, 132. La pierre saorifi- ciale, 133. Statue colossale , 135.

L'ancien lac, 137. Excursion aux minos d'argent de Themascalte- pec, 155.

Mexico Cnncien ). Entrée de Cortez dans la ville. Palais de Montéznma. Population, XXXVIIl, 311. Assiégée et prise par Cortez, 314. Con- sommation de la viande, 401 .—Plan de la ville ancienne, t. XLI, p. 113. Situation, aspect, 114. Palais et jardins, 119, 123.— Ménageries, 120 et suiv. Arsenal. Artistes, 124. Idoles Temple Téooalli. Sacrifices d'hommes et de copal, 125, 126. Lieu des sépultures. Tombeaux, 127.

Habileté des peintres. Fabrication du papier, 128. Statues brisées , 129. Véracité des auteurs es- pagnols sur la splendeur de l'em- pire, 154. Voy. Montézuma.

Mezinoua ( ville du Khorassan , Perse). V.istes ruines. Population , t. XXXV, p. 172. Relations avec les Turcomans, 174.

Miako (île Niphon, Japon). De- meure de l'empereur ecclésiastique du

p. 129, 153.

Château, Rues.

Japon, t. XXXr, Temple, Rivière.

Manufactures. Population, p. 154.

Miasen (lac de i.'i Norwége), t.XLV, p. 58, 60.

Middelbourg ou Eooa, Eaooivee (Ile , archipel des Amis ). Son aspect agréable, t. VIII, p. 37. Descrip- tion d'un habitant , 38. Habitation du roi, 41. l^hitans : leurs formes, leurs tatouages jusque sur les parties les plus délicates du corps , leurs or- nemens , 43. Lourdes massues , bien sculptées; arcs et manière de s'en servir, 45 Beauté de l'ile , f[T.

Cimetières, 48. Description de l'ile, 82. —Production^, habitations disséminées , animaux domestiques , poissons, filets, pirogues , outils, 34.

Naturels , leurs vétemens , orne- mens , amusemeus , instruuiens do musique , manière de saluer , leur franchise , 86 et suiv. Coutumes singulières : mutilation du petit doigt, 90. Gouvernement , 93. Aisance des habitans acquise à la sueur de leur front , 94. Religion , laugue , 95. Aspect de l'île, X, 28, 30. Sol. Plautes , 30.

Milan (capitale du royaume lom- bard-vénitien), t. XLVI, p. 267.

Milet ( ville de l'Aoatolie ^ Turquie d'Asie ) , t. XLVI , 99.

Mille-tles ( archipel des, Austrahe). Découvertes par Roggewin , tom, II , p. 70. Est le même que celui de l'Echiquier de Bongainville , XIII , 214, note.

Milo (île de l'archipel), t. XLVI, p. 94.

Mimeina (ville de l'El-Drach, Maroc) . Environs. Maisons. Troupeaux. Ar- bres, t. XXIX , p. 424.

MiNDANA. Découvre les îles Salo- mon, t. I, p. 168. Son prodi- gieux voyage dans la mer du Sud, 195. -- Découvre les îles Marquises de Mendoze, 197. De Saint-Ber- nard et du Solitaire, 205. Découvre l'île de Santa-Cruz, III, 446. Meurt et est remplacé par sa femme dans ?e commandement, 448. Observations sur sa découverte des îles Marquises , XV, 363, 369.

Mindanao (île , archipel des PhiUp- ])ines ). Description de la côte et des îles qui l'a voisinent , 1. 111, p, 170 et suiv. Entrevues avec les insulaire».

w

1 1

DES MATIERES.

413

leur conduite, 171 et suit. Baie Trompeuse, 177. Erreurs de Dam- pier corrigées, 178 et siiiv. Baie de Désappuiutemeut, 179. Aspect de la campagne, 182.

Mnilelhtim f ville de la Bavière), t. XLV.p. 34i.

Mingrèli* ou Colchide (province de la Russie d'Asie). ÉtymoTogic du nom. Campagne. Climat, t. XXXI, 177. Maladies. Rivières, 178. Terroir. Productions, 179, 183. Bon vin. Sa coafection. Récolte du gom, 180. Aiimens. Privilèges des seigneurs, 183, 187, 188. Quadrupèdes. Oi- seaux, 182, 184. Villages. Mai- son* , 185. Race. Belles femmes. Éta': des personnes , 186. Éduca- tion. C )stume. Repas. Saluts, 188. Le Phase, 190. Religion, 194.

Minsk (ville et gouvernement de la Russie), t. XLVI,p. 140.

ilirage. Ses effets dans divers pays , t. XXI, p. 417; XXXV, 64. note; XXXVn, 152;XLIII,301.

y(f<>zay;our(vilIedel'Allahahad,Hin- doustan ). Sa prospérité , t. XXXVI , p. 139.

Missions, Fondées au Paraguay par les jésuites, t. IV, p. 107. Leur étendue, leur division, leur gouver- nement, 111 et suiv. Les jésuites en sont chassés, 115 et suiv. Leurs bienfaits à la NouvelU-Zélande, XX, 187 et suiv. \oy. Californie, Klaarivater^ Lily-Fountain, Pella,

Mittionnaires anglais. Voy. t. XIII, p. 435- Leur premier établissement aux lies de la mer du Sud , 438, 442 et suiv

M'ssissipi (fleuve de l'Amérique septentrionale ). Savanes de ses rives, t. XXXVIir, p. 12. Son cours. Ses affluens. Ses eaux. Sa largeur, 37, 41, 43. Description du fleuve et de ses belle» rives, 44 à 48. Son aspect et ses dimensions a la INoivelle-Orlèans, XXX1X,360, 365. --Divers genres de bateaux, 361, 362. Ses hauteurs àlaNouvelle-Orléans, 363, 3(51. Sou cours, 365. Ses crues, 365. Ses CTiibouc'Iuires, 308, 384. Voyage sur ses eaux , 369. La Balise, 370, 385. Crevasses de la levée, 371- Les Squatters , 372. Confluent lie rohio , 374. Confluent du Mis-

souri, 377. Élégans bateaux à va- peur , 389. Voyage sur ses eaux , .389. Ses rive», 390. Voy. Ohio.

Mistissipi ( un des Etats - Unis ). Voyage dans l'intérieur, t. XXXIX , 359 et suiv. Natchez, 364, 390. Memphis, Zù\.

Missouri ( affluent du Mississipi ). Son cours, t. XXXVIII, p. 42.— Con- fluent du Mississipi, Ville de SAinl- Louis. Eaux bourbeuses , XXXIX , 377. Radeaux, 379.

MiTHRiUATE. Sa tombe , sa monta- gne, son siège, t. XLIV, 433.

Mittenufald (ville do Bavière ) , tom. XLV, p. 361.

Mltr» (île, Polynésie). Découverte par Edwards , XIII , p. 427.

Mobile (ville de l'Alabama, États- Unis). Son étendue. Sa baie, t. XXXIX, p. 358.

Moclia (Ile, Chili). Son bel aspect. Est fréquentée par les contrebandiers, t. XVI, p. 23. Animaux, Eau limpide,

XVIII, 130. Son état en 1825,

XIX , 'î.

Mogadore (ville du Maroc). Foud.^- tion. Commerce Fortifications. Inté- rieur de la ville , t. XXII, 112.

Moines (îles, Australie). Décou- vertes par Maurelle, t, XIII, p. 216.

Moïse (ile de l'Australie). Décou- verte par Le Maire, t. I , p. 320.

}foka ( ville de l'Yémen, Arabie). Bel aspect, t. XXIII, p. 150. Com- merce , XXXI , 239.

Mokundona ( ville du Timani , Sé- négambie ) , t. XXVIII, p. 20

Moldavie ( province de la Turquie d'Europe). Détails divers , t. XLIV, p. 88. Détails sur l'aucienne his- toire, 233.

Moller (île, archipel Dangereux), t. XVIII, p. 139.

MoLL'EN. Son voyage en Sénégam- bie, t. XXVIII, p. 433. Arrive aux sources du Sénégal, 437. Son voyage en Colombie, XLII, 391.

Moluques (îles de Miilaisie). Décou- vertes par les lieiiteuans d'Albuquor- qtio, t. I, p. 105. Divisions terri- toriales. Gouvernement. Comptoir» des Hollandais, IV, 379 à 383. Habiles moyens employés par les Hol- landais pour monopoliser le commerce de» épices, 385. Culture exclu-

À

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4f4

TABLE GÉNÉRALE

sive de certaines ilet», 384. Ce commerre presque annule par les An- glais , 386. Précautions contre les employés. Epoque de la récolte, 385. Malignité du climat. Tremblement de terre, 387. CUef-lien des établis- scmens hollandais, XV, 72. Poli- tique des Hollandais , 74, 297. Dé- cadence do l«>n r compagnie. Ses eau se s, 75 , 36. Régime oppressif à l'égard des ind - .s, 76. Extirpation or- donnée plantes à épiées , 77. Les iles .«.rdrout le commerce exclu- sif des épiceries , 78. Chinois na- ralisés , 80. -r- Jalousie entre les chefs, entretenue par les Hollandais, 207.

Beauté des végétaux , XLIII , ix.

Crocodiles, xi. Uabitans ma- lais, xr. Religions, xxiij, In- dustrie. Commerce , xxix. Yoy. îles Amboine , BaaJa, Boiro, C/ram, Ter- mite.

Mombatta (île, c6te de Zangueliar) Découverte par Vasco de Gaina , t. I, 38. Étendue. Sol. Habitaus , riche p.xrnre, XXII, 13.

Monda (ville du Manding , Séné- gambie),t. XXV, p. 277.

Mondrain (ile du , archipci des Prii- lippines ). Découverte par Cartcret, t. m, 171.-178,181,182.

Monfalout (ville de|la Haute-Égyptc). Son ancien état, t. XXI [I, p. 84.

MoHghjrn (ville du Béhar, Hindous- tan). Aspect. Mouvement, activité, t. XXXVI, p. 116. —Maisons. Bou- tiqnes. Forgerons renommés, 117.— ^iiuviruns , 1 ?8.

BiottgoUe ( partie de la Tatarie chi- noise ). Ambassade de Marco-Polo , t. XXXI, p. 51 et suiv. De Rhoë , 67 et suiv. Voyage dans le pays, XXXIII, 9 à 135, et 463 et sniv.

Obos ou autels de pierres , 23 , 51 , 68, 114. Bivières, 24, 33, 55, 63, 101 Moutons à longues oreilles, 25. Productions , 29, 51, 50, 54 , 118, 120, 125. et suiv., 133. —Oi- seaux, 34, 45.90. Bivière Schara, 34,36. —Chapelles. Temples, 36, 70, 123, 128 et suiv.. Caravane, 38. —Quadrupèdes, 40, 51, 69, 1 13, 12Î. Charrettes, 41 , 56.— Nour- riture des habitans des steppes, 48. Chameau blanc ,51. ^ Arbres, 54, 102, 106, 133. - Forêts , 52, 58,

Goddah, 59. Usage des Kadacs] , 60. Peines, 89. - Marais salés , 105, 109, 114, Pierres précieuses, 110,113, 121, 125 Récits sur un général chinois ,111. Monts ,114, 117, 118, 128. Chasse de l'empe- reur, 119. Granit. Aimant, 122.

Idoles gigantesques. Temples. Li- vres sacrés. Costume, 131. Trou- peaux de l'empereur, 134. Voyage dans le pays des monts Sounicns, 137 à 149. Quadrupèdes , 138. Lac salé, 140. - Monts, 141, 142. - Chevaux de l'empereur, 141. Autel de pierre, 149. Groupes de tenles, 154- Souvcnirde Gengiskhan, 150.

Détails généraux. Ciimpague Sol, 323. Climat. Productions. Popu- lation, 324. VilLiges, habitans, palais impérial, 464. Voy. Cobi, Goddiih, Ourga, capitale.

Mongols. AmbassadeauCrand-Mo- gol, t. XXXI, p. 51. Cortège et audiences, 58. Camp iinpé.-ial, 60. Nombreuse escorte de voyage, 85, 90. Chasses, 86. Nnnrri- ture , 91. Costumes, 107. Res- semblance avec les Kamtscliad^ilcs, 395. Contingent dans l'armée de l'empire (de Chine), XXXUl, 224,

Religion , 255. Conclusion de marchés, 319. Figure. Caractères, 325. Costumes, 326. Armes, l'eûtes , 327. Nourriture. Occupa- tions, 328. Mariages, noces, 328 à 356.— Mois de l'année, 330. Vi- site de la femme à sesparens. Divorrc, 356. Funérailles. Arts et sdeuces , 358. Etat des persounes, 359, Règlcmens divers, 3''iO et sniv. Prières, 345. Classe.s de reUgieux, 344. Voy. Delhi.

Moiigols'Kalkhai. Voyage chez le* Mongols- Kalkhas, t. XXXIII, p. 9 à 135. Couleurs sacrées, 14. Reli- gion. Lamas, 21. Témoignage. Polites.se , 27. Croyance à la nié- tempsycobc, 28, 45, 46. Usage et préparatiou du thé, 52- Cos- tumes , 35, 68, 75, 151. Equii.i- tion , |5ai. Boivent le lait Je ju- ment, 47. Chaûts nationaux, fi! et suiv. Deuil de rcmperour (dr la Chine), G6, 71. Costunio de femme, 68. Saints, 8'J Céré- monie de deuil. Tribunal. Peines ,89.

rope, t. XLVI,

DES MATIÈRES.

415

Khan-Ola, Gif;antesqnes inscrip- titini), 05- RccitH sur ua général cliinnis, 111. Idoles gigantesques. Livres sacrés, 131. >— Uufflcs, 349. Rhubarbe. Marmottes , 5ôO.

Mongols-Tsalhas, Voyage dan» leur pays, t. XXXllI.p. 149 à 161. .Sépultures, 151. Idole d'Orgon, 153. Amour du tabac, 151. Souvenirs de Geugiskliau, 156.

JUongols'Sounit«s.\oyag0 dans leur pays, t. XXX 111, p. 137 a 149^, 548.

Coffres pour la prière , 1 39. Taïdzis ou nobles , 348. Voy. t'oit.

Moiitagu (ilc, Amérique septen- trionale ouest). Découverte par Cook, t. X,p. 451.

MoWTAiiUE ( lady ). Ses voyages en Turquie, t. XLVl , p. 82. Fait in- troduire la vaccine eu Angleterre, 83.

Montaigne. .Ses voyages en Eu» lope, t. XLVI.p. 69à 71.

MoNTÉMONT (Albert). Son voyage aux Alpes et en Italie, tum. XLVI« p. 260.

Monténégrins (liab^tans de Monté- négro). Extérieur et iutérieur de leurs laaisous, t. XLVI, p. 242, 241 Absence d'arts, 243. Gouverne- ineot, 244. Physionomie, barle, cheveux, 245. Saints. Exercices des armes, Co.stume, 246. Formes et costume di's femmes, iiaptênie, 247. Terribles chiens de garde. Rigidité moeurs. Sévère punition de la fille quia failli, 248. 249. Mariages, 250, 251. Fraternité d'armes. Respect pour les morts. Fu- nérailles, 252. Ooyances super- sticieuses. Caractère, 253. Respect |)our les vieillards. Yeugeauco hcrc - difaire, 254.

Monténégro ( province de la Tur- quie d'Europe). Situation , campagne, origine du nom, t. XL VI , p. 2îl. Bivières , climat. Absence de villes et de cbemius, 242 Gnégussi, lieu de la résidence du gouverneur , 345.

Absence d'art, 243 et suiv, Population,

Monterey ( capitale de l.i Nouvelle- Californie ), Description de sa baie, t. XII, p. 227. Naturels, 229.

Rade découverte par Visc.iino , 231. Cabanes, 233, Etat des

naturels sous les Epissionnaires. Fonc- tions des caciques, récompenses, abolitions de la Polygamie, 234 et suiv. Habillement , 240. Mœur» dos Indiens indcpendans, 241. '>~ Po- pulation en 1833 , 245 - Quelques plantes et roches, 247. Langue, prononciation , 249. Uescription de la baie. Etablissement jespagnol. Fort, XIV, 564. BAtimens, 366.

Mission et présidio, XIX, 538- Moiitt-yideo (capitale de lu répu- blique de ce nom). Ruco. Maisons. Climat, t. XX, p. 69.

Muntézunta (empereur du Mexi- que), Envvie des déoutés et des pré- seus à Cortcz, t. XXXVIII, p. 280, 286 Habileté de ses peintres, 283,

.Ses courriers, 285. Etendue, Bornes de sou empire, 289. Ori- gine de cet empire, 290. Reçoit Cortcz à Mexico. Son palais, 311. Sa fin tragique, 313. Ses domes- tiques, XLI, 114. Ses femmes, 115. Cérémonial despotique, 115.

Salle des repas. Ustensiles. Plats, domestiques. Musique, etc , 116, 1 18. - Ses habitudes , 1 18, 124, PaUiset jardins, 119, 123. Ména- geries, 120 et suiv. Arsenal. Ar- tistes, 12Î. Le Bano de Monté- zuma , 144. Véracité des auteurs espagnols sur la splendeur de son empire, 154.

Montgomery ( ville de l'AIaliama , Etats-Uuis), t. XXXIX. p, 356.

Monti ( baie de , Amérique russe ). Découverte par La Pérouse, t. XII, p, 151 , 152.

Montpellier ( ville de la Caroline du nord,États-tJuis), t. XXXIX, 289.

Montréal (île et ville du fleuve Saiiit-Lam^nt , Canada ),t, XXXIX, p. 106.

MooRE (John). Ses voyagea en Europe, t. XLVl, p. 81.

Mora ( ville du Mandara , S'Midan), Singulier usage d'étiquette, t- XXVII, p. 144. Ses environs , 179.

MoradabaJ [ville du Rohilciiod, Hin- donstan). Beaux jardins. Confection de la glace. Belles vignes, t. XXXVI, p. 253.

Moravie ( province de l'crapire d'Autriche). Sol, Température, tom. XLVl , p, 227, Ses habitans, 228.

416

TABLE GÉNÉRALE

Etablistemoot des frère» Moraves, 237.

More» (partie de la Grèce ). Voyage de Pouciueville , t. XLVI , p. 206.

MoHRKLL. Sa vie, t. XX, p 1. Son premier voyage autour du moude, \b' Son deuxième voyage , 67. Combat les sauvages de la Californie, 92. —Son troisième voyage, 103. Sod quatrième voyage. Sa femme l'accompagne, 13&, 137, 1^7,161, 225, 297. Découvre les groupes Westervelt, 201 De Bergh, 207, 212. L'ile Livingston, 214. Bécif de Skiùdy , 228. Le groupe Skiddy, 230. ■>- Hostilités avec les insulaires , 236 , 241, 276, 282, 331 , 361 . Découvre les îles du Massa- cre , 245 , 290. Entrevues avec les naturels, 246 et suiv., 271 , 275. Construit une maison. Plante un jar- din , 266. Est trahi par les natu- rels, 276. Alarme, 281. •— Mas- sacre. Bataille , 282. Cannibalisme , 289. Retour aux îles Massacre. Un de ses marins fait prisonnier , 337.— Récit de sa captivité, 343. Achat de l'ile Wallace , 341 . Découverte mystérieuse, 394.

Monta ( ile , groupe Sandwich), t. XI, p. 245, XIV, 403.

Morue, Description de la pèche de ce poisson sur les côtes de la Norwége. Sa préparation et autres détails , tom. XLV, p. 145 à 152.

Morumbidje ( rivière de la Nouvelle- HolUnde). Exploration de son cours , par Sturt, t. XLIII , p. 281. Carac- tère du pays entre Ûndevaglia et la rivière, 284 et suiv. Cabane, 286. —Rives, 286, 302 , S(i7. Ses eaux , 287.— Riches vallée», 288— Affluens, 288 , 310. —Entrevue avec les natu- rels, 290, 295, 297,503, 309, 313 ei suiv. Chasse à l'opossuui, 290. Caractère de la rivière au-delà des montj4gnes, 293. Inondations, 297.— Oiseaux , 297, 307. —Figure, formes des naturels , 298 Usages divers , 299. Armes. Combats , 299, 313. Privilège des vieillards,

299. Privilège des gens mariés. Cérémonies de nuit. Etat des femmes,

300. Arbres , 301 , 302. —Mirage,

301. Communication prù.sumée

avec le Lachlau , 303.

Vents,

304. - Plaine de roseaux, 304, 309.

Tombeau , 507. Rapides , 310.

Arbres charriés, 311. Se jette dans la Murray, 312, 352. Voy. ce nom. Collision avec le» naturels, 354, 357 et suiv. Infanticide, Canniba- lisme, 362.

Morutzi» ( tribu de Betcliouanas , sud de l'Afrique) , t. XXVI, p. 471,

Moscou (capitale du gouvernement). Magnifique aspect, t. XLIV, p. 355. Sa description, XLVI, 142. As- pect. Détails historiques , 143. - Le Kremlin ,144.

Moscou ( gouvernement de la Rus- sie). Voyage dan» l'intérieur, tom. XLIV, 355 à 363. Podolsk , 356.

Lapasna. Marché du dimanche, 359. Serputcliof. Images des saints, 762. Boghorodosk, 461. Vias- uiki. Célèbre jardin botanique de Gorrenky, 470.

Mosgoui ou Musgoi» (ville du Man- dara, Soudan ). Costume de i^Kh, t. XXVII, p. 148.

M0SK.1TE. Laissé par Sharp dans l'Ile de Juan-FernaDdez , t. 1 , 350. Repris trois ans après par Dampirr, raconte comment il s'e^t entretenu pendant ce temps , 366. Voy. Selkirk.

Mouab ( résidence du roi d'Yémen , Arabie), t. XXXI , p. 240.

Moulineau {^We du Géant, Austra- lie), découverte par Bougainville , t IV, p. 322.

Moultan {^Mn des Etats des cheiks, Hindoustan). Voyage dans le pays, t. XXXVII,p. 384etsuiv.-BibliDthè. que du khan, 392. Shoujuabad,399.

Introduction des dattiers , 409. Désert entre le Chenab et l'Indus, 410. Souvenirs d'Alexandre, 412. Voy. Oueh.

Moultan (capitale). Soumise .111 cheiks. Aspect. Population. Hautes maisons. Etoffes de soie. Commerce, XXXVII, 400. Tombeaux renom- més, 402, 405. Forteresse, 401

Antiquité de la ville , 403. Cé- lèbre? temple Ilindou, 404. Into- lérance religieuse des cheiks , 407. Climat, 408. Environs, 409-

Alourija (ville du Bambara). Com- merce de sel , t. XXV, p. 217.

Mourmour ou Murmur (ville du Kata- goum , Soudan) , t. XXVII. p. 360.

DKS MATIÈRES.

4t7

JUounouk ( capitnie du Fe/zan ). Preuve dr bonne éducation , t. XXV, p. 427. Situation , 4*î'8. Palais du sultan , 432. FortiGcations , XXVII , 10. Exrnrsinn dons Icii environs , 28. Costume des femmes, 449.

Mouttet (ville de l'Ai - Djexyreh , Turquie d'Asie ). Aspect. Rues , t. XXXII , p. 480. Cafés. Dains. Population. Figure des habitans. Ha- billement. Ornemens, 482.

Moussant (phénomène des). Connu des Romains sous le règne de Claude, tl,p.7.

Mouzabad (ville du Rajpcutana, Hindoustan ). Temple des Jains , t. XXXV 1 , p. 323.

Mowah (ville du Rajpoutana , Hin- doustan). Fortifications. Bazur. Tein- tures, t. XXXVI, p. 304.

Mow/e (île du groupe Sandwich). Dé- couverte par Cook. Son aspect , t. XI, p. i28, 244; XII, 121. —Pirogues , 123. Explication du mot tabou, 126. Hi«bitan8 sout-ils anthropo- phage»? 136. Sol, villages , 137.

Meubles , étoffes , 138. Son as- pect , XIII , 168. Habitans , ta- touages, ornemens, vêtement, 169.

Gouvernement, climat, 171. Moxa (rivière de Norwége). Ses

chutes , t. XLV, p. 67.

JUojrobamba (ville du Pérou). Teint des hiibitans. Manufacture de coton , t. XLII , p. 26. Danses et luttes , 27.

Mozambique (île de , Afrique sud- est). Découverte par Gama. Com- merce. Ancienne connaissance de la boussole, t. I , p. 35 ; XXII , 12.

MozJoh (ville du Caucase , Russie d'Europe), t. XLIV, p. 450.

Mseitsk 'ville de la Russie d'Eu- rope), t. XLIV, p. 366.

Mudge (pointe , Nouvelle-Géorgie , Amérique septentrionale). Nommée par Vancouver, t. XIV, p. 289. Nafu- rels , villa (je fortifié , pirogues , 293.

Muggaby (lac du Bonruou , Sou- dan). Hippopotame, t. XXVK , p. ,192, 208. Autres animaux, 207.

Mutgrave (groupe , archipel Ra- dack , Polynésie). Ornemens des na- turels , productions des Iles , t. XVI , p. 444 , 455 , 461 . Disposition et

XLVI.

étendue des lies , 454. Funérailles , 457. Mariages , 459. Gouver- nement. État des personnes , 460. Religion. Huttes, 462. Canots, 464. Figure des naturels, 467. Les lies sont formées de deux ar- chipels, XVIII, 167. VojT. archipel Gi'btvf^ Manhall,

Mulgrav0 (port , Amérique russe). Naturels incrustent des ornemens dans la lèvre inférieure , t. XII , p. 198.

Nommé par Dixon. Naturels. Idiome, XIII , 285. Disposition des morts, 287,301.

MuUenbach ( ville de la Transyl- vanie , empire d'Autriche) , t. XLIV, p. 111, 112

Mukgo-Park. Sa vie, t. XXV, p. 1.

Sofi 1"" Voyagt dans l'Afrique vers Tombouctou, 21. Sa route sur les bords de la Gambie, 23. Entre dans le désert , 62. Ses vi.sites au roi de Bontlou, 72. Est dévalisé. 87,101, 151, 199, 272, 356. —Ses visites :>ii.roi dn Kasson , 106. De Kaarta , 116. Recueille des rensei- gnemens sur le major Hougliton , 126.

Continue son voyage presque sc'l, 136. Est conduit prison jier à Bt- noum , 140. Mauvais traitemcns qu'il reçoit, 142 et huiv. 154. Comment il recouvre sa boussole , 151. Reçoit un singulier présent de noces, 161. S'échappe, 197.

Ses souffrances dans le désert , 201. Découvre et longe le Niger, 223. Ses aventures sur ses bords , 223 à 242 et 247 à 262. Ses ren- contres d'animaux féroces, 236, 249, 257 , 364. Est forcé de revenir vers l'ouest , 242. Fait des saphis (amulettes) pour vivre , 264 . Sé- journe à Kamalia , 283, 308. Voit un Albinos , 321. Son deuxiimt Forage, 329. Revoit le Niger, 36iB. Fin de son journal. Commen- cement de celui de son ancien guide envoyé cinq ans après à sa recherche , 375. Récit de son guide , 384. Sa mort, 389. Renseigncmens sur saÉ mort, XXVIII, 178, 200, 228. Recherche de ses papiers , XXX, 170.

Renseigncmens sur son compte 192,194,199,325.

Mungomem (habitans du Munga , Soudan). Expédition contre eux par

27

41»

TABLE GÉNÉHALE

los Burnowien* , se «oumettcat , t. XXVII, i>. 196, 201. Leurs armes, 205.

Munich (capitale de la Bavière). En* TÏroDS, t. XLV, p. 345. Bel aspect, 545. •— Proitpôrité, Population. Riches costumes , 346. Théâtre , 347. Palais du roi. Objets pr<icieux , 348. Galerie des tableaux, 349. Aca- démie des beaux -arts. Le glypto- tbèque. Scblei«heim , 350. ^— Détails sur les prisoos, 351. HApituux , 352. Églises, 353. Académie des sciences. Dibliotiièques et autres institutions, 354, 355. Éducation. École de dimanche. Gaieté de carac- tère, 355. Amusemens, 356- Lieu remarquable des uluatours, 550, 367.

Munionisica (ville de lu Laponio russe), t. XLV, p. 321.

Muonio (rivière «le Laponie ), t. XLV, p.o23.

Miiroie (province d'Fspagne). Car- thagène, t. XLVI , p. 170. .

Muroiig (ville du Wladimir, Russie d'Europe), t. XLIV, p. 463.

MoHFHT. Son voyage en Portugal, t. XLVI, p. 185.

Mwray (rivière de la Nouvelle-Hol- lande). Découverte par Sturt.Conflucnt de la Morumbidje, t.XI.III, p.312, 352. Démonstrations hostiles des naturels. Armes, chants de guerre , tatouages , 313 à 320 , 335, 346 , 351 . - Rives, 314,321, 324, 333, Arbres, 317. Embouchure pré-

sumée du Darling, 321. 324, 363 et suiv, Nom douué a la rivière par Sturt, 322. Kutrevues avec les na- turels, 325, 528, 320, 333, 342. >• Habileté des naturels pour la pèche 323. - Pays peinilé, 325, 326.— Saleté. Maluv^ics, 320, 828. ( on- iluent du Rufus, 327, 350, Lai- deur des femmes, 527, 329. Co- quillages marins , 330. Rociiers,

331, 343.— Torti:. 331 .— Oiseaux,

332, 337, 346. 351. Montagnes , 332. Vallée , 332. Nattes des naturels, 333. Lac ou se termine la rivière, 534. Communication du lac avec la mer, 535, 336, 340.

Montagne de sable, 339. Vallée de la rivière, ?41. Roseaux, 342.

Amas d'os, 344. Ile, 346. Tribus n'habitent point les rives, 349. - Naturels massacrent le capitaine Darkcr, 374 à 378.

A/uroiet/o (ville d'Espagne), t. XLVI, p. 177.

Mutfeia (ville du Feintnhs , Sondàii). Combat contre les Arabes et les Man- darieu», t, XXVII , p. 160.

Mutra ( ville de l'Oman , Arabie ). B^ie. Eaux thermales, t. XXXV, p. 9.

Mutira (ville de l'Agra , Hindous- t.in). Révérée des Hindous. Respect pour les animaux. Beaux édifices , t. XXXVI p. 291.

Mrtilènê (Ile de l'Archipel). Beauté du climat, t. XLIV, p. 282. Le Si- rocco, 282, Havre et village de Sigri, 283.

N

Namaquai (grands et petits , tribus Hottentotes). Sol du payr Villages , t. XXIX, p. 213. Huttes mobiles. Climat. Brigandages è^Africantz , 214. Lily-Fountaiu : établissement des missionnaires , 223. Religion. In- dustrie. Fêtes de la puberté , 340. Ornemens des chasseurs heureux ,

.342. Voy. Rivikre.

» Namaquai (petits). Vétemens , orne- mens, t. XXIV, p. 295, 296, 303.— Musique , 297. Insectes incom- modes, 298. Poiufs. Bœufs de guerre, 299. « Moutons , 500. Stature, 301.

JVamaquat (pays des petits). Étendue, t. XXIV, p. 501. Rareté des pluies, 504. Partie aride, 506. Ar- bustes, 312, 455. Poison pour les animaux féroces , 455. Campagne verte, 457. Voyage dans le pays , XXIX, 206. Pilla : établissement des missionnaires , 209. Bornes du pays, 211.

Naaaquas (grands). Fables racon- tées à leur sujet , t. XXIV, p. 336. Taille. Couleur, 340. Mœurs, 311 , 343, 344. Vétemens, ornemens, 541 . Absence de religion , 342. U sage absurde , 545. - Armes , 343

iDES MATIÈRES.

41»

Mailqne. l«iu , 319. > Mariaget, 548.

NamMuM (payi dei srandi), Répn* blique a'oiteaus, t. XXIV, p. 322. " Girafe tuée par l.eTaillant , 324. -^ Animaux yenimeux , 348. Bornes, XXIX, 211 , 339. Dép ..ulation , 214<

Namouloult (groupe, archipel des Carolines). Découvert parMurrell et nooimé Skiddjr, t. XX , p. 230, .

Afanea, Description de ce fruit , t. VII , p. 72.

Piangaiaki (tle Kinsu , Japon), Soa havre, t. XXXI, p. 111, 130. Si- tuation, 129. Commerce. Aspect. Rues. Rivières ,130. Temples. Maisons de débnuche, 132, 133. ^^ Gouvernemens , 132, 13vi. Ponts. Rues. Maisons. Magistrat de ptilice , 136. Grandes routes. Milles géomé- triques, 142.

^ang- 7<7t(iii^-/'0u (ville de la Chine). Casques dorés. Peintures sur verres. Brouettes de] visites. Femmes. Mcn- dians. Lieu d'examen militaire , t. XXXIII , p. 410, 412.

Nanking (ville de la Chine). Rues, tom. XXXIII, pa(;. 396, 399. Boutiques. Manufactures. Muraille. Portes , 396. Idoles. Bains de va- peur. Canal , 398. Toor de porce- laine , 400. Son coton , 479.

flfatunat Y iles , mer de Chine ) , t. XXXIV, p. 86

Nopht* ( huile de). Son extraction an Birma, t. XXXIV, p. 472.

Naples (royaume de). Voyage d.ins l'intérieur, t. XLIV, p. 348; XLVI,

196. Sybaris , Tarente, Gallipoli, Lecce , Briudcs , Cannes , Bftvino ,

197. Coup d'œil sur le pays , 264. Voy. Sicile.

Naples (capitale du royaume). Cu- rieux aspect de la rue du Toledo , t. XLIV, p. 350. Le macaroni , 351.— Le musée j 352. P< pnla- tion, dation, monumens, XLVI, 264.

Napoli it Romame ou Nauplie ( >'a- pitale de la Grèce). Montagne. As- pect de la ville, t. XLIV, p. 291. Etat florissant, 292. Grecs mo- dernes, 293. N'a rien d'attrayant. Ses forts. Ses rues, XLVI ,213-

lYarborough {lie, groupe Gallapa-

go(). Nommé* par Cowley,!. I , p. BAS. iSoQ beau port, |X VI, 64. 8«>1 de rtle. Aventuret d'un marin dé- laissé. 66. >~ Éruplioa d'un folcau , XX . 85 et suiv.

JVarcoitJam (Ile, groupe Andaman , golfe du Bengale) , t. XXXIV, p. 4.

Nauau (iles de la Sonde). Nombre, usages , mœurs , etc. , des habitans , t. XLIII , p xlix.

N»teh**i{ ville du Mississipi, États» Unis),t. XXXIX p.364, 390.

JVaupli». Vi>y. nopoli,

Naura (ville du Kaarta , Sénégam» bie). Situation, t. XXV, p. 211. Blé, 212.

Navarin (vUle delà Grèce), t. XLVI. p. 207.

JVarigaUurê (archipel des, Poly- nésie). Traversé et nouimo par Bougain- ville , t. IV, p. 265. Naturels. Piro- gués , XIII , 70, 80. Vases , cordes , nattes , 82. Haute stature des na- turels, 89, 116. Leur férocité, 92, 100, 116, 117. Tatouage , vêtement, 117. Femmes, leurs faveurs, 118. Arts, nourriture étoffes, 119. Langue , 121. Uri. gino des naturels , 122. Gouver- nement féodal, 123. Pirogues, 125. Sol des iles , beaux villages, animaux, productions, 126. Le» Iles sont les plus belles du monde, XVII, 329, 330. Voy. Ilei Cocos.. Maouna, Oyolaira, Péchtur, Plate, Pola,

Aaifur ( vallée du Népaul , Hind.). Laideur des femmes , tom. XXXV , p. 454. Lieux divers, 454. Huile de uoyaux de péclie , 454. Beaux chiens, 455. Costume d'un .sol- dat, 456.— Corruption. Civilisation , 464.

Nasia (ile de l'Archipel) , t. XLVI, p. 95.

Nébuleus» (ile , Amérique septeu- trionale ouest). Nommée par Couk , t. XI, p. 33.

Necktr ( iles , Amérique septen- trionale ouest). Reconnues et nom- mées par La Pérouse, t. XII , p. 224. A'«cA-er(ile,près des Iles Sandwich). Découverte par La Pcrouse , son as- pect , son gisement , t. XII , p. 258.

Nedjed (partie de l'Arabie Déserte). Tribu des Wahabites ne vénèrent point Mahomet, t. XXXII, p. 291.

420

TABLE GÉNÉRALE

SigoiScatioB dn aooi. VUIm. C«Ditale. Pâturifet. Beagt chevmix , 583.

fifti/jin (ville du goufernfnent de Tchernigor, Huisie d'£ar.), t. XLIV, p. 372.

JVigroi ( llet du groupe de l'Aini- rauté). Bel aiiiect , t. XV, p. 67. Naturel». Leur» arme* , 58.

iV^pal ou IV^paul (ittat de l'Hin- douftan) Obiervations générale* sur le pay* et l'armée OUoiirka , t. XXXV, p. 421 et HUIT. Caateii, 422. Po- pulation des principale» villrs , 423.

Armée Ghonrka. Arme* diTerset, 424. Singulier traitement des en- fan* dans un villnge , 440 Tem- ples, 444. Caractère des Gluiurkas, 448. Comment ils remplacent les poteaux indicatifs , 467. Voy. Nanur.

Nita-Kouta ( ville du Koiiranko , Sénégambie) . t. XXVIII, p. 60.

Nm/'llês (groupe de» , Auiitralie). Est le même quecelui des Iles du Mii»- *acre , t. XX , p. 200.

Ntvill* ( port de i'ile de Quadra et Vancouver, Amérique leptentrionalc). Nommé par Vancouver, t. XIV, p. 296. -- ViUaf;e agréable , maisons, rues, 297. Naturel», occupation des femmes, 296. Cbansons, 299.

Naturels avaient des arme* à feu , 500.

N*we€utl» ( ville de lu Nouvelle- Galle* du sudV Édifice*, t. XLIII , p. 37. Indigènes, 87.

N*» Kapen ( ville du Connecticut États-Unis ). Une de» capitales de rÉtat. Inconvéniens. Collège. Cime- tière, t. XXXIX, p. 176.

New-Itland (ile , groupe Malouines). Barnard y est abandonné par des naufragé» anglais qu'il avait recueillis dans son vaisseau , t. XVIII, p. 126 ; XXI, 250.

JVeiflsland (folynésieV Découverte par Walli», t. III, p. 397.

NtufYoïk (Un des États-Unis). Variabilité du climat, tom. XXXIX, p. 24. Remarquable prison péni- teutiaire de S.'ng-Sing. Vie des prison- nier* , 25 à 32. West-Point, école militaire , 33 , 34. Village* , 35, 46, 52, 59. Milice nationale, 57. Ré*idence du gouvernement, 39. Scheneotady, 43 à 50 —Troie. Mont Ida, 47. Chute* deTrenton, 51.

Indien», 53. —Campagne, 63, 54. Terre» défrirliée» , 51. Ijiri. 65, 60. Genève, 56. Rareté det Bonuettes, 58. Sackett, 101. Légitlature, 120. Séance des cliani- bre», 1^1 et suiv. Huge électorale, 128 et suiv. Trace» du déluge, 206.

Voyage dans l'intérieur, XLI, 167 et »uiv. Renom de» eaux de Sara - toga, 170. Voy. jill>a^, Bu/falo, Mr>*, Hudton, LoHg'/steinJ, Uliea,

nti».York (capitale de l'Etat). Rien- veillance des iiabitans , t. XXXIX,

tt. 6. Table» d'IiAte» et restaiirnu», ). —Chantier pour les construrtiona navale», 11. Fréquence des incen- die», 13. EtnblisHemen* d'utilité ]iubrique, 15. Ecole», 16- Cour »upréme, 17- City-Hall. A«pp«'t dp la ville, 18. Déplacement de inai- *on», 20 et »uiv. A»pect du iiavre le l*"" de chaque moi», 178. Baiiin de Long-Brntich, 436. EIcmeu» de »uccè». Beauté des environ», Miiis^m.s, XLI, 271. Elégante tournure et. costume des dame», 272. OL.hci- vntion» sur la ville , le caractère des babitao», le climat, 294.

Niagara (partie du fleuve SJint- Laurent , Amérique septentrionidc ). Son cours, sa cataracte, t. XXXV Ut, p. 37, 41; XXXIX, 67 et suiv. Ile des Clièvre», 69. £tabU»»emeo!> , 70. Ponts ,71. Caverne, 73.— Voyages le long de se» bord», 81. Baie de Burlington, 85. Indieu!), 87. Hauteur et volume d'eau de lu cataracte , XLI, 368.

Niat (lie de la Sonde ). Étendue, productions. Habitans, tom. XLIII, p. xlviij.

Nii-aragu.i (Isthme de, province do Guiitemala, Amérique méridiouale). Compagnie pour la section deTisthaïc, t. XXXVIII , p. 406.

Nico'-ar (île, mer du Bengale). Ap- partient aux Danois. Denrées, tom. XVIII, p. 438.

Nicolaïf (ville du gourememcnt de Kberson, Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 395, 396.

Nidt d'oiseaux eomestiblts, t. XX ,

p.262;XLIII, X, Iv.

NiBBUHR. Notice biographie. Son voyage en Arabie, t. XXXI, p. 323.

NitwtU (mont» de la colonie du

DES MATIÈUES.

421

ca|i (la BoBue-E*|t^faooc, t. XXIX, (*. 96.

Nijf* ou Noujfi* (royaume «lu Simi- dan). Voyago dan» le |*avii,t. XXVIII,

1t. 189 et »uiv. Kl-Wuta. Hautes burmiliérr», 189. Tnbra. VUile à la reiue, 19U. 191. ramj>, 1U4. Voyao» dan» le payn . XXX, 1A1. Relit * ilet, 282 etsuiv. Ossiioire d'Li|i|ioi)ii- tame», 283. •— V»y. Kooifa, Pittaihu, Rabba,

JVigaudt ( Ile des', caoal de No^l , Terre de Feu ). Nommée par Couk , t. IX, p. 61.

Nigtr •« Qttorra (fleuve d'Afrique). Découvert par MuDgu-Purk , t. XXV, p. 1, 223. Voyage nurses bord% 223 a 242, et 247 à 202. Crocodiles , 237. Reiiseignemeus sur non rours, 243. Ses suHnes, XXVIII, 103 et SUIT, -— Nommé Qiiorra par les natu- rels, 115. Naturels des bords en refusent l'upprocht*, lil. Ile et ville de Boussa , 180. Amours du Niger et de la Moussa , 277. Sfs débordemens , XXIX , 387. Voyage des frères Lauder dauslcbiit d'explu- rer son cours et son embouibnre, XXX , 1 . Son état à Boussa , 16(f. •— Voyage sur ses bords, 177. Leur beauté, 180, 182, 307, 372. Natu- rels des Iles , 184. Observations sur son cours, 190. Palmiers, 214, 351, 384. Productions, villes de oes rives, 218, 304, 312, 394, 461. Tours souterrains, 225. Descente du fleuve, 256 Ile Mclalie , 281 . Autres Iles, 282, 285, 293, !î07, 310 et suiv., 319, 343, 348, 351, 356, 426. Ile Bélée. Costume du roi de l'Eau Noire et de sa conr, 314 et suiv. Ëtatdufleuve'au-dcssous de Rabba, 342. Hippopotames, 345, 382. GuDgo et ses liabitiins, 351, 554. Pélicans, 371. Alligators, 381. Manière de faire le commerce près de Kirri , 427. Superstition au sujet du fleuve, 431. Voy. Camhriem^ peu- ples , lies Patathie, Zagoihie,

JVigiitie.\»y. SoaJaH.

NiJ'tni-Novogorodl^gouvetaemeat de la Russie d'Europe). Voyage dans le pays, tom, XLIV, pag. 464 à 469. Célèbres bazars de Macaricf , 466 à

NijJni'Novogorod (chef-lieu du gou-

vernement) .Sa deocriplion , t. XLIV, P 464 à 466.

Nilei ( provinre du Bourgou ). Dar- nes. Capitale. Sold.iti, t. XXX, p. 248. Nombre de» cités. Singulier tribut, 250 —Chevaux, 251.

Mkita (ville du gouvernement de la Tniridn, Russie d'Europe), t. XLIV, p. 421.

Niknpoli ( ville de Bulgarie , Tur- quie d'Europe, t. XLIV, p. 225.

Dl'l (fleuve d'Egypte). Arbre de set bords, t XXII, p. 222,425 Limon, 227. —Sou utilité, 228 —Accrois- sement de son delta , 230. >— Carriè> rcs de ses bords , 347 Ses inon- dations, 355 Entrée de la branche d'Alexandrie, Beauté de ses ri< >s, 425. Leur célèbre carrière de (gra- nit, 448. Ses cataractes, 448— Son ancien lit reconnu par Andréossi. Ses lacs de Natronn. Ses couvens , 452 et suiv. Canal de jonction .' la mer Ronge, 456. Voyagt it Bruof. Sf'S descriptions des rives , XXI II, 67 et suiv. Ile Halouan. Souvenir de l'olivier deStrabon, 74. Cannes à sucre, 78. Crocodiles, 88 Nilomètre , 92, 95. Catarac- tes, 94, 389, 408. Tentative de Bruce pour découvrir ses sources , 391 et suiv, Traverse le lao Tzana sans mêler ses eaux, 397.'— Est vénéré dans l'Abyssinie , 408, 424, 428.— Bruce arrive aux sources, 423.

Description de ses sources, 427 a 435, 437. Tableau de son cours jusqu'à la mer, 437 et suiv. Prêtre des sources. Sacrifices, 449, 451. Son influence en Nubie, 487. Voy. Elephaniine, Génz.

Nio (lie de l'archipel), t. XLVI , p. 94.

Niphon ( Ile , Japon ), Son '''«indue. Sa capitale, t. XII, p. 333. %> n- tagnes. Rivières, 112. - MiaL< >. De- meure de l'empereur ecclésiastique , XXXI, 129, 153.— Fil'es de joie, 150.

Usaka, Maisons. Rues* tivoc portes.

Gouvernement, 152. Temple. Rivière. Château. Rups. .'Manufactures. Population, 154. Voy. Jedo

Nitcliapore ( ville du Khoras.san , Perse). Célèbres mines de turquoises, t. XXXV, p. 99, 191, 1»3, 195. Sa plaine, 99, 181, lOO- Beaux eavi-

i22

TABLE GËMÉRÂLE

rons, 186, 190, 202 ^ Triste aspect de la ville, 186. •> Enchanteurs in- diens. Traditions, 187. «^ Ruines, ]88' Histoire de ses révolutions, 189. Population. Village des euvi« ronr. Température , 190.

Kizelet-el-jirab (^ illage delà Haute- Egypte). Ses cannes à sucre, t. XXIH , p. 78.

Afoil (canal de , Terre de Feu). Des- cription du pays et de ses habitans , t. IX , p. 53. Canards sauvages , 59.

Laideur et saleté des babitans, 65, j9. ^ Leurs armes , 66. Leurs pi- rogues , 67. Oiseaux, 72. Voy. lies des Nigaud», des Oiet.

Noèl (Me de l'archipel Daugereux). Découverte par Cook, t. X, p. 258, 264. Nourrit des tortues, 258. Cook y fait semer différentes graines, 261.— Sol. Son exhaussement, 262. Est inhabitée. A très peu d'arbres , 263.

Son étendue, 264.

Aoil (Ile de la terre de Sandwich). Découverte par Fanning,t. XXI, p.455.

Aoi-T de eocos (tles des, Australie). Découvertes par Carteret. Productions diverses. Cannes appelées yoncx par les Français, t. III, p 142 à 148.

NooRT (Olivier de). Son voyage autour du monde, t I, p. 240.'— DécouTte les tles des Pinguins et des Patagôn8,242.

JVootka ou du Roi-George ( entrée, Ile de Qnadra et Vancouver. ) Sa des- cription, ses productions, etc., mœurs, usages, formes, industrie, etc., des naturels, t. X, p. 546 à 424; XIII, 356 à 375. Pour les détails , voyez lie de Quadra et faneovwtr.

7V0n/(cap, Ile Mageroë, nord de la Norwége). Approches du cap, t. XLV p. 210. •-' Description du cap, 220 et sniv. >> Violence des vagues, 222.

Salubrité du climat. Aurores bo- réales , 223. Voy. Mageroi,

Nord (cap , Amérique russe). Nom- mé par Cook, t. XI, p. 76.

Nord (port du, terre de Van-Dié- men ). Nommé par d'Entrecasteaux. Sa description et celle des alentours , t. XV, p. 18, 21, 28. Conjectures sur les naturels. Huttes ustensiles, 20. ••' Animaux. Arbres creusés, 22. •— Plantes , 25. Climat , 27.

Nordtiifitldê (partie de la Norwége).

Voyage dans l'intérieur, t. XLV, p. 83> à 111. -- Le Dovrefield. 85. Vil- lages, 84, 85, 101, 102, 108, 109. Lièvres de montagne , 85. La Gule, 86. Chutes de Leerfossen. Lacs pittoresques de Jonsvandel, 88. Enormes fourmilières. Leur intérieur, 89. Vinaigre de fourmis, 90. Bétes sauvages, 90 à 96. Le lynx, 90.— L'hermine, 91.— Le lemming, 92 à 96, 183 à 185. Difficulté des routes. Précautions des chevaux, 101.

Rivières, 102, 105. Ile de Tut- terroen. Edredon, 102. Aspect du

Îays, 104. Foires de Levanger, 05. Abondance de Courlis. Ptur- migans, 106. Régimens de pati- neurs, 107. Fin des routes, 108, 110.— Voyage le long de la côte, 110.

Iles d'Otteren , 1 13. De Gioen , de Elven , 114. Golfe de Fol- den , 145.— Transparence de la mer, 116.— Iles de Vigten, 117. De Otersun, 117. De Krogoen, 118.

DeLeKoë, 118, 120 Hdlge- land-Vaer, 120. Voy. bovrefrield, IJron- ihelm, nouvelle capitale de la Suède.

Nordland ( grande province de la Norwége). Ile Roest, t. VIII , p. 128.

Attraits pour le voyageur, XLV, 2.

Edredon, 103, 144. Glaces per- pétuelles, 113. Ile de Torgetel son fameux mont, 121. Voy. ce nom. Ile de Vegen , 125. Multitude d'oiseaux sur les Iles rocailleuses, 126.

Demeure épiscopale de l'île d'Al- sten, 128.— Les sept fameuses mon- tagnes, 130. Ile de Mageroë, 131.

Monts Trœnen, Lovunnen, 134.

Le cercle polaire, 135, Iles de Selsoën, 136. Svinvœr. Fin de la végétation , 137. Différentes espè- ces d'ours, 138.— Pois.soDS noirs, 139. Iles Stot , Gilles Kaal , Flcin. Monts gigantesques, 140, 141. Dépaissance des troupeaux en été. Leur nourriture en hiver, 142 Port de Hundholm, 144. Pèche, pré- paration, etc., de la morue, 145 à 152. Villages, Maisons, 155. Port de Bodoë , 1 54 à 1 58. Fameux gouffre de Maelstrom , 159, 160. Golfe de Salten, 155. Poissons rouges, 156.— Etendue, sol,etc., delà province , 159. Ile de Stegen et ses cavornes, 164. Golfe de Vest, 165.

DES MATIÈRES.

42S

Iles Loffoden , 166. " Marsouias , 167. Ile Sandtow, 167. Descrii»- ti'.a d'un Lapon de lii > ute, 168. * Ile Senjen, 169, 172. - Renards bleus, Lianes, rouges et noirs, 170. As- pect des monlfagiles de Dyroë. 171.

Port de Trouisoë, 174. Bois et antres corps d'Amérique jetés sur la côte, 177, 188. lie de Reenoë, 182. De Carlsoë, 183. Grande profondeur de l'eau sur la côte. Pro- tection que lui prêtent ses lies nom- breuses , 190, 191. Absence d'agri- culture, 197.

JVoniland ( province de la Suède ). Voyage dans l'intérieur, t.XLV, p. 328.

riikkala. Sapins. La Calix. Hvita, 528. Luloea, 329 Nombre de ri- Tières,|529. Pitliea, 329.— Bothnie septentrionale , 329. Taureau à la cliarrue, 329. Costume des paysaÂs. Skelleftéa. Umen , 330. Bothnie ouest, 330. District d'Angferman- land. Spinte. Montagne Skula, 331.

Sunds Wall , 332. Le Niurunda- Elf. 333.

Norfolk (île de la côte de l'Amérique méridionale). Découverte par Cowley, t. I , p. 355.

Norfolk (île, Austr;ilie).Découverte par Cook.t. IX, p. 24. Productions, 25. Sa descriplion, XIII, 156.

Norfolk ( détroit ou entrée de, Nouveau - Norfolk ). Nommé par Oixon. Naturels. Distorsiou et orne- ment des lèvres, t. XII, p. 198; XIII, 301.

Norfolk-Nouvtau (pays deJlaNouv.- Bretagne, Amérique septentrionale ). Sa reconnaissance par La Pérouse. Noms donnés à divers lieux. Naturels. Leurs formes, usages, etc., t. XI Ij p. 142 et suiv. Description du port des Français, et des mœurs , usages, vétemens, etc., de sesbabitans, 159 à 207. Voy. et nom. Physionomie. Dis- torsion des lèvres, 198 note For- mes des naturels, XIII, 176. Phy- sionomie.Ornement Ltbial, 177. Cou- leur de la peau, Ongles. Chevcux.Belles dents. Tatouages, 178. Reconnais- sance de la côte. Noms donnés à plusieurs lieux par Dixon. Mœurs, coutumes, etc., des indigènes , 299 et suiv. Observations générales. For- mes physiques. Mœurs. Usages. Gou

vernement Unions. Tmitement des femmes en couche, 179 à 188.

Norkoepiiiff ( ville de la Suède, Go- thie), t. XLVI.p. 291.

iVorfon (entrée de, Amérique russe). Babitans. Habitations, t XI, p. 9d. Nommée par Cook , 96. Naturels ressemblent aux Groënlandais, 124-

Norw/g» (partie du royaume de Suède ) . Attraits pour le voyageur , t. XLV, p. 2. Voyage dans le

Sonderfields , 40 < 83 La fête de

la Saint- Jean, 42. Monnaies, 46.

Difficultés et périls des bacs, 47.

Quadrupèdes ,48, 76, 85, 90, 96, 138,170, 181, 193, 263. Oiseaux, 49, 76, 82, 102, 106, 126, 193 , 290. .— Flottage des sapins, 49. Mines, 54. Forêts , 55. Fabrication du charbon leur est très funeste , 55. Beauté et richesse des vallées. Rapi- dité de la végétation , 56. Fortes chaleurs , 57. Lacs , 58, 59. Saison convenable pour voyager dans le pays , 59. Population et culture de l'Hedcrman et du Guldbrausdal , 61. Agilité des animaux domesti- ques, 65, 64. Torrens, 65 , 69 et suiv. Fermages. La chaîne du Do- vrefield, 72. Voyage dans le Nor- dcnfields, 83 à 111. . Enormes four- milières. Leur intérieur, 89. Vi- naigre de fourmis , 90. -> Langue comparée à celle de Suède et de Da- nemark , 98. Clicvaux du pays- 102.— Edrcdon, 102, 144 Régi- mens de patineurs , 106 à 108. Fin des routes, 108, 110. As]iect des montagnes, 110. Profondeur des rivières. Il 2. Glaces perpétuelles 133, 137. Iles et côtes dn Sonder- fields. du Nordlaud , du Finmarck. Voy. cet nomt. Les sept fameuses montagnes, 130. Le cercle polaire, 135. Fia de la végétation, 137. Différentes espèces d'ours, 138. Poissons noirs, 139. Monts gigan- tesques, 140, 141. Dépaissance des troupe:iiix en été, leur nourriture en hiver, 142.— -Pêche, préparation, etc., de la morue aux Iles Loffoden, 145 à 152. Poisson ronge, 156. Fa- meux gouffre de Maelstrom, 153, 160. Variabilité du vent sur U côte. Mauvaise construction des bar- ques, 1C2.— Renards bleus, blancs,

414

TABLE GÉNÉRALE

ronges et noir» , 169, 170- •— Bois ot aotrei corps d'Amérique jetés sur la cAte, 177 , 188. Le fioner. Ma- nière de pécher cette baleine , 178 à 180. Les rennes, 181. Plantes * marines. Zoophytes , 188 et suiv. >^ Gorgones, 189. Les puffins , 192.

Aigles marins. Loutres, 193. Phosphorescence de la mer Polaire , ^.— Aurores boréales, 261, 284, 291. '— Observations sur le climat du nord , 270, 27 1 . Titre de /ro», 286.

Beauté de l'hiver du nord. 290.— Forêts de bouleaux , 42 , 54. Ar- bres fruitiers , 50. Lacs , XLY 1, 1 4. ■— Voyage de Twining, 296 et suiv. Yoy. Chrittiania , ancienne capitale; Finmark, Loffoden,Nordenfieldi,Nord- landy Sondtrfields, Scandinavie, Dron- tlitim, nouvelle capitale.

iVono/jf/cm. Diffèrent beaucoup des Suédois, t. XLV, p. 41. Ressem- blance des montagnards de tous pays, 41 . Vénération pour les pies , 49. ^ —Nourriture des paysans. Leur exté- rieur prévenant , 63. Leurs nom- breux talens, 65, 66. Noirceur de leur teint, 72.— DaD!>es,78. Noces , 84. Superstitions diverses des paysans, 93, 184. Exercices d'un régiment de patineurs. Ses services , 106 à 108. - Hospitalité, 1 19, 132.

Am<i|>r des liqueurs fortes, 127.

Tribunaux de conciliation, 129. Les aubergistes, 132. Intrépidité des femmes de pécheurs, 136. Repas , 152, 153, 197. Portent ha- bituellement un poignard. Belle chevelure des femmes, XLVI, 296.

Noufjie. Voy. Niffé.

Nougouor ( groupe, archipel des Carolines). Découvert par Monte- verdeson, t. XX , p. 237- Huitres à perles. Arbres. Formes et habillement des naturels, 238. Hostilités contre Morrell,331.

Nottka-Hiva ou Marquitet de Men- dofa ( archipel de la Polynésie ). Dé- couvert par Mindana, t. I,p 198.

Bon natnn i des habitans, 198 et suiv. Habitations , pirogues , ani- maux , fruits , 202. -— Noms indiens de plusieurs (les, VIII, 199. Excellent terreau, 202. Situation, étendue des différentes lies , 205. Productions , habitans, tatouage, vétemens, orne-

mens, 207 et suiv.— Habitatious,*nour- riture,cnisine,210. Armes^pirogues, animaux, 212. Population, 213. Manière de saluer un ami , XV , 349. Historique de la décou- verte, 363. Cabanes, 381. Ar- bres. Productions, 383. Animaux, 387. Climat , 390. Habitans : physique, vétemeus, tatouage, 391 , 401, 403. Ornemens , 396. Beauté des femmes, 400. Leurs vétemens, 403. Leurs mœurs dis- solues , 405. Nourriture des natu- rels , 410. Pirosues , armes, 410, 416. £chasses,4l4. Ustensiles, étoffes, exercices, 417. Mœurs, 420. Conjecture sur le gouverne- ment. Population , 425. Comparaison avec Tttïti de la langue et des natu- rels, 428. Eventails, XVI, 333.

Éohasses , 336. Traditions et conjectures sur l'origine des habi- tans, 344. Bel aspect des lies, 418. Voy. îles Dominica, Hergett, Hood, Magdaleaa , Révolution , /?0pa- hoga , San- Pedro , Santa-Catharina,

Nouka-Hira ou Maditon (île prin- cipale de l'archipel de Nouka-Hiva ]. Son aspect, t. XVI, p. 149, 421, 425.

Démêlée Porter et de la tribu

fuerrière des Heppahs , 156, 163, 74, 186, 209. Villages fortifiés , 159. Prix extrême attaché aux dents de baleine, 163. Oinemens des guerriers , l65. Tribus distinctes, gouVero^ent, noblesse, 176, 238.

Nombre de guerriers, 180. Manière de combattre, 181. Mai- sons très remarquables, 193 et suiv. 32 1 . —Habitans sunt-ils anthropopha- ges ? 197, 203, 207. Leur extiéme propreté, 199. Remarques sur la langue, 205. Objets en os hu- mains , 207. Souvenirs de la visite des Européens, 211, 340. Récolte des cocotiers, 213. Productions, Description du bananier, de la tor- ra, do la kava , de l'arbre à pain, 217 et suiv. Mœurs des naturels, 225, 227, 229. Leur figure, 228, 343. Habillement et ornemens des femmes, 232, 233, 426, 453. Ca- nots de guerre et de pèche, 252, 254. Cuisson des cochons , 261 .

Chants et danses , 265. Expé- dition de Porter contre la tribu des

DES MATIÈRES.

425

TypM, 263 à S04. Cimetière : sta- tue , obélisque , 309. -— Dieux , 313.

Cért'monie religieuse, idée de la vie futuro, 315.~Religion, 316, 318, 431. Drapeau blanc, emblème de paix, 320. Intérieur des maisons. Aepas, 321. Occupations des natu- rels, 323. Mobilier, iostrumeus, 324. —> Dispositions de leur cheve- lure, 327.— Tatouage, 328,433.

Etoffes ,331. Cercueils. Even- tails , 333. Echasses , 336.— Qua- drupèdes , 339. Tradition et con- jectures sur l'orifgine des babitans, 344. Mariages , 434. Naturels •ont cannibales, XVlI , 7, 12. Leur figure, 8. Orneraens,9. Maisons, outils, pirogues, autorité du roi, 10. Religion, musique, 13. Voy. Porter.

Nouvel-An (lies du, prè^ la Terre de Feu). Nommées et décries par Cook, t. IX, p. 90. Phoques et oiseaux, 91.

Nouvel-An (ilc du, Polynésie). Dé- couverte par Kotzebue, t. XVII, p. 1 27.

Figure, costume, armes des natu- rels, 129. Intérieur boisé, 133.

Nota Galleug. Découvre ler, îles de l'Ascension et de Sainte-Hélène , tom. IX, p. 151.

Novogorod (ville et (Jiipvernement de la Russie d'Europe ). Ancienne

puissance de la vlUe, t. XLVI, p. 146.

Nua1t1t»tiU$ (tribu de Bichuanas, au nord du cap de Boune-Espéranee}, t. XXVI, p. 471.

Nubaê (naturels de la Nubie). Sont tous soldats. Leur figure , religion , t. XXIII , p. 476. Troupeaux de porcs. Circoncision, 478.— Leur paya. Comment ils allument le feu, 479.

Nubie (contrée d'Afrique). Cours du Nil dans le pays et les voisins , t. XXI II, p. 439 et suiv. Voyage dans l'iutérieur, 468 et suiv. V. Aibara ou Meroè, Ckendi , Seimaarf Suakem.

NoxvA (Jean de). Donne son nom à une ile qu'il découvre près de Mo- zambique, 1. 1 , p. 71. Combat les Maures dans les Indes, 72.

NcoicKS (Vasco). Découvre le pre- mier la mer du Sud du haut de la Cor- dilière, t. XXXVIII, p. 248. -y En prend possession , 252 A décou- vert les îles aux Perles ,318.

Nuitiirabad ( ville du Rajpoutana , - Hindoust.j.Rues. Casernes, t. XXXV1,# p. 327. Environs. Puits. Climat , 328. Rareté des meubles en bois. Boutiques, 329. Vêtemens, 330.

Nyniah (ville du Kuuranko , Séné- gambie),t. XXVIII, p. 57.

Ntrup. Ses'voyages, t.XLVI,p. 155.

I

o

Oasis dn désert de Liby^ Doivent renfermer d'intéressantes ruines , t. XXII, p. 349. Voyage aux oasis, XXV, 438 et suiv. Voy. Syouah. f Obidos ( ville de la Colombie ) , t. XLII, p. 66.

Océanie. Ruines de style pyramidal trouvées daus f>es îles, t. Il, p. 253. Coffre semblable à l'arche d'al- liance, et appelé Maison de Dieu , trouvé dans plusieurs îles , V, 330 , 336. Croix trouvée sur une tombe, VI, 94. Opinion générale des in- sulaires sur leur origine , 197. Statues colossales de style égyptien , Vlll, 151, 161, 165, 180. Forma- tion de ses îles, IX, 330 et suiv. Tradition de la création conservée, mais défigurée , X , 242. Une beule nation répandue dans ks Iles , o33. Étendue , population , di-

visions de Malte - Brun et de Wal- kenaer, XL1II, i. Divisions de Balbiet de Dumont d'Urville, ij. Division de Rieuzi, iv. Climat. Montagnes. Hauteur des principaux points, vi, —Volcans. Fleuves. Ri- vières, vij. Lacs. Productions , viij. Animaux , ix et sniv. Tribus indigènes, leur état actuel, xj. Étrangers établis , xv. Variété , caractère des divers races. Les Ma- lais , XV. La race polynésienne , xvij. Race noire, xviij, Les Po- pouas, xviij. Les Papous , xx. Les Australiens , xxj. Religions , xxij , xxvij. Le Tabou , xxiij. Gouvernemens , xxviij . Industrie , commerce , xxix. Tatouage, poly- gamie , ib. Anthropophagie. Repas. Vêtement. Ornemens, xxx. Ma- riages. État des femmes , xxxj.

:*

#

426

TABLE GÉNÉRALE

Langues , xxsij. Da oannibalisme , 80. Voy. Arttoy$, Ava , Tabou.

Oditta (ville du gouTernemeat de Khcrson , Russie d'Europe). Environs, t. XLIV, p. 589. Fa- bourgs, 39». * > Histoire de son commerce , 391 . ^ Rues. Maisons. Jardins Édifices divers , 391 et suiv. Cathédrale , 393. Uabitans, 394.

CŒdidék , naturel de l'Ile Uliétéa , ( archipel de la Société ). S'embarque sur le Taisseau de < 90L, t. VIII , p. 24» Son étonnef<ent è a vue de la neige, 121.— •Cor>k éta t revenu à. Uliétéa , OEdidée se décide à de- meurer dans sa patrie. Son caractère, 301. Revoit Cook à Taïti, X, 115. Donne un repas à Cook , 140.

Œno (ile, Polynésie), t. XIX, p. 96.

Oghao (ile , archipel des Amis) , t. VIII, p. 322 et suiv.

Ohettroa (ile , Polynésie). Décou-

^verte par Cook, t. V, p. 358. Sa

description et celle des habitans, 364.

Vêtement , 365. Armes, 366. Ohio (affluent du Mississipi). Ses

beaux plâunes , t. XXXVIII , p 17.

9- n confluent avec le Mississipi , XXXIX , 374. Aspect de ses rives , 375. Son aspect à Louisville , 375. Aa-des:"is de Memphis , 392.

Ses rives , 393.

Ohsson (d'). Son voyage à Gonstan- tinople,t. XLVI,p.l21.

Oitt (Ile des, canal de Noël, Terre (le Feu). Nommée par Cook. Ses ca- vernes profondes , t IX , p. 63.

Oiseau - mouche. Ses habitudes , sa nourriture , etc. , t. XLI , p. 231 et suiv.

Oiseau de paradis. Sa description. Fables à son sujet , t. II , p. 71 ; X , 286; XX, 388.

Oiseaux (iles des, Polynésie). Dé- couvertes par Kotzebue, Formées de corail, t, XVII, p. 146, 155. Na- turels , 148, 154. Beauté des nuits, 152.

Ojeda. Découvre Ttle de Curaçao et la côte de Venezuela , t, XXXVIII, p. 243.

Oka (rivière de la Russie d'Eu- rope), t. XLIV, p. 464.

Oku'^esso. Voy. S^galien.

Ollapiïle, groupe des Caroliaet>). Productions. Naturels , t. XX , p. 228>

Olot (Ile, groupe Kawen). Décou- verte par Kotzebue, t. XVll, p. 189. 198.

O-Maï , uaturel des iles de la So- ciété. S'embarque sur les vaisseaux de Cook , t. VII , p. 456. Quitte Londres, IX, 168. En passante la Nouvelle-Zélande, engage un insu- laire à le suivre, 251< Rencontre quelques-uns de ses compatriotes à l'Ile Wateeoo , à deux cent lieues d'Huabeine,312. Est de retour aux tles de la Société, X, lOT Donne un repas à Cook, 128. ' Acquiert une pirogue. Est exposé à être dé- pouillé par ses parens, 161. -;■ Pré- sens et discours qu'il fait à Huaheiue, 179. Son établissement à Hua- heine est décidé avec les chefs de cette lie, 181. Cook lui fait cons- truire une maison , créer un jardin , 182. Animaux qu'on lui laisse, 189, 197. Ses regrets au dépWt de Cook, 189. Observations sur sou caractère, sa conduite, sa fa- mille, 190.

0«an (province de l'Arabie). Côte de Mascate : palais de l'iman. Costumes. Maisons , t. XXXV, p. 2. Cam- pagne, 4. Cl'mat, 5. Com- merce, Puissance de l'iman. Produc- tions Manufactures , 5, 6. Impor- tance des dattiers-) 6. •— Costume de l'iman, 7, r— 'Muttra : eaux ther- males, 9. Bouschire, 10, 11.

Oneeheow (lie, archipel de Sand- wich). Découverte par Cook, t. X , p. 289. Raisons pour croire que ° les insulaires sont cannibales , 291 . Son étendue , ses productions , 29S. Son aspect , XI , 247. Sr-s den- rées , XlII , 282 ; XIX, 23^ Race des naturels, ib. -—Onevx.Yoy. Ifoneçx-

O/igeluks-Fontain (kraal des Uotten- tots), t. XXVI, p, 381.

Oitoun (ile, archipel des Caroline»), Découverte par Lutke. Nommée Li- 9:ngston, par Morrell qui croit la dé- couvrir, t. XX, p. 214. '

Ontario (lac du Canada). Son as- pect, t. XXXIX, p. 67, 81. Ne gèle jamais , 77. Havre de Sackett, 100. Traces du déluge , 206.

OntoHgJava (tic , Australie). De-

n

'J*

DES MATIÈRES.

427

couverte par Le Maire et Schonten , t. XIII, p. 225.

OittOHg-Java (ile, Australie). Dé- couverte par Tasman, t.* I , p 349; m, 429. Est différent del'Ontong- Java de Le Maire, XIII , 225.

Oo. Cher, cher à Ou, les mots qui ne se tronveront,pàs à Oo

OmIIo l'une des iles Âléoutiennes), t. XI, p. Û

Oonemak (une des iles Aléontien- nes),t. XI,p.45;XIX, 282.

Oonolathka (une de» ikv Aléon- I tiennes^. VétemMTtfe boyaux de ba- leine, dei> babitans, t. XI, p. 41. * L'un d'eux porte une lettre russe à Cook, 42, 106. Denrées, 104,

105 , 106. ~— Commerçans russes ,

106. Domination russe , 107. •— Figure des naturels , vétem^ns , orne- mens, repas , 108. Ilaintations , ustensiles ,110.— Manières 4e pro- duire le feu, 113. —'Armes, caso»» remarquables, 114. Attirail de pèche et de chasse, poissons, pho- ques, 116. •» Oiseaux, végétaux , 4uadrupèdes, 118. Plantes nour- rissantes, 120. Cimetières , 123. Idiome semblable à celui du Groen- land, 1 24. Marées , 125. Aspect horrible, XVII, 116.

Opam (tle , Polynésie). Découverte par Vancouver, t. XIV, p. 57, 61 Son aspect. ColUnes fortifiées. Piro- gues , 62 , 65. Productions. Natu- rels, 64. Na».!r»ls , XXI, 410.

Orageuse (ile, Australie). Décou- verte par Dampier, t. I, p. 438; IV, 318. - Son gisment, XIII, 219, 220.

Oran (ville de l'Algérie) Aspect. Fortificatior.ii , t. XXII, p. 182.

Orange (fleuve du sud de l'Afri- quel , t. XXIV, p. 378.

Oranger (premier), apporté en Eu- rope, t. XLVI, p. 186,

Orebro (ville de la Suède) , t. XLV, p. 13.

Oreehova (ile , archipel Sandwich ). Découverte par Cook , t. X , p. 28l^. Est peu étendue , 2(96. Est sté- rile , XIV, 408.

Orel (gouvernement de la Russia d'Europei. Voyage dans l'intérieur, t. XLIV, p. 566 à 369.

Orel (chef-lieu, du goaTérnement) , t. XLIV, p. 567.

Orf»aqne (fleuve de la Colombie , Amérique méridionale). Cours. Af- fluens. Animaux, t. XXXVIII, p. 61,^.

Comparaison do ses plaines avec les Savanes , les déserts , etc. , 371 et Buiv.—. Tribus d'Indiens de ses bords. Meurtre de l'un des jumeaux , ou de l'enfant faible , 379. Leurs breu- vages abortifs, 381. Piqûre des mosqnites et maringonins , 382 et suiv. Enormes reptiles , XLII , 183. .— Cours, inondations, 396. ^^ Caractère des Indiens des rives , 408.

Leur» noces , 415. Culte des crapauds , 417. Funérailles des diverses tribus, 418. Armes. Ca- nots, 421. Voyage sur le fleuve , 436. Saison des chaleurs , 437. Rives. Crocodiles. Rocs de granit. Saison des pluies. Confluents , 438.

Oiseaux, 439, 445. i!nsectes , 439, 441 Beaux arbres , 439. Aventures d'un voyageur surpris par Ucc crue du fleuve sur un arbre il demeura trois jours, 440 à 448. «w Enormes lézards, 441, 443. Tor- tues , 443. Phoques , 414.

Orfiih (ville de l'Al-Djezyreh, Tnrq. d'Asie). Danses. Mosquée , t. XXXII , p. 466. --^ Intérieur de maison. •— Muraille, ilnes. Bazars. Mosquées et Ic^jrs oiseaux. Population, 468.

Oriental (cap, du dét. de Behring ). Nommé par Behring , t. XI ,p. 86

Grîiûa: (la Nouvelle-, capitale delà Louisiane , États - Unis ). Aspect , t. XXXIX; p. 559. -^ Première vue du Mississipi. Ses dimensions. Ses crues, etc., 360 à 566. Divers genres de vais.seaux, 561,362 Mar- ché. T,?:igages divers, 366, 586. Languti française très répandue , 366, 586. Climat, 367. Mulâtresses, 585, 388, Société , 387. Créoles, 388. Théâtres. Bateaux à vapeur , 389.

Ormux (île, golfe Persicjue) , t. I , p. 96. Autrefois florissante, XXXV, 12,14.

Orned (île , Polynésie). Découverte par Kotzebue. Aspect agréable , t. XVII , p. 156. "^ Entrevue intéres- sante avec les naturels , 157 et suiv.

Tombeau , 160. Nourriture des babitans , 170. Représentations dramatiqaes , 572.

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428

TABLE GÉNÉRALE

OroM» (fleuTii dfl la Syi i«i , Turquie d'Asie) , t XXKI , p. 46.

Oro*.i,Mg Mie du groupa Pel/sw). Wilaoa nantrasé y reconstruit son Taissean. Un fils du roi s'embarque pour l'Europe , t. XIII , p. 386.

Ono9a (Tille de la Hongrie , em- pire autriciiten ). Aspeef , <,. XLI V , Î. 182. Précautions coi: t?e la peste,

<^«'4/i-a(Tille de l'He Niphou , Japon). Maisons. Rues avvu porte». Uonver- nement, t. X7-XI, p. 152.

Otiuibruek ou lUaiiea (Ile d', archipel de !a Société). Découverte par Wallis, Mil, p. 304; y y 95. Dépeiul de Taïti. Ses bahitans. Lent > Tétemciï ) et ornemens, X, 251.— * Forme, ctendne, aspect, XUI, 313.

Otnabruole (Jle de l'£véqne-d', Pcî} nésie ). Découverte par Carteret , t. III, p. !09.

Osie-«: ( habitant du Caucase ). Vie , u .. !rs , iisages , etc. , etc. , *t. XLV, j., 427 â m et 4U à 451. Voy. Caucoi.-,

Ottiakt (p».;u.'o lie ia Sibérie). Si- tuation d«; ït'ii vays. ïanle. Figure, VêtcTOrtus, t XXaI, p. (508. Ha- Li'leiueai des femmes. Logement. Meubles. Nourriture. Chiens et traî- neaux, 310. Polygamie. Mariages, 312.— Différence avecles Samoyèdes, Z\\. Couches des femmes , 315. •— Chasse. Pèche. Travaux des femmes. Man;<L-re de fumer, 316, 318. Su- perstiiions , 316 , 519. Jalousie , 319. Paresse, 319, 321. Mesure du temps. Commerce. Manière de se reconnaître débiteur. Maladies , 320. ->• Enterremens , 522.

Otaha (île, archipel de la Société). Découverte par Cook , t. V, p. 325 et suiv. Habitans. Productions, YIII , 19. Hiava on daaset, et représen;ta- tions , 20. Bâtiment public , 23.— Abonde en cochons , 23. Conquise ' par les naturels de Bolabola, X, 203 et suiv.

Otahi-Oa, Voy. Magdalena.

Olakor-taia, Voy. f^enooattu.

Otdia (gronpe, archipel Radack). Découvert par Kotsebue , t. XVII , p 160, 164. Beau climat. Beaux habitans. Productions, 162- —Graines et plantes d'Europe qui y sont se-

mées, 166, 225, 357,1059. Nour- riture deshabiUns, 1/0. Trésorier du chef, 185. Drames, chansons historiques, tS61 , 366 Manière de combattre, 364,367.

Ottnum (île de la Norwéjj!), '.XL,V, p. 117 et suiv.

0««M««(îledelaKors*ée«i. t. XLV, p. 113.

Otututlah (Ile, Poly-iésio , (décou- verte par Edwards, t. XIII. ;>. ,Vi>.

Ou, cherch>,r à^oi: i- 00, \f. uiot» «pi'on ne trouvera pas à OU

Ovulait (lie, archipel .^es Caroli- ^. ïiva). Découverre par Cro;;.<3r, Aspect, " t. XV I ' ; , p. 171 .- - Productions. Ani- maux, tudigènes. Vétemei.' t. Mariage, 172. Gou'-prneicent. Mœurs paci- fiques. MaisoT/.' . Villnj^â Lôlé, 174. Repas. lio.pitHiité. Idiligiou. Lonfruc . 176. Noms qu'«î)e ;j portes, X, , 199.— Gouvtj jeiB<i>t, XLlti, xxviij. État de» femmes , :xxsj.

Oueh (ville du Moultan, Hindous- tan). Situation. Population. Unes , t. XXXVII. p. 385. Voiture. Sol- dats du khan , 380, •— Anciens sé- pulcres, 388. Mole, 389. En

virons, 391

Oude. Voy. Aoudh.

Oum'Essogh«ltr(\i]ïe du désert de Lybie ). Site. Maiar>,is. Habitans , t. XXV, p. 422.

Oural (monts entre l'Knrope et l'A- sie), t. XLVI, p. 40.

Ourga (capitale^ de Mongolie, Tatarie Chinoise), t. XXXIII, p. 7t.

Costumes de fonctionnaires, 72-

Procession des lamas, 74. Vi- site au vangi. Costumes. Apparte- ment, 75 et suiv, Quartier des marchands, 79. Fêtes du koutouk- tou , 80 à 84, 87. Présens au kou- tôuktou, 85. Courses de chevaux. Luttes, 86 et suiv. Cérémonie de deuil. Tribunal. Peines , 89. Tern- ies. Résidence du koutouktou. Ecole,

. Habitations, Rues, Inscriptions gigantesques , 95. Environs , 95, 97. Pyramide , 98. Aspect de la ville. Climat , 99. Chef de la police. Population , 100.

Ouroumia ( lac de l'Azerbaidjan , Perse), t XXXV, p. 380. FertUité de ses bords, 382. Tribu chré- tienne, 384,

w

/ R

'■^■,

DES MATIÈRES.

430

Ouroumia ( rille de l'Azerbaïdjan , Perte). Habitans. Évéque catholique. Vices des habitans, t. XXXV, p. 383-

Ourrjr ( tle , r rchipd de la Reine- Charlotte) Déconverte par Carteret, t. Ill , p. 134' E«t la Même que l'Ile Edgecombe, et doit être appelée Ton- boua,XVII[, 385.

Ourt. Leur chasse an Kamtschatka. Leurs mœurs, etc., t- XI, p. 385, 416; XVH, 396; XXXI, 381 ; XLV, 138.

Ourt dt mer. Leur description , t. IX, p. 80,91. Des régions polaires, XL.x.

Outk-out ( petite ville du gouverne- ment delà Tauride, Russie d'Europe), t. XLIV, p. 425.

OvANDO. Remplace Bovadilla dans le gouTerncment des pai'ties décou- yCrtes de rAmérique , l. XXXVIII , p. 199. Sa perfidie contre les Indiens d'Haïti, 208. Ses déloyaux procé- dés à l'égard de Colomb, 219, 224.— Est remplacé par le fils de Colomb , 248

Owhyh^e (lie, archipel des lies Sand- wich ) Découverte par Cook , t. XI , p. l32. Description de la baie de Karakakooa, 141, 243, 259. Pou-

Paarl (ville de la colonie du cap de Bonne-Ei>pérance}, %. XXVI , p. 78.

Pacheco. Lieutenant d'Albuquer- que , bat le zamorin de Calicut , t. I , p. 84 et sniv. Détruit une flotte tur- que dans riude, 88.

Paeknam (ville du Si:im). Demeure du gouverneur, t. XXXI V, p. 112.'^- HoB|>italités des habitans, 114. Figure, 115. Bazar, 116. JoU ' temple, 117, 118. Canons, 119.

Padit.la. Découvre les iles Palaos , t. Il , p. 27 et suiv.

i'aia (arbre à). Sa description, 1. 1, p. 380;n, 25, 250; V,97; XIIi;' 318; XVI, 219. Comment se mange le fruit , 1 , 381 ; V, 256 ; XIII, 318; XVI , 220. Confection du mahie on pâte que l'on fait avec le fruit , V, 256. Rassemblé au figuier, XVI, 455.

Paissae, Chutes d'eau du Nouveau- Jersey, t. XXXIX, p. 19.

voir despotique des chefs, 143. Cimetière, 146*— Effets dn tabou,

151. Société de prêtres, 152

Le roi visite Cook, 157. Combats à coups de poings, 162. Opinion sur le but du voyage de Cook, 166.

Bouffons, 167. - Naturels inspi- rent de la défiance à Cook. Ses suites. Cook est assassiné , 173 à 188. Incendie de Kakooa , 217. Forme, étendue , districts do l'Ile , 239. Câtes et pays adjacent , 240 et sniv.

Hanteur des montaf^nes, 241. Produit le bois de saudàl , XIV, 139.

Combats simulés , 395.

Ox:!t ou Djihoun (fleuve de la Tata» rie indépendante). Manière de le tra- verser en Boukhara, tom. XXXVII, p. 165. Description du pays jusqu'à Boukhara , 123. Énormes melons , 124. Bac de Charjouey, 235. Gros poissons , 237.

Cy? rivière du Nordenfields, Nor- wége), t. XLV, p. 112.

d/ofdva (ile, ardiipel des Naviga- teurs). Beauté du pays. Haute stature des naturels, t. XIII , p. 110. Ur- nemens des femmes, 112. Beauté du pays, XVn, 330.

Paita (ville dn Pérou). Description. Port. Habitans. Campagne aride, t II , p. 175. Prise, pillée et brûlée par les Anglais , 179 et suiv. N'est qu'une bourgade, XVIII, 135. Affreux aspect du sol, 136. Pizarre a décou- vert le port, XXXVIII, 325.

Palaos. Voy, Pélew.

Palerme ( capitale de la Sicile ), t.XLVI,p. 264.

Palestin0(p»Ttie de la Syrie).Voyage dans l'intérieur, t. XXXII , p. 385. Vallée dn Jourdain , 389, 395.

Pallas. Son voyage en Russie , t. XLVI, p. 154.

Patliser (groupe, Polynésie). Dé- rouvert par Cook, t. VIII , p. 224. Disposition des ile», XVIt, 273.

P<i/m«i-«ton (groupe, Polynésie). Dé- couvert par Cook, t. VIII , p. 308. Est formé de plusieurs (lots. Est inha- bité. Sa circonférence, IX^ 325.— Oisf^ux, 526. Son lac. Ses julis

'9

430

TABLE GÉNÉRALE

Îoiuona» 827. Abonde en coeot, 2S. Conjeoturet »r h formation de«tlott,890etiuiT. Pa/jiii«p. Vin, huile, sirop et sucre

În'on en retire, t. VU, p. 18, XXVIII, t. Son fruit, 14. Palmjrr* (ville de Syrie, Turquie d'Asie). Détruite par Aurélien , t. I ,

Î. 7. Ses ruines. Tribus qui les abitent,XXII,43,48. Pampat. Plaines de l'Amérique mé- ridionale. Manière d'y voyager, t. IV, p. 12. Leur aspect, XXXYIII, 374.

Description générale, XLI, 280.

Étendue. Bornes , 282. Les trois régions et leurs divers aspects. Végé- taux, 282- Arbres, 284. Inceno dies. Rivières, 285.— Climat, 285, 2S7. Animaux, 286, 292. Le

£ampero (vent), 287. ^— Habitans. létails bistoriques. Colons , 288. < Manières de voyager. Précautions, 314, 321. Campagne, 316. Re- lais, 316, 319. Postillons. Chevaux, 317 et suiv. BriMnds,323. ^Trous de bùeachos, 324. Voy. Guachoi,

Pampat (Indiens des), tom. XLI, p. 288. —> Redoutés des Guachos qu'ils haïssent, 323, 337, 338. t<cur belle race, 333. Vie nomade, 334

Occupations, 335, 339, 341. Usage constant du cheval, 335, 337.

Guerres, 336, 338.— Rehgion,

339. Esprit vindicatif. Croyance à l'immortalité de l'âme. Funérailles,

340. Amour des liqueurs fortes Échanges , 341.^

ff Pampan-Kraal (jolie colline dn cap de Bonne-Espérance), t. XXIV, p. 82.

Panama ( isthme de ). Largeurs , t. XXXVIII, p. 2.— Sur sa section, 406;XLII,458.

Panama (ville de la Colombie). Au- trefois coiamerçante. Détails bistori- ques, t. XLI, p. 408. Élémens de prospérité. Belles ruines, 40^, 410. Ëvéché. Situation. Population, XLII, 431. . ^

Panjang^{tle , golfe de Siam). Éten- due. Surface Végétation , t. XXXIV, p. 304. Rocs. Animaux. Végétaux. Arbres , 306. M'a rien d'engageant, 308.

PaHlog{i\e du groupe Pelewr), t. II , p. 29. Larcins des naturels, 51, 32. Tatouage , 32. 0

Pam^/m (tlea, Polynésie). Trfs peuplées, t. XVII, p. 49, SO. Pbv- siqne des natarels, 63. Absence ée tatouage. Canots, 64.

P«oom ou Ap»um ( Ile , Nouvelles- Hébrides , Australie). Découverte par Cook, t VIII, p. 339,424.

Papout (lie des, Malaisie). Laideur des naturels. Maisons. Nourriture. Vétemens. Religion, t. XVIII, p. 77, 78. Voy. Iles Boni, Manouaran, Rawack, Waigioti.

Papous (lent des). Voy. Ifowtlh- Guin^t.

Paquet ou Waxhou (lie de, Polynésie). Découverte et décrite par Roggewiu , t. II, p. 48 et suiv. Animaux. Cabanes et étoffes, 51 .— Maturels,52. yojrag» de Coôk, Grandes statues et colonnes, Lenr rapport avec celles de l'Egypte, 53: Vin, 140, 144, 151, 158, 161,

165, 180 Description des habi- tans et de leurs vétemens. Leurs gran- des oreille», 143, 147, 149, 176.- Étoffes d'écorce d'arbre, 145. ^ Fri- ponnerie des habitans, 146, 168.'— Comment ils s'abritent du soleil, 149.

Intérieur du pays stérile, 150, 152, 160. Cabanes misérables, 153 et suiv., 178. Manque d'animaux, 157. Rares arbrisseaux , 166. Lubricité de certaines femmes, 167, 170, Petites statues bien sculptées, 169. Description particulière de l'Ile. Pays. Productions, 171 et suiv.

Nombre des Hamtans. Lenr teint. Leur langue. Leur caractère. Leurs vétemens et ornemens. Leurs armes. Leurs c^twnes. Leurs ustensiles. Leurs pirogues"^ 175 et suiv. Description pins particulière des statues gigantes- ques, ouvrage d'une civil)<',ition plus avancée, \90.—f^oyage d* LaPirouie, Naturels, XII, 88, 90. Sécheresse du sol. Sa cause, 91. Monnmens. Statues. Pyramides sur les tombeaux, 95, 97, 98, 102, 110, lit. - Popula- tion. Cavernes, 96, 115.— Grandes maisons communes, 99, 110. Iden- tité des nat). :1s avec les autres Poly- nésiens , 1 1. Sont voleurs, 104. -i«- Pirogues, 105. Nourriture. Cui- sine. Agriculture, 106, 1 14. 'Vaincs semées et animaux laissé» par les Français , 109, 114. Grau'l manne- quin de jonc, 111. Description du

*f

DES MATIÈRES.

431

cratère d'un ancien volcan, 112. Conjectures aur le gouTernemeat, 115.

Figure et maurs des habitans, XIII , 163. Volcan. Statues. Ca- vernes , 167. Bois amené par les courans , XVII, 43- Forme Hau- leur, XIX, 17. PoDulation, J96.

Para (ville du Brésil) . Tigres privés, t. XLII , p. 70.— Situation. Environs.

Le palais , 72 Cathédrale , 73.

Usage singulier, 73. Considéra- tion sur la province, 76.

Paivguajr ( province du Brésil , au- jourd'hui État séparé). Détail Mir l'o- rigine, la forme et les progrès de '^' > missions, t. IV, p. 106 et suiv. Expulsion des jétuiten , 115 et suiv. Fondation de l'Assomption, XXXVIII, Pi 352. Voyage dans le pavs , XLII , 277 et suiv, Voy. fiUariea.

Paraguay ( affluent du Parana ) , t. XXXVIII, 67, 68.

Parahiba (rivière du Brésil). Singu- lières grenouilles , t. XLI| , p. 236 , 322. Diverses brandies, 509, 316.

Pam/M'ia. (ville du Brésil ), t. Xlill , p. 318. '

Paramaribo ( capitale de la Guiane hollandaise) , t. XLI , p. 228.

Paramalta (ville de la Monvelle- Galles du sud). Aspect. Maisons. Rues. Climat. Knvirons, t. XLIII, p 26.

Parana (affluent du Rio de la Plata), t. IV, p. 14, XXXVIII, 66, 68. Reçoit le Paraguay, 67.

Paramousir (uneKltfS lies Kouriles), t. XI, p. 457,

Paris et les Parisiens comparés à Londres et à ses habitans, .t. XLVI, p. 282, 283.

Parot ( tle de l'archipel ). Marbres d'Arnndel , t. XLVI, p. 96.

Parry. Ses recherches du p<Me Ma- gnétique, t. XL , p. 183. Son pre- mier voyage pour la découverte d'un passage au nord de l'Amérique. Pré- liminaires, 244- Nomme la biiie Mary-Board, Crokerj le capEvérard, Home, Bullen, etc., 262. Décou- vre la baie Maxwell , 264. ' L'Ile Léopold, 265. «Les caps Clarence, Sippings , 267- Le cap Kater, 269. Les baies Fitz-Gérald , du Prince-Ré- gent, Bowen , 270. Le cap York , 273. L'anse Hob-House; caps Her- sdiell , Hurd etc. , 274. Les baies

Gaswyne, Barlow; les caps Hiley, Hotham; les Iles Beechoy, Corowallis; canal Wellington; l'entrée dfl Bar- row , 275. L'ile Grifth^ le* cap» Martyr , Walker, 279. La pointa Hosi , les baies Skène, Bridport, etc. , 282. La grande tle MelviUc, 282 à 284. Cap Providence, Uay, 293.

Opérations pour s'établir en quar- tier d'hiver, précautions, divertisse- mens , 295 à 344 Le port Winter et l'archipel de la Nord-Géorgie, 296. Effets du froid, 301, 305, 313, 316. - Voyage à travers l'Ile Melville, 324 à 338. Découvre l'ile Sa- bine , 329. Remet à la voiie , 344. Découvre la terre de Banks, 348. Le cap Dundan, 351. Les lies Brown , Somerville. Nomme le Nord-Sommerset, le Nord-Devon , etc. ; 354 La baie Eardiey ; le cap Crawfurd , 355. La baie de l'Ami- rauté; les lies Woollaston, 356. Entrevues avec les Esquimaux , 360.

Nomme l'ile de l'Observation, 369.

Deuxième voyage. Préliminaires, 373. Lnfrevurs avec les Esqui- maux, 377, 402. Explore les cAtes de l'ile Southumpton , et donne des noms à divers lieux , 374 à 393. Découverte du cap Btichnan; du caual Hurd ; du ca p Mon ta gue, 395< L'anse Duckett, 397. Cap Edouard; baie des Cinq Grelins , 400. Découverte et exploration du havre Lyon , et de la baie Ross , 401 à 405. Quartiers d'hiver, 406. Découverte du détroit de la Fury et de l'Hécla, 427. Troi- sième voyage , 440. Quatrième voyage , pour atteindre le pûle Nord , 461 . Voyage en chaloupe , 465 et suiv.

Parry (groupe , Polynésie). Décou- vert par Bcechey, t. XIX, p. 433. Voy. Peel.

Parsii ( sectaires de l'Hind. ), Leur

richesse à Surate, t. XXXVI, p. 400.

'— Leur état à Bombai. Religion, 405.

Funérailles , 406.

Patagonie (pays de l'Amérique mé- ridioDale). Description de la côte orientale, t. II, p. 96- A do vastes pâturages sans arbres , 96. Abonde en taureaux et en chevaux >,97, 100.

Colonie espagnole, XXI, 317. Sol, 323. Animaux, 384.

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432

TABLE GÉNÉRALE

fît

PaUgtni, Ponrqnol ainti nomméi par Magallaa , 1. 1, p. 129. Taille, coultnr, costume, 150.— Cabane* de

E>aux, viveat de chair crue , 134. oyen qu'ils emploient pour décliar- 5er leur estomac , 1 35 Tombeaux, 41. Leur chasse au taureau, Il , 97. Tatouage, taille, 889 et suiv. —' Éperons , III , 239. Nou? eanx détails sur leur taille, leur teint, leur corps , lenrs Tétemens , Icnr nourri» ture , leurs frondes , 240 et suir. - Alliance avec les Français, IV, 53. ont une entrevue avec BongainTille, qui fournit des détails sur leur corps, leur habillement , leurs armes, 138 et suiv. Taille. Costume. Occupa- tions, XX, 51 .—Leur taille a été exa- gérée, XXf, 319.

Patatfui (Ile du Niger). Beauté. Pro- ductions, kst tributaire du Ouaoua, t. XXX , p. 283, 264. Habitations. Maison de correction des femmes. Statues, 291. Costume d'uu prêtre païen, 292.

Pathmoi (flede rArcbipel), tom. XLVI, p. 98.

Patnà (capitale du Beliar, Hindous- tan ). Situation. Grande étendue. Mai- sons , t. XXXi, p. 79. Aspect im- posant. Beau jardin. Ruines, XXXVI, 122.

Patras (ville de la. Grèce), t. XLIV, p. 319. Café, 520. —Mariage d'an Grec, 322 et.suiy. Monnmens, 324. L'Odéon, XLVI, 208.

Pau-Kok. Voy. Fu-Kok.

PACLDiirG. Sa croisière dans les (les de l'océan Pacifique, à la recherche de matelots révoltés, t. XVI , p 407. Passe aux Marquises, 417 à 435. Aux Mulgraves , 444 et suiv. Y trouve un matelot qui rend compte de la révolte , 450 et suiv.

Peard (ile, groupe Gambier , Poly- nésie). Découverte par Wilson, t. XIll, p. 440; XIX, 97. Nommée par Bee- che>, 122. —Villages. Momit^, 123^,^ 129. Grand bâtiment, 129, 148 Areghcou roi, 130. Vétenens, 133. 134.

Pacheiaii. Nom donné aux habitans de la Terre de Feu, t. IV, p. 163. Maisons« Armes. Canots , 1 , 338. Grossièreté , laideur, puanteur, IV, 172. Pirogues. Armes, 174-

Bon raraotère, 175.— Jooglenrt, 178.

Sont peu curieux, V, Si. Hnttru, Tatouage. Langue. Armes bien ron- fectionnées. Absence de gouverne- ment, 64. Vie errante , & , 89. Comment ils se procurent le feu, VI 396. ^ Laideur, IX, 65,68 et suiv. ~ Armes, 66. Pirogues, 67. Stu- pidité, 68 et »uiv. Entrevues avec eux. Ne sont pas si stupides, XXI 273 et suiv. , 290, 560. Occupai tions des femmes , 281. Forme», figure , 282, 295. Canots , 287. Armes. Oruemens, 289, SOI .— Nour- riture, 511.

PJehtur (ile du , archipel des Navi- gateurs). Découverte pur Kotzebue. Habiles marins , t. XVII , p. 338 et suiv.

Pedro (don). Proclamé eropcrenr constitutionnel du Brésil, t. XLII, p. 108. Son enfance , sa jeunesse , nommé régent du Brésil, 126. Son goût pour les arts mécaniques, In mu- sique, la chasse, 129. Son esprit de duplicité, 130. Se fait procla- mer empereur, 131. F.st cliassé ignominieusement. Son usurpalioo. Sa mort, 132. Sa garde, sou cos- tume à l'ouverture d'une session lé- gislative, 365 et suiv. Son palais d'été, 370. Sa ligure, 370. Pi.r- lait le français, 371 . Sa vie privée, 372.

Peel (tle Sir-Robcrt, groupe Parry). Découverte par TIcifIcliey. Port Loyd t. XIX, p. 431, 434.

P^gou (proviuce de l'empire bir- man), ^n^rme physique des habitans, t. XXXlt, p. 240, 242 et suiv. - Campagne, 467. Voy. Rangtun.

Pei-Ho (rivière de Chine). Voyage d'Amherst, t. XXXIII, p. 351 à'S/l.

Jonques , 366. Distinction de celles des fonctionnaires , 368. Voyage de Macartney, 429 à 442. Yachts , 430. Productions des rives. Pyramides de sel, 434. Digues, écluses, 439. Villes qu'elle baigne.

Voy. TitH-Sing^ Tong'KoUj Tong- Chom.

Péking (capitale de l'empire chi- nois ). Détails sur la mission russe, t. XXXIII , p. 2 Enviions. Ville tartare, 188, 445, 446, 4W. Mai- sons, 191 et satv. , 276, 448. Rues,

%

.^:

DES MATIERES.

433

194,223, 2.%, 276, 278, 447.— Place», U4 Bontiqaei, 194, 276, 448 , Paliiiit impérial ,194 Sa detcription , 281 a 289. Monli-dê- piéH, 104. Deuil , 196. Surtiea de l'eiDuereur, 198. Admiui»tr.i- tion de la justice. Peines , 109 à 205. .— Réserve des fonctionnaircH , 205. Temple de Fo 206. Autres temples, 245, 265, 2f(8 , 276, 299, 307, 808. Costumes, 207 a 210. Astroloffie.As- trooomos chrétieni, 211. Libraires, 219, 307. Imprimeurs, 220. 294.

Joailliers, 221, 303, Potiers, 221. Anes k louer, 221 Traî- neaux. Grottes des pauvres, 222. Églises chrétienne», 229, 249, 260.— Puits, 230. Temple de la terre, détails sur In religion, idoles, etc., 251 et sniv.— Obélisque», 234, 252, 301 . -Fonderie. Idoles, 235. Re- nouvellement de l'an , 237. Céré- monies religieuses, 240. Mosquée, 242. Escorte d'un prince , 243. Tombeaux. Cimetière, 245, 262 * 265. Temples de Ho-Tcbang, 245. ~ Fameuse cloche , 246.— Eléphans, 247 , 248. Couvent portugais. Peu de faveur des catholiques, 249 et suiv.

Ponts en marbre, 252, 289, 446.

Lacs, 252, 300, 449. Tours, 2.52, 447. Fête du printemps, 257. Funérailles de rerapereur , 258. Ecluses. Canal, 261. —Description de la ville, 269 à 323. Signification du nom. FondatitÉi ,< 269 et suiv. Situation. Saisons, 272. Divisée en deux villes, King-Tcbing et Yaï-lo- Tcbing, 273. Etendue , 273. Murs. Portes , 274. FaïDourg». Population , 277. Sévère police , 281 et suiv. Les trois villes de Kiog - Tching , 283. Quartier de Houang-Tching. 289 à 294. Monts factices, 290. Edifices, 291.— Statue de Fo. Lac, 292- Magasins à poudre , soie , etc. , 293- -r Quar- tier de King-Tching, 294 à 302. Tribunaux, 295 et suiv., 313. Eta- blissement pour les concours, 298.

Candidats. Observatoire. Temple de Fo. Monnaie, 299. Obélisque. .1res de triomphe, 301 . Quartier de Vai-la-Tching , 302 à 31 1 . Ta- vernes. Batns. Joailliers , 302. Dé- tails snr le^ théâtres , 303 à 307.

XLVI.

Ccréioonli .... laboirsge, 306. 451. Ccntlution, Distisction de PwLiag des autres rapiules. Mours. Classes d'iia- bilans, 310. Domestiques, 313. 319. Pompes. Médecins. Stations de voitures, 314. Denrées, provi- sions, 810. Conclusion de marché , 319.— Oan«e. Réunions. Jeux, 321, 322. Grand faubourg, 375.— Forti- fications, 447. Description de la ville : ville chinoise , 451 . Eminence du ciel, 452. Palais d'automne, 453.— Intérieur d'un palais, 454. Popula- tiou, 456. Filles publiques, 457. Climat, 470. Convoi funèbre, 471.

PtUa ( ville des Hottentots Nama- qnas ). Etablissement des missionnai- res, t. XXIX, p. 208.

P»Uti> 00 Palaoi (groupe, archipel des Carolines, Polynésie). Décou. vert par Pudilla. Leur premier nom , t. Il, p. 27. Ile Sonforol. Mission- naires et leurs travaux , 28, 50, 31 .

Entrevues avec des naturels, 28, 31. Formes, figures. Vétemcus des naturels, 28. Ile Paulog, fo- rêts , butenux , 29. Avidité des naturels. Tatouage, 32. Naufrage de WiUon, XIII, 377, 379. Gou- vernement. Bonté du roi. La cour. Cérémonial. Ordre de l'Os, 380. J'riviléges du roi, 381. Végé- taux, 381 , 382. Animaux. Con- fitures, 382. Bétel et petits paniers à bétel, 382, 383. Maisons. 362, 383. Ustensiles. Repas, 383. Armes , 383, 384. Canots. Figure, formes, vêtement des naturels, 384.

Tatouages. Omemens. Mariages. Cimetières. Caractère des naturels, 385. Ile Orooloog. Lee-Boo , It fils dn roi s'embarque avec Wilsoa pour l'Europe, 586. Intéressans détails sur ce jeune homme, 386 à 418. Fruits, 390. Bonté des insulaires pour l'équipage de Wilson, 391 et suiv.

^ P^léponite ( partie du royaume 4e Grèce). Voyage de Pouqneville, tom. XLVI, p. 207.

Penjab ou Punjab (un des États des Seiks, Hindoustan ). Beauté de ses plaines, t. XXXVII, p. 4 Voyage dans le pays. Kureji*ka-Put- lund,8.— Puits.Sol. Etat de l'agricul- ture. Anciens canaux des Mogols , 0,

28

«•■

^

484

TABLE GÉNÉRALE

82. Hnrn» roynn» do Pultev, 10.

Tremblement de trtre, lo. ClMMe roynio. Belles tontes, 17 et sniT. Arm^e, 2a. 438, 447. Cos- tumes, 19, 22, 42, 594, 454. Mau- solée de Juhangir, 28. Produc- tions, 30, 32. Bamnnggr. Drl.us- pect de l'Himalaya , 31 . ^ Pleutres ou rivières, 34, 35, 52, 415, 415. NoHtla (maladie ). Crocodiles, 55. Chaîne salée, 37. —Mines de sel, 88. Exportation de minéral, 40. Villages divers, 41,46,429, 458. - Potewar. Bcuiité et costume des natu- rels, 42. Forteresse de Rotas. Dé- tails historiques, 43 Singulières piles de maçonnerie, 46. Dé- filé de Margulla, 49. Souvenirs d'Alexandre, 412,415, 410,455 L'Aydaspe, 415. Tribu dos Juns, 418,420. Shorkote. Tr.iditiuns. Monnaies antiques, 419, 420. Oi- seaux et reptiles du Ravy,421. Ruines et histoire d'Harapa , 423. Chasse au tigre, 425. Bnrqui', 427.

Grand canal, 453. Culte des Seiks , 453, L'Hyphasc , 455. Jullinder, 457.— Le Doah du Setledf^c, 458. Voy. Allarii, Amietsir, Jelum, La- hore, capitale ; JUoultan, Pind-Dadun- Aluut, Pultty, Bunjttt-Sinff, Seikt,

Ptniylvanie ( un des États-Uni!) ). Voyage dans l'intérieur , t. XXXIX , p. 210. Funestes effets d'un prin- cipe radical en matièce judiciaire, 236 et suiv. Composition du tri- bunal, 239. Voy. Philadelphie.

Pentteôle ( ile de la, Polynésie). Découverte par Wallis. Cabanes des habitans , t. III , p. 292. Ancienne- talent très habitée. Ossuaire de pois- sons, XIX, 157. Sol. Animaux, 158.

Penleeàte ( ile de la , Nouvelles- Hébrides). Découverte par Bougain- Tille.t. IV.p. 267;VIIL,425.

Pepyi { île, océan Atlantique ). Vue . par Cowley, à ce qu'il dit, t. 1^ p. 353. Vainement cherchée par*' Byron, II, 384. Est probablement une des lies Malouines , 420.

Pfirékop ( ville du gouvernement de la Tauride , Russie d'Europe), tom. XLIV , p. 400.

Perles i^iXei dçs, mer des Antilles). Découverte par Nugnez, t. XXXVIIF, p. 318.

Pemtoieutu (Ile», arrhi^" iinu- gerenx ). Découvertes par Sci.i uei,- t. II, p. 56; VIII, 2li

P/r0f«( ville du Mexique). Aspert Maisons, t. XLI, p. 32.

Pérou ( république , Amérique mé. ridionale). Imporfectiim des commu- nications par eau, t. XVI , p. 45. Port de Casma, 409. Do Santa , 410.— -Conquête do Piïarro.XXXVIn'.

317. Origine du nom, 327.

Richesses des Incas, 332. Pi/.arre est assassiné. Troubles qui suivent cet événement, 334 et suiv. Surface. Po- pulation, 389. Mœurs, costume» modernes, XLI, 389. Pont sun- pendu du Maypo , 396. Manière de tuer les bestiaux, 401 à 404 Voyage dans l'intériei^r , t. XLH, 1 et suiv. Ruines , 10. Villages , 5 , 15. Chafhapayos, 16. Abeilles. Cire noire , 22. Danses et luttes, 27. Insectes divers, 37. Oiseaux divers, 40, 43. Quadrupèdes divt'r.H, 44, 46. Uesccndans des Inqis , 45 , 75. ^ Considérations génératoH,

74. \oy. Callao , Caxamarca , Coutu- matsa, LiAta, capitale; lUoyobamba , Paita, Truxiflo.

Pérou { Indiens du ). Villages. Ancienne danse ,'t. XLII,p. 3, 31. Sarbacane à lancer la flècbe , 25. Banchos. Costume, tatouage , 32. Danses , 33. Loi pour le travail des femmes, 35. Repas, 35. Indiens canuibales, 38. Pèches, 40. Sagacité pour s'orienter, 41.— -Tribu des Origones , 43» 45. '—' Tribu des Yaguasy descendaus des Incas, 45,

75. Indiens de Ucayale, 49. Tribus diverses , 78 et suiv.

Pelouse (de La). Sa vie, t. XII, p. 1 et suiv. Préparatifs de son voyage , dans l'intérêt de la science, 25. Accueil qu'il reçoit à la Con- ception, 70 et suiv. Fêtes qu'il donne et qu'il reçoit , 80. Dé- crit l'ile de Pâques, 88 et suiv. Y fait semer des graines et lai.sser des animaux d'Europe, 107, 109, 114. Voyage dans l'intérieur de l'île , 108. Découvre la baie de Monti, en Amérique , 152. Nomme le port des Français , 160. Malheur qu'il y éprouve ,171 et suSv. Re- connaît et nomme plu&ieqrs caps,

DES MATIÈRES.

43&

porta, 210 et laW.—Lei lies Crorère, 218.— Les ilet Kerouurt, m Lei Ilet Sartine, 225. Lei ilei Merkor, 224. Dérrit la bnio do Mnnterey et les CnUfornios, 227 et tuiv. Découvre l'ile Neeker , 258. Décrit Macao, 273. Décuuvre l'Ile Dagetot , 333. Nomme et dé- crit la baio de Tcrnay, 344. >*■ Y dé- couvre un tombeau tartare, 351. Nomme la baie de Suffren,357. Le pic Lamanon, 359. ■— Longe l'ile Ségalien, nomme plusieurs baies, pointes, 371 et suiv. Décrit la baie de Castries et ses iiabitans , 391 . Découvre le détroit mii porte son nom, 415, note, 418- Nomme l'ile Monnoron, le pic de Langle. le cnp Grillon, 417. Fait couunitre la géographie du Jesso , de l'ilu Séga- lien et de la cAte d'Aitie , 418 et buiv., Xlll,12et suiv. Ëstbien accueilli pur le gouverneur du Kamtscliatka , XII , 439; XIII , 18, 32 , 30. Incur- sion dans l'intérieur, ver^ un volcan , 23 et suiv. Fait graver une inscrip- tion sur le tombes de la Croyère et de Clerke , 39. Assassinat do Lan- gle, 100. Arrive ù l'archipel des Amis, 137. Décrit l'ile Norfolk, 153. Arrive à Uutany-Day. Fiu de son journal , 160. Sa dernière lettre au ministre de la marine, Kil. Recherché par d'Entrecasteaux , XV, 1. N'a p^s relAché aux îles des Amis , 170. RënseigncmcnH sur son naufrage, XVIII, 207, 334. 337, 370 et suiv., 386. Lieu de sou naufrage, 338, 340, 375, 386. —Monument à sa mémoire à la Nouvellc-Hollnndc, 515. P^rouse (détroit de La, mer du Ja- pon ). Découvert par La Pérouse, t. XH , p. 415. 418.

Pérouse ( iles de La, Australie). Voy. Tikopia , yanikoro.

Penant, Peuples de la race Per- sane, t. XXXI , p. 20. Noms que les Turcs et Arabes donnent auX Persans , 208. Médecine, 211. Sang. Figure. Caractèré.Mœur.s.Vices, 214, 216. Paresse, 217, 223.— Education. Civilités, 218. Mauière de s'asseoir, 221. Suluts, 222. Noms. Titres. Jeux, 224. Vétemens. Toilette des hommes et des femmes, 226. Luxe de domestiques. Nour-

riture. Langues. Ecriture , papier , etc., 228. Goût dot Mntences. Titre du roi. Détads sur les harems, 230, 231. Fonctions des matrones^ des eunuques, 234.— VI.iriagHs. Droits paternels , 230. Pèleriuage à la Mecque, 2^).î. Costumes de voyage, XXXV, 19. Médecin, 46. Etat des personnes. Vices , 67 et suiv. De leur politesse , 73. Caractère , 74- Religion , 75. Irréligion. Derviches, 70 Fête du nouvel an , présens au roi, 82 et suiv. Ini- mitié do religion avec lesTurcomans, 105— Sccie desAU-Allahis, 123. Amour des boissons fortes, 197. Citants, 286. Soufisme, 287 295 Persans de Caboul , XXXVll, 103. Sort des Persans esclaves en Tatarie , 229, 241 , 2(i3 , 277. Fi- gure. Costumes , 286.

Peri* ( empire dtksie). Usages resseniblans à ceux de l'Abyssinio , t. XXni, p. 335 et suiv. Voyage de Chardin, XXXI, 171 , 195. ^ Caravi-nscrais, 198. Maisons, 206.

Nom du pays. Climat. Vents, 208.

Arbres. Arbrisseaux. Ambre, 210.

Fruits. Fleurs. Métaux. Minéraux. Pierre. Animaux domestiques et sau- vages , 212. Titre du roi , 230. Tribu d'Us ( vagabonds ). Costume, ligure. Usages, XXXV, 26* et suiv., 41. Bassesse du peuple. Cupidité des ministres, 53 et suiv , 6v. Gouvernement méprisé , 40. ' Acte» de tyrannie, 42,69, 71, 78. Puis- sance a été exagérée, 59.— Limites, 60. Stérilité, 61 et suiv. Effets du mirage , 63. Triste aspect des grandes villes , 65. Vices de la so- ciété, 67 et suiv. Gouvernement, 77, 80. Anecdotes sur le shah, mort eu 1854 , 78. Présens qui lui revicnuent, 82. Ses femmes, 87. Perception des impôts , 88. Armée, 90. Voyage dans le Khorassan, 121 à 310. Ruines antiques, 125. 127. > Lieu du meurtre do Darius, 127. Fameux caravenserai , 18tet suiv. Voyage sur les côtes de la mer Caspienne, 334. Arbres , 337, 359, 34.5. Scèue de la vie privée d'un grand, 352. Voy. Atlraliad, Ma- zandéran, Ghilan. Tribu chrétieunc , 384. Décadence, XXXVII,, 289.

430

TABLE GÉNÉRALE

Tribu d* Tarconans soumise, 311,312. Voy. ^*'rfl*«««/, province ; Aurbattjan, province; Dechtiita», province; Ei»ani-Ktfy,Fl6oun , mont; bpahan, Koum, Khoratian, Ormux, lie; Oroumia, lac ; Talitch^ province ; 7«- herm , capitale.

Peiendores ( ties, Malaisie), t. XII, p. 319, XVII, 461.

Pethawar ou Piehaoué^ ( ville du Caboul, Asie). Environs, t. XXXYII, p. 58. Costwme de chef, 60. Réjouissance du premier jour de l'an, 63. Emploi du vendredi , 6J- Rare ntelligence. Jeunes enfans, 67.

f mbats de cailles, 68. Poires lenommées, 102.

Pe$th ( capitale de la Hongrie, em- pire d'Autriche ) , t. XLIV, p. 126,

128,135. Bel aspect, 136, 140.—

Coumuniratious avec Bnde , 136.

Dames. Rufc, 137. Marchands. Théâtres. Musique, 138. Den- rées, 139. Progrès, 188. Le palatin, 194. Ne forme qu'une ville avec Bude. Edifices, XLYI, 128.

Foire, 130.

Peterurardein ( ville de la Hongrie , empire d'Autriche). Environs, tom. XLIV, p. 161.— Communication avec Neusatz, 162.

Pétrels, Oiseaux qui marchent sur l^eau. origine de leur nom, t. III, p. 81, _ Pétrels bleus, VU, 213.

Pétropawlowtki ou Saint-Pierre et Saint-Paul (capitale du Kamtschat- ka). Aspect .nisérable de cette ville, t. XI , p. 309. Embouchure de la rivière, 324. Hôpital russe , 357.

Funérailles du capitaine Clerkc, 382. Nombre d'habitations, 447. Son phare, XII, 439. Voyage au volcan voisin, XIII, 23 et suiv. Aspect de la ville , 47. Religion grecque, 48. Bains de vapeur, 60.

Misère du pays. Climat malsain. Population, XVII, 22. Etat en 1825, XVII, 394. Les ours y sont venus dans les rues, en hiver, 397.— Embellissemens. Améliorations, XIX, 437. —Son port, XXXI, 360. Voy. jiwatska.

Peybon. Son voyage en Espagne , t. XLVI , p. 1G9.

Phate (fleuve de la Mingrélie, Asie). Origint de son nom, t. XXXI, p. 19U.

Ph/niei*Ht. Leurs premières navi- gâtions, t, I, p. 2. Franchissent les colonnes d'Hercule ,2. Leur voyage autour de l'Afrique, 3. fondent Carthage,5.

Pichaoutr. Voy. Ptshawur.

Philadelphie (capitale de la Pen- sylvanie). Aspect, t. XXXIX, p. 210, 219.— Sociétés scientifiques, 213, 218. Hospices. Ecoles , 214. De la librairie, 215. Bibliothèques, 217. Noms des rues , 219— Tombe de Franklin, 220. Institutions di- verses. Salle célèbre, 221. —Déca- dence , 229. Rues tendues de chaî- nes, 429, 438. Aspect. Rues. Mai- sons, 434. Monnmen^,. Tristesse de la ville , 435. Magasins. Loterie. Bains de Loog-Branch , 436. Inté- rieur d'une synagogue de quakers, 437.— Société. Costumes, 439, 447.

('ondition de la femme, 440 à 443.

Beaux environs. Calme de la ville. Faste desmonumens, XLI, 270.

Philippines (îles de la Malaisie). Dé- couvertes par Magellan qui les nomma archipel de Saint-Lazare , 1. 1, p. 146.

Conoucfs long-temps sous le nom de Manilles. Conjecture sur l'origine de cette dénomination, 443. Wn- sieurs erreurs de Dampier à leur égard corrigées, III, 170, 178.— Dés- avantage du gouvernement de!> Espa- gnols, XII, 298. Extrême tercilité du sol , 303. -n Nouvelle compagnie des Philippines , 304. Pirateries des Mores ou Malais mahométans , 305. Détails sur les naturels, XVriI, 441. - Population , XX, 216.

Premiers établissemens espagnols Climat. Productions. Objets d'expor- tation, 217, 219. Bains. Couches précoces et heureuses, 222 et siiiv, Mines, plantes, animaux, XLIII, viij et .suiv. Voy. Bafchjr, Luçon, Marivelle, Mondrain.

Philippines (Nouvelles- ). Voy, Ar- chipel des Carolines.

Phania (île, Polyaésie), t. XVII f, p. 391.

Phoques. Voy. Castors marins. Chais marins. Chevaux marins. Chiens marins, Eléphans ma'^ins , Léopards marins,£ions mnrins, yeaux marins.

Ph»-Kuolte. Voy. Fu-Kok.

Pie-de-i' Etoile ( île des Nouvelles-

DES MATIÈRES.

Hébrides ). Découverte par Bougain- ville, tom. IV, pag. 267, VIII , 421.

PicHOT. Son voyage en Angleterre et en Ecosse, t. XLVI, p. 273.

Pico (île dn groupe des Açores). Dé- couverte par les Portugais , t. IX , ]>. 157. Est la plus grande des Acorps. Sa population. Ses vignc.i , »58; XX, 442.

Pi/mont ( province du royaume de Sardaigne). Coup d'œil sur le pays. Turin, t. XLVI, p 266.

Pierre V*"" (Ile de I océan Glacial .lottrctique). Découverte par Belling- bausen , t. XXI , p. 446.

Pigeon blanc antarctique. Sa des- cription, t. XV, p. 326 et suiv.

Pilaret , on Pillar, ou det Pilliers ( cap , Terre de Feu ). Sa descrip- tion, t. IV, p. 193. Sa distance du cap des Vierges à l'autre extrémité du détroit de Magellan, l95.

PrLATi. Son voyage en Hollande , t. XLVI, p. 190.

PtMtRjr ( ile, détroit de Malacca). Bel aspect, t. XXXIV, p. 13. In- dustrieuse colonie de Clûnois , 14. Ville , 16. Caractère des Indiens et des Cbinois, 17. * Belle campagne, 19. Climat, 20, 23. Animaux singuliers, 21. Végétaux. Oi- seaux ^22. Climat de l'hiver, 23.

Montagnes , 24 , 27. Distribu- tion des plantes, 24 Cacaotier j 26. Productions agricoles , 28. Poivriers, 29. Girofliers. Cafiers , etc., 30. Mont Palmer, 33. Phosphorescence de mer, 34.

PtHOOW (Vinceot-F.inez). A décou- vert le'Bré.sil , tom. XVIII, pag. 53

xxxvin,244.

Pind'DadanKhan ( ville du Pen- jab, Hindoiistaa ). Maisons, tom. XXXVII, p. 56. —Mines et mineurs, 37.

Pingouins, Oiseaux. Origine de leur nom , 1. 1 , p. 233. Leur des- cription, 234; II, 101; IV, 75; VII, 212. Out le sommeil dur, IX, 86.

Leuï.s trois espèces aux Maloui- nes, XVIII, 122. Leurs mœurs, XXI, 233.

Pingouint (îles des , cAte d'Améri- (pie septentrionale , sud ). Décou- verte par Noort,' tom. I, pag. 245.

Piitt ( îles des, Nouvelle-Calé-

donie ). Découverte par Cook » t. IX , p. 12.

PiifTO. Son voyage en Asie, tom. XXXI, p. 51.

Pitania (ville du royaume de Yany, Sénégambie ). Commerce, t. XXV, p. 26. Jurisprudence. Avo- cats, 37.

Pisgah (île du Mont-, Shetland mérdional). Découverte par Fanning, t. XXI , p. 452.

Piteaiin (île, Polynésie). —Dé- couverte par Carteret, t. III, p. 107.

Détails sur l'établissement de l'é- quipage révolté du capitaine Bligh, XIX, 23 et suiv. Etat de l't tablis- jtemeut en 1825, 58 et sniv. Vête- ment des insulaires, 61. Figure, 62 , 89 , 90. Habitations , 63 , 66.

Repas. Prières, 64, 8t, 92. Mo- raïs , statues, vases anciens, 68, 74-

Danse. Musique, 71. Culture, 77. Prohibitions dans le mariage, les mêmes qu'en Angleterre, 79. - Fmploi du tempt , 83. Mariages. Baptêmes, 85. Traitement des en- fans, maladies, 92. Productions végétales , 94. Population , 95.

Pithcea ( ville du INordland, Sué- dois), t. XLV, 329.

Pitt (ile, groupe Vanikoro). Décon- verte par Edwards, t. XIII, p. 427 ; XVIII, 342.

Pitt ( archipel de la côt« de la Nou- velle-Hanovre, Amérique septentrio- n-ile ). Nommé par Vancouver , tom. XIV , p. 430.

Pitt ( île, archipel de Pitt). Caba- nes temporaires des ha^itans, t. XV, p. 450. ' Environs de la baie Tchin- kitaué. Productions. Animaux, 452.

Pelleteries, oiseaux, poissons, 454 Physique des naturels , ta- touage, 4.'ï8. Ornement labial dos femmes, 458. Armi s, industrie , chaut, langue , 460.

Pitt ( île, terre de Découverte par Biscoë, tom. XXI^ p. 462.

PizARRE. Prépare une expédition ponr la conquête du Pérou, tom. XXXVIII, p. 317. Découvertes di- verses, 319. Découvre l'île Gorgone, 321. L'Ile Sainte-Claire, 324. Le port de Paita, de Saint&.Croix, 325. Revient à Panama sans s'être

Graham ),

'138

TABLE GÉINÉRALE

enrichi, 327. Vient en Espagne il est nommé gouvcmpur du Pérou, Î28. Nomme Pucrta Viejo , 329.

Reçoit des ambassadeurs de Huas^ car, prince péruvien , 330. Re- çoit des présens de l'Iaca Atahualpa, 331. Arrive à la capitale Caxa- marca , 332. Fonde Los-Reyes , Truxillo. £st nommé marquis, 333.

£st assassiné , 334. ■— Son carac- tère, 335.

Plaia (la, république de l'Amérique septentrionale). Détails sur les pre- miers établissemens des Espagnols, t. IV, p. 14 à 54. Voyage dans le pays , XLI , 288 et suiv. ^ Manière de tuer les bestiaux , 401 à 404. Voy. Bufyot-Ayres, capitale; Mendoza, San- Luii, Ufpallata, FiUa-F'icentia.

Plate ( île de la Colombie ). Son aspect. Ses animaux. Sou étendue, t. XVI, p. 88, 90.

Plata ( Rio de la, fleuve de l'A- mei-ique méridionale ). Ce qu'il est. Son embouchure, ft IV, p, 14. Détails sur les établissemens des Es- pagnols sur ses bords, 14 et suiv. Origine de son nom, 17, Fleuves qui le forment, XXXVIII, 66. Son embouchure , 67. Inondations. Cours , 68. Découvert par de Solis , 344. Cabot découvre les îles Saint- Gabriel , 345. Nommé par Cabot, 347. Fondation de Buénos-Ayres, 349. Voy. Parana, Uruguax,

Plate (île, archipel des Navigateurs). Aspect agréable, t. XVII, p. 340. Deurées. Jolis petits perroquets, 342.

Nombreuse population , 344. Plate (île, groupe de la Rév'olutiou).

Découverte par Marchand , t. XV , p. 435.

Plie (île delà, Amérique russe). Nommée par Cook, t. XI . p. 35. Voioiin sur la côte iiJjaceme, 36.

Plongeons ( île des ) ou Pylitracl (Au stralie). Découverte i>ar Tasmau ,

t. I, p. 347; VIII, 90.

Plumb (ils , Polyuésie). Découverte par Edwards, t. XIII, p. 430.

Podolie ( gouveruemeut de la Rus- sie d'Eurojic). t. XLIV, p. 386.

Podolgk (ville du gouvernement de Moscou, Russie d'Europe), t. XLIV, p. 356. Édifices religieux . 357.

Pçdor (ville sur le Scncg.il;. Comp-

toir et fort françaix , t. XXII , p. 61.

Température , 62. Campagne 64;XXVI1I,433.

Poision. Ressemblant à un singe, t. I, p. 165. Volant, IV, 281; VII ,

176 ; XV, 337. A voiles , V, 15

Qui se plait sur la terre sèche , VI . 256.

Poissons (rivière, Afrique). Décou- verte par les Portugais , 1. 1 , p. 28.

Pola ( lie du golfe Adriatique ) , t. XLIV, p. 333.

Pola (île , archipel des Navigateurs). Étendue. Beauté, t XIII, i>. 113; XVII, 330,344.

Polair» (cercle), t, XLV, p, 135.

Pologne ( État de l'empire de Rus- sie). Voyage dans le pays, t. XLVI, p. 133, r État des personnes , privi- lèges, régleuiens, etc., des quatre clas- ses, 133 à 135. Juifs. Cracovie, 1 35. Fort Landskrone. Caractère , saluts, costumes, des Polonais, 137.

Origine de ce peuple. Miues de Wiehtska, 158. Varsovie, 138. Lieu de la signature du partage de la Pologne, 139.

Pomotou (iirchipel). Voy. Dangereux.

Pondichérx (ville du Caroatic , Hin- doustan, à la France). Déplorable état actuel, t. X\1II, p, 397. Fonctions du daubashc ou guide des étrangers. Usage très fréquent du pa- lanquiu. Historique de sa fouda- fion. Bouuc situation, 430, Beauté des environs, Tisseranderie très ré- pa'^due. Horreur des Indiens pour la viande, Monumeiis, 432, 434. Co- chons sauvages . 434. Historique de i'ctabUssement. Belle situation. En- virons. Ravages des Anglais, XXXI, 458. Aidées , ou village» des envi- rons, 460, 462. Brames, 461. Belles» iutures, 462- Célèbre pa- gode. Cathédrale des Ini.^sions. Palais du gouverneur, 463, 464- - Mousti- ques. Maisons, 465. Saisons. Mar- chés, Belles femmes , 463.

Popa^an (^ville de la Colombie ), t. XH,p. 4ol.

Portail (île du, archipel de la Nou- velle-Bretaguej. Découverte par d'En- trecasteaux, t XV, p. 276.

Porter. Ses courses dans la mer du Sud, contre les Anglais, t. XVI, p. 1. Ses prises sur les Anglais ,

DES MATIERES.

430

39, 71, 95, 98, 125. Découvre l'He Porter, 73, 81. Récapitulation d'une partie de sa campagne , 124. Décrit rtle Madison ou Noiika-Hiva , 149. Ses démêlés avec la tribu guerrière des Ueppahs , 156, 163, 174, if86, 209. Est visité par des chefs , 166, 174,184. Fait construire un petit village, 223, 235- ses démêlés avec la tribu guerrière des Typées , 243 , 246 , 267 et suiv. Fait cons- truire un fort, 250. Prend posses- sion de l'île Nouka-Hiva, 255. Visite un chef, 260. Expéditions contre les Typées, 263 gt suiv., 279 à 304. Son vaisseau capturé par les Âuglais, 358. Aventures de son lieutenant, 371. Voy. Gamble.

Porttr (ilç, lies Gnllapagos). Son bel aspect, t. XVI , p. 73. Arbus- tes , 79. Énormes tortues ,81.

Porter. Son voyage en Turquie, t.XLVi.p. 100.

Portlarùi ( canal , Nouvelle - Cor- uouaille, Nouvelle-Bretagne, Amérique septentrionale). Reconnu en canots et nommé par Vancouver, t. XIV, p. 436, 446.

Portland (île , archipel de la Reinç- Ctiarlotte). Découverte par Cartcret, t. III, p. 126.

PoRTLOCK et DixoN. But de leur voyage, t. XIH , p. '279. Arrivent aux îles Saudvvi'-h, 280,287 et suiv, -Dixon nomme lu port Mulgrnve sur la cfSte d'Amérique, 285, 301. Portlock, le liavre Portloek, 299. Uixnn, le détroit de Norfolk, 301.

Portlock (havre de, Amer, russe). Nommé par Portlock. Ornement la- bial des naturels, t. XIII, p. 299.

PortO'Caiello (port du Venezuela, Amérique méridionale). Climat, f or- tifications , t. XXXVlll, p. 368-

Porto-Rica (île. Grandes Antilles). Découverte ])ar Colomb, t. XXXVIlI, p. 241, 215,217. - Ruines, 247.

Portugal. Ses haliitaus .ipprennent la uavigatiuii des Maures. Leurs dé- couvertes , tom. I , p. 1 . , Leurs voyages le long des côtes d'Afrique. Encouragés par le prince Henri, 19. Découvrent Madère, id. Con- naissent pour la première fois la pou- dre d'or, 20. Frauehisscnt l'embou- dmre du Sénégal , 23. - Découvrcut

les Acores , 24 L'île de Fcrnando- Po, 26. Remontent le fleuve de Congo [Zaïre), 27. Découvrent la rivière des Poissons, 28. Éprou- vent des revers aux Indes après la mort d'Albuquerque, 106. Pénè- trent jusqu'à Siam et à Canton , 107- Découvrent Fornéo, Célèbes, l'ar- chipel des Philippines; enfin le Japon, 108. État de leur domination et de leur commerce , ibid. Perdent les Molusques, Ceylan, etc. Ne conser- vent, après leur première con- quête, que Goa JMeliapour, 119. Leurs découvertes en Afrique avant le dix-nçuvièrae siècle, XXII , 8.

Portugal. Voyage dans le pays , t. XLVl, p. 185 et suiv. Climat, 185. Tremblemens de terre. Fleu- ves. Provinces. Premier oranger ap- porté de la Chine, 186 Etat de l'industrie. Caractère. Figure des Por- tugais, 187,188.

Poiewar (contrée du Pcnjab, Hin- doustan). Beauté des habitans. Costu- mes, t. XXXVII, p. 42.

Poiter [lie, océan Atlantique). Dj- converte p, rFanning, t. XXI ,p. 4' '4 Poulo-Condore.\ow.ConJore et cher- cher de même au second mot tous ceux commençant par Poulo.

Pounah (ville du Dekkau , Hindous- tan ). Aspect. Rues. Montagnes des Gattcs. Auciens forts, to'n. XXXVI , p. 424. Temple de Si.-a. Crabes Population. Pauvreté de la ville, 425. Palais , 426.

PorQUEVt i.r.E. Son voyage en Grèce , t. XL\ , p. 206.

Pourpre dei anciens. Ce qu'il pour; ui' être , t. V, p. 16.

Pojr, Description de ce bel oiseau , t. VII, p. 284

Po~Yang (lac de la Chine). Teruple de Confucius. Portails, t. XXXIII, p. 407. ' Beauté des e^. > - )i)s, 408. PrasUn (port de l'ile Saota-Isabella, archipel Saiomon). Nouimé par Sur- ville, t. III , p. 430.

PrasUn (port de l'île de la Nou- velle-Bretague). Nouimé ut décrit par Bougaiuville , t. IV, p. 3G1 et suiv.

Predpiiate ou Entreprise île, Po- lynésie). Découverte par Kotzebuc. NatureLs. Canots, t. XVll, p. 266. Premiérc-Fue (île de la , Ànstrolie)»

il! I»'

440

TABLE GÉNÉRALE

Découverte par Sarnlle , t. III , p. 429.

Prttbourg (clief-liea de la Hongrie , empire d'Autridie-) , t. XL[V, p. 156.

Prince (île du , Malaisie). Descrip- tion de Samadang , sa capitale , t. VII, p. 112. Denrées du pays , 114, 116, 1 19 Description de l'île et de ses liabitans , 1 1 5. Leur nour- riture, 116. Maisons de leurs villes portées sur des colonnes, 117.

Leur caractère et leur langage 1 18.

Princes (ile de la terre de Sand- wich ). Découverte par Fanning , t. XXI, p. 455.

Prise-de-Postettion (lie, océan An» .rctique). Découverte par Marion , t. IV, p. 404.

Premt (ville do l'empire birman). Étendue. Restes de fortificiiti./ns. Denrées commerciales , t. XXXIV, p. 471. Population, 472.

Providence (ville duBhode-Island , États-Uniî,), t. XXXIX, p. 173.

Providence (île de la, Australie). Découverte par Mcares , t. Xfll , p. 344.

Puebla (ville du Mexique) . t. XLT , p. 35. Aspect de l.i ville, 36. Magnificence des églises, 36, 38, 40.

Rues. Pavage , 36. M;iisons , appartemens , 37. (louvernement. Marché et denrées , 41 , 42. Fa- briques de savon. Confitures, 43-

Puerto - Sanfo (lie, Afrique sud- ouest). Découverte par les Portugi'is t. XXII , p. 9.

Puerto-Viejo (ville delà Colombie). POicnomméparPizarre.t. XXXVIll p. 529.

Puh.irreis (montagnards du Ben- gale). Mœurs. Coutumes, t. XXXVI p. 101, 107, 109. —Figure, 103, 108. Gouvernement, 108. Re- ligion, 110. —Funérailles, 111. Mariages, Sermens , 112. Leur contrée, 113.

P^ka (ville de l'Yal-ibâ , Guinép). Cos* ime duchef , t. XXVIII , p. 117.

Pulo-Condore.yoy, Condore,et cber- cbez de même au deuxième mot ceux commençant par Pulo.

Pundi (province du Bourgou , Sou- dan), t. XXX , p. 248,251.

Punjab. Voy Penjab.

Pvttef ( ville du Penjab , Hin doustan). Canaux des empereurs mo- gols, t. XXXVII, p. 9. Popula- tion. Maisons. Haras royaux, 10.

Pjrlttraat. Voy. Plongeons.

Pjrramidt d'Egypte Dissertation sur leur destination, t. XXII , p. 309 et suiv. —> Pyr.imides d'argile , XXIII , 71. -— Explications de l'usage dos petites chaBfcbres , XXXIY, 236 note.

Pyrénées ^ monts d'Europe), t. XL VI, p. 24. Hauteurs des principaux point. Régions des grands arbres, 5o,

que» , 361 , 3(

a

Quadra et Vancouver ou Noolha (île, ouest de l'Amérique septentrionale ). Raisons de croire que les lirbitans sout cannibales, t. X, p. 346, 389. Sont voleurs , 347. Comment ils abordent les vaisseaux , 348. 358. Comment ils sèchent le poisson, 354. Leurs idées précises de la propriété, 36O. Description du pays , .364. climat , 365. Productions , 366. pourrures de commerce , 368. ^nimaux marins , 370 , J7Q- Lou- tres , 371. Oiseaux , 372. (jiseaux.de mer, 573. Poissons, 574. Coquilhîges , 376. Rep- jiles. Insectes , 377. Pierres , 378 Figure des jjubitiins : leiiit , vête- mens , oruemeus , 379 el suiv. Vê-

tement de cérémonie , 384. Mas- ques de bois monstrueux , 385. Habit de guerre , 387. Discours , 388. Caractère des habitaus , 389.

Amour do la musique, 590. Chant , instrumcns de musique , o9l.

Description d'un village, manière de construire les maisons , 394 , 398.

Intérieur des maisons , 596. •— Meubles et ustensiles, 397. Figures de bois, 398, 421. Oceui)atiou des hommes et des femmes , 399. Nourriture animale et vcgétile. Cui- sine, 401 et suiv. Saleté de? epas, 406 Armes, 407. Manufac- tures , arts mécaniques , 408. Sculpture et peinture , 410. Cons- truction des pirogues, 411. Atli

DES MATIÈRES.

441

mil de pèche et de chasse, 412. Outils de fer, 414. D'où peuvent ils s'être prociir ce "métal ? 415 et suiv. Institution» pohtiqucs et reli- gieuses , 420. Lnngue , 421. Marées , 424. Nombre des natu- rels de l'entrée. Village , XIII , 356. Aspect du continent d'Amérique , 357. f Saisons, Ports divers. Pro- ductions végétales , 358- Ani- maux de terre et de mer, 359. Ta- touages , 360, 305. Formes physi- ques , 361 , 362. Compression de la tête des enfans , 361. Épilution, 362. Teint. Traits. Chevelure, 365. Habillement des hommes , 363 à 365. Orncmens, 366, 367, 369.— Habillement des femmes , 367. Costume de guerre, 368. Cirac- tère, 369. Anthropuphagie , des- cription d'un repas, 370.-— Occu- pations, 371, 37Û. Canots. Har- pons. Pêches de la baleine et autres , 372. Industrie , 373. Guerres , 374. Polygamie peru-ise aux chefs. Mariages, 375. Religi >n, 376. Exploration par Va;, couve du détroit de Fuca, entre l'îlr ''- QuaJra et Van- couver et la No;. ie-Géorgie , XIV, 169 et suiv., 177 et suiv,, 183. Ex- ploraliou par Vancouver du détroit de la Reine - Charlotte , entre l'île de Qiiadra et Vancouver , h Nouvelle- Géorgie et la Nouvelle-Hanovre. Noms donnés à_ divers lieux j 168 à 321.

Qualocn ou Baleine (île du Fin- mark, Norwége) , t. XLV, p. 199. Ktablissemeas commerciaux . 200 ,

277. Mont Tirefield , 201. Fa- mille et intérieur d'une tente laponne. Rennes, 202 à 218. Importance. Aspect , 228. Campague. Arbres. Mont*gnps, 229. Bateaux, 230- Aspect en hiver, 276. Commerce ,

278. Nourriture principale de»

bestiaux , 285. "^ QuaLiund , 286.

Voy. Hantmerfut.

Quaktrs, Bizarrerie de leurs céré- monies , t. XXXIX , p, 44 , 438. Intérieur d'une synagogue, 437.

Quarra (ville du Zamfra, Soudan), t. XXVII, p. 400. - Murs. Environs, 402.

Québec (capitale du Canada) Envi- rons, t, XXXIX, p. 108. Citadelle Diamond, fiel aspect du havre , 109. Habitations, ilO. Fortifica- tions. Caractère des habitans, XLI,269.

Queda ou Kedak ( port de la ^)^o- vince de Malaca). Animaux. Sol. Plan- tes, t. XXXIV, p. 31, 32.

Quelpaërt (île , mer de Corée). Bel aspect, sol, t. XII , p. 329. Inhos- pitalité des naturels , 330.

Quibo (île de la Colombie , Amé- rique). Sa description. Ses produc- tions. Ses animaux. Serpens volans. Alligators. Huîtres perlieres , t. II , p. 193 à 198.

Qailloa (île de la mer des Indes) , t. I,p. 91.

Quitf. Son voyage «ur le Danube, t, XL(V, p. 133. Reçoit andieuce de Husseim pacha ,208 à 214.

QuiNTE-CuRCK. Exactitude de ses descriptions des contr-jcs He la Haute- Asie, t, XXXVII, p. 161, 343.

QoiRos (Fernand de). Son voyage dans la mer du Sud, t. I, p, 252. Découvre l'île de la Bello-Nation , 257. I"'t terre australe du Saint- Esprit. Fonde Jérusalem-la -Netive , 268. A découvert Taiti , qu'il nomme Sagit^aria , Vil , 353; XVII , 275. Résumé de ses voyages , XVIII, 191

Quito (ville de la Colombie). Situa- tion , j)opulation. Maisons. Rues. Édifices. Denrées, t. XL'i. , p. 430.

Quona Voy. Niger.

Raah (ville de la Hongrie , empire d'Autriche), t. XLfV, p. 150.

Riiùat ( ville du Maroc ). Pirates, Maisons. Habitans , t. XXil, p. 103, 104. --Ville. H2.

Rahbu (ville du Niffé , Soudan), lli-nseigneincns sur la ville , t, XXX ,

î' 258 , 320 Renom des nattes, do eouli'ir, 327, 352. Aspect. H.'t- bitaus, 329. Deîirées. Marché d'ei- claves, A!)imaux, 330.

flalicgh (villi! du Hciljaz , Arabie) , t. XVXII, p. 216 et suiv.

KïJaek (groupe, archipel des C'a--

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442

TABLE GENERALE

»

rolines). Décoarert et exploré par Kotzebue, t. XVII, p. 178 à 209. 254. Naturels conservent dans des chansons la souvenir des événemens reniarquablus , 243, 361,366,372.

Manière de combattre , 364 , 367- Voy, groupes A-ur ^ Jilu, Bigar , Eregup, Kawen , Mtllgravi$ , Otiia , Udiriek.

Radin (ville de la Hongrie, eupire d'Autriche), t. XLIV, plus.

Raguse (ville de Dulmatie, Turquie d'Europe), t, XLIV, 329.

Ratngurh (ville du Djoubel , Hin- dou stan ). Temples remarquables t. XXXV, p. 452.

Bajmahal (ville du Bengale, Hin- doust.). Agréable situation, t. XXXVI, p. 99. Ancien palais, 444.

Rajpoiitana ou pajrt des Rtypouli (Etat indépendant de l'Hindonstan). Voyage dans le pays, tom. XXXVI, p. 299. - Villages ,299, 303, 306.

Sol , 299, 308. Habitans, 300.

Campagne, 301, 306, 30Z, 323, 525, 333, 344. Soldats , 303. Mowah : fortifications , bazars , tein- ture , 304 Ruines de Déosa , fête et foire de Nusund, 308. Umeir. Belles ruines, 319. Kouzabad, temple de Jains , 323. Adjciuir, 325 à 328. Etat florissant du Mi<r- war , 329. Bunaei, 330. Deioléa,, 331. Ordre religieux des Bhats, 331. Bunaira. Costume du rajah, 533. Beilwara, 334. Puits> 335. Fabrique d'indienne d'Ummeirgliir, 336. Tchittorc. Temple de Si va , 539, 341— Pêcheurs bheils, 338, 347.

Secte de Jats , 349. Voy. Jejr- pour, Nusseirnbad, ff^uerh.

Pajperuts (habitans du R»j|)outana). Tribu des Khasyas , t. XXXVI, p. 227. Costume de cavaliers. 318. Habi- tudes, 321. Caractère, 346. Out envahi le pays des Bheils, 347. Abo- minable coutume, 556.

/îa/(c^- (groupe, archi])el des Caro- lines). RcuseigucTiens d' liués p.T" iiu Badackan, t, XVII, p. 21. '. Groupe Legiep, 231.

liamah (kraal ou village 'Aottentot), t. XXIX, p, 21.

ftambutuii. Debtrii)tion de ce fruit, t. VII, p. 72.

llamHuggr f ville du Penjab . liin-

donstan), tome XXXVII, page 31.

Ra »por9 (capitale du Biscliur, Uin- doustan). Situation. Rues. Ruines Salle d'audience, t. XXXV, p. 470.— Réputation de sainteté de la ville. Edifices, 471 . Singulières piles de pont, 472.

Ranai (île, archipel Sandwich). Ses productions, t. XI, p. 246. Sou pau- vre aspect, XIV, 122.

Rangoun (port principal du Pégou, empire birman ). Célèbre pagode , t. XXXIV, p. 464. Asppct de la ville. Habitations, 465, 466. Douane. Fortifications, 465. Rues. Filles publiques. Population. Eît le refuge des débiteurs insolvables , 466.

Raoul (île, lies Kermadee, Polyné- sie). Découverte par d'Entrecastoaux , t. XV, p. 144.

Raoul (île, près de la Nouvelle- Bretagne, Australie). Découverte par d'Entrecasteaux , t. XV, p. 275.

Rai-ét-Féel (province de l'.^i :y>;si- nie). Sol. Climat. Habitans , t. XXUI, p. o34. Bruce en est n-rimé gou-

verneur, 382.

Ras-*l-Kora ( ville du Hedjaz, Ara- bie ), Beauté du pays. Productions , t. XXXII , p. 55.

Raigrad (ville de la Bulgarie , Tur- quie d'Europe). Transport des prison- niers, t. XLÎV, p. 61, 64, 66.

Ratmanoff ( île , mer de Behring ). Nommée par Kotzebue, t. XVII, p. 75 ; XIX, 237.

Rauack (une des îles des Papous). F.tendue. Laideur des habitans. Mai- sons. Costume. Religion, tcm. XVIII,

p. 77.

Reehiirche (archipel de la côte de la tfc.r.) de Nuyts). Nouimé par d'En- tre casîeaux , t. XV, p- IQi .

.\echerche (île de la, groupe Vani- ko "o ). Découverte par d'Entrecas- teaux. t, XV, p. 224; XVIII , 342. Est l'île Vauikoro , 385.

lUcht ( capitale du Ghilan , Perse), t, XXXV, p. 358. Caractère des iiabitaas, 364. Jolies boutiques. Meudi; «s, 366. Derviches. Fakirs , 567. Population. Port d'Enzellé , 3f)8. Violation de la propriété, 410

/i<î«no« (île de la Norwege ), t. XLV, p. 182.

Henné. Description, habitudes, uti-

Monumeus , XX

DËjS MATIÈRES.

44»

liié, etc., de cetanim&l, t. XLV, p. 181, 254 et suiv.

H/er/ation ( ile de la , Polynésie ). Découverte et décrite avec ses habi- tans par Roggewin , t. II , p. 57 à 62.

Regkaro. Ses voyages en Europe , t. XLVI , p. 72.

Riiolution (Ile de la , archipel Dan- gcreiix\ Découverte par Bougainville, nommée par Cook , t. VII , p. 349.

Rttlauration ( ilu de la , Australie). Découverte par Bligh , t. XIII , p. 330.

Révolution (groupe de l'arcbipel des Marquises). Découvert par Marcband, t. XV, p. 434 à 448. Ile Plate , 435. Ile Bau« , 443 , 446. Ue Chaual, Masse, 444. Les Améri- cains revendiquent l'iionneur de leur découverte, XVI , 133 et suiv. Voy. ile Marchand, Trfyenen,^

Rewain (province de l'Hindoustan). Fonnesdes naturels. Vente de femmes, t. XXXVI , p. 461 et suiv. Uonimes filant. Effet de la piqûre d'un insecte , 460 et 467.

Rhinooiros, Sa deitcriptiou. Sa chasse , t. XXVt , p. 334 et suiv.

Rhode, (île del'Arcliipel), t. XLVI, p. 99.

Rhor. 'Son ambaiisade uu grand Mogol, t. XXXI, p. 57.

RicAXiLT. Ses "oyages en Eurcj e , t. XLVI, p. 76.

Riehntond (capitale de la Virginie , État-Unis ). Capitole. Législature , t. XXXIX , p. 273. Salles des séances. Élections. Eligibles. Élec- teurs, 274. Vexations contre les Nègres, 278.

RiKDE.sEi.. Son voyage en Sicile, t. XLVI, p, 195.

Rimski-K orsako/f ( groupe , Poly- nésie ). Découvert par KotzcLue , t. XVII, p. 463.

Rio de la Plala. Voy. Plata,

RiO'Janciro ( c.ipitale du Bré.sil ). Son commerce. Revenus (ju'en tirait le roi de Portugal , t. IV, p. 90. Sa descriptiiiu, V, 50- Beauté des en- virons , productions , 35, Scm niiues d'or et do pierres précieuses , 59. Son port, 41. Animaux des en- virons. Vaste forêt. Population de la f)roviuce. Caractère des luibitaus , XVIII, 54 et 55. Maisons. Rues. Mouuueus , XX , 20. Denrées

commercialei. Beanté du havre. Pro- ductions du pays , 22. Moeurs. Ignorance, 24. Merveilleuse beauté de son havre , XLU, 93. Aspect de la vUle, 94, 140, Iles, 95 Dotc. Spectacle de la baie an point du jour, 05.— État des nègre*, 97 à 103, 184, 207. Régiment nègre, 99,

103. Hègres marchands , 100, 103.

Funérailles, 101 . Prêtres nègres, 102, 103. Usage dans les repas ,

104. La place Sauta-Anna. Bou- tiques , 105, 108. Rnas . 104, 106, 109, 182. Tw*r,a,, 107. - Mai- sons, 109, 181, 183. Découverte du havre, 113. La famille royale portugaise s'y réfugie en 1808, 116.

Améliorations , édifices dus à don Jean, 118 et suiv. Théâtre, 121.

Costume de postillon, 133. La veille et le jour de la Toussaint, 134 , 137. Représentations dramatiques, 135. Eglise de San-Francisco, 136 et suiv. De la Cande^aria, du Ro- sario, 139. Couvents de Santa- Bento, 140. De San-Antonio , 141.

De Santa-Tlieresa, 142. -—Églises de Nos!ia-Spnliora-da-Gloria , de Boa- Viiigem , 143. De San -Domingo de Santa-Rita , 145. l'Ajuda (cou- vent de nonnes) , 145 et suiv. Pro- fession d'une noune, 147 et suiv. Retraites pour les femmes , confréries religieuses, 151. Pauvreté, et par suite ignorance des ecclésiastiques ,

, Manière d'annoncer les fêtes . j saints, 154. Les Pseudo-Sébas- tien, 156, Instruction publique, 1 57. Hôpital de la M iséricorde , 1 58.

Dissection des cadavres , 160. Maladies , 162 et suiv Bizarres re- mèdes. Superstitions, 166. Aca- démie des beaux-arts. Muséum d'his- toire naturelle, 169. Antiquités iudicTiues. Journaux, 170. Noti- eias particulares , 171. Correspon- de'icia , 172. Exemples de lettres diffamatoires, 173. Curieux certi- ficat de ba|)tècic, 175. Écoles d'enseignement mutuel , 176. bizarres pacotilles envoyées par les Européens; 178 et suiv. La mon- naie, 180. Atelier des diamans , 181. Insupportable bruit des cba- rettes, 182. Population, 183. Affranchis , 184. Uabitans isaa-

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''• «'"'Si

444

TABLE GÉNÉRALE

Sais, 185. Manièrn ies Brésiliens divers rangs , 186. Singulières confusions d'états ; les barbiers , 190.

Aspect vraiment moral de la Tille, 191. Hospice des Enfans- Tronvés , 192. Divertissemens , ■^95. La Patteio (promenade), 191

Opér^ , 195. Loteries^artieu- Kères, 197. —Poste anx l^lffes, 198.

Vénalité des juges , 200. ^Police. Exécution capitale , 202. Com- merce des esclaves , 203 334. -~ Fu- nérailles des riches , des enfans , des nègres , 205 et suiv. (et 101). Cu- rieuse place Corioca , 209. Alimens des divers classes , 210. Marchés , fruits indigènes, 211. Boissons, 212. Les Ciganos, 334. Le marcité aux esclaves , 335. Indice de l'iipproche du carême , 348. ^— OEufii de cire. Aspersions, 349. Procession d mercredi des cendres , 350. La °maiue sainte , 352. Cadeaux du uercrcdi, 353. Céré- monies du jeudi et du vendredi, 354. - Réjouissances du samedi, 357 à 362. Le jour de Pâques , 363. Ouverture delà session législative par l'empereur, 364. Séance de la chambre des députés, 366. Le pa tais de Santo-Christorao , 370.

Rio-Ne'gro (ville de la Colouibie).Eau de la rivière, t. XLIF, p. 61 . Effroi des femme!) devant ua téirsrope, 62.

Rio-N^gro (rivière du Brésil). Aui- maux. Productions des rives. Caractère et usages des habitaus, t. XX , p. 27.

Rivière (Grande-, fleuve des Hot- tentots-Namaquois). Sa largeur. Ses bords , leurs arbres et leur gibier , t. XXIV, p. 309 et siiiv.

Rivières (canton des vingt-quatre , colonie du Cap). Sa beauté, t. XXIV, p. 244, 275.

Rohm (ile, baie de la Table, co- lonie du cap de Bonne-Espérance). Lieu de dctentiou. Productiou.s , t. XXIV, p. 50.

Robert (île , groupe Hergest), t. XIV, p. 384.

RoBiNSOH Crusok. Aventura ;ui a servi de type à ce romau , t. Il , p. 8. Voy, Selkirk.

Rodney (pointe, Kamtschatka). Trou- peaux de rennes , t. XIX , p. 438.

Rocs' wi Rusien (ile de la oAte du

Nordiand nnrwégien). Naufrage de Quirino en 1432, t. VIII, p. 128.

RotioiRs (Wood). Son voyage au- tour du monde , t. Il , p. 4- -~ Double le premier le cnp Horn , 4 et 8. Recueille à l'tle Juan-Fernandcz le matelot Selkirk , qai y était délaissé depuis quatre ans, 8.

Roggewtld-Karro (pays de la co- lonie du cap de Bonne-Espérance). Habitation temporaire des fermiers , t. XXVI, p. 124. Sol, arbres, 125, "151. -^ Voyage dans le p-'ys , 140 à 162. —Ferme, 142. Rhi- nocéros , 152. Poissons, 153. Lièvres. Autruche, 161. Caractère des colons, XXIX, 145. Origine de l'animosité contre les Boschimnns, 1 48.

RoGGEWiw. Son voyage autour du monde , t. II , p. 43. Découvre et décrit l'Ile de Pâques , 46. Les îles Pernicieuses, de l'Aurore, des Vêpres, du Labyrinthe , 55. L'île de la Ré- création , il faillit être victime de la perfidie des habitans, 57. Dé- couvre les fies Bauman ,62, 64. - Découvre les Mille îles , 70. Est mis en prison à Batavia , par la Com* pagnie des Indes orientales , 73. Résumé de sesdécouvertes,XVIII,198.

Rohilcund (province de l'Hindous- tan). Voyage dans le pays , t. XXXV f, p. 205 et suiv. Édifices , bazars de Shalijehampour, 206. Campagne , 205, 206, 208, 209, 213, 255. - Climat. Productions, 206 Liitix divers, 207, 208, 253, 251 , 256. - Caractère des HohiUas ^^habitaus) , 208, 210. Champs de tabac. Pèle- rins du Gange, 208. Défaut du Denrées, 209. Bareily, 210. As- pect de l'Himalaya , 213. Morada- bad, mouliu à sucre, 253. Cim- ffction de la glace. Vignes. Pays sem- blable au Bengale, 254. Amroiili. Cabanes de l'Inde supérieure, 257.

Roit (îles des , Polynésie). Décou- vertes par Saavedra , t. T, p. 161.

Fois (île des Trois- , Nouvelle-Zé- lande). Découverte par Tasman , 1. 1 , p. 346 ; VI , 70.

Rokelle (rivière du Kouranko , Sé- néfjambic). Manière ingénieuse de l.i traverser, t. XXVIII, p. 75. Sa source , 104

Roketchick ( ville du Timani , Se-

[>E6 MATIÈRES.

'iÀb

iirgiimbie), tom. XXVUI, pag. 21.

Rokktmild-Karro. Voy, R«ggtfi>$ld- Karro.

Rolton ( Tille du Timapi , fiéné- gambie). Audience du roi, t. XXVIII, i>. 11. —> AsMmblée publique, 13 . 17,

Romains. Leurs ▼oy.ige.i et expé- ditions maritimes , t. I, p. 6 et suiv.

Romitint ou de l'EgUi* ( États ) , t. XLVl,p.265.

liomanzoff (Ile , Polynésie), Décou- verte par Kotzebnc) , t. XVII , p. 45.

Romarin (île, Terre de Witt, Nou- velle-Hollande), Nommée et décrite par Dampier, t. I, p. 415

Rom$. Saint-Picrrfl, t. XLIV, p. 540.

La grand'messf' , 341 et suiv. S,iint-Jean-de-Latran, 343. Com- (laraisou du Cotisée, du Parthéuon et de Saint'Pierre, 344. Supériorité de Siiint-Picrre , 345. Cénotaphe de Paul, ni, 316. Aspect des rues , 347. Vue panoramique de Rome, 348. Libéral emploi des impAts , 348. Soin des pa])cs pour la conservation des monumens, 349.

Situation, circuit, édifices divers, XL VI, 265,

Ronde (Ile, mer de Beliring), Nom» mée par Cook, t. XI, p. 46.

Roo. Lieu de marché d'Abyssinic , t. XXiri,p. 599.

ftooa'.ooga (île, archipel des Mar- quises). Son aspect, t. XVI, p. 137.

Tatouage des naturels, 138. Quelques ornemens , 140, 142. Physionomie des naturels, 145. Canots, 146.

RooyeStnd (pays du cap de Bonne. Espér.). Sa beauté, t. XXIV, p. 231.

Roia ( ville du Timani , Séné- pambie), t. XXVIII , p. 9.

Rosette (ville d'Egypte). Situation. Importance. Jardins, Rues. Habitans, Cafés , t. XXII , p. 426. Nom arabe, sa signification. Jardins, XXIII, 65,

Ross ( le capitaine ). Résultats de ses voyages à la recherche du pas- sage au nord de l'Amérique , t. XL , p. XXX. Son l*"" Foyage aux ré- gions arctiques, XL, 1. Ses ma- telots tirent \^ vaisseau sur la glace, 3. Nomme la buie Melville , les lies Brovvn , 4. Entrevues avec les Es-

quimaux , 5 et luiv. Nomme les hautes terres arctiques, 17, L'il* Byam-Martiu , 27. *•« 2* Foyage, 28. Retrouve les provisions «bau- données par la Fury, 41 et suiv. Découvre la baie Fearnell , la rivière Laug, la péninsule de Boothia, 46. Le port Lan g, '49. Le port Elisa- bcth,51. Le port Éclipse , 56. Prend ses quartiers d'hiver, Pré<'aii- tions. Occupatious d')Mver,63, 168, 208. Eutrevues avec les Esquimaux, 81, 87, 93, 103 et suiv. 154, 162, 172, 196. Excursions à terre, 49, 60,103,111,117, 135, 144,171 à 181.— Chasse au bœuf musqué, 121. —Isthme Boothia, 142.^ Uécouvre la mer à l'ouest, 146. Nomme les llea Beverley, Matty, 149. Les cnpa Aberncthes, Sabine, Young, 150. '■ Baies Parry, 152. Richardson, golfe Bootlkia, cap Félix, 153. Prise de possession. Cap Victory , 154. ^- Sou vaisseau, un moment délivré, est de nouveau prit par les glaces, 165 , 166, Baie du Schériff, 168. Voyage en traîneaux, 176- Lac Krusenstern, 178. Rivière Han- stein, 179. Voyage pour déter- miner la poiiitlon du pôle Magué > tique, 183, Sa place, 187, 190 l'rise de pos.session , 189. Trouve des mets con.servés pendant dou/.e an>, , 209. Route pénible à travers les glaces , 214. Abandonne son vais.ieau, 219. Construciio.» l'une maison l'on passe l'hiver, 226, Départ, 237. Découverte et récep- tion à bord d'un vaisseau, 240. Voy. Régions arctiques.

Rossignol (île, groupe Tristan d'A- cunha), t. XX, p. 147.

Rotas (forteresse dv Penjab , Hio- doustan). Aspect. Histoire, t. XXXVIL p. 43.

Rotouma (île, Polynésie), Aspect. Douceur des naturels. Leur figure. Leur toilette, t. XVIII, p. 160. Étoffes. Armes. Saints. Langue. Gou- vernement, 162. Mariages, funé- railles , 164. Bienveillance des na- turels , 166. Aspect. Population , 583. Étendue. Belle race d'habi- tans , 391 . Leurs cheveux pou Jré.s, XLIII, XXX.

Rotterdam. Voy. Anamocka.

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440

TABLE GÉNÉRALE

floug» ou go{f* Ar ihiqu* (mer). La navigation y est diflicile, 1. 1, p. 110.

Voyage le long des cAtes, XXIII , 114 et suiv. Ile Jhbcl - Sibcrget , 116. Coqiiillngr' . 118. Ile Jbbel-Macouar, 120. Ile firuco, 124. Groujic Jiiffiitnn, 131. Ile Dérégé, 144. Aspect du détroit de Bab-el-Mandeb, 152. Ile Fooiht, 124. Ile de Ddccalan , 155. Ile Jbbcl-Teir, 156. Des- cription de l'Ile et des !•.. 'aus de Dab<ilac , 158 à 169. Voy. i. ^ Ma- touah , Soeotora.

Rouméliê (provinre de la Turquie d'Europe ). Voyage dan» lo pays , t. XLIV, p. 1 et suiv. ; et 253 et suiv.

hrekli , 29. - TrLorlu , 34 , 36 , 260.— Bourgas , 38 , 258. Kirklessi, 41. Hnydo» , 52. Villes moins misérables que celles de Bulgarie , 253. Andrinoplc , 257. Aspect pittoresque de Sylivria , 260. Belle campagne, XLVI, 86. Voy Andri- nople , Constantinople.

Rouilchoitic (ville de la Bulgarie , Turquie d'Europe ). Aspect. Belle porte. Rues, t. XLIV, p. 70. Bel aspect, 229. Sa laideur quand on la voit de près , 230. Boutiques , marchaudise-s , 242.

Rovêredo (ville du Tyrol). DétaiLt divers , t. XLV, p. 566. Prospérité 399.

Rotigno ou fiovigi) (ville de l'Istrio , euip^re d'Atstncl'C; , ». XLIV, p. 333.

Kows. l.>o>:it-o;iUf. de Furneaux , est ma.ss,jf;ré avec ites gens par les Zélajdais, t, 5X, p. 135 et .suiv. Cook apprend à !;. Nouvelle-Zélande des détails sur sa mort, 238, 241 ,

248.

RuBRUQUis. Son ambassade en Tar« tarie , sous saint Louis , t. XXXI , p. 30.

Ruddua ( montagnes du Hedjaz , Arabie). Près d'Yambo. Beau climat. Belle campagne, t. XXIII , p. 135.

Ruderpour (ville duKrmaoun , Wiv- doustan). t. XXXyi , p. 219. Cli mat pestilentiel. Fécondité de la terre. Productions , 220.

RiiNJEET-SiNG (roi du Penjabou de Lahore ). Accueille généreusement , Burnes,t. XXXVII, p. 10, 14. L'engage à une partie de chasse. R'i-

cbesie der tentes. Cottnmea. Élé- phant. Fauconniers. Usages du pnnce, 17 et suiv, Revue et réception* à lu fête du Pusuud, 22. Fête qu'il donne à Bûmes , 24. ^— Son projet de rendre l'Iodus navigable , '^. Son génie, son bon carartèr»' ^ /7 449.

Son ignorance , 32. '^i poli- tique envers ses noble» . 413. .— Of- ficiers français, 435 , 439, 440 Sa

joie en recevant des cadeaux , 436.

Son écurie. Sa figure, 437. Salle d'audience. Joyaux, 438. Revue militaire. Commandement en fn -

Sais , 438, 447. Ses danseu 43. Ses projets ambitieux , - .

Son artillerie, 447. Sa po tique , 449. Ses bijoux , 450. Sa munificence, 451, 458. Sa rési- dence favorite, 455. Voy. Allard.

Rurik (chaîne du , liot.s de la Poly» nésie ). Découverte par Kotzebue, t. XVII , p. 47.

BusDECK. Ses voyages en Europe, t. XVLI,p.71.

Ruistt, Détails sur leur culte reli- gieux, t. XLIV, p. 357,362. Cou- tumes curieuses, 362. Maisons de paysans , 366. Application du Knout, 376. Superstition, 471 et .suiv. Culte des images, 472. Hiérarchies de la société, 474. Étiquette des repas , 476. Palais de glace, 477 et suiv. - Portrait physique, 479. Costume. Carac- tère, 480. État despcrsounes. Dé- tails sur les quatre classes, XLVI, 148 à 151.

Rutiie, Son traité avec la Chine , pour l'établi.s.sement d'une mission à Péking, t. XXXIll , p. 1 et suiv. Voyage dans la Russie d'Europe, XLIV, 354. Villages, 354, 356. 358, 360, 363, 366, 369. Cam- pagne, 358, 365. Marché du di- manche, 259. Le Dnieper, 374. Uabitans. Juifs , 383. Leur singu- lier usage , 384. Steppes , 386. Colonie de Cosaques, 387. Dé- tails sur les colonies militaires, 388, 395. Portes , 389. Bornes mili- taires de Potemkin, 401. Médecins des gouverneurs, 430. Tours de guet de la frontière du Caucase , 438

État politique de l'empire, 471- Administration, 474. Lacs, XLVI

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H. Montagne* , 22. Voyage hu» le pays, 133, 140 à 1,'*|. Multitude do Juif» en Litliunnie, 140. Voy. goiivcrnt'incnii do Caucase , Co' taqutt du Don f Finlande , Grodno , Kief, Minik , Moteou , NiJilnl'Novegù' roit . JVo¥ogored , Orêl , Podoli*, Smo- Itntk, Talith, TauHJe , Toh*rni-

DES MATIÈRES. 447

Tulii, T*tr, ForûH*J(jt, Wla-

gow. dimir.

RuttU d'Ali* (vrtyngc* dan» la). Voy. Abazt» , Aim^iui , Géorgie , Immirélient , Kamtnh(\ ka, MiMgrtflit , SibMi , Talitoh.

Rtuêie W Amérique . Voy. Amertume mil*.

Saateora. Dérourre le* Iles des Boi», t. I, p. 161. —La Nouvelle- Guinée et d'autres lies, probiiblement celles des Biirbus , 163. Résumé do SOS yoyages, t. XVIII , 191.

jiaAi (ville du fiondou, Séncgambic), t. XXVIlI.p. 321.

Sable (\\e de, Sénégal), t. XXVIII, p. 287.

SabuJa (Ile, Maliiisie). Sa descrip- tion. Productious , t. I,p. 432 et suiv.

Oisctux remarquable» , 433. Habitans, 434. L( >ir pùclie ingé- nieuse , 435.

Sacala ( district de l'Abyssinie ), Plaine. Miel. Églises, t. XXIII , p. 420, 422.

Saekatou ( capitale des Felatalis , Soudan), t. XXVII, p. 405. Hisi- dence du sultan , 406, 4(39, 415. Musquée, 416. Situation. Étendue. Murs de la ville, 421. Uabituns, Industri.!. 422; XXVIII, 222.

Sackett (ville du Nev-York , États- Unis), t. XXXIX. Son Iiiivre,p.l01.

Aspect de la ville , 102.

Sadrai {y'ûle du Carnatic, Hindous- tan ), t. XXXVI , p. 437. Éduca- tion, costume, réputat un des Baya- dères , 438.

5(^r<i (ville duHedJHZ, Arabie).Mar- cbé. Maisons. Productions, t. XXXII , p. 253 , 255. Sol. Vente des dattiers. Jardins , Costume , 254. Baume , 255.

Sagbu (ville de la côte des Esclaves , Guinée ). Maison du chef. Caractères magiques , t. XXX , p. 36.

Sagiltaria ( île ). Découverte par Quiros. Est l'Ile Taiti, t. VII , p. 353;

xvir,275.

Sahara (vaste désert d'Afrique). Son étendue, t. XXII, p. 2. Voyage dans

nne partie par Mungo-Pdrk nétaiU sur le pays et ses linbitati' \ V, 182 et suiv. Voj'Hge aux 438 et

suiv. -^ Traversé |iai ' '"'.ip-

perton, XXVII, ./» versé par Caillié, \

Sol. Arbustes, 411 e de niarcbes des caravaii ,.iiii rce des mûres, 412, 41^. i;i-Ari»i. lan, ville du désert, Cuniniercc. Rues. Mai- sons. Puits des environs, 414, 416.

Puits , 417, 422. Précautions de voyage, 417. Effets du rairiige , 421 . Vny. Lybie, Simoun, Sy'ouah, Tib- bout, Tuarioi,

Saigon (port de la Cncliinchine ), t. XXXIV, p. 320. Rivière, 328, 339. Maisons Rues, 328, 343. Emblèmes .superstitieux , 330. Mé- decin français , 333. Denrép», 335-

Manufactures, 336. Situatiou , 340. Demeure du gouverneur, 343.

Cour du gouverneur , 314. Combat entre un tigre et des élépliaus, 347.

Saint- Aignan (Ile, archipel de la Louisinde). Sou aspect, t. XV, p. 255.

Saint-Àndrë [We). Voy. Soiiforol.

Sain'-AnJr^l îles, Polynésie). Dé- couvertes par Cnrteret, tom, III, p. 169.

Saint-Antoine (Ile du cap Vert). Productions. Population. Sol. Mines, t. XX, p. 106.

Siinl-Barlhélemx (Ile des Nouvelles- Hébrides, Australie). Sun gisement, t. VIII, p. 422.

Saint-Alouarn, t. XV, p' 89

Saint- Barthilemx (île, Polynésie). Découverte par Salazar, 1. 1, p. 159.

Saint-Bernard (île de l'Australie . Découverte par Mindana, 1. 1 , p. 205. Est probablement celle que Byron

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448

TABLE GÉNÉRALE

nomma pint tard tle du Dengtr, VU, 144.

SaM'Blaitê (baie, coh^aie du Cap), ' t. XXIV, p. 71.

AiiJi/-6o«/nf ««(ville de Tlle Haïti ). Détails snr sa fondation,!. XXXVIII, p. 170, 172.

Saiitt'ElU (mont , Amérique russe). Son aspect, t. X. p. 430; XII, 148.

Saint-Blmê (feu). Description de ce pbénomène, t. XII, p. 43 note.

S<^int-Georg« ( canal entre la Non» Telle-Irlande et la Noavelle-Bretdgne). Découvert par Carteret, t. III , p. 152.

Sa beauté , XX , 372. Saint-Georgt (tle, Açores). Décou- verte par les Portugais, t. IX, p. 157.

Sa pctpulation, 159. Sain>-ù«orge (aisi:ict delà colonie

du cap de Bonne>£spérance). Beauté du pays, t. XXIX, p. 332.

Saint-Gtorgt (tle , mer de Behring), t.XIX,p, 281.

SaiHt-iSeorg* ( ville du Wogora , Abvssinie ). £glise dédiée à la sainte Vierge, t. XXIII, p. 289.

Saiiit-Ildt/oiu* (résidence royale en Espagne), t. XLVI, p. 176. ^

Saini-Joaehim (fort de la Guiane). Sa fondation. Son délabrement,!. XLl, p. 204.

Saint- LturtHt (fleuve de TAmérique septentrionale). Son cours. Ses diffé- rens noms , t. XXXVIII , p. 37, 39.— Voyage sur ses eaux, XXXIX , 102.

Ses rapides , 103, 104. Chutes de Montmorency, 108, 111.— Cliutcs de Bouilloire, 114. Traces du dé- luge , 206. Voy. JUoHtrtat, Niagara,

Saint-Laurtnt (tle, mer de Behring), t. XIX,p.233et8uiv.

Saint-Lazare ( archipel ). Le même que celui des Philippines.

■Siiia/-Xoui« (ville du Missouri, Etats- Unis), t. XXXIX , p. 377.

Saimt-JUiehel (Ile, Açores). Dé- couverte par les Portugais, t. IX , p. 157. Très fertile et très peuplée. Ses productions, 160. Mines. Po- pulation, XX, 44 1. Beauté du cli- mat. Vins. Convens. Apparition et dis- position de nie Sabrina,XLI, 171. et XLII, 389. Evêchc. Etendue. Population. Climat, 383. Absence d'esclaves. Bellesfigures des h.-ibitaus, 384. Costumes, 385. Origine de

l'ile, 586. —Le porto Uliéo, 386. Tremblemcns de terre, 388.

Saint-Nieolai (île, groupe du cap Vert), t. XX, p. 107.

Saini'Paul (île, océan Austral). Arbres do cent cinquante pieds dfe haut , t. Xin, p. 312.

Saint-Paul (Ile, mer de Behring), t. XIX, p. 281.

S 'nt-Pét*rtbourg{c«[n\»\c de l'em- pire russe ). Fondation. Inondations. La Neva , t. XLVI, p 146. Mo- numens, 147. Etendue Population, 148.— -Palais impériaux des environs. 148.

Saint'Pierrê et Saint-Paul ( capi- tale du Kamtsdiatka ). Voy. Péiro- pawlowtltl.

SAiiTT-SAOVxttR. Son voyage aux iles Ioniennes, t. XLVI, p. 108.

Saimt Thomas. Lieu de son sup- plice dans l'Hindoustan , t. XXXVI, p. 433.

Saint-Ttiomas (île, mer du Sud). Découverte par Grijalva. Poisson res- semblant à un homme, 1. 1, p. 164, 165.

Sainte-Catherine ( île , Brésil). Eten- due , forts, terroir fertile, bois parfu- més, climat malsain, t. II, p. 85,90.

Etendue , historique, XII, 45. Terrain , 46. Pèche de la baleine , 47. - Denrées, naturels, 51. Des- cription de la ville, XVI, 15. Beauté de la baie, bonheur des insulaires sous le gouvernement portugais, l7.

Sol, productions, animaux , capi- tale, XVIII, 114.

Sainte-Claire (ilc, côte de la Co- lombie ). Découverte par Piz.irre. Monstrueuses idoles. Ouvrages en métaux. Etoffes, tom. XXXVIII, p.ig. 324.

Sainte-Elitabetk (ile, détroit de Magellan ), t. IV, p. 148.

Sainte-Hélène ( île, océan Atlanti- que). Sa description, t. VII, p. 135.

Ses productions, 138. Son étendue. Sa population , IX, 150. Découverte par Nova Gellego , 151.

Aspect, climat, XVIII, 185. Tombeau de Napoléon, XX, 424. Histoire de la decotiverte de l'île, 425. Aspect. Intérieur. Plaine de Longwood, 426. Terroir. Produc- tions. Animanx. Climat, 430. <•

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I)'

DES MATIÈRES.

449

' Saintt'H/liite (port ia Brésil), Gu«- nacos , lièvrea, t. XXI, p. 210.

SaiHtt'Hilène ( baie, colooie du ràp de Bonne - Espérance), t. XXIX, p. 228.

Sainu-Lueie ( iles du cap Vert ). Etendue. Sol, t. XX, p. 107.

Sainte- Lar'e (ile « Petites- Antilles). Aspect. Capitale, t. XLI, p. 277.

Sainie-Marlhe ( ile, mer dej An- tilles). Déconcerte par Cdomb. Sin- gulière propriété d'un poisson , tom. XXXVIH, p. 147.

Saintes (îles. Petites - Antilles ). Aspect, t. XLI, p 276.

San-Blas ( port du Mexique). Si- tuation. Environs, t. XLI, p. 4!4. Températures, 424. Insectes. Sai- sons, 425. Maladies. Emigrations périodiques. Population, 426-

San-Carlos ( mission près de Mon- terey ). Sa situation. Ses greniers. Le village. Beauté du pays, t. XIV, p. 362 , XIX, 339.

San-Carlos (capitale de l'Ile Chiloë). Maisons , rues , monumens , t. XX, p. 73. Habillen^ent des dames, 75. •— Amusemens, 80.

San-Diégo (ville, Nouvelle-Califor- nie). Climat. Sol, p. XIV, p. 457. Environs. Combat avec les sauvages, XX. 90 et suiv.

San-Francisbo ( port de la Califor. ). Son étendue, t. XIV, p. 344. Dé- tails sur le présidio On fort : garni- son , maisons , pays environnant , épaque de rétablissement, 345, 353. Détails sur la mission : pays envi- ronnant, maisons, occupations des frères . église, époque de l'établisse- ment, 548, 353. Misère dea natu- rels, de leurs huttes, 351. Climat de la région sud , 456. Eglise, ca- bane et occupation des naturels , XVII, 118. Entrpe du port, XIX, 284. Abondance de gibier , 288. Mécontentement contre la répu- blique, 289, 292, 294, 296. Demeure du gouverneur des prési- des. Incurie du gouvernement. Gar- nison, 290- Utilité des missions, 297. Détails sur les missions. Voy. Californie. Expédition contre la tribu des Cosemènes, 310' Transpira- tions forcées des naturels, 320. Voy. Sauta-Clara.

XLVI.

SuH'liigo (lie du cap Vert ). Sa description, t. Vil, p. 178. Ses naturels, 179. Son sol, 181. Productions. Animaux, XX, 115. Port de Praya ,116. Population , 118, note. —Son aspect, t. JlVl, p. 5. Port de Praya : Sa population, garnison, commerce, 7.

San-lago (capitale du Chili). Fignre des femmes. Leur vêtement, leurs ma- nières familières, t. XI V , p. 475. Détails sur la ville et les maisous, 478. Route qui y conduit, XLI, 3697 Rues. Maisons, Place. Dévo- tion , 370- Licence des mcours , 371 Etat des prêtres. La Siesta, Climat, 372. "Etat de la société, 384. Propreté des rues. Maisons et leur intérieur, 385- - Politesse des habitans , 385 , 387. Promenade publique, 586.

San-José, ville de la Californie), t. XIX, p. 322.

San-Luii (ville delà Plata). Climat, t. XLI p. 286. Etat roisérérable, 324 et suiv.

San-Pediv ou Ontteyo ( ile, archi- pel des Marquises ), Découverte par Mindana,t. I,p. 197; V1II,199; XV, 375.

San-Salvador ( tlea Lucayes, Amé- rique ). Première terre découverte par Colomb, tom. XXXVIII, p. 91.

Bel aspect, 93. Colomb en prend possession, 94. Etonnement des insulaires , 95. Tatouage , 96,»'

Teint. Trait». Armes. Canots, 97.

Echanges avec les matelots, 9^ San-Salvador (ville du Brésil). SJ^bté

de la ville. Population , t. XX, p. 68.

Son origine, XXXVIII, 342. Salamanque (ville d'Espagne), tom.

XLVI, p. 173.

Stlajrer (ile, Malaisie), t. XV, p. 316.

Sala-y-Gomez ( île > Palynésie ). Etendue, Aspect. ^ égétation, t. XIX,

pag 6.

Salazar. Successeur de Loaise. Dé- couvre l'ile de Saint - Barthélemi, Nomme Borta une des iles des Lar- rons, t. I, p. 159.

Saldanha ( baie de la colonie du cap de Boune-Espéranca). Descrip- tion. Poissons. Gibier, t, XXIV,p 16. Ile Das8en>Eyland, 20 et suiv.

29

466

TABLE GÉNÉRALE

Salé ( ^le da Maroc ). Famejox pirates, t. XXII, p. 102.— Tille,

141.

Saltm (,TàH« du Massachnsietti , Etats rUirts). Marins renommés. Mu- >nm,t.XXXIX,p.lâ8.

Salomon ( archipel, Aostralie ). Dé- couvert par Mendoce et Hindana, pourquoi ainsi nommé, 1. 1, p. 168( 170. Habitans. Leors canots, 109. Retrouvé par Surville qui le nomme Terre des Arsacides, III, 420, 430 , 434. '-' Description du pavs , des habitans, de leurs armes , 434 et 444. Productions l'tle, 441. •— Naturels, leur roi, leurs habiles méde- cins , reUgion , 442. Perfidie, XV, 842. Pirogues , 244- Voy. Iles Boa- gaimillt, Bouka, ContrariéU, Choiuul, Sanla'Cataliiui , Santa-Iiabella , Sim- bù», Tréiortri*.

Salutte (Ile , jointe à celle de Bom- bai ). Ses deux villes. Etat déplorable, t. XXXVI, p. 411 —Habitans de Tan- nah , 412. FortificaâoDs dr Gora- bundnr. Temples-cavernes du Boud- dhisme, 413 et suiv. Animaux, 416. Salten (golfe du Nordland, Suède }, t. XLV,p, 155. Poisson rouge, 156.

Salrag*t ( Iles des , au nord des Canaries, t IV, p. 5; XII, 32.

5a«are<in<^ ( ville de la Boukbarie, Tatarie'indépendantc). Antiquité. Po- pulation. Souvenirs de Timour. Beaux ^édifices, t. XXXVII, p. 211. Tom- beau fameux, 212.

Amen ( province de l'Abyssinie ). due. Sol, XXni, 326. ^ '.Samet ( Ûe de l'archipel ), t. XLVI. p. 98.

Samoyèdet ( peuple de la Sibérie ^ Figure. Formes, t. XXXI, p. 229. Mères précoces. Vétemens, 300. " Tentes. Travaux, 302. Nourriture. Origine du nom. Religion, prêtres. 304, 306. Morale, T7. Ob- stacle aux unions conjugales . 314.

Sampaka ( ville du La-inmar, Séué- gambie). Fabrication de la poudre, t. XXV, p. 137.

Sana (capital a ;!e l'Yémen, Ara- bie) , t. XXXI , p. 336.

Sancaho ( ville d'Abyssiuie ). Mai- sons. Fortifications, t. XXIII, p. 472. SmJ^arra ( ville du Kaarta , Séné-

gambie ). Cérémonie précédant la cir- concision , t. XXVIII , p. 373.

Sandwich (lie de la NouTelle-Bre• tagll«).Découvertepar Carteret,t.IlI, p. 153.

Sandmeh ( Nouvelles - Hébrides ) . Découverte par Cook, t. VIII, p. 35o!

Beauté du pays, 351.— Son gise- ment. Sa circonférence , 425.

i$aA</H'icA( Terre de, océau Atlan- tique). Découverte par Cook, t. IX p. 115; XXI, 433.

Sandmeh ou Hawat (tics de la Pol,). Retrouvées par Cook, t. X, p. 26(jj 295. Population, 307 note. Oi-l nemens des insulaires, 308. —Mœurs semblables à celles des insulaires des Mes des Amis e^ de la société, 331 . Comment la même nation s'est répau- due sur tout l'océan Pacifique , 353.

Marées peu considérables , 334. Effets du tabou. Explication de ce mot, XI, 151 , 299. Relation de l'assassinat de Cook et de ses suiteii, 173 à 226. Nombre, noms et po- sition des îles , 237. Climat , 247.

Vents, courans , martres, 248. Quadrupèdes , oiseaux , 250. Vé- gétaux , 253. Origine des natu- rels, affinité avec les Malais et autres 254, 293. Leur figure , 255. Effets pernicieux de l'Ava , 257. Population, 258. Caractère doux et paisible , 260. Fous , sacrifices Lu- mains, 263. Vétemens, ornemens, éventails, tatouage, manteaux de plumes, leur origine espagnole, cas- ques , bijoux, masque, 264 et suiv.

Villages et maisons, 271. Nour- riture , cuisine, 273. Occupations , danses, mnsique.jeux,275,280. Com- bien ils sont habiles nageurs, 278.

'Navigation, 281. Sculpture, étoffes

.eintes, 282. - Ustensiles de pêche ,

gourdes , 284. Fabrication du sel.

Armes, 286. Division du peuple en

trois classes, autorité de l'Earée, 288.

Gouvernement héréditaire, pou- voir des chefs, 290. Etat des classes inférieures, châtiment des cri- mes, 292. Religion .Sociétédeprétres, 293. Idoles , 294. Chants avant les repas , 296 Sacrifices humiiiu.^, 297. Les insulaires s'arrachent 1rs dents de devant , idées sur une vie future, 298. Mariages, juluusie,

DES MATIÈRES.

451

I jalousie

301. Rites fanéraires, 303. Explication da mot tabou , XII, 126. Ces île!» avaient été découvertes avant Cook par les Espagnols, 117, 119, 127 note. Gouvernement , 129. L'anthropophagie est-elle en usage? 137. Changemens dans le gouver- nement et les mours depuis l'arrivée des Européens. Commerce des États- Unis, XIV, 137. Trois espaces 4e perles, 140. Doucenr des haltitans, XVI, 470. Changement depuis la découverte, XVII , 427. Autorité des missionnaires anglicans , 456. Etendue du groupe. Fertilité. Repas des naturels , XVIII , 90. Vête, ment, tatouage, maisons, éventails, population, infanticide en usage, 92.

Salutations. Religion, 95. Ta- bou, lieux d'asile, denil. Etablisse- ment du christianisme, 97. Pro- grès du luxe. Jeux. Danses , 98. '— Funérailles. Nourriture, 100. Re- pas , figure, pirogues, langue des na- turels, 102. Gouvernement. Com- merce , 104. Histoire de ces iles depuis leur découverte , XIX , 342 et suiv. Bois de sandal , 344 , 354.

Abolition des idoles, 347. Mis- sionnaires, 34S , 357. Progrès du luxe, 352. Denrées , 354 , 356. Education, 357. Festins, 362. Danses, 366. Marine. Commerce , 375, 376. Climat des îles , 379. Cheveux poudrés des naturels, XLIII, XXX Voy. îles^fo. .", Morotoi, MowJt, Ooiuohtow, Orttlioua, Oivhjrh^e, Rtmai, Tahoora , fFoahom

Sangnuya ( ville du Soulimana , Sé- négambie). Situation. Murs. Demeure d'unchef, t. XXVlII,p.97.

Sang-YutH (ville de la Chine). Ido- les. Café des aveaglcs, t. XXXIIî, p. 388.

Sansan ( ville du Hronssa , Soudan). Formé de trois villes , tom. XXVIl , p. 342. Son marché, 344-

Sanianding ( ville du Bambora , Sénégambie ). Population. Commerce des Maures , t. XXV , p^ 231. Ar- rogance des Maures, 233. Popula- tion, 373.

Saïuerol. Voy. Sonforol.

Santa ( port du Pérou). Aspect , cli- mat, productions des environs, tom. XVI, p. 410.

Santa'CataHiut ( Ile , archipel Salo- mon ). Découverte par Mindana, 1. 1.

5. 168. Son aspect riant, XV, 237, 38, 240. Santa-Chrittina ou Toa-fVati ( ar- chipel des . Marquises ). Naturels. Teint, tatouages, t. VIII, p. 191, 196.

Sol. 192, 2i92, 206. - Ornemens des naturels, 197. Porcs très petits, 201 . Eventails , 202. Manière de saluer un ami, XV, 347, 349. Diffé- rence de caractère entre les habitans, 360. Aspect agréable de l'Ile, 578. Baie de la Madre-de-Dius , 379.

Cabanes, 381. Arbres. Produc- tions, 383. Animaux, 387 Cli- mat, 390. Description des habi- tante, 391. Physique. Vêtement. Tatouage, 392, 401 ,403. Orne- mens , 396. Beauté de ^ femmes , 400.— Leur vêtement, 403. Leurs mœurs dissolues, 405. Nourriture des naturels , 410- Pirogues , ar- i9es, 412 , 416- Ecbasses, 414. Ustensiles, étoffes, exercices, 417. Mœurs, 420. Conjecture sur le gouvernement, 425. Comparaison des naturels aux Taïtiens, 428.

Santa-Clara ( Mission et ville du Mexique). Beauté du pays d'alen^ tour ), t. XIV, p. 354. Maisons et occupations des religieux, 356. Sa- leté , apathie des naturels , 359. Troupeaux. Bâtimens. Productions de la mission, XIX, 330.

Saitta-Cnz (île, Brésil). Ville de Nossa Senhora - do -Desterro. Inté- rieur. Traitement des nègres, tom. XVII, p. 35.

■Santa-Cm (archipel, AustraUe), Voy. groupe Charlotte, ^les Edge- eomb , Ho», Keppel, Outy, Portland, Saata-Cruz, F^olcan, Trevanion,

Saiita-Cruz ( ile, archipel Santa- Cru7. ). Découverte par les Espagnols , nommée île d'Egmont par Carteret , t. III, p. 125. Description de l'île, 126. Maisons communes, 127. Villages fortifiés, 128, 129.— Habitans entièrement nus, 131. Leurs ])iro- gues, leurs armes, 135, 447- Phy- sionomie (Ié».igrén]>le des L<il)itans. Leurs armes. Leur penchant au vol , XV, 225, 235. Asi>cct de l'île, 228 235. Ornemens, 232. Animaux, 233 Productions. Cases, 235.

452

TABLE GÉNÉRALE

S«m«'Fé-d*,'Bogo>a (capitale de la Colombie). Saison»^ t. XLII, p. 394.

Sitaation. Climat. Tremblemens de terre. Maisons, 428. Population. Edifices publics. Dames. Pauvres. £a- virons. Divertissemens, Caractère des kabitans, 429.

Sanla-Isabella ( tie , archipel Salo- mon). Découverte par Mindaua, tom. I , p. 168. Retrouvée par Surville, III, 420, 430, 434.

Santa-JUaria nie , CbiM), t. XVilI, p. 130.

Santa-Mariu 'île, Açores). Décou- verte pnr les Portugais , t. IX, p. 157.

Population. Productions, 160, XX, 444.

Santa-Bosa (mission de Californie), t. XIX, 305.

Santarem ( ville du Brésil). Rues, Maisons' t. XLII, p. 67.

Santiago, Voy. S:'H-/a^o,

Santo-Joao-Ul-R»jr (ville du Bré- sil). Histoire. Rues. Maisons. Popula- tion. Edifices , t XLII , p. 272.

San'o-Jos^ (Tille du Brésil). Envi- rons. Aspect, t. XLII , p. 262. Si- tuation. Maisons. Cathédrale, 263. Bizarres uolions de chronologie et de géographie des habitans, 264- Con- cert d'amateurs, 266. Soirée à l'Eu- ropéenne , 267. Répugnance pour le mouton, 273. Exemple des dé-

Îlorabl .>s résultats de l'esclavage , 74.

Sanforin (île de l'Archipel), t. XLVI, p. 95.

Sarana. Plante du Kamtschatka. Sa description , t. XI, p. 406. Son utilité , 40g.

Saiansang (ville du Kaarta , Séné- gambie ), t. XXV, p. 356.

Sara'oga (ville duNevr-York, Etats- Uniit). Renommée de ses eaux, t. XLI.

p 270.

Sardaigne (île, partie du roy;iuine ) Etendue. Divisions, t. XLVI , p. 255.

Monts. Sol. Rivières. Climat, 256.

Piipiil.ttion. Ses progrès. Cagliari,

257. Productions des trois règnes,

258. Mœurs des habitans, 2â9. Sardaigne ( royaume de ) Divisons.

Limite, t. XLVI, 265. Le Piémont, la Ligurie et leurs capitales , 266.

Sardalis (Vallée du pays des Tua- rirk», Sah.ira), t. XX VU, p. 46.

Sari (capitale dn Mazandéran,- Perse). Intérieur d'une maison, tom. XXXV , p. 341 Visites tkii prince. Costume. Vie,342, 350 etsuiv. An- cienneté. Rnes. Mosquées. Croyance sur le sycomore. Palais, 343. Collèges. Bains. Tour. Tradition fa- buleuse, 344. Populiition, 345.

Appartemens, 346 Ravages de

la peste, XXXVII, 321.

ISariischeff {île , océan Glacial arc- tique , Amérique russe). Découverte par Kotzebue , t. XVII, p. 75, 79. Iourtes (maisons), ustensiles, 77, XIX, 237. Figure. Habillement des naturels, 238. Ornement la- bial, 240.'

Sarrtigosse ( ville d'Espagne), tom. XLVI, p. 174.

Sartine .(îles, Polynésie). Recon- nues et nommées par La Pérouse, t. XII, p. 223.

Saladou ( ville du Bambour, Séné- gambie),t.XXV, p. 344.

Saundêrs ( tle , extrémité sud de l'Amérique). Découverte par Cook,

t.ix,p 114.

Saundêrs ( îles de Charles-, Polyné- sie). Découverte par Wallis , t. III, p. 379.

Sauvage (île, Polynésie). Décou- verte et décrite par Cook, t. VUI, 312 et suiv.

Savanes d'/tméiique , t. XXXVIII , p. 12. Comparées avec les diverses plaines dn monde, 371 et suiv.

Savannah (ville de la Géorgie, Etats-Unis ). Environs. Aspect pitto- resque, tom. XXXIX, p. 321. Arbres des rues , 322.

.Sacii ( île, Miilaisie). Ville et mai- sons, t. VI, p. 427. 451, 432. Des- cription del'îl'' VII, 1. Beauté du pays. Arbres, Végétaux, fruits, 3, 13.

Animaux, 4. Katnrels du pays, 6. Leur toilette, habillement, bi- joux, 7. Piquent leur nom su; leur bras, 10. Leurs maisons, 11. Leur nourriture, 12. Leur vin, sirop et sucre de palmier, 13. Leurs fourneaux économi- ques, 15. Ils mâchent du bétel et de l'arec, 16. Principautés de l'île. Nombre de leurs combattans , l7. Leurs armes , 19. État des lipfsonnes , 20. Mtmument qn'é-

DES MATIÈRES.

4ôJ

lèv« olm>{uo raj:ih, un prince, 21. .^ Fête et jeàoe à la mort du rajali , 22. 'Appareil* po'ir mnaipuler le «■oton, 23. Chaque JDAiilitire se fait HOU dieu, 24. Les Hollandais y remplacent les Portugais. Leur traité aveu leï rajahs , 23. Le pays ue mérite pas les éloges do Cook , XV, 86.

Sajconi, Détails historiques sur une de leurs colonies de la Transylvanie, t. XLIV, p. 107 à 110. Leurs pri- vilèges, caractère, 108. Costume, Maisons, 109.

Saxpan ( une des iles Mariannes ), Sa description, t. III, p. 39, 47 et suiv,

Scandiamie ( ancien nom dn la Nor- wége et du Danemark). Visitée par Pi- thcus sous A'exaudre-le-tiraud , 1. 1, p. 6. Les Scandinaves découvrent l'Irlande , l'islaude , les Ferovr , le Groëulaud. Out eu des relations avec l'Amérique quatre siècles avant sa dé- couverte par Colomb, 10.

Scarl ( ile, .Polynésie). Décou* verte par Wilson , t. XIII, p. 4'jl.

Sah , chercher à Ch les mots qu'où ue trouverait pas à Seh.

Scharlkoud ( ville du Khorassau, Perse). Son district, t. XXXV, p. 97. Prospérité, Fort, 155. Popula- tion. Température Prix des dearées, 15G.

Schara ( rivière de Mongolie, em- pire Chinois ). Poissons , t. XXXIII , p. 34. Rives. Temple , 36.

ScHEFFER. Son voyugc en Europe , t. XLVI,p.75.

Snheneutady (ville du New- York, Etats-Unis), t, XXXIX, p. 46. Aspect animé , 48. Domestiques , 50.

Sohir z ( ville du Fcirsistan, Perse ), Ravages du clioléra, t, XXXV, p. 24. Viu fameux, 25. Aspect, envi- rons stériles , 30, 38. Intolérance, 31 , Cupidité des fouctiouuaires, 35 et suiv,

Si!hismar«ff[ détroit, océau Glacial arctiqueV Vêtemens, Ornement lubial des naturels, t. XIX, 237, 239,240.

ScHuUTKit. Son voyage autour du monde avec Le Maire, Voy. ee nom.

Schouten ( ile de l'Australie ). Dé- jLiQuverte par Le Maire et Schouten , t. I,. p. 327.

Sehronlo 'ville du Bambour, Séaé- gambie),t. XXV, n.344.

Schumagin ou ChoumagaliUM (lies , Amérique russe). Découvertes par Behriug. Vêtement de boyaux de.t naturels, t. XI, p. 5, Construction des canots, XIII, 335.

Scliwan (ville du Sindhy, Hindous- tau) , t. XXXVII , p. 363. Situation. Population Ancienne grandeur, 364.

Tombeau fameux, 365. ,r— Antique château, 366.

Sch«>Mz (ville du Tyrol) , t XLV- p. 380.

Scilly (Iles de, Polynésie), Décou- vertes par Wallis, t, III , p. 380.

Ssorbut. Ses symptômes. Ses effets , t. Il, p, 125 et suiv. Préservatifs, 12G, 135: 111,38, 109; XllI, 136.

Plus dangereux sous les climats chauds, VII, 344.

Serrât (lie de l'Arphipel) , t. XLVI , p. 97.

Sea-Oittr ou dei Loutres (Ile, mer de Behring), t, XIX , p. 281.

Sel/zeiv')r(Yille du Khorassan, Perse). Sa haute antiquité , t. XXXV, p. 178. Auecdote sur Mohammed-Fah , 179. Population, Bazar, 180,

Sechang ( îles , golfe de Siam ), Presque désertes , t. XXXIV, p. 287.

Huttes. Misère des habitaus. Nour- riture, 288, Productions , 291 à 295. Belle plante. Ses énormes tu- bt^rcules, 292, 294 Mammifères, 295. Oiseaux. Roches, 296. Si- tuation avantageuse de ces îles, 301.

Se'galien ou Tchoha^ ou Oku-Jesso (ile, mer du Japon). Vêtement des Indiens, t. XII , p. 364. Magasin de poissons , 365. Raisons de croire que les naturels connaissent l'écri- ture, 367, 368. Leurs connais- sances, leurs arts, 372. Leur figure, 373, 379. Leur pauvreté, quelques usages particuliers , 374. Cabanes , 376. Remarques sur quelques mots de leur langue, 377. Niiturels et productions de la baie d'Estaing, 378.

Cirque , 380, L'île deviendra certainement presqu'île , 389, Ses différeus uouis , 402 note, Com- merce d'huile de baleine, XIII, 10, 194. N'était point connue des Russes quand La Pérouse la dé- couvrit, 13. •— Race des naturels ,

*-*

454

TABLE GÉNÉRALE

15. Laogne , muiique , 17. Mœuri 4>t couformation des oatiircls, 188, 193. Vétemena, 190. Cases, ineubies, 191. Animaux, métiero à tisser, 193. Aspect de l'Ile , 19]. Tableau comparatif de la taille des naturels arec celle des Mnntchous, 204. Voy. cap Crillon.

S'gg*'^*'* (oasis des Tibbons du Bilma-Snliara), t. XXVH, p. 444.

Stgo (capitale du fiambara , Son- dan). Formée de quatre villes. Forti- ficatinns. Maisons. Canots, t. XXV, p. 224. Chants, 227.

Sego - Corro (ville du Bambara ). Autrefois résidence du roi , t. XXY , p. 381.

Seikt (peuple de l'Hindoustan ). Usages divers, t. XXXVII , p. 8, 394. Leur ravages ,9,11.— Hor- reur du tabac, 12, 33. Couleur favorite. Costume et château d'un chef, 12, 32. Caractère. Figure , 33. Inimitié avec les Afghans, 56.

Formes. Costume , 395 , 423. Exercice commandé en français , 395.

Pratiques religieuses , 4w. In- tolérance, 407. Chasse au tigre, 425. Guérison des blessures , 426.

Femmes , 431. Leur cité sainte,

452. Cérémonies de leur culte ,

453. Voy. Cachemire, Moultan, Pta- jab , Funjeet-Sing, >

S*l (île de, île du cap Vert). Étangs salés. Animaux , t. XX , p. 109.

Seleeh-Lenha ( village du Tigré , Abyssinie). Belle campagne , t. XXIK, p. 242.

Selenghinskoï (ville de la Sibérie). Fondation Vie des habitans, t. XXXI, p. 281.

SEI.KIRK TAlezandre). Matelot écos- sais délaisse dans l'île de Juan-Fer- nandcz , recueilli quatre ans après par Roggers. Son aventure a servi de type au Robinson Crusoë , t. II , p. 8.

Chèvre qu'il avait marquée à l'oreille , retrouvée vivante trente- deux ans après , 139. Son bis- toire. Mauvaise foi de Foë à son égard, XX,60etsniv.

Seljrmnia (ville de la Turquie d'Eu- rope) , t. XLIV, p. 67.

Selioin (Ile de la Norwége). Intré-

pidité des femmes des pécheurs t. XLV, p. 136.

S*ma*aH (colline du pkys des Bot- tentots ). Description du Sibilo , t. XXVI , p. 888.

Stmùa (ville du Soulimana , Séné- garobie),t.XXVIlI,p. 78,108.

Stmendria (ville de la Servie , Tur- quie d'Europe) , t. XLIV, p. 165.

Stmiu'que (race). Peuples qu'elle comprend, t. XXXI, p. 19.

Semnoun (ville du Khorassan, Perse). Étendue de son district, t. XXXV,

E. 97. Aspect. Environ. Misérable azar, 133. Population. Antiquité, 134. Précautions contre les Tur- comans, 135.

Stndgal (fleuve d'Afrique). Décou- vert par les Portugais, origine du nom, 1. 1, p. 12, 23. Voyage sur ses eaux , XXII , 61 et sniv. Voywge à ses sources , XXVIII , 433 et suiv. Voy. PoJor.

S^négambi» (pays d'Afrique occi- dentale). Colonie anglaise Voy. SUrra- Leoiu, t. XXU, p. 40. llabitans, 45. Armes, 48. Conseils du roi. Habillement , 52. Ornemens. Ma- riages. Jidousie , â4. Funérailles. Amusemec!*., 56. Religion, 58. Baobab , arbre prodigieux , 62. Animaux , 64. Mœurs des nègres, 69, 71. Vêtement. Nourriture, 70. Assemblées ,71. Chants , 73. Purrah ou confédération guerrière , 75. Commerce, religion , caractère des Feloups, XXV, 24, 34. —Mar- chands d'esclaves, 27, 43. Établis- semcns européens et leur commerce , 42 et .suiv. Amulettes, 57, 62. Arbres , 62. Respect pour les an- cêtres, 65. Climat, 286. Bois , 288. Population , 288. Circon- cision, 291. Polygamie, 293. Source de l'esclavage , 309. Com- merce, 306. Chasse de l'éléphant, 307. Loi sur les dégâts des ânes , 367. Atroce tr.iîtement du roi pri- sonnier, 381. Pays de Kabou , ar- chipel des Bissagots, XXVIll ,441-— Sources de ses rivières , XXIX , 433. Voy, royaume de Bambara , Bambouck^ Bamhour , Barra , BonJou , Casson , Dentilla, Djimhala , Fouladou , Fou- tadjallon , Foula - Toro , Galam , KaartOf Kamkoitg, Kouranko, LuJa-

DES MATIÈRES.

465

mar, Mamiiitm, Ttitda, Tlmani, fFonlU , YaiU, Peuples : fonlahê , Jaloft , JUaarti, Straeoltts. Rivière* : Gambit, Krieko.

Stmtn (Ile de la Norwéf;e), t. XLV, p. 169. Hameau de Kiuven. Sol. Population de l'ile, 173.

•ÏMiaar (royaume de Nubie).yoyage dans l'intérieur, t. XXIII, p. 468 et snir. Jolie Tille de Beyia , 474. Meurtre habituel des collatéraux de la famille royale. Successibilité , 481 .

Couleur des enfuns, 482. Fi- gure des babiUus. Keligiun, 483. Le roi laboureur, 485. Climat. Pr» ductions , 486. Influence du Mil ,

487. Armée , 489. Aspect , étendue , mauufactures d'Halfuia , 491. Campagne, XXV, 445. Productions. Teint, formes et carac- tères des habita us, 446. Le roi cultivateur , 447. Toilette des femmes. Circoncision. Excision, 448.

Mariages, 449. Funérailles. Usage du tabac. Nourriture. Véte- mens. Amulette. Armes, 450. Voy. Nu- bas.

Semaar (capitale du Sennaar). Pa- lais du roi , t. XXill , p. 480. Mor- talité des animanx, 484. Popula- tion. Maisons. Climat, 485. Véte- inens, 487. Usages. Nourriture ,

488. InnotMilation. Commerce , 490. Site. Maisons, Campagne , XXV, 445.

5«/;/i«/-(/(ile8, archipel des Nouvelles- Hébrides ). Déitouvertes par Cook , i. Vni,p. 350.

Sequata:\eo. Voy. Cheqatam.

Serabcuze (ville du gouvernement de la Tauride, Russie d'Europe) , t. XLIV, p.403,404.

Séraoolett ou Sérau/oullis (habitans du Galam , Séaégambie). Teint. Com- merce , t. XXV, p. 83. Langue , 84.

Serampour (établissement dauois du Bengale),!. XXXVI, p. 32.

Seran (ville du Bischur, Hindous- tan). Situation, t. XXXV, p. 477. Animaux des montagnes. Cornes sa- crées. Pierres levées. Sculptures , 478.

Serdte - Kamen ( cap de l'Asie , nord-est). Nommé par Behring, t. XI, p. 80.

StrtHa (la , port du Chili). Habi-

tans. Climat , t. XLI , p. 406. Mines. Sol , 406.

S*rl« (Ile, archipel Dangereux). Na- turels. Leurs armes , t. XIX , p. 156.

StroHg* (ville du Malwba, Uia- dottstao). Étoffes renomméet, t. XXXI, p. 66

Strpulehe/ (ville du gouvernement de Moscou, Ra1^ie d'Europe). As- pect. Formes. Églises. Marché,t. XLIV, p. 361. Ptmulation. Rivière Images des saints , 362.

SttUdgt (rivière affluent de l'Indni, Chenab). Sable aurifère, t. XXXY,

i>. 458. Singulière espèce de pont , 172. Aspect do l'Himalaya et des plaines du Penjab, XXXVII, 4. Jolies maisons de» rives. Habitans , 5.

Fertilité , 6. Son état après sa jonction avec l'Hypbasis , ib. Son embouchure. Ses eaux, 391. —Son doab dans le Penjab , 458.

SivattopoU (ville du gouvernement de la Tauride , Russie d'Europe). Sa description, t. XLIV. p. 413 à 415.

Cavernes d'Inkerman , 413, Sf9ilh (ville d'Espagne), t. XLVI,

p. 178.

Styehtllêt (Iles , Afrique est). Dé- couvertes par des caboteurs français: île Mahé. Enormes tortues , t. XVIII , p. 427. Bœufs. Belles forêts. Regret des Français , 428.

Seyer (îles, mer du Bengale). Si- lence remarquable. Bois. Absence d'oiseaux , t. XXXIV, p. 6. ■— Struc- ture , 7. Productions. Chauve- souris, 9.

5«Wa«rf(îledelaNorwége), t. XLV, p. 201. Imposant aspect en hiver, 276.

Shahjthanpouv (ville du Rohilcund , Hindoustan). Environs ' XXXVI , p. 205. .— Édifices, 'bazc-i cpulens , 206.

Sharjr (rivière du Soudan). Belles rives. Animaux. Ile Joggabath, tom. XXVII, p. 241, 252.

Shaw. Son voyage dans les^ Etats barbaresques, t. XXII, p. 180-

Sher-Bell ( ville de l'Algérie,). Son ancienne magnificence, tom.' XXII, p. 184.

Shetland du sud ( nouveau, archipel de l'océan GlaciaVantarct.)., Quelques gisemens, t. XXI , p. 226. Sa dé-

4r>6

TABLE GÉNÉRALE

vuurertf. Sa deiiuri]>tion, 260. Plio- quet. C<inim«rce do fourrures, 262 et kuir. Ile Smirb, 271. Nommé Un» du mont Pi»gRli, par Fauning, 452. Terre de Pulmer, 454.

SAiaii (vallée duFezzan), I. XXVII, p. 42.

Shihof (jieuple d'Abyisinie), Carac- tère. CA>tuu>e, t. XXIII, i>. 198.

Shoa (province de 1 Abjrskiuie 1, t. XXtII,p.329.

Shotkot* (ville du Penjab, Hindous- tau). Ruines. Traditions. Souvenirs d'Alexandre, t. XXXVII, p. 419. Monnaies antiques, 420.

Sohi (ville du Kaarta, Sénégambir), t XXV, p. 359.

Shouat (peuple des environs du lac

Trbad , Soudan). TentCM. Mœurs.

Nourriture. Cani|>s, t. XXVII, p. 2!)4.

Shouas-Ûugganahs (tribu d^sSIiouait).

Physionomie , t. XXVIl, p. 290.

Shoiias-la-Sala ( tribu des allouas ). Défont lesbeikdu Bournou, t. XXVIl, p. 288 à 300.

Shoiymbab ( ville du Moultan, Hin- doustan), Fortifiratîons. Rues. Fou- dation, t. XXXVII, p. 399.

Showy (ville du Bournou, Soudan). Jeux des filles. Danse des bommes , t. XXVIl, p. 285. Girafes, 301.

Shuruks (ville de la Tnrconianie , Tatarie indépendiinte ), llabitans , t XXXVII, p. 259, 267. Environs. PIanteà8uif,266.—Toiiibciiu de saint, 2fi7, 271 —Forteresse. Juifs. Huttes de Turcoiuans, 268. Sol. Produc- tions, 209 Belle tente, :i72. Fes- tins, 275. Armes, 277.

5 AI» (royaume de l'Indo-Cliine ). Voyage du Laloiibèi-e : productions. Miue.'i. Agriculture honorée, t, XXXI, l>. 211. Maisons. Absence d'actes publics, 242. < ôte occidentale, XXXIV, 11. ~ Arbres, 12. Ani- maux, 12 Ambassade anglaiïic, 122. Voy. Fyn'a.son. Puissance du roi, 136.

Klt'phans blaocs, 160.Î 163, 281.

Singes blanc.-, 161, 281.— -Mono- pole du conimetcc au profit roi,

178, 213. Kinigraus de Chine, 178, 180. Orand coiiinierce de sucre,

179. Politiijiie .lu sujet du com- merce 176, 180 à 190. Traitement et obsè(|ues du corps du roi , 2''i9 à 253, 257. —Histoire , 262. —Moyen»

de défense, 265. —Revenus , 2C6. Daims et buffles blanc*. 281 Mar- souins, tigres, léopards, 282. Goii- vcrnement, 281. FIcuve.i. Monta- gne», 449 et suiv. Sol. Reuseignc- men» sur le Laos, 452. Langue, 453. Voy. Bankok, capitale; thani'. bond, Fukok, JUiinam, Paeknam, Pan- Jaiig, Sechang,

Siam ou Yuthia (ancienne capitale du royaume). Visitée par les Portu- gais dans le xvi* sièilc, t. 1, 107. Ravagée par le» Birmans. Le siég-j du gouvernement est transporté à Ban- kok, t. XXXIV, 221.

Siamois. Mœur;*. Caractère, t. XXXI, p. 241, 242. Coiffure, XXXIV, 115- -^ Soins ])our avoir les dents noires, 115. Figures/115. Cos- tumes, 116. 148. Conservent les corps pour les brûler, 118, 2Î9. Usages dans les visites, 138, 196. Respect pour les élépbans blancs , 163. Do leur goAt artistique com- paré à celui de Ceyian, 166. Céré- monie religieuse de l'enfance, 170, 199. Politique au sujet du com- merce, 180 à 190. Musiqne. Ins- trumens , 202 et suiv. Nourriture, mangent de la viande, mais ne tnenl aucun animal, 230. Sont de race roogole, 239. Traitement des morts, 246 à 253, 257. Astrologie. Su- perstitions, 254. Lois, 259. Sm- l'adultère, 260. Sur le vol. Les dettes, 261. Numération, 267. Calen- drier, 268. Fête de la lin de l'an- née. Divisions des années , 269. Religion, 270. Commandcniens de Bouddha ( siamois et français) , 272.

Arrogance des hautes classes, 284.

Bonté du peuple, 285. Infério- rité des femmes, 310.

Sibidoulou (ville du Manding, Sé- négambie 1 t. XXV, 275, 295.

Sibérie (j)artie de la lVu>«ie d'Asie). Voyage dans l'intérieur. Etendue, t. XXXr, 242. —, Fonderies, 243, 261 , 266. Mines (le enivre , 215. ■^Cousins insu])p(irlitbles, 260. .Step- pes , 262. Fameux. la<r s;ilé, :263. Superstitions, 207. Tonnk : eoni- inerce. Vieux cr(»yans, 272. Les Sinscliiwies, 27C. Les Bnrètes, 277.--Le»«ralskis, 278. Péages. Lnc Baikal honoré des naturels, 279.

UËS MATIÈRES.

457

Puudation Seleagbinkkoï. Vie do set liubîtans, 281' Frontière de lu Cbine, 280. 293 et «uir. Cmn- |iagae. Pun de différence af«e les en- Tirons de SaiatPétersbuurg, 292< Barnauul, 293, Mont Altaï , 291.

Vojr. IiHiuik , trkoulik , Kuinttx , Oïliaks, SamnjriJn, Tatarti^ Toboltk, Tungt usti.

Sibikiltin (ville du Tenda, Séné- gambie), t. XXV. p. 339.

Sibilo. Description et usage de ce minéral, t. XXV(, p. 589.

Sibnitbatki (ville du Rengule , Hin- doustan ). Riiiups. Enfans de brali- mines, t. XXXVI, p. 48, 51. Pa- gode», 49 ot suiv, Rajab, 52.

Sibourkalch (ville do la Hongrie, empire d'Autrirbe), t. XLIV, p. 123.

S ht (ville d'Arabie), tom. XXlIf.

p. 144. ;

.S'iV<7«(ile du royaume deNaples) Voyage dans l'intérieur , tom. XLVI, p. 195 et siiiv.

Sidon (ville de Syrie,Turq. d'Asie). SitniKion, t. XXXII, p. 443. Cbâ- teuu. Climat. M&riers, 444- Voy. Mnr-El as.

Sierra- liront (colonie anglaise de .Scnégiunbiej. Tatouages, dents limées des naturels. Produc^tions, t. XXII, p. 40. (]limat. Alligators , 43. Mœurs, usages, assemblées publiques, 44. Visite à l'étiiblisscmeut des nè- gres délivrés. Progrès de la colonie , 375. Freetown, capitale, 376.

Sikchf {lie du Japon), t. XII, p 333, XXXI, 114.

Sikie (ville du Deibi, Uindoustau). Son nawab, t. XXXVI, p. 288.

Simliat ( île , arrliipel Snlom^n ). Momuiée Arsacide p.ir Survillu. Su description. Ses iiabitans, tuin. III, p. 434.

Simfia (ville du Kouranko, Séné- gambip). Ménestrel. Assemblée pU- J.lique, t. XXVni, p. 52. Maisons, Us.ige dcsagré.<ble, 54. Duusc.s, 55.

Simoun ou Kamun (veut pestilentiel). Ses effets. Piiys il peut régner. Son origine, t. XXII, p. 254,— ' Ses effets, Kemèdes, XXXVII, 78.

Simpson (ile de, Australie). Décou- verte par Larteret, I. III, p. 137.

Sinff (ville de la Chine', t. XXXIII,

p. 178.

SlMt (mont de l'Hedjai , Arable ), t. XXlIt, p 1S3; XXXII, 375.

Sineapor* (Ile, détruit de Malaca }, Progrès de la colonie anglaise , tom. XVIII, II. 399. Population. Den- rées. Ville. Climat, 400. -^ L'Ile don- née en présent de noces, puis vendue à la compagnie des ludes orientales, 438. Description de l'Ile et de U ville. Denrées. Productions, t. XX, 409 et SUIT. Situation sans pareille, XXXiy , 47, 60. Sérénité de l'at. mospbère, 48. Salubrité du climat, 50. Ses effets sur les animaux et les végétaux, 51 à 53. Plantes ram- pantes, 52. Animaux curieux, 54 et suiv. —Végétaux, 57, 58. Plante» marines, 57. Fabrication du cate* cbu, 58. Rare mulaie, 60. Man- groves, 62. Leur utilité, 64. Maisons , nourriture , caractère , co- lons chinois , 66i 76. Leurs jon- 3ues , 73 i 76. Caractère , maurs es Malais, 76 à 80. Description de l'établissement anglais, 81, Su- perficie de l'Ile, XLIII, xlix Si- tuation de la ville. Animaux. Tempé- rature agréable do l'Ile , I. Fou<la- tion et rapides progrès du commerce de la colonie, li, liij. Dispropor- tion des sexes, li, lij.

Sind. Voy. Indus. _

SindUx ou Sinde (Ktat de l'Hindous- tan). Ses eûtes, et les embourhiire.s de rindus, t. XXXVII, p. 342 jt suiv, Souvenirs d'Alexandre, 343 , 377, 378. Lieu de pèlerinage , 352. Barques , 355 , 378. Lieux divers , 355 , 366. Stérilité entre- tenue p:ir les émirs, 356. Canot de l'émir, 363. Caractère , religion desbabitans, 307. Tribu des Ue- louebfs, 369, 373. Portrait des chefs du pays, 373- Leur impo- pularité, 374. Nourriture des Iia- bitans, 381. Malpropreté, 382. Cliauuiières eu roseaux, 584. V. Alore^ Hydrabod ^ capitale; A'/!;T^oijr, Schu/an^ falah.

Singes blancs. A Siain , t. XXXIV, p. 161,281. Se trouvent aus.-.i à l'Jle de Célèbes , XLIII , Ixxiij.

Siout (ville de In Haute-Egypte). Ruines, t. XXIII, p. 85-

Siphante (île derArchipel), t. XLVI, p. 94.

m I

468

TABLE GÉNÉRALE

A'r/ (fklU «t province de l'Abyt- ■inie). Situaliim. Miitoni. Maladiet , t. XXIti, i>. 214. Étendue de la *Ule.825.

Sirii. Voy. TaeaMié.

Sitirait ( port l'Ile Lncoo) , t. XIII, p. 206 i 212.

Siticm (ville de U Bulgarie , Tur- quie d'Europe) , t. XLIV. 228.

Silka ou lioitttl'Arehangtl (Ile de l'Aniérique leptentrionale oueit ). Principal établiMement de la Corn* pagnie rusie américaine , t. XVII , p. 401. Climat, 403 , 404. -. Dottux arbrei. Richetie du Sol. l'oi»> «ont, 405. Quadrupèdes. Cbatte de la loutre, 406. Horrible laideur de» naturels , 400. Vêtement. Ta- touage, 410« 410. Ornemens in- rnittét, 412. Saleté de» butte», 413.— Dégoûtante nourriture, 414. •.— Guerres continuelles. Demeure» temporaires, 415. Occupations des femmes et des hommes. Veugeance. Férocité, Noces. Funérailles, 416. Religion , 418. Amour du jeu , 421.

Siuan-Hou<^fou (ville de la Cbine). Fortification». Rues. Étendue. Produc- tions. Animaux du district, t XXXIII, p. 172.

Sk*ll*ftia (ville du Nordland sué- dois), ». XLV, II. 530.

Skiddy (récit de , lies Carolines). Découvert par Morrell , t. XX , p. 228.

Sktddx ( groupe , Iles Carolines). Découvert par Morrell. Son nom in- digène est Mamoulouk , t. XX , p. 230.

Sririter. Ses excursions dans l'Hiu- doustan et les monts Himalaya , t. XXXVI, p. 440.

Skager-Rale, Détroit entre le Jnt- land et la Norwége , t. XLVI , p. 8.

Slaichiwiei, Peuple de la Sibérie , t. XXXI, p. 276

Snall-Key (île de la Malaisie). Dé- couverte par Wallis, t. III, p. 396.

Smarang. Jolie ville de l'tle Java. S:i description, t. XIII , p. 433.

Smith (ile du Noaveau-Slietland, iiustral ). Nommée par Weddell , t. XXI, p. 271.

Smolensk (ville et gouvernement de ia Russie d'Europe), Description des

fortifications de la ville. Intérieur de la ville. Catbédrale, t. XI.VI, p. I4|.

Faubourg de Wolkousky. Poiiuln- «on ,142.

Smym» (capitalede l'Anatolie, Turu. d'Asie), t. XLIV. t. 285. VUUgo voisin de Dourlacb , 288.

Snam ( Iles , Nouvelle-Zélande , sud). Découvertes par Vancouver, t. XIV, p 57. Nommées ile» Knlglit par Broughion , 67, 88.

Snêthaliam (mont gigantesque du Dovrefield , Norwége) , t. XLV, p. 75, oO.

SMt»ttrg*n (mont de la colonie du Cap), t. XXIX, p. 7, 11. Auimaui, 13.

Sotlitd (archipel de la , Polynésie). Découvert par Cook , t. V, p. 325 ,

355 et suiv. ^ Pirogue remarquable,

329. <— Coffre semblable à Varcbc d'alliance, et appelu Maiton d* Dita ,

330, 336. Politesse envers le« étrHugers, 345. -~ Danses siugulières, 546 , o53. Description de ces Iles ,

356 et suiv. Héavas ou représen- tations dramatiques, VIII, 5* 7, 15. 20.— Chair des porcs de cet archipel. Causes de leur rareté , 28. Sacri- fices humains , 29. Dégoûtante pré|>aration de la liqueur ava ou kava, 31. Quelques erreurs corrigées touchant les femmes, 32. —Compa- raison de cet archipel à celui des Amis, 75. Arrdojri, sociétés se- crètes, leur immoralité, 263, 272, 274 et suiv. Religion : les habitans croient à un Dieu suprême, à des di- vinités inférieures , à l'immortalité de l'âme, 295. Nom qu'ils donnent aux pensées, 296 note. Prêtres , 298. Cimetières de famille, 301.

Bonnes qualités des habitans , 303.

Romt» , tratlrmcnt contre les dou- leurs de nerfs , X, 155. —' Usage du bi'tiauicr dans diverses cérémonies , ICI. Respect pour les dieux , 237.

Productions particulières des Iles. Religion , 252. Singulier usage de l'ile Mataecra. Mariages , 253. In- sulaires ne font point des voyages de long cours , 255. Mœurs et langue semblables à celles des habitans des îles Sandwich et des Ami», 351. Comment la même nation s'est ré- pandue sur toute la mer Pacifique,

DES MATlfeRES.

4&0

33S.— Mittioanairfltanglleant, XVII , '266. Etablittement de la raligloa anglicaae.WI et inkr. Voy. Iles Bo- Ifi/folM , Èimm , GalUi , Hu»k«iiu , Otaha, Ontmbrutk , TéUi,Th*Ur90 , UlM*a.

Sc«kiu (ville du Fexian], Bnnnei dattes. Population. Pemmea aimable», t. XXVII , p. 5. Hubilleineot de* fommei, 6. Nooei , 15 et «uiv.

Soeoiorn (Ile , à l'entrée de la mer Hooge). Cuniia t'en empare. Cl)ri(- tianitme jaoobite établi. Cirronciaion. Conrage det femmtt, t. XXII , p. 14. 15.

Sotha (capitale det Druies orien- taux, Syriej , t. XXXII , p. 429.

Sottdad (lie, une dei Malouinet). Sol, Abondance de gibier, t. XVIIl, p. 117 et «uiT.

Solitairt (lu , ilo Polynétie). Décoo- Terte pur Mindunn , t. I , p. 205.

Somini (riMo du Bambara) , t. XXV, p. 263.

Sondag (rivière du cap de Bonne- Espérance; , t. XXIV, p. 114 , 222.

SoHdtrJitldi ('partie de l.i Nr.. «rége^. Voyage dans le pays , t. XLV, p. 40 Il 82. Forteresse de Kongsvinger, 42, 44. La fête de la Saint-Jean , 42. Le Glomcn, 42 . 45, 47. Cbevaux. Moutons et chèvres qui se croisent , dit-ou , 48. Mines , 54. Forêts. Le mont Mastberget , 55. Belles vallées, 56. Aspect des chaumières , 58 , 61 Le Miœson et antres lacs, 58. Villages , 61, 65 < 66. 68. Population et culture de l'Hederman et du Guldsbransdal, 61. Storhnmmer, 62. Le mont Syn> fricld , 62. Agilité des auimiiux domestiques, 63, 64. Torrens , 65. Chutes de la Moxa, 67. Une ferme et ses curieux habitans , 69 et suiv. La chaîne du Dovre- field, 72. Voy. ce nom. Tofte, 73. - Merles noirs. Pluviers , 76. Elans , rennes , 76. Jerkin , 78. Fiell-farei, 82.

SoirKERAT. Son voyage aux Indes orientales , t. XXXI , p. 337.

Son/orol^ Sansei-ol ou Saint-André{\\ci (lu groupe Pelcvr). Découvertes par P.idilla, t. II, p. 28. Croix plantée parles missionnaires, 51.

Soobrodouka (ville du Bondou , Sé-

négamble), PAcbe et préparation du poisson , t. XXV. p. 70. Blé , 71.

Saphlm (capitale de la Bulgarie , Turquie d'Europe). Bains < ' auds des femmes , t. XLVI , p. 85.

Sotvt (Ile J.1 Pinmarck . Norwége), -— Aspect vi^'aul de la baie d'Hasvig , t. XLV , p. 196. MonUgnes , Sfl. Etendue. Habitans, 252. Aspect en hiver, 270.

Soubo-Sumùounim (ville du Konran- ko , Sénégambie ), Belle situation , t. XXVIII, p. 51.

S0U'Ck»ii.Fo» (ville de la Chine). Rnes divisées par det cananx. Bean surnom , t. XXXIII , p. 479. Belles femmet , 480.

Soudan ou Nigritit (centre de l'A- frique ). Ses négresses, t. XXVII , p, 0.— Sources de set riviirei, XXIX, p. 433.

Soudan on NigrltU Voy. lei Etett suivant : Bamhara , fitgharmi , Pour- gou , Bountou, Boulin, Cuttup, Dat' four, Haouiia, Kantm, Kaito , Kiama, Loggun , Mandata , Niff4 ^ Ttmhouetou, Ztg-Ztg. Les tribus de Biddomahi , 3lungowitni,\Shouai, Tibbout. Les fleu- ves de Niger, Shart, et le lac Tehad,

Soufre (Ile de, Polynésie). Décou- verte par Gore. Aspect, sol, t. XI , p. 463; XXI, 58.

SoiiUmana (province dépendant du Manding, Sénégambie). Vnvage dans l'intérieur, t. XXVIII, p. 74. Ko- mia, danses, jeux, 76. Semba , 78, 108. Horbe très haute , 79 Montagnes pittoresques , 81 . Chants de guerre, 84 et suiv. 91. Serpent apprivoKié, 92- Danses, 105. Sangouga. Demeure d'un chef, 97. Travaux domestiques. Punition des crimes. Privilèges des femmes Funé- railles. Saints , 106. Instruinens de musique, 108. Voy./'ataia, capitale; Konkodongore.

Soulhampton (île, mer d'Hudson) , cap , ff^elifotd , Dent, Thomson, tom. XL , p. 384. Oiseaux , 385 Cap Bylot, 386' Animaux de mer. Traces d'habitans , 387. Produc- tions , 387, 388. Oiseaux , 388. Baie du Duc-d'York , 389. Rocher Fife. 398.

Spiirte (ville de la Grèce"^ , t. XLV, p. 208.

TABLE GÉNÉRALE

4({0

SpeHtla (royaume de Tuais). Ruines antiques, t. XXII, p 193.

Speixia (ville de la Grèce), t. XLVI,

p. 213.

Spilberg. Sod Toyage autour du monde , 1. 1, p. 274. Bat la flotte espagnole , 277.

Spiridoff (Ile, Polynésie). Décou- verte par Kotzebue, t. XVII, p 45-

Spitzberg. Sai&ons et leurs pUéiio- mènes, t. XL, p. ij et sniv.

Stabmek (capitale de la Guiane an- glaise). Prospérité. Rues. Ponts. Mai- sons , t. XLI , p. 229. Boutiques , hàteU , plantations , 230. Les vam- pires , 237. Hangar des Indiens , 250.

Stahoual on- Satalutual (lie , Polyné- sie), t. XVIII, p. 181.

Stanhufe ( lady ). Visitée par Buckiiijjbam, en Syrie, t. XXXH', p. 443. Achète le couvent de Mir- Ëlias. Sa sociéîé. Sa vie. Sa figure , 444. Opinions du peuple sur son compte , 446.

Staiobelsk (ville du Voronedje , Russie d'Kurope ). Environs. Rues. Maisons. Églises , t. XLIV, p. 4ô7.

Stavropole (ville du Caucase, Russie d'Europe) , t. XLIV, p. 44J.

Stegen ( île de la Norwége). Ses Ciiverues, t. XLV, p. 164.

Siellemùosch (bourg de la colonie du cwp de Bonne-Espérance), t. XXIV, p. 46. Bel aspect. Rues. Maisons* , XXVI, 79.

Siephens (îles de l'Australie). Dé- couvertes pur ( arteret , t. III , p. 164.

Sef/ip's (plaines ). Lçur descrip- tion, t. XXXI, p. 262. Nourriture des lia Intans de celles de la Mon- golie, XXXllI, 48. Steppes de l'Oréuoque. Leur coiiiparaisoii aux Savanes, déserts, etc., XXXVIII, 371 et suiv. Steppes de Russie et du Kouban, XLIV, 386

Sterzing (ville du Tyrol) , t. XLV,

p. 386,

Steu/art (île, Nouvelle-Zélande), t. XX , p. 173.

Stoekbridge (ville du Mas..iaclinssetts, États-Unis). Esprit d'iudépeiulancc , t. XXXIX, p. 133. Concours des comices agricoles. Fêtes, 134. Usage immodéré des liqueurs fortes, 138.

S>o-!;holM (capitale de la Suède),

Pourquoi cette ville parait triste, t. XLV, p. 16. -;- Situation. Asjject , 17. Curiosités qu'elle renferme. Grandes revues, 18. Usage de la langue française, 19. Indolence générale, 19, 20. Situation de la ville. Beau points de vue. Le port Maisons. Le palais, XLVI, 152. Aspect imposant, 291.

Storch. Ses voyages , t. XLVI , p. 155.

StorJal (rivière du Nordeufields , Norvège J, t. XLV, p. 102.

Stor-Hammer (ville du Sonderfields, Norwége^. Son ancienne opulence , t. XLV, p. 62.

Slot (île de la Norwége). Poissons noirs. Sol. Oiseaux, t. XLV, p. 139.

Le mont Kunnen , 140, l4l. Sioubal (île , groupe d'A-Ur). Dé- couverte par Kotzebue, t. XVII, p.201.

Femmes prennent part à la guerre,

203.

Stuart (île , mer de Behring). Dé- couverte par Cook , t. XI , p. 99.

Stitrt. Son voyage dans l'intérieur de l'Australie méridionale , t. XLIII , p. 168. But du voyage, 178. Explore le cours de la rivière Mar- quarie, 179 à 226. Entrevues avec les naturels, 187, 191, 193 et suiv. 212, 228, 249, 256, 270, 356. Nommeleplateau d'Oxley et le groupe d'Urban , 217. Nom donné au mont New-Ycar, 220. Nomme les mon- tagnes Violettes , 236. La rivière Darling , 255 Résultat du l*"" voyage . 276 , 279. 2* expédition sur les rivières Morunibidje et Murray, 279. Entrevues avec les naturels , 290, 295, 297, 303, 309. Découvre et nonim«r la rivière Murray, 342 à 322. -- Démonstrations hostiles des naturels, 313 à 320, 335, 346, 351. Découvre l'embouchure du Darling , 321, 324, 363. Nomme le Rufns , 327. Collision avec des naturels , 351 , 3-57 et sniv. Découvre et nomme le lac Alexandrina , 334 , .'^66.

Collision avec les n.iturels , 354 , 357 et suiv.

Styrie (province de l'empire d'Au- trirl.e) , t. XLVI , p. 229.

Sunkem (port de la Nuhic). Impor- tance de son ancien commerce , t. XXIII, p. 164 et suiv.

k

DES MATIERES.

401

XLvr,

SiiiJ* (royanme de). Voyage dans l'iatérieur, t. XLV, p. 1. Attraits pour le Toyagenr, 2. Manière de voyager, 6- Forêt» de pins, 7. Lacs, 9, 15, 37.— Animaux san- viiges ,11, 39. Origi ne de ses lacs , 12. Forêts, 14, 23, 32, 55. Armée, 19. Usage de la langue française, 19. Auberges , 25 , 26.

Hontes , 28. Soirées et nnits de Suède, 29, 30. Mines, 31. Pourquoi on voit si pcn de gibier en ce pays il y en a tant , 39. La fête delà Saint-Jean, 42. Monnaie, 46. Rapidité de la végétation , 56-

Extrêmes chaleurs, 57- Langue comparée à celle de Norvrége et de Dîinemark , 98. Titre de/rue^ 286. Lacs , XLVI , 14 Voyage dans le pays, 151. Voyage de Dnumont. Helsingborg , t. XI.VI, p. 288. —Bar- rières des routes. Monnaie nationale. Joenkoeping. Lac Wetter. Petitesse des lits Suédois. Linkoeping , 289. Bêlais de poste. Célérité du voyage. Aspect grandiose de la contrée , 290.

Norkoeping. Villes de Suède man- quent de monumens durables. Mai- sons, Traits de mœurs , 291 et suiv.

Pains faits en partie avec de la fa- rine d'écorce d'arbre , 293. Rigi- dité de la police et de la douane , 294. Voy. DaUorlie , Gothie , Nord- land, Norvège, Scandinavie , Slochholm,

Suède (partie du royannie de Suède). Voyage dans le pays, t. XLV, p. 13 à 40. Orebro, 13. Lugubre forêt de Kaaginr, 14. .irboga. Cathé- drale de Westeras Lac Mœlar, 15. Villages, 16, 37, 39, Stockholm, 16. Voiture, 21. Insectes em- pestant les forêts. Enormes fourmi- lières .23, Forêts consumées par le feu , 24. Bonté des paysans. Es- tkisltuna , 25. Smaby, 27. Carl- stadt, 31. Lac Vermelen , 37. Ravages des ours, 39. Hudikswall. Gefle,.533. Chutes d'Elf-Karleby. Restes de Linnée, 331. Lac Malar 335.

Stiè'dois. Usage de la langue fran- çaise, t. XLV, p. 19. Aptitude pour apprendre tontes les langues , 20. Affection pour leurs chevaux , 27. Chaumières des paysans , 33.

ITsages qu'ils tirent du bouleau ,

34. Lenr costume. Leur caractère. Leur nourriture, 35. Différence entre le Suédois et le Norvégien. Ressemblance des montagnards de tous pays, 41. Repas, 152, Ca- ractère des danses , 335 Suédois ont chacun leur voiture , XLVI , 290.

Leur caractère. Grâce et attraits des femnes , 293, Suivent les modes parisiennes, 296-

*«« (ville d'Ég.j, t. XXII, p.274.— list dénuée de provisions, 279. Ses quelques habitans. Son mauvais port, 280.

Suez (isthme de). Dn projet de le couper, t. XXII , p. 274.

Sii/fren (baie de, Mantchourie). Nom- mée par La Pérouse, t. XII ,p, 357.

Sumrtrn (île de la Sonde). Mon- tagdcs , t. XLIII , p. V j , xxxiv. Volcans, vij. Rivières, viij , xxxiv.

Lac, Mines , viij, Productions , viij et suiv, xxxiv. Animaux , ix , XXXV, xliv. Races diverses, xij, xiv.

Religion, xxij. Gouvernement, xxviij. Commerce. Industrie, xxix.

Anthropophagie ,_ xxx. Trois sortes de mariages. État des femmes , xxj. Étendue de l'île, xxxiij. Température. Plaines, Volcans, xxxiv.

Rochers de corail , xxxv.

Difû-

culté d'abordage, xxxvj. Pêches. Caractère, Religion. Mœurs. Polyga- mie. Mariago forcé des veuves, xxxvij,

Noms et scrupules à cet égard. Fu- nérailles, xxxviij. Défiguration des nouveau - nés , xxxix. Figure, teint, xxxix , xl. Dépilation, xxxix.

Soin des ongles , xl, Goitres, Soin des dents , xli. Alimens. Opinm , xlii, Arbres remarquables. Forêts, xliij. Combats de chant. Instrumens de musique , xlv, xlvij. Présens, fêles offerts aux étrangers par les jeunes filles, xlv. Iles voi- sine.s, xlriij. Voy. Buttas.

S m far (île, Malaisie). Découverte par Wallis , t. III , p. 396.

Sund (détroit entre la Suéde et la Norwége) , t. XLVI , p. 288.

S'indswall f ville du Nordland , Sué- dois), t. XLV, p. 332,

Surate (ville du Guzerate, Hindous- tan). Ses bayadères, t XXXI, p. 347.

Aspect, Signification de son nom. MaisDi. i. Fortifications. ChAteau ,

462

TABLE GÉNÉRALE

XXXVI, 598. Factorerie» fran- çaisea et hollandaises. Commerce. Uabitans, 399. Bateaax. Établisse- meiH divers, 400.

Surdah (ville du Bengale , Hiodoas- tan). Manufacture de soie, t. XXXVI, p. 91.

Surf, Mouvement particulier de la mer, t. XLIII, p.'xxxvj.

Swromunugeur ( ville de l'Aoudh , Hindou stan ). Vieille forteresse , t. XXXVI , p. 205.

SnaviLLE. Son voyage autour du monde, t. III, p. 420. Découvre l'Ile de la Première-Vue, 429. —Re- trouve les lies Salomon , qu'il nomme terre des Arsacides, 430. Dé- couvre l'île des Contrariétés, les Iles des Trois-Sœurs, 435. Les Iles de la Délivrance, 451.— Nomme la baie Lauriston , "452. Périt dans les flots à Chilca , 456.

Sutlejr, Sacrifices des veuves hin- doues. Détails et observations sur cette cérémonie , t. XXXVI , p. 54 , 134. Signe indicatif du lien témoin du sacrifice , 289.

Suiraro// (groupe , Polynésie). Dé- couvert par Kotzcbue, tom. XVII , p. 62.

SwiHBURirE. Ses voyages, t. XL VI , p. 161.

Swini-oK. Ses voyages , t. XLVI , p. 155.

Svinvar (Ile de la Norwége). Glaces éternelles. Fin de la végétation , t. XLV, p. 137. Différentes es- pèces d'ours, 138.

Sttarteberg (mont de la Hollande hottentote). Maison de bain d'eau thermale, t. XXVI , p 48. Hôpital des lépreux, 51.

Sirart-LanJ (canton du cap de Bonne-Espérance) , t. XXIV, p. 274.

Sybarit (ville du royaume de Na- ple8),t.XLVI,p. 197.

Sydney (ile, Polynésie). Gisement. Sol,t. XVIII.p 391.

Sydney ( port de la Nouvelle- Galles méridionale , Nouvelle Hol- lande ). Nommé Port - Jakson par Cook , t. VI , j). 232. - Phillip fonde la ville, XVIIl , 220. Sa prospé- rité, 412. Cataracte voisine , 414. Monument à la mémoire de La Pérouse, 415. Lac, Animaux cu-

rieux. Montagne brûlante , 454. Description de la ville. Progrès de \s\ colonie, XXI, 435 et suivautcs.

Environs de la ville, t. XLIII, p. 6

Baie, 7. Édificesv, 7, 12. —Quar- tier» divers, 7. Promenades, 8, 19. Le roi Boungarre , 9, 89. Description de la ville : habitatious. Chiens de garde, 10 Aspect des rues. Chaîne des condamnés, 11. Voy. Convicts de la NouoeHe-Gallet m/- ridianalt. Étendue de la ville, 12. ^^ Eublissemens publics, 13, 15, 121.

Toilette des femmes, 14. —Mo- des. Marché , 15. Colons de toutes le» nations, 16. Sécurité de la ville, 17. Voitures, 20. État dé- gradé des tribus indigènes du dis- trict, 83 à 86. Nuances de la so- ciété , 104, 117. Améliorations , 111. Honnêteté des marchands, 114. —Manufactures, 117. Eti-

Îuette ,119. Intérieur des maison», 21. Journaux. Cabinets littéraires, 121. Courses de chevaux, 122. Abus, 122 et suiv. Gouvernement de la colonie, 164. Compagnie australienne, 166. Etat prospère de la colonie, 170.

Syenne (ville d'Egypte), Son fameux puits. Emplacement de l'ancieoue ville, t. XXII, p. 445. Ruines , 446.

Port, 447. Nilomètre, XXIII, 92 , 95. Histoire de la ville , 93 Denrées, 93. - Travaux des géo- mètres grecs, 96. Maladies des yeux , 100.

Sylivria (ville de Roumclic , Tur- quie d'Europe). Aspect pittoresque, t. XLIV , p. 260.

Sympa^ropol» (chef-lieu de la Cri- mée et du gouvernement de la Tau- ride , Russie d'Europe). Description , t. XLIV, p. 405, 406. Café tartare, 407.

Synjield ( mont du Sonderfields , Norwége) , t. XLV, p. 62.

Syouah (oasis de, désert de Lybie). Etendue. Sol, t. XXV,.p. 423. Sel, 424 , 439. Vêtement, Caractère des Iiabitans, 424.' Sol. Productions, 439,440. Population, Religion.Gou- vernemcnt , 441 . Caractère, Com- bats , 442. Commerce, 414.

Syouah (chef-lieu du Syoïiah). Mai- sons serrées , t. XXV, p. 423.

#

11.

DES MATIÈRES.

463

Syroeuf! 'v;Ue de SicUe) , t. XLVI , p. 195.

SjrrU f ince de la Turquie d'A- sie). Voy.' 0 dans l'intérieur, t. XXIII, p. 42 et su:v. Uassia. L'Adonis. Laodicce, 44. Antioche, 45, Lefi. Oronte , 46. Tyr, 49. Sa caravane de la Mecque, XXXII , 187, 189. Autre voyage dans le pays et parmi les tribus arabes de l'ouest , 385 et suiv . Tombeau de Jusué , 389, 400. Ruines d'Amman , 415, 417. Bosra, 427, Soïba, capi-

Xi

taie des Druses orientaux, 429. El-Gerieh, 428. Sidon, 443, 444. Mar-Elias, résidence de lady Stan- liope, 444. Beyrout. Mosquées. Costume, 448, 450. Parure de noces , 449, Hems, Mainons. Mos- quées, Combats simulés, 455. Voyez Atep , Atsalt , Bnlbek , Da- mât , Jourdain , Liban , Palntyrê , Tri- poli,

Siveine (ville du Darfour, Soudan). Son commerce et celui desprincipales viUes du Darfour, t. XXV, p. 39^.

f

-^-

Tabasco ( province du Mexique ). Combat des Indiens contre Cortez, t, XXXVIII, p. 273, 277.

Tabasco ( c!«pitale de la province ), Prise par Cortez, t, XXXVIIF, p. 276.

Tabitinga ( ville du Brésil ). Aspect. Danse indienne, t. XLII,p. 47. •— Fort, 49. Combat d'un Indien contre un tigre, 50,

T'aA/e (montagne de la colonie du oitp de Bonne-Espérance), Sa descrip- tion, t, XX, p. 120 ; XXIV, 37.— Son aspect, 261 , Phénomène qui y appa- raît , 262. Voyage à sou sommet , XXVI, 30 et suiv. Singes, 35.

7a£/«(baie de la, colonie du cap de Bonne - Espérance ) , t. XXVI , pag. 35,

Tdioii, Explication de ce mot,tom. XI, p. 151, 299; XII, 126; XVI, 192; XVIII, 277. Ses effets, XI, 151; XIII, 288, 319: XVI, 192; XVIII, 96, 277, 292, Curieux détails sur cette institution. Sou objet, ses effets, ses modifications, etc., XLIII, xziij à xxvij,,

Tabra (ville du ^iffé, Soudan ), Pont, Audience de Im reine, tom. XXVI II, p. 190.

Tacazté [Aenve d'Abyssinie). L'an- cien Siris. Origine du nom. Beauté des bord», t. XXIII, p. 249 252. Crocodiles Hippopotames, 253.

Tairart ( monts du pays des Tua- ricks , Sahnra. Aspect pittoresque , t, XXVII, p. 48.

Taffara ( ville du Bambara ) , tom. XXV, p. 262.

T'o/I/fff ( province du Maroc), Im- pôts. Agrémens. Industrie , t, XXIX , p. 425,

Taief ( ville de'l'Hedjaz , Arabie ), t. XXXII, p. g. Château, 59, 65, Situation. Etendue, Maisons. Ravages des Wahabites , 64. Puits. Beaux jardins. Fruits. HabitaDs,66.

^^^«(île de l'archipel delà so- ciété ). Retrouvée par Wallis , t. III . p. 307. Avait été découverte par Quiros, VII,353; XVII, 275.— Sa description , III, 309 et suiv, La reina se rend à bord, 340. Elle re- çoit à son tour Wallis et ses officiers. Description de sa maison , 342. Voyage de Bougainville. L'ile se nomme Taïti et non Otatti, IV, 197.

Beauté des cûte^, 208. Bougain- ville y sème plusieurs graines étran- gères, 222. Montagnes, produc- tions, perles, quadrupèdes, climat, 233 et suiv. Cliangomens dus aux Anglais , notes 238, 242, 244, 246, 253. Fabrication des étoffes, 249.

Voyage de Cook V, 95. ^ Arbre énorme, 151. Hérédité de pou- voir, 195, 319, Vestige de feux souterrains, 21. Côtes, sol, fruits, animaux , 235 et suiv. Maisons particulières , communes, 250. Ob- servation sur Taïti pour les naviga- teurs, 322. Second voyage de Cook, L'ile ne se nomme pas Otaiti,

t

464

T\BLE GÉNÉRALE

VIT, 359 CénotapLe pTramida), S66. Traces de Tolcaos, 403. Le Baringtonia, 428. Observations mo- rales et politiques sur l'état de l'ilo, 439. Chair des porcs, causes de leur rareté , VIII , 27, 28. voyage de Cook, X,97. Il y dépose des volailles et y sème des graines ,114.

Détail sur les voyages qu'ont fait les Espagnols à Taïti, 168. Vents dominans dans les parages, 215. Beauté du pays, 215. —'Culture peu fioignée, pourquoi? 216. Lac au- souimet de la montagne, 217. Premier établissement des mission- naires anglais , XIII, 438 Forme et climat de l'Ile, XVII, 277. Dra- peau national, 280. Etablissement de l'anglicanisme, 291 et suiv. Po- pulation, 297. Productions, XIX,

229. Productions. Animaux, XLIII,ix.

Tnnieni. Attaquent Wallis , t. TIT , p. 318. ^ Lient avec lui un com- merce d'écbange, 332 et suiv. Formes, figure, chevelure, 363. In- contineoce des femmes, 564. CoS' tûmes. Tatouage, 365. Alimens,. cuisine, 366 à 369. Médecine, 370. Sculptures. Cimetières. Piro- gues diverses et leur construction , 371 et suiv. Armes , 375. De qui ont-ils reçu la syphilis? 377, et IV, 266; VII, '442. - Offmnt leurs femmes aux étrangers , IV, 211, 213. .— Maison d'un chef, 214. Races différentes, 237. —Tatouage, mœurs, caractère, guerres, armes, 239 et .suiv.

Gouvernement, 242, 253. Reli- gion. Sacrifices humains, 215, 342, 251. Polygamie sans jalousie, 244.

Pirogues , 247. Fabrication des étoffes, 249. Notions d'astronomie, 252, 258. Distinction de rang très marquée, 253. Médecine. Langue, 255. Dispositions des corps morts et cérémonie qui s'y rattachent, V, 117, 178, 183, 212, 304. Musique, 119, 167, 186, 266. Race à yeux ronges , 121 , 242. Connaissance de l'équité, 124. Sont légers et sensibles, l27. Jeu de lutteurs, 147 et suiv. Union publique d'un couple, 160. Amuseinens et re- marques à ce sujet, 169, 206. Arcs, flèches . 185. Cuisine, 192, 256.

Gouvernement , 195, 319. Pein- tures, 201. Cimetière» Pyramides 212, 315. Trophées, 204, 216. - Taille, temi, cheveux, tatouiige, véte- mens , ornemens , perruques, 240 et suiv. Habitations particulières et cor, muues, 250. N'ont pas idée de l'indécence , 253» Alimens, re- pas des chefs et du peuple, 254, 260 et suiv. Chandelles, 267. In- continence cause d'infanticides. So- ciété desairrfoyj. Leur but immor»! 268 et suiv. Extrême propreté , 271. Manufactures, confection des étoffes , beauté des teintures , 272 et suiv. Ustensiles et filets de péclie, 283. Construction des pirogues de pèche et de guerre , 287 et suiv. Navigations. Connaissance des as- tres , 295. Division du temps, 296.

Calcul et mesupe des distances, 298. Langue , 298. Maladies na- turelles et reçues des étrangers,- 299 et suiv. Funérailles, 504 et suiv.

Religion : croyance à l'immortalité de l'âme et à un Dieu suprême, 307, 309 et suiv Prêtres. 313. Ma- riages, 314. Circoncision , 315. Gouvernement. Etat des personnes , 517. Armes , 320. Vêtemens ,

VII, 357. Facilité des femmes , ses effets, 364. Sont excellents plongeurs, 365 Cénotaphe , 366.

Cabanes, 3C8. Fabrication des étoffes , 373. —r Les riches laissent croître leurs ongles, 377. Cime- tières , 388. Reconnaissent un Dieu suprême , 398. Marques de respect pour les cimetières, 411. /(/. pour leur roi que lui doivent même .ses parens, 412, 414, 417. Heivas, on représentations dramati- ques, 423v Sacrifices humains,

VIII, 29 Dégoûtante préparation de la liqueur ava ttva, 31. Quel-

Î|ues erreurs corrigées concernant les emmes , 32 , 226- Sens des hahi- tans supérieurs aux nôtres, 104. Description d'une grande flotte. Bàti- men.s, guerriers, costumes, armts, 228 et suiv. Singulier vêtement de deuil et manière de le porter, 241. Ob- servations sur les vols des liabitans, 251. Revue nitvale. Exerciee^ , 2C5 et suiv. Population , 262. Gouvernement, 263 Tableau com-

DES MATIÈRES.

405

paratif de la langue avec celle de la Nuuvelle-Zélaude , IX , 284. Cha- pelle où e.<tt expusé le corps d'un L'Iief, X, 110. Pescriptiou d'un sa- crifice humain, 116 et suiv., 144. Maro, ou symbole de la royauté, 124. Lieu du sacrifice , crâoea exposés, 129. O^nuion des natU' rels sur ces sacrifices , 132. Autres coutumes barbares, 183. //«<>«, ou représentations dramatiques, 138» 142. Singulière manière de don- ner des présens d'étoffes, 140. Manière de conserver les corps des chefs, 143. Combat simulé de deux pirogues de guerre , 149. Manière de faire la guerre, lâl. Itomee , traitement contre les dou- leurs d9 nerfs, 155. Cérémonies pratiquées pour célébrer lu paix, 156 et suiv. ~- Usages du bananier dans les cérémonies religieuses , 161 . La connaissance des Européens leur a-t>elle été heureuse ? 208. Ne sont pas adonnés à l'agriculture, 216 Coquetterie, 218 Nourriture, ma- ladies, 220. Caractère, 221. Amour pour le plaisir , 222. Ri- chesse de la langue , 224. •— Con- naissances en chirurgie , 226. En médecine , 227. Famines, 228j 229.

Préparation et effets du kava, 230.

Mauvais traitement des femmes , 231, 234, 237. Heure et forme des repas, 231. ' Liaisons avec les femmes , 232. Opération de la cir- concision, 234. Système religieux, 236. Idées sur l'âme et sur une vie future, 238. Idées extrava- gantes, sujierstitions, 240. Tradi- tions sur la création, 242. Lé- gendes historiques, 243. Traces d'anthropophagie , 245. Honneurs et privilèges dus au roi, 246.. Etat des personnes. Droit de succession ,

248. Manière de rendre la justice,

249. Infanticides , 251. Ne fout pas des voyages de long cours , 255.

Analogie de leur religion et de celle des îles Sandwich , XI, 293.

fojrages diners. Société de» Arréoys, XIII, 315, 317. Division du temps. Effet du tabou ,519. Emltaumemeut des corps. Idées .siu- .«ulières sur l'âme, XIV, 92, 95.

Changement dans la langue ,

XLVI.

108. Marchandises européennes devenues nécessaires, lll, Chan- gerpeus dans les guerres. Femmes ne sont plus aussi belles, 113. Plantes européennes détruites. Pré- venance des naturels, 127. État de l'île en 1824. Drapeau national , XYII. 280. - Célébration du dil manche, 283, 286. Travaux des

missionnaires anglicans, 285, 301 .

EglUe, 286, 319. - Modes, 288, 301, 307. Constitution politique, 294. Dégénération des insulaires, 298, 300. Maison da roi, 323. Abolition du culte des faux dieux XVIII, 141. Étiit en 1826 ; XIX, 203. Parlement, 203, 227. Costumes de la cour de la reine, 208.

Amour des liqueurs fortes , 216.

Moral des naturels n'a pas changé. Habitations, 219. Dégénérescence des naturels, 219, 228. Occupa- tion», 220. Restes de superstition, 222. Tribunal, 224. Absence de progrès, 227. Conversion au christianisme, XXI, 442.

Tahooivi ( île du groupe Sandwich ). Découverte par Cook , t. X , p. 289. Visites des insulaires h Cook , 290. Raisons de croire qu'ils sont canniba- les , 291 . Sol pierreux. Habitations , 292. Cérémonies mystérieuses , 293. —Sol, XI, 245.

Taliseh ( district commnji do la Perse et de {a Russie d'A.sie). Mœurs des habitans. Montagnes , t. XXXV , p. 390. Figure , vétemens , 392. Captivité de Fraser, 393 à 408- Huttes , 400.

Tallabunchia (ville de la Sénégam.). Situation. Maisons. Vétemens. Orne- mens, t. XXVIII, p. 287.

Tallika ( ville du Bondou , Séné- gambie). Habitans. Commerce. Pré- posé du roi, t. XXV, p. 64.

TamaH ( île et ville du détroit d'Ié- nikale ), t. XLIV, p. 434. Edifices. Antiquités, 435.

Tamatam ( île , archipel des Caroli- nes). Naturels. Productions, t. XX , p. 228.

Tambacunda ( ville du Fouladon, Séncgambie) , t. XXV, p. 524.

Tameiian (Timour-Leng). Lieu de sa naissance, t. XXXVII, p. 171. Des- cription de sonaucienue capitale, 211.

30

.'^

4U0

TABLE GÉNÉRALE

Titmoult. Voy. Malahari,

Tagonrvk (TiUe da C»acase, Hiii< lie d'Europe), t. XLIV, p 451

Taitgtr ( «iile du Maroc). Fortifi- cations , t XXII, p. 133. Inté- rieur, (34. Campagne , \Z5.

Tanna (\\v de l'arch. des Nouvelles- Hébriden). Découverte par Cook, t. YIII, n. 860, 364 Aspect du payii, 36o> 396> Éruption du toI- can, 371 •— Antliropopkagie, 377, 379.

Cabanes , 880. Environs du volcan, 382, 886, 304. Descrip- tion d'un village, 388 Gros fi- guiers, 391. - Plantations, 390. Richesse du sol, 397. Productions, 399 —Langue, 403, 411. —Natu- rels, 403. Tatouage, 405. Vé- temrns, omemeus, 406. Arts di- vers , 407. Pirogue» , armes , 408.

Maisons, religion, 412. Surface de nie, 426.

Taranta {mont , Abyssinie). Asctn- sion au village de Halai, t. XXIll , p. 207. Plaine, 209.

Tarante ( vUle du royaume de Na- plés), t. XLVI» p. 197.

Tarudant ( ville du Maroc ), Sitna- Hon. Aspect. Commerce, t. XXII', p. 123.

Tasmait ( Abcl). Son voyage au- tour du Monde, 1. 1, p. 342. Dé- couvre la Terre de Van-Diémcn , 343.

Découvre la' Nouvelle-Zélande et la Nouvelle-Hollande, 344; L'ilo des Trois-Kois, 346. L'ile de Pyl- staart, 347. Les Iles d'Amsterdam , de Rotterdam, 348. N'a pas dé- barqué à la Nouvelle-Zélande, VI, 143. Résumé de ses voyages, XVIII, 196.

Tasmanie. Voy. Ttrrt d* Van-DU-

«M.

TassitudoH (capitale du Boutan, empire Chinois ). Environs , t. XXXI, p. 424. Palais, 427. Collège de prêtres, 447, 449.

Talaret du Caitiay. Voyages dans leur pays, t. XXXI, p. 33, 39 et

S«T.

Tatarie ( vaste pays de l'Asie ). Missionnaires des xiti* et xiv*' siècles, t. XXXI , p. 28 , 30. Usages di- ters des Tatares. Mariages. Religion. Moeurs , 29. Voyage d'Ascelio. Rnbruquis, 30. De Mandc-

ville , 32. -' De Marco Polo , 53 rt suiv. Conquêtes des TaCares, 39 —Font alliauce avec saint Loui.n , 40.

Leurs chasses, 41. Voyag} de Pinio, 51. et suiv. Voy, Tatane chi- noise^ Tatarie indépennaitte ^ Tatarie

rutte,

Tatarie chinoiie, Voy. Mantchouri» et Mongolie.

Tatarie ind/pendante ou Turkettan. Voy. Bouekarie, Tatarie indépendante propre, et Tureomannie,

Tatarie indépendante propre ou Tur- kettan. Voyage dons l'intérieur, tome XXXVII, page 126 à 281, et 303 et suivantes. Montagnes , 126. Lieux divers, 126, 128, 129, 146, 152, 265,266. Campagne, 128,237, 138, 141, 142, 264, m. —-Produc- tions, 129, 137, 141, 150, 151, 257, 266, 269, 308. Tatares époii.sent les femmes de leurs prisonniers, 130.

Diverses opinions sur l'Europe, 131 et suiv, Passe du Kara-Kottiil, 134. Oiseaux, 135. Maisous. Costumes , 137. Caravenserai» , 138. Manière de prendre le tlié, 145. Ruines, Mirage, 152. Voyage dans la Boukliarie. Voy. fe mot. Exactitude des descriptions de Quinte-Curce , 161. Marchés, 172, 239. Sort des esclaves persans, 229, 241 , 263 , 277. Une caravane en Orient, 246. Rivière Mourgab se per- dant dans les sables, 256, 258.— Tour - billons de 'poussière, 265. Physio- nomie des vrais Tatares, XLVI, 161. Voy. Bouekarie , Charjouey , Heibuk, Kouloum, Koundouz , Merve , Oxus , Shurukhi, Turcomar.ie.

Tatarie russe ou Sibérie. Descrip- tion d'une uoce, t. XXXI, p. 248 à 251. Religion, 257. Obli- geance, 259. Figure. Nourri- ture, 260, 277. Superstitions, 268. Instrumcns de laboar, 269.

Usages, 277.

Tatée ( Ile , Au.stralie ). Découverte par Meares, t, XIII, p. 344.

Tatootche ( Ile, Nouvelle-Bretagne, Amérique septentrionale occident. ), t. XIV, p. 172 et suiv.

Tattah ( ville du Siadliy, lliodon.v tan). Ancienne opulence. Population. Commerce, t. XXXVII, p. 351. Autiquitc. Maisons. Lieu de pèleri-

DES MATIÈRES.

467

aags des eafironi, 353. L'Indoi, 354.

Tatiftmiiiiiim (ville de la Sicile). TbéAtro ancien , t. XLVI , p 196.

Tauride ou Crimée ( gouyernement delà Ruitsie ). Voyage dans l'intérieur, t. XLIV, p. 399. - Campagne , 400, 404, 408, 411, 413, 420. Voyage en Crimée, 400 à 434. Pérékop, 400. Village arménien. Borne» milliaires de Potemkin , 401. Lacs, salés , 402. Villages tatares , 402, 406, 411, 417 et suiv., 420, 422. Serabonxe, 403. Montagnes, 403,

418 , 423. Bohémiens , 403. Sympliéropole, 405. Cafés tatares, 407, 429. Palais des ancien* kbans de Crimée , 409. Bagtchiseraï, 410. Costume de Juifs, 412. Sevastapol, 413. Cavernes d'Inkerman , 414.

Balaklaava ,415. Arbres, belles vallées , 416 et suiv. , 428. Mird- vin. Kaffa, 418, 432. Rochers re- marquables , 419. Usage dans les villages, 420. Intérieur des mai- sons, 420, 421. Ruines antiques, 421, 423. Remarquables couches de schiste, 422. Ou.vkout, 425. Vallée de Soudak. Vignes impériales, 426. Population, 426. Karassou, Bazar, 429. Les lélégais ( voitures), 431. Tombe de Mithrid.ite,433. lénikale. Ile de Taman , 434. Cli- mat, XLVI, 155, 156 Saisons. Sol. Productions, 157, 158. -~ Détails sur la vigne, 158. Animaux. Popula- tion. Trois classes d'habitans, 159,

leo.

Tauride ( Tatares de la ). Costu- mes (bords du Dnieper ), t. XLTV, p. 399,407. Villages, 402, 40(3, 411,417, et suiv., 420, 422. —Poly. garnie. Usages divers , 402 , 427. Cafés , 407 , 429. Palais des anciens khans de Crimée, 409. Luttes,

419. Intérieur des maisons, 421.— Initmmcns de musique. Danses, 424.

Caractère, 426. Littérature. Poésie. Géographie. Médecine , 427.

Cimetières, 430. Tatare» des plaines et des montagnes , XLVI , 160.

Taurit ou TMr'z ( capitale de l'A- zerbaïdjan , Perse). Rues. Mosquées. Population. Climat, t. XXXI , p. 206. 'Beauté des environs, XXXV, 378

Aspect, 379, PaLùs, 880. Lac Ouroumia, 381.

Tarat-Pouiumo* ou Tafaf-Potmam- mou (l'une des deux grandes Iles de la Nouvelle-Zélande). Exploration de ses côtes par Cook, t. VI, p. 115 à 143.

Situation de ses babitana diffé- rente de celle des habitans d'Ika-Na- Mawi , 335. Son littoral, XVIli , 252. Etendue, XX, 175 Pour les détails, voy. Nouftlle-Zéland:

TAvxRaiBR. Ses voyages en Asie , t. XXXI, p. 62. Voy. B»ni*r,

Teh. Chercher à C'A les noms qui ne trouveront pas à TV-A.

Tchad (grand > du Sondan), t. XXVII , p. 99. Oiseaux, 100. Eau. Iles, 101, 244, 298. Se» bords, 132 et suiv., 293, 296, 319.— Habitans des Iles sont indépendans. Armes. Religion , 222. Hippopota- mes, 245,319. Voyage aux côte» orienUles du lac, 268, 296. Fi- gure, mœurs, nourriture, tentes des Shouas,290, 294. Tribu de Biddomahs,321.

Teliang^Phing-Tcheou ( ville de la Chine ). Pont de marbre , t. XXXtlI, p. 187.

Tehtrlratk ( ville des Cosaqueti du Don , Russie d'Europe ). Vieille et nouvelle ville, t. XLIV, p. 452, 453.

Tehtrkettes. Voy. Circattitm,

Tehernigov (gouvernement de la Russie d'Europe 1 'Voyage dans l'in- térieur, t. XLIV; p. 869 à 374. Saleté des paysans. Cal)anes, mobi- lier, 369. VillaKcs, 369, 371, 375. GIuchoF. Couverture des maisons, 370- Palais du dernier hetman de rukraiue, 371 . Troupe.->ux. Borrna. Komaroskava. Nedjin, 372.— > Forêts , S74

Tehi/t-KaU (petite ville dn gou- vernement de la Tauride , Russie d'Europe). Rues. Maisons. Costume de juifs, t. XCIV,411. ,

Tehittore ou Chittore ( ville du Raj^ pontana, Hindoustan). Aspeot, tom. XXXVI , p. 339. Industrie. Ota" délie , 340. Château. Temple de Siva , 341 et suiv.

Tchorlu (ville de la Ronmélie, Turquie d'Europe), t. XLIV, p. 34, 36,260.

Tehoka. Voy. S^galien. ^ . m .' /

168

TABLE GÉNr^:KALK

Ttbbti ^«ille et district <lu Klioras- MD, Pente). Lodtucrt Salé, t. XXXV, p. 96. Ancienne importance Tonm, 96, 416. Productions, 415.

Tébrii. Voy. Taiiris.

Tegtrhjr ( ville dn Fezzfln ). Entrée de la ville , t. XXVII, p. 59. Sa merveille , 60. Sitnnficm, Katnrcls 61. -Environs, 61, 446.

Tëliéran ( capitule de la Perite ). Vi- site à des fonctionnaires, t. XXXV, p. 54. Visite à un poète lauréat, 56. Mont Elbours , 57. Anec- dotes sur le shah, mort en 1834, 78.

Fête du nouvel an, Présens au sliah, 82 et suiv. Aridité , roisèl-e des environs, XXXVII, 327. Céré- monies de la présentation an shah , 330.

Ttmhouelo» ( ville de l'intérieur du Soudan , sur le Niger). Ses relations avec les Portugais au xv" siècle, t. I, p. 30. Premiers rcnseignemcns par Ça-da-Mosto. Découverte par Caillié', XXII , 3 , 12. Renseigne- mens reçus par M. Park, XXV , 164> 243. Religion, 245. Voyage de faillie. Aspect. Marché. Naturels. Royauté héréditaire. M.iures. Mai- sons, XXIX, 398, 399.— Rues. Mos- quées. Environs , 401 , 402, 409. Population. Conunerce, 400,-402.—^ Commerce géué par lesTuaricks, 401, 405. Religion, formes, nourriture des naturels. Magasins des Maures, 403.

Mobilier. Polygamie. Costume et urnemeAs des femmes, 404. Grande mosquée, 406. Visite historique des reconnaissances de la ville , 4al. —Marché d'esclaves, XXX, 267. Voy. Cahra,

Tenda ( royaume de la Sénégam- bie). Voyage, dans l'intérieur, t. XXV, p. 326, 335 et suiv. Djallacotta , 326, 335.— SibikilKn, 339. Laby, 341. Djullifuuda,342.

Tinitifje ( une des îles Canaries ). Son pic, t. V, p. 14. Description de la baie et de la ville de Sainte- Croix, IX, 172, 175. Productions de l'Ile , 173, 176. Aspect du pic , 174. Description de la ville de La- guna, 175. Fruit singulier, 176. Ancienne race des i!es, 177. la baie et la ville de Sainte - Croix , XVII, 257 et suiv. MagniQque point

de vue dn haut du pic , 258. Prew miers hahitaus onibaii niaient les curpi,

comme en Rgypte , 200 Diverses

régions de végétaux du pic, XVIII 212.

TJpte (ville du Mexique). Popu- lation, situation, cli.nat , t, XIX, p. 476. Situation. Eglise , XLI , 415. Costumes, 416, 417. Cli- mat , 41f). La sieste. Habitudes so- cialet, 417 , 418. Grands diners, 419 et sniv. Couvent. Pcnitenoe de

Ecchés à commettre, 420. Nores. on traitement des esclaves, 421 , 422. Indiens, 423 Education négligée. Températures , 424.

Tercere ( une des Sles Açores ). Découverte par les Portugais, t. IX, p. 157. Ses productions. Son com- merce. Sa population , 160. Ville d'Angra.' Ûistoire. Aspect de l'ile. Climat. Productions, XX,435. -^ Est la résidence du gouvernement des Açores,IX,160;XLH,383.

Tereh ( fleuve du Caucase et la Circassie), t XLIV, p.451.

Teraaie ( îles Moluques , Malaisie ). Ruse des Hollandais pour faire arra- cher certaines plantes d'épices, t. IV, p. 384. Comptoirs. Troupes de sa dépendance, 382. Plantes d'é- pices arrachées par ordre des Hollan- dais , XV, 77. Malais , XLI» , xv.

Tentai ou Mantehourit '( baie de Ta- tarie chinoise ). Nommée par La Pé- roHse, t. XII, p. 344. Sa description, 346. Animaux , productions , 347. Prairies, 349 Extérieur et inté- rieur d'un tombeau , 351 . Plantes, roches, oiseaux, coquilles , 353.

Ttne ( joli ville du Timaui, So- négambie ) , t. XXVIII, p. 19.

Terre des ^rsaci'les.Ent l'archipel Salomon, découvertjpar Mindana , retrouvé par Surville , t. III, p. 420, 430, 434.

Terre de Davis. Carteret corrige plusieurs erreurs sur son giseueut, t. III , p. 105. Est peut-être l'île de Pâques, d'après Cook, VIII , 139, 171, 173. Ce qu'elle est d'après La Pérouse, XII, 86.

Terre d'Enderby ( océan Glacial an- tarctique ). Découverte par Biwoè, t. XXI , p. 460.

Terre des Etats (sud de l'Amérique

DES MATIËRES.

im

corrige seineut , itre l'île 139,

d'après

méridionale ). Découverte par Le Maire , t. I , p. 284. Aspect sau- vage, U , 107' Ne parait pas sau- vage à Cook , V, 77. Phoque» de» cAtes , IX , 81 . Oiseaux de Hle , 84. Cook nomme le havre et les Iles do Nouvel-An, 88. Surfabe de l'Ile, 89. Horrible aspe«!t. Climat, XVII, 262; XX, 41.

T*rrff'*rme ( ancien nom d'une partit! de la Colombie). Indiens. Leur culte d'un génie malfaisant, t, XLII , p. 414. Noces . 415. Condition de la femme, 4l6. Croyance l'immortaUté de l'Ame. Fuuérailles, 416.

Terre de Feu (Iles au',snd de l'Amé- rique méridionale ), Explorée et dé- crite par Jacques Lhermite, t. I, p. 33o. >— Maisons, 338. Des- cription dn port Désiré, II , 371 et suiv. Aspect sauvage du pay.s, III, 265. •— Bon gainville nomme et décrit les ports de Beaubassin, de la Cormo- randerie, de la Cusciide , IV, 164 et suiv. Description d'un village , huttes grossières, V, 64. Quadru.» pèdes, oiseaux, insectes, plantes, 71. Aspect du pays n'est pas ^i sauvage, 74- Cette terre est uif amas d'Iles , XX , 40; XXI , 283, 308.

Village, 304. - Climat, 309.— Productions, 311, 316. Voy. Noè!, Pécherais , naturels ; Pilartt , San- Franeis.

Terre di Graham (océan Glacial antarctique, sud de 1 Amérique seiw tentrionale ). Aspect. Ile Adélaïde. IlePitt,t. XXI, p. 462

Terrre de hergaelem (sud de la mer des Indes ). Oiseaux, phoques , t IX, p. 189. Description du havre de Noël, 191. Cook reconnaît l'ile et nomme diverses baies, pointes et îles, 194 et suiv. Bas-fonds dangereux, 198. A été découverte par Ker- guelen , 203. Rareté des plantes , 204 Ses animaux, 205. Ses collines, 207. —' Peut être très utile aux vaisseaux. Ses animaux, XX , 36.

Terre de Leuwin { cAte S. O. de la Nouvelle-Hollande). Remarques sur le" pays, le sol, t. XIV, «p. 32 et suiv. Climat, 40. Arbres, 42.

Reptiles. Animaux nuisibles. In- sectes, 46. Naturels, 46.' Huttes,

47. Nonrriture, 48. Dévastation produite par le feu , 49. Aridité, Elablisscmont anglais , XVIII , 44. Parties du sol plus favorisée». Climat, 46. Voy. Aitstraliem.

Tern-Neuoe (Ile des eûtes d'Auié-* rique ). Connue au xii^ siècle des Islandais, t. I, p. lO.— Retrouvée par Cabot, XL, xj, Historique des pèches dn la morue au bauc, xij.

Terre de Mi{jrtt ( c6te sud-ouest de la Nouvelle-Hollaude): Remarques sur le pays. Sol. Climat. Arbres. Rep- tiles, animaux nuisibles, insectes. Naturels Huttes. Nourriture. Dévas- tation extraordinaire produite par le feu , tom. XIV , ]i. 32 et suiv.

S(.ii aspect XV, 89, 103, 105. Voy. baie de l'Êap^ranir, gr(Mi|ie d'£st. Port du Roi-Georget. Reolierches , groupe.

Terre de Palmer ( Ile du Shetland méridional). Découverte par Fanning, t. XXI, p. 454.

Terre du Saiiit-Etprit ( Nouvelles Hébrides ). Découverte par Quinis, B^uté du pays, t. I, p. 268. Na- tt-rels. Armes. Musique. Pain. Mines , 269 et suiv. Comprise par Bougain- villc dans 1rs grandes Cyclades, VIII, 135. Naturels, leur parure, leurs pirogues, 417. Sol fertile, 419. Est h plus grande *des Nouvelles Hé- brides, 421.

Terre de Sandwich (océan Atlantique )i, Découverte par Cook, t. IX, p. llt>.

N'est qu'une réunion d'Iles. Nom douné à l'Ile du marquis de Traverse, XXI , 433. Découverte des Iles des Princes, de Willey , de Noël, 455.

Terre de Van-Diémen ( Australie). Découverte par Abel Tnsman, t. I, p. 342.~Habitans, IV, 406.— Nom- bre d'Européens qui l'habitent au- jourd'hui , VI , 229. Description de l'Ile Maria, VJI, 299. Descriplion des in.sulaires, 212, 223. Leurs v.r- nemens, 215. Seul vêtement des femmes , 217. Sol , 219 et suiv. Arbres, plantes, quadrupèdes, 222.

Oiseaux , reptiles , poissons , 224.

lusectes, 226. Habitans sont doux et sans intelligence ,227. Leur tatouage, leur teint , lenr corps , 228. Leur posture favorite, 229.— Leurs huttes, 230.— Leurs repas, XV, 112, 116. Leur amour pour leurs cnfiins,

470

TABLE GÉISÉKAI.K

113.— Leur |ioljrg»mie, 114. Leur •iouoeur, 116t i25. Potinre dei femme», l'iO. Deuils turludécou- rerte et l'étendne de l'Ile , XVIII , 9.

Foréti, «uh, production», 6gure de* nntureli, 12. Hiitolre de» ro- eonnitittaBoei de l'Ile, 818. Pon- dation d'une colonie auglai*e, 321.

Population. Gouvernement. Divl- •iont, S22. Établi»semen« de la colonie , 323 et tuiv. Montagnea , rlTièrea, 327- Lnc», Iles, produc- tions, animaus, 328. Naturel». Hutte». Vêtement, 330. Naturels ré»i»tent à la ciTili»ation , 332. Voy. Hobarl-Towit, capitale { Por/ du Nord.

Ttrrt d* ffiti (NouTelle-Hullande). Entrevues avec les naturels. Observa- tions diverses sur leurs formes, leurs mosurs, leur pays, etc., 1. 1, p. 415 et sniv. Stérilité. Quelques exception», XVin, 48.— Laideur, saleté, mi»ère , mutilations de» naturels, XXI, 415. Voy. lit du Romarin,

Tvrouggtmou-Atooa. Voy. Iltrvey.

Tttiouwa (ville du Eeszan), t. XXVI I, p. 29.

Tttt (ville du Maroc). Fondée par les Cartluginois, t. XXII , p. 147.

Tezeueo ( ancienne ville du Mexi- que). Histoire. Ruines, t. XLI, p. 139, 142. Antique splendeur, 141. Palais espagnol. Forteresse , l42. Palais des caciques, 143.— Le bano d* Montétuma, 144. Village de Huexo- tla , 147.

Thèbtt (ancienne ville de l'Egypte), Description de ses admirables iiyi>o- gées ou catacombes, t. XXII, 430 et suir. Ruines du temple, XXIIl, 90,

Thibis (ville de la Grèce), t. XLVI, p. 208.

ThemuealUpte (vilte du Mexique). Environs, t. XLI, p. 155 à 163. Villages, 156, 158.— Bois, 157, 162.

Drames bistoriques des Indiens , 159. Mines d'argent abaudonnéeit, 163. Situation, Maisons. Climat. Habitans, 164.— Fertilité des envi- rons , 165. Prise de possession d'une mine, 166.

n*og (État de l'Hindoustan), Cou- tumes, t. XXXV, p. 459. Omemens des femmes, 461.— Polyandrie , 462,

Maisons, 464. -• Religions , 465. —r Funérailles, 466.

Thtiuroa ( tle de la Société). Dé- couverte par Cook , t. V , p, 325.

Tmrvimot. Sun voyage eiv Asie, En rapjiorte le café , tom, XXXI , p. 61.

TIUb*t ( Province de l'empire chi- nois^. Voyage dan» le pay», t, XXXI, p. 419. Limites. Montagnes. Fleu- ves, 420.— Liqueur tpiritueuie, 421. Sai»on» Sol, 425. Bœuf à queue touffue, 426, 428. Frontière du Boutan. Superitition, 432. Com-

ÎBrai»on avec le Boutan , 440. Voy. haiia, capitale,

ThibAaint. Véteoliens, Superstitions. Conservation du corps du lama, tom. XXXI, p. 432. Polyandrie. Haiue du mariage, 434* 452, Carnctèro. Céré- monie» du mariage, 436 Liberti- nigo. État des femmes. Exercices re- ligieux, Couvens, Imprimerie. Livres , 4o8.— Oruemen». Figure. Travaux des femmes, 453. Mariages. Noces, 454. Emplois du muucboir. Funérailles , 456.

ThUnltovtn (Ile , arcbipel des gran- des Gyclades), Découverte par Rog- gewin, t. Il, p. 65, et IV, 278.

Tkitrrawhitt» ( tle, Nouvelle-Zé- lande). Beau uflir des étoffes , t. VII , p. 33l. Ustensiles, instrumens élé- gamment sculptés , 332.

Tbomfsok. Son voyage dans l'A- frique méridionale, t. XXIX, p. 1. Excursion dans le pays des Betchoua- nas, 37 à 100, 144. Va reconnaître les maraudeurs mautatis, 68. Ap- prend leur défaite, 110 et suiv. Son excursion daus le pays des Bos- cbimans, 144. Ses entretiens avec les naturbls , 158 , 163. Suu excur- sion dans le pays desCoranas, 178 et suiv, Donne des noms à quelques lieux , 189 , 2C0, 222. Son voyage dans le Namaqua, 296.

Thompton ( cap , Amérique russe ). Nommé par Bcecbey. Figure. Véte- mens. Tatouage des naturels, t, XIX, p. 252 Paupières colorées. Orne- ment labial. Tentes , 254,

Thrumb (Ile du cap, archipel Dange- reux), Nommée ainsi par Cook , mai» découverte par Bougainville, t. IV , p. 202; V, 88; XIX, 162. Voy. Lan.

oitrt.

ThuUautlral* (tle, extrémité sud de

DES MATIÈRES.

471

l'Amériqut ). D«^cuiiferte par Cook , I. IX, |>. 111.

Tii'ojrn - Su ( Ile , mer de Corée) , t. XII, p. 320.

TiatfHi ou hha^in ( Ile ionienne ) , t.XLVI,p.201.

Tihbom ( peuple du Saliarii el du •Soudan ), Voyage dans leur pajt , t. XXVII , p. Sd et «ni?.— Serrent de courriers , 81.

Tibhnu, du Bilm-1. Figure Kitbée l. XXVII, p. 69, 70 A«lienuinroa , 70. n.in»e., 70, 72, 77. Tuku- inani, 71. Jeux. Armes, 74. ~ Uirkée, 72 à 74 Vétemens de fein> mes, 76. IMaines denable. Leur capitale , 75 à 78 et 443. Dibla. Kertbertna, 82. —Vallée d'Agliaden. Uasia de Zow , 83, 443. Onuis de Seggedca, 444.

TMout dit Gunda. Voyage dans leur paya, t. XXVIl , p. 85. Ville de Beere-Kashifery , 85, 440 Éqnita- tion, 86, 90. - Nourriture, 89. Taille. Figure, 90. Hérédité du pouvoir, 91.

Ttbboui du Tratta. Voyago d.in» leur pays, t. XXVIl, p 96. —Huttes, 97.

Tidor (Ile des Moluque»), t. XV, p. 77.

Titn-SiHg ( ville do la ('bine ). As- pect. Pyramides de i.el. Costume de soldats. Palais impérial, t. XXXIII, p. 360. Repas. Hcprésentations tliéâtrales, 361. Bues , maisons , 365. Coiffures riiuiques. Cérémonie en l'bonneur de la luue Charivari, 382. Boutiques , rue.s. Convoi fu- nèbre, 383. Meunier», 384.— Pont. Miiisons , 436. Éventails des militaire», 437.

Tijlis (capitale de U Géorgie, Russie d'Aùe ). Autrefois ville de Perse. Fortifications. Cathédrale , t XXXI , p. 195. BAtimens publics. Palais dn prince. Environs, Commerce. Ca- ravenscrais , 198 La rivière. An- cienne et nouvelle ville Population. Saisons , XLV, 413. Église catbo- bque. Biiins, 444.

Tienhoven (île, archipel des grandes Cycladcs). Découverte par Roggewin, t. Il , p. 65; IV, 277.

Tigre (fleuve de Chine). Description de son embouchure et de ses fortifica- tions, t. ll,p.321; XI, 466; XV11I,442.

7/^r/( province d'Abyssitie). 8m montagnes, t. XXIII, p. 22U.— ,Re»t«s du courent de* jésnilM a Kremona , 23 1,— Seleoh Lécha , belle cam- pagne , 242. Son commerct , 32f . Voy, Àdo»a, capitale.

Tikopiu (Ile du groupe La Pérouse). Aspect de l'Ile. Détoili sur le phyai> que et le moral des naturels. Mariages, t. XVIII, U.834, 092. Religion. AnU maux, 83n.— Caractère, 377, 585. Gisrweut, étendue, 392.

Timitni ( province dé|>eudant du Manding , Sén^gawbit.) Voyage dan» le pays , t. XXVlll, 8 et suiv.— Rosa. Maharré, 9— Costume d'un chef, 10. Rokon. Audience du roi, 11 Assemblée publique, 13 , 17- Tcrr«, 19. Mokiindona , 20. Campagne , 21, 22. Villes diverses Dalanduco. Huile de palmier, 21. Ma-Bung, 23., Sorciers, 25. Mayonsu , 26. Étendue, 27. Géograjibie, 28. Costume, 29. Mariages, noces, 31. Superstition», 32,35.— Fuuéraille», 32. Repas. Animaux de bon au- gure. Buis sacrés, 34. Institution des Purrahs. Leur pui.wance, 36, 39. v-> Leurs marques extérienre.*, 38- •«- Revenus des chefs. Productions de la terre. Manufactures , 40. Danse. Caractère, 42. Voy. Maboum.

TiMEOwsKi. Son voyage à Péking, y accompagnant la miksion russe, tora. XXXIII, p. 1, 4. Sé|ourue à Onrga, 71 à 101. Visite de la mission au vang , 75 et suiv. A ses lils, 96. Traverse le désert de Cobi , 137 a 149. Arrive à la grande muraille, 161.— Arrive à Péking, 189. Sn résidence, 191 à 269. Y voit un Français , soldat de l'armée chinoise , 228. Décrit Péking , 269 à 328.

Timoan (lie de la Miiïaisic) Habitans. Productions. Sol. t. III, p. 51 et suiv.

TiMor ( île de la Sonde ). Sa des- cription, t VI, p. 421. Naufrage d'un vaisseau francai.s sur ses côtes , VU , 29. Étendue. Sol, Climat, XVIII, 63. Production.s , 66- Animaux, 68.— Population. Aspect des naturels. Climat, 69.— Vétemens, habitations, mœurs et usages, 70,73 Croyance», polygami? cher, les riches. Commerce. Pouvoir des rajabs, 72. Objet» d'ex- portation , XXi^ 360. Description

472

TABLK GÏ^INKRALK

da la Tillt) de CouftaDa, 361. Sol. itublitienkeni bolUiidiii, 3622. Miaeid'or, XLIII, viij.

T>mor-Lao*t (Ile de la Malaiiie). Sa deurription , t. VI, p. 410.

7/m (llede l'Archip.), t. XLVF, p.Off.

TMui> ( Ile , arcLipel de* Af arian- ue«). Beau pays, abondant en bétail , en volaille , en frniit , ma» rempli de moucheront, t. Il, 242,257.— Rnines de ttyle pyramidal , 253. ÀTenturo d'Anton, 261, 272. Son apparence, III, 89. Ciel brûlant, iniectet in- commodei , 44. Set animaux , 46. Set fmitt, 891 . Set longitude tt latitnde , 395.

Tiookta nie , archipel Dangereux). Forme , habitant, t, VIII , p. 216. Sol , cnbancf, 218.

Tipata (Tille du royaume de Tunii). Bellei, ruinet, t. XXIII, p. 31 .

Titti ( ville du Kasion , Sénégam- bie ). Citadelle. Habitant. Aliment , t. XXV, p. 96. Singulière prohibi- tion . 97. Condamnation d'un té- duoteur, 97. Habitaut forcët d'em- braiter le mahométitme, 100.

Tjan ( Ile, groupe Kawen ). Dé- couverte par Kotzebne. Bel aipect. Douceur det habitant , t. XVII , p.18L

Toa-fFati. Voy. Saitta-Christina.

Toboltk (province de Sibérie). Det- cription de Catherinenbourg, t. XXXI, P. 243, 244. Noro tarUre , 248 , 251. ~Luo talé, 2^3.

Toboltk (cApiDili: de la Sibérie). Le carnaval, t. XXXI, p 246. Carême. Cérémoniet roligieu.ses, 247, 252. ' Perte du ne-/ très frciiuente, 253. Detcriptiou àtt deux villes. Popula- tion, 254. Habitant tartare», 256.

Tofle ( ville du Souderfieldt, Nor- wége) , t. XLV, p. 73.

Tokai avilie etditt. ictde la Hongrie, empire d'Autriche ). Récolte de tes vint, t. XLIV, p. 146; XLVI . 130 à 132.

Tolide (ville d'Espagne) , t. XLVI, p. 174.

ToHuea (villa du Mexique), t. XLI, p. 156.

Tolna ( ville de Hongrie, empire d'Autriche), t. XLIV, p. 151. Autrefoii importante. Détails histori- quet, 155.

Tomik (ville de Sib«rii>). Fondation. Commerce. Vieux croyant , t. XXXI. p. 272

Tonpa-Tnbou (archipel de la Poly- nésie). Voy. jtrcfiipol d»i Amie.

Trngn Tiikou , ou d'AmiUrdam (Ile priuciiialo de l'anhipc* des auiu ]. Découverte par Tatmab, t. f , p. 348.

Son atpect. (aférieur et ex- térieur d'un temple, VIII , 51,54, 58. Beauté du payt , 57. Plan- tations trèt régulièrei , 57 , 61 , 77.

Grandes cliuuvet-tourit . 62. Cimetières, 63. Liihr.i ité des filles, 65. Pirogue». Usage de la poudre dnnt la toilette, 68. (îouvernemeut, 72. Batelfur», 74. Productions , linbitations dissémiDcct, animaux d'< niPNliques , poiasous , filots, |iirof;ui ., outil» , 83. Naturels : leurs véf ment, ornement, umuteux , in- striimeiis de muMquc mauifi i .1 > sa« luer, franchise, 86 et »\\< l.ou- tumcH singulières, niutiiiiuon du iii'tit doigt, 90. OaiiM'ruciiicnt, J>3. Aisance acquise par le travail , 94. Religion, lan;;iic, 95. Repas du rui, IX, 394.— Village ngrénblc, 308.

Mu.siquc, chantii, 405. Cirque, 407. Fabrication des étoffes , 408 et tuiv. Grande f/le. «louuée à Cook : danses , musique , combats , danses de nuit, 411 et suiv. , 431. Combat de pugilat, 422. Repas sin- gulier de deux fumme.'i,430. Pèche, 436. Cimetière, 437 , 449. Ce- rémonie funèbre, 442, 451. Plaotu ot liqueur kava , 445. Comment les habitans tuent et préparent leurs porcs, 448, 450.— Singulière ma- nière de patter la nuit, 452- Super- stition sur la découverte des voleurs , 456. Forme, étendue de l'île, 459.

Sol riche. Aspect agréable. Climat variable, 460. Principaux fruits, 463. Quadrupèdes , oi.seaux, pois- sons, 464. Grande fête relative au fils du roi , X , 1 , 3 et suiv. Conjec- tures sur son objet , 2 J. Nombreux districts et diefs de l'Ile* 86.— Aspect de'ilts.aii.no,,, xni,143. - Pre- mier étalili'iiiDirrt des mi-- .i ' lires au' ' is » ;.' M. ; gouvcrncnKiit, ma- ri;, (.j ndiurels, 442. - Filles prostituées, XV, 159. Beauté du pays, productions, 184. Danses,

DES iMATIKRES.

473

mnUdifl», 186.— Hinrnirp de la ilu- rourcrte, XVIII, 283. -- Climat, l'opnlatiuD. Ft({iire des natui di , '284. Mauri, AinnitnmeD», 286. Ci- rogaeit. Rrpai. Polygaïuie. '^>tonH^l>. Maiiiou»,2n8.^Alirnenii.HiibiU, lenr Religion , 200. l'uliou. rérviin» '^ religieuae». Funérailles, '')2. .Sn perttittonii. Hemidet, Luugue. Pro- duotionit de l'Ile, 204.

ToHg-Chom ( Tille de la rkiD<> } , t. XXXIII, p. 371. Porte fortiiiéc. Boutiquen. Àucfi. Cuur de* mniMiDH, lutërieur d'un temple, 872, 373.— Monantère , 448.

Tong-Kou ( ville de U Cliiao), t. XXXIII, p. 357.

TongoetHt (^rWxhn du Kniiranko, Séoégnuibio) , t. XXVIII, p. 61.— Sa luurce, G2.

Tong-Ti'hang-Fouh'iVit de la Chine), t. XXXIII , p. 302.

Ttnqiiin ( wlfe do la mer de Chine), t. XVIII, p. 449.

Tonxn (Iles de la Maliiisie), t. III, p. 215.

Too/oa ( Ile, archipel des Amis ), Opinion superstitieuse des naturels sur leur Ile, t. IX, p. 848. Son aspect, XIII , 143.

Tor ( TiUago de l'Hedjax, Arabie ). Aspect pris par les Portugais. Vue des monts Horeb et Sinai , t. XXIII , p. 132. Situation. Maisons. Habi- tans, XXXII, 373.— Ermite grec du mont Sinaï , 375.

Torget ( ile de la Norwége ). Son fameux mont, t. XLV, p. 121.— Carernu qui perce le moût de part en p4rt. Sorcière, 122 à 124.

jor/i/a (rivière de Laponie), t. XLV, p. 324.

Toméa (ville de la Finlande , Rus- sie). Réapparition du soleil. Aspect de laviUe, t. XLV.p 327.

Torpille on Anguille éltetrigue , t. II, p.218;XLn,435.

Ton es. Voy. Hogoltu.

Tortue (ile de la, Orandes-Antilléa) Déco«Tertcpar Colomb, t. XXXVIII, p HI7.

l'ortues (île des, Australie). Dt'coti- verte pur Bligh, t. XIII , p. 330.

Tortues. Grosseur de celles des Gal- liipagos. Vont pondre à cent lieues de la , t. I , p. 373. Espèces diverses ,

Il , 106. Manière ingénienie do les prendre en mer, 107- Passent ua lin sans nourriture, XVI, 103.— Leurs ccnfs , 1U5. —Leur poche k ean, 415.

'f'otfniit. Coup d'ail sur le, paya. Fldrpti.fl, t. XLVI,p. 265.

Toii'oua (Ile du groupe de la Reine

harlotte ). Formée do ce que l'in' »

api^i'h'i IIpi Kdgecumlie et Ourr^ ,

t. XVIII, p. 387 - VUlages, Mœurs,

388,. W2.

Tovl/ouai (Ile, P(.lynésie). Décou» verte pur ''nok, t. X j>.iJ8. Eten* due. Asp( , 100. Naturels. Leurs vjtcmens, "Mrs piru((>i«s sculptées, 101. Feri '•• de sul , XVI . 472.

Ton» {y AU II district de Tebbos, KliorassHH, l'erse). Autrefois impor- tante, t. XXXV, p. 06, 416.

Touraco. Description de cei oiseau , t. XXIV, p. 78,

Tourbet (ville et di trict du Khnras» san, Por.«o/, t. XXXV , p 96, 4l0.

Tous (ancieuuc ciifiir.ile du Klio- rnssan, Perse). Murailles, Ruines d'un mausolée et d'uu minarc ' , t. XXXV, p. 263. Histoire, :i(ii Autre- fois capitale , XXXVII , '. )(i.

TowRsoR. Son voyage en Hon- grie, t. XLVI, p. 127.

7'ra^A<ia(villeduFi /,'/.an\ . XXVII, p. 51. Uiclies tapis , 5().

Traîneau (Ile du , mer de J liring). Nommée par Cook. (Viiiempn Eten- due, t. XI , p. 51. Sol, véf «taux , animkux. Description d!un trioneau , 52. Nommée iiussi Traîneau par lei naturels, XIX, 271.

TraUres{\\9 des , archipel des /* mu). Découverte ]>ar Le Maire , 1. 1 , i>, 300.

Est l'ilo que Wullis a appelc ile Keppel, VIII , 73; XIII , 114- Est basse, 131. Ne doit peut-être pas être comptée dans l'archipel des Amis. Ses habitnns se mutilent le petit doii^t, 149.

Transylvanie (province de l'empire d'Autriche^, Voyage dans l'iutérietir, t. XLIV, p. 91 à 115. Frontière turque, 91, 92. Quarantaine, 95.

Arbre:. Rochers , 94. r— Figure , costume , etc , des bergers , 95, 96. Costume d'une jeune Bohémienne, 97. Voy. au mot Ftohémitns d'au- tres détails sur ce peuple. Forteresse de Rothenthuru (tour rouge), 98.

474

TABLE GÉNÉRALE

Plaines. 105. - Maisons et villagos . 103, llO, 111 Paysans parlant Intiu ,,104. Charrette ,105. Her- luanstadt, 105, 106. Détails sur l'iiistotre et l'état actuel d'une co- lonie saxoue, 106, 107. Belle route, 111. Rivières Deva , 112. llra- niska, 113. Détails liittoriqnes , 233. Uabitans divers, XLVI , 218 et suiv. Sol. Campagne , 224. Origine , caractère , paresse de.s iialii- tan» , 225. Keligion, 236. -^ Sec- taires , 239.

Tras-Os-Moittei (province du Por- tugal), t. XLVI, p. 186.

Trente ( ville du Tyrol ). Détails divers , t. XLV, p. 366. Environs,

397. Aspect animé de la ville. Ta- bleau du Concile. Belle situation ,

398. Jours de fête , 400. Trésorerie ( îles de l'archipel Sa-

lomon ). Nommées par Shortland , t. XV, p. 42.

Trivnnioa (lledcrarch. de la Reine- Charlotte ). Nommée par Carteret , t. Kl, p 150. Avait été nommée le Jardin par les Espagnols , 450.

Trivenen (He du groupe Uerge.st, ou de la Révolution). Nommée par Her- gest. Est fertile, bien cultivée et peu- plée, t. XIV, p. 381. Avait été dé- couverte avant par lesFrançai.s, et peut- être par les Américains , XVI , 134.

Trieste (ville de l'Illyrie, empire d'Antriche) , t. XLIV, p. 334.

TriniJad (île , océan Atlantique). Stérilité du sol, t. XII, p. 41. N'est autre que l'Asceucion , XVllI , 113.

Trinité (ile de la , côte ouest de l'Amérique septentrionale ). Décou- verte par Couk, t. XI, p. 31.

Trinité (île de la , cAte de Co- lombie ). Découverte pur Colomb , t. XXXVIII, p. 176,242.

Trinité (baie de la , Nouvelle-Al- bion , Amérique septentrionale). Na- turels, maisons, pirogues, t. XIV, p. 410, 414. Sol , arbres des en- virons, 413. Mutilations des natu- rels, 415.

Tripoli (Etat de Barbarie). Fruits , Voyage dans le pays, t. XXII, |>. 206; XXllI, 39 et suiv.; XXVII, 1 et suiv., 452 Villes du territoire d'Audjelah, dans le Barca, XXV, 425. Gliirza. Ruines romaines, 451.

Tripoli de Barbarie (capitale de l'Etat). Aspect. Intérieur. Pn i i ce. Beaux environs, t. XXII, p. 206.

Tripoli (ville de Syrie , Turquie d'Asie) , t XXIII, p. 43 , 46. Si- tuation. Maisons. Eglises. Jardins XXXII, 450.

Tristan <i'y#cu/iA(i (groupe de, océan Atlantique méridional ). Découvert parce Portugais. Climat. Productions. Animaux , t. XX, p. 148; XXII , 14. Voy. îles Inaacetsible , Rosngnol , Tristan.

Tristan d'Acunha (île). Etendue. As- pect. Campagne, t. XX, p. 145. Végétaux. Animaux, 149. Popu- lation. Denrées, 151, 152.

Trobriand (île de l'archipel de la Louisiade). Découverte par d'Entre- castcaux , t. XV, p. 266.

Troglodytes. Peuple d'Abyssinie. Adonués au vol , t. XXIII, p. 466.

Troie (ville du New- York , États- Unis). Mont Ida, t, XXXIX, p. 47.

Troil. Ses voyages en Europe , t. XLVI, 77.

TBOT.LOPE ( mistress ). Son voyage aux Etats-Unis, t. XXXIX, p. 384

Trumelin. Son voyage autour du monde, t. XVIII, p. 331.

Tromsoë (ile et port du Nordiand , Norwége), t. XLV, p. 174. - Son commerce, 175. Le dimanche dans cette ville. L'été, Comment on passe l'hiver, 176, 177. Bois d'Amérique jeté sur la côte, 177. Pèche de la baleine, 178 à 180.

Trontheim. Voy. Drontheim.

Traxillo (ville du Pérou). Fondée par Pizarre, t. XXXVIlI,p. 333. Son port. Ses environs , XLII , 2. Mur, rues, édifices , 3.

Tschiboi-hi (île, mer de Behring). Naturels, t XVII, p. 66, 70. —Tentes formées d'os de baleine, 67. Us- tensiles, ornemens , breuvage, danse, 68. Aspect , 71. Vêtement , 73.

Tschiilshy (tribu de l'Amer, russe). Leurs armes, i. XI, p 55, 57. Fig'irc, 58. Vêtemeut. Habitations d'été et d'hiver dressées sur os de gros pois- sons, 59. (>hiens. Canots, 61.

Tschutsky (tribu au nord du Kam- tschatka). Leur pays. Leur occupation t. XI , p. 454 Leur aspect , XVII , 107, 111. ~ Cabanes, 110.— Arme»,

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DKS MATIÈRES.

475

li-

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%:

112. Ûiflieileinent réduits par le* Russes, 395.

Tuab» ( capitale du bas Galam ), t. XXVIII, p. 353, 358.

Taarieks (peuple du Sahara), Ca- raetèrf! , t. XXVII , ji. 33, 35. Vie nomade. Mariages, 36. Voyage dans le pays, 4i8 et suiv. Vallée Sardalis, 46. Costumes. Agriculture méprisée, 47. Gliraat: leur capitale, 47 à 54. Aspect pittoresque du Tadrart , 48. Moûts pittoresques , 48. Langue, 54- Géuent le com- merce de Tembonctou. Armes. Teint. Figure, XXIX, 401, 405. Voy. El- Araouan,

Tacher (Jle , Polynésie) , t. XVIII , p. 181.

Tddeixx. Son voyage eu Asie au xii« siècle.t. XXXI.p. 28.

Tuga (ville de l'Etat de MarocV Vastes et belles ruines, t. XXIII, p. 2Ô.

Tukumaai ( ville des Tibbous du mima - Sahara) , t. XXVII, 71.

Tula (gouvernement de la Russie d'Europe). Voyage dans l'intérieur. Villages. Campagne. Maison des paysans , t. XLIV, p. 363 à 366.

Tula (capitale du gouvernement) , t. XLIV, p. 363. Edifices. Cita- delle. Cathédrale. Population , 364. Aspect, environs, 365. Maisons des paysans , 366.

Tulbagh (yilliige de la colonie du rap de Bonne-Espérance), Maisons Eglise, t. XXVI, p. 70.

Tumbez (v^le de la Colombie). Ha- bitations de la campagne et de la ville, t. XVI, p. 92.

Tungouses (peuple de la Sibérie). Nourriture. Traîneaux. Vie. Village , t. XXXI, p. 284. Barques. Habille- ment. Religion, 286. Chasses. Goi- tres , 288. - Superstition , 288 , 290.

Tunis (royaume d'Afrique) Indus- trie des Tunisiens , t. XXII , p. 192. Ruines antiques , 193, 194. Spentla , 193. Bay-Jab. Kaïrwan. Teintures de Zag-Wan , 194. Qua- drupèdes privées et sauvages , 198. Reptiles. Oiseaux. Insectes , 200. Ruines antiques, XXIII ,29, 31. Tiiga , 29. Arabes indépendaus , 30 Tipassa , 31. Voy. U/ique.

Tunit (capitale du royaume). Pré- cautions sanitaires , t. XXII , p. 192.

Climat. Uah.Uus, XXIII, 27.

TuprA. Taïtien emmené par Cook , t. V, p. 231. Son étonneiiient et son plaisir, ainsi qpie celui de son valet, à Batavia , première ville qu'ils voient, VU, 43. Il y meurt, 48. Regretté par les sauvages de la Nou- velle-Zélande, 305, 314 , 330. Peu regretté des Taitieus, VU, 372.

Tupinitr (ile du gr, Loyalty). Nom- mée par d'Urville, t. XVIII , p. 304.

Turcomanie ( grand pays de la Ta- tarie indépendante). Vie , médecine, femmes , jalousie des Turcomans , t. XXXII , p. 462 Férocité des tribus autour du Khorossau , XXXV, 104, 111. Sont enueniis reUgieux des Persaus , 105. Principales tri- bus, 106. Maisons portatives, 107, 120. Gouvernement, Esprit d'éga- lité. Hospitalité, 107, 109, 314. Richesses, 111 , 116. Etat des femmes, 111, 119. Leur habille- ment ,'112. Costume des hommes, 113. Figure, 114. Armes, 115.

Bous chevaux. Chameaux , 116. Chiens. Excursions , 117. Ma- riages, 118. Funérailles, 119. Précautions contre leurs ravages , 135. Traitement d'un prisonnier, 145. Crainte qu'ils inspirent , 158, 170. Tril>u de Glocklans . 310 à

316, Campement, 311, 318. Intérieur d'une tente, 312. Repas, 313, 319. ^ Soirées. Musique. Chan- teurs , 315. Chiens de garde ,

317. Aspect. Costume , XXXVII , 162. - Villages , 168. Leur état dans le Bokhara, 225. Caractère,

227, 262. Formes et costume des femmes, 227,253 Usages divers,

228 , 232 Voyage dans leur dé- sert. Collines de sable, 234, 241, 244. Esclaves persans , 241. 263 , 277. Puits , 240, 243, 245, 280.

Usent du lait de chamelle , 246.

Campemens, 251, 257, 259. Physionomie , 252, 274. Costumes. Couleur favorite. Chiens , 252. Vie, 260, 272. Tribus diverses , 260. Leurs brigandages , i60, 276 , 285 , 306. Terreur qu'ils inspirent , 262.

Perfidie. Avarice, 262, 263. Mariiiges , 270. Etat religieux , 271. - Festins , 275. Armes , 277.

Voyage à travers les Turcomans de

476

TABLE GÉNKHALE

In mer Caspienne, 503. Discipline, 506. Voy. Shatukhi.

Turcomans-Gloklans, Beauté de leur pays. Leur nombre , t. XXXVII , p. 308. Sont lio!ipitaliers , 310. Dépendent de la Perse, 311.

Turcomans-Salores. Les plus nobles de la race, t. XXXVII, p. 268 Leur suzerain. Leur gouvernement. Leur contrée , 269. Mariages, 270.

Vie, 272. Belle tente d'un chef, 272. Physionomie. Festins , 274.

Turcomans - Sarulcs, Leurs brigan- dages , t. XXXVII , p. 260. - Trai- tement des chevaux, 261.

Turcomans-Tukas. Leurs excursions. Craintes qu'ils inspirent, t. XXXVII , p. 306, 307. Caractère. Femmes , 312.

Turcomans-Yamunds. Soumis par la Perse. Leur nombre , t. XXXVII , p. 312.

Turcs, Combattent les Portugais dans les mers des Indes, t. I, p. 110.

Leur origine. Leur histoire, XXd, 253. Peuples de leur race, XXXI, 22. Leurs dons intéressés , XXXII, 10 note. Sont méprisés des Arabes, 43. Sont hypocrites, 316. Lâche, insolence des soldats, 370, 372. Peuvent remplacer l'eau par le sable pour leurs ablutions, XXXVII, 247.

Manteaux de janissaire, XLIV, 3.

Leur indifférence pour la vie des hommes , 12. Nonchalance, 20. Respect des oiseaux, 24. Supersti- tions, 32, 33. Rareté du vol, 36, 243. Ignorance, 44. Habitudes toutes cotitraires d'avec celles des Européens , 55. Repas turc , 61 , 223. Dureté, 65. Intérieur de leurs cafés , 220. Description du Nargillé, 222. Isolement et re- traite des femmes , 224. Religion des effendis, XLVI, 84. Bains chauds des femmes , 85. Leur riche et belle coiffure. Beauté des femmes , 86. Détails sur l'intérieur des ha- rems, 88 à 90, 108 à 1 14. Paradis des femmes Usage bizarre, 91. Usage de l'adoption Ses causes , 92.

Sont intelligens et vindicatifs , 100. Intolérans, cupides, 101. Muftis, mollahs, imans, derviclics, scheiks, 102. Rareté de la poly-

gamie, 110. Exagération des que- relles de leur famille. Etat, occupa- tions de l'homme et de la femme, 1 M. Conduite du mari quand il à plusieurs femmes, 112. Respect pour le harem d'autrui,115. Amour paternel et filial. Déférences pour les femmes, 117. Condition des femmes des divers rangs, 118. Mariages, 119, 120. Fréquentes répudiations, 120. Promenades. Amour des che- vaux. Interdiction des images. Ses effets, 121. Peinture, sculp- ture. Musique. Proscription des jeux, 122. Alimens, 123. Bois- sons : sorbet, vins , opium , café , 124. Passion pour le café. Grand usage du tabac, 125. Costumes. Respect pour la barbe, 126. Lan- gues parlées, 126-

Turketlan, Voy. Tatarie indépen- dante.

TuRNER.Son ambassade au Thibet,

t. xxxr,p. 419.

Turin (capitale du Piémont, royauiiie de Sardaigne) , t. XLVI, p. 286.

Tuion ( ville de la Cocliinchine). Baie , t. XXXIV, p. 356. Sol. Pro- ductions des euvirons , 357, 358 , 361. Fortifications, 360. Mai- sons. Bazar, 361.

Turquie d'^sieJVoy. provinces à'At- Djezyreh , Arménie , Irak-Akari , Kour- distan , Syrie.

Turquie d'Europe. État des routes , t. XLIV, p. 1 et suiv. 30, 36 , 38. Auberges , 2. Etangs factices , 8 , 10. Villages ou petites villes , 25 , 37, 45, 48, 50,60, 65,67. - Kbans, café.s, 26- Buffles, 31. Monu- ment de Soliman I*"", 38. Cam- pagno, 41. Monts Balkans, 49. Voy. ce nom. Construction des ca- banes de village , 50. ' Transport des prisonniers, 61 , 64. '— Dépo-' pulation du pays, 71. Nouveau costume des soldats , 260. Déclin du fanatisme , 276. Le Moniteur ottoman , 278. Inoculation de la petite vérole importée en Angleterre , XLVI, 83. Vexations des janis- saires, 84. Bains chauds, 85. Troupes défilant devant le Grand- Seigneur, 88. .administration de la justice. Sa vénalité, 102 à 104. Précautions prises pour le maintien

des prol di: v'>ir

Boni

Rarcl

luleii 121. l'usage usage d| vinces davie , chie,

Tver Russie ville. Pij t. XLVIl

TwinI et en Su

Tzana Iles, t.

Tyr ( d'Asie). p. 49.

Tyrol triche), p. 357. 361. Belle; Inspruck Tyrol , 3 animaux de sel de de WilK 380,382 402. S

DES MATIÈRES.

477

des propriétés , 104. Police. Rareté di: ■»->!, sa prompte et terrible piini- î »'I5 à 108. Exécution , 107.

finiinc administratioD civile, 116.

Rareté des femmes publiques, 120. ^luterdictiou des images. Ses effets, 121. Iiitroduction du café et de l'usage de fumer, 125. Langues en usage dans l'empire, 126. Yoy pro-

vinces de Albanie , Monténe'gro ,

hulgarte , Roumélie ,

Mol. Fala-

davie

chie.

Tver (ville et gouvernement de la

Russie d'Europe). Description de la

ville. Productions. Animaux du pays,

t. XLVI, p. 145.

TwiNiNO. Son voyage en Norwége

et en Suède, t. XLVI, p. 29o.

Tzana (lac, Âbyssinie). Etendue.

Iles, t. XXIII, p. 388.

Tyr (ville de la Syrie, Turquie

d'Asie). Estruinée et déserte, t. XXIII,

p. 49.

Tyrol (province de l'empire d'Au- tricbe). Pourquoi peu visité , t. XLV, p. 357. Voyage dans l'intérieur , 361. Campiigne. 362, 376,385. Belles vallées, 362, 382. Zirl. Inspruck. , 363. Détails sur le Uaut- Tyrol, 365 et sniv. Nourriture des animaux domestiques , 367. Mines de sel de Hall , 375 à 380. Abbaye de Wihen , 375. Villages , 375 , 380, 382, 384. 388, 390, 392, 400, 402. Schwatz , 380. Lac Aclien-

sée, 381. Rattenberg, Kunfstein , 381. Multiplicité des cbapeljes , «Toix, etc. , 384, 393. Srezziug . 386. L'Eisach , 386. Brixen. Vignes, 387. MublbacL, 388. Vallée de Pustertlial. Pruncckea , 389. Auberges , 389. La Rienz. Lieuz. La Drave, 390. Tyrol ceu- trHl , 394. Botzen , 393. Tyrol méridional ou Ba.s-Tyrol. Différences , 396, 397, 399. Ruines do Sig- muuds-Crou, 396- Saules pleu- reurs , 397. Trente, L'Adigc , 398.

Belle route, 399. Le Lago da Gunrda , 399. Oliviers, grenadiers, figuiers , 400. ' ' Meran. Maison d'André Hofer, 401. Le Passeyer, 401 , 402. Clurns. Route remarqua» ble,402, 403, Gluns. Nauders. Cé- lèbre défilé , 404. Landeck , 405.

Le Voralberg , 405 Bregentz. Feldrich, 406. - So! fertile, 407. Voy. ^Ij?cs , Inn,

Tyroliens. Costume de ])aysans , t XLV, p. 362 , 364. Différence» du Tyrolien autrichien et du Tyrolien italieu , 365 et suiv. Vie, nourri- ture du paysan du Haut-Tyrol , 367.

Caractère, 367, 406. Mœurs , 368, 406. Amusemens. Drames sacrés , 369. Concerts , 369. Travail délicat des paysans , 374. Costume des paysans de la mon- tagne , 383. Dévotion , 384 , 406.

Esprit , 407.

u

%

Ubi {\\e, mer de Chine. Aspect. Costume Idoles, t. XXXIV, p. 88, 90. Productions, Graines trouvées dans le plantain, 92 à 95. Pigeons, 94. (Jbservatiou.s botaniques , 95.

C/t/ir/ct (groupe d', îles Radack , archipel des Carolines). Découvert par Kotzebuc, t. XVII, p. 207 et suiv.

Uittnhage (ville de la colonie du Cap). Effets de la guerre contre les Cufres , t. XXIX, p. 326.

Ukraine ou Petite liussie. Voyage dans le pays, t. XLIV, p. 369 et suiv.

Palais du dernier hetmau,371.

L'Ukraine comprenait les gouver- nemcns de Karkhov , Kief , Podolie , Pultava et Toherniguv. Voy. ces noms.

Uliétéa (ile, archipel de la Sgciété). Découverte par Cook , t. V , p. 325 , 335. Cimetières. Coffre semblable à l'arche d'alliance , 356. Voy. Hua- heine. Trophées de guerre, 337.— Aspect de l'ile, VIII, 3. Représen- tations théâtrales, 5, 7, 15, 281. L'insulaire Œdidce s'embarque avec Cook, 24. Arrioys ou sociétés se- crètes, leur but immoral, 263, 272, 274 et suiv. Les femmes se font des blessures eu sigue de deuil , 273. Manière de tuer et rAtir les porcs, 288. Idoles. Esclaves, ,291.— Classe de savaus, 291. Religion , 295 et suiv. Prêtres, 298, Etat de l'ile au troisième voyage de Cook ,

478

TABLE GÉNÉRALE

, comparé à celui il l'avait trouvé, X, 200. Conquise par les naturelw de Bolabola, 203 et siiir.

Uman (tïHc du gouvernement de Kief, Russie d'Europe), t. XLIV, p 384.

Uméa ( ville du Norland suédois ) , t. XLV, p. 330.

Umiir ( ville du Rajpoutana, Hin- doustan ). Belles ruines. Mendiant, t. XXXVI, p. 319.

Ummtirghur {sWlo du Riijpoutana, Hindoustaa). Jolis temples. Fabrique d'indienne. Fort, t. XXXVI, p. 336.

Umrestir. Voy. Amnisir.

Vptal (ville de la Suède). Environs, t. XLV, p. 534. Restes, de Linnée. Cathédrale. Population. Château, 535. Jardin botanique, XLVI, 152.

Uruguay ( afflueut du Rio de la Plata), t. IV, p. 14; XXXVIII, 66, 68.

UnviLLK. (Dumontd*). Résultat de son voyageautonrdumonde,t.XVIII, p. 188. Résultats des principaux navigateurs, 190 et suiv. —Relation de son voyage . 206. Monille à la Nouvelle - Hollande, 215. Ddtane l'histoire de l'établissement des An- glais , 219. Décrit la Nouvelle- Zélande et ses habitans , 237 à 283. L'ile Touga-'l'abou et ses habitant,

283 à 298. Délermine la position do plusieurs Iles dans l'archipel Fidgi, 298. Nomme les Iles Chabrol , Halgan et Tupinier, 304. L'tlu Adèle, 506. Reconnaît les Iles Lan- ghlan, 307 —La côte nord de la Nou- velle-Guinée, où il nomme plusieurn lieux , 309. Découvre le lieu du naufrage de La Pérouse, 338.

Urville (lied', Carolines). Décou- verte par Duperrey. Étendue. Belle végétation, t. XVIII, p, 179. Est formée de trois iles, XX, 201 . Voy. ffettervelt.

Usbeks (peuple de la Boukharie). —Manière de boire le thé, t XXXVII, p. 145. Costume. Air martial, 146- Cour d'un chef , 147. Carac- tère, 149, 173, 198. Amazones La- kays, 168. Figure, 173. Costu- mes, 181, 182. Usages divers, 232, 301.

Ushruff. Voy Asehrejy.

Uspallata (ville de la Plata). Stéri- lité des environs. Mines. La Cordi- lière , t. XLI, 350 et suiv,

i7/««a ( ville du New -York, Etats- Unis). Chutes de Trenton, t. XXXIX, p. 51. Beaux environs, XLI, 268.

Utique, Son emplacement dans l'Etat de Tunis , t. XXII, p. 190. Quelques ruines, XXIII, 26.

yalachie (province de la Turquie d'Asie). Voyage dans l'intérieur, tom. XLIV. p. 71 à 91. —Le Danube, 71, 72. Villages et cabanes, 72, 74. Sel fossile. Giurgevo, 72. Singu- lière voiture de poste , 73. Aspect de la campagne, 74, 82, 83 , 200. Paysans, 74, 75 , 84 , 8M, 89 , 202. Villages de Bolentine, 80. Monts Carpathes, 81. Pitesch, 81. An- cienne capitale, 81, 82. Salatrouk. Prepora, 85. Paysans qui parlent latin. Goitres. Crétins, 84. Croix sur les chemins, 86. C^s'umes, 86, 90. Rivières, 87. Étendue du pays, 88. Animanx , population, caractère général , 89. Religion, langue. État de rinâtrnotioii , 90. Costume de paysans, 172. Bergères, 178. —Porte de fer du Danulie, 200.

Ruines du pont de Trajan , 203-

Rives dn Danube, 205. Détails historiques anciens , 233. "figures. Formes de» Valaques, 233. -■ Carac- tère , 234. Habitations , 235. Meubles, 236. Fainéantise. Prin- cipales occupations , 236 , 237. Nourriture, costume des deux sexes, 238, 239. Ornemens des femmes , 240. Vétemens d'hiver, 241. Voy. Buhharest.

Falenoa (ville du Brésil). Indien.^ civUisés, t. XLII, p. 240. Savon dn pays, 241 . Marchés à esclaves , 242.

Dames indigènes, 243.

Faïence (ville d'Espagne ), t.^XLVI,

p. 176.

f^alence (prov. d'F.spagne). Voyage dans l'intérieur, t. XLVI, p. 176, 1H4.

Mnrviedro. Alicante, 177. ' i<-

11

DES MATIÈRES.

479

t.^LLVI,

t

ractère, figure, cotiume dei Valcn- ciens, 184.

f^alencia ( lac dn Venezuela, Amp- rique mérid.). Son étendue. Beauté de ses bords. Ses Iles, t. XXXVIII, png. 366. Singes, 370.

Falencia-Nueva (villedu Venezuela). Sa description. Population, Fonda- tion, t. XXXVm , p. 367. Abon- dance des fourmis, 368.

Falparaiso (ville du Cbili). Sa si- tuation. Village voisin, t. XIV, p 475.

Uorre.ir des côtes voisines , XVI , 27. Situation de la ville. Quelques usages de ses liabitans, 34. Détails sur la guerre de l'émancipation , 390 et suiv. - ' Bel aspect de la c6te. La baie. La ville, XLI , 375. Lutte de Taureaux, 376i 378. Instrumensde musique. Chants, 377, 378. Orages, 379. Maisons, 380, 382. Carac- tère, industrie des habitans, 380,382.

Cliaumières, 381. Éducation , 283. Montagnes des environs, 406.

Vancouver . Résumé de son voyage, t. XIV, p. 1. Longe et décrit la cAte sud-ouest de la Nouvelle-Hol- lande, et donne des noms à plusieurs lieux, 14, 32 et suiv.— Nomme le port de Georges III (Albauy), et en prend possession, 21 . Nomme le cap Hood, 29. Découvre les Suares, 57. L'île Oparo, 61 . Son séjour à Taïti, ()7 etsniv. Fait connaître les rlian- gemens survenus à Taïti depuis l'ar- rivée des Européens , 108 et suiv. Même remarque anx S.'tndwich, 137.

Reconnaît e<t décrit la càte de la Nouvelle-Albion, et uommc plusieurs lieux, 14t. La pointe, la baie Saint- George, 151, Reconnaît en détail le bras de mer qui sépare l'île de Quadra et Vancouver du continent américain, et nomme un grand nom- bre de lieux, 168 à 321. Explore et fuit connaître son opinion sur le prétendu détroit de Fuca, 169etsniir., 177 et suiv. , 183. -- Nomme et dé- crit le havre de lu Découverte, 189, 211. —Le port TowDshen, 198. La pointe du Mauvais-Temps, 200. ReconuHÎt la côte de la Nouvelle- Géocgie , en prend possession et lui donue le nom qu'elle porte , 226 à 248. Poursuit la reconnaissance de la côte d'Amérique, et donne des noms

à plusieurs lieux , 249 et suiv. Nomme après l'avoir exploré îe détroit de la Reine-Charlotte, 321. Décrit les missions do la Californie , 340 et suiv, Reprend la reconnaissance des côtes d'Amérique, et nomme plu- sieurs lieux, 409 et suiv. Grande excursion en canots, 436 et suiv. Nommela Nouvelle-Hanovre, 451. La NonveIle<CornoMailles, 452, Reconnaît que la rivière deCook n'est qu'iiue baie, 458. Voy. Broughion,

f'an/A'oro (groupe, îles La Pérouse). Iles du groupe, t. XVIII, 341. Dé- couvert par Edwards. Naturels. Mai- sons, 342. Religion. Langue, 344, Voy. îles de Pitt, de la Recherche,

f^anrkoro (île, dite ^anïco/o, groupe Vanikoro). Lieu du naufrage de La Pérouse, t. XVIII, p. 338. Carac- tère des indigènes, 377. Aspect, 392. Figure. Ornemcns, 378. E»t l'île de la Recherche de d'Entrecas- tcaux, 385. Son aspect, 392.

f-'arinas ( ville du Venezuela ) , t. XLU,p. 432.

f orna (province delà Turquie d'Eii- rope , Bulgarie), t. XLIV, p. 62

Varsovie ( capitale de la Pologne ), Sa description, t. XLVI, p. 138.

Vassilkov (ville du gouvernement de Kief, Rus.sie d'Eur.), t. XLIV, p. 382. yavao (île, archipel des Amis). D*"- convertepar Maurelle, t. XIII, p. 137. Renseignemens recueillis par Cook, X,45.

Vayag (îles de la Malaisie), t. XVIII, p. 75.

Veaux marins. Donnent nne huile excellente, leur peau forme une très belle fourrur»', t. III, p. 104. Leur description, IX , 98. Manière dout ils dévorent leur proie, XVI ,114.-— Trace sur les petits des blessures de !a mère, XX, 43. Disparité de taille entre le mâle et la femelle. Leurs amours, 44. Finesse de l'o- dorat et de l'ouïe. Deux espèces de veaux. Précautions dans leurs cam- pemens , 46. Mœurs. Portées de la mère, XXI, 215, 264. Accouple- raens. Grognement , ,\XXI, 387. Fegen (île de la Norwége), t. XLV,

Vendola (une des îles de l'/imi- rauté ). Ktendue. Aspect. Climat,

fi

480

TABLE GÉiNÉRALE

t. XV, p. 53, 56. Naturels se cou- vrent les parties naturelle." avec une coquille, 56.

P'enézH^ln ( république de l'Améri- que incriiîinnale). Découverte par Ojeda , toni. XXXVIII, p. 243. - La Guayrn, 363. Belles fleurs. Lac , 366. Belles vallées d'Aragun, 366,

369. Liiit végétal, 369. Singes,

370. Llanus de l'Oréuoque, 371

Caluboso, Pois.sons électriques , 376. Crocodiles. Boas , 377 Barcclona, 385. Progrès de la po- pulation , 387. Productions , 397 et suiv. Con.soiuinatiou de la viande, 401- Beauté du littoral , 402. Commerce, 403. Saisons , XLII, 399. Divers Labitans , leur nom- bre, 403- Indiens, leur culte d'un génie malfaisant et leurs médecins, 414. Varinas, 432. Llanos de Cumana. Saisou des chaleurs, 433.- Torpilles, anguilles électriques, 435. r— Saison des pluies , 438. Voy, Ca- racat, capitale; Cumana^ Porto Cabello, f^aleni'ta.

Fenise (ville du royaume lombardo- vénilien), t. XLIV, p. 336 et suiv. , XLVI. 267, 268.

Vera-t vuz (ville du Mexique). Fon- dée p.ir Cortez, t. XXXVÎII, p. 392. Pic de l'Orizaba, XLI , 5. Aspect, 6, 12. ^ Promenade publique, 8. Détails hi.storiques , 9. La posada , 10 Marché. Cathédrale. Maisons,

11. In>alubrité du climat, 13, 109.

Population, 14. Vautours pri- vés, 15. Environs sablonneux, 16.

FerfoHen (lac delà Suède), t. XLV,

p. 37.

Vert (cap, Afrique). Découvert par les Portugais, t. 1, p. 12, 23. Ori- gine de .son nom, XXII, 11.

Vert (îles du cap, Afrique). Décou- vertes par les Portugais, t 1, ]). 25, XXII, 12. Sol et productions des îles , t. Vil, 180. (Connues des an- ciens, XX, 104. -Sol. Climat, 114.

Population, 118, note. Ont été découvertes par Ça-da-Mosto, XXII ,

12. Voy. iles Saint-zinloine, Bonavista, Brava, San-Iitgo, Sainte-Lucie, Saiitl- Nicolas, Sel, Saint-Fiiicent.

Vertes (îles, Afuérirpie septentrio- nale , ouest). Découvertes par Cook , t. X, p. 451.

Vksmio* ( Améric ). l'île Fernando-Noronlia

Découvre ■Noronlia, t. IX, p. 155.

Vtst-Fiord ( golfe du INordland, Norwége) , t. XLV, p. 16/?, 166.

ViAiiLA. Son voyage dans le pays des Monténégrins , t XLVI, p. 240,

Vianiski (ville du gouv. de Moscou, Bussie d'Europe) , t. XLIV , p. 470.

Victoria (ville d'Espagne), t. XLVI. p. 172. '

Vidin (ville de la Bulgarie, Turquie d'Asie). Del aspect. Soldats. Danses, XLIV , p. 207. Figure, costume , salle d'audience d'Hussein-Pacha, 211 à 214. Harem du pacha, 215.

Vienn» (capitale de l'empire d'Au- triche). Aspect de la ville. Le Prater , t. XLIV, p. 132.

Vierges (cap des, détroit de Ma- gellan). Sa position exacte, tom, IV, p. 130. Sa description, 132. Sa distance du cap Pilares à l'autre ex- trémité du détroit, 105.

Figten ( îles de la Norwége) , tom, XLV, p. 1 17. —Sont fréquentées par des rennes en été, 118.

Villa-Nuera de los Andes ( ville du Chili). Rues. Place. Soldats, t. XLI, p. 368.

, Villa-Rica (ville du Paraguay, Amé- rique méridionale). Aspect délabré, t. XLII, p. 291. Description , 292. Ancieuue splendeur , 293. Dé- moralisation, décadence, état actuel un peu meilleur, 294. Cavernes du voisinage, 295.

Vitlaumez (île, archipel de la Nou- velle-Bretagne). Découverte par d'En- trecastcaux, t. XV, p. 275.

Villa- Vicentia (ville de la Plala). Poste. Environs. La Cordilière, tom. XLI, p. 344 et suiv.-

Ville-Neuve (ville du Fezzau). Phy- sionomie des femmes , t. XXVII , p. 41. Maisons, 42. Habitation souterraine , 43.

VHley(ï\e de la terre de Sandwich). Découverte par Fanniug , t. XXI , p. 455.

Vincent (une des îles du cap Vert), t. XX, p. 107.

Fintain (ville foulah sur la Gambie, Sénégambie). Sun commerce, t. j^XV, p. 24,

Viti. Voy. Fidgi.

Virginie (un de8,Etats-Unis).Voyagc

#

DES MATIERES.

481

dans l'intérienr. Fréderick»burg , t. XXXIX, p. 271.— Mauvois état des routes, 273. Citadelle immcose d'Old-Point-Comfort, 279. —Beauté de la campagne, 431. Beauté et Tariété des fruits et des fleurs, 432. Insectes. Oiseaux-mouches. Vers luisans, 434. Voy Richmond , capitale.

F'oleaH ( ile du , archipel de la Nourelle-Bretagne). Découverte par Le Maire, 1. 1, p. 321. Habitans. Laideur des femmes, 322. Erup- tion du volcan, XV, 272.

yolean (ile du , archipel de la Reine- Charlotte). DécouTcrte par Carteret, t. Kl, p. 134.

Volga (fleuve de la Russie d'Eu- rope), t. XLIV, p. 464; XLVI , 145.

yoi.RBT. Son voyage en Egypte , t. XXII, p. 215.

. FoT9iudjt ( gouvernement de la Russie d'Europe). Voyage dans l'in- térieur, t. XHV, p. 456. Villages , 456 , 459. Grande fonderie de canons, 456. -- Belle et fertile cam- pagne, 456, 458. L'Aidara. Danses. Starobelsk, 457. Colonie alle- mande , 458. Domaine de Mi- lenetz , 459. Zadonsk, 460.

Voronedje (chef-lieu du gouverne- ment). Magnifique aspect. Popula- tion , t. XLIV, p. 458. ~- Rue princi- pale. Cathédrale , 459.

Fctgei (montagnes de la France) , t. XLV, p. 337; XLVI, 25. Hau- teur des principaux points, 43.

Voitizza (ville de la Grèce). Fa- meux raisins, t. XLIV, p. 316. Platane immense, 317. Environs, 318.

w

>. f'-:^

W. Chercber i Ou ou k 00, les mots qu'on ne trouverait pas à ff^

fFadi-Maitonk (lieu du Darfour , Soudan). Fourmis blanches, t. XXV, p. 395.

fVadi'lUuna ( ville du Hedjaz , Arabie), t. XXXII, p. 50, 54. Abraham y rencontre le démon, 219.

Halte de la procession générale des pèlerins de la Mecque , 219 à 222.

Vallée. Mosquée. Traditions, 223.

Séjour des pachas Soleïman et Mohammed- Ali, 226 et suiv.

fVahabittt (tribu de l'Arabie). Ne vénèrent point Mahomet, t. XXXII , p. 291.

Wtùgait (lie, mer de Baffib), t. XL, 1^2.

fVaigîov. (une des îles des Papous). A peu d'habitans, t. XV, p. 289. Leur laideur. Maisons. Costumes. Re- ligion, XVIII, 77.

fFaïhou. Voy. Pâques.

fFaldubba ( village du Wogora , Abyssinie ) Moines. Retraite des grands disgraciés. Maladies, t. XXIII , p. 271.

fFallaee ( une des îles du Mas- sacre). Achetée par Morrell des insu- laires qui l'attaquent ensuite , t. XX , p. 341,361.

Wallis. Décrit les deux c6tes du

XLVI.

détroit de Magellan , t. III , p. 247, et

«Eticulièrement les endroits il ,t uillé , 277. Découvre l'ile de la Pentecôte, 292. L'Ile de la Reine- Charlotte , 297. Les lies d'Egmont, de Glocester , de Cumberland , du Prince - Guillaume - Henri, d'Osna- bruck , 302 et suiv. Découvre et décrit l'ile de Taiti , 507. Reçoit la Reine à son bord, 340, 347 à 349 , 359, 361. Est traité à son tour par la Reine. Description de sa réception et de la maison , 342 et suiv. En- voie son contre-maître en expédition dans l'ile, relation de cette expédi- tion, 351. Découvre l'Ile deCharles- Saundeis, du Lord-How, de Scilly, de Boscawen; etc., 379. Découvre l'île de Wallis , 384, 387. Les ile>> Sunday , Small-Key , Long-Island , New-Island , 396. Donne la table des latitudes et longitudes des lieux qu'il a visites dans son voyage, 418.

fFalUi (ile au nord de l'archipel des Amis). Découverte par Wallis , t. III, p. 384.

fFallis (îles delà côte de la Nouvelle- Galles du sud). Découvertes par Cook., t. VI p. 370.

Walsb. Son voyage au Brésil , t. XTjII , p. 81. Reçoit audience de don Pedro , 369 et suiv. ^

31

^V

4-

4^2

TABLE GÉNÉRALE

Vfitun. Son Toyage de Coastanti- Boplera Angleterre, t. XLIY, p. 1.

^«MiM ( fie du groupe de« GalU- paKo.),I.XVI p.88.

ITMgtH (vitle de BaTÏira) , t. XLV, p. 889.

if^aihiitgto» (chef-lieu de la Co- lombie «t capitale dea ittats-Uois). La cour suprême , t. XXXIX , p. 233 , 240. Singulier aipect de la ville , 241, 428.— CapitoIe,242, 246.^ Si- tnatioB de la Tille, 242, 431 . Visites an président , 243. Ridicules eiigences républicaines , 245. Cbumbre des représe ...ns , 247. Police du congrès, 248. Eloquence verbeuse et nitile des orateurs : ré- flexions , 250 à 254. Lnnçs débats à propos d'un tablenn , 255 a 262. -^ Vente d'esclaves à l'enchère, 263 à 270- Canards des environs , 270.

Églises, 429. Obsèques d'un naembre du congrès , 430.

ffathington (îles, Polynésie). Dé- couvertes par Panning , t. XXL ,

p. 450. m

ff^aiitbou (ville du Bambara). Cm« ture,t. XXV, p. 214.

If^alttoo (Ile de l'archipel Mangia). Découverte par Cook , t. IX , p. 29/, 914. Habitans, vétemens, orne- mens , 301 , 806. ■— Reçoivent les étrangers en chantant et dansant , 300, !H)4 , Tatouages , 307. Armes, 809. Pirogues , 810. Arbrfi, 310. Productions. Sol, 811. Croyances religieuses des ha- bitans, 315.

WATKiira (Patrick). Ses aventures ntraordinaires,!. Xvl, p. 51 etsuiv.

'WATtiKTOir. Son premier voyage i Fonést delà Guiane, t. XLI, p. 173.

S'enqulert du lac Parima (Eldo- rado), 200. 202, 204. —2« Voyage au Brésil fet aux Gnisnes, 217. 8* Voyage , 255. «^ Chasse le s«r-

rat , 251 i 258. Le caïman , 2&9 265. 4* Voyage aux États-Unis et aux Antilles, 266.

fFama , fFamo» ou Oaaoua (ville et province du Bonrgon , Soudan) , t. XXX, p. 232. Réception des étrangers , 234. Course de che- vaux, 287. Politiqtie du roi , 239.

Productions, 240. --' Détails sur l'anciani^e religion. Cérémonies. Su-

perstilion», 241 .Funéniillrs. llariagefi, 344. Est distinct da Bonrgon, 247. Maladies , 287. Médecine , 288.— Voyage de Clapperton , XXVIII, 163 et univ. Deuil des femmes , 196. Fameux poison , 167. Popula- tion. Rues. Maisons. Mariages. Maurs, 168. Emploi des esclaves. I^iourri- ture, 171. —-Troupeaux des esclaves. Armes. Langue. Religion , 172. Voy. L*¥êr.

ffatm ( joli ville dn Zeg-Zeg , Sou- dan), t. XXVIII , p. 278.

WiDDii.ii. Son voyage vers le pèle snd, t. XXI , p. 200.— -Nomme quel- ques points, 213 et Muiv. 294. Nomme l'île Smith's, 271.

Wtntr (lac de h Gotliie , Suède), Chute dn Trolhatta. Ses bords. Ses dimensions , t. XLV, p. 9. ■— Rivières qui s'y jettent, 10. Aspect, 31.

IVtnooatti* on Otalcootaia (Ile de l'archipel Mangia ). Découverte par Cook. Productions, animaux, t. IX , p. 316 et suiv.

WERT(Sebald de). Son voyage au- tour du monde , 1. 1 , p. 220.

fFtslt}9iUe (mission dans la Cafre- rie), t. XXIX, p. 282. —Ecoles, 284 Service divin. Poésie cafre , 285. Aspect ii l'établissement, 295.

ff^«tUra» ( chef liemide la Westma- nie , Stiède ). Magnifique cathédrale , t. XLV, p. 15

ffesientlt ( groupe, lies Carolines). Vu par Morrell, mais découvert par Dnperrey qni le nommai île d'Ur- ville,t. XX, p. 201.

fFett-Point t ville du New-Tork, Etats-Unis ). Son école militaire , t. XXXlX,p. 33,34.

fF'icaiumish ( havre , Amérique sep- tentrionale O.). Richesse dn sol de ses lies. Pudeur des femmes. Occupation , des hommes, t. XIlI^p. 350.

fFielittka ( ville de la Pologne). Ses mines, t. XLVI, p. 138^

WiLsoN. Son iiaufrage aux Iles Pelcw , t. xni , p. 377. Reçoit dn roi l'ordre de l'Os , 380. Recon- struit s >n vaisseau et revient en Europe avecL)e-Boo, fils du roi, 386. Intéressans détails sur Lee-Boo , 586 à 41(J' ■— Bonté des insulaires pour rér;nipage, 391 et suiv. WiUou

h'.ï;

*

îf^

DES MATIÈRES.

4M

traniparte l«s nremiart mUtionnairn dans la mer dn Sud, 485. Dé* couvra les Iles du Croissaot , Gam- bier, Soarl , 440.

ff^illigAt ( ville dn Boarnou , San» dao). FortifioatioBS, (om. XXV H, I> 246. » BenuB arbres, 247.

ATomJU//** (ila, Polynésie). Dé- couTtrte par Carteret, t. III , p. 140.

WiMiior (Tille de U NouTelle- UaUes do sud ), t. XLIK , p. 37.

ff^iiitmitrg ( royaume de , Allema- gne, t. XLV, p. 539.

^<d</i'M/i*(gouTeraement de la Rus»

sie d'Knrope). Voyiige dans llaté-

rieur, t. XLIV, p. 461 à 464. Mu-

rong, 463. Grebatof, 46V. Go-

ochoreta, ^70.

lyiadimr ( ohef«lieu dn gouverne- ment). Situation. Rem{>arts. Rues, t. XLIV, 461. Palais archiépisco- ]>al. Cathédrale. Population. Jardina , 462.

ff^oahpu (Ile de l'archipel Sandwidi). Découverte par Cook , t. X , p. 295.

Bel aspect d'une c6te, t. XI, p. 246.

Stérilité d'une autre côte. XIV, 122. Bonne culture { sol , produc- tions, 125. Naturels peu prevanans, 128.— Port de Haoaruro, XVII, 426, XIX, 873, 378.— Progrès de la civili- aatioa, XVIT, 428.— Progris du luxe, 433. Eôsidence royale, 435. -> ConverrioB de la reine à la religion chrétienne , 438. Comment elle va à l'église, 440. -' Détails curieux sur la reine, 445 et buiv. Domination anglaise, 456. Décret pour for- cer à apprendre à lire , 457. -^ £ta- bliSHement du christianisme , XVIII, 97.— Progrès du luxe, Jeux. Danses, 98. Funérailles, nourriture, 100. Forme , 382. Progrès du luxe, XIX, 352. Ecoles, 35a Leur assujettissement, 359.- Les naturels .«'émancipent , 360. Vétemens du peuple, 374. Marine. Commerce, 375, 376.

fFoggora ( province d'Abysiini* ). Voyage dans le paya. Uauza, ton. XXIII , p. 257 et suir. . agari, 258. Waldubba Moine», .etraita des gran4a disgradéa. Maladies , 371. Signification de son nom, 286. •— Ville de Saint-Georgt. Chapelle dé- diée k la sainte Vierge, 289. •> Ani- maux nuisibles , 292-

^«(/It (Iles, archipel Dangereux ). Nommées par Beediey , tom. XIX , p. 150.

WoMTOirKCHArr (nias). Ses voya- ges, t. XLVf , p. 155.

fVonjtrqiu on thfuat hilligtt ( villa du Bonrgou, Soudan ). Passage à gué dn Niger, fêtes à cette occasion , ton. XXVlII,p.l85,XXX, 283.

IVooii* (ville duXanem.— Bnnr< uuu, Soudan). Marché, t. XXVII,

SI. 105. Situation. Naturels, 106, 122.

fFoulU ( royaume de la Sénégam- bie). Voyage dans l'intérieur, t. XXV, p. 52 et suiv. , 330 et suiv. Villes. Productions , 52. Gouvernement. Etat des personnes, 53. Kolor. Singulière répression des troublée domestiques , 58. Animaux , 83.

Voyage dans l'intérieur . XXVIII , 313. Barra-Cunda, 814. V. jtf/. diiM, capitale.

froHrali. Poison végétal. Prumpti* tnde de ses effrayans effets , t. XLI , p. 173, 189, 212. Indiens qui s'en servent. Sa composition , 205 è 208.

Sou usage, 208 , 212. Anti- dotes, 214.

iFow ( ville de la côte des Esclaves, Guinée ). Maison du chef. Crânes hu- mains servant d'ornemens , t. XXX , &35. Marché. Denrées. Règle» eut dn fétiche , 36- fFmrh ( ville du Rajpuutana ). En- virons. Fortifications, t. XXXVI, E. 501 Lépreux. Porte. Misérable azar. Beaux jardins. Musulinans , 302.

.H

Xj/uji<i. Voy. Jalapn.

Xaitteo ( |>rovinee du Mexique ^' , t, XIX, p. 476.

481

TABLE GÉNÉRALR

^««•(«(payt dn HaontM, Soadao). Cannibaliune. t. XXVII, p. BM.

Yak. Boaf k qneue ttfnffue. Sa deMription. Soa utilité, t. XXXI, p. 426, 428 et suir.

FcMio ou y»mbo (port du Hedjai. Arabie ). Histoire. Ktat actuel , tom. XXIII , p. 136. Maisons de cam- pagne des kabitana à Rnddna , 186.

Ravagé par la peste, XXXII , p. 348, oâS- Prescription de la religion i son sujet. Raison de l'ab- sence de quarantaine, 354. Sacri- fice d'une cbamelle à raison de la peste. Situation de la ville , 857. Maisons. Habitans , occupations. Mœurs, 358.— Commerce. Environs. Puits , 360. Climat , 362.

YmmiHn (ville du Bambara). Bel aspect, t. XXV, p 259.

YûnaoH ( ville du Bengale , Hin- doustan ). Etablissement »ançais. Si- tuation. Jolies maisons. Commerce. Bayadères, t. XVIII . p. 436.

Yaiti (royaume de la Sénégambie). Voyage dans le pays. Pisania. t. XX r, p. 26 etsuiv. —Sol fertile, 28. Productions , 29. Préparation de la farine, 29.— Animaux domestiques et sauvMges , 30. - Inrisprudence. Avocats , 37.

Yam-Marou (yïlle du Fouta-Djai- lon , Sénégambie). Couleur des Labi- tans. Mobilier. Vétemeas,t. XXVI II, p. 302

Yahg-tte-ICiaHg (fleuve delà Cliine). Beauté de ses rives, t. XXXIII, p. 402.

Arbre à suif, 404. Rocker cu- rieux , 405. Largeur commune. Iles,' 407. Étendue de son cours , 478. Belle île. Cotun nankin, 479.

laouW (royaume du Bourgou, Sou- dan). Voyage dans l'iqtérieur, t. XXX, p. 181. Cbatne de montagnes, 181.

Iles, 185. Productions, 186. Bornes. Gouvernement.' Armée, 212.

Guada, 216. Manière de conser- ver le blé, 218. Habitans cambriens, 219 et suiv.

Yaourt (capitale du royaume). En- virons, t. XXX, p. 189. Demeure (lu sullau , 193, 2(0 , 213. Recker-

cbe des papiers de Mungo - Park , 194, 199.— Désir de retenir les voya- geurs, 204. -r- Grande étendue de lu ville. Industrie. Denrées. Maisons , 212. Arbres. Population, 214.

YarrilM ( royaume de Guiuée ). Voyage dans le pays. Puka. Costume du chef, t. XXVIII, p. 117 à 152.— Belle campagne , 120, 182. Labou. Visite au chef, 120, 121.— Sculptures, 123.— Manufactbres, 124. Émadou , 126. Assniah , 127. Chaki, 130.

Fleurs de l'arbre à beurre , 132. Atepa, 133. Bornes. Arbres. Sol . 142. ■— Animaux. Productions. Gou- vernement. Figure des naturels, 144.

Religion. Funérailles. Mariages , 148. Homnjages des chefs au roi , 150. KuRiWe de femmes du roi , 279. rtour, Uure des habitans, 280. Autre voybjjn <\ans le pa>s, XXX, 48 à 123. —f Clhuix des délégués gou- verneurs, 49- Chew, 59. Métiers à tisser , 60. < Oeuil des mères , 61 , 66. Jadon. État des veuves de chefs. Lours privilèges. Co8tume,4 de natu- rels. Hippopotames, 63, 64.— Produc- tions, 6d, 80, 83. -r Dufo. Animaux domestiques, 74. Cbaadou, 75. Singulière coutume, 76. Féticlies , 77. Chekki, 79. Couson , Sft- Maisons, 91 .— Célèbre marché d'Ée- tcbu , 96. Progrès des Félatahs dans le pays , 108 et suiv. Femme à peau ronge, 1!4< Acba, 115, 118. Indice sur un barbare ujage à la mort d'un chef. Superstition, 121, 460. Léoùadda, 134. Comparai- son des naturels avec ceux du Bour- gou , 143 et suiv. Bajcbo,305, 306. Lcechey. Résidence du chef. Canots, 509, 310 -r Fameux mar- ché de Bocqua , 387, 391. Palaver (conseil de guerre des naturels de toutes ces contrées); 419 et suiv Mauière de faire le commerce , 427. Voy. /ilquemi, Bohou, ancienne capi- tale ; Egga , Jannah , Kakunda , Ka- tunga, capitale; Kirri.

Ycletz (ville de la Russie d'Eu- rope, t. XLIV, p. 460.

DES MATIÈRES.

48

Y*Mt (f iU« du Boaraon, Soudaa), I. XXVII,p.lS6.

Y^tralMHêdmr (ville do Caaoaia , Ratùe d'Enrope ). t. XLIY, p. 439. Coitame de princei rircassMa» , 440. Trétor public , 441. Ruea m«w maitoiu, ÉtabliMement de* Coiaques , 442. FortereMe, 450.

YémiM on Arabit Utyrtui», Voyage le loDg de la c6te oueft,t. XXIII, p. 1 37. Konfoduh, 141. iJecian, 145. Figure, costume de« femmei. Par- fums , 148. Voyage dans le pays , XXXI , 239. •— Mouab : résidence royale , 240. Climat, 325. Habi- taus jtiifa, 327. Caractère. Foires, S28, Du la Tirginité, 381. Hospitalité, 332. Maisons , 835. Provinces « 336. Route de la caravane pour la Mecque, XXXII, 194. —Pays que traversent les pèlerins. Costumes de quelques tribus , 378 et suiv. Voy. Lohtia, Moka, Smm, capitale.

lAùkalê (ville du gouvernement de la Tauride. Russie d'Europe ) , tome XLIV, p. 434.

K#oii (rivière du Bournon, Soudan), t. XXVII , p. llO.-r- Manière d'y pé- cher , 315. Forme des lacs, 326. Nasses pour les poissons, 346. Ses

sources, 357.

Yeou (viUe du Bournou), t. XXVII, p. 110.

Y*Md (ville et district du Kliorasaan,

Perse ), Sol. Disiriot floriaaaat, torac XXXT, p. 418.- FortiaoatloBs. Po- pulation. Desoeadans des Ghèbres , 415. Lieux remarquables. Climat , 415.

York (Ile du Duo^d', groupe des Gallapagos). Nommée par Co irley,t. I,

' Ferjl' ( Ile du Duo d\ Polyaésie^. Découverte par Byron , t. III, p. 82, Figure des babluns ,%VI,<MO.

York (Ile du Dno-d' , arclupel de la Nouvelle - Bretagne). Découverte et décrite par Carteret, t. lit, p. 150.

York (Ile du Duivd', Polynésie). Découverte par Edwards, tome XllI, p. 425

York (capitale du Haut-Canada ). Indiens des environ*. Leurs usages , leur conversion , t. XXXIX , p. 86 et suivantes.

KofMiaaii^ (ville du gouvernement de Kberson, Russie d'Europe). Colonie co- saque, t. XLIV, p. 387.— Description de la ville, 388. Campagne , 389.

YoiA-Fang ( ville de la Chine ). Pa- gode, t. XXXIII , p. 389, 390.

YouHg-fyutianu ( groupe des Iles Caroline»), itteudue, t. XX , p. ^1.— Naturels, 233, 234.

Yppa ( une des Iles de la Reine» Charlotte, Amérique septentrionale, ouest ). Ornement labial de* naturels, t. XII, p. 109.

z

Zadoiuk (ville du Voronedie, Russie d'Enrope) , t. XLIV, p. 460.

Zarothi ( ile du Niger ) , t. XXX ,

E. 319. Aspect. Négligence des ha- itans. Huttes. Canots , 332. Com- merce. Pèche. Manufactures. Autorité du roi de l'Ean-Noire , 334. Carac- tère. Population. Étendue , 336. Canots, 339

Zag-ff^an (ville du royaume de Tu- nis). Teintures , t. XXII , p. 194.

Zatre ou Coi^o (fleuve d'Afrique). Remonté par les Portugais , t. I , p. 27.

Zalie (ville du Bourgon , Soudan) Fortifications. Situation , t. XXX , p. 162.

Zamfra (province du Haoussa , Sou-

dan). Ville de Géosa, XXVII, 896.— Zirmie , 396, 399, 426. Ville de Quarra. Campagne , t. p. 400, 402.

ZaHg*ia (ville du Haoussa, Soudan), t. XXVII, p. 363,364

ZoHit ( Ile Ionienne ) , t. XLVI , 203 et suiv.

Zaria (capitale du Zeg-Zeg , Sou- dan). Murailles d'argile , t. XXVIII , p. 207. Population. Fusils français et poudre angluise. Beaux environs , 208 Femmes du sultan , 266.

Zegltrem (ville du Fezsan), Ses mai- sons, t. XXVII , p. 20.

Ztg- Ztg ( province du Haoussa , Soudan) Voyage dans l'intérieur , t. XXVIII, p. 205. Gnari, 205, 268. Productions végétale* et

•f I

"1ll

4H6

TABLB GENÊHALK

ïit

■ukiMlM. B«MraM,308. >- Bgg*i>i« . 205. BMTi, 370. ioU villa da Wawa, 373. Voy. Zagkim, capitale.

léltudê ( Nouvella- , arcltipal da l'Auitralie). Vuy. Iles de Bait'ti , da la C^Hnmrn* , Hip/m, Ikm-Ht'Mawl, Knight, Longue , NoitvtU» ' 24lmnd* propre , Sti»art, Ta*ai-Pomaitom , Art Tr»i$' lUii , Thitrra»Hi«, et canal d* la

ZMémtf propM (Nonvelle- ), ou tiet lk»-»a-/Uami et Tap^i-PomaMOu. Dé- oouTerle par Tatman, t I, p. S44.

Surville y aborde, 111, 452.— Can- pibaluine de* naturel! , 4t^. Fo* rét*de cèdres, IV, 408. Force de* iainlairet, A&J- Leur horrible tralii- MJu «oatre Marioa et «ea seu» , qu'ils juastacrent et dévorent, 415 et suit. •- Villages fortifiés , leur intérieur. Artcaaux.Maisoui particulières, 422.

Nourriture, 426. —' Coutume , ta- touage, bijovx, 428. -~* lostrumens de culture , de guerre, de musique, 430. Constructions des pirogues, 433.» Occupations dos femmes, 434. —Religion. Reconnaissance d*un Etre snpréaM, 435.— Remarques générales. Danses, deuil. Indiens blancs, noira et jaunes. Aspect de l'Ile, 437. Ses produitious : marbre, agates, rétrifications, arbres, légumes,quadru> pèdes, oiseaux, 441. Les Français

Î' sèment des graines. La nourelle-Zé' ande reroonatt les leur devoir, 444, 440. -TV Cook y arrive, V,368, 571 Deiicription de la baio de Pauvreté et des côtes adj.icentes , jusqH'nu cap Kidnappera , 390 et sniv. - Nourri- ture des naturels , -414. Jardini potagers , 415. Uabitans se pei- gnent le visage , 416. Rocher re- marquable, 423. Exercices mili- taires , 423.— Uabitans mangent leurs prisonniers , 425 Pirogue remar- quable, 427. Forts et villages for- tifiés, VI, 8, 26 et suiv.,93, 190. Repas, 23. Comment on honore les morts, 23, 100«104. Assauts simu- le», 31. Armes, 33 , 185. Des- cription de la buie de Mercure , 35.

BpiIu bois de charpente des bords <le la Tamibe, 41. lôO- Descriptiou •lu cap Colwill,45 Baie des Brèmes, 47. Les insulaires combattent Cook, GC. Baie des Iles , 64. Descrip-

tiea de la «Ait de la kala des Hts , au canal Charlotte , 65 et luW. -~ Coif- fure, M. Anthropoplugie. 84, 86, 90, 158, 100. —Chant mélodieux des oiseaux , 86 Filet de péehe renar-

3 uable, 80,183.— Croix sur une tombe, 4. Description du caualde la Reine- Charlotte et de ses Uabitans, 105. Cap Palhser nommé par Cook, III, 115.

Cap Sud, 128. Baie de l'Ami- roiraiité, 130, 142. Dcncriptioa générale de la Nou'elle-Zélandt, 143. Climat, quadrupèdes, oi- seaux, insectes, 145, 158 Poissons, 148.— Arbres, végétaux, arbrisseaux, idaute préférable au lin pour les étoffes, 150. Population, 155.

Les naturels, 148, 156, 164.

Nourriture et cuisine, 158, 176.

Femmes non inaccessibles , 163.^ Tatouage, 105. Vétemens, 167 et kuiv. _ Parure, 172. Habitations, meubles, ustensiles, 173. - Piro- gues, pagaies et voiles , 170. Ou- tils, 182. Agriculture, 184. Danse de guerre, 188^ Musique exécutée sveo goût, inMrumens, 188.

Gouvernement , 102. Religion , 105. Croyance générale parmi les insulaires sur leui origine, 197.— Langue semblable à celle de Taïti. 197. Description d'une belle cas- cade et du pays d'alentour , VII, 251. Description de la baie de Dusky, 176 à 289. Naturel». Proiititufion des filles. Réflexions à co sujet, 318 Talisman, pirogues , chiens, dani>e, 322 et suiv. ^ Natu- rels SI' vendent point leurs enfans, 327 Beau noir des étoffes, 231.

Différence de situation des babi- tans des deux grandes îles, 335. Chiens carnivores, 347. Chanvre , lin, VIII, 110. " Antropophagie, 113 et suiv. Naturels peu hospita- liers , IX , 35. -^ Village Kotieghe- nooce , ois. Salubrité du climat , 45- Massacre de marins anglais, 135 et sniv , 238, 241. Prompte construction d'un village, 235. Perpétuel état de guerre , 238, 253.

Détails sur quel([ues croyances religii^uses , 254. Polygamie , 256.

Remarques sur les districts voisins du canal de l'> Reine-Charlotte. Sol, productK.nr,. Animaux, habitaus, etc..

[^

DES MATIÈRES.

4S7

258 et iiiiv.— DidpoMliona gnerrirrn de» liabitiia», 280— rhanionn, 283.

TublcMU comparatif de l(*ur langue avrc celle de Tuiti, 284. Comment la iiiénie nation sVit répondue de ce

tiayii aux Ile* Sandwieb , X ,' 333. ■'■Kurc, iirraet, niteniile» , parure di M natiirflt, XV, 141; XVIII, 161 et tuiv. - Férocité, 151 , 152.— Formes dei Icinme* G<*itiime», 152. Ar- mes. Polygamie. Travaux. Piroguea. Cabanei, 154.— Industrie. Cliantt. Religion. Mariages , 156. Gouver- nement, 158. Historique de ces parages, 245. Missionnaires an- glicans, 249. Géograpbie, 250. Fi,)ure. Mœurs des naturels, 2(J0 et suiv., 281. Etat des personnes, 265. Guerres, connaissance de Bonaparte. Talion. Occupations, 266.

Mariages. Funérailles. Coucbes , 268,281 —Tatouage. Habitatious diverses. Mobilier, 270. Nourriture, Habillement. Musique. Danses, 272

Religion , 275, 278. Tiibou. Re- pas, 2/7. Honneurs funéraires. Anthropophagie. Saints, 278. Lan- gue. Animaux , 280. Origine des naturels. Huttes peintes, XX , 177. Vétemens. Cuisine. Ustensiles. Armes.

Anthropophagie, 177 tt sni?.— Aspect général , l82. Les femmes objet de commerce , 185. Utilité des mi>- sionnaires, 187.— Leurs travaux, 188. Kiabiis»emoiit de la mission. Régir- ment , 101 et suiv. Figure. Formes de» naturels , XXI , 430. Sont e->- core anthropophage». Leur aptitude aux art» de l'Europe, XLIil, xiij. Crovance du dogme de la Trinité , xxiij. Effets du tabou. Superstition», xxiv et suiv. Pillages des l^iens des chefs à leur mort, xxvij. Orne- mens, xxx. Hiérarchia, sociale pres- que nulle, 103. Voy. baie ûuikx.

Zirmi (capitale du Zamfra, Soii> dan ) , t. XXVII , p. 306, SOO.— For- tifications, 426

Zoolai ( tri'iu cafre ). Conquêtes et renommée de leur roi Chaka, t. XXIX, p. 120, 257, 310— Ont envahi le piiy^ des Maotatis, 132. 134.

Zow (oasis des Tibbuus dn Dilma Sahara), t. XXVII , p. 443.

Zouylah (ville du FeiMu). Maison». Alentour», t. XXV, p. 428.

Zuiu (Ile de la Malaisie). ConverMon du roi au christianisme. Mort de Mit- gellan,t. I, p. 147.

riiN DE LA TABLE GENERALE DES MATIERES.